CH483038A - Process for processing a photographic film - Google Patents

Process for processing a photographic film

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CH483038A
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CH
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CH588168A
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Hijman Van Praag
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Hijman Van Praag
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    • GPHYSICS
    • G03PHOTOGRAPHY; CINEMATOGRAPHY; ANALOGOUS TECHNIQUES USING WAVES OTHER THAN OPTICAL WAVES; ELECTROGRAPHY; HOLOGRAPHY
    • G03BAPPARATUS OR ARRANGEMENTS FOR TAKING PHOTOGRAPHS OR FOR PROJECTING OR VIEWING THEM; APPARATUS OR ARRANGEMENTS EMPLOYING ANALOGOUS TECHNIQUES USING WAVES OTHER THAN OPTICAL WAVES; ACCESSORIES THEREFOR
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    • G03B17/24Details of cameras or camera bodies; Accessories therefor with means for separately producing marks on the film, e.g. title, time of exposure
    • GPHYSICS
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    • G03CPHOTOSENSITIVE MATERIALS FOR PHOTOGRAPHIC PURPOSES; PHOTOGRAPHIC PROCESSES, e.g. CINE, X-RAY, COLOUR, STEREO-PHOTOGRAPHIC PROCESSES; AUXILIARY PROCESSES IN PHOTOGRAPHY
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  • General Physics & Mathematics (AREA)
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Description

  

  Procédé de traitement d'un film     photographique       La présente invention se rapporte à un procédé de  traitement d'un film photographique, qui est surtout des  tiné à être utilisé dans les laboratoires modernes de fa  çonnage photographique, équipés pour une grande pro  ductivité, et qui a pour but de permettre d'effectuer  automatiquement l'identification, le comptage et la     comp-          tabilisation    de     films    photographiques.  



  On peut considérer que, dans un tel laboratoire, pour  une personne occupée à la production proprement dite,  c'est-à-dire à des travaux purement photographiques,  plusieurs personnes ont en charge des opérations diver  ses, extra-photographiques, qui sont principalement du  domaine de l'identification des     filins    et de la     comptabili-          sation    des épreuves photographiques.  



  Ceci provient surtout du fait que la production a été  accélérée, grâce à la mécanisation, tandis que les opé  rations annexes sont encore essentiellement à base de  méthodes empiriques, qui sont à la source d'un nombre  trop important d'erreurs humaines et ralentissent consi  dérablement la sortie des produits terminés.  



  La présente invention a pour but de remédier à ces  inconvénients et à assurer une rapidité d'exécution re  marquable avec un minimum d'intervention humaine,  ce qui se traduit par un accroissement notable de la pro  ductivité et supprime la source d'erreurs.  



  La présente invention a pour objet un procédé de  traitement d'un film photographique dans lequel une  information en code binaire identifiant le film est appo  sée sur un document accompagnant ledit     filin    jusqu'à  l'entrée dans le laboratoire de traitement où il en est  séparé, ladite information étant lue sur le document  accompagnateur à l'aide d'un dispositif photoélectrique,  caractérisé en ce qu'on applique l'information ainsi dé  codée sur une partie non exposée du     film    de façon que  cette information devienne visible sur le     film    développé.    La figure unique du dessin annexé illustre, à titre  d'exemple, une mise en     oeuvre    particulière du procédé  faisant l'objet de l'invention.  



  Avant d'exposer cette mise en     aeuvre    et son applica  tion dans le détail, on donnera quelques explications  générales sur les problèmes qui se posent pour le déve  loppement de     filins    en grandes séries et leurs solutions  connues ou prévues dans certaines mises en     oeuvre    pré  férées de l'invention.  



  Le document accompagnant le     film    remis au labora  toire peut être de nature variée et il peut consister en  un feuillet de papier, une carte, une pochette, etc...  Cependant, il s'est avéré qu'une pochette ou enveloppe  en papier était particulièrement intéressante et présentait  le maximum d'avantages. En effet, le film à développer  est le plus souvent remis au laboratoire par un com  merçant ou revendeur, qui a reçu ainsi plusieurs     filins    de  divers clients. Le laboratoire imprime, à l'avance, des  pochettes, avec le numéro de matricule du commerçant,  un numéro d'ordre du travail à effectuer, ainsi que di  verses autres indications et ces pochettes sont remises au  commerçant considéré, qui utilise une pochette par     filin     qu'il reçoit pour le traitement.

   La pochette comporte en  plus un cadre, réservé au code binaire traduisant les  numéros cités ci-dessus. Ce code est constitué par une  grille pouvant notamment donner, en code binaire, le  numéro de matricule du revendeur, le numéro d'ordre  de travail, des indications comptables et des indications  concernant la remise des épreuves terminées aux reven  deurs.  



  En glissant chaque film dans une pochette, cette der  nière constituant donc le document accompagnateur,  on ne risque pas de séparation du     film    et du document,  séparation qui peut se produire si le document est un  feuillet ou similaire.  



  D'autre part, en utilisant, pour le code binaire, une  grille pré-imprimée, sur l'enveloppe, on ne modifie en      rien la résistance mécanique de cette enveloppe. On  pourrait évidemment utiliser, pour le code binaire, des  perforations pratiquées dans l'enveloppe, mais on aug  mente ainsi les risques de déchirure de cette dernière. On  pourrait aussi utiliser une carte perforée accompagnant  l'enveloppe, mais ces cartes risquent de s'égarer ou de       s'interchanger    et elles sont d'ailleurs d'un prix relative  ment élevé. Pour ces raisons, l'enveloppe ou pochette  avec grille binaire constitue la solution la plus avanta  geuse, car plus sûre et plus rentable.  



  Le film à développer, arrivant au laboratoire avec le  document accompagnateur, c'est-à-dire avec l'enveloppe  ou pochette, est séparé de ce document, mais doit alors  être muni d'indications caractérisant et identifiant ce       film    et permettant de le repérer au cours du travail, à  chaque stade des opérations.  



  Actuellement, on appose généralement sur le     filin     une étiquette portant un numéro     quelconque,    sans aucu  ne signification particulière, si ce n'est d'être un simple  numéro d'ordre. Or, une erreur étant toujours possible  lors de la distribution des épreuves terminées, il faut  pouvoir retrouver le revendeur destinataire, ayant remis  le travail. Autrement dit, sur tout le circuit de traite  ment, le film doit comporter une indication reprenant le  numéro du client et le numéro d'ordre. A cet     effet,     plusieurs solutions sont applicables.

   C'est ainsi que l'en  veloppe ou pochette contenant le film peut comporter  une partie détachable, autocollante ou non, formant  étiquette, avec numéro de matricule du revendeur et  numéro d'ordre du travail, et cette étiquette est appli  quée sur     l'armorce    du film avant développement au la  boratoire.  



  Une variante consiste à établir, à partir des indica  tions traduites en code binaire sur la grille de la pochette,  une étiquette comportant les indications nécessaires (nu  méro de matricule et numéro d'ordre), étiquette qui  est apposée sur le film à développer.  



  Cependant, des étiquettes peuvent se détériorer au  cours des différentes manipulations du film. D'autre part,  les appareils traitant des     filins    scellés l'un après l'autre  (méthode dite de       splicing     ) n'autorisent aucune épais  seur sur les     films.    Pour ces raisons, on a avantage à  utiliser une voie optique pour apporter les indications  nécessaires sur le     film.     



  Dans ce but, on extrait par voie photoélectrique,  les     indications    reprises dans la grille en code binaire de  l'enveloppe et on les reproduit, par voie optique, en  numéro   en clair , c'est-à-dire en système     décimal,     sur l'amorce ou autre partie du film non utilisée pho  tographiquement.  



  Les indications relevées sur l'enveloppe, en lumière  du jour, sont donc transposées sur une partie non im  pressionnée du film, se trouvant en chambre noire. Par  conséquent, le     filin    est totalement identifié, de façon  simple et sûre, grâce à la transposition à distance des  indications se trouvant sur l'enveloppe et  personnali  sant   le film. En cas d'erreur lors de la distribution, on  est certain de retrouver l'origine du film, c'est-à-dire  le client qui avait envoyé le     filin    au développement. De  plus, grâce à ce procédé le film avant développement  comporte aussi les consignes de travail.  



  Ainsi muni d'indications qui le caractérisent, le     filin     est soumis au développement, de façon connue, et les  chiffres apportés par voie optique sur l'amorce appa  raissent. Ensuite, le film passe à l'étape du tirage des  épreuves. Pour cette partie du cycle des opérations de  traitement de     filins,    des machines assurant une cadence    de production élevée sont déjà connues et couramment  utilisées dans les laboratoires de traitement de films pho  tographiques.  



  Le cycle opératoire se poursuit ensuite par -l'établis  sement et le relevé d'indications concernant la facturation  du travail, la distribution des épreuves photographiques,  l'établissement de statistiques, etc. Grâce notamment à  l'utilisation de la pochette ou enveloppe décrite ci-dessus,  avec sa grille d'informations en code binaire, il est pos  sible d'établir et de relever ces indications de façon par  ticulièrement rapide et offrant toute garantie, au point de  vue exactitude.  



  A cet     effet,    les épreuves passent dans un appareil  mécanique ou électronique, qui détermine le format et  effectue le comptage. A cet effet, on utilise avantageuse  ment un appareil qui, pour chaque épreuve qu'il comp  tabilise, émet une impulsion. Le nombre total d'impul  sions détermine l'apposition sur l'enveloppe, par l'inter  médiaire d'une machine imprimante, des indications vou  lues, telles que format et nombre des épreuves et, éven  tuellement, prix en résultant du travail.  



  D'autre part, un système photoélectrique reprend  toutes les informations constituées par la grille binaire  et celles-ci sont transmises à une machine à perforer  ou ordinateur qui perfore une carte comptable ou mé  morise un élément reprenant ces informations. On peut  d'ailleurs utiliser simultanément, 2, 3 ou 4 appareils de  comptage d'épreuves, dont les informations sont en  voyées à un système de balayage, du type connu, et  dénommé aussi  scanner . Cet appareil à balayage  relève dans tous les appareils de comptage, de façon  extrêmement rapide et pratiquement instantanée, les in  formations nouvelles et les transmet à la machine de  perforation, par exemple une     IBM,    qui agit sur la carte  comptable     perforée.     



  De cette façon, on peut à tout moment obtenir des  indications intéressantes, non seulement au point de vue  comptabilité (montants des travaux exécutés, nombre  d'épreuves produites journellement, par format d'épreu  ves, nombre de développements de     filins    par jour avec  subdivision suivant les marques de     filins,    montant de     la     production journalière, statistiques diverses concernant  les types de     filins    reçus au développement, rentabilité  des tournées de distribution des épreuves, etc.).  



  La pochette, qui contient à présent les épreuves ti  rées du     film    qui se trouvait à l'origine dans cette pochet  te, est remise au revendeur. Cette distribution des po  chettes demande une classification assez laborieuse; exi  geant un personnel relativement important et     donnant     lieu, à nouveau, à des sources d'erreurs. Grâce à la  grille comportant les informations en code binaire, les  enveloppes peuvent être triées automatiquement, de fa  çon très rapide et exacte.  



  On exposera maintenant la mise en     oeuvre    particu  lière illustrée par le dessin qui montre une enveloppe ou  pochette, telle qu'utilisée lors de l'application de cette  mise en     aeuvre.     



  Le cycle des opérations commence donc par la ré  ception et le triage des enveloppes contenant chacune  un     film    à développer et envoyées en laboratoire par  différents revendeurs.  



  Ces enveloppes vides ont été remises préalablement  aux revendeurs par le laboratoire. Le revendeur, qui est  ainsi en possession d'une série d'enveloppes portant dif  férentes indications, qui qui peuvent être, par exemple, le  numéro de matricule du revendeur et un numéro d'ordre  du travail, utilise une enveloppe par film à développer.      La figure montre un exemple de réalisation de l'enve  loppe, sur laquelle on voit notamment le numéro de ma  tricule (1) du client, le numéro d'ordre du travail (2) et  diverses indications concernant le type de travail à effec  tuer (3) et le type de film soumis au laboratoire (4).

   L'en  veloppe comporte aussi une grille pour indications, en  code binaire, du numéro de matricule (5), numéro d'or  dre du travail (6), numéro de tournée pour la distribu  tion des travaux terminés aux revendeurs (7) et des indi  cations de service (8), notamment le mode de paiement  convenu avec le revendeur. La plupart de ces indications  constituent des données fixes et sont imprimées à l'avan  ce, en même temps que le numéro de matricule du  client, dans la grille binaire.  



  Au laboratoire, on retire chaque film de son enve  loppe individuelle et on appose ensuite sur le film  des indications inscrites sur l'enveloppe, de façon à  pouvoir, à tout moment, retrouver l'origine de ce film.  D'après un mode préféré d'exécution, on reporte les  indications par voie optique sur l'amorce du     film,    indi  cations qui apparaîtront après développement. A cet  effet, le film est introduit en chambre noire, tandis que  l'enveloppe reste à la lumière du jour. Un dispositif  photoélectrique reporte les indications de la grille bi  naire de l'enveloppe sur l'amorce du film photographi  que et ce film est ainsi individualisé en chiffres clairs,  c'est-à-dire en système décimal.  



  Ensuite les films sont scellés à la suite les uns des  autres et sont développés selon les méthodes habituelles,  puis les épreuves sont tirées à partir des     films    développés.  



  Les épreuves photographiques terminées passent en  suite dans le dispositif de comptage, qui, dans le cas    du mode d'exécution utilisé, est du type mécanique. Un  tel dispositif est connu et couramment utilisé dans plu  sieurs industries. On peut évidemment utiliser un dispo  sitif électronique, tel que décrit par exemple dans le  brevet belge     N     696953. Le nombre d'épreuves, ainsi rele  vé par la machine comptable, est transmis à une machine  d'épreuves, (celles-ci étant remises dans cette enveloppe)  et éventuellement le prix du travail exécuté.  



  On peut utiliser simultanément plusieurs appareils  de comptage d'épreuves, les informations de ces appa  reils sont relevées par un système de balayage,     démom-          mé     < c scanner  , qui les transmet à une machine à perfo  rer, par exemple     IBM.     



  Les enveloppes sont triées automatiquement, grâce à  la grille binaire, et réparties de façon rapide et exacte,  en vue de leur distribution.



  Process for processing a photographic film The present invention relates to a process for processing a photographic film, which is especially suitable for use in modern photographic processing laboratories, equipped for high productivity, and which aims to enable the automatic identification, counting and counting of photographic films.



  We can consider that, in such a laboratory, for a person engaged in the production proper, that is to say in purely photographic work, several people are in charge of various operations, extra-photographic, which are mainly in the field of rope identification and recording of photographic prints.



  This is mainly due to the fact that production has been accelerated, thanks to mechanization, while the ancillary operations are still essentially based on empirical methods, which are the source of too many human errors and slow down considerably. derailably the release of finished products.



  The object of the present invention is to remedy these drawbacks and to ensure remarkable speed of execution with a minimum of human intervention, which results in a notable increase in productivity and eliminates the source of errors.



  The present invention relates to a process for processing a photographic film in which information in binary code identifying the film is affixed to a document accompanying said wire until it enters the processing laboratory where it is separated from it. , said information being read from the accompanying document using a photoelectric device, characterized in that the information thus decoded is applied to an unexposed part of the film so that this information becomes visible on the developed film . The single figure of the appended drawing illustrates, by way of example, a particular implementation of the method forming the subject of the invention.



  Before explaining this implementation and its application in detail, we will give some general explanations of the problems which arise for the development of ropes in large series and their known solutions or provided for in certain preferred implementations of invention.



  The document accompanying the film given to the laboratory can be of a varied nature and it can consist of a sheet of paper, a card, a sleeve, etc. However, it has been found that a paper sleeve or envelope was particularly interesting and presented the maximum of advantages. In fact, the film to be developed is most often given to the laboratory by a merchant or reseller, who has thus received several strings from various customers. The laboratory prints, in advance, pockets, with the trader's registration number, a serial number of the work to be done, as well as various other indications and these pockets are given to the trader in question, who uses a pocket by wire he receives for processing.

   The cover also includes a frame, reserved for the binary code translating the numbers mentioned above. This code is made up of a grid which can in particular give, in binary code, the registration number of the reseller, the work order number, accounting information and information concerning the delivery of completed proofs to resellers.



  By slipping each film into a pocket, the latter therefore constituting the accompanying document, there is no risk of separation of the film and the document, a separation which may occur if the document is a sheet or the like.



  On the other hand, by using, for the binary code, a pre-printed grid on the envelope, the mechanical resistance of this envelope is not modified in any way. One could obviously use, for the binary code, perforations made in the envelope, but the risks of tearing the latter are thus increased. It would also be possible to use a punched card accompanying the envelope, but these cards run the risk of getting lost or of being interchanged and they are moreover relatively expensive. For these reasons, the envelope or pocket with binary grid constitutes the most advantageous solution, because it is safer and more profitable.



  The film to be developed, arriving at the laboratory with the accompanying document, that is to say with the envelope or sleeve, is separated from this document, but must then be provided with indications characterizing and identifying this film and allowing it to be spotting during work, at each stage of operations.



  Currently, a label is generally affixed to the rope bearing any number whatsoever, without any particular meaning, other than being a simple serial number. However, an error being always possible during the distribution of the finished proofs, it is necessary to be able to find the recipient reseller, having submitted the work. In other words, throughout the processing circuit, the film must include an indication showing the customer's number and the serial number. To this end, several solutions are applicable.

   Thus, the envelope or sleeve containing the film may include a detachable part, self-adhesive or not, forming a label, with the dealer's registration number and work order number, and this label is applied to the initiation of the film before development in the laboratory.



  A variant consists in establishing, from the indications translated into binary code on the grid of the sleeve, a label comprising the necessary information (serial number and serial number), which label is affixed to the film to be developed.



  However, labels can deteriorate during different handling of the film. On the other hand, the devices treating sealed ropes one after the other (so-called splicing method) do not allow any thickness on the films. For these reasons, it is advantageous to use an optical channel to provide the necessary indications on the film.



  For this purpose, the indications included in the binary code grid of the envelope are extracted by photoelectric means and they are reproduced, optically, in clear number, that is to say in decimal system, on the primer or other part of the film not used pho tographically.



  The indications found on the envelope, in daylight, are therefore transposed onto an unprinted part of the film, located in a dark room. Consequently, the rope is completely identified, in a simple and safe way, thanks to the remote transposition of the indications on the envelope and personalizing the film. In the event of an error during distribution, we are sure to find the origin of the film, that is to say the client who sent the line for development. Moreover, thanks to this process, the film before development also includes the working instructions.



  Thus provided with indications which characterize it, the rope is subjected to development, in a known manner, and the figures provided optically on the primer appear. The film then moves on to the proofing stage. For this part of the cycle of wire processing operations, machines ensuring a high production rate are already known and commonly used in laboratories for processing photographic films.



  The operating cycle then continues with the establishment and collection of information concerning the invoicing of the work, the distribution of photographic prints, the compilation of statistics, etc. Thanks in particular to the use of the pocket or envelope described above, with its information grid in binary code, it is possible to establish and record these indications particularly quickly and offering any guarantee, to the point. for accuracy.



  For this purpose, the proofs are passed through a mechanical or electronic device, which determines the format and performs the counting. To this end, an apparatus is advantageously used which, for each test which it computes, emits a pulse. The total number of pulses determines the affixing on the envelope, by the intermediary of a printing machine, of the desired indications, such as format and number of proofs and, possibly, price resulting from the work.



  On the other hand, a photoelectric system takes all the information formed by the binary grid and these are transmitted to a perforating machine or computer which perforates an accounting card or stores an element containing this information. It is also possible to use simultaneously 2, 3 or 4 proof counting devices, the information of which is sent to a scanning system of the known type, also called a scanner. This scanning device takes new information from all counting devices extremely quickly and practically instantaneously and transmits it to the punching machine, for example an IBM, which acts on the punched account card.



  In this way, interesting information can be obtained at any time, not only from an accounting point of view (amounts of work carried out, number of proofs produced daily, by test format, number of wire developments per day with subdivision depending on the brands of lines, amount of daily production, various statistics concerning the types of lines received for development, profitability of the proof distribution routes, etc.).



  The sleeve, which now contains the proofs of the film that originally appeared in this sleeve, is returned to the dealer. This distribution of the pockets requires a rather laborious classification; requiring a relatively large staff and again giving rise to sources of error. Thanks to the grid comprising the information in binary code, the envelopes can be sorted automatically, very quickly and accurately.



  The particular implementation illustrated by the drawing which shows an envelope or sleeve, as used during the application of this implementation, will now be explained.



  The cycle of operations therefore begins with the receipt and sorting of the envelopes each containing a film to be developed and sent to the laboratory by different resellers.



  These empty envelopes were previously given to the resellers by the laboratory. The reseller, who is thus in possession of a series of envelopes bearing different indications, which may be, for example, the registration number of the reseller and a job sequence number, uses one envelope per film to be developed. . The figure shows an exemplary embodiment of the envelope, on which we see in particular the number of my tricle (1) of the customer, the order number of the work (2) and various indications concerning the type of work to be carried out. (3) and the type of film submitted to the laboratory (4).

   The envelope also includes a grid for information, in binary code, of the registration number (5), the order number of the job (6), the route number for the distribution of the finished jobs to the dealers (7) and service indications (8), in particular the method of payment agreed with the reseller. Most of these indications constitute fixed data and are printed in advance, together with the customer's registration number, in the bit grid.



  In the laboratory, each film is removed from its individual envelope and then indications inscribed on the envelope are affixed to the film, so that the origin of this film can be found at any time. According to a preferred embodiment, the indications are transferred optically on the start of the film, indications which will appear after development. For this purpose, the film is introduced into a dark room, while the envelope remains in the light of day. A photoelectric device transfers the indications of the binary grid of the envelope to the leader of the photographed film and this film is thus individualized in clear digits, that is to say in a decimal system.



  Then the films are sealed one after the other and are developed according to the usual methods, then the proofs are drawn from the developed films.



  The finished photographic prints then pass into the counting device, which, in the case of the embodiment used, is of the mechanical type. Such a device is known and commonly used in several industries. It is obviously possible to use an electronic device, such as described for example in Belgian patent N 696953. The number of proofs, thus recorded by the accounting machine, is transmitted to a proof machine, (these being delivered in this envelope) and possibly the price of the work performed.



  Several proof counting devices can be used simultaneously, the information from these devices is read by a scanning system, called a scanner, which transmits them to a perforating machine, for example IBM.



  The envelopes are sorted automatically, thanks to the binary grid, and distributed quickly and accurately, for distribution.

 

Claims (1)

REVENDICATION Procédé de traitement d'un film photographique dans lequel une information en code binaire identifiant le film est apposée sur un document accompagnant ledit film jusqu'à l'entrée dans le laboratoire de traitement, où il en est séparé, ladite information étant lue sur le docu ment accompagnateur à l'aide d'un dispositif photoélec trique, caractérisé en ce qu'on applique l'information ainsi décodée sur une partie non exposée du film de façon que cette information devienne visible sur le film développé. CLAIM Process for processing a photographic film in which information in binary code identifying the film is affixed to a document accompanying said film until it enters the processing laboratory, where it is separated therefrom, said information being read on the accompanying document using a photoelectric device, characterized in that the information thus decoded is applied to an unexposed part of the film so that this information becomes visible on the developed film.
CH588168A 1968-04-16 1968-04-16 Process for processing a photographic film CH483038A (en)

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Cited By (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP0108987A1 (en) * 1982-10-29 1984-05-23 Photocolor Kreuzlingen AG Passage-sorting device for photographic film receptacles and method of operating such a device
WO1992022013A1 (en) * 1991-05-30 1992-12-10 Eriksen Kristina Method for marking of film and appropriate marking

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