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REVENDICATIONS
1. Chaussure avec fermeture, caractérisée en ce que sa tige (2) comporte deux battants (5, 6) de dimensions à se recouvrir sur le coude-pied lors de la mise de la chaussure, la fermeture comprenant au moins une paire (7, 8) d'éléments à boucles et à crochets, une plaquette (7) comportant les boucles étant fixée sur la surface de l'un des battants et une bande (8) comportant les crochets étant fixée sur la surface intérieure ou extérieure de l'autre battant, en regard de la plaquette (7), et en ce qu'aucune languette n'est prévue.
2. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée par deux paires de plaquettes (7) et bandes (8).
3. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée par trois paires de plaquettes (7) et bandes (8).
4. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée en ce que la bande (8) recouvre au moins deux plaquettes adjacentes (7) lors de la fermeture de la chaussure.
5. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée en ce que la plaquette (7) et la bande (8) sont collées, cousues ou/et rivetées à leur place.
6. Chaussure selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que la bande (8) est renforcée par du cuir, de la toile, du tissu ou de la matière plastique.
7. Chaussure selon l'une des revendications précédentes, caractérisée par une semelle (14) réunie à la chaussure par une pièce intermédiaire (13) en matériau élastomère.
8. Chaussure selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que la tige (2) et le contrefort (3) sont, dans leurs parties hautes, couverts d'un rembourrage (11), tandis que les parties basses sont couvertes d'une doublure (9) en cuir, plastique ou tissu.
L'invention a pour objet une chaussure avec fermeture présentant de nombreux avantages par rapport aux chaussures actuellement utilisées ou décrites.
Il y a en principe deux classes de chaussures, celles avec fermeture et celles sans fermeture comme bottes, slippers, etc. La présente invention se rapporte aux chaussures appartenant à la première classe.
La fermeture de ces chaussures est constituée d'oeillets ou d'autres trous pratiqués dans les deux flancs mobiles de la tige, un lacet étant enfilé dans ces ouvertures. Ce lacet sert à serrer les flancs et est ensuite noué de façon connue. oeillets et lacet peuvent être remplacés par une fermeture Eclair ou par des agrafes ou boucles coopérant avec des armatures métalliques correspondantes sur l'autre flanc.
Afin de protéger le pied, en particulier le dessus du pied, et la chaussette contre les actions mécaniques des oeillets, lacets, fermetures Eclair et d'autres moyens de fermeture connus, la chaussure comporte une languette, souvent rembourrée, fixée au bout dur de la chaussure. Or, cette languette est une partie ayant beaucoup de désavantages: elle gêne lors de la mise et du retrait des chaussures, se place souvent de travers ou vers le bas ou ne s'allonge pas, se plie lorsque les lacets sont serrés pour faire mal au pied, et se détache facilement de sa couture.
Les lacets et autres moyens de fermeture connus font également mal au pied. En hiver, il est difficile, surtout pour les enfants, de nouer correctement les lacets. Si les lacets et autres fermetures sont trop serrés, il faut les rajuster, ce qui est pénible dans le cas des lacets et parfois difficile avec les autres fermetures, voire impossible pour les fermetures Eclair. Celles-ci, si elles sont en plastique, se coincent ou se cassent au bout de peu de temps. Toutes les fermetures comportant des pièces métalliques sont sujettes à la rouille. En plus, la plupart des fermetures sont trop rigides et entravent la circulation du sang.
Toutes les chaussures connues, y compris les bottes et slippers, aussi appelés mocassins, sont difficiles à mettre et à retirer.
Le but de l'invention est de supprimer tous les désavantages et inconvénients mentionnés et de proposer une chaussure présentant, en plus, des avantages très importants et surprenants.
La chaussure objet de l'invention est caractérisée en ce que sa tige comporte deux battants de dimensions à se recouvrir sur le cou-depied lors de la mise de la chaussure, la fermeture comprenant au moins une paire d'éléments à boucles et à crochets, une plaquette comportant les boucles étant fixée sur la surface de l'un des battants et une bande comportant les crochets étant fixée sur la surface intérieure ou extérieure de l'autre battant, en regard de la plaquette, et en ce qu'aucune languette n'est prévue.
Dans la description qui suit, le terme battant est généralement remplacé par son synonyme flanc, courant dans ce domaine.
Pour faire mieux comprendre l'invention, deux exécutions pratiques de la chaussure objet de l'invention seront décrites, à titre d'exemples, avec référence au dessin dans lequel:
la fig. 1 représente une vue de côté d'un soulier de forme haute, à l'état presque fermé,
la fig. 2 est une vue frontale du soulier selon la fig. 1, à l'état ouvert, le flanc gauche de la tige étant tiré de côté, et
la fig. 3 représente une vue de côté d'une chaussure basse.
Dans les figures, des parties identiques ou similaires portent les mêmes chiffres de référence.
La chaussure selon les fig. I à 3 présente les mêmes parties principales que les chaussures classiques: un bout dur 1, une tige 2, un contrefort 3 et une semelle-talon 4.
Cependant, la nouvelle chaussure ne comporte pas de languette; avec sa suppression, on supprime aussi ses inconvénients. La tige 2 est formée avec plus de matériel que les tiges des souliers classiques; les flancs 5 et 6 sont si larges qu'ils se recouvrent, lorsqu'on ferme la chaussure, assurant ainsi son étanchéité et une couverture parfaite du cou-de-pied. Dans les fig. 1 et 2, le flanc 5 (battant intérieur) est recouvert par le flanc 6 (battant extérieur). Le début de ce recouvrement est représenté à la fig. 1 où une partie de l'intérieur du flanc 6 est encore visible.
La fermeture de la chaussure se fait par des rubans à crochet et à boucles qui sont connus sous la désignation Velcro ou Acrotex; leur description détaillée ne paraît pas nécessaire. Les deux éléments de cette fermeture sont réunis par pression, de nombreux crochets minuscules en Nylon s'aggrippent, telle une bardane, aux minuscules boucles en Nylon de l'autre élément, les deux éléments pouvant être séparés par une force de flexion et de traction latérale.
Le flanc 5 de la tige de la chaussure est muni de plaquettes ou bandes 7 à boucles, en cuir ou tissu. La plaquette 7 est collée et/ou cousue ou rivée sur la tige 2, plus précisément sur le flanc 5. Ily a une, deux, trois ou même plusieurs plaquettes 7, selon la hauteur du flanc 5. Cette plaquette 7 a par exemple une largeur de 10 à 45 mm et une longueur de 15 à 50 mm.
L'autre flanc 6 de la chaussure est pourvu d'une ou de plusieurs bandes 8 à crochets, fixées en regard des plaquettes 7, et il y a autant de bandes 8 que de plaquettes 7. Ces bandes 8 ont généralement la même largeur ou une largeur un peu plus grande que les plaquettes 7, et elles ont pour la même chaussure normalement toutes la même longueur qui dépasse celle des plaquettes 7 et se situe en général entre 60 et 150 mm. Les bandes sont fixées à l'intérieur ou à l'extérieur du flanc 6 par couture, collage, rivetage, etc.
La mise de la chaussure est grandement facilitée par rapport à l'enfilement des chaussures classiques: on ouvre la chaussure en plaçant les pouces à l'intérieur de la chaussure, aux endroits marqués 5a et 6a, et en éloignant les mains tout en les tournant légèrement vers le bas (le battant 6 de la chaussure selon la fig. 2 est en position ouverte), on enfile la chaussure, ce qui est extrêmement facile vu l'absence de la languette, et on ramène les bandes 8 au-dessus des plaquettes 7. Un rajustement est toujours possible. La fermeture crochets-boucles est très solide et quand même assez facilement amovible, car la force de maintien de la fermeture, lors de l'utilisation normale du soulier, a une autre direction que les forces de l'ouverture.
Les bandes 8 seront naturellement renforcées par des bandes
correspondantes en cuir, plastique, tissu, etc., pour présenter la solidité requise.
Pour ôter le soulier, il suffit de tirer les bandes 8 qui normalement dépassent les plaquettes 7, vers le haut pour dégager les deux éléments. Le soulier s'ôte alors presque tout seul.
La doublure 9 de la tige et du contrefort monte assez haut dans celui-ci; à l'intérieur de la chaussure, la doublure 9 dépassera la double couture 10 qui réunit le rembourrage 1 1 à la tige. Ce rembourrage 1 1 est fixé en haut à la chaussure par la couture 12.
La semelle 4 est composée par la partie intermédiaire 13 et la semelle 14 proprement dite. Cette semelle 14 est en cuir, caoutchouc ou matière plastique, très plate et assez dure. La partie intermédiaire est en matière élastomère moins dure. Contrairement aux chaussures connues sans talon, la nouvelle chaussure peut être ressemelée grâce à la partie intermédiaire 13.
La chaussure basse selon la fig. 3 a une fermeture analogue, mais plus esthétique; cette fermeture peut s'appliquer également à la chaussure des fig. 1 et 2. Le battant 6 comporte sur sa surface intérieure, dans la région qui vient se placer lors de la fermeture audessus des plaquettes 7, une pièce unique 8 portant les crochets tandis que les plaquettes 7 portent les boucles.
La mise et le retrait de cette chaussure se font exactement comme décrit ci-dessus.
Les éléments 7 et 8 peuvent changer de place, c'est-à-dire les plaquettes 7 peuvent porter les crochets et la bande ou pièce 8 les boucles.
Les chaussures peuvent exister en toute matière connue à cet effet, cuir, toile, simili-cuir, etc. Les chaussures sont les chaussures de marche, de ville, de sport tel que football, patinage, course, ski, handball, basketball, tennis, hockey, etc., et elles sont pour enfants et adultes.
La nouvelle fermeture par rubans à crochets et à boucles est solide, pratiquement inusable, nettoyable à sec, collable, ajustable, agrafable, ne se bloque pas et ne rouille pas. Elle résiste aux matières d'entretien. Elle ne peut pas faire mal au pied, car la force de fermeture se répartit sur une grande surface.
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CLAIMS
1. Shoe with closure, characterized in that its upper (2) has two leaves (5, 6) of dimensions to be covered on the instep when putting on the shoe, the closure comprising at least one pair (7 , 8) of elements with loops and hooks, a plate (7) comprising the loops being fixed on the surface of one of the leaves and a strip (8) comprising the hooks being fixed on the interior or exterior surface of the 'other wing, facing the plate (7), and in that no tongue is provided.
2. Shoe according to claim 1, characterized by two pairs of plates (7) and bands (8).
3. Shoe according to claim 1, characterized by three pairs of plates (7) and bands (8).
4. Shoe according to claim 1, characterized in that the strip (8) covers at least two adjacent plates (7) when the shoe is closed.
5. Shoe according to claim 1, characterized in that the plate (7) and the strip (8) are glued, sewn or / and riveted in their place.
6. Shoe according to one of the preceding claims, characterized in that the strip (8) is reinforced by leather, canvas, fabric or plastic.
7. Shoe according to one of the preceding claims, characterized by a sole (14) joined to the shoe by an intermediate piece (13) of elastomeric material.
8. Shoe according to one of the preceding claims, characterized in that the upper (2) and the buttress (3) are, in their upper parts, covered with padding (11), while the lower parts are covered d '' a lining (9) in leather, plastic or fabric.
The subject of the invention is a shoe with closure having numerous advantages over the shoes currently used or described.
There are in principle two classes of shoes, those with closure and those without closure such as boots, slippers, etc. The present invention relates to shoes belonging to the first class.
The closure of these shoes consists of eyelets or other holes made in the two movable sides of the upper, a lace being threaded through these openings. This lace is used to tighten the sides and is then knotted in a known manner. eyelets and lace can be replaced by a zipper or by staples or loops cooperating with corresponding metal frames on the other side.
In order to protect the foot, in particular the top of the foot, and the sock against the mechanical actions of eyelets, laces, zippers and other known closing means, the shoe has a tongue, often padded, attached to the hard end of the shoe. the shoe. However, this tongue is a part having many disadvantages: it hinders when putting on and taking off the shoes, is often placed askew or down or does not lengthen, folds when the laces are tight to hurt at the foot, and easily detaches from its seam.
Laces and other known fasteners also hurt the foot. In winter, it is difficult, especially for children, to tie the laces correctly. If the laces and other closures are too tight, they must be adjusted, which is painful in the case of laces and sometimes difficult with other closures, or even impossible for zippers. These, if they are made of plastic, get stuck or break after a short time. All closures with metal parts are prone to rust. In addition, most closures are too rigid and impede the flow of blood.
All known shoes, including boots and slippers, also called moccasins, are difficult to put on and take off.
The object of the invention is to eliminate all the disadvantages and drawbacks mentioned and to propose a shoe having, in addition, very significant and surprising advantages.
The shoe object of the invention is characterized in that its upper has two flaps of dimensions to be covered on the neck-foot when putting the shoe on, the closure comprising at least one pair of elements with loops and hooks , a plate comprising the loops being fixed on the surface of one of the leaves and a strip comprising the hooks being fixed on the interior or external surface of the other leaf, facing the plate, and in that no tongue is not planned.
In the description which follows, the term clapper is generally replaced by its synonym flank, common in this field.
To better understand the invention, two practical embodiments of the shoe object of the invention will be described, by way of examples, with reference to the drawing in which:
fig. 1 represents a side view of a shoe of high form, in the almost closed state,
fig. 2 is a front view of the shoe according to FIG. 1, in the open state, the left flank of the rod being pulled aside, and
fig. 3 shows a side view of a low shoe.
In the figures, identical or similar parts bear the same reference numbers.
The shoe according to fig. I to 3 have the same main parts as conventional shoes: a hard toe 1, a rod 2, a buttress 3 and a heel sole 4.
However, the new shoe does not have a tongue; with its removal, we also remove its drawbacks. Upper 2 is formed with more material than the upper of classic shoes; the sides 5 and 6 are so wide that they overlap when the shoe is closed, thus ensuring its tightness and perfect coverage of the instep. In fig. 1 and 2, the side 5 (internal leaf) is covered by the side 6 (external leaf). The beginning of this overlap is shown in fig. 1 where part of the interior of the sidewall 6 is still visible.
The closure of the shoe is done by hook and loop tapes which are known under the designation Velcro or Acrotex; their detailed description does not seem necessary. The two elements of this closure are joined by pressure, many tiny nylon hooks grip, like a burdock, to the tiny nylon loops of the other element, the two elements can be separated by a bending and pulling force lateral.
The flank 5 of the upper of the shoe is provided with plates or bands 7 with loops, in leather or fabric. The plate 7 is glued and / or sewn or riveted on the rod 2, more precisely on the sidewall 5. There is one, two, three or even several plates 7, depending on the height of the sidewall 5. This plate 7 has for example a width from 10 to 45 mm and a length from 15 to 50 mm.
The other side 6 of the shoe is provided with one or more bands 8 with hooks, fixed opposite the plates 7, and there are as many bands 8 as plates 7. These bands 8 generally have the same width or a slightly larger width than the pads 7, and they have for the same shoe normally all the same length which exceeds that of the pads 7 and is generally between 60 and 150 mm. The strips are fixed inside or outside the sidewall 6 by sewing, gluing, riveting, etc.
Putting on the shoe is greatly facilitated compared to putting on conventional shoes: the shoe is opened by placing the thumbs inside the shoe, at the places marked 5a and 6a, and moving the hands away while turning them slightly down (the flap 6 of the shoe according to Fig. 2 is in the open position), the shoe is put on, which is extremely easy given the absence of the tongue, and the strips 8 are brought back above the pads 7. An adjustment is always possible. The hook-and-loop closure is very solid and still fairly easily removable, since the force holding the closure, during normal use of the shoe, has a different direction than the forces of the opening.
The bands 8 will naturally be reinforced by bands
leather, plastic, fabric, etc. to provide the required strength.
To remove the shoe, simply pull the bands 8 which normally exceed the pads 7, upwards to release the two elements. The shoe then takes off almost by itself.
The lining 9 of the rod and the buttress rises high enough therein; inside the shoe, the lining 9 will exceed the double seam 10 which joins the padding 11 to the upper. This padding 11 is fixed at the top to the shoe by the seam 12.
The sole 4 is composed by the intermediate part 13 and the sole 14 proper. This sole 14 is made of leather, rubber or plastic, very flat and quite hard. The intermediate part is made of less hard elastomer material. Unlike known shoes without heels, the new shoe can be resoleed using the intermediate part 13.
The low shoe according to fig. 3 has a similar but more aesthetic closure; this closure can also be applied to the shoe of FIGS. 1 and 2. The leaf 6 has on its inner surface, in the region which is placed during the closure above the plates 7, a single piece 8 carrying the hooks while the plates 7 carry the loops.
Putting on and taking off this shoe is done exactly as described above.
The elements 7 and 8 can change place, that is to say the plates 7 can carry the hooks and the band or piece 8 the loops.
Shoes can exist in any material known for this purpose, leather, canvas, imitation leather, etc. The shoes are walking shoes, city shoes, sports shoes such as football, skating, running, skiing, handball, basketball, tennis, hockey, etc., and they are for children and adults.
The new closure with hook and loop tapes is solid, practically wear-free, dry cleanable, stickable, adjustable, staplable, does not hang and does not rust. It resists maintenance materials. It cannot hurt the foot, because the closing force is distributed over a large area.