CH341441A - Ensemble moteur et utilisation de cet ensemble - Google Patents

Ensemble moteur et utilisation de cet ensemble

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CH341441A
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    • G04BMECHANICALLY-DRIVEN CLOCKS OR WATCHES; MECHANICAL PARTS OF CLOCKS OR WATCHES IN GENERAL; TIME PIECES USING THE POSITION OF THE SUN, MOON OR STARS
    • G04B5/00Automatic winding up
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Description


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 Ensemble moteur et    utilisation   de cet ensemble Un objet du présent brevet est un ensemble moteur comprenant un mécanisme de remontage destiné à être actionné occasionnellement et un organe moteur constitué par un ressort à boudin dont une extrémité est solidaire d'un mobile du mécanisme de remontage, qui ne peut tourner que dans le sens d'enroulement des spires du ressort en vue d'accumuler de l'énergie dans celui-ci et dont l'autre extrémité est destinée à être reliée à un mobile en vue de l'entraîner en rotation lorsque ledit mécanisme de remontage a accumulé une quantité d'énergie suffisante dans ledit ressort, des moyens agissant sur ce dernier,

   de façon que sa tension reste comprise normalement entre une limite inférieure à partir de laquelle le ressort ne peut plus entraîner ledit mobile avant que ledit mécanisme de remontage n'ait accumulé à nouveau de    l'énergie   dans le ressort, et une limite supérieure au-delà de laquelle le mécanisme de remontage ne peut pas armer le ressort. 



  L'un des buts de l'inventeur a été d'agencer les moyens qui évitent une surtension du ressort de fa- çon que les spires de celui-ci n'arrivent jamais en contact les unes avec les autres. Pour cela, le mobile du mécanisme de remontage de l'ensemble moteur revendiqué ci-après est monté fou sur un axe dont une    portion      cylindrique   fait    saillie   de ce mobile et s'étend à l'intérieur des spires de l'extrémité active du ressort, qui est adjacente au mobile de remontage et les dimensions de cette    partie   cylindrique    du-      dit   axe sont telles par    rapport   à celles du    ressort,   que ce dernier, armé au maximum,

   enserre cette partie cylindrique avant que les spires du ressort n'entrent en contact les unes avec les autres, le mobile du mécanisme de remontage et son axe étant alors solidaires l'un de l'autre en rotation et empêchant ainsi toute    accumulation   d'énergie supplémentaire dans le ressort. 



  Un autre objet du présent brevet est une utilisation dudit ensemble moteur dans une pièce d'horlogerie, qui peut être un bracelet-montre ou une montre d'automobile. 



  Le dessin annexé représente quelques exemples de réalisation de l'ensemble moteur revendiqué, tout en illustrant, à titre d'exemple, deux utilisations de cet ensemble, conformément à la revendication II. 



  Les deux dits exemples    d'utilisation   de l'ensemble moteur revendiqué sont représentés respectivement aux    fig.   1 à 4 et 5 à 14, la    fig.   15 étant une coupe longitudinale partielle d'une variante de    l'en--      semble   moteur représenté aux figures précédentes,    applicable   aussi bien, à l'un de ces deux exemples d'utilisation de l'ensemble moteur qu'à l'autre. 



  Les    fig.   1 et 2, qui en fait devraient être placées l'une à la suite de l'autre, sont chacune une coupe longitudinale d'une partie d'un bracelet-montre. 



  La    fig..   3 est une section transversale de la    fig.   2 selon la ligne    III-III.   . 



  La    fig.   4 représente certaines parties de la    fig.   2 dans une autre position de fonctionnement. 



  Les    fig.   5 et 6 qui, comme les    fig.   1 et    2,.   devraient être placées l'une à la suite de l'autre, représentent un deuxième exemple de    réalisation   de l'ensemble moteur, ces figures étant chacune une coupe longitudinale d'une    partie   de cet ensemble. 



  La    fig.   7 est une section transversale de la partie de l'ensemble moteur représentée à la    fig.   5, selon la ligne brisée    VII-VII   ; tandis que 

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 la    fig.   8 est une vue depuis la droite de la    fig.   5. La    fig.   9 est une section transversale de la partie de l'ensemble moteur représentée à la    fig.   6, selon la ligne    IX-IX.   



  La    fig.   10 montre    partiellement   certains éléments de la    fig.   6 dans une autre position de fonctionnement. 



  La    fig.   11 est une coupe longitudinale, analogue à celle de la    fig.   6, dans laquelle l'ensemble moteur en question est séparé partiellement du mécanisme qu'il est destiné à    entraîner.   



  La    fig.   12 montre une partie analogue à celle de la    fig.   6 d'un autre exemple de réalisation de l'ensemble moteur. 



  La    fig.   13 est une vue en plan    partielle   de certains éléments de la    fig.   12, et la    fig.   14 est une section transversale de la    fig.   12 selon la ligne brisée    XIV-XIV.   



  L'ensemble moteur du bracelet-montre représenté aux    fig.   1 à 3 comprend un mécanisme de remontage    (fig.   2) composé d'un tube 1 dans une    portée   duquel une denture 2 est taillée, ainsi que d'un pignon 3, dont la denture est en prise avec la denture 2 du tube 1. Le tube 1 est monté    rotativement   autour d'un axe 4 dont un    tigeron   5 est chassé dans une    ouverture   correspondante d'une pièce 6. Le tube 1 est retenu    axialement   en place autour de l'axe 4 par une portée    cylindrique   7 de ce dernier.

   Quant à la pièce 6, elle est engagée à cran dans une    partie   évasée 8 d'un bracelet comprenant    notamment   un anneau creux ouvert, destiné à entourer le bras et    terminé   à une extrémité, par la    partie   évasée 8, et à l'autre par une partie évasée 9    (fig.   1). 



  Une plaque 10,    chassée'dans   un logement 11 de la partie 8 du bracelet, présente une ouverture centrale 12, en vue de contribuer au pivotement du tube 1 et d'éviter ainsi que l'axe 4 ne soit    sollicité   à la flexion au-delà de sa limite d'élasticité. Un plot 13 présentant une portée 14 et une tête 15 est chassé dans une ouverture de la plaque 10 en vue de pivoter le pignon 3 librement autour de la    portée   14. Le pignon 3 passe au travers d'une fenêtre 16    (fig.   2 et 3) pratiquée dans la paroi de la    partie   évasée 8 du bracelet,    afin   de pouvoir être actionné en rotation depuis l'extérieur de celui-ci. 



  Un encliquetage est destiné à empêcher le tube 1 de    tourner   dans le sens contraire à celui de la flèche a    (fig.   3). Cet encliquetage comprend notamment un    fil-ressort   formant un anneau    ouvert   17, logé dans une gorge annulaire 18, qui est pratiquée dans une saillie cylindrique 19 de la    pièce   6 du bracelet. Une fente 20 est taillée en outre à la périphérie de la saillie 19 afin de    livrer   passage à une extrémité 21 du    fil-ressort,   qui est repliée perpendiculairement au plan défini par l'anneau 17.

   Cette extrémité 21 s'étend au-delà de la saillie 19 de la pièce 6 du bra-    celet,   de manière à s'engager dans des dents de loup taillées à la périphérie d'un disque 22 chassé à force à l'extrémité du tube 1. 



  Comme on le voit à la    fig.   3, la fente 20 n'est pas radiale, mais inclinée de telle façon que les faces radiales des dents du disque 22, en appuyant l'extrémité 21 du fil-ressort contre une paroi de la fente 20, emprisonnent cette extrémité 21 de façon qu'il n'y ait aucun risque de décrochage. 



     Etant   donné que le mobile 22 se déplace au voisinage immédiat de la saillie 19 du couvercle 6 de la    partie   8 du bracelet, l'extrémité 21 du fil ressort est sollicitée au cisaillement pur entre la paroi de la fente 20, contre laquelle elle appuie, et la paroi radiale de la dent du mobile 22 dans laquelle elle est engagée. 



  Lorsque le tube 1 avec la pièce 22 sont sollicités dans le sens de la flèche a par l'intermédiaire du pignon 3, les faces inclinées des dents de la pièce 22 repoussent successivement l'extrémité 21 du    fil-res-      sort   hors de leur chemin. Les deux mobiles 1 et 3, constituant le mécanisme de remontage de l'ensemble moteur représenté dans ces    fig.   1 à 3, ne peuvent tourner que dans un sens, qui est déterminé par l'encliquetage constitué par le ressort (17, 21). 



  L'organe moteur de l'ensemble représenté est constitué par un ressort à boudin 23, dont une extrémité est engagée sur un manchon 24 ménagé à    l'extrémité   du tube 1. Le diamètre extérieur de ce manchon est un peu supérieur au diamètre intérieur des spires du    ressort   23, lorsque celui-ci est à l'état de repos, complètement désarmé. 



  L'autre extrémité de ce ressort 23 est engagée sur un manchon 25, semblable au manchon 24    (fig.   1). Le manchon 25 présente une    ouverture   26 de profil carré, destinée à recevoir une pièce 27 de forme correspondante. Cette dernière est vissée sur l'extrémité filetée de l'axe 28 du premier mobile 29 d'un mouvement de montre 30, qui comprend un train d'engrenages, un échappement et un dispositif indicateur, composé des aiguilles 31 et 32 d'heures et de minutes, qui se déplacent en regard d'un cadran 33. Ce train d'engrenages, l'échappement et ledit dispositif indicateur sont    supportés   par le mouvement 30, qui est emboîté dans une lunette 34 destinée à fermer la    partie   évasée 9 du bracelet.

   Cette    partie   34    porte   un verre 35 situé approximativement dans un plan perpendiculaire à l'axe de l'anneau du bracelet, qui relie les deux parties évasées 8 et 9, représentées respectivement aux    fig.   2 et 1. 



  La mise à l'heure des aiguilles 31 et 32 est assurée par un bouton 36, situé à l'extérieur de la lunette 34. 



     Etant   donné que l'ensemble moteur de cette montre n'est pas logé dans le mouvement 33, celui-ci peut être équipé de mobiles plus grands qu'un mouvement de mêmes dimensions, avec barillet. Avec les plus petits mobiles existant, le mouvement décrit peut, en d'autres termes, être fait plus petit que les plus petits mouvements avec barillet connus.

   

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 Quoique le    ressort   23 ne soit engagé que par friction sur les manchons 24 et 25, il en est pratiquement solidaire et lorsqu'on actionne le mécanisme de remontage représenté à la    fig.   2 dans le sens indiqué par la    flèche   a dans la    fig.   3, qui correspond à celui de l'enroulement des spires du    ressort   23,    celui-      ci   est armé par torsion et l'énergie    emmagasinée   dans ce ressort se transforme en couple d'entraînement exercé sur l'axe du mobile 29 par l'intermédiaire du manchon 25 et de la pièce 27. 



  Au fur et à mesure de    l'armage   du    ressort   23 par le mécanisme représenté à la    fig.   2, le diamètre des spires de ce    ressort      diminue   et leur nombre augmente, mais toutefois pas au point que ces spires se touchent avant qu'elles n'enserrent la    portée   7 de l'axe 4 comme on le voit dans la    fig.   4.

   Dans cette figure, qui montre le    ressort   23 dans son état    d'armage   maximum, les spires de l'extrémité de ce    ressort   adjacente au mécanisme de remontage, enserrent fermement le manchon 24 et la    portée   7 de l'axe 4, de sorte que le tube 1 et son axe 4 sont solidarisés en rotation par l'intermédiaire du    ressort   23. Comme l'axe 1 est fixé au couvercle 6 de la    partie   évasée 8 du bracelet, le tube 1 et le pignon 3 sont complètement immobilisés.

   Pour éviter toute déformation des spires du    ressort   situées entre la partie cylindrique du manchon 24 et la portée 7 de l'axe 4, ce manchon présente une extrémité tronconique 37 dont le grand diamètre est égal à celui de la    partie   cylindrique du manchon et dont le petit diamètre est égal à celui de la portée 7 de l'axe 4. 



  La    portée   7 de l'axe 4 est par conséquent une sécurité absolue pour le ressort 23, qui empêche toute    surtension   du    ressort,   lorsque le pignon 3 est actionné soit à la main soit en le promenant sur une surface plane. 



  Du fait que les dimensions de la    portée   7 sont choisies de manière que le    ressort   23 enserre cette portée avant que ses spires ne se touchent, ce ressort n'a pas besoin d'être lubrifié. 



  Lorsque le    ressort   23 est armé dans la position représentée à la    fig.   4, il se détend progressivement en entraînant le mouvement de la montre jusqu'à ce que son couple ne soit plus suffisant à cet effet. 



  Des essais ont montré que l'énergie accumulée dans ce    ressort   était    telle   que le mouvement 30 de la montre pouvait être    entraîné   pendant trois jours, même si le mobile 29 était constitué par une roue de grande moyenne décentrée de ce mouvement. 



  Dans l'exemple représenté aux    fig.   1 à 3, un chevauchement et un enchevêtrement des spires du ressort 23 est évité grâce à un câble    flexible   38, qui s'étend librement à l'intérieur du    ressort   23, entre la    portée   7 de l'axe 4 et le manchon 25. 



  Comme le câble 38 n'est pas entraîné en rotation avec le mobile 29, toute l'énergie du    ressort   23 est transmise à ce mobile, sans qu'une    partie   de    celle-      ci   soit absorbée par le câble 38. 



  Dans une variante, illustrée à la    fig.   15, ce câble 38 est supprimé. Dans cette figure on voit une par-    tie   de    l'anneau   39 du bracelet, qui    relie   les deux parties évasées 8 et 9 de celui-ci. Le    ressort   23 est    désarmé   et on voit que le diamètre intérieur de l'anneau 39 est à peine supérieur au diamètre extérieur des spires du    ressort   23, de    sorte   que cet anneau 39 empêche également les spires du    ressort   23 de se chevaucher et de s'enchevêtrer, même lorsque ce    ressort   est armé au maximum et que le diamètre de ses spires est par conséquent un peu plus petit. 



  Dans le deuxième exemple, le mécanisme de remontage est représenté à la    fig.   5 et il est destiné à être actionné par un organe oscillant composé d'un levier 40, d'un corps 41 et d'un axe 42. Comme dans l'exemple représenté aux    fig.   1 à 3, l'axe 42 présente une    portée   43 et un    tigeron   44 chassé dans une ouverture du corps 41 de manière à être solidaire de celui-ci. Ce corps 41 présente de son côté une saillie cylindrique 45 dans laquelle sont taillés deux méplats 46, diamétralement opposés et représentés à la    fig.   8. Le levier 40 présente une ouverture dont la    forme   correspond exactement à celle de cette    saillie   45, de manière que ce levier soit solidaire en rotation du corps 41.

   Le levier 40 est tenu    axialement   en place sur cette saillie 45 du corps 41 par l'intermédiaire d'une rondelle bombée 47, qui présente une    ouverture   centrale 48    (fig.   8) de même forme que la saillie 45. Une gorge circulaire 49, taillée dans la saillie 45, permet de fixer    axialement   la rondelle 47 à cette saillie en la tournant de 900 par rapport à sa position d'engagement, jusqu'à ce qu'elle arrive dans la position de la    fig.   8. Les quatre encoches 50 découpées à la périphérie de la rondelle 47 sont destinées à permettre de saisir cette rondelle à l'aide d'un outil approprié, en vue de la mettre en place ou de l'enlever. 



  Comme dans l'exemple des hg. 1 à 3, la portée 43 de l'axe 42 retient un tube 51    axialement   en place autour de l'axe 42, de manière que ce tube puisse tourner    librement   autour dudit axe. Une roue à dents de loup 52 est également fixée au tube 51, qui présente un manchon 53 destiné à recevoir une extrémité du    ressort   moteur 54. 



  Deux encliquetages analogues à celui qui est placé entre le mobile 22 et la saillie 19 dans la    fig.   2, sont utilisés dans l'exemple de la    fig.   5. L'un de ces encliquetages comprend le    ressort   55, logé dans une gorge annulaire 56 d'une pièce fixe 57, et l'autre est constitué par un ressort 58 logé dans une gorge annulaire 59 pratiquée à la périphérie du corps 41. Les    extrémités   60 et 61 des deux    ressorts   55 et 58 travaillent avec la denture de la roue 52, en passant respectivement au travers de fentes 62 et 63, visibles plus    particulièrement   à la    fig.   7. Ces fentes 62 et 63 sont inclinées comme la fente 20 du premier encliquetage décrit avec l'exemple des    fig.   1 à 3. 



  Le fonctionnement de ces deux encliquetages est le suivant Lorsque le corps 41 tourne dans le sens de la flèche    b      (fig.   7), l'extrémité 61 du    ressort   58 est bloquée contre la paroi radiale d'une dent de la roue 

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 52 par l'une des parois de la fente 63, de sorte que ce mobile 52 est entraîné en rotation par l'organe oscillant constitué par le levier 40 et le corps 41. Ce mouvement est possible, puisque l'extrémité 60 du ressort 55 saute alors sur les dents de la roue 52 en étant repoussée hors de leur chemin par les faces inclinées de ces dents.

   Cette    extrémité   60 du ressort 55 empêche toutefois le mobile 52 de    tourner   dans le sens opposé à celui de la    flèche   b, de sorte que l'extrémité 61 du    ressort   58 saute sur les dents de la roue 52, lorsque l'organe oscillant (40, 41) tourne dans le sens opposé à celui de cette    flèche   b. 



  Il s'ensuit que la roue 52 et le tube 51 tournent toujours dans le même sens, correspondant à celui d'enroulement des spires du ressort 54, quand l'organe (40, 41) effectue des mouvements alternatifs. 



  Il convient de noter que les    extrémités   60 et 61 des    ressorts   55 et 58 ne risquent pas de venir en contact l'une avec l'autre, malgré qu'elles s'étendent sur toute la largeur des dents de la roue 52, car l'organe oscillant (40, 41) n'est pas destiné à    effectuer   des mouvements qui pourraient amener ces deux parties desdits    ressorts   en contact l'une avec l'autre. 



  Le corps 41, le tube 51 et la roue 52 sont logés à l'intérieur d'un boîtier cylindrique 64. Une bague 65, chassée dans ce boîtier,    sert   de butée axiale et de palier au corps 41. Quant à la pièce 57, elle tient lieu de couvercle à ce boîtier. Cette pièce est    fixée      angulairement   au boîtier par    l'intermédiaire   d'une goupille non représentée.    Enfin,   la pièce 57 est retenue    axialement   en place dans le boîtier 64 par l'intermédiaire d'un anneau    ouvert   66, engagé dans une rainure    intérieure   qui est pratiquée à l'extrémité du boîtier 64. 



  Une cloche 67 fixée au corps 41 entre une portée de celui-ci et le levier 40, tient lieu de logement à un    ressort   de rappel 68 armé entre la bague fixe 65 et le levier 40, en vue de ramener celui-ci normalement dans la position représentée dans les    fig.   5 et 8, dans laquelle une paroi d'une découpure 111 appuie contre une goupille 69 plantée dans la bague 65. Le couple exercé par le ressort 68 sur le levier 40 est    orienté   notamment de manière que ce levier 40 arme le    ressort   moteur 54, lorsqu'il se déplace contre l'action du    ressort   de rappel 68. 



  Une gorge annulaire 70, pratiquée à la périphérie du boîtier 64 est destinée à recevoir une bride en vue de permettre la fixation de ce boîtier à un support. Le couvercle 57 est enfin venu avec un manchon 71 sur lequel une gaine 72 est fixée solidement. 



  Le ressort 54 s'étend à    l'intérieur   de la gaine 72 jusqu'à la    partie   de l'ensemble moteur représentée à la    fig.   6. Cette    partie   de l'ensemble moteur comprend un corps formé par une pièce tubulaire 73 fixée à un embout 74. La gaine 72 est également engagée solidement sur une    partie   de ce corps. Le    ressort   54 traverse l'embout 74 et son extrémité est engagée sur une portée    cylindrique   d'une pièce 75 montée    rota-      tivement   à    l'intérieur   du corps (73, 74). Une pièce 76, présentant une ouverture intérieure de profil carré, est vissée dans une ouverture taraudée, pratiquée dans la face antérieure de la pièce 75.

   La pièce 76 est engagée sur un carré 77 formé à l'extrémité de l'axe 78 du premier mobile d'un mouvement de montre, pivotant dans un pont 79 de ce mouvement. La pièce 76 et le carré 77 sont destinés notamment à rendre la pièce 75    angulairement   solidaire de l'axe 78, en vue de transmettre le couple d'entraînement du    ressort   54 au premier mobile de ce mouvement    d'horlogerie.   



  La pièce 73 de la    partie   de l'ensemble moteur, destinée à être raccordée audit mouvement, est ajustée dans un manchon 80 d'un boîtier 81, dans lequel est logé le mouvement de la montre. Cette    partie      du-      dit   ensemble moteur est notamment fixée de manière amovible au manchon 80 par    l'intermédiaire   d'un écrou 82. 



  Pour éviter que le    ressort   54 ne se détende complètement, chaque fois que la partie de l'ensemble moteur représentée à la    fig.   6 est    séparée   du boîtier du mouvement de la montre, un dispositif de verrouillage automatique de la pièce 75 est logé dans le corps (73, 74) de cette    partie   de l'ensemble moteur. 



  Ce dispositif comprend notamment un verrou 83, situé sous l'action d'un    ressort   84 prenant appui contre l'embout 74. Le verrou 83, visible particulièrement à la    fig.   9, comprend un anneau 85, deux oreilles extérieures diamétralement opposées 86 et deux oreilles intérieures 87. Les oreilles 86 sont destinées à le rendre solidaire en rotation de la pièce tubulaire 73 en passant au travers de deux fentes longitudinales 88, diamétralement opposées, pratiquées dans la pièce 73. Quant aux oreilles 87 du verrou 83, elles sont destinées à venir en contact avec deux nez 89 de la pièce mobile 75. 



  Lorsque la partie représentée à la    fig.   6 de l'ensemble moteur est fixée au boîtier 81, les deux oreilles extérieures 86 du verrou 83 reposent contre l'extrémité du manchon 80 de ce boîtier 81, de    sorte   que le ressort 84 est armé et que les oreilles 87 sont    écartées      axialement   des nez 89 de la pièce 75, qui peut alors    tourner   librement par    rapport   au corps (73, 74) de cette partie de l'ensemble moteur. 



  Pour séparer ladite    partie   de cet ensemble moteur du boîtier 81, il    suffit   de dévisser l'écrou 82. La    fig.   11 montre cet écrou 82 presque complètement séparé du manchon 80. Les oreilles 86 sont arrivées au fond des fentes 88, sous l'action du ressort 84. Les oreilles 87 du verrou 83 sont en position de verrouillage de la pièce 75. Dans cette position de la    fig.   11, la pièce 75 est toutefois encore reliée au carré 77 de l'arbre 78 par l'intermédiaire de la pièce 76, de    sorte   que pendant ce premier moment de dégagement de l'écrou 82, la pièce 75 n'a pu effectuer aucune rotation    libre   sous l'action du    ressort   54. 



  Lorsque l'écrou 82 est complètement dégagé du manchon 80, et que la pièce 76 est dégagée du carré 77, la pièce mobile 75 est alors libérée, mais elle ne 

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 peut pas effectuer plus d'un quart de tour sous l'action du ressort 54, avant d'être verrouillée par les nez 89, contre lesquels butent les oreilles intérieures 87 du verrou 83. 



  Le dispositif de verrouillage décrit est par conséquent automatique ; il évite tout    désarmage      brusque   et complet du    ressort   54. 



  Pour raccorder au boîtier 81 cette partie représentée à la    fig.   6 de l'ensemble moteur, il suffit d'engager la pièce 76 sur le carré 77, puis de visser l'écrou 82 sur le manchon fileté 80 du boîtier. Au cours de ce vissage, le    corps   (73, 74) pénètre progressivement à l'intérieur du manchon 80 du boîtier 81, et le verrou 83 recule par rapport à ce corps, contre l'action du ressort 84, en dégageant les oreilles 87 des nez 89. 



  La pièce 75 est retenue    axialement   en place dans le corps (73, 74) par une bague 90 fixée à l'extrémité de la pièce tubulaire 73. 



  L'ensemble moteur décrit est destiné à être utilisé principalement dans une montre automobile. Comme la portée 7 de l'axe 4 du premier exemple, c'est ici la portée 43 de l'axe 42 qui est destinée à éviter toute surtension du    ressort   54. Pour cela le diamètre extérieur de cette    portée   43 est choisi de telle façon par    rapport   au diamètre intérieur des spires du    ressort   54, que celles-ci se resserrent sur cette    portée   43 avant d'entrer en contact les unes avec les autres. Lorsque le    ressort   54 est ainsi refermé sur le manchon 53 et la    portée   43, l'axe 42 et le tube 51 avec la roue 52 sont solidaires en rotation.

   Si le levier 40 est alors actionné dans le sens de la flèche b    (fig.   7), il entraîne le tube 51 au plus encore d'un demi-tour, dans le sens d'enroulement des spires du    ressort   54 ; mais le    ressort   de rappel 68 ne peut plus ramener ce levier 40 contre la goupille 69, puisque l'encliquetage constitué par le ressort 55 empêche le mobile 52 de tourner dans le sens opposé à celui de la flèche b, et que l'axe 42 et par conséquent le corps 41 et le levier 40 sont solidarisés avec le tube 51 par l'intermédiaire du ressort 54, qui enserre fermement le manchon 53 du tube 51 et la    portée   cylindrique 43 de l'axe 42. 



  Si le mécanisme de remontage représenté à la    fig.   5 est placé dans la voiture automobile au voisinage d'un organe mobile relié par une chaînette au levier 40, on voit alors que toute action de remontage est suspendue, ledit élément mobile de la voiture automobile se déplaçant sans plus aucune action sur le levier 40. 



  Par ailleurs l'action du    ressort   54 sur le mobile entraîné est suspendue dès que la tension du    ressort   54 tombe au-dessous d'une limite prédéterminée, pour éviter que ce    ressort   ne se désarme complètement. Dans ce but, on prévoit simplement le diamètre intérieur de l'embout 74    (fig.   6), au travers duquel passe le    ressort   54, de telle façon par rapport au diamètre extérieur de ce    ressort,   que les spires de celui-ci entrent en contact (comme on le voit à la    fig.   10) avec les parois de l'ouverture de cet embout avant que le    ressort   54 ne soit complètement    désarmé.   



  Pour éviter un chevauchement et un enchevêtrement des spires du ressort 54, on peut placer un câble 91 à l'intérieur des spires de ce ressort ou faire la gaine 72 assez petite comme dans le cas de la variante représentée à la    fig.   15. Dans tous les cas, on évite les pertes d'énergie du    ressort   54 et les irrégularités du couple transmis, dues à un câble    fixé   au mobile entraîné par le    ressort   et tournant avec ce mobile. 



  Le boîtier 64 peut en    particulier   être    fixé   à la    carosserie   de la voiture automobile, au-dessus de l'axe d'une roue avant, la chaînette attachée au levier 40 par une extrémité ayant alors son autre extrémité attachée à une partie d'un    tigeron   mobile assurant la suspension élastique de cette roue par rapport au châssis et par conséquent à la carrosserie de la voiture. 



  Les    fig.   12 à 14 représentent un autre exemple de réalisation de la    partie   de l'ensemble moteur, qui est destinée à être raccordée au boîtier du mouvement d'horlogerie. Au    lieu   que cette partie soit fixée à un manchon du boîtier par    l'intermédiaire   d'un écrou, elle est fixée à un manchon 92 par-un dispositif à baïonnette, comprenant deux goupilles 93, diamétralement opposées, plantées dans un corps 94 de cette    partie   de l'ensemble moteur. On voit à la    fig.   13, comment les    goupilles   93 sont engagées chacune dans une découpure 95 du manchon 92. 



  Lorsque la partie de l'ensemble moteur représentée à la    fig.   12 n'est pas raccordée à un mouvement de montre, la pièce mobile 96 de cette    partie   de l'ensemble moteur, à laquelle est attachée une extrémité du ressort 54, est retenue    axialement   en place dans le corps 94 par une bague 97 fixée à celui-ci. Le jeu radial de la pièce 96 est    limité,   d'une    part,   par l'ouverture de la bague 97, et, d'autre    part,   par une rondelle 98, appliquée    axialement   par un    ressort   à boudin 99 contre un    anneau-ressort   100, engagé dans une rainure annulaire de la pièce 96.

   Quant au jeu axial de cette pièce 96, lorsque ladite partie de l'ensemble moteur est raccordée au boîtier d'un mouvement d'horlogerie, il est limité, d'une    part,   par un épaulement intérieur 101 du corps 94, contre lequel bute la rondelle 98, et, d'autre    part,   par    l'extrémité   du carré 77, contre laquelle bute le fond 102 d'une    ouverture   correspondante de la    pièce   96.    Il   est en effet préférable d'utiliser cette extrémité de l'axe 78 comme butée axiale, plutôt que la bague 97. On évite ainsi une usure due au frottement des saillies 103 de la pièce 96 avec la bague 97. 



  Pour dégager les goupilles 93 des découpures 95 du manchon 92 du boîtier, on remarquera qu'il faut commencer par enfoncer le corps 94 plus profondément dans le manchon 92. Or, ce mouvement ne serait pas possible si au lieu d'une rondelle 98, montée    élastiquement   sur la pièce 96, on avait prévu un épaulement rigide sur cette pièce, car le jeu axial du corps 94 entre l'épaulement 101 et l'extrémité du 

 <Desc/Clms Page number 6> 

 carré 77 n'aurait pas été suffisant. C'est la rondelle 98, mobile    axialement   et le ressort 99 qui permettent le dégagement des goupilles 93, du fait que l'épaulement 101 peut déplacer la rondelle 98 contre l'action du ressort 99. 



  La    partie   de l'ensemble moteur représentée dans ces    fig.   12 à 14 comprend aussi un dispositif de verrouillage automatique du ressort moteur. Ce dispositif est composé d'un verrou 104 et d'un ressort à boudin 105, qui sollicite le verrou vers la gauche dans la    fig.   12. 



  Le verrou 104, visible plus en détail à la    fig.   14, est constitué par un anneau 106, venu avec deux oreilles intérieures, diamétralement opposées 107. Cet anneau 106 est monté coulissant autour du corps 94, auquel il est fixé    angulairement   du fait que ses oreilles 107 sont engagées dans des fentes longitudinales 108, pratiquées dans le corps 94. Outre    cette   fonction de guidage, les oreilles 107 assurent naturellement le verrouillage de la pièce mobile 96, en servant de butée aux saillies 103 de cette pièce. 



  Dans la position raccordée au boîtier du mouvement d'horlogerie, représentée à la    fig.   12, un épaulement intérieur 109 du manchon 92 du boîtier, retient le verrou 104, contre l'action du    ressort   105, dans une position axiale telle par rapport au corps 94, que les oreilles 107 libèrent les saillies 103 de la pièce mobile 96, pour lui    permettre   de tourner librement avec l'axe 78 du premier mobile du mouvement d'horlogerie. 



  Lorsqu'on sépare la    partie   représentée à la    fig.   12, du boîtier du mouvement d'horlogerie, en dégageant les goupilles 93 des découpures 95, l'épaulement 109 permet au verrou 104 de coulisser vers l'avant du corps 94, sous l'action de son    ressort   105, jusqu'au moment où ce verrou bute contre la bague 97, ses oreilles 107 étant alors situées en regard des saillies 103. On remarquera que le verrou 104 arrive dans cette position bien avant que le carré 77 soit dégagé de    l'ouverture   frontale de la pièce mobile 96. Comme dans l'exemple décrit précédemment, cette pièce 96    tournera   donc un demi-tour au plus, sous l'action du ressort 54, lorsque le corps 94 est séparé du boîtier du mouvement d'horlogerie. 



  Au moment de la fixation du corps 94, au boîtier du mouvement, l'épaulement 109 dégage automatiquement la pièce mobile 96, en maintenant le verrou 104 dans une position axiale déterminée, contre l'action du    ressort   105. Cet épaulement ne repousse toutefois pas le verrou 104 vers l'arrière du corps 94 avant que le carré 77 de l'axe 78 ait pénétré    suffisamment   dans    l'ouverture   frontale de la pièce mobile 96, pour empêcher cette    dernière   de tourner subitement sous l'action du ressort 54, qui pourrait    fort   bien être    armé   au maximum lorsqu'on accouple l'ensemble moteur au mouvement ou le sépare de ce dernier. 



  Comme dans l'exemple précédent, le    ressort   54 ne peut plus entraîner le mouvement de la montre quand sa tension a diminué jusqu'à une limite dé- terminée. Cette limite est fixée pratiquement par les parois 110 de l'ouverture postérieure du corps 94. Le diamètre de cette ouverture est choisi par rapport à celui des spires du ressort à l'état de repos, de la même façon que dans l'exemple des    fig.   5 et 6.

Claims (1)

  1. REVENDICATION I Ensemble moteur comprenant un mécanisme de remontage destiné à être actionné occasionnellement et un organe moteur constitué par un ressort à boudin dont une extrémité est solidaire d'un mobile du mécanisme de remontage, qui ne peut tourner que dans le sens d'enroulement des spires du ressort en vue d'accumuler de l'énergie dans celui-ci, et dont l'autre extrémité est destinée à être reliée à un mobile en vue de l'entraîner en rotation lorsque ledit mécanisme de remontage a accumulé une quantité d'énergie suffisante dans ledit ressort,
    des moyens agissant sur celui-ci de façon que sa tension soit comprise normalement entre une limite inférieure à partir de laquelle le ressort ne peut plus entraîner ledit mobile avant que ledit mécanisme de remontage n'ait accumulé à nouveau de l'énergie dans le ressort, et une limite supérieure au-delà de laquelle ledit mécanisme de remontage ne peut pas armer le ressort, ensemble caractérisé en ce que ledit mobile du mécanisme de remontage est monté fou sur un axe dont une portion cylindrique fait saillie de ce mobile et s'étend à l'intérieur des spires de l'extrémité active dudit ressort, qui est adjacente au mobile de remontage,
    les dimensions de ladite partie cylindrique de cet axe étant telles par rapport à celles du ressort que ce dernier, armé au maximum, enserre cette partie cylindrique avant que ses spires n'entrent en contact les unes avec les autres, ledit mobile du mécanisme de remontage et son axe étant alors solidaires l'un de l'autre en rotation et empêchant ainsi toute accumulation d'énergie supplémentaire dans ledit ressort. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Ensemble moteur selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'extrémité du ressort fixée au mobile du mécanisme de remontage est simplement engagée sur un manchon solidaire de ce dernier, dont le diamètre extérieur est un peu plus grand que le diamètre intérieur des spires du ressort lorsque celui-ci est complètement désarmé, et en ce que ledit axe traverse ledit mobile, une extrémité de cet axe étant chassée dans un élément situé du côté du- dit mobile qui est opposé au manchon, tandis que l'autre extrémité de l'axe dépasse ledit manchon et présente une portée servant à retenir ledit mobile axialement en place,
    cette portée appartenant à ladite portion cylindrique de l'axe. 2. Ensemble moteur selon la sous-revendication 1, caractérisé en ce que ledit élément auquel est fixé l'axe dudit mobile du mécanisme de remontage est fixe, et en ce que ce mobile est destiné à être entraîné <Desc/Clms Page number 7> manuellement dans le sens du remontage dudit ressort, tandis qu'un encliquetage porté par ledit élément fixe l'empêche de tourner dans l'autre sens. 3.
    Ensemble moteur selon la sous-revendication 1, caractérisé en ce que ledit élément fait partie d'un organe destiné à effectuer des mouvements oscillants : dans un sens sous l'action d'un organe de commande automatique, et, dans l'autre sens, sous l'action d'un ressort de rappel, en ce qu'un encliquetage porté par ledit organe oscillant est agencé de façon à n'entraîner ledit mobile de remontage avec cet organe oscillant que lorsque ce dernier est actionné par lédit organe de commande, et en ce qu'un encliquetage monté sur un support fixe empêche ledit mobile de remontage de tourner dans l'autre sens, ledit ressort de rappel laissant toutefois ledit organe oscillant immobile avec ledit mobile du mécanisme de remontage, lorsque le ressort enserre ladite portée de l'axe de ce mobile. 4.
    Ensemble moteur selon la revendication I, caractérisé en ce que l'extrémité du ressort destinée à être reliée audit mobile entraîné est engagée sur un manchon présentant une ouverture carrée, destinée à recevoir une partie mâle correspondante, formée à l'extrémité de l'axe de ce mobile entraîné, et en ce qu'un câble flexible est logé librement à l'intérieur de la partie dudit ressort située entre ce manchon et ledit mobile du mécanisme de remontage, afin d'empêcher les spires de ce ressort de se chevaucher et de s'enchevêtrer. 5.
    Ensemble moteur selon la revendication I, caractérisé en ce que ledit ressort passe dans un conduit dans lequel il est engagé sur la plus grande partie de sa longueur, le diamètre intérieur de ce conduit étant un peu plus grand que celui dudit ressort, lorsque ce dernier est complètement désarmé, afin d'empêcher les spires de ce ressort de se chevaucher et de s'enchevêtrer. REVENDICATION II Utilisation de l'ensemble moteur selon la revendication I, dans une pièce d'horlogerie comprenant un dispositif indicateur commandé par un train d'engrenages sous contrôle d'un échappement, utilisation dans laquelle le premier mobile de ce train d'engrenages est entraîné par ledit ensemble moteur. SOUS-REVENDICATIONS 6.
    Utilisation selon la revendication II, dans laquelle l'ensemble moteur selon la sous-revendication 2, est logé dans un bracelet comprenant un anneau creux, ouvert, portant deux parties renflées situées chacune à l'une de ses extrémités, la première pour loger le mouvement de la pièce d'horlogerie et la seconde pour loger ledit mécanisme de remontage, tandis que le ressort passe dans ledit anneau. 7.
    Utilisation selon la revendication II, dans laquelle l'ensemble moteur selon la sous-rendication 3 est logé dans un boîtier fixé au tableau de bord d'une voiture automobile, tandis que le mécanisme de remontage est logé dans un boîtier qui est fixé à la voiture automobile au voisinage d'un organe de celle- ci qui est mobile pendant la marche de la voiture, et qui constitue ledit organe de commande automatique du mécanisme de remontage de la montre. 8. Utilisation selon la sous-revendication 7, dans laquelle ledit organe de commande est relié par une chaînette audit organe oscillant du mécanisme de remontage, afin de ne l'entraîner que dans le sens qui correspond à celui du remontage dudit ressort. 9.
    Utilisation selon la sous-revendication 8, dans laquelle ledit organe de commande est constitué par l'un .des éléments de guidage et de support d'une roue avant de la voiture automobile, ledit mécanisme de remontage étant fixé à la carrosserie de la voiture au-dessus dudit élément de la voiture.
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