Dispositif de concentration de lignes téléphoniques ou analogues Le brevet principal concerne un dispositif de concentration pour connecter un groupe de lignes d'abonnés téléphoniques par un nombre plus petit de jonctions à leurs positions correspondantes dans un bureau central.
Le dispositif comprend: un premier jeu de commu tateurs du type à barres croisées situé dans le voisinage immédiat dudit groupe de lignes d'abonnés, les lignes d'abonnés étant connectées aux multiples horizontaux desdits commutateurs qui sont commandés par des barres de sélection, les jonctions étant reliées aux mul tiples verticaux commandés par les sélecteurs;
un deuxième jeu de commutateurs du type à barres croisées situé dans le bureau central avec les positions correspondantes auxdites lignes d'abonnés connectées aux multiples horizontaux et les autres extrémités des jonctions reliées aux multiples verticaux, ainsi que des premiers et seconds dispositifs de test qui com prennent une pluralité de matrices de relais et redres seurs placées respectivement adjacentes aux premier et second jeux de commutateurs, ledit premier dispo sitif de test étant connecté aux lignes d'abonnés et le second dispositif de test étant connecté aux positions correspondantes dudit bureau central;
en plus des moyens reliés auxdites matrices de relais pour répondre à des appels sur lesdites lignes ou des positions correspondantes et actionnant une combinaison de relais qui identifie une ligne appelante, et des moyens actionnés par lesdits relais actionnés pour transmettre un signal indiquant la présence d'un appel.
Le dispositif de concentration comporte donc des matrices de cellules redresseuses et de relais pour tester les appels et en retenir un sur une combinaison du relais constituant le code d'identité de la ligne dont l'appel a été retenu. On connaît un arrangement de matrices de cel lules constituant chacune un commutateur électro nique destiné à tester et à identifier les lignes appe lantes. Dans ces matrices, chaque fil de sortie portait un relais de test, et les potentiels d'appel étaient appliqués à des fils d'entrée communs, multiplés chacun sur un fil de sortie dans chaque matrice par des cellules de découplage.
Dans chaque matrice, chaque relais de test appliquait un potentiel d'exclusion à tous les autres fils de sortie, sur lesquels il était également multiplé par des cellules de découplage. Par ce même potentiel, chaque relais de test actionnait un relais secondaire correspondant. Lorsque plusieurs appels survenaient en même temps, plusieurs relais de test pouvaient fonctionner simultanément dans chaque matrice, mais un seul se maintenait et action nait son relais secondaire. La combinaison des relais secondaires actionnés, un par matrice, constituait le code d'identité de la ligne dont l'appel était retenu. Des potentiels intermédiaires étaient employés comme potentiels arrière sur les matrices et comme potentiels d'exclusion.
Les matrices figurées dans le brevet principal susmentionné No 346251 présentaient des amélio rations sur les matrices précédentes. Afin de limiter le réseau de cellules en fonctionnement, elles y étaient mises en circuit l'une après l'autre, au moyen d'un relais de fin associé à chaque matrice et qui appliquait le potentiel arrière à la matrice suivante. D'autre part, on y employait des potentiels francs comme potentiel arrière et comme potentiel d'exclusion, au lieu des potentiels intermédiaires précédemment employés.
La présente invention se propose d'améliorer encore les prestations. des matrices et a pour objet un dispositif de concentration tel que défini dans la revendication dudit brevet principal, et caractérisé par le fait que plusieurs relais de fin sont associés chacun à une sortie ou à un petit nombre de sorties d'une première matrice dont les fils de sortie sont multiplés sur des groupes semblables de fils d'entrée, que les matrices suivantes sont subdivisées en sections primaires et secondaires, et que la connexion d'une section primaire à la section secondaire correspon dante est commandée par les relais de fin respectifs de la première matrice,
de sorte que le test dans chaque matrice suivante est limité au groupe de fils d'entrée choisi par le test dans la première matrice.
On ne décrira ci-après que des exemples d'arran gements de matrices, le schéma général du dispositif de concentration étant celui montré dans le brevet principal. Dans les dessins annexés, donnés eux aussi à titre d'exemple: la fig. 1 est le schéma d'un arrangement de trois matrices de test avec leurs relais secondaires et leurs relais de fin; la fig. 2 est un schéma qui montre la transformation du code d'identification utilisé dans les matrices de test, en code de transmission, puis en une série de sorties de commande pour les commutateurs connecteurs de lignes;
la fig. 3 est le schéma d'un arrangement compre nant une première matrice en deux parties qui portent chacune la moitié des fils d'entrée; la fig. 4 montre un élément de montage compre nant une série de trois matrices associée à un groupe de fils d'entrée, vu de face en (a) et de profil en (b); la fig. 5 est une vue de dos du même élément, montrant le tracé du circuit imprimé; la fig. 6 est une coupe schématique d'un organe redresseur utilisé dans cet élément de montage;
la fig. 7 est un schéma montrant la connexion des organes portés par cet élément de montage; et la fig. 8 est une vue d'un détail de cet élément (a) de face, (b) de profil et (c) de dos.
En se référant à la fig. 1, l'arrangement représenté est prévu pour 104 fils d'entrée divisés en 8 groupes de 13. Ces groupes sont désignés par les numéros I à VIII, et la connexion des fils n'a été figurée en entier que pour le groupe I.
Les groupes de 13 correspondent à l'emploi de commutateurs à barres croisées du type Pentaconta , dans lesquels 52 lignes divisées en 4 groupes de 13 peuvent être connectées au moyen de 13 barres de sélection et d'une 14e barre de sélec tion utilisée comme barre de dédoublement, chaque barre étant pourvue de deux électros pour être action née, soit vers le haut ou vers le bas. La même barre de sélection est actionnée pour connecter les fils ayant le même rang dans les 4 groupes de 13.
La première matrice comporte 8 fils de sortie dont chacun porte un relais de test A.1-8. La distri- bution de la matrice prévoit simplement la connexion de chaque groupe de fils d'entrée à un fil de sortie. On voit ainsi que les 13 fils d'entrée du groupe I sont connectés au fil de sortie qui porte le relais A.1. Les fils d'entrée des autres groupes sont connectés pareillement aux autres fils de sortie. Les potentiels d'appel sont figurés comme des batteries résistantes et peuvent être appliqués, soit par la boucle de l'abonné appelant, ou par un relais associé à la ligne appelante ou appelée.
Chaque relais de test actionne son relais secondaire AI.1-8, et ce relais applique le potentiel d'exclusion (qui est une terre franche, comme le potentiel arrière sur les matrices) à tous les autres fils de sortie de la matrice. Après un battement éventuel de plusieurs relais de test et secondaires, un seul relais de test se maintient avec son relais secondaire. Une chaîne de contacts un seul au tra vail constituée par des contacts des relais secondaires AI.1-8 se ferme alors en vue de la mise en circuit de la matrice suivante.
La chaîne figurée ici contient autant de relais de fin AF.1-8 qu'il y a de fils de sortie, c'est-à-dire autant qu'il y a de groupes de 13 fils d'entrée. La disposition est telle que lorsque cette chaîne est fermée parce que seul l'un des relais AI.1-8 est au travail, c'est le relais de fin correspondant AF.1-8 qui est actionné. Bien entendu, on peut prévoir d'autres dispositions équivalentes.
Dans les matrices suivantes, chaque groupe de 13 fils d'entrée est connecté à une section primaire séparée des fils de sortie. Sur le dessin, on n'a figuré que la section primaire du groupe I dans les deux matrices suivantes. Au repos, les 8 sections primaires de chaque matrice suivante sont déconnectées d'une section secondaire commune, qui porte les relais de test B.1-8 et C.0-9 et le dispositif de potentiels d'exclu sion. Lorsque la première matrice a fonctionné, de sorte que l'un de ses relais de fin, par exemple AF.1, a fonctionné ce relais connecte les sections primaires correspondantes par exemple celles qui portent le groupe I aux sections secondaires communes des matrices suivantes.
Dans la deuxième matrice, le potentiel arrière est appliqué à demeure, et la connexion d'une section primaire met en circuit cette matrice. Comme il peut y avoir plusieurs appels dans le même groupe de 13, plusieurs des quatre relais de test B.1-8 peuvent fonctionner. Chacun actionne son relais secondaire BI.1-8, et ce relais applique le potentiel d'exclusion aux trois autres fils de la matrice. Lorsqu'il n'y a qu'un seul relais secondaire au travail, le relais de fin BF est actionné par une chaîne de contacts un seul au travail formée par des contacts des relais BI.1-8.
Le fonctionnement du relais de fin BF de la deu xième matrice met en circuit la troisième matrice en lui appliquant son potentiel arrière. On a vu que seule la section primaire portant le groupe de 13 retenu par la première matrice était connectée à la section secondaire de la troisième matrice. Comme on le voit dans la disposition figurée, il peut y avoir encore jusqu'à 4 appels différents retenus parle choix d'un groupe de 13 par la première matrice et par le choix d'un fil de sortie dans le deuxième. Dans la troisième matrice, ces appels différents sont connectés à des fils de sortie différents, de sorte que le choix de l'un d'eux ne retiendra plus qu'un seul appel.
Plusieurs des 4 relais de test C.0-9 peuvent donc fonctionner simultanément. Chacun actionne son relais secondaire CI.0-9, et celui-ci applique le potentiel d'exclusion aux trois autres fils. Lorsqu'un seul des relais CI.0-9 reste au travail, une chaîne de contacts un seul au travail formée par des contacts de ces relais se ferme et actionne le relais de fin CF, sous le contrôle du contact d'un relais JX qui relâchera le relais CF en temps voulu.
Le fonctionnement du relais de fin CF marque le moment où un seul appel a été retenu et identifié. Le code d'identité, c'est-à-dire la combinaison des relais secondaires au travail, doit être maintenu jusqu'au moment du relâchement marqué par le fonctionnement du relais JX. Les relais secondaires AI.1-8, BI.1-8, CI.0-9 ont donc chacun un circuit de blocage qui est complété par un contact de travail du relais CF, lequel est maintenu sous le contrôle du relais JX. Bien entendu, dans d'autres emplois; le dispositif de blocage pourra être différent.
On voit que dans l'arrangement qui est figuré ici, chacune des matrices suivantes fonctionne chaque fois avec un réseau de 13 fils d'entrée avec leurs 13 cellules de découplage, au lieu de fonctionner avec tout le réseau de 104 fils avec leurs 104 cellules de découplage sur chaque matrice. Dans d'autres dis positions, on pourrait prévoir, par exemple, 4 relais de fin AF, chacun pour deux groupes de 13 et ac tionnés par une disposition de chaîne un seul au travail qui serait du ressort de l'homme de l'art. Chaque matrice suivante fonctionnerait alors par exemple avec 26 entrées, c'est-à-dire que son fonc tionnement serait encore très aisé et sûr. On verra plus loin un arrangement qui permet de faciliter le fonctionnement de la matrice primaire, laquelle porte ici l'ensemble des fils d'entrée.
Le code d'identité constitué par les matrices de la fig. 1 est destiné à être transmis sous une forme diffé rente. Le numéro du groupe de 13, déterminé dans ces matrices par l'un des relais correspondants A.1-8, sera transmis par exemple dans un code deux de cinq , et le numéro du rang dans le groupe de 13, déterminé dans ces matrices par l'un des 4 relais B.1-8 et l'un des 4 relais C.0-9, sera transmis par exemple dans un code deux de six . Après le transfert sur les relais de transmission, il restera d'atteindre les électros correspondants, haut ou bas, des barres de sélection et de la barre de dédoublement. Toutes ces transformations vont être décrites briève ment avec référence à la fig. 2.
La transmission du code est effectuée au moyen d'une chaîne de contacts J.1-11 qui permet d'atteindre, à des moments d'avancement successifs, 5 relais G.0-6 pour la transmission du numéro de groupe (1 à 8) et 6 relais H.0-9 pour la transmission du numéro dans le groupe (1 à 13). La correspondance entre les deux codes, d'identification et de transmission, est montrée dans le tableau inclus dans la fig. 2, colonnes A et G pour les 8 groupes, et colonnes B/C et H pour les 13 numéros dans le groupe. On voit que ces deux der niers codes sont pareils sauf pour le N 10.
Cette différence a sa raison dans le fait que la combinaison 1+9 est préférable dans l'identification pour la bonne composition des deux matrices B et C , tandis que la combinaison 2-I-8 est préférable dans la transmission pour les aiguillages de commande formés par les relais de transmission, comme on le verra ci-après. La traduction voulue d'un code dans l'autre est obtenue en insérant des combinaisons de contacts convenables des relais A, B, C (en fait, des relais AI, BI, CI) dans les circuits de commande des relais G et H, comme montré sur le dessin.
Les relais de transmission G forment deux aiguil lages. Le premier (figuré en bas) destiné à atteindre quatre groupes de 13 électros de sélection (haut et bas sur chaque commutateur), les groupes étant combinés par paires I-II, III-IV, etc. Le second (figuré en haut) est destiné à atteindre quatre électros de dédoublement (haut et bas sur chaque commuta teur), chaque électro correspondant à deux groupes de même parité I-III, II-IV, etc.
La correspondance entre les groupes et les électros est montrée dans la dernière colonne du tableau des codes pour les groupes, où les lettres S, D, H, B désignent les électros de sélec tion, les électros de dédoublement, les électros du haut et ceux du bas associés aux barres de sélection du commutateur.
Chacun des quatre fils de sortie de l'aiguillage (S) de groupes de 13 est connecté à l'entrée d'un aiguillage à 13 sorties formé par les relais de transmission H. L'aiguillage montré sur le dessin comprend également 3 contacts de chacun des relais H.0-9.
On va décrire maintenant, avec référence à la fig. 3, un arrangement destiné à diviser la première matrice en deux afin de diminuer de moitié le nombre de groupes d'entrées sur chacune, et par conséquent le nombre des relais de test pouvant fonctionner en bataille dans le cas de plusieurs appels simultanés. On voit sur le dessin que chaque matrice présente la disposition normale pour 4 groupes, l'une portant les groupes I à IV et l'autre les groupes V à VIII, sauf pour les potentiels d'exclusion appliqués par les contacts AFI.1-2, qui seront expliqués plus bas.
Chaque relais de test A.1-4 et A.5-8 actionne son relais secondaire<B>AI.</B> 1-4 ou AI. 5-8, et celui-ci applique le potentiel d'exclusion sur les trois autres fils de sa matrice.
Lorsqu'un seul relais secondaire s'est maintenu dans une matrice, un relais de fin, AF.l ou AF.2, est actionné par une chaîne un seul au travail formée par des contacts des quatre relais AI.1-4 ou AI.5-8. Comme les deux matrices peuvent recevoir des appels en même temps, les deux circuits des relais de fin AF. 1-2 sont disposés à leur tour en un arrangement de test.
Les chaînes de contacts AI.1-4, AI.5-8 appliquent aux relais AF.1-2 des potentiels résistants, chaque relais AF.1-2 actionne son relais secondaire AFIA-2, et chacun de ceux-ci applique un potentiel d'exclusion au fil de l'autre relais de test, ici AF.1-2. Comme dans les autres arrangements de test, un seul des relais AF.1-2 se maintient avec son relais secondaire AFIA-2. De plus, chaque relais secondaire AFIA-2 applique un potentiel d'exclusion à tous les fils de l'autre matrice primaire, en faisant retomber les relais de test correspondants,
A.1-4 ou 5-8 et leurs relais secondaires, AIA-4 ou 5-8. Cela coupe le potentiel d'appel qui pouvait être appliqué à l'autre relais de fin AF.1-2.
Lorsque cet arrangement de test a fonctionné, de sorte qu'un seul relais AFIA-2 s'est maintenu avec son relais de test AF.1-2, et que tous les relais AI.1-4 ou 5-8 associés à l'autre première matrice sont retom bés avec leurs relais de test A.1-4 ou 5-8, il se ferme un circuit de commande comprenant une chaîne de contacts un seul au travail des relais AFI.1-2 et une chaîne de contacts tous au repos des relais AI.1-4 ou 5-8.
Par l'une ou l'autre de ces dernières chaînes, ce circuit actionne l'un ou l'autre de deux relais de fin AFF.1-2. On suppose ici que dans les matrices suivantes, il y aura deux sections primaires, l'une portant les fils d'entrée des groupes I à IV et l'autre, ceux des groupes V à VIII.
Ces sections primaires seront connectées, les unes par des contacts du relais AFFA, et les autres par des contacts du relais AFF.2. Bien entendu, diverses autres dispositions sont possibles, tant en ce qui concerne le nombre des premières matrices qu'en ce qui concerne le nombre des sections primaires sur les matrices sui vantes, c'est-à-dire le nombre des relais AFI et celui des relais AFF.
On va décrire maintenant avec référence aux fig. 4 à 8 un élément de montage comprenant les sections correspondantes des matrices successives associées à un groupe de fils d'entrée. L'élément représenté correspond à l'arrangement de matrices suivant le schéma fig. 1.
En se référant à la fig. 4 l'élément de montage est constitué par une plaque de câblage 20 à circuit imprimé, qui porte 13 résistances 21, 13 redresseurs 22 et une série de broches alignées 23.
La fig. 5 montre le tracé du circuit imprimé au dos de la plaque 20. Le fil 24 est le fil d'alimentation commun des potentiels d'appel. Il est muni d'une prise extérieure 25 pour la connexion de la batterie et de 13 prises intérieures 26 pour le branchement des résistances d'appel insérées dans les 13 fils d'entrée du groupe. Ces résistances sont les résistances 21 fig. 4. La section correspondante des 13 fils d'entrée est constituée par 13 straps 27.
Chaque strap 27 est muni d'une prise intérieure 28 pour la connexion de l'autre extrémité de la résistance d'appel correspon dante et d'une prise extérieure 29 pour l'insertion de la section extérieure du circuit d'appel, par exemple d'un contact de relais de ligne, d'un contact de relais de coupure, etc. selon le schéma qui est utilisé pour les appels.
Les straps 30 constituent la section connexe des 13 fils d'entrée. Chaque strap 30 estmuni d'une prise extérieure 31 qui est l'entrée correspondante dans l'arrangement de matrices, et d'une prise intérieure 32 pour le multiplage sur les trois cellules de découplage.
En se référant à la fig. 6, les trois cellules de dé- couplage associées à chaque fil d'entrée sont réunies en un seul organe, qui est le redresseur 22 fig. 4. Le fil commun 33 est la dernière section d'un fil d'en trée. La cellule 34 et son fil 35 connectent le fil 33 à un fil de sortie de la première matrice, la cellule 36 et son fil 37 le connectent à un fil de sortie de la deu xième matrice, et la cellule 38 et son fil 39 le connec tent à un fil de sortie de la troisième matrice.
Puisque l'élément de montage correspond à un groupe de fils d'entrée, qui est connecté à un fil de sortie correspondant de la première matrice suivant l'arrangement fig. 1, il ne comporte qu'un fil de sortie de la première matrice. C'est le fil 40, avec ses 13 prises intérieures 41 pour la connexion du fil 35 des redres seurs, et sa prise extérieure 42 pour la connexion (directe suivant la fig. 1) de la section secondaire du fil de sortie, qui porte le relais de test et les contacts d'exclusion des relais secondaires des autres relais de test.
Cette section secondaire n'est pas comprise dans l'élément de montage pour des raisons de commodité, et notamment pour la raison que le nombre des groupes et par conséquent le nombre de prises dans chaque groupe pour les contacts d'exclusion de tous les autres groupes, n'est pas déterminé.
Les fils 43 constituent une section primaire de la deuxième matrice. Ils sont munis de prises intérieures 44 en nombre variable pour la connexion des fils 35, et chacun d'une prise extérieure 45 pour la connexion de la section secondaire (par l'intermédiaire d'un contact du relais de fin correspondant de la première matrice).
Les fils 46 avec leurs prises intérieures 47 pour les fils 39, et chacun avec sa prise extérieure 48 pour la section secondaire, constituent pareillement une section primaire de la troisième matrice.
On remarquera que les prises de multiplage 41, 44 et 47 forment respectivement trois rangées parallèles pour la connexion uniforme des redresseurs 22.
La fig. 7 montre le schéma des résistances et des cellules sur la plaque 20 dans la même orientation que la fig. 5. On se référera maintenant à la fig. 8 pour montrer la réalisation des prises extérieures prévues sur la plaque 20 sous la forme de broches en feuille de métal, agrafées à la plaque. On voit que chaque prise comp- prend deux parties dans le sens de la largeur; l'une constitue la broche proprement dite, et l'autre, deux pattes d'accrochage opposées 49, 50. Ces pattes sont rabattues l'une vers l'autre sur la section correspon dante 51 du circuit imprimé, et un point de soudure 52 réunit à la fois ces deux pattes et la section métalli que 51.