Machine comptable et statistique commandée par des moyens porteurs d'enregistrements. La présente invention a pour objet une machine comptable et statistique commandée par des moyens porteurs d'enregistrements. Cette machine comprend une source d'énergie et des moyens de mise en place destinés à former des circuits de commande représentant des données comptables et statistiques. Elle est caractérisée par un dispositif d'essai destiné à effectuer un contrôle initial des circuits de commande ainsi formés, ces circuits étant branchés en série avec ladite source d'énergie, pour contrôler que tous ces circuits ont été formés.
Des moyens de commutation sont prévus pour brancher tous ces circuits en parallèle avec la source d'énergie lorsque la continuité de chacun d'eux a ainsi été con trôlée.
La machine qu'on décrira plus loin, à titre d'exemple, est du type prévu pour fonctionner avec des moyens porteurs d'enregistrements constitués par des fiches ou cartes poinçonnées ou perforées. Ce type de moyens porteurs d'enregistrements est bien connu, et il est uti lisé dans les machines comptables et' statisti ques du type Hollerith ou IBM bien con nues.
On comprendra cependant que l'inven tion n'est pas limitée â des machines utilisant des moyens porteurs d'enregistrements cons titués par des fiches perforées, mais qu'elle peut s'étendre à tout autre genre de moyens porteurs d'enregistrements, tels par exemple que les moyens porteurs d'enregistrements constitués par des marques électriquement conductrices qui sont utilisées pour comman der certains types de machines bien connues.
La machine décrite comprend des moyens électroniques servant à analyser les moyens porteurs d'enregistrements et à traduire les données que contiennent ces moyens en im pulsions électriques. Ces impulsions sont uti lisées pour commander les fonctions de la machine. Celle-ci comprend donc des balais analyseurs qui peuvent être reliés aux élec trodes de commande de tubes électroniques, ces balais étant disposés pour fournir des signaux électriques à ces électrodes.
Il est clair cependant que de tels balais pourraient être remplacés par des cellules photoélectri ques ou par des dispositifs analogues qui ne sont pas nécessairement en contact avec les moyens porteurs d'enregistrements pour ana lyser les données que contiennent ces moyens, ou encore par un dispositif analyseur à frot tement.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine objet de l'invention.
Fig. 1 est une vue générale en perspective de cette machine depuis la droite.
Fig. 2g et 2B prises ensemble constituent. un plan de la machine, une partie de son en veloppe étant enlevée.
Fig. 3 est une vue d'organes de transmis sion prineipaitx disposés à l'extrémité gauche de la machine représentée à la fig. 1. Pig. 4 est un plan, à plus grande échelle, d'un magasin pour des fiches et d'un méca nisme d'avance de fiche.
Fig. 5 est une élévation en coupe selon 5-5 de la fig. 4.
Fig. 5A est une vue .de détail d'un verrou destiné à soulever les fiches.
Fig. 6 est une élévation en coupe, à plus grande échelle, montrant -une, bande de con ,tact de contrôle.
Fig. 7 est une vue similaire à celle de la fig. 6, montrant un élément de triage excité sous commande d'une impulsion 1 .
Fig. 8 est une élévation en coupe selon 8-8 de la fig. 6.
Fig. 9 est un plan partiellement en coupe, montrant la bande de contact de contrôle de triage.
Fig. 10 est un plan d'une bande de com mutateur pour l'un des chariots que com prend la machine.
Fig. 11 est une élévation en coupe, à plus grande échelle, de la bande de contact de contrôle de triage, selon 11-11 de la fig. 9.
File. 12 est une élévation en coupe selon 12-12 de la fig. 2A.
Fig. 13 est ime élévation en coupe selon 13-13 de la fig. 2A.
Fig. 14 est une vue, à phis grande échelle, d'un mécanisme de commande d'une barre de caractères et d'un mécanisme de contact de contrôle, vu à plus grande échelle qu'à la fig. 13.
Fig. 15 est ime élévation frontale de la partie inférieure d'un mécanisme d'impres sion représenté à la fig. 2B.
Fig. 16 est une vue, à plus grande échelle, d'un mécanisme d'échappement et d'un élec tro-aimant d'actiônnement de ce mécanisme.
Fig. 17 est -une vue de détail montrant une crémaillère et des cliquets d'échappement. Fig. 18 est une élévation en coupe, à plais grande échelle, d'un mécanisme d'embrayage de retour d'iin chariot.
Fig. 19 est une élévation latérale partielle en coupe, montrant un mécanisme d'espace ment de lignes pour un des chariots de la ma chine. Fig. \30 est une élévation vue depuis l'ar rière d'un mécanisme d'impression représenté à la fig. 2A.
Fig. 21 est une vue de détail d'un méca nisme de déclenchement d'embrayage de re tour d'un chariot et de butées marginales pour le chariot représenté à la fig. 23.
Fig. 22 est une vue similaire à celle de la fig. 21 d'un mécanisme de déclenchement de retour d'un chariot et de butées marginales pour le chariot représenté à la fig. 2B.
Fig. 23 est une élévation en coupe selon 23-23 de la fig. 15, montrant un embrayage d'impression.
Fig. 24 est une élévation en coupe selon 24-24 de la fig. 2A, montrant un train d'en grenages d'entraînement pour un émetteur à grande vitesse et des rupteurs.
Fig. 25 est une élévation en coupe selon 25-25 de la fig. 2A, montrant (les rupteurs à grande vitesse.
Fig. 26 est une élévation en coupe selon 26-26 de la fig. 2B, montrant un émetteur d'impression.
Fig. 27 est une élévation en coupe selon <B>27-9-7</B> de la fig. 2B, montrant des rupteurs à petite vitesse et des organes de transmission d'entraînement pour ces rupteurs.
Fig. 28 est une élévation d'une des unités d'accumulateur que comprend la machine. Fig. 29 est une coupe horizontale selon 29-29 de la fig. 28.
Fig. 30 est une vue en bout de cette unité d'accumulateur.
Fig. 31 est une élévation en coupe selon 31-31 de la fig. 28.
Fig. 32 est une élévation en coupe selon 32-32 de la fig. 29.
Fig.- 33 est une élévation en coupe selon 33-33 de la fig, 29.
Fig. 34 est une élévation en. coupe selon 34-34 de la fig. 29.
Fig. 35 est une élévation en coupe selon 35-35 de la fig. 31.
Fig. 36 est une élévation d'un compteur d'unités que comprend la machine.
Fig. 37 est un plan du compteur repré senté à la fig. 36. h\ig. 38 est une élévation en coupe selon 38-38 de la fig. 36.
Fig. 39 est une élévation en coupe selon 39-39 de la fig. 37.
Fig. 40 est une élévation en coupe selon 40-40 de la fig. 37.
Fig. 41 est une vue de face d'un tableau de connexions de la machine.
Fig. 42 montre un exemple d'un formu laire destiné à être utilisé dans la machine. Fig. 43 est une vue de détail en perspec tive et à grande échelle, montrant des con tacts d'un levier de première fiche.
Fig. 44 est une vue montrant des cou ; tacts du magasin de fiches.
Fig. 45 est une vue similaire à celle de la fig. 35, montrant un commutateur de lecture utilisé pour certains compteurs d'unités.
Fig. 46 représente un dispositif de mar quage.
Fig. 47g et 47B prises ensemble consti tuent un diagramme de commande électrique dans le temps de la machine.
Fi-. 48g à 48g constituent le schéma élec trique de la machine.
Fig. 49A à 49R sont des schémas de con nexion de 1a machine, montrant chacun. l'én- semble de connexions effectuées sur le tableau de connexions que comprend cette machine, pour différentes sortes d'opérations.
Fig. 50A à 50D sont des schémas électri ques d'une partie de la machine, ces schémas correspondant respectivement aux conditions obtenues à l'aide des ensembles de connexions représentées aux fig. 49g à 49N.
Fig. 50E et 50F sont des schémas analo gues à ceux des fig. 50A à 50D, correspondant respectivement aux ensembles de connexions représentées aux fig. 49F et 49Q.
La partie principale de l'ensemble du mé canisme que comprend la machine est monté sur la face supérieure d'un grand socle fondu rectangulaire 100 (fig. 2A et 2B). Ce socle est. porté par un châssis comprenant des pieds 101 (fig. 3) et différentes entretoises et châssis partiels (non représentés) supportant les éléments non mécaniques de cette machine, tels que des dispositifs de commande électri- ques et électroniques, des dispositifs d'alimen tation, des accumulateurs, des relais et des compteurs de postes.
La machine est entourée d'un boîtier adé quat 102 (fig. 1) muni d'une série de pan neaux 102a susceptibles d'être éloignés pour accéder aux rangées de relais, aux compteurs d'unités, aux tubes électroniques et aux sources d'alimentation de la machine. Des panneaux semblables sont également prévus à l'arrière de la machine, pour permettre d'accé der aux éléments électriques montés dans le socle.
A l'extrémité de droite de la machine, le boîtier 102 est muni de panneaux articulés 102b, susceptibles d'être déplacés pour per mettre d'accéder à un tableau de connexions de cette machine, pour effectuer des modifi cations dans ces connexions ou pour changer ce tableau et le remplacer par un tableau câblé à l'avance, au cas où cela est nécessaire.
Un mécanisme d'avance de fiche et d'ana lyse de ces fiches et un mécanisme de distri bution de fiches qu'on désignera collective-, ment ci-après comme mécanisme de triage sont montés an sommet du socle 100. Ce groupe de mécanismes occupe environ la moi tié de la surface du sommet de ce socle et sa construction est très semblable, à certaines modifications près, à celle de la machine de triage de fiches International . Ftant donné que cette machine est bien connue des gens du métier, cet ensemble de mécanismes ne sera décrit ci-après que très brièvement, tout en indiquant les modifications nécessaires pour le fonctionnement spécial de la machine décrite.
La partie de la machine constituant une machine de triage comprend un magasin H (fig. 1, 2A, 4 et 5), destiné à recevoir des fiches perforées C et qui comprend un poids presse-fiches usuel ZV, destiné à maintenir les fiches plates dans le magasin et à les empê cher de s'enrouler. Le magasin H est muni de pinces usuelles pour les fiches 103 (fig. 2A, 4 et 5.),
montées sur des coulisses de pince 104 réunies à des bras 105 d'in arbre 106 par un dispositif de liaison à fentes et goupilles. Les bras 105 et l'arbre 106 sont entraînés pour osciller par des bielles 107 reliant ces bras à des manivelles adéquates (non représentées) d'un vilebrequin 108 monté dans le châssis.
A chaque tour du vilebrequin 108, une fiche est éjectée vers la gauche (fig. 4 et 5) du magasin H et elle est saisie par des pre miers rouleaux d'avance 109, pivotés dans le châssis. Les rouleaux d'avance 109 déplacent la fiche éjectée vers la-gauche, en regard d'un rouleau de contact CR et de balais d'explora tion de fiches B, en nombre égal à celui des colonnes que comprend chaque fiche d'enre gistrement.
La machine représentée au dessin a été construite pour utiliser des fiches normales IBM de 80 colonnes. Par conséquent, cette machine est pourvue de 80 balais qui sont montés dans un bloc de matière isolante 110, fixé de façon amovible dans le châssis.
A gauche du rouleau de contact CR (fig. 2A, 4 et 5), la fiche éjectée est saisie par un rouleau d'avance 111 et par un galet 112 tournant librement, et elle est déplacée vers la gauche jusqu'à un troisième jeu de rou leaux d'avance 113. Ces derniers rouleaux font avancer la fiche en regard de lames de triage 114, au nombre de 12, jusqu'à une pre mière paire d'une série de paires de rouleaux d'avance 115, disposées à intervalles régu liers de droite à gauche (fig. 2A et<B>213)</B> pour faire avancer les fiches jusqu'à des poches de triage.
Ces poches RP et OP à 9P respective ment sont chacune associées à une paire de rouleaux d'avance 115. Les poches de triage présentent chacune une console usuelle- 116 (fig. 5) sur laquelle les fiches tombent lorsqu'elles arrivent dans cette poche, cette console descendant sous l'effet du poids des fiches jusqu'à ce que la poche soit pleine. Conformément à la prati que usuelle, les consoles de fiches actionnent chacune un mécanisme qui fait fonctionner des contacts PPC de poche pleine, pour ouvrir ces contacts lorsque cette poche est pleine de .fiches, et pour commander le cir cuit d'un moteur entraînant la machine, de façon à arrêter cette machine.
Ces contacts sont usuels et bien connus dans les machines de ce type et ne seront donc pas décrits en détail ici.
L'arbre 108 ou vilebrequin entraînant un couteau d'expulsion de fiches et. des arbres entraînant les rouleaux 109, 112, 111, 114 et 115 sont entraînés par un arbre à grande vi tesse 117 (fig. 2A, 2B et 4), par l'intermé diaire de vis sans fin 117 a de l'arbre 117 et de roues de vis sans fin 118 fixées aux diffé rents arbres des différents rouleaux d'avance et à l'arbre transversal 108. L'arbre 117 porte une poulie 119 à son extrémité de gauche (fig. 2B et 3), et cette poulie est reliée par une courroie à une poulie 119a, fixée sur l'arbre 120 d'un moteur d'entraînement (non représenté). L'arbre 117 est ainsi entraîné de façon continue lorsque la machine fonctionne.
Des moyens sont prévus pour empêcher l'éjection des fiches hors du magasin H dans certaines conditions. Ces moyens comprennent un jeu de quatre leviers élévateurs de fiches 122 (fig. 1, 2A, 4 et 5). Ces leviers sont con formés pour s'étendre jusqu'au-dessous des fiches contenues dans 1e magasin, de chaque côté des couteaux ou pinces de fiche 103. Les bras verticaux des leviers 122 sont réunis entre eux par une tige transversale 123, pas sant à travers tous ces leviers qui lui sont fixés. De courts arbres 124 passent chacun à travers deux des leviers 122 auxquels ils sont.
fixés. Une extrémité de chacun de ces arbres est pivotée dans un palier fixe adéquat, si bien que tous les leviers 122 et l'arbre trans versal 123 pivotent ensemble autour des courts arbres 124 qui servent de manetons pour le cadre rigide formé par eux, par l'ar bre 123 et par les leviers 122. Les bras verti caux des deux leviers 122 centraux sont plus longs que ceux des mitres et ils sont munis d'une tige transversale fixe 125, sur laquelle est articulé un verrou 126 (fig. 5). Ce verrou est tendu dans le sens des aiguilles d'une mon tre par un ressort de torsion 127, partielle ment enroulé autour de la tige 125.
Normale ment, le verrou 126 est dégagé d'une goupille 128a que porte un levier de came 128, monté sur un pivot fixe<B>1.29</B> porté par le châssis. L'arbre 108 porte -une came 130, coopérant avec un galet du levier de came 128. Le verrou 126 est relié par une bielle 131.à l'armature 132 d'un électro-aimant d'avance de fiche CFil11.
Lorsque l'électro-aimant CFJ11 est excité, le verrou 126 est tiré vers le bas par la bielle 1.31 et croche sur la goupille 128a. Ce verrou 126 est ensuite tiré vers la gauche par le le vier 128 et fait pivoter l'ensemble élévateur de fiche, comprenant les leviers 122, dans le sens des aiguilles d'une montre et soulève les bords arrière des fiches C, dans le magasin II, assez haut pour que la pince de fiche 103 soit dégagée de ces bords et ne puisse éjecter une fiche hors de ce magasin.
Lorsque l'ensemble élévateur de fiche a été ainsi actionné, Lin verrou 133 (fig. 5A) s'échappe d'une saillie clé verrou rectangulaire 125a, ménagée à l'extrémité arrière de la tige transversale 125, et maintient l'ensemble élévateur de fiche en position élevée.
Le verrou 133 est relié par une bielle 134 (fig. 5) à l'armature 135 d'un électro-aimant d'avance de fiche C11112. Cette armature est normalement tendue dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre par un ressort -136. Lorsque la ma chine fait avancer les fiches, le verrou 133 est pressé vers le haut par le ressort 136, en con tact avec la face inférieure de la saillie rec tangulaire 125a, et le ressort 136 fait s'échap per ce verrou derrière cette saillie chaque fois que l'ensemble élévateur de fiche est actionné, comme décrit ci-dessus.
Lorsque l'électro aimant d'avance de fiche CFM2 est excité, il tire la bielle 134 vers le bas et dégage le verrou 133 de la saillie 125a, permettant ainsi à l'ensemble élévateur de fiches de. re- v enir à sa position représentée à la fig. 5, sous l'effet du poids des fiches C et du poids W.
Un mécanisme destiné à commander la distribution des fiches dans les différentes poches de triage est représenté aux fig. 5 à 9. Ce mécanisme comprend un électro-aimant de commande de triage SCII1, communément appelé électro-aimant de triage, qui est monté fixe sur le châssis, entre les arbres des rou leaux d'avance 113 et la première paire de rouleaux d'avance 115, environ à mi-chemin entre les extrémités d'une fiche avancée par ces rouleaux.
Une plaque d'armature 140 co opère avec l'électro-aimant SCJI. Cette pla que est montée pour pivoter sur deux tou rillons fixes 141 présentant chacun une partie de plus petit diamètre logée dans des trous de la plaque 140. L'axe vertical de symétrie de cette plaque, vue à la fig. 9, est disposé en travers de la ligne d'avance de fiches, et la plaque présente un arrêt 140a, maintenu en contact avec une vis d'arrêt 142 fixée au châssis par un ressort 143 fixé à cette plaque 140 par une goupille fendue 144.
Lorsque l'électro-aimant SCIII est excité, la plaque 140 est basculée vers le bas, dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre (fig: 8).
Les lames de triage 114 présentent une section réduite au voisinage de la plaque 140 et sont susceptibles de s'abaisser lorsque cette plaque est actionnée par l'électro-aimant SCIIf, selon la position d'une fiche passant aux extrémités de ces lames au moment de l'exci tation de cet électro-aimant SCDI. La fig. 7 montre la position prise par les lames 114 lorsqu'une impulsion 1 est transmise à l'électro-aimant SCH. Cette impulsion est produite à un instant auquel la fiche C (fig. 7)
a passé au-dessous des extrémités des huit premières lames et elle permet à cette fiche de passer entre les lames conduisant à la poche 1 et les lames conduisant à la poche 2, de façon à tomber dans la poche 1. Aux fig. 6 et 7, les petits chiffres 0 à 12 et la lettre R désignent les espaces entre les laines dans lesquels la fiche doit passer pour être con duite à la poche de triage portant le nombre correspondant, la lettre R désignant la poche de refus.
Si aucune impulsion n'est transmise à l'électro-aimant SCIII jusqu'au moment où la fiche a été avancée jusqu'à la position re présentée à la fig. 6, cette fiche est conduite à la poche de refus RP (fig. 5). Les petits chiffres 0 à 12 et les lettres RP aux fig. 2A et 2B indiquent les positions des poches de triage.
Des moyens sont prévus pour comparer les impulsions de commande de triage avec la po sition effective de la fiche lorsque celle-ci passe en regard des lames de triage, pour s'assurer qu'une fiche qui devrait être con duite dans une poche déterminée soit correc tement mise en place pour passer entre des lames condiûsant à cette poche. Cette opéra tion est connue sous le nom de contrôle de triage .
Ces moyens de contrôle compren nent une bande de contact constituée par une couche de matière isolante 145, fixée à la pla que 140 (fig. 5 à 9 et 11) et présentant un jeu de douze contacts noyés 145u, disposés se lon une rangée transversale à la plaque 140, parallèlement à la ligne d'avance des fiches. Un contact noyé 145a est disposé en face de la partie amincie de chacune des lames de triage 114, et ces parties amincies reposent normalement sur ces contacts lorsque aucune fiche ne vient s'interposer entre les lames et la plaque, comme c'est le cas à la fig. 7 pour les lames qui ne reposent pas ;sür la fiche C.
Les lames 114 sont fixées à la machine et iso lées de celle-ci et elles constituent une con nexion électrique commune pour les contacts noyés 145a qui ne sont pas recouverts par la fiche. Ces contacts sont reliés électriquement ait moyen de bandes de matière conductrice 145b (fig. 9 et 11) à des rivets terminaux 145c. Des fils 145d d'un câble aboutissant aux contacts noyés 145a sont fixés, par soudure par exemple, aux rivets 145c, pour relier les contacts 145a aux circuits de commande dont ils font partie.
La façon dont les circuits fermés par les lames 114 entrant en contact avec -les contacts noyés 145a commandent la machine sera expliquée plus en détail plus loin, lorsqu'on décrira le fonctionnement de la machine en référence à son schéma élec trique.
Un mécanisme d'impression est prévu pour imprimer selon plusieurs colonnes sur de grandes feuilles de rapport à plusieurs co lonnes. Soixante compteurs d'unités sont prévus dans le but d'imprimer tous les totaux de ces compteurs sur une seule ligne. Etant donné que ces compteurs ont chacun une ca pacité de quatre chiffres, cela nécessiterait une feuille de travail assez large pour con tenir au moins 240 chiffres, et l'impression d'un si grand nombre de totaux nécessite un temps considérable, à moins qu'une barre de caractères soit prévue pour chaque ordre de chiffre.
Une telle disposition ne serait pas économique, et le problème est résolu en divi sant la feuille de travail en deux sections de deux parties chacune et en prévoyant deux chariots: un pour chaque section en deux parties de la feuille de travail. Le mécanisme d'impression est divisé en quatre batteries, contenant chacune quatre barres de carac tères, et toutes ces batteries fonctionnent au cours d'un seul cycle d'impression pour im primer quatre totaiLx dans quatre colonnes de la feuille de travail.
En divisant les soixante compteurs d'unités en groupes de quinze, il est possible d'imprimer soixante totaux au cours de quinze cycles d'impression seulement, les totaux correspondant à un groupe de quinze compteurs étant imprimés au cours d'une succession de quinze cycles d'impres sion, après chacun desquels le chariot portant le formulaire destiné à recevoir ces totaux est déplacé jusqu'à la colonne suivante.
Les fig. 1, 2A et 2B montrent les deux chariots pour les deux sections en deux par ties de la feuille de travail, le chariot de gau che étant désigné par LHC et le chariot de droite par RHC. Ces chariots sont des cha riots de vingt pouces normaux de machine à écrire et comprennent chacun des plaques terminales 150 (voir fig. 12, 13, 19 et 20) qui sont réunies par un organe en forme de canal constituant une surface de roulement pour de paliers 152, sur lesquels chacun des cha riots est monté pour coulisser sur un rail avant 153 et sur un rail arrière 154.
Chaque chariot comprend un cylindre rotatif usuel 155, un étrier pince-papier 156 et une con sole d'appui<B>157</B> pour ce papier. Des rouleaux de pression adéquats 155a et un organe dé flecteur 155b (fig. 13) de forme usuelle co opèrent avec le cylindre 155 pour appliquer la section en deux parties de la feuille de tra vail contre le cylindre et pour permettre à celui-ci de faire avancer cette section de feuille de travail. Le cylindre 155 de chacun des chariots est muni de boutons usuels 155c, servant pour le faire tourner à la main. Du fait de la grande longueur du cylindre, les rails 153 et 154 doivent être de longueur considérable et s'étendent très loin au-delà du châssis qui les supporte.
Pour maintenir un parallélisme exact entre les rails 153 et 154 et pour conserver entre eux une distance exacte également, ces rails sont reliés à leurs extrémités extérieures par des jougs. 158 (fig. 12 et 19). Les rails 153 et 154 sont fixés à des jougs 159 (fig. 13), deux de ces jougs étant prévus pour chaque chariot. Les jougs 159 sont montés sur des plaques de aupport 160 pour les batteries d'impression.
Deux batteries d'impression sort prévues pour cha cun des chariots, si bien qu'il y a deux pla ques 160 par chariot et quatre plaques en tout, chacune de ces plaques portant le méca nisme d'une batterie d'impression compre nant quatre barres de caractères 161. pour l'impression de quantités comprenant quatre chiffres.
La fig. 42 montre la disposition d'une sec tion en deux parties d'un formulaire, la ca pacité de cette section étant indiquée par les nombres 1 à 30. figurant en haut de ce for mulaire, prévu pour l'enregistrement de trente totaux de compteurs d'unités. Cette feuille en deux parties peut être disposée dans le chariot de gauche LHC représenté à la fig. 2B, tandis qu'une feuille correspondante peut être disposée dans le chariot de droite, cette ,dernière feuille comprenant des colonnes numérotées de 31 à 60.
Des colonnes supplé mentaires désignées par Quantité et par Tri et deux colonnes désignées chacune par un astérisque sont prévues dans des buts qu'on expliquera plus loin.
Les plaques 160 sont espacées entre elles d'une distance telle que les totaux des comp teurs 1, 16, 31 et 46, par exemple, soient im primés simultanément au cours d'un seul cy cle d'impression dans les colonnes de numéros correspondants des deux seetiohs de la feuille de travail.
Les quatre batteries d'impression sont de construction sensiblement identique, si bien que la description d'une seule de ces batteries sera suffisante. Le mécanisme associé à cha- que batterie d'impression est porté par la plaque 60 correspondant à cette batterie. Les fig. 12 à 15 et 20 montrent le mécanisme associé - à une seule batterie d'impression.
Les deux plaques 160 associées à chaque chariot sont réunies entre elles par une pla que supérieure 162, - par les deux rails 153 et 154 du chariot, par un châssis transversal 163 et par des barres transversales 164. Ces pla ques sont fixées au socle 100 au moyen de brides adéquates 165. Les barres de caractères 161 sont de forme usuelle, et chaque groupe de ces barres est monté pour coulisser, aux extrémités supérieures des-barres, dans des fentes espacées ménagées dans une bride de guidage 166 (fig. 13) fixée à la face droite de la plaque 160 associée. Les barres de ca ractères sont pourvues de cliquets de zéro usuels 167, pivotes sur un bloc 168 que porte la bride 16-6.
Ces cliquets 167 provoquent, de façon connue, l'impression' automatique de zéros à droite de chaque chiffre significatif.
A son extrémité inférieure, chaque groupe de barres de caractères 161 est monté pour coulisser dans un cadre 169 (fig. 13, 14 et 15), ce cadre étant monté pour coulisser verticale ment sur deux tiges de guidage 170. Les tiges de guidage 170 sont supportées par les pla ques 160 au moyen de blocs 171. Des bras 172 sont pivotes sur un prolongement du cadre 169, un de ces bras étant prévu pour chaque barre de caractères 161: Ces bras présentent chacun une extrémité arrondie entourée par des rebords et venant en contact avec l'extré mité inférieure de la barre de caractères cor respondante.
Ils sont tendus dans le sens con traire de celui des aiguilles d'une montre (fig. 13) par des ressorts 172a fixés à un étrier 173 porté par le châssis 169. Lorsque le châssis 169 est déplacé vers le haut, les. barres de caractères 161 sont entraînées par ce châssis du fait que les bras 172 maintien nent des saillies d'arrêt 161a, ménagées sur les barres de caractères, appuyées vers le haut contre une partie du châssis 169.
Si l'une quelconque ou plusieurs des barres de carac tères est ou sont arrêtées dans des conditions indiquant des valeurs numériques, les ressorts 172a associés aux bras des barres arrêtées sont tendus, le châssis continuant son mouve ment vers le haut.
L'arrêt sélectif des barres de caractères est effectué de façon à représenter différents chiffres par des électro-aimants d'impression P11, dont les armatures 174 (fig. 13 et 14) sont disposées pour verrouiller des cliquets d'arrêt 175.
Une armature 174 et un cliquet d'arrêt 175 sont associés à chaque électro aimant P111. Ces cliquets d'arrêt sont pivotés sur un axe 176 et sont tendus dans le sens des aiguilles d'une montre par des ressorts 175a. Les cliquets sont normalement verrouil lés dans la position représentée à la fig. 13 et à la fig. 14 par les armatures des électro aimants Plll associés. Des moyens sont prévus pour provoquer l'émission d'impulsions, en des points commandés dans le temps d'un cycle de- fonctionnement de la machine, pour représenter les différents chiffres.
Par exem ple, si une impulsion 1z> est émise, l'électro aimant PlyI de la barre de caractères devant fonctionner est excité au point 1 du cycle et libère le cliquet 175 associé. Le déplace ment vers le haut du cadre 169 s'effectue se lon -une relation de temps définie avec l'émis sion des impulsions de chiffres, si bien que la barre de caractères est amenée en position à l'instant où l'impiùsion 1 est émise, son ca ractère 1 étant prêt à se déplacer vers la ligne d'impression.
Chaque barre de carac tères est pourvue d'une denture de crémail lère 161b, dont les dents correspondent en nombre aux positions de chiffres 0 à 9, et la libération du cliquet 175 en 1 au cours du cycle a pour effet que ce cliquet engage la dent appropriée de la barre de caractères, pour arrêter celle-ci, de façon que son carac tère 1 soit en regard de la ligne d'impres sion.
Après que l'impression a été effectuée, les cliquets 175 qui ont été déclenchés sont ra menés en position de verrouillage par leurs armatures 174, au moyen d'un cadre 177 (fig. 13 et 14) pivoté sur les axes 166 portant les cliquets 175. Ce cadre est entraîné pour pivoter dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre par uni bras 178, pi voté en 179 et engageant l'un des bras du cadre 177. Le bras 178 est maintenu dans la position représentée aux fig. 13 et 14, en con tact avec une goupille d'arrêt 180, par un ressort 181.
Lorsque le bras 178 est entraîné pour pivoter dans le sens des aiguilles d'une montre, le cadre 177 est entraîné dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une mon tre et vient en contact avec ceux des cliquets 175 qui ont été déclenchés, pour les ramener dans leur position de verrouillage par leurs armatures 174 associées.
Les cadres 169 d'une paire de batteries d'impression sont actionnés par des cames 182 (fig. 12 et 15). Les cames 102 de deux batte ries d'impression sont fixéez r. un arbre uni que 183, pivoté dans la paire de plaques 160 associées à l'un des chariots. Chaque cadre 169 présente un prolongement 169a (fig. 12 et 15) portant un galet 169b coopérant avec une rainure de came 182a, ménagée dans la came 182.
Cette came est conformée de façon que le cadre 169 soit déplacé vers le haut de façon -uniforme pendant la période durant la quelle les impulsions de chiffres sont fournies aux électro-aimants d'impression P-11, et que ce cadre reste ensuite stationnaire pendant une courte période pour permettre le fonc tionnement de marteaux d'impression. La came retire ensuite le cadre vers le bas.
Le pivot 179 du bras 178 est porté par un court axe pivoté dans la plaque 160 et. portant un bras 185 (fig. 2A, 2B, 3, 12, 15 et 20), co opérant avec une goupille 186a portée par un engrenage 186 monté sur -in goujon 187 que porte la plaque 160. L'engrenage 186 coopère avec un engrenage 188 fixé à l'arbre 183.
On se rend compte que, peu avant la fin de cha que cycle de fonctionnement, les goupilles 186a viennent frapper les extrémités des bras 185 pour les faire pivoter dans le sens con traire de celui des aiguilles d'une montre (fig. 12), faisant ainsi pivoter les bras 178 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 13 et 14) pour actionner le cadre 77 de rappel des cliquets et pour ramener les cli- quets déclenchés dans leur position de ver rouillage par les armatures 174 associées.
Afin d'imprimer les caractères que portent les barres de caractères 161, chaque bloc d'im pressions est muni de quatre marteaux d'ùn- pression 189 (fig. 2A, 2B et 13). Ces mar teaux sont pivotés sur un arbre 190 pivoté dans la plaque 160 et dans une bride 191 (fig. 13) également montée sur cette placpe 160. Un cadre d'actionnement 192 pour les marteaux est fixé à l'arbre 190.
Ce cadre pré sente un peigne de guidage 192a, destiné à espacer les marteaux d'impression 189 et les fentes de ce peigne servent de butée pour ces marteaux, pour limiter leur rotation dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre sous l'effet de ressorts 193 fixés à des bras de ces marteaux et au cadre 192. Un levier de came 194 est fixé à l'arbre 190, du côté opposé de la plaque 160 (fig. 12). Ce le vier est tendu dans le sens opposé à celui des aiguilles d'une montre par un ressort 195, contre la périphérie d'une came d'actionne ment des marteaux 196.
Cette came présente une chute qui, au moment du cycle auquel les cames 182 d'actionnement des barres de ca ractères sont au repos, libère brusquement le levier 194 et permet au ressort 195 de faire pivoter l'arbre 190 et le cadre 192 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 13). Chaque levier 194 est brusquement arrêté lorsqu'il vient en contact avec une butée réglable 194a (fig. 12) que porte la plaque 160, avant que les saillies 189a d'actionnement des barres de caractères que portent les marteaux 189 ne frappent les têtes des éléments de caractères 161c.
Cependant, les marteaux d'impression continuent à se déplacer par inertie et en traînent les caractères choisis contre le pa pier, pour frapper ce papier à travers un ru ban d'encrage<B>197.</B> Les cames 196 sont fixées à des engrenages 196a pivotés en 196b sur les plaques 160 et engrenant avec les engrenages 186.
Des mécanismes d'avance et de renverse ment de ruban séparés sont prévis pour cha cun des chariots, ces mécanismes étant com muns aux deux batteries d'impression asso- ciées à chaque chariot.
Le mécanisme du cha riot de droite RIIC comprend des bobines 198 pour le ruban (fig. -2A), qui sont montées pour pivoter de façon adéquate sur la plaque supérieure 16\?. Le ruban 197 part de la bo bine de droite (fig. 2g), passe vers le haut et autour d'un galet de guidage arrière appro prié 199;
il est ensuite guidé vers la droite et s'étend le long de la ligne d'impression de la batterie de droite, passe autour d'un galet de guidage arrière 199 semblable et, de là, vers l'avant jusqu'à un galet de guidage 200, au coin droit avant de la plaque 162, pour s'étendre ensuite vers la gauche et passer autour d'un second galet de guidage avant 200. De là, ce ruban passe vers le haut et autour d'un galet de guidage arrière 199; il s'étend le long de la ligne d'impression de la batterie de gauche et autour d'un galet de guidage arrière 199, pour s'enrouler finale ment sur la bobine de gauche 198.
Le mécanisme d'avance et de guidage du ruban pour le chariot de gauche est cons truit de façon semblable. Un mécanisme d'avance et de renversement du ruban quel conque peut être utilisé, et ce mécanisme ne sera donc pas décrit plus en détail.
Le mécanisme d'impression est entraîné à pliïs faible vitesse que le mécanisme d'avance et de répartition -des fiches, au moyen de transmissions comprenant une poulie 210 (fig. 3) fixée à l'arbre 120 du moteur, une courroie 211 (voir fig. 2B et 15) et une poulie 212 fixée à un arbre 213. L'arbre 213 porte un pignon 214, engrenant avec une grande roue dentée 215 fixée à un arbre 216.
L'extré mité de gauche de l'arbre 216 est pivotée à. sa gauche dans un châssis 217 (fig. 2A, 3 et 15) et à son extrémité de droite dans le moyeu d'un bras d'embrayage 219 (fig. 15 et 23) fixé à un arbre 220 pivoté lui-même dans trois châssis de palier 221 (voir fig. 2B et 20). Un collier d'embrayage 222, présentant une encoche 222a, est fixé à l'extrémité de gauche de l'arbre 216.
Le bras d'embrayage 219 porte un chien d'embrayage 223, présentant une dent 223b conformée pour pénétrer dans l'en coche 222a. Ce chien est pivoté en 223a sur le bras de l'embrayage 219, et il est tendu dans le sens des aiguilles d'une montre, si bien qu'il a tendance à -engager le collier 222 sous l'effet d'un ressort 224, fixé au chien 223, d'une part, et, d'autre part, à une gou pille que porte le moyeu du bras d'embrayage. Normalement, le chien d'embrayage 223 est maintenu éloigné du collier 222 par un bras de verrou 225 pivoté en.226 à une plaque de support d'électro-aimant 227, fixée elle-même au châssis 221.
Le verrou 225 est solidaire d'une armature 225a, coopérant avec les en roulements d'un électro-aimant d'embrayage d'impression PClll porté par la plaque 227.
Lorsque l'électro-aimant PC111 est excité, le chien 223 est libéré et la- dent 223b finit par pénétrer dans l'encoche 222a et à accou pler ainsi les arbres 216 et 220. Le mécanisme représenté à la fig. 23 constitue un embrayage à un tour de type connu et conventionnel qui est automatiquement à nouveau verrouillé à la fin de chaque tour, une seconde impulsion devant être fournie à l'électro-aimant PCI11 ou cet électro-aimant devant être maintenu excité si l'arbre 220 doit effectuer plus d'un tour.
L'arbre 220 porte deux engrenages 228 (fig. 2A; 2B, 15, 20 et 23) qui engrènent avec des engrenages 229 fixés aux arbres 183. Ces arbres 183 sont ainsi entraînés par l'arbre 220 lorsque les arbres 216 et 220 sont couplés l'un à l'autre. Des groupes de contacts de contrôle sont associés aux batteries d'impression. Ces con tacts sont disposés pour fermer des circuits ca ractéristiques des positions d'arrêt effectives des barres de caractères. Ainsi-qu'on l'expli quera plus loin, ces circuits sont utilisés pour contrôler l'exactitude de l'impression de totaint.
Le mécanisme de contact est particulière ment bien visible aux fig. 13 et 14. Un jeu d'organes intercalaires 300, en nombre cor respondant à celui des barres de caractères, est monté pour pivoter en 169c, sur un bloc 169b qui guide les barres de caractères 161 sur le cadre 169. Chaque barre de caractères présente une goupille 161d, faisant légère ment saillie et coopérant avec une surface de came 300a, ménagée sur l'organe intercalaire 300 adjacent.
Chaque organe 300 comprend également une goupille 300b qui coopère avec la surface plane verticale d'un organe d'ac- tionnement de contact 301, en forme de T. Les organes 301 sont portés par une paire de bielles parallèles 302, pivotées en 304 à une partie fixe de la machine, de façon que pour une petite course des organes 301, ceux-ci se déplacent sensiblement selon une ligne droite.
Des ressorts 305 .fixés à l'extrémité de droite de chacun des organes d'actionnenient 301 tendent ces organes vers la gauche pour ame ner leur partie verticale plane 301a en con tact avec les goupilles 300b et pour presser ainsi les organes 300 vers la gauche, contre les goupilles 161d des barres de caractères.
Les organes d'actionnement de contact 301 sont disposés en regard des barres de ca ractères, au moyen d'une bride en forme de peigne 306 (fig. 14) montée dans la structure supportant les bielles 302. Un peigne fixe 306a guide les parties allongées horizontales des organes 301.
Un bloc isolant 301b, présentant une fente verticale au travers de laquelle passe un fil de contact 307, est fixé à l'extrémité arrière de chaque organe d'actionnement de contact 301. Les fils de contact 307 sont maintenus verticalement dans -Lui bloc de contact 308, de matière isolante, fixé à la structure suppor tant les bielles 302 et les peignes 306 et 306a. Un organe de contact fixe 309 coopère avec chacun des fils de contact 307. Les organes de contact 307 et 309 associés forment des contacts de contrôle CKC.
Lorsque les barres de caractères sont dé placées vers le haut au cours de l'opération d'impression, les organes intercalaires 300 restent en contact avec les goupilles 161d re présentées aux fig. 13 et 14, jusqu'à ce que la barre de caractères correspondante soit arrêtée par son cliquet associé 175.
Lorsque la barre de caractères est ainsi arrêtée, la gou pille 161b s'arrête également, mais l'organe intercalaire 300 associé continue à se déplacer verticalement et la goupille 161T le fait pivo ter dans le sens des aiguilles d'une montre, en coopérant avec sa surface de came 300a. L'or gane d'actionnement de contact correspondant est alors déplacé vers la droite par la goupille 300b de l'organe 300 et amène le fil de con tact 307 associé contre le contact fixe 309, fermant ainsi le contact CKC. Ces contacts ferment chacun un circuit qui représente la valeur à laquelle la barre de caractères asso ciée est arrêtée,
les valeurs représentées étant fonction du point du cycle auquel le contact CKC se ferme.
Deux mécanismes d'avance de chariot sont disposés pour assurer le déplacement colonne par colonne des chariots, nécessaire pour im primer successivement les totaux sur la feuille de travail. Le mécanisme d'avance du chariot de droite RFIC comprend un moteur à ressort d'avance de chariot 350, de type convention nel (fig. 20) qui est relié au chariot par un ruban 351. Ces moteurs à ressort ont tendance à faire avancer les deux chariots vers la gau che aux fig. 1, 2g et 2B ou vers la droite à la fig. 20. Chaque chariot porte une crémaillère d'échappement 352 (fig. 12, 13, 16, 17 et 20).
Cette crémaillère coopère avec une paire de cliquets d'échappement 353 (fig. 17), de type conventionnel, qui sont montés pour pivoter et pour coulisser en 354 sur une console 355 que porte le rail arrière 154 associé. La cré maillère présente des dents espacées de un pouce, tandis que les cliquets 353 sont suscep tibles de coulisser d'une faible fraction de cet espace et que leurs longueurs diffèrent d'un demi-espace de dent, c'est-à-dire d'un demi- pouce.
Un organe d'actioiuiement de cliquet 356, coopérant avec des queues que présentent les cliquets 353, est monté pour pivoter autour du même axe 354 que ces cliquets. Ceux-ci sont attirés vers la gauche et tendus dans le sens des aiguilles d'une montre (fie. 17) par des ressorts 357 séparés.
Normalement, un des cliquets est toujours engagé avec une des dents de la crémaillère 352, tandis que l'autre se trouve approximativement à mi-chemin entre de telles dents adjacentes, à droite ou à gauche dudit cliquet engagé. Dans cette po sition, la queue du cliquet qui est engagé (cliquet du bas ou cliquet arrière à la fig. 17) est poussée vers la gauche contre le pivot 354 par la force appliquée au chariot par le mo teur d'avance de chariot 350.
Cette force est en effet de beaucoup supérieure à celle des ressorts 357, si bien que la queue du cliquet engagé est ainsi maintenue sur le parcours d'une saillie d'iactionnement 356a de l'or gane d'actionnement de cliquet 356.
Un bras d'actionnement 358 (fig. 16 et 17), pivoté en 359 sur une bride 360 portée par le rail arrière 154, coopère avec la saillie 356a. Une bride 163a, que porte un cadre transver sal 163, porte elle-même un levier coudé 361 dont une goupille 361a. est en contact avec l'extrémité inférieure du bras d'actionnement 358. Ce levier coudé est actionné par un élec tro-aimant ES, qu'on appellera ci-après électro d'échappement , par l'intermédiaire d'une bielle 361b.
Lorsque l'électro-aimant ES est excité, il fait pivoter le levier coudé 361 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 16), action-. nant ainsi le bras d'actionnement 358 dans le sens contraire de celui des aigmilles d'une montre.
Ce bras fait pivoter l'organe d'ac- tionnement 356 dans le sens contraire de celui des aigulilles d'une montre (fig. 17) et libère le cliquet 353 qui est engagé à ce moment-là dans la crémaillère 352 (le cliquet arrière à la fig. <B>17),</B> permettant ainsi au chariot de se déplacer de l'espace d'une demi-dent. Avant que ce mouvement du chariot ne soit achevé, la même dent de la crémaillère engage le se cond cliquet, ou cliquet ,avant à la fig. 17, et pousse ce cliquet 353 vers la gauche, contre l'effet de son ressort 357, jusqu'à ce qu'il soit arrêté par le pivot 354.
La queute du cliquet 353 arrière est ainsi amenée en regard de la saillie 356a. Dès que le cliquet 353 arrière est libéré, il est déplacé vers la droite, jusque légèrement plus loin qu'à mi-chemin entre deux dents de la crémaillère 352, hors de portée de la saillie 356â et prêt à fonctionner pour l'opération d'espacement subséquente. Ces cliquets sont donc alternativement effi- caces pour déplacer le chariot d'une distance égale à la moitié de la distance séparant deux dents de la crémaillère et égale à une colonne des feuilles de travail.
Les chariots sont toujours actionnés con jointement, du fait que les électro-aimants ES sont excités ensemble, si bien que les chariots devraient toujours théoriquement se déplacer au pas, espaçant les deux sections de la feuille de travail de façon telle que les quatre totaux qui sont simultanément imprimés au cours d'un seul cycle soient espacés entre eux de quinze colonnes sur la feuille de travail. Ce pendant, il pourrait se produire qu'un des chariots ne soit pas ramené complètement en position de départ et qu'il ne soit alors plus au pas avec l'autre chariot.
Pour cette rai son, les deux chariots peuvent être m6cani- quement couplés entre eux par tune tige de liaison 362 (fig. 2A et 2B).
Un mécanisme de retour est prévu pour chaque chariot. Ce mécanisme monté sur un châssis accessoire 400 fixé aux plaques 160 de droite de chaque chariot est visible aux fig. 2,1 et 2B. Les deux mécanismes de re tour sont actionnés à partir de l'arbre à grande vitesse 117.
Chacun de ces mécanismes comprend un carter 401, fixé au châssis 400 (fig. 2A, 2B, 18 et 20) et dans lequel est monté un arbre à vis sans fin 402, disposé pour entraîner le mécanisme par l'intermé diaire d'une roue hélicoïdale. Les arbres 402 portant les vis sans fin sont munis d'engre nages droits 403 coopérant avec des engre nages 404 fixés à l'arbre 117. Les vis sans fin coopèrent avec des roues hélicoïdales 405, fixées à de courts arbres 406 pivotés dans les carters 401.
Un galet d'entraînement 407 est fixé à l'extrémité de gauche (fig. 18) de cha cun des arbres 406, ce galet 407 portant une garniture élastique 407a, de préférence en caoutchouc.
L'extrémité de droite de chacun des arbres 406 porte une poulie de retour 408 (fig. 2A, 2B, 18 et 20), montée pour tourner sur cet arbre et autour de laquelle un ruban de re tour du chariot 409 est enroulé. Le ruban 409 de chaque chariot s'étend vers le haut (fig. 20), passe autour d'une poulie 410 por tée par une bride adéquate montée sur le châssis principal, et de là le long du rail arrière 154 jusqu'à l'extrémité de gauche (fig.2A et 2B) ou de droite (fig. 20) du chariot.
Les extrémités .de droite des arbres 406 sont pourvues d'un embrayage à friction à disques 411 (fig. 18) , de construction bien connue, qui est actionné par un levier en deux parties 412, pivotés en 413 à une bride 414 fixée sur une face latérale du châssis 400. Chaque levier 412 est relié par une courte bielle basculante 415 à un levier 416 pivoté en 417 à une bride 418, fixée au châssis 400 au moyen des mêmes vis que la bride 414. Le bras de gauche (fig. 18) de chaque levier 416 est relié par une bielle 419 (voir fig. 13) à un dispositif d'entraînement 420, de forme bien connue, monté pour pivoter en 421 dans le châssis 400.
Chacun des dispositifs d'en traînement 420 comprend une came en spirale à un seul lobe 422, montée pour tourner en 420a dans le cadre du dispositif d'entraîne ment.
Normalement, un bras 423 actionné par un ressort (fig. 13), pivoté en 420b dans le dispositif 420 et engageant une goupille 422a que porte la came 422 tend à taire tourner cette came pour engager sa périphérie striée avec la garniture 407a du galet d'entraîne ment 407. Cependant, la rotation de chaque came 422 est normalement empêchée par un troisième levier 424, pivoté en 420b dans le dispositif d'entraînement 420.
Chaque levier 424 est- relié au moyen d'une goupille avec un levier 425 présentant une fente 425 (fig. 13) dans laquelle pénè tre cette goupille. Le levier 425 est pivoté en 426 dans le châssis 400 et il est tendu dans le sens des aiguilles d'une montre contre une butée adéquate par un ressort 427. Chaque levier 425 est relié par une bielle 428 à un électro-aimant de retour<I>CRS,</I> associé au même chariot que lui et monté sur la plaque 160. Lorsque chacun des électro-aimants<I>CRS</I> est excité, la bielle 428 est déplacée vers le bas, faisant ainsi pivoter le levier 425 dans le.
sens contraire de celui des aiguilles d'une montre et actionnant le levier de libération 424 dans le sens des aiguilles d'une montre.
Le levier de libération 424 porte une saillie (non représentée) coopérant normale ment avec une saillie de la périphérie de la came 422 pour empêcher cette came de tour ner autour de son pivot 420a. Lorsque le le vier 424 pivote de la façon décrite ci-dessus, sa saillie est dégagée de la saillie de la came 422, permettant au bras 423, actionné par un res sort, de faire tourner la came 422 dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre, assez loin pour que la garniture 407a vienne engager la périphérie striée de la came 422 pour faire tourner cette came.
Du fait du contour en spirale de cette partie striée de la came 422, la rotation de cette came fait pi voter -le dispositif d''entraînement 420 dans le sens des aiguilles d'une montre, tirant ainsi vers le bas la bielle 419 et redressant la ge nouillère formée par le bras de droite (fig. 18) du levier 416 et par la bielle 415.
Cette genouillère est disposée pour se déplacer jusqu'un peu au-delà de son point mort et pour se bloquer dans cette position, la gou pille d'articulation du levier 412 et de la bielle 415 venant buter contre une saillie 416a que porte le levier 416 et empêchant ainsi cette genouillère de se déplacer plus loin qu'un peu au-delà de son point mort. Du fait de la réaction du ressort que comprend l'em brayage 411, les différentes parties sont main tenues dans cette position, l'embrayage étant engagé et accouplant la poulie de retour 408 à l'arbre 406.
En conséquence, la poulie 408 en roule le ruban 409 et exerce une traction sur le chariot, tendant à<B>le</B> déplacer vers la droite aux fig. 2A et 2B ou vers la gauche à la fig. 20.
Des moyens sont prévus pour libérer auto matiquement les embrayages 411 après que les chariots ont atteint les positions voulues, dé terminées par des butées marginales. Des mé canismes de butée marginales sont prévus pour les deux chariots, et ces mécanismes sont sensiblement identiques.
Cependant, le méca nisme de butées marginales du chariot de droite RHC, représenté aux fig. 2A et 20, comprend certains dispositifs de fermeture de circuits qui entraînent des modifications de ce mécanisme, bien que le fonctionnement des butées marginales soit identique dans les deux mécanismes, en ce qui concerne le dé clenchement de l'embrayage. Les chariots sont pourvus de crémaillères de butées marginales usuelles 450 (fig. 20, 21 et 22).
Ces cr6mail- lères sont fixées aux plaques latérales 150 et s'étendent parallèlement et légèrement au dessus du rail arrière 154. Le mécanisme de butées marginales plus simple pour le chariot de gauche LHC comprend une paire de butées marginales usuelles 451 (fig. 22) qui sont montées- de façon réglable et bien connue sur la crémaillère de butées marginales 450.
Ces butées présentent des saillies 451a, limitant le déplacement du chariot dans les deux di rections conjointement avec une saillie 452a d'une plaque fixe 452 que porte le rail arrière 154.
Un levier de déclenchement 454, présen tant une surface de came 454a, est monté pour pivoter sur chacun des rails arrière, en 453 (fig. 16, 20, 21 et 22). Les leviers de dé clenchement 454 sont reliés par des bielles 455 à, des leviers 456 pivotes sur l'-an des ca dres 159. Une seconde bielle 458 (fig. 13 et 18) relie chacun des leviers 456 à un levier 459, pivoté en 470 au châssis 400.
Chacun des leviers 459 présente un bras s'étendant hori zontalement au-dessous de l'extrémité de gauche du levier 416 (fig. 18), de façon à être actionné par ce levier lorsque celui-ci est déplacé vers le bas, comme décrit ci-dessus, par le fonctionnement du dispositif d'entraî nement 420. Normalement, les surfaceg de came 454a des leviers de déclenchement 454 sont hors de portée en dessous des butées marginales de droite (fig. 21 et 22).
Cepen dant, lorsque le levier 416 est actionné par le dispositif d'entraînement 420, le levier 459 est entraîné pour pivoter dans le sens con traire à celui des aiguilles d'une montre (fig. 13) et déplace la bielle 458 vers la gau che, entraînant la bielle 455 vers la gauche (fig. 20, 21 et 22) par l'intermédiaire du le vier 456 et faisant ainsi pivoter les leviers de déclenchement 454 dans le sens des aiguilles d'une montre, pour déplacer leurs surfaces de came 454a vers le haut, sur le parcours des saillies 451a des butées marginales de droite.
Lorsque les chariots ont presque atteint la position déterminée par chacune des butées marginales de droite, la saillie de chacune de ces butées vient en contact avec la surface de came 454a et ramène le levier 454. Le mou vement de retour de ces leviers 454 est trans mis aux leviers 459 par l'intermédiaire des bielles 455 et 458. Le bras horizontal de ces leviers 459 (fig. 13 et 18) est ainsi relevé de façon à casser la genouillère 415, 416 et à li bérer l'embrayage 411.
Les surfaces de came 454a sont dimensionnées de façon telle et les différents éléments sont ainsi réglés que les embrayages sont dégagés avant que les cha riots soient effectivement arrêtés par les bu tées marginales 451 et les saillies 452a, si bien que ces chariots achèvent leur mouvement par inertie.
Le mécanisme de butées marginales pour le chariot de droite, représenté aux fig. 2A, 20 et 21, est sensiblement identique à celui qu'on vient de décrire. Cependant, chacune des bu tées marginales 451 de ce mécanisme porte lune plaque de came 461 présentant un doigt de came 461a. Ces doigts de came actionnent des interrupteurs- sensibles désignés par 17IS1 et 11IS2, qui sont montés sur le rail arrière 154.
Chacun de ces interrupteurs comprend -m. levier d'actionnement 462, muni d'un galet 462a disposé sur le parcours des doigts de came 461a. L'interrupteur lTIS1 est disposé pour être actionné par la butée marginale de gauche (fig. 2A) ou de droite (fig. 20), tan dis que l'interrupteur DIS2 est disposé pour être actionné par la .blitée marginale de droite (fig. 2A) ou de gauche (fig. 20).
Un troisième interrupteur sensible 3IS3 est monté sur le rail arrière 154, pour être actionné par un organe 461b fixé au chariot de droite RIIC. Les contacts de cet interrupteur ne sont fermés que lorsque le chariot se trouve dans une po sition correspondant aux colonnes 1, 2 et 3.
Le mécanisme de rappel, outre qu'il ra mène le chariot en position de départ, fait également automatiquement fonctionner le mécanisme d'espacement de ligne pour les cy lindres 155. Ces cylindres sont. pourvus de roues à rochet d'espacement de ligne usuelles 475 (fig. 2A, 2B et 19). Un cliquet 476, porté par un organe coulissant 477, est disposé pour coopérer avec chacune de ces roues à rochet. Les organes coulissants sont mobiles vertica lement sur des tétons 478 fiés aux plaques 156 de gauche (fi,-. 2A et 2B), et chacun de ces organes présente une saillie 478a, engagée dans une fente du bras horizontal d'un levier coudé 479, pivoté sur une bride 480 que porte l'organe 151 en forme de canal qui fait par tie du châssis des chariots.
Un ressort (non représenté) maintient normalement chaque organe coulissant vers le haut, dans la posi tion représentée à la fig. 1, dans laquelle la queue du cliquet 476 est en contact avec l'extrémité de gauche d'un bras d'arrêt de commande d'espacement de ligne 481 pivoté en 482 sur la plaque .150 du chariot. Dans cette position, un ressort 483 fixé à la queue du cliquet 476 tend. à faire pivoter ce cliquet pour l'engager dans la roue à rochet 475 d'es pacement de ligne, filais ce pivotement est empêché par le bras 481.
Le bras 481 est disposé pour prendre l'une quelconque de trois positions déterminées par un levier de commande d'espacement de ligne 484 (fig. 19), pivoté sur le téton 478 supé rieur et portant une goupille 484a engagée dans l'une de trois encoches ménagées à dif férents niveaux dans le bras 481. Lorsque le levier 484 se trouve dans la position repré sentée à la fig. 19, la goupille 484a étant en gagée dans l'encoche supérieure, l'organe cou lissant 477 ne peut revenir en arrière que d'une distance correspondant à un espace ment d'une seule ligne, si bien que des espa cements simples sont obtenus.
Le ruban de rappel de chariot 409 est fixé à un bras di- rigé.vers le bas du levier 479, si bien qu'au début, lorsqu'une traction est tout d'abord appliquée au ruban 409 pour faire débuter un cycle de retour du chariot, le bras hori- zotal du levier 479 est entraîné pour pivoter vers le bas, jusque dans une position d'arrêt fixe au-delà de laquelle tout mouvement du levier 479 est empêché. Le chariot est ensuite ramené .à sa position de départ.
Dès que la tension appliquée au ruban se relâche, le le vier 479, actionné par un ressort, ramène l'organe coulissant dans la position repré sentée. Lors de la course vers le bas de l'organe coulissant 477, la queue du cliquet 476 s'éloi gne. de l'extrémité du bras 481, permettant ainsi au ressort 483 de faire tourner ce cli- quet pour l'engager dans la denture de la roue à rochet 475 et de faire avancer cette roue d'une dent, jusqu'à ce qu'il. soit arrêté par un arrêt fixe 485 qui est également effi cace pour forcer ce cliquet à pénétrer plus profondément entre les dents de la roue à ro chet, empêchant ainsi le cylindre 155 de dé passer la position désirée.
Ën déplaçant le levier 484 dans le sens des aiguilles d'une montre pour amener la goupille 484a dans l'encoche médiane ou dans l'encoche infé rieure, l'organe coulissant 477 est libéré, de faon qu'il puisse revenir en arrière assez loin pour permettre au cliquet 476 de dépla cer la roue à rochet de deux dents ou de trois dents respectivement. Le bras 481 est main tenu en contact avec la goupille 484a par un ressort de torsion adéquat 486, enroulé autour de l'axe 482. D'après ce qui précède, on se rend compte que de retour du chariot est- toujours automa tiquement précédé d'une opération d'espace ment de ligne.
Le chariot de droite RHC est pourvu d'une bande émettrice destinée à commander l'impression de totaux à partir des compteurs, conformément à la position des chariots. Cette bande ferme des circuits pour choisir les compteurs et les, accumulateurs pour les opé rations d'impression de totaux. 1:11e com- prénd une bande 500, de matière isolante, sup portée à l'arrière du chariot de droite RHC (fig. 20), de façon à s'étendre parallèlement au rail arrière, au moyen de brides 501 fixées aux deux plaques 160 associées à ce chariot.
Cette bande porte un jeu de contacts noyés 502 (fig. 10) et une bande de contacts com mune 503 s.'étend le long de la partie de la bande isolante qui porte les contacts noyés 502. Une bride 504, fixée au chariot (voir également fig. 20) porte un bloc 505 auquel sont fixés une paire d'éléments de contacts 506, pressés par des ressorts, un de ces con tacts portant contre la surface supérieure de la bande de contact commune 503 et l'autre glissant sur les contacts noyés 502.
Chacun des contacts noyés 502 correspond à itne des co lonnes de la feuille de travail, si bien que le déplacement du chariot d'une colonne à l'au tre provoque la sélection de circuits qui com mandent l'impression de totaux à partir de sections d'un accumulateur et de groupes de compteurs d'unités correspondant à ces posi tions du chariot. Un se rappellera que quatre compteurs sont associés à chaque position dut chariot, telles que déterminées par les dents de la crémaillère 352, de façon à permettre l'impression de soixante totaux par déplace ment du chariot sur quinze positions succes sives.
La machine est équipée d'un mécanisme accumulateur capable de recevoir des entrées sous commande des fiches d'enregistrement et d'effectuer des opérations de sommation dé calée permettant de contrôler l'exactitude de la fabulation des postes. Ce mécanisme accu mulateur est semblable à celui décrit dans la demande de brevet des U. S. A. N 9498 dé posée le 19 février 1948 par C. D. Lake et ses collaborateurs.
Dans la machine décrite, le mécanisme accumulateur comprend seize ordres qui peu vent être divisés en groupes de quatre ordres chacun, chacun de ces groupes constituant un accumulateur séparé pour des buts de somma tion décalée. Un acctunulateur séparé pour un seul ordre est représenté* aux fig. 28 à 35.
Les éléments et le mécanisme constituant chacun des ordres des accumulateurs sont portés par une plaque de support 600, mon tée'verticalement dans la machine. Cette pla que 600 (fig. 28) porte deux électro-aimants dont l'un est un électro-aimant de retour RljI et l'autre un électro-aimant- d'addition ALÏI. Une armature 601, pivotée sur un axe 602, est disposée à mi-chemin entre les noyaux de ces électro-aimants. Dans la position normale de l'armature 601, celle-ci se trouve en contact avec le noyau de l'électro-aimant A.11, comme à la fig. 28.
L'extrémité de droite de l'arma ture 601 est reliée à un levier 603, pivoté sur un axe 604 au moyen d'une fourche 603a de ce levier. Un cliquet d'actionnement 606, pi voté sur un axe 605 que porte le levier 603, est tendu dans le sens des aiguilles d'une montre par un. ressort 607 fixé, d'une part, à la queue du cliquet 606 et, d'autre part, à une goupille que porte le levier 603. Ce cliquet est ainsi tendu contre la denture d'une roue à rochet 609, avec les dents de laquelle il co opère.
Il est évident que lorsque l'armature 601 est attirée par le noyau de l'électro-aimant <I>R111,</I> le levier 603 est entraîné pour pivoter dans le sens des aiguilles d'une montre autour de son axe 604, le cliquet 606 étant déplacé vers la droite sur la roue à rochet 609 et ve nant s'engager derrière la dent de droite sui vante de cette roue (fig. 28). Dans cette po sition, le cliquet 606 est prêt à faire tourner la roue à rochet 609 dans le sens des aiguilles d'une montre pour la faire avancer d'une dent lorsque l'électro-aimant Bill n'est plus excité et que l'électro-aimant Al1 < est excité.
Lorsque l'électro-aimant d'addition<B>AN</B> est excité après que l'électro-aimant R31 cesse d'être excité, l'armature 601 fait pivoter le le vier 603 dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre, pour provoquer une rotation d'une dent de la roue à rochet 609. Une unité est ainsi enregistrée par l'accumu lateur pour chaque oscillation du levier 603.
Un ensemble de roues d'accumulateur pour chaque ordre est constitué par la roue à rochet d'addition 609 (fig. 31), par une roue à rochet 610 associée à un mécanisme de re tenue destiné à empêcher l'accumulateùr d'avancer de plusieurs unités à la fois lors qu'il est commandé pour enregistrer une seule unité, par une roue à rochet 611 servant à verrouiller un contact en position fermée lorsque la première -unité est enregistrée dans l'accumulateur, et par deux cames de com mande 612 et 613 associées à un mécanisme. de report des unités.
Les trois roues à rochet 609, 610, 611 et les deux cames 612 et 613 constituent un ensemble fixé à itn arbre 614 dont une des extrémités est pivotée dans une bride 615 que porte la plaque 600. Cette pla que 600 porte également un palier 616 dans lequel est pivotée tune partie de plus grand diamètre 614a de l'arbre 614.
Le mécanisme de retenue comprend un le vier de détente 617 (fig. 28 et 29) pivoté sur un axe 618 et présentant une saillie 617a des tinée à venir en contact avec un nez 603b du levier 603. Un cliquet 620 est pivoté sur un axe 619 et coopère avec la roue à rochet 611 (voir également fig. 32). Un ressort 620a est tendu entre les queues des cliquets 617 et 620 pour appliquer ces cliquets contre les den tures des roues à rochet associées 610 et 611.
Lorsque le levier 603 est entraîné pour pivoter dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 28), son nez 603b vient en contact avec la saillie 617a et écarte le cliquet de retenue 617 de la roue à rochet 610 en même temps que le cliquet 606 est déplacé pour venir en gager la dent suivante de la roue à rochet 609.
Lorsque l'armature 601 est attirée par l'élee- tro-aimant d'addition AJl, aidée dans son mouvement par le ressort 620a, elle fait pivo ter le levier 603 dans le sens contraire de ce lui des aiguilles d'une montre, et le cliquet de retenue 617 est ainsi entraîné pour pivoter et pour venir coopérer avec la dent suivante de la roue à rochet 610. Le nez 603b s'écarte légèrement du cliquet de retenue lorsque ce lui-ci vient s'engager dans la roue à rochet 610.
Le cliquet de retenue 617 se trouve, par conséquent, obligatoirement sur le parcours de la dent suivante de la roue à rochet 610, juste avant que le cliquet 606 n'ait atteint l'extrémité de sa course en faisant tourner la roue à rochet 609 d'une dent dans le sens des aiguilles d'une montre.
Lorsque les paires d'impulsions alternées sont successivement appliquées aux électro aimants ROI et A11, la suite d'opérations dé crites est répétée pour additionner oui pour enregistrer des compléments de nombres, de faon à effectuer une soustraction, et l'unité d'accumulateur est ainsi avancée d'un nom bre de pas correspondant au nombre effectif de paires d'impulsions appliqué à ces électro- aimants. Pour enregistrer le chiffre 1 , une seule paire d'impulsions est transmise auxdits électro-aimants R112 et<I>AH</I> respectivement, tandis que, pour enregistrer le chiffre 3 par exemple,
trois paires d'impulsions sont appliquées aux électro-aimants Rl1I et A167.
Un levier 622 présentant une dent 622a coopérant avec les dents de la roue à rochet 611 est pivoté sur un axe 621, porté par la pla que 600 (fig. 28 à 32). L'extrémité de gauche du levier 622 (fig. 32) porte un bloc de ma tière isolante disposé pour actionner une lame de ressort de contacts AC. Lorsque la roue à rochet 611 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre d'un premier pas d'une dent (fig. 32), une dent de cette roue agit à la façon d'une came pour faire pivoter le levier 622 dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre, de façon -à fermer les contacts AC.
Le levier 622 est verrouillé dans cette position par un levier de verrouillage 623, pivoté librement sur un axe fixe 624 et tendu dans le sens des aiguilles d'une montre par un ressort 623a. Les contacts AC restent fermés jusqu'à ce que les pas de fonctionne ment successifs des roues d'acciuuulateur associées, pour l'addition ou la soustraction d'un chiffre, soient terminés.
Un levier d'actionnement de contact 625 (fig. 28 à 31), présentant trois bras, est monté pour pivoter autour de l'axe 621. Ce levier porte un bloc de matière isolante disposé pour actionner des contacts SC de construction semblable à celle des contacts<I>AC,</I> mais nor malement fermés. Le levier 625 coopère avec une pièce polaire d'un. électro-aimant de soustraction<I>SOI,</I> un de ses bras constituant l'armature 625a de cet électro-aimant dont l'axe magnétique est perpendiculaire à la pla que 600 et qui est fixé à cette plaque par une vis appropriée 626.
Un ressort <B>627,</B> disposé clans un trou ménagé dans la pièce polaire de l'électro-aimant SOI, tend le levier 625 dans le serfs contraire de celui des aiguilles d'une montre pour maintenir les contacts SC ; fermés.
Le troisième bras du levier 625 vient en contact avec un épaulement ménagé à l'extrémité d'un levier de verrouillage 628, tendu dans le sens des aiguilles d'une montre par un ressort 628a et pivoté sur l'axe 624. ; Lorsque l'électro-aimant SIÏI est excité, le levier 625 est entraîné pour pivoter dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 28), ouvrant ainsi les contacts SC et permettant à l'extrémité du levier de verrouillage 628 , d'être attirée au-dessus du troisième bras du levier 625, pour le maintenir en position abaissée.
Ainsi qu'on s'en rendra compte plus loin, l'électro-aimant de soustraction SIP1 est excité sous commande d'impulsions comman dées dans le temps représentant des chiffres, par exemple à partir d'un balai d'analyse de fiche, pour effectuer la soustraction du chif fre représenté par ces impulsions. La faon dont l'électro-aimant SDI est opérant pour,. provoquer une soustraction sera expliquée plus loin en référence au schéma électrique de la machine.
Un mécanisme de contacts est prévu pour fermer un circuit de transfert d'unités, pour,, effectuer des reports à partir de roues d'accu mulateur d'ordre inférieur à des roues d'or dre supérieur. La roue à rochet 609 comprend vingt dents, si bien que l'ensemble de roues d'accumulateur effectue un demi-tour pour f chaque dizaine d'unités accumulées. Le méca nisme de report des dizaines d'unités est re présenté à la fig. 34 et comprend un levier d'actionuement 630, semblable au levier 622 qui actionne les contacts d'addition AC de la f fig. 32. Ce levier 630 présente un nez 630a, coopérant avec la came 613.
Cette came pré sente deux levées 613a; disposées en des points diamétralement opposés par rapport à l'axe 614. Les levées 613a sont disposées de façon < . que, lorsque l'ensemble de roues d'accumula teur passe d'une position correspondant à un chiffre 9 dans la position suivante correspon dant au chiffre 0, des contacts<I>TC,</I> qu'on appellera plus loin contacts de dizaines, sont fermés et que le levier est verrouillé par un levier de verrouillage 631, semblable au levier de verrouillage 628 et actionné par un ressort 631a, si bien que les contacts<I>TC</I> restent fermés.
Des contacts de report de neuf NC (fig. 33) sont actionnés par un levier 633, semblable au levier 622, sauf que ce levier ne coopère pas avec un levier de verrouillage, mais qu'il est actionné par la came 612 qui présente deux levées disposées de telle faon que chaque fois que l'ensemble de roues de l'accumulateur est à 9 , les contacts<I>NC</I> sont maintenus fermés.
Chaque ordre d'accumulateur est égale ment muni d'un mécanisme de lecture de construction usuelle. Ce mécanisme est repré senté aux fig. 31 et 35 et il est logé dans un moulage 634, de matière isolante, fixé à la face de la plaque 600 opposée à celle qui porte le mécanisme de l'accumulateur. Le moulage ' 634 entoure un jeu de dix segments eonduc- teurs 635,
dont les extrémités intérieures sont disposées le long du bord d'un évidement circulaire du moulage 634 et \espacées les unes des autres de dix-huit degrés. Un seg ment de contact semi-circulaire 636 s'étend le long de la partie restante du bord de cet évi dement.
Un organe de support conducteur 637, por tant deux doigts de contact 638 pivotés sur lui en. 637a, est fixé à la partie de plus grand diamètre 614a de l'extrémité de gauche de l'arbre 614, dont il est isolé.
Les extrémités des doigts de contact 638 sont disposées pour se déplacer le long de la périphérie intérieure de l'évidement circulaire 634a du moulage 634, de façon que lorsque l'organe 637 tourne dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre- (fig. 35), l'un des doigts glisse sur le segment commun 636, tandis que l'au tre glisse successivement sur les segments 635 pour les mettre successivement en contact avec le segment commun 636.
On se rappellera que l'ensemble de roues d'accumulateur effectue un demi-tour pour chaque dizaine d'unités ajoutée à cette roue; il est par conséquent évi dent qu'un circuit est fermé par les doigts 638, pour relier au segment commun 636 l'un des segments 635 représentant la valeur effec tive d'un chiffre correspondant à la position des roues de l'accmnulateur, dans chaque po sition de ces roues. Ces valeurs sont indiquées par les petits chiffres 0 à 9 désignant les seg ments 635 respectifs à la fig. 35.
Ce méca nisme est utilisé pour lire les totaux enregis trés dans le mécanisme d'accumulateur dans différentes conditions qu'on expliquera en détail plus loin en référence au schéma élec trique de la machine.
Des moyens sont prévus pour remettre en place les contacts AC,<I>TC</I> et SC, et ces moyens sont représentés aux fi,-. 28, 32 et 3.1. Ils comprennent un électro-aimant de libéra tion de contact CRJl, fixé à la face de la pla que 600 et actionant une armature 639 pivo tée sur un axe 640. Un ressort 641, logé dans un perçage de, la pièce polaire de l'électro aimant CRM tend l'armature 639 dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre, l'appliquant contre une goupille d'ar rêt 642 fixée à la plaque 600.
L'extrémité libre de l'armature 639 est de forme arrondie et suffisamment large pour s'étendre au-des sus de tous les leviers de verrouillage 623, 628 et 631 (fig. 31). Lorsqu'une période d'addi tion ou de soustraction est achevée, certains contacts ferment un circuit pour exciter l'élec- tro-aimant CRIV qui libère les leviers de ver rouillage 623, 628 et 631 de façon à ramener les contacts AC, SC et<I>TC</I> dans les positions respectives représentées au dessin.
La machine comprend soixante compteurs d'unités ou de postes, chacun de ces comp teurs comprenant quatre ordres de numéra tion. De façon générale, ces compteurs de postes sont construits de façon très sembla ble aux ordres d'accumulateur, tout en étant beaucoup plus simples, quelques-unes des ca ractéristiques nécessaires à ces ordres d'accu mulateur n'étant pas nécessaires dans un compteur de postes.
Une unité à un seul ordre de numération d'un compteur de postes est représentée aux fig. 38 à 40. Cette unité comprend une pla que de base 650, semblable à la plaque 600, sur laquelle est monté un électro-aimat de compteur<I>COI</I> semblable en ce qui concerne son fonctionnement à l'électro-aimant<I>ROI</I> du mécanisme d'accumulateur. L'électro-aimant CDI est associé à un jeu de pièces désignées par les chiffres de référence 651 à 671, les pièces désignées en outre par le suffixe cz y comprises.
Ces pièces sont de formes sembla bles et remplissent des fonctions semblables à celles des pièces désignées par les chiffres de référence 601 à 621 de la fig. 28. Btant donné que cette unité de compteur ne comprend pas d'électro-aimant ALÏI, elle est pourvue d'une butée 672 contre laquelle l'armature 651 est maintenue par un ressort 673, logé dans un perçage ménagé dans la pièce polaire de l'élec- tro-aimant <I>COI.</I> Ce ressort tend l'armature 651 clans le sens des aiguilles d'une montre.
Lorsque l'électro-aimant<I>GAI</I> est excité, 1e ressort 673 est comprimé et le levier 653 est entraîné pour pivoter dans le sens des aiguil- les d'une montre (fig. 36), attirant le cliquet 656 vers la droite, de même que dans l'unité d'accumulateur (fig. 28).
Ce mouvement actionne également un organe de retenue 667, de la même façon que l'organe 617 de l'unité d'accumulateur. Un retour en arrière de l'en semble de roues du compteur comprenant les roues à rochet 659, 660, 661 et les cames 662 et 663 est alors empêché par un cliquet 670, semblable au cliquet 620, actionné par un res sort 670a tendant à le faire engager avec les dents de la roue à rochet 661.
Lorsque l'élec- tro-aimant <B>CH</B> cesse d'être excité, le ressort 673, aidé par l'action du ressort 670a, ramène les différentes pièces dans leurs positions res pectives représentées .à la fig. 36, et l'organe 667 agit exactement de la@ mëme façon que l'organe 617 de la fig. 28 pour empêcher un dépassement de position .des différentes pièces du mécanisme.
Le mécanisme comprend des contacts de report de neuf CNC (fig. 39) qu'on appellera plus loin contacts de neufs de compteur. Ces contacts sont actionnés par la came 663, par l'intermédiaire d'un levier 674 pivoté sur l'axe 671. La came 662 actionne deux jeux de con tacts, dont les uns, appelés contacts de re mise en place du compteur, sont désignés par CRC et dont les autres, appelés contacts d'impression du compteur, sont désignés par CPC. Ces contacts sont actionnés par l'inter médiaire d'un levier 675.
La came 663 est disposée pour maintenir fermés les contacts CNC lorsque l'ensemble de roues du compteur se trouve dans la posi tion correspondant au chiffre 9, tandis que la came 662 est disposée pour maintenir fermés les contacts CPC et CRC, excepté lorsque l'ensemble de roues se trouve dans la @posi- t.ion correspondant au chiffre 0.
Ainsi qu'on l'expliquera plus loin, les contacts CRC dé terminent la fin des impulsions de remise en place fournies à l'électro-aimant C31 pendant l'opération de remise en place à 0 des comp teurs, tandis que les contacts CPC provo quent l'émission d'impulsions pour l'impres sion des totaux. A l'exception des deux compteurs respectivement désignés par le chiffre 1 et par le chiffre 60, aucun. des compteurs d'unités ne comprend de commu tateur de lecture tel que celui représenté à la fig. 35.
Le compteur N 1 comprend des com mutateurs de lecture semblables à ceux de la fig. 35 pour tous ses quatre ordres, et le compteur N 60 comprend de tels commuta teurs pour ses ordres des unités, des dizaines et des centaines. Ces commutateurs de lecture comprennent chacun une pièce moulée 684 (fig. 45), des segments de lecture 685 et 686, un support 687 et des doigts de contact 688 correspondant aux pièces de la fig. 35 respec tivement désignées par les chiffres de réfé rence 634 à 638.
La machine est munie de deux mécanismes de levier de fiche qui actionnent respective ment des premiers contacts de levier de fiche CLC1 et des seconds contacts de levier de fiche CLC2, pendant le passage ,de la pre mière fiche vers le mécanisme de répartition et de commande de triage, à partir du maga sin H. Bien que' ces mécanismes soient diffé rents, en ce qui concerne la .forme de cer taines de leurs pièces,
leurs fonctionnements sont très semblables et seule la construction. mécanique du premier de ces mécanismes sera donc décrite en détail. Ce mécanisme est re- présenté à la fig. 43 et comprend un levier de fiche 690, présentant un sabot 690a, con formé pour venir en contact avec la face infé rieure d'une fiche passant du magasin H au . rouleau de contact CR. Cette fiche fait bascu ler le levier de fiche autour de son axe 641 porté par un bloc adéquat fixé au châssis principal de la machine.
Ce levier porte une goupille isolante 692 qui ferme alors les con tacts CLC1 montés à l'extérieur du châssis portant le pivot 691, la goupille 692 passant à travers une ouverture ménagée dans le châssis et venant s'appuyer contre une lame de ressort portant l'un des contacts CLC1. Les seconds contacts de levier de fiche CLC2 sont actionnés de faon semblable par un le vier 693 (fig. 5) présentant un sabot 693a disposé pour glisser sur la fiche.
Ce sabot est déplacé vers le bas au passage de la première fiche et fait pivoter le levier 693, fermant ainsi les contacts CLC2. Les sabots 690a et 693a sont assez longs pour que les contacts de ' levier de fiche CLCI et CLC2 restent fermés, une fois qu'ils ont été fermés par une première fiche, tant que des fiches continuent à être avancées à partir du magasin H.
La machine comprend des contacts de ma gasin HO. Ces contacts sont actionnés par un levier 694 (fig. 44), pivoté en 695 au-dessous du magasin H. Un des bras du levier 694 s'étend .au travers d'une encoche ménagée dans le fond du magasin, et le poids des fiches C se trouvant dans ce magasin fait pi voter ce levier dans le sens des aiguilles d'une montre, fermant ainsi les contacts<B>HO.</B> Lors que la dernière fiche est sortie du magasin, les contacts <B>HO</B> s'ouvrent à nouveau.
La machine comprend des dispositifs de fermeture de circuits qui sont efficaces, de faon commandée dans le temps pour com mander le fonctionnement de la machine. Deux groupes généraux de tels dispositifs sont prévus, l'un de ces groupes étant actionné à grande vitesse à partir de l'arbre 117 et fonctionnant continuellement tant que la ma chine fonctionne, tandis que l'autre groupe est entraîné par l'arbre 220 et ne fonctionne que pendant les cycles d'impression de la ma- chine.
Les dispositifs de fermeture de cir cuits actionnés par l'arbre 220 fonctionnent à plus faible vitesse, du fait que l'impression est effectuée à plus faible vitesse que le triage, que le comptage et que les opérations d'accumulation.
Les dispositifs de fermeture de circuits à grande vitesse sont disposés au coin droit arrière de la machine, sur le socle 100, et sont représentés aux fig. 2A, 24 et 25. L'arbre 108 qui actionne le mécanisme de pince de fiche et le mécanisme élévateur de fiche (fig. 5) s'étend vers l'arrière de la machine, comme on le voit en particulier aux fig. 2A et 24, jusque dans une boîte à engrenages 750, à l'intérieur de laquelle cet arbre porte un engrenage 751 qui engrène avec un engrenage 752 solidaire d'un court arbre 753 pivoté dans la boîte à engrenages 750.
Un ,engrenage 754, engrenant avec un engrenage 755, est monté sur l'arbre 753 dont il est solidaire. L'arbre 756 est pivoté dans des plaques 757 qui sont montées sur le socle 100 au moyen de brides adéquates 758. L'arbre 756 porte un jeu de quatorze cames 759 (fig. 2A et 25), chacune de ces cames coopérant, avec un organe coulissant 760, monté pour glisser dans un bloc 761, de rela tivement faible épaisseur, porté par une tra verse 762 reliée aux plaques 757. Deux blocs de connexion 763 sont montés sur chacun des blocs 761 dont ils sont isolés. Ces blocs 763 portent des vis destinées à recevoir des fils de connexion.
Un des blocs de connexion 763 est en contact avec un organe de contact à ressort 764, qui est tendu contre l'organe cou lissant 760, .de faon à le maintenir en con tact avec la came 759. L'autre bloc porte un élément de contact coopérant avec un élément de contact similaire de l'organe coulissant 764.
Ces contacts sont désignés par les signes de référence LC1 <I>à</I> LC6 et C7 à C15 respec tivement, au schéma électrique des fig. 48A à 48g et au diagramme de commande dans le temps des fig. 47A et 47B. Les levées des cames 759 sont disposées de faon à faire fer mer les organes de contact associés au cours des périodes du diagramme de commande dans le temps désignées par des traits noirs.
Quelques-unes de ces cames sont construites pour provoquer la fermeture intermittente des contacts à des intervalles réguliers, tandis que d'autres sont construites pour maintenir les contacts fermés pendant des périodes de temps de durées variables.
L'arbre 765 porte un second engrenage 755a (fig. 2g et 24) qui lui est fixé et qui engrène avec un engrenage libre 766. L'en grenage 766 engrène avec un engrenage 767, fixé à un arbre 768 pivoté dans la plaque 757. Cet arbre 768 entraîne un groupe de dispositifs de fermeture de circuits C16 à C27 et CS3 et CS4 semblables aux dis positifs LC1 <I>à</I> LC6 et C7 à C15.
L'arbre 768 porte un second engrenage <I>767a</I> (fig. 24 et 25) qui engrène avec un en grenage 769 monté sur un arbre 770 pivoté clans des paliers 771 (voir fig. 2g et 12) montés sur le socle 100. L'arbre 770 entraîne un jeu d'émetteurs à grande vitesse, dont cer tains sont désignés par E1 à E18 et par E25 à E33 au diagramme de commande dans le temps et au schéma électrique.
Chaque émetteur (fig. 12) comprend une paire de plaques fixes de matière isolante 772, à l'intérieur desquelles un jeu de seg ments de contacts 773 est moulé. Les extré mités de ces segments sont disposées selon un demi-cercle autour des bords des plaques 772 qui sont disposées bord contre bord et for mées de façon à ménager une grande ouver-, turc circulaire 772a. Chacune des plaques 772 comprend également une bande de contact commune<I>773a,</I> qui s'étend le long de la ran gée de segments de contacts 773 de cette pla que, et l'arbre 770 porte des paires de balais émetteurs électriquement reliés entre eux,
montés sur des blocs 770a que porte cet arbre. Une paire de balais est prévue pour chaque émetteur et un balai de chaque paire glisse sur les deux bandes de contact communes 773a, qui sont extérieurement reliées électri quement pendant que l'autre balai glisse sur les segments 773, de façon que les balais 774 ferment successivement des circuits passant par les segments de l'émetteur, comme indi que à la fig. 47g.
Les dispositifs de fermeture de circuits en- traînés par l'arbre d'impression 220 sont re présentés aux fig. 2B, 26 et 27. Un engrenage 775 engrenant avec un engrenage 776 est fixé à l'arbre 220. L'engrenage 776 est monté sur un arbre 777, pivoté dans des plaques 778 montées sur le socle 100. Un deuxième arbre 779 est pivoté dans les plaques 778 et est en traîné par l'arbre 777 au moyen d'un train d'engrenages 780, 781 et 782.
A l'aide de cames 783, les arbres 777 et 779 entraînent deux groupes de dispositifs de fermeture de circuits semblables à ceux représentés à la fig. 25. Ces dispositifs sont désignés par les signes de référence C2, C29 à C49 et C51 à C56 à la fig. 47B et au schéma électrique.
Un émetteur d'impression PE est fixé à la plaque 778 de gauche (fig. 2B et 26). Cet émetteur comprend un moulage 784, de forme aplatie et semi-circulaire, portant un jeu de neuf segments 786 qui s'étendent vers l'inté rieur jusque dans une ouverture circulaire 784a ménagée dans le moulage 784. Un anneau de contact commun 787 (fig. 4811) est égale ment disposé autour de l'ouverture circulaire; à côté des segments 785.
L'arbre 777 porte un support de balais 788 portant une paire de balais 786 disposés pour glisser sur la rangée de segments 785 et sur l'anneau de contact comm-un 788, de façon à fermer successive ment des circuits, comme indiqué au haut de la fig.47B, en regard du signe de référence PE. L'arbre 216 (fig. 2B, 3 et 15) est muni de deux dispositifs d'interruption de circuits, l'un de ces dispositifs étant désigné par C1 et étant construit de façon semblable à ceux re présentés aux fig. 25 et 27.
Ce dispositif est actionné par une came 789, ses contacts étant montés sur une bride de support 217 (fig. 15). L'autre dispositif, désigné par C2, est monté à mi-chemin entre les plaques 160 (fig. 15) sur -une bride 790. Ces dispositifs interrup teurs de circuits ou simplement rupteurs fonctionnent continuellement tant que la ma chine fonctionne. Cependant, ils fonctionnent à une plus faible vitesse-que ceux qui sont en traînés par l'arbre 117, étant donné la réduc- Lion de vitesse effectuée par le dispositif d'en traînement des arbres 216 et 220.
La machine comprend un dispositif mar queur destiné à marquer des fiches au cours de leur passage dans la machine, pour per mettre de les distinguer visuellement d'autres fiches. Ce dispositif est commandé par un électro-aimant marqueur i11111 (fig. 4, 46 et 48), fixé à une plaque de guidage de fiches 801 par son joug 800, cette plaque étant fixée de façon adéquate au châssis principal. Un le vier 802, portant une armature 803 de cet électro-aimant l11112 est pivoté en 800a (fig. 46) au joug 800.
Un ressort 804 tend le levier 802 dans le sens des aiguilles d'une montre, l'appliquant contre -une partie du joug 800 qui sert de butée. Un crayon mar queur 805 est fixé au levier 802 et réglé de façon que sa pointe vienne appuyer sur une fiche passant sous ce crayon, chaque fois que- l'électro-aimant 11'1111 est excité.
Le fonctionnement de la machine et un dispositif de commande à connexions à fiches que comprend cette machine seront mainte nant décrits en référence au tableau de con nexions (fig. 41), au diagramme de com mande électrique dans le temps (fig. 47A et 47B), au schéma électrique (fig. 48A à 48g) et aux schémas de connexions du tableau (fig. 49A à 49x).
Les différentes feuilles contenant les fig. 48A, 48C 48E 48G, 481, 48K, 48M, 480, 48Q, 48s, 48U et 48W doivent -être disposées selon une rangée, de gauche à droite dans l'or dre d'énumération, au-dessus des fig. 48B, 48D, 48F, 48I-1, 48J, 48L, 48N, 48P, 48R, 48T, 48V et 48x formant une rangée semblable, la fig. 48A venant au-dessus de la fig. 48B,
la fig. 48C au-dessus de la fig. 48D et ainsi de suite, pour constituer le schéma électrique d'ensemble de la machine.
Le tableau de connexions (fi-. 41) porte 80 douilles PSI, une douille pour chaque balai B d'analyse de fiche (fig. 48R) du schéma. Lorsque la machine fonctionne, les douilles PSI constituent ales douilles de sortie pour des impulsions commandées dans le temps représentant -les différentes valeurs poinçonnées dans des colonnes correspon dantes de la fiche.
Une fois que la machine a été mise en fonctionnement d'une façon qu'on décrira plus loin, des contacts CLR2B du relais de levier de fiche se ferment et les contacts de commande dans le temps LC5 et LC6 (fig. 47A) fonctionnent comme rupteurs pour émettre de brèves impulsions qui sont transmises au rouleau de contact CR par l'in termédiaire d'un balai commun CB. Ces im- pulsions de balais de fiche partent du con ducteur positif d'une ligne P1 (fig. 48Q)
et passent à travers les contacts LC5, LC6 et CLR2B pour parvenir au balai commun CB, au rouleau de contact CR et, par l'intermé diaire des balais de fiche B, jusqu'aux douilles PSI.
De façon qu'on puisse plus facilement suivre les différents circuits et pour abréger la description autant que possible, les douilles PSl seront considérées comme sources d'im pulsions ou comme sorties commandées par la fiche, et on ne suivra les circuits qu'à partir de ces douilles, à travers les différents dispo sitifs de connexion à fiches et autres disposi tifs de commande ou jusqu'à ces différents dispositifs.
*La machine comprend 50 relais Sélec teurs de recodification représentés à la fi-. 480 et qui sont excités au moyen d'im pulsions dirigées aux douilles PS2 et PS3, ces impulsions commandant des tubes électroni ques de recodification V1 à V50, dont seuls quelques-uns sont représentés à la fig. 480, mais dont les circuits sont tous identiques.
Dans la plupart -des conditions, les douilles PS2 sont reliées ù au moins une des douilles PS1, de façon que les relais de recodification soient excités sous commande de données four nies par des poinçonnages des fiches d'enre gistrement. Le but des douilles PS3 est de permettre de rendre les relais de recodifica- tion sélectivement efficaces dans certaines .conditions déterminées seulement, ces condi tions pouvant comprendre l'utilisation d'im pulsions fournies à partir des balais d'ana lyse de fiche.
Les relais de recodification sont désignés par R27 à R36, R59 à R68, R97 à R.106, R131 à* R140 et R161 à R170. Chacun de ces relais est associé à l'un des tubes sélecteurs de reco- dification V1 à V50. Ces tubes sont des té- trodes à gaz d'un type bien connu sous le nom de thyratron et comprenant une grille- écran. Des tubes du type miniature commer cialement désignés par 2D21 sont utilisés et sont disposés de façon qu'il est
nécessaire d'appliquer deux impulsions simultanées res pectivement à la grille de commande et à la grille-écran de chacun de ces tubes pour les rendre conducteurs et pour exciter un relais disposé dans son circuit d'anode. Ceci est obtenu en appliquant à la grille de com mande, reliée à la douille PS2, et à la grille- écran, reliée à la douille PS3, des tensions de polarisation telles qu'une modification de la polarisation d'une de ces grilles causée par une impulsion de fonctionnement appliquée à cette grille soit insuffisante pour amorcer le tube, à moins qu'une impulsion de valeur adéquate soit simultanément appliquée à l'au tre grille.
Les tubes de recodification fonction nent, par conséquent, en un certain sens, comme mélangeurs d'impulsions, nécessitant une certaine relation entre les impulsions qui leur sont appliquées pour être rendus con ducteurs.
La façon dont les relais de recodification sont utilisés dans les buts considérés sera expliquée plus loin en référence aux schémas de connexion du tableau de connexion de la machine, qui montrent comment la machine peut être disposée pour -différents types d'opé rations.
Conjointement avec les relais de recodifi- cation, treize émetteurs de recodification sont prévus, ces émetteurs étant désignés par E1 à E13 à la fig. 480. Huit de ces émetteurs, E1 à E8, comprennent chacun un balai com mun 774 relié à une connexion W3, tandis que les cinq autres émetteurs E9 à E13 com prennent des balais communs reliés aux douilles PS5 désignées par une lettre C.
Les segments des émetteurs E1 à E13 sont reliés aux douilles PS4, chacun de ces segments étant relié à une douille double, sauf ceux de l'émetteur E1 qui sont chacun reliés à six douilles.
Les émetteurs E1 à E13 se distinguent les uns des autres à la fig. 41 par les lettres A à M disposées au-dessus des rangées de douilles P84 qui leur sont associées. Les douilles dis posées sous la lettre A correspondent à l'émet teur E1. Il convient de remarquer que les -fines lignes reliant entre eux les petits cercles du tableau de connexion représenté à la fig.41 indiquent que les douilles correspon dantes représentées par ces cercles sont re liées entre elles par Zme connexion.
On remar quera que, à la fig. 41, les douilles PS2 -sont disposées de façon qu'en introduisant une double fiche de pontage entre une douille PS2 supérieure et une douille P82 inférieure, on relie entre elles les grilles de commande de deux des tubes VI à V50, de façon à rendre effectivement efficaces deux relais de recodi- fication adjacents.
Par exemple, si un pont est inséré dans ces douilles PS2, tout à gauche de la fig. 41; la première condition est réalisée pour rendre efficaces les relais sélecteurs de recodification R27 et R28 commandés par les tubes V1 et V2.
Dans les conditions normales, au moins un des segments 773 des émetteurs E1 à E13 est relié pour commander les relais sélecteurs de recodification par l'intermédiaire d'au moins une connexion à fiches insérée entre les douilles PS3 et PS4. Par exemple, si on dé sire exciter le relais R27 du sélecteur de reco- dification 1, sous commande d'un poinçonnage 1 de la colonne 1 de la fiche,
une connexion à fiches -est insérée entre la douille PSI pour la colonne 1 (fig. 41) et la douille PS2 infé rieure extrême gauche. Une seconde connexion à fiches pourrait être insérée entre la douille PS3 extrême gauche et l'une des douilles du groupe de six douilles PS4 disposées sous le chiffre 1 de l'ensemble de douilles de reco- dification A.
Au point 1 du cycle, l'émet teur El (fig. 480) émet une impulsion à tra vers la connexion W3 jusqu'à sa douille PS4 et, à travers la connexion à fiches, jusqu'à la douille PS3 du tube V1. Cette impulsion est produite simultanément avec l'impulsion fQu_r- nie à partir du balai B à la douille PS2 de ce tube. Le tube V1 est, par conséquent, amorcé et excite le relais de recodification R27.
Na turellement, l'un quelconque des ensembles de douilles A à 111 pourrait être relié par une connexion à fiches pour fournir l'impulsion 1 au sélecteur de recodification 1, et un balai B quelconque pourrait être relié par une connexion à fiches à la douille P82. Il est de même évident que l'un quelconque des sélec teurs de recodification 1 à 50 pourrait être rendu efficace de cette même façon.
Chaque relais sélecteur de recodification, tel par exemple que le relais R27 (fig 48n), actionne quatre jeux de contacts de transfert (fig. 48p) qui sont désignés par R27A et R27B. Ces contacts sont reliés à des douilles P818, PS19 et PS20 groupées, comme indiqué à. la fig. 41, sous la désignation Sélecteur de recodification . L'organe commun de chaque jeu de contacts est désigné par la lettre c aux fig. 41 et 48P.
Les contacts normalement fermés, par exemple les contacts R27A (fig. 48P), sont désignés par la lettre N, tan dis que la lettre T désigne les contacts R27B normalement ouverts. Ainsi, si des connexions à fiches sont insérées dans les douilles PS19 et PS20, chacune de ces connexions forme un circuit de commande normalement fermé à travers. un jeu de contacts, tandis que des con nexions à fiches insérées dans les douilles PS18 et PS19 forment Lui circuit normale ment ouvert.
Les quatre jeux de contacts asso ciés à chaque relais sélecteur de recodification sont groupés, et le numéro du sélecteur de re- codification est indiqué à la fig. 41 par un des chiffres 1 à 50 disposés à l'intérieur de l'un des carrés du tableau de connexion entourant les douilles reliées aux quatre jeux de con tacts du relais correspondant.
Un émetteur E15 (fig. 48S) est prévu pour émettre des impulsions d'ordres impair et pair correspondant en valeur et dans le temps à des positions de points de repère des colonnes de la fiche.
Cet émetteur est relié de façon que les segments 773 de numérotation paire soient reliés à la douille PS6 et que les segments de niunérotation impaire soient re- liés à la.
douille PS7. Un émetteur E14 (fig. 480) est, d'autre part, relié de façon que ses segments 0 à 4 soient reliés à une douille commune PS9 et que les cinq autres segments de cet émetteur soient reliés à la douille PS8, une moitié de l'émetteur émet tant ainsi des impulsions à partir de 0 jus qu'en 4 , tandis que l'autre moitié émet des impulsions à partir de 5 et jusqu'en 9 .
Des moyens sont également prévus pour fournir des impulsions pendant toute la pé riode d'analyse de la fiche, c'est-à-dire à par tir de 9 jusqu'en 12 , par l'intermédiaire d'une douille<I>PS57</I> (fig. 48Q).
Il est évident que les émetteurs E1 à E15 et la douille<I>PS57</I> constituent des sources d'impulsions pour une valeur quelconque de positions repère, des impulsions impaires et des impulsions paires, la moitié des valeurs 0 à 9 ou toutes les valeurs 9 et 12 de ces impul sions pouvant être utilisées pour commander les tubes sélecteurs de recodification et les relais associés ainsi que d'autres commandes susceptibles d'être reliées par des connexions à fiches.
Grâce aux émetteurs E14 et E15 et à la douille PS57, les opérations qui pour raient être accomplies en reliant à des douilles par des connexions à fiches l'un quelconque des émetteurs de recodification E1 à E13 peu vent être simplifiées en insérant une seule connexion à fiches dans l'une des douilles PS6 à PS9 inclusivement, d'une part, et dans la douille PS57, d'autre part. On économise ainsi un nombre considérable de connexions à, fiches.
La machine comprend un commutateur S5 sélecteur de colonnes. Ce commutateur est du type à cadran et il est représenté aux fig. 1 et 48U. Il comprend deux curseurs et deux jeux de plots de contact reliés respectivement aux douilles PS10 et PS11, de façon à pou voir être reliés pâr des connexions à fiches.
1\Tormalement, le commutateur S5 est utilisé pour des triages alphabétiques et numériques dans lesquels les douilles P811 sont reliées par des connexions à fiches aux douilles PS1 correspondant aux colonnes du champ de la fiche d'enregistrement, dans lequel les don- nées alphabétiques ou numériques sont poin çonnées, tandis que la douille P810 est reliée par -une connexion à fiches pour exciter l'élec- tro-aimant de triage, d'une façon qu'on dé crira plus loin.
En faisant tourner le commu tateur S5 d'um cran û la fois, ce commutateur étant ainsi relié par des connexions à fiches, l'opérateur peut effectivement modifier la po sition du balai avant chacune des courses suc cessives nécessaires pour disposer les fiches d'un groupe selon une suite alphabétique ou numérique. Ce commutateur a le même effet que le déplacement manuel du balai unique ,,énréalement utilisé dans une machine de triage.
La, machine comprend quatre colonnes de dispositifs d'emmagasinage de chiffres qui permettent d'emmagasiner jusqu'à - quatre nombres d'un seul chiffre ou un seul nombre de quatre chiffres. Les circuits d'emmagasi nage de chiffres sont représentés à la fig. 48S et à la moitié supérieure de la fig. 48T.
Ils comprennent des relais d'emmagasinage de chiffres R41 à R56 et des tubes V67 à V82, les tubes et les relais associés à deux colonnes seulement étant représentés à la fig. 48S. Quatre douilles P,'-',16 (fig. 41) sont prévues, chacune de ces douilles étant susceptible de commander l'emmagasinage d'an seul chiffre qui peut prendre une valeur quelconque à partir de 1 jusqu'à 9, 0, 11 et 12. Le disposi tif d'emmagasinage de chiffres est également prévu pour transmettre une impulsion au cas où la colonne correspondante de la fiche est vierge.
Chaque colonne d'emmagasinage de chif fres comprend quatre tubes et quatre relais, par exemple les tubes V67 à V70 et les relais R41 à R44 à la fig. 48s, ces tubes et ces relais fonctionnant de la même façon que les sélec teurs de recodification, mais étant dépourvus de douilles associées pour leurs grilles-écrans.
Au lieu de ces douilles, toutes les grilles de commande de tubes V67 à V70 sont. reliées en commun aux douilles PS16, tandis que les grilles-écrans de ces tubes sont connectées à des émetteurs E15, E16 et E17 à l'aide de connexions V16 à V19. Si la douille PS16 est reliée par une connexion à fiches à l'une des douilles PSl pour recevoir une impulsion à un point de repère de valeur définie sous com mande d'un poinçonnage de la colonne cor respondante de la fiche,
cette impulsion est fournie aux grilles de commande de tous les tubes V67 à V70. Les grilles-écrans de ces tubes reçoivent des impulsions selon diverses combinaisons, sous commande des émetteurs E15, E16 et E17, et un chiffre est emmaga siné dans le groupe de quatre tubes en faisant amorcer l'un- de ces tubes et en excitant ainsi le relais correspondant du groupe de relais R41 à R44. Pour l'emmagasinage de valeurs dans les tubes, les valeurs 1, 2, 4 et 8 sont attribuées à ceux-ci, comme indiqué à la fig. 48S, et ces valeurs sont emmagasinées individuellement en rendant les tubes corres pondants conducteurs. Par exemple, si une fiche est poinçonnée en 8 , le tube V70 est amorcé et le relais R44 est excité.
On remar quera que la connexion W19 est reliée au seg ment 8 de l'émetteur E17. Par conséquent, à l'instant où l'impulsion 8 est fournie à la douille PS16, à partir du balai de fiches et est transmise à la grille de commande du tube V70, une impulsion 8 est émise et est trans mise à la grille-écran du même tube par la connexion W19, faisant ainsi amorcer le tube V70 et excitant le relais R44. Aucun des autres relais R41, R42 ou R43 ne peut être excité en 8 du fait que seul l'émetteur E17 est opérant à cet instant. Des valeurs autres que les valeurs indiquées sont emmagasinées en amorçant des combinaisons de tubes.
Par exemple, le chiffre 3> est emmagasiné en rendant conducteurs les tubes V67 et V68 au point 3 du cycle, lorsque l'impulsion 3 est fournie aux grilles de commande de tous les tubes V67 à V70.
Au point 3 du cycle, l'émetteur E15 émet une impulsion à partir de son segment 3 et à travers la connexion W16; cette impulsion est transmise à la grille- écran du tube V67. De'même, au point 3 du cycle, l'émetteur E16 émet une impulsion qui est transmise à la grille-écran du 'tube V68 par l'intermédiaire de la connexion W17, si bien que- ces deux tubes sont rendus con- docteurs et que les relais R41 et R42 sont excités.
L'une des caractéristiques d'un thyratron ou d'une triode ou tétrode à gaz est constituée par le fait que, une fois qu'un tel tube a été rendu conducteur, il ne peut plus être rendu non conducteur jusqu'à ce que la tension appliquée à son anode ait été réduite à zéro ou interrompue. Par conséquent, le chiffre emmagasiné dans le groupe de tubes V67 à V70 est retenu pendant un<I>cycle.</I>
Dans la description qui précède, pour expliquer la faon dont les tubes d'emmaga sinage de chiffres et de recodification sont rendus conducteurs, on a supposé qu'un po tentiel d'anode est continuellement fourni à ces tubes pendant la période durant laquelle des impulsions sont fournies à leurs grilles.
Le potentiel d'alimentation d'anode est appli qué aux tubes des sélecteurs de 'recodification et aux tubes d'emmagasinage de chiffres par l'intermédiaire des connexions -W4, TV5 et 'W6 et de contacts de commande dans le temps C8, C9 et C10 .(fig. 480).
Ainsi qu'on peut le voir à la fig. 47A, ces contacts sont fermés, sauf au cours d'une courte période voisine de la fin du cycle pendant laquelle on inter rompt l'alimentation d'anode, ramenant ainsi les tubes sélecteurs de recodification et les tubes d'emmagasinage de chiffres dans leurs états non conducteurs dans lesquels ils sont commandés par leurs grilles.
Les contacts des relais d'emmagasinage de chiffres sont disposés selon- un arrangement en cascade (fig. 48T); de façon que l'excita tion de ces relais séparément- ou "selon des combinaisons pour emmagasiner des chiffres particuliers forme des circuits série entre les douilles communes PS39 et les douilles <I>PS40</I> qui représentent les différentes valeurs emnïa- gasinées.
Les douilles PS40 sont disposées selon quatre rangées verticales (fig: 41)-,,en dessous de la désignation. Chiffre ,- les douilles PS40 correspondant à des positions libres étant en bas ét les douilles correspondant aux posi tions 12 étant en -haut. Les douilles PS40 correspondant aux positions l2 sont' des douilles simples alignées horizontalement avec des douilles simples PS39 désignées chacune par un c.
Les douilles PS39 c communes sont reliées à des sources d'impulsion, et lorsqu'on désire emmagasiner et émettre une valeur dé terminée, la douille PS40 correspondant à cette valeur est reliée par une connexion :<B>i</B> fiches. Ainsi, un circuit n'est établi par l'in termédiaire du groupe connecté par des con nexions à fiches que lorsque les relais d'em magasinage de chiffres correspondant à ce groupe sont excités pour représenter la valeur choisie en effectuant lesdites liaisons par con nexion à fiches.
Par exemple, en se référant à. la fig. 48S, si l'on désire ne fermer un circuit que lorsque la valeur 8 est décelée dans une colonne particulière, les douilles PS16 des tubes V67 à V70 sont connectées à la douille P81 correspondant à la colonne choisie, et une connexion à fiches est insérée entre la douille PS39 c et la douille PS40 8 disposée immé diatement en dessous du chiffre 8 de la rangée verticale de gauche (fig. 41).
Dans ces conditions, le tube V70 est rendu conduc teur lorsqu'un 8 est décelé, et ce tube excite le relais R44. Un circuit est ainsi formé à par tir de la douille PS39 (fig. 48T) et à travers les contacts R41B, R42B, R43B et R44A jus qu'à la douille<I>PS40</I> correspondant au chiffre 8 . Pour n'importe quelle autre valeur poin çonnée dans la fiche, aucun circuit n'aboutit à la douille 8 . Ainsi, le chiffre 8 est emma gasiné jusqu'à la fin du cycle.
Il est par con séquent possible de relier les relais d'emmaga sinage de chiffres par les connexions à fiches d'tule façon telle qu'un circuit soit fermé par une fiche d'enregistrement dans laquelle un nombre caractéristique pouvant comprendre de un à quatre chiffres est décelé.
Un groupe de chiffres constituant un nom bre pouvant comprendre de un à quatre chif fres peut être lu dans la première fiche d'en registrement qui passe dans la machine au moyen d'un groupe de relais, de tubes et de circuits semblables aux circuits d'emmagasi nage de chiffres.
Ces circuits d'indication de groupe sont représentés aux fig. 48J et 48Q et comprennent des tubes V51 à V66 et des relais R81P à R96P. Ces tubes sont divisés en quatre groupes de quatre tubes chacun, cha que groupe étant associé à une douille PSLI et les grilles des tubes de ce groupe étant re liées aux émetteurs E15, E16, E17 au moyen de connexions W16 à W19, de la même faon que les grilles des tubes d'emmagasinage de chiffres.
Les contacts des relais R81P à R96P ne sont cependant pas reliés pour être con nectés par des connexions à fiches, mais ils sont branchés .en cascade (fig. 481) et reliés à, l'émetteur d'impression PE (fig. 48H) par l'intermédiaire d'un câble CB5 (fig. 48G). Les conducteurs de ce câble représentent des valeurs numériques correspondant aux va leurs des douilles PS40 (fig. 48T), sauf que les valeurs 11, 12 ou non poinçonnées ne sont pas comprises.
Ces relais d'emmagasinage de chiffres sont du type à verrou, dans lequel l'enroulement d'excitation, désigné par un P au dessin, actionne les contacts qui sont en suite verrouillés dans cette position pour y rester jusqu'à ce qu'un enroulement de dé clenchement désigné par un T soit excité. Par exemple, l'enroulement d'excitation du relais R81 est désigné par R81P à la fig. 48Q et son enroulement de déclenchement est dé signé par<I>R81T</I> à la fig. 48E.
Au cours d'un cycle d'impression, les en roulements de déclenchement R81T à R96T sont excités après que le nombre- de groupe i été imprimé et les relais à verrou d'indica tion de groupe-sont ramenés dans leur posi tion normale. Une fois que les contacts ont été verrouillés en position actionnée, il n'y a plus aucune nécessité qui oblige à maintenir les tubes V51 à V66 à l'état conducteur, si bien que la tension d'anode 'pour ces tubes peut être coupée au même instant que la ten sion d'anode pour les tubes -de recodification et pour les tubes des groupes d'emmagasinage de chiffres.
Jusqu'à huit chiffres de valeurs peuvent être enregistrés dans huit des seize ordres de l'accumulateur. Etant donné que l'analyse des fiches s'effectue à grande vitesse, c'est-à-dire au taux d'environ 450 -fiches par minute, il est nécessaire d'effectuer l'opération d'addi- tion proprement dite à un rythme plus lent. On remarquera d'après le diagramme de com mande dans le temps (fig. 47A) que l'analyse des valeurs numériques que porte la fiche par les balais B s'effectue au cours de 180 du cycle d'avance de fiche.
Au rythme de 450 fiches par minute, cette analyse est beaucoup trop rapide pour permettre un fonctionne ment sûr des ordres de l'acclunulateur et des moyens sont par conséquent prévus pour re tarder les impulsions de chiffres provoquant l'addition, si bien que l'enregistrement effec tif de chiffres dans les ordres de l'accumula teur s'étend pratiquement sur le cycle tout entier. La commande dans le temps d'émet teurs E25 à E32 montre comment l'action des impulsions de fiches est retardée.
Le tableau de connexion comprend huit douilles<I>PS17</I> (fig. 41, 481 et 481) désignées par Add pu . Ces douilles sont disposées selon deux groupes au-dessoim des petits chif fres 1 et 2 pour commander les seize tubes de retard V83 à V114 (fig. 481 et 48I0. Ces seize tubes sont répartis .en groupes de quatre de façon quelque peu semblable aux tubes d'emmagasinage . de chiffres et aux tubes d'indication de groupe.
Les impulsions de fiches pour chaque ordre sont fournies par l'intermédiaire d'une connexion à fiches insé rée entre une douille PS1 et l'une des douilles PS17, chacune de ces dernières douilles étant reliée aux grilles, de commande de quatre tubes.
Le mécanisme de l'accumulateur comprend seize ordres répartis en deux groupes de huit, chacun de ces groupes étant à son tour divisé en deux groupes de quatre, comme représenté aux fig. 48J et 481- respectivement, la sépara tion entre ces groupes s'étendant au milieu et du haut en bas de chacune de ces figure. Du fait de cette répartition, la machine com prend quatre accumulateurs de quatre ordres chacun,- numérotés de 1 à 4.
La fig. 48I doit être disposée au-dessus de la fig. 48J, et la fig. 48I doit être disposée au-dessus de la fig. 48L dans le schéma d'ensemble de la ma chine.
A la fig. 48I, le groupe de droite de quatre tubes V83 à V86, dont les grilles de commande sont reliées à la douille<I>PS17</I> dé- signée par Unités , est associé à l'ordre des unités de l'accumulateur de droite désigné par Accumulateur 2 à la fia. 48J, tandis que le groupe de gauche comprenant les qua tre tubes V95 à V98 est associé à l'ordre des milliers. de ce même accumulateur.
Semblable- ment, les tubes V99 à V102 et V111 à V114 (fia. 48K) sont respectivement associés à l'or dre des -unités et à l'ordre des milliers de l' Acciunulateur 4 (fia. 48L).
Les petits chiffres 1 et 2 indiqués à la fia. 41 en dessous de Add pu se rapportent aux accuunulateurs 2 et 4, lorsque ceux-ci sont connectés pour recevoir des enregistrements directement à partir des fiches ou d'autres sources d'impulsion de chiffres. La niunéro- tation 1 à 4 des accumulateurs aux fia. 48J et 48L est utilisée pour faciliter l'explication des opérations de sommation décalée.
Les accumulateurs 1 et 3 ne peuvent pas recevoir d'enregistrement à. partir des fiches ou d'au tres sources de chiffres susceptibles d'être connectées au moyen de connexions à fiches. Ces accumulateurs servent dans deux buts les uns pour recevoir des données à partir des fiches et les autres pour contrôler l'exactitude du comptage et de l'impression de totaux à partir des comptes d'unités.
A la fia. 47A, on remarquera que l'émet teur E33 (fia. 48I) est commandé dans le temps, de façon à émettre des impulsions pres que au pas avec l'émission d'impulsions à par tir des balais de fiches B, et qu'il est connecté de façon que la grille-écran du tube V83 de l'ordre ales unités, par exemple,. reçoive des impulsions en 9 , 7 et en 4 par l'inter médiaire de la connexion W10.
Ainsi, si une fiche porte un poinçonnage correspondant à 9 ,<B> 7 </B> ou à 4 , la grille-écran du tube V83 reçoit une impulsion en même temps que la grille de commande reçoit une impulsion sous commande d'un balai de fiche, et ce tube est amorcé à l'une quelconque de ces trois posi tions repère. Le tube V84 reçoit des impul sions à partir de l'émetteur E33 en 8 , 5 et en 1 du cycle par l'intermédiaire de la connexion W9. Ce tube peut, par conséquent; être amorcé sous commande de poinçonnages disposés dans les positions repère correspon dantes.
Le tube Y85 ne peut être amorcé que lorsque les poinçonnages correspondants à 2 ou à 6 sont rencontrés, et le tube V86 n'est amorcé que par des poinçonnages dis posés en - 3 .
Pour faire mieux comprendre la façon dont le retard ' est obtenu à l'aide des tubes V83 à V86 pour un seul ordre, on admettra tout d'abord qu'une impulsion 9 est fournie à la douille PS17 sous commande d'un balai de fiche analysant une colonne dans laquelle un 9 est poinçonné. En 9 du cycle cor respondant à cette colonne (fia.
47A), la grille de commande et la grille-écran du tube V83 sont simultanément excitées, l'une à par tir du balai de fiche et l'autre à partir (le l'émetteur E33 qui émet une impulsion en 9 et qui transmet cette impulsion à cette grille-écran par l'intermédiaire de la con nexion W10. Le tube V83 est ainsi rendu con ducteur de la même façon qu'un des tubes d'emmagasinage de chiffres ou qu'un des tubes d'indication de groupe.
Un courant cir cule à travers la résistance d'anode de ce tube qui est relié à la connexion W4, si bien qu'une chute de tension se produit aux bornes de cette résistance. On remarquera que le seg ment 9 773 de l'émetteur E28 qui est asso cié à cet ordre est replié par une connexion W11 au côté anode de la résistance d'anode du tube V83. Ainsi, lorsque le tube V83 est amorcé, l'émetteur E28 relie électriquement le-relais R130P à la résistance d'anode du tube V83; si bien que le relais R130 est excité en 9 .
Par conséquent, lorsqu'un poinçon nage 9 est décelé, le relais R130 est immé diatement excité, et, ainsi qu'on l'expliquera plias loin, ce relais provoque l'enregistrement de la valeur 9 dans l'ordre des unités de l'accumulateur 2.
Supposons maintenant que 1e balai décèle un poinçonnage 1 . Au point 1 du cycle, les grilles de commande de tous les tubes V83 à V86 reçoivent une impulsion, tandis que l'émetteur E33 envoie une impulsion à la grille-écran :du. tube V84, par l'intermédiaire de la connexion W9, à ce même point 1 du cycle. Par conséquent, le tube V84 est amorce et la chute de tension qui se produit aux bornes de sa résistance d'anode est appliquée aux segments 773 1 , 5 et 8 de l'émet teur E28.
Cependant, à ce point 1 de ce cycle, le balai 774 de l'émetteur E28 com mence juste à glisser sur le segment 4 (fig. 47A). Le relais R130 n'est donc pas excité immédiatement, mais on se rappellera que lorsqu'un tube a été amorcé, il reste con ducteur jusqu'à ce que sa tension d'anode soit supprimée, et on se rendra compte que dès lors, à environ 300 de ce cycle (fig. 47A), le balai 774 de l'émetteur E28 vient en con tact avec le segment 1 de cet émetteur et transmet la chute de tension produite aux bornes de la résistance d'anode du tube V84 au relais R130,
si bien que le circuit d'addi tion de l'accumulateur est fermé et que le chiffre 1 est ainsi additionné.<B>Il</B> est donc évident que l'impulsion provoquant l'addition d'une unité a été retardée à partir d'environ 180 du cycle jusqu'à environ 300 de ce même cycle. Les autres valeurs sont réparties de façon correspondante. Par exemple, si la fiche portait un poinçonnage 5, le tube<B>1784</B> serait de même amorcé à environ 90 du cycle du fait que l'émetteur E33 qui est commandé dans le temps -en synchronisme avec ,le.balai d'analyse de fiche ferme un. circuit aboutis sant à la grille-écran du tube V84 en 5 de ce cycle.
Cependant, l'émetteur E28 se trouve au segment 773 7 , en 5 de ce cycle, et il reliera la résistance d'anode du tube V84 au relais R130 à environ 150 du même cycle, pour provoquer l'addition de 5 .
Pour simplifier le dessin et pour éviter clés complications inutiles, seuls les émetteurs des unités et des milliers et des relais associés sont représentés, reliés aux tubes correspon dants, mais les autres relais d'acctunulateur 8129P, 8128P, 8158P et 8159P sont con nectés de façon identique, et chacun de ces re lais est associé à un émetteur destiné à lui transmettre la chute de tension produite dans la résistance d'anode, comme indiqué aux fig. 481 et 48K.
Les résistances d'anode des tubes V83 à V114 sont reliées à la connexion W4 qui est commandée par des contacts de commande dans le temps C8 pour supprimer la tension d'anode des tubes de retard de l'accumulateur à la fin de chaque cycle d'ana lyse de fiche, pour chaque fiche, exactement de la même façon que pour les relais d'emma gasinage de chiffres et les relais d'indication de groupe.
Ainsi qu'on le verra plus loin en référence à un exemple particulier se rappor tant à un schéma de connexion du tableau de connexion, les relais d'accumulateur<I>8127P</I> à 8130P et 8157P à 8160P provoquent la connexion des électro-aimants de retour R71 et des électro-aimants d'addition ADI à des sources d'impulsion, si bien que des paires d'impulsions sont fournies à ces électro- aimants pour effectuer l'enregistrement des valeurs qui étaient poinçonnées dans la fiche.
En étendant le fonctionnement effectif de ces électro-aimants sur le cycle pratiquement complet, il est possible d'effectuer des enre gistrements dans l'accumulateur à de plus grandes vitesses que cela ne serait le cas si ces enregistrements devaient être effectué,- en synchronisme avec l'analyse de la fiche et si ces accumulateurs devaient recevoir des im- pulsions à chaque position repère.
Les relais<I>8127P</I> à 8130P et<I>8157P à</I> 8160P sont des relais à double enroulement et leurs enroulements de maintien sont re présentés à la fig. 48Q. Lorsque ces relais ont été excités, ils ferment leurs contacts de main tien, par exemple 8160B, et excitent leurs enroulements de maintien, 'tels que 8160H, par l'intermédiaire de contacts C7.
On remar quera (fig. 47A) que ces contacts sont ouverts à la fin du cycle au cours duquel la fiche est analysée, si bien que ceux des relais de l'accu mulateur qui ont été excités de la façon dé crite ci-dessus cessent alors d'être excités.
La machine comprend un dispositif connu sous le nom de distributeur d'unités et de dizaines. Ce dispositif est indiqué à la fig. 41 par Dist. diz. uns.
, les douilles associées étant désignées par PS33, PS34 et PS35 et ses douilles d'excitation étant désignées par PS12 et PS13. Ce distributeur est repré- sente' aux fig. 48U et 48V et comprend un groupe de tubes V115 à V122 et V127, ces tubes étant connectés de faon analogue aux tubes d'emmagasinage de chiffres et aux tubes d'indication de groupe, à l'exception du tube V127.
La douille d'excitation d'unités<I>PS12</I> (U à la fig. 41) commande l'emmagasinage de chiffres au moyen des quatre tubes V119 à V122, dont les grilles-écran sont reliées aux émetteurs E15, E16 et E17 de la même façon que celles des tubes d'emmagasinage de chif fres. Les tubes des unités V119 à V122 com mandent des relais d'emmagasinage d'unités R171 à R174, tandis que les tubes des dizaines V115 à V118 commandent des relais d'emma gasinage R175 à R178. Les contacts de ces relais des dizaines R175 à R178 sont reliés en cascade et aux douilles PS33 et P834 de la même façon que les contacts d'emmagasinage d'unités (fig. 48T).
Les contacts des relais d'imités sont reliés en cascade de la même façon que les contacts des relais de dizaines, avec la différence qu'au lieu d'être reliés aux douilles PS34, ils sont reliés aux relais R180 à R188, si bien que ces relais représentent individuellement différents chiffres indiqués par les petits chiffres inscrits à la droite des enroulements respectifs de ces relais, de façon correspondante à la numérotation des douilles PS34,
visible à gauche de ces douilles.
Le relais R179 est commandé par le tube V127 (fig. 48U) dont la grille-écran est re liée à la cathode, si bien qu'il suffit d'appli quer -une impulsion à la grille de commande de ce tube pour l'amorcer. Des contacts C12 sont reliés à la douille PS12, si bien que, si une lie-lie est poinçonnée,en 0 , le tube V127 est amorcé. Dans ce but, les contacts C12 (fig. 47A) sont commandés dans le temps pour se fermer en 0 du cycle d'analyse de ta fiche.
Les contacts des relais R179 à R188 sont disposés selon des rangées horizontales (fig. 48U) et sont électriquement reliés entre eux selon des rangées verticales, à la façon d'une grille, comme représenté à la fig. 48v, tes connexions communes étant reliées aux douilles PS34. Ainsi, si un 0 est décelé dans la colonne des unités d'une fiche, le relais R179 est excité et ferme tous ses contacts R179A disposés selon une rangée horizontale à la fig. 48V.
Toutes les douilles PS35 d'une rangée horizontale sont ainsi reliées vers le haut par l'intermédiair e des connexions verti- cales communes des contacts des relais R180 à R188 aux douilles PS34 respectives. Les ran gées verticales de contacts des relais R179 à R188 sont désignées par des chiffres 1 à 10 correspondant aux désignations des douilles PS34.
8i la valeur 20 doit par exemple être poinçonnée dans la fiche, les contacts du re lais des dizaines ferment un circuit série par tant de la douille' PS33 désignée par C (fig. 48V) et passant à travers les contacts R175B, R176A, R177B, R178B pour aboutir à la douille 2 du groupe de douilles PS34. A partir de cette douille, ce circuit s'étend à travers la troisième connexion verticale à par tir de la gauche et les contacts R1791 jus qu'à la douille PS35 correspondant à ces con tacts.
Cette douille est désignée par 20 à la fig. 41. Ce circuit ne sera pas fermé pour une -valeur quelconque autre que 20 . La. façon dont ce distributeur d'unités et de dizaines est utilisé pour la solution de problèmes pra tiques sera expliquée plus loin en référence à un schéma de connexion du tableau de con nexion correspondant à un type particulier d'opération.
Le tableau de connexion comprend une douille PS15 qui commande un tube V124 (fig. 48G). Ce tube fonctionne comme les tubes d'emmagasinage de chiffre, et sa. grille- écran est reliée au segment 9 (fig. 48S) de l'émetteur E16, si bien que le relais R23 est excité lorsqu'une impulsion 9 est fournie à la grille de commande de ce tube. Ce type de fonctionnement nécessite la fermeture d'un interrupteur S3, de façon que la connexion à fiches insérée dans la douille PS15 puisse être rendue efficace.
D'ordinaire, la douille PS15 est reliée par une connexion à fiche à une co lonne de la fiche d'enregistrement dans le but de commander la machine, lorsque cette co lonne particulière est poinçonnée en 9 . La douille<I>PS15</I> est désignée par la référence supplémentaire<I> 9D'1 </I> aux fig. 41 et 48G, cette douille étant -une douille de contrôle.
Les douilles PS53 (fig. 41) portant la dé signation supplémentaire SW constituent des moyens permettant de relier un interrup teur 84 (fig. 1 et 48G) monté à l'avant de la machine et à côté des touches de commande principales et des lampes de signalisation, pour commander la commutation d'un dispo sitif quelconque pouvant être relié à cet inter rupteur par des connexions à fiches.
Les douilles servant à commander les soixante compteurs d'unités sont désignées par PS30, PS31, PS32 et<I>P852</I> respective ment et sont disposées au-dessous -de la réfé rence générale Compteur d'unités (fig. 41). Le schéma de câblage de ces compteurs est re présenté aux fig. 48M et 48N. Les douilles PS30 et<I>PS31</I> sont respectivement des douilles d' Entrée et de Sortie utilisées lorsqu'un compteur donné quelconque doit être rendu efficace sous commande d'une source ou d'un dispositif choisi producteur d'impulsions de commande.
La source d'impulsions choisie pour commander ce compteur est reliée par des connexions à fiches à la douille PS30, et la douille PS31 est connectée de façon à com pléter le circuit à travers l'électro-aimant Plf1 du compteur des unités et à travers ce comp teur. Chaque impulsion fournie à la douille PS30 traverse l'électro-aimant CDl du comp teur des unités et ressort à travers la douille P831 et la connexion à fiches de sortie. De cette façon, une seule impulsion a pour effet de faire ajouter une unité par ce compteur, de la façon décrite ci-desstis au cours de la description de la construction mécanique du compteur.
Si la roue de l'ordre des unités d'un comp teur quelconque, désignée par la lettre Û aux fig. 48N et 48M, se trouve en position 9>>, les contacts de neuf CNC du compteur, re présentés immédiatement au-dessus de cette roue à laquelle ils sont associés sont égale ment fermés et une impulsion est transmise par l'intermédiaire de l'électro-aimant<I>CV</I> de dizaines désigné par la lettre T, parallèle ment à l'impulsion fournie à l'électro-aimant des unités, pour transférer à partir de l'ordre des unités à l'ordre des dizaines.
Les ordres des centaines et des milliers sont respectivement désignés par les lettres <I>T</I> et TH, et si les trois ordres inférieurs sont à 0 , les impulsions du compteur sont four nies à tous les électro-aimants Clll de ce compteur en parallèle et provoquent le trans. fert d'une unité aux ordres des dizaines, des centaines et des milliers.
Les douilles P832 et PS52 (fig. 41) com mandent la soustraction et sont représentées également à la fig. 48F. Les douilles P832 pour un groupe de quinze compteurs sont re liées en commun aux contacts C39, tandis que les douilles PS52 sont reliées séparément aux contacts CR311, CR4A, etc. des relais de commande de soustraction CR3, CR4, etc. Ces contacts sont disposés selon une rangée hori zontale au bas de la fig. 48F.
Lorsqu'une fiche double, constituant un pont, est insérée entre une douille PS32 et la douille<I>PS52</I> disposée immédiatement en dessous aux fig. 41 et 48F, la fermeture des contacts d'un relais de com mande de soustraction a pour effet l'excita tion du relais de soustraction de ce groupe de compteurs. A la fig. 48F, seul le relais de soustraction R126 pour les compteurs 1 à 15 est représenté, ce relais étant relié aux con tacts du relais de commande de soustraction. Les relais R125, R155 et R156 sont associés aux trois autres groupes de compteurs, comme indiqué à la fig. 48F.
Un groupe commun de douilles PS32 est relié aux contacts C39 pour chacun de ces relais, et les douilles <I>PS52 sé-</I> parées sont reliées aux contacts correspon dants des relais CR3, CR4, CR5, CR13, CR14, CR15, CR23, CR24, CR25, CR33, CR34, CR35, CR43, CR44, CR45,
exacte ment comme pour les compteurs 1 à 15. Par exemple, le relais de commande de soustrac tion CR3 comprend quatre jeux de contacts, dont l'un commande le relais R126, comme re présenté à la fig. 48F, tandis que les trois autres commandent chacun l'un des trois re lais R125, R155 et R156. Comme indiqué en haut de la fig. 48F, les relais CR3, CR4 <I>à</I> CR44 et CR45 ont des en roulements qui sont séparément reliés aux segments 502 de l'émetteur du chariot cor respondant aux colonnes 1 à 15 de la section de feuille de travail (fig. 42).
Ainsi, lorsque les chariots se trouvent dans une position correspondant à l'une des colonnes niunéro- tées 1 à 15 de la feuille de travail (fig. 42), l'un des relais de commande de soustraction CR3, CR4, etc. est excité pour -fermer les con tacts CR3, CR4, etc. associés, selon le cas, et si l'un quelconque de ces contacts ou plusieurs d'entre eux est ou sont reliés par des con nexions à fiches, comme décrit plus haut, les relais de soustraction. R125, R126, R155 ou R156 correspondants sont choisis.
Ainsi qu'on le verra plus loin, ceci a pour effet de faire soustraire les totaux enregistrés dans les compteurs correspondants dans l'accumula teur de sommation décalée associé.
La numérotation des segments 502 en haut de la fig. 48F ne correspond pas à la numéro tation des groupes de compteurs, mais bien au nombre de colonnes, à partir de la gauche à la fig. 42 et en comptant la colonne des quantités pour deux colonnes, dans lesquelles des impressions sont effectuées au cours de cycles séparés.
Au bas du tableau de connexion (fig. 41), on a représenté un groupe de douilles d'utilité générale. Les douilles PS41 désignées BUS et électriquement reliées entre elles, comme indiqué, par des traits fins, ne sont pas reliées dans la machine.
Ces douilles sont utilisées pour éviter d'être obligé d'avoir recours à des connexions à fiches comprenant plusieurs fils de connexion. Par exemple, une seule con nexion peut être insérée dans une des douilles <I>PS41</I> d'un groupe de ces douilles à partir d'une source d'impulsions, et une ou plusieurs des autres douilles de ce groupe peut être re liée par une connexion à fiches à plusieurs dispositifs de commande différents.
Au-dessoms de la désignation RS est dis posée une paire de douilles PS44 et PS45 qui est également représentée à la fig. 48H, et la douille PS44 est également reliée électrique- ment à la douille PS37 désignée par Stop à la fig. 41. Lorsqu'in pont est inséré entre les douilles PS44 et PS45, la machine s'ar rête et une fiche d'enregistrement est rejetée. La douille PS27 peut également être séparé ment reliée par une connexion à un dispositif de commande pour faire arrêter la machine des conditions choisies quelconques.
Au-dessous de la désignation AC , on voit des douilles P846 et PS47 (fig. 41 et 48A), ces douilles étant réunies entre elles par un pont pour maintenir le relais R147 excité lorsque des opérations d'accumulation sont effectuées.
Les douilles PS48 et<I>PS49</I> disposées au- dessous de la désignation AP (fig. 41 et 48A) sont réunies entre elles par un pont lorsqu'on désire que la machine effectue auto matiquement un cycle d'impression à la fin de chaque série de fiches d'enregistrement.
Les douilles PS50 et PS51 disposées en dessous de la désignation AS (fig. 41 et 48C) sont reliées entre elles par un pont lorsqu'on désire que l'avance des fiches re commence automatiquement après une suite de cycles d'impression.
Les commutateurs de lecture pour le compteur d'unités 60 (fig. 48D) des ordres (les unités, des dizaines et des centaines sont susceptibles d'être connectés individuellement par des fiches de connexion, d'une part, aux bandes communes 686 et, d'autre part, aux segments séparés, les douilles PS42 correspon dant à la bande commune et les douilles PS43 aux segments séparés.
Les trois autres ordres susceptibles d'être connectés des compteurs 60 sont représentés à la fig. 41 en bas à droite, au-dessus des trois lettres C, et les valeur des segments 685 respectifs sont désignées par les petits chiffres 0 à 9 disposés au-dessus des courtes lignes de connexion joignant les doubles douilles. Cette disposition permet d'obtenir une impulsion de commande lors que le compteur 60 atteint une valeur quel conque jusqu'à 999; cette valeur étant déter minée par les connexions à fiches reliées aux bandes communes 686 et aux segments 685 de ce compteur, dans un circuit série.
Par exem- ple, en supposant qu'on désire une impulsion de commande lorsque le compteur 60 atteint la valeur 987, les douilles PS43 correspondant à 9 de l'ordre des centaines sont reliées par une fiche de connexion à la douille PS42 de la bande commune 686 de l'ordre des dizaines. Une autre connexion à fiches est insérée entre la douille PS43 8 de l'ordre des dizaines et la douille commune PS42 de l'ordre des unités. La douille commune PS42 de l'ordre des centaines et la douille PS43 7 de l'ordre des unités sont connectées respectivement par des fiches à la source d'impulsions et au dis positif commandé.
Lorsque le compteur 60 atteint la position 987, un circuit est établi en série à travers les ordres des unités, des di zaines et des centaines pour fermer un cir cuit susceptible d'être utilisé dans un but de commande quelconque. Un exemple sera dé crit plus loin en référence à un schéma de connexion du tableau de connexion.
Le tableau de connexion comprend en outre un groupe de douilles dont les fonctions seront expliquées par des exemples caractéris- tiques. Ces douilles comprennent un groupe de douilles disposées sous la désignation Compte et comprenant les douilles<I>PS21</I> et PS26; des douilles PS27 disposées sous la dé signation Douilles de shunt ; des douilles PS54, PS55 et PS56 disposées sous la dési gnation Triage ; des douilles PS22 disposées sous la désignation l - 2 - 3 ;
une douille PS23 CS ; trois douilles PS24 disposées sous la désignation Comp. ; une douille .1'S25 disposée sous la désignation CC ; une douille PS36 CE ;
deux douilles PS28 SH et deux groupes de deux douilles chacun PS38 E ainsi que des groupes de douilles PS58 à PS61 disposés sous la désignation Classe GI . Ces douilles sont associées à des commandes qui sont intérieurement connectées à des con tacts de relais exerçant certaines fonctions de commande, en particulier pendant le comp tage, le triage,
la comparaison et pendant les opérations de tirage ou d'édition et leur mode de fonctionnement de même que leur utilité seront mis en évidence au moyen d'exemples particuliers. Les douilles PS62 et PS63 SP mettent le circuit de commande d'impression princi pal sous commande de contacts de magasin et de contacts de levier de fiche lorsqu'elles sont connectées par des connexions à fiches.
Il sera également plus facile de compren dre le fonctionnement de la machine décrit ci-dessous en référence aux schémas de con nexion du tableau de connexion lorsque les différentes douilles qu'on vient de mention ner auront été décrites en détail avec leurs circuits et avec les tubes qui leur sont asso ciés,
ces douilles étant considérées alors comme constituant des dispositifs émetteurs ou récepteurs d'impulsions. La description du fonctionnement en référence à des exemples particuliers sera simplifiée dans certains cas en suivant plusieurs des circuits en référence au tableau de connexion et en considérant les différentes douilles de ce -tableau comme étant des sources émettrices ou réceptrices d'impulsions.
On économisera ainsi quantité de répétitions et on évitera d'être obligé do suivre des circuits qui, en particulier dans le cas des circuits des balais, comprendraient des répétitions de circuits invariables passant à travers des contacts normalement fermés ou à travers des contacts de fonctionnement, tels que les rupteurs LC5 et LC6, et que les con tacts de levier de fiche CLR2B (fig. 48Q) qui n'effectuent pas en eux-mêmes une commande spéciale au cours du fonctionnement normal de la machine,
une fois que l'avance des fiches a commencé. La machine comprend. une source d'éner gie pour les relais et polir les tubes électroni ques, cette source étant reliée à une ligne d'alimentation par l'intermédiaire d'un inter rupteur principal S1 (fig. 48A) et compre nant un transformateur d'alimentation T. Ce transformateur comprend deux enroulements secondaires à prise médiane, dont l'un fournit 44 volts entre la prise médiane et chacune de ses extrémités et dont l'autre fournit 37 volts.
Ces deux secondaires sont reliés à des redresseurs à deux alternances Rl et R2 pour fournir des tensions continues positives de 55 et de 48 volts respectivement. La sortie des deux jeux de redresseurs R1 et R2 est reliée à une batterie de fusibles F qui sont groupés à la fig. 48A par des accolades et désignés res pectivement par P1 et P2, ces désignations correspondant au pôle positif de la source clé potentiel 1 et au pôle positif de la source de potentiel 2.
Les deux prises médianes du se condaire du transformateur T sont reliées par l'intermédiaire de fusibles principaux à un groupe de bornes BP qui sont groupées à la fig. 48A par une accolade, sous la désignation N1, et désignées par la mention 0 V. La plu part des relais, des électro-aimants et des tubes qui commandent le fonctionnement de la machine sont réunis à la masse au point<B>NI</B> par l'intermédiaire de différentes bornes.
Dans les différentes feuilles formant le schéma d'ensemble de la machine, ces con nexions de masse sont indiquées par une flè che et par la désignation N1. De façon sem blable,, les différentes liaisons aux sources de potentiel P1 et P2 sont désignées par Pl et P2 respectivement et, lorsque cela est néces saire, par des chiffres.
Ainsi, à la fig. 48B par exemple, le curseur du commutateur S2 est relié à la source de potentiel P2, si bien que tous les relais commandés par ce commu tateur sont effectivement reliés aux points _Nl et P2 de l'alimentation pour fonctionner sous 48 volts continus.
Outre les redresseurs <B>RI</B> et R2 qui fournis sent le courant principal pour le fonctionne ment des tubes des électro-aimants et des re lais, une source de potentiel négative désignée par N2 (fig. 48A) est prévue.
Cette source est constituée par le même enroulement du transformateur T que celui qui alimente la source à -t- 48 V et par des redresseurs R3 et R4. Elle fournit une tension de polarisation de -48 V, et une quatrième source de tension continue N4 fournit une tension négative de =61 V, cette source comprenant outre les re dresseurs R3, R4, un redresseur R5 et étant utilisée pour la polarisation des grilles des tubes V129 et V130 (fig. 48G)
qui comman dent l'électro-aimant de commande de triage SCill. Les cathodes dé tous les tubes électroni ques, sauf celles des tubes V129 et V130, sont reliées à la source de tension négative N1, et. les grilles de commande et grilles-écran de presque tous les tubes sont reliées à la source N2, si bien que ces grilles sont polarisées à -48 volts dans les conditions normales, sauf celles des tubes V129 et V130 dont les grilles de commande sont polarisées à -61 volts, ainsi qu'on l'a dit ci-dessus, et dont les ca thodes sont reliées à la source N2.
Tous les tubes, les tubes V129 et V130 exceptés, sont câblés de faon identique en ce qui concerne leur résistance de grille-écran et leur résistance de grille de commande. Par exemple, le tube de recodification Vl com prend une grille de commande reliée à la douille PS2 par l'intermédiaire d'une résis tance de 100 000 ohms,
et cette douille est re liée -à la connexion W21 et à la source N2 par l'intermédiaire d'une résistance de 50000 ohms. Les deux grilles du tube V1 sont découplées par rapport à la cathode de ce tube par des condensateurs de 2000 pF, destinés à empêcher des signaux parasitaires de faire amorcer le tube.
La douille PS3 est également reliée à la connexion W21 et à la source N2 par l'inter médiaire d'une résistance de 50 000 ohms et à la grille-écran du tube Vl par l'intermédiaire d'une résistance de 100 000 ohms.
Les résistances d'anode des tubes de retard de l'accumulateur. V83 à V114 sont des résis tances de 4700 ohms et les grilles-éeran et grilles de commande, comme les grilles cor respondantes du tube Vl, sont pourvues de résistances de 100 000 et de 50 000 ohms et de condensateurs de découplage de 2000 pF.
Les tubes V129 et V130 ont leurs grilles- écran reliées directement à leur cathode, tan dis que leurs grilles de commande sont reliées à la source négative N4 par l'intermédiaire de résistances de 100 000 et de 50 000 ohms, comme celles des autres tubes.
Chacun de ces tubes est chargé par une résistance d'anode de 1000 ohms, chacune de ces résistances étant shuntée par un condensateur de 20 mF. Deux tubes sont représentés comme fonctionnant en parallèle; cette disposition est choisie à cause de la consommation de courant relative ment forte de l'électro-aimant de triage, et ces deux tubes pourraient être remplacés par un seul tube de plus grande puissance, si on le désirait.
Du fait des petites dimensions du thyratron très compact du type 2D21, il est plus indiqué d'utiliser deux de ces tubes en parallèle qu'un phis grand tube de phis grande puissance.
Etant donné l'extrême complexité du câ blage qui comprend un très grand nombre de connexions entrecroisées reliant divers groupes de relais, il est impossible de représenter com plètement toutes ces connexions sur le schéma de câblage sans qu'il s'ensuive une extrême confusion. Afin de rendre le schéma d'ensem ble plus clair et de permettre de repérer faci lement et rapidement les points auxquels dif férentes connexions sont reliées,
les connexions entrecroisées reliant une feuille de ce schéma à une autre sont désignées par des flèches et par une référence à la figure et à l'élément de circuit de cette figure auquel cette con nexion aboutit. Sur la seconde feuille ou figure, une référence correspondante est faite à, la première figure considérée, si bien que toutes les connexions peuvent être facilement suivies d'une figure à l'autre.
Par exemple, à la fig. 48A, les contacts CR6A du relais CR6 sont reliés aux contacts de commande dans le temps C22 qu'on trouve à la fig. 49P, cette figure portant également une référence à la fig. 48A pour faciliter le repérage du circuit à partir de la connexion W1, par l'intermédiaire des contacts C2, des contacts CR6A et de l'enroulement du relais ('R6 jusqu'à la connexion W2.
Un certain nombre de relais ne comportent qu'un seul enroulement et sont désignés par la lettre R et par un chiffre, ce qui indique que l'enroulement de ce relais est seul et n'est. pas relié à un autre enroulement. D'autres re lais comprennent un double enroulement, dans lequel un des enroulements est générale ment utilisé pour faire attirer le relais et l'au tre pour le maintenir. L'enroulement d'excita tion de tels relais est désigné par la lettre R et par un chiffre ainsi que par la lettre P pour excitation, et l'enroulement de maintien de ce même relais est désigné par le même chiffre et par la lettre H.
Par exemple, à la fig. 48E, le relais R25P est un relais à double enroulement dont l'enroulement de maintien désigné par R27H est représenté à la fig. 48D. Certains autres relais sont des relais à verrou, dans lesquels un enroulement d'excitation actionne les contacts pour les amener en posi tion verrouillée, dans laquelle ils sont main tenus fermés ou ouverts selon le cas, un en roulement de déclenchement étant subséquem ment excité pour libérer le verrou et pour ra mener les contacts dans leur état primitif. Les enroulements d'excitation des relais de ce type sont désignés par un P, et leurs enroule ments de déclenchement sont désignés par un T.
Ainsi, le relais<I>R12P</I> (fig. 48F) comprend un enroulement de déclenchement désigné par R12T.
L'état initial et l'arrêt de la machine lors que les fiches sont épuisées ou que la clé d'ar rêt est actionnée seront tout d'abord décrits sans se rapporter à un type particulier de fonctionnement pour expliquer comment la machine est mise en route et comment elle arrête de fonctionner dans différentes condi tions pouvant provoquer un arrêt, telles que l'actionnement de la clé d'arrêt, l'épuisement des fiches dans le magasin ou le fait qu'une poche est. trop remplie.
Les fiches sont disposées dans le magasin H leurs faces étant dirigées vers le bas et le côté des 9 à gauche (fig. 5). Lorsque l'inter rupteur principal S1 est fermé pour fournir de l'énergie à la machine, il est désirable que l'application de potentiel d'anode aux tubes électroniques soit retardée d'environ 30 se condes afin de laisser aux filaments de ca thode le temps de chauffer ces cathodes.
Pen dant ce temps de chauffage, du courant cir cule à partir de la source positive P2 (fig. 48A) et à travers les contacts normale ment fermés TRC d'un relais thermique TR et d'un élément de chauffage H de ce relais jusqu'à la connexion W2. Cet élément de chauffage provoque la fermeture des contacts TRA, TRB et TRD de ce relais thermique au bout du temps désiré, et l'enroulement TR de ce relais maintient ces contacts fermés tant que l'interrupteur S1 reste fermé.
Les con tacts TRC de ce même relais thermique s'ou vrent et mettent son élément de chauffage H hors circuit, lui permettant de se refroidir, si bien que les contacts TRA, TRB et TRD se rouvrent immédiatement lorsque l'interrup teur S1 est ouvert.
La fermeture des contacts TRD relie la connexion W1 à la source de potentiel P2, provoquant ainsi l'allumage de la lampe de signalisation de fonctionnement à vide<I>IL</I> (fig. 48B) par l'intermédiaire de contacts R199,1 et R200A (fig: 48B), indiquant à l'opérateur que la machine est prête à fonc tionner.
Cette disposition assure que l'opéra teur n'essaiera pas de faire fonctionner la machine avant que les cathodes des tubes électroniques n'aient atteint leur température de fonctionnement. Lorsque la clé de départ STg (fig. 48C) est actionnée,
les relais R8T et 819H sont excités et les contacts R19B se ferment pour maintenir les relais R19H et R8T excités par l'intermédiaire des contacts CLRlA et R18B. Les contacts R19A ferment un circuit aboutissant au relais R22 à partir de la connexion W1, par l'intermédiaire de contacts R198B, R19A, R6A et du relais R22 relié à la connexion W2,
qui est reliée elle- même à la source N1. Les contacts R22C du relais R22 (fig. 48A) ferment un circuit abou tissant aux connexions W1 et W2 respective ment à travers un relais de moteur HR. Des contacts HRC se ferment et mettent en route le moteur d'entraînement principal de la ma chine il11. Ce moteur fait tourner l'arbre à grande vitesse 117 et entraîne les
émetteurs à grande vitesse et les contacts de commande dans le temps dont la commande est représen tée à la fig. 47A. Ltant donné que l'électro aimant d'embrayage d'impression PCIII n'a pas été excité, les contacts de commande dans le temps à faible vitesse, dont la commande est représentée à la fig. 47B, et l'émetteur d'impression PE ne fonctionnent pas.
La pre mière fiche est éjectée du magasin H et ferme les contacts<B><I>CL-Cl</I></B> (fig. 48C) de levier de fiches, et ces contacts restent fermés tant que les fiches continuent d'être avancées à travers la machine.
Les contacts du relais de levier de fiches CLR1A (fig. 48C) se ferment et chargent le condensateur C par l'intermédiaire dune ré sistance de 1000 ohms, ce condensateur res tant chargé tant que les fiches continuent d'être avancées. La fonction de ce condensa teur C sera mise en évidence plus loin, lors qu'on parlera des conditions d'arrêt provoqué par l'épuisement des fiches dans le magasin H et par l'arrêt de l'avance de fiches à partir de ce magasin.
Le relais R22 est maintenu excité par l'in termédiaire de ses contacts R22A. (fig. 48C) par un circuit partant de la connexion Wl et passant à travers les contacts CLRlA, 1'PC, R18C, R25B, R22A et par le relais R22 et aboutissant à la connexion W2, si bien que le relais du moteur iIIR est maintenu attiré. La première fiche est amenée en position lorsque les balais B commencent à explorer les posi tions de repère des colonnes de la fiche. Ceci se produit au début du second cycle d'alimen tation de fiches.
Les contacts CLR2B (fig. 48Q) relient le balai commun CB à la source positive P1 par l'intermédiaire des contacts de rupteurs LC5 et LC6 qui fournissent des impulsions à ce balai commun et à une connexion W3. De courtes impulsions fournies à partir du rup teur LC5 chevauchent dans le temps de courtes impulsions fournies par le rupteur LC6, chacun de ces groupes d'impulsions cor respondant aux positions de repère de la fiche (fig. 47A).
La connexion W3 est lue con nexion commune pour les émetteurs qui com mandent l'application de potentiel aux grilles- écran de la plupart des tubes électroniques et, par l'intermédiaire de contacts de commande dans le temps C8, C9 et C10 à des connexions W4, W5 et W6 fournissant le potentiel d'anode aux tubes électroniques. Ainsi, les circuits des tubes électroniques sont disposés pour être commandés sous l'effet d'impulsions produites à partir des balais d'analyse de :fiches.
La clé de mise en route STg peut être relâchée puisque le relais du moteur est dès lors maintenu excité à travers les contacts R22C tant que des fiches continuent d'être avancées.
On supposera que la machine est connectée pour le départ automatique de l'avance de fiches après chaque série d'opérations d'im pression. Par conséquent, un pont a été inséré entre les douilles AS PS50 et PS51 (fig. 41 et 48C). Le relais R19P reçoit les impulsions au cours du dernier cycle d'impression d'une série, à condition que le magasin II contienne des fiches.
Le circuit dexcitation de ce relais part. de la source PZ (fig. 48I4), passe par les contacts C35 et les douilles P,550 et P. S51 (fig. 48C), à travers des contacts doubles HC disposés pour être reliés par des connexions à fiches, les contacts Rl-L1. et le relais R19P pour aboutir à la connexion yV2, à condition que les contacts R14A soient fermés.
Lorsque le relais CLRI est à nouveau excité, ouvrant ses contacts CLRIA, le circuit de maintien R19H est interrompu. Par conséquent, à moins que la commande de départ automati-_ que ne soit choisie par un pont, le fonctionne ment de la machine doit être à nouveau pro voqué -en abaissant à la main la clé de départ.
Ainsi qu'on l'expliquera plus loin, le re lais R14P est excité lorsque l'opération de sommation décalée a été achevée avec succès et que l'accumulateur 4 se trouve à 9 à la fin d'une série d'opérations de sommation dé- ealée. Par conséquent, en admettant que le fonctionnement de la machine soit correct en ce qui concerne les opérations de sommation décalée et qu'il reste des fiches dans le maga sin, le relais R19P reçoit une impulsion pour. provoquer automatiquement le début de l'ali mentation en fiches. Le relais 814P est un re lais à verrou et reste attiré une fois qu'il a été excité, jusqu'à ce que son enroulement de déclenchement<I>R14T</I> soit excité.
Les contacts C35 ne fonctionnent qu'au cours d'un cycle d'impression et sont normalement ouverts lorsque le mécanisme d'impression est au re pos, l'embrayage étant verrouillé en position normale. Si le magasin venait à être épuisé, les con tacts HC s'ouvriraient et empêcheraient l'exci tation du relais R19P et l'actionnement de la clé de mise en route STE serait nécessaire pour provoquer l'avance de fiches à partir de ce magasin après qu'il ait à nouveau été rempli.
Au cours d'un second cycle d'avance de fiches, les contacts de levier de fiches CLC2 (fig. 48C) se ferment et excitent des relais de dernière fiche LCR1 et LCR2. La fonc tion principale des relais LCR1 et LCR2 est de maintenir les circuits de commande pen dant que la dernière fiche passe à. travers les contacts de contrôle de triage 145a et que sa destination est choisie par l'électro-aimant de commande de triage.
Lorsque la clé de mise en route STE est actionnée, l'excitation de l'enroulement<I>R19H</I> provoque la fermeture de contacts R19C (fig. 48D), fournissant ainsi des impulsions à l'électro-aimant d'avance de fiches CF1122. De ce fait, le mécanisme élévateur de fiche est libéré au cas où il se trouve verrouillé et per met aux fiches de tomber sur la pince de fiche pour permettre à la première fiche d'être avancée à partir du magasin. Lorsque l'avance des fiches commence, le relais R22 ouvre ses contacts <I>R22B</I> (fig. 487) et empêche l'excita tion de .
l'électro-aimant d'avance de fiche CFIV11, empêchant ainsi le fonctionnement du mécanisme élévateur de fiches lorsque les con tacts<I>R19D</I> se referment. Ainsi, aussi long temps que la machine fait avancer des fiches, ni l'un ni l'autre des électro-aimants #H1 et CF1112 ne peut être excité, sauf dans certaines conditions spéciales commandées par un groupe de contacts de relais disposés en pa rallèle avec les contacts R22B (fig. 48D).
Plusieurs conditions pourraient provoquer Farrêt de l'avance de fiche par actionnement de l'électro-aimant CFIYIL L'une de ces con ditions se produit lorsque l'un des fusibles de l'un quelconque des groupes de fusibles vient à fondre.
Les fusibles F (fig. 48A) sont dLi type dans lequel un contact à ressort est projeté hors du fusible lorsque le fil inté rieur du fusible fond, ce contact reliant entre elles les bornes communes des côtés redres seurs de ces fusibles aux relais R.199 ou R200, selon le groupe de fusibles dont il s'agit.
Cette connexion est effectuée au moyen d'une barre de connexion BS. L'excitation du relais R199 ou R200 ferme les contacts R199B ou R200B (fig. 48D) et excite l'électro-aimant d'avance de fiche CP1111 pour rendre efficace le méca nisme élévateur de fiches. L'ouverture d'un contact R199A ou R200A provoque .l'extinc- tion de la lampe de signalisation de fonction nement à vide IL et indique que la panne est provoquée par un fusible qui a fondu.
. Lorsque le fusible qui a fondu est rem placé, la machine peut être remis en route à la main au moyen de la clé STK, le relais R19P étant ainsi excité et fermant ses con tacts R19C (fig. 4.8D) pour exciter l'électro aimant CP1112 et rendre inopérant le méca nisme élévateur de fiches pour permettre à la pince de fiche de faire avancer une fiche à partir du magasin.
Dans certaines conditions, il peut être dési rable que la machine s'arrête lorsqu'une fiche pilote poinçonnée d'un 9 dans une colonne déterminée est analysée par le balai de cette colonne. Lorsqu'on le désire, la douille PS15 9M (fig. 41 et 48G) est reliée par une con nexion à fiche au balai d'analy se de la co lonne dans laquelle le 9 doit se produire, et l'interrupteur S3 est fermé.
Le tube Y124 est rendu efficace par une impulsion 9 à partir de la fiche et par une impulsion associée à partir de l'émetteur E16 (fig. 48S). Lorsque le relais R23 est excité, il ferme des contacts R23C (fig. 48D) pour arrêter l'avance des fiches.
Pour certaines raisons qu'on expliquera par la suite, il est désirable de limiter le fonc tionnement de la machine à<B>10000</B> fiches au cours d'une seule série, en particulier à cause de la capacité limitée à quatre chiffres des compteurs d'unités. En conséquence, des moyens sont prévus pour arrêter l'alimenta tion en fiches avant que le nombre total de chiffres n'atteigne 9999. Le compteur d'unités 1 est normalement utilisé pour compter le nombre total de fiches passant par la machine pour contrôler le fonctionnement de cette ma chine.
Ainsi qu'on peut. le voir à la fig. 48v, les neuf segments 685 des ordres des milliers, des centaines et des dizaines et les bandes communes pour ces ordres sont connectés de façon que lorsque ces trois ordres supérieurs parviennent à 9 et l'ordre inférieur à 7 , un circuit série puisse être établi à partir de la bande commune 686 de l'ordre des -unités et du segment 7 du groupe de segments 685 de cet ordre et à travers les segments 9 de l'ordre des dizaines, des centaines et des mil liers.
Ce circuit a pour effet d'exciter le re lais R7P chaque fois que le compte du comp teur d'unités 1 atteint 9997.
Le circuit d'excitation du relais R7P part du pôle positif de la source P2 (fig. 48V) et passe à travers les contacts C22, pour aboutir à la bande commune 686 (fig. 48D) et de là aux segments 685 et aux balais 688 des trois ordres supérieurs du compteur d'unités 1 (fig. 48D);
le segment commun 686 est relié à la connexion W2 ainsi que le segment 7 de l'ordre des unités du groupe de segments 685 par l'intermédiaire du relais R7P. Le relais R7P ferme ses contacts R7C (fig. 48D) pour exciter l'électro-aimant d'avance de fiche CPM <I>1</I> et pour empêcher la pince de faire avancer une autre fiche à partir du magasin.
Dans certaines conditions, l'opération de triage est contrôlée pour assurer qu'une fiche soit effectivement dirigée vers la poche cor respondant à l'impulsion de fonctionnement fournie à l'électro-aimant SCH. La machine est arrêtée lorsque ce dispositif de contrôle fonctionne, par le relais 825P, d'une façon qu'on décrira pl11s loin. Le relais R25P ferme ses contacts R25C, produisant ainsi le même effet que la fermeture des contacts R7C.
Il est également possible de connecter la machine pour provoquer son arrêt automati que dans certaines conditions prescrites déter minées par diverses façons de connecter cette machine.
Cet arrêt peut. être effectué au moyen des douilles RS (arrêt-refus) PS44 et PS45 (fig. 41 et 48H) ou au moyen de la douille Stop PS37. Lorsque les douilles d'arrêt-refus PS44 et<I>PS45</I> sont reliées entre elles par un pont et que le relais R141P n'est pas excité conformément à la commande appliquée à ce relais, un circuit est formé à partir de la source positive P1 (fig. 48H) et à travers les contacts CLR2fl_, C19, LCRlB,
R141d et le relais R8P. Les contacts R8B (fig. 48D) sont ainsi fermés et provoquent le fonctionnement de l'électro-aimant élévateur de fiches.
L'enroulement RSP est également excité lorsqu'une source d'impulsion est con nectée au tableau de connexion à la douille PS37. Ainsi qu'on l'expliquera plus loin, le relais R141P n'est pas excité dans certaines conditions lorsqu'on désire qu'une fiche soit rejetée ou refusée, et il peut être désirable qu'on puisse inspecter cette fiche immédiate ment, avant que la course de fonctionnement de la machine ne continue avec les fiches restantes. La commande RS est prévue dans ce but.
Lorsque les commandes RS et Stop sont efficaces pour exciter le relais R8P et arrêter l'avance des fiches, les contacts R8A se ferment et la lampe de signalisation d'édi tion<I>EL</I> (fig. 48B) est alors allumée.
La lampe de signalisation d'impression<I>PL</I> s'allume également lorsque l'avance des fiches est arrêtée sous commande d'un<B>9997</B> au compteur d'unités ou d'un 9M , à condition que les deux chariots soient. retournés en po sition de départ, maintenant ainsi l'interrup teur 47S1 (fig. 20 et 48B) fermé. Les chariots devraient se trouver à la position représentée aux fig. 2A, 213 et 20 lorsque les opérations d'avance de fiche sont effectuées. La lampe de signalisation d'impression indique à l'opé rateur que les chariots se trouvent dans la position adéquate pour le premier cycle d'im pression d'une série.
On a déjà mentionné le fait que le conden sateur C (fig. 48C) est chargé, lorsque les contacts du relais de levier de fiche CLRIA se ferment, et qu'il reste chargé tant que des fiches continuent à être avancées. A la fin d'une course, lorsque la dernière fiche quitte le magasin et que les contacts de levier de fiche C'LR1 s'ouvrent, le potentiel de charge pour le condensateur C est supprimé.
Le con- densateur C commence immédiatement à se décharger à travers un circuit fermé compre nant la résistance de 1.000 ohms, les contacts FPC, R180, R25B, R22A et l'enroulement du relais R22.
La valeur de la résistance de charge et celle du condensateur C, qui est très grande, sont choisies de façon que le relais R22 soit maintenu excité suffisamment long temps pour que la dernière fiche ait le temps de passer à partir du poste de contrôle de triage jusqu'à la poche 9 avant que ce relais R22 ne cesse d'être excité et permette au mo teur W11 de s'arrêter en coupant l'excitation iu relais du moteur MR.
Chaque fois qu'une poche de triage quelconque devient trop pleine de fiches, les contacts FPC (fig. 48C) de poche pleine s'ouvrent et coupent l'excita tion du relais R22, arrêtant ainsi immédiate ment le moteur 11l1 et empêchant l'avance d'autres fiches.
La machine peut également être arrêtée en appuyant sur une clé d'arrêt (fig. 4SA). On excite ainsi lé relais R18 qui ouvre ses contacts R18C (fig. 48C) pour couper l'exci tation du relais R22.
L'excitation du relais<I>R25P</I> a lieu sous l'effet d'une fiche qui ne passe pas sous la lame de contact 114 adéquate au cours de l'opération de contrôle de triage. Ce relais actionne l'électro-aimant d'avance de fiche CF!111 et ouvre également ses contacts<I>R25B</I> (fig. 48C) pour arrêter l'avance des fiches.
Lorsqu'on désire provoquer à la main une opération d'impression, la clé d'impression PK (fig. 48A) est actionnée. Cette clé ferme un circuit partant de la connexion W1 (fig. 48A) et passant à travers les contacts de cette clé, des contacts R151,_ R198A, LCRZC et le re lais R21 pour aboutir à la connexion W2. Les contacts C46 sont normalement fermés lorsque le mécanisme d'impression n'est pas utilisé;
par conséquent, un circuit de maintien peut être formé pour le relais R21 à travers les contacts R21A et C46. Etant donné que l'ar bre 216 (fig. 15) tourne continuellement lorsque la machine fonctionne, les contacts C1 se ferment et excitent les relais R6, R17 (fig. 48A) et l'électro-aimant d'embrayage d'impression PCII -en parallèle.
Le relais R21 ferme ses contacts<I>R21B</I> pour exciter le relais CR6, Les contacts CR6B se ferment et exci tent le. relais de moteur 111R pour mettre en route le moteur 11l1.
Il en résulte que l'embrayage d'impression est engagé de la façon décrite plus haut pour effectuer un tour, actionnant ainsi les barres de caractères et d'autres mécanismes associés au mécanisme d'impression, y compris l'émet teur d'impression PE.
La façon dont les barres de caractères sont commandées pour effectuer l'impression sera décrite en détail plias loin en référence à un exemple particu- lier. Si le mécanisme de poinçonnage de relevé est utilisé, le circuit provoquant le début de l'opération d'impression est dépendant de con tacts de poinçonnage de magasin PIIC (fig. 48w) et des contacts du relais de levier clé fiche de poinçonnage PLCRB connectés en série,
en parallèle avec les contacts R198A. Lorsque le mécanisme de poinçonnage de re levé fonctionne, un pont est inséré entre les douilles SP PS62 et PS63, excitant ainsi le relais R198.
Ce relais ouvre ses contacts R198A et branche le relais R21 en série avec les contacts de magasin de poinçonnage PHC et avec les contacts du relais de levier de riche de poinçonnage, empêchant ainsi d'effectuer une opération d'impression, à moins que des fiches ne se trouvent dans le magasin de poin çonnage et dans le poste de poinçonnage.
Lorsque les douilles AP d'impression automatique<I>PS48</I> et PS49 (fig. 48A) sont reliées, un cycle d'impression automatique est provoqué chaque fois que les relais R23 ou R7 sont excités sous commande d'une fiché pilote portant un poinçonnage 9 ou- lorsque le compte de fiches atteint 9997.
Lorsque les fiches sont épuisées ou lorsque l'électro-aimant d'avance de fiche CF1111 de vient efficace pour empêcher l'éjection de fiches à partir -du magasin H, les fiches qui restent en cours d'avance dans la machine sont avancées jusqu'à ce que les contacts de levier de fiche CLC2 (fig. 48C) s'ouvrent. Cie-ci se produit environ au milieu d'un cycle au cours duquel la dernière fiche passe par le poste de contrôle de triage, la destination de cette fiche ayant été déterminée par l'électro aimant de commande de triage.
Après que la dernière fiche a passé par ce point, la machine s'arrête, tandis que les fiches qui sont encore en cours d'avance vers les poches sont con duites jusqu'à ces poches, grâce à l'effet du condensateur C.
Lorsque les contacts de levier de fiche CLC1 s'ouvrent, les relais CLR1 et CLR2 sont encore maintenus excités pendant une courte période grâce à un circuit de maintien maintenu lui-même à travers les contacts C24.
Les contacts CLC2 s'ouvrent ensuite et cou pent l'excitation des relais LCR1 et LCR2 Les contacts CLR2C (fig. 48A) se ferment du fait que le relais LCR2 n'est plus excité, et ils provoquent automatiquement un cycle d'im pression, à condition que les douilles AP PS48 et PS49 soient reliées, Si cela n'est pas le cas,
un cycle d'impression manuelle doit être provoqué à l'aide de la clé d'impression PK. Le relais R7 est un relais à verrou qui reste. verrouillé jusqu'à ce que son enroule ment de déclenchement R7T (fig. 48E) soit excité.
Le relais R23 est commandé par le tube Y124 qui, une fois amorcé sous com mande d'un 9 poinçonné dans une fiche pour commander le fonctionnement de l'élec- tro-aimant d'avance de fiche CF, i111, reste amorcé jusqu'à ce que le relais R19 soit excité et ouvre ses contacts R19E. Le relais R1.9 cesse d'être excité dès que le relais CLRI fonctionne, lorsque la première fiche passe en regard des balais B.
Par conséquent, les deux relais R7 et R23 sont maintenus excités après avoir été attirés, leurs contacts étant en posi tion attirée jusqu'à ce que Penroulement de déclenchement R7T (fig. 48E) soit excité ou que le relais R19 soit excité lorsqu'on fait re partir la machine.
Lorsque le mécanisme d'impression est mis en route sous commande de la clé d'impression PK ou des contacts LCR2C, le relais R21 est excité et ferme ses contacts<I>R21B</I> pour exciter le relais CR6 (fig. 48A) et le relais de moteur lIR pour mettre en route le moteur 1111 et pour engager l'embrayage d'impression.
A moins que le relais R142P ne soit excité, maintenant ses contacts R142A ouverts (fig. 48A) ou que le relais d'arrêt R18 ait été excité du fait du fonctionnement de la clé d'arrêt SPK, maintenant ouverts ses contacts R181, le mécanisme d'impression fonctionne de façon continue pour -Lune série de cycles sous commande de l'émetteur de chariot 502, 503 et 506.
Le fonctionnement du relais R142 pour arrêter la série de cycles d'impression à l'instant voulu sera. expliqué plus loin, après qu'on aura décrit le fonctionnement de la ma chine au cours de ces cycles d'impression suc cessifs. On admettra maintenant qu'une série de fiches a passé par la machine et que certains faits ou données désirés ont été comptés par i les compteurs d'unités et que ces données ont été enregistrées dans les accumulateurs 2 et 4 sous commande des balais de fiche B.
L'avance des fiches a été arrêtée et une suite de cycles d'impression a été provoquée soit à la main, soit automatiquement, comme on l'a décrit. Pendant cette suite de cycles d'impression, les totaux contenus dans les quatre accumulateurs, le nombre de groupe et les totaux contenus dans les soixante comp teurs d'unités seront imprimés. Finalement, les totaux contenus dans l'accumulateur se ront débités pour effectuer un contrôle final des opérations de comptage.
Après les deux premiers cycles, les accumulateurs sont remis en place et ils sont ensuite utilisés conjointe ment avec les contacts CRC commandés par les barres de caractères pour enregistrer les totaux des compteurs dans les accumulateurs, au fur et à. mesure que ces totaux sont im primés.
Ce sont ces derniers totaux qui sont débités pour effectuer un contrôle. Etant donné que cette suite de cycles d'impression constitue une suite fixe indépendante de la connexion de la machine, on la décrira main ; tenant en détail.
On admettra que les chariots se trouvent torts deux à leur position extrême droite, en référence aux fig. 2A et 2B, ou extrême gau che, en référence à la fig. 20, les contacts 11153 étant ainsi fermés et les contacts MS-9 étant maintenus actionnés, comme représenté à la fig. 48F.
Ainsi qu'on l'a expliqué phis haut, les relais R6 et R17 sont excités lorsque le mécanisme d'impression est mis en route au moyen de la clé d'impression PK ou des con tacts de levier de fiche LCR2C. Ceci a pour effet de fermer les contacts R171 (fig. 48F), si bien qu'un circuit peut être formé à travers les contacts C38.
Ce circuit part de la. source positive P2 et passe à travers les contacts C38, R17À, <I>R142D</I> ou R16B, selon les états respectifs de ces relais, à travers les contacts R15C et 111S2, la bande 503 de l'émetteur, les balais 506 de cet émetteur et le segment 1 du groupe de segments 502 pour aboutir aux relais R124 et R154.
La fermeture des contacts R6D, R21D et <I>R17C</I> (fig. 48G) provoque l'amorçage du tube V123, du fait de l'application simultanée du potentiel d'anode à l'anode de ce tube à partir de la source Pl et à travers les contacts<I>R17C</I> et le relais R57 et du potentiel de grille-écran à la grille-écran de ce même tube à partir de la source Pl et à travers les côntacts C8 (fig. 480), R201G,
<I>R21D</I> et R6D. Le relais R57 est ainsi excité et ferme tous ses contacts R571 (fig. 48E). Le relais CR134 (fig. 48F) est également excité par l'intermédiaire des contacts<B>3183</B> et ferme ses contacts CR134C (fig. 48E). Les contacts IyIS3 restent excités pendant les trois premiers cycles d'impression au cours desquels les balais 506 sont en con tact avec le premier, le second et le troisième segment 502 (fig. 48F) de l'émetteur de cha riot 502, 503, cependant que les totaux accu mulés et le nombre de groupe sont imprimés.
Le relais R17fermesescontacts R17D (fi-. 48H) et les relais R124 et R154 ferment leurs con tacts R1241 (fig. 48J) et R1541 (fig. 48L).
Les bandes communes 636 de l'accumulateur 1 sont ainsi reliées au câble CB1 et la bande commune de l'acciunulateur 3 au câble CB3, préparant ainsi les batteries d'impression 7. et 3 pour l'impression de totaux à partir dés accumulateurs 1 et 3 dans les colonnes d'ex- trême gauche (fig. 42), à gauche de la ligne pointillée verticale de chacune des deux sec tions de la feuille de travail.
Ainsi, pendant le premier cycle d'impres sion, lorsque les contacts C29 et C30 se fer ment alternativement, une série d'impulsions d'impression de totaux sont fournies à l'émet teur d'impression PE. Ces impulsions partent de la source positive P1 et passent par les contacts C29 et C30 (fig. 48H), le balai 786 de l'émetteur d'impression PE, les segments 785 de l'émetteur, les contacts 8148C du re lais R148, les connexions aboutissant. aux seg ments 635 des commutateurs de lecture des accumulateurs 1 et 3 (fig.. 48J et 48L),
et de là à travers les balais de lecture 688 et la- bande commune 636, les contacts 8124A et 8154A et les câbles CBl et CB3 pour aboutir aux électro-aimants d'impression P11 (fig. 48M et 48N) des batteries d'impression 1 et 3 res pectivement et de là à la connexion W2 et au pôle négatif N1 .de la source.
Le total contenu dans les accumulateurs 1 et 3 est ainsi imprimé dans les colonnes d'ex trême gauche des sections en deux parties, à gauche de la ligne en pointillé à la fig. 42, seule la première section de la feuille de tra vail étant représentée à cette figure.
L'impression d'im total de la façon dé crite est bien connue et il n'est pas nécessaire de la décrire en détail. On comprendra que si un> balai de lecture 638 quelconque d'un ordre quelconque de l'un des accumulateurs 1 et 3 se trouve dans une position correspon dant à une valeur déterminée, il permet à une impulsion de chiffre correspondant à cette valeur d'être émise à travers la connexion adéquate,
fournissant ainsi une impulsion à l'électro-aimant d'impression adéquat à un- instant auquel la barre de caractères se trouve dans une position telle que le caractère cor respondant est sur le poilu de parvenir en regard de la ligne d'impression. Cette impul sion provoquera ainsi l'arrêt de ce caractère en regard du point d'impression.
Il est évi dent que lorsque le moteur 1i11 est mis en marche de la façon décrite et que l'arbre 220 est couplé ù ce moteur, les barres de caractères 161 commencent à s'élever et à se déplacer d'une façon commandée dans le temps en re lation avec la rotation de .l'émetteur PE. Ainsi, au fur et à mesure que les valeurs suc cessives 9, 8, 7, ete., sont émises par l'émet teur<I>PE,</I> les électro-aimants PÎll sont 'excités à des instants correspondant aux valeurs se trouvant dans les acciunulateurs 1 et 3.
Au cours de ce premier cycle d'impression, les contacts 644 se ferment et excitent les électro-aimants d'échappement ES (fie. 48D des deux chariots à travers les contacts 8143A. Au cours du début du premier cycle d'impression, lorsque les contacts C39 se fer ment, le relais 8143P est excité et ferme ses contacts 8143A, permettant ainsi aux con tacts C44 de fermer le circuit des électro- aimants ES vers la fin de ce premier cycle d'impression.
Ceci a pour effet de faire avan cer les deux chariots dans leurs positions res pectives de seconde colonne (fig. 48F), les re lais R123 et R153 étant excités et accomplis sant ensuite les mêmes fonctions pour les acclunulateurs 2 et 4 que les relais R124 et R154 pour les accumulateurs 1 et 3 et le se cond cycle est une répétition du premier cy cle, avec la différence que les accumulateurs 2 et 4 commandent alors les batteries d'im pression 1 et 3 pour imprimer les totaux con tenus dans ces acciunulateurs. Au cours -du second cycle, durant lequel les totaux contenus dans les accumulateurs 2 et 4 sont imprimés,
les électro-aimants ES sont excités et les chariots avancent jusque dans leur position respective de troisième co lonne et excitent les relais R37, R38, R39 et R40 (fig. 48F). Pendant ce second cycle éga lement, lorsque les relais R123 et R153 sont excités, les contacts C48- (fig. 48G) se ferment et excitent les relais de zéro R191 et R192, en parallèle avec le relais R153, par l'intermé diaire de la connexion W24.
En zéro au cours du second cycle d'impres sion, l'émetteur d'impression PE ferme des circuits à travers son segment de zéro 785, les contacts 8191A et 8192A (fig. 48H) et les câbles CB6 et CB7 pour provoquer l'impres sion de zéros dans toutes les positions aux quelles une barre de caractères n'a pas im primé de chiffre significatif. Cette opération n'est pas nécessaire pendant le premier cycle, étant donné que les cliquets de zéro 167 pro voquent automatiquement l'impression de zéros à gauche d'un chiffre significatif.
Les accumulateurs 1 et 3 recueillent le surplus des accumulateurs 2 et 4, si bien que les to taux dans les accumulateurs 1 et 3 et dans les accumulateurs 2 et 4 constituent en réalité un seul, total. Lorsque les balais 506 relient la bande 503 de l'émetteur au troisième segment 502, l'excitation des relais R37, R38, R39 et R40 prépare la machine pour l'impression d'in dication de groupe qui est emmagasinée dans les relais R81P à R96P de la façon expliquée ci- dessus au cours de la description du tableau de connexion.
Les circuits d'indication de groupe sont représentés à la fig. 481, et on admettra que les contacts -des relais R81P à R96P aient été mis en place pour emmagasiner jusqu'à cinq chiffres conformément à une forme de système binaire. Conséquemment, un seul cir cuit fermé sera constitué dans chacun des quatre ordres représentés à la fig. 481 et dé signés par les mots Unités , Dizaines , etc.
Chacun de ces circuits part d'un groupe de connexions du câble CB5 pour aboutir au câ ble CB4 qui est réuni aux électro-aimants d'impression PJÏl (fig. 48M et 48N), Les .contacts fermés et représentant des aleurs, des relais R37 à R40, sons reliés en parallèle au groupe de quatre connexions W42 qui aboutissent aux contacts des relais R81P à R96P,
si bien que le même nombre de groupe comprenant quatre chiffres sera imprimé par les quatre batteries d'impres- sion. On remarquera, en référence à la fig. 42, que deux colonnes désignées par Triage sont prévues. Le même nombre de groupe est imprimé dans chacune de ces colonnes et, étant donné qu'il y a deux sections pour la feuille de travail complète, il est nécessaire que le nombre de groupe soit imprimé quatre fois.
Ainsi que l'indique la ligne médiane en pointillé, chacune des sections que comprend la feuille de travail est .séparable en deux parties, si bien qu'on a au total quatre for mulaires séparés présentant chacun quinze rangées verticales de totaux.
Le câble CB5 est relié à l'émetteur d'irn pression PE (fig. 48H) qui fonctionne' pen dant le troisième cycle pour émettre des im pulsions par l'intermédiaire des contacts des relais d'indication de groupe<I>R81P</I> à R96P, de façon générale semblable à celle dont les lectures des accumulateurs sont utilisées pour imprimer des totaux. Par exemple, si la va leur 6 est emmagasinée dans l'ordre des.
imités (fig. 48I), la connexion désignée par le petit chiffre 6 à droite est reliée par les contacts R83C et R82B à la connexion des unités _T742 qui est elle-même reliée à tous les électro-aimants PM des unités par l'inter médiaire des contacts de l'ordre des unités 837A à R40A. A l'instant 6 du cycle d'im pression, une impulsion passe à travers l'émet teur PE (fig. 48H) et la connexion 6 (fig. 481), les contacts 883C, R82C, <I>881B,
</I> R84D et la connexion des unités W42, et en parallèle à travers les contacts d'extrême droite R37A, <I>R38A</I> (fig. 4.8J) et R39A, <I>R40A</I> (fig. 481.), pour aboutir à tous les électro-aimants d'impression d'unités PIÏl (fig. 48M et 48N). Cette impulsion retourne. à travers les câbles CB1 et CB4 à la connexion W2.
La valeur 6 est ainsi imprimée à l'or dre des unités de toutes les colonnes de Triage de la fehille de travail. De façon semblable, d'autres chiffres sont imprimés par les électro-aimants d'impression restants.
Des zéros sont imprimés, sous commande d'un cir cuit séparé, partant du segment zéro 786 (fig. 48H) de l'émetteur d'impression PÉ et passant à travers les contacts du relais de zéro.R191A et le câble CB6. Ainsi qu'on le remarquera à la fig. 48J, ce câble CB6 com prend des connexions séparées aboutissant respectivement aux contacts R123A.et R124A. Ces impulsions de zéro passent à travers dif férentes connexions du .
câble CB6, vers la gauche de la fig. 48J et de là vers le haut jus qu'aux contacts R37A à travers lesquels elles parviennent aux électro-aimants d'impression <I>P111</I> adéquats pour commander l'impression de zéros.
Pendant le troisième cycle, les électro- aimants d'échappement des chariots sont excités et les chariots avancent jusqu'au qua trième segment 502, en position pour l'impres sion. du total du premier groupe de quatre compteurs d'imités. Cependant, avant que cette impression ne soit effectuée, il est néces- saure que les accumulateurs 1 .à 4 soient remis en place, et ces accumulateurs sont ensiüte utilisés pour contrôler les totaux des comp teurs- d'unités.
La remise en place est effec tuée en faisant avancer les roues d'aceiunula- teur jusqu'à zéro sous commande d'une série d'impulsions semblables à des impulsions d'addition. On. se rappellera que les relais R119, F120, R148, R149 et R150 (fig. 48F) avaient été excités en parallèle avec les relais R37 à R40 avant le début du troisième cycle, au cours duquel le nombre de groupe avait été imprimé.
Les relais R119 et R120 ferment leurs contacts 8119A et 8120A (fig. 48J) et relient ainsi les électro-aimants de rappel RIÏI des accumulateurs 1 et 2 aux bandes communes 636 des dispositifs de lecture pour ces deux accumulateurs, par l'intermédiaire des con tacts 8124B, 8144P et 8123D, 8146F. Le relais R148 inverse également le sens de connexion de l'émetteur d'impression PE (fig. 48H), si bien que cet émetteur émet maintenant des compléments de 9 des chiffres 1 à 9.
Par exemple, en 9 au cours du cycle, l'émetteur PE ferme un circuit aboutissant à la connexion l , tandis qu'en 7. de ce même cycle, il ferme un circuit aboutissant à la connexion 9 .
Les relais R149 et R150 représentés à la i fig. 48L ont le même effet que les relais R119 et R120 de la fig. 48J, les électro-aimants de rappel ROI<I>des</I> accumulateurs 3 et 4 étant reliés aux bandes communes 636 de ces accu mulateurs par l'intermédiaire des contacts c 8150B, 8145E, 8154B, 8149B et 8153C res pectivement.
Le sens de connexion des dispo sitifs de lecture -des accii.mulateurs est inversé dans le but d'assurer que lorsqu'une roule d'accumulateur se trouve en 1 comme possi bilité extrême, neuf paires d'impulsions sont appliquées aux électro-aimants R111 et A111, ces neuf paires d'impulsions étant nécessaires pour faire tourner cette roue jusqu'en zéro.
Si les impulsions de l'émetteur étaient utili sées de la faon normale et qu'une roue se trouvait en 1 , l'impulsion 1 pour remet tre en place cette roue d'accumulateur serait appliquée à l'instant 1 , à un instant où il n'y a par conséquent qu'une seule unité de temps à disposition pour ramener cette roue en position de zéro, si bien que ladite roue serait évidemment amenée en 2 et non en zéro.
Grâce aux connexions inversées de l'émetteur, si une roue d'accumulateur se trouve en 1 , son électro-aimant de rappel RIÏI reçoit une impulsion en 9 à travers un circuit partant de cet émetteur PE (fig. 48f1) et passant à travers le segment 9 du groupe de segments 785 de cet émetteur, par la con nexion reliée à ce segment (fig. 48H.
48J et 48L) et aboutissant aux ordres qui sont en 1 et aux balais 638 de lecture qui ferment un circuit entre la bande commune 636 et le segment 1 du groupe entre la bande com- inime 636 et le segment 1 -du groupe de segments 635 de chacun de ces ordres.
Les impulsions sont par conséquent émises vers le bas à travers les contacts<I>8124B,</I> 8144P et 8120B pour l'accumulateur 1, 8123D, 8146F et 8119B pour l'accumulateur 2, 8154B, 8145E et 8150B pour l'accumulateur 3 et 8153C et' 8149B pour l'accumulateur 4, et aboutissent aux électro-aimants de rappel RIII de tous les ordres dans lesquels la roue se trouve en 1 . Ces impulsions sont transmises à travers les contacts normalement fermés 8193B de l'accumulateur 1, 8194A de l'accu mulateur 2, 8195B de l'accumulateur 3 et 8196A -de l'accumulateur 4.
Ainsi qu'on l'a expliqué au cours de la. description de l'accumulateur, ces impulsions ont pour effet de retirer les bras 603 (fig. 28), et les électro-aimants Alll reçoivent ensuite immédiatement une impulsion par l'intermédiaire d'un circuit partant de la source P2 et passant à travers des contacts C31, C32 (fig. 48H), les contacts 8148D, 8144D, 8146D, 8126A, 8125A, 8156A, 1155A, les connexions W29 à W32 et de là à travers tous les électro-aimants AJI (fig. 48J et 48L)
correspondant aux ordres dans les quels la roue se trouve en 1. Ces impulsions sont produites immédiatement après les im pulsions qui excitent les électro-aimants Rlll.
*Les premiers pas de rotation des roues des accumulateurs qui se trouvaient en 1 ont pour effet de fermer les contacts AC de ces roues, comme décrit ci-dessus au cours de la des cription de la partie mécanique de la ma chine. La rotation subséquente de l'émetteur PE fournit une succession d'impulsions sup- plémentaires aux électro-aimants<I>RAI</I> pour les ordres qui se trouvaient en 1 et, après cha cune de ces impulsions fournies à -Lui électro aimant Rlll, une impulsion correspondante est fournie à l'électro-aimant A11 correspondant par l'intermédiaire des connexions W29 à W32 jusqu'à ce que neuf paires d'impulsions aient -été fournies à chaque électro-aimant.
Ces neuf paires d'impulsions suffisent pour ramener les roues d'accumulateur à zéro. Il est évident que ces roues parviennent en zéro vers le milieu du cycle (fig. 47B), l'émetteur PE cessant alors d'émettre des impulsions. Les électro-aimants A111 reçoivent des impulsions à vide à quelques reprises par ].'intermédiaire de contacts C29 et C30, mais ces électro- aimants n'ont pas d'effet.
Une valeur intermédiaire quelconque, à la quelle une roue d'accumulateur se trouve, est augmentée d'une quantité égale au complé ment de 10 de cette valeur" si bien que ces roues sont ramenées en zéro au moyen de circuits semblables.
Au cours du troisième cycle, les électro- aimants d'échappement ES sont excités comme auparavant et les chariots avancent pour amener les balais 506 en regard du qua trième segment 502.A partir de cet instant, une série de quinze cycles identiques prend place pour imprimer les totaux contenus dans les compteurs d'unités, à raison de quatre à la fois et pour enregistrer les totaux dans les accumulateurs 1 à 4 au fur et à mesure qu'ils sont imprimés, ces accumqilateurs ayant été ramenés à zéro préalablement à cette opéra tion.
Lorsque les chariots avancent en posi tion de quatrième colonne, les contacts 111S3 s'ouvrent et le relais C8134 cesse d'être excité, fermant ses contacts CR134B et rendant effi caces les contacts KC.
Au cours de l'impression des totaux accu mulés et du nombre de groupe, les contacts <I>CEC</I> sont fermés et, si aucune disposition n'était prévue pour l'empêcher,-des enregistre ments seraient effectués dans les accumula- e teurs. Pour empêcher de tels enregistrements, les contacts CR134B (fig. 48H) s'ouvrent et séparent la connexion W28 commune à tous les contacts d'addition AC 'de tous les accu- inulateurs et aux contacts CEC des accumula- c teurs 2, 3 et 4,
de la source d'impulsions C29, C30. Les contacts <I>CR134D</I> (fig. 48J) s'ou- v rent et empêchent les contacts CKC de l'ac cumulateur 1 de fermer des circuits aboutis sant aux électro-aimants de rappel RÏII. Etant donné qu'on désire effectuer un poin çonnage de relevé des totaux contenus dans l'accumulateur 1, il est nécessaire que la con nexion W27 ne soit pas modifiée au cours des cycles pendant lesquels les totaux contenus ;
dans cet aceiunulateur 1 sont imprimés. Ainsi qu'on l'expliquera plus loin, la fermeture des contacts CKC de la batterie d'impression 1 provoque la codification des totaux qui sont fournis sous cette forme codifiée au méca- c nismë de poinçonnage de relevé et qui sont automatiquement poinçonnés au cours d'une suite d'opérations de poinçonnage.
Les relais CRI, C82, C83,<I>C851</I> et C852 sont dès lors excités. Les compteurs 1, 16, 31 F et 46 sont ainsi choisis pour l'impression de. totaux et pour la remise en place ainsi que pour l'enregistrement dans les accumulateurs 1 à 4. Ces compteurs choisis sont désignés par les petits nombres inscrits à l'intérieur des rectangles représentant les enroulements des relais à la fig. 48F.
On remarquera aux fig. 48n2 et 48N que le relais CRI ferme ses contacts<I>CRIA</I> pour relier les électro-aimants d'impression de la batterie d'impression 1 aux contacts d'in- pression de compteur CI'C et au compteur d'unités 1. Semblablement, les batteries d'im- pression 2, 3 et 4 sont reliées par les relais CR2A, <I>CR51A</I> et CR52A aux contacts d'im pression CPC des compteurs 16, 31 et 46.
Les compteurs sont remis en place au moyen d'impulsions répétées fournies aux électro aimants CIM jusqu'à ce que chaque roue par vienne en zéro. Les contacts CPC se ferment alors pour exciter l'électro-aimant d'impres sion et les contacts CRC s'ouvrent pour em pêcher que des impulsions subséquentes con tinuent d'être fournies aux électro-aimants CDI associés.
Les contacts<I>CRIB</I> et CR51B re, lient les électro-aimants CDI des compteurs pour les compteurs 1, 16, 31 et 46 à la con nexion W16 par l'intermédiaire des contacts de remise ,en place CRC qui sont fermés dans tout ordre dont la roue n'est pas en zéro. Ainsi, tous les électro-aimants de compteur <I>C</I> 1l associés à des compteurs dont les roues ne sont pas en zéro sont reliés en parallèle entre la connexion W16 et les douilles de sortie de compteur PS31.
D'ordinaire, lorsque lues compteurs sont connectés pour effectuer une opération de comptage, ces connexions peuvent compren dre un circuit de connexions à fiches et des relais sélecteurs de recodification destinés à a acheminer des impulsions de comptage aux douilles d'entrée PS30. Les douilles de sortie PS31 sont reliées par des connexions à fiches à une ligne de retour qui peut être formée en insérant une ou plusieurs connexions à fiches ;
entre les douilles de sortie PS31 (fig. 41, 48M et 48N) et les douilles PS26 (fig. 48E). On se rappellera que le tube V123 avait été amorcé au début, excitant ainsi le relais R57 qui -avait fermé ses contacts R57A et établissant @ un circuit de retour pour toutes impulsions transmises aux électro-aimants Cil1. Ce circuit de retour est établi à partir des douilles PS31 (fig. 48M)
et passe par des connexions à fiches jusqu'aux douilles PS26 et aux contacts R.57.4 pour aboutir à la connexion W2 et de là à la source négative N1.
Au cours du quatrième cycle, pendant que les barres de caractères 161 se déplacent vers le haut, une série d'impulsions est fournie à la, connexion W16 par l'intermédiaire de cir cuits partant de la source positive P2 (fig. 48H). Ces circuits passent par les con tacts C29 et C30, les contacts C40 (fig. 48t) pour aboutir à la connexion W16.
Les impul sions se propagent par conséquent en paral lèle à travers les électro-aimants de compteur <I>COI</I> des ordres qui ne sont pas en zéro, ajou tant ainsi ime succession d'unités à chacun de ces ordres jusqu'à ce qu'ils parviennent en zéro et que leurs contacts CRC s'ouvrent pour interrompre la transmission d'impulsions d'addition supplémentaires à chacun de ces ordres respectifs. Prenons par exemple le compteur d'unités 1 (fig. 48M) et supposons que l'ordre des unités de ce compteur soit en 6 .
Quatre impulsions seront. fournies à l'électro-aimant de compteur des unités<I>C</I>H (fig. 48M) par l'intermédiaire des contacts CRC de cet ordre et des contacts<I>CRIB,</I> fai sant ainsi tourner la roue de ce compteur de quatre unités ou pas pour l'amener en zéro. Lorsque cette roue parvient en zéro, les con tacts CRC associés à l'ordre des imités de ce. compteur s'ouvrent et interrompent la trans mission d'impulsions à cet ordre sans modi fier l'alimentation en impulsions d'un autre ordre quelconque.
Les contacts CPC de l'or dre des imités se ferment au moment où les contacts CRC de cette unité s'ouvrent, et la commande dans le temps des contacts C29 et C30 et des barres de caractères est telle que la barre de caractères de l'ordre des unités de la batterie d'impression 1 sera alors sur le point d'amener 1c caractère 6 qu'elle porte en regard de la ligne d'impression à l'instant.
où les contacts CPC se ferment: Cette barre de caractères sera alors arrêtée -en 6 , si bien que, lorsque le marteau d'impression est actionné, la valeur 6 sera imprimée par cette barre de caractères.
De faon semblable, toutes les valeurs contenues dans les quatre accumulateurs se ront mises en place sur les barres. de carae- tè.res 'et à l'instant approprié du cycle, les marteaux d'impression seront libérés, comme expliqué ci-dessus, et les quatre valeurs seront imprimées sur la feuille de travail aux co lonnes 1, 16, 31 et 46, immédiatement à droite des nombres de groupe qui ont été imprimés au cours du cycle précédent.
Si une roue de compteur quelconque se trouve en zéro, un zéro est imprimé par la barre de caractères correspondante grâce à l'action des cliquets de zéro 167 (fig. 13), à condition qu'une barre de caractères d'ordre supérieur ait été mise en place pour imprimer un chiffre signi ficatif. A mesure que chaque barre de caractères clé chaque batterie d'impression est arrêtée dans une position correspondant à lin chiffre significatif, les contacts CKC associés sont fermés, provoquant ainsi l'enregistrement du chiffre correspondant dans l'ordre de l'accu mulateur associé à cette barre de caractères.
Les accumulateurs 1 à 4 sont respectivement associés aux batteries d'impression 1 à 4. Sup posons que le compteur d'unités 1 contienne la valeur 8 à l'ordre des unités et que cette valeur soit imprimée de la façon décrite ci dessus. La commande dans le temps des con tacts CKC de la barre de caractères est repré sentée à la fig. 47B et on remarquera que cette commande ne coïncide pas avec des im pulsions fournies par l'émetteur d'impression PE, cet émetteur recevant des impulsions pour imprimer les totaux contenus dans les accumulateurs.
La raison de cette différence est un retard mécanique du mécanisme d'im- pression et du mécanisme d'actionnement des contacts CKC qui provoquent l'arrêt effectif des barres de caractères.
La fermeture des contacts <I>CEC</I> s'effectue par conséquent avec un retard appréciable sur la réception de l'impulsion de valeur correspondante, à partir des contacts CPC. Tandis que les impulsions fournies à partir des contacts CPC et qui arrê tent les barres de caractères, par exemple une impulsion 9 (fig. 47B), se produisent envi ron à 9 du cycle, les jeux et les mouvements relatifs nécessaires des différentes parties sont tels que les contacts<I>CEC</I> ne sont pas effectivement fermés avant 45 environ de ce même cycle.
On remarquera que les contacts de com mande dans le temps C29 à C32 ont pour effet de provoquer l'émission de paires d'impul sions chevauchant, entre les instants corres pondant aux valeurs de chiffres des impul sions émises par les contacts CEC. Les impul sions produites par les contacts C29 et C30 sont utilisées pour exciter les électro-aimants de retour R111 par l'intermédiaire des con nexions W27 et W28 et les impulsions émises par les contacts C31 et C32 sont utilisées pour exciter les électro-aimants AH par l'intermé diaire <RTI
ID="0047.0033"> des connexions W29 à W32. En prati que, les contacts C29 et C30 ont pour effet l'émission d'une seule impulsion pour chaque valeur de chiffre, tandis que les contacts C31 et C32 ont pour effet pratique correspondant l'émission d'une seconde impulsion immédiate ment après.
Ces deux impulsions ont ensem ble pour effet d'exciter une paire d'électro- aimants <I>A111,</I> RIVI déterminée pour provoquer l'enregistrement d'une seule unité dans l'or dre de l'accumulateur correspondant à cette paire d'électro-aimants <I>AH,</I> RM. La raison principale justifiant l'utilisation d'une paire de contacts de commande dans le temps dans chaque cas au lieu d'un seul jeu de contacts est la nécessité d'obtenir une commande dans le temps précise.
En effet, le point de départ et la fin de chaque impulsion peuvent être réglés de façon très exacte grâce à l'utilisa tion de deux jeux de contacts conjugués.
A l'instant de .fermeture des contacts CKC de l'ordre des unités du compteur 1, en 9 par exemple, une impulsion est transmise à l'électro-aimant de rappel de l'ordre des unités RIÏT (fig. 48J) par l'intermédiaire d'un circuit partant de la source positive P2 (fig. 48H) et passant à travers les contacts C29, C30, C33, R17F, 8148B, .9144B, 8146B, par la connexion W27, à travers les contacts #C (fig. 48J) de l'ordre des unités de l'accumulateur 1,
les contacts CR134D, 8126D, 8120A, 8193B et l'électro-aimant de rappel de l'ordre des unités pour aboutir à la connexion W2 et à la source négative Nl. Ainsi qu'on l'a expliqué au cours de la des cription de la construction mécanique du compteur, cette impulsion retire le bras 603 portant un cliquet et prépare l'ordre des unités de l'accumulateur 1 pour l'addition d'une unité.
Cette impulsion de départ est produite à environ 45 .du cycle, à cause du retard expliqué ci-dessus, et elle est immédia tement suivie d'une impulsion fournie à l'élec- tro-aimant d'addition A111 de l'ordre des unités à partir des contacts C31 et C32.
Cette impulsion part de la source positive P2 (fig. 48H) et passe à travers les contacts C31, C32, C34, R17H, 8148D, 8144D, 8146D et 8126A, à travers la connexiôn W32 et l'élec- tro-aimant d'addition A111 de l'ordre des unités (fig. 48J) pour aboutir à la connexion W2 et de là à la source négative-N1.
L'impulsion 9 initiale transmise à la roue de l'ordre des unités provoque égale ment la fermeture des contacts AC (fig. 32) de la façon expliquée ci-dessus, et ces contacts restent verrouillés en position fermée jusqu'à la fin du cycle. Du fait de la fermeture de ces contacts AC, l'électro-aimant de rappel R117 de l'ordre des unités reçoit ensuite une série d'impulsions à partir de la connexion W28.
Ces impulsions lui sont transmises à partir des contacts R46B et à travers les con tacts CR134B, la connexion W28, les contacts AC de l'ordre des unités, les contacts 8126I', 8122B, 8120A, 8193B et l'électro-aimant Rill pour aboutir à la connexion W2.
La première partie de ce circuit est identique au circuit initial passant par la connexion W27 et par les contacts CKC. La fermeture des contacts AC a pour effet de relier la connexion W27 au côté inférieur des contacts CKC. Il en ré sulte que les électro-aimants A11 et RK reçoi vent dès lors alternativement des impulsions à partir des contacts C29 à<B>032.</B> Ces impul sions débutent par des impulsions désignées par 8 à la fig. 47B et se poursuivent jus qu'à ce que chaque électro-aimant ait reçu huit impulsions,
si bien que huit unités ont été- ajoutées à l'ordre des unités de l'accumu lateur 1. De façon semblable, des enregistre ments sont- effectués dans tous les accumula teurs au moyen des contacts CKC et AC asso ciés à des ordres se trouvant dans des posi- tions correspondant à des chiffres significa tifs. Les impulsions fournies aux électro aimants d'addition Aïll sont transmises aux accumulateurs respectifs par l'intermédiaire des contacts 8126A, 8125A, 8156A et R1551 et des connexions W29 à W32.
Dtant donné que les accumulateurs avaient été remis à zéro au cours du troisième cycle d'impression, aucun transfert à partir d'un ordre quelconque à un ordre supérieur ne sera nécessaire lorsque les totaux des compteurs 1, 16, 31 et 46 seront imprimés. Les électro- aimants d'échappement ES des chariots se ront excités au cours du quatrième cycle du fait de la fermeture des contacts C44 vers la fin de-ce cycle et les chariots avanceront jus qu'à leurs positions de cinquième colonne.
Le cinquième cycle sera une répétition du cycle précédent, avec la différence que les relais <I>C84,</I> CR <I>7,</I> C88, C857 et C858 seront excités pour relier les compteurs 2, 17, 32 et 47 au mécanisme d'impression et que les totaux de ces compteurs seront imprimés et enregistrés dans les accumulateurs respectifs de la même façon que décrit ci-dessus.
Cependant, au cours de ce cycle, il peut es produire qu'un report de dizaines ou un transfert soit néces saire entre les différents ordres, puisque le total du compteur 2 par exemple sera ajouté au total du compteur 1 qui se trouve alors enregistré dans l'accumulateur 1.
Pour l'explication des circuits de report de dizaines, on admettra que l'accumulateur 1 se trouve en 8 à l'ordre des unités et que 2 est ajouté dans cet ordre des unités, cette valeur 2 étant fournie par l'ordre des unités du compteur 2. L'addition de 2 à 8 a pour effet de faire tourner la roue des -unités de l'accumulateur 1 jusqu'en zéro, fermant ainsi des contacts de report des dizaines<I>TC.</I> Les contacts<I>TC</I> dont il s'agit en l'occurrence se ront constitués par le quatrième jeu de con tacts<I>TC</I> à partir de la gauche à la fig. 48J. La fermeture de ces contacts établit suie con nexion à partir de la connexion W25 jus qu'aux contacts 8193A du relais R193 de report à faible vitesse.
K 216 du cycle, après que la partie d'addition de ce cycle soit achevée, les contacts C35 (fig. 47B) se ferment et un circuit est établi à partir de la source positive P2, à travers des contacts C35 et R148E et les enroulements de relais R193 à R196 jusqu'à la connexion W2, fer mant ainsi les contacts R193A associés à tous les ordres de l'accumulateur 1.
Un circuit peut ainsi être alors établi à partir de la source positive P2, à travers des contacts C36 (fig. 48H), R17D, la connexion W25 et à travers les contacts de dizaines <I>TC</I> de l'ordre des unités et les contacts R193A de report à faible vitesse de l'ordre des unités et un élec tro-aimant<I>ROI</I> pour l'ordre des dizaines de l'accumulateur 1 jusqu'à la connexion _W2. La fermeture de ce circuit a le même effet qu'une impulsion d'addition.
Immédiatement après, l'électro-aimant ADI de l'ordre des dizaines est excité à partir de contacts C37 (fig. 48H), par l'intermédiaire de la connexion W32.
Ainsi, deux impulsions alternées sont four nies aux électro-aimants <I>ROI</I> et.E1.ilI de l'ordre des dizaines, ces impulsions étant séparées d'une position de repère du fait de la com mande dans le temps des contacts C36 et C37. Une -unité est ainsi ajoutée dans l'ordre des dizaines de l'accumulateur 1.
Les relais R194, R195 et R196 préparent les accumulateurs 2, 3 et 4 pour l'opération de report et des cir cuits de report de dizaines sont formés à travers les contacts de dizaines<I>TC</I> de tous ces accumulateurs, de la même faon que dé crit ci-dessus, la seule différence étant que les impulsions fournies aux électro-aimants ADI des accumulateurs 2, 3 et 4 passent à travers les contacts R125A, R156A, R155 A et les con nexions W31, W30 et W29 respectivement.
Si une roue d'accumulateur quelconque se trouve en 9 et qu'un report à cette roue est effectué à partir de la roue de l'ordre immé diatement inférieur, le report est effectué par l'intermédiaire des contacts de report de dizaines<I>TC à la</I> roue de l'ordre qui se trouve en 9 et par l'intermédiaire des contacts de neuf<I>NC</I> de cette roue à la roue de l'ordre immédiatement supérieur à celui de ladite roue qui se trouve en 9 . Supposons qu'à la ig. 48J, l'ordre des dizaines se soit trouvé en 9 lorsque le report décrit a été effectué.
Les contacts de neuf de l'ordre des dizaines <I>NC,</I> qui sont constitués par le troisième jeu de contacts depuis la gauche à la fig. 48J, se ront fermés lorsque la roue de l'ordre des dizaines de l'accumulateur 1 vient en 9 .
Conséquemment, lorsqu'une impulsion est fournie à travers les contacts<I>TC</I> de dizaines de la roue de l'ordre des unités, cette impul sion ne parvient pas seulement à l'électro aimant Rlll de l'ordre des dizaines, mais passe également à travers les contacts de neuf NC de l'ordre des dizaines à partir desquels elle atteint l'électro-aimant RM de l'ordre des centaines. Si l'ordre des centaines se trouve également en 9 , une troisième dérivation de cette impulsion parvient à l'électro-aimant <I>ROI</I> de l'ordre des milliers.
Les électro- aimants <B>AN</B> de tous les ordres reçoivent auto matiquement une impulsion à travers les con tacts C37 à chaque cycle d'impression, mais, si l'électro-aimant<I>ROI</I> d'un ordre quel conque n'est pas actionné, l'impulsion. trans mise à l'électro-aimant AM de cet ordre est sans effet.
Il est maintenant opportun d'expliquer que ces opérations sont effectuées de la même faon lorsque des enregistrements sont direc tement effectués à partir des fiches, du fait du fonctionnement des tubes de retard V83 à V114 des accumulateurs, ainsi qu'on l'a expli qué plus haut. Cependant, on se rappellera que l'addition s'étend pratiquement sur le cycle complet lorsque les enregistrements sont effectués directement à partir des fiches. Il est alors nécessaire que la commande dans le temps des opérations de transfert soit dif férente pendant un cycle d'avance de fiche.
Lorsque les accumulations sont effectuées sous commande des fiches, les douilles AC (PS46 et PS47) d'accumulation automatique (fig. 41 et 48A) sont reliées entre elles par un pont, maintenant ainsi le relais R147 excité. Les contacts R147D (fig. 48H) sont ainsi fermés.
Des contacts C19 se ferment tout à la fin du cycle d'avance de fiche et excitent les relais R121, R122, R151 et R152 à travers un circuit partant de la source posi- tive P2 (fig. 4811) et passant à travers les contacts CLR2A, <I>C19,</I> 8147D, R17L et à tra vers les enroulements desdits relais pour aboutir à la connexion W2 et de là à la source négative Nl. Les relais susmentionnés ferment leurs contacts 8122A pour l'accumulateur 1 (fig. 48J), R121-4 pour l'accumulateur 2, 8152A pour l'accumulateur 3 (fig. 48L)
et 8151A pour l'accumulateur 4. Les contacts C19 et les relais R121, R122, R151 et R152 remplissent ainsi les mêmes fonctions que les contacts C35 et que les relais R193 à R196, mais à un instant différent du cycle.
Les contacts C20 correspondent. en fait aux contacts C36 qui fournissent une impul sion à la connexion W25 pour les contacta TC de report des dizaines. Le circuit des contacts C20 est formé à partir de la source positive P2 (fig. 48H) par l'intermédiaire des con tacts CLR2A, LC1, LC2, C20, 8147E et 817E et aboutit à la connexion W25.
Des contacts LC3 <I>et</I> LC4 correspondent, en ce qui concerne leur fonctionnement, aux contacts C37 et se ferment à environ 18 (fig. 47A) pour exciter les électro-aimants <I>AM</I> pour l'opération de report.
Après que les opérations de report ont été achevées au cours d'un. cycle d'impression, les contacts C47 se ferment à environ 260 et forment un circuit partant de la connexion W1 (fig. 48H) et passant à travers les con tacts C47, des contacts R17J, une connexion W33 et tous les électro-aimants CRM en pa rallèle (fig. 48J et 48L), pour aboutir à la connexion W2.
Les ordres de l'accumulateur sont ainsi préparés pour recevoir les enregis trements subséquents par la libération des verrous 628 (fig. 28), ce qui entraîne l'ouver ture des contacts d'addition<I>AC</I> (fig. 32) et le déclenchement des contacts de dizaines TC (fig. 34), ainsi qu'on l'a expliqué au cours de la description de la construction mécanique des ores d'accumulateur.
Au cours d'un cycle d'avance de fiche, la même fonction est remplie par les contacts C21 (fig. 48H) qui ferment un circuit à partir de la source posi tive P2,et à travers les contacts CLR2A, <I>C21,</I> <I>8147C</I> et R17.9, ce circuit aboutissant à la. connexion W33.
Admettons pour l'instant que la machine soit en train de faire avancer des fiches et que des enregistrements sont effectués dans les accumulateurs 2 et 4 sous commande de ces fiches. L'excitation sélective et commandée dans le temps de relais d'addition quelcon ques 8127P à 8130P (fig. 481 et 48J) ou 8157P à 8160P (fig. 48K et 48L), dans le but. de représenter des valeurs de chiffres, provo que l'excitation des électro-aimants RM des accumulateurs 2 et 4 par l'intermédiaire des connexions yY37 et W38.
Les impulsions d'en registrement de chiffres s'écoulent à travers des circuits partant de la source P2 (fig. 481t), par l'intermédiaire de contacts LC2, LC1, <B>018,</B> 8147A, R17G, R148B, R144B, 8146B, de la connexion W27, et de contacts quelcon ques parmi les contacts 8127A à 8130A (fig. 48J) ou 8157A à 8160A (fig. 48L), des connexions W37 ou W38, de contacts 8125D, 8119A,
8194B (fig. 48J) ou 8155D, 8149A, 8196B (fig. 48L) et des électro-aimants 8i17 jusqu'à la connexion W2.
Les contacts <I>AC</I> des ordres dans lesquels des enregistrements sont effectués sont alors fermés et relient les électro-aimants R111 de ces ordres à la connexion W28 pour permettre à ces ordres de recevoir des impulsions subsé quentes fournies aux électro-aimants<I>RH</I> de la façon décrite ci-dessus en -référence à l'ad dition au cours d'in cycle d'impression.
Les impulsions successives pour les électro-aimants Rill sont dans ce cas transmises à partir de la source positive Pl (fig. 48H) et par l'inter médiaire des contacts LC2; LC1, C18, 8147A, <I>817G,</I> 8148B,<I>8144B,</I> 8146B et CR134B, ce circuit aboutissant à la connexion W28.
Les impulsions fournies aux électro-aimants AM seront transmises à travers un circuit partant de la source positive P2 (fig. 48H) et passant à travers les contacts CLR2 <I>A,</I> LC4, LC3, 8147B,<I>R171, 8148D,</I> 8144D, 8146D, 8126A, 8125A, 8156A et 8155A et à travers les con nexions W32, W31, W30 et W29 et les élec- tro-aimants AIIÏ pour aboutir à la connexion W2.
Au cours du cinquième cycle d'impression, les électro-aimants d'échappement ES des chariots sont excités et les chariots avancent jusqu'à leurs positions respectives de colonne 6, excitant les relais<I>C85, C89,</I> C810, C859 et C860, et le cycle précédent est ensuite ré pété. Les cycles restants, jusque et y compris le dix-huitième cycle au cours duquel les to taux contenus dans les compteurs d'unités 15, 30, 45 et 60 sont imprimés, se déroulent de la même faon que les cycles 4 et 5.
Au cours de l'un des quinze cycles pen dant lesquels les totaux contenus dans les compteurs d'unités sont imprimés, il peut se produire que l'un de ces compteurs soit con necté par des connexions à fiches pour effec tuer une opération de soustraction. Ainsi qu'on l'a dit plus haut, le compteur d'unités: 1 est connecté pour fonctionner comme comp teur de total, pour compter le nombre -total de fiches passant par la machine.
Par consé quent, le total contenu dans le compteur d'unités 1 à la. fin d'une série d'opérations d'avance de fiches peut être égal au grand total ou total général des compteurs restants. Si le total contenu dans le compteur 1 était ajouté de faon positive dans l'accumulateur 1 dans ces conditions, pour être finalement transféré dans l'aceiunulateur 4 pour un con trôle par sommation décalée, il serait impossi ble d'effectuer de façon correcte la totalisa tion et la sommation décalée des totaux con tenus dans les compteurs restants.
Pour tourner cette difficulté, le total contenu dans le compteur 1 est enregistré dans l'accumula teur 1 par une opération de soustraction, si bien qu'après cet enregistrement, cet accumu lateur contient le complément de neufs de ce total et que les totaux des compteurs 2 à 15 sont ensuite ajoutés à ce complément.
Pour effectuer la 'soustraction du total contenu dans le compteur 1 dans l'accumula teur 1, ce compteur est connecté pour la sous traction en insérant un pont entre les douilles <I>PS32</I> et PS52 associées au compteur 1. Ces douilles sont constituées par la paire extrême gauche représentée à la fig. 48F, le chiffre 1 figurant. entre ces douilles, ou par la paire extrême gauche clés deux rangées supérieures à la fi-. 41, à laquelle ces deux douilles sont reliées verticalement entre elles par une flèche le long de laquelle figure l'abréviation SUB .
Lorsque les chariots se déplacent à partir de la colonne 3 jusqu'à la colonne 4, après le troisième cycle d'impression, le relais CR3 (fig. 48F) de commande de soustraction est excité en même temps que les relais CRI, C82, C851 et<I>C852.</I> Le relais R126 .de sous traction de l'accumulateur 1 est ainsi excité à travers un circuit partant de la source posi tive P2 et passant par les contacts C38, 817E1, 8142D, R15C, par l'inverseur !1152 et les con tacts C39, par le pont inséré entre les douilles PS32 et PS52,
par les contacts CR3A et par le relais R126 pour aboutir à la connexion W2 et à la source négative Nl. Le relais R143 est également<B>-</B>excité en parallèle avec le relais R126 pour préparer le circuit d'espacement des cliariots de la façon décrite plus haut. -Le relais R126 ferme ses contacts 8126B (fig. 48H) et relie la connexion W32 de faon qu'elle soit commandée par les contacts C29 et<B>030,</B> si bien que les électro-aimants d'addition 11l1 de l'accumulateur 1 (fig.481) recevront des impulsions dès le début du cy cle.
Les contacts 8126C se ferment (fig. 48J) et relient les contacts CKC de l'accumulateur 1 à l'électro-aimant de soustraction<I>SOI.</I>
Les contacts 8126L' se ferment également et relient tous les contacts de soustraction SC de l'accumulateur 1 aux électro-aimants de rappel Rill. Ceci a pour effet d'exciter -tous les électro-aimants de rappel de l'accumula teur 1 en les reliant entre les connexions W26 et W2.
On remarquera que la connexion W26 (fig. 48H) est reliée à la source positive P2 par l'intermédiaire des contacts C34, C31 et C32. Etant donné que les contacts C31 et C32 ont pour effet l'émission d'un train d'impul sions, il est évident que les électro-aimants de rappel 8l11 sont excités alternativement avec les électro-aimants d'addition AH, si bien que toutes les roues de l'accumulateur 1 se mettent immédiatement à tourner, étant avan cées par un. effet de rochet et de cliquet pour tourner de façon continue.
Admettons que la valeur $ se trouve à l'ordre des unités du compteur 1 et que les contacts CKC de l'ordre des imités se fer ment, comme décrit ci-dessus au cours du quatrième cycle, pendant l'opération d'impres sion du total contenu dans le compteur 1. Au lieu de fermer un circuit aboutissant à l'élec- tro-aimant de rappel RIÏI de l'ordre des uni tés, comme décrit ci-dessus, un circuit est fermé jusqu'à l'électro-aimant SIÏI de sous traction de l'ordre des unités.
Ce circuit part de la connexion 1V27 (fig. 48J). et passe à travers les contacts CKC de l'ordre des unités, les contacts CR134D, R126C et à travers l'électro-aimant SAI pour aboutir à la con nexion W2. L'excitation de l'électro-aimant SIhI de l'ordre des unités provoque l'ouverture des contacts de soustraction SC, ces contacts interrompant la transmission d'impulsions subséquentes à l'électro-aimant R11 de cet ordre,
à partir de la connexion 'Y26.
La commande dans le temps est telle que l'électro-aimant SDI n'est excité qu'après que les électro-aimants <I>ROI</I> et 9.D1 de l'ordre des unités ont reçu chacun une impulsion, autre ment dit après que le chiffre 1 a été ajouté à la roue de l'ordre des unités. Cependant, la valeur 8 sera imprimée par la barre de ca ractères de l'ordre des unités de la batterie d'impression 1. De façon semblable, les autres chiffres du total contenu dans le compteur 1 seront imprimés et le complément de neufs de ce total sera enregistré dans l'accumula teur 1.
Lorsque les chariots avancent jusque dans leurs positions respectives de colonne 5, le re lais R126 cesse d'être excité et l'opération sui vante est une opération d'addition, comme on l'a expliqué ci-dessus.
Ainsi qu'on l'expliquera plus loin lors qu'on décrira les opérations de sommation dé calée qui sont effectuées comme contrôle de l'exactitude de la tabulation, lorsque le com plément contenu dans l'accumulateur 1 est débité .dans les totaux contenus dans les autres accumulateurs, cela aura pour effet d'amener l'acciunulateur 4 en 9 , dans cha cun de ses ordres, et ceci est contrôlé au moyen d'un. circuit comprenant les relais R13P et R14P. Lorsque l'état de cet accumu lateur 4 est trouvé correct, l'avance des fiches recommence automatiquement.
Après l'impression des totaux contenus dans les compteurs 15, 30, 45 et 60, au cours du dix-huitième cycle, les chariots avancent jusqu'à leurs positions respectives de dix- neuvième colonne et l'inverseur IUS2 est actionné par la butée marginale de droite 461, représentée à gauche à la fig. 20.
Unë série de trois cycles de sommation décalée et de re mise en place est ainsi provoquée et se dé roule avant que les chariots ne soient ramenés en place et qu'un espacement de ligne ne soit effectué pour préparer la machine pour une nouvelle série d'opérations d'avance de fiche et de tabulation de données pour une nouvelle série de fiches.
Un circuit est formé à partir de la source positive P2 (fig. 48F) et à travers les contacts<I>C38,</I> R17A, R142D et R15C, les contacts inférieurs de l'inverseur IIIS2 et les contacts R12C et à travers les re lais R144P et R145P. Ces deux relais com mandent le débit dans l'accumulateur 2 du total contenu dans l'acciunulateur 1 et le débit dans l'accumulateur 4 du total. contenu dans l'accumulateur 3.
Des relais R2T à R5T, R7T et R69T à <I>R69T</I> (fig. 48E) sont excités au même instant en parallèle avec les relais<I>R144P</I> et R145P, par l'intermédiaire de la connexion 'V23, et provoquent la remise en place des relais de comparaison verrouillés et des relais d'indica tion de groupe. On se rappellera que ces re lais avaient été excités au cours du premier çycle de fiche pour emmagasiner le nombre de groupe sous commande des tubes d'indica tion de groupe.
Les fonctions des relais de comparaison R69P à R80P seront expliquées ci-après en référence à des exemples parti culiers.
L'excitation des relais R144P et R1.45P a pour effet la fermeture des contacts R144E (fig. 48J), reliant ainsi les bandes communes de lecture 636 de l'accumulateur 1 aux élec tro-aimants de rappel<I>RAI</I> de l'accumulateur 2 par l'intermédiaire de connexions W37, tandis que la fermeture de contact R145E (fig. 48L) a pour effet de relier les bandes de lecture de l'accumulateur 3 aux électro-aimants de rap pel<I>ROI</I> de l'accumulateur 4 par l'intermé diaire de connexions W38.
Au cours du dix- neuvième cycle, l'émetteur d'impression PE fonctionne pour envoyer des impulsions au travers des commutateurs de lecture de l'aceu- mulateur 1 aux électro-aimants de rappel R11 de l'accumulateur 2, et à travers les commuta teurs de lecture de l'accumulateur 3 aux élec tro-aimants de rappel Rz41 de l'accumulateur 4, de la même façon que celle qui a été décrite en référence à l'impression de totaux à partir des accumulateurs.
Un circuit typique peut être suivi à partir de la source positive P2 (fig. 48H) et à tra vers les contacts C29 et C30, le balai 786 et l'un des segments 785 de l'émetteur PE, l'un des contacts correspondants normalement fermé R148G, l'une des connexions communes d'un segment 635, par exemple de l'ordre des imités de l'accumulateur 1 (fig. 48J), la bande commune 636 de cet ordre, les contacts R124B et R144E, la connexion des unités W37, les contacts R125D, R119A et R194.4,
et l'électro aimant de rappel RJÏI de l'ordre des unités de l'accumulateur 2, jusqu'à la connexion W2 et de là à la source négative N1.
La formation de ce circuit provoque l'opé ration d'addition de la même façon que décrit ci-dessus, si bien qu'une valeur quelconque qui s'était trouvée dans l'ordre des unités de l'accumulateur 1 est transférée à l'ordre des unités de l'accumulateur 2 pour y être ajoutée à la valeur que contenait cet accumulateur.
Par exemple, si l'ordre des unités de l'accu mulateur 1 se trouvait en 9 , le circuit aboutit à la connexion supérieure ou con nexion 9 (fig. 48J) et enregistre un 9 dans l'ordre des unités de l'aectunulateur 2 en provoquant l'émission d'un train de neuf paires d'impulsions transmises à chacun des électro-aimants Rlil et ADI de cet ordre.
De facon semblable, des enregistrements sont effectués dans les ordres de l'accumulateur 4 sous commande des commutateurs de lecture de l'accumulateur 3. Dans ce cas, ce transfert est effectué par l'intermédiaire des contacts R145D et des -connexions W38.
Après que les opérations d'addition ont été effectuées, peu avant la fin du dix-neu vième cycle, les contacts C43 (fig. 48F) fer ment un circuit reliant les relais R9P, R11P et<I>R12P</I> à la source P2, par l'intermédiaire, des contacts R20F et R145C. Les relais R9P, R11P et<I>R12P</I> sont des relais à verrouillage dans lesquels les .contacts restent verrouillés en position actionnée jusqu'à ce que les enrou lements de déclenchement R9T,
<I>R11T</I> et, <I>R12T</I> soient excités.
Le relais 812P ferme ses\ contacts 812B' (fig. 48r) et excite le relais de commande de rouleau R146. Les relais R143H, R144FI et R145H cessent d'être excités lorsque des con-, tacts C42 s'ouvrent près de la fin du cycle, et l'avance des chariots est supprimée.
Le re lais R146 (fig. 48J) ferme ses contacts R146E (fig. 48J) pour relier les connexions -W38 aux commutateurs de lecture de l'accumulateur 2 réunissant ainsi ces commutateurs aux électro- aimants Rlll de l'accumulateur 4. La machine effectue alors un autre cycle pour transférer le total compris dans l'accu mulateur 2 dans l'acciunulateur 4.
Ainsi, à la fin du vingtième cycle, l'accumulateur 4 con tient le total général de tous les totaux séparés des compteurs 2 à 60 plus le total du comp teur 1 qui avait été enregistré dans l'accumu lateur 1 au .cours du quatrième cycle d'im pression par une opération de soustraction. Etant donné que ce dernier total avait été en registré sous forme d'un complément de neufs, et puisque le total des compteurs 2 à 60 de vrait être égal au total du compteur 1, l'accu mulateur 4 devrait se trouver en 9 pour chacune de ses roues.
Cela signifierait que l'opération de sommation décalée s'est dé roulée avec succès et qu'il n'y a par consé quent pas eu d'erreurs au .cours du comptage dans les différents compteurs ou de l'impres sion et du transfert des totaux.
Afin de vérifier cet état au cours du ving tième cycle, une impulsion est transmise au travers des quatre ordres de l'accumulateur 4 dont les bandes communes 636 et les segments 9 635 sont branchés en série dans ce but par l'intermédiaire de contacts R11A, R110 du relais R1111. On se rappellera que ce re lais avait été excité -en même temps que le relais R146, à la fin du cycle 19.
Cette impul sion 9 part de la connexion Wl (fig. 48L) et passe à travers les contacts C49 et R12D. De là, elle passe en série à travers les contacts 811A et R11C et par tous les segments 9 635 et les bandes communes 636 de l'accumu lateur 4, la connexion W36 et les relais R1311 et<I>R1411</I> (fig. 48K) pour aboutir à la con nexion W2.
L'excitation de ces relais au cours du vingtième cycle a pour effet de fermer les contacts R14A (fig. 48C) et permet de faire automatiquement recommencer l'avance de fiches de la faon décrite ci-dessus lorsque les contacts C35 (fig. 48H) se ferment pendant le vingt et unième cycle d'impression. Etaut donné que les relais 1111R, <I>R6, C86, R17</I> et R21 sont encore excités; un vingt et unième cycle se déroule, au cours duquel les accumulateurs sont remis en place avant que l'avance de fiches ne reprenne automatiquement.
Pendant le vingtième cycle, des contacts C44 ferment un circuit aboutissant aux relais à verrouillage 815P et R1611 par l'intermé diaire des contacts R12A, pour préparer ces ; relais de façon qu'ils arrêtent la série de cy cles d'impression, qu'ils fassent automatique ment reprendre l'avance de fiches et ramènent les acciunulateurs à zéro.
Des contacts C38 (fig. 48F) se ferment tout à la fin du cycle 20 ; (fig. 47B) et excitent les relais de remise en place R119, R120, R140, R149 et R150, à par tir de la source P2 et à travers les contacts C38, R16B, R15D, R14D, les relais . R119, R120, R148, R149 et R150 étant, d'autre part, ; reliés à la connexion W2 et à la source N1.
Ces derniers relais ont pour effet la remise en place es accumulateurs pendant le cycle 21, de la façon décrite ci-dessus en référence au cycle d'impression 3.
; Les enroulements des relais <I>R11T</I> et<I>R12T</I> (fig. 48F) sont excités pendant le cycle 21 à travers des contacts R201', 8145B et R15B, ramenant ainsi les relais à verrouillage R1111 et <I>R1211</I> à l'état non verrouillé. Pendant ce cycle, les contacts C29 et C30 (fig. 48H) et C45 (fig. 48K) ferment un circuit passant à travers les contacts R20G et R1511 et aboutis sant aux relais R14211 et R19711.
Des contacts 8142A (fig. 48A) sont. ouverts à environ 180 de ce cycle et les contacts C46 s'ouvrent. à en viron 288 pour supprimer l'excitation des re lais R6, 8l7 et R21 et de l'électro-aimant d'embrayage d'impression PCH. Des con tacts C2 (fig. 48P) maintiennent cependant le relais CR6 attiré pendant encore un demi cycle pour assurer que le moteur IVll tourne encore assez longtemps pour achever l'opéra tion de retour des chariots.
Il est évident que des cycles d'impression subséquents ne peu vent pas suivre automatiquement à la fin du vingt et unième cycle.
Les contacts C44 (fig. 48D) ferment un circuit aboutissant aux électro-aimants <I>CRS</I> de retour des chariots et aux enroulements de déverrouillage<I>R15T</I> et<I>R16T</I> au cours du cycle 21, pour ramener les chariots et pour remettre les relais R1511 et R1611 en position normale. A 300 environ du cycle 21, des con tacts 049 (fig. 48L) ferment un circuit abou tissant aux enroulements<I>8142T</I> et<I>8197T</I> par l'intermédiaire des contacts R6C, pour rame ner en position normale les relais R14211 et 8197P.
Les contacts C35 se ferment à environ 215 du cycle 21 et font recommencer l'avance de fiches, à condition que des fiches se trouvent. dans le magasin H. Les relais R1311 et R1411 sont remis en place par fermeture des con tacts C43, après que les contacts C35 ont fait recommencer les opérations d'avance de fiches. Des relais de commande de zéro 8189P et 8190P sont également excités à ce moment-là.
En admettant que l'accumulateur 4 se soit, trouvé en 9 lorsque l'impulsion de contrôle a été envoyée à travers les dispositifs de lec ture pour exciter les relais R1311 et R1411, des circuits sont alors formés pour provoquer l'impression d'un 0 dans chacune des co lonnes désignées par un * (fig. 42) pendant le cycle 21.
Ce circuit part de la source P2 et passe à travers les contacts C30 et C29 (fig. 48H), C45 (fig. 48K) et R13A pour aboutir aux électro-aimants P111 des ordres des centaines de toutes les batteries d'impression (fig. 48M et 48N). Cela signifie que les to taux figurant sur la première ligne fournis sent une sommation décalée correcte.
Si ces totaux ne fournissent pas une som mation décalée correcte et que les relais <I>R13P</I> et R14P ne sont pas excités pendant le cycle 21, des relais R15 et R16 sont alors excités, comme décrit ci-dessus, pour faire arrêter la suite de cycles d'impression. Dtant donné que les contacts R14D (fig. 48F) sont alors ouverts, les relais R119, R120, R148, R149 et R150 ne peuvent être excités et les accumulateurs ne seront pas remis en place pendant le cycle 21. Des contacts R14A (fig. 48c) empêchent le recommencement automatique de l'avance de fiches lors de l'ar rêt du mécanisme d'impression.
Des contacts R14B (fig. 48D) empêchent le retour des cha riots. Les relais R11P et<I>R12P</I> seront remis en place en excitant leurs enroulements de verrouillage<I>R11T</I> et<I>R12T</I> (fig. 48F), comme auparavant.
Un cycle d'impression doit alors être pro voqué à la main pour imprimer le total con tenu clans l'acciunülateur 4, puisque cet accu mulateur contient une quantité différente. de 9 . I1 est cependant possible que cet acc-Lunu- lateur se trouve en zéro. Avant de provoquer ce cycle d'impression, l'opérateur insère une feuille de papier par-dessus la feuille de tra vail et en regard de la batterie d'impression 3, pour recevoir le total.
En appuyant sur la. clé d'impression PK (fig. 48A), l'opérateur excite le relais R20, et la fermeture des contacts R20A excite le relais R21 et fait débuter le cycle d'impres sion de la façon décrite phis haut: Les contacts <I>R20D</I> (fig. 48F) provoquent l'excitation du relais R153 à partir de la source P2 et à tra vers les contacts C38, R17A, R16B, R15D, R9E et R20D, ce relais R153 étant, d'autre part, relié à la connexion. W2 et à la source N1.
Les contacts R153C (fig. 48L) sont ainsi fermés pour relier la batterie d'impression 3 aux dispositifs de lecture de l'accumulateur 4 et le total est imprimé.. Les contacts R20G (fig. 48K) empêchent l'excitation des relais R142P et R197P pendant ce cycle.
Les contacts R20E permettent aux con tacts C43 d'exciter le relais à verrouillage R9 près de la fin du cycle, et ce relais verrouille les contacts R9A, R9B, R9D et R9F en posi tion fermée.. Les relais de remise en place R119, R120, R148, R149 et R150 sont ainsi excités et tous les accumulateurs sont .remis en place de la faon décrite phis haut.
Les re lais R142P et R197P ont pour effet de rame ner les chariots et de remettre en- place les re lais R15P et R16P. Le relais R20 cesse d'être excité en même temps que les relais R6, R17 et R21, lorsque l'excitation de ces relais est interrompue pour arrêter le fonctionnement du mécanisme d'impression. Au cours d'une série de cycles d'impression, cette suite de cycles peut être interrompue en appuyant sur la clé d'arrêt SPK. On ouvre ainsi des con tacts R18A interrompant l'excitation des re lais R6, R17 et R21 au moment où les con tacts C46 s'ouvrent.
La lampe de signalisation d'édition<I>EL</I> est allumée chaque fois que la machine s :a:r- rêtë après que le circuit pour -les relais R13 et R14 n'a pas pu être établi au cours d'une opération de contrôle de neufs de l'accumula teur 4. Cette lampe est allumée du fait que le relais R21 cesse d'être excité, tandis que le re lais R16 est verrouillé et maintient fermés ses contacts R16A (fig. 48B).
La lampe de signalisation de triage-com- paraison SCL (fig. 48B) s'allume chaque fois que le relais R25 est excité du fait qu'une fiche n'a pas été triée correctement et la lampe de signalisation d'édition<I>EL</I> s'allume également lorsque le relais R8 est excité du fait que les connexions à fiches Stop ou Rejeter stop ( RS ) sont efficaces.
La lampe d'impression<I>PL</I> s'allLune lors que la commande pilote 9lI est efficace (relais R23), ou lorsque le compte de fiches atteint 9999 (relais R17P), à condition que les chariots aient été ramenés en position ini tiale<B>(fi-.</B> 2A, 2B et 20). L'opérateur est ainsi averti qu'il a à effectuer une suite de cycles d'impression avant de contintïer à faire avan cer davantage de fiches.
.Afin de simplifier l'explication des opéra tions d'impression du total à partir des accu ; mulateurs 2 et 4, pendant le second cycle d'impression de la machine, on avait admis que les contacts R189A et R190A (fig. 48E) des relais de commande de zéro étaient fermés, si bien que les relais de zéro R191 et R192 de o vaient être excités lors de la fermeture des contacts C48.
On avait également admis que les totaux accumulés dans les accumulateurs 2 et 4 pendant les cycles d'avancé de fiches dépassaient la capacité des accumulateurs 2 et 4, ce qui serait normalement le cas si un très grand nombre de fiches comprenant de grandes quantités poinçonnées dans ces fiches étaient analysées, un surplus étant alors tou jours fourni à partir des ordres supérieurs des accumulateurs 2 et 4 aux ordres des unités des acciunulateurs 1 et 3.
Il est cepen dant très possible qu'une course ne com prenne qu'un relativement faible nombre de fiches, ces fiches ne contenant que relative ; ment peu de valeurs et ces valeurs ou données étant relativement faibles et pouvant être accumulées dans les accumulateurs 2 et 4, si bien que les totaux pourraient être inférieurs à quatre chiffres. Dans ce cas, il n'est pas clé ( sirable d'imprimer un zéro à l'ordre des mil liers de la colonne 2 de la section de feuille de travail.
Du fait que deux accumulateurs sont com binés pour former un grand accumulateur de huit ordres et que les barres de caractères sont divisées en quatre groupes séparés, aucun dispositif mécanique n'est prévu pour impri mer automatiquement des zéros aux ordres des milliers des accumulateurs 2 et 4 lorsque j les barres de caractères des batteries d'im pression 1 et 3 correspondant aux ordres des imités des acciunulateurs 1 et 3 sont dépla cées pour imprimer un chiffre significatif au cours du premier cycle;
les relais de zéro R191 et R192 sont prévus pour provoquer l'impression automatique de zéros dans les ordres adjacents inférieurs des colonnes 2 des sections de feuille de travail correspondant aux ordres supérieurs des accumulateurs 2 et 4 pour lesquels une barre de caractères n'a pas été déplacée pour l'impression d'un chiffre significatif. Si la machine ne présentait pas cette caractéristique, un total général tel que 80678 serait imprimé sous la forme de 8 678 , et il serait alors nécessaire d'inter préter mentalement la feuille de travail, de manière à suppléer au zéro manquant, cha que fois qu'on étudie cette feuille, ce qui en traînerait naturellement de fréquentes con fusions.
Les relais de zéro R191 et R192 pro voquent l'impression automatique de zéros manquants dans les ordres supérieurs. Si la valeur accumulée dans les accumulateurs 2 ou 4 pendant la course de fiches était par exemple 0678 , il n'est pas désirable que le premier zéro soit imprimé.
La machine est disposée de -façon à être normalement mise en place pour supprimer l'impression de zéros sous commande des re lais R189P et R190P, de façoi= que la com mande d'impression mécanique automatique de zéro effectuée par les barres de caractères soit seule efficace pour imprimer des zéros.
Cette commande mécanique de zéro ne peut cependant pas être utilisée pour l'impression de zéros dans une quantité telle que 80678 , parce qu'il n'y a pas de relation mécanique entre les barres de caractères des ordres supé rieurs respectifs des batteries d'impression 1 et 3 et les barres de caractères des ordres infé rieurs qui pourraient. provoquer l'impression d'un zéro dans l'ordre supérieur pendant. le second cycle, conjointement avec l'impression de la seconde moitié du total.
Les relais R189P et R190P sont des relais à verrouillage et, à l'instant auquel les enrou lements de déclenchement R13T et<I>R14T</I> (fig. 48F) des relais de contrôle de neufs R13P et R14P sont excités pour déverrouiller les relais à verrouillage<I>R13P</I> et R14P, les relais R189P et R190P sont excités. Ces relais ouvrent leurs .contacts R189A et R190A pour empêcher l'excitation normale des relais R191 et R192 au cours d'un cycle d'impression, et ces relais restent dans cet état pendant que les fiches sont avancées et que les quantités contenues dans ces fiches sont enregistrées dans les ,accumulateurs sous commande des fiches.
Les relais 8189.P et 8190P ferment les contacts 8189B (fig. 48J) et 8190B (fig. 48L), de façon à relier les enroulements de déclen chement 8189T et 8190T en parallèle avec les électro-aimants de rappel Rill des ordres des unités respectifs des accumulateurs 1 et 3.
Pendant l'accumulation de postes à partir des fiches, si l'ordre des milliers de l'un des accumulateurs 2 ou 4 ou des deux passe par zéro, un transfert est effectué à l'ordre des unités des accumulateurs 1 ou 3 ou des deux. Les électro-aimants de rappel Rill sont ainsi excités pour provoquer l'addition d'une unité à l'ordre des unités de l'un des accumulateurs 1 ou 3 ou des deux.
Simultanément, l'enroule ment de déclenchement du relais associé <I>8189T,</I> 8190T est excité et ramène l'un ou l'autre ou les deux de ces relais en position normale, refermant l'un ou l'antre ou les deux contacts 8189A et 8190A et permettant à l'un ou l'autre ou aux deux relais R191 et R192 d'être excités pour préparer le second cycle d'impression. Si l'un de ces relais est excité, il ferme les circuits .d'impression de zéro par d'intermédiaire des contacts respec tifs 8191A et 8192A, et des zéros sont auto matiquement imprimés par les batteries d'im pression 1 et 3 pendant le second cycle.
Ce pendant, si aucun transfert n'est effectué à l'un quelconque ou aux deux ordres des mil liers respectifs des accumulateurs 2 et 4, l'un ou l'autre ou les -deux enroulements de déclen chement 8189T et 8190T ne sont pas excités et celui ou ceux des relais correspondants R191 et R192 ne sont pas excités, si bien que l'impression électrique de zéros dans l'une ou l'autre ou dans les deux batteries 1 et 3 est supprimée, la commande mécanique automa tique de zéro restant .cependant efficace.
Des moyens sont prévus pour effectuer un poinçonnage de relevé des totaux contenus dans les compteurs 1 à 15 au cours d'une suite de cycles d'impression se déroulant de la manière décrite. Les fiches d'enregistre ment ne contiennent chacune que 80 colonnes et, du fait que chaque compteur d'unités a une capacité de quatre chiffres, il faudrait 240 colonnes pour enregistrer tous les totaux contenus dans les compteurs 1 à 60, et 12 colonnes supplémentaires pour enregistrer les totaux contenus dans les accumulateurs 1 à 4 ainsi que le nombre de groupe.
Pour cette rai son, la capacité de la machine pour le poin çonnage de totaux est limitée à 15 compteurs, aux totaux contenus dans les accumulateurs 1 et 2 et au nombre de groupe.
Pour poinçonner les totaux, un dispositif IBlll normal de poinçonnage de reproduction actionné par un moteur et commandé par des touches est utilisé. Ce dispositif est équipé d'un émetteur de chariot de poinçonnage PCE (fig. 48X) pourvu de contacts PHC de maga sin de poinçonnage (fig. 48w)
semblables en principe aux contacts HC et de contacts de levier de fiche de poinçonnage PCLC qui sont disposés au poste de poinçonnage et qui res tent fermés chaque fois qu'une partie quel conque d'une fiche se trouve à ce poste de poinçonnage.
La machine est également pourvue de con tacts -de départ automatiques <I>ASC</I> dont la fonction sera expliquée plus loin. Lorsque la machine est utilisée, son dispositif -de poin çonnage .de relevé étant efficace, les douilles SP PS62 et PS63 sont reliées entre elles par un pont (fig. 41 et 48A). Le relais R198 est ainsi excité et ouvre ses contacts 8198A,
branchant ainsi les contacts de magasin de poinçonnage PHC et les contacts PCLRB du relais de levier de fiche de poinçonnage RCLR en série avec le relais R21 dans les circuits de commande d'impression manuelle et automa tique.
Il est ainsi impossible de provoquer une suite de cycles d'impression et de poin çonnage de relevé, à moins que le mécanisme de poinçonnage n'ait fonctionné correctement de la façon habituelle pour faire avancer une fiche à partir du magasin de poinçonnage jusqu'au poste de poinçonnage, et les fiches restent dans le magasin de poinçonnage.
On admettra que le dispositif -de poinçon nage de relevé ait fonctionné de façon nor male, entraîné par le moteur 112 pour faire avancer une fiche vierge à partir du magasin et pour la disposer en position pour le poin çonnage de sa première colonne.
A la fig. 48X, l'émetteur de poinçonnage PCE est représenté et on remarquera que, sous cette désignation, cet émetteur comprend des balais d'émetteur de poinçonnage <I>PE B</I> qui sont avancés d'une colonne à la fois par les chariots de fiche, par-dessus la bande de contact commune 900 et les segments 901 pendant l'opération de poinçonnage de chiffres successifs dans les champs respectifs de la fiche.
Un segment 901 est prévu pour chaque colonne de fiche, et ces segments de l'émetteur de poinçonnage sont disposés dans des positions décalées selon quatre rangées horizontales commençant par les segments 9 à 12, les segments de chaque rangée étant reliés entre eux et à une con nexion commune.
On comprendra que le chariot de poin çonnage est muni d'une barre de saut adé quate prévue- pour faire sauter ce chariot automatiquement dans sa position correspon dant à la colonne 9 après qu'une fiche a été avancée dans le poste de poinçonnage, si bien que le dispositif de poinçonnage est prêt pour poinçonner le premier chiffre du total con tenu dans les acciunulateurs 1 et 2. On se rap pellera que ces accumulateurs constituent un seul acciunulatëur commandé par les données poinçonnées dans les fiches.
On admettra dès lors que la tabulation des fiches a été achevée et qu'une suite de cycles d'impression auto matique a été provoquée de la manière expli quée plus haut et que les chariots d'impression se trouvent dans leurs -positions respectives de première colonne, excitant les relais R124 et R154 (fig. 48F).
Il est maintenant opportun d'expliquer que le dispositif de poinçonnage de relevé peut être connecté à la partie principale de la machine à l'aide d'in câble adéquat, non re présenté, et que différentes fiches de con nexion désignées par JP1 à JP24 au dessin sont prévues, les connexions coopérant avec ces fiches étant désignées par des signes. de référence identiques.
Par exemple, JP1 à la fig. 48X se rapporte au câble et à la connexion à fiches qui est reliée à la borne- désignée de faon identique à la fig. 48Y, les contacts C51 de la partie principale de la machine fernia-rit ainsi un circuit qui aboutit au relais C.R63 (fig. 48X), à environ 40 du cycle d'impres sion (fig. 47B).
II convient également d'expli quer que le dispositif de poinçonnage fonc tionne par colonnes successives pour poin!son- ner les chiffres un par un de façon bien connue. II est par conséquent nécessaire de coordonner les opérations d'impression de to tal et de poinçonnage au moyen d'in dispo sitif d'emmagasinage et de codification (lui permet au dispositif de poinçonnage de poin çonner successivement quatre chiffres pendant que le mécanisme d'impression effectue un cycle d'impression. Du fait que deux cycles sont nécessaires pour imprimer le total
com prenant huit chiffres accumulés dans les accu mulateur 1 et 2, le poinçonnage de ce total est subdivisé en deux suites de cycle de quatre chiffres chacune pour correspondre aux cycles d'impression.
Lorsque les barres de caractères sont dé placées vers le haut pendant l'impression des quatre premiers chiffres contenus dans l'ac cumulateur 1, les contacts CKC (fig. 481) ferment des circuits aboutissant aux relais CR63 à CR66 de codification (fig. 48X) à des instants du cycle correspondant à l'impression des différents chiffres. Par exemple, si une barre .de caractères est mise en place pour imprimer le chiffre 1, les contacts CKC fer ment un circuit d'emmagasinage qui, comme on le verra, provoque l'emmagasinage tempo raire ou la conservation de la valeur 1 jusqu'à ce que cette valeur puisse être poinçonnée.
En référence à la fig. 47B, on remarquera que les contacts<B>051</B> à C54 ferment des circuits selon certaines combinaisons pendant la pé riode au cours de laquelle les barres de carac tères sont mises en place. A l'instant où une impulsion quelconque de 1 à 9 est émise par l'intermédiaire d'une paire de contacts CKC, les contacts C51 à C54 sont fermés selon dif férentes combinaisons qui correspondent à. la commande dans le temps de chiffres des con tacts C29 et C30 pour commander l'impres sion des chiffres 9 à 1.
Ainsi, les relais CR63 à CR66 de codification sont excités séparé ment et selon diverses combinaisons en syn chronisme avec le cadre des barres de carac tères et avec la fermeture sélective des con tacts CKC. Les relais CR63 à CR66 sont des tinés à codifier les impulsions de chiffres sé parées qui sont émises et transmises à travers les connexions à fiches de connexion et à câble JP9 à JP12 et à permettre l'emmagasinage de ialeurs de chiffres conformément à un code semblable au code utilisé pour
l'emma gasinage de chiffres et l'indication de groupe.
Les relais CR63 à CR66 commandent un jeu de relais d'emmagasinage désignés par CR101 à CR116 (fig. 48X.), quatre de ces re lais, tels par exemple que les relais CR101P à CR104P, étant associés à chaque ordre de l'accumulateur 1, par exemple à l'ordre des milliers dans le cas des relais CR101P à CR104P. Les huit relais CR105P .à CR112P associés aux ordres des dizaines et des cen taines ne sont pas représentés,
mais on com prendra que les relais CR63 à CR66 sont munis de contacts disposés en série avec les deux groupes de relais non représentés, par l'intermédiaire des contacts CR74A et CR75A., disposés de la même façon que les contacts CR63A à CR66A.
On se rappellera que les valeurs de chif fres avaient été emmagasinées dans des cir cuits d'emmagasinage de chiffre et d'indica tion de groupe au moyen .d'un code binaire comprenant les valeurs 1, 2, 4 et 8. Ces va leurs sont représentées en relation avec les enroulements .des relais CR101P à CR104P et CR113P à CR115P et avec les contacts de ces relais.
Admettons maintenant que l'ordre des mil liers de l'accumulateur 1 contienne un 9 . A environ 45 du premier cycle d'impression, les contacts C29 et C30 (fig. 48H) émettent une impulsion par l'intermédiaire des contacts C33, R17F, R148B, R144B, R146B de la con nexion W27, des contacts CKC de l'ordre des milliers, des connexions JP12, des contacts <I>CR73A</I> et<I>CR63A</I> (fig. 48X), de la con nexion W41, des connexions JP13 et JP14 (fig. 48W)
et des contacts ZCRlA (fig. 48A) aboutissant à la source N1. Ce circuit est formé du fait qu'en 9 du cycle d'impression, les contacts C51 (fig. 47B) sont fermés. Par l'intermédiaire des connexions < TP1 (fig. 48p et 48X), ces contacts excitent le relais CR63. Ainsi, le chiffre 9 est partiellement emma gasiné en excitant le relais d'emmagasinage CR101P. Le relais CR104P est excité en même temps que le relais<I>CR101P</I> par l'inter médiaire des contacts CR66A, du fait que,
en 9 du cycle d'impression, les contacts C54 sont également fermés et excitent ainsi le re lais CR66 en parallèle avec le relais CR63. Ainsi, le chiffre 9 est emmagasiné pendant le cycle d'impression par l'excitation des deux relais CR101P et CR104P. Si le chiffre de vant être emmagasiné est un 3 , les relais CR101P et CR102P sont excités du fait du fonctionnement des relais CR63 et CR64. En 3 au cours du cycle d'impression, les con tacts C51 et C52 sont fermés, permettant ainsi l'emmagasinage de 3 dans ces deux relais.
Les relais CR101P à CR116P, lorsqu'ils sont excités, ferment leurs contacts CR101B à CR116B, excitant ainsi leurs enroulements de maintien CR101H à CR116H, les circuits de maintien étant maintenus fermés à travers les connexions JF5 et les contacts C55 (fig. 48P).
On remarquera (fig. 47B) que ces contacts C55 sont maintenus fermés jus que pendant le début du cycle d'impresssion suivant et qu'ils s'ouvrent avant 9 du cy cle d'impression pour interrompre l'excitation des relais d'emmagasinage et pour préparer ces relais en vue d'une autre opération d'em magasinage.
Les relais CR101P à CR116P ferment éga lement leurs contacts CR101A à CR116 A pour exciter les relais CR73P <I>à</I> CR76P. Ainsi, si une valeur de chiffre est emmaga sinée par les relais CR101P à CR104P par exemple, le relais <I>CR73P</I> est excité et, en ou vrant ses contacts CR73A,
il interrompt l'émission d'impulsions subséquentes à partir de l'acetunulateur 1. Les relais CR101P à CR116P ferment également leurs contacts CR101C à CR116C et ouvrent leurs contacts <I>CR101D à</I> CR116D (fig. 48X), selon des combinaisons, conformément à la valeur emma- gasinée, de la même façon que les relais d'em magasinage de chiffre et d'indication de groupe.
Ainsi qu'on l'a dit, le chariot de poinçon nage a été mis en position à la colonne 9, un des balais PEB se trouvant en contact avec le segment de la colonne 9. Par conséquent, à environ 200 du cycle d'impression, les con tacts C56 (fig. 48P) ferment un circuit à par tir de la source P2 (fig. 48A) et à travers des contacts TRD, les connexions <I>JP16</I> et<I>JP17</I> (fig. 48v) l'interrupteur S7, la connexion W39, l'électro-aimant PKIIl de touche de poin çonnage de 9 (fig. 48X),
les contacts fermés CR104C du relais CR104P, les contacts CR103D, CR102D, CR101C, les connexions JP7 (fig. 48P), les contacts C56 et R143C, les connexions JP6, le segment d'émetteur 901 pour la colonne 9 (fig. 48X) et les balais PEB, la bande commune 900, la connexion W42,
les contacts de came flottants de poin çonnage FCC (fig. 48W), les contacts de re lais de levier de fiche de poinçonnage PCLRA, les contacts de dernière colonne LC1 du dispositif de poinçonnage, l'interrupteur S7, les connexions JP13 et JP14 (fig. 48A) et les contacts LCR1A, ce circuit aboutissant à la source N1.
L'électro-aimant PKJI de tou che de poinçonnage de 9 est ainsi excité et le dispositif de poinçonnage fonctionne (le façon bien connue pour poinçonner la valeur 9 à la colonne 9 de la fiche.
Les contacts de came flottants FCC sou ; vient autours -de cette première opération de poinçonnage et le chariot de poinçonnage s'échappe, refermant les contacts <I>PCC,</I> et les balais PEB avancent et viennent en contact avec le segment 901 de l'émetteur de poinçon ) nage pour la colonne 10. Le cycle de poinçon nage est dès lors répété indépendamment des contacts C56 pour poinçonner le chiffre emmagasiné, qui avait été fourni à partir de l'ordre des centaines de l'accumulateur 1.
Ces ;opérations se répètent jusqu'à ce que les quatre chiffres représentant le total contenu dans l'accumulateur 1 aient été poinçonnés, les différents électro-aimants PK11I de touche de poinçonnage étant sélectivement excités, conformément aux combinaisons de contacts mises en place par les relais<I>CR101P à</I> CR116P. Au cours de chaque cycle d'impres- sion, un maximum de quatre chiffres peut être poinçonné, du fait que le premier chiffre d'une série de quatre est dépendant de la fer meture des contacts C56 au cours de chaque cycle d'impression,
cette fermeture ne se pro duisant qu'après que les valeurs contenues dans les quatre ordres de l'accumulateur ou du compteur aient été codifiées de la façon décrite ci-dessus.
Ainsi, au cours des cycles d'imprassion 1, 2 et 3, le total contenu dans les acczunulateurs 1 et 2 et le nombre de groupe sont poinçonnés dans les douze premières colonnes de la fiche et, au cours des cycles d'impression 4 à 18, les totaux séparés contenus dans les compteurs sont poinçonnés à raison de quatre chiffres à la fois.
Lorsque les électro-aimants PKIll de tou ches (fig. 48W) sont excités pour amener en place les organes intercalaires de poinçon nage de façon bien connue, les contacts PJIC ,.'électro-aimants de poinçonnage ,sont fermés et provoquent le fonctionnement de l'électro aimant POM d'actionnement de poinçons pour faire fonctionner le poinçon choisi.
Après que le dernier chiffre du total final contenu dans le compteur 15 a été imprimé et poinçonné, le chariot de poinçonnage s'échappe une fois de plus, fermant ainsi les contacts de dernière colonne LCC et excitant le relais de dernière colonne LCR3. Ce relais ferme ses contacts LCR3C et LCR3B, excitant ainsi l'électro-aimant CSM d'empilage de fiches qui rend efficace le mécanisme d'empilage de fiches. Pendant l'opération d'empilage,
les contacts<I>ASC</I> se ferment et excitent l'électro aimant de déclenchement de poinçon PTJI par l'intermédiaire des connexions W39 et W41, de l'interrupteur S7, des contacts LCR3B et des contacts de l'électro-aimant de balai B1lIC1. De ce fait, le relais R10P (fig. 48A) est également excité par l'intermé diaire des connexions <I>JP22</I> et ferme ses con- tacts 1t101. (fig. 48C)
pour permettre à l'avance de fiche de recommencer à l'instant adéquat après que les opérations de somma tion décalée ont été achevées et que les con tacts R6A se sont refermés. L'électro-aimant de déclenchement de poinçon PTNI provoque l'engagement d'un embrayage pour permettre au moteur de poinçonnage 11l2 de ramener le chariot et de faire avancer une fiche vierge à partir du magasin, prête pour une autre suite de cycles d'impression.
Les contacts de verrouillage LC1 et LC2 sont actionnés du fait du déclenchement de l'embrayage et les contacts LC2 .ferment un circuit alimentant le moteur 1112. L'énergie pour le moteur 1112 est fournie par l'intermé diaire des connexions JP20, JP21 et JP23, <I>JP24</I> représentées à la fig. 48A, ce moteur de poinçonnage D12 étant alimenté en courant alternatif en parallèle avec le moteur 1L11. A la fin du cycle de poinçonnage,
les contacts de verrouillage LCl et LC2 sont ramenés dans leur état représenté à la fig. 48W, et le dispositif de poinçonnage est prêt pour une autre série de cycles, après que le chariot ait automatiquement sauté jusque dans sa posi tion de colonne 9.
Il peut être désirable de poinçonner cer taines données fixes ou invariables dans les huit premières colonnes de la fiche, sous com mande d'une fiche pilote. Dans ce cas, la fiche pilote est disposée sur le chariot de re production et la porte d'accès à ce chariot est fermée, si bien que les contacts de porte<I>DC</I> sont fermés. Ces contacts excitent l'électro aimant de balai Bill et le poinçonnage auto matique des huit premières colonnes ou d'une partie désirée quelconque de ces huit pre mières colonnes s'effectue dès lors avant que le chariot n'atteigne sa position de neuvième colonne. Ce mode de fonctionnement est bien connu des gens du métier, si bien qu'il n'est pas nécessaire de le décrire en détail.
Au cours de cette opération de poinçonnage auto matique, les balais de poinçonnage<I>PB</I> coopè rent avec le rouleau de contact de poinçon nage PCR pour établir sélectivement des cir cuits de commande aboutissant aux électro- aimants PKDI de touches de poinçonnage, à.
partir de la connexion W39 (fig. 48x), ces électro-aimants étant, d'autre part, reliés à la connexion W1 par du câble CB8, -des balais de poinçonnage<I>PB</I> (fig. 48W), du rouleau de contact de poinçonnage PCR, du balai commun -de poinçonnage PCB, des contacts à came flottants FCC, des contacts PCLRA et LC1 et de l'interrupteur S7.
Le circuit des contacts CR101C, CR101D à CR116C, <I>CR116D</I> des relais d'emmagasi= nage CR101P à CR116P est disposé de façon que si aucun de ces relais n'a été .excité du fait de l'impression d'un chiffre significatif au moment où les contacts C56 se ferment, des circuits de poinçonnage de zéro sont formés jusqu'à l'électro-aimant PKIIl de tou che de poinçonnage de zéro.
Un emmagasinage de chiffres dans le circuit de relais (fig. 48X) est effectué pendant que les barres de carac tères sont déplacées verticalement et prennent des positions représentatives des chiffres des totaux contenus dans les compteurs, et cette opération d'emmagasinage devrait être ache vée en zéro du' cycle. Le poinçonnage de quatre chiffres d'un total est accompli pen dant que les barres de caractères sont remises en place.
Le poinçonnage débute approxima tivement à l'instant zéro du cycle d'impres sion et il s'achève avant que le jeu de chiffres suivant soit mis en place dans les barres de caractères pendant le cycle d'impression sui vant. Il est ainsi possible d'utiliser un seul dispositif d'emmagasinage de chiffres pour. permettre le poinçonnage successif de quatre chiffres d'un total.
Le principe de fonctionnement des cir cuits ci-dessus dans des conditions de fonc tionnement relativement fixes, telles que le départ, l'arrêt, l'impression de total, le poin- eonnage et la sommation décalée et la façon dont les fiches commandent la plus grande partie des opérations et des dispositifs dis posés pour être connectés à l'aide de con nexions à fiches, a été décrit en détail, à cer taines exceptions près qu'il sera préférable d'expliquer en référence à des problèmes par ticuliers.
Le fonctionnement de la machine pour effectuer différents types d'opérations va maintenant être décrit en détail en réfé rence aux schémas de connexions du tableau de connexions et, dans le cas de certaines con nexions relativement compliquées, en réfé rence à des schémas supplémentaires qui mon trent principalement la façon dont sont con nectés les contacts de relais de recodification.
Etant donné que le fonctionnement parti culier de la machine, en ce qui concerne les sélecteurs de recodification, les émetteurs de recodification ou de chiffre, les compteurs d'unités, le distributeur d'unités-dizaines et le mécanisme .d'accumulation sous commande de fiches d'enregistrement a été décrit en détail,
la plus grande partie de la description ci- après sera faite en référence aux schémas de connexions du tableau de connexion et en considérant les différentes douilles de ce ta bleau correspondant aux différentes fonctions et aux différents dispositifs comme étant des sorties ou des entrées d'impulsions. On évitera ainsi des longueurs et .des répétitions d'énu mérations lorsqu'il s'agit de suivre ou de dé crire des circuits.
La première opération qu'on va décrire est l'opération très commune consistant à placer des fiches selon un ordre décimal, et cette opération sera décrite en référence à la fig. 49A qui montre les connexions qu'on doit effectuer pour arranger les fiches d'enregis trement en séries conformément à un nombre de quatre chiffres.
Bien que ce type d'opéra tions ne soit pas nouveau, il est effectué de façon originale et la machiné comprend des moyens permettant non seulement de contrô ler la continuité des circuits de commande de triage, mais également de contrôler simulta nément l'exactitude du triage en référence au choix des poches de triage.
On admettra que le chiffre de série soit poinçonné aux colonnes 4 à 7 de la fiche. Ces quatre colonnes sont connectées au moyen de connexions à fiches aux quatre premières po sitions du commutateur S5 de sélection de colonne (fig. 48U), ces quatre positions étant désignées par les petits chiffres 1 à 4 à cette figure,
sous les douilles PS11. Ces quatre douilles sont les douilles supérieures numéro tées à partir de la gauche aux fig. 41 et 49A et disposées sous la désignation Sélection de colonne . Une connexion à fiches est égale ment insérée entre la douille C PS10 (fig. 48U et 49A) et la douille extrême gauche PS16 du groupe d'emmagasinage de chiffres ( Chiffre PU , fig. 48S).
L'opérateur amène le commutateur S5 sélecteur de colonne en po sition 4; les fiches sont disposées dans le ma gasin, la face dirigée vers le bas, et la ma chine est mise en marche à l'aide de la clé de départ STK de la manière décrite ci-dessus. Les quatre courses nécessaires pour disposer les fiches selon un ordre de série peuvent dé buter soit par l'ordre le plus élevé, soit par l'ordre le plus bas, et il est sans importance que le commutateur S5 soit placé en position 1 et avancé progressivement jusqu'en position 4, d'un pas pour chaque course successive de la machine, ou qu'il soit mis initialement en position 4 et reculé d'un pas pour chaque course.
Dans l'exemple présent, le commuta teur S5 ayant été mis en place en position 4 a pour effet de faire se dérouler la première course de la machine sous commande de la colonne des imités pour placer toutes les fiches selon leur ordre numérique par rapport aux chiffres de l'ordre des unités.
Admettons pour l'instant que la première fiche avancée porte un 9 à son ordre des unités. Cette fiche établit un circuit en 9 du cycle. Ce circuit s'étend à travers la con nexion à fiches, à partir de la douille P81 de la colonne 7 jusqu'à la quatrième position du commutateur S5, et à travers la connexion à fiches entre la douille C PS10 et la douille PS16 pour exciter les relais 1 et. 8 de l'ordre supérieur du groupe d'emmagasinage de chiffres. La valeur 9 est -ainsi emmaga sinée par excitation des relais R41 et R44 (fig. 48S).
Un circuit est ainsi établi entre la douille C PS39 (fig. 48T) et la douille 9 PS40, par l'intermédiaire des contacts R41A, R42B, R43B et R44.4 jusqu'au câble CB9. Ce câble aboutit au groupe de relais de triage R107 à R118, et la connexion partant de la douille 9 PS40 est reliée aux contacts 820$A, dont le contact mobile est relié au re lais de triage de 9 8107P.
Pour effectuer l'opération de triage nor male, le commutateur S2 qu'on appellera ci- après commutateur de phase doit être amené en position N (fig. 48E). Les relais R201 et R202 sont ainsi excités et les contacts 8201A se ferment et excitent le relais R203. Ainsi, les relais R201, R202 et R203 restent continuellement excités pendant -toute l'opé ration consistant à disposer les fiches selon un ordre de série et leurs contacts 8201B, 8201D et 8202A (fig. 48E) restent fermés.
Les con tacts 8203A (fig. 48R) dont il a déjà, été question sont également fermés.
A environ 280 du cycle (fig. 47A), les contacts C11 ferment un circuit de contrâle partant de la source P1 (fig. 48E) et passant à travers les contacts LCR2A, C11, la résis tance de 1000 ohms, les contacts 8201B, <I>824D,</I> 8201D, 820.2A, R41A (fig. 48T), 842B, R43B, R44-4, la douille 9 PS40, la connexion 9 du câble CB9, les contacts 8203A (fig. 48R), le relais 8107P,
les con tacts R24-4 (fig. 481:), 857B, la douille S PS29, le pont reliant cette douille et la douille SH PS28 (fig. 48G), les contacts R6E, la résistance de grille du tube V123 et la con nexion W21, ce circuit aboutissant par l'in termédiaire de cette connexion à la source né gative N2.
Au même instant qu'une impulsion est ainsi appliquée à la grille du tube V123, un potentiel est appliqué à son anode à partir des contacts C8 de commande dans le temps (fig. 480), par l'intermédiaire des contacts 8201F, et du relais R24. A travers le tube V123, du courant passe alors jusqu'à la source N1 par l'intermédiaire de la connexion IV20, ce tube étant amorcé et excitant le relais R24.
Cette impulsion appliquée au relais de triage 9 8107P est relativement faible à, cause de la résistance de grille de 50 000 ohms du tube V123 (fig. 48G), et elle est bien loin de suffire pour exciter ce relais 8107P. Cette impulsion est destinée à contrôler la conti nuité du circuit de commande<B> </B>de triage, de façon qu'il soit certain qu'une impulsion puisse choisir une poche pour la fiche pendant ce cycle.
Si cette impulsion n'était pas trans mise, par exemple à cause d'un poinçonnage manquant dans la, fiche ou d'un mauvais con tact, établi de façon insuffisante par un re lais, ou encore d'an mauvais contact d'une fiche dans une douille ou d'autres raisons en core pouvant comprendre un poinçonnage dé fectueux de la fiche ou un défaut électrique interne de la machine, la fiche serait rejetée et serait examinée pour déterminer la raison pour laquelle elle n'a pas été triée -de façon correcte. Comme on le verra plus loin, ce con trôle est effectué dans tous les cas pour déter miner si une poche est choisie ou si le circuit de fonctionnement d'un compteur ou d'un autre dispositif de commande est complet.
Il convient maintenant d'expliquer que dans l'application de fiches poinçonnées à un travail de statistique, il est nécessaire que tout poinçonnage possible que peut présenter une fiche soit analysé pour que la machine en tienne compte. Si la machine ne- tient. pas compte d'un poinçonnage ou si un poinçon nage se trouve au mauvais endroit de la fiche, cette fiche devrait être- rejetée pour être ins pectée avant d'être comptée ou triée. Si cela n'était pas le cas, la fiche pourrait être diri gée de façon erronée ou le compte pourrait être faussé et provoquer une erreur qu'il peut être très difficile de localiser.
Un exemple de la façon dont da machine doit tenir compte de chaque poinçonnage peut être donné en réfé rence au cas d'une fiche de recensement de population. Dans ce cas, les fiches sont clas sées par sexe et il est évident que chaque fiche doit être poinçonnée pour indiquer un sexe masculin ou un sexe féminin, et différentes erreurs possibles peuvent se produire.
L'une de ces erreurs consiste en ce qu'une fiche porte un poinçonnage indiquant un sexe masculin et un poinçonnage indiquant un sexe féminin. Une autre erreur consiste en ce qu'une fiche ne porte pas de poinçonnage indicateur de sexe.
Il doit en effet y avoir un poinçonnage soit à la position repère correspondant au sexe masculin, soit à la position repère correspon dant au sexe féminin. Semblablement, lors d'une opération de triage selon une - série d'ordre ntunérique, il doit y avoir un poinçon nage -à chaque colonne puisqu'il est d'usage de poinçonner toutes les colonnes :
soit pour indi quer un zéro, soit pour indiquer un chiffre si gnificatif, le triage .devant tenir compte de chaque colonne. Ainsi, si un seul. chiffre n'est pas poinçonné, un zéro doit être poinçonné (dans certains cas 11 ). Dans le cas présent, si un poinçonnage manque dans une des co lonnes d'une fiche, cela signifie que cette fiche devrait être rejetée et inspectée avant qu'elle ne soit triée de façon fausse et qu'elle ne puisse ainsi se perdre.
Admettons maintenant que l'impulsion de contrôle dont il était question ci-dessus a amorcé le tube V123 et que le relais R24 a été excité. Ce relais ferme ses contacts R24B et relie la connexion commune des relais de com mande de triage R107P à R118P (fig. 48R) à la connexion W2. Le relais R24 ferme égale ment ses contacts R24C et transfère le circuit initial du relais R107P, à partir des contacts C11 aux contacts C15.
De ce fait, les contacts e15 qui se ferment à environ 310 du cycle (fig. 47A) établissent un circuit d'actionne- ment pour le relais 9 R107P. Ce circuit part de la source positive P2 et passe à tra vers les contacts<I>C15,</I> R24C, R201D, R202D et les contacts des relais d'emmagasinage de chiffre précédemment décrits, pour aboutir à l'enroulement du relais R107P. Cet enroule ment est, d'autre part,
relié à la source néga tive N1 par d'intermédiaire des contacts R2413 (fig. 48E) et de la connexion W2. Cependant, cette impulsion est une impulsion normale assez forte pour exciter le relais R107P qui ferme ses contacts R107E . (fig. 48T).
En 9 an cours du cycle d'avance de fiches suivant, l'émetteur E18 fermera un circuit partant de la source positive P1 (fig. 48Q) et passant par les contacts LC5, LC6, par le segment 9 773 de l'émetteur E18 (fig. 48T), les contacts R107E,
la con nexion W22 et les résistances de grille des tubes V129 et V130 (fig. 48G) pour se refer mer sur la source négative N4. Les tubes V129 et V130 sont ainsi amorcés. Les con tacts C13 (fig. 47A) sont fermés pendant la plus grande partie du cycle et, pendant cette période, les anodes des tubes V129 et V130 sont alimentés en potentiel positif normal.
En 9 , une impulsion de courant passera par les condensateurs d'anode PC et provoquera l'excitation .de l'électro-aimant SCIl de com mande de triage. Les condensateurs PC sont de capacité suffisante pour présenter une très faible impédance .à l'impulsion aiguë passant à travers l'électro-aimant SCltl, mais ils se chargent rapidement à la tension crête et le courant doit alors traverser les résistances d'anode PR.
Il est bien connu que lorsqu'un électro aimant ou un relais a attiré son armature, un courant relativement faible suffit pour maintenir cette armature en position attirée, et l'effet des résistances PR et des condensa teurs PC est de permettre à une impulsion initiale énergique d'exciter l'électro-aimant SCO1, tout en empêchant un courant plus grand que nécessaire de passer à travers les tubes V129 et V130 pour maintenir excité l'électro-aimant SCH de commande de triage.
Le fonctionnement de l'électro-aimant SCill de commande de triage, lorsque celui-ci a attiré son armature (fig. 6) permet à toutes les lames de triage 114 de s'abaisser et à la fiche contenant un 9 poinçonné de passer par-dessus la lame supérieure pour être en suite déposée dans la poche 9 . De façon semblable, des fiches distinguées par d'autres valeurs poinçonnées dans la colonne 7 sont déposées dans les poches désignées de façon correspondante.
Un autre contrôle est cependant encore effectué pour déterminer si la fiche sera. effectivement triée et amenée dans la poche 9 . Il est en effet très possible, par exemple, que l'électro-aimant de triage ne soit pas excité. Dans ce cas, la fiche serait rejetée et elle serait inspectée pour déterminer la rai son pour laquelle elle a été rejetée. Cepen dant, il est également possible que cette fiche ne soit pas avancée de façon correcte. En d'autres termes, elle pourrait avoir été avan cée trop loin ou pas assez, lorsque l'impulsion de triage se produit.
Deux des relais de com- mande de triage R107P à R118P pourraient aussi savoir été excités.
Il .convient maintenant d'expliquer qu'un certain retard est ménagé entre la production de l'impulsion de triage représentative d'un chiffre et l'instant auquel l'électro-aimant SC11 de triage est complètement excité et au quel un chemin est ouvert pour la fiche. Ce retard est variable dans différentes machines et il est d'ordinaire réglé en faisant varier la commande dans le temps de la pince de fiche et d'autres parties de la machine. Dans le but présentement envisagé, il est adéquat de sup poser que ce retard est aussi grand que l'écart entre deux positions repère successives.
En d'autres termes, en se référant à la fig. 48G qui montre schématiquement la dis position des segments de contrôle de triage 145a, on peut admettre que la fiche qui est avancée de façon correcte et qui contient un 9 poinçonné présentera son bord avant aussi loin à droite de la lame 114 9 que l'espace séparant les segments 145a successifs à cette figure. On fera cette supposition uni quement dans le but de faciliter l'explication du fonctionnement du dispositif de contrôle de triage.
Ainsi, à l'instant où le bord avant de la fiche atteint l'extrémité de la lame de triage qui conduit à la poche 9 , cette lame reposant sur le segment 9 145a, elle est abaissée et la fiche passe par-dessus toutes les lames 114.
Juste avant l'instant 12 , qui correspond à environ 240 du cycle de fiche (fig. 47A), les contacts C14 se ferment, éta blissant un circuit à travers les laines 11.4 et les segments 145a jusqu'aux contacts B et C des relais de commande de triage R107P à R118P (fig. 48G).
Dans le cas de la fiche portant un poin çonnage 9 , les contacts R10 7 C sont fermés et les contacts <I>R107B</I> et R107D sont ouverts. Par conséquent, lorsque les contacts C14 se ferment, un circuit est établi à partir de la source P1 (fig. 48G) à travers les contacts C14, la lame 114 et le segment 145a 9 , les contacts R107C, R26B, la résistance de grille du tube V125 et la connexion.
W21 jusqu'à la source négative N2. Ait même instant, les con- tacts C$ (fig. 480) sont fermés et un poten tiel est appliqué à l'anode du tube V125, si bien que ce tube est amorcé et excite le relais R26. La poche adéquate a, par conséquent, été choisie pour la fiche, et cette fiche se trouve engagée au-dessus de la laine condui sant à cette poche.
Si la fiche avait été avancée trop loin à, l'instant où l'impulsion 9 a été émise, elle passerait alors sous la lame 114 et isolerait celle-ci du segment 145a 9 correspondant. A l'instant 12 du cycle, le tube V125 n'est alors pas amorcé et le relais R26 n'est, par conséquent, pas excité.- Du fait que les con tacts<I>R107D</I> sont ouverts, le tube V126 ne peut être amorcé et le relais CR26 ne sera pas excité.
L'excitation du relais R26, conjointement avec le fait que le relais CR26 n'est pas excité, indique que le chemin adéquat a été choisi et que la fiche n'est pas avancée trop loin et qu'elle n'est pas non plus en retard sur sa position correcte à l'instant l2 du cycle. Les contacts C27 se ferment pendant que les contacts C14 sont encore fermés et, si la fiche est en retard sur sa position correcte et qu'aucun des relais de commande de triage R107P à R118P n'a été excité, un circuit série est établi à travers tous les contacts R107D à R118D et les contacts CR26C,
CR16A et la résistance de grille du tube V126 jusqu'à la connexion W21 et à la source négative N2. Un potentiel est appliqué à l'anode du tube V126 par les contacts C10 (fig. 480), et ce tube V126 est amorcé, excitant le relais CR26. L'excitation du relais CR26 ferme les con- tacts CR26B (fig. 48E) et relie le relais d' Erreur de triage R25P et l'électro aimant marqueur 1111V1 aux contacts C16.
On se rappellera que ce relais fonctionne pour arrêter l'avance des fiches en excitant l'élec- tro-aimant d'avance de fiches CZ'lV1. Le cir cuit du relais<I>R25P</I> et de l'él ectro-aimant marqueur 11,1111 part de la source P2 (fig. 48E) et passe à travers les contacts C16, CR26B, <I>à</I> travers l'électro-aimant Mlll et le relais R25P en parallèle et la connexion T-h2 pour aboutir à la source négative N1.
L'électro-aimant mar- queur attire le crayon marqueur 805 (fig. 46) vers le bas, en contact avec la fiche qui passe en regard des lames 114.
Le tube V126 est excité lorsque deux des relais R10 7P à 8118P sont excités, même lorsque le tube V125 est correctement amorcé du fait que l'un des relais est correctement excité, la fiche étant avancée de faon adé quate. Admettons que les relais 8111P et 8112P soient tous deux excités, le relais 8111P étant corrctement excité. Le tube V125 est alors amorcé par l'intermédiaire des con tacts 8111C, 8110B, 8109B, 8101B et 81.07B. Dans le cas envisagé, l'amorçage de ce tube correspond à un triage correct; cependant, l'opérateur n'en sait rien.
Le tube V126 est également amorcé par l'intermédiaire des con tacts 8112E et 8113D à 8118D. L'opérateur ne sait si le triage est correct et la machine doit être arrêtée, étant donné qu'une poche, qui pourrait ne pas être la poche correcte, a été choisie. Si les fiches ne ,sont pas imm6dia- tement examinées, la fiche considérée risque d'être placée dans une mauvaise poche et sera très difficile à retrouver.
Si l'excitation du relais<I>R12P</I> avait été correcte et celle du relais 81.1P incorrecte, les tubes V125 et V126 n'auraient pas été amorcés puisque les contacts 8111B seraient alors ouverts, empêchant l'amorçage du tube V125, les contacts 8112D empêchant égale ment l'amorçage du tube V126.
Si aucun des relais R10 7 P à 8118P n'est excité et que la fiche se trouve en position correcte à l'instant 12 , seul le tube V125 est amorcé par l'intermédiaire des contacts 8107B à 8118B disposés en série. La fiche est par conséquent rejetée dans tous les cas examinés et ne sera pas égarée.
Si ni l'un ni l'autre des tubes V125 et V126 n'est amorcé, les contacts R26A restent fermés et la fermeture des contacts C16 pro voque l'excitation de l'électro-aimant mar- quéur 1Y1111 et du relais R25P. Ce n'est que lorsque le tube V125 est amorcé et que le tube V126 n'est pas amorcé que l'excitation du relais <I>R25P</I> d'erreur de triage et de l'électro-aimant marqueur MDI est empêchée.
Admettons que la fiche soit avancée trop loin lorsque, par exemple, une impulsion 8 excite l'électro-aimant .SCII1. Le relais 8108P est alors excité et l'émetteur E18 transmet une impulsion pour amorcer les tubes V129 et V130 à un instant auquel le bord avant de la fiche passe sous l'extrémité de la lame 114 7 . La fiche est ainsi- conduite dans la poche 7 . A l'instant 12 du cycle, le segment 145a 9 entre en contact avec la lame 114 conduisant à la poche 9 et seul le tube V126 est amorcé par un circuit traversant les contacts 8108E et 8109D à 8118D.
Le tube V125 ne peut être amorcé dans ce cas du fait que le segment 145a 8 est isolé de la laine 114 cor- respondante et que le relais R109 n'a pas été excité.
On voit donc que le relais 825P et l'élec tro-aimant lllïll sont excités chaque fois que: a.) le fonctionnement des lames ne corres pond pas au relais de commande de triage choisi; b) la fiche a été avancée de façon à. être en avance sur l'impulsion de triage, c'est- à,-dire a été avancée trop loin; c) la fiche est en retard sur l'impulsion de triage, et d) deux relais de commande de triage sont excités.
Cette caractéristique de la machine, qui' permet de contrôler la position physique effective de la fiche en regard des lames de triage 114 par rapport à l'impulsion -de triage émise, est très importante. En effet, dans un grand nombre de types de fonctionnement dé crits ici, la répartition des fiches dans les poches n'est pas en relation directe ou cons tante avec la valeur effective d'un poinçon nage spécifique quelconque des fiches.
Cette répartition peut aussi être basée sur certains modes de connexions arbitraires, de façon à obtenir que les fiches soient triées conformé ment à une ou à plusieurs différentes com binaisons de désignations ou de données qui peuvent varier pendant .la. course de la ma chine.
Il est ainsi impossible de contrôler une opération de triage à vue 'ou à l'aide d'une aiguille, étant donné que les fiches acctimü- lées dans une poche quelconque ne présentent pas nécessairement un seul poinconnage iden tique commun, à une seule position de repère, comme ce serait le cas lors d'un triage selon une suite simple, dans lequel les fiches poin çonnées d'un 9 par exemple, dans une co lonne particulière, sont classées dans la poche 9 .
On remarquera aux fig. 41 et 48F que le tableau de connexion comprend une douille <I>PS22</I> désignée par Triage . Le circuit de triage normal qui effectue la simple opéra tion de placer les fiches dans des poches cor respondant aux valeurs effectives des chiffres poinçonnés dans une seule colonne est relié entre les contacts R202A et les contacts R24A. Lorsqu'un triage est effectué confor mément à des classifications arbitraires dans lesquelles l'impulsion de triage n'est pas en relation avec les données originales poinçon nées dans les fiches,
par exemple lorsque ce triage est effectué sous commande de combi naisons de données qui varient pendant -une course de la machine, la source d'impulsion de triage est constituée par la douille P822 qui est alors reliée à un circuit de commande constitué par les contacts des sélecteurs de re- codification, par les groupes d'emmagasinage de chiffre et par d'autres dispositifs de commande susceptibles d'être reliés par des connexions à fiches.
Ces impulsions de triage aboutissent alors à l'une des trois rangées de douilles PS54, P855 et PS56, et l'impulsion clé contrôle mentionnée ci-dessus est émise à partir de la douille PS22 (fig. 48F) et tra verse le circuit de commande pour aboutir finalement à l'une des douilles P854, PS55 et PS56 (fig. 48R). De là, cette impulsion de contrôle est dirigée vers le bas,
à travers le circuit de relais de commutation dé phase jusqu'à la connexion commune des relais R107P à R118P pour revenir à la douille PS29 en passant par les contacts<I>R24A</I> et 857B (fig. 48E). Cette même impulsion tra verse un pont disposé entre les douilles <I>PS29</I> et PS28, .les contacts ME et la résistance de grille du tube V123 pour aboutir à la con- nexion 1%V21 et de là à la source négative N2'. Par conséquent, pour le triage, l'impulsion de.
contrôle passe soit par les contacts R202A et la colonne 1 des contacts d'emmagasinage de chiffre pour aboutir directement aux relais R107P à R118P par l'intermédiaire du câble CB9, soit à partir de la douille PS22 et à tra vers un circuit de commande de relais relié extérieurement à cette douille polir aboutir aux douilles PS54,
PS55 ou PS56 et de là aux relais R107P à R118P à travers le cir cuit de contacts des relais de commutation de phase représenté à la fig. 48R. @linsi qu'on le verra plus loin, l'impulsion de contrôle tra verse non seulement un circuit disposé entre la douille PS22 et les douilles PS54, PS55 ou P856,
mais encore tous les circuits de comp tage et les autres circuits de commande sus ceptibles d'être mis en place et rendus effi caces par les poinçonnages d'une fiche parti culière, tous ces circuits étant disposés en série. De ce fait, la continuité de tous les cir cuits de commande qui sont supposés fonc tionner en rapport avec une fiche séparée quelconque est ainsi contrôlée en série..
*Pour illustrer ce circuit quelque peu com pliqué servant à transmettre une impulsion de contrôle à travers un ensemble de circuits de relais, on se rapportera à la fig. 49B qui a trait à l'opération de triage par élimination. Ce circuit de contrôle est tune caractéristique typique et très importante de la machine dé crite.
Le type de fonctionnement obtenu par l'ensemble de connexions représenté à la fig. 49B sert à trier des fiches selon un jeu de groupes, par ordres de série au cours de trois courses de la machine. Le triage répété de toutes les fiches pour les disposer selon leurs ordres de série peut être supprimé et, pendant la première course de la machine, un groupe de fiches qui est le plies bas dans la suite est rangé complètement par ordre, tan dis que, au cours des deux courses suivantes de la machine, les deux groupes de fiches sui vants, selon des ordres croissants de ces grou pes,
sont également classés directement par ordre. On économise ainsi un temps considé- rable du fait qu'il n'est pas nécessaire de faire passer toutes les fiches dans la machine une fois pour chaque colonne.
Pour expliquer ce type de fonctionnement, on peut admettre que les nombres de classification des fiches sont poin çonnés dans les colonnes 10 et 11 et que ces nombres vont de 10 à 34, cet intervalle de nombres étant purement arbitraire et étant choisi uniquement dans des buts explicatifs.
On désire trier les fiches poinçonnées de 10 à 19 dans des poches, de façon que toutes les fiches poinçonnées d'un 10 par exemple tombent dans la poche 0 et que toutes les fiches poinçonnées d'un 19 tombent dans la poche 9 ,
les autres fiches des groupes 11 à 18 tombent dans les poches intermédiaires. Les fiches poinçonnées d'un nombre compris entre 20 et 29 parviendront dans la poche 12 et les fiches poinçonnées d'un nombre compris entre 30 et 34 parviendront dans la poche 11 pour être triées à nouveau au cours de deux courses séparées.
Les sélecteurs de recodification 1, 2 et 3 sont connectés par des connexions à fiches à l'émetteur de chiffre A, si bien qu'ils sont efficaces lorsque des fiches poinçonnées d'un 1 , 2 et d'un 3 dans la colonne des dizaines sont analysées. Par exemple, si une fiche est poinçonnée d'un 10 , le sélecteur de recodification 1 est excité.
Cette excitation est produite du fait que le balai correspondant à la colonne 10 est con necté à la douille PS2 polir le sélecteur 1 et que la douille correspondante PS3 est con nectée au segment 1 de l'émetteur de chiffre A.
On se rappellera que cet émetteur est dé signé par E18 au schéma électrique de la fig. 480. Ainsi, lorsque la fiche poinçonnée d'un 10 est analysée, la grille-écran et la grille de commande du tube Vl du sélecteur de recodification 7. reçoivent simultanément chacune une impulsion, e les contacts norma lement ouverts du relais R27 du sélecteur de recodification 1 sont fermés pour établir.
un circuit à partir de l'une des douilles C P820 jusqu'à la douille T PS18 correspondante.
Le commutateur de phase S2 (fig. 48B) est ainsi mis -en place en position 1, ce qui permet à l'impulsion de contrôle de triage de passer à partir de la source P1 (fig. 48E) et à travers les contacts LCR2A, Cl1, la résis tance de 1000 ohms, les contacts R201C, E58D, R212D, R201D,
la douille <I>PS22</I> et à travers les contacts normalement ouverts du sélecteur 1 pour parvenir jusqu'à. la douille C PS39 du groupe d'emmagasinage de chif fre d'extrême gauche par l'intermédiaire des contacts des relais d'emmagasinage de chiffre. Cette impulsion est ensuite transmise à partir de l'une des douilles PS40 (dans le cas parti- cuffier .à partir de la douille 1 ) conformé ment aux valeurs emmagasinées dans le sélec teur de chiffre.
De là, cette impulsion tra verse une connexion à fiches pour parvenir à la douille PS54 de valeur correspondante (dans le cas particulier à la .douille 1 ), et elle est dirigée vers le bas (fig. 48R) au tra vers du circuit de relais de commutation de phase jusqu'à l'un des relais de triage (dans le cas envisagé, le relais R115P). Cette même impulsion aboutit au tube V123 par l'intermé diaire des contacts R24A (fig. 48E)
et du pont disposé entre les douilles PS29 et P828, de la même façon que celle décrite précédem ment à propos de l'impulsion de triage nor male.
Il est opportun d'expliquer que, du fait du grand nombre -de connexions nécessaires pour représenter l'ensemble de connexions réellement effectuées entre les douilles<I>PS40</I> et PS54, PS55, PS56, les groupes de con nexions que comportent ces ensembles de con nexions sont entourés par accolades, une ligne unique reliant ces accolades. Cela signifie que les douilles PS40 sont interconnectées par des connexions à fiches 0 à 0, 1 à 1, etc., jusqu'à 9 à 9.
Par exemple, les douilles PS40 infé rieures à la fig. 49B sont reliées respective ment aux douilles 9 PS54 et PS55 d'extrême droite. Le balai pour la colonne 11 est relié par une connexion à fiches partant .de la douille P81 correspondant à la colonne 11 et aboutissant à la douille PS16 d'extrême gau che désignée Chiffre PU .
Les deux doiûlles PS16 adjacentes pour ce groupe sont con nectées entre elles et reliées .à la douille PS16 mentionnée en 1 au moyen de ponts. Par con- séquent, une valeur quelconque poinçonnée dans la colonne 11 de la fiche sera enregistrée dans trois colonnes d'emmagasinage de chif fre et sera conservée dans ces dispositifs d'emmagasinage jusqu'à la fin du cycle. Cette disposition permet d'emmagasiner effective ment tous les nombres de 10 à 34 dans les trois colonnes d'emmagasinage de chiffre et à l'aide des trois sélecteurs de recodification 1, 2 et 3.
Le commutateur.de phase S2 est mis en position 1 qu'on appellera ci-après phase 1 .
Supposons que la première fiche soit poinçonnée d'un 10 . Le 1 à la colonne 10 de la fiche provoquera l'excitation du sélec teur de recodification 1, permettant ainsi au circuit de contrôle décrit .ci-dessus et partant de la douille PS22 de passer par les con nexions .à fiches jusqu'aux contacts normale ment ouverts du sélecteur de recodification 1, pour aboutir à la douille C PS39 et de là, à partir de la douille 1 PS40, jusqu'à la douille 0 PS54 (fig. 49E).
Cette douille se trouve entre les douilles PS54 correspondant respectivement aux positions 1 et 11 à la fig. 48R. L'impulsion de contrôle est trans mise vers le bas à travers des contacts de re lais de commutation de phase semblables aux contacts 8207B, 8204B et 8203B, jusqu'au relais 0 8116P et de là jusqu'au tube V123, comme dans le cas d'une simple impulsion de triage. Cette impulsion amorce le tube V123 pour indiquer que le circuit est fermé.
De fait que ce circuit est fermé, les relais R57, R58 (fig. 48G) sont excités par l'inter médiaire d'un circuit partant des contacts C8 (fig. 480) et passant à travers les contacts 8201G et R21G. Le relais R58 ferme ses con tacts R58C (fig. 48E) pour permettre aux contacts C15 de fournir une impulsion de fonctionnement poshtive au relais de com mande de triage 8116P qui est excité.
Con jointement avec le fonctionnement de l'émet teur E18, L'excitation du relais 8116P a pour effet de transmettre la fiche poinçonnée d'un 10 dans la poche 0 , de la façon décrite ci-dessus en référence à la fig. 49A. Il con vient d'expliquer que du fait que le commu- tateur de phase S2 a été mis dans sa position 1, aucun des relais de la fig. 48B, commandé par ce commutateur, n'est excité.
Par consé quent, l'impulsion de contrôle fournie à par tir des contacts Cll traverse la résistance de 1000 ohms (fig. 48E) par l'intermédiaire des contacts normalement fermés 8201C, R58D, <I>8212D</I> et 8201E pour aboutir à la douille PS22 au lieu de parvenir aux contacts- des re lais R201 et R24.
Les relais R57 et R58 sont destinés à per mettre aux circuits de comptâge et de triage d'être reliés par des connexions à fiches pour former un circuit série unique pour différents types de fonctionnement.
Lorsque l'impulsion de contrôle passe correctement à travers ce circuit, ces relais sont également destinés à convertir le circuit de contrôle en un jeu de, circuits parallèles pour permettre le fonction nement des relais de triage et des électro- aimants de compteur,
sous l'effet d'impulsions fournies à ces circuits parallèles. Cette dispo sition est nécessaire du fait que la connexion en série de tous les différents relais et électro- aimants qui peuvent être inclus dans une sé rie de circuits de commande peut avoir pour effet de former un circuit série inique de con trôle de résistance variable, cette résistance pouvant être très élevée.
C'est pour cette rai son qu'un tube électronique est utilisé pour contrôler le passage de l'impulsion de contrôle dans ce circuit plutôt qu'un relais. En effet, un tel tube peut réagir immédiatement à suie simple modification de potentiel n'impliquant pas nécessairement le passage d'un courant appréciable.
Une fiche quelconque poinçonnée d'un nombre compris entre 10 et 19 a le même effet en ce qui concerne les circuits mis en jeu. Etant donné que chacune de ces fiches est poinçonnée d'un 1 dans sa colonne des di zaines, et d'un chiffre compris entre 0 et 9 dans sa colonne des unités, seuls le sélec-, teur de recodification 1 et la colonne d'ex trême gauche d'emmagasinage de chiffre sont mis en: jeu.
Si une fiche est poinçonnée d'un chiffre compris entre 20 et 29 , le sélecteur de recodification 2 est excité et le circuit par tant de la douille PS22 s'étend à travers les contacts normalement fermés du sélecteur 1 et les contacts normalement ouverts du sélec teur 2 jusqu'à la douille C PS39 du second groupe d'emmagasinage de chiffre à partir de la gauche (fig. 49B).
Le second chiffre de cette fiche est enregistré dans les trois ordres du dispositif d'emmagasinage de chiffre. En admettant que cette fiche soit poinçonnée d'in 20 , l'impulsion parvient à la douille C PS39 et dé là à la douille 0 PS40. A partir de cette douille, l'impulsion est trans mise à.
la douille 0 PS55 par l'intermédiaire d'une connexion à fiches. Cependant, cette fois-ci, l'impulsion passe à travers une paire de contacts<I>8209B</I> (fig. 48R) et parvient à la douille E PS38 supérieure et de là à la douille 12 PS54. Cette impulsion est ensuite transmise vers le bas par l'intermédiaire des contacts<I>8207B,</I> 8204B, 8203B, 8212F et du relais 12 8118P, le reste du circuit étant le même qu'auparavant,
si bien que la fiche poinçonnée d'un 20 est dirigée vers la poche 12 , le tube Z'123 étant amorcé et les relais R57 et R58 étant excités comme auparavant. Il en est de même lorsque la fiche est poin- çonnée d'un 29 par exemple, la seule diffé rence étant que la douille 9 PS55 est mise en jeu au lieu de la douille 0 PS55, et le relais 8118P est à nouveau excité.
Il est évident .qu'au cours de la première phase de triage, une fiche quelconque poin çonnée d'.un chiffre compris entre 20 et 29 est déposée dans la poche 12 .
De façon très analogue, les fiches poin çonnées d'tin chiffre compris entre 30 et 34 sont respectivement déposées dans les poches 0 à 4 . On remarquera à la fig. 49B que le troisième groupe d'emmagasinage de chiffre à partir de la gauche est relié au moyen d'une connexion à fiches à la rangée de douilles PS56 de la même façon que les douil les P854 et PS55 et que la douille E PS38 correspondant à cette rangée est reliée par une connexion à fiches à la douille 11 PS54. Par conséquent,
les fiches poinçonnées d'un chiffre compris entre 30 et 34 provoquent Pexeitation du sélecteur de recodification 3, si bien que des poches 30 à 34 sont choi sies au moyen du =troisième groupe d'emma gasinage de chiffre. Par exemple, supposons qu'une fiche soit poinçonnée d'un 31 .
Le sélecteur de recodification 3 est excité et l'im pulsion transmise à partir de la douille PS22 parvient à la douille C P839 par l'intermé diaire des contacts normalement fermés des sélecteurs de recodification 1 et 2 et des con tacts normalement ouverts du sélecteur de re- codification 3.
A partir de cette douille C PS32, cette impulsion parvient à la douille 1 PS40 du troisième groupe d'emmagasi nage de chiffre et de là à la douille 1 PS56, vers le bas (fig. 48R) et par l'intermédiaire des contacts 8206A jusqu'à la douille E PS38 inférieure et à la douille 11 PS54. A partir de cette douille, le circuit par lequel passe cette impulsion s'étend vers le bas.jus- qu'au relais 11 <I>8117P</I> à travers les con tacts<I>8207B,</I> 8204B et 8203B.
Ce circuit est naturellement contrôlé au moyen du tube V123, et les relais R57 et R58 fonctionnent pour provoquer l'émission d'une impulsion subséquente à l'impulsion de contrôle et pour exciter le relais 8118P.
A la fin de la première course de la ma chine, toutes les fiches poinçonnées d'un chif fre compris entre 10 et 19 ont été triées dans des poches 0 à 9 et peuvent être empilées, les fiches 2 au-dessus des fiches 1, les fiches 3 au-dessus des fiches 2, ete., pour les placer dans l'ordre de 10 à 19 en allant du chiffre inférieur jusqu'au chiffre supé rieur. Ces fiches sont correctement triées et. il n'est pas nécessaire de les faire passer à nou veau dans la machiné.
Pour la course de seconde phase de la ma chine, le commutateur de phase S2 est mis en place en position de phase 2. Les groupes de relais R207 à R210 et C893 sont ainsi excités. Les fiches qui avaient été déposées dans la poche 12 sont retirées de cette poche et sont replacées dans le magasin. Ces fiches ne sont pas triées par ordre, mais doivent être triées par ordre numérique au cours de la course de phase 2 de la machine.
En mettant le commutateur 82 dans sa position de phase 2, on sépare les douilles PS54 des relais de triage 8107P à 8118P qui sont alors reliés aux douilles PS55. Les liai sons des douilles PS56 restent inchangées du fait que le relais R206 n'est pas excité.
Lors qu'on fait à nouveau passer les fiches poin- eonnées d'un chiffre compris entre 20 et 29 dans la. machine, aucun circuit n'est plus établi sous commande du sélecteur de recodi- fication 1 puisque aucune de ces fiches n'est poinçonnée d'in 1 .dans la colonne des di zaines.
Cependant, pendant cette course, les fiches poinçonnées d'un chiffre compris entre 20 et 29 auront le même effet sur le se cond groupe d'emmagasinage de chiffre et sur le sélecteur de recodification 2, par l'intermédiaire des douilles PS55, que celui qu'avaient eu les fiches poinçonnées d'un chif fre compris entre 10 et 19 sur le premier groupe d'emmagasinage de chiffre et sur le sélecteur de recodification 1, par l'intermé diaire des douilles PS54. Supposons par exemple qu'une fiche soit poinçonnée d'un 24 .
Cette fiche provoquera l'excitation du s6lecteur de recodification 2 et l'impulsion de contrôle transmise à partir de la douille PS22 parviendra à la douille C PS39 du second groupe d'emmagasinage de chiffre par l'in termédiaire des contacts normalement fermés du sélecteur 1 et des contacts normalement ouverts du sélecteur 2.
A partir de cette douille C PS39, cette impulsion parvient à la douille 4 PS40 et à la douille 4 PS55 d'où elle est dirigée vers le bas (fig. 48R) jusqu'au relais 4 8112P, par l'intermédiaire des contacts<I>8209B,</I> 8207B,<I>8204B</I> et 8203B. Ainsi, la poche 4 est choisie pour cette fiche.
De façon semblable, les autres fiches seront déposées dans les poches 0 à 9 et seront ainsi classées par ordre numérique, prêtes à être ajoutées aux fiches du premier groupe.
Pour la course de troisième phase de la machine, le commutateur S2 est mis en place dans sa position de phase 3, excitant ainsi les relais R204, R205, R206, R211 et le relais R209 par l'intermédiaire des contacts 8211A. L'excitation du relais R206 provoque la fermeture des contacts. 8206B (fig. 48R) et les douilles P,556 sont ainsi reliées aux relais de triage 8107P à 8118P.
Ainsi, pendant la troi sième phase de l'opération de triage, les fiches sont réparties entre les poches 0 à 4 de la même façon générale que celle décrite auparavant, sauf que, dans ce cas, le sélecteur de recodification 3 et le troisième groupe d'emmagasinage de chiffre à partir de la gau che de la fig. 49B sont utilisés.
Supposons par exemple qu'une fiche soit poinçonnée d'in 31 . Du fait qu'un 3 est poinçonné dans la colonne 10, le sélecteur de recodification 3 est excité et établit un cir cuit à partir de la douille PS22. Ce circuit s'étend jusqu'à la douille C P839 du troi sième groupe d'emmagasinage de chiffre à travers les contacts normalement fermés des sélecteurs de recodification 1 et 2 et les con tacts normalement ouverts du sélecteur de re- codification 3.
A partir de la douille C PS39, ce circuit s'étend jusqu'à la douille 1 P840 et de là jusqu'à la douille 1 PS56 (fig- 48R) et au relais 8115P, par l'intermé diaire des contacts 8206B, 8208B, 8204A et <I>8203B.</I> Ce circuit est contrôlé et il est trouvé fermé. Une impulsion d'actionnement est fournie au relais 8115P du fait du fonction nement du tube V123 et des relais R57 et R58, et la fiche poinçonnée d'un 31 est déposée dans la poche 1 .
On se rend compte qu'il est possible de classer toutes les fiches portant des poinçon nages- quelconques compris entre 10 et 34 par ordre numérique, au cours de trois courses complètes de la machine et qu'il n'est n6ces- saire de faire passer deux fois dans la ma chine que les fiches déposées dans les poches 11 et 12 au cours de la première course.
Lorsque la dimension des groupes respec tifs, c'est-à-dire la quantité relative des fiches de chacun de ces groupes est connue d'avance, il est possible de connecter la machine de fa çon que le groupe qui contient le plus grand nombre de fiches ou le groupe le plus commun soit -choisi pour être rangé par ordre niunéri- que au cours de la première course. Selon le fonctionnement choisi dans des buts d'expli cation, les fiches sont placées par ordre, en commençant par le nombre le plus faible et en terminant par le nombre le plus élevé.
Ce pendant, il est possible de connecter la ma chine de façon que la classification des fiches se fasse à partir des nombres de groupe les plus communs et les plus élevés jusqu'aux nombres .de groupe les plus petits et les moins fréquents. En effet, il peut se produire que les groupes caractérisés par- un nombre supé rieur soient plus communs ou comprennent un phis grand nombre de fiches par nombre caractéristique que -le premier groupe.
Par exemple, dans l'exemple précédent illustré à la fig. 49B, il pourrait y avoir beaucoup plais de fiches caractérisées par le nombre 30 que de fiches désignées par un 10 . Dans ce cas, il pourrait être avantageux d'inverser l'ensemble de connexions représenté à .la fig. 49B et de trier les fiches désignées par des chiffres compris entre 10 et 19>> dans la poche l1 afin de trier en premier lieu par ordre numérique les fiches désignées par un chiffre compris ente 30 et 34 .
Cette disposition peut être spécialement avantageuse lorsqu'il y a -un. plus grand nombre de fiches détaillées et déterminantes dans les groupes caractérisés par des nombres phis élevés par exemple. Dans une organisation d'affaires, les nombres de comptes de rang plus élevé peu vent être plus importants ou plus détermi nants et correspondre à un plus grand nom ; bre de transactions ou de mouvements finan ciers que quelques-uns des comptes plus anciens qui peuvent être caractérisés par une activité sporadique.
On dit alors que les fiches correspondant à ces comptes plus récents sont plus actives que les fiches correspondant aux anciens comptes.
Dans certaines conditions, il petit être dé sirable d'arrêter la machine lorsque le circuit de contrôle n'est pas fermé. Les relais R57 et R58 comprennent des contacts<I>R57C et R58C</I> (fig. 48E) qui sont disposés en série avec les contacts C16 et avec le relais .9141P. Si le cir cuit de contrôle est correctement établi, les deux relais R57 et R58 sont excités et fer ment leurs contacts<I>R57C</I> et R58C,
si bien que le relais 9141P est excité à l'instant où les impulsions de comptage et de triage sont produites pour provoquer l'excitation des re lais de commande de triage 9107P à 9118P et/ou des électro-aimants de compteur qui peuvent être reliés par des connexions à fiches aux douilles P821 et PS26. Si les douilles PS44 et PS45 de refus-stop (fig. 41 et 48H) sont reliées par des connexions à 'fiches,
l'excitation dans ces conditions du re lais 9141P empêche l'excitation .du relais de refus-stop R8P. Cependant, ceci ne se pro duit pas lorsque le relais 98P est directement relié par une connexion à fiches à la douille P844 du fait que, dans ces conditions, l'im pulsion destinée à exciter le relais R8P ne passe pas à travers les contacts 9141A (fig. 48H) du relais 9141P, mais qu'elle peut être produite à partir du circuit des sélec teurs de recodification. Si les relais R57 et R58 ne sont pas excités,
le relais 9141P n'est pas excité non plus et le relais R8P est excité pour arrêter la machine.
La fig. 49B représente l'ensemble de con nexions pour un jeu complet de nombres com pris entre 10 et 34 , mais il est évident qu'un nombre de connexions à fiches quelcon que entre les groupes d'emmagasinage de chif fre et les douilles PS54, PS55 et PS56 pour rait être supprimé au cas où il n'y aurait pas de fiche portant des poinçonnages correspon- dant à ces nombres. Par exemple, s'il n'y avait pas de fiche portant. un poinçonnage 22 , la connexion à fiches reliant la douille 2 PS40 à la douille 2 PS55 pourrait être supprimée.
Dans l'exemple représenté à la fig. 49B, on a admis que le triage initial des fiches sub divisait celles-ci en autant de groupes qu'il était nécessaire au cours de trois courses de la, machine et que, au cours de la seconde et de la troisième course, il était seulement né cessaire de trier les fiches qui avaient été dé posées respectivement dans les poches 12 et 11 au cours de la première course.
Au cours des phases 2 et 3 également, il n'était pas né cessaire de fournir des fiches aux poches 11 et 12 , bien que la douille E PS38 corres pondant à la rangée PS56 soit réunie par une connexion ù fiches à la douille 11 PS54.
La fig. 49C illustre le fonctionnement de la machine pour le triage de fiches conformé ment à la longueur alphabétique des noms que portent ces fiches. Le but de cette opéra tion est de réduire le temps nécessaire pour trier les fiches par ordre alphabétique en évi tant de faire repasser plusieurs .fois à travers la machine les fiches portant des noms courts, pour les colonnes du champ d'enregistrement alphabétique qui ne sont pas poinçonnées du fait que le nom est court.
Du fait que de nombreux noms très com- niuns sont relativement longs, le triage par ordre alphabétique nécessite un grand nombre de passages de chaque fiche dans la. machine à trier, ce qui rend ce type de triage très lent et occupe la machine pendant un temps con sidérable. Pour cette raison, toute économie dans la durée d'occupation de la machine est très importante.
On admettra que les colonnes 1 à 10 sont attribuées aux noms de famille, l'initiale ou les initiales de ces noms se trouvant dans les colonnes 1 des différentes fiches. Ainsi, le nom Smith serait poinçonné dans les co lonnes 1 à 5.
Les douilles PS1 pour les co lonnes 1 à 10 sont séparément réunies par des connexions à fiches aux douilles PS3, s2 bien que le sélecteur de recodification 1 est excité par -un poinçonnage quelconque se trouvant dans la colonne 1 et que, à l'opposé, le sélecteur de recodification 10 est excité par un poinçonnage quelconque présent dans la colonne 10.
Les douilles PS2 pour les sélec teurs de reeodification 1 à 10 sont reliées entre elles par -des ponts, et celle de ces douilles correspondant à la colonne 10 est re liée à la douille 12-9 <I>PS57</I> au moyen d'une connexion à fiches.
Etant donné que la douille <I>PS57</I> est une source d'impulsion pour chaque position repère à partir de 0 jusqu'à 9 , 11 et 12 , chacun des sélecteurs de recodi- fication 1 à 10 est excité chaque fois qu'un poinconnage se présente dans la colonne cor respondante d'une fiche.
Par exemple, le sé- lecteur de recodification 10 est excité lors qu'Un poinçonnage quelconque est contenu dans la colonne 10, et il en est de même pour les autres sélecteurs de recodification. Les contacts normalement fermés des sélecteurs de recodification sont reliés en série et à la douille PS22,
et les contacts normalement ouverts sont reliés séparément aux douilles PS56. On se rappellera que ces douilles per mettent l'excitation des relais de triage R107P à R118P. Le tube V123 est rendu efficace au moyen d'un pont disposé entre la douille S PS29 et la douille SH PS28. Pour cette opération, le commutateur de phase peut être disposé soit en position Hors , soit dans sa position de phase 1.
Admettons que la première fiche présente un poinçonnage dans :ã colonne 7.0, ce qui si- gui-fie que le champ attribué au nom est en tièrement poinçonné d'un nom aussi long que la fiche peut le recevoir. II convient d'expli quer ici que selon la méthode IBM , chaque lettre est caractérisée par une combinaison de deux poinçonnages, si bien qu'il devrait y avoir deux poinçonnages à la colonne 10.
Ce pendant, l'un quelconque de ces poinçonnages sera efficace et celui qui est rencontré le pre mier par le balai B correspondant à la co lonne 10 sera celui qui rendra effectivement efficace le sélecteur de recodification 10.
Cette disposition permet de faire passer l'impul sion de contrôle à partir de la douille PS22 jusqu'à la douille 9 PS54 (fig: 48R) à tra vers les contacts normalement ouverts du sé lecteur de recodification 10, et elle permet également d'exciter finalement le relais de commande de triage 9 R107P de la même façon que décrit précédemment. Il en résulte qu'une fiche comprenant un poinçonnage dans sa colonne 10 est déposée dans la poche 9 .
Si la fiche avait été poinçonnée dans sa colonne 9, mais pas dans sa colonne 10, le sé lecteur de recodification 9 aurait été excité et la poche 8 aurait été choisie. L'impulsion de contrôle part de la droite et elle est trans mise vers la gauche jusqu'à ce qu'elle attei gne un sélecteur de recodification dont les contacts normalement ouverts sont fermés, et ce-sélecteur -de recôdification détermine la ré partition de la fiche. Chaque fois qu'un cir cuit est établi de la façon décrite, l'impulsion de contrôle détermine tout d'abord si le cir cuit est continu.
Au cas oui ce circuit ne serait pas continu, le tube V123 ne serait pas amorcé et la fiche serait rejetée pour être inspectée ainsi qu'on fa expliqué plus haut.
La fig. 49D montre la façon dont la ma chine est connectée pour l'opération de triage par ordre alphabétique, le problème consis tant à placer les fiches par ordre alphabéti que. Les lettres de l'alphabet sont caractéri sées par des .combinaisons de deux poinçon nages conformément au code suivant:
EMI0074.0006
<I>Table <SEP> I:</I>
<tb> <I>Code <SEP> alphabétique.</I>
<tb> A-12, <SEP> 1 <SEP> J <SEP> --11, <SEP> 1 <SEP> S <SEP> -0, <SEP> 2
<tb> B <SEP> - <SEP> 12, <SEP> 2 <SEP> K <SEP> - <SEP> 11, <SEP> 2 <SEP> T <SEP> - <SEP> 0, <SEP> 3
<tb> C <SEP> - <SEP> 12, <SEP> 3 <SEP> L <SEP> - <SEP> 11, <SEP> 3 <SEP> U <SEP> - <SEP> 0, <SEP> 4
<tb> D-12, <SEP> 4 <SEP> 1I-11, <SEP> 4 <SEP> V <SEP> -0, <SEP> 5
<tb> E-12, <SEP> 5 <SEP> N-11, <SEP> 5 <SEP> W-0, <SEP> 6
<tb> F-12, <SEP> 6 <SEP> 0-11, <SEP> 6 <SEP> X <SEP> -0, <SEP> 7
<tb> G-12,7 <SEP> P-11,7 <SEP> Y-0,8
<tb> 1=I <SEP> - <SEP> 12, <SEP> 8 <SEP> Q <SEP> - <SEP> 11, <SEP> 8 <SEP> Z <SEP> - <SEP> 0, <SEP> 9
<tb> 1 <SEP> -12, <SEP> 9 <SEP> R-11, <SEP> 9 Il convient d'expliquer- que dans les con ditions normales, lorsqu'on,
utilise une ma chine _ à trier ordinaire, il est nécessaire de faire passer chaque fiche deux fois dans la machine pour chacune des colonnes" afin de séparer les fiches selon les poinçonnages 0 , 11 et 12 , communément appelés poinçon nages de zone, ces fiches passant une seconde fois dans la machine pour être alors triées par ordre selon les poinçonnages 1 à 9 , communément nommés poinçonnages numéri ques.
Ces deux courses sont superflues dans la machine décrite, du fait que, avec la disposi tion de connexion représentée à la fig. 49D, les lettres les plus fréquentes sont disposées par ordre alphabétique correct aii cours d'une seule course de la machine et qu'il n'est dès lors pas nécessaire de les trier à nouveau de la même façon- que celle décrite en référence à la fig. 49B, c'est-à-dire par élimination.
La machine est en effet connectée pour rejeter les fiches caractérisées par certaines lettres plus rares et pour faire parvenir les autres dans la poche 12 , si bien que les fiches res tantes sont classées par ordre alphabétique à la suite de deux courses de la machine seule ment. Les fiches qui parviennent dans les poches 0 à 9 restent dans ces poches après la première et la seconde course et, après la troisième course, ces mêmes fiches se trouvent. classées par ordre alphabétique également. Il est ainsi possible d'économiser un temps con sidérable pour le triage par ordre alphabéti que, ce qui n'est pas possible avec les ma chines à trier numériques commerciales ordi naires.
En référence à la fig. 49D, on remarquera que le commutateur de sélection de colonne a été relié par des connexions à fiches aux co lonnes 1 à 10 correspondant aux colonnes des fiches dans lesquelles les noms sont poinçon nés, l'initiale de chaque nom étant contenue dans la colonne 1, comme c'est le cas à la fig. 49C. Ainsi, la colonne 1 est reliée à la po sition 1 du commutateur de sélection de co lonne, -et la colonne 10 à la position 10 de ce commutateur.
Afin de bénéficier des avan tages du triage préalable par longueur de nom, l'opération de triage débute générale ment par la colonne d'ordre supérieur du champ attribué au nom; dans le cas considéré, cette colonne est la colonne 10, et le commu tateur de sélection de colonne est mis en posi tion 10.
Les sélecteurs de recodification 1, 2 et 3 sont reliés par des connexions à fiches à l'émetteur IG1, E13 du schéma électrique, si bien que des impulsions 0 , 11 et 12 provoquent l'excitation des sélecteurs de reco- dification 1, 2 et 3 à condition que des poin çonnages se présentent aux positions repère correspondantes des colonnes choisies de la fiche. La douille C PS5 de l'émetteur de chiffre M est reliée par une connexion à fiches à la douille C PS10 du commutateur de sé lection de colonne.
Les douilles 1 à<I> 9 </I> PS4 de l'émetteur L11 sont reliées entre elles par des ponts et par -une connexion à fiches à trois des . groupes d'emmagasinage de chiffre, si bien que da partie numérique du code d'une colonne quelconque, par rapport à laquelle les opérations de triage sont effectuées, est emma gasinée dans ces trois groupes d'emmagasi nage de chiffre.
Supposons que la colonne 10 soit poin çonnée d'un A correspondant ,à la combinai son d'un poinçonnage 12 et d'un poinçon nage 1 . Deux impulsions sont émises par le balai B de la colonne 10 et sont transmises à partir de la douille PS1 de la colonne 10.
Ces impulsions traversent la position 10 du com mutateur .de sélection de colonne et aboutis sent à la 'douille PS10 et de là à la douille C PS5 de l'émetteur 31. En 1 du cycle, du fait de la présence d'un poinçonnage 1 ,
une impulsion est émise à partir de la douille 1 PS4 par l'émetteur M E13 et parvient aux trois douilles PS16 d'excitation des dispositifs d'emmagasinage de chiffre pour provoquer l'emmagasinage du chiffre 1 dans ces trois groupes d'emmagasinage de chiffre. En 12 au cours du même cycle; le poinçonnage 12 établit un circuit analogue à travers le seg ment.
12 de l'émetteur de chiffre 31, ce cir cuit aboutissant à la douille 12 PS4 et pro voquant l'amorçage du tube du sélecteur de recodification 1, du fait que l'émetteur de chiffre A E1 fournit à cet instant une impul sion à la grille-écran de ce même tube, cepen- clant que l'impulsion 12 mentionnée ci- dessus est appliquée à sa grille de commande à.
partir de la douille PS4. Les contacts nor malement ouverts du sélecteur de recodifica- tion 1 sont ainsi fermés. Les sélecteurs de re- codification 2 et 3 ne sont pas excités pour cette fiche du fait qu'elle ne présente ni poin çonnage 11 ni poinçonnage 0 .
Il en résulte que l'impulsion de contrôle émise à partir de la douille PS22 passe à tra vers les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 1 pour parvenir jusqu'à la douille C PS39 du premier groupe d'emmagasinage de chiffre de gauche (fig. 49D). De là., cette impulsion est trans mise à la douille 1 PS40 du premier groupe d'emmagasinage de chiffre de gauche (fig. 49D), au-dessus du chiffre 12 et de la flèche, et à la douille 11 PS54 pour pro voquer l'excitation du relais 11 et pour en voyer - la fiche poinçonnée d'un A dans la poche 11 .
De façon semblable, des fiches poinçonnées de A , C , E , G et I dont les combinaisons comprennent un poin çonnage 12 et un poinçonnage de numéro tation impaire sont respectivement conduites dans les poches 11 , 0 , 1 et 3 .
Bien qu'il y ait -des vides, ces fiches se trouvent horizontalement par ordre alphabé tique à partir de la poche 11 jusqu'à. la poche 3 et peuvent être laissées dans ces poches.
Si une fiche est poinçonnée d'un B cons titué par la combinaison d'un poinçonnage 12 et d'un 2 , l'impulsion de contrôle par vient à. nouveau jusqu'à la douille C PS39 et tente de parvenir jusqu'à la douille 11 PS55 à partir de la. douille 2 PS40. Cepen dant, dans ce cas, la douille E PS38 n'est pas reliée par une connexion à fiches et le circuit ne peut être établi, si bien que cette fiche poinçonnée d'un B est rejetée.
Il en est de même lorsque les fiches sont poinçon nées de D , F et - H , ces lettres corres- pondant à des combinaisons de poinçonnage l2 et -de poinçonnages numériques pairs.
Ceci est dû au fait que la rangée médiane de douilles PS55 n'est pas reliée par une con nexion à fiches à la douille E PS38, si bien qu'aucun circuit ne peut être .formé jusqu'au tube V123 par l'intermédiaire des douilles PS55 pendant la course de phase-l et que les fiches sont rejetées dans tous ces cas.
Si une fiche est poinçonnée d'un L , N , 0 ou d'un R , ces lettres étant représen tées par des combinaisons comprenant un poinçonnage 11 , le sélecteur de recodifica- tion 2 est excité et l'impulsion de contrôle fournie à partir de la douille PS22 passe à travers les contacts normalement fermés du sélecteur de recodification 1 et les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodifi- cation 2 pour parvenir à la douille C des groupes d'emmagasinage de <RTI
ID="0075.0079"> chiffre, au-dessus du chiffre 11 et de la flèche (fig. 49D) à la fig. 48D. Lorsque la lettre est un L repré- senté par la' combinaison d'tui 11 et d'un 3 , l'impulsion est transmise à partir de la douille 3 PS40 à la douille - 4 PS54 et la fiche poinçonnée d'un L est amenée dans la poche 4 .
De façon semblable, des fiches poinçonnées N , 0 et R, sont déposées respectivement. dans les poches 5 , 6 et 7 . Des fiches poinçonnées J , < iVI et P sont rejetées, les douilles 1 PS40, 4 PS40 et 7 PS40 du groupe d'emmagasinage de chiffre attribuées au 11 étant reliées aux douilles 3 , 4 et 6 du groupe de douilles PS55.
Des fiches poinçonnées K et Q sont déposées dans la poche 12 du fait que les douilles 2 et 8 du groupe de douilles PS40 sont reliées aux douilles 3 et 6 du groupe de douilles PS56, au-dessus du 0 et de la flèche (fig. 49D), si bien qu'un circuit est établi à travers la connexion à fiches re liant la douille PS38 à la douille 12 PS54 de la façon .décrite ci-dessus.
Un circuit typique pour le choix de la poche 12 peut être suivi pour la lettre K re présentée par la combinaison de poinçonnages 11 et 2 . Le sélecteur de recodification 2 est dans ce cas excité et l'impulsion de con trôle rencontre un circuit continu à travers les contacts normalement fermés du sélecteur 1 et les contacts normalement ouverts du sé lecteur 2, jusqu'à la douille C PS39 du se cond groupe d'emmagasinage de chiffre à par tir de la gauche ou groupe 11 .
De là, cette impulsion est transmise -à la douille<I> 2 PS40</I> et à la douille 3 PS56 d'où elle parvient à la douille E PS38 correspondant à la ran gée de douilles PS56 et -à la douille 12 <I>PS54</I> pour déterminer l'acheminement de la fiche vers la poche 12 .
Des fiches ,poinçonnées de U et X re présentées par des combinaisons de poinçon- nages 0 et 4 et 7 respectivement sont acheminées vers les poches 8 et 9 : Dans ce cas, le sélecteur de recodification 3 est excité et l'impulsion de contrôle passe à tra vers les contacts normalement fermés des sé lecteurs de recodification 1 et 2 et les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodi- fication 3 pour parvenir à la douille C PS39 du groupe d'emmagasinage de chiffre 0 , au-dessus du 0 et de la flèche à la fig. 49D.
La douille 4 du groupe de douilles P840 correspondant au groupe d'emmagasi nage de chiffre mentionné ci-dessus est reliée à la douille 8 PS54, et la douille 7 PS40 est reliée à la douille 9 PS54, si bien que le circuit de contrôle peut être établi par l'in termédiaire de ces douilles respectives pour provoquer l'acheminement de fiches poinçon nées d'un U et d'un X directement vers les poches respectives 8 et 9 .
Des fiches poinçonnées de S , V et Y sont. rejetées du fait que les douilles 2 , 5 et 8 du groupe de douilles PS40 sont reliées respecti vement aux douilles 7 , 8 et 9 du groupe de douilles PS55. Des fiches poinçonnées de T , W et Z sont déposées dans la poche 12 puisque les douilles 3 , 6 et 9 du groupe de douilles PS40 sont respectivement reliées aux douilles 7 , 8 et 9 du groupe de douilles PS56.
On remarquera que les trois relais de re- codification 1, 2 et 3, en combinaison avec les trois groupes d'emmagasinage de chiffre dé signés respectivement par 12 , 11 et 0 et par des flèches, constituent des moyens pour former des circuits représentant les let tres séparées et que, pendant la course de phase 1 de la machine, les fiches sont répar- ti-es en trois groupes: un groupe dans lequel ces fiches sont rangées par ordre alphabéti que, les deux autres groupes n'étant pas triés, mais étant acheminés, respectivement dans les poches 11 et de refus.
Le commutateur de phase est maintenant placé dans sa position de phase 2 et les fiches qui avaient été dépo sées dans ;la poche de refus sont replacées dans la machine pour tune deuxième course.
Les relais commandés par le commutateur de phase ont le même effet que dans le cas examiné en référence à -la fig. 49B, c'est-à-dire qu'ils décalent les connexions de triage des tinées à exciter les relais de triage, à partir de la rangée supérieure des douilles PS54 à la rangée médiane des douilles PS55. Ainsi, pendant la course de phase 2 des fiches, les circuits qui aboutissent aux douilles PS55 du fait qu'ils n'étaient pas reliés à partir de la douille E séparément aux douilles 12 ou 11 PS54,
rétablissent maintenant des cir- 5 cuits directs correspondant aux poches 0 à 9 et ont pour effet de diriger les fiches ca ractérisées par des lettres B , D , F , H , J , M , P , .S , V et Y par ordre alphabétique vers les poches 0 à 9 .
i Le commutateur de phase est alors placé dans sa position de phase 3 et les fiches qui avaient été recueillies dans da poche 12 au cours de la première phase sont maintenant replacées dans la machine et sont triées dans les poches 3 et 6 à 9 respective ment. Le groupe de fiches 11 se trouvant dans des poches peut maintenant être empilé à la main. par ordre correct et le commutateur sélecteur de colonne est déplacé en arrière jusqu'à sa position 9, tandis que le commuta teur de phase est ramené dans sa position de phase 1.
La série d'opérations décrite est à nouveau effectuée pour remettre les fiches en place conformément aux poinçonnages .figurant dans leur colonne 9 respective, ces fiches étant fournies à la machine conformé ment à leur ordre alphabétique ascendant par rapport à la colonne 10.
Pendant des trois courses de la machine i pour la colonne 9, les fiches sont combinées avec les fiches qui avaient été auparavant triées par longueur de nom et qui contenaient un poinçonnage à la colonne 9, mais aucun poinçonnage à da colonne 10. On économise ainsi un temps considérable, non seulement pour le triage des fiches par ordre alphabéti que sous commande de l'ensemble de con nexion représenté à la fig. 49D, mais égale ment du fait que les fiches ne présentant pas de poinçonnage dans leurs colonnes 10,
mais qui présentent un poinçonnage -dans leurs colonnes 9 n'ont pas été fournies à la machine au cours des phases pour la colonne 10.
Au bout de trois courses relatives à la colonne 9, le commutateur de colonne est dé placé en position de colonne 8 et le commuta- teur de phase est ramené dans sa position de phase 1; les fiches qui ne sont poinçonnées que jusque dans la colonne 8 y comprise sont ajoutées aux fiches -déjà utilisées et trois courses de phase sont à nouveau effectuées. Ces suites d'opérations sont répétées jusqu'à et y compris la colonne 1 pour achever le triage des fiches par ordre alphabétique.
Au cours de la phase 1 de l'opération de triage, les fiches poinçonnées de A , C , E , G , I , L , N , 0 , R , U et X sont rangées horizontalement dans cet ordre dans les poches 11 et 0 à 9 dans lesquelles elles sont laissées. Au cours de la phase 2, les fiches poinçonnées de B , D , F , FI , J et M sont rangées horizon talement dans cet ordre dans les poches<B> Il </B> et<B> 0 </B> à 4 et les fiches poinçonnées de P , S , V et X sont rangées dans cet ordre dans les poches 6 à 9 .
Pendant la course de phase 3, les fiches poinçonnées de K sont déposées dans la poche 3 et les fiches poinçonnées de Q , T , W et Z sont déposées respectivement dans les poches 6 à 9 .
Toutes ces fiches sont déposées dans ces poches, leur face étant .dirigée vers le bas, si bien que, par exemple dans la poche 11 , les fiches A se trouvent au fond et les fichés B au-dessus de celles-ci et que dans la poche 0 , les fiches C se trouvent au fond, au-dessous des fiches D ._ Ainsi, en enlevant tout d'abord les fiches se trouvant dans la poche 11 et en empilant ensuite les fiches se trouvant dans les autres poches au-dessus <U>de</U> ce premier paquet -de fiches, dans l'ordre 0 à 9,
il se trouve que les fiches sont rangées par ordre alphabétique à partir du bas vers 1e faut.
Dans des conditions moyennes, on constate que le premier groupe de fiches triées qui sont rangées par ordre alphabétique au cours de la course de phase 1 comprennent 67% de toutes les fiches. Les fiches triées dans les poches<B> Il </B> à 9 au cours de la course de phase 2 comprennent 21% des fiches, et les fiches triées pendant la dernière course ne constituent que le 121/o du nombre total de fiches.
Il serait théoriquement possible de ga- gner.encore du temps en transférant encore quelques-unes des lettres de la course de phase 2 à la course de phase 1, au lieu de certaines autres lettres, du .fait que certaines lettres du second groupe se rencontrent plus fréquemment que quelques-unes des lettres du premier groupe. Cependant, il serait néces saire à cet effet de déplacer d'autres lettres du groupe 1 au groupe 2 ou du groupe 2 au groupe 3, ce qui diminuerait l'efficacité du triage quant au temps nécessaire.
En reliant les sorties d'emmagasinage de chiffre PS40 aux entrées PS54, PS55 et P856 commandées par le commutateur de phase à l'aide de connexions à fiches, de la façon indiquée à la fig. 49D, on obtient une solu tion de compromis selon laquelle les fiches sont classées par ordre alphabétique réel, ce classement ne nécessitant en moyenne qu'en viron 1,33 course par colonne de fiche, au lieu de deux courses par colonne, comme dans les machines de triage commerciales ordinaires.
Par conséquent, une économie de temps d'en viron 331/o est obtenue grâce à l'emploi du commutateur de phase et des sélecteurs d'em magasinage de chiffre, par rapport à l'instal lation commerciale ordinaire la pliïs rapide.
En comparant la fig. 49D à la fi-. 49B, on remarquera que les deux opérations auxquel les se rapportent ces figures présentent une analogie considérable, particulièrement en ce qui concerne l'emploi du conunutateur de phase et des groupes d'emmagasinage-de chif fre.
La principale différence entre ces deux opérations consiste en ce que les entrées PS54, PS55 et PS56 commandées par le commuta teur de phase et les sorties d'emmagasinage de chiffre PS40 sont connectées de façon sy métrique à la fig. 49B, si bien que les fiches sont déposées par ordre numérique réel et complet au cours de la première course.
Dans le cas de la fig. 49D au contraire, les fiches sont triées par suite, mais avec des vides et sur la base de la fréquence des différentes lettres, si bien que :les lettres le plus rarement rencontrées ou les chiffres qui leur sont équi valents sont triés par ordre en premier.
Si l'on désirait trier par ordre-numérique sur la base de la fréquence de chiffre, on pourrait le faire en utilisant l'ensemble de connexion, au-dessus des groupes de contacts de sélec: teurs de recodification de la fig. 49B, en com binaison avec un mode de connexion des con tacts de sélecteurs de recodificatior. et des groupes d'emmagasinage de chiffre très sem blables à celui représenté à la fi-. 49D.
Admettons que les fiches soient numéro tées de 10 à 34. lia condition principale de vant être satisfaite lorsqu'on combine ces deux différentes formes de connexion pour obtenir un ordre ascendant réel consiste en ce que le mode de connexion des sorties d'emmagasi nage de chiffre et des entrées commandées par le commutateur de phase de la fig. 49D doit être disposé de façon que, au cours de phases successives, les nombres caractérisant les fiches soient rangés par ordre numérique non seulement horizontalement dans les diffé rentes poches de triage, mais également ver ticalement, l'un au-dessus de l'autre dans cha cune de ces poches.
Pour analyser -un problème de ce genre de façon à faciliter le mode de connexion de la machine, on examine tout d'abord l'intervalle de nombres ou de lettres devant être trié pour déterminer la fréquence relative selon laquelle ces différentes lettres se produisent. L'intervalle est alors divisé en trois groupes comprenant un groupe de lettres les plus fré quentes, un groupe de lettres relativement fréquentes et un groupe de lettres ou de chif fres les moins fréquents. Le premier groupe est trié horizontalement par ordre numérique ou alphabétique sous les désignations de poche 11 et 0 à 9 .
Le deuxième groupe de lettres ou de chiffres relativement fréquents est trié selon une seconde rangée au-dessous de la première, les lettres ou chiffres étant rangés par ordre de gauche à droite et égale ment verticalement du haut en bas. Le groupe le moins fréquent est finalement trié par ordre horizontalement de gauche à droite et verticalement de haut en bas sous les lettres ou chiffres précédemment répartis.
Par exem ple, l'opération de triage par ordre alphabéti que (fig. 49D) peut être ilhistré par une table telle que la suivante, qui représente la répar tition réelle des fiches conformément à la dis- position de l'ensemble de connexion représenté à la fig. 49D, dans les poches respectives au cours des trois courses de phase
EMI0079.0003
<I>Table <SEP> 11:
</I>
<tb> Poches <SEP> 11 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9
<tb> Phase <SEP> 1 <SEP> A <SEP> C <SEP> E <SEP> G <SEP> I <SEP> L <SEP> N <SEP> 0 <SEP> R <SEP> U <SEP> X
<tb> Phase <SEP> 2 <SEP> B <SEP> D <SEP> F <SEP> H <SEP> J <SEP> M <SEP> P <SEP> S <SEP> V <SEP> Y
<tb> Phase <SEP> 3 <SEP> :
K <SEP> Q <SEP> T <SEP> W <SEP> Z L'examen de cette table montre clairement que si par exemple la lettre I se présente de faon très peu fréquente, elle pourrait être déplacée dans la table pour que les fiches cor respondantes soient déposées dans la poche 2 au cours de la course de phase 3, et que si simultanément la lettre J se trouvait être plus fréquente que le I , cette lettre pour rait être déplacée dans la course de phase 1 au lieu de la lettre I , de façon que les fiches correspondant au J soient déposées dans la poche 3 .
Ceci n'entraîne qu'une mo dification des connexions à fiches entre les douilles de sortie P840 et les douilles d'entrée PS54, PS55 et PS56. On. remarquera cepen dant que dans ce cas, il n'est pas désirable d'intervertir simplement les lettres I et g , car cela signifierait que les fiches fournies à la poche 3 ne seraient plus classées par ordre dans cette poche.
La table précédente pourrait ne pas être très adéquate pour d'autres langues que l'an glais, du fait que, dans certaines langues telles que l'espagnol, les voyelles et les con sonnes r, s et 1 sont les plus fréquentes. Pour l'espagnol., il pourrait être nécessaire de re grouper les lettres dans cette table, de façon que les lettres les plus fréquentes en espagnol se trouvent comprises dans la ligne supérieure et dans la seconde ligne.
En arrangeant les lettres ou nombres plusieurs fois par essais dans une table de ce genre et en reliant par des connexions à fiches les groupes d'emma gasinage de chiffre de façon correspondante; il est possible d'économiser un temps considé rable en plaçant la plupart des fiches par ordre au cours de la première course de la, machine.
Si les fiches portant des chiffres compris entre 10 et 34 doivent être triées dans la ma chine conformément à un ensemble de con nexions combinées selon les fig. 49B et 49D, ces fiches sont acheminées dans les poches au cours des courses de phase respectives, comme indiqué à la table suivante:
EMI0079.0030
<I>Table <SEP> III:</I>
<tb> Poches <SEP> 11 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9
<tb> Phase <SEP> 1- <SEP> 11 <SEP> 13 <SEP> 15 <SEP> 17 <SEP> 19 <SEP> 23 <SEP> 25 <SEP> 26 <SEP> 29.34
<tb> Phase <SEP> 2 <SEP> 12 <SEP> 14 <SEP> 16 <SEP> 18 <SEP> 21 <SEP> 24 <SEP> 27 <SEP> 32
<tb> Phase <SEP> 3 <SEP> 22 <SEP> 28 <SEP> 33 On remarquera que des fiches poinçonnées de 10, 20@> et 30 ne sont pas triées avec cette disposition particulière, du fait que, à la fig. 49D,
les sorties zéro PS40 pour les groupes d'emmagasinage de chiffre ne sont pas reliées par des connexions à fiches à des entrées PS54, PS55 et PS56. Cependant, grâce à une légère modification dans l'établissement des connexions à fiches, conformément à cette table, il est possible de trier les fiches com prenant des zéros dans la position de l'ordre des unités.
L'un des avantages du mode de connexion représenté à la fig. 49D consiste en ce que le nombre 'd'opérations .manuelles nécessaires pour mettre les fiches en ordre est réduit à un minimum. Ceci est très important dans le triage par ordre alphabétique, du fait du très grand nombre de coux'ses nécessaires pour trier un ensemble de fiches par ordre alpha bétique. Un autre important avantage dè ce mode de connexion peut être remarqué en se reportant à la table II.
D'après cette table, on remarquera que les fiches sont réparties de façon que l'opérateur n'a rien d'autre à faire qu'à retirer les fiches des poches et à les empiler par paquets, un paquet au-dessus de l'autre, dans l'ordre correct. Dans le cas du fonctionnement selon la fig. 49B, les fiches sont réparties dans les poches conformément à la table suivante:
EMI0079.0053
<I>Table <SEP> IV:</I>
<tb> Poches <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9
<tb> Phase <SEP> 1 <SEP> 10 <SEP> 11 <SEP> 12 <SEP> 13 <SEP> 14 <SEP> 15 <SEP> 16 <SEP> 17 <SEP> 18 <SEP> 19
<tb> Phase <SEP> 2 <SEP> 20 <SEP> 21 <SEP> 22 <SEP> 23 <SEP> 24 <SEP> 25 <SEP> 26 <SEP> 27 <SEP> 28 <SEP> 29
<tb> Phase <SEP> 3 <SEP> 30 <SEP> 31 <SEP> 32 <SEP> 33 <SEP> 34 et on se rappellera que l'opérateur doit non seulement recueillir les fiches pour les empiler par ordre après chaque course de phase,
mais qu'il doit également les ranger une quatrième fois après la troisième phase pour combiner les trois groupes de fiches triées au cours des trois courses. Ceci peut être la cause d'erreurs lorsque l'opérateur n'empile pas les fiches de façon correcte après l'une des courses de phase. Par exemple, après la course de phase 1, l'opérateur pourrait placer les fiches re cueillies dans la poche 3 au-dessus des fiches recueillies dans la poche 1 au lieu de prendre d'abord .les fiches recueillies dans la poche 2 . Ainsi, les fiches poinçonnées 13 se trouveraient dans l'ordre avant les fiches poinçonnées 12 .
Dans le cas illustré à la table II, correspondant au fonctionnement se lon le mode de connexion de la fig. 49D, l'opérateur n'a à recueillir les fiches et à les ranger par ordre horizontal qu'après la troi sième phase au lieu de devoir les ranger par ordre horizontal et vertical, comme dans le cas illustré à la table IV et correspondant au mode de connexion de la fig. 49B.
Le fonctionnement obtenu à l'aide du mode de connexion représenté à la fig. 49B a été choisi du fait qu'il est très simple et très facile à comprendre, pour expliquer l'emploi du commutateur de phase, bien que, pour les raisons indiquées ci dessus, la répartition des fiches de la façon ainsi obtenue n'est pas tout à fait aussi désirable que celle obtenue par le fonctionnement conforme au mode de con nexion de la fig. 49D.
La table suivante mon tre comment le problème de triage par ordre numérique résolu à l'aide du mode de con nexion représenté à la fig. 49B peut être mo difi6 pour éliminer l'empilage manuel des pa quets de fiches après chaque course de phase
EMI0080.0023
<I>Table <SEP> V:
</I>
<tb> Poches <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9
<tb> Phase <SEP> 1 <SEP> 10 <SEP> 13 <SEP> 16 <SEP> 19 <SEP> 22 <SEP> 25 <SEP> 28 <SEP> 31 <SEP> 34
<tb> Phase <SEP> 2 <SEP> 11 <SEP> 14 <SEP> 17 <SEP> 20 <SEP> 23 <SEP> 26 <SEP> 29 <SEP> 32
<tb> Phase <SEP> 3 <SEP> 12 <SEP> 15 <SEP> 18 <SEP> 21 <SEP> 24 <SEP> 27 <SEP> 30 <SEP> 33 Avec cette disposition, au lieu de relier par des connexions à fiches les groupes d'em- magasinage de chiffre verticalement, comme à la fig. 49B, on les relie de façon décalée quelque peu semblable à celle représentée à la fig. 49D.
De cette façon, au cours de la course de phase 1, les fiches poinçonnées de l0 , 13 , 16 , 19 , 22 , 25 , 28 , 31 et. 34 sont réparties dans les poches 0 à 9 . Afin d'obtenir ce résultat, par exemple pour les fiches poinçonnées de 13 , il est nécessaire de déplacer la connexion à fiches qui, à la fig. 49B, aboutit à la douille 3 PS54 à par tir de la douille 3 PS40 du groupe d'emma gasinage de chiffre de gauche pour relier cette dernière douille à la douille 1 PS54. Ainsi, toutes les fiches poinçonnées d'un 13 sont dirigées vers la poche 1 .
Les fiches poin çonnées d'un 11 devraient être acheminées dans la poche 12 , et la connexion à fiches est par conséquent disposée entre la douille 1 PS40 et la douille 0 PS55, si bien qu'une fiche poinçonnée d'un 11 est. diri gée vers la poche 12 au cours de la course de phase 1 et dans la poche 0 au cours de la course de phase 2.
De façon semblable, la connexion à fiches partant de la douille 2 PS39 est reliée à la douille 0 PS56. Dans ces conditions, les fiches poinçonnées de 10 sont acheminées vers la poche 0 , des fiches poinçonnées de 11 sont acheminées vers la poche 12 et les fiches poinçonnées de 12 sont acheminées vers la poche 11 . Pendant la course de phase 2, les fiches poinçonnées de 11 sont. déposées dans la poche 0 et pendant la course de phase 3, les fiches poinçonnées de 12 sont déposées dans la poche 0 .
Par conséquent, après les trois courses de phases successives, les fiches poinçonnées de 1.0 se trouvent au fond de la poche 0 et les fiches poinçonnées de 12 se trouvent en haut de cette même poche, les fiches poinçonnées de 11 étant rangées entre les deux paquets de fiches précédentes, si bien qu'il n'est pas né cessaire de rassembler horizontalement ces fiches, comme dans le cas du fonctionnement conformément au mode de connexion repré senté à la fig. 49B.
Ainsi qu'on l'expliquera plus loin en rela tion avec un problème phis compliqué, il est possible d'attribuer les fiches aux différentes poches numériquement ou alphabétiquement sans tenir compte de l'ordre numérique ou alphabétique réel de ces .fiches, puisqu'il suf fit d'une connexion à fiches insérée entre l'une des douilles PS40 et l'une des douilles PS54, P855 et PS56 pour déterminer, d'une part, la poche dans laquelle la fiche doit être finalement déposée et, d'autre part, la course de phase au cours de laquelle cette fiche sera déposée dans cette poche.
Pour illustrer ce qu'on vient de dire en référence à la table V, il est possible d'inter vertir les connexions à fiches pour les fiches d'enregistrement poinçonnées de 11 et de 22 , par exemple de façon que les fiches poinçonnées de 22 soient déposées dans la poche 0 au cours de la course de phase 3 et que ,les fiches poinçonnées de 11 soient dé posées dans la poche 4 au cours de la course de phase 1. Ce type de fonctionnement est avantageux lorsque les fiches doivent être triées et rangées selon un certain ordre diffé rent d'un ordre numérique ou alphabétique normal.
La fig. 4911- représente un mode de con nexion destiné à assurer un fonctionnement de triage par groupes illustrant l'emploi du dis tributeur d'unités-dizaines. Le commutateur de phase est mis en position I-lors ou en po sition de phase 1. pour cette opération. Celle-ci est destinée à trier les fiches dans neuf poches conformément à des groupes d'âge. Les âges en dessous d'une année et entre une année et six ans correspondent à la poche 1 .
Les âges de 7 à 12 ans correspondent à la poche 2 , ceux de 13 à 19 ans à la poche 3 , ceux de 20 à 24 ans à la poche 4 , ceux de 25 à 31 ans à la poche 5 , ceux de 32 à 37 ans à la poche 6 , ceux de 38 à' 44 ans à la poche 7 , ceux de 45 à 50 ans à la poche 8 et tous les âges supérieurs à 51 jusqu'à 99 ans correspondent à la poche 9 . L'âge est poin çonne, clans les colonnes 8 et 9 de la fiel-te, et ces colonnes sont reliées aux douilles d'entrée PS12 et PS13 des Us (unités) et des Ds (dizaines) respectivement.
Conformément à la description du fonctionnement du distri buteur d'unités-dizaines, on se rend compte que le nombre poinçonné dans la fiche est emmagasiné dans le distributeur d'unités- dizaines et qu'un circuit est formé jusqu'à l'une des douilles PS35, conformément à la ; valeur poinçonnée dans la fiche.
Par exemple, si la fiche est poinçonnée 09 , iui circuit est formé à partir de la douille C PS33 (fig. 48V et 49E) jusqu'à la douille PS35, immédiatement au-dessous de la désignation , 09 , à la rangée supérieure de la partie du panneau correspondant au distributeur d'uni- tés-dizaines à la fig. 49E.
A la fig. 48V, on peut voir que la douille PS35 qui correspond au nombre 09 se , trouve au coin inférieur gauche. Le relais 9 R188 doit être excité et on peut voir au coin droit supérieur de cette même figure que ce relais est excité chaque fois que les relais d'unités R171 et R174 sont excités sous com mande d'un 9 contenu dans la colonne 9. Tous les contacts 8188A de ce relais R188 sont ainsi fermés. Le chiffre 0 poinçonné dans la colonne 8 de la fiche provoque l'exci tation des relais de dizaines R176 et R178.
Un i circuit est ainsi fermé à partir de la douille C P833 et -à travers les contacts 8175B, 8176A,<I>8177B</I> et 8178A jusqu'à la douille 0 ou 10 du groupe de douilles PS34. A partir de cette douille, ce circuit s'étend vers s le bas et vers la gauche jusqu'à la connexion commune d'extrême gauche, jusqu'aux con tacts 8188A d'extrême gauche et à la. douille 09 P835. La valeur 09 est ainsi emma gasinée dans le distributeur d'unités-dizaines. F .
A la fig. 49E, on remarquera que toutes las douilles doubles correspondant aux valeurs 07 à 12 sont reliées entre elles par des ponts et à la douille 2 PS54 par une connexion à fiches.
Par conséquent, l'impulsion de con trôle émanant de la douille PS22 parvient jusqu'à la douille C PS33 et de là, ainsi qu'on l'a dit en référence à la fig. 48V, à la douille 09 du groupe de douilles PS35 et à la douille 2 PS54. Ainsi qu'on l'a expliqué s à propos d'autres opérations décrites ci- dessus, cette impulsion a pour effet d'assa.- rer que la fiche poinçonnée 09 soit amenée dans la poche 2 .
L'impulsion de contrôle passe tout d'abord; le tube V123 est amorcé, et l'impulsion d'actionnement final est en voyée au travers du même circuit pour pro voquer l'actionnement de l'électro-aimant de triage au cours du cycle suivant celui durant lequel la fiche poinçonnée- 09 a passé en re gard des balais B.
De façon semblable, l'un quelconque des nombres du même groupe, tel que 07, 08 ou 10 à 12, provoque l'achemine ment des fiches caractérisées par ces nombres vers la poche 2 .
D'autres fiches attribuées à d'autres groupes d'âge sont dirigées vers l'une ou l'au tre des poches conformément à ces groupes d'âge. Prenons par exemple l'âge de 45 ans. Dans ce cas, l'impulsion de contrôle passe de la douille PS22 à la douille PS33 et de là à la douille 45 du groupe de douilles PS35 et à la douille 6 du groupe de douilles PS54 pour exciter le relais R110P qui commande l'acheminement de la fiche vers la poche 8 .
Toutes les fiches poinçonnées d'un nom bre correspondant à un âge supérieur à 50 ans sont déposées dans la poche 9 . Il est évident que chacune de ces fiches comprend un poinçonnage d'un chiffre compris entre 5 et 9 dans sa colonne des dizaines en combi naison avec un poinçonnage compris entre 0 et 9 dans sa colonne des unités.
Admettons qu'une fiche soit .poinçonnée d'un 60 . L'im- pulsion se propage à partir de la douille PS22 jusqu'à la douille PS33. Ainsi qu'on le voit à la fig. 48V, cette impulsion passe ensuite à travers les contacts R175B. R176A et R177A pour parvenir à la douille 6 du groupe de douilles PS34. A partir de cette douille,
cette impulsion traverse la connexion à fiches aboutissant à la douille 59 du groupe de douilles PS35 et de là, par l'intermédiaire d'une autre connexion à fiches, à la douille 9 du groupe de douilles<I>PS54</I> à partir de la douille 51 du groupe de douilles PS35. Cette impulsion peut traverser ce circuit du fait que la douille inférieure extrême gauche du groupe de douilles PS35, disposée juste au-dessus du chiffre 70 à la fig. 49r,
est électriquement reliée à la douille supérieure du groupe de douilles PS35 disposée juste au dessous du chiffre 59. Cette disposition des liaisons entre les douilles d'unités et de di zaines permet d'insérer un pont à chacune des extrémités d'une rangée quelconque, ce pont établissant une liaison électrique entre deux paires de douilles du groupe de douilles PS35 correspondant à des chiffres consécu tifs. Par exemple, au-dessous du chiffre 10 (fig. 49E), un pont s'étend verticalement entre la douille 10 PS35 et la douille 09 PS35 pour relier entre elles ces deux douilles.
De cette façon, les 19n'e et 20me, 29me et 30me, 39me et 40me et les 49me et 50me douilles du groupe de douilles PS35 sont reliées entre elles. Par conséquent, la connexion à fiches insérée dans la douille 6 du groupe de douilles PS34 établit en fait une liaison Qom- mime entre cette douille et les douilles 51 à 59 du groupe de douilles PS35.
De façon semblable, et du fait de l'inter connexion des douilles 7 , 8 et 9 du groupe de douilles P. S34 au moyen de ponts, l'une quelconque des valeurs 6 .à 9 poin çonnée dans la colonne des dizaines a pour effet de former un circuit de façon exacte ment semblable à celle précédemment décrite pour acheminer les fiches poinçonnées de nombres compris entre 61 et 99 vers la poche 9 .
Dans le cas considéré, la discontinuité dans la suite des nombres est située entre 50 et 51 et, pour cette raison, il est nécessaire de relier par une connexion à fiches toute la série 51 à 59 , afin que la machine fasse la distinc tion entre 50 et 51 à 59 . Si la discon tinuité avait été placée entre 49 et 50 , il n'aurait pas été nécessaire de relier 51 à 59 par une connexion à fiches.
Au lieu d'une -telle connexion aboutissant à la douille 9 du groupe de douilles PS54 à partir de la douille 51 dit groupe de douilles PS35, il aurait été suffisant d'insérer cette connexion entre la. douille 5 du groupe de douilles PS34 et la douille 9 dit groupe de douilles PS54 et de disposer un pont entre les douilles 5 et 6 du groupe de douilles PS34.
La fig. 49F représente un mode de con nexion prévu pour assurer un fonctionnement selon lequel l'accumulation et le comptage sont tous deux effectués sous commande des fiches au cours d'une .seule course de la ma chine. On désire compter le nombre d'indi vidus masculins conformément - à leur état civil, celui-ci distinguant quatre groupes: 1. célibataires; 2. mariés; 3. divorcés; 4. veufs. En plus du comptage du nombre d'indi vidus de chacun de ces groupes, on désire to taliser les âges dans le but de permettre de déterminer l'âge moyen au cours d'un calcul séparé, effectué sans l'aide de la machine dé crite.
Les fiches sont poinçonnées à la colonne 12 conformément à l'état civil, un poinçon nage à l'une des positions repère 1 à 4 carac térisant chacun des différents états civils, dans l'ordre énuméré ci-dessus. L'âge, qui peut varier de 1 à 99 ans dans le cas considéré, est poinçonné aux colonnes 23 et 24, et ces co lonnes sont reliées aux douilles<I>PS17</I> dési gnées Add PU .
L'âge contenu dans les co lonnes des unités et des dizaines des accumu lateurs 1 et 2 fonctionnant comme un seul accumulateur pour cette opération doit être totalisé dans cet accumulateur qui est relié par l'intermédiaire des douilles<I>PS17</I> du groupe désigné par 1 , c'est-à-dire du groupe de gauche des douilles Add PU . Un nombre de commande caractérisant le groupe entier qu'on est en train de trier est poinçonné aux colonnes 30 à 33. Ce nombre pourrait, par exemple, avoir une signification géographi que et être codifié pour désigner un Etat et un comté, un comté et un village, ou une autre indication géographique similaire.
Ce nombre est utilisé dans le but d'identifier les totaux imprimés sur la feuille de travail. Dans le cas présent, du fait du faible nombre de compteurs utilisés, on admettra qu'une moitié de feuille de travail, telle que celle re présentée à la fig. 42, est suffisante.
Les sélecteurs de recodification 1 à 4 sont reliés par des connexions à fiches à l'émet teur de chiffre El pour être rendus efficaces sous commande de poinçonnage rencontrés aux positions 1 à 4 respectivement. Le commutateur de phase est mis en position Hors on en position de phase 1.
Au cours du premier cycle de la machine, le nombre de groupe contenu dans les co lonnes 30 à 33 est enregistré dans la machine du fait du fonctionnement des circuits d'indi cation de groupe qu'on a déjà décrits. Ce nombre reste emmagasiné dans ces circuits jusqu'à ce que le nombre de groupe ait été imprimé au cours du troisième cycle d'im pression. Il n'est pas nécessaire de décrire ces circuits en détail, étant donné qu'une telle explication a déjà été donnée lors de la des cription des caractéristiques du dispositif d'indication de groupe.
L'âge est enregistré dans les ordres des unités et des dizaines de l'acciunulateur 2 au moyen de circuits qu'on a expliqués lors de la description du fonc tionnement de l'accumulateur pour l'enregis trement à partir des fiches. Il reste à décrire les circuits de comptage.
Le commutateur de phase est mis en posi tion Hors ou en position de phase 1 pour le fonctionnement selon le mode de connexion représenté à la fig. 49F.
Admettons que la première fiche soit poin çonnée d'un 3 désignant un individu mascu lin divorcé. Ceci a pour effet de faire fonc tionner le sélecteur de recodification 3. L'im pulsion de contrôle traverse alors le circuit suivant:
à partir de la source P1 (fig. 48E), cette impulsion traverse les contacts LCR2A, C11, la résistance de 1000 ohms, les contacts 8201C, R58D, 8212D,<I>8201D</I> et aboutit à la douille PS22. Cette douille est reliée par une connexion à fiches à la douille 12 du groupe de douilles<I>PS54</I> (fig. 49F), et à travers le relais 12 8118P, l'impulsion de contrôle parvient au circuit de relais (fig. 48R) du commutateur de phase et, à travers les con tacts 824E1 (fig. 48E),
R57.B et R58B, à la douille PS21 et de là à la douille -' Entrée PS30 (fig. 49F) du compteur des unités. A travers l'électro-aimant de compteur CAl de ce compteur, l'impulsion est transmise à la douille de Sortie PS31, et par l'intermé- diaire d'une connexion à fiches à la douille 1 PS26 (fig. 48E) et à travers les contacts R57B et R58B jusqu'à la douille 2 PS21. A partir de cette douille,
l'impulsion est trans mise à travers les contacts. normalement fermés disposés en série des sélecteurs de re- codification 1 et 2 et à travers les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodi- fication 3 et une connexion à fiches jusqu'à la douille PS30 correspondant au compteur 4, pour passer à travers l'électro-aimant CM de ce compteur, et parvient à la douille de sortie PS30. Cette douille de sortie est reliée par une connexion à fiches à la douille<I> 2 P826,
</I> et l'impulsion passe à travers les contacts R57B pour parvenir finalement à la douille 2 PS27 et par l'intermédiaire d'une con nexion à fiches à la douille SI-I PS28. Ce circuit est continu, et le tube T'123 est amorcé, les relais R57 et .R58 étant excités, comme décrit plus haut, et fermant ainsi tous les contacts<I>R57A</I> et R58A. On remarquera que la connexion à fiches insérée dans la douille 2 PS21;
reliée aux sélecteurs de re- codification 1, 2 et 3, est ainsi directement connectée aux contacts<B>015.</B> Une impulsion est par conséquent émise à partir de la douille 2 PS21 et traverse les contacts normalement fermés des sélecteurs de recodification 1 et 2 et les contacts normalement ouverts du sélec teur 3 pour parvenir à l'électro-aimant CM du compteur 4. A partir de cet électro-aimant, cette impulsion passe à la douille 2 PS26 et de là, à travers les contacts R57A, à la con nexion W2 et à la source négative N1.
On remarquera que dans ce cas l'impulsion de contrôle a traversé tout le circuit des relais de recodification et tous les électro-aimants <B>CH</B> de compteur qui étaient mis en cause, mais que, lorsque le tube V123 a été amorcé et que les relais R57 et R58 sont excités, l'électro-aimant<B>CH</B> de compteur dépendant du compteur d'unités 4 est relié directement aux bornes de la partie -du circuit s'étendant entre les contacts C15 et la connexion W2, à la fig. 48E.
L'électro-aimant CH du compteur d'unités 1 est relié par des connexions à fiches aux douilles PS21 et PS26 et il est également excité en parallèle avec l'électro-aimant du compteur d'unités 4.
Il est évident que puisque le compteur d'imités 1 est directement connecté par des connexions à fiches à la douille 1 PS21, ce compteur est efficace pendant chaque cycle au cours duquel une fiche passe par la ma chine et au cours duquel le circuit de con trôle est ainsi formé. Des circuits semblables peuvent être suivis lorsque l'un ou l'autre des sélecteurs de recodification 1, 2 .ou 4 est excité. La seule différence est alors que les compteurs d'unités 2, 3 ou 5 sont respective ment choisis au lieu du compteur d'unités 4.
On remarquera dans ce cas que le comp teur d'unités i est relié par des connexions à fiches de faon à effectuer ime soustraction, un pont étant inséré entre les douilles PS32 et PS52 de ce compteur. Les douilles<I>PS46</I> et PS47 d'accumulation automatique doivent être reliées par des connexions à fiches pour rendre efficace le mécanisme d'accumulation. A la fin de la course de fiches, la suite de cycles d'impression est automatiquement ou manuellement provoquée de la faon précé demment décrite et les totaux contenus dans les compteurs d'unités 1 à 5 sont imprimés et.
totalisés. Le total combiné contenu. dans les acciunulateurs 1 et 2 est également imprimé, et le nombre de groupe emmagasiné dans les relais d'indication de groupe est imprimé, comme décrit ci-dessus.
Dans le cas considéré, du fait que cinq compteurs seulement sont utilisés et qu'une feuille de travail de cinq colonnes seulement est nécessaire, il n'est pas désirable de laisser la machine accomplir son fonctionnement d'impression normal compre nant 21 cycles d'impression, la plupart de ces cycles devant alors être des cycles de fonc tionnement à vide.
Par conséquent, la butée marginale de droite, représentée à gauche aiux fig. 20 et 21, est amenée dans sa position de colonne 9, de façon que la machine effectue automatiquement l'opération de sommation décalée lorsque le chariot s'échappe à partir de sa position de colonne 8, après que le total contenu dans le compteur d'unités 5 a été imprimé.
La fig. 49r illustre un cas excessivement simple qui a été choisi principalement dans le but d'expliquer comment les compteurs sont reliés par des connexions à fiches pour comp ter ou totaliser le- nombre de fiches et pour l'essai ou le contrôle des circuits de comptage et des sélecteurs de recodification, quant à la continuité de ces circuits. Dans la.
pratique, un ensemble de connexion plus compliqué se rait utilisé, comprenant l'utilisation d'un plus grand nombre de compteurs et pouvant en traîner l'utilisation de presque tous ou de tous les sélecteurs de recodification et de presque tous ou de tous les compteurs, de façon à obtenir la capacité maximum de la machine, comme on avait supposé que c'était le cas lorsqu'on a décrit les opérations d'im pression.
Il est évident que pour utiliser tous les 15 compteurs associés à la batterie d'im pression 1, il .est seulement nécessaire de con necter au moyen de connexions à fiches les sélecteurs .de recodification 5 à 14, de façon que leurs contacts normalement fermés soient reliés entre eux et à ceux des sélecteurs 1 à 4 pour former un circuit série, leurs contacts normalement ouverts étant reliés par des con nexions à fiches aux douilles PS30 attribuées aux compteurs 6 à 15,
toute la rangée supé rieure des douilles PS30 de la fig. 49r étant ainsi utilisée. De façon correspondante, toutes les douilles PS31 seraient reliées par des ponts à l'extrémité de la rangée, ce qui aurait pour effet de relier toutes les douilles PS31 à la douille<I> 2 </I> PS26, la connexion à fiches reliant ce groupe de douilles à cette douille 2 étant insérée dans la dernière douille de droite du groupe de douilles PS31.
Dans le cas présent, du fait qu'un seul compteur -en plus du compteur 1 de total gé néral est utilisé à la fois, il est possible de relier en commun les douilles de sortie PS31.
Afin d'assurer le refus ou l'éjection d'une fiche n'ayant pas été comptée, la machine est connectée de façon que toutes les fiches comp tées soient déposées dans la poche 12 , ce circuit étant formé à partir de la douille P822 (fig. 49E et 49r) par une connexion à fiches aboutissant à la douille 12 PS54 et de là, par l'intermédiaire du circuit de con tacts de relais commandés par le commutateur de phase jusqu'au relais de triage R118P pour aboutir aux contacts 824A.
Lorsque les relais R57 et R58 sont excités du fait de l'amorçage du tube V123, la douille PS22 est directement reliée aux contacts C15 par l'in termédiaire des contacts R58C et la connexion de retour pour les relais de triage R107P à R118P est reliée à la connexion TV2 par l'in termédiaire des contacts R57A, si bien que l'électro-aimant de triage est actionné et que la fiche pour laquelle le circuit a été contrôlé avec succès est déposée dans la poche 12 . Si le circuit n'est pas contrôlé avec succès, la fiche est alors déposée dans la poche de refus pour être inspectée.
La fig. 49G montre le mode de connexion utilisé pour un fonctionnement de la machine comprenant une comparaison. Au cours de la course de phâse 1 de la machine, les fiches doivent être triées dans quatre poches confor mément au sexe et à la couleur, le triage par couleur étant. restreint à un triage entre blancs et individus de races de couleur.
Pen dant la course de phase 2, les mêmes fiches doivent être triées à nouveau conformément à la naissance, les individus étant répartis en trois classes selon qu'ils sont autochtones, étrangers ou que le lieu de leur naissance est inconnu. Au cours de la troisième opération de triage, les fiches sont triées une troisième fois conformément à l'époque de la naissance pour les douze mois de l'année.
On compren dra que bien que le tableau de connexion ne soit pas représenté comme étant disposé pour une opération de comptage, les opérations de triage et de comptage sont effectuées simulta nément, en même temps que des fabulations. Cependant, dans le but de simplifier les expli cations de la partie du problème relative au triage et .de montrer clairement comment la comparaison .peut être effectuée, l'opération est à dessein limitée au triage et les con nexions à fiches nécessaires pour le comptage ne sont pas représentées.
Le sexe est enregistré dans la colonne 18, -w poinçonnage- 1 désignant un individu mascidin- et un poinçonnage 2 un individu féminin. La couleur est enregistrée dans la colonne 19, un poinçonnage 1 désignant un individu blanc et im poinçonnage dans une des positions repère 2 à 6 désignant un individu de couleur.
La colonne 20 relative à la. naissance est poiüçonnée d'un 1 pour dé signer un individu autochtone, d'un 2 pour désigner im individu né à l'étranger et d'un 3 polir désigner un individu dont le lieu de naissance est inconnu. Le mois de naissance est indiqué par un poinçonnage dans une des douze positions repère .de la colonne 21.
Les sélecteurs<B>dé</B> recodification 1 et 2 sont reliés par des- connexions à fiches à l'émet teur de chiffre A de façon que si un poinçon nage 1 est rencontré dans la colonne 18 d'une fiche, le sélecteur de recodification 1 est rendu efficace et que si un poinçonnage 2 est rencontré, le sélecteur de recodifica- tion 2 est également rendu efficace.
Le Sélec teur de -recodification 3 est rendu efficace lorsqu'un poinçonnage 1 est rencontré dans la colonne 19 et les positions 2 à 6 de l'émetteur de chiffre B sont reliées entre elles par des ponts et par une connexion à fiches pour rendre le sélecteur de recodifica- tion 4 efficace lorsqu'in des poinçonnages 2 à 6 se présente dans la colonne 19.
Des moyens sont ainsi fournis pour emmagasiner efficacement ces données dans la machine, pendant de courtes périodes.
Deux des groupes d'emmagasinage de chif fre sont reliés par des connexions à fiches aux colonnes 20 et 21, si bien que les données re latives à la naissance sont enregistrées dans les groupes d'emmagasinage de chiffre d'ex trême gauche (fig. 49G) et que le mois de naissance est enregistré dans le groupe d'em magasinage de chiffre adjacent.
Le fonctionnement de la machine pour ce mode de connexion représenté à la fig. 49G diffère quelque peu -des fonctionnements pré cédemment décrits comprenant l'usage du commutateur de phase. Pendant les courses de phase 1 de la machine, les fiches sont triées de façon préparatoire pour les courses de phase 2, tandis qu'en même- temps, grâce à des connexions à fiches non représentées, une tabulation des fiches conformément à d'autres classifications ou données qu'elles contiennent peut être effectuée. Pendant les courses de phase 1, aucune comparaison n'est effectuée et le commutateur S2 est mis en position de phase 1.
Pendant cette phase, les fiches sont triées dans quatre poches conformément à la classification selon le sexe et la couleur men tionnée ci-dessus. En ce qui concerne les opé rations de triage, la machine fonctionne sensi blement de la même façon que celle précé demment décrite en référence à des modes de fonctionnement dans lesquels le commutateur de phase est utilisé. Les circuits initiaux se ront .décrits plus loin.
Après la ou les courses de phase 1, les quatre groupes de fiches sont à nouveau fournis à la machine au cours de quatre courses séparées, pour effectuer la tabulation des fiches désignées par masculin blanc , masculin de couleur , féminin blanc et féminin de couleur et pour imprimer les totaux de ces fiches sur une ligne de la feuille de travail pour chaque groupe. Pendant cha cune de ces quatre courses, le commutateur de phase est mis dans sa position de phase 2 de façon que les fiches soient triées conformé ment au lieu de naissance.
Pendant cette course également, une tabulation des fiches est effectuée conformément à la classification relative à la phase 1. Etant donné que cha cune de ces courses est relative à un autre nombre de classification, ce nombre est emma gasiné .dans la machine et toutes les fiches subséquentes de cette course sont comparées, en ce qui concerne le nombre de classification qu'elles portent, au nombre de classification emmagasiné dans la machine.
Cette comparai son a pour but de s'assurer, pendant les cour ses successives, que l'opérateur n'a pas commis d'erreur en empilant manuellement les fiches avant le début de chaque course. Par exem ple, pendant la course relative aux fiches poinçonnées masculin blanc , il est possible que "l'opérateur ait accidentellement pris un paquet de fiches relatives à des individus féminin blanc et les ait mélangées avec les fiches des individus masculin blanc .
Pendant les courses de phase 3, les fiches sont triées conformément aux mois de nais sance et préparées pour la course de phase 4 au cours de laquelle une tabulation de ces fiches sera effectuée conformément aux mois de naissance. Pendant les courses de phase 3, la première fiche de chaque course est utilisée pour emmagasiner la classification relative à cette course, et toutes les fiches subséquentes de ces mêmes courses sont comparées, en ce qui concerne leur nombre de classification, au nombre de classification ainsi emmagasiné.
Pendant la course de phase 4, les fiches sont comparées de même façon pour s'assurer que, pour chaque groupe correspondant à un mois, toutes les fiches sont poinçonnées de façon correspondante à ce mois.
Cette suite d'opérations comprend l'im- pression de vingt lignes ou plus, cette im pression étant répartie comme suit: dans la ligne 1 et éventuellement sur plus d'une ligne, les totaux de la phase 1 au cours de laquelle les fiches sont triées conformément au sexe et à la couleur, sous commande de l'ensemble de connexions représenté à la fig. 49B; dans les quatre lignes suivantes, les jeux de totaux pour les quatre groupes masculin blanc , masculin de couleur , .féminin blanc et féminin de couleur sont imprimés;
les trois lignes suivantes contiendront les trois jeux de totaux relatifs aux individus autochtones, nés à l'étranger, et de lieu de naissance inconnu, tandis que les douze lignes suivantes contien nent les jeux de totaux relatifs aux mois de naissance de janvier à décembre. On com prendra que l'ensemble de connexion relatif au comptage peut être identique pour toutes ces courses. Un cas typique est celui dans le quel une tabulation des causes de décès est effectuée, ces causes étant comptées sous com mande d'un code séparé de cause de décès.
On comprendra également que les courses de phase 1 peuvent comprendre un nombre de courses variable, du fait que les fiches pour raient être triées selon une classification arbi traire au cours d'une course de triage précé- dente, ces fiches étant par exemple classées en groupes d'âges (voir fonctionnement selon mode de connexion de la fig. 49E), pour obtenir une tabulation des causes de décès par groupes d'âges.
Le commutateur de phase est seulement changé de position entre ces quatre groupes de tabulation et les courses de triage. \ Admettons que la première fiche soit poin çonnée en 1 aux colonnes 18 et 19, indi quant ainsi un individu masculin blanc . Ces poinçonnages ont pour effet l'excitation des sélecteurs de recodification 1 et 3.
Un cir cuit de contrôle est établi à partir de la douille PS22, jusqu'à la douille CS PS23 (fig. 48R) et aux contacts R210D, R211D, pour aboutir à la douille de comparaison 1 PS24. A partir de cette douille, ce circuit passe par les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 1, les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodifi- cation 3,
la connexion à fiches aboutissant à la douille 4 PS54 d'où l'impulsion de con trôle se propage vers le bas à travers le cir cuit de contacts de relais du commutateur de phase (fig. 48R) et le relais R112P pour aboutir à la connexion commune des relais de triage R107P à R118P et aux contacts R24A, <I>R57B</I> et<I>R58B</I> (fig. 48E) reliés à la douille 1 PS21. A partir de cette douille, une con nexion à fiches transmet cette impulsion à la douille CC PS25 (fig. 48R)
et à travers les contacts R210D et R211D, à la douille 3 PS24 reliée par une autre connexion à fiches à la douille C P839 du second groupe d'em magasinage de chiffre à partir de la gauche.
A partir de cette dernière douille, ce circuit de contrôle aboutit à une des douilles PS40, conformément au mois de naissance que porte cette fiche, et , de là à la douille PS56 (fig. 48R) correspondant à ce mois de nais- sance. Ce même circuit emprunte la connexion (fig. 48R) aboutissant à la connexion com mune des contacts<I>R59B</I> à R80B à partir de la douille E PS38 et, à travers une résis tance de 1000 ohms, il s'étend à la douille CE PS36 et à travers une connexion à fiches à la douille 1 PS26,
aux - contacts R57B (fi-. 48E) à la douille 1 PS27 et par l'intermédiaire d'une connexion à fiches à la douille PS28. Le tube V123 est ainsi amorcé et la fiche poinçonnée de façon correspon dant à un individu masculin blanc est dé posée dans la poche 4 , les relais R57 et R58 étant efficaces pour provoquer l'émission d'une impulsion de triage fournie ali relais de commande de triage 4 R112P.
Si lme.fiche était poinçonnée 2 et 1 , de façon correspondant à lin individu fémi nin blanc , les sélecteurs de recodification 2 et 3 seraient excités au lieu des sélecteurs 1 et 3 et 1m circuit semblable pourrait être suivi. Ce circuit se distinguerait uniquement du précédent en ce qu'il serait fermé à travers les contacts normalement fermés du sélecteur de recodification 1 et les contacts normale ment ouverts des sélecteurs de
recodification 2 et 3 pour aboutir à la douille 3 PS54, de façon que cette fiche- soit déposée dans la poche 3 . Toutes les fiches doivent être poinçonnées de façon correspondante à la date de naissance, ce poinçonnage étant néces saire pour que le circuit de contrôle soit con tinu. Si la date de naissance est omise, le circuit de contrôle n'est pas complètement formé et la fiche est rejetée pour être ins pectée.
Le code de naissance est sans influence sur l'impulsion de contrôle au cours des courses de phase 1, du fait que les organes correspondant à ce côde sont reliés par des connexions à fiches pour commander les douil les 1 , 2 et 3 du groupe de douilles PS56 et la douille de comparaison 2 , qui n'est pas efficace pendant ces courses de phase 1. Les fiches sont donc déposées dans les po ches 1 à 4 conformément au sexe et à la couleur des individus auxquels elles se rap portent..
Pendant cette opération de la ma chine, les fiches sont comptées et une tabula- tion est effectuée conformément à d'antres classifications des fiches, telles que les causes de décès par exemple.
Après que les opérations de phase 1 ont été achevées, le commutateur de phase S2 est amené dans sa position de phase 2 et l'un des groupes de fiches triées au cours des courses de phase 1, par exemple les fiches correspon dant à des individus masculin blanc , est placé dans le magasin polir la course de phase 2.
En amenant le commutateur de phase dans sa position de phase 2 (fig. 48B), on provo que l'excitation dès relais R207 à R210 et CR93, le relais R209 étant excité par l'inter médiaire des contacts R211B. Les commandes de comparaison (fig. 48R) sont ainsi com- mutées, si bien que la douille d'entrée CS PS23 est reliée à la sortie de comparaison 2 PS24 et que l'entrée de comparaison CC PS25 est reliée à la sortie de comparaison 1 PS24.
Pendant le premier cycle de la première course de phase 2, le nombre de groupe de la première fiche de cette course est enregistré dans la machine et il est emmagasiné dans le but d'être comparé aux nombres de groupe de toutes les fiches suivantes de cette même course. Admettons que la tabulation soit tout, d'abord effectuée pour les fiches correspon dant aux individus masculin blanc qui avaient été déposées dans la poche 4 pen dant la course précédente.
Lorsque la pre mière fiche passe en regard des balais B, les sélecteurs de recodification 1 et 3 sont. excités de la même façon qu'auparavant, du fait que le mode de connexion des balais n'a pas été modifié, et les mêmes données contenues dans ces fiches sont enregistrées dans les sélecteurs de chiffre pour exciter les sélecteurs de reco- dification de façon exactement semblable à celle précédemment décrite.
Cependant, dans le cas considéré, les circuits sont légèrement différents du fait que les entrées CS et CC (fig. 48R) ont été commutées, à partir des douilles 1 et 3 du groupe de douilles PS24 aux douilles 2 et 1 de ce même groupe :de douilles respectivement.
On avait suivi le circuit initial à partir de la douille PS22 en passant par la douille CS PS23 et jusqu'à la douille 1 PS24. Tic circuit aboutit maintenant à la, douille de comparaison 2 PS24 et de là à la douille C PS39 du premier groupe d'emmagasinage de chiffre à partir de la gauche (fig. 49C), ce groupe servant à emmagasiner le code de lieu de naissance. Le circuit sort du tableau de connexion à l'une des douilles PS40, confor mément au lieu de naissance. Admettons par exemple que la fiche considérée concerne un individu autochtone et soit poinçonnée d'un 1 dans sa colonne 20.
Le circuit aboutit alors à la douille 1 du groupe de douilles PS56. Etant donné que le relais R209 a été excité du fait qu'on a amené le commutateur de phase dans sa position de phase 2, le cir cuit s'étend vers le bas à travers les contacts 8209B, 8207A,<I>8204B,</I> 8203A et l'enroule ment du relais 8115P, ce qui a pour effet de diriger cette fiche vers la poche 1 . Le cir cuit de triage retourne à la douille CC PS25 comme auparavant.
Cependant, dans ce cas, ce circuit passe à travers les contacts 8210C et 8211D pour aboutir à la douille de compa raison 1 PS24. Le circuit de contrôle s'étend ensuite à, travers les contacts norma lement ouverts des sélecteurs de recodifica- tion 1 et 3 jusqu'à la douille 4 du groupe de douilles PS54, et vers le bas à travers les contacts 8208A. La douille 9 du groupe de douilles PS54 sera considérée pour l'instant comme étant la douille 4 .
Le circuit de con trôle passe ensuite à travers les contacts 8205B, R5B, à travers le relais de comparai son R74P, qui sera représenté pour l'instant par le relais de comparaison 9 R69P, et aboutit à la douille PS36. Le reste de ces cir cuits est le même qu'auparavant.
L'excitation du relais 874P, qui est un relais à verrouillage, provoque le verrouil lage de ses contacts qui restent en position attirée pendant toutes les opérations d'avance de fiche subséquentes de la première course de phase 2. Le relais R74P n'est pas repré senté, mais il est semblable au relais R69P et comprend des contacts<I>R74B</I> semblables aux contacts R69B.
Les relais R4P et R5P font partie de l'en semble de relais de commande d'indication de groupe de première fiche. On se rappellera que ces relais sont verrouillés en position actionnée après que la première fiche a passé par la machine et qu'ils restent en position verrouillée jusqu'à ce qu'une série de cycles d'impression soit effectuée. Les relais R4P et R5P ont pour effet de relier les douilles PS54 aux contacts<I>R69B</I> à 880B des relais R69P à 880P.
Parmi les relais de ce groupe, seul le relais R74P a été excité, si bien que seule la douille 4 du groupe de douilles PS54 .est reliée à la douille CE PS36 par l'intermé diaire des contacts<I>R74B</I> et de la résistance de 1000 ohms et qu'aucun des relais 869P à 880P ne peut plus être excité.
Pendant le premier cycle de la première course de phase 2, la première fiche est triée dans une poche conformément au lieu de nais sance, sous commande des connexions aboutis sant aux douilles PS56 comprises dans le cir cuit de contrôle suivi ci-dessus, ce circuit étant rendu efficace lorsque les relais R57 et R58 sont excités pour commuter les circuits. Pen dant le cycle d'avance de la seconde fiche, si cette fiche est poinçonnée pour indiquer un individu masculin blanc , ainsi que cela de vrait être le cas,
la douille 4 du groupe de douilles PS54 et la douille 1 du groupe de douilles PS55 sont à nouveau déterminantes et le circuit de contrôle peut être suivi exac tement comme auparavant, à l'exception que, au lieu de passer par l'enroulement du relais 874P, il passe maintenant à travers les con tacts 84A ou R5A <I>et R74B</I> et à travers la ré sistance de 1000 ohms pour aboutir à la douille CE PS36. La continuité de ce cir cuit est assurée par les contacts 84A,
R77B et par la résistance de 1000 ohms qui rem place l'enroulement du relais R74P. Le cir cuit ainsi suivi et l'excitation subséquente des relais R57 et R58 ont pour effet de diriger la fiche vers la poche 1 , conformément au lieu de naissance.
S'il se produisait que la seconde fiche ou qu'une autre fiche suivante quelcon que de cette course ne soit pas poinçonnée pour indiquer un individu masculin blanc , c'est-à-dire d'un 1 dans ses deux colonnes 18 et 19, mais qu'elle soit par exemple poin çonnée d'un 2 dans sa colonne 18,
les sélec teurs de recodification 2 et 3 seraient alors excités et l'impulsion de contrôle tenterait de passer à travers les contacts normalement fermés du sélecteur de reeodification 1 et les contacts normalement ouverts des sélecteurs de recodification 2 et 3 pour aboutir à la douille 3 du groupe de douilles P854 et vers le bas à travers le circuit des contacts R4A et R5A. Cependant, cette impulsion ne pourrait se propager plus loin du fait que seul le relais R74P est excité et que, dans ce eas,
le circuit devrait être fermé par les con tacts R75B qui cependant ne sont pas fermés. Par conséquent, le circuit de contrôle est dis continu aux contacts R75B, et la fiche est re jetée. Il en est de-même si la fiche est poin çonnée d'un 2 , 3 , 4 , 5 ou 6 , indi quant ainsi un individu de couleur.
Le sélec teur de recodification 4 est alors excité et l'impulsion de contrôle est arrêtée aux con tacts ouverts R77B ou R76B, selon que la fiche porte une indication correspondant à un individu masculin ou à un individu fémi nin. Le circuit de contrôle n'est continu que lorsque la fiche porte une indication corres pondant à un individu masculin blanc .
*A la fin de la première course de phase 2, une série de cycles d'impression de totaux a lieu. Ces cycles se déroulent comme décrit ci- dessus et les circuits de commande d'indica- .tion de groupe et les relais de comparaison R69P à R80P sont remis en place. On remar quera à la fig. 48E que les enroulements de déclenchement de tous ces relais sont bran chés en parallèle, si bien que tous les enroule ments de déclenchement R2T à<I>R96T</I> sont excités simultanément.
Pendant la seconde course de phase 2, l'un des groupes de fiches poinçonnées 2 et 1 pour indiquer des individus féminin blanc , 1 et 2 à 6 pour indiquer des individus masculin de couleur ou 2 et 2 à 6 pour indiquer des individus fémi nin de couleur passe par la machine dont le fonctionnement est répété,
sauf qu'un relais différent du groupe de relais R69P à R80P est excité sous commande de la première fiche de chaque course pour établir un modèle de comparaison pour toutes les fiches suivantes de chacune des courses de phase 2. Pendant les courses de phase 2, les fiches sont comptées et une tabulation de ces fiches est effectuée sur la base de la classification par sexe et par couleur, au moyen d'un circuit de comptage séparé qui peut être semblable à celui représenté à la fig. 49F, établi par. exemple conformément à des causes de décès..
Le commutateur de phase est maintenant amené dans sa position de phase 3, et les fiches poinçonnées en 1 dans leur colonne 20, indiquant des individus autochtones, sont avancées dans la machine pendant la pre mière course de phase 3. Ces fiches sont les mêmes que celles qui ont déjà passé par la machine, mais elles ont maintenant été reclas sées en trois groupes, conformément aux lieux de naissance, et on désire effectuer trois ta- bulations séparées, une tabulation pour cha cun de ces trois groupes.
Comme auparavant, cette tabulation peut êtré basée sur des causes de décès. La mise en place du commutateur de phase dans sa position de phase 3 a pour effet d'exciter ,les relais R204, R205, R206, R209, R211 et CR94 (fig. 48B).
Les enroule ments des relais de comparaison R69P àR80P sont ainsi commutés et reliés aux douilles PS55 (fig. 48R), si bien que la comparaison sera effectuée par l'intermédiaire des douilles PS55 au lieu des douilles PS54. Le relais R211 (fig. 48R) commute les entrées de com paraison, les douilles CS PS23 et la douille CC PS25 aux douilles de sortie 2 et 3 du groupe de douilles PS24,
si bien que la connexion à fiches aboutissant à la douille de sortie 1 du groupe de douilles PS24 est rendue inopérante. Du fait qu'aucun change ment n'a été effectué dans le mode de con nexion par connexion à fiches des balais, les sélecteurs- de recodification et les groupes d'emmagasinage de chiffre sont efficaces comme auparavant. Cependant, le mode de connexion par connexion à fiches pour la répartition dans quatre poches effectuée au cours des courses de phase 1 n'a plus de si gnification.
Par conséquent, les impulsions fournies à travers les sélecteurs de recodifica- tion sont mises hors circuit pour les courses de phase 3 par l'ouverture des contacts 8211D (fig. 48R). .
La fermeture de contacts<I>8206B</I> et R204-1 (fig. 48R) a pour effet de relier les relais de commande de triage aux douilles PS56 pour permettre de trier les fiches conformément au mois de naissance au cours des courses de phase 3 :de la machine. La comparaison est rendue efficace sous commande du groupe d'emmagasinage de chiffre de gauche qui emmagasine les valeurs 1, 2 et 3 du code de lieu de naissance.
Le premier circuit de contrôle, dans le cas considéré, et en adiuettant que la fiche soit poinçonnée d'un 1 pour janvier et d'un 2 indiquant un individu né à l'étranger, peut être suivi comme suit: à partir de la douille PS22, ce circuit passe par 1a douille CS PS23 (fig. 48R), par les contacts 8211C, par la douille de comparaison 3 du groupe de douilles PS24 pour aboutir à la douille C PS39 du second groupe d'emmagasinage de chiffre à partir de la gauche (fig. 49G).
A partir de là, le circuit de contrôle s'étend jus qu'à la douille 1 du groupe de douilles PS40 et à la douille 1 du groupe de douilles PS56, passe à travers les contacts 8206B, 8208B, 8204A et 8203B (fig. 48R) et à tra vers Venroulément du relais de commande de triage 1 8115P pour parvenir à la con nexion commune des contacts R248 (fig. 48E) et R57B, R58B à travers lesquels il s'étend jusqu'à la douille 1 PS21 et à la douille CC PS25 (fig. 48R).
Ce même circuit de contrôle s'étend ensuite à travers les contacts R210D et 8211C jusqu'à la douille de com paraison 2 du groupe de douilles PS24 et à la douille C PS39 du premier groupe d'em magasinage,de chiffre à partir de la gauche pour parvenir ensuite à la douille 2 du groupe de douilles PS40 au cas où la fiche est poinçonnée d'un 2 pour indiquer un individu né à l'étranger.
A partir de cette dernière douille, le circuit de contrôle s'étend jusqu'à la douille 2 .du groupe de douilles PS55 et, à travers les contacts 8209B, 8205A et R4B (fig. 48R) jusqu'au relais de compa raison 2 R76P et à la douille CE PS36. Ce même circuit parvient ensuite à la douille 1 P826 (fig. 48E) et, à travers les contacts 857B, à la douille 1 P827 et à la douille P828 ainsi qu'au tube V123.
Ce tube est ainsi amorcé pour provoquer ensuite l'excitation du relais<I>R77P</I> et de l'électro-aimant de com mande de triage SC112 et pour diriger la fiche portant une indication correspondant au mois de janvier vers la poche 1 . Les fiches sui vantes de la course de phase 3 devraient.
toïi- tes être poinçonnées d'un 2 pour indiquer. un individu né à l'étranger et, si cela est le cas, ces fiches permettent à un circuit de contrôle d'être établi à travers les - contacts <I>876B</I> et la résistance de 1000 ohms, comme.
décrit ci-dessus. -Cependant, si l'opérateur dis posait des fiches poinçonnées de 3 derrière, le paquet de fiches poinçonnées 2 , les fiches poinçonnées 3 ne seraient pas capables d'établir un circuit passant par l'enroulement d'un des relâis de comparaison R69P à R80P ou par les contacts<I>R69B</I> à R80B, et toute fiche de ce genre serait rejetée.
Ainsi qu'on l'a dit en décrivant le fonctionnement con forme au mode de connexion représenté à la fig. 49F, les fiches sont rejetées sans être comptées, du fait que les circuits de comptage sont toujours disposés en série avec les cir cuits de triage et de comparaison pour l'opé ration de contrôle, si bien que ces trois cir cuits doivent être continus avant qu'une im pulsion d'actionnement positive puisse être fournie à l'une quelconque des commandes.
Il convient ici d'expliquer que les relais de comparaison R69P à RSOP, comme les autres relais, sont excités par des impulsions d'actionnement positives qui sont efficaces lorsque les relais R57 et R58 sont excités, du fait qu'un circuit :de contrôle a été trouvé continu.
Les impulsions d'actionnement posi tives pour les relais de comparaison partent de la douille 1 PS21 (fig. 48E et 49G) pour aller à la douille CC PS25 et, à travers les contacts 8210D et 8211C (fig. 48R), à la douille de comparaison 2 .du groupe de douilles PS24, à la douille C PS39 du pre mier groupe d'emmagasinage de chiffre à partir de la gauche (fig. 49G), à la douille 2 PS40, à la douille 1 PS55, au circuit de re lais du commutateur de phase, au relais de comparaison R77P,
à la douille CE P836 et à la douille 1 PS26.
Ai cas où l'on désire effectuer un comp tage pendant cette opération, ainsi que cela serait normalement toujours le cas, un cir cuit de comptage séparé semblable au circuit représenté à la fig. 49F peut être connecté par des connexions à fiches aux douilles 1 et 2 des groupes de douilles PS21, PS26 et PS27 de la fig. 49G et,
au lieu de connecter les douilles 1 des groupes de douilles P821 et PS36 comme à la fig. 49G, les connexions à fiches reliant ces douilles de même que celle reliant la douille 1 PS27 sont déplacées et sont insérées dans les douilles 3 des groupes de douilles PS21, <I>PS26</I> et PS27. Cette dispo sition permet .à la machine d'effectuer un comptage conformément à des données dési rées quelconques des fiches d'enregistrement,
sans interférer avec les circuits de comparai son et de triage et sans que ce comptage soit gêné par la comparaison ou par le triage.
La connexion à fiches- insérée entre les douilles PS27 et PS28 est uniquement desti née à compléter le circuit de contrôle série pour le faire parvenir jusqu'au tube V123. Une fois que ce circuit a été trouvé continu et que les relais R57 et R58 ont été excités, cette connexion à fiches est sans effet. On se rend compte que des fonctions désirées quelconques peuvent, par conséquent, être connectées par des connexions à fiches aux douilles<I>PS21</I> et PS26 pour former autant de circuits série-paraflèle qu'on le désire.
Une condition importante qu'on doit se rappeler est qu'un circuit de commande série quelcon que inséré dans l'ensemble de connexion doit être connecté par des connexions à fiches entre une paire de douilles<I>PS21</I> et PS26 su périeure et inférieure désignée par l'un des petits chiffres 1 à 10 .
Ainsi, les deux extrémités d'un circuit série quelconque pas sant par un circuit de sélecteur de recodifi- cation pour aboutir à un électro-aimant de compteur d'unités doit toujours être relié par des connexions . à fiches. à des douilles. <I>PS21</I> et PS26 correspondantes, à partir des douilles PS21, PS26 et<I>PS27</I> désignées par 1 (fig. 48E).
Si les deux modes de connexion représentés aux fig. 49F et 49G sont combinés, les douilles 1 , 2 et 3 des groupes de douilles<I>PS21</I> et PS26 doivent être utilisées et les douilles 3 .du groupe de douilles PS27 doivent être reliées au lieu des douilles 1 ou 2 de ce groupe. Si d'autres circuits sont encore ajoutés, la dernière douille PS27 cor respondant à la dernière douille de droite qui est connectée à un circuit parallèle doit être utilisée pour assurer la continuité du circuit. de contrôle.
En d'autres termes, à mesure que le nombre de circuits de commande est aug menté, l'extrémité de gauche de la connexion à fiches insérée dans la douille PS28 doit être déplacée vers la droite de façon à correspon dre à la dernière position de comptage re liée par connexions à fiches. La machine a une capacité de dix sorties de commande PS21 et de dix entrées PS26, mais il faut cependant se rappeler. que chaque circuit de sortie peut comprendre des dériva tions capables de commander sélectivement plusieurs compteurs d'unités. Par exemple, à la fig. 49F, deux sorties de commande PS21 et deux entrées PS26 commandent le fonc tionnement :de cinq compteurs d'unités.
On voit donc que les douilles PS21 et PS26 sont. principalement des points terminaiLx de cir cuits et que le nombre de ces points termi naux n'a pas de relation numérique directe avec le nombre effectif de circuits pouvant. étre commandés par les poinçonnages des fiches.
Après que les courses de phase 3 sont ache vées et que les fiches triées conformément au lieu de naissance au cours des courses de phase 2 ont été soiunises à une opération de tabulation, le commutateur S2 peut être amené en position de phase 4 et les fiches qui ont été triées au cours de la course de phase 3 conformément au mois de naissance sont à nouveau avancées dans la machine. Les relais CR95 et R212 sont excités et 1e relais R206 est également excité par l'intermédiaire des contacts $212B lorsque le commutateur de phase est amené en position de phase 4.
Du fait que les contacts 8206r1 sont fermés et qu'aucun des autres relais représentés aux fig. 48B et 481, associés au commutateur de phase, ne sont excités, le second groupe d'em magasinage de chiffre à partir de la gauche (fig. 49G) est directement relié aux relais de comparaison R69P à R80P. Ces relais peuvent ainsi fonctionner au cours de cette phase 4, de façon exactement semblable à celle décrite en référence aux autres courses. Du fait que les relais R210 et R27.1 ne sont plus excités,
les douilles d'entrée CS et CC PS23 et <I>PS25</I> sont à nouveau reliées aux sorties de comparaison 1 et 3 .
Si la première fiche est poinçonnée d'un 1 caractérisant un individu né au mois de janvier, l'impulsion de contrôle peut être suivie à partir de la source positive P1 (fig. 48E) et â travers les contacts LCRLI et C11, la résistance de 1000 ohms, les contacts 8201C, R58D, 8212C et 8212E (fig. 48R) jusqu'au relais de commande de triage 12 87.18P. Après avoir traversé ce relais, cette impulsion passe à travers les contacts R24A, <I>857B</I> et<I>R58B</I> (fig. 48E) pour aboutir à la douille 1 PS21 et à la douille CC PS25 (fig. 48R) et,
à travers les contacts 8210D et 8211D, à la douille de comparaison 3 P824 et à la douille C PS39 du second groupe d'emmagasinage de chiffre à partir de la gauche. De là, cette impulsion se propage jus qu'à la douille 1 du groupe de douilles PS40 (fig. 49G) et jusqu'à la douille PS56 (fig. 48R); elle passe ensuite à travers les contacts 8206B,<I>8208B,</I> 8205B et R4B, tra verse le relais de comparaison 1 <I>R77P</I> pour aboutir à la douille CE PS36 et à la douille 1 PS26 (fig. 48E).
Cette même impulsion traverse finalement les contacts<I>R57B</I> pour parvenir à la douille 1 PS27 et à la douille PS28.
Les relais R57 et R58 sont ainsi excités et convertissent le circuit de contrôle série en un groupe de circuits parallèles comprenant le relais 8118P de la poche 12 et -le relais de comparaison 1 R77P. Ces circuits sont prêts à recevoir des impulsions d'actionne- ment, si bien que la fiche sera déposée dans la poche 12 et que le modèle de comparaison pour les autres fiches relatives au mois de janvier sera établi.
Si le circuit de contrôle n'est pas fermé pour une raison ou pour une autre, la fiche est rejetée pour être inspectée et le relais de comparaison n'est pas excité, comme dans le cas des courses de phase 2 et 3. De façon semblable, les autres fiches triées par mois sont avancées dans la machine, une série de cycles d'impression étant intercalée à la fin de chaque groupe de mois pour impri mer dans douze lignes sur 1a feuille de travail la distribution des totaux, conformément à_ un circuit de comptage quelconque qui peut être relié par des connexions à fiches à une ou à plusieurs des entrées et des sorties PS26 et PS22.
Au cours des courses successives compre nant des opérations -de comparaison, il est dé sirable d'imprimer dans les colonnes de Triage (fig. 42) le nombre de groupe ou le nombre de classe des différentes courses.
Par exemple, au cours des courses .de phase 2 pendant lesquelles les fiches relatives à des individus masculin blanc , féminin. blanc , masculin de couleur et féminin de cou leur sont sotunises à une opération de tabula- tion, on désire que le nombre de classe 1-1 pour les individus masculin blanc soit im primé sur la feuille de travail, en alignement horizontal avec les totaux correspondant à ce nombre de classe. Lorsqit'ime série de courses de phase telle que celle qu'on vient de décrire est effectuée, le nombre de groupe changeant à chaque phase, il est désirable qu'on puisse changer périodiquement l'impression du nom bre de groupe.
Pour obtenir ce résultat, la machine comprend un groupe de commande disposé pour être connecté par des connexions à fiches et désigné par Classe GI pour classe d'indication de groupe aux fig. 41 et 48R.
Les chiffres 1 , 2 et 3 disposés au- dessus .des douilles PS58, PS59 et PS60 se rapportent aux courses de phase pendant les quelles ces douilles, représentées à la fig. 48R, sont utilisées. Pour simplifier la description, les balais de fiches sont représentés à la fig. 49G comme étant reliés directement, par des connexions à fiches, aux sélecteurs de re- codification, si bien qu'aucune disposition n'est prévue pour l'enregistrement d'un nom bre !de groupe.
Selon ce mode de connexion, le nombre de groupe ou la colonne de Triage de la feuille de travail reste vierge. 11 est évident que cela n'est pas désirable et qu'il faut pré voir des moyens permettant d'identifier les rangées de totaux, particulièrement du fait que la signification de ceux-ci change au cours d'une ou de plusieurs courses succes sives associées aux -différentes phases de fonc tionnement.
Pour permettre l'impression du nombre de groupe et pour .effectuer un chan gement automatique du nombre de groupe correspondant aux courses de phase, les douilles PS1 pour les colonnes 18 et 19 (fig. 49B) sont reliées aux deux douilles PS58 d'extrême droite des fig. 41 et 48R. La douille PS1 pour la colonne 20 est reliée à la douille PS59 d'extrême droite, et la douille PS1 pour la colonne 21 est reliée à la douille PS60 d'extrême droite.
Les douilles 3 et 4 du groupe de douilles P861 sont reliées respecti vement aux douilles .des unités et des dizaines du groupe de douilles P814 GI PU d'exci tation d'indication de groupe. Les mêmes douilles PS58, PS59 et PS60 sont également reliées aux sélecteurs de recodification 1 et 3 et à la douille PS16 -des deux groupes d'em magasinage de chiffre de gauche à la fig. 49G.
Grâce à cette disposition, les impulsions fournies à partir des balais ne rendent pas seulement efficaces les sélecteurs de recodi- fication, de la façon précédemment décrite, mais elles commandent également les ordres des unités et des dizaines de la section d'indi cation de groupe.
Pendant la course de phase 1, lorsque les totaux sont imprimés confor mément à un triage précédemment effectué et non décrit ci-dessus, le nombre de groupe n'est pas imprimé, puisque les contacts CR39A (fig. 48R) restent ouverts, le relais CR93 (fig. 48B) n'étant excité que lorsque le commutateur S2 est amené en position -de phase 2.
Pendant les courses de phase 2,- le relais CR93 reste continuellement excité et, pendant qu'une tabulation des fiches est effectuée conformément aux classifications obtenues pendant les courses de phase 1, le nombre de groupe 1-1 -de la première fiche de chaque course est enregistré à l'ordre des unités de la section d'indication de groupe à l'aide de circuits partant des douilles de ba lais PS1 correspondant aux colonnes 18 et 19.
A partir de ces douilles, ces circuits s'étendent au travers des contacts CR93A, <I>CR94B</I> et CR95B jusqu'aux douilles 3 et 4 du groupe de douilles PS61 et aux douilles PS14 des ordres des unités et des dizaines. A partir de ces douilles, ces circuits aboutissent aux tubes des ordres des unités et des dizaines V51 et V58 qui sont amorcés séparément et selon des combinaisons conformément aux poinçonnages présents dans les colonnes 18 et 19.
Par exemple, si l'opérateur commence la course de phase 2 avec des fiches correspon dant à des individus masculin blanc , la sec tion d'indication de groupe emmagasine la valeur 1 dans les ordres des unités et des dizaines et, lorsque .les totaux sont imprimés, ce nombre apparaît dans la colonne de triage des sections de la feuille de travail pour iden tifier la classe de triage à laquelle se rapporte la ligne de totaux.
Lorsque le commutateur de phase est amené en position de phase 3 et en position de phase 4, les relais CR94 et CR95 sont excités et ferment leurs contacts CR94A et <I>CR95A</I> pour provoquer l'impression des nom bres de groupe relatifs au lieu de naissance et au mois de naissance, pendant ces courses de phase 3 et 4 respectivement.
La suite d'opérations comprenant le comptage, la comparaison, l'impression du nombre de groupe et le triage, décrites en référence aux fig. 49G et 49F combinées, et en utilisant le dispositif de classe d'indication de groupe de la fig. 48R, peut être résumée dans la table suivante: <I>Table VI:</I> <I>Suite (le</I> comptage <I>phase 1.</I>
1. Tabulation des fiches conformément à un triage préalable. Z. Nouveau triage des fiches pour le comp tage au cours de la phase 2.
3. Pas d'impression de nombre de groupe. 4. Pas de comparaison.
5. Une ou plusieurs courses.
<I>Suite de comptage phase</I> ,2.
1. Tabulation conformément au triage effec tué au cours de la phase 1.
2. Nouveau triage des fiches pour le comp tage au cours de la phase 3.
3. Impression du nombre de groupe de la phase 1.
4. Comparaison du nombre de groupe de la phase 1.
5. Quatre courses - quatre nombres de groupe différents. <I>Suite de comptage phase 3.</I>
1. Tabulation conformément au triage effec tué au cours .de la phase 2.
2. Nouveau triage pour le comptage au cours de la phase 4.
3. Impression du nombre de groupe de la phase 2.
4. Comparaison du nombre de groupe de la phase 2.
5. Trois courses - trois nombres de groupe différents.
<I>Suite de</I> comptage <I>phase</I> j.
1. Tabulation conformément au triage effec tué au cours de la phase 3.
2. Triage dans douze poches.
3. Impression du nombre de groupe de la phase 3.
4. Comparaison du nombre de groupe de la phase 3.
5. Douze courses - douze nombres de groupe différents. La fig. 49H représente un mode de con nexion destiné à détecter des erreurs de poin çonnage des fiches de nature à permettre à la machine de fonctionner correctement pendant une opération de comptage, mais à produire des résultats statistiques faux, du fait que ces résultats sont contraires à l'expérience, par exemple qu'ils sont médicalement impos- sibles. L'opération peut comprendre la tabu- lation de fiches conformément aux causes de décès,
et une fiche peut être poinçonnée pour indiquer que le décès est dû à -aie grossesse. l'âge de la mère indiqué sur la fiche étant su périeur à 59 ou inférieur à 10 ans. L'opéra teur de la machine à poinçonner pourrait avoir poinçonné l'âge de 49 ans comme 69 ans ou l'âge de 21 ans comme 01 par exemple.
Lorsque la fiche passe par la machine pour une opération de comptage, les circuits de comptage pourraient être mis en place cor rectement du fait que la fiche est effective ment poinçonnée .dans les colonnes et aux po sitions repère qui devraient être poinçonnées, mais les faits indiqués par les poinçonnages sont contraires à l'expérience médicale, bien qu'il y ait une possibilité très faible pour qu'ils puissent se produire.
Le mode de con nexion représenté à la fig. 49H comprend des moyens :destinés à séparer des fiches dans le but de les vérifier avant qu'elles aient été comptées ou triées préalablement à l'opération suivante devant être effectuée sur les mêmes fiches. L'âge est enregistré dans les colonnes 19 et 20, mais, dans le but considéré, seul lé chiffre des dizaines présente un intérêt puis que le domaine des nombres faux est infé rieur à 10 ou supérieur à 59 et qu'un des chif- frac 1 à 5 sera toujours poinçonné dans la fiche si celui-ci est poinçonné correctement.
Un autre type d'erreur est susceptible de se produire lorsque les fiches comprennent une indication de l'Etat de résidence. Confor mément au code statistique normal, les Etats peuvent être numérotés par ordre alphabéti que, de 1 à 48 par exemple pour les Etats- Unis d'Amérique, ou de 1 à 25 pour les can tons et demi-cantons de Suisse.
Si une fiche était poinçonnée du chiffre 69, ce chiffre constituerait une erreur dans le poinçonnage de l'Etat. Ce type d'erreur peut être détecté, de même que le premier type d'erreur men tionné ci-dessus, et ces erreurs sont choisies comme exemples simples dans le but de mon trer comment plusieurs erreurs de différents types, constituant des données incompatibles avec les faits, peuvent être détectées. Le sé lecteur de recodification 1 est relié par des connexions à fiches pour étre excité chaque fois qu'un poinçonnage se présente à l'une des positions repère 1 à 5 de la colonne 19.
Les sélecteurs de recodification 2 et 3 sont reliés par des connexions à fiches, de façon que le ,sélecteur de recodification 2 soit à nouveau excité lorsque l'un quelconque des chiffres 0 à 3 est poinçonné dans la co lonne 21, dans laquelle les dizaines des chif fres correspondant aux Etats sont enregis trées. Le sélecteur de recodification 4 est actionné sous l'effet d'une valeur 0 à 8 poinçonnée dans la colonne 22. Le commuta teur S2 est mis en place dans sa position Hors ou en position de phase 1.
D'après ce mode de connexion, il est évi dent que si l'âge poinçonné de la mère est compris entre 10 et 59 ans, le sélecteur de recodification 1 est excité, mais que si cet âge est poinçonné comme 60 ou supérieur à 60 ou comme 0 à 9, le sélecteur de recodification 1 n'est pas excité.
Le sélecteur de recodification 2 est excité lorsqu'un poinçonnage se présente dan> l'une des positions 0 à 3 de la colonne des di zaine des Etats ou colonne 21. Le sélecteur de recodification 3 est excité chaque fois qu'un 4 se présente dans la colonne 21, et le sé lecteur de recodificaiion 4 est excité chaque fois que l'un des chiffres 0 à 8 est poin çonné dans la colonne 22.
Si l'Etat des Etats-Unis d'Amérique est représenté par un poinçonnage 48 , les sé lecteurs -de recodification 3 et 4 sont excités et l'impulsion de contrôle est émise à partir de la douille PS22. En admettant que l'âge poinçonné soit correct, cette impulsion passe à travers les contacts normalement ouverts du sélecteur 1, les contacts normalement fermés du sélecteur 2, les contacts normalement ouverts des sélecteurs 3 et 4 pour aboutir à la douille 12 du groupe de douilles PS54, par l'intermédiaire de la connexion à fiches à dérivation,
provoquant ainsi l'excitation du relais 12 R118P. Si la fiche était poin çonnée 39 , le sélecteur 2 serait excité et les sélecteurs 3 et 4 ne seraient pas excités et l'impulsion de contrôle passerait à travers les contacts normalement ouverts des sélecteurs 1 et 2 et la même connexion à fiches à dériva tion pour aboutir à la douille 12 du groupe de douilles PS54.
Pour obtenir ce résultat, il est nécessaire d'utiliser une connexion à fiches à dérivation, c'est-à-dire une connexion comprenant trois fiches reliées entre elles par deux câbles de connexion et destinées à relier entre elles trois douilles. Pour éviter d'utiliser de telles .con nexions à fiches à dérivation, autant que faire se peut, le tableau de connexion comprend des douilles PS41 qiii permettent d'établir une triple connexion en utilisant .trois con nexions à fiches ordinaires. Les opérations dé crites ci-dessous illustreront l'utilisation de ces douilles PS41.
Si l'Etat était poinçonné 49 , le sélecteur de recodification 3 serait excité et le sélecteur de recodification 4 ne- serait pas excité, si bien que le circuit aboutissant au tube V123 ne se rait pas continu et que la fiche poinçonnée 49 serait rejetée. Il en serait de même si l'âge de la mère était indiqué comme étant inférieur ou égal à 9 ans ou égal ou supérieur à 60 ans, puisque, .dans ce cas, le sélecteur de recodification 1 ne serait pas excité et que le circuit de contrôle resterait interrompu.
L'exemple représenté à la fig. 49H a été simplifié à dessein pour montrer comment plusieurs facteurs peuvent être édités simul tanément et comment ceux de ces facteurs qui sont incompatibles avec l'expérience peuvent être refusés pour être examinés. En fait, dans le fonctionnement conforme au mode de con nexion de la fig. 49H il est désirable de dis poser d'un troisième contrôle, afin de s'assu rer que le sexe a été poinçonné correctement.
Par exemple, si l'opérateur de la machine à poinçonner a par erreur poinçonné une fiche pour indiquer un individu masculin, cette fiche serait évidemment incompatible avec une opération de triage ou de tabulation, confor mément aux causes de décès d'individus fé- minins. Dans ce cas, le sélecteur 5 pourrait être connecté par des connexions à fiches, de façon à réagir à la désignation codifiée que doit porter la fiche, correspondant à un indi- v idu féminin,
et ses contacts normalement ouverts peuvent être disposés en série avec les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 1 et les contacts normale ment ouverts du sélecteur de recodification 2, si bien que les deux sélecteurs de recodifica- tion 1 et 5 doivent être excités avant que le circuit de contrôle puisse être établi.
Il est par conséquent possible de relier un grand nombre de contacts des sélecteurs de recodification selon des combinaisons série- parallèle, de façon qu'un circuit série de con trôle doive être établi sous commande de cha que fiche pour correspondre à des combinai sons de faits prescrites. Cette opération dite d' édition peut être effectuée soit de façon complémentaire à une opération de triage, soit de façon complémentaire à cule opération de comptage et de tabulation, soit encore de façon complémentaire à ces deux types d'opé rations.
Le groupe de douilles PS21, P826 et PS27 des fig. 41 et 48E .décrit en référence à la. fig. 49G, permet de relier plusieurs com mandes :différentes selon des circuits série- parallèle, si bien que le triage, le comptage, l'édition, la comparaison et d'autres opéra tions peuvent être effectués simultanément.
Abstraction faite du nombre de circuits de commande choisi au moyen de connexions à fiches, une impulsion de contrôle doit tou jours traverser la totalité de circuits devant être efficaces pour chaque fiche, ces circuits étant disposés en série dans des buts d'essais et étant ensuite modifiés du fait du fonction nement des relais R57 et R58 pour former@des circuits parallèles destinés à actionner les électro-aimants des compteurs ou des relais de commande de triage. On comprendra donc qu'en pratique, le mode de connexion de la machine est beaucoup plus complique que ceux représentés dans les différents exemples.
Dans ces exemples, le problème doit en effet nécessairement être simplifié, de façon que le mode de connexion puisse être représenté sur la vue du tableau de connexion sans que ce mode de connexion devienne un amas confus de connexions à fiches qu'on ne pourrait plus suivre.
Le mode de connexion représenté à la fig. 491 est destiné à. assurer tune opération d'assortiment lorsqu'on désire comparer les données enregistrées dans deux différents champs, dans le but, d'effectuer une tabula- tion du nombre d'assortiments. Un problème typique de ce genre se pose lorsqu'on désire ; connaître le nombre de personnes d'iun Etat déterminé qui sont nées dans l'Etat dans le quel elles résident.
Les buts de ce type.de ta- bulation sont de .fournir des indications sur l'ampleur d'une migration. Les Etats de nais-, lance et de résidence sont poinçonnés respec= tivement dans les colonnes 29, 30, 31 et 32, en utilisant un code qui peut s'étendre de 01 à 49, pour les Etats-Unis d'Amérique, y com pris le district de Columbia. Le commutateur, de phase est disposé dans sa position Hors ou en position -de phase 1.
Dans le cas qui nous occupe, les valeurs effectives poinçonnées dans les fiches n'ont pas de signification, pour autant que les nom bres poinçonnés respectivement dans les co lonnes 29 et 31 et 30 et 32 sont identiques. En d'autres termes, la colonne 29 correspond à la colonne 31 et la colonne 30 à la colonne 32. Les douilles PS1 des colonnes 29 et 31 sont reliées par connexions à fiches au sélec teur 1 et le sélecteur 2 est semblablement relié aux colonnes 30 et 32. Ainsi, si les colonnes 29 et 31 et les colonnes 30 et 32 concordent, les deux sélecteurs 1 et 2 sont rendus efficaces.
Dans ces conditions, leurs contacts normale ment ouverts se ferment, permettant ainsi à un circuit d'être formé à partir de l'émetteur El, en 12 , par l'intermédiaire des contacts des sélecteurs 1 et 2, jusqu'aux grilles-écran i et aux grilles de commande des tubes du sé lecteur 3.
Une impulsion de contrôle peut dès lors être transmise à partir de la douille PS22 et à travers un des jeux de contacts du sélecteur 3, jusqu'à la douille 1 PS54 qui commande le triage dans la poche 1 . Cette impulsion de contrôle passe à travers les contacts R24.4, R57B, R58B (fig. 48F) et soit du tableau de connexion par la douille 1 P821.
Elle se propage par la connexion à fiches jusqu'à la douille d' Entrée 1'S30 (fig. 491) du comp teur d'unités 3 et, à travers l'électro-aimant de ce compteur d'unités, et par l'intermédiaire d'une connexion à fiches jusqu'à la douille 1 P826.
L'impulsion passe ensuite à tra vers les contacts R57B, <I>R58B</I> (fig. 48E) pour parvenir à la douille 2 PS21. De là, elle passe à travers la connexion à fiches pour aller à l'autre jeu de contacts normalement ouverts du sélecteur 3, à travers une con nexion à fiches, à la douille d' Entrée PS30 du compteur 1 (fig. 49Z)
. Cette impulsion part ensuite de la douille PS31 du compteur d'unités 1 et se propage à travers un pont jusqu'à la douille de sortie PS31 du compteur d'unités 2 et de là, à travers une connexion à fiches, jusqu'à la douille 2 PS26. Elle s'étend ensuite à travers les contacts<I>R57B</I> (fig. 48E) jusqu'à la douille 2 P829 et, par l'intermédiaire d'une connexion à fiches, jus qu'à la douille PS28, pour amorcer le tube Y123 et exciter les relais R57 et R58.
Comme on l'a expliqué ci-dessus, ces relais transfè rent les connexions de façon que les liaisons série comprenant les compteurs 1 et 3 soient transformées en liaisons parallèles destinées à fournir des impulsions de comptage et une unité est alors comptée dans chacun de ces compteurs. Le relais de commande de triage 1 R115P est également excité et provoque l'acheminement de la fiche portant des champs d'enregistrement assortis vers la poche 1 .
Si les champs ne sont pas assortis, l'un des sélecteurs de recodification 1 et 2 ou les deux n'est ou ne sont pas excités et le sélecteur de recodification 3 n'est pas non plus excité dans ces conditions, si bien que les contacts norma lement fermés de ce relais restent fermés. Il s'ensuit que l'impulsion de contrôle partant de la douille PS22 passe à travers les contacts normalement fermés du jeu de droite- des con tacts du sélecteur de reeodification 2 pour aboutir à la douille PS54 correspondant à la poche 2 .
A partir de cette douille, cette impulsion se propage à travers les contacts normalement fermés du jeu de gauche jusqu'à la douille d' Entrée PS30 du compteur 2. Le compteur 3 et ses connexions à fiches sont com- pris dans le circuit de contrôle série puisque cette partie de ce circuit de contrôle ne dé pend d'aucun sélecteur de recodification. De ce fait, toutes les fiches sont comptées dans le compteur d'unités 3, les fiches assorties sont comptées dans le compteur d'unités 1 et les fiches non assorties sont comptées dans le compteur d'unités 2.
A .la fin de chaque course de fiches, une suite de cycles d'impression a lieu pour impri mer les totaux contenus dans les compteurs 1, 2 et 3. Afin d'obtenir un contrôle sur l'exac titude des comptages, le compteur d'unités 3 peut être connecté pour effectuer une sous traction, comme représenté, en insérant un pont dans les douilles PS32 et<I>PS52</I> de ce compteur, comme représenté à la fig. 491. Pendant le troisième de la suite de trois cy cles au cours desquels les totaux des comp teurs 1, 2 et 3 sont imprimés successivement, la quantité contenue dans le compteur 3 est soustraite dans l'accumulateur 1.
De cette faon, sur la feuille de travail, le total figu rant dans la colonne correspondant au comp teur d'unités 3 devrait être égal à la somme des totaux pour les compteurs d'unités 1 et 2 si la tabalation des fiches a été correctement effectuée. Le contrôle par sommation décalée devrait également donner des résultats cor rects.
Dans certaines conditions, il peut être dé sirable d'effectuer une tabulation sous com mande de fiches disposées à intervalles régu liers dans un paquet de fiches. Une telle opération nécessite l'utilisation du compteur d'unités 60. On se rappellera que ce compteur, représenté à la fig. 48D, comprend des bandes de contacts 686 et des segments 685 reliés à des douilles de façon telle que lorsque le compte atteint un nombre arbitraire, un cir cuit qui peut être utilisé dans des buts de commande est fermé.
On peut, par exemple, désirer extraire un échantillon de 101/o parmi tous les individus masculins âgés de 25 ans. Cela signifie que chaque fois qu'une fiche poinçonnée dans la colonne 6 .de façon correspondant à un indi- vidu masculin est analysée par les balais B, cette fiche doit être comptée, et que chaque dixième fiche de cette sorte doit être envoyée dans une poche afin que ces fiches puissent être utilisées dans des buts d'analyse statisti que. La fig. 49J montre le mode de connexion de la machine pour cette opération. Le com mutateur de phase est amené en position I4ons ou en position de phase 1.
Pour obtenir le résultat désiré, les colonnes 24 et 25, dans lesquelles l'âge est enregistré, sont reliées par des connexions à fiches aux sélecteurs de recodification 1 et 2, le sélec teur de recodification 1 étant rendu efficace lorsqu'un poinçonnage 2 est décelé et le sé lecteur de recodification 2 étant rendu effi cace lorsqu'un poinçonnage 5 est rencon tré.
Le sélecteur de recodification 3 est rendu efficace lorsqu'un poinçonnage 1 , dési gnant un individu masculin , est présent dans la colonne 26.
Chaque fois qu'une fiche poinçonnée pour indiquer un individu masculin âgé de 25 ans est analysée, tous les trois sélecteurs de reco- dification sont excités et l'impulsion de con trôle est transmise à partir de la douille<I>PS22</I> (fig. 49J), par l'intermédiaire d'un circuit, jusqu'à la douille C PS42 du dispositif de lecture de l'ordre des unités du compteur d'unités 60 (voir fig..48D). A partir de cette douille, cette impulsion se propage à travers la bande commune 686 de l'ordre des unités de ce compteur jusqu'aux balais 688 et à la douille 0 PS43. De là,
elle passe par les contacts de gauche normalement ouverts des sélecteurs de recodification 1, 2 et 3 pour aboutir à la douille 1 PS54. Elle se propage ensuite à partir de la douille 1>> PS21 (fig. 48E) à travers les contacts de droite nor malement ouverts des sélecteurs de recodifica- tion 1, 2 et 3 jusqu'à la connexion à fiches et à la douille d' Entrée PS30 du compteur d'unités 60, à la douille PS31 de ce comp teur et, à travers la connexion à fiches,
jus qu'à la douille 1 PS26. Cette impulsion de contrôle passe ensuite par la .douille 1 PS27 et parvient jusqû'à la douille PS28 pour amorcer le tube V123. Les relais R57 et R5$ sont actionnés, le compteur 60 reçoit clés impulsions correspondant à une unité et le relais R115P est excité pour diriger la fiche vers la poche 1 . Toutes les autres fiches sont rejetées.
Après la première impulsion, le compteur d'unités 60 est avancé d'un pas et interrompt le circuit entre la douille -PS42 et la douille 0 PS43, du fait que le balai 688 de l'ordre des unités se déplace alors jusqu'au segment 1 685.
Les neuf fiches suivantes correspondant 'à des individus masculins âgés de 25 ans sont .envoyées dans la poche 4 , le circuit s'éten dant à partir de la douille PS22 jusqu'au re lais 4 & 112P, par l'intermédiaire de l'un des segments 685 1 à 9 du compteurqd'uni- tés 60 et repartant de la douille 1 PS21, au lieu de passer à travers les sélecteurs de re- codification 1, 2 et 3.
Le compteur reçoit des impulsions pour chacune des -fiches corres pondant à des individus masculins de 25 ans, et la onzième de ces fiches est dirigée vers la poche 1 . Ceci se produit chaque fois que l'ordre des unités du compteur 60 passe par zéro. Les fiches qui ne sont pas poinçonnées de façon correspondant à un individu mascu lin de 25 ans sont rejetées.
La fig. 49K représente un mode de con nexion destiné @à assurer le triage arbitraire sous commande de poinçonnages se présentant simultanément dans plusieurs colonnes diffé rentes. On admettra de nouveau que les fiches sont poinçonnées conformément au sexe, à la race et au lieu de naissance. Le commutateur de phase est placé en position Hors ou en position de phase 1.
Le sexe est poinçonné dans la colonne 5, un individu de sexe masculin étant désigné par un poinçonnage 1 et un individu fémi nin par un poinçonnage 2 . La race est en registrée à la colonne 10, .dans laquelle un poinçonnage 1 désigne un individu blanc, un 2 un individu- noir et un poinçonnage différent compris entre 3 et 6 un indi vidu d'une autre race.
Le lieu de naissance est enregistré dans la colonne<B>15,</B> dans la- quelle un poinçonnage 1 indique un iifdi- vidu autochtone, un 2 un individu né à l'étranger et un 11 1-Lu individu dont le lieu de naissance est inconnu.
Le but de l'opération est de distribuer ces fiches dans différentes poches conformément au sexe, à la race et au lieu de naissance, se lon la table ci-dessous:
EMI0100.0007
<I>Table <SEP> VII:</I>
<tb> Poche <SEP> Groupe <SEP> - <SEP> Poinçonnages <SEP> Sel. <SEP> de <SEP> Rec.
<tb> 0 <SEP> Masculin, <SEP> blanc, <SEP> autochtone <SEP> 1, <SEP> 1, <SEP> 1 <SEP> 1, <SEP> 10, <SEP> 20
<tb> 1 <SEP> Masculin, <SEP> blanc, <SEP> né <SEP> à <SEP> l'étranger <SEP> 1, <SEP> 1, <SEP> 2 <SEP> 1, <SEP> 10, <SEP> 21
<tb> 2 <SEP> Masculin, <SEP> blanc, <SEP> lieu <SEP> de <SEP> naiss.
<SEP> inconnu <SEP> 1, <SEP> 1, <SEP> 11 <SEP> 1, <SEP> 10, <SEP> 22
<tb> 3 <SEP> Féminin, <SEP> blanc, <SEP> autochtone <SEP> 2, <SEP> 1, <SEP> 1 <SEP> 2, <SEP> 10, <SEP> 20
<tb> 4 <SEP> Féminin, <SEP> blanc, <SEP> né <SEP> à <SEP> l'étranger <SEP> 2, <SEP> 1, <SEP> 2 <SEP> 2, <SEP> 10, <SEP> 21
<tb> 5 <SEP> Féminin, <SEP> blanc, <SEP> lieu <SEP> de <SEP> naiss.
<SEP> inconnu <SEP> 2, <SEP> 1, <SEP> 11 <SEP> 2, <SEP> 10, <SEP> 22
<tb> 6 <SEP> Masculin, <SEP> noir <SEP> 1, <SEP> 2 <SEP> 1, <SEP> 11
<tb> 7 <SEP> Féminin, <SEP> noir <SEP> 2, <SEP> 2 <SEP> 2, <SEP> 11
<tb> 8 <SEP> Masculin, <SEP> autre <SEP> race <SEP> 1, <SEP> 3-6 <SEP> 1, <SEP> 12
<tb> 9 <SEP> Féminin, <SEP> autre <SEP> race <SEP> 2, <SEP> 3-6 <SEP> 2, <SEP> 12 Eu égard au mode de connexion compli qué des contacts des sélecteurs de recodifica- tion 1, 2, 11, 12, 21 et 22, le mode de con nexion de ces contacts est représenté séparé ment (fig. 50A).
Le sélecteur de rëcodifica- tion 1 est excité lorsque la fiche est poinçon née pour indiquer un individu masculin, et le sélecteur de recodification 2 lorsque la fiche est poinçonnée d'un 2 pour indiquer un individu féminin.
L'un de ces deux sélec teurs doit être rendu efficace pour chaque fiche et, si aucun d'eux n'est rendu efficace, l'impulsion de contrôle transmise aux relais de commande de triage ne peut passer au tra vers du circuit des relais de recodification. La fiche correspondante est alors rejetée, ce qui indique que cette fiche contient une erreur.
Le sélecteur de recodification 10 est effi cace chaque fois qu'une fiche est poinçonnée d'un 1 pour désigner un individu blanc, le sélecteur de recodification 11 est efficace cha que fois qu'une fiche est poinçonnée d'un 2 pour désigner un individu noir, et le sélecteur de recodification 3 est efficace chaque fois qu'une fiche est poinçonnée d'un 3 , d'un 4 , d'un 5 ou d'un 6 pour indiquer un individu d'une autre race. Pour cette opéra ; tion. les fiches correspondant à des individus de ces autres races sont déposées dans une seule et même poche.
Le sélecteur de recodification 20 est rendu efficace chaque fois qu'une fiche poinçonnée d'un 1 dans sa colonne 15 est relative à un individu autochtone, le sélecteur de recodi- fication 21 est efficace chaque fois qu'un 2 est poinçonné dans cette colonne pour dési gner un individu né à l'étranger, et le sélec teur de recodification 22 est efficace chaque fois qu'une fiche est poinçonnée d'un 1l ou d'un X pour indiquer que l'individu auquel elle correspond est né dans un lieu inconnu.
Pour suivre un circuit typique de triage, on supposera que la fiche est poinçonnée d'un 2 pour indiquer un individu féminin, d'un 2 pour indiquer un individu noir et d'un 1 pour indiquer un individu autochtone. Dans ces conditions, les sélecteurs de recodi- fication 2, 11 et 20 sont efficaces.
A la fig. 50A, le circuit des connexions à fiches né cessaires pour effectuer cette opération est re présenté, .reliant les contacts des différents relais sélecteurs de recodification. Les nu méros réels -des circuits de ces relais sont indiqués et les numéros des sélecteurs de re- codification correspondants sont indiqués à l'intérieur de rectangles en pointillés repré sentant les enroulements des relais.
Le circuit de l'impulsion de contrôle part de la douille PS22 et passe à travers les con tacts R36A, R59B, R27,4 et R28B pour aboutir à la douille 7 du groupe de douil- les PS54 qui commande l'acheminement des fiches vers la poche 7 . De façon semblable, les sélecteurs de recodificatifln sont excités selon les combinaisons indiquées à la précé dente table sous commande des poinçonnages également indiqués dans cette table, de façon à établir des circuits jusqu'aux relais de com mande de triage par l'intermédiaire du cir cuit de relais de recodification formé par l'en semble de connexions reliant les douilles.
Les fig. 49L et 50B montrent un mode de connexion destiné à assurer un triage par intervalle .de classe, selon lequel il est désira ble de placer les fiches dans des poches cor respondant à des domaines de classification. La classification est enregistrée dans les co lonnes 11 et 12 sous .forme d'un nombre de un ou deux chiffres désignant des classes allant de 01 à 99. On -désire trier ces fiches selon certains groupes, les groupes 01 à 04 corres pondant à la poche 1 , 05 à 09 à la poche 2 et 10 à 19 à la poche 3 au cours de la course de phase 1.
Les intervalles de 20 à 29, de 30 à 39 et de 40 à 49 correspondent aux poches 1 , 2 et 3 respectivement, pen dant la course de phase 2 de la machine et à la poche 4 pendant sa course de phase 1. Les intervalles de 5 à 59, de 60 à 99 et de plus de 99 correspondent respectivement aux poches 1 , 2 et 3 pendant la course de phase 3 et à la poche 5 pendant la course de phase 1. On admettra que pendant la course de phase 1, une fiche poinçonnée 07 avance dans la machine. Le 0 dans la co lonne 11 provoque l'excitation du sélecteur de recodification 9, tandis que le 7 dans la colonne 12 provoque l'excitation du sélecteur de recodification 2.
Un circuit peut ainsi être établi à partir de la douille PS22 (fig. 49L et 50B), à travers les contacts nor malement ouverts du sélecteur 9, les contacts normalement fermés du sélecteur 1 et les con tacts normalement ouverts du sélecteur 2. Ce circuit aboutit à la douille 2 du groupe de douilles PS54, provoquant l'acheminement de la fiche poinçonnée 07 vers la poche 2 . Il en est de même si une fiche est poinçonnée 05 , 06 , 08 ou 09 , du fait que le sélec- teur de recodification 2 réagit aux poinçon nages disposés à l'une des positions repère 5 à 9 de la colonne 12.
Le sélecteur de recodification 1 réagit à des poinçonnages disposés dans l'une des po sitions 0 à 4 de la colonne 12, si bien qu'une fiche poinçonnée d'un nombre com pris entre 01 et 04 est acheminée vers la poche 1 puisque le sélecteur de recodifica- tion 9 est rendu efficace comme auparavant et que le circuit de sélection de poche est éta bli par le circuit de recodification 1 au lieu du sélecteur de recodification 2.
Il est maintenant adéquat d'expliquer que pour un problème de ce type, il n'est pas né cessaire d'insérer un pont correspondant à l'émetteur A, de la façon représentée à la fig. 49L. Cette figure a été choisie principa lement dans le but de simplifier les explica tions.
Au lieu d'introduire un pont dans la douille 0 PS4, ce pont pourrait être intro duit dans une des douilles 0 à 4 du groupe de douilles de chiffre PS9 et la con nexion à fiches qui, à la fig. 49L, aboutit à la.
douille 5 PS5 pourrait alors être insé rée dans la douille PS8. On se rappellera que l'émetteur E14 (fig. 48U) comprend des con tacts reliés entre eux de façon que cet émet teur transmette une série .d'impulsions aux quelles des valeurs de chiffre 0 à 4 sont attribuées, jusqu'à la douille PS9, et des im- pulsions correspondant à des valeurs de chif fre 5 à 9 , jusqu'à la douille PS8. Par conséquent,
lorsque le sélecteur de recodifi- cation 1 est relié de la façon qu'on vient de décrire, il est excité lorsqu'un poinçonnage quelconque compris entre 0 et 4 est ana lysé, et le sélecteur de recodification 2 est excité lorsqu'un poinçonnage quelconque com pris entre 5 et 9 se présente. En effet, ces sélecteurs de recodification sont reliés par des connexions à fiches aux douilles -de groupe de chiffre 0 à 4 et 5 à 9 , c'est-à-dire aux douilles PS9 et PS8 respecti vement (fig. 48U et 49L).
Si une fiche est poinçonnée d'un chiffre compris dans l'intervalle allant de 10 @à 19, les sélecteurs de recodification 1 et 8 sont efficaces et Lm circuit est ainsi formé à partir de la douille PS22, à travers les contacts normalement fermés du sélecteur 9 et les con tacts normalement ouverts du sélecteur 8, jusqu'à la douille PS54 qui commande l'ache minement des fiches vers la poche 3 .
Les circuits qu'on vient de décrire sont unique ment des exemples de la façon dont les poches sont choisies pour des fiches correspondant aux intervalles 0 à 4, 5 à 9 et 10 à 19.
Si une fiche est poinçonnée de façon cor respondant à un des intervalles 20 à 29, 30 à 39 et 40 à 49, elle est déposée dans la poche 4 pendant la course de phase 1, et si son poinçonnage est compris dans un des inter valles 50 à 59, 60 .à 99 ou au-dessus de 99, elle est déposée dans la poche 5 . Admettons qu'une fiche soit poinçonnée 32 .
Les sélec teurs de recodification 1 et 6 sont excités et un circuit est établi à partir de la douille PS32, à travers les contacts normalement fer més des sélecteurs de recodification 9, 8 et 7 et les contacts normalement ouverts du sélec teur de recodification 6, jusqu'à la douille PS55. A partir de cette douille, ce circuit s'étend jusqu'à la douille E PS38 corres pondant à la rangée de douilles PS55 et de là à la douille 4 PS54, si bien que la fiche est acheminée vers la poche 4 .
Ce circuit est semblable à celui utilisé pour choisir la poche 12 , dans le fonctionnement correspondant au mode de connexion représenté à la fig. 49B. Si la fiche était poinçonnée 65 , le sélecteur de recodification 3 serait efficace et le cir cuit partant de la -douille PS22 passerait à travers les contacts normalement fermés des sélecteurs de recodification 9, 8, 7, 6, 5 et 4, et les contacts normalement ouverts du sélec teur de recodification 3,
pour aboutir à la douille 2 du groupe de douilles PS56 et de là à la douille E PS38 correspondant: à la rangée de douilles PS56 et à la douille 5 dû groupe de douilles PS54, si bien que cette fiche serait déposée dans la poche 5 . Ce cir cuit -est semblable à celui utilisé pour le triage dans la poche 11 dans le fonctionne ment selon le mode de connexion de la fig. 49B.
Si une fiche est poinçonnée X , pour indiquer un âge supérieur à 99 ans, le sélec teur de recodification 10 est excité et, au moyen d'un circuit semblable à celui qu'on vient de décrire, cette fiche est déposée dans la poche 5 .
Le commutateur de phase est ensuite avancé dans sa position de phase 2 et les fiches qui ont été recueillies dans la poche 4 sont à nouveau fournies à la machine. Pendant cette opération, les douilles PS55 commandent la mise en place des circuits .de triage au moyen des contacts R209B et R207A (fig. 48R) de la façon décrite en référence à- la fig. 49B. Après cette course, les fiches qui avaient été déposées dans la poche 5 sont à nouveau acheminées dans la. machine, le commutateur de phase ayant été amené dans sa position de phase 3.
Les douilles PS56 sont alors reliées aux relais de com mande de triage pour répartir les fiches dans les poches 1 , 2 et 3 de la même façon générale qu'au cours des .deux premières courses et au moyen de circuits semblables.
On comprendra que chaque fois qu'une fiche est analysée et que les sélecteurs de re- codification sont rendus efficaces, l'impulsion initiale fournie à partir de la douille PS22 contrôle la continuité du circuit. Si ce circuit est continu, les relais R57 et R58 sont effi caces pour fermer Lui circuit permettant à une impulsion d'actionnement de parvenir au relais de commande de triage qui a été choisi polir fonctionner.
Les fig. 49M et 50C représentent un mode de connexion destiné à assurer un comptage et un triage simultanés. Selon ce mode de fonctionnement, l'opération de triage prépare les fiches pour l'opération de comptage sui vante, sous commande du même ensemble de circuits de comptage. Ce fonctionnement dif fère de celui conforme au mode de connexion de la fig. 49F, du fait que, dans la descrip tion de ce dernier fonctionnement, on avait admis que les fiches avaient été préalable ment classées au cours d'une opération de triage séparée et que le seul but de l'opéra tion était le comptage.
Ainsi qu'on l'a expli- qué plus haut, il est possible de combiner dif férents types d'opérations comprenant des comptages et des triages pour qu'un nouveau triage des fiches ait lieu préalablement à une opération de comptage suivante durant la quelle le comptage est effectué selon les mê mes bases qu'au cours des opérations précé dentes, mais relativement à des classifications différentes. Dans le cas considéré, les fiches doivent être triées à nouveau et recomptées sur la base du sexe, de la race, du lieu de naissance et de l'état civil, selon les mêmes codes que ceux décrits plus haut.
Ces données sont enregistrées dans les colonnes 5, 10, 15 et 20 respectivement et, pour faciliter la com préhension, les codes et les sélecteurs de re- codification qui entrent en jeu sont indiqués dans la table ci-après, de même que les co lonnes dans lesquelles les données sont enre gistrées.
EMI0103.0009
<I>Table <SEP> VIII:</I>
<tb> <I>Colonne <SEP> 5:</I>
<tb> 1. <SEP> Masculin <SEP> Sélecteur <SEP> 1
<tb> 2. <SEP> Féminin <SEP> Sélecteur <SEP> 3
<tb> <I>Colonne <SEP> 10:</I>
<tb> 1. <SEP> Blanc <SEP> Sélecteur <SEP> 5
<tb> 2. <SEP> Noir <SEP> Sélecteur <SEP> 7
<tb> <I>Colonne <SEP> 15:</I>
<tb> 1. <SEP> Autochtone <SEP> Sélecteur <SEP> 9
<tb> 2. <SEP> Né <SEP> à <SEP> l'étranger <SEP> Sélecteur <SEP> 11
<tb> <I>Colonne <SEP> 20:
</I>
<tb> 1. <SEP> Marié <SEP> Sélecteur <SEP> 13
<tb> 2. <SEP> Célibataire <SEP> Sélecteur <SEP> 15
<tb> 3. <SEP> Veuf <SEP> Sélecteur <SEP> 17
<tb> 4. <SEP> Divorcé <SEP> Sélecteur <SEP> 19 La fig. 50C représente l'ensemble des cir cuits établis au moyen de connexions à fiches entre la source d'impulsions de contrôle, re présentée par la douille PS22, et la douille i PS28 reliée au tube V123. Le compteur 1 est destiné à fonctionner comme compteur de to tal pour compter toutes les fiches. Supposons qu'une fiche soit poinçonnée 2 , 1 , 2 , 3 pour désigner un individu féminin blanc né à l'étranger et veuf.
Ces poinçonnages pro voquent l'excitation des sélecteurs de recodi- fication 3, 5, 11 et 17. Le circuit de contrôle peut ainsi être formé à partir de la douille PS22 (fig. 50C), à travers les contacts nor malement fermés du sélecteur de recodifica- tion 1, les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 3, le relais de triage 2 R114P, les contacts R24A,
<I>R57B</I> et <I>R58B</I> et l'électro-aimant CJII du compteur d'unités 1. Ce circuit s'étend ensuite à travers les contacts<I>R57B</I> et R58B, les contacts nor malement ouverts du sélecteur de recodifica- tion 5, l'électro-aimant CJII du compteur d'unités 2, les contacts<I>R57B</I> et R58B, les contacts normalement fermés du sélecteur de recodification 9, les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 11, l'électro-aimant CM du compteur d'unités 5,
les contacts<I>R57B</I> et R58B, les contacts nor malement fermés des sélecteurs de recodifiea- tion 13 et 15, les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 17, l'électro-aimant C31 du compteur d'unités 8 et les contacts R57B jusqu'à la douille P828. Le tube V123- est ainsi amorcé par l'impulsion de contrôle et l'excitation subséquente .des relais R57 et R58 provoque l'acheminement de la fiche ainsi poinçonnée vers la poche 2 , tandis qu'une unité est comptée dans les comp teurs d'imités 1, 2, 5 et 8.
Ait cours de la première course, le comp teur 1 compte le nombre total de fiches, le compteur 2 compte le nombre total d'indi vidus blancs, le compteur 3 compte le nombre total d'individus noirs, le compteur 4 le nom bre total d'individus autochtones, le compteur 5 le nombre total d'individus nés à l'étranger et les compteurs 6 à 9 comptent les nombres d'individus mariés, célibataires, divorcés et veufs respectivement.
Les fiches relatives à des individus masculins et féminins sont res pectivement acheminées vers les poches 2 et 1 et, à la fin de la première course de la machine, après l'impression des totaux des différents comptes énumérés ci-dessus, les fiches relatives à des individus masculins sont seules acheminées dans la machine pour le comptage ' relatif aux seuls individus mascu lins sur la, base de la -race; du lieu de nais- sancë et de l'état civil. Une série de totaux est alors obtenue sur la base de cette classifi cation.
Sans modifier le mode de connexion de la machine, .les fiches relatives aux seuls indi vidus féminins sont ensuite acheminées dans la machine au cours d'une troisième course. A la fin de ces trois courses, on aura trois lignes de totaux.
Les nombres de fiches relatives à des indi vidus masculins et féminins ne sont pas comp tés pendant la première course; cependant, au cours des seconde et troisième courses, le compteur d'unités 1 provoque l'impression des nombres totaux d'individus masculins et d'individus féminins respectivement et ces deux nombres ajoutés l'Lm à l'autre devraient être égaux au total figurant sur la première ligne, ce qui fournit un contrôle.
Cependant, il peut être désirable de compter le nombre d'individus masculins et féminins pendant la première course pour effectuer un double con trôle, tout en laissant le mode -de connexion inchangé. Dans ce but, il est nécessaire de re lier deux compteurs supplémentaires par des connexions à fiches, l'un de ces compteurs étant relié par l'intermédiaire d'une paire de contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 1 et l'autre par l'intermédiaire d'une paire de contacts normalement fermés du sélecteur de recodification 3.
Les comp teurs d'unités 10 et 11 sont ainsi respective ment connectés de la même façon que les compteurs d'unités 4 ,et 5. Le circuit de comp tage supplémentaire est relié par des con nexions à fiches entre les douilles 5 PS21 et PS26. La connexion à fiches aboutissant à la douille 4 PS27 est déplacée jusqu'à la douille 5 P827 de faon qu'un autre circuit.
de comptage tel que celui des compteurs d'unités 4 et 5 soit inséré en série avec le dernier jeu de contacts efficaces R57B et R58B. Pendant la première course, deux to taux supplémentaires pour les individus mas culins et pour les individus féminins sont im primés dans les colonnes des compteurs d'unités 10 et 11, et ces deux totaux ajoutés l'un à l'autre devraient fournir une somme égale du nombre total de fiches comptées par le comp teur d'unités 1.
Pendant la seconde et la troi sième course, les totaux des compteurs d'unités 10 et 11 servent également à contrôler le total du compteur d'unités 1, si les fiches ont été soumises à une opération de fabulation cor recte. Ce contrôle est indépendant du con trôle effectué par sommation décalée pendant les cycles d'impression, si bien qu'un double contrôle de l'exactitude de la tabulation est ainsi obtenu.
Dans un problème de ce genre, les totaux des groupes de chaque classe telle que le sexe, la race, le lieu de naissance et l'état civil doi vent également être égaux au nombre total de fiches. Pour assurer une opération de som mation décalée correcte au cours d'un fonc tionnement tel que celui décrit, il peut être nécessaire de connecter certains des compteurs pour leur faire effectuer une soustraction.
Pour illustrer la façon dont les compteurs devraient être connectés pour effectuer des soustractions, dans la solution d'un problème tel que celui considéré, on admettra que la ta ble ci-après représente la répartition des to taux sur la feuille de travail:
EMI0104.0026
<I>Table <SEP> IX:</I>
<tb> Total <SEP> Race <SEP> Lieu <SEP> naiss. <SEP> Etat <SEP> civil <SEP> Sexe
<tb> b1. <SEP> nr. <SEP> aut. <SEP> étr. <SEP> m. <SEP> cél. <SEP> veuf <SEP> div. <SEP> m. <SEP> f.
<tb> Compteurs <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9 <SEP> 10 <SEP> 11
<tb> Toutes <SEP> classes <SEP> 200 <SEP> 175 <SEP> 25 <SEP> 170 <SEP> 30 <SEP> 100 <SEP> 50 <SEP> 25 <SEP> 25 <SEP> 150 <SEP> 50
<tb> Masculins <SEP> 150 <SEP> 135 <SEP> 15 <SEP> 140 <SEP> 10 <SEP> 75 <SEP> 30 <SEP> 20 <SEP> 25 <SEP> 150 <SEP> - FémiUins <SEP> 50 <SEP> 40 <SEP> 10 <SEP> 30 <SEP> 20 <SEP> 25 <SEP> 20 <SEP> 5 <SEP> - <SEP> - <SEP> 50 Dans la table ci-dessus, on a admis que 200 fiches sont comptées et recomptées sur la base du sexe, de la race,
du lieu de naissance et de l'état civil, comme expliqué ci-dessus, onze compteurs étant utilisés. On remarquera que les totaux des groupes de chaque classe enre gistrés dans les compteurs 2 et 3, 4 et 5, 6 à 9 et 11 et 12 respectivement sont chacun égaux au total enregistré dans le compteur 1 et que les totaux enregistrés dans les comp teurs 2 et 3 équilibrent le total enregistré dans le compteur 1, permettant d'effectuer une opération de sommation décalée correcte.
Cependant, si tous les totaux des compteurs 2 à 11 étaient utilisés pour équilibrer le total du compteur 1, le total général des comp teurs 2 à 11 serait quatre fois plus grand que le total dans le compteur 1, si bien que l'opé ration de sommation décalée ne serait pas cor recte. Pour éviter cette difficulté, les totaux enregistrés dans les compteurs 4 et 5 peuvent être soustraits de façon à équilibrer les totaux contenus dans les compteurs 6 à 9. Ainsi, les i totaux des compteurs 10 et 11 doivent encore être équilibrés.
Il y a deux solutions possibles. Selon l'une de ces solutions, on effectue la sommation décalée et on laisse la machine s'arrêter du fait d'une sommation décalée in correcte pour provoquer ensuite manuelle ment l'impression du total. Selon la seconde solution, on .relie un compteur supplémentaire, par exemple le compteur 12, de façon qu'il compte également le nombre total de fiches et on connecte ce compteur pour qu'il effec tue une soustraction, si bien que les compteurs 10 et 11 sont équilibrés par le total contenu dans ce second compteur de fiches, ou comp teur 12. Grâce à cette disposition, l'opéra tion de sommation décalée s'achève de façon correcte si le comptage a été correctement effectué.
Lorsqu'un nombre pair de groupes de compteurs de classe -entre en jeu, il est néces saire -de connecter la moitié de ces compteurs pour la soustraction et de connecter égale ment le compteur 1 pour la soustraction, un groupe de compteurs de classe étant réservé pour équilibrer le compteur de total. A la ta i ble IX, il y a un nombre impair de groupes de classe si on considère le compteur de total comme un groupe, ce qui rend nécessaire l'im pression manuelle du total ou l'addition d'iui compteur de total supplémentaire connecté pour la soustraction et servant à équilibrer le ; groupe de sexes constitué par les compteurs 10 et 11.
Lorsque le compteur 1 est utilisé comme compteur de total et que tous les autres comptes sont répartis entre les compteurs ; d'un groupe de 15 au maximiun, il n'est pas nécessaire de connecter l'un quelconque de ces compteurs autre que le compteur de total pour la soustraction.
Si plus de 15 comp teurs sont utilisés, les compteurs supplémen taires en plus de 15 doivent être pris d'un autre gmoupe de 15, et dans ce groupe, des précautions semblables doivent être prises de faon que les groupes de classe équilibrent le total du compteur 1. Dtant donné que les to taux contenus dans les accumulateurs 1 à 4 sont finalement accumulés dans l'accumula teur 4, le nombre total de groupes de classe entrant en jeu en plus du compteur qui compte les fiches est seul important et non pas l'attribution de ces groupes aux diffé rentes batteries d'impression.
Les fig. 49N et 50D représentent un mode de connexion permettant de trier les fiches conformément au nombre de positions repère correctement poinçonnées dans différentes colonnes de la fiche.
Ce type de fonctionne ment est utile lorsque la; fiche constitue par exemple un questionnaire marqué au crayon, ces marques étant subséquemment transfor- i mées en poinçonnages dans une machine de type connu et servant à déceler les marques au crayon pour les reproduire sous la forme de poinçonnages. Dans une telle machine, trois colonnes de la fiche sont attribuées .à i des réponses et sont destinées à recevoir les marques au crayon.
Les données originales sont enregistrées dans de telles fiches en tra çant à la main de forts traits de crayon au travers de ces trois colonnes et à la position! repère correspondant à la réponse qu'on dé sire formuler. Par exemple, si on désire ins crire la valeur 10 sir une fiche au moyen de traits au crayon, trois colonnes de la fiche seraient attribuées à chaque colonne de ré ponse pour recevoir les valeurs des imités et des dizaines respectivement, et 10 serait en registré en tirant.
un trait au crayon en tra vers -des trois colonnes correspondant à une des colonnes de réponse à la position repère 1 et en tirant tin autre trait au crayon en - travers des trois colonnes correspondant à l'autre colonne de réponse, à la position 0 . La fiche est ensuite acheminée à travers une machine comprenant un dispositif capable de déceler les marques au crayon et disposée pour convertir ces marques en poinçonnages de valeurs équivalentes.
Pour expliquer de façon très simple l'in térêt du fonctionnement selon le mode de connexion représenté à la fig. 4.9N on peut admettre que la fiche est un questionnaire contenant trois questions auxquelles on peut répondre par oui ou par non dans deux co lonnes de réponse, chacune de ces deux co lonnes correspondant à trois colonnes adja centes .de positions de repère de la fiche.
On admettra qu'une marque au crayon à la po sition repère 1 de la première colonne de réponse, une marque à la position 2 -de la seconde colonne de réponse et une marque à la position 3 de la première colonne cons tituent toutes des réponses correctes.
Après que ces fiches ont été acheminées à travers la machine destinée à convertir les marques en poinçonnages, deux colonnes de la fiche sont poinçonnées, l'une xux positions 1 et 3 , et l'autre à la position 2 . Dans le cas considéré, on peut admettre que les co lonnes 1 et 2 de la fiche sont utilisées dans ce but.
Lorsqu'une telle fiche correctement mar quée et poinçonnée dans ces colonnes 1 et 2 est analysée, le sélecteur 1 est excité en 3 du cycle par le poinçonnage 3 de la colonne 1 et le circuit part de la douille PS1 de la co lonne 1 et passe à travers l'émetteur de chif fre 1, à travers .le segment 3 de cet émet teur, et à travers les- contacts normalement fermés des sélecteurs de recodification 1, 2 et 3 pour rendre le sélecteur de recodification 1 efficace.
Ce sélecteur ferme son jeu de con tacts de droite et commute ce circuit série à partir du sélecteur de recodification 1 pour le brancher au sélecteur 2. En 2 du cycle, le sélecteur de recodification 2 est excité par l'intermédiaire du segment 2 de l'émetteur 1 et les contacts alors fermés du sélecteur 1, si bien que le circuit est commuté pour être re lié au sélecteur 3. En 1 du cycle, le sélec teur de recodification 3 est excité et permet.
ainsi au circuit de contrôle d'être formé à par tir de la douille PS22 et à travers les contacts normalement ouverts du sélecteur 3 jusqu'à la douille 3 du groupe de douilles PS54, si bien que cette fiche est acheminée vers la poche 3 , ce qui indique qu'elle contient trois réponses correctes.
S'il se produisait par exemple qu'on n'ait répondu correctement qu'à la. seule question 3, la position 1 de la colonne 1 ou la position 2 de la colonne 2 ne contiendrait pas de poinçonnage et seul le sélecteur 1 serait excité. La fiche serait alors déposée dans la poche l , l'impulsion de contrôle passant. dans ce cas à travers les contacts normale ment fermés des sélecteurs de recodification 2 et 3 et les contacts normalement ouverts du sélecteur 1 pour aboutir à la douille 1 du groupe de douilles PS54.
S'il n'a été répondu correctement qu'à deux questions, le sélecteur 2 est également excité et la fiche est dirigée vers la poche 2 . Si, à l'instant où le circuit de contrôle est établi, il n'a été répondu correctement à aucune des questions, le circuit de contrôle passe à travers les contacts normalement fermés des sélecteurs de recodification 1, 2 et 3 disposés en série pour aboutir à la douille 0 du groupe .de douilles PS54, et les fiches correspondantes sont dirigées vers la poche 0 .
Le mode de connexion utilisé pour cette opération de triage est représenté à la fig. 49N. La fig. 50D montre le mode de con nexion- utilisé pour compter le nombre de ré ponses correctes fournies à chaque question, le nombre total de fiches qui ne contenaient aucune réponse correcte et le nombre to tal de fiches respectivement. <B>A</B> partir .de la droite de la fig. 50D, les sélecteurs de reco- dification 1, 2 et 3 sont rendus efficaces pour choisir les compteurs d'unités 3,
4 et 5 selon que la fiche contient une, deux ou trois ré ponses correctes. Si la fiche ne contient au cune réponse correcte, l'électro-aimant CÏÎf du compteur d'unités 2 est excité. Le compteur d'unités 1 compte le nombre total de fiches, comme dans le fonctionnement conforme au mode de connexion représenté à la fig. 49F.
Les douilles 1 et 2 des groupes de douilles PS21 et<I>PS26</I> sont utilisées dans le cas con sidéré et il est seulement nécessaire d'insérer une connexion à fiches entre la douille 2 P827 et la douille PS28 pour fermer le cir cuit de contrôle série .à travers les relais de triage et à travers les électro-aimants de tous les compteurs choisis.
La fig. 49N montre un mode de connexion très rudimentaire selon lequel on n'a le choix qu'entre deux réponses correctes pour cha i que question, trois questions étant posées. Ce mode de connexion peut être complété pour comprendre toutes les. douze positions repère de chacune des colonnes oui ou non.
Par exem ple, si dix questions sont posées, il est seule ; ment nécessaire d'utiliser dix sélecteurs de recodification et le seul émetteur 1 en reliant entre elles et à la. connexion à fiches de cha que colonne toutes les positions de cet 6met- teur correspondant aux positions repère qui sont poinçonnées pour une réponse correcte.
Par exemple, si la réponse correcte à la ques tion 4 est oui , un pont est inséré pour rendre la colonne 1 efficace par l'intermédiaire des positions 3 et 4 de l'émetteur 1, et le qua ; trième sélecteur de recodification est relié en cascade avec les autres et à l'émetteur 1, se lon la même disposition générale des<I>con-</I> nexions que celle, représentée pour le sélec teur 3.
Il suffit de déplacer la connexion à D fiches aboutissant à la douille C P85 à par tir des contacts normalement fermés du sé lecteur 3 pour la relier à un des jeux de con tacts normalement fermés du sélecteur 4 et de relier un ailtre jeu de contacts normale ;
ment ouverts du sélecteur 4 à la douille 4. du groupe de douilles PS54. Si la réponse correcte à la question 4 se trouve dans la co lonne non , la douille 2 PS54 de l'émetteur 1 doit alors .être reliée par une connexion à fiches à la douille 4 du groupe de douilles PS4. De façon semblable, l'émetteur 1 peut être connecté de façon à faire participer au fonctionnement autant de sélecteurs de reco- dification supplémentaires qu'on le désire, jusqu'à douze au maximum,
ce qui représente la limite de sa capacité. _ L'opération décrite illustre le choix le plus simple selon lequel la réponse ne peut être que oui ou non. Il est également possi ble de connecter la machine pour tenir compte de réponses multiples. II arrive souvent qu'un questionnaire comprenne un choix entre qua tre ou même cinq réponses possibles diffé rentes.
Par exemple, s'il y avait cinq réponses possibles à chaque question, il serait alors né cessaire .de disposer de cinq groupes de co lonnes prévues pour être marquées au crayon, ce qui ferait. un total de 15 colonnes de la fiche. Ces colonnes de réponse peuvent être respectivement désignées par A, B, C,<I>D</I> et E sur la fiche elle-même, et les cinq colonnes poinçonnées correspondant à ces cinq groupes de colonnes de réponse sont reliées par des connexions à fiches à l'émetteur 1 de façon analogue à celle représentée à la fie. 49N.
Par exemple, admettons comme auparavant que le questionnaire ne comprenne que trois questions, ce qui permet d'utiliser le mode de connexion des contacts des sélecteurs de reco- dification représenté à la fig. 49N sans modi fication. La réponse correcte à la question 1 est marquée dans la colonne B, celle à la ques tion 2 dans la colonne E et celle à la question 3 .dans la colonne D.
Le balai de la colonne 2 de la. fiche est relié par -une connexion à fiches à la douille 1 du groupe de douilles PS4 de l'émetteur 1; le balai de la colonne 5 est re lié .à la douille 2 PS4 et le balai de la co lonne 3 à la douille 3 PS4. En 3 au cours du cycle, le balai de la colonne 4 provoque l'excitation du sélecteur 1;
en 2 de ce même cycle, le balai de la colonne 5 provoque l'exci tation du sélecteur 2, et en 1 le balai de la colonne 2 provoque l'excitation du sélecteur 3, comme on l'a décrit plus haut. Si le question naire comprenait cinq questions sur cette même base et que la réponse correcte à la quatrième question se trouvait dans la colonne @2 et celle à la cinquième question dans la co lonne 5, les douilles 1 et 4 du groupe de douilles PS4 de l'émetteur 1 seraient alors re liées en commun au balai de la, colonne 2 et les douilles 2 et 5 PS4 seraient reliées en commun au balai de la colonne 5.
Il s'ensuit que les sélecteurs de recodification 4 et 5 sont ajoutés dans le circuit et que les douilles 4 et 5 du groupe de douilles PS4 sont reliées par des connexions à fiches, de faon. similaire à celle indiquée à la fig. 49N. Si toutes les cinq questions ont reçu des réponses correctes, les cinq sélecteurs de recodification sont alors rendais efficaces et la douille 5 PS54 est choisie.
La table ci-après montre comment dix questions peuvent recevoir des réponses, un choix de cinq réponses possibles étant prévu. Un tel fonctionnement nécessite l'utilisation de dix sélecteurs de recodification
EMI0108.0022
<I>Table <SEP> X:
</I>
<tb> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5
<tb> 0 <SEP> - <SEP> - <SEP> X <SEP> - <SEP> ,l <SEP> - <SEP> X
<tb> 2 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> X
<tb> 3 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> X <SEP> 4 <SEP> - <SEP> X <SEP> 5 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> X
<tb> - <SEP> X <SEP> - <SEP> 7 <SEP> X <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> 8 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> X <SEP> 9 <SEP> - <SEP> - <SEP> X <SEP> - <SEP> - Dans la table ci-dessus, un X indique que le balai de fiche, par exemple celui de la colonne 2, est relié aux douilles 1 et 4 du groupe de douilles PS4 de l'émetteur 1 pour des réponses correctes.
Selon cette disposition, le balai de la colonne -1 est relié par une con 3 nexion à fiches à la douille<B> 7 </B> PS4, celui de la colonne 2 aux douilles 1 et 4 , celui de la. colonne 3 aux douilles 0 , 6 et 9 , ce lui de la colonne 4 aux douilles 3 et 8 et celui de la colonne 5 aux douilles 2 et 5 , ces douilles correspondant aux segments de l'émetteur 1 portant les mêmes numéros.
Lors- que le questionnaire comprend plus de douze questions, la fiche peut être divisée en plu sieurs champs de réponse supplémentaires, et chacun de ces champs peut être trié et compté au cours d'une course séparée. Avec cinq ré ponses possibles pour chaque question et avec douze questions possibles par colonne, il est possible d'avoir affaire à cinq champs de ré ponses marqués, prédis pour être analysés, permettant un maximum de 60 questions par fiche.
Si on le désire, les poinçonnages qui constituent la traduction des marques peuvent être effectués dans les mêmes colonnes que ces marques constituant les réponses ou, dans clés buts analogues, la machine pourrait aussi être équipée d'un dispositif analyseur pour de telles marques.
La fig. 490 représente un mode de con nexion destiné à assurer un triage de forme extrêmement simple, selon une suite arbi traire. Dans cette opération, les fiches doivent être disposées dans l'ordre désiré au cours de deux courses de phase, conformément à une suite arbitraire qui n'a pas de relation avec les nombres réels poinçonnés dans la fiche. Ce problème et le mode de connexion y relatif ont été choisis très simples, de faon que les cir cuits soient faciles à suivre. On désire que les fiches soient disposées dans l'ordre arbitraire suivant: 2, 1, 3, 8, 5, 6.
Avec le mode de con nexion représenté, les valeurs des poinçon nages contenus dans la colonne 25 sont. enre gistrées dans deux groupes d'emmagasinage de chiffre. Dans le cas considéré, le commu tateur S2 est d'abord mis en position de phase 2. Pendant les opérations de triage de la phase 2, les circuits de contrôle sont formés à partir de la douille PS22 et jusqu'à la douille C PS39 du groupe d'emmagasinage de chiffre de gauche. Si une fiche poinçonnée d'un 2 ou d'in 8 est analysée, cette fiche doit être dirigée vers la poche 1 .
Si la fiche est poinçonnée d'aire 5 ou d'un 1 . elle doit être déposée dans la poche 2 , et si elle est poinçonnée d'un 6 ou d'un 3 , elle doit. être déposée dans la poche 3 . Dans le cas considéré, il n'y a pas de fiche poinçonnée de 4 ou de 7 .
Pendant la course de phase 1, le commu tateur de phase étant en position de phase 1, les fiches qui avaient précédemment été dé posées dans les poches 1>>, 2 et 3 sont acheminées dans la machine dans cet ordre, et le groupe d'emmagasinage de chiffre de gau che est efficace pour diriger les fiches poin çonnées de 1 , 2 ou de 3 vers la poche 1 et -les fiches poinçonnées de 5 , de 6 ou de 8 dans la poche 9-' . A la fin de cette opération, les fiches sont empilées, celles qui se trouvaient dans la poche 1 étant au bas du paquet, leurs .faces étant tournées vers le bas .et celles qui étaient dans la poche 2 se trouvant au-dessus .de celles qui étaient dans la poche 1 .
On constate alors que les fiches se trouvent dans l'ordre 2, 1, 3, 8, 5, 6, à par tir du bas jusqu'en haut. Il va de soi qu'il peut y avoir plus d'une fiche pour chaque chiffre.
Les fig. 49p et 50F représentent un mode de connexion destiné à permettre la solution d'un problème d'addition complexe, les fiches devant être triées après cette addition dans 5 quatre poches et selon quatre types d'erreurs de poinçonnage susceptibles de se produire. On comprendra qu'une opération de ce genre peut être effectuée en relation avec une opé ration de comptage. Par exemple, on peut compter les fiches conformément à des classi fications déterminées par une opération de triage précédente ou à l'aide d'un circuit de recodification spécial, indépendant du cir cuit d'édition.
Dans ce cas, quatre types d'er- 5 reurs sont possibles et peuvent être détectés: 1 double poinçonnage, c'est-à-dire que chaque colonne ne devrait contenir qu'un seul poinçonnage, et si une colonne en contient deux, l'un de ces poinçonnages est faux; i 2 colonnes vierges; chaque colonne de vrait contenir un poinçonnage, et si une co lonne n'en contient pas, cela constitue une erreur; 3 certaines colonnes ne doivent pas con tenir de poinçonnage de valeur paire; 4 certaines colonnes ne doivent pas con tenir de poinçonnage de valeur impaire.
Ce mode de fonctionnement illustre égale ment une utilisation possible des groupes de chiffre pairs et impairs PS6 et PS7.
Afin d'éviter d'utiliser des connexions à fiches à dérivation, on utilise l'un des groupes de douilles PS41. Dans le but de simplifier la représentation du mode de connexion, le groupe de douilles PS41 est représenté à gau che du groupe de contacts des sélecteurs 21 et 31. On comprendra que ces connexions à fiches aboutissent en réalité au bas du tableau de connexion et qu'elles sont insérées dans le groupe de huit douilles communes PS41, au- dessous des groupes de chiffre.
-Pour qu'une fiche soit déposée dans la po- che- 1 , il faut que tous les sélecteurs de r e- codification 1, 3, 5, 7, 24 et 26 soient excités. Si la colonne -5 ne contient pas de poinçon nage, le sélecteur de recodification 1 n'est pas excité et le circuit de contrôle part de la douille PS22 (fig. <B>50E)</B> et passe à travers les contacts normalement fermés du sélecteur de recodification 1 et, à travers des connexions à fiches, jusqu'à la douille P841 et à la douille <I> 4 </I> PS54,
provoquant ainsi l'acheminement de cette fiche vers la poche 4 . Si la colonne 5 est poinçonnée de façon correcte, mais pas la colonne 6, la poche 4 est à nouveau choisie. Cette fois-ci, le circuit de contrôle passe à travers les contacts normalement ouverts du sélecteur 1 et les contacts fermés du sélecteur 3. De même, si la. colonie 15 n'est pas poinçonnée dans une de ses positions 1 ou 2 ou si elle n'est pas poinçonnée dans une de ses positions 3 à 6, les sélecteurs de re- codification 5 et 7 ne sont pas actionnés et la poche 4 est à nouveau choisie.
Par consé quent, l'absence d'un poinçonnage à une des positions repère d'une des colonnes 5 et 6 ou à une des positions repère 1 et 2 ou 3 -à 6 de la colonne 15 provoque l'acheminement de la fiche vers la poche 4 . On remarquera que les positions repère 1 ou 2 et une des posi tions. repère 3 à 6 doivent être poinçonnées dans la colonne 15. Il est évident que lorsque l'un des sélecteurs 1, 3, 5 et 7 n'est pas rendu efficace, la fiche est toujours dirigée. vers la poche 4 .
Le sélecteur 13 est rendu efficace sorts l'effet d'un double poinçonnage. Supposons., par exemple, que la colonne 5 contienne deux poinçonnages; le premier de ces poinçonnages établit un circuit à travers les contacts nor malement fermés du sélecteur 1 pour rendre efficace ce sélecteur qui actionne ses contacts et relie la douille PS41 au balai de la colonne 5.
Si la colonne 5 contient un second poin çonnage, ce poinçonnage provoque l'établisse ment d'un circuit passant à travers les con tacts normalement ouverts du sélecteur 1 et aboutissant à la douille PS41 et de là aux douilles PS2 et PS3 du sélecteur 13, rendant ainsi ce sélecteur efficace et fermant ses con tacts normalement ouverts. Admettons qu'au- cune des colonnes ne soit vierge et que tous les sélecteurs 1, 3, 5 et 7 soient correctement excités, le double poinçonnage que contient la.
,colonne 5 provoque alors l'acheminement de la fiche vers la poche 12 . Le circuit de con trôle part de la douille PS22 (fig. 50F) et passe à travers les contacts normalement ouverts des sélecteurs 1, 3, 5, 7 et 13 pour aboutir à la douille 12 du groupe de douilles PS54. Cependant, si l'une des colonnes est vierge, la commande exercée par cette co lonne a la préséance sur la commande exercée par le double poinçonnage, si bien qu'une fiche présentant une colonne vierge est en voyée dans la poche 4 .
La colonne 25 ne devrait être poinçonnée que dans l'une de ses positions repère de va leur impaire et, si cette colonne est correcte ment poinçonnée, elle provoque l'excitation du sélecteur de recodification 24. Si une va leur paire est enregistrée dans la colonne 25, le sélecteur 24 n'est pas excité et, en admet tant que la fiche ne présente ni double poin çonnage ni colonne vierge, elle est déposée dans la poche 3 .
La colonne 30 ne devrait être poinçonnée qu'à l'une des positions repère paires et, si cela n'est pas le cas, le sélecteur de recodifi- cation 26 n'est pas rendu efficace. En admet tant que les autres colonnes soient poinçon nées correctement, la fiche est déposée dans la poche 2 . Si la colonne 30 est correcte- ment poinçonnée à l'une de ses positions re père paires, le sélecteur de recodification 26 est excité et la poche 1 est choisie.
A la fig. 49P, on remarquera qite les con tacts normalement ouverts de chacun des sé lecteurs de recodification 1, 3, 5 et 7 sont re liés aux douilles PS41. La première impulsion qui se produit lors de l'exploration d'une co lonne pour rendre une commande particulière efficace a pour effet de rendre efficace l'un des groupes 1, 3, 5 et 7, selon le cas.
Cepen dant, si cette colonne contient im second poin- çonnage dans l'une de ses autres positions re père, le sélecteur .de recodification 13 est rendu efficace par la. seconde impulsion de balai, de la même façon que le sélecteur de recodification 1.
Par exemple, si la colonne 6 contient un double poinçonnage, le premier poinçonnage provoque l'excitation du sélec teur de recodification 3 et, pour le second poinçonnage, un circuit analogue est formé à travers les contacts normalement ouverts du sélecteur 3 jusqu'aux .douilles PS41 et au sé lecteur de recodification 13.
Au cas où la colonne 15, par exemple, dîme fiche quelconque est. poinçonnée à. ses positions repère 1 et 2 ou à deux quel conques de ses positions 3 à 6 , le sélec teur de recodification 13 est rendu efficace par le second poinçonnage, par l'intermédiaire des contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 5 ou 7, selon le cas. On voit donc que le fonctionnement .du sélecteur de recodïfication 13 dépend du fonctionnement des sélecteurs de recodification 1, 3, 5 et 7.
Cependant, si la colonne 5 ou la colonne 6 est vierge, la commande de colonne vierge prend la préséance sur la commande de double poin çonnage pour envoyer la fiche présentant une colonne vierge dans la poche 4 .
Les fig. 49Q et 50F.représentent im mode de connexion permettant à la machine de com mander un triage, par exemple sur la base de valeurs relatives: forte, faible ou égale entre différents champs poinçonnés de la fiche, l'un de ces champs comprenant les co lonnes 1 à 3 et l'autre les colonnes 10 à 12. Dans le cas considéré, on désire comparer des températures mesurées au moyen d'un thermo mètre sec, enregistrées dans le champ 1, avec des températures mesurées au moyen d'un thermomètre humide et enregistrées dans le champ 2. Le domaine des températures passe par zéro sur l'échelle de température.
Il est donc nécessaire d'indiquer le signe de la tem pérature par rapport à zéro et les fiches poin- gonnées d'un X à la colonne 1 ou à la co lonne 10 contiennent des indications de tem pérature négatives dans les champs qui com prennent ces colonnes. Par exemple, -10 est enregistré au moyen de poinçonnages dans les colonnes 2 et 3 pour enregistrer 10 et par un poinçonnage X ou 11 à. la colonne 1. -I-10 est enregistré par des poinçonnages 010 aux colonnes 1, 2 et 3. Aucun zéro n'est poinçonné dans les colonnes 1 et 10 lorsque ces colonnes contiennent un X .
Trois possibilités peuvent être prises en considération, de façon générale. Les tempé ratures humide et sèche peuvent toutes deux être positives, c'est-à-dire au-dessus de zéro, et dans ce cas, la comparaison est pure ment numérique, le nombre enregistré le plus élevé étant le plus fort en valeur ou dans la suite. D'autre part, les deux températures peuvent être au-dessous de zéro et, dans ce cas, le nombre le plus faible est le plus fort dans la suite. Selon une troisième possibilité, l'une des températures peut être au-dessus de zéro, l'autre étant en dessous de zéro. Dans ce cas le poinçonnage X de l'un des champs détermine automatiquement lequel des champs ainsi poinçonnés est le plus faible dans la suite, sans tenir compte des chiffres réels.
Avant de décrire le fonctionnement de la machine, il est opportun de faire remarquer qu'un temps d'environ 2 millisecondes est né cessaire pour amorcer un tube de sélecteur de recodification, à partir de l'instant auquel l'impulsion du balai analyseur de fiche est appliqué à la grille de commande de ce tube.
Cependant, un temps .d'environ 4,5 milli- secondes est nécessaire, à partir de ce moment, pour provoquer la fermeture des contacts du relais commandé par ce tube de sélecteur de recodification. Ce retard supplémentaire est dû à l'influence de l'inductance de l'enroule ment du relais et au retard mécanique des s contacts qui doivent effectuer un certain mouvement avant d'établir effectivement le contact électrique.
De ce fait, il est possible d'envoyer une impulsion, à partir d'un balai de fiche, aux contacts normalement fermés d'un sélecteur de recodification et simulta nément à la grille de commande de ce sélec teur, pour rendre efficace un second sélecteur de r ecodification avant que les contacts nor malement fermés du premier sélecteur de re- e codification ne s'ouvrent.
Pour commencer, admettons que la tem pérature sèche enregistrée dans le champ 1 soit au-dessous de zéro et que la température humide enregistrée dans le champ 2 soit au- c dessus de zéro. Un poinçonnage 11 se trouve par conséquent à la colonne 1, et ce poinçon nage indique automatiquement que la tempé rature humide est la phis forte dans la suite puisque cette température est positive et que la température sèche est négative.
Les sélec teurs de recodification 1 et 31 sont rendus efficaces, permettant au circuit de contrôle d'être établi à partir de la douille PS22 (fig. 50F), à travers les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 31 et les contacts normalement fermés du sélecteur de recodification 32. Ce circuit aboutit à la douille 2 du groupe de douilles PS54, si bien que 1a fiche contenant un X poin çonné dans son champ 1, mais pas de X dans son champ 2 est acheminée vers la po che 2 .
Admettons maintenant que les conditions de température soient inversées et que la a fiche contienne un poinçonnage X dans sa colonne 10 et pas de X dans sa colonne 1. Les sélecteurs de recodification 21 et 32 sont excités et le circuit de contrôle partant de la douille PS22 (fig. 50F)
passe par les con- 9 tacts normalement fermés du sélecteur de re- codification 31 et les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 32 pour aboutir à .la douille 3 du groupe de douilles PS54. La température humide est 9 ainsi indiquée comme étant la plus faible, et la fiche est déposée dans la poche 3 .
Dans ces deux cas, la seule existence d'un poin- connage 11 dans un seul des champs dési gne automatiquement le signe des valeurs réelles et, si ces valeurs étaient égales, leurs valeurs relatives seraient telles que la valeur enregistrée dans le champ ne contenant pas de X serait la plus forte.
Si les deux champs de la fiche contiennent chacun un poinçonnage 11 , un essai doit alors être effectué pour déterminer le champ contenant la valeur la plus forte dans la suite, cette valeur étant alors représentée par le nombre le plus faible. Admettons que les deux champs soient poinçonnés en 11 dans leurs colonnes 1 et 10 et que la température sèche soit de -21 , la température humide étant de -10 . Dans ce cas, les sélecteurs de recodification 1, 11, 21, 31 et 32 sont efficaces en 11 , du fait que les deux champs sont poinçonnés en 11 dans leurs colonnes 1 et 10 respectives.
En 2 du cycle, le sélecteur de recodification 2 est excité et ouvre ses con tacts normalement fermés, empêchant ainsi l'excitation du sélecteur de recodification 22. En 1 du cycle, le sélecteur de recodifica- tion 3 est excité et empêche l'excitation du sélecteur de recodification 23. Etant donné que les sélecteurs de recodi- fication 1, 2, 3, 11, 21, 31 et 32 sont efficaces, la poche 2 est choisie à l'aide d'un circuit qu'on peut suivre à la fig. 50F.
Ce circuit part de la douille P822 et passe par les con tacts normalement ouverts des sélecteurs de recôdification 31, 32, 21 et 11 et par les con tacts normalement fermés du sélecteur de re- codification 22, pour aboutir à la douille 2 'du groupe de douilles P854, si bien que la poche 2 est choisie pour la fiche considérée. Si les conditions étaient inversées et que la température sèche soit de -10 , la tempéra ture humide étant de -21 , les sélecteurs de recodification 1, 2, 3, 11, 21, 22, 23,
31 et 32 seraient rendus efficaces pour établir le cir cuit de contrôle. Ce circuit part à nouveau de la douille PS22 (fig. 50F) et passe par les contacts normalement ouverts des sélecteurs de recodification 31, 32,<B>9-1, 11</B> et 22 et par les contacts normalement fermés du sélecteur de recodification 12, pour aboutir à la douille 3 du groupe de douilles PS54. La poche 3 est ainsi choisie pour la fiche considérée.
Si les températures sont toutes deux su périeures .à zéro, la température sèche étant par exemple de 010 et la température humide de 021 , les premiers zéros étant poinconnés dans la fiche, les sélecteurs de recodification l., 2, 3, 11, 21, 22 et 23 sont rendus efficaces et le circuit. de contrôle partant de la douille P822 (fig. 50F) passe par les contacts norma lement fermés des sélecteurs .de recodification 31 et 32, par les contacts normalement ouverts des sélecteurs de recodification 21, 11 et 22 et par les contacts normalement fermés du sélec teur de recodification 12.
Ce circuit aboutit la douille 2 du groupe de douilles PS54, si bien que la fiche est déposée dans la poche 2 . Si ées conditions sont inversées et que la température sèche est de 021 , la température humide étant de 010 , les sélecteurs de reco- dification 1, 2, 3, 11 et 21 sont rendus effi caces et le circuit de contrôle partant de la douille P822 (fig. 50F) passe par les contacts normalement.
fermés des sélecteurs de recodi- fication 31 et 32, par les contacts normalement ouverts des sélecteurs de recodification 21 et 11 et par les contacts normalement. fermés du sélecteur de recodification 22. Ce circuit abou tit à la douille 3 du groupe de douilles <I>PS54</I> et la fiche est ainsi acheminée vers la poche 3 .
Deux états d'égalité doivent encore être considérés; tout d'abord, lorsque aucun des champs n'est poinçonné d'un X et ensuite lorsque les deux champs sont poinçonnés d'un X , les températures étant égales dans les deux cas. Admettons que la température humide et la température sèche soient toutes deux de +2511, ces températures étant indi quées par des poinçonnages 025. En 5 du cycle, le sélecteur de recodification 23 est.
rendu efficace par l'intermédiaire des con tacts normalement fermés du sélecteur de re- codification 3, et les sélecteurs de recodifica- tion 3 et 13 sont également rendus efficaces. En 2 du cycle, le sélecteur de recodification 22 est rendu efficace par l'intermédiaire des contacts normalement fermés du sélecteur de recodification 2 et les sélecteurs de recodifica- tion Z et 12 sont également rendus efficaces.
En 0 du cycle, le sélecteur de recodification 21 est rendu efficace par l'intermédiaire des contacts normalement fermés du sélecteur de recodification 1 et les sélecteurs de recodifica- tion 1 et 11 sont également rendus efficaces, si bien que tous les sélecteurs de recodifica- t.ion, sauf les sélecteurs 31 et 32, sont alors efficaces.
Le circuit de contrôle s'étend par conséquent à partir de la douille PS22 (fig. 50F) à travers les contacts normalement fermés des sélecteurs de recodification 31 et 32 et à travers -les contacts normalement ouverts des sélecteurs- de recodification -21, 11, 22, 12, 23 et 13. Ce circuit aboutit à la douille 1 du groupe de douilles PS54 et la fiche est envoyée dans la poche 1 .
Il en est de même lorsque la température humide et la température sèche sont égales entre elles et que les deux champs- sont poin çonnés .d'un X , sauf que les sélecteurs de recodification 31 et 32 sont alors également rendus efficaces. Le circuit de contrôle s'étend dans ce cas à partir de la douille PS22, à tra vers les contacts normalement ouverts des sélecteurs de recodification 31, 32, 21, 11, 22, 12, 23 et 13, pour aboutir à la douille 1 du groupe de douilles P854. Cette fiche est alors également envoyée dans la poche 1 .
Il est évident que les fiches présentant des poinçonnages correspondant à des valeurs égales dans leurs deux champs respectifs sont toujours envoyées dans la poche 1 , les fiches dont les poinçonnages correspondent à une température humide plus forte que la tempé rature sèche étant envoyées dans la poche 2 et les fiches dont les poinçonnages correspon dent à une température humide plus faible que la température sèche étant envoyées dans la poche 3 .
*La fig. 49R représente un mode de con nexion comprenant l'utilisation du distribu teur d'unités-dizaines pour effectuer 'un compte de subdivisions de classification d'une répartition par classes détermlinée par les sélecteurs de recodification.
Une application de ce mode de connexion pourrait par exemple être constituée par une opération de tabulation de vétérans par sexe, par race et par état de service. Le sexe est enregistré dans la colonne 5, un poinçonnage 1 désignant un individu masculin et un. poinçonnage 2 un individu féminin. La race est enregistrée dans la colonne 10, un poin çonnage 1 désignant un individu blanc et un poinçonnage effectué .à l'une des positions repère 2 à 6 indiquant un individu d'une autre race. Dans le cas considéré, on distingue quatre groupes de classe principaux compre nant les deux groupes de sexe et les deux groupes de race.
Chacun de ces groupes doit être subdivisé conformément à l'état de ser vice des vétérans qui est enregistré dans la co lonne 30. Les positions 0 à 9 désignent respectivement dix différentes classes d'état de service qui, par exemple; pourraient être constituées par 0 pour la guerre de Séces sion, 1 pour la guerre -hispano-américaine et ainsi de suite.
Le code des états de service pourrait aussi correspondre à un degré d'in firmité ou de dépendance dîi à, -un service effectué pendant une guerre. Etant donné que le code utilisé est sans importance, il n'est pas nécessaire de le décrire en détail. Chaque fiche présente trois poinçonnages dé signant le sexe, la race et l'état de service .des vétérans. On désire compter le nombre de vé térans ayant un même état de service dans chacun des quatre groupes de classe princi paux, de sexe et de race.
Dans ce but, il est nécessaire d'utiliser le distributeur d'unités- dizaines de façon quelque peu différente de celle décrite en référence à- la fig. 49E, mon trant un mode de connexion destiné à utiliser ce distributeur pour commander le triage sur la base de domaines d'âges.
Admettons que la fiche analysée soit poin çonnée 1-1-1 , cette fiche désignant un individu masculin blanc ayant un état de ser vice conforme à la position 1 dû codé. -L'état de- service est enregistré à la - position des unités du distributeur d'unités--dizaines.- Dans le cas considéré, du fait que la fiche est poiu- çonnée en 1 à sa colonne 30, ce distributeur provoque l'excitation du relais R171 (fila. 48V) et ferme ainsi -an circuit aboutissant au relais 1 R180.
De ce fait, tous les contacts R180A du relais R180. reliés à des douilles PS35 dé signées par O1,11 ,21, 31, etc. à 91 à la fila. 48V, sont fermés. Les sélecteurs de recodification 1 et 11 sont rendus efficaces, si bien qu'un cir cuit de contrôle est formé à partir de la douille PS22 (fila. 49R) et à travers le relais de triage 1 R115P jusqu'à la douille 1 du groupe de douilles PS21. Ce circuit est semblable à certains circuits de contrôle qu'on a décrits en détail -à propos d'autres opérations.
A par tir .de la douille PS21, ce circuit de contrôle passe à travers les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 1 et à travers une connexion à fiches pour parvenir à la douille 0 PS34 et à la connexion com mune d'extrême gauche (fila. 48V).
Il s'étend ensuite à travers les contacts R180-4, jusqu'à la douille 01 PS35 et de là jusqu'à la douille d' Entrée PS30 du compteur 2 et à travers l'électro-aimant C32 de ce compteur jusqu'à la douille de sortie PS31. A partir de cette douille,
le circuit de contrôle passe par une connexion à fiches et par des ponts reliant entre elles toutes les douilles de sortie des compteurs 1 à 10 et 16 à 25 et par une con nexion à fiches aboutissant à la douille 1 PS26. Le compteur 2 est ainsi choisi pour compter un individu masculin dont l'état de service correspond à la position 1 du code.
A partir :de la douille 2 PS21, le circuit de contrôle s'étend, également à travers les con tacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 11 jusqu'à la douille 3 PS34 et jusqu'à la quatrième connexion commune à partir de la gauche, à la fila. 48V, aboutissant aux contacts R180A et à travers ces contacts à la douille 31 PS35 (fila. 4912).
Ce même circuit de contrôle parvient ensuite à la douille d' Entrée <I>PS30</I> du compteur 41 et passe .à travers l'électro-aimant C111 de ce compteur pour aboutir à la douille de sortie PS31 de ce compteur et de là, à travers les ponts et la connexion à fiches, à la douille <I> 2 </I> PS26. Le circuit de contrôle est fermé à travers la connexion à fiches reliant la douille 2 PS27 à la douille PS28, et le tube P123 est amorcé. Par conséquent, le nombre d'indi vidus ayant un état de service correspondant à la position 1 du code est compté par le compteur 41.
Si la fiche est poinçonnée d'un 2 corres pondant à un individu féminin, le sélecteur de recodification 2 est efficace et le circuit passe par la douille 1 du groupe de douilles PS34 et de là à la douille 11 du groupe de douilles PS35 qui est reliée à la douille d' En- trée P830 du compteur 17. Ainsi, le comp teur 17 est choisi au lieu du compteur 1 pour compter des vétérans féminins ayant. un état de service correspondant à la position 1 du code, la race étant identique dans ce cas.
Le reste du circuit peut être suivi comme aupa ravant, et ce circuit choisit à nouveau le compteur 41 qui compte le nombre de vété rans blancs ayant un état de service conforme à la position 1 du code.
-Si 1a race était désignée par une des po sitions 2 à 7, désignant respectivement des races autres que la race blanche, telles que les races noire, jaune, ete., le sélecteur de reco- dification 12 serait alors excité et, en admet tant que le sexe soit masculin comme aupara vant,
le sélecteur de recodification 1 serait également excité et le circuit partirait de la douille 1 du groupe de douilles PS21 et passerait à travers les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodification 1 pour parvenir à la douille 0 PS34 et pour choi sir le compteur 2.
Le second circuit de comp tage s'étendrait ans ce cas à partir de la douille 2 du groupe de douilles PS21 et à travers les contacts normalement fermés du sélecteur de recodification 11 et les contacts normalement ouverts du sélecteur de recodi- fication 12 jusqu'à la douille 2 du groupe de douilles PS35 et à la douille PS30 du compteur 32. A partir de cette douille, ce cir cuit reviendrait à la douille PS26. Par consé quent, le nombre de vétérans de couleur ayant des états de service correspondant à la position 1 du code serait compté par le compteur 32.
La rangée supérieure comprenant les .compteurs 1 à 10 sert à compter le nombre d'individus masculins conformément aux états de service des vétérans de ce sexe. La deuxième rangée comprenant les compteurs 16 à 25 sert à compter le nombre de vétérans féminins pour chaque état de service, et la troisième rangée comprenant les compteurs 31 à 40 sert à compter le nombre de vétérans blancs conformément à leurs états de service. Finalement, la rangée inférieure comprenant les compteurs 46 à 55 sert à compter le nom bre de vétérans de couleur pour chaque état de service.
Pour imprimer ces totaux, il est désirable d'utiliser. un formulaire, ou une feuille de travail, plus étroit que celui repré senté à la fig. 42 et ne comprenant que dix colonnes numérotées pour les compteurs au lieu de quinze. Sur la première section de la feuille de travail, les nombres 1 à 10 d'une moitié de cette section correspondent aux états de service 0 à 9 des vétérans de sexe masculin, et les nombres 11 à, 20 de l'autre moitié de cette section correspondent aux nombres de vétérans féminins pour chaque état de service du code.
Dans la seconde sec tion de la feuille de travail, les nombres 21 à 30 et 31 à 40 se rapportent respectivement à la répartition des vétérans entre individus blancs et de couleur, conformément aux états clé service de ces vétérans. À6n d'imprimer lés totâiix et d'effectuer une opération de sommation décalée correcte, il est nécessaire de disposer une butée mar ginale à la colonne 14 pour que les opérations clé sommation 'décalée débutent immédiate ment après que les totaux des compteurs 10; 25, 40 et 55 ont -été imprimés au cours di treizième cycle d'impression.
étant donné qu'on dispose de dix entrées possibles PS34, on peut subdiviser jusqu'à dix classes principales fournies par la fiche<B> </B> en autant de subdivisions que le permet la Capa cité de comptage de la machine.
La machine représentée comprend 60 coinpteürs et on ne peut, par conséquent, former plus dé 15 subdivisions pour chacune des quatre classes" principales prévues, -conformément au' mode de connexion de la fig. 491t. Selon ce mode de connexion, il n'a pas été prévu de connexions' à fiches permettant d'utiliser le compteur 1 comme compteur de total, parce que le but principal -de cette figure est de montrer la façon dont une subdivision peut être effec tuée.
Les compteurs 31 à 40 et 46 à 55 sont re présentés comme étant reliés par des Con nexions à fiches pour effectuer des souÏtrac- tions, de façon que les totaux ' imprimés par les batteries d'impression 3 et 4 équilibrent les totaux imprimés par les batteries d'impres sion 1 et.2. Dé ce fait, il est évident que l'ac cumulateur 4 'sera à zéro à la fin de l'op6ra- tion de sommation décalée, et il sera, par con séquent;
nécessaire d'effectuer une opération d'impression finale à la main - puisque cet accumulateur 4 ne sera pas en 9 au -mo ment où son état est contrôlé.
Si on désire relier le compteur 1 par des connexions à fichés pour lui faire compter le total des fiches, il est également nécessaire de relier iin second compteur pour équilibrer les totaux contenus -dans les compteurs 31 à 40 et 46 à 55, de la façon expliquée plus haut en référence à la fig. 49M.
Pour relier le comp teur 1 pour le comptage des fiches; toutes les connexions à fiches des compteurs représen tées à la fig. 49R peuvent être déplacées d'une position vers la droite, ces connexions à fiches comprenant celles aboutissant aux douilles 1 et 2 des groupes de douilles P821, PS26 et P827, pour permettre au eornpteur 1 d'être relié aux douilles 1 des groupes de" douilles<I>PS21</I> et PS26. Pour équilibrer les totaux, comme on l'a décrit plus haut, un se cond compteur de fiches, qui peut être l'un quelconque des compteurs restants,
peut être relié aux douilles 4 des groupes de douilles PS21 et PS26 et la connëXion à fiches abou tissant â la douille PS2â sera alors déplacée et reliée à la douille 4 -du groupe de douilles PS27. Si l'on compte ainsi les fiches; il sera nécessaire d'utiliser des sections de feuilles de travail présentant quinze colonnes niuné- rotées dans chacune de leurs demi-sections pour pouvoir imprimer les totaux fournis par le compteur 1 et par le compteur d'équili brage supplémentaire.
Ce compteur d'équili brage peut être choisi dans l'un quelconque des quatre groupes et le total enregistré dans ce compteur sera imprimé par la batterie d'impression associée à ce groupe.
Pour réduire la largeur des sections de la feuille de travail à un minimum et polir évi ter -de laisser des colonnes vierges dans ces sections, il est désirable de partir de la gau che avec les compteurs 1, 16, 31 et 46 lors qu'on connecte les compteurs pour le fonc tionnement et de relier ces compteurs dans leur ensemble par des connexions à fiches, comme indiqué aux fig. 49F et 49K. Ainsi, si 13 compteurs par exemple sont nécessaires, il est préférable d'utiliser les compteurs 1 à 14 (y compris le compteur de totalisation des fiches),
puisque ceci permet d'utiliser une feuille comprenant 18 colonnes, en comptant la colonne de quantité pour deux colonnes et en comprenant la colonne de triage et la co lonne de contrôle.
Pour l'établissement des feuilles de travail et du mode de connexion des compteurs, il est essentiel de se rappeler que l'impression des totaux à partir des compteurs débute tou jours par les compteurs 1, 16, 31 et 46 et de vrait se terminer par le compteur de rang le plus élevé à partir de la gauche d'une rangée quelconque (fig.41), la numérotation de la ran gée supérieure de cette figure étant relative aux compteurs 1 à 15.
Par exemple, si les comp- teurs1à13,16à22,31à44et46à50sont reliés par des connexions à fiches, l'impres sion des totaux contenus dans les compteurs se- terminera par celle du compteur 44, puis que c'est le compteur de rang le plus élevé dans la suite d'impression des totaux rap portés à la rangée supérieure, ce compteur 44 étant, à ce point de vue, équivalent au compteur 14.
Lorsque le tableau de connexion a été préparé, il suffit que l'opérateur note lequel des compteurs est celui de rang le plus élevé par rapport à la suite d'impression des totaux en repérant sa position horizontale par rapport à la numérotation de la rangée supé rieure -de douilles de compteur de la fig. 41. Il peut alors disposer la butée marginale com mandant l'inverseur 1!1S2, de façon que cette butée soit efficace à la colonne de rang supé rieure suivant celle correspondant au dernier compteur dans la suite d'impression.
Pendant une opération de comptage et de tabulation de poste conformément à une clas sification déterminée, selon laquelle les fiches ne sont pas avancées par ordre de série, il est parfois nécessaire de retirer les fiches selon un ordre de série ou selon un ordre alphabé tique préalablement à une opération de tabu- lation subséquente ou à une série de telles opérations. En d'autres termes, il est parfois nécessaire d'effectuer la première partie d'une simple opération de triage selon une suite pendant une opération de comptage.
Au cours d'une course unique de l'opération de comp tage, il est seulement possible de disposer les fiches par ordre par rapport à une seule co lonne. Si ces fiches doivent effectuer plu sieurs courses pour les disposer par ordre par rapport à d'autres colonnes, le comptage et l'impression des totaux sur la feuille de tra vail sont répétés, à moins qu'on prévoie des moyens spéciaux pour empêcher cette réim pression.<B>Il</B> est, par conséquent, désirable de prévoir des moyens capables de supprimer temporairement le comptage au cours d'une ou de plusieurs courses pendant lesquelles on n'effectue qu'un simple triage,
jusqu'à ce que les fiches aient été placées dans l'ordre désiré et qu'elles soient prêtes pour recommencer le comptage sous commande du même ensemble de circuits de comptage. La position<I>NC</I> du commutateur de phase S2 est prévue pour permettre d'effectuer une opération de triage normale pendant une course de comp tage .de la machine.
Lorsque ce commutateur de phase est mis dans sa position NC (fig. 48B), seul le relais R203 est excité, et ce relais ferme ses contacts R203A (fig. 48R) pour permettre au groupe d'emmagasinage de chiffre de la colonne 1 d'être efficace pour commander le triage de la manière décrite plus haut en référence à la fig. 49f1. Cepen dant, dans ce cas, il faut insérer une con nexion à fiches entre les douilles PS22 et PS39 de la colonne 1 des groupes d'emmaga sinage de chiffre.
Après que la course de comptage est achevée, le commutateur de phase est amené dans sa position N pour des courses subséquentes de simple triage. Pendant ces courses, seul le relais R24 est efficace, puisque le relais R201 sépare les relais R57 et R58 des contacts. C8 à l'aide de ses contacts R201G (fig. 48G). Du fait que les relais R57 et R58 ne peuvent être excités, les compteurs ne peuvent recevoir d'impulsion pendant que le circuit de contrôle série comprenant les élec tro-aimants CM des compteurs fonctionne normalement.
Après que l'ensemble de courses de sim ple triage est achevé et que les fiches sont dis posées dans l'ordre de série ou dans l'ordre alphabétique désiré, le commutateur de phase est ramené dans sa position<I>NC</I> et les courses de comptage peuvent recommencer en utili sant le même ensemble de circuits de comp tage qu'au cours de la première course de comptage..
L'une des caractéristiques les plus impor tantes de la machine décrite est constituée par le dispositif de contrôle prévu pour assurer une exactitude absolue en ce qui concerne le triage et le comptage des fiches. Ce contrôle est très important dans une machine conçue pour un travail statistique par opposition à une machine principalement conçue pour un travail comptable. Pour le travail statistique et de documentation, les données originales sont enregistrées sur des listes ou question naires sur lesquels le personnel de statistique, de documentation ou de recensement prend note des différents faits dont on désire tenir compte.
Ces listes -et ces questionnaires peu vent contenir des erreurs d'inscription, et des erreurs peuvent également se produire lors qu'on traduit les listes ou questionnaires ori ginaux en fiches poinçonnées pour effectuer les différentes opérations statistiques néces saires pour obtenir les tabulations, pourcen tages, rapports, etc. désirés.
' Dans le travail de recensement, les fiches poinçonnées passent et repassent plusieurs fois à travers la machine à trier et à travers d'au- tres machines, telles que des tabulateurs, qui préparent la tabulation des faits ou qui pré parent les fiches pour une opération subsé quente. Il en résulte que ces fiches sont très usées après avoir été utilisées plusieurs fois, qu'elles sont endommagées et qu'on éprouve souvent des difficultés parce qu'elles n'avan cent plus correctement dans la machine. Du fait de leurs passages répétés dans les diffé rentes machines, les fiches sont éraflées le long de leur bord avant par le bord inférieur limitant la sortie du magasin.
Ces fiches peu vent être ainsi éraflées de telle sorte qu'il peut se produire qu'elles passent au-dessus d'une lame de triage choisie du mécanisme de triage au lieu de passer au-dessous de cette lame. Par exemple, une fiche devant être di rigée dans la poche 5 pourrait sauter par dessus une des lames les plus proches, telle que la lame 9 , et être ainsi acheminée à la poche 9 au lieu d'être dirigée vers la poche 5 .
Il en résulte qu'une fiche peut très faci lement être mal triée et être ainsi perdue, particulièrement dans une machine du type décrit, dans laquelle la répartition des fiches est basée sur une combinaison arbitraire de données, préalablement à une tabulation sub séquente. Dans ce cas; en effet, 1u1 triage erroné n'est pas évident, puisque la .commande est basée sur une combinaison arbitraire codi fiée, déterminée par le mode dé connexion, et une erreur n'est pas immédiatement appa rente, sauf si l'on procède à une inspection minutieuse de la fiche.
Dans tous les cas, si la fiche n'était pas rejetée, l'opérateur n'au rait aucune raison de soupçonner que quelque chose n'est pas en ordre. L'adjonction d'un contrôle qui est déterminé par la position réelle des fiches dans les lames de triage sert à avertir immédiatement 1#opérateur que quel que chose est anormal dans le fonctionnement de la machine et lui fournit la possibilité immédiate de retrouver la fiche qui n'a pas été triée correctement et de corriger l'erreur commise. Le contrôle de continuité est extrêmement précieux pour ,
détecter des erreurs dans le poinçonnage des fiches ainsi que des erreurs de fonctionnement dues à ce que les circuits appropriés n'ont pas été formés. Cependant; le circuit de contrôle pourrait avoir été formé de façon correcte, puisque les poinçonnages des fiches se trouvent aux positions voulues dans ces fiches alors que, du fait de la dété rioration d'une fiche dont on a parlé plus haut, celle-ci pourrait ne pas- avoir été triée effectivement de la façon déterminée par le mode de connexion et par les données qu'elle porte.
D'autre part, il est possible qu'une fiche soit triée de façon correcte et que le circuit de contrôle soit formé comme il devrait l'être, mais un des compteurs pourrait par exemple rester collé ou sauter une unité, si bien que, lors de la tabulation finale, ce compteur pro voquerait l'impression d'un total faux.
Lors que ceci se produit, le fait que l'opération de sommation décalée ne s'effectue pas correc tement indique, ainsi qu'on l'a vu plus haut, qu'une erreur s'est produite dans la totalisa tion des fiches, et cette erreur est alors immé diatement découverte et elle est restreinte à un nombre de fiches suffisamment réduit pour que la recherche de l'erreur elle-même ne prenne pas trop de temps et ne soit pas trop fâcheuse.
Les trois caractères de contrôle de l'exac titude de triage, de contrôle de la continuité des circuits, et ' le fait qu'un circuit de com mande est établi, de même que le contrôle par sommation décalée, rendent la production d'une erreur pratiquement impossible, à l'exception d'une erreur de poinçonnage, com patible avec les données, et que la machine est naturellement incapable de déceler.
Dans la pratique des opérations compta bles, de nombreuses erreurs peuvent facile ment être décalées du fait que les données les plus importantes sont constituées par des quantités d'argent. De telles erreurs doivent, d'une façon ou de l'autre, finalement être dé celées; par exemple lorsqu'in sous-total est effectué pour vérification.
Dans le processus de facturation, toute erreur dans le prix ou dans le total de la facture sera probablement très rapidement remarquée, puisque les postes que comprend cette facture sont étroitement contrôlés par plusieurs groupes différents de personnes qui sont principalement intéressées à vérifier l'exactitude de ces chiffres.
Par exemple, si une erreur a été commise dans une facture, cette erreur peut être décelée d'au moins deux manières différentes: d'une part, par le personnel de vérification du vendeur au cours de l'un des contrôles périodiques des livres qu'effectue ce personnel et, d'autre part, par le personnel de bureau de l'acheteur ou par ses vérificateurs .des comptes.
Par con-, séquent, il est donc plus important d'empê cher des erreurs de se produire dans le travail statistique, du fait que les probabilités sont beaucoup plus faibles pour qu'une erreur soit décelée, de par la nature des. données, de par, l'utilisation des fiches ou du fait de leur dis position par suite, après que les tabulations sont achevées. Dans le travail statistique, on rencontre moins de contrôles répétés à inter valles, effectués par des personnes différentes mues par des intérêts et par des buts diffé rents que dans la pratique des opérations comptables.
Dans ces dernières opérations,, les postes se rapportent le plus souvent à des transactions d'argent, dans lesquelles des-per- sonnes ayant des intérêts différents sont inté ressées, ces personnes disposant chacune d'une organisation .de vérification et de .contrôle adéquate qui leur est propre. et qiii a pour but -d'empêcher toute -fraudé,. toute factura-: tion excessive et toute perte par facturation insuffisante.
En résumé, la machine décrite est une ma chine à'répartir des fiches d'enregistrement dont le fonctionnement est excessivement flexible; par rapport à celui de toutes les ma chines commerciales connues. Cette machine est particulièrement bien'adaptée pour effec- tiïer des travaux de recensement et des tra vaux statistiques analogues.
Elle est suscepti ble de répartir Ides moyens porteurs d'enregis trements et de les séparer conformément à di verses combinaisons ode données ou à des rela tions ' ,entre des données pouvant présenter une" signification statistique particulière. La, répartition de ces môyens porteurs d'enregis- trements peut également être effectuée con formément à une reelassification arbitraire ou à des relations déterminées à l'avance entre les données enregistrées sur ces moyens porteurs.
La machine décrite offre diverses possibi lités permettant d'effectuer certaines sortes d'opérations spéciales de répartition de moyens porteurs d'enregistrements, telles par exemple que le triage conformément à une sé rie de nombres ou conformément à la lon gueur d'un nom, ces opérations étant considé rablement simplifiées et le fonctionnement étant rendu très flexible. On évite ainsi l'uti lisation de différents dispositifs spéciaux dont les machines commerciales à trier et à répartir des moyens porteurs d'enregistrements ont jusqu'ici été équipées. L'adjonction de cer tains de ces dispositifs spéciaux gêne souvent ou empêche l'adjonction à ces machines com merciales d'autres dispositifs spéciaux.
La machine décrite comprend des moyens permettant de :déceler des erreurs suscepti bles de se produire dans le poinçonnage des données sur les moyens porteurs d'enregis- trements, si bien que ceux de ces moyens qui portent des enregistrements correspondant à des données qui semblent être incompatibles avec des faits bien connus peuvent être sé parés dans le but de contrôler visuellement les données pour s'assurer que ces moyens porteurs n'ont pas été poinçonnés de façon erronée.
Elle comprend diverses commandes spéciales servant à choisir et à répartir des fiches conformément à certaines désignations arbitraires, telles par exemple que des poin çonnages correspondant à des chiffres pairs ou impairs :dans un champ ou dans -Lute co lonne particulière de ces fiches.
Elle com prend également des moyens permettant de recodifier ou de reclasser les données enregis trées sur les moyens porteurs d'enregistre ments, dans le but de commander une réparti tion arbitraire de ces données ou une réparti tion arbitraire de ces moyens porteurs,
con formément aux données recodifiées. Elle est pourvue de moyens servant à effectuer un comptage et une tabulation du nombre de moyens porteurs présentant -certaines sortes dé données ou certaines relations entre las données enregistrées dans ces moyens ou con tenant encore des données reclassées particu lières.
Cette machine est susceptible de répar tir des moyens porteurs d'enregistrements conformément à des données originales choi sies- enregistrées dans ces moyens, ou à des données recodifiées choisies, et de compter si multanément le nombre de moyens porteurs contenant de telles données originales.
ou de telles données recodifiées. Elle présente une très grande capacité pour le comptage de données originales ou de données r eclassifiées, déterminées par des enregistrements effectués dans les moyens portéurs. Elle permet égale ment de reclassifier arbitrairement les don nées enregistrées dans les moyens porteurs et de trier ces moyens et de les compter ou de trier et de compter des moyens.
porteurs d'en registrements comformément à des données reclassifiées..
La machine décrite comprend des moyens permettant de contrôler le fonctionnement du méçanisme de distribution de moyens por teurs d'enregistrements par rapport aux don rées originales ou par rapport aux données reclassifiées,
pour assurer que chacun de ces moyens porteurs soit réellement réparti ou sé- parq conformément aux données originales enregistrées ou aux données recodifiées. Ces moyens sont commandés par la position effec tive du moyen porteur dans le mécanisme de répartition. La machine est également prévue pour compter des moyens porteurs d'enregis trements conformément à des données origi nales ou à des données reclassifiées et pour contrôler ce comptage par rapport au nombre total de moyens porteurs.
Elle comprend éga lement des moyens permettant de faire la preuve que les totaux obtenus par les moyens de comptage sont exacts, et des moyens per mettant d'imprimer les totaux accumulés dans les dispositifs de comptage..Cette machine est pourvue de commandes extrêmement flexibles pour le comptage, l'accumulation, la classifi cation, la reclassification, le contrôle, la com paraison, le recoupement, l'édition, c'est,à-dire l'annotation ou la préparation, et l'impression des totaux accumulés,
Bous commande des données originales enregistrées sur les moyens porteurs d'enregistrements: Elle comprend des moyens permettant d'effectuer une analyse détaillée et extrêmement flexible des données contenues dans, les moyens porteurs d'enregis trements et de procéder- ensuite à des con trôles, triages, comptages, totalisations et à des opérations de -répartition de ces moyens porteurs conformément à l'analyse des don nées enregistrées sur eux.
La machine décrite présente donc l'avantage d'une extrême flexi bilité pour la répartition des moyens porteurs d'enregistrements et de possibilités quasi- illi mitées pour la tabulation et pour la réparti tion de ces moyens conformément aux données enregistrées dans ceux-ci, par exemple sous forme de perforations, de poinçonnages, de repères électriquement conducteurs ou sous une autre forme convenable quelconque bien connue.