FR2496951A1 - Procede et dispositif de determination des extremites d'une emission de parole - Google Patents

Procede et dispositif de determination des extremites d'une emission de parole Download PDF

Info

Publication number
FR2496951A1
FR2496951A1 FR8123605A FR8123605A FR2496951A1 FR 2496951 A1 FR2496951 A1 FR 2496951A1 FR 8123605 A FR8123605 A FR 8123605A FR 8123605 A FR8123605 A FR 8123605A FR 2496951 A1 FR2496951 A1 FR 2496951A1
Authority
FR
France
Prior art keywords
signal
signals
energy
pulse
threshold
Prior art date
Legal status (The legal status is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the status listed.)
Granted
Application number
FR8123605A
Other languages
English (en)
Other versions
FR2496951B1 (fr
Inventor
James David Johnston
Lori Faith Lamel
Lawrence Richard Rabiner
Aaron Edward Rosenberg
Jay Gordon Wilpon
Current Assignee (The listed assignees may be inaccurate. Google has not performed a legal analysis and makes no representation or warranty as to the accuracy of the list.)
AT&T Corp
Original Assignee
Western Electric Co Inc
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Western Electric Co Inc filed Critical Western Electric Co Inc
Publication of FR2496951A1 publication Critical patent/FR2496951A1/fr
Application granted granted Critical
Publication of FR2496951B1 publication Critical patent/FR2496951B1/fr
Expired legal-status Critical Current

Links

Classifications

    • GPHYSICS
    • G10MUSICAL INSTRUMENTS; ACOUSTICS
    • G10LSPEECH ANALYSIS TECHNIQUES OR SPEECH SYNTHESIS; SPEECH RECOGNITION; SPEECH OR VOICE PROCESSING TECHNIQUES; SPEECH OR AUDIO CODING OR DECODING
    • G10L25/00Speech or voice analysis techniques not restricted to a single one of groups G10L15/00 - G10L21/00
    • G10L25/78Detection of presence or absence of voice signals
    • G10L25/87Detection of discrete points within a voice signal

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Computational Linguistics (AREA)
  • Signal Processing (AREA)
  • Health & Medical Sciences (AREA)
  • Audiology, Speech & Language Pathology (AREA)
  • Human Computer Interaction (AREA)
  • Physics & Mathematics (AREA)
  • Acoustics & Sound (AREA)
  • Multimedia (AREA)
  • Measurement Of Current Or Voltage (AREA)
  • Telephone Function (AREA)
  • Compression, Expansion, Code Conversion, And Decoders (AREA)
  • Transmission Systems Not Characterized By The Medium Used For Transmission (AREA)
  • Analogue/Digital Conversion (AREA)
  • Telephonic Communication Services (AREA)

Abstract

L'INVENTION CONCERNE LES TECHNIQUES DE RECONNAISSANCE DE LA PAROLE. UN DISPOSITIF DE DETECTION D'EXTREMITES D'UNE EMISSION DE PAROLE 150 COMPORTE DES CIRCUITS 200 QUI DEFINISSENT DES IMPULSIONS DE SIGNAUX D'ENERGIE PAR L'APPLICATION DE TROIS SEUILS DIFFERENTS AUX SIGNAUX D'ENTREE. CES IMPULSIONS D'ENERGIE SONT COMBINEES CONFORMEMENT A DES CRITERES PREDETERMINES POUR FORMER DES SIGNAUX CANDIDATS D'EXTREMITES QUI SONT TRANSMIS A UN DISPOSITIF D'UTILISATION 103. L'ELABORATION D'UNE LISTE ORDONNEE DE CANDIDATS POUR LES SIGNAUX D'EXTREMITES AMELIORE LA PRECISION DE LA RECONNAISSANCE DE LA PAROLE ET DIMINUE LE TAUX DE REJET. APPLICATION A LA COMMUNICATION HOMME-MACHINE.

Description

La présente invention concerne la reconnaissance
automatique de la parole et elle porte plus particulière-
ment sur des dispositifs destinés à détecter les extrémités ou les frontières de la partie de parole d'une émission sonore. De nombreuses recherches visant à permettre la
communication vocale entre l'homme et la machine se concen-
trent sur la reconnaissance automatique de la parole. On a développé des systèmes de reconnaissance de mots isolés qui nécessitent une pause entre les émissions sonores. De
tels systèmes comportent de façon caractéristique un voca-
bulaire de référence constitué par des mots enregistrés sous la forme de gabarits numériques. Une émission sonore d'entrée est convertie sous forme numérique et elle est
comparée aux gabarits de référence pour être identifiée.
Pour accomplir efficacement l'opération qui consiste à identifier une émission sonore à un gabarit de référence, il est tout d'abord nécessaire de distinguer les sons de parole des sons étrangers à la parole dans l'émission sonore d'entrée. Cependant, hors d'un environnement de laboratoire soigneusement protégé, il est difficile de
localiser avec précision les extrémités des sons de parole.
Le bruit de fond, comme celui qu'on trouve sur les lignes téléphoniques, peut être confondu avec des sons de parole de faible amplitude. Par exemple, dans le mot "feu", la
fricative "f" est non voisée et de faible amplitude.
D'autre part, des sons d'amplitude plus élevés qui ne sont pas de la parole ne doivent pas être identifiés comme étant de la parole. Des claquements et des crachements dans le système de transmission et des sons parasites comparables
produits par le locuteur peuvent avoir une amplitude supé-
rieure à certaines fricatives, mais ils ne contiennent au-
cune information utile pour le traitement de la parole. De façon similaire, il peut être difficile de distinguer des
sons parasites et la prononciation de consonnes explosives.
Par exemple, dans le mot "hôte", le phonème voisé "h8" est
suivi par une légère pause avant l'émission du son conson-
nantique "t".
Un détecteur d'extrémités de l'art antérieur, décrit dans le brevet U.S. 3 909 532, utilise une mesure d'énergie de la parole codée sous forme numérique. Le début
de chaque partie de parole d'une émission sonore est détec-
té au moment auquel l'énergie dépasse une valeur de seuil prédéterminée pendant un intervalle de temps fixe. De façon similaire, la fin de la partie de parole est détectée au moment auquel l'énergie tombe au-dessous du seuil pendant un autre intervalle de temps fixe. Cependant, le détecteur d'extrémités peut ne pas détecter les sons de parole qui
tombent au-dessous du seuil.
L'article de I. R. Rabiner et M. R. Sambur inti-
tulé, "An Algorithm for Determining the Endpoints of Isolated Utterances", paru dans la revue Bell System
Technical Journal, Vol.54, page 287, 1975, décrit un détec-
teur d'extrémités perfectionné pour la reconnaissance de
mots isolés. Le début de la partie de parole d'une émis-
sion sonore est défini comme étant le point auquel l'éner-
gie dépasse pour la première fois un seuil inférieur, si elle dépasse ensuite un seuil supérieur avant de tomber
au-dessous du seuil inférieur. La fin de la partie de pa-
role est détectée au point auquel l'énergie tombe au-dessous
du seuil inférieur. On ajuste ensuite les extrémités en uti-
lisant une mesure de passage par zéro pour détecter la pa-
role non voisée. Ce détecteur d'extrémités perfectionné peut cependant ne pas assurer une discrimination précise contre des sons étrangers à la parole qui dépassent le
seuil supérieur.
Dans le brevet U.S. 4 032 710, un détecteur d'ex-
trimés extrait trois signaux de caractéristiques d'un mot d'entrée isolé. Chaque signal de caractéristiques comprend
des composantes spectrales sélectionnées de la parole d'en-
trée. Le premier signal de caractéristiques fixe le point
de départ de la partie de parole à l'endroit auquel l'éner-
gie des composantes sélectionnées dépasse un seuil prédé-
terminé. Le point final est fixé à l'endroit auquel l'éner-
gie tombe au-dessous du seuil. Le premier signal de caracté-
ristiques persiste pendant une durée de retard pour tenir comp-
te des trous dûs aux consonnes explosives à l'intérieur
des mots. Les second et troisième signaux de caractéristi-
ques, qui ont des composantes spectrales qu'on trouve dans la parole voisée et non voisée, mais non dans le bruit de respiration, sont utilisés pour ajuster les estimations d'extrémités qui sont obtenues à partir du premier signal de caractéristiques. Le détecteur d'extrémités utilisant les signaux de caractéristiques n'est cependant pas capable de déterminer les extrémités avec précision lorsqu'un son parasite dépasse le seuil d'énergie prédéterminé, pendant
le temps de retard du premier signal de caractéristiques.
L'invention a donc pour but de réaliser un dis-
positif perfectionné destiné à déterminer les extrémités de la partie de parole d'une émission sonore contenant des sons parasites et du bruit de fond dont les niveaux
d'énergie sont comparables à ceux des sons de parole fai-
bles. On a découvert qu'il était possible d'identifier
de façon plus précise et de rejeter moins souvent des émis-
sions sonores en appliquant à un dispositif de reconnais-
sance de parole un ensemble de signaux candidats d'extré-
mités probables, au lieu d'un seul jeu de signaux d'extré-
mités, comme dans l'art antérieur. L'existence d'un ensem-
ble de signaux candidats d'extrémités permet d'établir une réaction entre le détecteur d'extrémités et le dispositif de reconnaissance de parole. Si une émission sonore ne peut pas être identifiée avec un bon niveau de confiance, avec un jeu donné de signaux d'extrémités, on peut essayer
dans le dispositif de reconnaissance d'autres signaux can-
didats d'extrémités. La répétition de l'émission sonore
n'est nécessaire que si l'ensemble complet de signaux candi-
dats d'extrémités est épuisé sans que l'identification ait
été effectuée.
L'invention concerne des dispositifs de détection d'extrémités pour des systèmes de reconnaissance de mots. On code une émission sonore d'entrée pour produire des signaux
de sortie numériques. On utilise les signaux de sortie numé-
riques pour générer des signaux de niveau d'énergie. On
compare les signaux de niveau d'énergie à des seuils d'am-
plitude afin de produire des impulsions de signaux d'éner-
gie. On combine les impulsions de signaux d'énergie confor-
mément à des critères prédéterminés. Le début et la fin des impulsions combinées forment des signaux qui définis-
sent des candidats d'extrémités.
Dans un mode de réalisation qui constitue un exem-
ple de l'invention, on code de façon numérique une émission sonore d'entrée en utilisant par exemple la modulation par impulsion et codage de type différentiel adaptatif. On divise le signal d'entrée codé en trames. Un circuit de pré-traitement développe des signaux de niveau d'énergie à partir du signal d'entrée codé et divisé en trames. Un circuit de pré-traitement de second niveau normalise les signaux de niveau d'énergie. On utilise une technique à triple seuil pour extraire des impulsions de signaux
d'énergie à partir des signaux de niveau d'énergie norma-
lisés. les impulsions de signaux d'énergie représentent
des composantes porteuses d'information potentielles du si-
gnal d'entrée codé. On ajuste les extrémités des impulsions de signaux d'énergie conformément au temps de montée ou de descente de chaque impulsion de signaux d'énergie. On contrôle les frontières de l'émission sonore d'entrée pour déterminer la présence d'énergie de parole. On élimine les impulsions d'énergie qui n'atteignent pas une amplitude
ou une durée spécifiées. On élimine les impulsions d'éner-
gie qui sont séparées de plus d'une durée prédéterminée par rapport à l'impulsion ayant l'énergie maximale. On combine les impulsions d'énergie séparées de moins d'une durée spécifiée, conformément à des critères prédéterminés, avec
la plus grande impulsion de signal d'énergie. Les extrémi-
tés des impulsions combinées définissent les candidats d'extrémités. On arrange les candidats d'extrémités dans l'ordre de préférence. On transmet les candidats ordonnés à un dispositif de reconnaissance de parole. On émet les candidats d'extrémités vers le dispositif de reconnaissance jusqu'à ce que l'émission sonore testée soit identifiée comme étant l'un des gabarits d'un ensemble de gabarits de
2496951:
référence enregistrés. Si on ne peut pas identifier l'émis-
sion sonore testée avec un bon niveau de confiance, il faut répéter l'émission sonore et déterminer de nouvelles extrémités. L'invention sera mieux comprise à la lecture de
la description qui va suivre d'un mode de réalisation et en
se référant aux dessins annexés sur lesquels: La figure 1 est un schéma synoptique général d'un
détecteur d'extrémités qui constitue un exemple de l'inven-
tion; La figure 2 est un schéma synoptique détaillé d'un circuit de prétraitement de second niveau qu'on peut utiliser dans le détecteur d'extrémités de la figure 1 La figure 3 est un schéma synoptique détaillé d'un générateur d'indicateur de valeur qu'on peut utiliser dans le détecteur d'extrémités de la figure 1; La figure 4 est un schéma synoptique détaillé d'un détecteur de parole et d'impulsion de frontière qu'on peut utiliser dans le détecteur d'extrémités de la figure 1; La figure 5 est un schéma synoptique détaillé
d'un générateur de début qu'on peut utiliser dans le détec-
teur d'extrémités de la figure 1; La figure 6 est un schéma synoptique détaillé d'un détecteur de durée et d'énergie qu'on peut utiliser dans le détecteur d'extrémités de la figure 1; La figure 7 est un schéma synoptique détaillé d'un générateur de fin qu'on peut utiliser dans le détecteur d'extrémités de la figure 1 La figure 8 est un schéma synoptique détaillé d'un circuit de commande de lissage qu'on peut utiliser dans le détecteur d'extrémités de la figure 1; La figure 9 est un schéma synoptique détaillé d'un circuit de traitement de lissage qu'on peut utiliser dans le détecteur d'extrémités de la figure 1; Les figures 10, 11, 12, 13 et 14 représentent des schémas synoptiques détaillés d'un circuit de commande d'états
qu'on peut utiliser dans le détecteur d'extrémités de la figu-
2 496951
re 1; La figure 15 est un schéma synoptique détaillé d'une mémoire de candidats qu'on peut utiliser dai détecteur d'extrémités de la figure 1; La figure 16 représente des signaux qui trent le fonctionnement du circuit de pré-traitem< second niveau de la figure 2; La figure 17 représente des signaux qui trent le fonctionnement du générateur d'indicateur leur de la figure 3; La figure 18 représente des signaux qui trent le fonctionnement du détecteur de parole et pulsiOnde frontière de la figure 4; La figure 19 représente des signaux qui trent le fonctionnement du générateur de début de ris le
illus-
lnt de
illus-
r de va-
illus-
d'im-
illus-
la figu-
re 5;
La figure 20 représente des signaux qui illus-
trent le fonctionnement du détecteur de durée et d'éner-
gie de la figure 6;
La figure 21 représente des signaux qui illus-
trent le fonctionnement du générateur de fin de la figure 7;
La figure 22 représente des signaux qui illus-
trent le fonctionnement du dispositif de lissage et de
commande d'états des figures 8, 9, 10 et 11, et de la mé-
moire de candidats de la figure 15;
La figure 23 représente des signaux qui illus-
trent le fonctionnement du dispositif de lissage et de com-
mande d'états des figures 8, 9, 11 et 12, et de la mémoire de candidats de la figure 15;
La figure 24 représente des signaux qui illus-
trent le fonctionnement du dispositif de lissage et de com-
mande d'états des figures 8, 9 et 13;
La figure 25 représente des signaux qui illus-
trent le fonctionnement du dispositif de lissage et de com-
mande d'états des figures 8, 9, 13 et 14, et de la mémoire de candidats de la figure 15; et
La figure 26 représente des signaux qui illus-
trent le fonctionnement du dispositif de lissage et de comman-
de d'états des figures 8, 9 et 14 et de la mémoire de can-
didats de la figure 15.
La figure 1 représente un schéma synoptique géné-
ral d'un décodeur d'extrémités qui constitue un exemple de l'invention. On peut utiliser le système de la figure 1 pour appliquer un jeu de signaux candidats d'extrémités à un dispositif de reconnaissance de parole, sous l'effet
d'une émission sonore d'entrée. Selon une variante, le dis-
positif détecteur d'extrémités peut consister en un ordi-
nateur universel, par exemple, capable de remplir les fonc-
tions de traitement de signal décrites en relation avec la
figure 1, en association avec une mémoire morte.
La parole est appliquée à l'entrée d'un codeur 101. Le codeur 101 code sous forme numérique le signal
d'entrée de parole en utilisant des techniques bien con-
nues, comme la modulation par impulsion et codage (MIC), la modulation MIC avec compression-extension (par exemple avec la loi p ou la loi A), ou la modulation par impulsion et codage de type différentiel adaptatif. Un codeur MIC différentiel adaptatif approprié est décrit en détail dans le brevet U.S. 3 909 532 précité et dans l'article de P. Cummiskey, N.S. Jayant, et J.L. Flanagan, intitulé "Adaptive Quantization in Differential PCM Coding of Speech," paru dans la revue Bell System Technical Journal, Vol. 52, page 1105, septembre 1973. Le signal de sortie de parole numérisé du codeur 101 est appliqué au circuit de
pré-traitement 102.
Le circuit de pré-traitement 102 pré-accentue et bloque les codes de parole numérisés qui proviennent du codeur 101, pour les grouper en trames en chevauchement, et il forme des signaux représentatifs du niveau d'énergie de parole de chaque trame. Un circuit de pré-traitement de
l'art antérieur, décrit dans le brevet U.S. 3 909 532 pré-
cité, peut être adapté d'une manière bien connue à la dé-
termination de l'énergie de parole dans chaque trame, con-
formément à l'équation (1).
Dans un mode de réalisation de l'invention, le
signal de parole d'entrée est soumis à un filtrage passe-
bande entre 100 et 3200 Hz et il est écharitilionn a 6,67 kHz dans le codeur 101. Les échantillons sont bJoqués
en trames en chevauchement. Chaque trame contient 300 é'cnar,-
tillons. Les trames successives sont décalées ae 100 &char-
tillons, ou 15 ms. L'émission sonore d'entrée est définie par la séquence de trames allant de n = a à L. L peut être par exemple égal à 512. Le circuit de pré-traitement 102 forme des signaux E qui sont représentatifs du niveau n
d'énergie de parole du signal de parole pré-accentué et blc-
qué: N-1 En = Ä Sn(i) n=l, 2,....,L ( i=O Dans cette relation, l'échantillon sn(i) est le signal de parole pré-accentué et bloqué de la trame n, et IN, par exemple 300, est le nombre d'échantillons par trame. On
trouve une description plus détaillée des procédés de me-
sure d'énergie dans l'article de R. W. Schafer et L. R. Rabiner,intitulé "Parametric Representations of Speech," Proceedings of IEEE Speech Recognition Symposium, avril
1974, pages 99-150.
Conformément à l'invention, les signaux Er pour
la séquence de trames n = 1 à L sont appliqués au déte-
teur d'extrémités 150.
Le circuit de pré-traitement de second niveau convertit les signaux E en une séquence de signaux n de niveau d'énergie LVrn; n=l, L. Chaque signal de niveau d'énergie LV est une représentation normalisée, soas la n
forme d'un nombre entier, du signal E exprimé en décibels.
n Le générateur d'indicateur de valeur 300 émet
des signaux d'indicateur F1, F2, F3 et F4 sous la dépen-
dance de l'amplitude du signal de niveau d'énergîe LVê.
Un signal d'indicateur est généré lorsqu'un signal de
niveau d'énergie LV dépasse un seuil d'snergie prédénermi-
n
né particulier. Un signal d'indicateur est sutpprimé icrs-
qu'un signal de niveau d'énergie LVn tombe au-dessous de
ce seuil prédéterminé.
2496951i Le détecteur de parole, d'erreur de frontière et de plus grande impulsion, 400, contrôle la séquence de signaux de niveau d'énergie LVn, pour détecter la présence de parole aux frontières de l'émission sonore d'entrée. Si LV1 ou LVL est supérieur à un seuil d'énergie prédéterminé, un signal d'erreur est généré. L'émission sonore d'entrée
est également analysée pour s'assurer qu'il y a effective-
ment présence de parole et pour détecter la trame qui pré-
sente le niveau d'énergie le plus élevé.
Le générateur de début 500 détecte la trame dans laquelle l'information de parole commence. La trame de début désignée est modifiée, si nécessaire, pour tenir compte du bruit de respiration. De façon similaire, le
générateur de fin 700 détecte la trame dans laquelle l'in-
formation de parole se termine. La trame de fin désignée est modifiée, si nécessaire, pour tenir compte du bruit
de respiration.
Le détecteur de durée et d'énergie minimales 600 détecte les séquences de signaux de niveau d'énergie LVn qui dépassent une amplitude fixée pendant au moins une durée prédéterminée. Chaque séquence de signaux de niveau d'énergie, appelée une impulsion de signaux d'énergie, est définie par les trames auxquelles elle commence et elle
se termine. Une émission sonore d'entrée donnée peut compren-
dre plusieurs impulsions de signaux d'énergie.
L'impulsion de signaux d'énergie qui contient le signal de niveau d'énergie ayant l'amplitude la plus élevée est détectée dans le circuit de commande de lissage 800, le
circuit de traitement de lissage 900 et le circuit de com-
mande d'états 1000. Cette impulsion de signaux d'énergie
est appelée la plus grande impulsion de signaux d'énergie.
La plus grande impulsion de signaux d'énergie est combinée avec d'autres impulsions de signaux d'énergie séparées par moins d'un nombre de trames prédéterminé, pour former une seule impulsion de signaux d'énergie de plus longue durée, appelée impulsion de signaux d'énergie lissée. L'impulsion
de signaux d'énergie lissée est utilisée pour former un ensem-
ble de signaux candidats d'extrémités. Chaque signal candidat ' d'extrémités comprend un signal de trame de début et un signal de trame de fin qui représentent des extrémités
probables de la partie de parole de l'émission sonore d'en-
trée appliquée.
Les signaux candidats d'extrémités sont mémorisés
dans la mémoire de candidats 1500. Le dispositif d'utilisa-
tion 103 est conçu de façon à demander des signaux candi-
dats d'extrémités à la mémoire de candidats 1500. Le dis-
positif d'utilisation 103 peut être un appareil de reconnais-
sance de parole qui utilise des estimations d'extrémités
dans le processus de reconnaissance.
Dans le fonctionnement du dispositif de détec-
tion d'extrémités, décrit ci-dessous en détail en relation avec les figures 2 à 15, on suppose à titre d'exemple qu' une émission sonore comprend au moins cinq impulsions de signaux d'énergie. Deux impulsions de signaux d'énergie précèdent la plus grande impulsion de signaux d'énergie et
deux impulsions de signaux d'énergie suivent la plus gran-
de impulsion de signaux d'énergie.
Dans l'élément 201 du circuit de pré-traitement de second niveau 200 de la figure 2, chaque signal En est
converti en une valeur entière en décibels, LVn, conformé-
ment à l'équation LV = ú10-loglOEf+ 0,53, n = 1, L (2) dans laquelle [ argument] désigne le plus grand nombre
entier inférieur ou égal à l'argument.
Dans l'élément 201, le membre de la famille LVn ayant la valeur minimale, LVmin, est soustrait de chaque membre de LV pour donner LV, c'est-à-dire une suite de niveaux d'énergie normalisés LVn LV-LV min n= 1, L (3)
Une autre normalisation est accomplie dans l'élé-
ment 201 pour obtenir le signal de niveau d'énergie LVn: LVn = LV nLVmode' n = 1, L (4) il en désignant par LV" le mode d'un histogramme des dix mode ''1 plus faibles valeurs de LVn. Si LV n-LVmode est inférieur à
zéro, on fixe LVn à zéro.
L'élément 201 peut être un ordinateur universel conçu de façon à traiter les signaux E conformément aux n équations (2), (3) et (4), de la manière déterminée par des signaux provenant d'une mémoire morte incorporée dans cet ordinateur. L'élément 201 peut être par exemple un microprocesseur Nova 3 fabriqué par la firme Data General Corporation. La configuration de mémoire morte destinée à commander le traitement de signal qui est défini par les équations (2), (3) et (4) est indiquée en langage Fortran
à l'annexe 1.
Les figures 16 à 26 représentent des signaux
qui illustrent les opérations séquentielles dans les cir-
cuits des figures 1 à 15. Sur les figures 16 à 26, les
états logiques "1"l des signaux sont indiqués par les par-
ties des signaux qui se trouvent au-dessus de la ligne de base. L'élément 201 fournit une impulsion d'horloge C
pour chaque trame n dans l'émission sonore d'entrée. L'im-
pulsion d'horloge C est représentée par le signal 1601 sur
la figure 16. L'impulsion d'horloge C est appliquée à l'in-
verseur 270 sur la figure 2 pour générer une impulsion d'horloge inversée C. L'impulsion d'horloge C est également appliquée au multivibrateur monostable redéclenchable 260 pour générer un signal de restauration RST (signal 1602) et un signal de restauration inversé RST, à l'instant T1* Le multivibrateur monostable 260 est choisi de façon à avoir une période supérieure à celle de l'horloge. Ainsi, le signal RST demeure au niveau bas jusqu'à un instant ultérieur à la fin de l'émission sonore d'entrée, c'est-à-dire après la
fin de l'impulsion d'horloge C, à l'instant T2 sur la figu-
re 16. Le multivibrateur monostable 260 peut être par exem-
ple un circuit intégré du type SN74122 fabriqué par la firme
Texas Instruments Corporation.
En considérant la figure 3, on voit que le généra-
teur d'indicateur de valeur 300 reçoit des signaux de niveau
d'énergie LVn, n=l,L, à partir du circuit de pré-traite-
ment de second niveau 200. Le signal LVn est appliqué si-
multanément aux entrées A des comparateurs de valeur 310,
311, 312 et 313. Un code binaire représentant une amplitu-
de d'énergie de parole constante K1 est appliqué à l'entrée B du comparateur de valeur 310. Le signal constant K1 peut être par exemple un signal correspondant à une amplitude de 3 dB. Si le signal de niveau d'énergie LVn est supérieur au signal d'amplitude K1, le comparateur de valeur 310 génère un signal à l'état logique "1" sur la sortie A> B
à l'instant T1 (signal 1702 de la figure 17).
De façon similaire, le signal LVn est comparé à des signaux d'amplitude constants K2, K3 et K4 dans les comparateurs de valeur 311, 312 et 313. A titre d'exemple, le signal K2 peut correspondre à 8 dB, le signal K3 peut correspondre à 5 dB, et le signal K4 peut correspondre à 15 dB. Les signaux à l'état "1" provenant des sorties A >B des comparateurs de valeur 310, 311, 312 et 313 sont
appliqués au registre d'indicateur 330. Le registre d'indi-
cateur 330 peut être par exemple un circuit de registre
du type SN74174 de la firme Texas Instruments.
Les signaux constants K1, K2, K3 et K4 peuvent être appliqués aux comparateurs de valeur par des moyens de génération 380, 381, 382 et 383 de type bien connu. Chaque moyen de génération peut être par exemple un commutateur
binaire connecté de façon appropriée à un réseau de résis-
tances branché entre une source de tension constante et la masse. Le commutateur peut alors être placé à une valeur de tension qui correspond à la représentation sous forme de nombre binaire de l'amplitude de seuil sélectionné, exprimée
en décibels.
Si un signal à l'état "1" est présent sur n'importe
quelle ligne d'entrée Dl, D2, D3 ou D4 du registre d'indica-
teur 330, un signal d'indicateur correspondant F1. F2, F3 ou
F4 est généré sur le front montant de chaque impulsion d'hor-
loge inversée C. Les sorties du registre d'indicateur 330 attaquent des inverseurs 370, 371 et 372 pour donner des
signaux d'indicateur inversés Fi. F2 et F3.
Comme le montre le signal 1703 sur la figure 17,
un signal d'indicateur F1 à l'état "1" est généré à l'ins-
tant T2. Le signal d'indicateur F1 est également appliqué
* à un multivibrateur monostable 360 qui fournit une impul-
sion d'indicateur F1p (signal 1704) qui commence à l'ins- tant T3. Les sorties A> B des comparateurs 311, 312 et 313,
et les signaux F2, F3, et F4 réagissent aux signaux de ni-
veau d'énergie LVn d'une manière similaire à celle représen-
tée par les signaux 1702 et 1703.
En considérant maintenant la figure 4, on voit
que le comparateur de valeur 414 compare la valeur couran-
te d'un signal de niveau d'énergie LV à une valeur anté-
n rieure de LVn qui est mémorisée dans le registre de LVmax, 431. La valeur mémorisée du signal LV est appliquée à n
l'entrée B du comparateur de valeur 414 à partir du regis-
tre de LVmax 431. Si le signal LVn courant est supérieur à la valeur antérieure de LV mémorisée dans le registre n
de LVmax 431, un signal à l'état "1" est généré sur la sor-
tie A > B du comparateur 414. Le signal de la sortie A > B du comparateur 414 est représenté par la condition 1 du
signal 1808, à l'instant T1, sur la figure 18. (Les condi-
tions 1, 2 et 3 sur la figure 18 correspondent, à titre
d'exemple, à des signaux séquentiels mutuellement exclu-
sifs qui sont représentatifs de trois émissions sonores
d'entrée différentes.) Le signal à l'état "1" issu du compa-
rateur 414 est appliqué à la porte ET 424. La porte ET 424 est validée par l'impulsion d'horloge inversée C et elle donne un signal de sortie CL (condition 1 à l'instant T3 sur le signal 1809). Le signal CL est appliqué à l'entrée d'horloge du registre 431. Le registre 431 mémorise ainsi le signal de niveau d'énergie LV qui est appliqué sur son n entrée de données D. Le signal CL est également appliqué à la bascule 444 qui émet le signal PLUSGRATD, qui indique qu'une nouvelle valeur pour le signal de niveau d'énergie
LVmax a été mémoriséedans le registre de LVmax, 431. La bas-
cule 444 est restaurée par l'intermédiaire de la porte OU 490, au moyen du signal d'indicateur inversé F1 (c'est-à-
dire lorsque le signal d'indicateur F1 prend l'état "0"), ou 2496951i par le signal FAIT qui provient de la porte OU 792 sur la
figure 7.
Si au contraire la valeur courante du signal de niveau d'énergie LVn est inférieureà la valeur mémorisée antérieure, le signal CL n'est pas produit et la valeur
mémorisée antérieure demeure dans le registre de LVmax 431.
Ainsi, le comparateur 414 et le registre de LVmax 431 détec-
tent et mémorisent le signal de niveau d'énergie maximal LVmax dans la séquence d'émission sonore des signaux de niveau d'énergie LVny n=l, L. Le registre de LVmax 431 peut être par exemple un registre du type SN74273 de la
firme Texas Instruments.
Dans le comparateur de valeur 415, le signal de niveau d'énergie LVn est comparé à un signal constant MINDB. Le signal MINDB peut être par exemple le signal de sortie d'un générateur de valeur binaire constante, 480, comme il est bien connu, et il peut correspondre à une amplitude de 30 dB. Si le signal de niveau d'énergie LVn est supérieur au signal constant MINDB, la sortie A > B du comparateur de valeur 415 émet un signal à l'état "1" vers l'entrée C de la bascule 441, par l'intermédiaire de la porte ET 425. La porte ET 425 est validée lorsque la sortie Q de la bascule 440 est à l'état "1" (à l'instant T1 dans le signal 1803 de la figure 8). La sortie Q est à l'état "1" pendant la première impulsion d'horloge C
(de l'instant T1 à l'instant T3 du signal 1801). A l'ins-
tant T3, l'impulsion d'horloge inversée C est appliquée à l'entrée C de la bascule 440, ce qui fait apparaître un signal à l'état "0" sur la sortie Q. La porte ET 425 n'est ainsi validée que pendant la première trame de l'émission sonore d'entrée et elle est invalidée pendant les trames suivantes. Les bascules 440 et 441 accomplissent ainsi un contr8le sur le premier signal de niveau d'énergie LV1. Si le signal LV1 est supérieur au signal constant MINDB, il est probable que la parole chevauche la frontière de début de l'émission sonore d'entrée. La bascule 441 émet alors le signal ERREURDEBUT(condition 1 à l'instant T3du signal
1805). Le signal ERREURDEBUT est appliqué au dispositif d'uti-
lisation 103 de la figure 1 pour indiquer que l'émission
sonore d'entrée est invalide.
La bascule 443 accomplit un contrôle similaire portant sur la présence de parole à la frontière de fin de l'émission sonore d'entrée. Le signal de restauration RST est appliqué à la porte ET 426 à l'instant T9 (signal 1802 sur la figure 18). Si le dernier signal de niveau d'énergie LVL est supérieur au signal constant MINDB, un
signal à l'état "1" (condition 3 du signal 1804) prove-
nant de la sortie A > B du comparateur de valeur 415 est appliqué par la porte ET 426 à l'entrée C de la bascule 443. La bascule 443 émet le signal ERREURFIN (condition 3
du signal 1807) à l'instant T9, et ce signal est appli-
qué au dispositif d'utilisation 103 pour indiquer que
l'émission sonore d'entrée est invalide.
La bascule 442 est positionnée à l'instant T4, par l'intermédiaire de la porte ET 427, par un signal à l'état "1" (condition 2 du signal 1804 sur la figure 18) qui provient de la sortie A > B du comparateur de valeur 415. Ainsi, si au moins un signal de niveau d'énergie LVn appartenant à l'intervalle des trames n = 1 à L est supérieur au signal constant MINDB, le signal CONTRPAROLE (condition 2 à l'instant T5 du signal 1806 sur la figure 18) est amené à l'état "1", sur la sortie Q de la bascule 442. Si le signal CONTRPAROLE demeure à l'état "0", ceci indique au dispositif d'utilisation 103 que l'émission
sonore d'entrée ne contient pas de parole.
En considérant la figure 5, on voit que le signal F1 (signal 1902 sur la figure 19) provenant du registre d'indicateur 330 est appliqué à l'entrée C de la bascule 540 à l'instant T2. La sortie Q de la bascule 540 passe ainsi à l'état "1", et le signal résultant BCHK1 (signal 1907) est appliqué à la porte ET 520 à l'instant T2. La porte ET 520 est validée par l'impulsion d'horloge inversée C. Le signal de sortie de la porte ET 520 est appliqué à l'entrée du compteur 550. Si le compteur 550 reçoit un nombre prédéterminé d'impulsions provenant de la porte ET 520, par exemple quatre impulsions, avant d'être restauré par le signal F2 (signal 1904), un signal CO à l'état "1" est généré en sortie du compteur. Le signal CO (signal
1905) attaque l'entrée d'horloge de la bascule 541 à l'ins-
tant T5, ce qui fait apparaître un signal à l'état "1" sur la sortie Q de cette bascule. Le signal à l'état "1" pro- venant de la sortie Q de la bascule 541 est appliqué à
la porte ET 521. La porte ET 521 est validée par l'impul-
sion d'horloge inversée C et elle génère une impulsion I. La génération de l'impulsion I1 (qui commence à l'instant T sur le signal 1906) indique que le temps nécessaire pour que les signaux de niveau d'énergie LVn croissent de l'amplitude K1 à l'amplitude K2 est supérieur ou égal à
quatre trames.
Le compteur maître 551 est remis à zéro par le signal de restauration RST. Pour chaque impulsion d'horloge C (signal 1901), le compteur maître 551 est incrémenté
d'une unité et il fournit un signal codé I TRAME corres-
pondant à chaque trame n = 1, L. Le signal 4. TRAME est appliqué à l'entrée de données D du réseau de bascules/
compteur 552.
Lorsqu'un signal de niveau d'énergie LVn dépasse l'amplitude K1, le signal F1p provenant du multivibrateur
monostable 360 est appliqué à la porte OU 792 sur la figu-
re 7. Le signal FAIT provenant de la porte OU 792 fait en sorte que le réseau de bascules/compteur 552 reçoive le signal e TRAME à partir du compteur 551. Le signal # TRAME
mémorisé dans le réseau de bascules/compteur 552 est appe-
lé signal #. TRAMEDEBUT. Sous l'effet de chaque impulsion I
provenant de la porte ET 521, le signal # TRAMEDEBUT mémo-
risé dans le réseau de bascules/compteur 552 est incrémenté
d'une unité. Lorsqu'un signal de niveau d'énergie LVn dépas-
se l'amplitude K2 à l'instant T6 sur la figure 19, le signal F2 (signal 1904) provenant du registre d'indicateur 330 est appliqué aux bornes de restauration des bascules 540 et 541 et du compteur 550. La porte ET 521 est ainsi bloquée
et l'impulsion I est terminée. Le signal e TRAME-DEBUT pré-
sent dans le réseau de bascules/compteur 552 est donc égal au signal # TRAME courant, moins quatre, c'est-à-dire quatre
2496951,
trames précédant le signal # TRAME qui est apparu au moment o le signal de niveau d'énergie LVn a dépassé le
signal constant K2. Le signal 14TRAMEDEBUT est ainsi ajus-
té lorsque le signal LVn a un temps de montée long. Un temps de montée long suggère la présence de sons étrangers à la parole, comme un bruit de respiration, au début de
l'émission sonore d'entrée.
Si la séquence de signaux'de niveau d'énergie LVn a un temps de montée court, c'est-à-dire si le signal F2 passe à l'état "1" moins de quatre trames après le passage à l'état "1" du signal F1, les signaux I et CO demeurent à l'état "0". Le signal /4TRAMEDEBUT présent dans le réseau de bascules/compteur 552 n'est donc pas ajusté et il demeure égal au numéro de la trame dans laquelle le signal F1 est passé à l'état "1". Les compteurs 550 et 551 et le réseau de bascules/compteur 552 peuvent tous être par exemple du type SN74163, de la firme Texas Instruments. En considérant la figure 6, on voit que le signal F1 provenant du registre d'indicateur 330 est appliqué à l'entrée C de la bascule 640 (à partir de l'instant T1 dans le signal 2002 de la figure 20). La sortie Q de la bascule 640 génère un signal à l'état "1" qui est appliqué
à la porte ET 620. La porte ET 620 est validée par l'impul-
sion d'horloge inversée C suivante et elle produit une impulsion qui incrémente le compteur 650. Si le compteur
650 est incrémenté de façon à atteindre un nombre prédéter-
miné, par exemple quatre, avant d'avoir été restauré par le signal FAIT provenant de la porte OU 792 de la figure 7, un signal à l'état "1" est généré en sortie du compteur. Le
signal à l'état "1" attaque l'entrée d'horloge de la bas-
cule 641. La sortie Q de la bascule 641 produit le signal OK1(à l'instant T5 dans le signal 2400 de la figure 20), ce qui indique que l'impulsion de signaux d'énergie a une durée au moins égale à la durée minimale prédéterminée de quatre trames. Si le signal F1 est à l'état "1" pendant
moins de quatre trames, le signal OK1 demeure à l'état "0".
Le signal d'indicateur F4 (signal 2003) qui pro-
2496951,
vient du registre d'indicateur 330 est appliqué sur l'en-
trée C de la bascule 642 à l'instant T3. Le signal de la sortie Q de la bascule 642, c'est-à-dire le signal OK2 (à l'instant T3 du signal 2005), est appliqué à la porte ET 621. La porte ET 621 est validée par le signal OK1 qui pro-
vient de la bascule 641 à l'instant T5. Le signal de sor-
tie de la porte ET 621 attaque à son tour l'entrée d'hor-
loge de la bascule 643. Dans ces conditions, si, première-
ment, la séquence de signaux de niveau d'énergie a une du-
rée minimale d'au moins quatre trames et, secondement, l'un au moins des signaux de niveau d'énergie LVn contenus dans la séquence est supérieur ou égal au signal constant K4 (15 dB), la bascule 643 émet le signal OK (signal 2006) à l'instant T5. Si au contraire l'un ou l'autre des signaux OK1 ou OK2 est à l'état "0", le signal OK demeure à l'état
"0" et la séquence de signaux de niveau d'énergie est con-
sidérée comme résultant d'un son parasite.
En considérant le générateur de fin 700 de la
figure 7, on note que lorsqu'un signal de niveau d'éner-
gie LVn tombe au-dessous de l'amplitude K2, par exemple à l'instant T2 sur la figure 21, le signal d'indicateur F2
est à l'état "0" et le signal d'indicateur inversé 2 (si-
gnal 2102) qui provient de l'inverseur 371 est à l'état "1". Le signal j4TRAME courant provenant du compteur 551 est ainsi mémorisé dans le registre de fin 730 et le réseau de bascules/compteur de fin 750. Le registre de fin 730 peut être par exemple du type SN74174, de la firme Texas Instruments. Le signal d'indicateur inversé F2 est également
appliqué à l'entrée d'horloge C de la bascule 740. Un si-
gnal à l'état "1" est donc appliqué à la porte ET 721 par la sortie Q de la bascule 740. La porte ET 721 est validée par l'impulsion d'horloge C (signal 2101). Le signal de
sortie de la porte ET 721, c'est-à-dire l'impulsion I2.
incrémente le compteur 751 et le réseau de bascules/comp-
teur de fin 750. Ainsi, pour chaque impulsion I2y le signal #TRAME mémorisé dans le réseau de bascules/compteur de fin
750 est incrémenté d'une unité. Si le compteur 751 est incré-
2496951i menté jusqu'à un nombre prédéterminé, par exemple cinq, pendant que le signal F3 (signal 2103) demeure à l'état "0", un signal à l'état "1" est généré sur la sortie de dépassement de capacité CO du compteur. Le signal à l'état "1" provenant du compteur 751 est appliqué à l'entrée C de la bascule 741. La borne Q de la bascule 741 émet un signal à l'état "1", appelé SELECTION, à l'instant T4 sur
la figure 21. Le signal SELECTION (signal 2104) est appli-
qué à la porte OU 793 et au multiplexeur 780. Le multiple-
xeur 780 peut être par exemple du type SN74157, de la firme Texas Instruments. Le signal de sortie de la porte OU 793 est appliqué au multivibrateur monostable 760. Le signal de sortie du multivibrateur monostable 760 restaure la bascule 740 et le compteur 751 par l'intermédiaire de
portes OU 790 et 792.
Lorsque le signal SELECTION est à l'état "1", le multiplexeur 780 accepte sur son entrée A des données
qui proviennent du registre de fin 730. Le signal de sor-
tie du multiplexeur 780 est le signal TRAMEFIN qui est
égal à la valeur du signal;TRAME présent dans le regis-
tre de fin 730. En d'autres termes, si un signal de niveau d'énergie LVn tombe au-dessous de l'amplitude K2 pendant cinq trames ou plus avant de tomber au-dessous de K3, le
point final de l'impulsion de signaux d'énergie, c'est-à-
dire le signal *=TRAMEFIN, est égal au signal *;TRAME pour
lequel le signal de niveau d'énergie LVn est tombé au-
dessous de l'amplitude K2.
Si le signal d'indicateur inversé F3 provenant de l'inverseur 372 passe à l'état "1" (c'est-à-dire si le
signal de niveau d'énergie LVn tombe au-dessous de l'ampli-
tude K3) avant que le compteur 751 atteigne cinq, le signal de sortie de la porte OU 793 est appliqué au multivibrateur
monostable 760. Le signal de sortie du multivibrateur monos-
table 760 restaure la bascule 740 et le compteur 751 par l'intermédiaire des portes OU 790 et 792. Ainsi, le signal
SELECTION demeure à l'état I"0" et le multiplexeur 780 accep-
te sur son entrée B des données qui proviennent du réseau de bascules/compteur 750. Le signal TRAMEFIN est donc égal au signal 4TRAME pour lequel le signal de niveau d'énergie LVn est tombé au-dessous de K3, ce qui correspond à la
trame à laquelle le signal F3 est passé à l'état "1".
De façon similaire, si le signal d'indicateur F2 passe à l'état "1" (c'est-à-dire si le signal de niveau d'énergie LVn dépasse l'amplitude K2) avant que le compteur 751 atteigne cinq, le signal de sortie de la porte OU 790 provoque la restauration de la bascule 740 et du compteur
751. Ainsi, aucun signal "TRAMEFIN n'est généré.
Sous l'effet du signal SELECTION ou du signal d'in-
dicateur inversé F3' le signal de sortie de la porte OU 793 est appliqué au multivibrateur monostable 760. Le signal de
sortie du multivibrateur monostable 760 est appliqué à l'en-
trée de chargement du registre de sortie de fin 731, ce qui provoque le chargement dans le registre du signal 4TRAMEFIN
provenant du multiplexeur 780. Le signal de sortie du multi-
vibrateur monostable 760 est également appliqué à la porte
OU 792. La porte OU 792 émet ainsi le signal FAIT.
Le signal FAIT est généré dans le but de restaurer
les bascules 444, 641, 642, 643, 740 et 741, et les comp-
teurs 552, 650, et 751, en préparation d'une nouvelle impul-
sion de signaux d'énergie. En particulier, le signal FAIT agit sur le réseau de bascules/compteur 552 de la figure 5 de façon qu'il mémorise le signal /#TRAME qui est apparu au
moment auquel le signal LV est tombé au-dessous de l'ampli-
n tude K3, c'est-à-dire le signal /4TRAMEFIN qui correspond
à l'impulsion de signaux d'énergie précédente. Si les si-
gnaux de niveau d'énergie LV. suivants ne tombent pas au-
dessous de l'amplitude K1 avant de dépasser l'amplitude K2 le signal 4TRAMEDEBUT (provenant du réseau de bascules/ compteur 552) de la nouvelle impulsion de signaux d'énergie est égal au signal 9-TRAMEFIN de l'impulsion de signaux d'énergie précédente. Si au contraire l'un quelconque des
signaux d'énergie LV suivants tombe au-dessous de l'ampli-
tude K1 avant de dépasser l'amplitude K2, le signal =TRAME-
DEBUT de la nouvelle impulsion de signaux d'énergie est- fixé de façon à correspondre à la trame à laquelle l'amplitude K1
est dépassée par la suite. Ainsi, lorsque le signal F1 pro-
2496951.
venant du registre d'indicateur 330 passe à l'état haut,
le multivibrateur monostable 360 émet l'impulsion F1p. L'im-
pulsion F1p est transmise par la porte OU 792 de façon à
générer à nouveau le signal FAIT. Le signal FAIT est appli-
qué au réseau de bascules/compteur 552 qui mémorise le signal *TRAME pour lequel un signal de niveau d'énergie LVn
a dépassé l'amplitude K. Le signal /4TRAMEDEBUT qui corres-
pond à la nouvelle impulsion de signaux d'énergie est donc égal au signal ^TRAME qui est mémorisé dans le réseau de
bascules/compteur 552.
Le dispositif représenté sur les figures 2 à 7 émet des signaux # TRAMEDEBUT et 04TRAMEFIN qui définissent une
impulsion de signaux d'énergie pour chaque séquence de si-
gnaux de niveau d'énergie LVn dans l'émission sonore d'en-
trée dans laquelle (1) l'un quelconque des signaux de niveau d'énergie constitutifs LVn dépasse le signal constant K4,
et (2) la séquence de signaux de niveau d'énergie a une du-
rée au moins égale à la durée minimale prédéterminée.
Une émission sonore d'entrée comprend de façon ca-
ractéristique un ensemble d'impulsions de signaux d'énergie.
On combine des impulsions de signaux d'énergie de façon à générer un ensemble de signaux candidats d'extrémités, de la manière décrite cidessous, en relation avec les figures 8 à 15. Les fonctions principales du circuit de commande de lissage 800 de la figure 8 sont les suivantes: (1) assurer l'enregistrement des signaux d'extrémités qui correspondent
aux impulsions de signaux d'énergie générées dans les cir-
cuits des figures 1 à 7; (2) superviser le fonctionnement séquentiel des circuits de commande d'étÉs des figures 10 à 14; (3) appliquer au circuit de traitement de lissage 900
de la figure 9 les signaux d'extrémités qui sont sélection-
nés dans les circuits de commande d'état des figures 10 à 14; et (4) transmettre des interruptions pour défaut
vers l'extérieur du détecteur d'extrémitésl50, c'est-à-
dire vers le dispositif d'utilisation 103.
En considérant la figure 8, on voit que la porte ET 820 du circuit de commande de lissage 800 est validée par le signal FAIT qui provient de la porte OU 792 de la
2496951.
figure 7 et par le signal OK qui provient de la bateóue 643
de la figure 6, pour chaque impulsion de signaux d'éergze.
Le signal de sortie de la porte ET 820 ierrmerte le co,ç-
teur d'adresse 850 et valide l'entrée d'écriture W de la mémoire vive 830. La mémoire vive 830 peut etre cori-tilute par exemple par des composants de mémoire du type 323' de la firme Fairchild et du type 2115 de la firme Intel. La sortie de données D du compteur d'adresse 850 est vaiidée par le signal RST qui provient du multivibrateur monostable 260. Comme on l'a indiqué en relation avec le signal 1602 de la figure 16, le signal RST demeure à l'état "1" jusqiu'à
un instant postérieur à la fin de l'intervalle d'enregistre-
ment. Le compteur d'adresse 850 émet vers le bus de donr.ées bidirectionnel 801 le signal ADRESSE qui est, par exemple,
un signal codé en binaire à 4 bits.
L'entrée d'adresse A de la mémoire vive 830 reçoit le signal ADRESSE qui provient du bus de données 801. La porte ET 820 valide également l'entrée d'écriture W de la
mémoire vive 830. Les signaux TRAMEDEBUT provenant du ré-
seau de bascules/compteur 552,!4TRAMEFIN provenant du re-
gistre 731, et PLUSGRAND provenant de la bascule 444, sont ainsi chargés dans la position de mémoire de la mémoire
vive 830 qui est spécifiée par le signal ADRESSE qui pro-
vient du compteur d'adresse 850. Chaque impulsion de signaux
d'énergie successive incrémente de façon similaire le comp-
teur d'adresse 850 par l'intermédiaire du signal de sortie de la porte ET 820. Ainsi, les signaux /TRAMEDEBUT et 4TRAMEFIN,c'est-à-dire les extrémités,pour chaque impulsion de signaux d'énergie dans une émission sonore d'entrée, sont enregistrés dans des positions de mémoire successives
dans la mémoire vive 830.
Si le compteur d'adresse 850 est incrémenté, jus-
qu'à, par exemple, quinze ou plus, sa sortie de dépassement
de capacité O génère le signal de défaut ERREURZ#IMPULSIONS.
Le signal ERREUR4IMPULSIONS indique au dispositif d'utili-
sation 103 que l'émission sonore d'entrée est invalide du fait de la présence d'un trop grand nombre d'impulsions de
signaux d'énergie.
A la fin de l'émission sonore d'entrée, l'élément 201 de la figure 2 arrête les impulsions d'horloge C,ce qui fait que le multivibrateur monostable 260 émet un signal de restauration RST à l'état "1" (à l'instant T1 du signal 2204 sur la figure 22). Le signal RST est utilisé, de façon géné-
rale, pour mettre en action les circuits des figures 8 à 15.
En particulier, le signal de restauration RST est
appliqué de façon à valider l'horloge maîtresse 802. L'hor-
loge maîtresse 802 assure le fonctionnement synchrone des circuits des figures 8 à 15. (Les impulsions d'horloge C
provenant de l'élément 201 sont appliquées pour faire fonc-
tionner les circuits des figures 3 à 7.) L'horloge maîtresse 802 émet des impulsions d'horloge MC2, par exemple à 1 MHz,
(signal 2201), et des impulsions d'horloge inversées MC2.
Le signal de restauration RST est également appli-
qué à la borne d'horloge du registre de fin 831. Le regis-
tre de fin 831 mémorise donc la valeur courante du signal ADRESSE provenant du compteur d'adresse 850 au niveau du front montant du signal RST (à l'instant T du signal 2204 i sur la figure 22). Le signal ADRESSE courant est égal à un,
plus le signal ADRESSE correspondant à la dernière impul-
sion de signaux d'énergie dans l'émission sonore d'entrée.
Du fait que le signal RST demeure haut sur la borne d'hor-
loge C du registre 831 pendant le fonctionnement des cir-
cuits représentés sur les figures 8 à 15, l'entrée de don-
nées D du registre 831 ne réagit pas aux signaux ADRESSE suivants.
Le signal de restauration RST est en outre trans-
mis par le multivibrateur monostable 860 et la porte OU 893
de façon à valider le compteur réversible 851 pour enregis-
- trer la valeur courante du signal ADRESSE. Le compteur ré-
versible 851 peut être par exemple un circuit du type
74S169 de la firme Texas Instruments.
Après les opérations de validation précédentes,qui se produisent lorsque le signal RST passe à l'état haut, le circuit de commande de lissage 800 est prêt à déclencher
les fonctions qui sont accomplies dans le circuit de trai-
tement de lissage 900 et dans les circuits de commande
d'état des figures 10 à 14.
2496951 i Les circuits qui sont représentés sur les figures 8 à 14 ont pour but de générer un ensemble de signaux candidats d'extrémités, à partir des impulsions de signaux d'énergie qui sont formées dans les circuits des figures 1 à 7. Les signaux candidats d'extrémités sont constitués par des com- binaisons particulières des impulsions de signaux d'énergie, comme il est décrit ci-après On forme le premier signal candidat d'extrémités en combinant avec la plus grande impulsion de signaux d'énergie des impulsions de signaux d'énergie qui sont mutuellement séparées par moins d'un nombre prédéterminé de trames. Ces impulsions de signaux d'énergie combinées comprenant la plus grande impulsion de signaux d'énergie, constituent ce que
l'on appelle l'impulsion de signaux d'énergie lissée. Les si-
gnaux d'extrémités de l'impulsion de signaux d'énergie lissée correspondent à la trame de début de la première impulsion de signaux d'énergie constitutive de l'impulsion de signaux
d'énergie lissée, et à la trame de fin de la dernière impul-
sion de signaux d'énergie constitutive de l'impulsion de si-
gnaux d'énergie lissée.
On forme le second signal candidat d'extrémités en enlevant la première ou la dernière impulsion de signaux d'énergie constitutive de l'impulsion de signaux d'énergie lissée. On enlève l'impulsion de signaux d'énergie qui a la plus courte durée. Si les première et dernière impulsions
de signaux d'énergie ont une durée égale, on enlève la pre-
mière impulsion. Le reste de l'impulsion de signaux d'éner-
gie lissée constitue ce que l'on appelle l'impulsion de si-
gnaux d'énergie tronquée. Les extrémités de l'impulsion de signaux d'énergie tronquée définissent le second signal
candidat d'extrémités.
On forme le troisième signal candidat d'extrémités en combinant l'impulsion de signaux d'énergie lissée avec l'impulsion de signaux d'énergie immédiatement suivante,si cette impulsion de signaux d'énergie suivante commence au bout d'une durée ne dépassant pas un nombre prédéterminé de trames à partir de la fin de l'impulsion de signaux
d'énergie lissée. La trame initiale de l'impulsion de si-
gnaux d'énergie lissée et la trame finale de l'impulsion de signaux d'énergie suivante définissent ainsi les signaux
d'extrémités qui forment le troisième signal candidat d'ex-
trémités. On forme le quatrième signal candidat d'extrémités en combinant l'impulsion de signaux d'énergie lissée avec l'impulsion de signaux d'énergie immédiatement précédente,
si cette impulsion de signaux d'énergie précédente se ter-
mine moins d'un nombre de trames fixé avant le début de l'impulsion de signaux d'énergie lissée. La trame initiale de l'impulsion de signaux d'énergie précédente et la trame
finale de l'impulsion de signaux d'énergie lissée définis-
sent ainsi les signaux d'extrémités qui forment le Quatrième
signal candidat d'extrémités..
Il y a dix-huit états qui correspondent aux dix-huit
circuits logiques des figures 10 à 14. Chaque état repré-
sente une fonction logique particulière qui doit être accom-
plie séquentiellement dans le circuit de traitement de lis-
sage 900, dans le but de combiner les impulsions de signaux
d'énergie pour former les signaux candidats d'extrémités.
Le tableau I présente un résumé de référence des
* fonctions accomplies dans chaque étatde zéro à dix-sept.
Les états sont décrits en détail à la suite du tableau I.
2496951.
TABLEAU I
RESUME DES FONCTIONS DES ETATS
S(O) Détermine le signal ADRESSE pour la plus grande im-
pulsion de signaux d'énergie, charge ce signal dans le registre de plus grande adresse 836, et mémorise les signaux TRAMEDEBUT4N et TRAMEFIN/4N dans les
registres 931 et 932.
S(1) Détermine le signal ADRESSE pour la dernière des im-
pulsions de signaux d'énergie qui sont séparées les
unes des autres par une durée inférieure à la va-
leur constante NSEP et qui suivent la plus grande impulsion de signaux d'énergie, enregistre ce signal ADRESSE dans le registre 832, enregistre la longueur de cette dernière impulsion de signaux d'énergie dans le registre 933, et enregistre dans le registre 932 le signal TRAMEFIN/4N correspondant,provenant de
la mémoire vive 830.
S(2) Charge le signal ADRESSE pour la plus grande impul-
sion de signaux d'énergie dans le compteur réversible
851.
S(3) Détermine le signal ADRESSE pour la première des impulsions de signaux d'énergie qui sont séparées les unes des autres par une durée inférieure à la valeur constante NSEP et qui précèdent la plus grande impulsion de signaux d'énergie, enregistre ce signal ADRESSE dans le registre 833, enregistre la longueur de cette première impulsion de signaux d'énergie dans le registre 930, et enregistre le signal TRAMEDEBUT/4N correspondant, provenant de la mémoire vive 830, dans le registre 931. Charte le signal SORTIEDEBUT provenant du registre 931 et lesignal SORTIEFIN-provenant du registre 932, dans la
position de candidat numéro 1 de la mémoire de can-
didats 1500, et ces signaux correspon-
dent aux extrémités de l'impulsion d'énergie lissée.
2496951,
S(4) Compare les longueurs de la dernière impulsion de signaux d'énergie provenant de l'état 1 et de la première impulsion de signaux d'énergie provenant de l'état 3, dans le comparateur 910. Enregistre dans le compteur réversible 851 le signal ADRESSE de l'impulsion de signaux d'énergie ayant la plus
courte durée.
S(5) Change le signal ADRESSE dans le compteur réver-
sible 851 pour le faire correspondre au signal
ADRESSE de l'impulsion de signaux d'énergie appar-
tenant à l'impulsion de signaux d'énergie lissée qui est adjacente à la plus courte impulsion de
signaux d'énergie provenant de l'état quatre.
S(6) Charge les signaux d'extrémités de l'impulsion de signaux d'énergie qui constituent l'impulsion de signaux d'énergie lissée, moins la plus courte impulsion de signaux d'énergie, dans la position de candidat d'extrémités numéro 2 de la mémoire
de candidats 1500.
S(7) Charge dans la mémoire vive 830 et le compteur ré-
versible 851 le signal ADRESSE de l'impulsion de
signaux d'énergie qui a été enlevéedans l'état 4.
S(8) Charge dans les registres 931 et 932 les signaux d'extrémités de l'impulsion de signaux d'énergie
lissée.
S(9) Charge dans le compteur réversible 851 le signal ADRESSE pour la dernière impulsion de signaux
d'énergie qui fait partie de l'impulsion de si-
gnaux d'énergie lissée.
S(10) Incrémente le compteur réversible 851 pour faire
correspondre son contenu au signal ADRESSE rela-
tif à l'impulsion de signaux d'énergie qui suit l'impulsion de signaux d'énergie lissée (s'il
existe une impulsion suivante).
S(11) Si l'impulsion de signaux d'énergie suivante est comprise dans la plage correspondant à la valeur constante MAXTRAMES de l'impulsion de signaux
d'énergie lissée, enregistre à la troisième posi-
tion de candidat d'extrémités de la mémoire de
candidats 1500 les signaux SORTIEDEBUT et SORTIE-
FIN qui proviennent des registres 931 et 932 et
qui correspondent à la trame initiale de l'impul-
sion de signaux d'énergie lissée et à la trame
finale de l'impulsion de signaux d'énergie sui-
vante. S(12)- Charge dans le compteur réversible 851 le signal
ADRESSE relatif à la dernière impulsion de si-
gnaux d'énergie qui fait partie de l'impulsion de
signaux d'énergie lissée provenant du registre 832.
S(13) Charge dans le registre 932 le signal TRAMEFIN/N
de l'impulsion de signaux d'énergie lissée prove-
nant de la mémoire vive 830, de la manière déter-
minée par le signal ADRESSE qui provient de l'état 12. S(14) Charge dans le compteur réversible 851 le signal ADRESSE relatif à la première impulsion de signaux d'énergie qui fait partie de l'impulsion de signaux
d'énergie lissée.
S(15) Décrémente le compteur réversible 851 pour faire correspondre son contenu au signal ADRESSE relatif à l'impulsion de signaux d'énergie qui précède l'impulsion de signaux d'énergie lissée (s'il
existe une impulsion précédente).
S(16) Si l'impulsion de signaux d'énergie précédente est comprise dans la plage correspondant à la valeur constante MAXTRAMES de l'impulsion de signaux d'énergie lissée, enregistre dans la quatrième position de candidat d'extrémités de la mémoire de
candidats 1500 les signaux SORTIEDEBUT et SORTIE-
FIN qui proviennent des registres 931 et 932, ces
signaux correspondant à la trame initiale de l'im-
pulsion de signaux d'énergie précédente et à la trame finale de l'impulsion de signaux d'énergie lissée. S(17) Génère le signal TOUTFAITLpour indiquer que tous
les candidats d'extrémités ont été formés.
Pour passer au premier état, appelé état zéro, le compteur d'états 852 de la figure 8 émet un code à 4 bits, par exemple, vers le démultiplexeur 880. Le démultiplexeur 880 génère ainsi un signal logique "1", appelé signal d'état zéro S(O), à l'instant T1, dans le signal 2203 de la figure 22. Le compteur d'états 852 peut être par exemple un circuit
du type 74163 de la firme Texas Instruments. Le démultiple-
xeur 880 peut être constitué par exemple par une cascade
de circuits du type 74154 de la firme Texas Instruments.
En considérant la figure 10, on note que le signal d'état zéro S(O) est également appelé signal de validation de comptage en sens décroissant, CDE1. Le signal CDE1 est appliqué à la porte OU 895, sur la figure 8. Le signal de sortie de la porte OU 895 valide la porte ET 822 qui émet le signal de comptage en sens décroissant CTD sur le front montant de l'impulsion d'horloge inversée MC2. Le signal CTD a pour effet de décrémenter le signal ADRESSE qui est enregistré dans le compteur réversible 851. Ce signal ADRESSE décrémenté est appliqué par la mémoire tampon 834 et le bus de données 801 à l'entrée A de la mémoire vive 830. La mémoire vive 830 émet les signaux TRAME/#DEBUT, TRAME/#FIN et PLUSGRANDN qui correspondent à la position de mémoire spécifiée par le signal ADRESSE. Le signal
ADRESSE continue à être décrémenté par le compteur réver-
sible 851 jusqu'à ce que le signal PLUSGRANDN soit à l'état logique "1" (instant T2 dans le signal 2202 de la figure 22). Lorsque le signal PLUSGRANDN passe à l'état logique "1" à l'instant T2, la porte ET 1020 de la figure 10
est validée et elle émet le signal d'état suivant NS1.
En considérant la figure 9, on voit que le signal NS1 (instant T2 dans le signal 2205) est appliqué aux portes OU 991 et 992, ce qui valide les registres 931 et
932 pour l'enregistrement des signaux respectifs TRAME-
DEBUT/N et TRAMEFIN 4N qui proviennent de la mémoire vive 830. Les registres 931 et 932 contiennent ainsi les signaux d'extrémités qui correspondent à la plus grande impulsion de signaux d'énergie. Sur la figure 8, le signal NS1 est appliqué à l'entrée C du registre de plus grande adresse 836, qui enregistre ainsi le signal ADRESSE de la
plus grande impulsion de signaux d'énergie.
Le signal NS1 est également appliqué à la porte
OU 890, ce qui valide la porte ET 823 au moment de l'im-
pulsion d'horloge suivante MC2 provenant de l'horloge 802.
La porte ET 823 produit une impulsion qui incrémenté d'une unité le compteur d'états 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié et un signal d'état un S(1) (signal
2212) est obtenu à l'instant T3.
Sur la figure 10, le signal d'étattluS(i) est éga-
lement appelé signal de validation de comptage en sens croissant,CUE1. Le signal CUE1 est appliqué à la porte OU 894 sur la figure 8. Le signal de sortie de la porte
OU 894 valide la porte ET 821 qui émet à son tour un si-
gnal de comptage en sens croissant CTU sur le front mon-
tant de l'impulsion d'horloge inversée MC2. Le signal CTU a pour effet d'incrémenter le signal ADRESSE présent dans le compteur réversible 851. Le signal ADRESSE incrémenté est ensuite appliqué par la mémoire tampon 834 et le bus de données 801 à l'entrée A delamémoire vive 830. Du. fait que le signal ADRESSE antérieur spécifiait la position
de mémoire contenant les signaux d'extrémité qui corres-
pondent à la plus grande impulsion de signaux d'énergie, le signal ADRESSE courant spécifie la position de mémoire qui contient les signaux d'extrémités de l'impulsion de
signaux d'énergie suivante. La mémoire vive 830 émet ain-
si les signaux d'extrémités TRAMEDEBUT/4N et TRAMEFINyWN
de l'impulsion de signaux d'énergie suivante.
Le signal d'état un S(1) valide également la por-
te ET 1021 qui émet le signal TSR2L1 (à l'instant T4 dans le signal 2213 de la figure 22) sur le front montant du signal d'horloge inversé MC2 qui apparaît ensuite. Le signal TSR2L1 est appliqué à la porte OU 992 qui introduit dans le registre 932 le signal TRAMEFIN =N courant et extrait du registre 932 le signal TRAMEFIN=N antérieur. Le signal
TRAMEFINJ4N antérieur provenant du registre 932 est appli-
qué à l'entrée de diminuteur du soustracteur 902. L'entrée de diminuende du soustracteur 902 reçoit le signal
TRAMEDEBUT/N courant qui provient de la mémoire vive 830.
Le soustracteur 902 peut être constitué par exemple par
un circuit Texas Instruments du type 74S381/74S182.
Le signal d'état un S(1) valide en outre la por-
te OU 1090, ce qui provoque l'émission du signal TEST/4 par la mémoire tampon 1030. Le signal TEST/= est égal au
signal constant NSEP. Le signal NSEP peut être par exem-
ple égal à six. Le signal NSEP peut être appliqué à l'en-
trée de données D de la mémoire tampon 1030 au moyen d'un commutateur binaire et d'une source de tension constante
1080, d'une manière bien connue.
Le signal TEST/# est appliqué sur l'entrée B du comparateur 912 et le signal de différence qui provient de la sortie Q du soustracteur 902 est appliqué à l'entrée A du comparateur. Si la différence entre le signal TRAMEFIN=N antérieur (qui correspond à la trame finale de la plus grande impulsion de signaux d'énergie) et le signal TRAMEDEBUT/4N courant (trame initiale de l'impulsion de signaux d'énergie suivante) est inférieure ou égale au signal constant NSEP = 6 trames, le signal de la sortie A > B du comparateur 912, c'est-à-dire le signal GT2 (signal 2214) est à l'état logique "0". Si le signal GT2 est à l'état logique "0", la plus grande impulsion de signaux d'énergie et l'impulsion de signaux d'énergie immédiatement
suivante sont combinées ensemble pour former une seule im-
pulsion de signaux d'énergie lissée. Les extrémités de l'im-
pulsion de signaux d'énergie lissée correspondent au signal TRAMEDEBUT=N antérieur et au signal TRAMEFIN/=N courant,
c'est-à-dire à la trame initiale de la plus grande impul-
sion de signaux d'énergie et à la trame finale de l'impul-
sion suivante. Lorsqu'apparaît le signal d'horloge inversé
suivant MC2, le compteur réversible 851 incrémente le si-
gnal ADRESSE qui correspond à l'impulsion de signaux
d'énergie immédiatement suivante, et le processus de com-
paraison est répété. Les impulsions de signaux d'énergie suivantes seront ainsi combinées pour donner l'impulsion d'énergie lissée, jusqu'à ce que le signal GT2 (signal 2214) provenant du comparateur 912, soit à l'état logique
"1" à l'instant T5, c'est-à-dire jusqu'à ce qu'une impul-
sion de signaux d'énergie soit séparée de l'impulsion de
signaux d'énergie précédente par un nombre de trames supé-
rieur à celui qui correspond au signal constant NSEP.
Lorsque le signal GT2 passe à l'état logique "11" à l'instant T5 sur la figure 22, la porte ET 1022 émet le signal LD2R1. Le signal LD2Ri est appliqué à la porte OU 891. La porte OU 891 émet le signal LD2R sous l'effet duquel le registre 933 enregistre le signal de sortie du soustracteur 903. Le signal de sortie du soustracteur 903 est la différence entre chacun des-signaux TRAMEDEBUT/N et TRAMEFIN/4N provenant de la mémoire vive 830. Le signal de sortie du soustracteur 903 représente donc la longueur de la dernière impulsion de signaux d'énergie qui a été
combinée dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée.
Le signal LD2Ri est également appliqué par la porte OU 891 à l'entrée C du registre 832 qui enregistre le signal ADRESSE correspondant à la dernière impulsion de signaux d'énergie contenue dans l'impulsion de signaux d'énergie
lissée.
La porte ET 1022 émet également le signal NS2. Le signal NS2 est transmis par la porte OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le compteur d'états 852 lorsqu' apparaît le signal d'horloge MC2 suivant. Le compteur
d'états 852 fait ainsi émettre au démultiplexeur 880 le si-
gnal d'état deux S(2) (signal 2222 sur la figure 22) à
l'instant T6.
Sur la figure 10, le signal S(2) est également appe-
lé signal LGL. Le signal LGL est appliqué à la porte ET 827 sur la figure 8 (à l'instant T6 du signal 2223 sur la figure 22). La porte ET 827 est validée par le signal de restauration RST et par le signal de sortie de la porte NON-OU 896. Du fait que les signaux EBEGINR et ELASTR, provenant des portes OU 1390 et 1391, et le signal RST, provenant du multivibrateur monostable 260, sont à l'état logique "1" à l'instant T6 sur la figure 22, le signal de
sortie de la porte NON-OU 896 est à l'état logique "1".
La porte ET 827 émet le signal LGL1. Le signal LGL1 valide la mémoire tampon 835 de façon à appliquer au bus de données 801 le signal ADRESSE qui correspond à la plus grande impulsion de signaux d'énergie. Le signal LGL1 est également appliqué à la porte NON-OU 897, ce qui
invalide la porte ET 826 et la sortie de la mémoire tam-
pon 834.
Le signal S(2) est en outre appliqué à la porte
ET 825 qui est validée au moment du signal d'horloge inver-
sé MC2 suivant. Le signal de sortie de la porte ET 825 est appliqué par la porte OU 893 de façon à charger dans le compteur réversible 851 le signal ADRESSE qui provient du bus de données 801, c'est-à-dire l'adresse qui correspond
à la plus grande impulsion de signaux d'énergie.
Le signal S(2) est également appelé signal NS3, sur la figure 10. Le signal NS3 est transmis par la porte
OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le comp-
teur d'états 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié et on obtient un signal d'état trois S(3) (signal
2232) à l'instant T7.
En considérant la figure 11, on note que le signal S(3) est également appelé signal CDE3. Le signal CDE3 est
appliqué à la porte OU 895 qui provoque l'émission du si-
gnal CTD par la porte ET 822, sur le front montant du si-
gnal d'horloge inversé MC2. Le signal CTD décrémente le si-
gnal ADRESSE contenu dans le compteur réversible 851. Le compteur réversible 851 émet ainsi le signal ADRESSE qui correspond à l'impulsion de signaux d'énergie qui précède la plus grande impulsion de signaux d'énergie. Ce signal ADRESSE est appliqué à la mémoire tampon 834 et au bus de données 801. Sous l'effet du signal ADRESSE, la mémoire vive 830 émet les signaux d'extrémités correspondants
TRAMEDEBUT/N et TRAMEFIN4N.
Le signal S(3) est également appliqué à la porte
ET 1120 qui est validée au moment du signal d'horloge inver-
sé MC2 qui apparait ensuite. La porte ET 1120 émet le signal TSR1Ll (à l'instant T8 du signal 2233 sur la figure 22). Le signal TSR1L1 est appliqué à la porte OU 991 de la figure 9, et, sous l'action de cette porte, l'entrée D du registre 931 accepte le signal TRAMEDEBUT/N courant. Simultanément,
la sortie Q du registre 931 applique à l'entrée de dimi-
nuende du soustracteur 901 le signal TRAMEDEBUTi4N, c'est-à-
dire le signal qui correspond à la trame initiale de la plus grande impulsion de signaux d'énergie. L'entrée de diminuteur du soustracteur 901 reçoit le signal TRAMEFIN4N courant, c'est-à-dire le signal qui correspond à la trame finale de l'impulsion de signaux d'énergie qui précède la plus grande impulsion de signaux d'énergie. Le signal de sortie du soustracteur 901 représente donc la distance, en trames, entre le début de la plus grande impulsion de signaux d'énergie et la fin de l'impulsion de signaux d'énergie qui précède la plus grande impulsion de signaux d'énergie. Le signal de sortie du soustracteur 901 est appliqué à l'entrée A du comparateur 911. Le signal TEST* est appliqué à l'entrée B du comparateur 911 à partir de la mémoire tampon 1030 (le signal TEST* étant égal au signal constant NSEP). La mémoire tampon 1030 est validée
par le signal S(3) par l'intermédiaire de la porte OU 1090.
Si A est inférieur à B dans le comparateur 911, c'est-à-dire si la distance entre la plus grande impulsion de signaux d'énergie et l'impulsion de signaux d'énergie précédente est inférieure au signal constant NSEP=6 trames, le signal de la sortie A > B du comparateur, c'est-à-dire le signal GT1, est à l'état logique "0". Ainsi, l'impulsion
de signaux d'énergie précédente est combinée avec l'impul-
sion de signaux d'énergie lissée qui a été générée précé-
demment dans l'état un. Le signal d'horloge inversé MC2
suivant décrémente le signal ADRESSE dans le compteur ré-
versible 851 pour le faire correspondre à l'impulsion de
signaux d'énergie immédiatement précédente, et le proces-
sus de comparaison est répété. Les impulsions de signaux d'énergie précédentes seront ainsi combinées pour former l'impulsion de signaux d'énergie lissée jusqu'à ce que le signal GT1 provenant du comparateur 911 passe à l'état logique "1" (à l'instant T9 du signal 2235 sur la figure 22), c'est-à-dire jusqu'à ce qu'une impulsion de signaux
d'énergie soit séparée d'une impulsion de signaux d'éner-
gie suivante par une distance supérieure à celle définie
par le signal constant NSEP=6 trames.
Avant l'instant T9, sur la figure 22, le signal
GT1 est à l'état logique "0" et un signal inversé GT1 pro-
venant de l'inverseur 871 est à l'état logique "1". Le signal inversé GT1 est appliqué à la porte ET 1121 qui est validée au moment du signal d'horloge inversé MC2. La porte ET 1121 émet ainsi le signal LD1R (à l'instant T8 du signal 2234 de la figure 22). Le signal LD1R provoque l'enregistrement du signal de sortie du soustracteur 903 dans le registre 930. Le signal de sortie du soustracteur 903 est la différence entre les signaux TRAMEDEBUT/4N et TRAMEFIN*4N qui correspondent à la première impulsion de
signaux d'énergie qui fait partie de l'impulsion de si-
gnaux d'énergie lissée. Le registre 930 contient ainsi la longueur de la première impulsion de signaux d'énergie
dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée.
Le signal LDlR est également appliqué de façon
à valider le registre 833 pour la réception du signal d'en-
trée provenant du bus de données 801. Le registre 833 enre-
gistre ainsi le signal ADRESSE qui correspond à la première impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion de signaux
d'énergie lissée. Lorsque le signal GT1 passe à l'état lo-
gique "1" ( à l'instant T9 du signal 2235 sur la figure 22), la porte ET 1122 applique un signal à l'état logique "1" au multivibrateur monostable 1160, par l'intermédiaire de la
porte OU 1190, au niveau du front montant du signal d'hor-
loge inversé MC2. Le multivibrateur monostable 1160 émet ainsi
2-496951
le signal STROBEFIFO (à l'instant T10 du signal 2236). En se reportant à la figure 15, on voit que le signal STROBEFIFO valide la mémoire de candidats 1500, du type "premier entré-premier sorti", pour l'enregistrement des signaux SORTIEDEBUT et SORTIEFIN dans la position de can- didat numéro un. La mémoire de candidats 1500 peut être par exemple une mémoire de la firme Monolithic Memories
Corporation, type MM67401.
Le signal SORTIEDEBUT est le signal de sortie du
registre 931, qui est égal au signal TRAMEDEBUTAÉN qui cor-
respond à la première trame dans l'impulsion de signaux
d'énergie lissée. Le signal SORTIEFIN est le signal de sor-
tie du registre 932 et il est égal au signal TR-AMEFIN/4N qui correspond à la dernière trame dans l'impulsion de signaux d'énergie vissée. Les signaux SORTIEDEBUT et SORTIEFIN correspondent ainsi aux extrémités de l'impulsion de signaux d'énergie lissée. Les extrémités de l'impulsion
de signaux d'énergie lissée sont les candidats d'extrémi-
tés supérieurs, c'est-à-dire qu'on considère qu'ils ont
le plus de chances de permettre une reconnaissance correc-
te de l'émission sonore d'entrée dans un dispositif de
reconnaissance de parole tel que le dispositif d'utilisa-
tion 103.
Le signal GT1 est également appelé signal NS4 sur la figure 11. Le signal NS4 est transmis par la porte OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le compteur 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié et un signal d'état quatre S(4) (signal 2302 sur la figure 23)
est obtenu à l'instant T1.
Sur la figure 9, le signal de sortie du registre
930 est appliqué à l'entrée A du comparateur 910. Le regis-
tre 930 contient la longueur, exprimée en trames, de la première impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée. Le signal de sortie du registre
933 est appliqué à l'entrée B du comparateur 910. Le regis-
tre 933 contient la longueur, en trames, de la dernière impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion de signaux
d'énergie lissée.
37. Si la longueur de la première impulsion de signaux
d'énergie est supérieure à la longueur de la dernière im-
pulsion de signaux d'énergie, le signal de la sortie A > B du comparateur 910 est à l'état logique "1" (condition 1 à l'instant T2 du signal 2303 sur la figure 23), ce qui fait apparaître le signal ELASTR1 (condition 1 du signal 2304) en sortie de la porte ET 1123. En considérant la figure 13, on voit que le signal ELASTR1 est appliqué à la porte OU
1390, pour générer le signal ELASTR. Le signal ELASTR vali-
de le registre 832 de façon à appliquer au bus de données
801 le signal ADRESSE qui correspond à la dernière impul-
sion de signaux d'énergie dans l'impulsion de signaux
d'énergie lissée.
Sur la figure 11, le signal S(4) fait émettre le signal de sortie LUDC1 par la porte ET 1125 (signal 2306 sur la figure 23), à l'instant T3, au moment du signal d'horloge inversé MC2. Le signal LUDC1 est transmis par
la porte OU 893 de façon à charger dans le compteur réver-
sible 851 le signal ADRESSE provenant du bus de données 801, c'est-à-dire l'adresse qui correspond à la dernière impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion de signaux
d'énergie lissée.
Si au contraire la longueur de la dernière impul-
sion de signaux d'énergie est supérieure ou égale à la lon-
gueur de la première impulsion de signaux d'énergie, le signal inversé A> B qui provient de l'inverseur 970 est à l'état logique "1", ce qui fait apparaître le signal EBEGINR1 (condition 2 du signal 2305 à l'instant T2). Le signal EBEGINRI est appliqué à la porte OU 1391 pour générer le signal EBEGINR. Le signal EBEGINR valide le registre 833 de façon à appliquer au bus de données 801 le signal ADRESSE qui correspond à la première impulsion de signaux d'énergie
dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée.
Le signal S(4) fait émettre le signal LUDC1 par la porte ET 1125 à l'instant T3 (signal 2306 sur la figure 23), au moment de l'impulsion d'horloge inversée MC2. Le signal LUDC1 est transmis par la porte-OU 893 pour charger
dans le compteur réversible 851 le signal ADRESSE qui pro-
vient du bus de données 801, c'est-à-dire l'adresse qui correspond à la première impulsion de signaux d'énergie
dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée.
Le signal S(4) est également appelé signal NS5 sur la figure 11. Le signal NS5 est transmis par la porte
OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le comp-
teur 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié et un signal d'état cinq S(5) (signal 2312) est obtenu
à l'instant T4.
En se reportant à la figure 12, on voit que le signal S(5) est appliqué aux portes ET 1220 et 1221. Un
signal BADCUT à l'état logique "1", provenant de l'inver-
seur 870, comme on l'envisagera ci-après, est également appliqué aux portes ET 1220 et 1221. Si le signal A > B (condition 1 du signal 2303 à l'instant T2) provenant du comparateur 910 est à l'état logique "1", la porte ET 1220 émet le signal CDE5. Le signal CDE5 (condition 1 du signal 2315 à l'instant T4 sur la figure 23) est transmis par la porte OU 895 et la porte ET 822 pour décrémenter
le signal ADRESSE dans le compteur réversible 851. Le si-
gnal ADRESSE décrémenté présent dans le compteur réversi-
ble 851 correspond donc à l'adresse de l'impulsion de si-
gnaux d'énergie qui précède la dernière impulsion de si-
gnaux d'énergie dans l'impulsion de signaux d'énergie
lissée.
Si au contraire le signal A > B provenant de l'in-
verseur 970 est à l'état logique "1", la porte ET 1221 émet le signal CUE5. Le signal CUE5 (condition 2 du signal 2316 à l'instant T4 sur la figure 23) est transmis par la porte OU 894 et la porte ET 821 de façon à incrémenter le signal ADRESSE qui se trouve dans le compteur réversible 851. Le signal ADRESSE présent dans le compteur réversible 851 correspond ainsi à l'adresse de l'impulsion de signaux
d'énergie qui suit la première impulsion de signaux d'éner-
gie dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée.
Les signaux BADCUT et BADCUTH ont pour fonction d'empêcher tout traitement ultérieur d'une émission sonore d'entrée qui ne contient qu'une seule impulsion de signaux 3!9
d'énergie (et qui ne comporte donc qu'un seul jeu d'extré-
mités). Dans le but d'exposer le fonctionnement de l'in-
vention, on suppose que l'émission sonore d'entrée contient
au moins cinq impulsions de signaux d'énergie, parmi les-
* quelles deux précèdent la plus grande impulsion de signaux
d'énergie et deux la suivent.
Le signal inversé BADCUT est le signal de sortie
de l'inverseur 870 sur la figure 8. L'entrée de l'inver-
seur 870 est connectée à la sortie A=B du comparateur 810.
Le signal ADRESSE qui correspond à la plus grande impul-
sion de signaux d'énergie est appliqué par le registre 836 à l'entrée A du comparateur 810. Le signal ADRESSE provenant du bus de données 801 est appliqué à l'entrée B du comparateur. Ainsi, si l'adresse présente sur le bus de données était la même que l'adresse correspondant à la
plus grande impulsion de signaux d'énergie, le signal in-
versé BADCUT serait à l'état logique "0". Les portes ET 1220 et 1221 seraient de ce fait invalidées et le signal
ADRESSE présent dans le compteur réversible 851 ne change-
rait pas. De plus, l'entrée D de la bascule 1240 serait à l'état logique "0". Ainsi, lorsque S(5) passerait à l'état
logique "0" (à l'instant T5 dans le signal 2312 de la fi-
gure 23), le signal de sortie de l'inverseur 1270 mémori-
serait dans la bascule 1240 le signal BADCUTH à l'état
logique "0".
Cependant, dans les conditions d'entrée supposées, l'adresse présente sur le bus de données n'est pas égale à
l'adresse qui correspond à la plus grande impulsion de si-
gnaux d'énergie et le signal inversé BADCUT est à l'état logique "1". Les portes ET 1220 et 1221 sont donc validées,
et la bascule 1240 mémorise le signal BADCUTH à l'état logi-
que "1" (à l'instant T5 dans le signal 2314 de la figure 23).
Le signal S(5) est également appelé signal NS6 sur la figure 12. Le signal NS6 est transmis par Sa porte OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le compteur 852. L'état du démultiplexeur 880 est donc modifié et un signal d'état six S(6) (signal 2322) est obtenu à l'instant T5. Surla figure 12, le signal S(6) est appliqué aux
portes ET 1222 et 1223. Le signal inversé BADCUTH est appli-
qué de même aux portes ET 1222 et 1223, ainsi qu'à la por-
te ET 1224. -
Si le signal A >B provenant du comparateur 910 est à l'état logique "1", la porte ET 1222 émet un signal à l'état logique "1", TSR2L2. Le signal TSR2L2 (condition
1 à l'instant T5 du signal 2323 sur la figure 23) est appli-
qué à la porte OU 992 qui fait en sorte que le registre 932 émette le signal SORTIEFIN. Le signal SOJRTIEFIN. est égal au signal TRAMEFINJ4N qui correspond à l'impulsion de signaux d'énergie qui précède la dernière impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée. Le registre 931 émet le signal SORTIEDEBUT qui est égal au signal TRAMEDEBUTHN qui correspond à l'impulsion de signaux d'énergie lissée. Les signaux SORTIEDEBUT et
SORTIEFIN correspondent donc aux extrémités d'une impul-
sion de signaux d'énergie tronquée, c'est-à-dire une impul-
sion de signaux d'énergie qui est constituée par l'impul-
sion de signaux d'énergie lissée dans laquelle on a enlevé
la dernière impulsion de signaux d'énergie.
Si au contraire le signal inversé A)>B qui pro-
vient de l'inverseur 970 est à l'état logique "1", la
porte ET 1223 émet le signal TSR1L2. Le signal TSR1L2 (con-
dition 2 à l'instant T5 du signal 2324 sur la figure 23) est appliqué à la porte OU 991, ce qui applique un signal d'horloge au registre 931 de façon qu'il émette le signal SORTIEDEBUT. Le signal SORTIEDEBUT est égal au signal
TRAMEDEBUT/4N qui correspond à l'impulsion de signaux d'éner-
gie qui suit la première impulsion de signaux d'énergie à l'intérieur de l'impulsion de signaux d'énergie lissée. Le
registre 932 émet le signal SORTIEFIN qui correspond à l'ex-
trémité finale de l'impulsion de signaux d'énergie lissée.
Les signaux SORTIEDEBUT et SORTIEFIN sont donc les extrémi-
tés d'une impulsion de signaux d'énergie tronquée qui est constituée par l'impulsion de signaux d'énergie lissée dans
laquelle on a enlevé la première impulsion de signaux d'éner-
gie.
2496951.
Lorsque le signal S(6) passe à l'état logique
"0" (à l'instant T6 du signal 2322 sur la figure 23), l'in-
verseur 1271 émet un signal à l'état logique "1" qui valide la porte ET 1224. Le signal de sortie de la porte ET 1224 est appliqué au multivibrateur monostable 1260 qui produit
le signal SFIF06. Le signal SFIF06 (signal 2325) est appli-
qué à la mémoire de candidats 1500 de la figure 15 à l'ins-
tant T6, par l'intermédiaire de la porte OU 1190 et du mul-
tivibrateur monostable 1160. La mémoire de candidats 1500 de la figure 15 reçoit donc les signaux SORTIEDEBUT et SORTIEFIN qui sont générés dans l'état six. Les signaux SORTIEDEBUT et SORTIEFIN sont enregistrés dans la position
de candidat numéro deux de la mémoire de candidats 1500.
Le signal S(6) est également appelé signal NS7 sur la figure 12. Le signal NS7 est transmis par la porte
OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le comp-
teur 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié et un signal d'état sept S(7) (signal 2403 sur la figure
24) issu du comparateur 910 est obtenu à l'instant T1.
Sur la figure 13, le signal S(7) est appliqué aux portes ET 1320, 1321 et 1322. Si le signal A> B (condition i du signal 2402 sur la figure 14) provenant du comparateur
910 est à l'état logique "1", la porte ET 1320 émet le si-
gnal ELASTR2 à l'état logique "1". Le signal ELASTR2 (condi-
tion 1 à l'instant T1 du signal 2404) est transmis par la porte OU 1390 de façon à émettre sur le bus de données 801 le contenu du registre 832. Le registre 832 contient le signal ADRESSE qui correspond à la dernière impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion lissée, c'est-à-dire l'impulsion de signaux d'énergie qui a été enlevée dans
l'état six.
Si au contraire le signal inversé A > B est à l'état logique "1", la porte ET 1324 émet le signal
EBEGINR2 à l'état logique "1". Le signal EBEGINR2 (condi-
tion 2 à l'instant T1 du signal 2405 sur la figure 24) est appliqué au registre 833 par la porte OU 1391. Le registre
833 émet le signal ADRESSE qui correspond à la première im-
pulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée. Cette première impulsion de signaux d'énergie est l'impulsion de signaux d'énergie qui a été
enlevée dans l'état six.
La porte ET 1322 est validée sur le front montant du signal d'horloge inversé MC2 suivant, de façon à émettre le signal de sortie LUDC2 (à l'instant T2 du signal 2406
sur la figure 24). Le signal LUDC2 est transmis par la por-
te OU 893 de façon à charger dans le compteur réversible 851 le signal ADRESSE courant provenant du bus de données
801, c'est-à-dire le signal ADRESSE qui correspond à l'im-
pulsion qui a été enlevée dans l'état six.
Le signal S(7) est également appelé signal NS8 sur la figure 13. Le signal NS8 est transmis par la porte
OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le comp-
teur 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié et un signal d'état huit S(8) (signal 2412 sur la figure
24) est obtenu à l'état T3.
Sur la figure 13, le signal S(8) est appliqué aux portes ET 1323 et 1324. Si la longueur de la première impulsion de signaux d'énergie est supérieure à la longueur
de la dernière impulsion de signaux d'énergie dans l'impul-
sion de signaux d'énergie lissée, le signal A > B (condition
1 du signal 2402 sur la figure 24) qui provient du compara-
teur 910 est à l'état logique "1". La porte ET 1323 émet donc le signal TSR2L3 lorsqu'elle est validée par le signal d'horloge inversé MC2 suivant. Le signal TSR2L3 (condition 1 à l'instant T4 du signal 2413 sur la figure 24) est
appliqué à la porte OU 992 qui fait en sorte que le regis-
tre 932 enregistre le signal TRAMEFIN/4N courant qui provient de la mémoire vive 830. La mémoire vive 830 émet le signal TRAMEFIN/4N à partir de la position de mémoire qui est spécifiée par le signal ADRESSE sur le bus de données 801. Le registre 932 est ainsi chargé avec le signal TRAMEFIN*4N qui correspond à la dernière impulsion de signaux
d'énergie dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée.
Si au contraire la longueur de la dernière impul-
sion de signaux d'énergie est supérieure ou égale à la lon-
gueur de la première impulsion de signaux d'énergie dans l'im-
pulsion de signaux d'énergie lissée, le signal inversé A >B qui provient de l'inverseur 970 est à l'état logique
"1" (et le signal A > B est à l'état logique "0"). La por-
te ET 1324 émet donc le signal TSR1L3 (condition 2 à l'ins-
tant T4 du signal 2414 sur la figure 24) lorsqu'elle est validée par le signal d'horloge inversé MC2 suivant. Le signal TSR1L3 est appliqué à la porte OU 991 qui fait en sorte que le registre 931 enregistre le signal TRAMEDEBUT/4N courant qui provient de la mémoire vive 830. La mémoire
vive 830 émet le signal TRAMEDEBUT4N à partir de la posi-
tion de mémoire qui est spécifiée par le signal ADRESSE qui se trouve sur le bus de données 801. Le registre 931
est donc chargé avec le signal TRAMEDEBUT,4N qui corres-
pond à la première impulsion de signaux d'énergie dans l'im-
pulsion de signaux d'énergie lissée.
Le signal S(8) est également appelé signal NS9 sur la figure 13. Le signal NS9 est transmis par la porte
OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le comp-
teur 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié et un signal d'état neuf S(9) (signal 2422 sur la figure
24) est obtenu à l'instant T5.
Sur la figure 13, le signal S(9) est également appelé ELASTR3. Le signal ELASTR3 est transmis par la porte OU 1390 de façon à émettre sur le bus de données 801 le signal ADRESSE qui est enregistré dans le registre 832. Le signal ADRESSE courant est donc l'adresse qui correspond à
la dernière impulsion de signaux d'énergie dans l'impul-
sion de signaux d'énergie lissée.
Le signal S(9) est également appliqué à la porte ET 1325. La porte ET 1325 émet le signal LUDC3 au moment du signal d'horloge inversé. MC2 suivant. Le signal LUDC3 (à l'instant T6 du signal 2423 sur la figure 24) est transmis par la porte OU 893 de façon à charger dans le compteur réversible 851 le signal ADRESSE courant qui provient du
bus de données 801, c'est-à-dire le signal ADRESSE qui cor-
respond à la dernière impulsion de signaux d'énergie dans
l'impulsion de signaux d'énergie lissée.
Le signal S(9) est également appelé signal NS10 sur la figure 13. Le signal NSO10 est transmis par la porte OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le compteur 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié et un
signal d'état dix S(10) est obtenu.
Sur la figure 13, le signal S(10) est également appelé CUE10. Le signal CUE10 est transmis par la porte OU 894 et la porte ET 821 de façon à incrémenter le signal ADRESSE dans le compteur réversible 851. Le signal ADRESSE
courant correspond ainsi à l'impulsion de signaux d'éner-
gie qui suit l'impulsion de signaux d'énergie lissée.
Le signal S(10) est également appelé NSll sur la figure 13. Le signal NS11 est transmis par la porte
OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le comp-
teur 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié et un signal d'état onze S(11) (signal 2502 sur la figure
) est obtenu à l'instant T1.
Sur la figure 13, le signal S(11) est appliqué aux portes ET 1326 et 1327 et à la porte OU 1392. La porte OU 1392 fait en sorte que la mémoire tampon 1330 émette
le signal TST4. Le signal TEST#= est égal au signal cons-
tant MAXTRAMES. Le signal MAXTRAMES peut par exemple cor-
respondre à 10 trames. Le signal MAXTRAMES peut être appli-
qué à la mémoire tampon 1330 au moyen d'un commutateur bi-
naire et d'une source de tension constante 1380, d'une
manière bien connue.
Le signal TEST# est appliqué à l'entrée B du comparateur 912. Le soustracteur 902 applique à l'entrée A du comparateur 912 la différence entre le signal
TRAMEDEBUTi=N courant et le signal TRAMEFINH=N antérieur.
Ainsi, si la distance entre la fin de l'impulsion de si-
gnaux d'énergie lissée (le signal TRAMEFIN/=N antérieur) et le début de l'impulsion de signaux d'énergie suivante (le signal TRAMEDEBUTt=N courant) est inférieure ou égale au nombre de trames qui correspond au signal MAXTRAMES, le signal GT2 ( à l'instant T2 du signal 2503 sur la figure 5)
qui provient du comparateur 912 est à l'état logique "1".
Le signal GT2 valide la porte ET 1326 qui positionne la bas-
cule 1340. Un signal à l'état logique "1" provenant de la sor-
tie Q de la bascule 1340 est appliqué à la porte ET 1327.
La porte ET 1327 est validée lorsque le signal inversé EPFAULT (signal 1256) qui provient de l'inverseur 872 est à l'état logique "1". Le signal de sortie B> A du comparateur 811 est appliqué à l'inverseur 872. L'entrée
A du comparateur 811 est connectée au bus de données 801.
L'entrée B du comparateur 811 est connectée à la sortie du registre de fin 831. Le registre de fin 831 enregistreuun"
plus le signal ADRESSE qui correspond à la dernière impul-
sion de signaux d'énergie dans l'émission sonore d'entrée.
Par conséquent, si le signal ADRESSE courant qui provient du bus de données 801 est inférieur ou égal au signal ADRESSE qui correspond à la dernière impulsion de signaux
d'énergie, le signal EPFAULT est à l'état logique "1".
Dans le cas d'une émission sonore d'entrée dans laquelle aucune impulsion de signaux d'énergie ne suivrait l'impulsion de signaux d'énergie lissée, le signal EPFAULT serait à l'état logique "0". Le fonctionnement des circuits de la figure 13, correspondant à l'état 11, serait
donc interdit et ces circuits ne formeraient aucun candi-
dat d'extrémités. Cependant, pour les besoins de la descrip-
tion qui suit, on suppose que l'émission sonore d'entrée
est une émission dans laquelle il existe au moins une impul-
sion de signaux d'énergie à la suite de l'impulsion de si-
gnaux d'énergie lissée. Le signal EPFAULT est donc à l'état logique "1" et les circuits de l'état 11 fonctionnent de
façon à générer les troisièmes signaux de candidat d'ex-
trémités. La porte-ET 1327 émet les signaux LD2R2 et TSR2L3. Le signal LD2R2 (à l'instant T2 du signal 2504 sur la figure 25) est appliqué par la porte OU 891 à l'entrée C du registre 832 qui enregistre le signal ADRESSE courant qui provient du bus de données 801. Le signal TSR2L3 est
transmis par la porte OU 992 de façon à extraire du regis-
tre 932 le signal TRAMEFINHN antérieur. Les signaux de sor-
tie des registres 931 et 932, c'est-à-dire les signaux SORTIEDEBUT et SORTIEFIN, sont appliqués à la mémoire de candidats 1500. Le front descendant du signal de sortie de la porte ET 1327 agit sur le multivibrateur monostable 1360 de façon qu'il génère le signal SFIFO11 (à l'instant T3 du signal 2505). Le signal SFIFO11 est transmis par la porte OU 1190 et le multivibrateur monostable 1160 de façon à valider la mémoire de candidats 1500 pour qu'elle
accepte les signaux SORTIEDEBUT et SORTIEFIN à la troisiè-
me position de candidat d'extrémités.
Si au contraire la distance entre l'extrémité de l'impulsion de signaux d'énergie lissée et le début de l'impulsion de signaux d'énergie suivante est supérieure au
signal constant MAXTRAMES, le signal GT2 est à l'état logi-
que "0", et aucun candidat d'extrémités n'est généré dans
l'état onze.
Le signal S(11) est également appelé signal NS12 sur la figure 13. Le signal NS12 est transmis par la porte
OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le comp-
teur 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié
et un signal d'état douze S(12) (signal 2512 sur la figu-
re 25) est obtenu à l'instant T3. En se reportant à la
figure 14, on note que le signal S(12) est également appe-
lé ELASTR4. Le signal ELASTR4 est appliqué au registre 832 par la porte OU 1390. Le registre 832 est ainsi validé de
façon à émettre le signal ADRESSE qui correspond à la der-
nière impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée. Ce signal ADRESSE est appliqué
au bus de données 801.
Le signal S(12) est également appliqué à la porte ET 1420. La porte ET 1420 émet le signal LUDC4 (à l'instant T4 du signal 2513 sur la figure 25) , sur le front montant
du signal d'horloge inversé 1C42. Le signal LUDC4 est trans-
mis par la porte OU 893 de façon à charger dans le compteur réversible 851 le signal ADRESSE courant qui provient du bus de données 801. Le compteur réversible 851 enregistre ainsi le signal ADRESSE qui correspond à la dernière impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée. Le signal S(12) est également appelé signal NS13 sur la figure 14. Le signal NS13 est transmis par la porte
OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le comp-
teur 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié et un signal d'état treize S(13) (signal 2522 de la figure
) est obtenu à l'instant T5.-
Sur la figure 14, le signal S(13) est également appelé signal TSR2L4 et signal NS14. Le signal TSR2L4 est
appliqué à l'entrée C du registre 932 par la porte OU 992.
Le registre 932 enregistre ainsi le signal TRAMEFIN*4N courant qui provient de la mémoire vive 830. La mémoire
vive 830 émet le signal TRAMEFIN4N à partir de la posi-
tion de mémoire qui est spécifiée par le signal ADRESSE qui provient du bus de données 801. Ce signal TRAMEFIN/4N correspond à la trame finale de l'impulsion de signaux
d'énergie lissée. Le signal NS14 est transmis par la por-
te OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le
compteur 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modi-
fié et un signal d'état quatorze S(14) (signal 2532 sur
la figure 25) est obtenu à l'instant T6.
Sur la figure 14, le signal S(14) est également
appelé EBEGINR3. Le signal EBEGINR3 est appliqué à la por-
te OU 1391 qui émet le signal EBEGINR. Le signal EBEGINR
fait en sorte que le registre 833 applique au bus de don-
nées 801 le signal ADRESSE qui correspond à la première impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion de signaux
d'énergie lissée.
Le signal S(14) est en outre appliqué à la porte ET 1421 qui émet le signal LUDC5 (à l'instant T7 du signal 2533 sur la figure 25), sur le front montant du signal d'horloge inversé MC2. Le signal LUDC5 est transmis par la porte OU 893 de façon à charger dans le compteur réversible 851 le signal ADRESSE courant qui provient du bus de données 801, c'est-à-dire le signal ADRESSE qui correspond à la première impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion de
signaux d'énergie lissée.
Si la première impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion de signaux d'énergie lissée est également la première impulsion de signaux d'énergie dans l'émission sonore d'entrée, le signal BPFAULT est généré sur la sortie
de dépassement de capacité négatif CD du compteur réversi-
ble 851 de la figure 8. Le signal BPFAULTestappliquéaec le signal LUDC5 provenant de la porte ET 1421, de façon à valider la porte ET 1422. Le signal de sortie de la porte ET 1422 est appliqué de façon à positionner la bascule 1440, ce qui fait apparaître le signal BPFAULTL à l'état "1" sur la sortie Q de la bascule. Ainsi, si le signal ADRESSE qui correspond à la première impulsion de signaux d'énergie dans l'impulsion lissée correspond également à
la première impulsion de signaux d'énergie dans l'émis-
sion sonore d'entrée, les signaux BPFAULT et BPFAULTL sont à l'état logique "1". Les signaux BPFAULTL et S(15) sont appliqués à la porte ET 1423 sur la figure 14. Le signal
de sortie de la porte ET 1423 est appliqué au multivibra-
teur monostable 1460. Le signal de sortie du multivibrateur monostable 1460 est appliqué à la porte OU 1491 qui émet
le signal TOUTFAIT. Le signal TOUTFAIT est appliqué à l'en-
trée de positionnement de la bascule 1441 qui émet le si-
gnal TOUTFAITL et le signal inversé TOUTFAITL. Le fonction-
nement des circuits de la figure 14, correspondant à l'état 16, est donc interdit, et ces circuits ne forment pas de signaux candidats d'extrémités. Cependant, pour les besoins
de la description qui suit, on suppose que l'émission sonore
d'entrée est une émission sonore dans laquelle il existe au
moins une impulsion de signaux d'énergie qui précède l'im-
pulsion de signaux d'énergie lissée. Les signaux BPFAULT et BPFAULTL sont donc à l'état logique "0" et les circuits de
la figure 14, correspondant à l'état 16, génèrent les qua-
trièmes signaux candidats d'extrémités.
Le signal S(14) est également appelé signal NS15 sur la figure 14. Le signal NS15 est transmis par la porte
OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le comp-
teur 852. L'état du démultiplexeur 880 est ainsi modifié et un signal d'état quinze S(15) (signal 2542) est obtenu
à l'instant T8.
Du fait que le signal BPFAULTL est à l'état logi-
que "0", le signal inversé BPFAULTL qui provient de la bas-
cule 1444 est à l'état logique "1". Les signaux BPFAULTL et S(15) sont appliqués à la porte ET 1424 qui émet le signal
CDE15 ( à l'instant T8 du signal 2543 sur la figure 25).
Le signal CDE15 est transmis par la porte OU 895 et la por-
te ET 822 de façon à décrémenter le compteur réversible 851. Le compteur réversible 851 contient ainsi le signal ADRESSE qui correspond à l'impulsion de signaux d'énergie
qui précède l'impulsion de signaux d'énergie lissée.
Le signal S(15) sur la figure 14 est également appelé signal NS16. Le signal NS16 est transmis par la porte OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le
compteur 852. L'état du-démultiplexeur 880 est ainsi modi-
fié et un signal d'état seize S(16) (signal 2603 sur la
figure 26) est obtenu à l'instant T1.
Sur la figure 13, le signal S(16) est appliqué
à la porte OU 1392. La porte OU 1392 valide la mémoire tam-
pon 1330 de façon à émettre le signal TEST/# qui est égal au signal constant MAXTRAMES qui provient du générateur
1380. Le signal TEST*# est appliqué à l'entrée B du compa-
rateur 911. L'entrée A du comparateur 911 reçoit le signal de sortie du soustracteur 901. Le soustracteur 901 fournit
en sortie la différence entre le signal TRAMEDEBUT/4N anté-
rieur et le signal TRAMEFIN/4N courant, c'est-à-dire la
distance, exprimée en trames, entre le début de l'impul-
sion de signaux d'énergie lissée et la fin de l'impulsion de signaux d'énergie qui précède l'impulsion de signaux
d'énergie lissée. Si la différence qui provient du sous-
tracteur 901 est inférieure ou égale au signal TEST #, le signal GT1 qui provient du comparateur 911 est à l'état
logique "0" et le signal inversé GT1 qui provient de l'in-
verseur 971 est à l'état logique "1". On suppose pour cette explication que le signal inversé GT1 est à l'état logique
"1". L'impulsion de signaux d'énergie qui précède l'impul-
sion de signaux d'énergie lissée sera donc combinée avec l'impulsion de signaux d'énergie lissée pour former les
quatrièmes signaux candidats d'extrémités.
Sur la figure 14, les signaux GT1 et S(16) sont appliqués à la porte ET 1425. La porte ET 1425 émet le signal TSRiL4 au moment du signal d'horloge inversé MC2 suivant. Le signal TSRiL4 est appliqué au registre 931 par la porte
OU 991. Le registre 931 émet donc le signal SORTIEDEBUT.
Le signal SORTIEDEBUT est égal au signal TRAMEDEBUTH4N qui correspond à l'impulsion de signaux d'énergie qui précède l'impulsion de signaux d'énergie lissée.
Le front descendant du signal TSR1L4 est appli-
qué au multivibrateur monostable 1461 sur la figure 14. Le multivibrateur monostable 1461 émet le signal SFIF016 (à l'instant T2 du signal 2603 sur la figure 26). Le signal SFIF016 est appliqué à la porte OU 1190 de la figure 11,
qui provoque l'émission du signal STROBEFIFO par le mul-
tivibrateur monostable 1160. Le signal STROBEFIFO valide la mémoire vive 1500 de la figure 15 pour l'enregistrement
* des signaux SORTIEDEBUT et SORTIEFIN provenant des regis-
tres 931 et 932, dans la quatrième position de candidat d'extrémités. Le signal SFIF016 est également appliqué à la porte OU 1191 de la figure 14 qui émet le signal TOUTFAIT
(à l'instant T2 du signal 2605 sur la figure 26). Le si-
gnal TOUTFAIT est appliqué à l'entrée S de la bascule 1441. La bascule 1441 génère donc le signal TOUTFAITL sur la sortie Q et le signal inversé TOUTFAITL sur la sortie Q. Si au contraire la différence qui provient du soustracteur 901 (c'est-à-dire la distance en trames entre le début de l'impulsion de signaux d'énergie lissée et la
fin de l'impulsion de signaux d'énergie immédiatement pré-
cédente) est supérieure au signal TEST/4 qui provient de
la mémoire tampon 1330, le signal GT1 provenant de l'inver-
seur 971 est à l'état logique "0". La porte ET 1425 est
ainsi invalidée et les circuits de la figure 14, correspon-
dant à l'état 16, ne génèrent pas de signaux candidats d'extrémités. Le signal S(16) sur la figure 14 est également
appelé signal NS17. Le signal NS17 est transmis par la por-
te OU 890 et la porte ET 823 de façon à incrémenter le comp-
teur 852. L'état du multiplexeur 880 est donc modifié et un signal d'état dix-sept S(17) est obtenu (signal 2104
sur la figure 26) à l'instant T2.
Sur la figure 14, le signal S(17) est appliqué
à la porte OU 1491, qui génère le signal TOUTFAIT. Le si-
gnal TOUTFAIT positionne la bascule 1441 qui émet les si-
gnaux TOUTFAITL et TOUTFAITL.
Sur la figure 1, le dispositif d'utilisation 103 reçoit le signal TOUTFAITL à partir du circuit de commande d'états 1000, ce qui indique que les signaux candidats d'extrémités de premier rang, SORTIEDEBUTN et SORTIEFINN, sont disponibles dans la mémoire de candidats 1500. Pour prélever les signaux candidats d'extrémités successifs, le dispositif d'utilisation 103 émet le signal ECHANTCANDIDAT vers la mémoire de candidats 1500. Lorsque tous les signaux candidats d'extrémités ont été prélevés, la mémoire de candidats 1500 émet vers le dispositif
d'utilisation 103 le signal de commande FIFOVIDE.
On rappelle que le dispositif d'utilisation 103 reçoit également les signaux de commande ERREURDEBUT, ERREURFIN, CONTRPAROLE, à partir des bascules 441, 443 et
442 de la figure 4, et le signal ERREUR/#IMPULSIONS à par-
tir du compteur d'adresse 850 de la figure 8. Lorsque les signaux ERREURDEBUT, ERREURFIN ou ERREURJ4IMPULSIONS sont à l'état logique "1", ou lorsque le signal CONTRPAROLE est
à l'état logique "O", l'émission sonore d'entrée est consi-
dérée comme non valide et doit donc être répétée.
Les dix-huit états précédents génèrent de un à quatre signaux candidats d'extrémités. On notera cependant
qu'on peut établir des moyens supplémentaires, conformé-
ment à l'invention, pour générer des signaux candidats d'extrémités supplémentaires. On a trouvé que les trois
signaux candidats d'extrémités supérieurs procuraient avan-
tageusement une augmentation d'au moins 4 à 6% du taux
moyen de reconnaissance correct de l'émission sonore d'en-
trée, par rapport aux détecteurs d'extrémités antérieurs.
Un point plus important consiste en ce que les trois signaux candidats d'extrémités supérieurs réduisent de près de 30%
le taux moyen de rejet de l'émission sonore d'entrée.
L'invention a été décrite et représentée en consi-
dérant un mode de réalisation préféré, mais il va de soi que de nombreuses modifications peuvent être apportées sans sortir du cadre de l'invention. Par exemple, plusieurs milliers de dispositifs d'entrée 101, tels que des postes téléphoniques, peuvent être multiplexés sur un ensemble de circuits de pré-traitement 102. Les circuits de pré-traite- ment 102 peuvent être multiplexés de façon à attaquer un seul détecteur d'extrémités 150. Le signal de sortie du détecteur d'extrémités 150 peut être démultiplexé vers un ensemble de dispositifs d'utilisation 103 pour réaliser un
système à réponse vocale à ordinateur.
ANNEXE 1
PROGRAMME POUR LE CIRCUIT DE PRE-TRAITEMENT
DE SECOND NIVEAU
PROGRAMME: PRE-TRAITEMENT
ENTREES: E - TABLEAU D'AUTOCORRELATION D'ORDRE ZERO
CONTENANT L'ENERGIE
L - NOMBRE DE TRAMES DANS L'INTERVALLE D'EN-
REGISTREMENT
C SORTIES:
LV- TABLEAU DE NOMBRES ENTIERS CONTENANT
L'ENERGIE LOGARITHMIQUE
C
DIMENSION E(L),LV(L)
DIMENSION NLV(10)
CHARGEMENT DES DONNEESREAD(DEVICE=O)(E(N),N=1, L)
CONVERSION
DES AUTOCORRELATIONS D'ORDRE ZERO EN UN TA-
BLEAU A VALEURS ENTIERES DE NIVEAUX D'ENERGIE
LOGARITHMIQUE
LVMAX=-1000
LVMIN=1000
DO 30 N=1,L
LVL=lO.O*ALOG10(E(N))+0.5
LVMAX=MAX(LVL,LVMAX)
LVMIN=MIN(LVL,LVMIN)
LV(N)=LVL
CONTINUE
IMAX=LVMAX-LVMIN
NORMALISATION PAR LVMIN DU TABLEAU DE NIVEAUXTD'ENERGIES
LOGARITHMIQUES POUR ELIMINER TOUT DECALAGE
CONTINU
DO 40 N=1,L
LV(N)=LV(N)-LVMIN
CONTINUE
C C C C C C C C C C C C C C C C NORMALISATION DE MODE DU TABLEAU DE i--VEUX C HISTOGRAMMES LISSES A 3 POINTS POUR LiS!0 PLUS FAILES
0 NIVEAUX
C
DO 50 M=1,10
50 NLV(M)=O
DO 60 N=i,L
LVL=LV (N) +1
IF(LVL.GT.10) GO TO 60
TT 1I (T /T = N," tj - 'L) +1
60 CONTINUE
LVMAX=i I iAX-0
DO 70 M=2,9
NL=NLV (M-1) +N!-HLV (M) ±H,_V (I:)
IF(iHJL.LE.NMAX) GO TO 70 LVMiAX=M NMiAX=NL
CONTINUE
C C SOUSTRACTIONI DU MIODE ET FIXATION DU IUL;. li O C
DO 80 N=iJ, L-
LV (il) =iAX ( 0, LV (l) -LNMA+ ) C C ECRITURE DES DOiiNEES DANS LE CANAL DE SORTIE C
WRITE(DEVICE=!) (LV(1N),N=,1 T)
END

Claims (6)

REVENDICATIONS
1. Procédé de détermination des extrémités d'une émission de parole appliquée, comprenant la réception d'un signal d'entrée qui comporte une émission de parole, la génération de signaux numériques qui correspondent au si- gnal d'entrée, l'élaboration des signaux représentatifs du niveau d'énergie des signaux d'entrée, représentés par les
signaux numériques, et la détection doextrémités de l'émis-
sion de parole appliquée, sous la dépendance des signaux de niveau d'énergie, caractérisé en ce que la détection
des extrémités s'effectue en élaborant un ensemble d'impul-
sions de signaux d'énergie, à partir des signaux de niveau
d'énergie, chaque impulsion de signaux d'énergie correspon-
dant à une séquence des signaux de niveau d'énergie qui
dépasse un niveau fixé pendant au moins une durée prédé-
terminée; et en élaborant un ensemble de signaux candidats d'extrémités sous la dépendance des impulsions de signaux d'énergie, chacun des signaux candidats d'extrémités étant représentatif des points de début et de fin de l'émission
de parole appliquée.
2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé
en ce que l'élaboration des impulsions de signaux d'éner-
gie comprend les opérations suivantes: on génère des pre-
mier, second et troisième signaux de seuil, chacun d'eux correspondant à un niveau d'énergie de parole prédéterminé
et différent, le troisième seuil étant situé entre les pre-
mier et second seuils; on génère un jeu de premiers signaux
indicateurs, sous la dépendance des signaux de niveau d'éner-
gie et du premier signal de seuil, chacun de ces signaux d'indicateur étant représentatif du premier instant auquel
chacune des séquences de signaux de niveau d'énergie dépas-
se le premier seuil, et chacun des premiers signaux indica-
teurs définissant le début d'une impulsion de signaux d'éner-
gie; on modifie les premiers signaux d'indicateurs sous la dépendance des signaux de niveau d'énergie et du second
signal de seuil, chaque fois que l'une quelconque des sé-
quences de signaux de niveau d'énergie dépasse le second seuil plus d'une durée prédéterminée après avoir dépassé le premier seuil, chacun des premiers signauxdindicateurs modifiés redéfinissant le début d'une impulsion de signaux
d'énergie; on génère un jeu de seconds signaux d'indica-
teurs sous la dépendance des signaux de niveau d'énergie et du troisième signal de seuil, chacun d'eux étant repré- sentatif du premier instant auquel chacune des séquences
de signaux de niveau d'énergie descend au-dessous du troi-
sième seuil, chacun des seconds signaux indicateurs défi-
nissant la fin d'une impulsion de signaux d'énergie; et on modifie les seconds signauxdindicateurs chaque fois que l'une quelconque des séquences de signaux de niveau d'énergie descend au-dessous du troisième seuil plus d'une durée prédéterminée après être descendue au-dessous du second seuil, chacun des seconds signaux d'indicateurs
redéfinissant la fin d'une impulsion de signaux d'énergie.
3. Procédé selon l'une quelconque des revendica-
tions 1 ou 2, caractérisé en ce que l'opération consistant à élaborer des signaux candidats d'extrémités s'effectue en sélectionnant l'impulsion de signaux d'énergie qui comprend le signal de niveau d'énergie ayant l'amplitude
la plus élevée, sous la dépendance des impulsions de si-
gnaux d'énergie; et en combinant conformément à des cri-
tères prédéterminés l'impulsion de signaux d'énergie qui comprend le signal de niveau d'énergie ayant l'amplitude la plus élevée, avec d'autres impulsions de signaux d'énergie, le début et la fin de chacune des impulsions de signaux d'énergie combinées définissant les signaux
candidats d'extrémités.
4. Dispositif de détermination des extrémités d'une émission de parole appliquée, comprenant des moyens destinés à recevoir un signal d'entrée qui contient une émission de parole, des moyens qui réagissent au signal d'entrée en générant des signaux numériques correspondants,
des moyens qui réagissent aux signaux numériques en élabo-
rant des signaux qui sont représentatifs des niveaux d'éner-
gie des signaux d'entrée représentés par les signaux numé-
riques, et des moyens qui réagissent aux signaux de niveau d'énergie en détectant les extrémités de l'émission de parole
Z496951
appliquée, caractérisé en ce que les moyens de détection d'extrémités (150) comprennent des moyens (300, 500, 600, 700) qui réagissent aux signaux de niveau d'énergie en élaborant un ensemble d'impulsions de signaux d'énergie, chaque impulsion de signaux d'énergie correspondant à une séquence des signaux de niveau d'énergie qui dépasse un niveau fixé pendant au moins une durée prédéterminée; et des moyens (800, 900,-1000) qui réagissent aux impulsions de signaux d'énergie en élaborant un ensemble de signaux
candidats d'extrémités, chacun des signaux candidats d'ex-
trémités étant représentatif de points de début et de fin
probables de l'émission de parole appliquée.
5. Dispositif selon la revendication 4, carac-
térisé en ce que les moyens destinés à élaborer des impul-
sions de signaux d'énergie comprennent: des moyens desti-
nés à générer des premier, second, et troisième signaux de seuil, chacun d'eux correspondant à un niveau d'énergie de parole prédéterminé différent, et le troisième seuil étant compris entre les premier et second seuils; des moyens qui réagissent aux signaux de niveau d'énergie et au premier signal de seuil de façon à générer un jeu de
premiers signaux d'indicateurs, chacun d'eux étant repré-
sentatif du premier instant auquel chacune des séquences de signaux de niveau d'énergie dépasse le premier seuil, et chacun des premier signaux d'indicateurs définissant le début d'une impulsion de signaux d'énergie; des moyens qui réagissent aux signaux de niveau d'énergie et au second signal de seuil de façon à modifier les premiers signaux d'indicateurs à chaque instant auquel l'une quelconque des séquences de signaux de niveau d'énergie dépasse le second seuil plus d'une durée prédéterminée après avoir dépassé le premier seuil, chacun des premiers signaux d'indicateurs modifiés redéfinissant le début d'une impulsion de signaux d'énergie; des moyens qui réagissent aux signaux de niveau d'énergie et au troisième signal de seuil çn générant un jeu de seconds signaux d'indicateurs, chacun d'eux étant représentatif du premier instant auquel chacune des séquences de signaux de niveau d'énergie descend au-dessous du troisième
seuil, et chacun des seconds signaux d'indicateurs défi-
nissant la fin d'une impulsion de signaux d'énergie; et des moyens qui réagissent aux signaux de niveau d'énergie et au second signal de seuil en modifiant les seconds signaux d'indicateurs à chaque instant auquel l'une quel-
conque des séquences de signaux de niveau d'énergie des-
cend au-dessous du troisième seuil plus d'une durée pré-
déterminée après être descendue au-dessous du second seuil, chacun des seconds signaux d'indicateurs modifiés
redéfinissant la fin d'une impulsion de signaux d'énergie.
6. Dispositif selon l'une quelconque des reven-
dications 4 ou 5, caractérisé en ce que les moyens desti-
nés à élaborer des signaux candidats d'extrémités com-
prennent: des moyens qui réagissent aux impulsions de signaux d'énergie en sélectionnant l'impulsion de signaux d'énergie qui comprend le signal de niveau d'énergie ayant l'amplitude la plus élevée; et des moyens qui réagissent
aux impulsions de signaux d'énergie en combinant conformé-
ment à des critères prédéterminés l'impulsion de signaux d'énergie qui comprend le signal de niveau d'énergie ayant l'amplitude la plus élevée, avec d'autres impulsions de signaux d'énergie, le début et la fin de chacune des impulsions de signaux d'énergie combinées définissant les
signaux candidats d'extrémités.
FR8123605A 1980-12-19 1981-12-17 Procede et dispositif de determination des extremites d'une emission de parole Expired FR2496951B1 (fr)

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
US06/218,207 US4370521A (en) 1980-12-19 1980-12-19 Endpoint detector

Publications (2)

Publication Number Publication Date
FR2496951A1 true FR2496951A1 (fr) 1982-06-25
FR2496951B1 FR2496951B1 (fr) 1985-12-06

Family

ID=22814174

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
FR8123605A Expired FR2496951B1 (fr) 1980-12-19 1981-12-17 Procede et dispositif de determination des extremites d'une emission de parole

Country Status (6)

Country Link
US (1) US4370521A (fr)
JP (1) JPS57129500A (fr)
CA (1) CA1150413A (fr)
DE (1) DE3149134C2 (fr)
FR (1) FR2496951B1 (fr)
GB (1) GB2090453B (fr)

Families Citing this family (17)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
JPS57202599A (en) * 1981-06-05 1982-12-11 Matsushita Electric Ind Co Ltd Voice recognizer
JPS5852698A (ja) * 1981-09-24 1983-03-28 富士通株式会社 音声認識処理システム
JPS5979300A (ja) * 1982-10-28 1984-05-08 電子計算機基本技術研究組合 認識装置
US4821325A (en) * 1984-11-08 1989-04-11 American Telephone And Telegraph Company, At&T Bell Laboratories Endpoint detector
US4866777A (en) * 1984-11-09 1989-09-12 Alcatel Usa Corporation Apparatus for extracting features from a speech signal
US4977599A (en) * 1985-05-29 1990-12-11 International Business Machines Corporation Speech recognition employing a set of Markov models that includes Markov models representing transitions to and from silence
GB2194661B (en) * 1986-04-16 1989-12-06 Ricoh Kk Voice pattern matching method of a voice recognition unit
US4882755A (en) * 1986-08-21 1989-11-21 Oki Electric Industry Co., Ltd. Speech recognition system which avoids ambiguity when matching frequency spectra by employing an additional verbal feature
GB2272554A (en) * 1992-11-13 1994-05-18 Creative Tech Ltd Recognizing speech by using wavelet transform and transient response therefrom
GB2303471B (en) * 1995-07-19 2000-03-22 Olympus Optical Co Voice activated recording apparatus
DE19540859A1 (de) * 1995-11-03 1997-05-28 Thomson Brandt Gmbh Verfahren zur Entfernung unerwünschter Sprachkomponenten aus einem Tonsignalgemisch
US6321197B1 (en) * 1999-01-22 2001-11-20 Motorola, Inc. Communication device and method for endpointing speech utterances
US7437286B2 (en) * 2000-12-27 2008-10-14 Intel Corporation Voice barge-in in telephony speech recognition
US7353173B2 (en) * 2002-07-11 2008-04-01 Sony Corporation System and method for Mandarin Chinese speech recognition using an optimized phone set
US7353172B2 (en) * 2003-03-24 2008-04-01 Sony Corporation System and method for cantonese speech recognition using an optimized phone set
US7353174B2 (en) * 2003-03-31 2008-04-01 Sony Corporation System and method for effectively implementing a Mandarin Chinese speech recognition dictionary
US10134425B1 (en) * 2015-06-29 2018-11-20 Amazon Technologies, Inc. Direction-based speech endpointing

Citations (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US3909532A (en) * 1974-03-29 1975-09-30 Bell Telephone Labor Inc Apparatus and method for determining the beginning and the end of a speech utterance

Family Cites Families (5)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
IT1044353B (it) * 1975-07-03 1980-03-20 Telettra Lab Telefon Metodo e dispositivo per il rico noscimento della presenza e.o assenza di segnale utile parola parlato su linee foniche canali fonici
DE2536640C3 (de) * 1975-08-16 1979-10-11 Philips Patentverwaltung Gmbh, 2000 Hamburg Anordnung zur Erkennung von Geräuschen
US4028496A (en) * 1976-08-17 1977-06-07 Bell Telephone Laboratories, Incorporated Digital speech detector
FR2380612A1 (fr) * 1977-02-09 1978-09-08 Thomson Csf Dispositif de discrimination des signaux de parole et systeme d'alternat comportant un tel dispositif
US4277645A (en) * 1980-01-25 1981-07-07 Bell Telephone Laboratories, Incorporated Multiple variable threshold speech detector

Patent Citations (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US3909532A (en) * 1974-03-29 1975-09-30 Bell Telephone Labor Inc Apparatus and method for determining the beginning and the end of a speech utterance

Non-Patent Citations (3)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Title
IBM TECHNICAL DISCLOSURE BULLETIN, vol. 20, no. 5, octobre 1977, pages 2081-2084, New York, US; *
IEEE TRANS.ON ACOUSTICS,SPEECH,& SIGNAL PROCESSING, vol. ASSP-29, no. 4, aôut 1981, pages 777-785, New York, US; *
THE BELL SYSTEM TECHNICAL JOURNAL, vol. 54, no. 2, fevrier 1975, pages 297-315, New York, US; *

Also Published As

Publication number Publication date
JPS57129500A (en) 1982-08-11
CA1150413A (fr) 1983-07-19
GB2090453B (en) 1984-10-24
FR2496951B1 (fr) 1985-12-06
DE3149134A1 (de) 1982-07-29
DE3149134C2 (de) 1987-05-07
GB2090453A (en) 1982-07-07
US4370521A (en) 1983-01-25
JPH0341838B2 (fr) 1991-06-25

Similar Documents

Publication Publication Date Title
FR2496951A1 (fr) Procede et dispositif de determination des extremites d&#39;une emission de parole
FR2520912A1 (fr) Procede et appareil de reconnaissance de parole continue
FR2520911A1 (fr) Procede et appareil d&#39;analyse pour la reconnaissance de parole
FR2502822A1 (fr) Dispositif et procede de reconnaissance de la parole
EP0127718B1 (fr) Procédé de détection d&#39;activité dans un système de transmission de la voix
CA1085960A (fr) Systeme de reconnaissance de la parole
CN109346087B (zh) 对抗网络的瓶颈特征的噪声鲁棒的说话人确认方法和装置
EP0867856A1 (fr) &#34;Méthode et dispositif de detection d&#39;activité vocale&#34;
EP0018861B1 (fr) Procédé et dispositif de saisie sous forme numérique d&#39;une information vidéo représentative d&#39;un produit en feuille
CN110880328B (zh) 到站提醒方法、装置、终端及存储介质
FR2544933A1 (fr) Procede et dispositif de reglage du coefficient d&#39;amplification d&#39;un amplificateur
EP0234993B1 (fr) Procédé et dispositif de reconnaissance automatique de cibles à partir d&#39;échos &#34;Doppler&#34;
EP1267325A1 (fr) Procede pour detecter l&#39;activite vocale dans un signal, et codeur de signal vocal comportant un dispositif pour la mise en oeuvre de ce procede
US10522160B2 (en) Methods and apparatus to identify a source of speech captured at a wearable electronic device
CN112397093A (zh) 一种语音检测方法与装置
EP0685833B1 (fr) Procédé de codage de parole à prédiction linéaire
EP0043056B1 (fr) Procédé de détection de parole dans un signal de circuit téléphonique et détecteur de parole le mettant en oeuvre
SE470577B (sv) Förfarande och anordning för kodning och/eller avkodning av bakgrundsljud
FR2498845A1 (fr) Montage pour modifier automatiquement le reglage d&#39;appareils de reproduction sonore, notamment de recepteurs radiophoniques
USRE32172E (en) Endpoint detector
FR2494017A1 (fr) Procede de detection de la frequence de melodie dans un signal de parole et dispositif destine a la mise en oeuvre de ce procede
EP0013341A1 (fr) Système de compression dans le temps de signaux de la parole
EP0080688A1 (fr) Procédé et dispositif de détection sur une voie téléphonique de signaux de données ou de signalisation
FR2666407A1 (fr) Systeme de programmation de mines.
CN111312285B (zh) 一种开头爆音检测方法及装置

Legal Events

Date Code Title Description
ST Notification of lapse