CH94046A - Indicateur périodique de vitesse. - Google Patents

Indicateur périodique de vitesse.

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CH94046A
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    • G04HOROLOGY
    • G04BMECHANICALLY-DRIVEN CLOCKS OR WATCHES; MECHANICAL PARTS OF CLOCKS OR WATCHES IN GENERAL; TIME PIECES USING THE POSITION OF THE SUN, MOON OR STARS
    • G04B47/00Time-pieces combined with other articles which do not interfere with the running or the time-keeping of the time-piece
    • G04B47/06Time-pieces combined with other articles which do not interfere with the running or the time-keeping of the time-piece with attached measuring instruments, e.g. pedometer, barometer, thermometer or compass
    • G04B47/061Time-pieces combined with other articles which do not interfere with the running or the time-keeping of the time-piece with attached measuring instruments, e.g. pedometer, barometer, thermometer or compass calculating scales for indicating relationship between quantity and time

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Description


  Indicateur périodique de vitesse.    La présente invention a pour objet un in  dicateur périodique de vitesse, pouvant être  combiné avec un indicateur de temps et un  compteur et un totalisateur, lequel indicateur  de vitesse repose sur les considérations théo  riques d'ordre suivant:  L'aiguille indicatrice de vitesse occupe  périodiquement des positions     correspondant    à  des écarts angulaires proportionnels à la vi  tesse à mesurer suivant la formule:<I>e - v</I>     t'     dans laquelle     t1    représente des intervalles de  temps périodiques égaux.  



  Dans ce but, le mécanisme qui entraîne  l'aiguille est embrayé pendant des intervalles  de temps     t1    tous égaux entre eux, et débrayé  pendant d'autres périodes     t"    également égales  entre elles et égales à     t1,    les embrayages et les  débrayages se succédant les uns aux autres  alternativement, et ces périodes     t1    et     t2    pou  vant être très courtes, en pratique de 1 ou 2  secondes, par exemple.  



  L'indicateur périodique de vitesse com  porte essentiellement un mécanisme de com  mande à échappement analogue à     celui    des  montres, qui reçoit son impulsion du mobile    dont on veut mesurer la vitesse, et un méca  nisme d'entraînement de l'aiguille indicatrice  de vitesse.

   Cette aiguille est commandé par  l'intermédiaire d'un barillet .exécutant un  mouvement de rotation intermittent, et d'un  fouet commandé par le barillet et agissant  sur la roue d'échappement du mécanisme de  commande, ce qui a pour effet, d'actionner  d'une part, ce mécanisme et, d'autre part, de  régulariser le mouvement de rotation inter  mittent dudit barillet qui actionne deux dé  clics exécutant des mouvements périodiques  réguliers, dont l'un produit les embrayages  et     débrayages    périodiques de la commande de  l'aiguille indicatrice de vitesse, et dont l'au  tre est constitué par plusieurs cliquets qui  assurent successivement et alternativement  l'un, pendant la première phase du débrayage,  la retenue du mécanisme d'entraînement de  l'aiguille indicatrice, constamment sollicitée  à revenir à sa position de départ,

   et un autre,  pendant la deuxième phase du débrayage et  pendant l'embrayage     subséquent    la retenue  de l'aiguille également sollicitée à revenir en  arrière, pour venir buter contre un     organe    du      mécanisme d'entraînement de l'aiguille en  sorte que cette aiguille, si elle est poussée au  delà de sa position précédente,, est arrêtée dans  cette position, et si au contraire l'entraîne  ment s'arrête     en-deça    de la' position précé  dente, revient en arrière jusqu'à venir buter  contre un organe du mécanisme d'entraîne  ment, immobilisé pendant le temps voulu.  



  Cet indicateur de vitesse peut être com  biné avec un indicateur de temps, analogue  à celui d'une montre, et qui consiste à super  poser sur le cadran une petite et une grande  aiguille, entraînée par le mobile dont on veut  mesurer la vitesse, au moyen (le rouages con  venables, et soumises à l'action régulatrice  de l'échappement dudit mécanisme de com  mande.  



  L'indicateur de vitesse ainsi établi peut  comporter, en outre, un dispositif de remise  à zéro de l'indicateur de temps, c'est-à-dire  des aiguilles des heures et des minutes qui  peuvent se déplacer sur le même     caran        qu-3     l'aiguille indicatrice de vitesse.  



  Deux formes d'exécution de l'indicateur  de vitesse objet de l'invention sont représen  tées, à, titre d'exemple, au dessin annexé dans  lequel:  La     fig.    1 est une vue postérieure     d'una     première forme d'exécution de l'appareil;  Les     fig.        _2,    3 et 4 sont des vues analogues  dans lesquelles on a successivement enlevé:       fig.    2 une première platine,     fig.    3     des    sec  teurs de rappel, le mécanisme d'entraînement  de l'aiguille indicatrice de vitesse et le ba  rillet du mouvement d'horlogerie,     fig.    4 une  seconde platine;

    Les     fig.    5 et 6 sont des coupes transver  sales faites dans différents plans montrant  la     fig.    5 la commande du barillet du mouve  ment d'horlogerie, la:     fig.    6 la commande     ck     l'aiguille indicatrice de vitesse;  La     fig.    7 est un détail d'un dispositif de  remise à zéro d'un compteur journalier et  d'aiguilles horaires;  Les     fig.    8, 9 et 10 sont des détails du dis  positif de commande de tambours compteurs;  La     fig.    11 montre un détail du compteur  journalier;    Les     fig.    12 et 13 montrent à part des     cli-          quets    d'embrayage;

    La     fig.    14 représente un cadran devant  lequel se déplacent les     différentes    aiguilles;  La     fig.    15 est une vue de derrière de la  seconde forme d'exécution de l'appareil;  La     fig.    16 est une vue analogue, la pla  tine postérieure et les organes qu'elle supporte  étant     enlevés;     La     fig.    17 est une vue (le face de l'appa  reil, l'aiguille, le cadran, la platine anté  rieure et les organes qu'elle supporte étant  enlevés;  La     fig.    18 est une coupe transversale par  tielle suivant     X-X    de la     fig.    15;

    La     fig.    19 montre à part, en vue de face,  un dispositif assurant la stabilité de l'aiguille.  celle-ci étant supposée enlevée;  Les     fig.    20, 21 et 22 représentent     séparP-          ment    des     cliquets    de roues réglant les dépla  cements de l'aiguille indicatrice de vitesse;  La fi-. 23 montre le dispositif de liaison  entre ces roues;  La     fig.    24 est une vue de face du cadran;  Les     fig.    25, 26, 27 et 28 sont des vues       schématiques    indiquant les différentes phases  du fonctionnement du mécanisme d'entraîne  ment de l'aiguille indicatrice de vitesse;

    Sauf la     fig.    24, toutes ces figures sont  exécutées à échelle agrandie;  La     fig.    29 est une vue en élévation d'une  variante de détail :  La     fig.    30 en est un plan.  



  Le mouvement du mobile dont la vitesse  doit être mesurée est transmis à. l'indicateur,  avec ou sans démultiplication, par l'intermé  diaire d'un arbre 1. muni d'un pignon d'angle  2 engrenant avec une autre roue d'angle, 3,  comportant latéralement une denture droite  4 qui engrène avec une autre roue droite cen  trale, 5, calée sur un canon 6 entraînant,     d'au-          tre    part, une autre roue dentée 7     (fig.    3,  4, 5, 6.)  Cette roue 7 engrène, d'une part, avec une  roue dentée de diamètre plus petit 8, calée  sur un arbre 9 parallèle au canon 6 et qui com  mande un barillet 10 dont le mouvement in  termittent sera,     eipliqué    dans la suite.

        Ladite roue 7 engrène, d'autre part, avec:  une roue dentée 11 solidaire d'un pignon  d'angle 12 qui vient engrener avec un autre  pignon d'angle 13 calé sur un axe horizontal  14 qui vient actionner, ainsi qu'il sera expli  qué plus tard, deux compteurs journalier et  totalisateur     (fig.    4 et 5).  



  L'arbre 9 porte, ainsi qu'on l'a dit, un ba  rillet 10 qui est relié à     l'arbre    9 par un rac  cord spiral, dont une extrémité est solidaire  de l'axe et dont l'autre vient appuyer sur la  paroi circulaire intérieure du barillet consti  tuant un entraînement élastique par friction.  



  Contrairement à ce qui se     passe    dans les  montres où le ressort de barillet est attaché  d'une part, à l'arbre du barillet, et, d'autre  part, à l'extérieur du logement du barillet,  dans l'appareil représenté, le ressort est atta  ché uniquement à l'arbre de barillet et l'ex  trémité extérieure du ressort glisse dans  l'intérieur du barillet lorsque le ressort est       suffisamment    remonté. De ce fait, le nombre  (le tours dont tourne l'arbre 9 peut être supé  rieur à celui des tours du barillet 10.  



  Le barillet 10 porte extérieurement une  roue dentée 15 qui engrène avec un pignon  16 calé sur un axe 17 portant un fouet 18  venant agir sur les dents d'une roue en étoile  19 calée d'autre part, sur le petit axe 20 de  l'arbre d'une roue     d'échappement    d'un méca  nisme de commande, analogue à celle des mon  tres, et qui comporte à la manière ordinaire  une ancre et un balancier à spiral     (fig.    2,       $et5.)          Le    barillet 1.0 est surmonté d'une came  21     (fig.    1, 2 et 5), laquelle carne porte des  doigts 22 qui forment une sorte de lanterne.  



  Ces doigts, lors du mouvement     intermit.          tent    qui est communiqué au barillet, par  suite de l'échappement du fouet 18, produi  sant l'oscillation d'un levier coudé 23     (fig.    1),  rappelé par un ressort à lame 24; ce levier 23  est pivoté autour clé la vis qui le maintient.  



  Le levier coudé 23 est solidaire, à son ex  trémité opposée à, l'extrémité appuyant sur  les doigts 22, d'un axe 25 monté à pivot avec  un certain jeu dans la platine principale 26.    L'axe 25, du fait du déplacement du levier 28  autour de sa vis, produit un mouvement os  cillant qui tend à rapprocher et écarter la  roue 27 du pignon 103.  



  L'axe 25 porte une roue dentée légère, à  denture très fine, en acier, 27, et à sa partie  inférieure un pignon 28 qui vient engrener  avec la roue 8     (fig.    2, 4 et 6) qui communi  que audit axe 25 son mouvement de rotation.  



  Comme on le voit, ce petit axe 25, par  suite des déplacements dus aux oscillations  du levier 23, effectue des mouvements d'os  cillation périodiques, qui l'écartent et le rap  prochent dans le sens indiqué par la double  flèche     (fig.    6). Ces mouvements d'oscillation  ont pour effet de produire, dans un sens,  l'embrayage de la roue dentée 27 avec la lé  gère roue à denture fine en acier 103, portée  sur un axe 29 parallèle à l'axe 25, et dans  l'autre sens le débrayage de ladite roue 27  de cette roue 103.  



  L'axe 29 porte, en outre, un volant 30,       formant    frein à air, qui a pour but de ralen  tir le mouvement clé rotation, lors du retour  à zéro ainsi qu'on le verra plus loin.  



  En outre, l'axe 29 porte à: sa partie supé  rieure un pignon 31, qui engrène avec une  roue dentée 32, solidaire d'un pignon 33, qui  peut tourner folle sur l'axe central 34 ou axe  de l'aiguille     (fig.    1, 5, 6).  



  Cet axe central porte, en outre, calée sur  lui, une autre roue dentée 35, de même     dia-          inètre    que la roue 32 et est muni d'un pignon  36 taillé clans sa masse, clé sorte que la roue  35 et le pignon 36 sont solidaires l'un de  l'autre.  



  Entre les deux roues 32 et 35 -est disposé  un toc, ou pièce d'entraînement 37, fou sur       l'arbre    34 et qui est compris entre deux gou  jons d'entraînement 38, 39, respectivement  solidaires l'un de la roue 35, et l'autre de la  roue 32     (fig.    2 et 5).  



       Parallèlement    aux axes 29 et 25 est en  core disposé un arbre 41, sur lequel sont calés  un pignon 42 en prise avec la, roue 35 et une  roue dentée 43. Sur les roues 43 et 103 agis  sent     alternativement    deux     cliquets    44 et 45      rappelés par un ressort double 46. C'est dans  un but de sécurité que le cliquet 45 est au  contact du rochet 43 pendant la période d'em  brayage.  



  Ces cliquets 44 et 45 sont commandés par  l'intermédiaire d'une bascule 47, rappelée par  un ressort 104, d'un levier 48 et d'une gou  pille 49, au moyen de la came 21 solidaire  du barillet 10     (fig.    2).  



  La, construction des cliquets 44 et 45 est  nettement indiquée sur les figures de détail  12 et 13.  



  Ces deux cliquets rappelés par le ressort  double 46 sont montés fous par leurs trous  441. 451 sur l'axe     461    de la bascule 47 com  mandée par la came 21 solidaire du barillet  et rappelée par le ressort 104 agissant sur  l'ergot 471. Cette bascule entraîne dans ses  mouvements d'oscillation le levier 48 qui porte  la goupille 49, laquelle est engagée     dans    les  trous 44\, 45" des cliquets. On voit qu'ainsi  les deux cliquets sont déplacés et agissent al  ternativement sur les roues 43 et 103 pen  dant des temps inégaux, en raison de la forme  de la came, 45 sur 43 pendant une période  et demie     (2me    moitié du débrayage et em  brayage) 44 sur le 103 pendant une demie  période (ire moitié du     débrayage),    comme  expliqué ci-après.

    



  Le mouvement est transmis     à,    la roue 32  par le pignon 31, et celle-ci entraîne à, son  tour, par l'intermédiaire du toc d'entraîne  ment 37 et les goupilles 38 et 39, la roue den  tée 35, et, par conséquent, l'axe 34 et l'ai  guille 40.  



  En prise avec les pignons 33 et 36 sons.  disposés deux secteurs 50 et 51, rappelés par  des ressorts 52 et 53, pivotant sur un arbre  54, maintenu entre deux des platines de l'ap  pareil.  



  Dans son déplacement, le secteur 50 com  mande une coulisse 55 terminée par un  doigt 56 destiné à. servir de butée à un  colimaçon 57<B>calé</B> sur l'arbre 29, lors du re  tour à 0 de la roue de commande 32     du    toc  d'entraînement 37.  



  Au commencement de la période d'em  brayage, la coulisse 55 est entraînée par le    secteur 50, au moyen d'une goupille 58 pla  cée     excentriquement    par rapport à son axe  de pivotement 54, et se déplaçant dans une  rainure 59 pratiquée dans la platine posté  rieure concentriquement audit axe d'articu  lation.  



  Le déplacement de la coulisse 55 a pour  but d'éloigner le doigt 56 du colimaçon 57,  pour permettre le passage de ce dernier pen  dant la période d'embrayage.  



  La .coulisse 55 comporte vers le milieu  de sa longueur une glissière 551 dans laquelle  est engagée une vis 55\ qui la maintient sur  la platine postérieure tout en lui permettant  un mouvement combiné de rotation et de glis  sement longitudinal. A l'une de ses extrémi  tés, la coulisse comporte un doigt 56 servant  de butée au colimaçon 57, calé sur l'arbre 29,  quand la roue 32 arrive à zéro. Ce doigt 56  peut jouer     clans    une fenêtre 561 de la, platine.  Dans l'autre extrémité de la coulisse 55 est  engagée une goupille 58     (fig.    1 et 6) fixée  excentriquement sur le secteur 50 et pouvant  se déplacer dans une fenêtre 59 de la platine.  



  La. rotation du secteur dans un sens ou       dans    l'autre provoque donc l'effacement ou  le retour du doigt 56, soit pour laisser pas  ser ou pour arrêter le colimaçon. La goupille  58 sert encore de point d'appui au ressort de  rappel 52.  



  Le fonctionnement du mécanisme de l'ai  guille 40 indicatrice de vitesse qui vient d'être  décrit, comprend trois phases: une pendant la  période     e    d'embrayage, et deux pendant la       _période    t\ de débrayage. Ce fonctionnement  a lieu comme suit:  Au début (le la période     t1    d'embrayage,  la roue dentée 32 entraînée par le pignon 31,  se déplace en agissant par l'intermédiaire du  toc 37, si son déplacement angulaire est supé  rieur au précédent, sur la. roue 35 retenue à.  partir de la phase 3 de la     période    précédente,       par    le cliquet 45.  



  Pendant la, période     d'embrayage,    le cli  quet 45 est au contact du rochet 43.       Pendant    la seconde phase qui commence  l'instant du     débrayage,    le     cliquet    45 est       éloigné    du rochet 43 et le     cliquet        44    est           arncné    au contact du rochet 103, ce qui a pour       effet    de libérer la roue 35 et de retenir au  contraire     la,    roue 32.  



       Pendant    la troisième phase, qui commence  au milieu du     débrayage    et qui succède à la       seconde    phase pendant un temps égal à la  moitié du débrayage, un nouveau déplacement  des     cliquets,    contraire au précédent, s'opère,  et la roue 35 est retenue,     alprs    que la roue 32  est libérée.  



  Comme dans leur mouvement d'entraîne  ment de l'aiguille, les roues 32 et 35 ont en  traîné par l'intermédiaire des pignons 33 et  36 les secteurs 50 et 51 correspondants, rap  pelés par des ressorts, quand l'une de ces  roues est libérée, elle tend à revenir à 0.  



  La correction de l'indication donnée par  l'aiguille dans une période précédente, a     lieu     pendant la première phase. Si la vitesse a  augmenté, la roue 32 entraîne par l'intermé  diaire du toc 37 l'aiguille 40, au delà de la  position qu'elle occupait antérieurement.  



  Au contraire, si la vitesse a diminué, la  roue 32 s'étant déplacée     angulairement    d'une  quantité moindre que la     ,quantité    précédente,  et se trouvant retenue au commencement de  la seconde phase par le cliquet 44, alors que  la roue 35 sera libérée, permettra à cette der  nière un retour vers zéro, jusqu'à ce qu'elle  vienne     buter    par sa goupille 39 contre le toc  retenu d'autre part, par la goupille 38 de la  roue 32.  



  Le cadran 102 est divisé en 100 parties  égales représentant chacune une dizaine de  tours de l'arbre dont on veut mesurer la vi  tesse. Un déplacement de l'aiguille 40 égal à  un tour complet correspond donc à une vitesse  de 1000 tours à la minute; pourtant par son  dispositif d'entraînement l'aiguille est suscep  tible d'effectuer un déplacement supérieur  presque égal à deux tours de cadran, qui per  met de mesurer des vitesses atteignant près  de 2000 tours à la minute.  



  On peut naturellement en changeant les  rapports d'engrenages suivant l'usage auquel  l'appareil est destiné, avoir sur le cadran des  graduations différentes de celles indiquées.    Les     aiguilles    60 et 61 indiquant en heures  et minutes le temps de marche sont comman  dées par l'intermédiaire de l'arbre 82 et de la  roue dentée 62 pour les heures et de l'arbre  83 et de la roue 63 pour les minutes. Le mou  vement est transmis du barillet 10 .à la roue  63 au moyen d'un , entraînement à croix de  Malte 64 et d'un engrenage 65, 66 et 67  comme indiqué au dessin     (fig.    2 et 3). La  relation entre .la roue des minutes 63 et la  roue     de.s    heures 62 est obtenue par l'engrenage  démultiplicateur 68, 69 et 70.

   Les roues den  tées 69 et 70 sont solidaires d'un même-arbre  71 porté par un bras de levier 7-2 rappelé par  un ressort 73 susceptible de pivoter en 74  sous l'action d'un poussoir 75 agissant sur un  goujon 77. Le poussoir 75 est actionné de  l'extérieur au moyen d'un boulon moleté 76  monté à carré sur l'arbre du compteur jour  nalier et qui sert en outre à la remise à zéro       dudit    compteur. Le bras de levier 72 comporte  encore un prolongement ou     marteau    78 pou  vant agir par sa face 79 sur des     coeurs    80, 81  respectivement solidaires de la roue 62 calée  sur l'arbre 82, et de l'arbre 83     (fig.    3, 5 et 7).  



  Quand on veut ramener les aiguilles 60 et  61 à zéro, on     agit    sur le poussoir 76 dans le  sens de la flèche     (fig.    7). Ce mouvement     a,     d'abord pour effet d'éloigner les roues dentées  69 et 70 des roues dentées 68 et 62 et, par  suite, de supprimer toute relation entre la  roue des minutes et celle des heures. Le mar  teau 78 vient ensuite exercer une pression sur  les     caeurs    80, 81 qui prennent alors, quelle  que soit leur position, celle indiquée en traits  mixtes sur la     fig.    7,     correspondant    au zéro  des aiguilles.  



  La roue dentée 63 est montée folle sur son  arbre 83 et entraîne ce dernier par l'intermé  diaire d'un ressort de friction 84. Ce disposi  tif a été adopté pour permettre le retour à  zéro de     l'aiguille    des minutes sans qu'il soit  nécessaire d'opérer le débrayage entre les  roues dentées 63 et 67.  



  Les compteurs journalier et totalisateur  sont entraînés par l'arbre 14 au moyen de vis  sans fin 85 et de roues dentées hélicoïdales  96 calées respectivement sur les arbres 87 et      88 sur lesquels sont montés les     tambours     chiffrés<B>89</B>     (fig.    4).  



  Chaque tambour 89 est muni vers sa pé  riphérie de goupilles 90 disposées au nombre  (le 10 avec un écartement uniforme, et     montë     fou-     spr    son arbre 87 ou 88 auquel il est réuni  à l'aide     d'une    liaison élastique constituée par  un ressort de friction     91@    fixé sur l'un de ses  côtés. L'extrémité de ce ressort est engagée  clans une rainure circulaire pratiquée dans  l'arbre 87 ou 88 pour éviter le déplacement  latéral du tambour.  



  Du côté opposé au ressort, le tambour se       prolonge    par une came 92 de profil convena  ble agissant sur un bras 93 pivotant sur un  arbre extérieur 91 parallèle à l'arbre princi  pal. Ce bras 93 fixe ordinairement le     lairibour     des unités immédiatement supérieures au  moyen     d'une    saillie latérale 95 dont il est       muni    pénétrant sous ce tambour et consti  tuant une butée pour l'une de ses goupilles       (fig.    4, 8, 9 et 10).  



  Avec ce dispositif, quand l'un     quelconque     des tambours marque zéro, l'encoche 96 de la  came 92 vient (le quitter le levier 93 qui se  trouve soulevé. On     comprend    que, quand le  tambour aura accompli     une    rotation dans le  sens de la flèche a     (fig.    9)     .égale    à     '/,o    de tour,  le levier 93 tombera dans l'encoche 96 libé  rant la goupille du tambour des unités immé  diatement supérieures qui sera alors entraîné  au     moyen    du ressort 91 par l'arbre 87 on 88  d'une quantité égale à     '/1o    de tour,

   le levier  93 venant retenir la goupille suivante sous  l'action de la came 92 quand ce déplacement  est accompli.  



  Au lieu     d'employer    des goupilles pour la       re:enue    des tambours comme il vient d'être  indiqué, on pourrait obtenir un résultat ana  logue en opérant la retenue sur le tambour  lui-même convenablement. fraisé de     manière    à  constituer des butées ou arrêts jouant le même  rôle que les goupilles.  



  Dans l'exemple représenté, le     compteur-          totalisateur    destiné à totaliser les     indications     données par le compteur journalier n'enregis  tre que les dizaines marquées par ce compteur.    Il importe donc pour obtenir une indica  tion     exacle    (le     multiplier    par 10 le nombre  indiqué par ce     compteur    totalisateur.  



  Si comme dans l'appareil décrit, au lien       d'enregistrer    directement les tours accomplis  par l'arbre dont on veut mesurer la vitesse.  on     n'enret;islre    seulement que les centaines  de tours accomplis par cet arbre, il y aura  lieu de     multiplier    par<B>100</B> les indications du  compteur journalier et par 1000 celles du comp  teur totalisateur.  



  A cet effet, le tambour des unités du  compteur journalier est entraîné directement  par son arbre 87 alors que celui du compteur  totalisateur n'est entraîné que d'un dixième  de tour à chaque rotation de l'arbre. Ce résul  tat est obtenu en     supprimant    pour le tambour  des unités du compteur ,Journalier le levier 93  et en     remplaçant    pour le tambour des unités  du compteur totalisateur la came 92, par une  came identique mais calée sur l'arbre 88.  



  Dans chaque compteur, le levier 93 du  tambour des unités les plus élevées a. seule  ment pour but de maintenir ce tambour dans  la     posit:.on    convenable lors du retour à zéro.  Ce levier qui n'est pas maintenu comme les  autres par le tambour voisin est maintenu au  contact de la came 92 par un ressort 97.  



  Le compteur journalier seul peut sans dé  montage de l'appareil être remis à zéro. Cette  remise à zéro s'opère en tournant dans le sens  de la flèche b     (fig.    9) le bouton moleté 76.  Les leviers 93 tombent alors successivement  dans leur encoche     respective,    où ils restent  bloqués contre la face 98 de cette dernière.  Quand tous les leviers sont dans cette posi  tion, il suffit de tourner légèrement le bou  ton moleté dans le sens contraire au précé  dent pour ramener exactement tous les zéros  sous leurs guichets respectifs 99 pratiqués  dans le cadran, les encoches correspondant  sensiblement au     No    9 des tambours.  



  La rotation de l'arbre 87 pour la remise  à zéro étant     empéeliée    par la transmission par  vis sans fin 85 et engrenage hélicoïdal 86, le  dispositif suivant a été adopté. Le pignon 86  est monté fou sur l'arbre 87 et porte un res  sort de friction 100 appuyant fortement sur      un disque 101 disposé à l'intérieur du tam  bour des unités et solidaire de l'arbre 87.       Dans    le sens du déplacement normal, l'arbre  8 7 est entraîné par le pignon 86, au moyen  du ressort 100.

   Au contraire dans le déplace  ment en vue de la remise à zéro, le pignon 86  est maintenu fixe par la vis sans fin 85 et  les tambours peuvent malgré tout être entraî  nés, pourvu que l'on agisse suffisamment sur  le bouton moleté 76 pour vaincre     l'adhérence     du ressort 100 sur le disque 1:01.  



  Il est bien évident qu'au lieu d'avoir cinq  tambours accolés comme représenté au dessin,  on pourrait en avoir moins ou davantage, le       fonctionnement    restant toujours le même.  



  Une autre forme d'exécution de     l'appareil.     tout en étant basée sur le     même    principe, com  porte certaines modifications qui la rendant  propre à des applications particulières. Ces  modifications concernent notamment.  



  1  Le mécanisme d'entraînement de l'ai  guille indicatrice.  



  Il a été dit au début de la description que  les périodes d'embrayage et de débrayage se  succèdent alternativement pouvaient être très  courtes, par exemple de une ou deux     secon.-          cles,    permettant ainsi des corrections éventuel  les de l'aiguille toutes les deux ou quatre ,se=       condes.    Or, dans certains cas, il y a intérêt  à ce que ces corrections éventuelles puissent  se produire à des intervalles de temps encore  plus rapprochés. Mais si l'on veut avoir des       indicat'.ons    précises, il est impossible de ren  dre la durée des périodes inférieure à une  seconde.  



  Le mécanisme modifié d'entraînement de  l'aiguille permet précisément de doubler le  nombre des périodes d'embrayage sans dimi  nuer leur durée, et, par suite,     d'obtenir    des       correct;ons    éventuelles (le l'aiguille à des     in-          tervalles    de temps deux fois plus courts qu'au  paravant.  



  Ce mécanisme est, en outre, combiné<B>(le</B>  manière à permettre à l'aiguille des déplace  ments     beaucoup    plus importants que précé  demment, par exemple (le trois ou quatre  tours complets de cadran en vue de mesurer    des vitesses pouvant     atteindre    - ou     .1000     tours.  



  2  L'adjonction d'une aiguille supplémen  taire nécessitée par l'importance des     d6pla-          cements    de l'aiguille 'indicatrice de vitesse et  faisant connaître le nombre de tours effec  tués par cette dernière, de manière à éviter  toute erreur de lecture quand la vitesse à me  surer dépasse 1000 tours.  



  3  L'adjonction d'un dispositif permettant  à l'appareil de     fonctionner    quel que soit le  sens de rotation du mobile dont on veut me  surer la, vitesse.  



  La     description    qui va suivre fera bien       comprendre    les particularités et avantages de  cette seconde forme d'exécution., dont on     n';.          représenté    que les parties relatives à l'indi  cation de vitesse, mais qui     pourrait    être aussi  combinée avec un indicateur (le temps, un  compteur et un totalisateur.  



  Le mouvement du mobile dont on veut  mesurer la vitesse, l'arbre d'un moteur, par  exemple, est transmis     (fig.    15) à l'appareil  avec ou sans démultiplication par l'intermé  diaire     'de    l'arbre     l'        nitini    d'un     pignon    d'angle  21 engrenant avec une roue d'angle 3', la  quelle, par     l'intermédiaire    d'une série de  roues à- denture     droite    4', 51, 6', 71, 8',     91,     101, 111;

   121, 131, disposées entre la platine  antérieure<I>a'</I> et une platine intermédiaire     b',     actionne le barillet 14' et le mécanisme d'en  traînement de l'aiguille indicatrice, maintenue  entre la platine intermédiaire     b'    et     suie    pla  tine postérieure     c'.     



  41 est calé     sur    l'arbre de 31. Par la roue  51 ou les roues 51 et 6', 41 entraîne 7'. (L'u  tilité 51 et 6' est indiquée ci-après).  



  71 par 8' et 91 entraîne le barillet 141. Par  101 (calé sur le même arbre), 11' et 121, 7'       entraîne    l'arbre 25'. Par 11' et 131, 71 en  traîne l'arbre 26'.  



  Le nombre, les dimensions et la disposition  de ces roues sont déterminés par le sens de       rotation,    la multiplication ou la démultipli  cation désirées et l'emplacement dont on dis  pose.  



  Le barillet 141 est établi et agit comma  précédemment. Par sa périphérie dentée 151,      le pignon 16i, l'arbre 171 et le fouet<B>18'</B> agis  sant sur la roue en étoile     19i,    il actionne son  mécanisme de commande Ai comportant à la  manière connue une roue d'échappement, une  ancre et un balancier à spiral. Il est toujours  monté à glissement sur son arbre     e1;    surmonté  d'une came 20' portant les doigts 211 formant  lanterne. Mais le profil de cette came et l'en  semble du mécanisme d'entraînement de l'ai  guille     131    sur lequel elle agit soit directement,  soit par ses doigts 21 ', sont modifiés.  



  Les doigts     21i,    lors du mouvement inter  mittent qui est communiqué au barillet 11.'  par suite de l'échappement du fouet 18', pro  duisent l'oscillation d'un levier coudé 22' arti  culé en 23' et rappelé par un ressort à  lame 241.  



  Ce levier 22' est à double effet,     c'est-à-          dire    peut entraîner simultanément dans ses       déplacements    deux axes 25' et 26' situés à  égale distance de part et d'autre de son point  d'articulation 23' et montés à pivot avec un       certain    jeu dans la platine antérieure<I>W.</I>  



  Chacun de ces axes porte un engrenage  léger en acier à. denture très fine 27' ou 28'  et est muni à sa partie inférieure d'un pignon  12' ou 13' (déjà cités) assurant     son    entraîne  ment par le mobile dont on veut mesurer la  vitesse.  



  Comme l'on peut s'en rendre compte, les  axes 25' et 261, par suite des déplacements  dus aux oscillations du levier 221 effectuent  eux-mêmes des mouvements d'oscillations     pB-          riodiques    opposés, suivant les flèches de la       fig.    18.  



  Les roues dentées 27' et 281 sont situées  des hauteurs différentes en regard de roues  29' et 30' montées folles sur l'arbre 311 de  l'aiguille indicatrice de vitesse     131    se dépla  çant devant le cadran 321.  



  Les mouvements     d'oscillation    périodiques  opposés des axes 25' et 261 ont pour effet de  produire simultanément soit l'embrayage des  roues     271    et 29' et le débrayage des roues  28' et<B>301,</B> soit le débrayage de roues 27' et  29' et l'embrayage des roues 28' et 30'     (fig.     <B>]5</B>, 16 et 18). On voit donc qu'un aller et    retour complet du     levier    221 qui n'aurait  donné     autrefois    qu'un     débrayage    et un     cui-          bra,yage,    donne     dans    le même temps deux em  brayages et deux débrayages dont la durée  n'a pas diminué.  



  Entre les roues 291 et 300 et calée sur  l'arbre 31', est     disposée    une roue analogue  341, sur les deux faces de laquelle sont fixées  des pièces 35',     36i,    comportant chacune un  doigt en     prise    avec une croix de Malte cor  respondante<B>37',</B>     38'    montée folle sur une axe.  solidaire de la roue     291,    et respectivement de  la roue 301. Les croix de Malte comportent  trois dents et une partie pleine formant butée  dans les deux sens, de manière à permettre  des déplacements relatifs entre chacune des  roues 29' et 30' et la roue 34', pouvant attein  dre trois tours     (fig.    18 et 23).

   Les deux doigt  des pièces<I>35'</I> et 36' sont     superposés    et     quand     l'aiguille     B'    est au zéro, les croix de Malte  occupent une position déterminée.  



  Les organes 35' à 38\ constituent la liai  son entre la roue 34' de l'aiguille et les roues  entraîneuses 29' et 30' et permettent à cette  aiguille des     déplacements    au plus égaux à  trois tours.  



  Considérons la     fig.    23. Si c'est la roue  29' qui est embrayée, le sens de rotation étant  contraire à celui des aiguilles d'une montre.  on voit qu'elle entraîne immédiatement la  roue 34', sa croix de Malte 371 faisant butée  en 37' sur la pièce 35'. D'autre part, la pièce  inférieure 36' solidaire de la roue 341 ne sera  pas gênée dans son déplacement par la croix  de Malte 38' qui     étant    folle sur la roue, alors  fixe,<B>30'</B> tournera d'une dent sous l'action du  doigt 361 à chaque tour de cette pièce. Pour  tant quand cette pièce aura effectué trois  tours, elle viendra se bloquer sur la partie  pleine de 38' correspondant à celle marquée  37' sur 371.    L'explication reste la même en l'inversant,  quand c'est la roue 301 qui est embrayée.  



  Autrement dit, l'emploi de la croix de  Malte 37' et du doigt     d'arrêt    35' permet aux  roues 29' et 30' de communiquer leurs pres  sions maxima à la. roue 34' tout en leur per-           mettacit    (les     intégrations    d'une valeur     maxima     <B>(le</B>     troïs    tours.  



       Sur    les roues 291, 341 et 801 agissent des       cliquets        -111,    42' et 431 rappelés par un     res-          >.)rt    à     triple    lama     -1-t1.        Ces        cliquets    sont     eom-          mandés    par l'intermédiaire d'une goupille     4.51          portés    par la bascule 461 articulée en 40', rap  pelée par un ressort 471, et actionnée par la       carne        20'        (fig.    15, 16, 20,

   21 et 22). Ils     a!zis-          sent    sur leur roue respective clans un ordre qui       ..-erg    indiqué plus loin, déterminé par la forme  de leur branche postérieure et le profil de la  came     20'.     



  Deux secteurs dentés 501 et 51' rappelés       u < tr        des    ressorts<B>52'</B> et 531, et pivotant sur     ur.          arbre        5.11,    sont en prise avec des pignons 48'       (.t    -19', solidaires des roues 291 et     â01.    Un au  tre secteur denté 391, articulé en 551 sur la  platine     c',    et rappelé par un ressort 561, est  en prise avec un pignon 33' calé sur l'arbre  central 311. Les secteurs 501 et     571    compor  tent chacun une dent 571 formant ressort, des  tinée à leur assurer par coincement sur le pi  gnon correspondant 48' et 49' une position  invariable à fond de course de retour.

   Les  trois secteurs 50', 51' et; 39' tendent à rame  ner les roues 29', 30' et 34' clans la position  correspondant au zéro de l'aiguille, dans le  sens de la flèche     (fig.    20).  



  Les engrenages d'horlogerie pour la     bonne     marche, ne peuvent s'exécuter sans jeu. Le  secteur 50' engrène avec le pignon 641 à bout  de course ou dans la position d'arrêt, repré  sentée sur la     fig.    16; il aurait une position  indéterminée sans l'adjonction de la (lent 57'  qui, montée sur une lame de ressort, vient se  bloquer entre deux dents.  



  Le fonctionnement du mécanisme d'en  traînement ale l'aiguille     B'    indicatrice de vi  tesse :qui vient d'être décrit, peut se décom  poser en quatre phases d'égale durée, comme  il est indiqué schématiquement sur les     fig.    25  à 28, à: raison de deux pour chaque position  du levier     22'.    Ce     fonctionnement    a lien de la  manière suivante:

         Première        phase        (fig.        25).    La roue dentée  27' vient d'être amenée en prise avec la roue  correspondante 29' qui est entraînée dans le    sens de la flèche; les cliquets 41' et 421 sont  écartés de leurs roues 291 et 341 et le     cliquet     431 est au contact de la roue 301. Si l'aiguille       B'    était au zéro au commencement de la  phase, la roue 341 est immédiatement entraî  née par la roue 291 agissant par l'intermé  diaire de sa croix de Malté.

   Si, au contraire,  l'aiguille     Bi    occupait déjà<B>,</B> une position indi  quant une certaine vitesse, avant due la roue  291 se doit déplacée de la quantité suffisante  pour venir entraîner la roue 34', celle-ci a pu  sous l'action de son secteur 39', opérer, s'il  y a lieu, c'est-à-dire s'il y a eu diminution de  vitesse entre les deux périodes d'embrayage  précédentes, une correction en arrière (en pra  tique toujours peu importante) sur la roue  301 fixée par le cliquet 431 clans la position  de déplacement maximum qu'elle occupait à  la. fin de la phase précédente.  



       Detcxième   <I>phase</I> (fi-. 26). La roue dentée       971    est toujours en prise avec la roue 291; les  cliquets 411 et 42' sont au contact de leurs  roues 29' et 341 et le     cliquet        43'    est écarté de  sa roue 30'. La roue     34'    continue à être en  traînée par la roue 291, les cliquets permet  tant le déplacement des roues dans le, sens de  la. marche avant; la roue 301 sous l'action de  son secteur 51', revient à. zéro s'il y a lieu.  



       Troisième        ?hase        (fig.    27). La roue     dentée,          271    vient d'être débrayée, l'engrenage 28' est  amené au contact de la roue 30'; le     cliquet     41' est en prise avec sa roue 29' et les cli  quets 42', 43', sont écartés de leurs roues     34'     et 30'. La roue 301 est     d'abord    en  traînée et puis ensuite la roue 34'     après     correction sur la roue 29' immobilisée par  son cliquet 41', clans la position de déplace  ment maximum qu'elle occupait à la fin de la  phase précédente.  



       Quatrième        pta.ase        (fig.    28). La roue dentée  28' est toujours au contact de la roue     30'.    Le       cliquet    41' est écarté de sa roue 291 et les     cli-          quets    42' et 43' sont en prise avec leurs roues       34'    et 30'. La roue 341 continue à, être entraî  née par la roue 30'. La roue 291 revient à  zéro, sous l'action de son secteur 50'.  



  Pour assurer la stabilité de l'aiguille     Bi,     c'est-à-dire éviter ses flottements au moment      de ses déplacements, celle-ci au lieu d'être di  rectement calée sur l'arbre<B>31'</B> est fixée sur  un petit manchon monté fou sur cet arbre et  constituant le moyeu d'un disque 581. Ce dis  que est percé d'un trou dans lequel est engagé  avec un certain jeu un ergot 591 porté par une  petite plaquette 60' solidaire de l'arbre 811.  De plus, le disque 581 est légèrement freiné  par un ressort à lame 611 qui agit à sa péri  phérie découpée d'une encoche     62'    détermi  nant d'une façon très précise la. position de  l'aiguille     B'    correspondant au zéro     (fig.    18  et 19).

   Ce dispositif est logé dans l'épaisseur  de la platine     cc'    et y est maintenu par un pe  tit pont.  



  Le cadran 32' est toujours divisé en cent  parties     égales    correspondant chacune à. une  dizaine de tours du mobile dont on veut me  surer la vitesse. Un déplacement de l'aiguille  B' égal à un tour complet correspond donc à  une vitesse de 1000 tours à. la, minute. Comme  l'aiguille B' peut par le dispositif de liaison  par croix (le Malte effectuer trois tours com  plets de cadran, il est nécessaire pour éviter  toute erreur de lecture quand la vitesse dé  passe 1000 tours, d'indiquer le nombre de  tours accomplis par cette aiguille. A cet effet,  le cadran comporte en outre, un secteur divisé,  devant lequel se déplace une aiguille supplé  mentaire C'     (fig.    24).

   Cette aiguille Ci est       commandée    avec une démultiplication con  venable par un pignon 641 solidaire de l'ar  bre 31', un secteur denté     65'    et des roues  dentées 66' et 671 dont la dernière est calée  sur l'arbre de l'aiguille C'     (fig.    16).  



       Enfin,    pour permettre à l'appareil de fonc  tionner quel que soit le sens de rotation du  mobile dont on veut mesurer la vitesse, sur  l'arbre     6 & 1    commun aux roues 3' et 4' est  monté à: frottement gras une pièce<B>69'</B> com  portant un prolongement sur lequel est mon  tée folle une petite roue dentée 5' en prise,  d'une part, avec la roue 4' et, d'autre part,  avec une petite roue dentée semblable 6' mon  tée folle sur une pièce mobile 701 articulée  sur le même axe que la roue 5'. Les déplace  ments des pièces<B>W</B> et 70' sont. limités par  des butées fixes 71' 72' et 73'.

   On voit     (fig.       1"r) qu'avec cette disposition la. roue 4' tour  rrant, par exemple, dans le sens de la flèche  d', les     pièces    691 et 701 seront amenées à oc  cuper la, position indiquée en trait; pleins et  que l'entraînement de la roue 7' se fera par  l'intermédiaire des roues 5' et 6' dans le     sens     de la flèche e'.

   Si au contraire la roue 4\       tourne    dans le sens de la flèche f', les pièces  691     e1;   <B>70'</B> seront     amenées    à occuper la posi  tion indiquée en pointillé et l'entraînement de  la roue 7' ne se fera. plus que par     l'intermé-          cha.ire    de la roue 5', mais cependant toujours  dans le sens de la flèche     e1.     



  Enfin, pour réduire le nombre des pièces  et faciliter le montage de la seconde forme  d'exécution qui vient d'être décrite, on peut  encore commander directement les trois     eli-          quets    de contrôle et le levier à double effet,  par un bloc de cames solidaires du barillet.       comme    représenté. aux     fig.    29 et 30.

   Les trois       cliquets    41', 42' et 43', rappelés par le res  sort à triples laine 44', et contrôlant les roues  29', 34' et 30', ainsi que le levier à. double  effet 22',     commandant    les axes     _'M'    et     -16'    des  roues 27' et 281, sont actionnés directement  par un bloc de cames 751 solidaire du baril  let 14', et le surmontant. Ce bloc de cames  peut être constitué, soit par des rondelles frai  sées et     assemblées.    soit par une seule pièce       cylindrique    fraisée.

   Les     fraisures    sont     na-          turellernent    pratiquées     cri    nombre et avec une  forme et un décalage convenables, pour ob  tenir un fonctionnement des cliquets 411, 421.  43' et du levier à double effet 221, analogue       à.    celui décrit dans la précédente variante.  



  Pour     permettre    la commande directe des  cliquets 4.11, 12' et     43i,    par le bloc de cames  75' sans changer la disposition des autres  pièces, on a été amené à leur faire occuper un  emplacement opposa à, celui qu'ils occupaient  précédemment, et, par suite, à, donner à leurs  têtes la forme en crochet, au lieu de la forme  droite. De même, l'extrémité de la queue des  mêmes     cliquets,    et celle du levier à double  effet, sont appropriées au nouveau genre de  commande par came, substitué à l'ancienne  commande par les goupilles ou doigts 211  et 45'.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Indicateur périodique de vitesse, compor tant: un mécanisme de commande < < . échappe ment analogue à, celui des montres, qui reçoit son impulsion du mobile dont on veut mesurer la vitesse, et un mécanisme d'entraînement. de l'aiguille indicatrice de vitesse, se déplaçant sur un cadran gradué, cette aiguille étant commandée par l'intermédiaire d'un barillet entraîné par friction et exécutant un mouve ment de rotation saccadé, de période constante, et:
    d'un fouet entraîné par ledit barillet agis sant sur la roue d'échappement du mécanisme de commande pour l'entraîner, le barillet. dont le mouvement intermittent se trouve ainsi ré gularisé, actionnant deux déclics exécutant des mouvements périodiques dont l'un pro duit les embrayages et débrayages périodi ques, successifs et alternatifs de la commande de l'aiguille indiquant la vitesse, et dont l'au tre est formé par plusieurs cliquets, qui assu rent successivement et alternativement, l'un, rendant la. première phase du débrayage la retenue du mécanisme d'entraînement de l'ai quille indicatrice de vitesse,.
    sollicités cons tamment à revenir à, la position de départ, et Lin autre, pendant la seconde phase de d.4- brayage et l'embrayage subséquent, la retenue de ladite aiguille sollicitée également à re venir en arrière pour venir buter contre un organe du mécanisme d'entraînement de l'aiguille.
    SOUS-REVENDICATIONS: 1 Indicateur de vitesse d'après la revendi cation, caractérisé en ce que le mécanisme d'entraînement de l'aiguille indicatrice d. . vitesse comporte une roue dentée calée sur un axe creux contenant l'axe de l'aiguille indicatrice de vitesse, et entraînée par l'intermédiaire de rouages par le mobile dont on veut mesurer la vitesse, laquelle roue dentée est en prise avec une roue den tée calée sur un axe parallèle audit axe creux entraînant par l'intermédiaire d'un barillet muni à sa périphérie d'une den ture, un autre arbre parallèle portant un pignon sur lequel est calé un fouet action- nant, au moyen d'un rochet ou étoile;
    l'axe de la roue d'échappement du mécanisme de commande à échappement, donnant ainsi au barillet lin mouvement de rota tion saccadé, de période constante, lequel ,barillet est pourvu, d'une part, d'une . came, et, d'autre part:, de doigts formant lanterne, les doigts agissant sur un levier basculant, rappelé par un ressort, lequel levier est solidaire à son extrémité d'un arbre vertical oscillant dans son plan au tour d'un point fixe, en vue de détermi ner l'écartement ou le rapprochement du dit axe d'un axe parallèle intermédiaire servant à l'entraînement intermittent de l'aiguille, et:
    ainsi d'établir ou de rompre l'engrènement entre une roue portée par ledit arbre oscillant e1; mie roue dentée portée par l'axe parallèle intermédiaire d'entraînement, ledit axe intermédiaire ac tionnant pendant les périodes cl'eni- brayage, au moyen d'un pignon une roue dentée montée folle sur l'axe de l'aiguille indiquant la vitesse, laquelle roue porte un doigt pouvant venir buter contre un toc d'entraînement fou sur ledit axe, venant agir sur un second doigt porté par une roue dentée calée sur l'axe de l'aiguille, et produisant, par suite, l'entraînement de < ladite aiguille dans la position d'écart maximum correspondant à la vitesse mo mentanée.
    2 Indicateur de vitesse d'après la revendi cation et la sous-revendication 1, carac térisé en ce que le mécanisme d'entraîne ment de l'aiguille comporte, en outre; de la roue dentée folle mentionnée ci-dessus, un pignon solidaire de cette roue engre nant avec Lin secteur pivotant soumis à l'action d'un ressort qui tend à ramener ces organes dans la position initiale de dé part, une immobilisation de ce mécanisme pendant la première phase du débrayage étant produite par un cliquet agissant sur la roue d'embrayage calée sur l'axe inter médiaire ci-dessus mentionné,
    lequel cli quet est actionné par un axe exécutant tin mouvement de rotation oscillatoire, et re- cevant son mouvement par l'intermédiaire d'une bascule rappelée par un ressort et écartée périodiquement par la carne prévue ait barillet d'entraînement.
    3 Indicateur de vitesse d'après la. reveridi- cation et les sous-revendications 1 et 2, ca ractérisé par un dispositif de rappel .de l'aiguille, dans le cas où la position occu pée par le mécanisme d'entraînement se trouve en deçà, de la position précédente de l'aiguille, lequel dispositif comporte une roue dentée calée sur l'axe de l'aiguille solidaire d'un pignon engrenant avec un autre secteur pivotant analogue aii précé dent mentionné sous 2, rappelé par un res sort, ladite roue.
    engrenant avec un pignon calé sur un axe parallèle à l'axe de l'ai quille et solidaire d'une roue dentée sur laquelle vient agir Lin second cliquet calé sur l'axe à mouvement de rotation oscilla toire, pendant la seconde phase du dé- brayage et l'embrayage subséquent.
    Indicateur de vitesse d'après la revendi cation, caractérisé par un indicateur de temps comportant des rouages actionnant (les roues dentées solidaires respectivement du canon de l'aiguille des heures et du canon de l'aiguille des minutes, ces roua ges recevant leur mouvement du mobile dont on veut mesurer la vitesse, lequel mouvement est régularisé en dépendance du mécanisme de commande actionné par le. barillet et le fouet.
    5 Indicateur de vitesse d'après la revendi cation et les sous-revendications 1 et 2, caractérisé par un colimaçon (le butée so lidaire de l'axe intermédiaire mentionné sous 1, qui peut exécuter un déplacement angulaire supérieur à 360 , c'est-à-dire de plus d'un tour et contre lequel peut. venir buter l'extrémité d'un doigt porté par un coulisseau mobile entraîné par le secteur ramenant au point de départ le mécanisme d'entraînement de l'aiguille, lequel coulisseau est solidaire dudit sec teur par une goupille traversant une rai nure pratitluée dans la platine, et est guidé au moyen d'un doigt fixe passant dans une rainure dudit coulisseau.
    6 Indicateur de vitesse d'après la revendi cation et la sous-revendication 4, carac térisé par lui dispositif de remise à. zéro des aiguilles des heures et des ininrite dans ]'indicateur de temps, comportant une fourche oscillante, dont l'une des branches forme un marteau et l'autre un levier, et qui comporte, en outre, un petit arbre muni d'un poussoir, (le manière produire la rotation de la fourche, le mar teau venant.
    agir lors de sa rotation sur deux cames en forme de coeurs, solidaires respectivement, l'une du canon de l'ai guille des heures, et l'autre du canon de l'aiguille des minute, en vue de 1errnet- tre la remise < z, zéro desdites aiguille, l'au tre levier de la fourche portant, l'équipa-e de rouages, établissant la liaison entre ,la roue des minutes elï la. roue des heures, la roue des miriul:
    es ne produisant l'entraî nement dit canon de l'aiguille (les minutes que par l'intermédiaire d'un entraînement à friction, afin d'effectuer la désolidari- satiori de cette roue et de la roue du ca non, lors de la. remise à, zéro.
    7 Indicateur (le vitesse d'après la revendi cation, avec compteur totalisateur, carac térisé en ce que les tambours chiffrés de celui-ci sont commandés par des moyens d'entraînement élastique par friction, so lidarisant l'arbre entraîné par le m.obile avec chaque tambour, qui porte une série de goupilles, au nombre de dix, servant d'organes de retenue, et venant porter con tre une saillie latérale engagée sous le tambour solidaire d'un levier (lui s'efface à chaque tour, pour permettre l'avance ment d'une unité, en tombant dans une encoche d'une sorte de came calée sur le tambour précédent, la remise à,
    zéro pou vant être effectuée grâce à. la liaison par friction des différents tambours avec ledit arbre et par suite du fait que les différents leviers, dont celui du dernier tambour est rappelé par un r'essor't, restent effacés clans les encoches des cames des tambours précé dents.
    S Indicateur de vitesse d'après la revendi cation et la sous-revendication 7, carac térisé en ce que les moyens d'entraîne ment des tambours chiffrés comportant un pignon hélicoïdal, monté fou sur l'ar bre du compteur, et entraînant ce dernier par l'effet d'un embrayage à friction, formé par un ressort à trois branches, soli daire du pignon et venant frotter sur un disque solidaire de l'arbre.
    9 Indicateur de vitesse d'après la revendi cation et la sous-revendication 1, carac térisé en ce que le mécanisme d'entraîne ment de l'aiguille indicatrice de vitesse permet de doubler la fréquence des p6rio- des sans diminuer leur durée et comporte, pour déterminer les déplacements de l'ar bre commandant cette aiguille indicatrice, trois roues dentées superposées reliées en semble par un dispositif clé liaison, dont l'une, médiane, est solidaire de l'arbre de l'aiguille et les deux autres montées folles sur ce même arbre, les deux roues montées folles, et par suite la roue médiane,
    étant alternativement entraînées dans le sens de la marche avant par clés roues dentées actionnées par le mobile dont on veut me surer la vitesse et dont les axes sont ani més de mouvements d'oscillation périodi ques opposés, commandés par un levier à double effet sur lequel agit la lanterne prévue au barillet, chacune clé ces trois roues étant, en outre, sollicitée à revenir dans le sens opposé vers la position ini tiale de départ par un secteur à ressort dont l'action est contrôlée par un cliquet agissant sur la roue, commandé par une bascule actionnée par la came du barillet.
    10 Indicateur de vitesse d'après la revendi cation et les sous-revendications 1 et 9, caractérisé en ce que la liaison entre les trois roues, permettant à l'aiguille indica trice d'effectuer un nombre de tours com plets de cadran supérieur à deux et infé rieur à cinq est réalisée au moyen d'un dispositif constitué par *des doigts super- posés solidaires de la roue médiane, en prise avec des croix de Malte à un nombre de dents supérieur à deux et inférieur à cinq, formant butées, dans les deux sens,, et montées folles sur des axes solidaires: des roues folles.
    11 Indicateur de vitesse d'après la revendi cation, caractérisé par une aiguille supplé mentaire se déplaçant sur le même cadran que l'aiguille indicatrice, commandée par l'intermédiaire d'un secteur et d'engrena ges avec démultiplication et destinée à in diquer le nombre de tours effectués par l'aiguille indicatrice de vitesse.
    12 Indicateur de vitesse d'après la revendi cation, caractérisé par un dispositif per mettant à l'appareil de fonctionner, quel que soit le sens de rotation -du mobile dont on veut mesurer la vitesse, comportant uns pièce montée à frottement gras sur l'axe de l'une des roues d'engrenage de la transmission de mouvement et détermi nant par ses déplacements entre des bu tées fixes, provoqués par la variation du sens de rotation, l'engrènement de l'une ou l'autre de deux petites roues intermédiai res avec une autre roue d'engrenage con tinuant la transmission. 13 Indicateur de vitesse d'après la revendi cation, caractérisé par un dispositif assu rant la stabilité de l'aiguille indicatrice de vitesse, constitué par deux pièces reliées.
    entre elles avec un certain jeu, par un er got engagé dans un trou, dont l'une est solidaire de l'arbre central entraîneur et l'autre légèrement freinée par un ressort,. montée folle sur cet arbre et solidaire de l'aiguille indicatrice. 14 Indicateur de vitesse d'après la revendi cation et les sous-revendications 1 et<B>9,</B> caractérisé en ce que les secteurs de rap pel des roues d'entraînement montées fol les _ sur l'arbre commandant l'aiguille sont pourvus d'une dent formant ressort desti née à leur assurer par coïncement sur le pignon correspondant une position inva riable à fond de course de retour.
    15 Indicateur de vitesse d'après la revendi cation et les sous-revendications 1 et 9, caractérisé en ce que les trois cliquets de contrôle et le levier à double effet sont commandés. directement par un bloc de cames solidaire du barillet.
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