CH293307A - Machine comptable et statistique commandée par des moyens porteurs d'enregistrements. - Google Patents

Machine comptable et statistique commandée par des moyens porteurs d'enregistrements.

Info

Publication number
CH293307A
CH293307A CH293307DA CH293307A CH 293307 A CH293307 A CH 293307A CH 293307D A CH293307D A CH 293307DA CH 293307 A CH293307 A CH 293307A
Authority
CH
Switzerland
Prior art keywords
contacts
machine according
control
relay
pulses
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Inventor
Corporation Internati Machines
Original Assignee
Ibm
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Ibm filed Critical Ibm
Publication of CH293307A publication Critical patent/CH293307A/fr

Links

Landscapes

  • Accessory Devices And Overall Control Thereof (AREA)

Description


  Machine comptable et     statistique        commandée    par des moyens     porteurs    d'enregistrements.    La présente invention a pour objet une  machine comptable et statistique commandée  par des moyens porteurs d'enregistrements.  Cette machine comprend une source d'énergie  et des     moyens    de mise en place destinés à  former des circuits de commande représentant  des données comptables et statistiques. Elle  est caractérisée par un     dispositif    d'essai destiné  à effectuer un contrôle initial des circuits de  commande ainsi formés, ces circuits étant  branchés en série avec ladite source d'énergie,  pour contrôler que tous ces     circuits    ont été  formés.

   Des moyens de commutation sont  prévus pour brancher tous ces     circuits    en  parallèle avec la source d'énergie lorsque la  continuité de chacun d'eux a ainsi été con  trôlée.  



  La machine qu'on décrira plus loin, à titre  d'exemple, est du type prévu pour fonctionner  avec des moyens porteurs d'enregistrements  constitués par des fiches ou cartes     poinçonnées     ou perforées. Ce type de moyens porteurs       d'enregistrements    est bien connu, et il est uti  lisé dans les machines comptables et' statisti  ques du type Hollerith ou      IBM     bien con  nues.

   On comprendra cependant que l'inven  tion n'est pas limitée â des     machines    utilisant  des moyens porteurs     d'enregistrements    cons  titués par des fiches perforées, mais qu'elle  peut s'étendre à tout autre genre de moyens  porteurs d'enregistrements, tels par exemple  que les moyens     porteurs    d'enregistrements  constitués par des marques électriquement    conductrices qui sont utilisées pour comman  der certains types de machines bien connues.  



  La machine décrite comprend     des    moyens  électroniques servant à analyser les moyens  porteurs     d'enregistrements    et à     traduire    les  données que     contiennent    ces     moyens    en im  pulsions électriques. Ces     impulsions    sont uti  lisées pour commander les fonctions de la  machine. Celle-ci comprend donc des balais  analyseurs qui peuvent être reliés aux élec  trodes de commande de tubes électroniques,  ces balais étant disposés pour fournir des  signaux électriques à ces électrodes.

   Il est  clair cependant que de tels balais pourraient  être remplacés par des     cellules    photoélectri  ques ou par des dispositifs analogues qui ne  sont pas nécessairement en contact avec les  moyens porteurs d'enregistrements pour ana  lyser les données que contiennent ces moyens,  ou encore par un dispositif analyseur à frot  tement.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, une forme d'exécution de la ma  chine objet de l'invention.  



       Fig.    1 est une vue générale en perspective  de cette machine depuis la droite.  



       Fig.        2g    et 2B     prises    ensemble constituent.  un plan de la machine, une partie de son en  veloppe étant enlevée.  



       Fig.    3 est une     vue    d'organes de transmis  sion     prineipaitx    disposés à l'extrémité gauche  de la machine représentée à la     fig.    1.           Pig.    4 est un plan, à plus grande échelle,  d'un     magasin        pour    des fiches et d'un méca  nisme d'avance de fiche.  



       Fig.    5 est     une    élévation en coupe selon  5-5 de la     fig.    4.  



       Fig.    5A est     une    vue .de détail d'un verrou  destiné à soulever les fiches.  



       Fig.    6 est une élévation en coupe, à plus  grande échelle, montrant -une, bande de con  ,tact de contrôle.  



       Fig.    7     est    une     vue    similaire à celle de la       fig.    6, montrant un élément de triage excité  sous     commande        d'une    impulsion  1 .  



       Fig.    8 est une élévation en coupe selon  8-8 de la     fig.    6.  



       Fig.    9 est un plan partiellement en coupe,  montrant la bande de contact de contrôle de  triage.  



       Fig.    10 est     un    plan d'une bande de com  mutateur pour     l'un    des chariots que com  prend la     machine.     



       Fig.    11 est une élévation en coupe, à plus  grande échelle, de la bande de contact de  contrôle de triage, selon 11-11 de la     fig.    9.  



  File. 12 est une élévation en coupe selon       12-12    de la     fig.    2A.  



       Fig.    13 est     ime    élévation en coupe selon       13-13    de la     fig.    2A.  



       Fig.    14 est une vue, à     phis    grande     échelle,     d'un     mécanisme    de commande     d'une    barre de  caractères et     d'un        mécanisme    de contact de  contrôle,     vu    à plus grande échelle qu'à la       fig.    13.  



       Fig.    15 est     ime    élévation frontale de la  partie inférieure d'un mécanisme d'impres  sion     représenté    à la     fig.        2B.     



       Fig.    16 est une vue, à plus grande échelle,  d'un mécanisme d'échappement et d'un élec  tro-aimant     d'actiônnement    de ce mécanisme.  



       Fig.    17 est -une vue de détail montrant       une    crémaillère et des cliquets d'échappement.       Fig.    18 est une élévation en coupe, à     plais     grande échelle, d'un mécanisme d'embrayage  de retour     d'iin    chariot.  



       Fig.    19 est une élévation latérale partielle  en coupe, montrant un mécanisme d'espace  ment de lignes pour un des chariots de la ma  chine.         Fig.        \30    est une élévation     vue    depuis l'ar  rière     d'un    mécanisme d'impression représenté  à la     fig.    2A.  



       Fig.    21 est une vue de détail     d'un    méca  nisme de déclenchement d'embrayage de re  tour d'un chariot et de butées     marginales     pour le chariot représenté à la     fig.    23.  



       Fig.    22 est une vue similaire à celle de la       fig.    21 d'un mécanisme de déclenchement de  retour d'un chariot et de butées marginales  pour le chariot représenté à la     fig.    2B.  



       Fig.    23 est une élévation en coupe selon  23-23 de la     fig.    15, montrant un embrayage  d'impression.  



       Fig.    24 est une élévation en coupe selon  24-24 de la     fig.    2A, montrant     un    train d'en  grenages d'entraînement pour un     émetteur    à  grande     vitesse    et des rupteurs.  



       Fig.    25 est une élévation en coupe selon  25-25 de la     fig.    2A, montrant (les rupteurs  à grande     vitesse.     



       Fig.    26 est     une        élévation    en coupe selon  26-26 de la     fig.    2B, montrant un émetteur  d'impression.  



       Fig.    27 est une élévation en coupe selon  <B>27-9-7</B> de la     fig.    2B,     montrant    des     rupteurs     à petite     vitesse    et des organes de     transmission          d'entraînement    pour ces rupteurs.  



       Fig.    28 est une élévation     d'une    des     unités     d'accumulateur que comprend la     machine.          Fig.    29 est     une    coupe horizontale selon  29-29 de la     fig.    28.  



       Fig.    30 est une vue en bout de cette unité  d'accumulateur.  



       Fig.    31 est une élévation en coupe selon  31-31 de la     fig.    28.  



       Fig.    32 est une élévation en coupe selon  32-32 de la     fig.    29.  



       Fig.-    33 est une élévation en coupe selon  33-33 de la     fig,    29.  



       Fig.    34 est une élévation en. coupe selon  34-34 de la     fig.    29.  



       Fig.    35 est une élévation en coupe selon  35-35 de la     fig.    31.  



       Fig.    36 est une élévation d'un compteur  d'unités que comprend la machine.  



       Fig.    37 est un plan du     compteur    repré  senté à la     fig.    36.           h\ig.    38 est une élévation en coupe selon  38-38 de la     fig.    36.  



       Fig.    39 est une élévation en coupe selon  39-39 de la     fig.    37.  



       Fig.    40 est une élévation en coupe selon       40-40    de la     fig.    37.  



       Fig.    41 est une vue de face d'un tableau  de connexions de la machine.  



       Fig.    42 montre un exemple d'un formu  laire destiné à être utilisé dans la machine.       Fig.    43 est une     vue    de détail en perspec  tive et à grande échelle, montrant des con  tacts d'un levier de première fiche.  



       Fig.    44 est une vue montrant des cou  ; tacts du     magasin    de fiches.  



       Fig.    45 est une vue similaire à celle de la       fig.    35, montrant un commutateur de lecture  utilisé pour certains compteurs d'unités.  



       Fig.    46 représente un dispositif de mar  quage.  



       Fig.    47g et 47B prises ensemble consti  tuent un diagramme de commande électrique  dans le temps de la machine.  



  Fi-.     48g    à 48g constituent le schéma élec  trique de la machine.  



       Fig.    49A à     49R    sont des schémas de con  nexion de 1a machine, montrant     chacun.        l'én-          semble    de connexions effectuées sur le tableau  de connexions que comprend cette machine,  pour différentes sortes d'opérations.  



       Fig.    50A à     50D    sont des schémas électri  ques d'une partie de la machine, ces schémas  correspondant respectivement aux conditions  obtenues à l'aide des ensembles de connexions  représentées aux     fig.    49g à     49N.     



       Fig.    50E et 50F sont des schémas analo  gues à ceux des     fig.    50A à 50D, correspondant  respectivement aux ensembles de connexions  représentées aux     fig.    49F et 49Q.  



  La partie principale de l'ensemble du mé  canisme que comprend la machine est monté  sur la face supérieure d'un grand socle fondu  rectangulaire 100     (fig.        2A    et     2B).    Ce socle  est. porté par un     châssis    comprenant des pieds  101     (fig.    3) et différentes entretoises et  châssis partiels (non représentés) supportant  les éléments non     mécaniques    de cette machine,  tels que des dispositifs de commande électri-         ques    et électroniques, des dispositifs d'alimen  tation, des accumulateurs, des relais et des  compteurs de postes.  



  La machine est entourée     d'un    boîtier adé  quat 102     (fig.    1)     muni    d'une série de pan  neaux     102a        susceptibles    d'être éloignés pour  accéder aux rangées de relais, aux compteurs  d'unités, aux     tubes    électroniques et aux  sources d'alimentation de la machine. Des  panneaux semblables sont également prévus à  l'arrière de la     machine,    pour permettre d'accé  der aux éléments     électriques    montés dans le  socle.

   A l'extrémité de droite de la machine,  le boîtier 102 est muni de panneaux articulés       102b,        susceptibles    d'être déplacés pour per  mettre d'accéder à un tableau de connexions  de cette machine, pour effectuer des modifi  cations dans ces connexions ou pour changer  ce tableau et le remplacer par un tableau  câblé à l'avance, au cas où cela est nécessaire.  



  Un mécanisme d'avance de fiche et d'ana  lyse de ces     fiches    et un     mécanisme    de distri  bution de fiches qu'on désignera collective-,  ment ci-après comme mécanisme de triage  sont montés an     sommet    du socle 100. Ce  groupe de mécanismes occupe environ la moi  tié de la surface du sommet de ce socle et sa  construction est très semblable, à     certaines     modifications près, à celle de la machine de  triage de fiches  International .     Ftant    donné  que cette machine est bien connue des gens  du métier, cet ensemble de mécanismes ne sera  décrit ci-après que très brièvement, tout en  indiquant les modifications nécessaires pour le  fonctionnement spécial de la machine décrite.  



  La partie de la machine constituant une  machine de triage comprend     un    magasin H       (fig.    1, 2A, 4 et 5), destiné à recevoir des  fiches perforées C et     qui    comprend un poids  presse-fiches usuel     ZV,    destiné à maintenir les  fiches     plates    dans le magasin et à les empê  cher de     s'enrouler.    Le magasin H     est        muni    de  pinces     usuelles    pour les fiches 103     (fig.        2A,    4  et 5.),

   montées sur des     coulisses    de pince 104  réunies à des bras 105     d'in    arbre 106 par un  dispositif de liaison à fentes et goupilles.     Les     bras 105 et l'arbre 106 sont entraînés pour  osciller par des bielles 107 reliant ces bras à      des     manivelles    adéquates (non représentées)  d'un     vilebrequin    108 monté dans le châssis.  



  A chaque tour du vilebrequin 108, une  fiche est éjectée vers la gauche     (fig.    4 et 5)  du     magasin        H    et elle est saisie par des pre  miers rouleaux d'avance 109, pivotés dans le  châssis. Les rouleaux d'avance 109 déplacent  la fiche éjectée vers la-gauche, en regard d'un  rouleau de contact CR et de balais d'explora  tion de fiches B, en nombre égal à celui des       colonnes    que comprend chaque fiche d'enre  gistrement.  



  La machine représentée au dessin a été  construite pour     utiliser    des     fiches    normales        IBM     de 80 colonnes. Par conséquent, cette  machine est pourvue de 80 balais qui sont  montés     dans        un    bloc de matière isolante 110,  fixé de façon amovible dans le châssis.  



  A gauche du rouleau de contact CR       (fig.        2A,    4 et 5), la fiche éjectée est saisie par  un rouleau d'avance 111 et par un galet 112  tournant librement, et elle est déplacée vers  la gauche jusqu'à un troisième jeu de rou  leaux d'avance 113. Ces derniers rouleaux  font avancer la fiche en regard de lames de  triage 114, au nombre de 12, jusqu'à une pre  mière paire     d'une    série de paires de rouleaux  d'avance 115, disposées à intervalles régu  liers de droite à gauche     (fig.        2A    et<B>213)</B> pour  faire avancer les fiches jusqu'à des     poches    de  triage.

   Ces poches     RP    et OP à 9P respective  ment sont chacune associées à une paire de       rouleaux    d'avance 115.    Les poches de triage présentent chacune  une console usuelle- 116     (fig.    5) sur laquelle  les fiches tombent lorsqu'elles arrivent dans  cette poche, cette console descendant sous  l'effet du poids des fiches jusqu'à ce que la  poche soit pleine. Conformément à la prati  que usuelle, les consoles de fiches actionnent  chacune un mécanisme qui fait fonctionner  des contacts     PPC    de poche pleine, pour  ouvrir ces contacts lorsque cette poche est  pleine de .fiches, et pour commander le cir  cuit     d'un    moteur entraînant la machine, de  façon à arrêter cette machine.

   Ces contacts  sont usuels et bien connus dans les     machines       de ce type et ne seront donc pas décrits en  détail ici.  



  L'arbre 108 ou vilebrequin entraînant un  couteau d'expulsion de fiches et. des arbres  entraînant les rouleaux 109, 112, 111, 114 et  115 sont entraînés par un arbre à grande vi  tesse 117     (fig.    2A,     2B    et 4), par l'intermé  diaire de vis sans fin 117 a de l'arbre 117 et  de roues de vis sans fin 118 fixées aux diffé  rents arbres des différents rouleaux d'avance  et à l'arbre transversal 108. L'arbre 117 porte  une poulie 119 à son extrémité de gauche       (fig.    2B et 3), et cette poulie est reliée par  une courroie à une poulie 119a,     fixée    sur  l'arbre 120 d'un moteur d'entraînement (non  représenté). L'arbre 117 est ainsi entraîné de  façon continue lorsque la machine fonctionne.  



  Des moyens sont     prévus    pour empêcher  l'éjection des fiches hors du magasin H dans  certaines conditions. Ces moyens comprennent  un jeu de quatre leviers élévateurs de fiches  122     (fig.    1, 2A, 4 et 5). Ces leviers sont con  formés pour s'étendre     jusqu'au-dessous    des  fiches contenues dans 1e magasin, de chaque  côté des couteaux ou pinces de fiche 103. Les  bras verticaux des leviers 122 sont réunis       entre    eux par une tige transversale 123, pas  sant à travers tous ces leviers qui lui sont  fixés. De courts arbres 124 passent chacun à  travers deux des leviers 122     auxquels    ils sont.

         fixés.    Une extrémité de chacun de ces arbres  est pivotée dans un palier fixe adéquat, si  bien que tous les leviers 122 et l'arbre trans  versal 123 pivotent ensemble autour des       courts    arbres 124 qui servent de manetons  pour le cadre rigide formé par eux, par l'ar  bre 123 et par les leviers 122. Les bras verti  caux des deux leviers 122 centraux sont plus  longs que ceux     des        mitres    et ils sont munis       d'une    tige transversale fixe 125, sur laquelle  est articulé un verrou 126     (fig.    5). Ce verrou  est tendu dans le sens des aiguilles d'une mon  tre par un ressort de torsion 127, partielle  ment enroulé autour de la tige 125.

   Normale  ment, le verrou 126 est dégagé d'une goupille       128a    que porte un levier de came 128, monté  sur un pivot fixe<B>1.29</B> porté par le châssis.  L'arbre 108 porte -une came 130, coopérant      avec un galet du levier de came 128. Le verrou  126 est relié par une bielle 131.à l'armature  132 d'un électro-aimant d'avance de fiche       CFil11.     



  Lorsque l'électro-aimant     CFJ11    est excité,  le verrou 126 est tiré vers le bas par la bielle  1.31 et croche sur la goupille     128a.    Ce verrou  126 est ensuite tiré vers la gauche par le le  vier 128 et fait pivoter l'ensemble élévateur  de fiche, comprenant les leviers 122, dans le  sens des aiguilles d'une montre et soulève les  bords arrière des     fiches    C, dans le     magasin        II,     assez haut pour que la pince de fiche 103 soit  dégagée de ces bords et ne puisse éjecter une  fiche hors de ce magasin.

   Lorsque     l'ensemble     élévateur de fiche a été ainsi actionné, Lin  verrou 133     (fig.        5A)    s'échappe d'une saillie  clé     verrou        rectangulaire        125a,    ménagée à  l'extrémité arrière de la tige transversale 125,  et maintient     l'ensemble    élévateur de fiche en  position élevée.

   Le verrou 133 est relié par  une     bielle    134     (fig.    5) à l'armature 135 d'un  électro-aimant d'avance de fiche     C11112.     Cette armature est normalement tendue dans  le sens contraire de celui des aiguilles d'une  montre par un ressort     -136.    Lorsque la ma  chine fait avancer les fiches, le     verrou    133 est  pressé vers le haut par le ressort 136, en con  tact avec la face inférieure de la saillie rec  tangulaire     125a,    et le ressort 136 fait s'échap  per ce verrou derrière cette saillie chaque fois  que l'ensemble élévateur de fiche est actionné,  comme décrit ci-dessus.

   Lorsque l'électro  aimant d'avance de fiche     CFM2    est excité, il  tire la bielle 134 vers le bas et dégage le  verrou 133 de la saillie 125a, permettant  ainsi à     l'ensemble    élévateur de     fiches    de.     re-          v        enir    à sa position représentée à la     fig.    5, sous  l'effet du poids des fiches C et du     poids    W.  



  Un     mécanisme    destiné à commander la  distribution des fiches dans les différentes  poches de triage est représenté aux     fig.    5 à 9.  Ce mécanisme comprend un électro-aimant de  commande de triage     SCII1,    communément  appelé électro-aimant de triage, qui est monté  fixe sur le     châssis,    entre les arbres des rou  leaux d'avance 113 et la première paire de       rouleaux    d'avance 115, environ à mi-chemin    entre les extrémités d'une fiche avancée par  ces rouleaux.

   Une plaque d'armature 140 co  opère avec l'électro-aimant     SCJI.    Cette pla  que est montée pour pivoter sur deux tou  rillons fixes 141 présentant     chacun    une partie  de plus petit diamètre logée dans     des    trous  de la plaque 140. L'axe vertical de     symétrie     de cette plaque,     vue    à la     fig.    9,     est    disposé en  travers de la ligne d'avance de fiches, et la  plaque présente un arrêt 140a, maintenu en  contact avec une vis d'arrêt 142 fixée au  châssis par un ressort 143 fixé à cette plaque  140 par une goupille fendue 144.

   Lorsque  l'électro-aimant     SCIII    est excité, la plaque 140  est basculée vers le bas, dans le sens contraire  de     celui    des aiguilles d'une montre     (fig:    8).  



  Les lames de triage 114 présentent une  section réduite au voisinage de la plaque 140  et sont susceptibles de s'abaisser lorsque cette  plaque     est    actionnée par l'électro-aimant       SCIIf,    selon la position d'une fiche passant aux       extrémités    de ces lames au moment de l'exci  tation de cet électro-aimant     SCDI.    La     fig.    7  montre la position prise par     les    lames 114  lorsqu'une impulsion  1  est     transmise    à  l'électro-aimant     SCH.    Cette     impulsion    est  produite à un instant auquel la fiche C       (fig.    7)

   a passé au-dessous des extrémités des  huit premières lames et elle permet à cette  fiche de passer entre     les    lames     conduisant    à  la poche 1 et     les    lames     conduisant    à la poche  2, de façon à tomber dans la poche 1. Aux       fig.    6 et 7, les petits chiffres 0 à 12 et la lettre  R désignent les     espaces    entre les laines dans  lesquels la fiche doit passer pour être con  duite à la poche de triage portant le nombre  correspondant, la lettre R désignant la poche  de refus.

   Si aucune impulsion n'est transmise  à l'électro-aimant     SCIII    jusqu'au moment où  la fiche a été avancée jusqu'à la position re  présentée à la     fig.    6, cette fiche est conduite  à la poche de refus     RP        (fig.    5). Les petits  chiffres 0 à 12 et les lettres     RP    aux     fig.        2A    et  2B indiquent les positions des poches de triage.  



  Des     moyens    sont prévus pour comparer     les     impulsions de commande de triage avec la po  sition effective de la fiche lorsque celle-ci  passe en regard des lames de triage, pour      s'assurer qu'une fiche qui devrait être con  duite dans une poche     déterminée    soit correc  tement mise en place pour passer entre des  lames     condiûsant    à cette poche. Cette opéra  tion est connue sous le nom de  contrôle de  triage .

   Ces moyens de contrôle compren  nent une bande de contact constituée par une  couche de matière isolante 145, fixée à la pla  que 140     (fig.    5 à 9 et 11) et présentant un  jeu de douze contacts noyés     145u,    disposés se  lon une rangée transversale à la plaque 140,  parallèlement à la ligne d'avance des fiches.  Un contact noyé 145a est disposé en face de  la partie amincie de chacune des lames de  triage 114, et ces parties     amincies    reposent  normalement sur ces contacts lorsque aucune  fiche ne vient s'interposer entre les lames et  la plaque, comme c'est le cas à la     fig.    7 pour  les lames qui ne reposent pas     ;sür    la fiche C.

    Les lames 114 sont fixées à la machine et iso  lées de celle-ci et elles constituent une con  nexion électrique     commune    pour les contacts  noyés     145a    qui ne sont pas recouverts par la  fiche. Ces contacts sont reliés électriquement       ait    moyen de bandes de matière conductrice  145b     (fig.    9 et 11) à des rivets terminaux  145c. Des fils 145d d'un câble aboutissant aux       contacts    noyés     145a    sont fixés, par soudure  par exemple, aux rivets 145c, pour relier les  contacts     145a    aux circuits de commande dont  ils font partie.

   La façon dont les circuits  fermés par les lames 114 entrant en contact  avec -les contacts noyés     145a    commandent la  machine sera expliquée plus en détail plus  loin,     lorsqu'on    décrira le fonctionnement de  la machine en référence à son schéma élec  trique.  



  Un mécanisme d'impression est prévu pour  imprimer selon plusieurs colonnes sur de  grandes feuilles de rapport à plusieurs co  lonnes.     Soixante    compteurs d'unités sont  prévus dans le but     d'imprimer    tous     les    totaux  de ces compteurs sur une seule ligne.     Etant     donné que ces compteurs ont chacun une ca  pacité de quatre chiffres, cela nécessiterait  une feuille de travail assez large pour con  tenir au moins 240 chiffres, et l'impression  d'un si grand nombre de totaux nécessite un    temps considérable, à moins qu'une barre de  caractères soit prévue pour chaque ordre de  chiffre.

   Une telle disposition ne serait pas  économique, et le problème est résolu en divi  sant la feuille de travail en deux sections de  deux parties chacune et en prévoyant deux       chariots:    un pour chaque section en deux  parties de la feuille de travail. Le mécanisme  d'impression est divisé en quatre batteries,  contenant chacune quatre barres de carac  tères, et toutes ces batteries fonctionnent au  cours d'un seul cycle d'impression pour im  primer quatre     totaiLx    dans quatre colonnes de  la feuille de travail.

   En divisant les soixante  compteurs     d'unités    en groupes de quinze, il  est possible d'imprimer soixante totaux au  cours de quinze cycles d'impression seulement,  les totaux correspondant à un     groupe    de       quinze    compteurs étant imprimés au     cours     d'une succession de quinze cycles d'impres  sion, après chacun     desquels    le chariot portant  le formulaire destiné à recevoir ces totaux  est déplacé jusqu'à la colonne suivante.  



  Les     fig.    1, 2A et 2B     montrent    les deux       chariots    pour les deux sections en deux par  ties de la feuille de travail, le chariot de gau  che étant désigné par     LHC    et le chariot de  droite par     RHC.    Ces chariots sont des cha  riots de vingt pouces     normaux    de machine à  écrire et comprennent chacun des plaques  terminales 150 (voir     fig.    12, 13, 19 et 20) qui  sont réunies par un organe en forme de canal  constituant une surface de roulement pour  de paliers 152, sur lesquels     chacun    des cha  riots est monté pour coulisser sur un rail  avant 153 et sur un rail arrière 154.

   Chaque  chariot comprend un cylindre rotatif usuel  155, un étrier pince-papier 156 et une con  sole d'appui<B>157</B> pour ce papier. Des rouleaux  de pression adéquats     155a    et un organe dé  flecteur 155b     (fig.    13) de forme usuelle co  opèrent avec le cylindre 155 pour appliquer  la section en deux parties de la feuille de tra  vail contre le cylindre et pour permettre à  celui-ci de faire avancer cette section de  feuille de travail. Le cylindre 155 de chacun  des chariots est muni de boutons     usuels    155c,  servant pour le faire tourner à la main.      Du fait de la grande longueur du cylindre,  les rails 153 et 154 doivent être de longueur  considérable et s'étendent très loin au-delà  du     châssis    qui les supporte.

   Pour maintenir  un     parallélisme    exact entre les rails 153 et  154 et pour conserver entre     eux    une distance  exacte également, ces rails sont reliés à     leurs     extrémités extérieures par     des    jougs. 158       (fig.    12 et 19). Les rails 153 et 154 sont fixés  à des jougs 159     (fig.    13), deux de ces jougs  étant prévus pour chaque chariot. Les jougs  159 sont montés sur des plaques de     aupport     160 pour les batteries d'impression.

   Deux  batteries d'impression sort prévues pour cha  cun des chariots, si bien qu'il y a deux pla  ques 160 par chariot et quatre plaques en  tout, chacune de ces plaques portant le méca  nisme d'une batterie     d'impression    compre  nant quatre barres de caractères 161. pour  l'impression de quantités comprenant quatre  chiffres.  



  La     fig.    42 montre la disposition d'une sec  tion en deux parties d'un formulaire, la ca  pacité de cette section étant indiquée par les  nombres 1 à 30. figurant en haut de ce for  mulaire, prévu pour l'enregistrement de  trente     totaux    de compteurs d'unités. Cette  feuille en deux     parties    peut être disposée dans  le chariot de gauche     LHC    représenté à la       fig.    2B, tandis     qu'une    feuille correspondante  peut être disposée dans le chariot de droite,  cette     ,dernière    feuille comprenant des colonnes  numérotées de 31 à 60.

   Des colonnes supplé  mentaires désignées par  Quantité  et par   Tri  et     deux        colonnes    désignées chacune par  un astérisque sont     prévues    dans des     buts     qu'on expliquera plus loin.  



  Les plaques 160 sont espacées entre elles  d'une distance telle que les totaux des comp  teurs 1, 16, 31 et 46, par exemple, soient im  primés     simultanément    au cours d'un seul cy  cle d'impression     dans    les colonnes de numéros  correspondants des deux     seetiohs    de la feuille  de travail.  



  Les quatre batteries d'impression sont de  construction sensiblement identique, si bien  que la description d'une seule de ces batteries  sera suffisante. Le mécanisme associé à cha-    que batterie d'impression est porté par la  plaque 60 correspondant à cette batterie. Les       fig.    12 à 15 et 20 montrent le mécanisme  associé - à une seule batterie d'impression.  



  Les deux plaques 160 associées à chaque  chariot sont     réunies    entre elles par une pla  que supérieure 162, - par les deux rails 153 et  154 du chariot, par un châssis transversal 163  et par des barres     transversales    164. Ces pla  ques sont fixées au socle 100 au moyen de  brides adéquates 165. Les barres de caractères  161 sont de forme usuelle, et chaque groupe  de ces     barres    est monté pour coulisser, aux  extrémités supérieures des-barres, dans des  fentes espacées ménagées dans une bride de  guidage 166     (fig.    13) fixée à la face droite  de la plaque 160 associée. Les barres de ca  ractères sont pourvues de cliquets de zéro  usuels 167, pivotes sur un bloc 168 que porte  la bride 16-6.

   Ces cliquets 167 provoquent, de  façon connue, l'impression' automatique de  zéros à droite de chaque chiffre significatif.  



  A son extrémité inférieure, chaque groupe  de barres de caractères 161     est    monté pour  coulisser dans un cadre 169     (fig.    13, 14 et 15),  ce cadre étant monté pour coulisser verticale  ment sur deux tiges de guidage 170. Les tiges  de guidage 170 sont supportées par les pla  ques 160 au moyen de blocs 171. Des bras 172  sont pivotes sur un prolongement du cadre  169, un de ces bras     étant    prévu pour chaque  barre de caractères 161: Ces bras présentent  chacun une extrémité arrondie entourée par  des rebords et venant en contact avec l'extré  mité inférieure de la barre de caractères cor  respondante.

   Ils sont tendus dans le sens con  traire de celui des aiguilles d'une montre       (fig.    13) par des     ressorts        172a        fixés    à un  étrier 173 porté par le châssis 169. Lorsque  le châssis 169 est déplacé vers le haut,     les.     barres de     caractères    161 sont     entraînées    par  ce châssis du fait que les bras 172 maintien  nent des saillies d'arrêt     161a,    ménagées     sur     les barres de     caractères,    appuyées vers le haut  contre une partie du châssis 169.

   Si l'une  quelconque ou plusieurs des barres de carac  tères est ou sont arrêtées dans des conditions  indiquant des valeurs numériques, les ressorts      172a associés aux bras des barres arrêtées  sont tendus, le châssis     continuant    son mouve  ment vers le haut.  



  L'arrêt sélectif des barres de caractères       est    effectué de façon à représenter différents  chiffres par des électro-aimants d'impression       P11,    dont les armatures 174     (fig.    13 et 14)  sont     disposées    pour     verrouiller    des     cliquets     d'arrêt 175.

   Une armature 174 et un cliquet  d'arrêt 175 sont associés à chaque électro  aimant     P111.    Ces     cliquets    d'arrêt sont pivotés  sur un axe 176 et sont tendus dans le sens  des aiguilles d'une montre par des ressorts       175a.    Les cliquets sont normalement verrouil  lés dans la position représentée à la     fig.    13  et à la     fig.    14 par les armatures des électro  aimants     Plll    associés. Des moyens sont     prévus     pour provoquer l'émission d'impulsions, en  des points commandés dans le temps d'un  cycle de- fonctionnement de la machine, pour  représenter les différents chiffres.

   Par exem  ple, si une impulsion      1z>    est émise, l'électro  aimant     PlyI    de la barre de caractères devant  fonctionner est excité au point  1  du cycle  et     libère    le     cliquet    175 associé. Le déplace  ment vers le haut du cadre 169 s'effectue se  lon     -une    relation de temps définie avec l'émis  sion des     impulsions    de chiffres, si bien que la  barre de caractères est amenée en position à  l'instant où     l'impiùsion     1  est émise, son ca  ractère  1  étant prêt à se déplacer vers la  ligne d'impression.

   Chaque barre de carac  tères est pourvue d'une denture de crémail  lère 161b, dont les dents correspondent en  nombre aux positions de chiffres 0 à 9, et la  libération du cliquet 175 en  1  au cours du  cycle a pour effet que ce cliquet engage la  dent appropriée de la barre de     caractères,     pour     arrêter    celle-ci, de façon que son carac  tère  1  soit en regard de la ligne d'impres  sion.  



  Après que l'impression a été effectuée, les       cliquets    175     qui    ont été déclenchés sont ra  menés en position de     verrouillage    par leurs  armatures 174, au moyen d'un cadre 177       (fig.    13 et 14) pivoté sur les axes 166 portant  les cliquets 175. Ce cadre est     entraîné    pour  pivoter dans le     sens    contraire de celui des    aiguilles d'une montre par     uni    bras 178, pi  voté en 179 et engageant l'un des bras du  cadre 177. Le bras 178     est    maintenu dans la  position représentée aux     fig.    13 et 14, en con  tact avec une goupille d'arrêt 180, par un  ressort 181.

   Lorsque le bras 178 est entraîné  pour pivoter dans le sens des     aiguilles    d'une  montre, le cadre 177 est entraîné dans le     sens     contraire de celui des aiguilles d'une mon  tre et vient en contact avec ceux des cliquets  175 qui ont été déclenchés, pour les ramener  dans leur position de verrouillage par leurs       armatures    174 associées.  



  Les cadres 169 d'une paire de batteries  d'impression sont actionnés par des cames 182       (fig.    12 et 15). Les cames     102    de deux batte  ries d'impression sont     fixéez        r.    un arbre uni  que 183, pivoté dans la paire de plaques 160  associées à l'un des chariots. Chaque cadre  169 présente un prolongement 169a     (fig.    12  et 15) portant un galet 169b coopérant avec  une rainure de came     182a,    ménagée dans la  came 182.

   Cette came est conformée de façon  que le cadre 169 soit déplacé vers le haut de  façon     -uniforme    pendant la période durant la  quelle les impulsions de chiffres sont fournies  aux électro-aimants     d'impression        P-11,    et que  ce cadre reste ensuite stationnaire pendant  une courte période pour permettre le fonc  tionnement de marteaux d'impression. La  came retire     ensuite    le cadre vers le bas.  



  Le pivot 179 du bras 178 est porté par un  court axe pivoté dans la plaque 160 et. portant  un bras 185     (fig.    2A, 2B, 3, 12, 15 et 20), co  opérant avec une     goupille    186a portée par un  engrenage 186 monté sur     -in    goujon 187 que  porte la plaque 160. L'engrenage 186 coopère  avec un engrenage 188 fixé à l'arbre 183.

   On  se rend compte que, peu avant la     fin    de cha  que cycle de fonctionnement, les goupilles       186a        viennent    frapper les extrémités des bras  185 pour les faire pivoter dans le sens con  traire de celui des     aiguilles    d'une montre       (fig.    12), faisant ainsi pivoter les bras 178  dans le sens des aiguilles d'une montre       (fig.    13 et 14) pour actionner le cadre 77 de       rappel        des        cliquets    et pour ramener les cli-           quets    déclenchés dans leur position de ver  rouillage par les armatures 174 associées.  



  Afin     d'imprimer    les caractères que portent  les barres de caractères 161, chaque bloc d'im  pressions est muni de quatre marteaux     d'ùn-          pression    189     (fig.        2A,        2B    et 13). Ces mar  teaux sont pivotés sur un arbre 190 pivoté  dans la plaque 160 et dans une bride 191       (fig.    13) également montée sur cette     placpe     160. Un cadre     d'actionnement    192 pour les  marteaux est     fixé    à l'arbre 190.

   Ce cadre pré  sente un peigne de guidage     192a,        destiné    à  espacer les marteaux d'impression 189 et les  fentes de ce peigne servent de butée pour ces  marteaux, pour limiter leur rotation dans le  sens contraire de celui des aiguilles d'une  montre sous l'effet de ressorts 193 fixés à des  bras de ces marteaux et au cadre 192. Un  levier de came 194 est fixé à l'arbre 190, du  côté opposé de la plaque 160     (fig.    12). Ce le  vier est tendu dans le sens opposé à celui des  aiguilles d'une montre par un ressort 195,  contre la périphérie d'une came d'actionne  ment des marteaux 196.

   Cette came présente  une chute qui, au moment du cycle auquel les  cames 182     d'actionnement    des barres de ca  ractères sont au repos, libère brusquement le  levier 194 et permet au ressort 195 de faire  pivoter l'arbre 190 et le cadre 192 dans le sens       des    aiguilles d'une montre     (fig.    13). Chaque  levier 194 est brusquement arrêté lorsqu'il  vient en contact avec une butée réglable     194a          (fig.    12) que porte la plaque 160, avant que  les saillies     189a        d'actionnement    des barres de  caractères que portent les marteaux 189 ne  frappent les têtes des     éléments    de caractères  161c.

   Cependant, les marteaux d'impression  continuent à se déplacer par inertie et en  traînent les caractères choisis contre le pa  pier, pour frapper ce papier à travers un ru  ban d'encrage<B>197.</B> Les cames 196 sont fixées  à des engrenages     196a    pivotés en 196b sur les  plaques 160 et engrenant avec les engrenages  186.  



  Des     mécanismes    d'avance et de renverse  ment de ruban séparés sont     prévis    pour cha  cun des chariots, ces     mécanismes    étant com  muns aux deux batteries d'impression asso-         ciées    à chaque chariot.

   Le mécanisme du cha  riot de droite     RIIC    comprend des bobines 198  pour le ruban     (fig.        -2A),    qui sont montées  pour pivoter de façon adéquate sur la plaque  supérieure     16\?.    Le ruban 197 part de la bo  bine de droite     (fig.        2g),    passe vers le haut et  autour d'un galet de guidage arrière appro  prié 199;

   il est     ensuite    guidé vers la droite et  s'étend le long de la ligne     d'impression    de la  batterie de droite, passe autour d'un galet de  guidage arrière 199 semblable et, de là, vers  l'avant jusqu'à un galet de guidage 200, au  coin droit avant de la plaque 162, pour  s'étendre ensuite vers la gauche et passer  autour d'un second galet de guidage avant  200. De là, ce ruban passe vers le haut et  autour d'un galet de guidage arrière 199; il  s'étend le long de la ligne d'impression de la  batterie de gauche et autour d'un galet de  guidage arrière 199, pour s'enrouler finale  ment sur la bobine de gauche 198.  



  Le mécanisme d'avance et de guidage du  ruban pour le chariot de gauche est cons  truit de façon semblable. Un mécanisme  d'avance et de renversement du ruban quel  conque peut être utilisé, et ce mécanisme ne  sera donc pas décrit plus en détail.  



  Le mécanisme     d'impression    est entraîné à       pliïs    faible vitesse que le     mécanisme    d'avance  et de répartition -des fiches, au moyen de  transmissions comprenant une poulie 210       (fig.    3) fixée à l'arbre 120 du moteur, une  courroie 211 (voir     fig.    2B et 15) et une poulie  212 fixée à un arbre 213. L'arbre 213 porte  un pignon 214, engrenant avec une grande  roue dentée 215 fixée à un arbre 216.

   L'extré  mité de gauche de l'arbre 216 est pivotée à. sa  gauche dans un châssis 217     (fig.        2A,    3 et 15)  et à son extrémité de droite     dans    le moyeu  d'un bras d'embrayage 219     (fig.    15 et 23)  fixé à un arbre 220 pivoté lui-même     dans     trois châssis de palier 221 (voir     fig.        2B    et 20).  Un collier d'embrayage 222, présentant une  encoche 222a,     est    fixé à l'extrémité de gauche  de l'arbre 216.

   Le bras d'embrayage 219 porte  un chien d'embrayage 223, présentant une  dent 223b conformée pour pénétrer dans l'en  coche     222a.    Ce chien est pivoté en     223a    sur      le bras de l'embrayage 219, et il est tendu  dans le     sens    des aiguilles d'une montre, si  bien qu'il a tendance à -engager le collier 222  sous l'effet     d'un        ressort    224, fixé au chien  223, d'une part, et, d'autre part, à une gou  pille que porte le moyeu du bras d'embrayage.  Normalement, le chien d'embrayage 223 est  maintenu éloigné du collier 222 par un bras  de verrou 225 pivoté     en.226    à une plaque de  support d'électro-aimant 227, fixée elle-même  au châssis 221.

   Le verrou 225 est solidaire  d'une armature     225a,    coopérant avec les en  roulements d'un électro-aimant d'embrayage       d'impression        PClll    porté par la plaque 227.  



  Lorsque     l'électro-aimant        PC111    est excité,  le chien 223 est libéré et la- dent 223b finit  par pénétrer dans l'encoche     222a    et à accou  pler ainsi les arbres 216 et 220. Le mécanisme  représenté à la     fig.    23 constitue un embrayage  à un tour de     type    connu et conventionnel qui  est automatiquement à nouveau verrouillé à  la fin de chaque tour, une seconde impulsion  devant être fournie à     l'électro-aimant        PCI11     ou cet électro-aimant devant être maintenu  excité si l'arbre 220 doit effectuer plus d'un  tour.

      L'arbre 220 porte deux engrenages 228       (fig.        2A;    2B, 15, 20 et 23) qui engrènent avec  des engrenages 229 fixés aux arbres 183. Ces  arbres 183 sont ainsi entraînés par l'arbre  220 lorsque les arbres 216 et 220 sont couplés  l'un à l'autre.    Des groupes de contacts de contrôle sont  associés aux batteries d'impression.     Ces    con  tacts sont disposés pour fermer des circuits ca  ractéristiques des positions d'arrêt effectives  des barres de caractères.     Ainsi-qu'on    l'expli  quera plus     loin,    ces circuits sont utilisés pour  contrôler l'exactitude de l'impression de       totaint.     



  Le     mécanisme    de contact est particulière  ment bien visible aux     fig.    13 et 14. Un jeu       d'organes        intercalaires    300, en nombre cor  respondant à     celui        des    barres de caractères,  est monté pour pivoter en 169c, sur un bloc  169b qui guide les barres de caractères 161       sur    le cadre 169. Chaque barre de caractères    présente une goupille 161d, faisant légère  ment saillie et coopérant avec une surface de  came     300a,    ménagée sur l'organe intercalaire  300 adjacent.

   Chaque organe 300 comprend  également une goupille 300b qui coopère avec  la surface plane verticale d'un organe     d'ac-          tionnement    de contact 301, en forme de T.  Les organes 301 sont portés par une paire de  bielles parallèles 302, pivotées en 304 à une  partie fixe de la machine, de façon que pour  une petite course des organes 301, ceux-ci se  déplacent sensiblement selon une ligne droite.

    Des     ressorts    305 .fixés à     l'extrémité    de droite  de chacun des organes     d'actionnenient    301  tendent ces organes vers la gauche pour ame  ner leur partie verticale plane     301a    en con  tact avec     les    goupilles 300b et pour presser  ainsi les organes 300 vers la gauche, contre       les    goupilles 161d des barres de caractères.  



  Les organes     d'actionnement    de contact  301 sont disposés en regard des barres de ca  ractères, au moyen d'une bride en forme de  peigne 306     (fig.    14) montée dans la structure  supportant les bielles 302. Un peigne fixe  306a guide les parties allongées horizontales  des     organes    301.  



  Un bloc isolant 301b,     présentant    une fente  verticale au travers de laquelle passe un fil  de contact 307, est fixé à l'extrémité arrière  de chaque organe     d'actionnement    de contact  301. Les fils de contact 307 sont maintenus  verticalement dans -Lui bloc de contact 308, de  matière isolante, fixé à la structure suppor  tant     les    bielles 302 et les peignes 306 et 306a.  Un organe de     contact    fixe 309 coopère avec  chacun des fils de contact 307. Les organes  de contact 307 et 309 associés forment des       contacts    de contrôle     CKC.     



  Lorsque les barres de caractères sont dé  placées vers le haut au cours de l'opération  d'impression, les organes intercalaires 300  restent en contact avec les goupilles 161d re  présentées aux     fig.    13 et 14, jusqu'à ce que  la barre de caractères correspondante soit  arrêtée par son cliquet associé 175.

   Lorsque la  barre de caractères est ainsi arrêtée, la gou  pille 161b s'arrête également, mais l'organe       intercalaire    300 associé continue à se déplacer      verticalement et la goupille 161T le fait pivo  ter dans le     sens    des aiguilles d'une montre, en  coopérant avec sa surface de came     300a.    L'or  gane     d'actionnement    de contact correspondant  est alors déplacé vers la droite par la goupille  300b de l'organe 300 et amène le fil de con  tact 307 associé contre le contact fixe 309,  fermant ainsi le contact     CKC.    Ces contacts  ferment chacun un circuit qui représente la  valeur à laquelle la barre de caractères asso  ciée est arrêtée,

   les valeurs représentées étant  fonction du point du cycle auquel le contact       CKC    se ferme.  



  Deux mécanismes d'avance de chariot sont       disposés    pour assurer le déplacement colonne  par colonne des chariots, nécessaire pour im  primer successivement les totaux sur la feuille  de travail. Le mécanisme d'avance du chariot  de droite     RFIC    comprend un moteur à ressort  d'avance de chariot 350, de type convention  nel     (fig.    20) qui est relié au chariot par un  ruban 351. Ces moteurs à ressort ont tendance  à faire avancer les     deux    chariots vers la gau  che aux     fig.    1, 2g et 2B ou vers la droite à la       fig.    20. Chaque chariot porte une crémaillère  d'échappement 352     (fig.    12, 13, 16, 17 et 20).

    Cette crémaillère coopère avec une paire de  cliquets d'échappement 353     (fig.    17), de type  conventionnel, qui sont montés pour pivoter  et pour coulisser en 354 sur une console 355  que porte le rail arrière 154 associé. La cré  maillère présente des dents espacées de     un     pouce, tandis que les cliquets 353 sont suscep  tibles de coulisser d'une faible fraction de cet  espace et que leurs longueurs diffèrent d'un  demi-espace de dent, c'est-à-dire d'un     demi-          pouce.     



  Un organe     d'actioiuiement    de cliquet 356,  coopérant avec des queues que présentent     les     cliquets 353, est monté pour pivoter autour  du même axe 354 que ces cliquets. Ceux-ci  sont attirés vers la gauche et tendus dans le       sens    des aiguilles d'une montre (fie. 17) par  des ressorts 357 séparés.

   Normalement, un des  cliquets est toujours engagé avec une des  dents de la crémaillère 352, tandis que l'autre  se trouve approximativement à mi-chemin  entre de telles dents adjacentes, à droite ou à    gauche dudit cliquet engagé.     Dans    cette po  sition, la queue du cliquet qui est engagé       (cliquet    du bas ou cliquet arrière à la     fig.    17)  est poussée vers la gauche contre le pivot 354  par la force appliquée au chariot par le mo  teur d'avance de chariot 350.

   Cette force est  en effet de beaucoup supérieure à celle des  ressorts 357, si bien que la queue du     cliquet     engagé     est    ainsi maintenue sur le parcours  d'une saillie     d'iactionnement        356a    de l'or  gane     d'actionnement    de cliquet 356.  



  Un bras     d'actionnement    358     (fig.    16 et 17),  pivoté en 359 sur une bride 360 portée par le  rail arrière 154, coopère avec la saillie     356a.     Une bride     163a,    que porte un cadre transver  sal 163, porte elle-même un levier coudé 361  dont une goupille 361a. est en contact avec  l'extrémité inférieure du bras     d'actionnement     358. Ce levier coudé est actionné par un élec  tro-aimant ES, qu'on appellera ci-après        électro    d'échappement , par l'intermédiaire  d'une bielle 361b.  



  Lorsque l'électro-aimant ES     est    excité, il  fait pivoter le levier coudé 361 dans le sens  des     aiguilles    d'une montre     (fig.    16), action-.       nant        ainsi    le bras     d'actionnement    358 dans le       sens    contraire de celui des     aigmilles    d'une  montre.

   Ce bras fait pivoter l'organe     d'ac-          tionnement    356 dans le sens contraire de celui  des     aigulilles    d'une montre     (fig.    17) et libère  le cliquet 353 qui est engagé à ce moment-là  dans la crémaillère 352 (le cliquet arrière à  la     fig.   <B>17),</B> permettant ainsi au chariot de se  déplacer de l'espace     d'une    demi-dent. Avant  que ce mouvement du chariot ne soit achevé,  la même dent de la crémaillère engage le se  cond cliquet, ou cliquet ,avant à la     fig.    17, et  pousse ce cliquet 353 vers la gauche, contre  l'effet de son     ressort    357, jusqu'à ce qu'il soit  arrêté par le pivot 354.

   La queute du     cliquet     353 arrière est ainsi amenée en regard de la  saillie     356a.    Dès que le     cliquet    353 arrière est  libéré, il est déplacé vers la droite, jusque  légèrement plus loin qu'à mi-chemin entre  deux dents de la crémaillère 352, hors de  portée de la saillie     356â    et prêt à fonctionner  pour l'opération d'espacement subséquente.  Ces     cliquets    sont donc alternativement effi-           caces    pour déplacer le chariot d'une distance  égale à la moitié de la distance séparant deux       dents    de la crémaillère et égale à une colonne  des feuilles de travail.  



  Les chariots sont toujours     actionnés    con  jointement, du fait que les électro-aimants ES  sont excités ensemble, si bien que les chariots  devraient toujours théoriquement se déplacer  au pas, espaçant     les        deux    sections de la feuille  de travail de façon telle que les quatre totaux  qui sont simultanément imprimés au cours  d'un seul cycle soient espacés entre eux de       quinze    colonnes sur la feuille de travail. Ce  pendant, il pourrait se produire qu'un des  chariots ne soit pas ramené complètement en  position de départ et qu'il ne soit alors plus  au pas avec l'autre chariot.

   Pour cette rai  son, les deux chariots peuvent être     m6cani-          quement        couplés    entre eux par     tune    tige de  liaison 362     (fig.    2A et 2B).  



  Un mécanisme de retour est     prévu    pour  chaque chariot. Ce mécanisme monté sur un  châssis accessoire 400 fixé aux plaques 160  de droite de chaque chariot est     visible    aux       fig.    2,1 et 2B. Les deux mécanismes de re  tour sont actionnés à partir de l'arbre à  grande vitesse 117.

   Chacun de ces mécanismes  comprend un carter 401, fixé au châssis 400       (fig.    2A, 2B, 18 et 20) et dans lequel est  monté un arbre à vis     sans    fin 402, disposé  pour entraîner le mécanisme par l'intermé  diaire     d'une    roue hélicoïdale.     Les    arbres 402       portant    les vis sans fin sont munis d'engre  nages droits 403 coopérant avec des engre  nages 404 fixés à l'arbre 117. Les vis sans fin  coopèrent avec des roues hélicoïdales 405,  fixées à de courts arbres 406     pivotés    dans les  carters 401.

   Un galet     d'entraînement    407 est       fixé    à l'extrémité de gauche     (fig.    18) de cha  cun des arbres 406, ce galet 407 portant une       garniture    élastique     407a,    de préférence en  caoutchouc.  



  L'extrémité de droite de chacun des arbres  406 porte une poulie de retour 408     (fig.    2A,       2B,    18 et 20), montée pour tourner sur cet  arbre et autour de laquelle un ruban de re  tour du chariot 409 est enroulé. Le ruban 409  de chaque chariot s'étend vers le haut         (fig.    20), passe autour d'une poulie 410 por  tée par une bride adéquate montée sur le  châssis principal, et de là le long du rail  arrière 154 jusqu'à     l'extrémité    de gauche       (fig.2A    et 2B) ou de droite     (fig.    20) du chariot.  



  Les extrémités .de droite des arbres 406  sont pourvues d'un embrayage à friction à  disques 411     (fig.    18) , de construction bien  connue, qui est actionné par un levier en  deux parties 412, pivotés en 413 à une bride  414 fixée sur une face latérale du châssis 400.  Chaque levier 412 est relié par une courte  bielle basculante 415 à un levier 416 pivoté  en 417 à une bride 418, fixée au châssis 400  au moyen des mêmes vis que la bride 414.  Le bras de gauche     (fig.    18) de chaque levier  416     est    relié par une bielle 419 (voir     fig.    13)  à un dispositif     d'entraînement    420, de forme  bien connue, monté pour pivoter en 421 dans  le châssis 400.

   Chacun des dispositifs d'en  traînement 420 comprend une came en spirale  à un seul lobe 422, montée pour tourner en       420a    dans le cadre du dispositif d'entraîne  ment.  



  Normalement,     un    bras 423 actionné par  un ressort     (fig.    13), pivoté en 420b dans le  dispositif 420 et engageant une goupille 422a  que porte la came 422 tend à taire tourner  cette came pour engager sa périphérie striée  avec la garniture 407a du galet d'entraîne  ment 407. Cependant, la rotation de chaque  came 422 est normalement empêchée par un  troisième levier 424, pivoté en 420b dans le  dispositif d'entraînement 420.  



  Chaque levier 424 est- relié au moyen       d'une    goupille avec un levier 425 présentant  une fente 425      (fig.    13) dans laquelle pénè  tre cette goupille. Le levier 425 est pivoté en  426 dans le châssis 400 et il est tendu dans le  sens des aiguilles d'une montre contre une  butée adéquate par un     ressort    427. Chaque  levier 425     est    relié par une bielle 428 à un  électro-aimant de retour<I>CRS,</I> associé au  même chariot que lui et monté sur la plaque  160. Lorsque chacun des électro-aimants<I>CRS</I>  est excité, la bielle 428 est déplacée vers le  bas, faisant ainsi pivoter le levier     425    dans le.

    sens contraire de celui des     aiguilles    d'une      montre et     actionnant    le levier de libération  424 dans le     sens    des aiguilles     d'une    montre.  



  Le levier de libération 424 porte une  saillie (non représentée) coopérant normale  ment avec une saillie de la périphérie de la  came 422 pour empêcher cette came de tour  ner autour de son pivot 420a. Lorsque le le  vier 424 pivote de la façon décrite ci-dessus, sa  saillie est dégagée de la saillie de la came 422,  permettant au bras 423, actionné par un res  sort, de faire tourner la came 422     dans    le  sens contraire de celui des aiguilles d'une  montre, assez loin pour que la garniture     407a     vienne engager la périphérie striée de la came  422 pour faire tourner cette came.

   Du fait du  contour en spirale de cette partie striée de  la came 422, la rotation de cette came fait pi  voter -le dispositif     d''entraînement    420 dans le  sens     des    aiguilles     d'une    montre, tirant     ainsi     vers le bas la bielle 419 et redressant la ge  nouillère formée par le bras de droite       (fig.    18) du levier 416 et par la bielle 415.

    Cette     genouillère    est disposée pour se déplacer       jusqu'un    peu au-delà de son point mort et  pour se bloquer dans cette position, la gou  pille d'articulation du levier 412 et de la  bielle 415 venant buter contre une saillie     416a     que porte le levier 416 et empêchant ainsi  cette genouillère de se déplacer plus loin  qu'un peu au-delà de son point mort. Du fait  de la réaction du ressort que comprend l'em  brayage 411, les différentes parties sont main  tenues dans cette position, l'embrayage étant  engagé et accouplant la poulie de retour 408 à  l'arbre 406.

   En conséquence, la poulie 408 en  roule le ruban 409 et exerce une traction sur  le chariot, tendant à<B>le</B> déplacer vers la droite  aux     fig.    2A et 2B ou vers la gauche à la       fig.    20.  



  Des moyens sont prévus pour libérer auto  matiquement les embrayages 411 après que les       chariots    ont atteint les positions voulues, dé  terminées par des butées marginales. Des mé  canismes de butée marginales sont     prévus     pour les deux chariots, et ces mécanismes sont       sensiblement    identiques.

       Cependant,    le méca  nisme de butées marginales du chariot de  droite     RHC,    représenté aux     fig.    2A et 20,    comprend certains dispositifs de fermeture de  circuits qui entraînent des modifications de  ce mécanisme, bien que le     fonctionnement     des butées marginales soit identique dans les  deux     mécanismes,    en ce qui concerne le dé  clenchement de l'embrayage. Les chariots sont       pourvus    de crémaillères de butées     marginales     usuelles 450     (fig.    20, 21 et 22).

   Ces     cr6mail-          lères    sont fixées aux plaques latérales 150 et  s'étendent parallèlement et légèrement au  dessus du rail arrière 154. Le mécanisme de  butées marginales plus simple pour le chariot  de gauche     LHC    comprend une paire de butées  marginales     usuelles    451     (fig.    22) qui sont       montées-    de façon réglable et bien connue sur  la crémaillère de butées marginales 450.

   Ces  butées présentent des saillies 451a,     limitant     le déplacement du chariot dans les deux di  rections     conjointement    avec une saillie     452a     d'une plaque fixe 452 que porte le rail arrière  154.  



  Un levier de     déclenchement    454, présen  tant une surface de came 454a, est monté  pour pivoter sur chacun des rails arrière, en  453     (fig.    16, 20, 21 et 22). Les leviers de dé  clenchement 454 sont reliés par des bielles  455     à,    des leviers 456 pivotes sur     l'-an    des ca  dres 159. Une seconde bielle 458     (fig.    13 et  18) relie chacun des leviers 456 à un levier  459, pivoté en 470 au châssis 400.

   Chacun des  leviers 459 présente     un    bras s'étendant hori  zontalement au-dessous de l'extrémité de  gauche du levier 416     (fig.    18), de façon à  être actionné par ce levier lorsque celui-ci     est     déplacé vers le bas, comme décrit ci-dessus,  par le fonctionnement du dispositif d'entraî  nement 420. Normalement, les     surfaceg    de  came     454a    des leviers de déclenchement 454  sont hors de portée en dessous des butées  marginales de droite     (fig.    21 et 22).

   Cepen  dant, lorsque le levier 416 est actionné par le  dispositif     d'entraînement    420, le levier 459  est entraîné pour pivoter dans le sens con  traire à celui des aiguilles d'une montre       (fig.    13) et déplace la bielle 458 vers la gau  che, entraînant la bielle 455 vers la gauche       (fig.    20, 21 et 22) par     l'intermédiaire    du le  vier 456 et faisant ainsi pivoter les leviers de      déclenchement 454 dans le sens des     aiguilles     d'une montre, pour déplacer leurs surfaces de  came 454a vers le haut, sur le parcours des       saillies    451a     des    butées marginales de droite.

    Lorsque les chariots ont presque atteint la  position     déterminée    par chacune des butées  marginales de droite, la saillie de chacune de  ces butées     vient    en contact avec la surface de  came 454a et ramène le levier 454. Le mou  vement de retour de ces     leviers    454 est trans  mis aux     leviers    459 par l'intermédiaire des  bielles 455 et 458. Le bras horizontal de ces  leviers 459     (fig.    13 et 18) est ainsi relevé de  façon à casser la genouillère 415, 416 et à li  bérer l'embrayage 411.

   Les surfaces de came       454a    sont     dimensionnées    de façon telle et les       différents        éléments    sont ainsi réglés que les  embrayages sont dégagés avant que les cha  riots soient effectivement arrêtés par     les    bu  tées marginales 451 et les     saillies    452a, si bien  que ces chariots achèvent leur mouvement par  inertie.  



  Le mécanisme de butées marginales pour  le chariot de droite, représenté aux     fig.        2A,    20  et 21, est sensiblement identique à celui qu'on  vient de décrire. Cependant, chacune     des    bu  tées marginales 451 de ce mécanisme porte       lune    plaque de came 461 présentant un doigt  de came 461a. Ces doigts de came actionnent  des interrupteurs-     sensibles    désignés par     17IS1     et     11IS2,    qui sont montés     sur    le rail arrière  154.

   Chacun de ces interrupteurs comprend       -m.    levier     d'actionnement    462, muni d'un galet  462a disposé sur le parcours des doigts de  came 461a. L'interrupteur     lTIS1    est disposé  pour être actionné par la butée marginale de  gauche     (fig.    2A) ou de droite     (fig.    20), tan  dis que l'interrupteur     DIS2    est disposé pour  être actionné par la     .blitée    marginale de droite       (fig.    2A) ou de gauche     (fig.    20).

   Un troisième  interrupteur sensible     3IS3    est monté sur le  rail arrière 154, pour être actionné par un  organe 461b fixé au chariot de droite     RIIC.     Les contacts de cet     interrupteur    ne sont fermés  que lorsque le chariot se trouve dans une po  sition correspondant aux colonnes 1, 2 et 3.  



  Le mécanisme de rappel, outre qu'il ra  mène le chariot en position de départ, fait    également automatiquement     fonctionner    le  mécanisme d'espacement de ligne pour les cy  lindres 155. Ces cylindres sont. pourvus de  roues à rochet d'espacement de ligne usuelles  475     (fig.    2A, 2B et 19). Un cliquet 476, porté  par un organe coulissant 477, est disposé pour  coopérer avec chacune de ces roues à rochet.  Les organes coulissants sont mobiles vertica  lement sur des tétons 478 fiés aux plaques  156 de gauche (fi,-. 2A et 2B), et chacun de  ces organes présente une saillie 478a, engagée  dans une fente du bras horizontal d'un levier  coudé 479, pivoté sur une bride 480 que porte  l'organe 151 en forme de canal qui fait par  tie du châssis des chariots.

   Un ressort (non  représenté) maintient normalement chaque  organe coulissant vers le haut, dans la posi  tion représentée à la     fig.    1, dans laquelle la  queue du cliquet 476 est en contact avec  l'extrémité de gauche d'un bras     d'arrêt    de  commande d'espacement de ligne 481 pivoté  en 482 sur la plaque     .150    du     chariot.    Dans  cette position, un ressort 483 fixé à la queue  du cliquet 476     tend.    à faire pivoter ce cliquet  pour l'engager dans la roue à rochet 475 d'es  pacement de     ligne,        filais    ce pivotement est  empêché par le bras 481.  



  Le bras 481 est disposé pour prendre l'une  quelconque de trois positions déterminées par  un levier de commande d'espacement de ligne  484     (fig.    19), pivoté     sur    le téton 478 supé  rieur et portant une goupille 484a engagée  dans l'une de trois encoches ménagées à dif  férents niveaux dans le bras 481. Lorsque le  levier 484 se trouve dans la position repré  sentée à la     fig.    19, la goupille 484a étant en  gagée dans l'encoche supérieure, l'organe cou  lissant 477 ne peut revenir en arrière que  d'une distance correspondant à un espace  ment d'une seule ligne, si bien que des espa  cements simples sont obtenus.

   Le ruban de  rappel de chariot 409 est fixé à un bras     di-          rigé.vers    le bas du levier 479, si bien qu'au  début,     lorsqu'une    traction est tout d'abord  appliquée au ruban 409 pour faire débuter  un cycle de retour du chariot, le bras     hori-          zotal    du     levier    479 est entraîné pour pivoter  vers le bas, jusque     dans    une position d'arrêt      fixe au-delà de laquelle tout     mouvement    du  levier 479 est empêché. Le chariot est ensuite  ramené .à sa position de départ.

   Dès que la  tension appliquée au ruban se relâche, le le  vier 479, actionné par un ressort, ramène  l'organe coulissant dans la position repré  sentée.    Lors de la course vers le bas de l'organe       coulissant    477, la queue du cliquet 476 s'éloi  gne. de l'extrémité du bras 481,     permettant     ainsi au ressort 483 de faire tourner ce     cli-          quet    pour l'engager dans la denture de la  roue à rochet 475 et de faire avancer cette  roue d'une dent, jusqu'à ce qu'il. soit arrêté  par un arrêt fixe 485 qui est également effi  cace pour forcer ce cliquet à pénétrer plus  profondément entre les dents de la roue à ro  chet, empêchant ainsi le cylindre 155 de dé  passer la position désirée.

       Ën    déplaçant le  levier 484 dans le sens des     aiguilles    d'une  montre pour amener la goupille 484a dans  l'encoche médiane ou dans l'encoche infé  rieure, l'organe coulissant 477 est libéré, de  faon     qu'il    puisse revenir en arrière assez  loin pour permettre au cliquet 476 de dépla  cer la roue à rochet de deux dents ou de trois  dents respectivement. Le bras 481 est main  tenu en contact avec la goupille     484a    par un       ressort    de torsion adéquat 486, enroulé autour  de l'axe 482.    D'après ce qui précède, on se rend compte  que de retour du chariot est- toujours automa  tiquement précédé d'une opération d'espace  ment de ligne.  



  Le chariot de droite     RHC    est pourvu  d'une bande émettrice destinée à     commander     l'impression de totaux à partir des compteurs,  conformément à la position des chariots. Cette  bande ferme des circuits pour choisir les  compteurs et les, accumulateurs pour les opé  rations d'impression de totaux.     1:11e        com-          prénd    une bande 500, de matière isolante, sup  portée à l'arrière du chariot de droite     RHC          (fig.    20), de façon à s'étendre parallèlement  au rail arrière, au moyen de brides 501 fixées  aux deux plaques 160 associées à ce chariot.

    Cette bande porte un jeu de contacts noyés    502     (fig.    10) et une bande de contacts com  mune 503     s.'étend    le long de la partie de la  bande     isolante        qui    porte les contacts noyés  502. Une bride 504, fixée au chariot (voir  également     fig.    20) porte un bloc 505 auquel  sont fixés une paire d'éléments de contacts  506, pressés par des ressorts, un de     ces    con  tacts portant contre la surface supérieure de  la bande de contact     commune    503 et l'autre       glissant    sur     les        contacts    noyés 502.

   Chacun des  contacts noyés 502 correspond à     itne    des co  lonnes de la feuille de travail, si bien que le  déplacement du chariot d'une colonne à l'au  tre provoque la sélection de circuits qui com  mandent l'impression de totaux à partir de  sections d'un accumulateur et de groupes de  compteurs d'unités correspondant à ces posi  tions du chariot. Un se rappellera que quatre  compteurs sont associés à chaque position dut  chariot, telles que déterminées par     les    dents  de la crémaillère 352, de     façon    à permettre  l'impression de soixante totaux par déplace  ment du chariot sur     quinze    positions succes  sives.  



  La machine est équipée d'un mécanisme  accumulateur capable de recevoir des entrées  sous commande des fiches d'enregistrement et  d'effectuer des     opérations    de     sommation    dé  calée permettant de contrôler l'exactitude de  la fabulation des postes. Ce mécanisme accu  mulateur est semblable à celui décrit dans la  demande de brevet des     U.    S. A. N  9498 dé  posée le 19     février    1948 par C. D. Lake et ses  collaborateurs.  



  Dans la machine décrite, le mécanisme  accumulateur comprend seize ordres qui peu  vent être     divisés    en groupes de quatre ordres       chacun,    chacun de ces groupes constituant un  accumulateur séparé pour     des    buts de somma  tion décalée. Un     acctunulateur    séparé pour  un seul ordre est représenté* aux     fig.    28 à 35.  



  Les éléments et le mécanisme constituant  chacun des ordres des accumulateurs sont  portés par une plaque de support 600, mon  tée'verticalement dans la machine. Cette pla  que 600     (fig.    28) porte deux électro-aimants  dont l'un est un électro-aimant de retour     RljI     et l'autre un électro-aimant- d'addition     ALÏI.         Une armature 601, pivotée sur un axe 602, est       disposée    à mi-chemin entre les noyaux de ces  électro-aimants. Dans la position normale de  l'armature 601, celle-ci se trouve en contact  avec le noyau de l'électro-aimant     A.11,    comme  à la     fig.    28.

   L'extrémité de droite de l'arma  ture 601 est reliée à un levier 603, pivoté sur  un axe 604 au moyen d'une fourche     603a    de  ce levier. Un cliquet     d'actionnement    606, pi  voté sur un axe 605 que porte le levier 603,  est tendu dans le sens des aiguilles d'une  montre par un. ressort 607     fixé,    d'une part, à  la queue du cliquet 606 et, d'autre part, à une  goupille que porte le levier 603. Ce     cliquet     est     ainsi    tendu contre la denture d'une roue à  rochet 609, avec les dents de laquelle il co  opère.  



  Il est évident que lorsque l'armature 601  est attirée par le noyau de l'électro-aimant  <I>R111,</I> le levier 603 est entraîné pour pivoter  dans le sens des     aiguilles    d'une montre autour  de son axe 604, le cliquet 606 étant déplacé  vers la droite sur la roue à rochet 609 et ve  nant s'engager derrière la dent de droite sui  vante de cette roue     (fig.    28). Dans cette po  sition, le     cliquet    606 est prêt à faire tourner  la roue à rochet 609 dans le sens des     aiguilles     d'une montre pour la faire avancer d'une  dent lorsque l'électro-aimant Bill n'est plus  excité et que l'électro-aimant     Al1 <     est excité.

    Lorsque l'électro-aimant d'addition<B>AN</B> est  excité     après    que     l'électro-aimant        R31    cesse  d'être excité, l'armature 601 fait pivoter le le  vier 603 dans le sens contraire de celui des  aiguilles d'une     montre,    pour provoquer une  rotation d'une dent de la roue à rochet 609.  Une unité est ainsi enregistrée par l'accumu  lateur pour chaque oscillation du levier 603.  



  Un ensemble de roues d'accumulateur  pour chaque ordre est constitué par la roue à  rochet d'addition 609     (fig.    31), par une roue  à rochet 610 associée à un mécanisme de re  tenue destiné à empêcher     l'accumulateùr     d'avancer de plusieurs unités à la fois lors  qu'il est commandé pour enregistrer une seule  unité, par une roue à rochet 611 servant à  verrouiller un contact en position fermée  lorsque la première     -unité    est enregistrée dans    l'accumulateur, et par deux cames de com  mande 612 et 613     associées    à un mécanisme.  de report des unités.

   Les trois roues à rochet  609, 610, 611 et les deux cames 612 et 613  constituent un ensemble fixé à     itn    arbre 614  dont une des extrémités est pivotée dans une  bride 615 que porte la plaque 600. Cette pla  que 600 porte     également    un palier 616 dans  lequel est pivotée     tune    partie de plus grand  diamètre 614a de l'arbre 614.  



  Le mécanisme de retenue comprend un le  vier de détente 617     (fig.    28 et 29) pivoté sur  un axe 618 et présentant une saillie     617a    des  tinée à venir en contact avec un nez     603b    du  levier 603. Un cliquet 620 est pivoté sur un  axe 619 et coopère avec la roue à rochet 611  (voir également     fig.    32). Un ressort 620a est  tendu entre les queues des cliquets 617 et 620  pour appliquer ces cliquets contre     les    den  tures des roues à rochet associées 610 et 611.  



  Lorsque le levier 603 est entraîné pour  pivoter dans le sens des aiguilles d'une montre       (fig.    28), son nez 603b vient en contact avec  la saillie     617a    et écarte le     cliquet    de retenue  617 de la roue à rochet 610 en même temps  que le cliquet 606 est déplacé pour venir en  gager la dent suivante de la roue à rochet 609.

    Lorsque l'armature 601 est attirée par     l'élee-          tro-aimant    d'addition     AJl,    aidée dans son  mouvement par le     ressort        620a,    elle fait pivo  ter le levier 603 dans le sens contraire de ce  lui des aiguilles d'une montre, et le     cliquet     de retenue 617 est ainsi entraîné pour pivoter  et pour venir coopérer avec la dent suivante  de la roue à rochet 610. Le nez 603b s'écarte  légèrement du cliquet de retenue lorsque ce  lui-ci vient s'engager dans la roue à rochet  610.

   Le cliquet de retenue 617 se trouve, par  conséquent,     obligatoirement    sur le parcours  de la dent suivante de la roue à rochet 610,  juste avant que le cliquet 606 n'ait atteint  l'extrémité de sa course en faisant tourner  la roue à rochet 609 d'une dent dans le sens  des aiguilles d'une montre.  



  Lorsque les paires d'impulsions alternées  sont successivement appliquées aux électro  aimants     ROI    et     A11,    la suite d'opérations dé  crites est répétée pour additionner oui pour      enregistrer des compléments de     nombres,    de  faon à effectuer une soustraction, et l'unité  d'accumulateur est ainsi avancée d'un nom  bre de pas correspondant au nombre effectif  de paires d'impulsions appliqué à ces     électro-          aimants.    Pour enregistrer le chiffre  1 , une  seule paire d'impulsions est transmise     auxdits     électro-aimants     R112    et<I>AH</I> respectivement,  tandis que, pour enregistrer le chiffre   3   par exemple,

   trois paires d'impulsions sont  appliquées aux électro-aimants     Rl1I    et     A167.     



  Un levier 622 présentant une dent     622a     coopérant avec     les    dents de la roue à rochet  611 est pivoté sur un axe 621, porté par la pla  que 600     (fig.    28 à 32). L'extrémité de gauche  du levier 622     (fig.    32) porte un bloc de ma  tière isolante disposé pour actionner une lame  de ressort de contacts AC. Lorsque la roue à  rochet 611 tourne dans le sens des aiguilles  d'une montre d'un premier     pas    d'une dent       (fig.    32), une dent de cette roue agit à la  façon d'une came pour faire pivoter le levier  622 dans le sens contraire de celui des     aiguilles     d'une montre, de façon -à fermer les contacts  AC.

   Le levier 622 est verrouillé dans cette       position    par un levier de verrouillage 623,  pivoté librement sur un axe fixe 624 et tendu  dans le sens des aiguilles d'une montre par  un ressort 623a.     Les    contacts AC restent  fermés jusqu'à ce que les pas de fonctionne  ment successifs des roues     d'acciuuulateur     associées, pour l'addition ou la soustraction  d'un chiffre, soient     terminés.     



  Un levier     d'actionnement    de contact 625       (fig.    28 à 31), présentant trois bras, est monté  pour pivoter autour de l'axe 621. Ce levier  porte un     bloc    de matière isolante disposé pour  actionner des contacts SC de construction  semblable à celle des contacts<I>AC,</I> mais nor  malement fermés. Le levier 625 coopère avec  une pièce polaire d'un. électro-aimant de  soustraction<I>SOI,</I> un de ses bras constituant  l'armature 625a de cet électro-aimant dont  l'axe magnétique est perpendiculaire à la pla  que 600 et qui est fixé à cette plaque par une  vis appropriée 626.

   Un     ressort   <B>627,</B> disposé  clans un trou ménagé dans la pièce polaire de  l'électro-aimant SOI, tend le levier 625 dans    le     serfs    contraire de celui des aiguilles d'une  montre pour maintenir les contacts SC ;  fermés.

   Le troisième bras du levier 625 vient  en contact avec un épaulement ménagé à  l'extrémité d'un levier de verrouillage 628,  tendu     dans    le sens des aiguilles d'une montre  par un     ressort        628a    et pivoté sur l'axe 624. ;  Lorsque l'électro-aimant     SIÏI    est excité, le  levier 625 est entraîné pour pivoter dans le  sens des aiguilles d'une montre     (fig.    28),  ouvrant     ainsi    les contacts SC et permettant  à l'extrémité du levier de verrouillage 628 ,  d'être attirée     au-dessus    du troisième bras du  levier 625, pour le maintenir en position  abaissée.

   Ainsi qu'on s'en rendra compte plus  loin, l'électro-aimant de soustraction     SIP1    est  excité sous commande d'impulsions comman  dées dans le temps représentant des chiffres,  par exemple à partir d'un balai d'analyse de  fiche, pour effectuer la soustraction du chif  fre représenté par ces     impulsions.    La faon  dont l'électro-aimant     SDI    est opérant pour,.  provoquer une soustraction sera expliquée  plus     loin    en référence au schéma électrique  de la     machine.     



  Un mécanisme de contacts est prévu pour  fermer un circuit de transfert d'unités, pour,,  effectuer des reports à partir de roues d'accu  mulateur d'ordre inférieur à des roues d'or  dre supérieur. La roue à rochet 609 comprend  vingt dents, si bien que l'ensemble de roues  d'accumulateur effectue un demi-tour pour     f     chaque dizaine d'unités accumulées. Le méca  nisme de report des dizaines d'unités est re  présenté à la     fig.    34 et comprend un levier       d'actionuement    630, semblable au levier 622       qui    actionne les contacts     d'addition    AC de la     f          fig.    32. Ce levier 630 présente un nez 630a,  coopérant avec la came 613.

   Cette came pré  sente deux levées     613a;    disposées en des points  diamétralement opposés par rapport à l'axe  614. Les levées     613a    sont disposées de façon  < .  que, lorsque     l'ensemble    de roues d'accumula  teur passe d'une position correspondant à un  chiffre 9 dans la position suivante correspon  dant au chiffre 0, des contacts<I>TC,</I> qu'on  appellera plus loin contacts de     dizaines,    sont  fermés et que le levier est     verrouillé    par un      levier de verrouillage 631, semblable au levier  de verrouillage 628 et actionné par un ressort       631a,    si bien que les contacts<I>TC</I> restent  fermés.  



  Des contacts de report de neuf NC       (fig.    33) sont     actionnés    par un levier 633,  semblable au levier 622, sauf que ce levier ne  coopère     pas    avec un levier de     verrouillage,          mais    qu'il est actionné par la came 612 qui  présente deux levées disposées de telle faon  que chaque fois que     l'ensemble    de roues de  l'accumulateur est à  9 , les contacts<I>NC</I>  sont     maintenus    fermés.  



  Chaque ordre d'accumulateur est égale  ment     muni    d'un mécanisme de lecture de       construction    usuelle. Ce mécanisme est repré  senté aux     fig.    31 et 35 et il est logé dans un  moulage 634, de matière     isolante,    fixé à la  face de la plaque 600 opposée à celle     qui    porte  le mécanisme de     l'accumulateur.    Le moulage  ' 634 entoure un jeu de dix segments     eonduc-          teurs    635,

   dont les extrémités intérieures  sont disposées le long du bord d'un évidement       circulaire    du moulage 634 et     \espacées    les  unes des autres de     dix-huit    degrés. Un seg  ment de contact semi-circulaire 636 s'étend le  long de la partie restante du bord de cet évi  dement.  



  Un organe de support conducteur 637, por  tant deux doigts de contact 638 pivotés sur       lui    en. 637a, est     fixé    à la partie de plus grand  diamètre     614a    de l'extrémité de gauche de  l'arbre 614, dont il est isolé.

   Les extrémités  des doigts de contact 638 sont disposées pour  se déplacer le long de la périphérie     intérieure     de l'évidement circulaire     634a    du moulage  634, de façon que lorsque l'organe 637 tourne  dans le     sens    contraire de celui des aiguilles  d'une montre-     (fig.    35), l'un des doigts glisse  sur le     segment    commun 636, tandis que l'au  tre     glisse    successivement sur les segments 635  pour     les    mettre successivement en contact avec  le segment     commun    636.

   On se rappellera que  l'ensemble de roues d'accumulateur effectue  un demi-tour pour chaque dizaine d'unités  ajoutée à cette roue; il est par conséquent évi  dent qu'un     circuit    est fermé par les doigts  638, pour relier au segment     commun    636 l'un    des segments 635 représentant la     valeur    effec  tive d'un chiffre correspondant à la position  des roues de     l'accmnulateur,    dans chaque po  sition de ces roues. Ces valeurs sont     indiquées     par les petits chiffres 0 à 9 désignant les seg  ments 635 respectifs à la     fig.    35.

   Ce méca  nisme est utilisé pour lire les totaux enregis  trés dans le mécanisme d'accumulateur dans  différentes conditions qu'on expliquera en  détail plus loin en référence au schéma élec  trique de la machine.  



  Des moyens sont     prévus    pour remettre en  place les contacts AC,<I>TC</I> et SC, et ces  moyens sont représentés aux fi,-. 28, 32 et     3.1.          Ils    comprennent un électro-aimant de libéra  tion de contact     CRJl,    fixé à la face de la pla  que 600 et     actionant    une armature 639 pivo  tée sur     un    axe 640. Un ressort 641, logé dans  un perçage de, la pièce polaire de l'électro  aimant     CRM    tend l'armature 639 dans le  sens contraire de celui des     aiguilles        d'une     montre, l'appliquant contre une goupille d'ar  rêt 642 fixée à la plaque 600.

   L'extrémité  libre de l'armature 639 est de forme arrondie  et suffisamment large pour s'étendre au-des  sus de tous les leviers de verrouillage 623, 628  et 631     (fig.    31).     Lorsqu'une    période d'addi  tion ou de     soustraction    est achevée, certains  contacts ferment un circuit pour exciter     l'élec-          tro-aimant        CRIV    qui libère les leviers de ver  rouillage 623, 628 et 631 de façon à ramener  les contacts AC, SC et<I>TC</I> dans les positions       respectives    représentées au dessin.  



  La machine comprend soixante compteurs  d'unités ou de     postes,        chacun    de ces comp  teurs comprenant quatre ordres de numéra  tion. De façon générale, ces compteurs de  postes sont construits de façon très sembla  ble aux     ordres    d'accumulateur, tout en étant  beaucoup plus     simples,        quelques-unes    des ca  ractéristiques nécessaires à ces ordres d'accu  mulateur n'étant  pas nécessaires dans un  compteur de postes.  



  Une unité à un seul ordre de numération  d'un compteur de postes est représentée aux       fig.    38 à 40. Cette unité comprend     une    pla  que de base 650, semblable à la plaque 600,  sur laquelle est monté un     électro-aimat    de      compteur<I>COI</I> semblable en ce qui concerne  son fonctionnement à l'électro-aimant<I>ROI</I> du  mécanisme d'accumulateur. L'électro-aimant       CDI    est associé à un jeu de pièces     désignées     par les chiffres de référence 651 à 671, les  pièces désignées en outre par le suffixe     cz    y  comprises.

   Ces pièces sont de formes sembla  bles et remplissent des fonctions semblables à  celles des pièces désignées par les chiffres de  référence 601 à 621 de la     fig.    28.     Btant    donné  que cette unité de compteur ne comprend pas  d'électro-aimant     ALÏI,    elle est pourvue d'une  butée 672 contre laquelle l'armature 651 est  maintenue par un     ressort    673, logé dans un  perçage ménagé dans la pièce polaire de     l'élec-          tro-aimant   <I>COI.</I> Ce ressort tend     l'armature    651  clans le sens des aiguilles d'une montre.  



  Lorsque l'électro-aimant<I>GAI</I> est excité, 1e  ressort 673 est comprimé et le levier 653 est       entraîné    pour pivoter dans le sens des     aiguil-          les    d'une montre     (fig.    36), attirant le cliquet  656 vers la droite, de même que dans l'unité       d'accumulateur        (fig.    28).

   Ce mouvement  actionne également un organe de retenue 667,  de la même façon que l'organe 617 de l'unité       d'accumulateur.    Un     retour    en arrière de l'en  semble de roues du compteur comprenant les  roues à rochet 659, 660, 661 et les cames 662  et 663 est alors empêché par un cliquet 670,  semblable au cliquet 620, actionné par un res  sort     670a    tendant à le faire engager avec les  dents de la roue à rochet 661.

   Lorsque     l'élec-          tro-aimant   <B>CH</B> cesse d'être excité, le ressort  673, aidé par l'action du ressort     670a,    ramène  les différentes pièces dans leurs positions res  pectives représentées .à la     fig.    36, et l'organe  667 agit exactement de     la@        mëme    façon que  l'organe 617 de la     fig.    28 pour empêcher un       dépassement    de position .des différentes pièces  du mécanisme.  



  Le mécanisme comprend des contacts de  report de neuf     CNC        (fig.    39) qu'on appellera  plus loin     contacts    de neufs de compteur. Ces  contacts sont actionnés par la came 663, par  l'intermédiaire     d'un    levier 674 pivoté sur l'axe  671. La came 662 actionne deux jeux de con  tacts, dont les uns, appelés contacts de re  mise en place du compteur, sont désignés par         CRC    et dont les autres, appelés contacts  d'impression du compteur, sont désignés par       CPC.        Ces    contacts sont actionnés par l'inter  médiaire d'un levier 675.  



  La came 663 est disposée pour     maintenir     fermés les contacts     CNC    lorsque l'ensemble  de roues du compteur se trouve dans la posi  tion     correspondant    au chiffre 9, tandis que la  came 662 est disposée pour     maintenir    fermés  les contacts     CPC    et     CRC,    excepté lorsque  l'ensemble de roues se trouve dans la     @posi-          t.ion    correspondant au chiffre 0.

   Ainsi qu'on  l'expliquera plus loin, les contacts     CRC    dé  terminent la fin des impulsions de remise en  place fournies à     l'électro-aimant        C31    pendant  l'opération de remise en place à 0 des comp  teurs, tandis que les contacts     CPC    provo  quent l'émission d'impulsions pour l'impres  sion des totaux. A l'exception des deux  compteurs respectivement désignés par le  chiffre 1 et par le chiffre 60,     aucun.    des  compteurs d'unités ne comprend de commu  tateur de lecture tel que celui représenté à la       fig.    35.

   Le compteur N  1 comprend des com  mutateurs de lecture semblables à ceux de la       fig.    35 pour tous ses quatre ordres, et le  compteur N  60 comprend de tels commuta  teurs pour ses ordres des unités, des     dizaines     et des centaines. Ces commutateurs de lecture  comprennent chacun une pièce moulée 684       (fig.    45), des segments de lecture 685 et 686,  un support 687 et des doigts de contact 688  correspondant aux pièces de la     fig.    35 respec  tivement désignées par les chiffres de réfé  rence 634 à 638.  



  La machine est munie de deux mécanismes  de levier de fiche qui actionnent respective  ment des premiers contacts de levier de fiche       CLC1    et des seconds contacts de levier de  fiche     CLC2,    pendant le     passage    ,de la pre  mière     fiche        vers    le     mécanisme    de répartition  et de commande de triage, à     partir    du maga  sin     H.    Bien que' ces     mécanismes    soient diffé  rents, en ce qui concerne la .forme de cer  taines de leurs pièces,

   leurs fonctionnements  sont très semblables et seule la     construction.     mécanique du premier de ces mécanismes sera  donc décrite en détail. Ce mécanisme est re-      présenté à la     fig.    43 et comprend un levier  de     fiche    690, présentant un sabot     690a,    con  formé pour venir en contact avec la face infé  rieure d'une fiche passant du magasin H au  . rouleau de contact CR. Cette fiche fait bascu  ler le levier de fiche autour de son axe 641  porté par un bloc adéquat fixé au châssis  principal de la machine.

   Ce levier porte une  goupille isolante 692 qui ferme alors les con  tacts     CLC1        montés    à     l'extérieur    du châssis  portant le pivot 691, la goupille 692 passant  à travers une ouverture ménagée dans le       châssis    et venant s'appuyer contre une lame  de ressort portant l'un des contacts     CLC1.     Les seconds contacts de levier de fiche     CLC2     sont actionnés de faon semblable par un le  vier 693     (fig.    5) présentant un sabot     693a          disposé    pour glisser sur la fiche.

   Ce sabot est  déplacé vers le bas au passage de la première  fiche et fait pivoter le levier 693, fermant  ainsi les     contacts        CLC2.    Les sabots     690a    et       693a    sont assez longs pour que les contacts  de ' levier de fiche     CLCI    et     CLC2    restent  fermés, une fois     qu'ils    ont été fermés par une  première     fiche,    tant que des     fiches    continuent  à être avancées à partir du magasin H.  



  La machine comprend des     contacts    de ma  gasin HO. Ces contacts sont actionnés par un       levier    694     (fig.    44), pivoté en 695 au-dessous  du     magasin    H. Un des bras du levier 694  s'étend .au travers d'une encoche ménagée  dans le fond du magasin, et le poids des  fiches C se trouvant dans ce magasin fait pi  voter ce levier     dans    le     sens    des aiguilles     d'une     montre, fermant ainsi les contacts<B>HO.</B> Lors  que la dernière fiche est sortie du magasin,  les     contacts   <B>HO</B> s'ouvrent à nouveau.  



  La machine comprend     des    dispositifs de  fermeture de circuits qui sont efficaces, de  faon commandée dans le temps pour com  mander le     fonctionnement    de la machine.       Deux    groupes généraux de tels dispositifs  sont prévus, l'un de ces groupes étant actionné  à grande     vitesse    à partir de l'arbre 117 et       fonctionnant    continuellement tant que la ma  chine     fonctionne,    tandis que l'autre groupe  est     entraîné    par l'arbre 220 et ne fonctionne  que pendant les cycles d'impression de la ma-    chine.

   Les dispositifs de fermeture de cir  cuits actionnés par l'arbre 220 fonctionnent à  plus faible     vitesse,    du fait que l'impression  est effectuée à plus faible vitesse que le  triage, que le comptage et que les opérations  d'accumulation.  



  Les dispositifs de fermeture de circuits à  grande vitesse sont disposés au coin droit  arrière de la machine, sur le socle 100, et sont  représentés aux     fig.        2A,    24 et 25. L'arbre 108  qui actionne le mécanisme de pince de fiche et  le mécanisme élévateur de fiche     (fig.    5)  s'étend vers l'arrière de la machine, comme on  le voit en particulier aux     fig.        2A    et 24, jusque  dans une boîte à engrenages 750, à l'intérieur  de laquelle cet arbre porte un engrenage 751  qui engrène avec un engrenage 752 solidaire  d'un court arbre 753 pivoté     dans    la boîte à  engrenages 750.

   Un     ,engrenage    754, engrenant  avec un engrenage 755, est monté sur l'arbre  753 dont il est solidaire. L'arbre 756 est pivoté  dans des plaques 757 qui sont montées sur le  socle 100 au moyen de brides adéquates 758.  L'arbre 756 porte un jeu de quatorze cames  759     (fig.        2A    et 25), chacune de ces cames  coopérant, avec un organe coulissant 760,  monté pour     glisser    dans un bloc 761, de rela  tivement faible épaisseur, porté par une tra  verse 762 reliée aux plaques 757. Deux blocs  de connexion 763 sont montés sur chacun des  blocs 761 dont ils sont isolés. Ces     blocs    763  portent des vis destinées à recevoir des fils  de connexion.

   Un des blocs de connexion 763  est en contact avec un organe de contact à  ressort 764, qui est tendu contre l'organe cou  lissant 760, .de faon à le maintenir en con  tact avec la came 759. L'autre bloc porte un  élément de contact coopérant avec un élément  de contact similaire de l'organe coulissant 764.  



  Ces contacts sont désignés par les signes  de référence     LC1   <I>à</I>     LC6    et C7 à C15 respec  tivement, au schéma électrique des     fig.        48A    à       48g    et au diagramme de commande dans le  temps des     fig.        47A    et 47B. Les levées des  cames 759 sont disposées de faon à faire fer  mer les organes de contact associés au cours  des périodes du diagramme de commande  dans le temps désignées par des traits noirs.

             Quelques-unes    de ces cames sont construites  pour provoquer la fermeture     intermittente     des contacts à des intervalles réguliers, tandis  que d'autres sont construites pour     maintenir     les contacts fermés pendant des périodes de  temps de     durées    variables.  



  L'arbre 765 porte un second engrenage       755a        (fig.        2g    et 24) qui lui est fixé et qui  engrène avec un engrenage libre 766. L'en  grenage 766 engrène avec un     engrenage     767, fixé à un arbre 768 pivoté dans  la plaque 757. Cet arbre 768     entraîne    un  groupe de dispositifs de fermeture de circuits  C16 à C27 et     CS3    et     CS4    semblables aux dis  positifs     LC1   <I>à</I>     LC6    et C7 à C15.  



  L'arbre 768 porte un second engrenage  <I>767a</I>     (fig.    24 et 25) qui engrène avec un en  grenage 769 monté sur un arbre 770 pivoté  clans des paliers 771 (voir     fig.        2g    et 12)  montés sur le socle 100. L'arbre 770 entraîne  un jeu d'émetteurs à grande vitesse, dont cer  tains sont désignés par E1 à E18 et par E25  à E33 au diagramme de commande dans le  temps et au schéma électrique.  



  Chaque     émetteur        (fig.    12) comprend une  paire de plaques fixes de matière isolante  772, à l'intérieur desquelles un jeu de seg  ments de contacts 773 est moulé.     Les    extré  mités de ces segments sont disposées selon un  demi-cercle autour des bords des plaques 772  qui sont disposées bord contre bord et for  mées de façon à ménager une grande     ouver-,     turc circulaire     772a.    Chacune des plaques 772  comprend également une bande de contact  commune<I>773a,</I> qui s'étend le long de la ran  gée de     segments    de contacts 773 de cette pla  que, et l'arbre 770     porte    des paires de balais  émetteurs électriquement reliés entre eux,

    montés sur des blocs     770a    que porte cet arbre.  Une paire de balais est prévue pour chaque  émetteur et un balai de chaque paire glisse  sur les deux bandes de contact communes       773a,    qui sont extérieurement     reliées    électri  quement pendant que l'autre balai glisse sur  les segments 773, de façon que les balais 774  ferment successivement des circuits passant  par les     segments    de l'émetteur, comme indi  que à la     fig.    47g.

      Les dispositifs de fermeture de     circuits        en-          traînés    par l'arbre     d'impression    220 sont re  présentés aux     fig.    2B, 26 et 27. Un engrenage  775 engrenant avec un engrenage 776 est fixé  à l'arbre 220. L'engrenage 776 est monté sur  un arbre 777, pivoté dans des plaques 778  montées sur le socle 100. Un     deuxième    arbre  779 est pivoté dans     les    plaques 778 et est en  traîné par l'arbre 777 au moyen d'un train  d'engrenages 780, 781 et 782.

   A l'aide de  cames 783, les arbres 777 et 779 entraînent       deux    groupes de dispositifs de fermeture de  circuits semblables à ceux représentés à la       fig.    25. Ces dispositifs sont désignés par les  signes de référence C2, C29 à C49 et C51 à  C56 à la     fig.    47B et au schéma électrique.  



  Un émetteur d'impression PE est     fixé    à la  plaque 778 de gauche     (fig.    2B et 26). Cet  émetteur comprend un     moulage    784, de forme  aplatie et semi-circulaire, portant un jeu de  neuf     segments    786 qui s'étendent vers l'inté  rieur jusque dans une ouverture circulaire  784a ménagée dans le moulage 784. Un anneau  de contact commun 787     (fig.        4811)    est égale  ment disposé autour de l'ouverture circulaire;  à côté des segments 785.

   L'arbre 777 porte un  support de balais 788 portant une paire de  balais 786 disposés pour glisser sur la rangée  de segments 785 et sur l'anneau de contact       comm-un    788, de façon à     fermer    successive  ment des     circuits,    comme indiqué au haut de  la     fig.47B,    en regard du signe de référence PE.    L'arbre 216     (fig.    2B, 3 et 15) est muni de  deux dispositifs d'interruption de circuits,  l'un de ces     dispositifs    étant désigné par C1 et  étant construit de façon semblable à ceux re  présentés aux     fig.    25 et 27.

   Ce dispositif est  actionné par une came 789, ses     contacts    étant  montés sur une bride de support 217     (fig.    15).  L'autre dispositif, désigné par C2, est monté  à mi-chemin entre les plaques 160     (fig.    15)  sur -une bride 790. Ces dispositifs interrup  teurs de     circuits    ou simplement rupteurs  fonctionnent continuellement tant que la ma  chine fonctionne. Cependant, ils fonctionnent   à une plus faible vitesse-que ceux qui sont en  traînés par l'arbre 117, étant     donné    la réduc-      Lion de vitesse effectuée par le     dispositif    d'en  traînement des arbres 216 et 220.  



  La machine comprend un dispositif mar  queur destiné à marquer des fiches au cours  de leur     passage    dans la machine, pour per  mettre de les     distinguer    visuellement d'autres  fiches. Ce dispositif est commandé par un  électro-aimant marqueur     i11111        (fig.    4, 46 et  48), fixé à une plaque de guidage de fiches  801 par son joug 800, cette plaque étant fixée  de façon adéquate au châssis principal. Un le  vier 802, portant une armature 803 de cet  électro-aimant     l11112    est pivoté en     800a          (fig.    46) au joug 800.

   Un ressort 804 tend le  levier 802 dans le     sens    des aiguilles d'une  montre, l'appliquant contre -une partie du  joug 800     qui    sert de butée. Un crayon mar  queur 805     est    fixé au levier 802 et réglé de  façon que sa pointe vienne appuyer sur une  fiche passant sous ce crayon, chaque fois     que-          l'électro-aimant        11'1111    est excité.  



  Le fonctionnement de la machine et un  dispositif de     commande    à connexions à fiches  que comprend cette machine seront mainte  nant décrits en référence au tableau de con  nexions     (fig.    41), au diagramme de com  mande électrique dans le temps     (fig.    47A et  47B), au schéma électrique     (fig.    48A à     48g)     et     aux    schémas de connexions du tableau       (fig.    49A à     49x).     



  Les     différentes    feuilles contenant les       fig.        48A,    48C 48E 48G, 481, 48K, 48M, 480,  48Q, 48s, 48U et 48W doivent -être disposées  selon une rangée, de gauche à droite dans l'or  dre     d'énumération,        au-dessus    des     fig.    48B,  48D, 48F,     48I-1,    48J, 48L, 48N, 48P, 48R, 48T,       48V    et 48x formant une rangée semblable, la       fig.    48A venant au-dessus de la     fig.        48B,

      la       fig.    48C     au-dessus    de la     fig.    48D et ainsi de  suite, pour     constituer    le schéma     électrique          d'ensemble    de la     machine.     



  Le tableau de connexions (fi-. 41) porte  80 douilles PSI, une douille pour chaque  balai B d'analyse de fiche     (fig.        48R)    du  schéma. Lorsque la     machine    fonctionne, les  douilles PSI constituent     ales    douilles de sortie  pour des     impulsions    commandées dans le  temps représentant -les différentes valeurs         poinçonnées    dans des colonnes correspon  dantes de la fiche.

   Une fois que la machine  a été mise en fonctionnement     d'une    façon  qu'on décrira plus loin, des contacts     CLR2B     du relais de levier de fiche se ferment et les       contacts    de commande dans le temps     LC5    et       LC6        (fig.    47A) fonctionnent comme rupteurs  pour émettre de brèves impulsions qui sont  transmises au rouleau de contact CR par l'in  termédiaire d'un balai commun     CB.    Ces     im-          pulsions    de balais de fiche partent du con  ducteur positif d'une ligne P1     (fig.        48Q)

      et       passent    à travers les contacts     LC5,        LC6    et       CLR2B    pour parvenir au balai commun     CB,     au rouleau de contact CR et, par l'intermé  diaire des     balais    de fiche B, jusqu'aux douilles  PSI.

   De façon qu'on puisse plus facilement  suivre les différents circuits et pour abréger  la description autant que possible,     les    douilles       PSl    seront considérées comme sources d'im  pulsions ou comme sorties commandées par la  fiche, et on ne suivra les circuits qu'à partir  de ces douilles, à travers les différents dispo  sitifs de connexion à fiches et autres disposi  tifs de commande ou jusqu'à ces     différents     dispositifs.  



  *La machine comprend 50 relais  Sélec  teurs de     recodification     représentés à la  fi-. 480 et qui sont excités au moyen d'im  pulsions dirigées aux     douilles        PS2    et     PS3,        ces     impulsions commandant des tubes électroni  ques de     recodification    V1 à V50, dont seuls       quelques-uns    sont représentés à la     fig.    480,  mais dont les circuits sont tous identiques.

    Dans la plupart -des conditions, les douilles       PS2    sont reliées ù au moins une des douilles       PS1,    de façon que les relais de     recodification     soient excités sous commande de données four  nies par des poinçonnages des fiches d'enre  gistrement. Le but des     douilles        PS3    est de  permettre de rendre les relais de     recodifica-          tion    sélectivement efficaces dans     certaines          .conditions    déterminées seulement, ces condi  tions pouvant comprendre l'utilisation d'im  pulsions fournies à partir des balais d'ana  lyse de fiche.  



  Les relais de     recodification    sont désignés  par R27 à R36, R59 à R68, R97 à     R.106,    R131           à*    R140 et     R161    à R170. Chacun de ces relais  est associé à l'un des tubes sélecteurs de     reco-          dification    V1 à     V50.    Ces tubes sont des     té-          trodes    à gaz d'un type bien connu sous le  nom de      thyratron     et comprenant une     grille-          écran.    Des tubes du type miniature commer  cialement désignés par 2D21 sont utilisés et  sont disposés de façon qu'il est 

  nécessaire  d'appliquer deux impulsions simultanées res  pectivement à la grille de commande et à la  grille-écran de chacun de     ces    tubes pour les  rendre conducteurs et pour exciter un relais  disposé dans son circuit d'anode. Ceci est  obtenu en appliquant à la grille de com  mande, reliée à la douille     PS2,    et à la     grille-          écran,    reliée à la douille     PS3,    des tensions de  polarisation telles qu'une modification de la  polarisation d'une de ces grilles causée par  une impulsion de fonctionnement appliquée  à cette grille soit     insuffisante    pour amorcer le  tube, à moins qu'une impulsion de valeur  adéquate soit simultanément appliquée à l'au  tre grille.

   Les tubes de     recodification    fonction  nent, par conséquent, en un certain     sens,     comme mélangeurs     d'impulsions,    nécessitant  une certaine relation entre les impulsions qui  leur sont appliquées pour être rendus con  ducteurs.  



  La façon dont les relais de     recodification     sont utilisés dans les buts considérés sera  expliquée plus loin en référence aux schémas  de connexion du tableau de connexion de la  machine, qui montrent comment la machine  peut être disposée pour     -différents    types d'opé  rations.  



  Conjointement avec les relais de     recodifi-          cation,    treize émetteurs de     recodification    sont  prévus, ces émetteurs étant désignés par     E1     à E13 à la     fig.    480. Huit de ces émetteurs,  E1 à E8,     comprennent    chacun un balai com  mun 774 relié à une connexion W3, tandis  que les cinq autres émetteurs E9 à E13 com  prennent des balais communs reliés aux  douilles     PS5    désignées par une lettre C.

   Les  segments des émetteurs E1 à E13 sont reliés  aux     douilles        PS4,    chacun de ces     segments     étant relié à une douille double, sauf ceux de    l'émetteur E1 qui sont chacun reliés à six  douilles.  



  Les émetteurs E1 à E13 se     distinguent    les  uns des autres à la     fig.    41 par     les    lettres A à       M    disposées au-dessus des     rangées    de douilles  P84 qui leur sont associées. Les douilles dis  posées sous la lettre A correspondent à l'émet  teur E1. Il convient de remarquer que les       -fines    lignes reliant entre eux les petits cercles  du tableau de connexion représenté à la       fig.41    indiquent que les     douilles    correspon  dantes représentées par ces cercles sont re  liées entre elles par     Zme    connexion.

   On remar  quera que, à la     fig.    41, les douilles     PS2    -sont  disposées de façon qu'en introduisant une  double fiche de pontage entre     une    douille       PS2    supérieure et une douille P82 inférieure,  on relie entre elles les grilles de commande de  deux des tubes VI à V50, de façon à rendre  effectivement efficaces deux relais de     recodi-          fication    adjacents.

   Par exemple, si un pont  est inséré dans ces douilles     PS2,    tout à gauche  de la     fig.    41; la première condition est réalisée  pour rendre efficaces les relais     sélecteurs    de       recodification        R27    et R28 commandés par les  tubes V1 et V2.  



  Dans les conditions normales, au moins un       des        segments    773 des émetteurs E1 à E13 est  relié pour commander les relais sélecteurs de       recodification    par     l'intermédiaire    d'au moins  une connexion à fiches insérée entre les  douilles     PS3    et     PS4.    Par exemple, si on dé  sire exciter le relais R27 du sélecteur de     reco-          dification    1, sous     commande        d'un        poinçonnage      1  de la colonne 1 de la fiche,

   une connexion  à fiches -est insérée entre la douille PSI pour  la colonne 1     (fig.    41) et la douille     PS2    infé  rieure extrême gauche. Une seconde connexion  à fiches pourrait être insérée entre la douille       PS3    extrême gauche et l'une des douilles du  groupe de     six    douilles     PS4    disposées sous le  chiffre  1  de l'ensemble de     douilles    de     reco-          dification    A.

   Au point  1  du cycle, l'émet  teur El     (fig.    480) émet une     impulsion    à tra  vers la     connexion    W3 jusqu'à sa douille     PS4     et, à travers la connexion à fiches, jusqu'à la  douille     PS3    du tube V1. Cette     impulsion    est  produite simultanément avec l'impulsion fQu_r-      nie à partir du balai B à la     douille        PS2    de ce  tube. Le tube V1 est, par conséquent, amorcé  et excite le relais de     recodification    R27.

   Na  turellement, l'un quelconque des ensembles de       douilles    A à     111    pourrait être relié par une       connexion    à fiches pour fournir     l'impulsion      1  au sélecteur de     recodification    1, et un  balai B quelconque pourrait être relié par une  connexion à fiches à la douille P82. Il est de  même évident que l'un quelconque     des    sélec  teurs de     recodification    1 à 50 pourrait être  rendu efficace de cette même façon.  



  Chaque relais sélecteur de     recodification,     tel par exemple que le relais R27     (fig        48n),     actionne quatre jeux de contacts de     transfert          (fig.    48p) qui sont désignés par R27A et       R27B.    Ces contacts sont reliés à des douilles  P818, PS19 et PS20 groupées, comme indiqué  à. la     fig.    41, sous la désignation  Sélecteur de       recodification .    L'organe commun de chaque  jeu de contacts est désigné par la lettre c aux       fig.    41 et 48P.

   Les     contacts    normalement       fermés,    par exemple les contacts R27A       (fig.    48P), sont désignés par la lettre N, tan  dis que la lettre T désigne les     contacts    R27B  normalement ouverts.     Ainsi,    si des connexions  à fiches sont     insérées    dans les douilles PS19  et     PS20,    chacune de ces connexions forme un  circuit de     commande    normalement fermé à  travers. un jeu de contacts, tandis que des con  nexions à     fiches    insérées dans les douilles  PS18 et PS19 forment Lui circuit normale  ment ouvert.

   Les quatre jeux de contacts asso  ciés à chaque     relais    sélecteur de     recodification     sont     groupés,    et le numéro du sélecteur de     re-          codification        est        indiqué    à la     fig.    41 par un des  chiffres 1 à 50 disposés à     l'intérieur    de l'un  des carrés du tableau de connexion entourant  les douilles reliées aux quatre jeux de con  tacts du relais correspondant.  



  Un émetteur E15     (fig.    48S) est     prévu     pour émettre des impulsions d'ordres impair  et pair correspondant en valeur et     dans    le  temps à des positions de points de repère des       colonnes    de la fiche.

   Cet émetteur est relié de       façon    que les segments 773 de numérotation  paire soient     reliés    à la douille     PS6    et que les  segments de     niunérotation    impaire soient re-    liés à la.

       douille        PS7.    Un émetteur E14       (fig.    480) est, d'autre part, relié de façon que       ses        segments     0  à  4  soient reliés à une  douille commune     PS9    et que les cinq autres  segments de cet émetteur soient reliés à la  douille     PS8,    une moitié de l'émetteur émet  tant ainsi des impulsions à partir de  0  jus  qu'en  4 , tandis que l'autre moitié émet des  impulsions à partir de  5  et jusqu'en  9 .  



  Des moyens sont également prévus pour  fournir des impulsions pendant toute la pé  riode d'analyse de la fiche, c'est-à-dire à par  tir de  9  jusqu'en  12 , par l'intermédiaire  d'une douille<I>PS57</I>     (fig.    48Q).  



  Il est évident que les émetteurs E1 à E15  et la douille<I>PS57</I> constituent des sources       d'impulsions    pour une valeur quelconque de  positions repère, des impulsions impaires et  des impulsions paires, la moitié des     valeurs    0  à 9 ou toutes les valeurs 9 et 12 de ces impul  sions pouvant être utilisées pour commander  les tubes sélecteurs de     recodification    et les  relais associés ainsi que d'autres commandes       susceptibles    d'être reliées par des connexions  à fiches.

   Grâce aux émetteurs E14 et E15 et  à la douille     PS57,    les opérations qui pour  raient être accomplies en reliant à des douilles  par des connexions à fiches l'un quelconque  des émetteurs de     recodification    E1 à E13 peu  vent être simplifiées en insérant une seule  connexion à     fiches    dans l'une des douilles       PS6    à     PS9    inclusivement, d'une part, et dans  la douille     PS57,    d'autre part. On économise  ainsi un nombre considérable de connexions     à,     fiches.  



  La machine comprend un commutateur S5  sélecteur de colonnes. Ce commutateur est du  type à cadran et     il        est    représenté aux     fig.    1  et 48U. Il comprend deux curseurs et deux  jeux de plots de contact reliés respectivement  aux douilles PS10 et     PS11,    de façon à pou  voir être reliés     pâr    des connexions à fiches.

         1\Tormalement,    le commutateur S5 est utilisé  pour des triages alphabétiques et numériques  dans lesquels les douilles P811 sont reliées  par des connexions à fiches aux douilles     PS1     correspondant aux colonnes du champ de la  fiche d'enregistrement, dans lequel les don-      nées alphabétiques ou     numériques    sont poin  çonnées, tandis que la douille     P810    est reliée  par -une connexion à fiches pour exciter     l'élec-          tro-aimant    de triage, d'une façon qu'on dé  crira plus loin.

   En     faisant        tourner    le commu  tateur S5     d'um    cran û la fois, ce commutateur  étant ainsi relié par des connexions à fiches,  l'opérateur peut effectivement modifier la po  sition du balai avant chacune des courses suc  cessives     nécessaires    pour disposer les fiches  d'un groupe selon une suite alphabétique ou       numérique.    Ce commutateur a le même effet  que le déplacement manuel du balai unique       ,,énréalement    utilisé dans une machine de  triage.  



  La, machine comprend quatre colonnes de  dispositifs d'emmagasinage de chiffres qui  permettent d'emmagasiner jusqu'à - quatre  nombres d'un seul chiffre ou un     seul    nombre  de quatre chiffres. Les circuits d'emmagasi  nage de chiffres sont représentés à la     fig.    48S  et à la moitié supérieure de la     fig.    48T.

   Ils  comprennent des relais d'emmagasinage de  chiffres R41 à R56 et des tubes V67 à V82,  les tubes et les relais associés à deux colonnes  seulement étant représentés à la     fig.        48S.     Quatre douilles     P,'-',16        (fig.    41) sont prévues,  chacune de ces douilles étant susceptible de  commander l'emmagasinage     d'an    seul chiffre  qui peut prendre une valeur quelconque à  partir de 1 jusqu'à 9, 0, 11 et 12. Le disposi  tif d'emmagasinage de chiffres est également  prévu     pour    transmettre une     impulsion    au cas  où la colonne correspondante de la fiche est  vierge.  



  Chaque colonne     d'emmagasinage    de chif  fres comprend quatre tubes et quatre relais,  par exemple les tubes V67 à V70 et les relais  R41 à     R44    à la     fig.        48s,    ces tubes et ces relais  fonctionnant de la même façon que les sélec  teurs de     recodification,    mais étant     dépourvus     de douilles     associées    pour leurs grilles-écrans.

    Au lieu de ces douilles, toutes les grilles de  commande de tubes V67 à V70 sont. reliées en  commun     aux    douilles     PS16,    tandis que les       grilles-écrans    de ces tubes sont connectées à  des émetteurs E15, E16 et E17 à l'aide de       connexions    V16 à     V19.    Si la     douille    PS16 est    reliée par une connexion à fiches à l'une des       douilles        PSl    pour recevoir une impulsion à  un point de repère de valeur définie sous com  mande d'un poinçonnage de la colonne cor  respondante de la fiche,

   cette     impulsion    est  fournie aux grilles de commande de tous les  tubes V67 à V70. Les grilles-écrans de ces  tubes reçoivent des impulsions selon diverses  combinaisons, sous commande des émetteurs  E15, E16 et E17, et un chiffre est emmaga  siné dans le groupe de quatre tubes en faisant  amorcer l'un- de ces tubes et en excitant ainsi  le relais correspondant du groupe de relais  R41 à R44. Pour l'emmagasinage de valeurs  dans les tubes, les valeurs 1, 2, 4 et 8 sont  attribuées à ceux-ci, comme indiqué à la       fig.    48S, et ces valeurs sont emmagasinées  individuellement en rendant les tubes corres  pondants conducteurs. Par exemple, si une  fiche est poinçonnée en  8 , le tube V70 est  amorcé et le relais R44 est excité.

   On remar  quera que la connexion W19 est reliée au seg  ment  8  de l'émetteur E17. Par conséquent,  à l'instant où l'impulsion  8  est fournie à la  douille     PS16,    à partir du balai de fiches et  est transmise à la grille de commande du tube  V70, une impulsion  8  est émise et est trans  mise à la     grille-écran    du même tube par la  connexion W19, faisant ainsi amorcer le tube  V70 et excitant le relais R44. Aucun     des     autres relais R41, R42 ou R43 ne peut être  excité en  8  du fait que seul l'émetteur E17  est opérant à cet instant. Des valeurs     autres     que les valeurs indiquées sont     emmagasinées     en amorçant des combinaisons de tubes.

   Par  exemple, le chiffre  3> est emmagasiné en  rendant     conducteurs    les tubes V67 et V68 au  point  3  du cycle, lorsque l'impulsion  3   est fournie aux     grilles    de commande de     tous    les  tubes V67 à V70.

   Au point  3  du cycle,  l'émetteur E15 émet une impulsion à partir  de son     segment     3  et à travers la connexion  W16; cette impulsion est transmise à la     grille-          écran    du tube V67.     De'même,    au point  3   du cycle, l'émetteur     E16    émet une impulsion  qui est transmise à la grille-écran du     'tube     V68 par l'intermédiaire de la connexion W17,  si bien que- ces deux tubes sont rendus con-      docteurs et que les relais R41 et R42 sont  excités.  



  L'une des caractéristiques d'un thyratron  ou d'une triode ou tétrode à gaz est constituée  par le fait que, une fois     qu'un    tel tube a été  rendu conducteur, il ne peut plus être rendu  non conducteur     jusqu'à    ce que la tension  appliquée à son anode ait été réduite à zéro  ou interrompue. Par conséquent, le chiffre  emmagasiné dans le groupe de tubes V67 à  V70 est retenu pendant un<I>cycle.</I>  



  Dans la description qui précède, pour  expliquer la faon dont les tubes d'emmaga  sinage de chiffres et de     recodification    sont  rendus conducteurs, on a supposé qu'un po  tentiel d'anode est     continuellement    fourni à  ces tubes pendant la période durant laquelle  des impulsions sont fournies à leurs grilles.

    Le potentiel d'alimentation d'anode est appli  qué aux tubes     des    sélecteurs de     'recodification     et aux tubes     d'emmagasinage    de chiffres par  l'intermédiaire des     connexions        -W4,        TV5    et     'W6     et de contacts de commande dans le temps  C8, C9 et C10     .(fig.    480).

   Ainsi qu'on peut le  voir à la     fig.    47A, ces contacts sont fermés,  sauf au cours d'une courte période voisine de  la fin du cycle pendant laquelle on inter  rompt l'alimentation d'anode, ramenant ainsi  les tubes sélecteurs de     recodification    et les  tubes d'emmagasinage de chiffres dans leurs  états non conducteurs dans lesquels ils sont  commandés par leurs grilles.  



  Les contacts des relais     d'emmagasinage    de  chiffres sont     disposés    selon- un arrangement  en cascade     (fig.    48T); de façon que l'excita  tion de ces relais séparément- ou "selon des  combinaisons pour emmagasiner des     chiffres     particuliers forme des     circuits    série entre les  douilles communes     PS39    et les     douilles   <I>PS40</I>  qui représentent les différentes valeurs     emnïa-          gasinées.     



  Les douilles     PS40    sont disposées selon  quatre rangées verticales     (fig:        41)-,,en    dessous  de la     désignation.         Chiffre ,-    les douilles PS40  correspondant à des     positions    libres étant en  bas     ét    les douilles correspondant aux posi  tions  12  étant en -haut. Les douilles PS40       correspondant        aux    positions  l2  sont'     des            douilles    simples     alignées    horizontalement avec  des douilles simples     PS39    désignées chacune  par un c.

   Les douilles PS39 c communes sont  reliées à des sources d'impulsion, et lorsqu'on  désire     emmagasiner    et émettre une valeur dé  terminée, la douille PS40 correspondant à  cette valeur est reliée par une connexion :<B>i</B>  fiches. Ainsi, un circuit n'est établi par l'in  termédiaire du groupe connecté par des con  nexions à fiches que lorsque les relais d'em  magasinage de chiffres     correspondant    à ce  groupe sont excités pour     représenter    la valeur  choisie en effectuant lesdites liaisons par con  nexion à fiches.

   Par exemple, en se référant     à.     la     fig.    48S, si l'on désire ne fermer un circuit  que lorsque la valeur  8  est décelée dans une  colonne particulière,     les    douilles     PS16    des  tubes V67 à V70 sont connectées à la douille       P81    correspondant à la colonne choisie, et une       connexion    à fiches est insérée entre la douille       PS39    c et la douille PS40  8  disposée immé  diatement en dessous du chiffre  8  de la  rangée verticale de gauche     (fig.    41).

   Dans       ces    conditions, le tube V70 est rendu conduc  teur lorsqu'un  8      est    décelé, et ce     tube    excite  le relais R44. Un     circuit    est ainsi formé à par  tir de la douille     PS39        (fig.    48T) et à travers  les     contacts        R41B,        R42B,    R43B et     R44A    jus  qu'à la douille<I>PS40</I> correspondant au chiffre   8 . Pour n'importe quelle autre valeur poin  çonnée     dans    la fiche, aucun circuit n'aboutit  à la douille  8 . Ainsi, le chiffre 8 est emma  gasiné jusqu'à la fin du cycle.

   Il est par con  séquent possible de relier les relais d'emmaga  sinage de chiffres par les     connexions    à fiches       d'tule    façon telle qu'un circuit soit fermé par  une fiche d'enregistrement dans laquelle un  nombre caractéristique pouvant comprendre  de un à quatre chiffres est décelé.  



  Un groupe de chiffres constituant un nom  bre pouvant comprendre de un à quatre chif  fres peut être lu dans la première fiche d'en  registrement qui passe dans la machine au  moyen d'un groupe de relais, de     tubes    et de  circuits semblables aux circuits d'emmagasi  nage de chiffres.

   Ces circuits d'indication de  groupe sont représentés aux     fig.    48J et 48Q  et comprennent des tubes     V51    à V66 et des      relais R81P à     R96P.    Ces tubes sont divisés en  quatre groupes de quatre tubes chacun, cha  que groupe étant associé à une douille     PSLI     et les grilles des tubes de ce groupe étant re  liées aux émetteurs E15, E16, E17 au moyen  de connexions     W16    à W19, de la même faon  que les grilles des tubes d'emmagasinage de  chiffres.

   Les contacts des relais R81P à R96P  ne sont cependant pas reliés pour être con  nectés par des connexions à fiches, mais ils  sont     branchés    .en cascade     (fig.    481) et reliés     à,     l'émetteur d'impression PE     (fig.        48H)    par  l'intermédiaire d'un câble     CB5        (fig.    48G).  Les conducteurs de ce câble représentent des  valeurs numériques correspondant aux va  leurs des douilles PS40     (fig.        48T),    sauf que  les valeurs 11, 12 ou non poinçonnées ne sont  pas comprises.

   Ces relais d'emmagasinage de  chiffres sont du type à verrou, dans lequel  l'enroulement d'excitation, désigné par un P  au dessin, actionne les contacts qui sont en  suite verrouillés dans cette position pour y  rester jusqu'à ce qu'un enroulement de dé  clenchement désigné par un T soit excité.  Par exemple, l'enroulement d'excitation du  relais R81 est désigné par     R81P    à la     fig.        48Q     et son enroulement de déclenchement est dé  signé par<I>R81T</I> à la     fig.    48E.  



  Au cours d'un cycle     d'impression,    les en  roulements de déclenchement     R81T    à R96T  sont excités après que le nombre- de groupe     i     été     imprimé    et les relais à verrou d'indica  tion de groupe-sont ramenés     dans    leur posi  tion normale. Une fois que les contacts ont  été verrouillés en position actionnée, il n'y a  plus aucune nécessité qui oblige à maintenir  les tubes V51 à V66 à l'état conducteur, si  bien que la tension d'anode 'pour ces tubes  peut être coupée au même instant que la ten  sion d'anode pour les tubes -de     recodification     et pour les tubes des groupes d'emmagasinage  de chiffres.  



  Jusqu'à huit chiffres de valeurs peuvent  être enregistrés dans huit     des    seize ordres de  l'accumulateur.     Etant    donné que l'analyse des  fiches s'effectue à grande vitesse, c'est-à-dire  au taux d'environ 450 -fiches par minute, il  est nécessaire d'effectuer l'opération d'addi-         tion    proprement dite à un     rythme    plus lent.  On remarquera d'après le diagramme de com  mande dans le temps     (fig.        47A)    que l'analyse  des valeurs numériques que porte la fiche par  les balais     B    s'effectue au cours de 180  du  cycle d'avance de fiche.

   Au     rythme    de 450  fiches par minute, cette analyse est beaucoup  trop rapide pour permettre un fonctionne  ment sûr des ordres de     l'acclunulateur    et des  moyens sont par conséquent prévus pour re  tarder les impulsions de chiffres provoquant  l'addition, si bien que l'enregistrement effec  tif de chiffres dans les ordres de l'accumula  teur s'étend pratiquement sur le cycle tout  entier. La commande dans le temps d'émet  teurs E25 à E32 montre comment l'action des       impulsions    de fiches est retardée.  



  Le tableau de connexion comprend huit  douilles<I>PS17</I>     (fig.    41, 481 et 481) désignées  par      Add    pu . Ces douilles sont disposées  selon deux groupes     au-dessoim    des petits chif  fres 1 et 2 pour commander les seize tubes  de retard     V83    à V114     (fig.    481 et     48I0.        Ces     seize tubes sont répartis .en groupes de quatre  de façon quelque peu semblable aux tubes  d'emmagasinage . de chiffres et aux tubes       d'indication    de groupe.

   Les     impulsions    de  fiches pour chaque ordre sont fournies par  l'intermédiaire d'une connexion à fiches insé  rée entre une douille     PS1    et l'une des douilles       PS17,    chacune de ces dernières douilles étant  reliée     aux        grilles,    de commande de quatre tubes.  



  Le mécanisme de l'accumulateur comprend  seize ordres répartis en deux groupes de huit,  chacun de ces groupes étant à son tour divisé  en deux groupes de quatre, comme représenté  aux     fig.    48J et     481-    respectivement, la sépara  tion entre ces groupes s'étendant au milieu et  du haut en bas de chacune de ces figure.  Du fait de cette répartition, la machine com  prend quatre accumulateurs de quatre ordres       chacun,-    numérotés de 1 à 4.

   La     fig.        48I    doit  être disposée au-dessus de la     fig.    48J, et la       fig.        48I    doit être disposée     au-dessus    de la       fig.    48L dans le schéma d'ensemble de la ma  chine.

   A la     fig.        48I,    le groupe de droite de  quatre     tubes        V83    à     V86,    dont les grilles de       commande    sont reliées à la douille<I>PS17</I> dé-      signée par  Unités ,     est        associé    à l'ordre des  unités de l'accumulateur de droite désigné  par  Accumulateur 2  à la fia. 48J, tandis  que le groupe de gauche comprenant les qua  tre tubes V95 à V98 est     associé    à l'ordre des       milliers.    de ce même accumulateur.

       Semblable-          ment,    les tubes V99 à V102 et V111 à V114  (fia. 48K) sont respectivement associés à l'or  dre des     -unités    et à l'ordre des milliers de       l' Acciunulateur    4  (fia. 48L).  



  Les petits chiffres 1 et 2 indiqués à la  fia. 41 en dessous de      Add    pu  se rapportent  aux     accuunulateurs    2 et 4, lorsque ceux-ci sont       connectés    pour recevoir des     enregistrements     directement à partir des fiches ou d'autres  sources     d'impulsion    de chiffres. La     niunéro-          tation    1 à 4     des    accumulateurs aux fia.     48J     et 48L est     utilisée    pour     faciliter        l'explication     des opérations de sommation décalée.

   Les  accumulateurs 1 et 3 ne peuvent pas recevoir  d'enregistrement à. partir des     fiches    ou d'au  tres     sources    de chiffres     susceptibles    d'être  connectées au moyen de connexions à fiches.  Ces accumulateurs     servent        dans    deux buts       les    uns pour recevoir des données à partir     des     fiches et les autres pour contrôler l'exactitude  du comptage et de l'impression de totaux à  partir des comptes d'unités.  



  A la fia. 47A, on remarquera que l'émet  teur E33 (fia. 48I) est commandé dans le  temps, de façon à émettre des     impulsions    pres  que au pas avec     l'émission        d'impulsions    à par  tir des     balais    de     fiches    B, et qu'il est connecté  de façon que la grille-écran du tube V83 de  l'ordre     ales        unités,    par     exemple,.    reçoive des       impulsions    en  9 ,  7  et en  4  par l'inter  médiaire de la connexion W10.

   Ainsi, si une  fiche porte un poinçonnage correspondant à   9 ,<B> 7 </B> ou à  4 , la grille-écran du tube V83  reçoit une     impulsion    en même temps que la  grille de commande reçoit une     impulsion    sous       commande    d'un balai de fiche, et ce tube est  amorcé à l'une quelconque de ces trois posi  tions repère. Le tube V84 reçoit des impul  sions à partir de l'émetteur     E33    en  8 ,  5   et en  1  du cycle par l'intermédiaire de la       connexion    W9. Ce tube peut, par conséquent;    être amorcé sous     commande    de poinçonnages  disposés dans les     positions    repère correspon  dantes.

   Le tube     Y85    ne peut être amorcé que  lorsque les poinçonnages correspondants à   2  ou à  6  sont rencontrés, et le tube V86  n'est amorcé que par des poinçonnages dis  posés en     - 3 .     



  Pour faire mieux comprendre la façon  dont le retard ' est obtenu à l'aide des tubes  V83 à V86 pour un seul ordre, on admettra  tout d'abord qu'une impulsion  9  est fournie  à la douille     PS17    sous commande d'un balai  de fiche analysant une colonne dans laquelle  un  9  est     poinçonné.    En  9  du cycle cor  respondant à cette colonne (fia.

   47A), la  grille de     commande    et la     grille-écran    du tube  V83 sont simultanément     excitées,        l'une    à par  tir du balai de fiche et l'autre à partir (le  l'émetteur E33 qui émet une     impulsion    en   9  et qui transmet cette impulsion à cette  grille-écran par l'intermédiaire de la con  nexion W10. Le tube V83 est ainsi rendu con  ducteur de la même façon qu'un des tubes  d'emmagasinage de     chiffres    ou qu'un des  tubes     d'indication    de groupe.

   Un courant cir  cule à travers la résistance d'anode de ce tube  qui est relié à la connexion W4, si bien qu'une  chute de     tension    se produit aux bornes de  cette     résistance.    On remarquera que le seg  ment  9  773 de l'émetteur E28 qui est asso  cié à cet ordre est replié par une     connexion     W11 au côté anode de la     résistance    d'anode  du tube V83.     Ainsi,    lorsque le tube V83     est     amorcé, l'émetteur E28 relie électriquement  le-relais R130P à la     résistance    d'anode du       tube    V83; si bien que le relais R130 est excité  en  9 .

   Par     conséquent,        lorsqu'un    poinçon  nage  9  est décelé, le relais R130 est immé  diatement excité, et, ainsi qu'on l'expliquera       plias    loin, ce relais provoque l'enregistrement  de la valeur  9  dans l'ordre des     unités    de  l'accumulateur 2.  



  Supposons maintenant que 1e balai décèle  un poinçonnage  1 . Au point  1  du cycle,  les grilles de commande de tous les     tubes        V83     à V86 reçoivent une impulsion, tandis que  l'émetteur E33 envoie une impulsion à la       grille-écran        :du.    tube V84, par     l'intermédiaire         de la     connexion    W9, à ce même point  1  du  cycle. Par conséquent, le tube V84 est     amorce     et la chute de tension     qui    se produit     aux     bornes de sa résistance d'anode est appliquée  aux segments 773  1 ,  5  et  8  de l'émet  teur E28.

   Cependant, à ce point  1  de ce  cycle, le balai 774 de l'émetteur E28 com  mence juste à     glisser    sur le segment  4        (fig.    47A). Le relais R130 n'est donc pas  excité immédiatement, mais on se rappellera  que lorsqu'un tube a été amorcé,     il    reste con  ducteur jusqu'à ce que sa tension d'anode  soit supprimée, et on se rendra compte que  dès lors, à environ 300  de ce cycle     (fig.    47A),  le balai 774 de l'émetteur E28 vient en con  tact avec le segment  1  de cet émetteur et  transmet la chute de tension produite aux  bornes de la résistance d'anode du tube V84  au relais R130,

   si bien que le circuit d'addi  tion de l'accumulateur     est    fermé et que le  chiffre  1  est ainsi additionné.<B>Il</B> est donc  évident que     l'impulsion    provoquant l'addition  d'une unité a été retardée à partir d'environ  180  du cycle jusqu'à environ 300  de ce même  cycle. Les autres valeurs sont réparties de  façon correspondante. Par exemple, si la  fiche portait un poinçonnage 5, le tube<B>1784</B>  serait de même amorcé à environ 90  du cycle  du fait que l'émetteur E33 qui est     commandé     dans le temps -en synchronisme avec     ,le.balai     d'analyse de fiche ferme un. circuit aboutis  sant à la grille-écran du tube     V84    en  5  de  ce cycle.

   Cependant, l'émetteur E28 se trouve  au segment 773  7 , en  5  de ce cycle, et il  reliera la     résistance    d'anode du tube V84 au  relais R130 à environ 150  du même     cycle,     pour provoquer l'addition de  5 .  



  Pour simplifier le dessin et pour éviter       clés    complications inutiles, seuls les émetteurs  des unités et des milliers et des relais associés  sont représentés, reliés aux tubes correspon  dants, mais     les    autres     relais        d'acctunulateur     8129P, 8128P, 8158P et 8159P sont con  nectés de façon identique, et chacun de ces re  lais est associé à un émetteur destiné à lui  transmettre la chute de tension produite dans  la résistance d'anode, comme     indiqué    aux       fig.    481 et 48K.

   Les résistances d'anode des         tubes    V83 à V114 sont reliées à la connexion  W4 qui est     commandée    par des contacts de  commande dans le temps C8 pour supprimer  la tension d'anode     des    tubes de retard de  l'accumulateur à la     fin    de chaque cycle d'ana  lyse de fiche, pour chaque fiche, exactement  de la même façon que pour les relais d'emma  gasinage de chiffres et les relais     d'indication     de groupe.

   Ainsi qu'on le verra     plus    loin en  référence à un exemple particulier se rappor  tant à un schéma de connexion du tableau de       connexion,    les relais d'accumulateur<I>8127P</I>  à 8130P et 8157P à 8160P provoquent la       connexion    des électro-aimants de retour     R71     et des     électro-aimants    d'addition     ADI    à des       sources    d'impulsion, si bien que des paires  d'impulsions sont fournies à ces     électro-          aimants    pour effectuer     l'enregistrement    des       valeurs    qui étaient poinçonnées dans la fiche.

    En étendant le fonctionnement effectif de ces  électro-aimants sur le cycle     pratiquement     complet, il est possible d'effectuer des enre  gistrements dans l'accumulateur à de plus       grandes    vitesses que cela ne serait le cas si  ces enregistrements devaient être     effectué,-    en       synchronisme    avec l'analyse de la fiche et si  ces accumulateurs devaient recevoir des     im-          pulsions    à chaque position repère.  



  Les relais<I>8127P</I> à 8130P et<I>8157P à</I>  8160P sont des relais à double enroulement  et leurs enroulements de     maintien    sont re  présentés à la     fig.    48Q. Lorsque ces relais ont  été excités,     ils    ferment leurs     contacts    de main  tien, par exemple 8160B, et excitent leurs  enroulements de maintien, 'tels que 8160H,  par l'intermédiaire de     contacts    C7.

   On remar  quera     (fig.    47A) que ces     contacts    sont ouverts  à la fin du cycle au cours duquel la fiche     est     analysée, si bien que ceux des relais de l'accu  mulateur qui ont été excités de la façon dé  crite     ci-dessus    cessent alors d'être excités.  



  La machine comprend un dispositif     connu     sous le nom de     distributeur    d'unités et de       dizaines.    Ce dispositif est indiqué à la     fig.    41  par      Dist.        diz.    uns.

   , les douilles associées  étant désignées par     PS33,        PS34    et PS35 et  ses     douilles    d'excitation étant     désignées    par  PS12 et     PS13.    Ce distributeur est repré-      sente' aux     fig.    48U et 48V et comprend un  groupe de tubes V115 à V122 et V127,     ces     tubes étant     connectés    de faon analogue aux  tubes d'emmagasinage de chiffres et     aux    tubes       d'indication    de groupe, à l'exception du tube  V127.

   La douille d'excitation d'unités<I>PS12</I>  (U à la     fig.    41) commande l'emmagasinage de  chiffres au moyen des quatre tubes V119 à  V122, dont les grilles-écran sont reliées aux  émetteurs E15, E16 et E17 de la même façon  que celles des tubes d'emmagasinage de chif  fres. Les tubes     des    unités V119 à V122 com  mandent des relais d'emmagasinage d'unités  R171 à     R174,    tandis que les tubes des dizaines  V115 à V118 commandent des relais d'emma  gasinage R175 à R178. Les contacts de ces  relais des dizaines     R175    à     R178    sont reliés  en cascade et aux douilles PS33 et P834 de la  même façon que les contacts d'emmagasinage  d'unités     (fig.    48T).

   Les contacts des     relais          d'imités    sont reliés en cascade de la même  façon que les     contacts    des relais de     dizaines,     avec la différence qu'au lieu d'être reliés aux  douilles     PS34,        ils    sont reliés aux relais R180  à     R188,    si bien que ces relais représentent  individuellement différents chiffres indiqués  par les petits     chiffres    inscrits à la droite des       enroulements    respectifs de ces relais, de façon  correspondante à la numérotation des douilles       PS34,

          visible    à gauche de ces douilles.  



  Le relais     R179    est commandé par le tube  V127     (fig.    48U) dont la grille-écran est re  liée à la cathode, si bien qu'il suffit d'appli  quer     -une        impulsion    à la grille de commande  de ce tube pour l'amorcer.     Des    contacts C12  sont     reliés    à la douille     PS12,    si bien que, si  une lie-lie est     poinçonnée,en     0 , le tube V127  est amorcé. Dans ce but, les     contacts    C12       (fig.        47A)    sont commandés dans le temps  pour se fermer en  0  du cycle d'analyse de  ta fiche.  



  Les contacts des relais R179 à R188  sont     disposés    selon des rangées horizontales       (fig.    48U) et sont électriquement reliés entre  eux selon des rangées verticales, à la façon  d'une grille, comme représenté à la     fig.    48v,  tes connexions     communes    étant reliées aux       douilles        PS34.        Ainsi,    si un  0  est décelé dans    la colonne des unités d'une fiche, le     relais     R179 est excité et ferme tous ses contacts       R179A    disposés selon une rangée horizontale  à la     fig.    48V.

   Toutes les douilles PS35 d'une  rangée horizontale sont ainsi reliées vers le  haut par     l'intermédiair    e des connexions     verti-          cales    communes des contacts des relais R180 à       R188    aux douilles PS34 respectives. Les ran  gées verticales de contacts des relais     R179    à  R188 sont désignées par des chiffres 1 à 10  correspondant aux désignations des     douilles          PS34.     



  8i la valeur  20  doit par exemple être  poinçonnée dans la fiche, les     contacts    du re  lais des dizaines ferment un circuit série par  tant de la     douille'    PS33 désignée par C       (fig.    48V) et passant à     travers    les contacts       R175B,        R176A,        R177B,    R178B pour aboutir  à la douille  2  du groupe de douilles     PS34.     A partir de cette douille, ce circuit s'étend à  travers la troisième connexion verticale à par  tir de la gauche et les contacts     R1791    jus  qu'à la douille PS35 correspondant à ces con  tacts.

   Cette douille est désignée par  20  à la       fig.    41. Ce circuit ne sera pas fermé pour une  -valeur quelconque autre que  20 . La. façon  dont ce distributeur     d'unités    et de dizaines  est utilisé pour la solution de problèmes pra  tiques sera expliquée plus loin en référence  à un schéma de connexion du tableau de con  nexion correspondant à un type     particulier     d'opération.  



  Le tableau de connexion comprend une  douille PS15 qui commande un tube V124       (fig.    48G). Ce tube fonctionne comme les  tubes d'emmagasinage de chiffre, et sa.     grille-          écran    est reliée au segment  9      (fig.    48S) de  l'émetteur     E16,    si bien que le relais     R23    est  excité     lorsqu'une    impulsion  9  est fournie à  la grille de commande de ce tube. Ce     type    de  fonctionnement nécessite la fermeture d'un  interrupteur S3, de façon que la connexion à  fiches insérée dans la douille PS15 puisse être  rendue efficace.

   D'ordinaire, la douille PS15  est reliée par une connexion à fiche à une co  lonne de la fiche d'enregistrement dans le but  de commander la machine, lorsque cette co  lonne particulière est poinçonnée en  9 . La      douille<I>PS15</I> est désignée par la référence  supplémentaire<I> 9D'1 </I> aux     fig.    41 et 48G, cette  douille étant -une douille de contrôle.  



  Les     douilles    PS53     (fig.    41) portant la dé  signation supplémentaire      SW     constituent  des moyens permettant de relier un interrup  teur 84     (fig.    1 et     48G)    monté à l'avant de la  machine et à côté des touches de     commande     principales et     des    lampes de signalisation,  pour commander la commutation d'un dispo  sitif quelconque pouvant être relié à cet inter  rupteur par des connexions à fiches.  



  Les douilles servant à commander les  soixante compteurs d'unités sont désignées  par     PS30,        PS31,    PS32 et<I>P852</I> respective  ment et sont disposées     au-dessous    -de la réfé  rence générale  Compteur d'unités      (fig.    41).  Le schéma de câblage de ces compteurs est re  présenté aux     fig.    48M et 48N. Les douilles  PS30 et<I>PS31</I> sont respectivement des douilles       d' Entrée     et de  Sortie      utilisées    lorsqu'un  compteur donné quelconque doit être rendu  efficace sous commande d'une source ou d'un  dispositif choisi producteur d'impulsions de  commande.

   La source d'impulsions choisie  pour commander ce compteur est reliée par  des connexions à fiches à la douille     PS30,    et  la douille PS31 est connectée de façon à com  pléter le circuit à travers     l'électro-aimant        Plf1     du compteur des     unités    et à travers ce comp  teur. Chaque impulsion fournie à la douille  PS30 traverse l'électro-aimant     CDl    du comp  teur des unités et ressort à travers la douille  P831 et la connexion à fiches de sortie. De  cette façon, une seule impulsion a pour effet  de faire ajouter une unité par ce compteur,  de la façon décrite     ci-desstis    au cours de la  description de la construction mécanique du  compteur.  



  Si la roue de l'ordre des unités d'un comp  teur quelconque, désignée par la lettre Û aux       fig.        48N    et 48M, se trouve en position      9>>,     les contacts de neuf     CNC    du compteur, re  présentés immédiatement au-dessus de cette  roue à laquelle     ils    sont associés sont égale  ment fermés et une impulsion     est    transmise  par l'intermédiaire de l'électro-aimant<I>CV</I>    de dizaines désigné par la lettre T, parallèle  ment à l'impulsion fournie à l'électro-aimant  des unités, pour transférer à partir de l'ordre  des unités à l'ordre des dizaines.  



  Les     ordres    des     centaines    et des     milliers     sont     respectivement    désignés par les lettres  <I>T</I> et     TH,    et si les trois ordres inférieurs sont  à  0 , les impulsions du compteur sont four  nies à tous les électro-aimants     Clll    de ce  compteur en parallèle et provoquent le     trans.     fert d'une unité aux ordres     des    dizaines, des       centaines    et des milliers.  



  Les douilles P832 et PS52     (fig.    41) com  mandent la soustraction et sont représentées  également à la     fig.    48F. Les douilles P832  pour un groupe de quinze compteurs sont re  liées en commun aux     contacts    C39, tandis  que les douilles PS52 sont reliées séparément  aux contacts     CR311,        CR4A,    etc. des relais de  commande de soustraction     CR3,        CR4,    etc. Ces  contacts sont disposés selon une rangée hori  zontale au bas de la     fig.    48F.

   Lorsqu'une fiche  double, constituant un pont, est insérée entre  une douille PS32 et la douille<I>PS52</I> disposée  immédiatement en dessous aux     fig.    41 et 48F,  la fermeture des contacts d'un relais de com  mande de soustraction a pour effet l'excita  tion du relais de soustraction de ce groupe de  compteurs. A la     fig.    48F,     seul    le relais de  soustraction R126 pour les     compteurs    1 à 15  est représenté, ce relais étant relié aux con  tacts du     relais    de commande de soustraction.  Les relais R125, R155 et R156 sont associés  aux trois autres groupes de compteurs,     comme     indiqué à la     fig.    48F.

   Un groupe commun de  douilles PS32 est relié aux     contacts    C39 pour  chacun de ces relais, et les     douilles   <I>PS52 sé-</I>  parées sont reliées     aux    contacts correspon  dants des relais     CR3,        CR4,        CR5,        CR13,          CR14,    CR15,     CR23,        CR24,        CR25,        CR33,          CR34,        CR35,        CR43,        CR44,        CR45,

      exacte  ment comme pour les compteurs 1 à 15. Par  exemple, le relais de commande de soustrac  tion     CR3    comprend quatre jeux de contacts,  dont l'un commande le relais R126, comme re  présenté à la     fig.    48F,     tandis    que les trois  autres commandent chacun l'un des trois re  lais R125, R155 et R156.           Comme    indiqué en haut de la     fig.    48F, les  relais     CR3,        CR4   <I>à</I> CR44 et CR45 ont des en  roulements qui sont séparément reliés aux  segments 502 de l'émetteur du chariot cor  respondant aux colonnes 1 à 15 de la section  de feuille de travail     (fig.    42).

   Ainsi, lorsque  les chariots se trouvent dans une position  correspondant à l'une des colonnes     niunéro-          tées    1 à 15 de la feuille de travail     (fig.    42),  l'un des relais de commande de soustraction       CR3,        CR4,    etc. est excité pour -fermer les con  tacts     CR3,        CR4,    etc. associés, selon le cas, et  si l'un quelconque de     ces    contacts ou     plusieurs     d'entre eux est ou sont reliés par des con  nexions à fiches, comme décrit plus haut, les  relais de     soustraction.    R125, R126, R155 ou  R156 correspondants sont choisis.

   Ainsi qu'on  le verra plus loin, ceci a pour effet de faire  soustraire les totaux enregistrés dans les  compteurs     correspondants    dans l'accumula  teur de     sommation    décalée associé.  



  La numérotation des segments 502 en haut  de la     fig.    48F ne     correspond    pas à la numéro  tation     des    groupes de compteurs, mais bien  au nombre de colonnes, à partir de la gauche  à la     fig.    42 et en comptant la     colonne    des  quantités pour deux colonnes, dans lesquelles  des impressions sont effectuées au cours de  cycles séparés.  



  Au bas du tableau de connexion     (fig.    41),  on a représenté un groupe de douilles d'utilité  générale. Les     douilles    PS41 désignées  BUS   et électriquement reliées entre elles, comme  indiqué, par des traits fins, ne sont pas reliées  dans la machine.

   Ces douilles sont utilisées  pour éviter d'être obligé d'avoir recours à des  connexions à     fiches    comprenant plusieurs fils  de     connexion.    Par exemple, une seule con  nexion peut être insérée dans une des douilles  <I>PS41</I> d'un groupe de ces douilles à partir       d'une    source d'impulsions, et une ou plusieurs       des    autres douilles de ce groupe peut être re  liée par     une    connexion à fiches à     plusieurs     dispositifs de commande différents.  



       Au-dessoms    de la désignation      RS     est dis  posée     une    paire de douilles PS44 et PS45 qui  est également représentée à la     fig.    48H, et la  douille PS44 est également reliée électrique-    ment à la douille PS37 désignée par  Stop   à la     fig.    41.     Lorsqu'in    pont est inséré entre       les    douilles PS44 et     PS45,    la machine s'ar  rête et une fiche d'enregistrement est rejetée.  La douille PS27 peut également être séparé  ment reliée par une connexion à un dispositif  de commande pour faire arrêter la machine  des conditions choisies quelconques.  



  Au-dessous de la désignation      AC ,    on  voit des douilles P846 et PS47     (fig.    41 et  48A), ces douilles étant réunies entre elles  par un pont pour maintenir le relais R147  excité lorsque des opérations d'accumulation  sont effectuées.  



  Les douilles PS48 et<I>PS49</I> disposées     au-          dessous    de la désignation      AP         (fig.    41 et       48A)    sont     réunies    entre elles par un pont  lorsqu'on désire que la machine effectue auto  matiquement un cycle d'impression à la fin  de chaque série de fiches d'enregistrement.  



  Les douilles PS50 et PS51 disposées en       dessous    de la désignation  AS      (fig.    41 et  48C) sont reliées entre elles par un pont  lorsqu'on désire que l'avance des fiches re  commence automatiquement     après        une    suite  de cycles d'impression.  



  Les commutateurs de lecture pour le  compteur d'unités 60     (fig.    48D) des ordres  (les unités, des dizaines et des centaines sont  susceptibles d'être connectés     individuellement     par des fiches de connexion, d'une part, aux  bandes communes 686 et, d'autre part, aux  segments séparés, les douilles PS42 correspon  dant à la bande commune et les douilles PS43  aux     segments    séparés.

   Les trois autres ordres  susceptibles d'être connectés     des    compteurs 60  sont     représentés    à la     fig.    41 en bas à droite,  au-dessus des trois lettres C, et les     valeur     des segments 685 respectifs sont désignées par  les petits chiffres  0  à  9  disposés au-dessus       des    courtes lignes de connexion joignant les  doubles douilles. Cette disposition permet  d'obtenir une     impulsion    de commande lors  que le compteur 60 atteint une valeur quel  conque jusqu'à 999; cette valeur étant déter  minée par les connexions à fiches reliées aux  bandes communes 686 et aux segments 685 de  ce compteur, dans un circuit série.

   Par exem-           ple,    en supposant qu'on désire une impulsion  de commande lorsque le compteur 60 atteint  la valeur 987, les douilles     PS43        correspondant     à  9  de l'ordre des centaines sont reliées par  une fiche de connexion à la douille PS42 de  la bande     commune    686 de l'ordre des dizaines.  Une autre connexion à fiches est insérée entre  la douille PS43  8  de l'ordre des dizaines et  la douille commune PS42 de l'ordre des  unités. La douille commune PS42 de l'ordre  des centaines et la douille     PS43     7  de l'ordre  des unités sont connectées respectivement par  des fiches à la source d'impulsions et au dis  positif commandé.

   Lorsque le compteur 60  atteint la position 987, un circuit est établi en  série à travers les ordres des unités, des di  zaines et des centaines pour fermer un cir  cuit susceptible d'être utilisé dans     un    but de  commande quelconque. Un exemple sera dé  crit plus loin en référence à un schéma de  connexion du tableau de connexion.  



  Le tableau de connexion comprend en  outre un groupe de douilles dont les fonctions  seront     expliquées    par des exemples     caractéris-          tiques.    Ces     douilles    comprennent un groupe  de douilles disposées sous la désignation   Compte  et comprenant les douilles<I>PS21</I> et       PS26;    des douilles     PS27    disposées sous la dé  signation      Douilles    de shunt ; des douilles       PS54,        PS55    et PS56 disposées sous la dési  gnation  Triage ; des douilles PS22 disposées  sous la désignation  l - 2 - 3 ;

   une douille  PS23      CS ;    trois douilles PS24 disposées sous  la désignation      Comp. ;    une     douille        .1'S25     disposée sous la désignation  CC ; une douille  PS36  CE ;

   deux douilles PS28      SH     et  deux groupes de deux     douilles    chacun PS38   E  ainsi que des groupes de douilles PS58 à  PS61 disposés sous la désignation  Classe     GI .     Ces douilles sont associées à des     commandes     qui sont intérieurement connectées à des con  tacts de relais exerçant certaines     fonctions    de  commande, en particulier pendant le comp  tage, le triage,

   la comparaison et pendant les       opérations    de tirage ou d'édition et leur mode  de fonctionnement de même que leur utilité  seront mis en évidence au moyen d'exemples       particuliers.            Les        douilles    PS62 et     PS63         SP     mettent  le circuit de commande d'impression princi  pal sous commande de contacts de magasin et  de contacts de levier de fiche lorsqu'elles sont  connectées par des connexions à fiches.  



  Il sera également     plus    facile de compren  dre le fonctionnement de la machine décrit       ci-dessous    en référence aux schémas de con  nexion du tableau de     connexion    lorsque les  différentes     douilles    qu'on vient de mention  ner auront été décrites en détail avec leurs  circuits et avec les tubes qui leur sont asso  ciés,

   ces     douilles    étant considérées alors       comme        constituant    des     dispositifs    émetteurs  ou récepteurs     d'impulsions.    La description du  fonctionnement en référence à     des        exemples     particuliers sera simplifiée dans certains cas  en suivant plusieurs des     circuits    en     référence     au tableau de connexion et en considérant les  différentes douilles de ce -tableau comme  étant     des    sources émettrices ou réceptrices  d'impulsions.

   On économisera ainsi quantité  de répétitions et on évitera d'être obligé do  suivre des circuits qui, en particulier dans le  cas des circuits     des    balais, comprendraient des  répétitions de circuits     invariables    passant à  travers des     contacts        normalement    fermés ou à  travers des     contacts    de fonctionnement,     tels     que les rupteurs     LC5    et     LC6,    et que les con  tacts de levier de fiche     CLR2B        (fig.    48Q) qui  n'effectuent pas en eux-mêmes une commande  spéciale au cours du fonctionnement normal  de la machine,

   une fois que l'avance des fiches  a commencé.    La machine comprend. une source d'éner  gie pour les relais et     polir    les tubes électroni  ques, cette source étant     reliée    à une ligne  d'alimentation par l'intermédiaire d'un inter  rupteur principal S1     (fig.    48A) et compre  nant un     transformateur    d'alimentation T. Ce       transformateur    comprend deux     enroulements          secondaires    à prise médiane, dont l'un fournit  44     volts    entre la prise médiane et chacune  de ses extrémités et dont l'autre fournit 37  volts.

   Ces deux secondaires sont reliés à des  redresseurs à deux alternances     Rl    et R2 pour  fournir des tensions continues positives de      55 et de 48 volts respectivement. La sortie des  deux jeux de redresseurs R1 et R2 est reliée à  une batterie de fusibles     F    qui sont groupés à  la     fig.    48A par des accolades et     désignés    res  pectivement par P1 et P2, ces     désignations     correspondant au pôle positif de la source clé  potentiel 1 et au pôle positif de la source de  potentiel 2.

   Les deux prises     médianes    du se  condaire du transformateur T sont     reliées    par  l'intermédiaire de fusibles principaux à un  groupe de bornes     BP    qui sont groupées à la       fig.    48A par une accolade, sous la     désignation     N1, et     désignées    par la mention 0 V. La plu  part des relais, des électro-aimants et des  tubes qui     commandent    le     fonctionnement    de  la machine sont réunis à la masse au point<B>NI</B>  par l'intermédiaire de différentes bornes.

    Dans les différentes     feuilles    formant le  schéma     d'ensemble    de la machine, ces con  nexions de masse sont indiquées par une flè  che et par la désignation N1. De façon sem  blable,, les différentes liaisons aux sources  de potentiel     P1    et P2 sont désignées par Pl et  P2 respectivement et, lorsque cela est néces  saire, par des chiffres.

   Ainsi, à la     fig.        48B     par exemple, le     curseur    du     commutateur    S2  est     relié    à la source de potentiel P2, si bien  que     tous    les relais commandés par ce commu  tateur sont effectivement     reliés    aux points     _Nl     et P2 de l'alimentation pour     fonctionner        sous     48 volts     continus.     



  Outre les     redresseurs   <B>RI</B> et R2 qui fournis  sent le courant principal pour le fonctionne  ment     des    tubes des électro-aimants et des re  lais, une source de potentiel négative désignée  par N2     (fig.    48A) est prévue.

   Cette source  est constituée par le même enroulement du       transformateur    T que celui qui alimente la  source à     -t-    48 V et par des redresseurs     R3    et       R4.    Elle fournit une     tension    de polarisation  de -48 V, et une quatrième source de tension  continue N4 fournit une tension négative de  =61 V, cette source comprenant outre les re  dresseurs R3,     R4,    un     redresseur    R5 et étant  utilisée pour la polarisation des grilles des  tubes V129 et V130     (fig.    48G)

   qui comman  dent l'électro-aimant de commande de triage       SCill.       Les     cathodes    dé tous les tubes électroni  ques, sauf celles des tubes V129 et V130, sont  reliées à la source de     tension    négative N1, et.  les grilles de commande et     grilles-écran    de  presque tous les     tubes    sont reliées à la source  N2, si bien que     ces    grilles sont     polarisées    à  -48 volts dans les conditions normales, sauf  celles des tubes V129 et V130 dont les grilles  de commande sont polarisées à -61 volts,  ainsi qu'on l'a dit ci-dessus, et dont les ca  thodes sont reliées à la source N2.  



  Tous les tubes, les tubes V129 et V130  exceptés, sont câblés de faon identique en ce  qui concerne leur     résistance    de grille-écran et  leur résistance de grille de commande. Par  exemple, le tube de     recodification        Vl    com  prend     une    grille de commande reliée à la  douille     PS2    par l'intermédiaire d'une résis  tance de 100 000 ohms,

   et cette douille est re  liée -à la connexion W21 et à la source N2 par       l'intermédiaire        d'une    résistance de 50000     ohms.     Les     deux    grilles du tube V1 sont découplées  par rapport à la cathode de ce tube par des  condensateurs de 2000     pF,    destinés à empêcher  des     signaux    parasitaires de faire amorcer le  tube.

   La douille     PS3    est également reliée à la  connexion W21 et à la source N2 par l'inter  médiaire d'une     résistance    de 50 000 ohms et à  la grille-écran du tube     Vl    par l'intermédiaire  d'une     résistance    de 100 000     ohms.     



  Les résistances d'anode des tubes de retard  de l'accumulateur. V83 à V114 sont des résis  tances de 4700 ohms et les     grilles-éeran    et  grilles de commande,     comme        les        grilles    cor  respondantes du tube     Vl,    sont pourvues de  résistances de 100 000 et de 50 000 ohms et de  condensateurs de découplage de 2000     pF.     



  Les tubes V129 et V130 ont leurs     grilles-          écran    reliées directement à leur cathode, tan  dis que leurs grilles de commande sont reliées  à la source négative N4 par l'intermédiaire de  résistances de 100 000 et de 50 000 ohms,       comme    celles     des    autres tubes.

   Chacun de ces       tubes    est chargé par une     résistance    d'anode  de 1000     ohms,    chacune de ces résistances étant       shuntée    par un condensateur de 20     mF.    Deux  tubes sont représentés comme     fonctionnant     en parallèle; cette disposition est choisie à      cause de la     consommation    de courant relative  ment     forte    de l'électro-aimant de triage, et ces  deux tubes pourraient être remplacés par un  seul tube de plus grande     puissance,    si on le  désirait.

   Du fait des petites dimensions du  thyratron très compact du type 2D21, il est       plus        indiqué    d'utiliser deux de ces tubes en  parallèle     qu'un        phis    grand tube de     phis    grande       puissance.     



       Etant    donné     l'extrême    complexité du câ  blage qui comprend un très grand nombre de       connexions    entrecroisées reliant divers groupes  de relais, il     est    impossible de représenter com  plètement toutes ces connexions sur le schéma  de câblage sans qu'il s'ensuive une extrême       confusion.    Afin de rendre le schéma d'ensem  ble plus clair et de permettre de repérer faci  lement et rapidement     les    points auxquels dif  férentes connexions sont reliées,

   les connexions  entrecroisées reliant une feuille de ce schéma  à une autre sont désignées par des flèches et  par une référence à la figure et à l'élément  de circuit de cette figure auquel cette con  nexion aboutit. Sur la seconde feuille ou  figure, une référence correspondante est faite  à, la première figure considérée, si bien que  toutes les connexions peuvent être facilement  suivies     d'une    figure à l'autre.  



  Par exemple, à la     fig.    48A, les contacts       CR6A    du relais     CR6    sont reliés     aux    contacts  de commande dans le temps C22 qu'on trouve  à la     fig.    49P, cette figure portant également  une référence à la     fig.    48A pour faciliter le  repérage du circuit à partir de la connexion  W1, par l'intermédiaire des contacts C2, des  contacts     CR6A    et de l'enroulement du relais  ('R6 jusqu'à la connexion W2.  



  Un certain nombre de relais ne comportent  qu'un seul enroulement et sont désignés par  la lettre R et par un chiffre, ce qui     indique     que l'enroulement de ce relais est seul et n'est.  pas relié à un autre enroulement. D'autres re  lais comprennent un double enroulement,  dans lequel un des enroulements est générale  ment utilisé pour faire attirer le relais et l'au  tre pour le maintenir. L'enroulement d'excita  tion de tels relais est désigné par la lettre R  et par un chiffre ainsi que par la lettre P    pour excitation, et     l'enroulement    de     maintien     de ce même relais est désigné par le même  chiffre et par la lettre H.

   Par exemple, à la       fig.    48E, le     relais    R25P est un relais à double  enroulement dont l'enroulement de maintien  désigné par     R27H    est représenté à la     fig.    48D.  Certains autres relais sont des relais à verrou,  dans lesquels un enroulement d'excitation       actionne    les contacts pour les amener en posi  tion verrouillée, dans laquelle ils sont main  tenus fermés ou ouverts selon le cas, un en  roulement de déclenchement étant subséquem  ment excité pour libérer le verrou et pour ra  mener les contacts dans leur état primitif.  Les enroulements d'excitation des relais de ce  type sont désignés par un P, et leurs enroule  ments de déclenchement sont désignés par un  T.

   Ainsi, le relais<I>R12P</I>     (fig.    48F) comprend  un enroulement de déclenchement désigné par       R12T.     



  L'état initial et l'arrêt de la     machine    lors  que     les    fiches sont épuisées ou que la clé d'ar  rêt est actionnée seront tout d'abord     décrits     sans se rapporter à un type particulier de  fonctionnement pour expliquer comment la  machine est mise en route et comment elle  arrête de fonctionner dans différentes condi  tions pouvant provoquer un arrêt, telles que       l'actionnement    de la clé     d'arrêt,    l'épuisement  des fiches dans le magasin ou le fait     qu'une     poche est. trop remplie.  



  Les fiches sont disposées dans le magasin       H    leurs faces étant dirigées vers le bas et le  côté des 9 à gauche     (fig.    5). Lorsque l'inter  rupteur     principal    S1 est fermé pour fournir  de l'énergie à la machine, il est désirable que  l'application de potentiel d'anode aux tubes  électroniques soit retardée     d'environ    30 se  condes afin de laisser aux filaments de ca  thode le temps de chauffer ces cathodes.

   Pen  dant ce temps de chauffage, du courant cir  cule à partir de la source positive P2       (fig.    48A) et à travers les contacts normale  ment fermés     TRC    d'un relais thermique     TR     et d'un élément de chauffage H de ce relais  jusqu'à la connexion W2. Cet élément de  chauffage provoque la fermeture des contacts       TRA,        TRB    et     TRD    de ce relais thermique au      bout du temps désiré, et l'enroulement     TR    de  ce relais     maintient    ces contacts fermés tant  que     l'interrupteur    S1 reste fermé.

   Les con  tacts     TRC    de ce même relais thermique s'ou  vrent et mettent son élément de chauffage H  hors circuit, lui permettant de se refroidir, si  bien que les contacts     TRA,        TRB    et     TRD    se  rouvrent immédiatement lorsque l'interrup  teur S1 est ouvert.  



  La fermeture des contacts     TRD    relie la       connexion    W1 à la source de potentiel P2,  provoquant ainsi l'allumage de la lampe de  signalisation de fonctionnement à vide<I>IL</I>       (fig.    48B) par l'intermédiaire de contacts  R199,1 et R200A     (fig:    48B), indiquant à  l'opérateur que la     machine    est prête à fonc  tionner.

   Cette     disposition    assure que l'opéra  teur n'essaiera pas de faire     fonctionner    la  machine avant que les cathodes des     tubes     électroniques n'aient atteint leur température  de     fonctionnement.    Lorsque la clé de départ       STg        (fig.    48C) est actionnée,

   les relais     R8T     et     819H    sont excités et les     contacts        R19B    se  ferment pour maintenir les relais R19H et       R8T    excités par l'intermédiaire des contacts       CLRlA    et     R18B.    Les     contacts    R19A ferment  un circuit aboutissant au relais R22 à partir  de la connexion W1, par l'intermédiaire de  contacts     R198B,        R19A,        R6A    et du relais R22  relié à la     connexion    W2,

   qui est reliée     elle-          même    à la source     N1.    Les contacts     R22C    du  relais R22     (fig.    48A) ferment un circuit abou  tissant aux     connexions    W1 et W2 respective  ment à travers un relais de     moteur        HR.    Des  contacts     HRC    se ferment et mettent en route  le     moteur        d'entraînement    principal de la ma  chine     il11.    Ce moteur fait tourner l'arbre à  grande vitesse 117 et     entraîne        les       

   émetteurs    à       grande    vitesse et les contacts de     commande     dans le temps dont la commande est représen  tée à la     fig.    47A.     Ltant    donné que l'électro  aimant d'embrayage     d'impression        PCIII    n'a  pas été excité, les     contacts    de commande dans  le temps à faible     vitesse,    dont la commande  est représentée à la     fig.    47B, et l'émetteur       d'impression        PE    ne fonctionnent pas.

   La pre  mière fiche est éjectée du     magasin    H et ferme  les contacts<B><I>CL-Cl</I></B>     (fig.    48C) de levier de    fiches, et ces contacts     restent    fermés tant que  les fiches continuent d'être avancées à travers  la machine.  



  Les contacts du relais de levier de fiches       CLR1A        (fig.    48C) se ferment et chargent le  condensateur C par l'intermédiaire dune ré  sistance de 1000     ohms,    ce     condensateur    res  tant chargé tant que les fiches continuent  d'être     avancées.    La fonction de ce condensa  teur C sera mise en évidence     plus    loin, lors  qu'on parlera des     conditions    d'arrêt provoqué  par l'épuisement des fiches     dans    le magasin H  et par l'arrêt de l'avance de fiches à partir de  ce magasin.  



  Le relais R22 est maintenu excité par l'in  termédiaire de ses contacts     R22A.        (fig.    48C)  par un circuit partant de la connexion     Wl    et  passant à travers les contacts     CLRlA,        1'PC,          R18C,        R25B,    R22A et par le relais R22 et  aboutissant à la connexion W2, si bien que le  relais du moteur     iIIR    est     maintenu    attiré. La  première fiche est amenée en position lorsque  les balais B commencent à explorer les posi  tions de repère des colonnes de la fiche. Ceci  se produit au début du second cycle d'alimen  tation de fiches.  



  Les contacts     CLR2B        (fig.    48Q) relient le  balai commun     CB    à la source positive P1 par  l'intermédiaire des contacts de rupteurs     LC5     et     LC6    qui     fournissent    des     impulsions    à ce  balai     commun    et à une connexion W3. De  courtes impulsions fournies à partir du rup  teur     LC5    chevauchent dans le temps de  courtes impulsions fournies par le rupteur       LC6,    chacun de ces groupes     d'impulsions    cor  respondant aux positions de repère de la fiche       (fig.    47A).

   La connexion W3 est lue con  nexion commune pour les émetteurs     qui    com  mandent     l'application    de potentiel aux     grilles-          écran    de la plupart des tubes électroniques et,  par l'intermédiaire de contacts de commande  dans le temps C8, C9 et C10 à des connexions  W4, W5 et W6 fournissant le potentiel  d'anode aux tubes électroniques. Ainsi, les  circuits des tubes     électroniques    sont disposés  pour être commandés sous l'effet d'impulsions  produites à partir des balais d'analyse de  :fiches.

   La clé de mise en route     STg    peut être      relâchée puisque le relais du moteur est dès  lors maintenu excité à travers les contacts  R22C tant que des fiches continuent d'être  avancées.  



  On supposera que la machine est connectée  pour le départ automatique de l'avance de  fiches après     chaque    série d'opérations d'im  pression. Par conséquent, un pont a été     inséré     entre les douilles  AS  PS50 et     PS51        (fig.    41  et     48C).    Le relais R19P reçoit les impulsions  au cours du dernier cycle d'impression d'une  série, à condition que le     magasin        II    contienne  des fiches.

   Le circuit dexcitation de ce relais  part. de la source     PZ        (fig.    48I4), passe par  les contacts     C35    et les douilles     P,550    et P. S51       (fig.    48C), à travers des contacts doubles     HC     disposés pour être reliés par des connexions à  fiches, les contacts     Rl-L1.    et le relais R19P  pour aboutir à la connexion     yV2,    à condition  que les contacts     R14A    soient fermés.

   Lorsque  le relais     CLRI    est à nouveau excité, ouvrant  ses     contacts        CLRIA,    le circuit de maintien  R19H est interrompu. Par conséquent, à  moins que la commande de départ     automati-_     que ne soit choisie par un pont, le fonctionne  ment de la machine doit être à nouveau pro  voqué -en abaissant à la main la clé de départ.

      Ainsi qu'on l'expliquera plus loin, le re  lais R14P est excité lorsque l'opération de  sommation décalée a été achevée avec succès  et que l'accumulateur 4 se trouve à  9  à la  fin d'une série     d'opérations    de sommation     dé-          ealée.    Par     conséquent,    en admettant que le  fonctionnement de la machine soit correct en  ce qui concerne les opérations de sommation  décalée et qu'il reste des fiches dans le maga  sin, le relais R19P reçoit une impulsion pour.  provoquer automatiquement le début de l'ali  mentation en fiches. Le relais 814P est     un    re  lais à verrou et reste attiré une fois qu'il a  été excité, jusqu'à ce que son enroulement de  déclenchement<I>R14T</I> soit excité.

   Les contacts  C35 ne fonctionnent qu'au cours d'un cycle  d'impression et sont normalement     ouverts     lorsque le mécanisme d'impression est au re  pos, l'embrayage     étant    verrouillé en position  normale.    Si le magasin venait à être épuisé, les con  tacts     HC    s'ouvriraient et empêcheraient l'exci  tation du relais R19P et     l'actionnement    de la  clé de mise en route     STE    serait nécessaire  pour provoquer l'avance de fiches à partir  de ce magasin après qu'il ait à nouveau     été     rempli.  



  Au cours d'un second cycle d'avance de  fiches, les contacts de levier de fiches     CLC2          (fig.    48C) se ferment et excitent des relais  de dernière fiche     LCR1    et     LCR2.    La fonc  tion principale des relais     LCR1    et     LCR2    est  de maintenir les     circuits    de commande pen  dant que la dernière fiche passe à. travers les  contacts de contrôle de triage     145a    et que sa  destination est choisie par l'électro-aimant de  commande de triage.  



  Lorsque la clé de mise en route STE est  actionnée, l'excitation de l'enroulement<I>R19H</I>  provoque la fermeture de contacts R19C       (fig.        48D),    fournissant ainsi des impulsions  à l'électro-aimant d'avance de fiches     CF1122.     De ce fait, le mécanisme élévateur de fiche est  libéré au cas où il se trouve     verrouillé    et per  met aux fiches de tomber sur la pince de fiche  pour permettre à la première fiche d'être  avancée à partir du magasin.     Lorsque    l'avance  des fiches commence, le relais     R22    ouvre ses       contacts   <I>R22B</I>     (fig.    487) et empêche l'excita  tion de .

   l'électro-aimant d'avance de fiche       CFIV11,    empêchant ainsi le fonctionnement du  mécanisme élévateur de fiches lorsque les con  tacts<I>R19D</I> se referment. Ainsi, aussi long  temps que la machine fait avancer des fiches,  ni l'un ni l'autre des électro-aimants     #H1    et       CF1112    ne peut être excité, sauf dans certaines  conditions spéciales commandées par un  groupe de contacts de relais disposés en pa  rallèle avec les contacts     R22B        (fig.        48D).     



  Plusieurs conditions pourraient provoquer       Farrêt    de l'avance de fiche par     actionnement     de l'électro-aimant     CFIYIL    L'une de ces con  ditions se produit lorsque l'un des fusibles  de l'un quelconque des groupes de fusibles  vient à fondre.

   Les fusibles F     (fig.        48A)          sont        dLi    type dans lequel un contact à ressort  est projeté     hors    du     fusible    lorsque le fil inté  rieur du fusible fond, ce contact reliant entre      elles les bornes communes des côtés redres  seurs de ces fusibles aux relais R.199 ou R200,  selon le groupe de fusibles dont     il    s'agit.

   Cette  connexion     est    effectuée au moyen d'une barre  de connexion     BS.    L'excitation du relais R199  ou     R200    ferme les contacts R199B ou R200B       (fig.    48D) et excite l'électro-aimant d'avance  de fiche     CP1111    pour rendre efficace le méca  nisme  élévateur de fiches. L'ouverture d'un  contact     R199A    ou     R200A    provoque     .l'extinc-          tion    de la lampe de signalisation de fonction  nement à vide IL et indique que la panne est  provoquée par un fusible qui a fondu.  



  . Lorsque le fusible qui a fondu est rem  placé, la machine peut être remis en route à  la main au moyen de la clé     STK,    le     relais     R19P étant ainsi excité et fermant ses con  tacts R19C     (fig.    4.8D) pour exciter l'électro  aimant     CP1112    et rendre inopérant le méca  nisme élévateur de fiches pour permettre à la  pince de fiche de faire avancer une fiche à  partir du     magasin.     



  Dans certaines conditions, il peut être dési  rable que la machine s'arrête lorsqu'une fiche  pilote poinçonnée d'un  9  dans une colonne  déterminée est analysée par le balai de cette  colonne. Lorsqu'on le     désire,    la douille PS15   9M      (fig.    41 et 48G) est reliée par une con  nexion à     fiche    au balai     d'analy    se de la co  lonne dans laquelle le  9  doit se produire, et  l'interrupteur S3 est fermé.

   Le tube Y124 est  rendu efficace par une     impulsion     9  à partir  de la fiche et par une impulsion associée à  partir de l'émetteur E16     (fig.    48S).     Lorsque     le relais R23 est excité, il ferme des contacts  R23C     (fig.    48D) pour arrêter l'avance des       fiches.     



  Pour certaines raisons qu'on expliquera  par la suite, il est désirable de limiter le fonc  tionnement de la machine à<B>10000</B> fiches au  cours d'une seule série, en particulier à cause  de la capacité limitée à quatre chiffres des  compteurs d'unités. En conséquence, des  moyens sont prévus pour arrêter l'alimenta  tion en fiches avant que le nombre total de  chiffres n'atteigne 9999. Le compteur d'unités  1 est normalement utilisé pour compter le  nombre total de fiches passant par la machine    pour contrôler le fonctionnement de cette ma  chine.

   Ainsi qu'on peut. le voir à la     fig.        48v,     les neuf segments 685 des ordres des milliers,  des centaines et des dizaines et les bandes       communes    pour ces ordres sont connectés de  façon que lorsque ces trois ordres supérieurs  parviennent à  9  et l'ordre inférieur à  7 ,  un circuit série     puisse    être établi à partir de  la bande commune 686 de l'ordre des     -unités     et du segment  7  du groupe de     segments    685  de cet ordre et à travers les segments  9  de  l'ordre des dizaines, des centaines et     des    mil  liers.

   Ce circuit a pour effet d'exciter le re  lais     R7P    chaque     fois    que le compte du comp  teur d'unités 1 atteint 9997.  



  Le circuit d'excitation du relais     R7P    part  du pôle positif de la source P2     (fig.    48V) et  passe à travers les contacts C22, pour aboutir  à la bande commune 686     (fig.    48D) et de là  aux segments 685 et aux balais 688 des trois  ordres supérieurs du compteur d'unités 1       (fig.    48D);

   le segment commun 686 est relié à  la connexion W2 ainsi que le segment  7  de  l'ordre des unités du groupe de segments 685  par l'intermédiaire du relais     R7P.    Le relais       R7P    ferme ses contacts     R7C        (fig.    48D) pour  exciter     l'électro-aimant    d'avance de fiche       CPM   <I>1</I> et pour empêcher la pince de faire  avancer une autre fiche à partir du magasin.  



  Dans certaines conditions, l'opération de  triage est contrôlée pour assurer qu'une fiche  soit effectivement dirigée vers la poche cor  respondant à l'impulsion de fonctionnement  fournie à l'électro-aimant     SCH.    La machine  est arrêtée lorsque ce dispositif de contrôle  fonctionne, par le relais 825P, d'une façon  qu'on décrira     pl11s    loin. Le relais R25P ferme  ses contacts     R25C,    produisant ainsi le même  effet que la fermeture des contacts     R7C.     



       Il        est    également possible de connecter la  machine pour provoquer son arrêt automati  que     dans    certaines conditions     prescrites    déter  minées par diverses façons de connecter cette  machine.

   Cet arrêt peut. être effectué au  moyen des douilles      RS     (arrêt-refus) PS44  et PS45     (fig.    41 et 48H) ou au moyen de la  douille  Stop      PS37.    Lorsque les douilles       d'arrêt-refus    PS44 et<I>PS45</I> sont reliées entre      elles par un pont et que le relais R141P n'est  pas excité conformément à la     commande     appliquée à ce relais, un circuit est formé à  partir de la source positive P1     (fig.    48H) et  à travers les     contacts        CLR2fl_,    C19,     LCRlB,

            R141d    et le relais     R8P.    Les contacts     R8B          (fig.    48D) sont ainsi fermés et     provoquent    le  fonctionnement de l'électro-aimant élévateur  de fiches.

   L'enroulement     RSP    est également  excité lorsqu'une source d'impulsion est con  nectée au tableau de connexion à la douille       PS37.        Ainsi    qu'on l'expliquera plus loin, le  relais R141P n'est pas excité dans certaines       conditions    lorsqu'on désire qu'une fiche soit  rejetée ou refusée, et il peut être désirable  qu'on puisse inspecter cette fiche immédiate  ment, avant que la course de     fonctionnement     de la machine ne continue avec les fiches  restantes. La commande      RS     est prévue dans  ce but.  



  Lorsque les     commandes         RS     et  Stop   sont efficaces pour exciter le relais     R8P    et  arrêter l'avance des fiches, les     contacts        R8A     se ferment et la lampe de signalisation d'édi  tion<I>EL</I>     (fig.    48B) est alors     allumée.     



  La lampe de signalisation d'impression<I>PL</I>  s'allume également lorsque l'avance des fiches  est arrêtée sous commande d'un<B>9997</B> au  compteur d'unités ou d'un  9M , à condition  que les deux chariots soient. retournés en po  sition de départ, maintenant ainsi l'interrup  teur     47S1        (fig.    20 et     48B)    fermé. Les chariots  devraient se trouver à la position représentée  aux     fig.        2A,    213 et 20 lorsque les opérations  d'avance de fiche sont effectuées. La lampe  de signalisation d'impression indique à l'opé  rateur que les     chariots    se trouvent dans la  position adéquate pour le premier cycle d'im  pression d'une série.  



  On a déjà mentionné le fait que le conden  sateur C     (fig.    48C) est chargé, lorsque les  contacts du relais de levier de fiche     CLRIA     se ferment, et qu'il reste chargé tant que des  fiches continuent à être avancées. A la fin  d'une     course,    lorsque la dernière fiche quitte  le magasin et que les contacts de levier de  fiche     C'LR1    s'ouvrent, le potentiel de charge  pour le condensateur C est supprimé.

   Le con-         densateur    C commence     immédiatement    à se  décharger à travers un circuit fermé compre  nant la résistance de 1.000 ohms, les     contacts          FPC,    R180,     R25B,        R22A    et l'enroulement du  relais R22.

   La valeur de la résistance de  charge et celle du     condensateur    C, qui est très  grande, sont choisies de façon que le relais  R22 soit maintenu excité suffisamment long  temps pour que la dernière fiche ait le temps  de passer à partir du poste de contrôle de  triage jusqu'à la poche  9  avant que ce relais  R22 ne cesse d'être excité et permette au mo  teur     W11    de s'arrêter en coupant l'excitation       iu    relais du moteur MR.

   Chaque fois qu'une  poche de triage quelconque devient trop  pleine de fiches, les contacts     FPC        (fig.    48C)  de poche pleine s'ouvrent et coupent l'excita  tion du relais R22, arrêtant ainsi immédiate  ment le moteur     11l1    et empêchant l'avance  d'autres fiches.  



  La machine peut également être arrêtée  en appuyant sur une clé d'arrêt     (fig.        4SA).     On excite ainsi lé relais R18 qui ouvre ses  contacts R18C     (fig.    48C) pour couper l'exci  tation du relais R22.  



  L'excitation du relais<I>R25P</I> a lieu sous  l'effet d'une fiche qui ne     passe    pas sous la  lame de contact 114 adéquate au cours de  l'opération de contrôle de triage. Ce relais  actionne l'électro-aimant d'avance de fiche       CF!111    et ouvre également ses contacts<I>R25B</I>       (fig.    48C) pour arrêter l'avance des fiches.  



  Lorsqu'on désire provoquer à la main une  opération d'impression, la clé     d'impression        PK          (fig.    48A) est actionnée. Cette clé ferme un  circuit partant de la connexion     W1        (fig.    48A)  et passant à travers les contacts de cette clé,  des contacts     R151,_        R198A,        LCRZC    et le re  lais R21 pour aboutir à la connexion     W2.    Les  contacts C46 sont normalement fermés lorsque  le mécanisme     d'impression    n'est pas utilisé;

    par conséquent, un circuit de maintien peut  être formé pour le     relais    R21 à travers les  contacts     R21A    et C46.     Etant        donné    que l'ar  bre 216     (fig.    15) tourne continuellement  lorsque la machine fonctionne, les contacts  C1 se ferment et excitent les relais R6,     R17          (fig.    48A) et l'électro-aimant d'embrayage      d'impression     PCII    -en parallèle.

   Le relais R21  ferme ses contacts<I>R21B</I> pour exciter le     relais          CR6,        Les    contacts     CR6B    se ferment et exci  tent le. relais de moteur     111R    pour mettre en  route le moteur     11l1.     



  Il en résulte que l'embrayage     d'impression          est    engagé de la façon décrite     plus    haut pour  effectuer un tour, actionnant ainsi les barres  de caractères et d'autres mécanismes associés  au mécanisme     d'impression,    y compris l'émet  teur     d'impression    PE.

   La façon dont les  barres de caractères sont commandées pour  effectuer     l'impression    sera décrite en détail       plias    loin en référence à un exemple     particu-          lier.       Si le mécanisme de     poinçonnage    de relevé  est utilisé, le circuit provoquant le début de  l'opération d'impression     est    dépendant de con  tacts de     poinçonnage    de magasin     PIIC          (fig.        48w)    et des contacts du relais de levier  clé fiche de     poinçonnage        PLCRB    connectés  en série,

   en     parallèle    avec les     contacts        R198A.     Lorsque le mécanisme de poinçonnage de re  levé fonctionne, un pont est inséré entre les  douilles      SP     PS62 et     PS63,    excitant ainsi  le     relais    R198.

   Ce relais ouvre ses contacts  R198A et branche le relais R21 en série avec  les contacts de magasin de poinçonnage     PHC     et avec les     contacts    du relais de levier de riche  de poinçonnage, empêchant     ainsi    d'effectuer       une    opération d'impression, à moins que des  fiches ne se trouvent dans le magasin de poin  çonnage et dans le poste de     poinçonnage.     



  Lorsque les douilles      AP     d'impression  automatique<I>PS48</I> et     PS49        (fig.    48A) sont  reliées, un cycle d'impression automatique est  provoqué chaque fois que les relais R23 ou R7  sont excités sous commande d'une fiché pilote  portant un     poinçonnage     9  ou- lorsque le  compte de     fiches    atteint 9997.  



  Lorsque les fiches sont épuisées ou lorsque  l'électro-aimant d'avance de fiche     CF1111    de  vient efficace pour empêcher l'éjection de  fiches à partir -du magasin H, les fiches qui  restent en     cours    d'avance     dans    la machine  sont avancées jusqu'à ce que les     contacts    de  levier de fiche     CLC2        (fig.    48C) s'ouvrent.    Cie-ci se produit environ au milieu d'un cycle  au cours duquel la dernière fiche passe par le  poste de contrôle de triage, la     destination    de  cette fiche ayant été déterminée par l'électro  aimant de commande de triage.

   Après que la  dernière fiche a passé par ce point, la machine  s'arrête, tandis que     les    fiches qui sont encore  en cours d'avance vers les poches sont con  duites jusqu'à ces poches, grâce à l'effet du       condensateur    C.  



  Lorsque les contacts de levier de fiche       CLC1    s'ouvrent, les relais     CLR1    et     CLR2     sont encore maintenus excités pendant une  courte période grâce à un     circuit    de maintien  maintenu lui-même à travers les contacts C24.

    Les contacts     CLC2    s'ouvrent ensuite et cou  pent l'excitation des     relais        LCR1    et     LCR2     Les contacts     CLR2C        (fig.    48A) se     ferment    du  fait que le relais     LCR2    n'est plus excité, et     ils     provoquent automatiquement un cycle d'im  pression, à condition que les douilles      AP      PS48 et     PS49    soient reliées, Si cela n'est pas  le cas,

   un cycle d'impression manuelle doit  être provoqué à l'aide de la clé d'impression       PK.    Le relais R7 est un relais à verrou qui       reste.    verrouillé jusqu'à ce que son enroule  ment de déclenchement     R7T        (fig.        48E)    soit  excité.

   Le relais R23 est commandé par le  tube Y124 qui, une fois amorcé sous com  mande     d'un     9  poinçonné dans une fiche  pour commander le fonctionnement de     l'élec-          tro-aimant    d'avance de fiche     CF,        i111,    reste  amorcé jusqu'à ce que le relais R19 soit excité  et     ouvre    ses contacts     R19E.    Le relais     R1.9     cesse d'être excité dès que le relais     CLRI     fonctionne, lorsque la première fiche passe en  regard des balais B.

   Par conséquent, les deux       relais    R7 et     R23    sont maintenus excités après  avoir été attirés, leurs     contacts    étant en posi  tion attirée     jusqu'à    ce que     Penroulement    de  déclenchement     R7T        (fig.    48E) soit excité ou  que le relais R19 soit excité lorsqu'on fait re  partir la machine.

   Lorsque le mécanisme  d'impression est mis en route sous commande  de la clé d'impression     PK    ou des contacts       LCR2C,    le relais R21 est excité et ferme ses  contacts<I>R21B</I> pour exciter le relais     CR6          (fig.    48A) et le relais de moteur     lIR    pour      mettre en route le moteur 1111 et pour engager  l'embrayage d'impression.  



  A     moins    que le relais R142P ne soit excité,  maintenant ses contacts     R142A    ouverts       (fig.    48A) ou que le relais d'arrêt R18 ait  été     excité    du fait du     fonctionnement    de la clé  d'arrêt     SPK,    maintenant     ouverts    ses contacts       R181,    le mécanisme     d'impression    fonctionne  de façon continue pour     -Lune    série de cycles  sous     commande    de l'émetteur de chariot 502,  503 et 506.

   Le fonctionnement du relais R142  pour arrêter la série de cycles d'impression à  l'instant voulu sera.     expliqué    plus loin,     après          qu'on    aura décrit le fonctionnement de la ma  chine au cours de ces cycles d'impression suc  cessifs.    On admettra maintenant qu'une série de  fiches a passé par la machine et que     certains     faits ou données désirés ont été comptés par       i    les compteurs d'unités et que ces données ont  été     enregistrées    dans les accumulateurs 2 et 4  sous commande des balais de fiche B.  



  L'avance des fiches a été arrêtée et une  suite de cycles d'impression a été provoquée  soit à la main, soit automatiquement, comme  on l'a décrit. Pendant cette suite de cycles  d'impression, les totaux contenus dans les  quatre accumulateurs, le nombre de groupe  et les totaux contenus dans les soixante comp  teurs d'unités seront imprimés. Finalement,  les totaux contenus dans l'accumulateur se  ront débités pour effectuer un contrôle final  des opérations de comptage.

   Après les deux  premiers     cycles,    les accumulateurs sont remis  en place et     ils    sont ensuite utilisés conjointe  ment avec les     contacts        CRC    commandés par  les barres de caractères pour enregistrer les  totaux des compteurs     dans    les accumulateurs,  au fur et à. mesure que ces totaux sont im  primés.

   Ce sont ces derniers totaux qui sont  débités pour     effectuer    un contrôle.     Etant     donné que cette suite de cycles d'impression       constitue        une    suite fixe     indépendante    de la  connexion de la machine, on la décrira main  ; tenant en     détail.     



  On admettra que les chariots se trouvent       torts        deux    à leur position extrême droite, en    référence aux     fig.    2A et 2B, ou     extrême    gau  che, en référence à la     fig.    20, les     contacts          11153    étant ainsi fermés et les contacts     MS-9     étant maintenus     actionnés,    comme représenté  à la     fig.    48F.

   Ainsi qu'on l'a expliqué     phis     haut, les relais R6 et R17 sont excités lorsque  le     mécanisme    d'impression est     mis    en route au  moyen de la clé     d'impression        PK    ou     des    con  tacts de     levier    de fiche     LCR2C.    Ceci a pour  effet de fermer les contacts     R171        (fig.    48F),  si bien qu'un circuit peut être formé à travers       les    contacts C38.

   Ce circuit     part    de la. source  positive P2 et passe à travers     les    contacts  C38,     R17À,   <I>R142D</I> ou     R16B,    selon les états  respectifs de ces     relais,    à travers     les    contacts  R15C et     111S2,    la bande 503 de     l'émetteur,    les       balais    506 de cet     émetteur    et le segment  1   du groupe de segments 502     pour    aboutir aux       relais    R124 et R154.  



  La fermeture     des        contacts        R6D,    R21D et  <I>R17C</I>     (fig.    48G) provoque l'amorçage du tube       V123,    du fait de     l'application    simultanée du  potentiel d'anode à l'anode de ce tube à partir  de la source Pl et à travers les contacts<I>R17C</I>  et le relais R57 et du potentiel de grille-écran  à la grille-écran de ce même tube à partir de  la source Pl et à travers les     côntacts    C8       (fig.    480),     R201G,

     <I>R21D</I> et     R6D.    Le relais  R57 est ainsi excité et ferme tous ses contacts       R571        (fig.    48E). Le relais CR134     (fig.    48F)  est également excité par     l'intermédiaire    des  contacts<B>3183</B> et ferme ses     contacts    CR134C       (fig.    48E). Les contacts     IyIS3    restent excités  pendant les trois premiers cycles d'impression  au cours desquels les balais 506 sont en con  tact avec le premier, le second et le troisième  segment 502     (fig.    48F) de l'émetteur de cha  riot 502, 503, cependant que les totaux accu  mulés et le nombre de groupe sont imprimés.

    Le     relais        R17fermesescontacts        R17D    (fi-. 48H)  et les relais R124 et R154 ferment     leurs    con  tacts     R1241        (fig.    48J) et     R1541        (fig.    48L).

    Les     bandes    communes 636 de     l'accumulateur     1 sont     ainsi    reliées au câble     CB1    et la bande       commune    de     l'acciunulateur    3 au câble     CB3,     préparant     ainsi    les batteries d'impression 7. et  3 pour l'impression de totaux à partir dés       accumulateurs    1 et 3 dans les     colonnes    d'ex-           trême    gauche     (fig.    42), à gauche de la ligne  pointillée verticale de chacune des deux sec  tions de la feuille de travail.  



  Ainsi, pendant le premier cycle d'impres  sion, lorsque les contacts C29 et C30 se fer  ment alternativement, une série d'impulsions  d'impression de totaux sont     fournies    à l'émet  teur     d'impression    PE. Ces     impulsions    partent  de la source positive P1 et passent par les  contacts C29 et C30     (fig.    48H), le balai 786  de l'émetteur d'impression PE, les segments  785 de l'émetteur, les contacts 8148C du re  lais R148,     les    connexions     aboutissant.    aux seg  ments     635    des commutateurs de lecture des  accumulateurs 1 et 3     (fig..    48J et 48L),

   et de  là à travers les balais de lecture 688 et     la-          bande        commune    636, les     contacts        8124A    et       8154A    et     les    câbles     CBl    et     CB3    pour     aboutir     aux électro-aimants d'impression     P11        (fig.    48M  et 48N) des batteries d'impression 1 et 3 res  pectivement et de là à la connexion W2 et au  pôle négatif N1     .de    la source.

      Le total contenu dans les accumulateurs 1  et 3 est ainsi     imprimé    dans les colonnes d'ex  trême gauche des sections en deux parties, à  gauche de la ligne en pointillé à la     fig.    42,  seule la première section de la     feuille    de tra  vail étant représentée à cette figure.  



       L'impression        d'im    total de la façon dé  crite     est    bien connue et     il    n'est pas nécessaire  de la décrire en détail. On comprendra que si  un> balai de lecture 638 quelconque d'un  ordre quelconque de l'un des accumulateurs 1  et 3 se trouve dans une position correspon  dant à une valeur déterminée, il permet à     une          impulsion    de chiffre     correspondant    à cette  valeur d'être émise à travers la connexion  adéquate,

   fournissant ainsi     une        impulsion    à  l'électro-aimant d'impression adéquat à     un-          instant    auquel la barre de caractères se trouve  dans une position telle que le caractère cor  respondant est sur le     poilu    de     parvenir    en  regard de la     ligne        d'impression.    Cette impul  sion provoquera ainsi l'arrêt de ce caractère  en regard du point d'impression.

   Il est évi  dent que lorsque le moteur     1i11    est mis en  marche de la façon décrite et que l'arbre 220    est couplé ù ce moteur, les barres de caractères  161 commencent à s'élever et à se déplacer  d'une façon commandée dans le temps en re  lation avec la rotation de .l'émetteur PE.  Ainsi, au fur et à mesure que les valeurs suc  cessives 9, 8, 7,     ete.,    sont émises par l'émet  teur<I>PE,</I> les électro-aimants     PÎll    sont 'excités  à des instants     correspondant    aux valeurs se  trouvant dans les     acciunulateurs    1 et 3.  



  Au cours de ce premier cycle d'impression,  les contacts 644 se ferment et excitent les       électro-aimants    d'échappement ES (fie. 48D  des deux chariots à travers les contacts  8143A. Au     cours    du début du premier cycle  d'impression, lorsque les contacts C39 se fer  ment, le relais 8143P est excité et ferme ses       contacts    8143A, permettant     ainsi    aux con  tacts C44 de fermer le circuit des     électro-          aimants    ES vers la fin de ce premier cycle  d'impression.

   Ceci a pour effet de faire avan  cer les deux     chariots    dans leurs positions res  pectives de     seconde    colonne     (fig.    48F), les re  lais R123 et R153 étant excités et accomplis  sant     ensuite    les mêmes fonctions pour les       acclunulateurs    2 et 4 que les relais R124 et  R154 pour les accumulateurs 1 et 3 et le se  cond cycle est une répétition du premier cy  cle, avec la différence que les accumulateurs  2 et 4 commandent alors les batteries d'im  pression 1 et 3 pour imprimer les totaux con  tenus     dans    ces     acciunulateurs.       Au cours -du second cycle, durant lequel  les totaux contenus dans les accumulateurs 2  et 4 sont imprimés,

   les électro-aimants ES  sont excités et les chariots avancent jusque       dans    leur position     respective    de troisième co  lonne et excitent les relais R37, R38,     R39    et  R40     (fig.    48F). Pendant ce second cycle éga  lement, lorsque les relais R123 et R153 sont  excités, les contacts C48-     (fig.    48G) se ferment  et excitent les     relais    de zéro R191 et R192, en  parallèle avec le relais R153, par l'intermé  diaire de la     connexion        W24.     



  En zéro au cours du second cycle d'impres  sion, l'émetteur d'impression PE ferme des  circuits à travers son segment de zéro 785, les       contacts    8191A et 8192A     (fig.    48H) et     les         câbles     CB6    et     CB7    pour provoquer l'impres  sion de zéros dans toutes les     positions    aux  quelles une barre de caractères n'a pas im  primé de chiffre significatif. Cette opération  n'est pas     nécessaire    pendant le premier cycle,  étant     donné    que     les    cliquets de zéro 167 pro  voquent automatiquement l'impression de  zéros à gauche d'un chiffre significatif.

   Les  accumulateurs 1 et 3 recueillent le surplus       des        accumulateurs    2 et 4, si bien que les to  taux dans les accumulateurs 1 et 3 et dans les  accumulateurs 2 et 4 constituent en réalité un  seul, total. Lorsque les balais 506 relient la  bande 503 de l'émetteur au troisième segment  502, l'excitation des relais R37, R38, R39 et  R40 prépare la machine pour     l'impression    d'in  dication de groupe qui est emmagasinée     dans    les  relais R81P à R96P de la façon expliquée     ci-          dessus    au cours de la description du tableau de  connexion.

   Les circuits d'indication de groupe  sont représentés à la     fig.    481, et on admettra  que les contacts     -des    relais R81P à R96P aient  été mis en place pour emmagasiner jusqu'à  cinq chiffres conformément à une forme de  système binaire. Conséquemment, un seul cir  cuit fermé sera constitué dans chacun des  quatre ordres     représentés    à la     fig.    481 et dé  signés par les mots  Unités ,  Dizaines , etc.

    Chacun de ces circuits part d'un groupe de  connexions du câble     CB5    pour aboutir au câ  ble     CB4    qui     est        réuni        aux    électro-aimants       d'impression        PJÏl        (fig.    48M et     48N),     Les .contacts fermés et représentant des       aleurs,    des relais R37 à     R40,    sons     reliés    en  parallèle au groupe de quatre connexions  W42 qui aboutissent aux contacts des relais  R81P à     R96P,

      si bien que le même nombre  de groupe comprenant quatre chiffres sera  imprimé par les quatre batteries     d'impres-          sion.    On remarquera, en référence à la     fig.    42,  que deux colonnes désignées par  Triage   sont     prévues.    Le même nombre de groupe est  imprimé     dans    chacune de ces colonnes et,  étant donné qu'il y a deux     sections    pour la  feuille de travail complète, il est nécessaire  que le nombre de groupe soit imprimé quatre  fois.

   Ainsi que l'indique la ligne médiane en  pointillé,     chacune    des sections que comprend    la feuille de travail est .séparable en deux       parties,    si bien qu'on a au total quatre for  mulaires séparés présentant chacun quinze  rangées verticales de totaux.  



  Le câble     CB5        est    relié à l'émetteur d'irn  pression     PE        (fig.    48H) qui fonctionne' pen  dant le     troisième    cycle pour émettre des im  pulsions par l'intermédiaire des contacts des  relais     d'indication    de groupe<I>R81P</I> à     R96P,     de façon générale semblable à celle dont les  lectures des accumulateurs sont utilisées pour  imprimer des totaux. Par exemple, si la va  leur  6  est emmagasinée dans l'ordre des.

         imités        (fig.    48I), la     connexion    désignée par le  petit chiffre  6  à droite est reliée par les  contacts R83C et R82B à la connexion des  unités     _T742    qui est elle-même reliée à tous  les électro-aimants     PM    des unités par l'inter  médiaire des contacts de l'ordre des     unités     837A à     R40A.    A l'instant  6  du cycle d'im  pression, une impulsion passe à travers l'émet  teur PE     (fig.    48H) et la connexion  6        (fig.    481), les     contacts    883C,     R82C,   <I>881B,

  </I>  R84D et la connexion des unités     W42,    et en  parallèle à travers les contacts d'extrême  droite     R37A,   <I>R38A</I>     (fig.    4.8J) et     R39A,     <I>R40A</I>     (fig.        481.),    pour aboutir à tous les       électro-aimants        d'impression    d'unités     PIÏl          (fig.    48M et 48N). Cette     impulsion    retourne. à  travers les câbles     CB1    et     CB4    à la connexion  W2.

   La valeur  6  est ainsi imprimée à l'or  dre des     unités    de toutes les colonnes de   Triage  de la     fehille    de     travail.    De façon  semblable,     d'autres    chiffres sont imprimés par  les     électro-aimants    d'impression restants.

   Des  zéros sont imprimés, sous     commande    d'un cir  cuit séparé,     partant    du segment zéro 786       (fig.    48H) de l'émetteur d'impression     PÉ    et       passant    à travers les contacts du relais de       zéro.R191A    et le câble     CB6.    Ainsi qu'on le  remarquera à la     fig.    48J, ce câble     CB6    com  prend des     connexions    séparées aboutissant  respectivement aux contacts     R123A.et        R124A.     Ces impulsions de zéro passent à travers dif  férentes connexions du .

   câble     CB6,    vers la  gauche de la     fig.    48J et de là vers le haut jus  qu'aux contacts R37A à travers lesquels elles       parviennent    aux     électro-aimants    d'impression      <I>P111</I> adéquats pour commander l'impression de  zéros.  



  Pendant le troisième cycle, les     électro-          aimants    d'échappement des chariots sont  excités et les chariots avancent jusqu'au qua  trième segment 502, en position pour l'impres  sion. du total du premier groupe de quatre  compteurs     d'imités.    Cependant, avant que  cette impression ne soit effectuée, il est     néces-          saure    que les accumulateurs 1 .à 4 soient remis  en place, et ces     accumulateurs    sont     ensiüte     utilisés pour contrôler les     totaux    des comp  teurs- d'unités.

   La remise en place est effec  tuée en faisant avancer les roues     d'aceiunula-          teur        jusqu'à    zéro sous commande d'une série  d'impulsions semblables à des impulsions  d'addition.     On.    se rappellera que les relais R119,  F120,     R148,        R149    et R150     (fig.    48F) avaient  été excités en parallèle avec les relais R37 à       R40    avant le début du troisième cycle, au  cours duquel le nombre de groupe avait été  imprimé.  



  Les relais     R119    et R120 ferment leurs  contacts     8119A    et 8120A     (fig.    48J) et relient  ainsi les électro-aimants de rappel     RIÏI        des     accumulateurs 1 et 2 aux bandes communes  636 des dispositifs de lecture pour ces deux  accumulateurs, par l'intermédiaire des con  tacts 8124B, 8144P et 8123D, 8146F. Le  relais R148     inverse    également le     sens    de  connexion de l'émetteur d'impression PE       (fig.        48H),    si bien que cet émetteur émet       maintenant    des compléments de  9  des  chiffres 1 à 9.

   Par exemple, en  9  au cours  du cycle, l'émetteur PE ferme un circuit       aboutissant    à la connexion  l , tandis qu'en        7.     de ce même cycle, il ferme un circuit  aboutissant à la connexion  9 .  



  Les relais R149 et R150 représentés à la       i        fig.    48L ont le même effet que les relais     R119     et R120 de la     fig.    48J, les électro-aimants de  rappel ROI<I>des</I> accumulateurs 3 et 4 étant  reliés aux bandes communes 636 de ces accu  mulateurs par l'intermédiaire des contacts  c 8150B, 8145E, 8154B, 8149B et     8153C    res  pectivement.

   Le sens de connexion des dispo  sitifs de lecture     -des        accii.mulateurs    est inversé  dans le but d'assurer que lorsqu'une     roule       d'accumulateur se trouve en  1      comme    possi  bilité extrême, neuf paires d'impulsions sont  appliquées aux électro-aimants     R111    et     A111,     ces neuf paires     d'impulsions    étant     nécessaires     pour faire tourner cette roue jusqu'en zéro.

    Si les impulsions de l'émetteur étaient utili  sées de la faon normale et qu'une roue se  trouvait en  1 , l'impulsion  1  pour remet  tre en place cette roue d'accumulateur serait  appliquée à l'instant  1 , à un instant où il  n'y a par conséquent     qu'une    seule unité de  temps à disposition pour ramener cette roue  en position de zéro, si bien que ladite roue  serait évidemment amenée en  2  et non en  zéro.

   Grâce aux connexions inversées de  l'émetteur, si une roue d'accumulateur se  trouve en  1 , son électro-aimant de rappel       RIÏI    reçoit une impulsion en  9  à     travers    un  circuit partant de cet émetteur PE     (fig.        48f1)     et     passant    à travers le     segment     9  du     groupe     de segments 785 de cet émetteur, par la con  nexion reliée à ce segment     (fig.    48H.

   48J et  48L) et aboutissant aux ordres qui sont en   1  et aux balais 638 de lecture     qui    ferment  un circuit entre la bande commune 636 et le  segment  1  du groupe entre la bande     com-          inime    636 et le segment  1  -du groupe de       segments    635 de     chacun    de ces ordres.

   Les  impulsions sont par conséquent émises vers  le bas à travers les contacts<I>8124B,</I>     8144P    et  8120B pour     l'accumulateur    1, 8123D, 8146F  et 8119B pour l'accumulateur 2, 8154B,  8145E et 8150B pour l'accumulateur 3 et  8153C et' 8149B pour l'accumulateur 4, et  aboutissent aux électro-aimants de rappel     RIII     de tous les ordres dans lesquels la roue se  trouve en  1 . Ces impulsions sont transmises  à travers les     contacts    normalement     fermés     8193B de l'accumulateur 1, 8194A de l'accu  mulateur 2, 8195B de     l'accumulateur    3 et  8196A -de l'accumulateur 4.  



       Ainsi    qu'on l'a expliqué au cours de la.  description de l'accumulateur, ces impulsions  ont pour effet de retirer les bras 603       (fig.    28), et les électro-aimants     Alll    reçoivent       ensuite    immédiatement une impulsion par  l'intermédiaire d'un circuit partant de la  source P2 et passant à travers des contacts      C31, C32     (fig.    48H), les contacts 8148D,       8144D,    8146D, 8126A, 8125A, 8156A,       1155A,    les     connexions    W29 à W32 et de là à  travers tous les électro-aimants     AJI        (fig.    48J  et 48L)

       correspondant        aux    ordres dans les  quels la roue se trouve en 1. Ces impulsions  sont produites immédiatement après les im  pulsions qui excitent les     électro-aimants        Rlll.     



  *Les premiers pas de rotation des roues des  accumulateurs qui se trouvaient en 1 ont pour  effet de fermer les contacts AC de ces roues,  comme décrit ci-dessus au cours de la des  cription de la partie mécanique de la ma  chine. La rotation subséquente de l'émetteur  PE fournit une succession d'impulsions     sup-          plémentaires    aux électro-aimants<I>RAI</I> pour les  ordres qui se trouvaient en 1 et, après cha  cune de ces impulsions fournies à -Lui électro  aimant     Rlll,    une     impulsion    correspondante est  fournie à l'électro-aimant     A11    correspondant  par l'intermédiaire des connexions W29 à  W32 jusqu'à ce que neuf paires d'impulsions  aient -été fournies à chaque électro-aimant.

    Ces neuf paires d'impulsions suffisent pour  ramener les roues     d'accumulateur    à zéro. Il  est évident que ces roues parviennent en zéro  vers le milieu du cycle     (fig.    47B), l'émetteur  PE     cessant    alors d'émettre des impulsions. Les       électro-aimants        A111    reçoivent des impulsions  à vide à quelques reprises par ].'intermédiaire  de     contacts    C29 et C30, mais ces     électro-          aimants    n'ont pas d'effet.  



  Une valeur intermédiaire quelconque, à la  quelle une roue d'accumulateur se trouve, est  augmentée d'une quantité égale au complé  ment de 10 de cette valeur" si bien que ces  roues sont ramenées en zéro au moyen de  circuits semblables.  



  Au cours du troisième cycle, les     électro-          aimants    d'échappement ES sont     excités     comme auparavant et les chariots avancent  pour amener les balais 506 en regard du qua  trième segment 502.A partir de cet instant,  une série de quinze cycles identiques prend  place pour imprimer les totaux contenus dans  les compteurs d'unités, à raison de quatre à la  fois et pour enregistrer les totaux dans les  accumulateurs 1 à 4 au fur et à mesure qu'ils    sont imprimés,     ces        accumqilateurs    ayant été  ramenés à zéro préalablement à cette opéra  tion.

   Lorsque les chariots avancent en posi  tion de quatrième colonne, les contacts     111S3     s'ouvrent et le relais C8134 cesse d'être excité,  fermant ses     contacts    CR134B et rendant effi  caces les contacts     KC.     



  Au cours de l'impression des totaux accu  mulés et du nombre de groupe, les contacts  <I>CEC</I> sont fermés et, si aucune disposition  n'était prévue pour     l'empêcher,-des    enregistre  ments seraient effectués     dans    les accumula- e       teurs.    Pour empêcher de     tels    enregistrements,  les     contacts    CR134B     (fig.    48H) s'ouvrent et  séparent la connexion     W28        commune    à tous  les contacts d'addition AC 'de tous les     accu-          inulateurs    et aux contacts CEC des accumula- c       teurs    2, 3 et 4,

   de la source d'impulsions C29,  C30. Les     contacts   <I>CR134D</I>     (fig.    48J)     s'ou-          v        rent    et empêchent les contacts     CKC    de l'ac  cumulateur 1 de fermer des circuits aboutis  sant aux électro-aimants de rappel     RÏII.          Etant    donné qu'on désire effectuer un poin  çonnage de relevé des totaux contenus     dans     l'accumulateur 1,     il    est nécessaire que la con  nexion     W27    ne soit pas modifiée au cours des  cycles pendant lesquels les totaux contenus ;

         dans    cet     aceiunulateur    1 sont imprimés.     Ainsi     qu'on l'expliquera plus loin, la fermeture des  contacts     CKC    de la batterie d'impression 1  provoque la codification des totaux qui sont  fournis sous cette forme codifiée au     méca-    c       nismë    de poinçonnage de relevé et qui sont  automatiquement     poinçonnés    au cours d'une  suite d'opérations de     poinçonnage.     



  Les relais CRI, C82, C83,<I>C851</I> et     C852     sont dès lors excités. Les compteurs 1, 16, 31     F     et 46 sont ainsi choisis pour l'impression de.  totaux et pour la remise en place     ainsi    que  pour l'enregistrement dans les accumulateurs  1 à 4. Ces compteurs choisis sont désignés par  les petits nombres inscrits à l'intérieur des  rectangles représentant les enroulements des  relais à la     fig.    48F.  



  On remarquera aux     fig.        48n2    et 48N que  le relais CRI ferme ses contacts<I>CRIA</I> pour  relier les électro-aimants d'impression de la  batterie d'impression 1 aux contacts d'in-           pression    de compteur     CI'C    et     au    compteur  d'unités 1.     Semblablement,    les batteries     d'im-          pression    2, 3 et 4 sont reliées par     les    relais       CR2A,   <I>CR51A</I> et CR52A aux contacts d'im  pression     CPC    des     compteurs    16, 31 et 46.

   Les  compteurs sont remis en place au moyen       d'impulsions    répétées fournies aux électro  aimants     CIM    jusqu'à ce que chaque roue par  vienne en zéro. Les contacts     CPC    se ferment  alors pour exciter l'électro-aimant d'impres  sion et les contacts     CRC    s'ouvrent pour em  pêcher que des impulsions subséquentes con  tinuent d'être fournies aux électro-aimants       CDI    associés.

   Les contacts<I>CRIB</I> et CR51B     re,     lient les électro-aimants     CDI    des compteurs  pour les compteurs 1, 16, 31 et 46 à la con  nexion W16 par l'intermédiaire des contacts  de remise     ,en    place     CRC    qui sont fermés dans  tout ordre dont la roue n'est pas en zéro.       Ainsi,    tous les électro-aimants de compteur  <I>C</I>     1l    associés à des compteurs dont     les    roues  ne sont pas en zéro sont reliés en parallèle  entre la connexion     W16    et les douilles de  sortie de compteur     PS31.     



  D'ordinaire, lorsque lues compteurs sont  connectés pour effectuer une opération de  comptage,     ces    connexions peuvent compren  dre un circuit de connexions à fiches et des  relais sélecteurs de     recodification    destinés à  a acheminer des     impulsions    de comptage aux       douilles    d'entrée     PS30.    Les douilles de sortie  PS31 sont reliées par des connexions à fiches  à     une    ligne de retour qui peut être formée en  insérant une ou plusieurs connexions à     fiches     ;

   entre les     douilles    de sortie PS31     (fig.    41,     48M     et 48N) et les douilles PS26     (fig.    48E). On se  rappellera que le tube V123 avait été amorcé  au début, excitant ainsi le relais R57 qui       -avait    fermé ses contacts R57A et établissant       @    un circuit de retour pour toutes impulsions       transmises    aux     électro-aimants        Cil1.    Ce circuit  de retour est établi à partir des     douilles    PS31       (fig.    48M)

   et     passe    par des connexions à  fiches jusqu'aux douilles PS26 et aux contacts  R.57.4 pour aboutir à la connexion W2 et de  là à la source négative N1.  



  Au cours du quatrième cycle, pendant que  les barres de caractères 161 se déplacent vers    le haut, une série     d'impulsions        est    fournie à       la,    connexion W16 par l'intermédiaire de cir  cuits partant de la source positive P2       (fig.    48H). Ces circuits passent par les con  tacts C29 et C30, les contacts C40     (fig.    48t)  pour aboutir à la connexion W16.

   Les impul  sions se propagent par conséquent en paral  lèle à travers les électro-aimants de compteur  <I>COI</I> des ordres qui ne sont pas en zéro, ajou  tant ainsi     ime    succession d'unités à chacun de  ces     ordres    jusqu'à ce     qu'ils    parviennent en  zéro et que leurs contacts     CRC    s'ouvrent pour  interrompre la     transmission    d'impulsions  d'addition supplémentaires à chacun de ces  ordres     respectifs.    Prenons par exemple le  compteur d'unités 1     (fig.        48M)    et supposons  que l'ordre des unités de ce compteur soit en   6 .

   Quatre impulsions seront. fournies à  l'électro-aimant de compteur     des    unités<I>C</I>H       (fig.    48M) par l'intermédiaire des contacts       CRC    de cet ordre et des contacts<I>CRIB,</I> fai  sant ainsi     tourner    la roue de ce compteur de  quatre unités ou pas pour l'amener en zéro.  Lorsque cette roue parvient en zéro, les con  tacts     CRC    associés à l'ordre des imités de ce.  compteur s'ouvrent et interrompent la trans  mission d'impulsions à cet ordre sans modi  fier l'alimentation en     impulsions    d'un autre  ordre quelconque.

   Les contacts     CPC    de l'or  dre des     imités    se ferment au moment où les  contacts     CRC    de cette     unité    s'ouvrent, et la  commande dans le temps des contacts C29 et  C30 et des barres de caractères est telle que  la barre de caractères de l'ordre des     unités    de  la batterie     d'impression    1 sera alors sur le  point d'amener     1c    caractère  6  qu'elle porte  en regard de la ligne d'impression à l'instant.

    où les     contacts        CPC    se ferment: Cette barre  de     caractères    sera alors arrêtée -en  6 , si  bien que, lorsque le marteau d'impression est  actionné, la valeur  6  sera imprimée par  cette barre de caractères.  



  De faon semblable, toutes les valeurs  contenues dans les quatre accumulateurs se  ront mises en place sur les barres. de     carae-          tè.res    'et à l'instant approprié du cycle, les  marteaux d'impression seront libérés, comme  expliqué ci-dessus, et les quatre valeurs seront      imprimées sur la feuille de travail aux co  lonnes 1, 16, 31 et 46, immédiatement à droite  des nombres de groupe qui ont été imprimés  au cours du cycle précédent.

   Si une roue de  compteur quelconque se trouve en zéro, un  zéro est imprimé par la barre de caractères  correspondante grâce à l'action     des    cliquets  de zéro 167     (fig.    13), à condition     qu'une     barre de caractères d'ordre supérieur ait été  mise en place pour imprimer un chiffre signi  ficatif.    A mesure que chaque barre de caractères  clé chaque batterie d'impression est arrêtée  dans une position correspondant à lin chiffre  significatif, les     contacts        CKC    associés sont  fermés, provoquant ainsi l'enregistrement du  chiffre     correspondant    dans l'ordre de l'accu  mulateur associé à cette barre de caractères.

    Les accumulateurs 1 à 4 sont respectivement  associés aux     batteries    d'impression 1 à 4. Sup  posons que le compteur d'unités 1 contienne  la valeur  8  à l'ordre des unités et que cette  valeur soit imprimée de la façon décrite ci  dessus. La commande dans le temps     des    con  tacts     CKC    de la barre de caractères est repré  sentée à la     fig.    47B et on remarquera que  cette     commande    ne coïncide pas avec des im  pulsions fournies par l'émetteur d'impression       PE,    cet émetteur recevant des impulsions  pour imprimer les totaux contenus dans les  accumulateurs.

   La raison de cette différence  est un retard mécanique du mécanisme     d'im-          pression    et du mécanisme     d'actionnement    des  contacts     CKC    qui provoquent l'arrêt effectif  des barres de caractères.

   La fermeture des       contacts   <I>CEC</I> s'effectue par conséquent avec  un retard appréciable sur la réception de  l'impulsion de valeur correspondante, à partir  des contacts     CPC.    Tandis que les impulsions       fournies    à partir des contacts     CPC    et qui arrê  tent les barres de caractères, par exemple     une     impulsion  9      (fig.    47B), se produisent envi  ron à 9  du cycle, les jeux et les mouvements  relatifs nécessaires des différentes     parties     sont tels que les contacts<I>CEC</I> ne sont pas  effectivement fermés avant 45  environ de ce  même cycle.

      On remarquera que     les    contacts de com  mande dans le temps C29 à C32 ont pour effet  de provoquer l'émission de paires d'impul  sions chevauchant, entre     les    instants corres  pondant aux valeurs de chiffres des impul  sions émises par     les    contacts     CEC.        Les    impul  sions produites par les contacts C29 et C30  sont utilisées pour exciter les     électro-aimants     de retour     R111    par l'intermédiaire des con  nexions W27 et W28 et les     impulsions    émises  par les     contacts    C31 et C32 sont utilisées pour  exciter les électro-aimants AH par l'intermé  diaire  <RTI  

   ID="0047.0033">   des        connexions    W29 à W32. En prati  que, les     contacts    C29 et C30 ont pour effet  l'émission d'une seule impulsion pour chaque  valeur de chiffre, tandis que les contacts C31  et C32 ont pour effet pratique     correspondant     l'émission d'une seconde impulsion immédiate  ment après.

   Ces     deux        impulsions    ont ensem  ble pour effet d'exciter une paire     d'électro-          aimants   <I>A111,</I>     RIVI    déterminée pour provoquer  l'enregistrement d'une seule     unité    dans l'or  dre de l'accumulateur correspondant à cette  paire     d'électro-aimants   <I>AH,</I>     RM.    La raison  principale justifiant l'utilisation     d'une    paire  de contacts de commande dans le temps dans  chaque cas au lieu     d'un    seul jeu de contacts  est la nécessité d'obtenir une     commande    dans  le temps précise.

   En effet, le point de départ  et la fin de chaque impulsion peuvent être  réglés de façon très exacte grâce à l'utilisa  tion de deux jeux de     contacts    conjugués.  



  A     l'instant    de .fermeture des contacts     CKC     de l'ordre des unités du compteur 1, en  9   par exemple,     une    impulsion est transmise à  l'électro-aimant de rappel de l'ordre     des     unités     RIÏT        (fig.    48J) par l'intermédiaire d'un  circuit partant de la source positive P2       (fig.    48H) et passant à travers les contacts  C29, C30, C33,     R17F,    8148B, .9144B, 8146B,  par la connexion W27, à travers les     contacts          #C        (fig.    48J) de l'ordre     des    unités de  l'accumulateur 1,

       les        contacts        CR134D,     8126D, 8120A, 8193B et l'électro-aimant de  rappel de l'ordre des unités pour aboutir à la  connexion W2 et à la source négative     Nl.     Ainsi qu'on l'a expliqué au cours de la des  cription de la construction mécanique du      compteur, cette     impulsion    retire le bras 603  portant un cliquet et prépare l'ordre des  unités de     l'accumulateur    1 pour l'addition  d'une unité.

   Cette     impulsion    de départ est  produite à environ 45  .du cycle, à cause du  retard     expliqué    ci-dessus, et elle est immédia  tement     suivie        d'une    impulsion fournie à     l'élec-          tro-aimant    d'addition     A111    de l'ordre des  unités à partir des     contacts    C31 et C32.

   Cette  impulsion part de la source positive P2       (fig.    48H) et     passe    à travers les contacts C31,  C32, C34,     R17H,    8148D,     8144D,    8146D et       8126A,    à travers la     connexiôn    W32 et     l'élec-          tro-aimant    d'addition     A111    de l'ordre des unités       (fig.    48J) pour aboutir à la connexion W2 et  de là à la source     négative-N1.     



  L'impulsion  9  initiale transmise à la  roue de l'ordre des unités provoque égale  ment la fermeture     des    contacts AC     (fig.    32)  de la façon expliquée ci-dessus, et ces contacts  restent verrouillés en position fermée jusqu'à  la fin du cycle. Du fait de la fermeture de  ces contacts AC, l'électro-aimant de rappel       R117    de l'ordre     des    unités reçoit     ensuite    une  série d'impulsions à partir de la connexion  W28.

   Ces impulsions lui sont transmises à  partir des contacts R46B et à travers les con  tacts     CR134B,    la connexion W28, les contacts  AC de l'ordre des unités, les     contacts        8126I',     8122B, 8120A, 8193B et     l'électro-aimant        Rill     pour aboutir à la connexion W2.

   La première  partie de ce circuit est identique au circuit  initial passant par la connexion W27 et par  les     contacts        CKC.    La fermeture des contacts  AC a pour effet de relier la connexion     W27     au côté inférieur des contacts     CKC.    Il en ré  sulte que les électro-aimants     A11    et     RK    reçoi  vent dès lors alternativement des impulsions  à partir des contacts C29 à<B>032.</B> Ces impul  sions débutent par des     impulsions    désignées  par  8  à la     fig.    47B et se poursuivent jus  qu'à ce que chaque électro-aimant ait reçu  huit     impulsions,

      si bien que huit unités ont  été- ajoutées à l'ordre des unités de l'accumu  lateur 1. De façon semblable, des enregistre  ments sont- effectués     dans    tous les accumula  teurs au moyen des contacts     CKC    et AC asso  ciés à des ordres se trouvant dans des posi-         tions    correspondant à des chiffres significa  tifs. Les impulsions fournies aux électro  aimants d'addition     Aïll    sont     transmises    aux  accumulateurs respectifs par l'intermédiaire  des contacts 8126A, 8125A, 8156A et R1551  et des connexions W29 à W32.  



       Dtant    donné que les accumulateurs avaient  été remis à zéro au cours du troisième cycle  d'impression, aucun transfert à partir d'un  ordre quelconque à un ordre supérieur ne sera  nécessaire lorsque les totaux des compteurs 1,  16, 31 et 46 seront     imprimés.    Les     électro-          aimants    d'échappement ES des chariots se  ront excités au cours du quatrième cycle du  fait de la fermeture des contacts C44 vers la  fin de-ce cycle et les chariots avanceront jus  qu'à leurs positions de cinquième colonne.

   Le  cinquième cycle sera une répétition du cycle  précédent, avec la différence que les relais  <I>C84,</I>     CR   <I>7,</I> C88, C857 et C858 seront excités  pour relier les compteurs 2, 17, 32 et 47 au  mécanisme     d'impression    et que les totaux de  ces compteurs seront imprimés et enregistrés  dans les accumulateurs respectifs de la même       façon    que décrit ci-dessus.

   Cependant, au  cours de ce cycle, il peut es produire qu'un  report de dizaines ou un transfert soit néces  saire entre les différents ordres,     puisque    le  total du compteur 2 par exemple sera ajouté  au     total    du     compteur    1 qui se trouve alors  enregistré     dans    l'accumulateur 1.  



  Pour l'explication des circuits de report  de dizaines, on admettra que l'accumulateur  1 se trouve en 8 à l'ordre des unités et que  2 est ajouté dans cet ordre des unités, cette  valeur 2 étant fournie par l'ordre des unités  du compteur 2. L'addition de 2 à 8 a pour  effet de faire tourner la roue des     -unités    de  l'accumulateur 1 jusqu'en zéro, fermant ainsi  des contacts de report des dizaines<I>TC.</I> Les  contacts<I>TC</I> dont il s'agit en l'occurrence se  ront constitués par le quatrième jeu de con  tacts<I>TC</I> à partir de la gauche à la     fig.    48J.  La fermeture de ces contacts établit     suie    con  nexion à partir de la connexion W25 jus  qu'aux contacts 8193A du relais R193  de report à faible vitesse.

   K 216  du  cycle, après que la partie d'addition de ce      cycle soit achevée, les contacts C35     (fig.    47B)  se ferment et un circuit est établi à partir de  la source positive P2, à travers des contacts  C35 et R148E et les     enroulements    de relais  R193 à R196 jusqu'à la connexion W2, fer  mant ainsi les contacts R193A associés à tous  les ordres de l'accumulateur 1.

   Un circuit  peut     ainsi    être alors établi à partir de la  source positive P2, à travers des contacts  C36     (fig.    48H),     R17D,    la connexion W25 et à  travers les contacts de     dizaines   <I>TC</I> de l'ordre  des unités et les contacts R193A de     report    à  faible vitesse de l'ordre des unités et un élec  tro-aimant<I>ROI</I> pour l'ordre des dizaines de  l'accumulateur 1 jusqu'à la connexion     _W2.    La  fermeture de ce circuit a le même effet qu'une  impulsion d'addition.

   Immédiatement après,  l'électro-aimant     ADI    de l'ordre des dizaines  est excité à partir de contacts C37     (fig.        48H),     par l'intermédiaire de la connexion W32.  



  Ainsi, deux impulsions alternées sont four  nies aux     électro-aimants   <I>ROI</I>     et.E1.ilI    de l'ordre  des dizaines, ces     impulsions    étant séparées  d'une position de repère du fait de la com  mande dans le temps des contacts C36 et C37.  Une     -unité    est ainsi ajoutée dans l'ordre des  dizaines de l'accumulateur 1.

   Les relais R194,  R195 et R196 préparent les accumulateurs 2,  3 et 4 pour l'opération de report et des cir  cuits de report de dizaines sont formés à  travers les contacts de dizaines<I>TC</I> de tous  ces     accumulateurs,    de la même faon que dé  crit     ci-dessus,    la seule différence étant que les  impulsions     fournies    aux électro-aimants     ADI     des accumulateurs 2, 3 et 4 passent à travers  les     contacts        R125A,        R156A,    R155 A et les con  nexions W31, W30 et     W29    respectivement.  



  Si une roue d'accumulateur quelconque se  trouve en  9  et qu'un report à cette roue est  effectué à partir de la roue de l'ordre immé  diatement inférieur, le report est effectué par  l'intermédiaire des contacts de report de  dizaines<I>TC à la</I> roue de l'ordre qui se     trouve     en  9  et par     l'intermédiaire    des contacts de  neuf<I>NC</I> de cette roue à la roue de l'ordre  immédiatement supérieur à celui de ladite  roue qui se     trouve    en  9 . Supposons qu'à la        ig.    48J, l'ordre des dizaines se soit trouvé en     9  lorsque le report décrit a été effectué.

    Les contacts de neuf de l'ordre des dizaines  <I>NC,</I> qui sont constitués par le troisième jeu  de contacts depuis la gauche à la     fig.    48J, se  ront fermés lorsque la roue de l'ordre des  dizaines de     l'accumulateur    1 vient en  9 .

    Conséquemment, lorsqu'une impulsion     est     fournie à travers les contacts<I>TC</I> de dizaines  de la roue de l'ordre     des    unités, cette impul  sion ne parvient pas seulement à l'électro  aimant     Rlll    de l'ordre des dizaines, mais passe  également à travers les     contacts    de neuf NC  de l'ordre     des    dizaines à partir desquels elle  atteint l'électro-aimant     RM    de l'ordre des  centaines. Si l'ordre des centaines se trouve  également en  9 ,     une    troisième dérivation de  cette impulsion parvient à l'électro-aimant  <I>ROI</I> de l'ordre des milliers.

   Les     électro-          aimants   <B>AN</B> de tous les ordres     reçoivent    auto  matiquement une     impulsion    à travers les con  tacts C37 à chaque cycle d'impression, mais,  si l'électro-aimant<I>ROI</I> d'un ordre quel  conque n'est pas actionné,     l'impulsion.    trans  mise à     l'électro-aimant        AM    de cet ordre est  sans effet.  



  Il est maintenant opportun d'expliquer  que ces opérations sont effectuées de la même  faon lorsque des enregistrements sont direc  tement effectués à partir des fiches, du fait  du fonctionnement des tubes de retard V83 à  V114 des accumulateurs, ainsi qu'on l'a expli  qué plus haut. Cependant, on se rappellera  que l'addition s'étend pratiquement     sur    le  cycle complet lorsque les     enregistrements     sont effectués directement à partir des fiches.  Il est alors nécessaire que la     commande    dans  le temps des opérations de transfert soit dif  férente pendant un cycle d'avance de fiche.

    Lorsque les accumulations sont effectuées  sous commande des fiches, les douilles      AC           (PS46    et     PS47)    d'accumulation automatique       (fig.    41 et 48A) sont reliées entre elles par  un pont, maintenant     ainsi    le relais R147  excité. Les contacts R147D     (fig.    48H) sont  ainsi fermés.

   Des contacts C19 se ferment  tout à la fin du cycle d'avance de fiche et  excitent     les    relais R121, R122, R151 et R152  à travers un circuit partant de la source posi-           tive    P2     (fig.    4811) et passant à travers les  contacts     CLR2A,   <I>C19,</I> 8147D, R17L et à tra  vers les enroulements     desdits    relais pour  aboutir à la     connexion    W2 et de là à la source  négative     Nl.    Les relais susmentionnés ferment  leurs contacts 8122A pour l'accumulateur 1       (fig.    48J),     R121-4    pour l'accumulateur 2,  8152A pour l'accumulateur 3     (fig.    48L)

   et  8151A pour l'accumulateur 4. Les contacts  C19 et les relais R121, R122, R151 et R152       remplissent    ainsi les mêmes fonctions que les  contacts C35 et que     les    relais R193 à R196,       mais    à un     instant    différent du cycle.  



  Les contacts C20 correspondent. en fait  aux contacts C36 qui fournissent une impul  sion à la connexion W25 pour les contacta TC  de report des dizaines. Le circuit des contacts  C20     est        formé    à partir de la source positive  P2     (fig.    48H) par l'intermédiaire des con  tacts     CLR2A,        LC1,        LC2,    C20, 8147E et  817E et aboutit à la     connexion    W25.  



  Des     contacts        LC3   <I>et</I>     LC4    correspondent,  en ce qui concerne leur fonctionnement,     aux     contacts C37 et se ferment à environ     18           (fig.    47A) pour exciter les électro-aimants  <I>AM</I> pour l'opération de report.  



  Après que     les    opérations de report ont  été achevées au cours     d'un.    cycle d'impression,  les     contacts    C47 se ferment à environ 260  et  forment un circuit     partant    de la connexion  W1     (fig.    48H) et     passant    à travers les con  tacts C47, des contacts     R17J,    une connexion  W33 et tous     les    électro-aimants     CRM    en pa  rallèle     (fig.    48J et     48L),    pour aboutir à la  connexion W2.

   Les     ordres    de l'accumulateur  sont ainsi     préparés    pour recevoir les enregis  trements     subséquents    par la libération     des     verrous 628     (fig.    28), ce qui entraîne l'ouver  ture des contacts d'addition<I>AC</I>     (fig.    32) et  le déclenchement des     contacts    de dizaines TC       (fig.    34), ainsi qu'on l'a expliqué au cours de  la description de la     construction    mécanique  des ores d'accumulateur.

   Au cours d'un  cycle d'avance de fiche, la même fonction est       remplie    par     les    contacts C21     (fig.        48H)    qui  ferment un circuit à partir de la source posi  tive     P2,et    à travers les contacts     CLR2A,   <I>C21,</I>    <I>8147C</I> et     R17.9,    ce circuit aboutissant à la.  connexion W33.  



  Admettons pour l'instant que la machine  soit en train de faire avancer des fiches et  que des enregistrements sont effectués dans  les accumulateurs 2 et 4 sous commande de  ces fiches. L'excitation sélective et commandée  dans le temps de relais d'addition quelcon  ques 8127P à 8130P     (fig.    481 et 48J) ou  8157P à 8160P     (fig.    48K et 48L), dans le but.  de représenter des valeurs de chiffres, provo  que l'excitation des électro-aimants     RM    des  accumulateurs 2 et 4 par l'intermédiaire des  connexions     yY37    et W38.

   Les impulsions d'en  registrement de chiffres s'écoulent à     travers     des     circuits        partant    de la source P2     (fig.        481t),     par l'intermédiaire de contacts     LC2,        LC1,     <B>018,</B> 8147A,     R17G,        R148B,        R144B,    8146B,  de la connexion W27, et de contacts quelcon  ques parmi les contacts 8127A à 8130A       (fig.    48J) ou 8157A à 8160A     (fig.    48L), des  connexions W37 ou W38, de contacts 8125D,  8119A,

       8194B        (fig.    48J) ou 8155D, 8149A,       8196B        (fig.    48L) et des électro-aimants     8i17     jusqu'à la connexion W2.  



       Les        contacts   <I>AC</I> des ordres dans     lesquels     des enregistrements sont effectués sont alors  fermés et relient les électro-aimants     R111    de  ces ordres à la connexion W28 pour permettre  à ces ordres de recevoir des     impulsions    subsé  quentes fournies aux électro-aimants<I>RH</I> de  la façon décrite     ci-dessus    en -référence à l'ad  dition au cours d'in cycle d'impression.

       Les     impulsions successives pour les électro-aimants       Rill    sont     dans    ce cas     transmises    à partir de  la source positive Pl     (fig.    48H) et par l'inter  médiaire des contacts     LC2;        LC1,    C18, 8147A,  <I>817G,</I> 8148B,<I>8144B,</I> 8146B et     CR134B,    ce  circuit aboutissant à la connexion W28.

   Les       impulsions    fournies aux électro-aimants AM  seront transmises à travers un circuit partant  de la source positive P2     (fig.        48H)    et passant  à travers les contacts     CLR2   <I>A,</I>     LC4,        LC3,     8147B,<I>R171, 8148D,</I> 8144D, 8146D, 8126A,  8125A, 8156A et 8155A et à travers les con  nexions W32, W31, W30 et W29 et les     élec-          tro-aimants        AIIÏ    pour aboutir à la     connexion     W2.

        Au cours du cinquième cycle d'impression,  les électro-aimants d'échappement     ES    des  chariots sont excités et les chariots avancent  jusqu'à leurs positions respectives de colonne  6, excitant les relais<I>C85, C89,</I> C810,     C859     et C860, et le cycle précédent est ensuite ré  pété. Les cycles restants,     jusque    et y compris  le dix-huitième cycle au cours duquel les to  taux     contenus    dans les compteurs d'unités 15,  30, 45 et 60 sont     imprimés,    se déroulent de la  même faon que les cycles 4 et 5.  



  Au cours de l'un des quinze cycles pen  dant lesquels les totaux contenus dans les  compteurs d'unités sont imprimés, il peut se  produire que l'un de ces compteurs soit con  necté par des connexions à fiches pour effec  tuer une opération de soustraction. Ainsi  qu'on l'a dit plus haut, le compteur     d'unités:    1  est connecté pour fonctionner comme comp  teur de total, pour compter le nombre -total de  fiches passant par la machine.

   Par consé  quent, le total contenu     dans    le compteur  d'unités 1 à la. fin d'une série d'opérations  d'avance de fiches peut être égal au grand  total ou total général des compteurs     restants.     Si le total contenu dans le compteur 1 était  ajouté de faon positive dans l'accumulateur 1  dans ces conditions, pour être finalement  transféré dans     l'aceiunulateur    4 pour un con  trôle par sommation décalée, il serait impossi  ble d'effectuer de façon correcte la totalisa  tion et la sommation décalée des totaux con  tenus dans les compteurs restants.

   Pour  tourner cette difficulté, le total contenu dans  le compteur 1 est enregistré dans l'accumula  teur 1 par une opération de soustraction, si  bien qu'après cet enregistrement, cet accumu  lateur contient le complément de neufs de ce  total et que les totaux des compteurs 2 à 15  sont ensuite ajoutés à ce complément.  



  Pour effectuer la 'soustraction du total  contenu dans le compteur 1 dans l'accumula  teur 1, ce compteur est connecté pour la sous  traction en insérant un pont entre les douilles  <I>PS32</I> et PS52 associées au compteur 1. Ces  douilles sont constituées par la paire extrême  gauche représentée à la     fig.    48F, le chiffre 1  figurant. entre ces douilles, ou par la paire    extrême gauche     clés    deux rangées supérieures  à la fi-. 41, à laquelle     ces    deux douilles sont  reliées verticalement entre elles par une flèche  le long de laquelle figure l'abréviation      SUB .     



  Lorsque les chariots se déplacent à partir  de la colonne 3 jusqu'à la colonne 4, après le  troisième cycle d'impression, le relais     CR3          (fig.    48F) de commande de soustraction     est     excité en même temps que les relais CRI,  C82, C851 et<I>C852.</I> Le relais R126 .de sous  traction de l'accumulateur 1 est ainsi excité à  travers un     circuit    partant de la source posi  tive P2 et passant par les     contacts    C38,     817E1,     8142D,     R15C,    par l'inverseur     !1152    et les con  tacts C39, par le pont inséré entre les douilles       PS32    et     PS52,

      par les contacts     CR3A    et par  le relais R126 pour aboutir à la connexion W2  et à la source négative     Nl.    Le relais R143 est  également<B>-</B>excité en parallèle avec le relais  R126 pour préparer le circuit d'espacement  des     cliariots    de la façon décrite plus haut. -Le  relais R126 ferme ses contacts 8126B       (fig.    48H) et relie la connexion W32 de  faon qu'elle soit commandée par les contacts  C29 et<B>030,</B> si bien que les     électro-aimants     d'addition     11l1    de l'accumulateur 1     (fig.481)     recevront des impulsions dès le début du cy  cle.

   Les contacts 8126C se ferment     (fig.    48J)  et relient les contacts     CKC    de     l'accumulateur     1 à l'électro-aimant de soustraction<I>SOI.</I>  



       Les        contacts        8126L'    se ferment également  et relient tous les contacts de soustraction SC  de l'accumulateur 1 aux électro-aimants de  rappel     Rill.    Ceci a pour effet d'exciter -tous  les électro-aimants de rappel de l'accumula  teur 1 en les reliant entre les connexions W26  et W2.

   On remarquera que la connexion W26       (fig.    48H) est reliée à la source positive P2  par l'intermédiaire des     contacts    C34, C31 et  C32.     Etant    donné que les contacts C31 et C32  ont pour effet l'émission d'un train d'impul  sions, il est évident que les     électro-aimants    de  rappel     8l11    sont excités alternativement avec  les électro-aimants d'addition AH, si bien  que toutes les roues de l'accumulateur 1 se  mettent     immédiatement    à tourner, étant avan  cées par     un.    effet de rochet et de     cliquet    pour  tourner de façon continue.

        Admettons que la valeur  $  se trouve à  l'ordre des unités du compteur 1 et que les       contacts        CKC    de l'ordre des imités se fer  ment, comme décrit ci-dessus au cours du  quatrième cycle, pendant l'opération d'impres  sion du total contenu dans le compteur 1. Au  lieu de fermer un circuit aboutissant à     l'élec-          tro-aimant    de rappel     RIÏI    de l'ordre des uni  tés, comme décrit     ci-dessus,    un circuit est  fermé     jusqu'à    l'électro-aimant     SIÏI    de sous  traction de l'ordre des unités.

   Ce circuit part  de la connexion     1V27        (fig.    48J). et passe à  travers les contacts     CKC    de l'ordre des unités,  les contacts     CR134D,    R126C et à travers       l'électro-aimant        SAI    pour aboutir à la con  nexion     W2.    L'excitation de     l'électro-aimant          SIhI    de l'ordre des unités provoque l'ouverture  des     contacts    de soustraction SC, ces contacts  interrompant la transmission     d'impulsions     subséquentes à l'électro-aimant     R11    de cet  ordre,

   à partir de la connexion     'Y26.     



  La commande dans le temps est telle que  l'électro-aimant     SDI    n'est excité qu'après que  les     électro-aimants   <I>ROI</I> et     9.D1    de l'ordre des  unités ont reçu chacun une     impulsion,    autre  ment dit après que le     chiffre     1  a été ajouté  à la roue de l'ordre des unités. Cependant, la  valeur  8  sera imprimée par la barre de ca  ractères de l'ordre des unités de la batterie  d'impression 1. De façon semblable, les autres  chiffres du total contenu     dans    le compteur 1  seront     imprimés    et le complément de     neufs     de ce total sera enregistré dans l'accumula  teur 1.  



  Lorsque les chariots avancent jusque dans  leurs     positions    respectives de colonne 5, le re  lais R126 cesse d'être excité et l'opération sui  vante est une opération d'addition, comme on  l'a     expliqué    ci-dessus.  



  Ainsi qu'on l'expliquera plus loin lors  qu'on décrira les opérations de sommation dé  calée qui sont effectuées     comme    contrôle de  l'exactitude de la     tabulation,    lorsque le com  plément contenu dans l'accumulateur 1 est  débité .dans les totaux contenus dans les  autres accumulateurs, cela aura pour effet  d'amener     l'acciunulateur    4 en  9 , dans cha  cun de ses ordres, et ceci est contrôlé au    moyen     d'un.    circuit comprenant les relais  R13P et     R14P.    Lorsque l'état de cet accumu  lateur 4 est trouvé correct, l'avance des     fiches     recommence automatiquement.  



  Après l'impression des totaux contenus  dans les compteurs 15, 30, 45 et 60, au cours  du dix-huitième cycle, les chariots avancent  jusqu'à leurs positions respectives de     dix-          neuvième    colonne et l'inverseur     IUS2    est  actionné par la butée     marginale    de droite 461,  représentée à gauche à la     fig.    20.

       Unë    série  de trois cycles de sommation décalée et de re  mise en place est ainsi provoquée et se dé  roule avant que les chariots ne soient ramenés  en place et qu'un espacement de ligne ne soit  effectué pour préparer la machine pour une  nouvelle série d'opérations d'avance de fiche  et de     tabulation    de données pour une nouvelle  série de fiches.

   Un circuit est formé à  partir de la source positive P2     (fig.    48F) et  à travers les contacts<I>C38,</I>     R17A,        R142D    et       R15C,    les contacts inférieurs de l'inverseur       IIIS2    et les contacts R12C et à travers les re  lais     R144P    et     R145P.    Ces deux relais com  mandent le débit dans l'accumulateur 2 du  total contenu dans     l'acciunulateur    1 et le débit  dans l'accumulateur 4 du     total.    contenu dans  l'accumulateur 3.  



  Des relais     R2T    à     R5T,        R7T    et R69T à  <I>R69T</I>     (fig.    48E) sont excités au même instant  en parallèle avec les relais<I>R144P</I> et     R145P,     par     l'intermédiaire    de la connexion     'V23,    et  provoquent la remise en place des relais de  comparaison verrouillés et des relais d'indica  tion de groupe. On se rappellera que ces re  lais avaient été excités au     cours    du premier       çycle    de fiche pour emmagasiner le nombre  de groupe sous commande des tubes d'indica  tion de groupe.

   Les fonctions des relais de  comparaison R69P à R80P seront expliquées  ci-après en référence à des exemples parti  culiers.  



  L'excitation des relais R144P et     R1.45P    a  pour effet la fermeture des contacts     R144E          (fig.    48J), reliant ainsi les bandes communes  de lecture 636 de l'accumulateur 1 aux élec  tro-aimants de rappel<I>RAI</I> de l'accumulateur 2  par     l'intermédiaire    de connexions W37, tandis      que la fermeture de contact R145E     (fig.    48L)  a pour effet de relier les bandes de lecture de  l'accumulateur 3 aux électro-aimants de rap  pel<I>ROI</I> de l'accumulateur 4 par l'intermé  diaire de connexions W38.

   Au cours du     dix-          neuvième    cycle, l'émetteur d'impression PE  fonctionne pour envoyer des impulsions au  travers des     commutateurs    de lecture de     l'aceu-          mulateur    1 aux électro-aimants de rappel     R11     de l'accumulateur 2, et à travers les commuta  teurs de lecture de l'accumulateur 3     aux    élec  tro-aimants de rappel     Rz41    de l'accumulateur  4, de la même façon que celle qui a été décrite  en référence à l'impression de totaux à partir  des accumulateurs.  



  Un circuit typique peut être     suivi    à partir  de la source positive P2     (fig.    48H) et à tra  vers les contacts C29 et C30, le balai 786 et  l'un des segments 785 de l'émetteur PE, l'un  des contacts correspondants normalement  fermé     R148G,    l'une des connexions communes  d'un segment 635, par exemple de l'ordre des       imités    de     l'accumulateur    1     (fig.    48J), la bande  commune 636 de cet ordre, les contacts R124B  et     R144E,    la connexion des unités W37, les  contacts     R125D,        R119A    et R194.4,

   et l'électro  aimant de rappel     RJÏI    de l'ordre des unités de       l'accumulateur    2, jusqu'à la connexion W2 et  de là à la source négative N1.  



  La formation de ce circuit provoque l'opé  ration d'addition de la même façon que décrit       ci-dessus,    si bien qu'une valeur quelconque  qui s'était trouvée dans l'ordre des unités de       l'accumulateur    1 est transférée à l'ordre des  unités de l'accumulateur 2 pour y être ajoutée  à la valeur que contenait cet accumulateur.

    Par exemple, si l'ordre des unités de l'accu  mulateur 1 se trouvait en  9 , le circuit  aboutit à la connexion supérieure ou con  nexion  9      (fig.    48J) et enregistre un  9   dans l'ordre des unités de     l'aectunulateur    2  en provoquant l'émission d'un train de neuf  paires d'impulsions transmises à chacun des  électro-aimants     Rlil    et     ADI    de cet ordre.

   De       facon    semblable, des enregistrements sont  effectués dans les     ordres    de l'accumulateur 4  sous commande des commutateurs de lecture  de l'accumulateur 3.     Dans    ce cas, ce transfert    est effectué par l'intermédiaire des contacts  R145D et des     -connexions        W38.     



       Après    que     les    opérations d'addition ont  été effectuées, peu avant la fin du dix-neu  vième cycle, les     contacts    C43     (fig.    48F) fer  ment un circuit reliant les relais     R9P,    R11P  et<I>R12P</I> à la source P2, par l'intermédiaire,  des     contacts        R20F    et     R145C.    Les relais     R9P,     R11P et<I>R12P</I> sont des relais à     verrouillage     dans     lesquels    les .contacts restent verrouillés  en position actionnée jusqu'à ce que les enrou  lements de déclenchement     R9T,

     <I>R11T</I> et,  <I>R12T</I> soient excités.  



  Le relais 812P ferme ses\ contacts 812B'       (fig.        48r)    et excite le relais de commande de  rouleau R146.     Les    relais     R143H,        R144FI    et       R145H    cessent d'être     excités    lorsque des     con-,     tacts C42 s'ouvrent près de la fin du cycle, et  l'avance des chariots     est    supprimée.

   Le re  lais     R146        (fig.    48J) ferme ses contacts R146E       (fig.    48J) pour relier les connexions     -W38    aux  commutateurs de lecture de     l'accumulateur    2  réunissant ainsi     ces    commutateurs aux     électro-          aimants        Rlll    de l'accumulateur 4.    La machine effectue alors un autre cycle  pour transférer le     total    compris dans l'accu  mulateur 2 dans     l'acciunulateur    4.

   Ainsi, à la  fin du vingtième cycle, l'accumulateur 4 con  tient le total général de tous les totaux     séparés     des compteurs 2 à 60 plus le total du comp  teur 1 qui avait été enregistré dans l'accumu  lateur 1 au .cours du quatrième cycle d'im  pression par une opération de soustraction.       Etant    donné que ce dernier total avait été en  registré sous forme d'un complément de neufs,  et puisque le total des compteurs 2 à 60 de  vrait être égal au total du compteur 1, l'accu  mulateur 4 devrait se trouver en  9  pour  chacune de ses roues.

   Cela signifierait que  l'opération de sommation décalée     s'est    dé  roulée avec     succès    et qu'il n'y a par consé  quent pas eu d'erreurs au .cours du     comptage     dans les différents     compteurs    ou de l'impres  sion et du transfert     des    totaux.  



  Afin de vérifier cet état au cours du ving  tième cycle, une impulsion est     transmise    au  travers     des    quatre ordres de     l'accumulateur    4      dont les bandes communes 636 et les segments   9  635     sont    branchés en série dans ce but  par l'intermédiaire de contacts     R11A,    R110  du relais R1111. On se rappellera que ce re  lais avait été excité -en même temps que le  relais R146, à la fin du cycle 19.

   Cette impul  sion  9  part de la connexion     Wl        (fig.    48L)  et passe à travers les contacts C49 et     R12D.     De là, elle passe en série à travers les contacts  811A et R11C et par tous les segments  9   635 et les bandes communes 636 de l'accumu  lateur 4, la connexion W36 et les relais R1311  et<I>R1411</I>     (fig.    48K) pour aboutir à la con  nexion W2.

   L'excitation de ces relais au cours  du vingtième cycle a pour effet de fermer les  contacts     R14A        (fig.        48C)    et permet de faire  automatiquement recommencer l'avance de  fiches de la faon décrite ci-dessus lorsque les  contacts C35     (fig.        48H)    se ferment pendant le  vingt et unième cycle     d'impression.        Etaut     donné que les relais     1111R,   <I>R6, C86, R17</I> et R21  sont encore excités; un vingt et unième cycle  se déroule, au cours duquel les accumulateurs  sont remis en place avant que l'avance de  fiches ne reprenne     automatiquement.     



  Pendant le vingtième cycle,     des    contacts  C44 ferment un circuit aboutissant aux relais  à verrouillage 815P et R1611 par l'intermé  diaire des     contacts        R12A,    pour préparer ces  ; relais de façon qu'ils arrêtent la série de cy  cles d'impression, qu'ils fassent automatique  ment reprendre l'avance de fiches et ramènent  les     acciunulateurs    à zéro.

   Des     contacts    C38       (fig.    48F) se ferment tout à la fin du cycle 20  ;     (fig.    47B) et excitent les relais de remise en  place R119, R120, R140, R149 et R150, à par  tir de la source P2 et à travers les contacts  C38,     R16B,        R15D,        R14D,    les relais . R119,  R120, R148, R149 et     R150    étant, d'autre     part,     ; reliés à la connexion W2 et à la source N1.

    Ces derniers relais ont pour effet la remise en  place     es    accumulateurs pendant le cycle 21,  de la façon décrite     ci-dessus    en référence au  cycle     d'impression    3.  



  ; Les     enroulements    des     relais   <I>R11T</I> et<I>R12T</I>       (fig.    48F) sont excités pendant le cycle 21 à  travers des contacts     R201',    8145B et     R15B,     ramenant ainsi les relais à     verrouillage    R1111         et   <I>R1211</I> à l'état non verrouillé. Pendant ce  cycle, les contacts C29 et C30     (fig.    48H) et  C45     (fig.        48K)    ferment un circuit passant à  travers     les    contacts R20G et R1511 et aboutis  sant aux relais R14211 et R19711.

   Des contacts  8142A     (fig.    48A) sont. ouverts à environ 180   de ce cycle et     les    contacts C46 s'ouvrent. à en  viron 288  pour supprimer l'excitation des re  lais R6, 8l7 et R21 et de l'électro-aimant  d'embrayage d'impression     PCH.    Des con  tacts C2     (fig.    48P)     maintiennent    cependant le  relais     CR6    attiré pendant encore un demi  cycle pour     assurer    que le moteur     IVll    tourne  encore assez     longtemps    pour achever l'opéra  tion de retour des chariots.

   Il est évident que  des cycles     d'impression    subséquents ne peu  vent pas suivre automatiquement à la fin du  vingt et unième cycle.  



  Les     contacts    C44     (fig.    48D) ferment un  circuit aboutissant aux     électro-aimants   <I>CRS</I>  de retour     des    chariots et aux enroulements de  déverrouillage<I>R15T</I> et<I>R16T</I> au cours du  cycle 21, pour ramener les chariots et pour  remettre les relais R1511 et R1611 en position  normale. A 300  environ du cycle 21, des con  tacts 049     (fig.    48L) ferment un circuit abou  tissant aux enroulements<I>8142T</I> et<I>8197T</I> par  l'intermédiaire des     contacts        R6C,    pour rame  ner en position normale les relais R14211 et  8197P.  



  Les contacts C35 se ferment à environ 215   du cycle 21 et font recommencer l'avance de       fiches,    à condition que des fiches se trouvent.  dans le magasin H. Les relais R1311 et R1411  sont remis en place par fermeture des con  tacts C43, après que les     contacts    C35 ont fait  recommencer les     opérations    d'avance de fiches.  Des relais de commande de zéro 8189P et  8190P sont également excités à ce moment-là.  



  En admettant que l'accumulateur 4 se soit,  trouvé en  9  lorsque     l'impulsion    de contrôle  a été envoyée à travers les dispositifs de lec  ture pour exciter les relais R1311 et R1411, des  circuits sont alors formés pour provoquer       l'impression    d'un  0  dans chacune des co  lonnes désignées par un      *         (fig.    42) pendant  le cycle 21.

   Ce circuit part de la source P2 et       passe    à travers les contacts C30 et C29           (fig.    48H), C45     (fig.    48K) et R13A pour  aboutir aux électro-aimants     P111    des ordres des  centaines de toutes les batteries     d'impression          (fig.    48M et 48N). Cela signifie que les to  taux figurant sur la première ligne fournis  sent une sommation décalée correcte.  



  Si     ces    totaux ne fournissent pas une som  mation décalée correcte et que les relais  <I>R13P</I> et R14P ne sont pas     excités    pendant le  cycle 21, des relais R15 et R16 sont alors  excités, comme décrit ci-dessus, pour faire  arrêter la suite de cycles d'impression.     Dtant     donné que     les    contacts R14D     (fig.    48F) sont  alors ouverts, les relais R119, R120, R148,  R149 et R150 ne peuvent être excités et les  accumulateurs ne seront pas remis en place  pendant le cycle 21. Des contacts R14A       (fig.        48c)    empêchent le recommencement  automatique de l'avance de fiches lors de l'ar  rêt du mécanisme d'impression.

   Des contacts  R14B     (fig.    48D) empêchent le retour des cha  riots. Les relais R11P et<I>R12P</I> seront remis  en place en     excitant        leurs        enroulements    de  verrouillage<I>R11T</I> et<I>R12T</I>     (fig.    48F), comme  auparavant.  



  Un cycle d'impression doit alors être pro  voqué à la main pour imprimer le total con  tenu clans     l'acciunülateur    4, puisque cet accu  mulateur contient une quantité différente. de   9 . I1 est cependant possible que cet     acc-Lunu-          lateur    se trouve en zéro. Avant de provoquer  ce cycle d'impression, l'opérateur insère une  feuille de papier     par-dessus    la feuille de tra  vail et en regard de la batterie d'impression  3, pour recevoir le total.  



  En appuyant sur la. clé d'impression     PK          (fig.    48A), l'opérateur excite le relais R20,  et la fermeture     des    contacts R20A excite le  relais R21 et fait débuter le cycle d'impres  sion de la façon décrite     phis    haut: Les contacts  <I>R20D</I>     (fig.    48F) provoquent l'excitation du  relais R153 à partir de la source P2 et à tra  vers les contacts C38,     R17A,        R16B,        R15D,          R9E    et     R20D,    ce relais R153 étant, d'autre  part, relié à la connexion.     W2    et à la source  N1.

   Les contacts R153C     (fig.    48L) sont ainsi  fermés pour relier la batterie d'impression 3  aux dispositifs de lecture de l'accumulateur 4    et le total     est    imprimé.. Les contacts R20G       (fig.    48K) empêchent l'excitation des relais  R142P et R197P pendant ce cycle.  



  Les contacts R20E permettent aux con  tacts C43 d'exciter le relais à verrouillage R9  près de la fin du cycle, et ce relais     verrouille     les contacts     R9A,        R9B,        R9D    et     R9F    en posi  tion fermée.. Les relais de remise en place  R119, R120,     R148,    R149 et R150 sont ainsi       excités    et tous les accumulateurs sont .remis  en place de la faon décrite phis haut.

   Les re  lais R142P et R197P ont pour effet de rame  ner les chariots et de remettre     en-    place les re  lais R15P et     R16P.    Le relais R20 cesse d'être  excité en même temps que les relais R6, R17  et R21, lorsque l'excitation de ces relais est  interrompue pour arrêter le     fonctionnement     du mécanisme     d'impression.    Au cours d'une  série de cycles d'impression, cette suite de  cycles peut être interrompue en appuyant sur  la clé d'arrêt     SPK.    On ouvre ainsi des con  tacts R18A interrompant l'excitation des re  lais R6, R17 et     R21    au moment où les con  tacts C46 s'ouvrent.  



  La lampe de     signalisation    d'édition<I>EL</I>  est allumée chaque fois que la machine s     :a:r-          rêtë    après que le circuit pour -les relais R13  et     R14    n'a pas pu être établi au cours d'une  opération de contrôle de neufs de l'accumula  teur 4. Cette lampe est allumée du fait que le  relais R21     cesse    d'être excité, tandis que le re  lais R16 est verrouillé et maintient fermés ses  contacts R16A     (fig.    48B).  



  La lampe de signalisation de      triage-com-          paraison         SCL        (fig.    48B) s'allume chaque  fois que le relais R25 est excité du fait qu'une  fiche n'a pas été triée correctement et la  lampe de signalisation d'édition<I>EL</I>     s'allume     également lorsque le relais R8 est excité du  fait que les connexions à fiches  Stop  ou   Rejeter stop      ( RS )    sont efficaces.  



  La lampe d'impression<I>PL</I>     s'allLune    lors  que la commande pilote      9lI     est efficace  (relais R23), ou lorsque le compte de fiches  atteint 9999 (relais     R17P),    à condition que  les chariots aient été ramenés en position ini  tiale<B>(fi-.</B>     2A,    2B et 20). L'opérateur est ainsi  averti qu'il a à effectuer une suite de cycles           d'impression    avant de     contintïer    à faire avan  cer davantage de fiches.  



       .Afin    de     simplifier    l'explication des opéra  tions     d'impression    du total à partir des accu  ;     mulateurs    2 et 4, pendant le second cycle       d'impression    de la machine, on avait admis  que les contacts R189A et     R190A        (fig.    48E)       des    relais de commande de zéro étaient fermés,  si bien que     les    relais de zéro R191 et     R192    de  o     vaient    être     excités    lors de la fermeture des       contacts    C48.

   On avait également admis que  les totaux     accumulés    dans les accumulateurs  2 et 4 pendant les cycles d'avancé de fiches  dépassaient la capacité des accumulateurs 2  et 4, ce qui serait normalement le cas si un       très    grand nombre de fiches comprenant de       grandes    quantités     poinçonnées    dans     ces    fiches  étaient analysées, un surplus étant alors tou  jours fourni à     partir        des    ordres supérieurs       des    accumulateurs 2 et 4 aux ordres des  unités des     acciunulateurs    1 et 3.

   Il est cepen  dant très possible qu'une  course  ne com  prenne     qu'un    relativement faible nombre de  fiches, ces fiches ne contenant que relative  ; ment peu de valeurs et ces valeurs ou données  étant relativement faibles et pouvant être  accumulées dans les accumulateurs 2 et 4, si  bien que les totaux pourraient être     inférieurs     à quatre chiffres. Dans ce cas, il     n'est    pas clé  (     sirable    d'imprimer un zéro à l'ordre des mil  liers de la colonne 2 de la section de feuille  de travail.  



  Du fait que     deux    accumulateurs sont com  binés pour former un grand accumulateur de  huit ordres et que les barres de caractères  sont divisées en quatre groupes séparés, aucun  dispositif mécanique     n'est    prévu pour impri  mer automatiquement des zéros aux ordres  des milliers     des    accumulateurs 2 et 4 lorsque       j    les barres de caractères des batteries d'im  pression 1 et 3 correspondant aux     ordres    des  imités des     acciunulateurs    1 et 3 sont dépla  cées pour imprimer un chiffre significatif au  cours du premier cycle;

   les relais de zéro  R191 et R192 sont     prévus    pour provoquer       l'impression    automatique de zéros dans les  ordres adjacents inférieurs des colonnes 2 des  sections de     feuille    de travail correspondant aux    ordres supérieurs des accumulateurs 2 et 4  pour lesquels une barre de caractères n'a pas  été déplacée pour l'impression d'un chiffre  significatif. Si la machine ne présentait pas  cette caractéristique, un total général tel que   80678  serait imprimé sous la forme de   8 678 , et il serait alors nécessaire d'inter  préter mentalement la feuille de     travail,    de  manière à suppléer au zéro manquant, cha  que fois qu'on étudie cette feuille, ce qui en  traînerait naturellement de fréquentes con  fusions.

   Les relais de zéro R191 et R192 pro  voquent     l'impression    automatique de zéros       manquants    dans les ordres supérieurs. Si la  valeur accumulée dans les accumulateurs 2  ou 4 pendant la course de fiches était par  exemple  0678 , il n'est pas désirable que le  premier zéro soit imprimé.  



  La machine est disposée de     -façon    à être  normalement mise en place pour supprimer  l'impression de zéros sous commande     des    re  lais R189P et     R190P,    de     façoi=    que la com  mande d'impression mécanique automatique  de zéro effectuée par les barres de caractères  soit seule efficace pour imprimer     des    zéros.

    Cette commande mécanique de zéro ne peut  cependant pas être utilisée pour l'impression  de zéros dans une quantité telle que  80678 ,  parce qu'il n'y a pas de relation mécanique  entre les barres de caractères des ordres supé  rieurs respectifs des     batteries    d'impression 1  et 3 et les     barres    de caractères des ordres infé  rieurs qui pourraient. provoquer l'impression  d'un zéro dans l'ordre supérieur pendant. le  second cycle, conjointement avec l'impression  de la seconde moitié du total.  



  Les relais R189P et R190P sont des relais  à verrouillage et, à l'instant auquel les enrou  lements de déclenchement     R13T    et<I>R14T</I>       (fig.    48F) des relais de contrôle de neufs  R13P et R14P sont excités pour déverrouiller  les relais à verrouillage<I>R13P</I> et     R14P,    les  relais R189P et R190P sont excités. Ces relais  ouvrent leurs .contacts     R189A    et R190A pour  empêcher l'excitation normale des relais R191  et R192 au cours d'un cycle d'impression, et  ces relais restent dans cet état pendant que  les fiches sont avancées et que les     quantités         contenues dans ces fiches sont enregistrées  dans les     ,accumulateurs    sous commande des  fiches.

   Les relais     8189.P    et 8190P ferment les  contacts 8189B     (fig.    48J) et 8190B     (fig.    48L),  de façon à relier les enroulements de déclen  chement 8189T et 8190T en parallèle avec les  électro-aimants de rappel     Rill    des ordres des  unités respectifs des accumulateurs 1 et 3.  



  Pendant l'accumulation de postes à partir  des fiches, si l'ordre des milliers de l'un des  accumulateurs 2 ou 4 ou des deux passe par  zéro, un transfert est effectué à l'ordre des  unités des accumulateurs 1 ou 3 ou     des    deux.  Les électro-aimants de rappel     Rill    sont ainsi       excités    pour provoquer l'addition d'une unité  à l'ordre des unités de l'un des accumulateurs  1 ou 3 ou des deux.

       Simultanément,    l'enroule  ment de déclenchement du relais associé  <I>8189T,</I> 8190T est excité et ramène l'un ou  l'autre ou les deux de ces relais en position  normale, refermant l'un ou l'antre ou     les     deux contacts 8189A et 8190A et permettant  à l'un ou l'autre ou aux deux relais R191 et  R192 d'être excités pour préparer le second  cycle d'impression. Si l'un de ces relais est  excité, il     ferme    les circuits     .d'impression    de  zéro par     d'intermédiaire    des contacts respec  tifs 8191A et 8192A, et des zéros sont auto  matiquement imprimés par les batteries d'im  pression 1 et 3 pendant le second cycle.

   Ce  pendant, si aucun transfert n'est effectué à  l'un quelconque ou aux     deux    ordres des mil  liers respectifs des     accumulateurs    2 et 4, l'un  ou l'autre ou les -deux enroulements de déclen  chement 8189T et 8190T ne sont pas excités  et celui ou ceux des relais     correspondants     R191 et R192 ne sont pas excités, si bien que  l'impression électrique de zéros dans l'une ou  l'autre ou dans les deux batteries 1 et 3 est  supprimée, la     commande    mécanique automa  tique de zéro restant     .cependant    efficace.  



  Des moyens sont prévus pour effectuer  un     poinçonnage    de relevé des totaux contenus  dans les compteurs 1 à 15 au cours d'une  suite de cycles d'impression se déroulant de  la manière décrite. Les fiches d'enregistre  ment ne contiennent chacune que 80 colonnes  et, du fait que chaque compteur d'unités a    une     capacité    de quatre chiffres, il faudrait  240     colonnes    pour enregistrer tous les totaux       contenus    dans les compteurs 1 à 60, et 12  colonnes     supplémentaires    pour enregistrer     les     totaux contenus dans les accumulateurs 1 à 4  ainsi que le nombre de groupe.

       Pour    cette rai  son, la capacité de la machine pour le poin  çonnage de totaux est limitée à 15 compteurs,  aux totaux contenus dans     les    accumulateurs 1  et 2 et au nombre de groupe.  



  Pour poinçonner les totaux, un dispositif       IBlll    normal de poinçonnage de reproduction  actionné par un moteur et commandé par des       touches    est utilisé. Ce dispositif est équipé  d'un émetteur de chariot de poinçonnage     PCE          (fig.    48X) pourvu de contacts     PHC    de maga  sin de poinçonnage     (fig.        48w)

      semblables en  principe aux contacts     HC    et de contacts de  levier de fiche de poinçonnage     PCLC    qui sont       disposés    au poste de poinçonnage et qui res  tent fermés chaque fois qu'une partie quel  conque d'une fiche se trouve à ce poste de  poinçonnage.  



  La machine est également     pourvue    de con  tacts -de départ     automatiques   <I>ASC</I> dont la  fonction sera expliquée plus loin. Lorsque la  machine est utilisée, son dispositif -de poin  çonnage .de relevé étant efficace, les douilles        SP         PS62    et     PS63    sont reliées entre elles  par un pont     (fig.    41 et     48A).    Le relais R198  est ainsi excité et ouvre ses contacts 8198A,

    branchant ainsi les     contacts    de magasin de  poinçonnage     PHC    et les contacts     PCLRB    du  relais de levier de fiche de poinçonnage     RCLR     en série avec le     relais    R21 dans     les    circuits de  commande d'impression manuelle et automa  tique.

   Il est ainsi     impossible    de provoquer       une    suite de cycles     d'impression    et de poin  çonnage de relevé, à moins que le mécanisme  de poinçonnage n'ait fonctionné correctement  de la façon habituelle pour faire avancer une  fiche à partir du magasin de poinçonnage  jusqu'au poste de poinçonnage, et les fiches       restent        dans    le magasin de poinçonnage.  



  On admettra que le dispositif -de poinçon  nage de relevé ait fonctionné de façon nor  male,     entraîné    par le moteur     112    pour faire  avancer une fiche vierge à partir du magasin      et pour la disposer en position pour le poin  çonnage de sa première colonne.

   A la     fig.    48X,  l'émetteur de poinçonnage     PCE    est représenté  et on remarquera que, sous cette désignation,  cet émetteur comprend des balais d'émetteur  de     poinçonnage   <I>PE B</I> qui sont avancés d'une  colonne à la     fois    par les chariots de fiche,       par-dessus    la bande de contact commune 900  et les segments 901 pendant l'opération de       poinçonnage    de chiffres successifs dans les  champs respectifs de la fiche.

       Un        segment    901  est prévu pour chaque colonne de fiche, et ces  segments de l'émetteur de poinçonnage sont  disposés     dans    des positions décalées selon  quatre     rangées        horizontales    commençant par  les segments 9 à 12, les segments de chaque  rangée étant reliés entre eux et à une con  nexion     commune.     



  On comprendra que le chariot de poin  çonnage est     muni    d'une barre de saut adé  quate prévue- pour faire sauter ce chariot  automatiquement dans sa position correspon  dant à la colonne 9 après qu'une fiche a été  avancée dans le poste de poinçonnage, si bien  que le dispositif de     poinçonnage    est prêt pour       poinçonner    le premier chiffre du total con  tenu dans les     acciunulateurs    1 et 2. On se rap  pellera que     ces    accumulateurs constituent un  seul     acciunulatëur    commandé par les données  poinçonnées dans     les    fiches.

   On admettra dès  lors que la     tabulation    des fiches a été achevée  et qu'une suite de cycles d'impression auto  matique a été provoquée de la manière expli  quée plus haut et que les chariots     d'impression     se trouvent dans leurs -positions respectives  de première colonne, excitant les relais R124  et R154     (fig.    48F).  



  Il est maintenant opportun d'expliquer  que le dispositif de poinçonnage de relevé  peut être connecté à la partie principale de la  machine à l'aide d'in     câble    adéquat, non re  présenté, et que différentes fiches de con  nexion désignées par     JP1    à     JP24    au dessin  sont     prévues,    les connexions coopérant avec  ces fiches étant désignées par des     signes.    de  référence identiques.

   Par exemple,     JP1    à la       fig.        48X    se rapporte au câble et à la connexion  à     fiches        qui    est     reliée    à la borne- désignée de    faon identique à la     fig.        48Y,    les contacts C51  de la partie principale de la     machine        fernia-rit     ainsi un circuit qui aboutit au relais     C.R63          (fig.    48X), à environ     40     du cycle d'impres  sion     (fig.    47B).

   II convient également d'expli  quer que le dispositif de poinçonnage fonc  tionne par colonnes successives pour     poin!son-          ner    les chiffres un par un de façon bien  connue. II est par conséquent nécessaire de  coordonner les opérations d'impression de to  tal et de     poinçonnage    au moyen     d'in    dispo  sitif d'emmagasinage et de codification (lui  permet au dispositif de     poinçonnage    de poin  çonner     successivement    quatre chiffres pendant  que le     mécanisme    d'impression effectue un  cycle     d'impression.    Du fait que deux     cycles     sont nécessaires pour imprimer le total 

  com  prenant huit chiffres accumulés     dans    les accu  mulateur 1 et 2, le poinçonnage de ce total  est     subdivisé    en deux     suites    de cycle de quatre  chiffres chacune pour correspondre aux cycles  d'impression.  



  Lorsque les barres de caractères sont dé  placées vers le haut pendant l'impression des  quatre premiers chiffres contenus dans l'ac  cumulateur 1, les contacts     CKC        (fig.    481)  ferment des circuits aboutissant aux relais  CR63 à     CR66    de codification     (fig.    48X) à des  instants du cycle correspondant à l'impression  des différents chiffres. Par exemple, si une  barre .de caractères est mise en place     pour     imprimer le chiffre 1, les contacts     CKC    fer  ment un circuit d'emmagasinage qui, comme  on le verra, provoque l'emmagasinage tempo  raire ou la conservation de la valeur 1 jusqu'à  ce que cette valeur puisse être poinçonnée.

   En  référence à la     fig.    47B, on remarquera que  les contacts<B>051</B> à C54 ferment des circuits  selon certaines combinaisons pendant la pé  riode au cours de laquelle les barres de carac  tères sont mises en place. A l'instant où une  impulsion quelconque de 1 à 9 est émise par  l'intermédiaire     d'une    paire de contacts     CKC,     les contacts C51 à C54 sont fermés selon dif  férentes     combinaisons    qui correspondent à. la       commande    dans le temps de     chiffres    des con  tacts C29 et C30 pour     commander    l'impres  sion des chiffres 9 à 1.

       Ainsi,    les     relais    CR63      à     CR66    de codification sont excités séparé  ment et selon diverses combinaisons en syn  chronisme avec le cadre des barres de carac  tères et avec la fermeture sélective des con  tacts     CKC.    Les relais CR63 à     CR66    sont des  tinés à codifier les impulsions de chiffres sé  parées qui sont     émises    et transmises à     travers     les connexions à fiches de connexion et à     câble          JP9    à JP12 et à permettre l'emmagasinage  de     ialeurs    de chiffres conformément à un  code semblable au code utilisé pour 

  l'emma  gasinage de chiffres et l'indication de groupe.  



  Les relais CR63 à CR66 commandent     un     jeu de relais d'emmagasinage désignés par       CR101    à CR116     (fig.        48X.),    quatre de     ces    re  lais, tels par exemple que les relais     CR101P     à     CR104P,    étant associés à chaque ordre de  l'accumulateur 1, par exemple à l'ordre des  milliers dans le cas des relais CR101P à       CR104P.    Les huit relais CR105P .à CR112P       associés    aux ordres des dizaines et des cen  taines ne sont pas représentés,

   mais on com  prendra que     les    relais CR63 à CR66 sont  munis de contacts disposés en série avec les  deux groupes de relais non     représentés,    par  l'intermédiaire des     contacts    CR74A et     CR75A.,          disposés    de la même façon que les contacts       CR63A    à     CR66A.     



  On se     rappellera    que     les    valeurs de chif  fres avaient été     emmagasinées    dans des cir  cuits d'emmagasinage de chiffre et d'indica  tion de groupe au moyen     .d'un    code binaire  comprenant     les    valeurs 1, 2, 4 et 8. Ces va  leurs sont représentées en relation avec les       enroulements    .des relais CR101P à     CR104P    et       CR113P    à CR115P et avec les contacts de ces  relais.  



  Admettons maintenant que l'ordre des mil  liers de l'accumulateur 1 contienne un  9 . A  environ 45  du premier cycle d'impression,  les contacts C29 et C30     (fig.    48H) émettent  une     impulsion    par l'intermédiaire des contacts  C33,     R17F,        R148B,        R144B,    R146B de la con  nexion W27, des contacts     CKC    de l'ordre des  milliers, des connexions     JP12,    des     contacts     <I>CR73A</I> et<I>CR63A</I>     (fig.    48X), de la con  nexion W41, des     connexions    JP13 et JP14       (fig.    48W)

   et des contacts     ZCRlA        (fig.    48A)    aboutissant à la source N1. Ce circuit est  formé du fait qu'en  9  du cycle d'impression,  les     contacts    C51     (fig.    47B) sont     fermés.    Par  l'intermédiaire des connexions      < TP1        (fig.    48p  et 48X), ces     contacts    excitent le relais     CR63.     Ainsi, le chiffre  9  est partiellement emma  gasiné en excitant le relais d'emmagasinage       CR101P.    Le relais CR104P est excité en  même temps que le relais<I>CR101P</I> par l'inter  médiaire des contacts     CR66A,    du fait que,

   en   9  du cycle d'impression, les contacts C54  sont également fermés et excitent ainsi le re  lais CR66 en parallèle avec le relais     CR63.     Ainsi, le chiffre  9  est emmagasiné pendant  le cycle     d'impression    par l'excitation des deux  relais CR101P et     CR104P.    Si le chiffre de  vant être emmagasiné est un  3 ,     les    relais       CR101P    et CR102P sont excités du fait du       fonctionnement    des relais CR63 et     CR64.    En   3  au cours du cycle     d'impression,    les con  tacts C51 et C52 sont fermés, permettant ainsi  l'emmagasinage de  3  dans ces deux relais.  



  Les relais CR101P à     CR116P,    lorsqu'ils  sont excités, ferment leurs contacts CR101B  à     CR116B,    excitant ainsi     leurs    enroulements  de maintien CR101H à     CR116H,    les circuits  de maintien étant     maintenus    fermés à travers  les connexions     JF5    et les contacts C55       (fig.    48P).

   On remarquera     (fig.    47B) que  ces     contacts    C55 sont maintenus fermés jus  que pendant le début du cycle     d'impresssion     suivant et qu'ils s'ouvrent avant  9  du cy  cle d'impression pour interrompre l'excitation  des relais d'emmagasinage et pour préparer  ces relais en vue d'une autre opération d'em  magasinage.  



       Les        relais        CR101P    à CR116P ferment éga  lement leurs     contacts        CR101A    à     CR116    A  pour exciter les relais     CR73P   <I>à</I>     CR76P.     Ainsi, si une valeur de chiffre est emmaga  sinée par les relais     CR101P    à     CR104P    par  exemple, le     relais   <I>CR73P</I> est excité et, en ou  vrant     ses    contacts     CR73A,

      il interrompt  l'émission     d'impulsions        subséquentes    à partir  de     l'acetunulateur    1. Les     relais    CR101P à  CR116P ferment également leurs contacts  CR101C à CR116C et ouvrent leurs contacts  <I>CR101D à</I> CR116D     (fig.    48X),     selon        des         combinaisons, conformément à la valeur     emma-          gasinée,    de la même façon que les relais d'em  magasinage de chiffre et d'indication de  groupe.  



  Ainsi qu'on l'a dit, le chariot de poinçon  nage a été mis en position à la colonne 9, un       des    balais     PEB    se trouvant en contact avec le  segment de la colonne 9. Par conséquent, à  environ 200  du cycle d'impression, les con  tacts C56     (fig.    48P)     ferment    un circuit à par  tir de la source P2     (fig.    48A) et à travers des  contacts     TRD,    les     connexions   <I>JP16</I> et<I>JP17</I>       (fig.    48v) l'interrupteur S7, la connexion  W39, l'électro-aimant     PKIIl    de touche de poin  çonnage de  9      (fig.    48X),

   les contacts fermés  CR104C du relais     CR104P,        les    contacts       CR103D,        CR102D,        CR101C,    les connexions       JP7        (fig.    48P), les contacts C56 et     R143C,     les     connexions        JP6,    le segment d'émetteur  901 pour la colonne 9     (fig.    48X) et les balais       PEB,    la bande commune 900, la connexion  W42,

   les     contacts    de came     flottants    de poin  çonnage     FCC        (fig.    48W), les contacts de re  lais de levier de fiche de poinçonnage       PCLRA,    les contacts de dernière colonne     LC1     du dispositif de poinçonnage, l'interrupteur  S7, les connexions JP13 et     JP14        (fig.    48A) et  les     contacts        LCR1A,    ce circuit aboutissant à  la source N1.

   L'électro-aimant     PKJI    de tou  che de     poinçonnage    de  9  est ainsi excité et  le     dispositif    de poinçonnage fonctionne (le  façon bien connue pour poinçonner la valeur   9  à la colonne 9 de la fiche.  



  Les     contacts    de came flottants     FCC    sou  ; vient autours -de cette première opération de  poinçonnage et le chariot de poinçonnage  s'échappe, refermant les     contacts   <I>PCC,</I> et     les     balais     PEB    avancent et viennent en contact  avec le segment 901 de l'émetteur de poinçon  ) nage pour la colonne 10. Le cycle de poinçon  nage est dès lors répété indépendamment des  contacts C56 pour poinçonner le chiffre  emmagasiné, qui avait été fourni à partir de  l'ordre des centaines de l'accumulateur 1.

   Ces  ;opérations se     répètent    jusqu'à ce que les  quatre     chiffres    représentant le total contenu       dans    l'accumulateur 1 aient été poinçonnés,  les différents     électro-aimants        PK11I    de touche    de poinçonnage étant sélectivement excités,  conformément aux combinaisons de contacts  mises en place par les relais<I>CR101P à</I>       CR116P.    Au cours de chaque cycle     d'impres-          sion,    un maximum de quatre chiffres peut  être poinçonné, du fait que le premier chiffre  d'une série de quatre est dépendant de la fer  meture des contacts C56 au cours de chaque  cycle d'impression,

   cette     fermeture    ne se pro  duisant     qu'après    que les valeurs contenues  dans les quatre ordres de l'accumulateur ou  du compteur aient été codifiées de la façon  décrite ci-dessus.  



  Ainsi, au cours des cycles     d'imprassion    1,  2 et 3, le total     contenu    dans les     acczunulateurs     1 et 2 et le nombre de groupe sont     poinçonnés     dans les douze premières     colonnes    de la fiche  et, au cours des cycles d'impression 4 à 18,  les totaux séparés contenus dans les compteurs  sont poinçonnés à raison de quatre chiffres à  la fois.  



  Lorsque les électro-aimants     PKIll    de tou  ches     (fig.    48W) sont excités pour amener en  place les organes     intercalaires    de poinçon  nage de façon bien connue, les     contacts        PJIC          ,.'électro-aimants    de poinçonnage     ,sont        fermés     et provoquent le fonctionnement de l'électro  aimant     POM        d'actionnement    de poinçons  pour faire fonctionner le poinçon choisi.

         Après    que le dernier chiffre du total final  contenu dans le compteur 15 a été imprimé et  poinçonné, le chariot de poinçonnage s'échappe  une fois de plus, fermant ainsi les contacts de  dernière colonne     LCC    et excitant le relais de  dernière colonne     LCR3.    Ce relais ferme ses       contacts        LCR3C    et     LCR3B,    excitant ainsi  l'électro-aimant     CSM    d'empilage de fiches qui  rend efficace le mécanisme d'empilage de       fiches.    Pendant l'opération d'empilage,

       les     contacts<I>ASC</I> se ferment et excitent l'électro  aimant de déclenchement de poinçon     PTJI     par     l'intermédiaire        des    connexions W39 et  W41, de     l'interrupteur    S7, des contacts       LCR3B    et des     contacts    de     l'électro-aimant    de  balai     B1lIC1.    De ce fait, le relais R10P       (fig.    48A) est également excité par l'intermé  diaire des     connexions   <I>JP22</I> et ferme ses con-      tacts     1t101.        (fig.    48C)

   pour permettre à  l'avance de fiche de recommencer à l'instant  adéquat après que les opérations de somma  tion décalée ont été achevées et     que    les con  tacts     R6A    se sont refermés. L'électro-aimant  de déclenchement de poinçon     PTNI        provoque     l'engagement d'un embrayage pour permettre  au moteur de poinçonnage     11l2    de ramener le  chariot et de faire avancer une fiche vierge à  partir du magasin, prête pour une autre suite  de cycles     d'impression.     



  Les contacts de verrouillage     LC1    et     LC2     sont actionnés du fait du déclenchement de  l'embrayage et les contacts     LC2    .ferment un  circuit alimentant le moteur     1112.    L'énergie  pour le moteur 1112     est    fournie par l'intermé  diaire des connexions     JP20,    JP21 et     JP23,     <I>JP24</I> représentées à la     fig.    48A, ce moteur  de poinçonnage     D12    étant alimenté en courant  alternatif en parallèle avec le moteur     1L11.    A  la fin du cycle de poinçonnage,

   les contacts  de verrouillage     LCl    et     LC2    sont ramenés  dans leur état représenté à la     fig.    48W, et le  dispositif de poinçonnage est prêt pour une  autre     série    de cycles,     après    que le chariot ait  automatiquement sauté jusque dans sa posi  tion de colonne 9.  



  Il peut être désirable de poinçonner cer  taines données fixes ou invariables dans les  huit premières colonnes de la fiche, sous com  mande d'une fiche pilote.     Dans    ce cas, la  fiche pilote est disposée sur le chariot de re  production et la porte d'accès à ce chariot est  fermée, si bien que les contacts de porte<I>DC</I>  sont fermés. Ces contacts excitent l'électro  aimant de balai Bill et le poinçonnage auto  matique des huit     premières    colonnes ou     d'une     partie désirée quelconque de ces huit pre  mières colonnes s'effectue dès lors avant que  le chariot n'atteigne sa position de neuvième  colonne. Ce mode de     fonctionnement    est bien  connu des gens du métier, si bien qu'il n'est  pas nécessaire de le décrire en détail.

   Au  cours de cette opération de poinçonnage auto  matique, les balais de poinçonnage<I>PB</I> coopè  rent avec le rouleau de contact de poinçon  nage     PCR    pour établir sélectivement des cir  cuits de commande aboutissant aux électro-    aimants     PKDI    de touches de poinçonnage, à.

    partir de la connexion W39     (fig.    48x), ces       électro-aimants    étant, d'autre part, reliés à       la        connexion        W1        par     du câble       CB8,    -des balais de poinçonnage<I>PB</I>     (fig.        48W),     du rouleau de contact de poinçonnage     PCR,     du balai commun -de poinçonnage     PCB,    des  contacts à came flottants     FCC,    des contacts       PCLRA    et     LC1    et de     l'interrupteur    S7.  



  Le circuit     des        contacts        CR101C,        CR101D     à     CR116C,   <I>CR116D</I>     des    relais     d'emmagasi=     nage CR101P à CR116P est     disposé    de façon  que si     aucun    de ces relais n'a été .excité du  fait de l'impression d'un chiffre significatif  au moment où les contacts C56 se ferment,  des circuits de poinçonnage de zéro sont  formés jusqu'à l'électro-aimant     PKIIl    de tou  che de poinçonnage de zéro.

   Un emmagasinage  de chiffres dans le circuit de relais     (fig.    48X)  est effectué pendant que les barres de carac  tères sont déplacées verticalement et     prennent     des     positions        représentatives    des chiffres des  totaux contenus dans les compteurs, et cette  opération d'emmagasinage devrait être ache  vée en zéro du' cycle. Le poinçonnage de  quatre chiffres d'un total est accompli pen  dant que     les    barres de caractères sont remises  en place.

   Le poinçonnage débute approxima  tivement à l'instant zéro du     cycle    d'impres  sion et il s'achève avant que le jeu de     chiffres     suivant soit mis en place dans les barres de  caractères pendant le     cycle    d'impression sui  vant. Il     est    ainsi possible     d'utiliser    un seul  dispositif d'emmagasinage de chiffres pour.  permettre le poinçonnage successif de quatre  chiffres d'un     total.     



  Le principe de     fonctionnement    des cir  cuits     ci-dessus    dans     des    conditions de fonc  tionnement relativement     fixes,    telles que le  départ, l'arrêt,     l'impression    de total, le     poin-          eonnage    et la sommation décalée et la façon  dont les fiches commandent la plus grande  partie des opérations et des dispositifs dis  posés pour être connectés à l'aide de con  nexions à fiches, a été décrit en détail, à cer  taines exceptions près qu'il sera préférable       d'expliquer    en référence à des problèmes par  ticuliers.

   Le fonctionnement de la machine      pour effectuer     différents        types    d'opérations  va maintenant être décrit en détail en réfé  rence aux schémas de connexions du tableau  de     connexions    et, dans le cas de certaines con  nexions relativement     compliquées,    en réfé  rence à des schémas supplémentaires qui mon  trent principalement la     façon    dont sont con  nectés les contacts de relais de     recodification.     



       Etant    donné que le     fonctionnement    parti  culier de la machine, en ce qui concerne les       sélecteurs    de     recodification,    les émetteurs de       recodification    ou de chiffre, les compteurs  d'unités, le distributeur     d'unités-dizaines    et le  mécanisme .d'accumulation sous commande de  fiches d'enregistrement a été décrit en détail,

    la plus grande partie de la description     ci-          après    sera faite en référence aux schémas de  connexions du tableau de connexion et en  considérant les différentes douilles de ce ta  bleau correspondant     aux        différentes    fonctions  et aux différents dispositifs comme étant des  sorties ou des entrées     d'impulsions.    On évitera  ainsi     des        longueurs    et .des répétitions d'énu  mérations lorsqu'il s'agit de suivre ou de dé  crire des circuits.  



  La     première    opération qu'on va décrire est  l'opération très commune consistant à placer  des fiches selon un ordre décimal, et cette  opération sera décrite en référence à la       fig.    49A qui montre les connexions qu'on doit  effectuer pour arranger les fiches d'enregis  trement en     séries    conformément à un nombre  de quatre chiffres.

   Bien que ce     type    d'opéra  tions ne soit pas nouveau,     il    est effectué de  façon originale et la machiné comprend des  moyens permettant non seulement de contrô  ler la continuité des     circuits    de commande de  triage, mais également de contrôler simulta  nément l'exactitude du triage en référence  au choix des poches de triage.  



  On admettra que le chiffre de série soit  poinçonné aux     colonnes    4 à 7 de la fiche. Ces  quatre     colonnes    sont connectées au moyen de       connexions    à fiches aux quatre premières po  sitions du commutateur S5 de sélection de  colonne     (fig.    48U), ces     quatre    positions étant       désignées    par les petits chiffres 1 à 4 à cette       figure,

      sous les douilles     PS11.    Ces quatre    douilles sont les     douilles    supérieures numéro  tées à partir de la gauche     aux        fig.    41 et 49A  et disposées sous la désignation  Sélection de  colonne . Une connexion à fiches est égale  ment     insérée    entre la douille  C  PS10       (fig.    48U et 49A) et la douille extrême gauche       PS16    du groupe d'emmagasinage de chiffres  ( Chiffre PU ,     fig.    48S).

   L'opérateur amène  le commutateur S5 sélecteur de colonne en po  sition 4; les fiches sont disposées dans le ma  gasin, la face dirigée vers le bas, et la ma  chine est mise en marche à l'aide de la clé de  départ     STK    de la manière décrite ci-dessus.  Les quatre courses nécessaires pour disposer  les fiches selon un ordre de série peuvent dé  buter soit par l'ordre le plus élevé, soit par  l'ordre le plus bas, et il     est    sans importance  que le commutateur S5 soit placé en position  1 et avancé     progressivement    jusqu'en position  4, d'un pas pour chaque course     successive    de  la machine, ou qu'il soit mis initialement en  position 4 et reculé d'un pas pour chaque  course.

   Dans l'exemple présent, le commuta  teur     S5    ayant été mis en place en     position    4  a pour effet de faire se dérouler la première  course de la machine sous commande de la  colonne des imités pour placer toutes les  fiches selon leur ordre numérique par rapport  aux chiffres de l'ordre des     unités.     



  Admettons pour l'instant que la première  fiche avancée porte un  9  à son ordre     des     unités. Cette fiche établit un circuit en  9   du cycle. Ce circuit s'étend à travers la con  nexion à fiches, à partir de la douille     P81    de  la colonne 7 jusqu'à la quatrième position du  commutateur S5, et à travers la connexion à       fiches    entre la douille  C      PS10    et la douille       PS16    pour exciter les relais  1  et.  8  de  l'ordre supérieur du groupe d'emmagasinage  de chiffres. La valeur  9  est     -ainsi    emmaga  sinée par excitation des     relais    R41 et     R44          (fig.    48S).

   Un circuit est     ainsi    établi entre la  douille  C  PS39     (fig.    48T) et la douille  9        PS40,    par l'intermédiaire des contacts     R41A,          R42B,    R43B et     R44.4    jusqu'au câble     CB9.    Ce  câble aboutit au groupe de relais de triage  R107 à R118, et la connexion partant de la  douille  9  PS40 est reliée aux contacts      820$A, dont le contact mobile est     relié    au re  lais de triage de  9  8107P.  



  Pour effectuer l'opération de triage nor  male, le commutateur S2 qu'on appellera     ci-          après    commutateur de  phase  doit être  amené en position N     (fig.    48E). Les relais  R201 et R202 sont     ainsi    excités et les contacts  8201A se ferment et excitent le relais R203.  Ainsi, les relais R201, R202 et R203 restent       continuellement    excités pendant -toute l'opé  ration consistant à disposer les fiches selon un  ordre de série et leurs contacts 8201B, 8201D  et 8202A     (fig.    48E) restent fermés.

   Les con  tacts 8203A     (fig.    48R) dont il a     déjà,    été  question sont également     fermés.     



  A environ 280  du cycle     (fig.    47A), les  contacts C11 ferment un circuit de     contrâle     partant de la source P1     (fig.    48E) et passant  à travers les contacts     LCR2A,    C11, la résis  tance de 1000     ohms,    les     contacts    8201B,  <I>824D,</I> 8201D, 820.2A, R41A     (fig.    48T),  842B,     R43B,        R44-4,    la douille  9      PS40,    la  connexion  9  du câble     CB9,    les contacts  8203A     (fig.    48R), le relais 8107P,

   les con  tacts R24-4     (fig.        481:),    857B, la douille  S        PS29,    le pont reliant cette douille et la douille        SH         PS28        (fig.    48G), les contacts     R6E,    la  résistance de grille du tube V123 et la con  nexion W21, ce circuit     aboutissant    par l'in  termédiaire de cette connexion à la source né  gative N2.

   Au même instant qu'une impulsion  est ainsi appliquée à la grille du tube     V123,     un potentiel est appliqué à son anode à partir  des     contacts    C8 de commande dans le temps       (fig.    480), par l'intermédiaire des contacts  8201F, et du relais R24. A travers le tube  V123, du courant passe alors jusqu'à la source  N1 par     l'intermédiaire    de la     connexion        IV20,     ce tube étant amorcé et excitant le relais R24.  



  Cette impulsion appliquée au relais de  triage  9  8107P est relativement faible à,  cause de la résistance de grille de 50 000 ohms  du tube V123     (fig.    48G), et elle est bien loin  de suffire pour exciter ce relais 8107P. Cette       impulsion        est    destinée à contrôler la conti  nuité du circuit de commande<B> </B>de triage, de  façon qu'il soit certain qu'une impulsion       puisse    choisir une poche pour la fiche pendant    ce cycle.

   Si cette impulsion n'était pas trans  mise, par exemple à cause d'un     poinçonnage     manquant dans la, fiche ou d'un mauvais con  tact, établi de façon insuffisante par un re  lais, ou encore     d'an    mauvais contact d'une  fiche dans une douille ou d'autres raisons en  core pouvant comprendre un poinçonnage dé  fectueux de la fiche ou un défaut électrique  interne de la machine, la fiche serait rejetée  et serait examinée pour déterminer la     raison     pour     laquelle    elle n'a pas été triée -de façon  correcte. Comme on le verra plus loin, ce con  trôle est effectué dans tous les cas pour déter  miner si une poche est choisie ou si le circuit  de fonctionnement d'un compteur ou d'un  autre dispositif de commande est complet.  



  Il convient maintenant d'expliquer que  dans l'application de fiches     poinçonnées    à un  travail de statistique,     il    est nécessaire que  tout poinçonnage possible que peut présenter  une fiche soit     analysé    pour que la machine en  tienne compte. Si la machine ne- tient. pas  compte d'un     poinçonnage    ou si un poinçon  nage se trouve au mauvais endroit de la fiche,  cette fiche devrait être- rejetée pour être ins  pectée avant d'être comptée ou triée. Si cela  n'était pas le cas, la fiche pourrait être diri  gée de façon erronée ou le compte pourrait  être     faussé    et provoquer une erreur qu'il peut  être très difficile de localiser.

   Un exemple de  la     façon    dont da machine doit tenir compte de  chaque poinçonnage peut être donné en réfé  rence au cas d'une fiche de recensement de  population.     Dans    ce cas, les fiches sont clas  sées par sexe et il est évident que chaque fiche  doit être     poinçonnée    pour indiquer un sexe  masculin ou un sexe féminin, et différentes  erreurs possibles peuvent se produire.

   L'une  de ces erreurs consiste en ce qu'une fiche     porte     un poinçonnage indiquant un sexe masculin et  un     poinçonnage    indiquant un sexe     féminin.     Une autre erreur consiste en ce     qu'une    fiche  ne porte pas de     poinçonnage        indicateur    de  sexe.

   Il doit en effet y avoir un     poinçonnage     soit à la position repère correspondant au sexe  masculin, soit à la position repère correspon  dant au sexe féminin.     Semblablement,    lors  d'une opération de triage selon une - série      d'ordre     ntunérique,    il doit y avoir     un    poinçon  nage -à chaque colonne     puisqu'il    est d'usage de  poinçonner toutes     les    colonnes :

  soit pour indi  quer un zéro, soit pour indiquer un chiffre si  gnificatif, le triage .devant tenir compte de  chaque colonne.     Ainsi,    si un     seul.    chiffre n'est  pas poinçonné, un zéro doit être poinçonné  (dans     certains    cas  11 ). Dans le cas présent,  si un     poinçonnage    manque dans une des co  lonnes     d'une    fiche, cela signifie que cette fiche  devrait être rejetée et     inspectée    avant qu'elle  ne soit triée de façon fausse et qu'elle ne  puisse ainsi se perdre.  



  Admettons maintenant que l'impulsion de  contrôle dont il était question ci-dessus a  amorcé le tube     V123    et que le relais R24 a été  excité. Ce     relais    ferme     ses    contacts R24B et  relie la connexion commune des relais de com  mande de triage R107P à R118P     (fig.    48R) à  la     connexion    W2. Le relais R24 ferme égale  ment     ses    contacts R24C et transfère le circuit  initial du     relais        R107P,    à partir des     contacts     C11 aux contacts C15.

   De ce fait, les contacts  e15 qui se ferment à     environ    310  du cycle       (fig.    47A) établissent un circuit     d'actionne-          ment    pour le relais  9      R107P.    Ce circuit  part de la source positive P2 et passe à tra  vers     les    contacts<I>C15,</I>     R24C,        R201D,    R202D  et les contacts des     relais        d'emmagasinage    de  chiffre précédemment décrits, pour aboutir  à l'enroulement du relais     R107P.    Cet enroule  ment     est,    d'autre part,

       relié    à la source néga  tive N1 par d'intermédiaire des contacts     R2413          (fig.    48E) et de la connexion     W2.        Cependant,     cette impulsion est une impulsion normale  assez forte pour exciter le relais R107P qui  ferme ses contacts     R107E    .     (fig.    48T).  



  En  9  an cours du cycle d'avance de  fiches     suivant,    l'émetteur E18 fermera un       circuit    partant de la source positive P1       (fig.        48Q)    et passant par     les    contacts     LC5,          LC6,    par le segment  9  773 de l'émetteur       E18        (fig.    48T),     les    contacts     R107E,

      la con  nexion W22 et les     résistances    de     grille        des     tubes     V129    et     V130        (fig.    48G) pour se refer  mer sur la source négative N4. Les     tubes          V129    et     V130    sont ainsi amorcés. Les con  tacts C13     (fig.    47A) sont     fermés    pendant la    plus grande partie du cycle et, pendant cette  période, les anodes des tubes V129 et V130  sont     alimentés    en potentiel positif normal.

   En   9 , une impulsion de courant passera par les  condensateurs d'anode PC et provoquera  l'excitation .de     l'électro-aimant        SCIl    de com  mande de triage.     Les    condensateurs PC sont  de capacité suffisante pour présenter une très  faible impédance .à l'impulsion aiguë     passant     à travers     l'électro-aimant        SCltl,        mais        ils    se  chargent rapidement à la     tension    crête et le  courant doit alors traverser les résistances  d'anode PR.  



  Il est bien connu que lorsqu'un électro  aimant ou un relais a attiré son armature,  un courant relativement faible suffit pour  maintenir cette armature en position attirée,  et l'effet des résistances PR et des condensa  teurs PC est de permettre à une impulsion  initiale énergique d'exciter l'électro-aimant       SCO1,    tout en empêchant un courant plus  grand que nécessaire de passer à travers les  tubes     V129    et V130 pour maintenir excité  l'électro-aimant     SCH    de commande de triage.  



  Le fonctionnement de l'électro-aimant       SCill    de commande de triage, lorsque celui-ci  a attiré son armature     (fig.    6) permet à toutes       les    lames de triage 114 de s'abaisser et à la  fiche     contenant    un  9  poinçonné de passer  par-dessus la lame supérieure pour être en  suite déposée dans la poche  9 . De façon  semblable, des     fiches        distinguées    par d'autres  valeurs     poinçonnées    dans la colonne 7 sont  déposées     dans    les poches     désignées    de façon  correspondante.  



  Un autre contrôle     est    cependant encore  effectué pour déterminer si la fiche sera.  effectivement triée et amenée dans la poche   9 . Il est en effet très possible, par exemple,  que l'électro-aimant de triage ne soit pas  excité. Dans ce cas, la fiche serait rejetée et       elle    serait inspectée pour déterminer la rai  son pour laquelle elle a été rejetée. Cepen  dant,     il    est également possible que cette fiche  ne soit pas avancée de façon correcte. En  d'autres termes, elle pourrait avoir été avan  cée trop loin ou pas assez,     lorsque    l'impulsion  de triage se produit.

   Deux des relais de com-      mande de triage     R107P    à     R118P    pourraient  aussi savoir été excités.  



  Il     .convient    maintenant d'expliquer qu'un  certain retard est ménagé entre la production  de l'impulsion de triage représentative d'un  chiffre et l'instant auquel l'électro-aimant       SC11    de triage est     complètement    excité et au  quel un chemin est     ouvert    pour la fiche. Ce  retard est variable dans différentes machines  et il est d'ordinaire réglé en faisant varier la  commande dans le temps de la pince de fiche  et d'autres parties de la machine. Dans le but  présentement envisagé, il est adéquat de sup  poser que ce retard     est    aussi grand que  l'écart entre deux positions repère successives.

    En d'autres termes, en se référant à la       fig.    48G qui montre schématiquement la dis  position des segments de contrôle de triage  145a, on peut admettre que la fiche qui est  avancée de façon correcte et qui contient un   9  poinçonné présentera son bord avant       aussi    loin à droite de la lame 114  9  que  l'espace séparant les segments 145a successifs  à cette     figure.    On fera cette supposition uni  quement dans le but de faciliter l'explication  du fonctionnement du dispositif de contrôle  de triage.

   Ainsi, à l'instant où le bord avant  de la fiche atteint l'extrémité de la lame de  triage qui conduit à la poche  9 , cette lame  reposant     sur    le segment  9      145a,    elle est  abaissée et la fiche     passe        par-dessus        toutes    les  lames 114.

       Juste    avant l'instant  12 , qui  correspond à environ 240  du cycle de fiche       (fig.    47A), les     contacts    C14 se ferment, éta  blissant un circuit à travers les     laines    11.4 et  les segments     145a        jusqu'aux    contacts B et C  des     relais    de commande de triage     R107P    à  R118P     (fig.    48G).  



       Dans    le cas de la fiche portant un poin  çonnage  9 , les     contacts    R10 7 C sont fermés  et les     contacts   <I>R107B</I> et R107D sont ouverts.  Par conséquent, lorsque les contacts C14 se  ferment, un circuit est établi à partir de la  source P1     (fig.    48G) à travers les contacts  C14, la lame 114 et le segment     145a     9 , les  contacts     R107C,        R26B,    la résistance de grille  du tube V125 et la connexion.

   W21 jusqu'à la  source négative N2.     Ait    même instant, les con-         tacts    C$     (fig.    480) sont fermés et un poten  tiel est appliqué à l'anode du tube V125,     si     bien que ce tube est amorcé et excite le relais  R26. La poche adéquate a, par conséquent,  été choisie pour la fiche, et cette fiche se  trouve engagée au-dessus de la     laine    condui  sant à cette poche.  



  Si la fiche avait été avancée trop     loin    à,  l'instant où l'impulsion  9  a été émise, elle  passerait alors sous la lame 114 et isolerait  celle-ci du segment     145a     9  correspondant.  A l'instant  12  du cycle, le tube V125 n'est  alors pas amorcé et le     relais    R26 n'est, par  conséquent, pas excité.- Du fait que les con  tacts<I>R107D</I> sont     ouverts,    le tube V126 ne  peut être amorcé et le     relais    CR26 ne sera pas  excité.  



       L'excitation    du     relais        R26,    conjointement  avec le fait que le relais     CR26    n'est pas excité,  indique que le chemin adéquat a été choisi et  que la fiche n'est pas avancée trop loin et  qu'elle n'est pas non plus en retard sur sa  position correcte à l'instant  l2  du     cycle.     Les contacts C27 se ferment pendant que les  contacts C14 sont encore fermés et, si la fiche  est en retard sur sa position correcte et  qu'aucun des relais de commande de triage  R107P à     R118P    n'a été excité, un circuit série  est établi à travers tous les contacts R107D à  R118D et les contacts     CR26C,

          CR16A    et la  résistance de grille du tube V126 jusqu'à la  connexion     W21    et à la source négative N2.  Un potentiel est appliqué à l'anode du tube  V126 par     les    contacts C10     (fig.    480), et ce  tube V126 est amorcé, excitant le relais     CR26.     L'excitation du relais CR26 ferme les     con-          tacts        CR26B        (fig.    48E) et     relie    le relais       d' Erreur    de triage  R25P et l'électro  aimant marqueur     1111V1    aux     contacts    C16.

   On  se rappellera que ce relais fonctionne pour  arrêter l'avance des fiches en excitant     l'élec-          tro-aimant    d'avance de fiches     CZ'lV1.    Le cir  cuit du relais<I>R25P</I> et de     l'él        ectro-aimant     marqueur 11,1111 part de la source P2     (fig.    48E)  et passe à travers les contacts C16,     CR26B,   <I>à</I>  travers l'électro-aimant     Mlll    et le relais R25P  en parallèle et la connexion     T-h2    pour aboutir  à la source négative N1.

   L'électro-aimant mar-           queur    attire le crayon marqueur 805     (fig.    46)  vers le bas, en contact avec la fiche qui passe  en regard des lames 114.  



  Le tube V126 est excité lorsque deux     des     relais R10 7P à 8118P sont excités, même  lorsque le tube V125 est correctement amorcé  du fait que l'un des relais est     correctement     excité, la fiche étant avancée de faon adé  quate. Admettons que les relais 8111P et  8112P soient tous deux excités, le relais  8111P étant     corrctement    excité. Le tube V125  est alors amorcé par l'intermédiaire des con  tacts 8111C, 8110B, 8109B,     8101B    et 81.07B.       Dans    le cas     envisagé,    l'amorçage de ce tube       correspond    à un triage correct; cependant,  l'opérateur n'en sait rien.

   Le tube V126 est  également amorcé par l'intermédiaire des con  tacts 8112E et 8113D à 8118D. L'opérateur  ne sait si le triage est correct et la machine  doit être arrêtée, étant donné qu'une poche,       qui    pourrait ne pas être la poche correcte, a  été choisie. Si les fiches ne ,sont pas     imm6dia-          tement        examinées,    la fiche considérée risque  d'être placée dans une mauvaise poche et sera  très difficile à retrouver.  



  Si l'excitation du relais<I>R12P</I> avait été  correcte et     celle    du relais 81.1P incorrecte,  les tubes V125 et V126 n'auraient pas été  amorcés puisque les contacts     8111B    seraient  alors ouverts, empêchant l'amorçage du tube  V125, les     contacts    8112D empêchant égale  ment l'amorçage du tube V126.  



  Si aucun des relais R10 7 P à 8118P n'est       excité        et    que la fiche se trouve en position  correcte à l'instant  12 , seul le tube V125  est amorcé par l'intermédiaire des contacts  8107B à 8118B disposés en série. La fiche  est par     conséquent    rejetée dans tous les cas  examinés et ne sera pas égarée.  



  Si ni l'un ni l'autre des tubes V125 et  V126     n'est    amorcé, les contacts R26A restent  fermés et la fermeture des contacts C16 pro  voque l'excitation de l'électro-aimant     mar-          quéur        1Y1111    et du relais     R25P.    Ce n'est que       lorsque    le tube V125 est amorcé et que le  tube     V126    n'est pas amorcé que l'excitation  du     relais   <I>R25P</I> d'erreur de triage et de       l'électro-aimant    marqueur     MDI    est empêchée.

      Admettons que la fiche soit avancée trop loin  lorsque, par exemple, une     impulsion     8   excite l'électro-aimant     .SCII1.    Le relais 8108P  est alors excité et l'émetteur E18 transmet  une impulsion pour amorcer les tubes V129 et  V130 à un instant auquel le bord avant de la  fiche     passe    sous l'extrémité de la lame 114  7 .  La fiche est ainsi- conduite dans la poche  7 .  A l'instant  12  du     cycle,    le segment     145a     9   entre en contact avec la lame 114 conduisant  à la poche  9  et seul le tube V126 est  amorcé par un circuit     traversant    les contacts  8108E et 8109D à 8118D.

   Le tube V125 ne  peut être amorcé dans ce cas du fait que le  segment     145a     8  est isolé de la laine 114     cor-          respondante    et que le relais R109 n'a pas été  excité.  



  On voit donc que le relais 825P et l'élec  tro-aimant     lllïll    sont excités chaque fois que:  a.) le fonctionnement des lames ne corres  pond pas au relais de commande de triage  choisi;  b) la fiche a été avancée de façon à. être  en avance sur l'impulsion de triage,     c'est-          à,-dire    a été avancée trop loin;  c) la fiche est en retard sur l'impulsion  de triage, et  d) deux relais de commande de triage sont  excités.  



  Cette     caractéristique    de la machine, qui'  permet de contrôler la position     physique     effective de la fiche en regard des lames de  triage 114 par     rapport    à l'impulsion -de triage  émise, est très importante. En effet, dans un  grand nombre de types de     fonctionnement    dé  crits ici, la répartition des fiches dans les  poches n'est pas en relation directe ou cons  tante avec la valeur effective     d'un    poinçon  nage spécifique quelconque     des    fiches.

   Cette  répartition peut aussi être basée sur certains  modes de connexions arbitraires, de façon à  obtenir que les fiches soient triées conformé  ment à une ou à plusieurs différentes com  binaisons de désignations ou de données qui  peuvent varier pendant .la. course de la ma  chine.

   Il est     ainsi    impossible de contrôler une  opération de triage à vue 'ou à l'aide d'une      aiguille, étant donné que les fiches     acctimü-          lées    dans     une    poche quelconque ne présentent  pas     nécessairement    un seul     poinconnage    iden  tique commun, à     une    seule position de repère,  comme ce serait le cas lors d'un triage selon  une suite simple, dans lequel les fiches poin  çonnées d'un  9  par exemple, dans une co  lonne particulière, sont classées dans la  poche  9 .  



  On remarquera aux     fig.    41 et 48F que le  tableau de connexion comprend une douille  <I>PS22</I> désignée par  Triage . Le circuit de  triage normal qui effectue la simple opéra  tion de placer les fiches dans des poches cor  respondant aux valeurs effectives des chiffres       poinçonnés    dans une     seule    colonne est relié  entre les contacts R202A et les contacts       R24A.    Lorsqu'un triage est effectué confor  mément à des classifications arbitraires dans  lesquelles l'impulsion de triage n'est pas en  relation avec les données originales poinçon  nées dans les fiches,

   par exemple lorsque ce  triage     est    effectué sous commande de combi  naisons de     données    qui varient pendant -une  course de la machine, la source     d'impulsion     de triage est constituée par la douille     P822     qui est alors reliée à un circuit de commande  constitué par les contacts des sélecteurs de     re-          codification,    par les groupes d'emmagasinage  de chiffre et par d'autres     dispositifs    de  commande susceptibles d'être reliés par des  connexions à fiches.

   Ces impulsions de triage  aboutissent alors à l'une des trois rangées de       douilles        PS54,        P855    et     PS56,    et l'impulsion  clé contrôle mentionnée     ci-dessus    est émise à  partir de la douille PS22     (fig.    48F) et tra  verse le circuit de commande pour aboutir  finalement à l'une des douilles P854, PS55 et  PS56     (fig.        48R).    De là, cette     impulsion    de  contrôle     est    dirigée vers le bas,

   à travers le  circuit de relais de commutation dé phase  jusqu'à la connexion commune des relais  R107P à R118P pour revenir à la douille  PS29 en passant par les contacts<I>R24A</I> et       857B        (fig.    48E). Cette même impulsion tra  verse un pont disposé entre     les        douilles   <I>PS29</I>  et     PS28,    .les     contacts    ME et la résistance de  grille du tube V123 pour aboutir à la con-         nexion        1%V21    et de là à la source négative N2'.  Par conséquent, pour le triage,     l'impulsion    de.

    contrôle     passe    soit par les     contacts    R202A et  la colonne 1 des contacts d'emmagasinage de  chiffre pour aboutir directement     aux    relais  R107P à R118P par l'intermédiaire du câble       CB9,    soit à partir de la douille PS22 et à tra  vers un circuit de commande de relais relié  extérieurement à cette     douille        polir    aboutir  aux douilles     PS54,

      PS55 ou     PS56    et de là  aux     relais    R107P à R118P à travers le cir  cuit de contacts des relais de commutation de  phase représenté à la     fig.        48R.        @linsi    qu'on le  verra plus loin, l'impulsion de contrôle tra  verse non seulement un     circuit    disposé entre  la douille PS22 et les     douilles        PS54,    PS55 ou  P856,

   mais encore tous     les        circuits    de comp  tage et les autres circuits de commande sus  ceptibles d'être mis en place et rendus effi  caces par les     poinçonnages    d'une fiche parti  culière, tous ces circuits étant disposés en  série. De ce fait, la continuité de tous les cir  cuits de commande qui sont supposés fonc  tionner en rapport avec une fiche séparée  quelconque est ainsi contrôlée en série..  



  *Pour illustrer ce circuit quelque peu com  pliqué     servant    à transmettre     une    impulsion  de     contrôle    à travers un ensemble de circuits  de relais, on se rapportera à la     fig.    49B qui  a trait à l'opération de triage par élimination.  Ce circuit de contrôle est     tune    caractéristique       typique    et très importante de la machine dé  crite.  



  Le type de fonctionnement obtenu par  l'ensemble de connexions représenté à la       fig.    49B sert à trier     des    fiches selon un jeu  de groupes, par ordres de série au cours de  trois courses de la machine. Le triage répété  de toutes les fiches pour les disposer selon  leurs     ordres    de série peut être supprimé et,  pendant la première course de la machine,     un     groupe de fiches qui     est    le     plies    bas     dans    la  suite est rangé complètement par ordre, tan  dis que, au cours des deux courses suivantes  de la machine, les deux groupes de     fiches    sui  vants, selon des ordres croissants de ces grou  pes,

   sont également     classés    directement par  ordre. On     économise    ainsi un temps considé-           rable    du fait qu'il n'est pas nécessaire de faire       passer    toutes les fiches dans la machine     une    fois  pour chaque colonne.

   Pour expliquer ce type de       fonctionnement,    on peut admettre que     les     nombres de classification des fiches sont poin  çonnés dans les colonnes 10 et 11 et que ces  nombres vont de 10 à 34, cet intervalle de       nombres        étant    purement arbitraire et étant  choisi     uniquement    dans     des    buts explicatifs.

    On désire trier     les    fiches poinçonnées de 10 à  19     dans    des poches, de façon que     toutes    les  fiches     poinçonnées        d'un     10  par exemple       tombent    dans la poche  0  et que toutes les  fiches     poinçonnées    d'un  19      tombent    dans la  poche  9 ,

   les autres fiches des groupes 11 à  18 tombent dans les     poches        intermédiaires.     Les     fiches        poinçonnées        d'un    nombre compris  entre 20 et 29 parviendront dans la poche   12  et les fiches poinçonnées d'un nombre  compris entre 30 et 34     parviendront    dans la  poche  11  pour être triées à nouveau au  cours de deux courses séparées.

   Les sélecteurs  de     recodification    1, 2 et 3 sont connectés par  des connexions à fiches à l'émetteur de chiffre  A, si bien     qu'ils    sont efficaces lorsque des  fiches     poinçonnées    d'un  1 ,  2  et d'un  3   dans la colonne des     dizaines    sont analysées.  Par     exemple,    si une fiche est poinçonnée d'un   10 , le sélecteur de     recodification    1     est    excité.

    Cette excitation est produite du fait que le  balai correspondant à la colonne 10 est con  necté à la douille     PS2        polir    le sélecteur 1 et  que la     douille        correspondante        PS3        est    con  nectée au segment 1 de l'émetteur de chiffre  A.

   On se rappellera que cet émetteur est dé  signé par E18 au schéma électrique de la       fig.    480.     Ainsi,    lorsque la fiche poinçonnée  d'un  10  est analysée, la grille-écran et la  grille de     commande    du tube     Vl    du sélecteur  de     recodification        7.    reçoivent     simultanément     chacune une     impulsion,        e    les contacts norma  lement ouverts du relais R27 du sélecteur de       recodification    1 sont fermés pour établir.

   un  circuit à partir de     l'une    des     douilles     C  P820  jusqu'à la     douille     T  PS18 correspondante.  



  Le commutateur de phase S2     (fig.    48B)  est ainsi mis -en place en position 1, ce qui  permet à     l'impulsion    de contrôle de triage de    passer à partir de la source     P1        (fig.        48E)    et  à travers les contacts     LCR2A,        Cl1,    la résis  tance de 1000 ohms,     les    contacts     R201C,          E58D,        R212D,        R201D,

      la     douille   <I>PS22</I> et à  travers les contacts     normalement    ouverts du  sélecteur 1 pour parvenir     jusqu'à.    la douille   C  PS39 du groupe d'emmagasinage de chif  fre d'extrême gauche par l'intermédiaire des  contacts des relais d'emmagasinage de chiffre.  Cette impulsion     est        ensuite    transmise à partir  de l'une     des    douilles PS40 (dans le cas     parti-          cuffier    .à partir de la douille  1 ) conformé  ment aux valeurs     emmagasinées    dans le sélec  teur de chiffre.

   De là, cette     impulsion    tra  verse     une    connexion à     fiches    pour parvenir à  la     douille    PS54 de valeur correspondante       (dans    le cas particulier à la .douille  1 ), et  elle est dirigée vers le bas     (fig.    48R) au tra  vers du circuit de relais de commutation de  phase     jusqu'à    l'un des relais de triage (dans  le cas envisagé, le relais     R115P).    Cette même       impulsion    aboutit au tube V123 par l'intermé  diaire des contacts     R24A        (fig.    48E)

   et du  pont disposé entre les douilles     PS29    et P828,  de la même façon que celle décrite précédem  ment à propos de     l'impulsion    de triage nor  male.  



  Il est     opportun    d'expliquer que, du fait  du grand nombre -de connexions     nécessaires     pour représenter l'ensemble de connexions  réellement effectuées entre     les    douilles<I>PS40</I>  et     PS54,        PS55,        PS56,    les groupes de con  nexions que comportent ces ensembles de con  nexions sont entourés par accolades,     une    ligne  unique reliant ces     accolades.    Cela signifie que  les     douilles    PS40 sont interconnectées par des  connexions à fiches 0 à 0, 1 à 1, etc., jusqu'à  9 à 9.

   Par exemple, les douilles PS40 infé  rieures à la     fig.    49B sont reliées respective  ment aux douilles  9  PS54 et PS55 d'extrême  droite. Le balai pour la colonne 11 est relié  par une connexion à fiches partant .de la  douille     P81    correspondant à la colonne 11 et       aboutissant    à la douille PS16     d'extrême    gau  che désignée  Chiffre PU .

   Les deux     doiûlles     PS16 adjacentes pour ce groupe sont con  nectées entre elles et reliées .à la douille PS16  mentionnée en 1 au moyen de     ponts.    Par con-           séquent,    une valeur quelconque     poinçonnée     dans la colonne 11 de la fiche sera enregistrée  dans trois colonnes d'emmagasinage de chif  fre et sera     conservée    dans ces dispositifs  d'emmagasinage jusqu'à la fin du cycle. Cette  disposition permet d'emmagasiner effective  ment tous les nombres de 10 à 34     dans    les  trois colonnes d'emmagasinage de chiffre et à  l'aide des trois sélecteurs de     recodification    1,  2 et 3.

   Le commutateur.de phase S2 est mis  en position 1 qu'on appellera ci-après  phase 1 .  



  Supposons que la première fiche soit  poinçonnée d'un  10 . Le  1  à la colonne 10  de la fiche provoquera l'excitation du sélec  teur de     recodification    1, permettant ainsi au  circuit de contrôle décrit .ci-dessus et partant  de la     douille    PS22 de passer par les con  nexions .à fiches     jusqu'aux        contacts    normale  ment     ouverts    du sélecteur de     recodification    1,  pour aboutir à la douille  C  PS39 et de là, à  partir de la     douille     1      PS40,    jusqu'à la  douille  0  PS54     (fig.    49E).

   Cette douille se  trouve entre les     douilles    PS54 correspondant  respectivement aux positions  1  et  11  à la       fig.    48R. L'impulsion de contrôle est trans  mise vers le bas à travers     des    contacts de re  lais de commutation de phase semblables aux  contacts 8207B, 8204B et 8203B, jusqu'au  relais  0  8116P et de là jusqu'au tube V123,  comme dans le cas d'une simple     impulsion    de  triage. Cette impulsion amorce le tube V123  pour indiquer que le circuit est fermé.

      De fait que ce circuit est fermé, les relais       R57,        R58        (fig.    48G) sont excités par l'inter  médiaire d'un circuit partant des     contacts    C8       (fig.    480) et     passant    à travers     les    contacts       8201G    et     R21G.    Le relais R58 ferme ses con  tacts R58C     (fig.    48E) pour permettre aux  contacts C15 de fournir une     impulsion    de  fonctionnement     poshtive    au relais de com  mande de triage     8116P    qui     est    excité.

   Con  jointement avec le fonctionnement de l'émet  teur E18, L'excitation du relais 8116P a pour  effet de     transmettre    la fiche poinçonnée d'un   10  dans la poche  0 , de la façon décrite       ci-dessus    en référence à la     fig.    49A. Il con  vient d'expliquer que du fait que le commu-         tateur    de phase     S2    a été     mis    dans sa     position     1, aucun des relais de la     fig.    48B, commandé  par ce commutateur, n'est excité.

   Par consé  quent,     l'impulsion    de contrôle fournie à par  tir des     contacts        Cll    traverse la résistance de  1000 ohms     (fig.    48E) par     l'intermédiaire    des  contacts normalement fermés 8201C,     R58D,     <I>8212D</I> et 8201E pour aboutir à la douille  PS22 au lieu de parvenir aux contacts- des re  lais R201 et R24.  



  Les     relais    R57 et R58 sont destinés à per  mettre aux     circuits    de     comptâge    et de triage  d'être reliés par des connexions à fiches pour  former     un        circuit    série unique pour différents  types de fonctionnement.

   Lorsque l'impulsion  de contrôle     passe    correctement à travers ce  circuit, ces     relais    sont également destinés à  convertir le circuit de contrôle en un jeu de,  circuits parallèles pour permettre le fonction  nement des relais de triage et des     électro-          aimants    de compteur,

   sous l'effet d'impulsions  fournies à     ces        circuits        parallèles.    Cette dispo  sition est nécessaire du fait que la connexion  en série de     tous    les différents relais et     électro-          aimants        qui        peuvent    être     inclus    dans une sé  rie de circuits de commande peut avoir pour  effet de former un circuit série     inique    de con  trôle de résistance variable, cette résistance  pouvant être très élevée.

   C'est pour cette rai  son qu'un tube électronique est utilisé pour  contrôler le passage de l'impulsion de contrôle       dans    ce circuit plutôt     qu'un    relais. En effet,  un tel tube peut réagir immédiatement à     suie     simple modification de potentiel     n'impliquant     pas     nécessairement    le passage d'un courant  appréciable.  



  Une fiche quelconque poinçonnée d'un  nombre     compris    entre  10  et  19  a le même  effet en ce qui concerne     les    circuits mis en jeu.       Etant    donné que chacune de ces fiches est  poinçonnée d'un  1  dans sa colonne des di  zaines, et d'un chiffre compris entre  0  et   9      dans    sa colonne des unités, seuls le     sélec-,          teur    de     recodification    1 et la colonne d'ex  trême gauche     d'emmagasinage    de chiffre sont  mis en: jeu.  



  Si une fiche est poinçonnée d'un chiffre  compris entre  20  et  29 , le sélecteur de           recodification    2 est excité et le circuit par  tant de la douille PS22 s'étend à travers     les     contacts normalement fermés du sélecteur 1  et     les    contacts normalement ouverts du sélec  teur 2 jusqu'à la douille  C  PS39 du second  groupe     d'emmagasinage    de chiffre à partir  de la gauche     (fig.    49B).

   Le second chiffre de  cette fiche est enregistré dans     les    trois ordres  du dispositif     d'emmagasinage    de     chiffre.    En  admettant que cette fiche soit poinçonnée  d'in  20 , l'impulsion     parvient    à la douille   C  PS39 et dé là à la douille  0      PS40.    A  partir de cette     douille,    l'impulsion est trans  mise à.

   la     douille     0  PS55 par l'intermédiaire       d'une    connexion à     fiches.    Cependant, cette  fois-ci,     l'impulsion    passe à travers une paire  de contacts<I>8209B</I>     (fig.    48R) et parvient à la  douille  E  PS38 supérieure et de là à la       douille     12      PS54.    Cette impulsion est     ensuite     transmise vers le bas par l'intermédiaire     des     contacts<I>8207B,</I> 8204B, 8203B, 8212F et du  relais  12  8118P, le reste du circuit     étant    le  même qu'auparavant,

   si bien que la fiche       poinçonnée        d'un     20      est    dirigée vers la poche   12 , le tube     Z'123    étant amorcé et les relais  R57 et R58 étant excités comme auparavant.  Il en     est    de même lorsque la fiche est     poin-          çonnée    d'un  29  par exemple, la seule diffé  rence étant que la     douille     9  PS55 est mise  en jeu au lieu de la douille  0      PS55,    et le       relais    8118P     est    à nouveau excité.  



  Il est     évident        .qu'au    cours de la première  phase de triage,     une    fiche quelconque poin  çonnée     d'.un    chiffre compris entre  20  et   29  est déposée     dans    la poche  12 .  



  De façon très analogue, les fiches poin  çonnées     d'tin    chiffre compris entre  30  et   34  sont     respectivement        déposées    dans les  poches  0  à  4 . On remarquera à la     fig.    49B  que le troisième groupe d'emmagasinage de  chiffre à partir de la gauche est     relié    au  moyen d'une connexion à fiches à la rangée de       douilles    PS56 de la même façon que les douil  les P854 et PS55 et que la douille  E  PS38  correspondant à cette rangée     est        reliée    par  une connexion à fiches à la douille  11      PS54.     Par     conséquent,

      les     fiches        poinçonnées        d'un     chiffre compris entre  30  et  34  provoquent         Pexeitation    du sélecteur de     recodification    3,  si bien que     des    poches  30  à  34  sont choi  sies au moyen du =troisième groupe d'emma  gasinage de chiffre. Par exemple, supposons  qu'une fiche soit poinçonnée d'un  31 .

   Le  sélecteur de     recodification    3     est    excité et l'im  pulsion transmise à partir de la douille PS22  parvient à la douille  C  P839 par l'intermé  diaire     des    contacts normalement fermés     des     sélecteurs de     recodification    1 et 2 et des con  tacts normalement ouverts du sélecteur de     re-          codification    3.

   A partir de cette douille  C        PS32,    cette impulsion parvient à la douille   1  PS40 du troisième groupe d'emmagasi  nage de chiffre et de là à la douille  1      PS56,     vers le bas     (fig.    48R) et par l'intermédiaire  des contacts 8206A jusqu'à la douille      E      PS38 inférieure et à la douille  11      PS54.    A  partir de cette douille, le circuit par lequel  passe cette impulsion s'étend vers le     bas.jus-          qu'au    relais  11 <I>8117P</I> à travers     les    con  tacts<I>8207B,</I> 8204B et 8203B.

   Ce circuit est  naturellement contrôlé au moyen du tube  V123, et les relais R57 et     R58    fonctionnent  pour provoquer l'émission d'une impulsion  subséquente à l'impulsion de contrôle et pour  exciter le relais 8118P.  



  A la fin de la première course de la ma  chine, toutes les     fiches        poinçonnées    d'un chif  fre     compris    entre  10  et  19  ont été triées  dans des poches  0  à  9  et peuvent être  empilées, les fiches 2     au-dessus    des fiches 1,  les fiches 3     au-dessus    des fiches 2,     ete.,    pour       les    placer dans l'ordre de 10 à 19 en allant  du chiffre inférieur jusqu'au chiffre supé  rieur.     Ces    fiches sont correctement triées et. il  n'est pas nécessaire de les faire passer à nou  veau dans la machiné.  



  Pour la course de seconde phase de la ma  chine, le commutateur de phase S2 est mis en  place en position de phase 2. Les     groupes    de  relais R207 à R210 et C893 sont ainsi     excités.     Les fiches qui avaient été déposées     dans    la  poche  12  sont retirées de cette poche et sont  replacées dans le     magasin.    Ces fiches ne sont  pas triées par ordre, mais doivent être     triées     par ordre numérique au cours de la course de  phase 2 de la machine.

        En mettant le commutateur 82 dans sa  position de     phase    2, on sépare les     douilles          PS54    des relais de triage 8107P à 8118P qui  sont alors reliés     aux    douilles     PS55.    Les liai  sons     des        douilles    PS56 restent inchangées du  fait que le relais R206 n'est pas excité.

   Lors  qu'on fait à nouveau passer les fiches     poin-          eonnées    d'un chiffre compris entre  20  et   29  dans la.     machine,        aucun    circuit n'est plus  établi sous     commande    du sélecteur de     recodi-          fication    1 puisque aucune de ces     fiches    n'est  poinçonnée     d'in     1      .dans    la colonne des di  zaines.

   Cependant, pendant cette course, les  fiches     poinçonnées    d'un chiffre compris entre   20  et  29  auront le même effet sur le se  cond groupe     d'emmagasinage    de chiffre et  sur le sélecteur de     recodification    2, par  l'intermédiaire     des        douilles        PS55,    que celui  qu'avaient eu les fiches poinçonnées d'un chif  fre compris entre  10  et  19      sur    le premier  groupe d'emmagasinage de chiffre et sur le  sélecteur de     recodification    1, par l'intermé  diaire des douilles     PS54.    Supposons par  exemple qu'une fiche soit poinçonnée d'un   24 .

   Cette fiche provoquera l'excitation du       s6lecteur    de     recodification    2 et l'impulsion de  contrôle     transmise    à partir de la douille PS22  parviendra à la     douille     C      PS39    du second  groupe     d'emmagasinage    de chiffre par l'in  termédiaire des contacts normalement fermés  du sélecteur 1 et des     contacts    normalement       ouverts    du sélecteur 2.

   A partir de cette       douille     C      PS39,    cette     impulsion        parvient    à  la douille  4  PS40 et à la douille  4  PS55  d'où     elle    est     dirigée    vers le bas     (fig.    48R)  jusqu'au relais  4  8112P, par l'intermédiaire  des contacts<I>8209B,</I> 8207B,<I>8204B</I> et 8203B.  Ainsi, la poche  4  est choisie pour cette  fiche.

   De façon     semblable,        les        autres    fiches  seront déposées dans les poches  0  à  9  et  seront ainsi classées par ordre numérique,       prêtes    à être ajoutées aux fiches du premier  groupe.  



  Pour la course de troisième phase de la  machine, le     commutateur    S2 est mis en place  dans sa position de phase 3, excitant     ainsi    les  relais R204, R205,     R206,        R211    et le     relais     R209 par l'intermédiaire des contacts 8211A.         L'excitation    du relais R206 provoque la  fermeture des contacts. 8206B     (fig.    48R) et les       douilles        P,556    sont     ainsi        reliées        aux    relais de  triage 8107P à 8118P.

   Ainsi, pendant la troi  sième phase de l'opération de triage,     les    fiches  sont réparties entre les poches  0  à  4  de  la même façon générale que     celle    décrite  auparavant, sauf que, dans ce cas, le sélecteur  de     recodification    3 et le troisième groupe  d'emmagasinage de chiffre à partir de la gau  che de la     fig.    49B sont utilisés.  



       Supposons    par exemple qu'une fiche soit       poinçonnée        d'in     31 . Du fait qu'un  3  est  poinçonné dans la colonne 10, le sélecteur de       recodification    3 est excité et établit un cir  cuit à partir de la douille     PS22.    Ce circuit  s'étend jusqu'à la douille  C      P839    du troi  sième groupe d'emmagasinage de chiffre à  travers les contacts normalement fermés des  sélecteurs de     recodification    1 et 2 et les con  tacts normalement ouverts du sélecteur de     re-          codification    3.

   A partir de la douille  C        PS39,    ce circuit s'étend jusqu'à la douille  1        P840    et de là jusqu'à la douille  1  PS56       (fig-    48R) et au relais 8115P, par l'intermé  diaire des contacts 8206B, 8208B, 8204A et  <I>8203B.</I> Ce circuit est contrôlé et il est trouvé  fermé. Une     impulsion        d'actionnement    est  fournie au relais 8115P du fait du fonction  nement du tube V123 et     des    relais R57 et     R58,     et la fiche poinçonnée d'un  31  est déposée  dans la poche  1 .  



  On se rend compte qu'il est possible de       classer    toutes     les    fiches portant des poinçon  nages- quelconques compris entre  10  et  34   par ordre numérique, au cours de trois courses  complètes de la machine et     qu'il        n'est        n6ces-          saire    de faire passer deux fois dans la ma  chine que les fiches déposées dans les poches   11  et  12  au cours de la première course.  



  Lorsque la     dimension    des groupes respec  tifs, c'est-à-dire la quantité relative des fiches  de chacun de     ces    groupes     est        connue    d'avance,  il est possible de connecter la machine de fa  çon que le groupe     qui    contient le plus grand  nombre de fiches ou le groupe le plus     commun     soit -choisi pour être rangé par ordre niunéri-      que au cours de la première course. Selon le  fonctionnement choisi dans des buts d'expli  cation, les     fiches    sont placées par ordre, en  commençant par le nombre le plus faible et  en terminant par le nombre le plus élevé.

   Ce  pendant, il     est    possible de connecter la ma  chine de façon que la     classification    des fiches  se     fasse    à partir des nombres de groupe les  plus communs et les plus élevés jusqu'aux  nombres .de groupe les plus petits et les     moins     fréquents. En effet, il peut se produire que  les groupes caractérisés par- un nombre supé  rieur soient plus     communs    ou     comprennent     un     phis    grand nombre de fiches par nombre  caractéristique que -le premier groupe.

   Par  exemple, dans l'exemple précédent illustré à  la     fig.    49B, il pourrait y avoir beaucoup     plais     de fiches caractérisées par le nombre  30   que de fiches     désignées    par un  10 . Dans ce  cas, il pourrait être avantageux d'inverser       l'ensemble    de     connexions    représenté à .la       fig.    49B et de trier les fiches     désignées    par  des chiffres compris     entre     10  et  19>> dans  la poche  l1  afin de trier en premier lieu  par ordre numérique les     fiches    désignées par  un chiffre compris ente  30  et  34 .

   Cette  disposition peut être spécialement avantageuse  lorsqu'il y a -un. plus grand nombre de fiches       détaillées    et déterminantes dans les groupes  caractérisés par des     nombres        phis    élevés par  exemple. Dans     une    organisation d'affaires, les       nombres    de comptes de rang plus élevé peu  vent être plus importants ou plus détermi  nants et correspondre à un plus grand nom  ;     bre    de     transactions    ou de mouvements finan  ciers que     quelques-uns    des comptes plus  anciens qui peuvent être caractérisés par une  activité sporadique.

   On dit     alors    que     les    fiches  correspondant à ces comptes plus récents sont  plus  actives  que les fiches correspondant  aux     anciens    comptes.  



  Dans     certaines    conditions, il     petit    être dé  sirable d'arrêter la machine lorsque le circuit  de contrôle n'est pas fermé. Les     relais    R57 et  R58 comprennent     des    contacts<I>R57C et R58C</I>       (fig.    48E) qui sont disposés en série avec     les          contacts    C16 et avec le     relais        .9141P.    Si le cir  cuit de contrôle est correctement établi,     les       deux relais R57 et R58 sont excités et fer  ment leurs contacts<I>R57C</I> et     R58C,

      si bien  que le relais 9141P est excité à     l'instant    où  les impulsions de comptage et de triage sont  produites pour provoquer l'excitation des re  lais de commande de triage 9107P à 9118P       et/ou    des     électro-aimants    de compteur qui  peuvent être     reliés    par des connexions à  fiches aux douilles P821 et     PS26.    Si     les          douilles    PS44 et PS45 de      refus-stop         (fig.    41  et 48H) sont reliées par des connexions à       'fiches,

      l'excitation dans ces     conditions    du re  lais 9141P empêche l'excitation .du relais de        refus-stop         R8P.    Cependant, ceci ne se pro  duit pas lorsque le relais 98P est directement  relié par une connexion à fiches à la douille  P844 du fait que, dans ces conditions, l'im  pulsion destinée à exciter le relais     R8P    ne  passe pas à travers les contacts 9141A       (fig.    48H) du relais 9141P, mais qu'elle peut  être produite à partir du circuit des sélec  teurs de     recodification.    Si les relais R57 et  R58 ne sont pas excités,

   le relais 9141P  n'est pas excité     non    plus et le relais     R8P    est  excité pour arrêter la machine.  



  La     fig.    49B représente l'ensemble de con  nexions pour un jeu complet de nombres com  pris entre  10  et  34 ,     mais    il est évident  qu'un nombre de connexions à fiches quelcon  que entre les groupes d'emmagasinage de chif  fre et les     douilles        PS54,    PS55 et PS56 pour  rait être supprimé au cas où il n'y aurait pas  de fiche portant des poinçonnages     correspon-          dant    à ces nombres. Par exemple, s'il n'y avait  pas de fiche portant. un poinçonnage  22 , la  connexion à fiches reliant la douille  2  PS40  à la douille  2  PS55 pourrait être supprimée.  



  Dans l'exemple     représenté    à la     fig.    49B,  on a     admis    que le triage initial des fiches sub  divisait     celles-ci    en autant de groupes qu'il  était nécessaire au cours de trois courses de  la, machine et que, au cours de la seconde et  de la troisième course, il était seulement né  cessaire de trier les fiches qui avaient été dé  posées respectivement dans les poches  12  et   11  au cours de la première course.

   Au     cours     des phases 2 et 3 également, il n'était pas né  cessaire de fournir des fiches aux poches  11       et  12 , bien que la douille  E  PS38 corres  pondant à la rangée PS56 soit     réunie    par une  connexion ù     fiches    à la douille  11      PS54.     



  La     fig.    49C illustre le fonctionnement de  la machine pour le triage de fiches conformé  ment à la longueur alphabétique     des    noms  que portent ces fiches. Le but de cette opéra  tion est de réduire le temps nécessaire pour  trier les fiches par ordre alphabétique en évi  tant de faire     repasser    plusieurs .fois à travers  la machine les fiches portant des noms     courts,     pour les colonnes du champ d'enregistrement  alphabétique qui ne sont pas poinçonnées du  fait que le nom est court.  



  Du fait que de nombreux noms     très        com-          niuns    sont relativement longs, le triage par  ordre alphabétique nécessite un grand nombre  de passages de chaque fiche dans la. machine à  trier, ce     qui    rend ce type de triage très lent  et occupe la machine pendant un temps con  sidérable. Pour cette     raison,    toute économie  dans la durée d'occupation de la     machine    est  très importante.  



  On admettra que les colonnes 1 à 10 sont       attribuées    aux noms de famille, l'initiale ou  les initiales de ces noms se trouvant dans les  colonnes 1 des différentes fiches.     Ainsi,    le  nom      Smith     serait poinçonné dans les co  lonnes 1 à 5.

   Les douilles     PS1    pour les co  lonnes 1 à 10 sont séparément réunies par  des connexions à fiches aux douilles     PS3,        s2     bien que le sélecteur de     recodification    1 est  excité par -un     poinçonnage    quelconque se  trouvant dans la colonne 1 et que, à l'opposé,  le sélecteur de     recodification    10 est excité par  un poinçonnage quelconque     présent    dans la  colonne 10.

   Les douilles     PS2    pour les sélec  teurs de     reeodification    1 à 10 sont reliées  entre elles par     -des    ponts, et     celle    de ces  douilles correspondant à la colonne 10 est re  liée à la     douille     12-9 <I>PS57</I> au moyen     d'une     connexion à fiches.

       Etant    donné que la douille  <I>PS57</I> est une source d'impulsion pour chaque  position repère à partir de  0  jusqu'à  9 ,   11  et  12 , chacun des sélecteurs de     recodi-          fication    1 à 10 est excité chaque fois qu'un       poinconnage    se présente dans la colonne cor  respondante d'une fiche.

   Par exemple, le sé-    lecteur de     recodification    10 est excité lors  qu'Un poinçonnage quelconque est contenu  dans la colonne 10, et il en est de même pour  les autres sélecteurs de     recodification.    Les  contacts normalement fermés des sélecteurs de       recodification    sont reliés en série et à la  douille     PS22,

      et     les    contacts normalement  ouverts sont     reliés    séparément aux     douilles          PS56.    On se rappellera que     ces    douilles per  mettent     l'excitation        des    relais de triage R107P  à     R118P.    Le tube V123 est rendu efficace au  moyen d'un pont disposé entre la douille   S  PS29 et la     douille         SH         PS28.    Pour cette  opération, le     commutateur    de phase peut être  disposé soit en position      Hors ,    soit dans sa  position de phase 1.  



       Admettons    que la première fiche présente  un poinçonnage     dans    :ã colonne 7.0, ce qui     si-          gui-fie    que le champ attribué au nom est en  tièrement poinçonné d'un nom aussi long que  la fiche peut le recevoir. II convient d'expli  quer ici que selon la méthode      IBM ,    chaque  lettre     est        caractérisée    par une     combinaison    de  deux poinçonnages, si bien qu'il devrait y  avoir deux     poinçonnages    à la colonne 10.

   Ce  pendant, l'un quelconque de ces poinçonnages  sera efficace et celui qui est rencontré le pre  mier par le balai B correspondant à la co  lonne 10 sera celui qui rendra effectivement       efficace    le sélecteur de     recodification    10.

   Cette       disposition    permet de faire passer l'impul  sion de contrôle à partir de la     douille    PS22       jusqu'à    la     douille     9  PS54     (fig:    48R) à tra  vers les contacts normalement ouverts du sé  lecteur de     recodification    10, et elle permet  également d'exciter finalement le relais de       commande    de triage  9  R107P de la même  façon que décrit précédemment. Il en     résulte     qu'une fiche comprenant un poinçonnage  dans sa colonne 10 est déposée dans la poche   9 .

   Si la fiche avait été     poinçonnée    dans sa       colonne    9,     mais    pas     dans    sa colonne 10, le sé  lecteur de     recodification    9 aurait été excité et  la poche  8  aurait été choisie. L'impulsion  de contrôle part de la droite et elle est trans  mise vers la gauche jusqu'à ce qu'elle attei  gne un sélecteur de     recodification    dont les  contacts normalement ouverts sont fermés, et           ce-sélecteur    -de     recôdification    détermine la ré  partition de la fiche. Chaque fois qu'un cir  cuit est établi de la façon décrite, l'impulsion  de contrôle détermine tout d'abord si le cir  cuit est continu.

   Au cas oui ce circuit ne serait  pas     continu,    le tube V123 ne serait pas  amorcé et la fiche serait rejetée pour être  inspectée ainsi qu'on fa expliqué plus haut.  



  La     fig.    49D     montre    la façon dont la ma  chine est connectée pour l'opération de triage  par ordre alphabétique, le problème consis  tant à placer les fiches par ordre alphabéti  que. Les lettres de l'alphabet sont caractéri  sées par des .combinaisons de deux poinçon  nages conformément au code suivant:

    
EMI0074.0006     
  
    <I>Table <SEP> I:</I>
<tb>  <I>Code <SEP> alphabétique.</I>
<tb>  A-12, <SEP> 1 <SEP> J <SEP> --11, <SEP> 1 <SEP> S <SEP> -0, <SEP> 2
<tb>  B <SEP> - <SEP> 12, <SEP> 2 <SEP> K <SEP> - <SEP> 11, <SEP> 2 <SEP> T <SEP> - <SEP> 0, <SEP> 3
<tb>  C <SEP> - <SEP> 12, <SEP> 3 <SEP> L <SEP> - <SEP> 11, <SEP> 3 <SEP> U <SEP> - <SEP> 0, <SEP> 4
<tb>  D-12, <SEP> 4 <SEP> 1I-11, <SEP> 4 <SEP> V <SEP> -0, <SEP> 5
<tb>  E-12, <SEP> 5 <SEP> N-11, <SEP> 5 <SEP> W-0, <SEP> 6
<tb>  F-12, <SEP> 6 <SEP> 0-11, <SEP> 6 <SEP> X <SEP> -0, <SEP> 7
<tb>  G-12,7 <SEP> P-11,7 <SEP> Y-0,8
<tb>  1=I <SEP> - <SEP> 12, <SEP> 8 <SEP> Q <SEP> - <SEP> 11, <SEP> 8 <SEP> Z <SEP> - <SEP> 0, <SEP> 9
<tb>  1 <SEP> -12, <SEP> 9 <SEP> R-11, <SEP> 9       Il convient d'expliquer- que     dans    les con  ditions normales,     lorsqu'on,

      utilise une ma  chine     _    à trier ordinaire, il est nécessaire de  faire     passer    chaque fiche deux fois dans la  machine pour chacune des     colonnes"    afin de  séparer les fiches selon les     poinçonnages     0 ,   11  et  12 ,     communément    appelés poinçon  nages de zone, ces fiches passant une seconde  fois dans la machine pour être alors triées  par ordre selon les poinçonnages  1  à  9 ,  communément     nommés        poinçonnages    numéri  ques.

   Ces deux courses sont superflues     dans    la       machine    décrite, du fait que, avec la disposi  tion de connexion représentée à la     fig.    49D,  les lettres     les    plus fréquentes sont disposées  par ordre alphabétique correct     aii    cours d'une  seule course de la     machine    et qu'il n'est dès  lors pas     nécessaire    de les trier à nouveau de  la même     façon-    que celle décrite en référence  à la     fig.    49B, c'est-à-dire par élimination.

   La    machine est en effet connectée pour rejeter  les fiches caractérisées par certaines lettres  plus rares et pour faire parvenir les autres  dans la poche  12 , si bien que les fiches res  tantes sont classées par ordre alphabétique à  la suite de deux courses de la machine seule  ment. Les fiches qui     parviennent    dans les  poches  0  à  9  restent     dans    ces poches après  la première et la seconde course et, après la  troisième course, ces mêmes fiches se     trouvent.     classées par ordre alphabétique également. Il  est ainsi possible d'économiser un temps con  sidérable pour le triage par ordre alphabéti  que, ce qui n'est pas     possible    avec les ma  chines à trier numériques commerciales ordi  naires.  



  En référence à la     fig.    49D, on remarquera  que le commutateur de sélection de colonne a  été relié par     des    connexions à fiches aux co  lonnes 1 à 10     correspondant    aux colonnes des  fiches dans lesquelles les noms sont poinçon  nés, l'initiale de chaque nom étant contenue  dans la colonne 1, comme c'est le cas à la       fig.    49C. Ainsi,     la    colonne 1 est reliée à la po  sition 1 du commutateur de sélection de co  lonne, -et la colonne 10 à la position 10 de ce  commutateur.

   Afin de bénéficier des avan  tages du triage préalable par longueur de  nom, l'opération de triage débute générale  ment par la colonne d'ordre supérieur du  champ attribué au nom; dans le cas considéré,  cette colonne est la colonne 10, et le commu  tateur de sélection de colonne est mis en posi  tion 10.

   Les sélecteurs de     recodification    1, 2  et 3 sont reliés par des connexions à     fiches    à  l'émetteur     IG1,    E13 du schéma électrique, si  bien que des impulsions  0 ,  11  et  12   provoquent l'excitation     des    sélecteurs de     reco-          dification    1, 2 et 3 à condition que des poin  çonnages se présentent aux positions repère  correspondantes     des    colonnes choisies de la  fiche. La     douille     C      PS5    de l'émetteur de  chiffre M est reliée par une connexion à     fiches     à la douille  C  PS10 du commutateur de sé  lection de colonne.

   Les     douilles     1  à<I> 9 </I>     PS4     de l'émetteur     L11    sont reliées entre elles par des  ponts et par -une connexion à fiches à trois  des . groupes d'emmagasinage de chiffre, si      bien que da partie numérique du code d'une  colonne quelconque, par rapport à laquelle les  opérations de triage sont effectuées,     est    emma  gasinée dans ces     trois    groupes d'emmagasi  nage de chiffre.  



  Supposons que la colonne 10 soit poin  çonnée d'un  A  correspondant ,à la combinai  son d'un poinçonnage  12  et d'un poinçon  nage  1 . Deux     impulsions    sont émises par le  balai B de la colonne 10 et sont transmises à  partir de la douille     PS1    de la colonne 10.

   Ces  impulsions traversent la position 10 du com  mutateur .de sélection de colonne et aboutis  sent à la 'douille PS10 et de là à la douille  C        PS5    de l'émetteur     31.    En 1 du cycle, du fait  de la présence     d'un    poinçonnage  1 ,

   une       impulsion    est émise à partir de la     douille     1        PS4    par     l'émetteur        M    E13 et parvient aux  trois douilles PS16 d'excitation des dispositifs  d'emmagasinage de chiffre     pour    provoquer  l'emmagasinage du chiffre 1 dans     ces    trois  groupes     d'emmagasinage    de     chiffre.    En  12   au cours du même cycle; le poinçonnage  12   établit un circuit analogue à travers le seg  ment.

    12  de     l'émetteur    de chiffre     31,    ce cir  cuit aboutissant à la douille  12      PS4    et pro  voquant l'amorçage du tube du sélecteur de       recodification    1, du fait que l'émetteur de  chiffre A E1 fournit à cet instant une impul  sion à la grille-écran de ce même tube,     cepen-          clant    que l'impulsion  12  mentionnée     ci-          dessus    est appliquée à sa     grille    de     commande     à.

   partir de la douille     PS4.    Les contacts nor  malement ouverts du     sélecteur    de     recodifica-          tion    1 sont     ainsi    fermés. Les sélecteurs de     re-          codification    2 et 3 ne sont pas excités pour  cette fiche du fait qu'elle ne présente ni poin  çonnage  11  ni poinçonnage  0 .  



  Il en résulte que l'impulsion de contrôle  émise à partir de la douille PS22 passe à tra  vers les     contacts    normalement ouverts du  sélecteur de     recodification    1 pour parvenir  jusqu'à la douille  C  PS39 du premier  groupe d'emmagasinage de chiffre de gauche       (fig.    49D). De là., cette     impulsion    est trans  mise à la     douille     1  PS40 du premier  groupe d'emmagasinage de chiffre de gauche       (fig.    49D), au-dessus du chiffre  12  et de    la flèche, et à la     douille     11  PS54 pour pro  voquer l'excitation du relais 11 et pour en  voyer - la fiche poinçonnée d'un  A  dans la  poche  11 .

   De façon semblable, des fiches       poinçonnées    de  A ,  C ,  E ,  G  et  I   dont les combinaisons comprennent un poin  çonnage  12  et un poinçonnage de numéro  tation impaire sont respectivement conduites  dans les poches  11 ,  0 ,  1  et  3 .  



  Bien qu'il y ait     -des        vides,    ces fiches se  trouvent horizontalement par ordre alphabé  tique à partir de la poche  11  jusqu'à. la  poche  3  et peuvent être     laissées    dans ces       poches.     



  Si une fiche     est        poinçonnée    d'un  B  cons  titué par la combinaison     d'un    poinçonnage   12  et     d'un     2 ,     l'impulsion    de contrôle par  vient à. nouveau     jusqu'à    la douille  C  PS39  et tente de parvenir jusqu'à la douille  11   PS55 à partir de la. douille  2      PS40.    Cepen  dant, dans ce cas, la douille  E  PS38 n'est  pas     reliée    par une connexion à fiches et le  circuit ne peut être établi, si bien que cette  fiche     poinçonnée    d'un  B  est rejetée.

   Il en  est de même lorsque les fiches sont poinçon  nées de      D ,     F  et - H ,     ces        lettres        corres-          pondant    à     des    combinaisons de poinçonnage        l2     et -de poinçonnages numériques pairs.

   Ceci  est dû au fait que la rangée médiane de       douilles    PS55     n'est    pas reliée par une con  nexion à fiches à la douille      E         PS38,    si bien  qu'aucun circuit ne peut être .formé jusqu'au  tube V123 par     l'intermédiaire    des douilles  PS55 pendant la course de     phase-l    et que les  fiches sont rejetées dans tous ces cas.  



  Si une fiche est poinçonnée d'un  L ,  N ,   0  ou d'un      R ,    ces     lettres    étant représen  tées par des combinaisons comprenant un  poinçonnage  11 , le sélecteur de     recodifica-          tion    2 est excité et l'impulsion de contrôle  fournie à partir de la douille PS22 passe à  travers les contacts normalement fermés du  sélecteur de     recodification    1 et les contacts  normalement ouverts du sélecteur de     recodifi-          cation    2     pour        parvenir    à la douille  C  des       groupes        d'emmagasinage    de  <RTI  

   ID="0075.0079">   chiffre,    au-dessus  du     chiffre     11  et de la     flèche        (fig.    49D) à la       fig.    48D. Lorsque la lettre est un  L  repré-           senté    par la' combinaison     d'tui     11  et d'un   3 ,     l'impulsion        est    transmise à partir de la  douille  3  PS40 à la douille     - 4     PS54 et la  fiche poinçonnée d'un  L  est amenée dans  la poche  4 .

   De façon semblable, des fiches       poinçonnées     N ,  0  et      R,     sont déposées       respectivement.    dans les poches  5 ,  6  et   7 . Des fiches     poinçonnées     J ,  <      iVI     et  P   sont     rejetées,        les        douilles     1      PS40,     4  PS40  et  7  PS40 du groupe d'emmagasinage de  chiffre attribuées au  11  étant reliées aux       douilles     3 ,  4  et  6  du groupe de       douilles        PS55.     



  Des fiches poinçonnées  K  et  Q  sont  déposées dans la poche  12  du fait que les  douilles  2  et  8  du groupe de     douilles     PS40 sont reliées aux     douilles     3  et  6  du  groupe de douilles     PS56,    au-dessus du  0  et  de la flèche     (fig.    49D), si bien     qu'un    circuit  est établi à travers la     connexion    à     fiches    re  liant la douille PS38 à la douille  12      PS54     de la     façon    .décrite     ci-dessus.     



  Un circuit     typique    pour le     choix    de la poche   12  peut être suivi pour la lettre      K     re  présentée par la     combinaison    de poinçonnages   11  et  2 . Le sélecteur de     recodification    2  est     dans    ce cas excité et     l'impulsion    de con  trôle rencontre un circuit continu à travers  les contacts normalement fermés du sélecteur  1 et     les    contacts normalement ouverts du sé  lecteur 2, jusqu'à la     douille     C  PS39 du se  cond groupe d'emmagasinage de chiffre à par  tir de la gauche ou groupe  11 .

   De là, cette       impulsion        est    transmise -à la douille<I> 2  PS40</I>  et à la douille  3  PS56 d'où elle parvient à  la     douille     E  PS38     correspondant    à la ran  gée de douilles PS56 et -à la douille  12 <I>PS54</I>  pour déterminer l'acheminement de la fiche  vers la poche  12 .  



  Des fiches     ,poinçonnées    de  U  et  X  re  présentées par des combinaisons de     poinçon-          nages     0  et  4  et  7  respectivement sont  acheminées vers les poches  8  et  9 : Dans  ce cas, le sélecteur de     recodification    3 est  excité et l'impulsion de contrôle passe à tra  vers les contacts normalement fermés des sé  lecteurs de     recodification    1 et 2 et les contacts  normalement ouverts du sélecteur de recodi-         fication    3 pour parvenir à la douille  C   PS39 du groupe d'emmagasinage de chiffre   0 , au-dessus du  0  et de la flèche à la       fig.    49D.

   La douille  4  du groupe de douilles  P840 correspondant au groupe d'emmagasi  nage de chiffre mentionné     ci-dessus    est reliée  à la douille  8      PS54,    et la douille  7  PS40  est reliée à la douille  9      PS54,    si bien que  le circuit de contrôle peut être établi par l'in  termédiaire de ces douilles respectives pour  provoquer l'acheminement de fiches poinçon  nées d'un  U  et d'un  X  directement vers  les poches respectives  8  et  9 .

   Des     fiches          poinçonnées    de  S ,  V  et  Y  sont. rejetées  du fait que les douilles  2 ,  5  et  8  du  groupe de douilles PS40 sont reliées respecti  vement aux     douilles     7 ,  8  et  9  du groupe  de douilles     PS55.    Des fiches poinçonnées de   T ,      W     et  Z  sont déposées dans la poche   12  puisque les douilles  3 ,  6  et  9  du  groupe de douilles PS40 sont respectivement  reliées aux douilles  7 ,  8  et  9  du groupe  de douilles     PS56.     



  On remarquera que les trois relais de     re-          codification    1, 2 et 3, en combinaison avec les  trois groupes d'emmagasinage de chiffre dé  signés respectivement par  12 ,  11  et  0   et par des flèches, constituent des moyens  pour former des circuits représentant les let  tres séparées et que, pendant la course de  phase 1 de la machine, les fiches sont     répar-          ti-es    en trois groupes:     un    groupe dans lequel  ces     fiches    sont rangées par ordre alphabéti  que,     les    deux autres groupes n'étant pas triés,  mais étant acheminés, respectivement dans les       poches     11  et de refus.

   Le commutateur de  phase est maintenant placé dans sa     position     de phase 2 et     les    fiches qui avaient été dépo  sées dans     ;la    poche de refus sont replacées  dans la machine pour     tune    deuxième course.  



  Les relais commandés par le commutateur  de phase ont le même effet que dans le cas  examiné en référence à -la     fig.    49B, c'est-à-dire       qu'ils    décalent les connexions de triage des  tinées à exciter les relais de triage, à partir  de la rangée supérieure des douilles PS54 à  la rangée médiane des douilles     PS55.    Ainsi,  pendant la course de phase 2 des fiches,     les         circuits qui aboutissent aux     douilles    PS55 du  fait qu'ils n'étaient pas     reliés    à partir de la       douille     E  séparément aux douilles  12  ou   11      PS54,

          rétablissent    maintenant     des        cir-          5    cuits directs     correspondant    aux poches  0  à   9  et ont pour effet de diriger les     fiches    ca  ractérisées par des lettres  B ,  D ,  F ,   H ,  J ,  M ,  P ,      .S ,     V  et  Y  par  ordre alphabétique vers les poches  0  à  9 .  



       i    Le commutateur de phase     est    alors placé  dans sa position de phase 3 et les fiches qui  avaient été recueillies dans da poche  12  au  cours de la première phase sont maintenant  replacées     dans    la machine et sont triées  dans les     poches     3  et  6  à  9  respective  ment. Le groupe de     fiches     11  se trouvant  dans des poches peut     maintenant    être empilé  à la     main.    par ordre correct et le commutateur  sélecteur de colonne est déplacé en arrière  jusqu'à sa position 9, tandis que le commuta  teur de phase est ramené dans sa position de  phase 1.

   La série d'opérations décrite est à  nouveau effectuée pour remettre les fiches  en place conformément aux     poinçonnages     .figurant dans leur colonne 9 respective,     ces     fiches étant fournies à la machine conformé  ment à leur ordre alphabétique ascendant par  rapport à la colonne 10.  



  Pendant des trois courses de la machine       i    pour la colonne 9, les fiches sont combinées  avec les fiches qui avaient été auparavant  triées par longueur de nom et qui contenaient  un poinçonnage à la colonne 9, mais aucun  poinçonnage à da colonne 10. On économise  ainsi un temps     considérable,    non seulement  pour le triage     des    fiches par ordre alphabéti  que     sous    commande de l'ensemble de con  nexion représenté à la     fig.    49D, mais égale  ment du fait que les fiches ne présentant pas  de poinçonnage dans leurs colonnes 10,

   mais  qui présentent un poinçonnage -dans leurs  colonnes 9 n'ont pas été     fournies    à la machine  au cours des phases pour la colonne 10.  



  Au bout de     trois    courses relatives à la  colonne 9, le commutateur de colonne est dé  placé en position de colonne 8 et le     commuta-          teur    de phase est ramené dans sa position de  phase 1; les fiches qui ne sont poinçonnées    que     jusque    dans la colonne 8 y     comprise    sont       ajoutées    aux fiches -déjà utilisées et trois       courses    de phase sont à nouveau effectuées.  Ces suites d'opérations sont répétées jusqu'à  et y compris la colonne 1 pour achever le  triage des fiches par ordre alphabétique.  



  Au cours de la phase 1 de l'opération de  triage, les fiches poinçonnées de  A ,  C ,   E ,  G ,  I ,  L ,  N ,  0 ,      R ,     U  et   X  sont rangées horizontalement     dans    cet  ordre     dans    les poches  11  et  0  à  9  dans       lesquelles    elles sont laissées. Au cours de la  phase 2, les fiches poinçonnées de  B ,  D ,   F ,      FI ,     J  et  M  sont rangées horizon  talement dans cet ordre dans les poches<B> Il </B>  et<B> 0 </B> à  4  et     les    fiches poinçonnées de  P ,   S ,  V  et      X     sont rangées dans cet ordre  dans les poches  6  à  9 .

   Pendant la course  de phase 3, les fiches poinçonnées de      K      sont     déposées    dans la poche  3  et les fiches       poinçonnées    de      Q ,     T ,      W     et  Z  sont  déposées respectivement dans les poches  6  à   9 .

   Toutes ces fiches sont déposées dans ces  poches, leur face étant     .dirigée    vers le bas, si  bien que, par exemple dans la poche  11 ,     les     fiches  A  se trouvent au fond et les     fichés      B  au-dessus de celles-ci et que dans la  poche  0 , les fiches  C  se trouvent au fond,       au-dessous    des     fiches         D ._    Ainsi, en enlevant  tout d'abord les fiches se trouvant dans la  poche  11  et en empilant     ensuite    les fiches  se trouvant dans les autres poches au-dessus  <U>de</U> ce premier paquet -de fiches, dans l'ordre  0 à 9,

   il se trouve que les     fiches    sont rangées  par ordre alphabétique à partir du bas vers 1e  faut.  



  Dans des conditions moyennes, on constate  que le premier groupe de fiches triées qui  sont rangées par ordre alphabétique au cours  de la course de phase 1 comprennent 67% de  toutes les fiches. Les fiches triées dans les  poches<B> Il </B> à  9  au cours de la course de       phase    2     comprennent        21%        des        fiches,        et        les          fiches    triées pendant la dernière course ne  constituent que le     121/o    du nombre total de  fiches.

   Il serait théoriquement possible de     ga-          gner.encore    du temps en transférant encore       quelques-unes    des lettres de la course de      phase 2 à la course de phase 1, au lieu de       certaines    autres lettres, du .fait que     certaines     lettres du second groupe se rencontrent plus  fréquemment que quelques-unes des lettres du  premier groupe. Cependant, il serait néces  saire à cet effet de déplacer d'autres lettres  du groupe 1 au groupe 2 ou du groupe 2 au  groupe 3, ce qui diminuerait l'efficacité du  triage quant au temps nécessaire.  



  En reliant les sorties d'emmagasinage de  chiffre PS40 aux entrées     PS54,    PS55 et     P856          commandées    par le commutateur de phase à  l'aide de     connexions    à     fiches,    de la façon  indiquée à la     fig.    49D, on obtient une solu  tion de compromis selon laquelle les fiches  sont classées par ordre alphabétique réel, ce       classement    ne nécessitant en moyenne qu'en  viron 1,33 course par colonne de fiche, au lieu  de deux courses par colonne, comme dans les       machines    de triage commerciales ordinaires.

    Par conséquent, une économie de temps d'en  viron     331/o    est obtenue grâce à l'emploi du  commutateur de phase et des sélecteurs d'em  magasinage de chiffre, par rapport à l'instal  lation commerciale ordinaire la     pliïs    rapide.  



  En comparant la     fig.    49D à la fi-. 49B, on  remarquera que les deux opérations auxquel  les se rapportent ces     figures    présentent une  analogie     considérable,    particulièrement en ce  qui     concerne    l'emploi du     conunutateur    de  phase et des groupes     d'emmagasinage-de    chif  fre.

   La principale différence entre ces deux  opérations consiste en ce que les entrées     PS54,     PS55 et PS56     commandées    par le commuta  teur de phase et les sorties d'emmagasinage  de chiffre PS40 sont connectées de façon sy  métrique à la     fig.    49B, si bien que les fiches  sont déposées par ordre numérique réel et  complet au cours de la première course.

   Dans  le     cas    de la     fig.    49D au contraire, les fiches  sont     triées    par suite, mais avec des vides et  sur la base de la fréquence des différentes  lettres, si bien que     :les    lettres le plus rarement  rencontrées ou les chiffres qui leur sont équi  valents sont triés par ordre en premier.

   Si  l'on désirait trier par     ordre-numérique    sur la  base de la fréquence de chiffre, on pourrait  le faire en utilisant     l'ensemble    de connexion,    au-dessus des groupes de contacts de     sélec:          teurs    de     recodification    de la     fig.    49B, en com  binaison avec un mode de connexion     des    con  tacts de sélecteurs de     recodificatior.    et des       groupes    d'emmagasinage de chiffre très sem  blables à celui représenté à la fi-. 49D.  



  Admettons que les fiches soient numéro  tées de 10 à 34. lia condition principale de  vant être satisfaite lorsqu'on combine ces deux  différentes formes de connexion pour obtenir  un ordre ascendant réel consiste en ce que le  mode de connexion des sorties d'emmagasi  nage de chiffre et des entrées commandées  par le commutateur de phase de la     fig.    49D  doit être disposé de façon que, au cours de  phases successives, les nombres caractérisant  les fiches soient rangés par ordre numérique  non seulement horizontalement dans les diffé  rentes poches de triage, mais également ver  ticalement, l'un au-dessus de l'autre dans cha  cune de ces poches.  



  Pour analyser -un problème de ce genre de  façon à faciliter le mode de connexion de la  machine, on examine tout d'abord l'intervalle  de nombres ou de lettres devant être trié  pour déterminer la fréquence relative selon  laquelle ces différentes lettres se produisent.  L'intervalle est alors divisé en trois groupes  comprenant un groupe de lettres les plus fré  quentes, un groupe de lettres relativement  fréquentes et un groupe de lettres ou de chif  fres les     moins    fréquents. Le premier groupe  est trié horizontalement par ordre numérique  ou alphabétique sous les désignations de poche   11  et  0  à  9 .

   Le deuxième groupe de       lettres    ou de chiffres relativement fréquents  est trié selon une seconde rangée au-dessous  de la première, les lettres ou chiffres étant  rangés par ordre de gauche à droite et égale  ment verticalement du haut en bas. Le groupe  le moins fréquent est finalement     trié    par  ordre horizontalement de gauche à droite et  verticalement de haut en bas sous les lettres  ou chiffres précédemment répartis.

   Par exem  ple, l'opération de triage par ordre alphabéti  que     (fig.    49D) peut être     ilhistré    par une table  telle que la suivante, qui représente la répar  tition réelle des fiches     conformément    à la dis-      position de     l'ensemble    de connexion représenté  à la     fig.    49D, dans les poches respectives au  cours des trois courses de phase  
EMI0079.0003     
  
    <I>Table <SEP> 11:

  </I>
<tb>  Poches <SEP> 11 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9
<tb>  Phase <SEP> 1 <SEP> A <SEP> C <SEP> E <SEP> G <SEP> I <SEP> L <SEP> N <SEP> 0 <SEP> R <SEP> U <SEP> X
<tb>  Phase <SEP> 2 <SEP> B <SEP> D <SEP> F <SEP> H <SEP> J <SEP> M <SEP> P <SEP> S <SEP> V <SEP> Y
<tb>  Phase <SEP> 3 <SEP> :

  K <SEP> Q <SEP> T <SEP> W <SEP> Z            L'examen    de cette table montre clairement  que si par exemple la lettre  I  se présente  de faon très peu fréquente, elle pourrait être  déplacée     dans    la table pour que les fiches cor  respondantes soient     déposées    dans la poche   2  au cours de la course de phase 3, et que  si simultanément la lettre      J     se trouvait être       plus    fréquente que le  I , cette lettre pour  rait être déplacée dans la course de phase 1  au lieu de la lettre  I , de façon que les  fiches correspondant au  J  soient déposées  dans la poche  3 .

   Ceci     n'entraîne        qu'une    mo  dification des connexions à fiches entre les  douilles de sortie P840 et les     douilles    d'entrée       PS54,    PS55 et     PS56.    On.     remarquera    cepen  dant que dans ce cas, il n'est pas désirable  d'intervertir simplement les lettres  I  et      g ,     car cela signifierait que les fiches fournies à  la poche  3  ne seraient plus     classées    par  ordre dans cette poche.  



  La table précédente pourrait ne pas être  très adéquate pour d'autres     langues    que l'an  glais, du fait que, dans certaines langues  telles que     l'espagnol,    les voyelles et les con  sonnes r, s et 1 sont les plus fréquentes. Pour  l'espagnol., il pourrait être     nécessaire    de re  grouper les lettres dans cette table, de façon  que les lettres les plus fréquentes en espagnol  se trouvent comprises     dans    la ligne supérieure  et dans la seconde ligne.

   En arrangeant les  lettres ou nombres plusieurs fois par     essais     dans une table de ce genre et en reliant par  des connexions à fiches les groupes d'emma  gasinage de chiffre de façon     correspondante;     il est possible d'économiser un temps considé  rable en plaçant la plupart des fiches par  ordre au cours de la première course de la,  machine.  



  Si les fiches portant des     chiffres    compris    entre 10 et 34 doivent être     triées    dans la ma  chine conformément à un ensemble de con  nexions combinées     selon    les     fig.        49B    et 49D,  ces     fiches    sont acheminées dans les poches au  cours des courses de phase     respectives,    comme  indiqué à la table suivante:

    
EMI0079.0030     
  
    <I>Table <SEP> III:</I>
<tb>  Poches <SEP> 11 <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9
<tb>  Phase <SEP> 1- <SEP> 11 <SEP> 13 <SEP> 15 <SEP> 17 <SEP> 19 <SEP> 23 <SEP> 25 <SEP> 26 <SEP> 29.34
<tb>  Phase <SEP> 2 <SEP> 12 <SEP> 14 <SEP> 16 <SEP> 18 <SEP> 21 <SEP> 24 <SEP> 27 <SEP> 32
<tb>  Phase <SEP> 3 <SEP> 22 <SEP> 28 <SEP> 33       On remarquera que des fiches poinçonnées  de  10,      20@>    et  30  ne sont pas triées avec  cette disposition     particulière,    du fait que, à  la     fig.    49D,

   les     sorties    zéro PS40 pour les       groupes    d'emmagasinage de chiffre ne sont  pas reliées par des     connexions    à fiches à des  entrées     PS54,    PS55 et     PS56.    Cependant, grâce  à une légère modification dans     l'établissement     des     connexions    à fiches, conformément à cette  table, il est possible de trier les fiches com  prenant     des    zéros dans la position de l'ordre  des     unités.     



  L'un des avantages du mode de connexion  représenté à la     fig.    49D consiste en ce que le  nombre 'd'opérations     .manuelles    nécessaires  pour mettre les fiches en ordre est réduit à un       minimum.    Ceci est très important dans le  triage par ordre alphabétique, du fait du  très grand nombre de     coux'ses        nécessaires    pour  trier un     ensemble    de fiches par ordre alpha  bétique. Un autre important avantage     dè    ce  mode de connexion peut être remarqué en se  reportant à la table II.

   D'après cette table,  on remarquera que les fiches sont réparties  de façon que l'opérateur n'a rien d'autre à  faire qu'à retirer les fiches des poches et à  les empiler par     paquets,    un paquet au-dessus  de l'autre, dans l'ordre correct. Dans le cas du  fonctionnement selon la     fig.        49B,    les fiches  sont réparties dans les poches conformément  à la table suivante:

    
EMI0079.0053     
  
    <I>Table <SEP> IV:</I>
<tb>  Poches <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9
<tb>  Phase <SEP> 1 <SEP> 10 <SEP> 11 <SEP> 12 <SEP> 13 <SEP> 14 <SEP> 15 <SEP> 16 <SEP> 17 <SEP> 18 <SEP> 19
<tb>  Phase <SEP> 2 <SEP> 20 <SEP> 21 <SEP> 22 <SEP> 23 <SEP> 24 <SEP> 25 <SEP> 26 <SEP> 27 <SEP> 28 <SEP> 29
<tb>  Phase <SEP> 3 <SEP> 30 <SEP> 31 <SEP> 32 <SEP> 33 <SEP> 34         et on se rappellera que l'opérateur doit non  seulement recueillir     les    fiches pour les empiler  par ordre     après    chaque course de phase,

   mais  qu'il doit également les ranger une quatrième  fois après la troisième phase pour combiner  les trois groupes de fiches triées au cours des  trois     courses.    Ceci peut être la cause d'erreurs  lorsque l'opérateur n'empile pas les fiches de  façon correcte après l'une des courses de  phase. Par exemple, après la course de phase  1, l'opérateur pourrait placer les fiches re  cueillies dans la poche  3  au-dessus     des     fiches     recueillies        dans    la poche  1  au lieu de  prendre d'abord .les fiches recueillies dans la  poche  2 . Ainsi, les fiches     poinçonnées     13   se trouveraient dans l'ordre avant les fiches       poinçonnées     12 .

   Dans le cas illustré à la  table II, correspondant au fonctionnement se  lon le mode de connexion de la     fig.    49D,  l'opérateur n'a à     recueillir    les fiches et à les  ranger par ordre horizontal qu'après la troi  sième phase au lieu de devoir les ranger par  ordre horizontal et vertical, comme dans le  cas     illustré    à la table IV et correspondant au  mode de connexion de la     fig.    49B.  



  Le     fonctionnement    obtenu à l'aide du  mode de connexion représenté à la     fig.    49B a  été choisi du fait qu'il est très simple et très  facile à comprendre, pour expliquer l'emploi  du     commutateur    de phase, bien que, pour     les     raisons indiquées ci dessus, la répartition des  fiches de la façon     ainsi    obtenue n'est pas tout  à fait aussi désirable que     celle    obtenue par le       fonctionnement    conforme au mode de con  nexion de la     fig.    49D.

   La table suivante mon  tre comment le problème de triage par ordre  numérique résolu à l'aide du mode de con  nexion représenté à la     fig.    49B peut être mo  difi6 pour éliminer l'empilage manuel des pa  quets de     fiches    après chaque course de phase  
EMI0080.0023     
  
    <I>Table <SEP> V:

  </I>
<tb>  Poches <SEP> 0 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9
<tb>  Phase <SEP> 1 <SEP> 10 <SEP> 13 <SEP> 16 <SEP> 19 <SEP> 22 <SEP> 25 <SEP> 28 <SEP> 31 <SEP> 34
<tb>  Phase <SEP> 2 <SEP> 11 <SEP> 14 <SEP> 17 <SEP> 20 <SEP> 23 <SEP> 26 <SEP> 29 <SEP> 32
<tb>  Phase <SEP> 3 <SEP> 12 <SEP> 15 <SEP> 18 <SEP> 21 <SEP> 24 <SEP> 27 <SEP> 30 <SEP> 33       Avec cette     disposition,    au lieu de relier  par des connexions à fiches les groupes d'em-         magasinage    de chiffre verticalement, comme  à la     fig.    49B, on les relie de façon décalée  quelque peu semblable à celle représentée à la       fig.    49D.

   De cette façon, au cours de la course  de phase 1, les fiches poinçonnées de  l0 ,   13 ,  16 ,  19 ,  22 ,  25 ,  28 ,  31  et.   34  sont réparties dans     les    poches  0  à  9 .  Afin d'obtenir ce     résultat,    par exemple pour  les fiches poinçonnées de 13 , il est nécessaire  de déplacer la connexion à fiches qui, à la       fig.    49B, aboutit à la douille  3  PS54 à par  tir de la douille  3  PS40 du groupe d'emma  gasinage de chiffre de gauche pour relier cette  dernière douille à la     douille     1      PS54.    Ainsi,  toutes les fiches poinçonnées d'un  13  sont  dirigées vers la poche  1 .

   Les fiches poin  çonnées d'un  11  devraient être acheminées  dans la poche  12 , et la connexion à     fiches     est par conséquent disposée entre la douille   1  PS40 et la douille  0      PS55,    si bien       qu'une    fiche poinçonnée d'un  11  est. diri  gée vers la poche  12  au cours de la course  de phase 1 et dans la poche  0  au cours de la  course de phase 2.  



  De façon semblable, la connexion à fiches  partant de la douille  2  PS39 est reliée à la  douille  0      PS56.    Dans ces conditions, les  fiches poinçonnées de  10  sont acheminées  vers la poche  0 ,     des    fiches poinçonnées de   11  sont     acheminées    vers la poche  12  et les  fiches poinçonnées de  12  sont acheminées  vers la poche  11 . Pendant la     course    de  phase 2, les fiches     poinçonnées    de  11  sont.  déposées dans la poche  0  et pendant la  course de phase 3, les fiches     poinçonnées    de   12  sont déposées dans la poche  0 .

   Par  conséquent, après les trois courses de phases       successives,    les fiches poinçonnées de  1.0  se  trouvent au fond de la poche  0  et les     fiches     poinçonnées de  12  se trouvent en haut de  cette même poche, les fiches poinçonnées de   11  étant rangées entre les deux paquets de  fiches précédentes, si bien qu'il n'est pas né  cessaire de rassembler horizontalement ces  fiches, comme dans le     cas    du fonctionnement  conformément au mode de connexion repré  senté à la     fig.    49B.

        Ainsi qu'on l'expliquera plus loin en rela  tion avec un     problème        phis    compliqué,     il    est  possible d'attribuer les fiches aux différentes       poches    numériquement ou alphabétiquement  sans tenir compte de l'ordre     numérique    ou  alphabétique réel de ces .fiches, puisqu'il suf  fit d'une connexion à fiches     insérée    entre  l'une des douilles PS40 et l'une des     douilles          PS54,    P855 et PS56 pour déterminer, d'une  part, la poche dans laquelle la fiche doit être  finalement déposée et, d'autre part, la course  de phase au cours de laquelle cette fiche sera  déposée dans cette poche.  



  Pour illustrer ce qu'on vient de dire en  référence à la table V, il est possible d'inter  vertir les     connexions    à fiches pour les fiches  d'enregistrement poinçonnées de  11  et de   22 , par exemple de façon que les fiches  poinçonnées de  22  soient déposées dans la  poche  0  au cours de la course de phase 3 et  que     ,les    fiches poinçonnées de  11  soient dé  posées dans la poche  4  au cours de la course  de phase 1. Ce type de fonctionnement est  avantageux lorsque les fiches doivent être  triées et rangées selon un certain ordre diffé  rent d'un ordre numérique ou alphabétique  normal.  



  La     fig.    4911- représente un mode de con  nexion destiné à assurer un fonctionnement de  triage par groupes illustrant l'emploi du dis  tributeur     d'unités-dizaines.    Le commutateur  de phase est mis en     position         I-lors     ou en po  sition de phase 1. pour cette opération. Celle-ci  est destinée à trier les fiches dans neuf poches  conformément à     des        groupes    d'âge. Les âges  en dessous d'une année et entre une année et  six ans     correspondent    à la poche  1 .

   Les  âges de 7 à 12 ans correspondent à la poche   2 , ceux de 13 à 19 ans à la poche  3 , ceux  de 20 à 24 ans à la poche  4 , ceux de 25 à  31 ans à la poche  5 , ceux de 32 à 37 ans à  la poche  6 ,     ceux    de 38 à' 44 ans à la poche   7 , ceux de 45 à 50 ans à la poche  8  et  tous les âges supérieurs à 51 jusqu'à 99 ans  correspondent à la poche  9 . L'âge est poin  çonne, clans     les    colonnes 8 et 9 de la fiel-te, et       ces    colonnes sont reliées aux douilles d'entrée  PS12 et PS13 des  Us  (unités) et des      Ds        (dizaines) respectivement.

   Conformément à  la description du fonctionnement du distri  buteur d'unités-dizaines, on se rend compte  que le nombre poinçonné dans la fiche     est          emmagasiné    dans le distributeur     d'unités-          dizaines    et qu'un circuit     est    formé     jusqu'à     l'une des     douilles        PS35,    conformément à la ;  valeur poinçonnée     dans    la fiche.

   Par exemple,  si la fiche est poinçonnée  09 ,     iui    circuit est  formé à partir de la douille  C  PS33       (fig.    48V et 49E) jusqu'à la     douille        PS35,     immédiatement au-dessous de la désignation ,   09 , à la rangée supérieure de la partie du  panneau correspondant au distributeur     d'uni-          tés-dizaines    à la     fig.    49E.  



  A la     fig.    48V, on peut voir que la douille  PS35 qui correspond au nombre  09  se ,  trouve au coin inférieur gauche. Le relais   9  R188 doit être excité et on peut voir au  coin droit supérieur de cette même figure que  ce relais est excité chaque fois que les relais  d'unités R171 et R174 sont excités sous com  mande d'un  9  contenu dans la colonne 9.  Tous les contacts 8188A de ce relais R188  sont     ainsi    fermés. Le chiffre  0      poinçonné     dans la colonne 8 de la fiche provoque l'exci  tation des relais de dizaines R176 et R178.

   Un     i     circuit     est        ainsi    fermé à partir de la douille   C  P833 et -à travers les contacts 8175B,  8176A,<I>8177B</I> et 8178A jusqu'à la douille   0  ou  10  du groupe de     douilles        PS34.    A  partir de cette douille, ce circuit s'étend vers     s     le     bas    et vers la gauche jusqu'à la     connexion     commune d'extrême gauche, jusqu'aux con  tacts 8188A d'extrême gauche et à la. douille   09  P835. La valeur  09  est     ainsi    emma  gasinée dans le     distributeur    d'unités-dizaines.     F     .

   A la     fig.    49E, on remarquera que toutes       las    douilles doubles correspondant aux valeurs  07 à 12 sont reliées entre elles par des ponts  et à la     douille     2  PS54 par une     connexion     à fiches.

   Par conséquent, l'impulsion de con  trôle émanant de la douille     PS22        parvient     jusqu'à la     douille     C  PS33 et de là, ainsi  qu'on l'a dit en référence à la     fig.    48V, à la  douille  09  du groupe de douilles PS35 et à  la douille  2      PS54.    Ainsi qu'on l'a expliqué s  à propos d'autres opérations décrites ci-           dessus,    cette     impulsion    a pour effet     d'assa.-          rer    que la fiche     poinçonnée     09  soit amenée       dans    la poche  2 .

       L'impulsion    de contrôle  passe tout d'abord; le tube V123 est amorcé,  et     l'impulsion        d'actionnement    final est en  voyée au travers du même circuit pour pro  voquer     l'actionnement    de     l'électro-aimant    de  triage au     cours    du cycle suivant celui durant  lequel la     fiche        poinçonnée- 09     a passé en re  gard des balais B.

   De façon semblable, l'un  quelconque     des        nombres    du même groupe, tel  que 07, 08 ou 10 à 12, provoque l'achemine  ment des     fiches    caractérisées par ces nombres  vers la poche  2 .  



  D'autres fiches attribuées à d'autres  groupes d'âge sont dirigées vers     l'une    ou l'au  tre des poches conformément à ces groupes  d'âge. Prenons par exemple l'âge de 45 ans.  Dans ce cas, l'impulsion de     contrôle    passe de  la     douille    PS22 à la douille PS33 et de là à la  douille  45  du groupe de douilles PS35 et à  la     douille     6  du groupe de     douilles    PS54  pour exciter le     relais    R110P qui     commande          l'acheminement    de la fiche vers la poche  8 .  



  Toutes les     fiches        poinçonnées        d'un    nom  bre correspondant à un âge supérieur à 50       ans    sont déposées dans la poche  9 . Il est       évident    que chacune de     ces    fiches comprend  un     poinçonnage    d'un chiffre compris entre  5 et 9 dans sa     colonne    des dizaines en combi  naison avec     un        poinçonnage    compris entre 0  et 9 dans sa colonne des unités.

   Admettons       qu'une    fiche soit     .poinçonnée    d'un  60 .     L'im-          pulsion    se propage à partir de la douille     PS22          jusqu'à    la douille     PS33.        Ainsi        qu'on    le voit à  la     fig.    48V, cette impulsion passe ensuite à  travers     les    contacts     R175B.    R176A et R177A  pour parvenir à la douille  6  du groupe de  douilles     PS34.    A partir de cette douille,

   cette       impulsion    traverse la connexion à fiches       aboutissant    à la douille  59  du groupe de       douilles    PS35 et de là, par l'intermédiaire  d'une autre     connexion    à fiches, à la douille   9  du groupe de douilles<I>PS54</I> à partir de la  douille  51  du groupe de douilles     PS35.     Cette     impulsion    peut traverser ce circuit du  fait que la douille     inférieure    extrême gauche  du groupe de     douilles        PS35,    disposée juste    au-dessus du chiffre  70  à la     fig.        49r,

      est  électriquement reliée à la douille supérieure  du groupe de     douilles    PS35 disposée juste au  dessous du chiffre 59. Cette disposition des  liaisons entre     les    douilles d'unités et de di  zaines permet     d'insérer    un pont à chacune  des     extrémités    d'une rangée quelconque, ce  pont établissant une liaison électrique entre  deux paires de douilles du groupe de douilles  PS35 correspondant à des     chiffres    consécu  tifs. Par exemple, au-dessous du chiffre 10       (fig.    49E), un pont s'étend verticalement  entre la douille  10  PS35 et la douille  09   PS35 pour relier entre     elles    ces deux douilles.

    De cette façon, les     19n'e    et     20me,        29me    et     30me,          39me    et     40me    et les     49me    et     50me    douilles du  groupe de douilles PS35 sont     reliées    entre       elles.    Par conséquent, la connexion à fiches  insérée dans la douille  6  du groupe de  douilles PS34 établit en fait une liaison     Qom-          mime    entre cette douille et les douilles  51  à   59  du groupe de douilles     PS35.     



  De façon semblable, et du fait de l'inter  connexion des douilles  7 ,  8  et  9  du  groupe de     douilles    P. S34 au moyen de ponts,  l'une quelconque des valeurs      6 .à     9  poin  çonnée     dans    la colonne des dizaines a pour  effet de former un circuit de façon exacte  ment semblable à celle     précédemment    décrite  pour acheminer les fiches     poinçonnées    de  nombres compris entre  61  et  99  vers la  poche  9 .  



  Dans le cas considéré, la     discontinuité    dans  la suite des nombres est située entre 50 et 51  et, pour cette raison, il est nécessaire de relier  par une     connexion    à fiches toute la série  51   à  59 , afin que la machine fasse la distinc  tion entre  50  et  51  à  59 . Si la discon  tinuité avait été placée entre  49  et  50 , il  n'aurait pas été nécessaire de relier  51  à   59  par une connexion à fiches.

   Au lieu  d'une -telle     connexion        aboutissant    à la douille   9  du groupe de douilles     PS54    à partir de la  douille  51      dit    groupe de     douilles        PS35,    il  aurait été suffisant d'insérer cette connexion  entre la. douille  5  du groupe de douilles  PS34 et la douille  9      dit    groupe de douilles           PS54    et de disposer     un    pont entre les     douilles      5  et  6  du groupe de douilles     PS34.     



  La     fig.    49F représente un mode de con  nexion prévu pour assurer un fonctionnement  selon lequel l'accumulation et le comptage  sont tous deux effectués sous commande des  fiches au cours d'une .seule course de la ma  chine. On désire compter le nombre d'indi  vidus masculins conformément - à leur état  civil, celui-ci     distinguant    quatre groupes:  1. célibataires; 2. mariés; 3. divorcés; 4. veufs.  En plus du comptage du nombre d'indi  vidus de chacun de ces groupes, on désire to  taliser les âges dans le but de permettre de  déterminer l'âge moyen au cours d'un calcul  séparé, effectué sans l'aide de la machine dé  crite.

   Les fiches sont poinçonnées à la colonne  12 conformément à l'état civil, un poinçon  nage à l'une des positions repère 1 à 4 carac  térisant chacun des     différents        états    civils,  dans l'ordre énuméré     ci-dessus.    L'âge, qui peut  varier de 1 à 99 ans dans le cas considéré, est  poinçonné aux colonnes 23 et 24, et ces co  lonnes sont     reliées    aux douilles<I>PS17</I> dési  gnées      Add    PU .

   L'âge contenu     dans    les co  lonnes des unités et des dizaines des accumu  lateurs 1 et 2 fonctionnant comme un seul  accumulateur pour cette opération doit être  totalisé dans cet     accumulateur    qui est relié  par l'intermédiaire des douilles<I>PS17</I> du  groupe désigné par  1 , c'est-à-dire du groupe  de gauche des     douilles         Add    PU . Un nombre  de commande caractérisant le groupe entier  qu'on est en train de trier est poinçonné aux  colonnes 30 à 33. Ce nombre pourrait, par  exemple, avoir une signification géographi  que et être codifié pour désigner un     Etat    et  un comté, un comté et un village, ou une  autre indication géographique similaire.

   Ce  nombre est utilisé dans le but d'identifier les  totaux     imprimés    sur la     feuille    de travail.  Dans le cas présent, du fait du faible nombre  de compteurs utilisés, on admettra qu'une  moitié de feuille de travail, telle que celle re  présentée à la     fig.    42, est suffisante.  



  Les sélecteurs de     recodification    1 à 4 sont  reliés par des connexions à fiches à l'émet  teur de chiffre El pour être rendus efficaces         sous    commande de poinçonnage rencontrés  aux     positions     1  à  4  respectivement. Le  commutateur de phase est mis en position   Hors  on en position de phase 1.  



  Au cours du premier cycle de la machine,  le nombre de groupe contenu dans les co  lonnes 30 à 33 est enregistré     dans    la     machine     du fait du fonctionnement des     circuits    d'indi  cation de groupe qu'on a déjà décrits. Ce  nombre reste emmagasiné dans ces     circuits     jusqu'à ce que le nombre de groupe ait été  imprimé au cours du troisième cycle d'im  pression. Il n'est pas nécessaire de décrire ces  circuits en détail, étant donné qu'une telle  explication a déjà été donnée lors de la des  cription des caractéristiques du dispositif       d'indication    de groupe.

   L'âge     est    enregistré  dans les ordres des unités et des     dizaines    de       l'acciunulateur    2 au moyen de     circuits    qu'on  a expliqués lors de la description du fonc  tionnement de l'accumulateur pour l'enregis  trement à partir des fiches. Il reste à décrire  les     circuits    de comptage.  



  Le commutateur de phase est mis en posi  tion  Hors  ou en     position    de phase 1 pour  le fonctionnement selon le mode de connexion  représenté à la     fig.    49F.  



       Admettons    que la     première    fiche soit poin  çonnée d'un  3  désignant un individu mascu  lin divorcé. Ceci a pour effet de faire fonc  tionner le sélecteur de     recodification    3. L'im  pulsion de contrôle traverse alors le circuit  suivant:

   à partir de la source P1     (fig.    48E),  cette     impulsion    traverse les     contacts        LCR2A,     C11, la résistance de 1000 ohms, les contacts  8201C,     R58D,    8212D,<I>8201D</I> et aboutit à la  douille     PS22.    Cette douille est reliée par une  connexion à     fiches    à la douille  12  du groupe  de douilles<I>PS54</I>     (fig.    49F), et à travers le  relais  12  8118P, l'impulsion de contrôle  parvient au circuit de relais     (fig.    48R) du  commutateur de phase et, à travers les con  tacts     824E1        (fig.    48E),

       R57.B    et     R58B,    à la       douille    PS21 et de là à la douille -' Entrée        PS30        (fig.    49F) du compteur des unités. A  travers l'électro-aimant de compteur     CAl    de  ce compteur,     l'impulsion        est    transmise à la  douille de  Sortie      PS31,    et par l'intermé-           diaire    d'une connexion à fiches à la douille   1      PS26        (fig.    48E) et à travers les contacts  R57B et R58B jusqu'à la douille  2      PS21.    A  partir de cette douille,

   l'impulsion est trans  mise à travers les contacts. normalement  fermés     disposés    en série des sélecteurs de     re-          codification    1 et 2 et à travers les contacts  normalement     ouverts    du sélecteur de     recodi-          fication    3 et une connexion à fiches jusqu'à  la     douille    PS30 correspondant au compteur 4,  pour passer à travers l'électro-aimant CM de  ce compteur, et parvient à la douille de sortie       PS30.    Cette douille de sortie est reliée par  une     connexion    à fiches à la douille<I> 2  P826,

  </I>  et l'impulsion     passe    à travers les     contacts     R57B pour parvenir finalement à la douille   2  PS27 et par l'intermédiaire d'une con  nexion à fiches à la douille      SI-I         PS28.    Ce  circuit est continu, et le tube     T'123    est  amorcé, les relais R57 et     .R58    étant excités,  comme décrit plus haut, et fermant ainsi tous  les contacts<I>R57A</I> et     R58A.    On remarquera  que la connexion à fiches insérée dans la       douille     2      PS21;

      reliée aux sélecteurs de     re-          codification    1, 2 et 3, est ainsi directement       connectée    aux contacts<B>015.</B> Une impulsion  est par     conséquent    émise à partir de la     douille      2  PS21 et traverse les contacts normalement  fermés des sélecteurs de     recodification    1 et 2  et les contacts normalement ouverts du sélec  teur 3 pour parvenir à l'électro-aimant CM  du compteur 4. A partir de cet électro-aimant,  cette     impulsion    passe à la douille  2  PS26 et  de là, à travers les contacts     R57A,    à la con  nexion     W2    et à la source négative N1.  



  On remarquera que dans ce cas l'impulsion  de contrôle a traversé tout le circuit     des        relais     de     recodification    et tous les     électro-aimants     <B>CH</B> de compteur qui étaient mis en cause,  mais que, lorsque le tube V123 a été amorcé  et que les relais R57 et R58 sont excités,  l'électro-aimant<B>CH</B> de compteur dépendant  du compteur d'unités 4 est relié directement  aux bornes de la     partie    -du circuit s'étendant  entre les contacts C15 et la connexion W2, à  la     fig.    48E.

   L'électro-aimant     CH    du compteur       d'unités    1 est relié par des connexions à fiches  aux douilles PS21 et PS26 et il est également    excité en     parallèle    avec l'électro-aimant du       compteur    d'unités 4.  



  Il est évident que puisque le compteur  d'imités 1 est directement connecté par des  connexions à fiches à la douille  1      PS21,    ce  compteur est efficace pendant chaque cycle  au cours duquel une fiche passe par la ma  chine et au cours duquel le circuit de con  trôle est     ainsi    formé. Des circuits     semblables          peuvent    être suivis lorsque l'un ou l'autre des  sélecteurs de     recodification    1, 2 .ou 4 est  excité. La seule différence est alors que les  compteurs d'unités 2, 3 ou 5 sont respective  ment choisis au lieu du compteur d'unités 4.  



  On remarquera     dans    ce cas que le comp  teur     d'unités        i    est relié par des connexions à  fiches de faon à effectuer     ime    soustraction,  un pont étant     inséré    entre les douilles PS32  et PS52 de ce compteur. Les douilles<I>PS46</I>  et PS47 d'accumulation automatique doivent  être reliées par des connexions à fiches pour  rendre efficace le mécanisme d'accumulation.  A la     fin    de la course de fiches, la suite de  cycles     d'impression    est automatiquement ou  manuellement provoquée de la faon précé  demment décrite et les totaux contenus dans  les compteurs     d'unités    1 à 5 sont imprimés et.

    totalisés. Le total combiné     contenu.    dans les       acciunulateurs    1 et 2 est également imprimé,  et le nombre de groupe emmagasiné dans les       relais    d'indication de groupe     est    imprimé,  comme décrit ci-dessus.

       Dans    le cas considéré,  du fait que cinq compteurs seulement sont       utilisés    et     qu'une    feuille de travail de cinq  colonnes     seulement    est nécessaire, il n'est pas       désirable    de laisser la machine accomplir son  fonctionnement     d'impression    normal compre  nant 21 cycles     d'impression,    la plupart de ces  cycles devant alors être des cycles de fonc  tionnement à vide.

   Par conséquent, la butée  marginale de droite, représentée à gauche     aiux          fig.    20 et 21, est amenée dans sa position de  colonne 9, de façon que la machine effectue  automatiquement l'opération de sommation  décalée lorsque le     chariot    s'échappe à partir  de sa position de colonne 8, après que le total  contenu dans le compteur d'unités 5 a été  imprimé.

        La     fig.    49r illustre un cas     excessivement     simple qui a été choisi principalement dans le  but d'expliquer comment     les    compteurs sont  reliés par     des    connexions à fiches pour comp  ter ou totaliser le- nombre de fiches et pour  l'essai ou le contrôle des circuits de comptage  et des sélecteurs de     recodification,    quant à la       continuité    de ces     circuits.    Dans la.

   pratique,  un     ensemble    de connexion plus compliqué se  rait     utilisé,    comprenant l'utilisation d'un plus  grand nombre de compteurs et pouvant en  traîner     l'utilisation    de     presque        tous    ou de  tous les sélecteurs de     recodification    et de  presque tous ou de tous les compteurs, de  façon à obtenir la capacité maximum de la  machine, comme on avait supposé que c'était  le cas     lorsqu'on    a décrit les opérations d'im  pression.

   Il est évident que pour utiliser tous  les 15 compteurs     associés    à la batterie d'im  pression 1, il .est seulement nécessaire de con  necter au moyen de connexions à fiches les  sélecteurs .de     recodification    5 à 14, de façon  que leurs contacts normalement fermés soient  reliés entre eux et à ceux des sélecteurs 1 à 4  pour former un circuit série, leurs     contacts     normalement     ouverts    étant reliés par des con  nexions à fiches aux douilles     PS30        attribuées     aux compteurs 6 à 15,

   toute la rangée supé  rieure des douilles     PS30    de la     fig.        49r    étant  ainsi utilisée. De     façon        correspondante,    toutes  les douilles PS31 seraient reliées par des ponts  à l'extrémité de la rangée, ce qui aurait pour  effet de relier toutes les douilles PS31 à la  douille<I> 2 </I>     PS26,    la connexion à fiches reliant  ce groupe de douilles à cette douille  2  étant  insérée dans la dernière douille de droite du  groupe de douilles     PS31.     



  Dans le cas présent, du fait     qu'un    seul  compteur -en plus du compteur 1 de total gé  néral est utilisé à la fois, il est     possible    de  relier en     commun    les douilles de sortie     PS31.     



  Afin d'assurer le refus ou l'éjection d'une  fiche n'ayant pas été comptée, la machine est  connectée de façon que toutes les fiches comp  tées soient déposées     dans    la poche  12 , ce  circuit étant formé à     partir    de la douille  P822     (fig.    49E et     49r)    par une connexion à  fiches     aboutissant    à la     douille     12  PS54 et    de là, par l'intermédiaire du circuit de con  tacts de relais commandés par le commutateur  de phase jusqu'au relais de triage R118P  pour aboutir aux     contacts    824A.

   Lorsque les  relais R57 et R58 sont excités du fait de  l'amorçage du tube V123, la douille     PS22    est  directement reliée aux contacts C15 par l'in  termédiaire des contacts R58C et la connexion  de retour pour     les        relais    de triage R107P à  R118P est reliée à la connexion     TV2    par l'in  termédiaire des contacts     R57A,    si bien que  l'électro-aimant de     triage    est actionné et que  la fiche pour laquelle le circuit a été contrôlé  avec succès est déposée dans la poche  12 .  Si le circuit n'est pas contrôlé avec succès, la  fiche est alors déposée dans la poche de refus  pour être inspectée.  



  La     fig.    49G montre le mode de connexion  utilisé pour un fonctionnement de la machine  comprenant une comparaison. Au cours de la  course de     phâse    1 de la machine,     les    fiches  doivent être triées     dans    quatre poches confor  mément au sexe et à la couleur, le triage par  couleur étant. restreint à un triage entre       blancs    et individus de races de couleur.

   Pen  dant la course de phase 2, les     mêmes    fiches  doivent être triées à nouveau conformément à  la     naissance,    les individus étant répartis en  trois     classes    selon qu'ils sont autochtones,  étrangers ou que le lieu de leur naissance est  inconnu. Au cours de la troisième opération  de     triage,    les fiches sont     triées    une troisième  fois conformément à l'époque de la     naissance     pour les douze mois de l'année.

   On compren  dra que bien que le tableau de     connexion    ne  soit pas représenté comme étant disposé pour  une opération de comptage, les opérations de  triage et de comptage sont effectuées simulta  nément, en même temps que des fabulations.  Cependant, dans le but de     simplifier    les expli  cations de la partie du problème relative au  triage et .de montrer clairement comment la  comparaison .peut être effectuée, l'opération  est à dessein limitée au triage et les con  nexions à fiches nécessaires     pour    le comptage  ne sont pas représentées.  



  Le sexe est enregistré dans la colonne 18,       -w        poinçonnage-     1  désignant un individu           mascidin-    et un poinçonnage  2  un individu       féminin.    La couleur est enregistrée dans la  colonne 19, un poinçonnage  1  désignant un       individu    blanc et     im    poinçonnage dans une  des positions repère  2  à  6  désignant un  individu de couleur.

   La colonne 20 relative à  la. naissance est     poiüçonnée    d'un  1  pour dé  signer un individu autochtone, d'un  2  pour  désigner     im    individu né à l'étranger et d'un   3      polir    désigner un individu dont le lieu de  naissance est inconnu. Le mois de     naissance     est indiqué par un     poinçonnage        dans    une des  douze positions repère .de la colonne 21.  



  Les sélecteurs<B>dé</B>     recodification    1 et 2 sont  reliés par des- connexions à fiches à l'émet  teur de chiffre A de façon que si un poinçon  nage  1  est rencontré dans la colonne 18  d'une fiche, le sélecteur de     recodification    1  est rendu efficace et que si un poinçonnage   2      est    rencontré, le sélecteur de     recodifica-          tion    2 est également rendu efficace.

   Le Sélec  teur de     -recodification    3 est rendu     efficace     lorsqu'un poinçonnage  1  est rencontré dans  la colonne 19 et les positions  2  à  6  de  l'émetteur de     chiffre        B    sont reliées entre  elles par des ponts et par une connexion à  fiches pour rendre le sélecteur de     recodifica-          tion    4 efficace     lorsqu'in    des     poinçonnages     2   à  6  se     présente    dans la colonne 19.

   Des       moyens    sont     ainsi    fournis     pour        emmagasiner     efficacement     ces        données    dans la machine,  pendant de courtes périodes.  



  Deux des groupes d'emmagasinage de chif  fre sont reliés par des connexions à fiches aux  colonnes 20 et 21, si bien que les données re  latives à la     naissance    sont enregistrées dans  les groupes d'emmagasinage de chiffre d'ex  trême gauche     (fig.    49G) et que le mois de       naissance    est     enregistré    dans le groupe d'em  magasinage de chiffre adjacent.  



  Le fonctionnement de la machine pour ce  mode de     connexion    représenté à la     fig.    49G  diffère quelque peu -des     fonctionnements    pré  cédemment décrits comprenant l'usage du  commutateur de phase. Pendant les courses  de phase 1 de la machine, les fiches sont triées  de façon préparatoire pour les courses de  phase 2, tandis qu'en même- temps, grâce à    des connexions à fiches non représentées, une       tabulation    des fiches conformément à d'autres  classifications ou données qu'elles     contiennent     peut être effectuée. Pendant les     courses    de  phase 1, aucune comparaison n'est effectuée  et le commutateur S2 est mis en position de  phase 1.

   Pendant cette phase, les fiches sont  triées     dans    quatre poches conformément à la  classification selon le sexe et la couleur men  tionnée ci-dessus. En ce qui concerne les opé  rations de triage, la machine fonctionne sensi  blement de la même façon que celle précé  demment décrite en référence à des modes de  fonctionnement dans     lesquels    le     commutateur     de phase est utilisé. Les     circuits    initiaux se  ront     .décrits    plus loin.  



       Après    la ou les courses de phase 1, les  quatre groupes de fiches sont à nouveau       fournis    à la machine au cours de quatre  courses séparées, pour effectuer la     tabulation     des fiches désignées par  masculin blanc ,   masculin de couleur ,  féminin blanc  et        féminin    de couleur  et pour imprimer les  totaux de ces fiches sur une ligne de la feuille  de travail pour chaque groupe. Pendant cha  cune de ces quatre courses, le commutateur  de phase est mis dans sa position de phase 2  de façon que les fiches     soient    triées conformé  ment au lieu de naissance.

   Pendant cette  course également, une     tabulation    des fiches  est effectuée conformément à la classification  relative à la phase 1.     Etant    donné que cha  cune de ces     courses    est relative à un autre  nombre de classification, ce nombre est emma  gasiné .dans la machine et toutes les fiches  subséquentes de cette course sont     comparées,     en ce qui concerne le nombre de     classification     qu'elles portent, au nombre de     classification     emmagasiné     dans    la machine.

   Cette comparai  son a pour but de s'assurer, pendant les cour  ses successives, que l'opérateur n'a pas commis  d'erreur en empilant manuellement les     fiches     avant le début de chaque course. Par exem  ple, pendant la course relative aux     fiches     poinçonnées  masculin blanc , il est     possible     que "l'opérateur ait accidentellement     pris    un  paquet de fiches relatives à des     individus          féminin blanc  et les ait mélangées avec les       fiches    des individus      masculin    blanc .  



  Pendant les courses de phase 3,     les    fiches  sont triées conformément aux mois de nais  sance et     préparées    pour la course de phase 4  au cours de laquelle une     tabulation    de ces  fiches sera effectuée conformément aux mois  de     naissance.    Pendant les courses de phase 3,  la première fiche de chaque course est utilisée  pour emmagasiner la classification relative à  cette course, et toutes les fiches subséquentes  de ces mêmes courses sont comparées, en ce  qui concerne leur nombre de classification, au  nombre de classification ainsi emmagasiné.  



  Pendant la course de phase 4, les     fiches     sont comparées de même façon pour s'assurer  que, pour chaque groupe correspondant à un  mois, toutes les fiches sont     poinçonnées    de  façon correspondante à ce mois.  



  Cette     suite    d'opérations comprend     l'im-          pression    de vingt lignes ou plus, cette im  pression étant répartie comme suit: dans la       ligne    1 et éventuellement sur plus d'une ligne,  les totaux de la phase 1 au cours de laquelle  les fiches sont triées conformément au sexe et  à la couleur, sous commande de l'ensemble de  connexions représenté à la     fig.    49B;     dans    les  quatre lignes suivantes,     les    jeux de totaux  pour les quatre     groupes     masculin blanc ,   masculin de couleur ,  .féminin blanc  et   féminin de couleur  sont imprimés;

   les trois  lignes suivantes contiendront les trois jeux de  totaux relatifs aux individus autochtones, nés  à l'étranger, et de lieu de naissance inconnu,       tandis    que les douze lignes suivantes contien  nent les jeux de totaux relatifs aux mois de  naissance de janvier à décembre. On com  prendra que l'ensemble de connexion relatif  au comptage peut être identique pour toutes  ces courses. Un cas     typique    est celui     dans    le  quel une     tabulation    des causes de décès est  effectuée, ces causes étant comptées sous com  mande d'un code séparé de cause de décès.

   On  comprendra également que les courses de  phase 1 peuvent comprendre un nombre de  courses variable, du fait que     les    fiches pour  raient être triées selon une classification arbi  traire au cours d'une course de triage précé-    dente, ces fiches étant par exemple     classées     en     groupes        d'âges    (voir     fonctionnement    selon  mode de     connexion    de la     fig.    49E), pour  obtenir une     tabulation    des causes de     décès     par groupes d'âges.

   Le commutateur de phase  est seulement changé de position entre     ces     quatre groupes de     tabulation    et les courses de  triage. \  Admettons que la première fiche soit poin  çonnée en  1  aux colonnes 18 et 19, indi  quant ainsi un individu  masculin blanc .  Ces poinçonnages ont pour effet l'excitation  des sélecteurs de     recodification    1 et 3.

   Un cir  cuit de contrôle est établi à partir de la  douille     PS22,    jusqu'à la douille      CS         PS23          (fig.    48R) et aux     contacts        R210D,        R211D,     pour aboutir à la douille de comparaison  1        PS24.    A partir de cette douille, ce circuit  passe par les contacts normalement ouverts  du sélecteur de     recodification    1, les contacts  normalement ouverts du sélecteur de     recodifi-          cation    3,

   la     connexion    à fiches     aboutissant    à  la     douille     4  PS54 d'où l'impulsion de con  trôle se propage vers le bas à travers le cir  cuit de     contacts    de relais du commutateur de  phase     (fig.    48R) et le relais R112P pour  aboutir à la connexion commune des relais de  triage R107P à R118P et aux contacts     R24A,     <I>R57B</I> et<I>R58B</I>     (fig.    48E) reliés à la douille   1      PS21.    A partir de cette douille, une con  nexion à fiches transmet cette impulsion à la       douille     CC  PS25     (fig.    48R)

   et à travers les  contacts     R210D    et     R211D,    à la douille  3        PS24        reliée    par une autre connexion à fiches  à la douille  C  P839 du second groupe d'em  magasinage de chiffre à partir de la gauche.

    A partir de cette dernière douille, ce circuit  de contrôle aboutit à une des douilles     PS40,     conformément au mois de naissance que porte  cette fiche, et , de là à la douille PS56       (fig.    48R)     correspondant    à ce mois de     nais-          sance.    Ce même circuit emprunte la connexion       (fig.    48R) aboutissant à la connexion com  mune des contacts<I>R59B</I> à R80B à partir de  la douille  E  PS38 et, à travers une résis  tance de 1000 ohms, il s'étend à la douille   CE  PS36 et à travers une connexion à  fiches à la     douille     1      PS26,

      aux -     contacts              R57B    (fi-. 48E) à la douille  1      PS27    et par  l'intermédiaire d'une connexion à fiches à la       douille        PS28.    Le tube V123 est ainsi amorcé  et la fiche poinçonnée de façon correspon  dant à un individu  masculin blanc  est dé  posée     dans    la poche  4 , les relais R57 et R58  étant efficaces pour provoquer l'émission       d'une        impulsion    de triage fournie     ali    relais  de commande de triage  4      R112P.     



  Si     lme.fiche    était poinçonnée  2  et  1 ,  de façon     correspondant    à     lin    individu  fémi  nin blanc , les sélecteurs de     recodification    2  et 3 seraient     excités    au lieu des sélecteurs 1  et 3 et     1m    circuit semblable pourrait être       suivi.    Ce circuit se distinguerait uniquement  du précédent en ce qu'il serait fermé à travers  les     contacts    normalement fermés du sélecteur  de     recodification    1 et les     contacts    normale  ment ouverts     des    sélecteurs de     

  recodification     2 et 3 pour aboutir à la douille  3      PS54,    de  façon que cette fiche- soit déposée dans la  poche  3 . Toutes     les    fiches doivent être  poinçonnées de façon correspondante à la date  de naissance, ce poinçonnage étant néces  saire pour que le circuit de contrôle soit con  tinu. Si la date de naissance     est    omise, le  circuit de contrôle     n'est    pas complètement  formé et la fiche     est    rejetée pour être ins  pectée.  



  Le code de naissance est sans influence  sur     l'impulsion    de contrôle au cours des  courses de phase 1, du fait que les organes  correspondant à ce     côde    sont reliés par des       connexions    à fiches pour     commander    les douil  les  1 ,  2  et  3  du groupe de douilles  PS56 et la douille de comparaison  2 , qui  n'est pas efficace pendant ces courses de phase  1. Les fiches sont donc déposées     dans    les po  ches  1  à  4  conformément au sexe et à la       couleur    des individus auxquels elles se rap  portent..

   Pendant cette opération de la ma  chine, les fiches sont comptées et une     tabula-          tion    est effectuée conformément à d'antres  classifications des fiches, telles que les     causes     de     décès    par exemple.  



       Après    que     les    opérations de phase 1 ont  été achevées, le commutateur de phase     S2    est  amené dans sa position de phase 2 et     l'un    des    groupes de fiches triées au cours des     courses     de phase 1, par exemple les fiches correspon  dant à des individus  masculin blanc ,     est     placé dans le magasin     polir    la course de  phase 2.  



  En amenant le commutateur de phase dans  sa position de phase 2     (fig.    48B), on provo  que l'excitation dès relais R207 à R210 et       CR93,    le relais     R209    étant excité par l'inter  médiaire des contacts     R211B.    Les commandes  de comparaison     (fig.    48R) sont ainsi     com-          mutées,    si bien que la douille d'entrée      CS      PS23 est reliée à la sortie de     comparaison     2   PS24 et que l'entrée de comparaison  CC        PS25    est reliée à la sortie de comparaison  1        PS24.     



  Pendant le premier cycle de la première  course de phase 2, le nombre de groupe de la  première fiche de cette course est enregistré  dans la machine et il est emmagasiné dans le  but d'être comparé aux nombres de groupe  de toutes les fiches suivantes de cette même  course. Admettons que la     tabulation    soit tout,  d'abord effectuée pour les fiches correspon  dant aux individus  masculin blanc  qui  avaient été déposées dans la poche  4  pen  dant la course précédente.

   Lorsque la pre  mière fiche passe en regard     des    balais B, les  sélecteurs de     recodification    1 et 3 sont. excités  de la même façon qu'auparavant, du fait que  le mode de connexion des balais n'a pas été  modifié, et les mêmes données contenues dans  ces fiches sont enregistrées dans     les    sélecteurs  de chiffre pour exciter les sélecteurs de     reco-          dification    de façon exactement semblable à  celle précédemment décrite.

   Cependant, dans  le cas considéré, les circuits sont légèrement  différents du fait que les entrées      CS     et   CC      (fig.    48R) ont été     commutées,    à partir  des douilles  1  et  3  du groupe de douilles       PS24    aux douilles  2  et  1  de ce même  groupe :de     douilles    respectivement.  



  On avait suivi le circuit initial à partir de  la douille PS22 en passant par la douille        CS     PS23 et jusqu'à la douille  1      PS24.        Tic     circuit aboutit     maintenant    à la, douille de  comparaison  2  PS24 et de là à la douille   C  PS39 du premier groupe d'emmagasinage      de chiffre à     partir    de la gauche     (fig.    49C), ce  groupe servant à emmagasiner le code de lieu  de naissance. Le circuit sort du tableau de  connexion à l'une des douilles     PS40,    confor  mément au lieu de naissance. Admettons par  exemple que la fiche considérée concerne un  individu autochtone et soit poinçonnée d'un   1  dans sa colonne 20.

   Le circuit aboutit  alors à la douille  1  du groupe de     douilles          PS56.        Etant    donné que le relais R209 a été  excité du fait qu'on a amené le commutateur  de phase dans sa position de phase 2, le cir  cuit s'étend vers le bas à travers les contacts  8209B, 8207A,<I>8204B,</I> 8203A et l'enroule  ment du relais 8115P, ce qui a pour effet de  diriger cette fiche vers la poche  1 . Le cir  cuit de triage retourne à la douille  CC  PS25  comme auparavant.

   Cependant, dans ce cas,  ce circuit passe à travers les contacts 8210C  et     8211D    pour aboutir à la douille de compa  raison  1      PS24.    Le circuit de contrôle  s'étend     ensuite        à,    travers les contacts norma  lement ouverts des sélecteurs de     recodifica-          tion    1 et 3 jusqu'à la douille  4  du groupe  de douilles     PS54,    et vers le bas à travers les  contacts 8208A. La douille  9  du groupe de  douilles PS54 sera considérée pour     l'instant     comme étant la     douille     4 .

   Le circuit de con  trôle passe     ensuite    à travers les contacts  8205B,     R5B,    à travers le     relais    de comparai  son     R74P,    qui sera représenté pour l'instant  par le relais de comparaison  9      R69P,    et  aboutit à la douille     PS36.    Le reste de ces cir  cuits est le même qu'auparavant.  



  L'excitation du relais     874P,    qui est un  relais à verrouillage,     provoque    le verrouil  lage de ses contacts qui     restent    en position  attirée pendant toutes les opérations d'avance  de fiche     subséquentes    de la première course  de phase 2. Le relais     R74P    n'est pas repré  senté, mais il     est    semblable au     relais    R69P  et comprend des contacts<I>R74B</I> semblables  aux contacts     R69B.     



  Les relais     R4P    et     R5P    font partie de l'en  semble de relais de commande d'indication de  groupe de première fiche. On se rappellera  que ces relais sont verrouillés en position  actionnée après que la première fiche a passé    par la machine et qu'ils restent en position  verrouillée jusqu'à ce qu'une série de cycles  d'impression soit effectuée. Les relais     R4P    et       R5P    ont pour effet de relier les     douilles    PS54  aux contacts<I>R69B</I> à 880B des relais R69P à  880P.

   Parmi les relais de ce groupe, seul le  relais R74P a été excité, si bien que seule la  douille  4  du groupe de     douilles    PS54 .est  reliée à la douille  CE  PS36 par l'intermé  diaire des contacts<I>R74B</I> et de la résistance  de 1000     ohms    et qu'aucun des relais 869P à  880P ne peut plus être excité.  



  Pendant le premier cycle de la première  course de phase 2, la première fiche est triée  dans une poche conformément au lieu de nais  sance, sous commande des connexions aboutis  sant aux douilles PS56 comprises dans le cir  cuit de contrôle suivi     ci-dessus,    ce circuit étant  rendu efficace lorsque les     relais    R57 et R58  sont excités pour     commuter    les     circuits.    Pen  dant le cycle d'avance de la seconde fiche, si  cette fiche est     poinçonnée    pour indiquer un  individu  masculin blanc , ainsi que cela de  vrait être le cas,

   la     douille     4  du groupe de  douilles PS54 et la douille  1  du groupe de  douilles PS55 sont à nouveau déterminantes  et le circuit de contrôle peut être suivi exac  tement comme auparavant, à l'exception que,  au lieu de passer par l'enroulement du relais       874P,    il passe     maintenant    à travers les con  tacts 84A ou     R5A   <I>et R74B</I> et à travers la ré  sistance de 1000 ohms pour aboutir à la  douille  CE      PS36.    La continuité de ce cir  cuit est assurée par les contacts     84A,

      R77B  et par la résistance de 1000 ohms qui rem  place l'enroulement du relais     R74P.    Le cir  cuit     ainsi    suivi et l'excitation subséquente des  relais R57 et R58 ont pour effet de diriger la  fiche vers la poche  1 ,     conformément    au lieu  de naissance.

   S'il se produisait que la seconde  fiche ou     qu'une    autre fiche suivante quelcon  que de cette course ne soit pas poinçonnée  pour indiquer un individu  masculin blanc ,  c'est-à-dire d'un  1  dans ses deux colonnes  18 et 19, mais qu'elle soit par exemple poin  çonnée d'un  2  dans sa colonne 18,

   les sélec  teurs de     recodification    2 et 3 seraient alors       excités    et l'impulsion de contrôle tenterait de      passer à travers les contacts normalement  fermés du sélecteur de     reeodification    1 et les  contacts normalement ouverts des sélecteurs  de     recodification    2 et 3 pour aboutir à la  douille  3  du groupe de douilles P854 et  vers le bas à travers le circuit des contacts       R4A    et     R5A.    Cependant, cette impulsion ne  pourrait se propager plus loin du fait que  seul le relais     R74P    est excité et que, dans ce       eas,

      le circuit devrait être fermé par les con  tacts R75B qui cependant ne sont pas fermés.  Par conséquent, le     circuit    de contrôle est dis  continu aux contacts     R75B,    et la fiche est re  jetée. Il en est de-même si la fiche est poin  çonnée d'un  2 ,  3 ,  4 ,  5  ou  6 , indi  quant ainsi un individu de couleur.

   Le sélec  teur de     recodification    4     est    alors excité et       l'impulsion    de contrôle est arrêtée aux con  tacts ouverts     R77B    ou     R76B,    selon que la  fiche porte une indication correspondant à  un     individu        masculin    ou à     un    individu fémi  nin. Le circuit de contrôle n'est continu que  lorsque la fiche     porte    une indication corres  pondant à     un    individu  masculin blanc .  



  *A la fin de la première course de phase 2,  une série de     cycles    d'impression de totaux a  lieu. Ces cycles se déroulent comme décrit     ci-          dessus    et les circuits de commande     d'indica-          .tion    de groupe et les relais de comparaison       R69P    à R80P sont     remis    en place. On remar  quera à la     fig.    48E que les     enroulements    de  déclenchement de tous ces relais sont bran  chés en parallèle, si bien que tous les enroule  ments de déclenchement     R2T    à<I>R96T</I> sont  excités simultanément.  



  Pendant la seconde course de phase 2,  l'un des groupes de fiches     poinçonnées     2  et   1  pour indiquer des individus      féminin     blanc ,  1  et  2  à  6  pour indiquer des       individus     masculin de couleur  ou  2  et   2  à  6  pour indiquer     des    individus  fémi  nin de couleur  passe par la machine dont le       fonctionnement    est répété,

   sauf     qu'un    relais       différent    du groupe de relais R69P à     R80P     est excité sous     commande    de la première fiche  de chaque course pour établir un modèle de  comparaison pour toutes les fiches suivantes  de     chacune    des     courses    de phase 2.    Pendant les courses de phase 2, les fiches  sont comptées et une     tabulation    de ces fiches  est effectuée sur la base de la classification  par sexe et par couleur, au moyen d'un circuit  de comptage séparé qui peut être semblable  à celui représenté à la     fig.    49F, établi par.  exemple conformément à des causes de décès..  



  Le commutateur de phase est maintenant  amené dans sa position de phase 3, et les  fiches poinçonnées en  1  dans leur colonne  20, indiquant des     individus    autochtones, sont  avancées dans la machine pendant la pre  mière course de phase 3. Ces fiches sont les  mêmes que celles qui ont déjà passé par la  machine, mais elles ont maintenant été reclas  sées en trois groupes, conformément     aux    lieux  de     naissance,    et on désire effectuer trois     ta-          bulations    séparées, une     tabulation    pour cha  cun de ces trois groupes.

   Comme auparavant,  cette     tabulation    peut     êtré    basée sur des     causes     de décès. La mise en place du commutateur  de phase dans sa position de phase 3 a pour  effet d'exciter     ,les    relais R204, R205,     R206,          R209,    R211 et CR94     (fig.    48B).

   Les enroule  ments des     relais    de comparaison     R69P        àR80P     sont ainsi commutés et reliés aux douilles  PS55     (fig.    48R), si bien que la comparaison  sera effectuée par l'intermédiaire des douilles  PS55 au lieu des     douilles        PS54.    Le relais  R211     (fig.    48R)     commute    les entrées de com  paraison, les     douilles         CS     PS23 et la douille   CC  PS25 aux douilles de sortie  2  et  3   du groupe de     douilles        PS24,

      si bien que la       connexion    à fiches aboutissant à la douille de  sortie  1  du groupe de     douilles        PS24    est  rendue     inopérante.    Du fait qu'aucun change  ment n'a été effectué dans le mode de con  nexion par connexion à fiches des balais,     les     sélecteurs- de     recodification    et les     groupes     d'emmagasinage de chiffre sont efficaces  comme auparavant. Cependant, le mode de  connexion par connexion à fiches pour la  répartition dans quatre poches effectuée au  cours des courses de phase 1 n'a plus de si  gnification.

   Par conséquent, les impulsions  fournies à travers les sélecteurs de     recodifica-          tion    sont mises hors     circuit    pour les courses      de     phase    3 par l'ouverture des     contacts     8211D     (fig.    48R). .  



  La fermeture de contacts<I>8206B</I> et     R204-1          (fig.    48R) a pour effet de relier les relais de  commande de triage aux douilles PS56 pour  permettre de trier les fiches conformément  au mois de naissance au cours des courses de  phase 3 :de la machine. La comparaison est  rendue efficace sous commande du groupe  d'emmagasinage de chiffre de gauche qui  emmagasine les valeurs 1, 2 et 3 du code de  lieu de     naissance.     



  Le premier circuit de contrôle, dans le cas  considéré, et en     adiuettant    que la fiche soit  poinçonnée d'un  1  pour janvier et d'un  2   indiquant un individu né à l'étranger, peut  être suivi comme suit: à partir de la douille       PS22,    ce circuit passe par 1a douille      CS      PS23     (fig.    48R), par les     contacts    8211C, par  la douille de comparaison  3  du groupe de  douilles PS24 pour aboutir à la douille  C   PS39 du second groupe d'emmagasinage de  chiffre à partir de la gauche     (fig.    49G).

   A  partir de là, le circuit de contrôle s'étend jus  qu'à la douille  1  du groupe de douilles  PS40 et à la douille  1  du groupe de douilles       PS56,    passe à travers les contacts 8206B,  8208B,     8204A    et 8203B     (fig.    48R) et à tra  vers     Venroulément    du relais de     commande    de  triage  1  8115P pour parvenir à la con  nexion commune des     contacts        R248        (fig.    48E)  et     R57B,    R58B à travers lesquels il s'étend  jusqu'à la douille  1  PS21 et à la douille   CC      PS25        (fig.    48R).

   Ce même circuit de  contrôle s'étend ensuite à travers les contacts  R210D et 8211C jusqu'à la douille de com  paraison  2  du groupe de douilles PS24 et à  la douille  C  PS39 du premier groupe d'em  magasinage,de chiffre à partir de la gauche  pour parvenir ensuite à la douille  2  du  groupe de douilles PS40 au cas où la fiche  est poinçonnée d'un  2  pour indiquer un  individu né à l'étranger.

   A partir de cette  dernière douille, le circuit de contrôle s'étend  jusqu'à la douille  2  .du groupe de douilles  PS55 et, à travers les contacts 8209B,     8205A     et     R4B        (fig.    48R) jusqu'au relais de compa  raison  2  R76P et à la douille  CE      PS36.       Ce même circuit parvient     ensuite    à la douille   1      P826        (fig.    48E) et, à travers les contacts       857B,    à la douille  1      P827    et à la douille  P828 ainsi qu'au tube V123.

   Ce tube     est    ainsi  amorcé pour provoquer     ensuite    l'excitation  du relais<I>R77P</I> et de l'électro-aimant de com  mande de     triage        SC112    et pour diriger la fiche  portant     une    indication correspondant au mois  de janvier vers la poche  1 .     Les    fiches sui  vantes de la course de phase 3 devraient.

       toïi-          tes    être poinçonnées d'un  2  pour     indiquer.     un individu né à l'étranger et, si cela     est    le  cas, ces fiches permettent à un circuit de  contrôle d'être établi à travers les -     contacts     <I>876B</I> et la résistance de 1000 ohms, comme.

    décrit ci-dessus. -Cependant, si l'opérateur dis  posait des fiches poinçonnées de  3  derrière,  le paquet de fiches poinçonnées  2 , les fiches       poinçonnées     3  ne seraient pas capables  d'établir un circuit passant par l'enroulement  d'un des     relâis    de comparaison R69P à     R80P     ou par les contacts<I>R69B</I> à     R80B,    et toute  fiche de ce genre serait rejetée.

   Ainsi qu'on  l'a dit en décrivant le fonctionnement con  forme au mode de connexion représenté à la       fig.    49F, les fiches sont rejetées sans être  comptées, du fait que les circuits de comptage  sont toujours     disposés    en série avec les cir  cuits de triage et de comparaison pour l'opé  ration de contrôle, si bien que ces trois cir  cuits doivent être continus avant qu'une im  pulsion     d'actionnement    positive puisse être  fournie à l'une quelconque des commandes.  



  Il convient ici     d'expliquer    que les     relais     de comparaison R69P à     RSOP,    comme les  autres relais, sont excités par des impulsions       d'actionnement    positives qui sont efficaces  lorsque les relais R57 et R58 sont     excités,    du  fait qu'un circuit :de contrôle a été trouvé  continu.

   Les impulsions     d'actionnement    posi  tives pour les relais de comparaison     partent     de la douille  1  PS21     (fig.    48E et 49G) pour  aller à la     douille     CC  PS25 et, à travers les  contacts 8210D et 8211C     (fig.    48R), à la  douille de comparaison  2  .du groupe de  douilles     PS24,    à la douille  C  PS39 du pre  mier groupe d'emmagasinage de chiffre à  partir de la gauche     (fig.    49G), à la douille  2            PS40,    à la douille  1      PS55,    au circuit de re  lais du commutateur de phase, au relais de  comparaison     R77P,

      à la douille  CE      P836    et  à la douille  1      PS26.     



       Ai    cas où l'on     désire    effectuer     un    comp  tage pendant cette opération,     ainsi    que cela  serait normalement toujours le cas, un cir  cuit de comptage séparé semblable au circuit  représenté à la     fig.    49F peut être connecté  par des     connexions    à fiches aux douilles  1   et  2  des groupes de     douilles        PS21,    PS26 et  PS27 de la     fig.    49G et,

   au lieu de connecter  les     douilles     1  des     groupes    de     douilles        P821     et PS36 comme à la     fig.    49G, les connexions  à fiches reliant ces douilles de même que celle  reliant la douille  1  PS27 sont déplacées et  sont insérées dans les douilles  3  des groupes  de douilles     PS21,   <I>PS26</I> et     PS27.    Cette dispo  sition permet     .à    la machine d'effectuer un  comptage conformément à des     données    dési  rées quelconques des fiches     d'enregistrement,

       sans interférer avec les circuits de comparai  son et de triage et sans que ce comptage soit  gêné par la comparaison ou par le triage.  



  La connexion à fiches- insérée entre les  douilles PS27 et PS28 est uniquement desti  née à compléter le circuit de contrôle série  pour le faire parvenir jusqu'au tube     V123.     Une fois que ce circuit a été trouvé continu  et que les relais R57 et R58 ont été excités,  cette connexion à fiches est sans effet. On  se rend compte que des fonctions désirées       quelconques    peuvent, par     conséquent,    être       connectées    par des     connexions    à fiches aux  douilles<I>PS21</I> et PS26 pour former autant de  circuits     série-paraflèle    qu'on le désire.

   Une  condition importante qu'on doit se rappeler       est    qu'un circuit de     commande    série quelcon  que inséré dans     l'ensemble    de connexion doit  être connecté par des connexions à fiches  entre une paire de douilles<I>PS21</I> et PS26 su  périeure et inférieure désignée par l'un des       petits    chiffres  1  à  10 .

   Ainsi, les deux  extrémités d'un circuit série quelconque pas  sant par un circuit de sélecteur de     recodifi-          cation    pour aboutir à un électro-aimant de  compteur d'unités doit toujours être relié par  des connexions . à fiches. à des     douilles.   <I>PS21</I>    et PS26 correspondantes, à partir des douilles       PS21,    PS26 et<I>PS27</I> désignées par  1        (fig.    48E).

   Si les deux modes de     connexion          représentés    aux     fig.    49F et 49G sont combinés,  les douilles  1 ,  2  et  3  des groupes de  douilles<I>PS21</I> et PS26 doivent être utilisées  et les douilles  3  .du groupe de douilles PS27  doivent être reliées au lieu des douilles  1   ou  2  de ce groupe. Si     d'autres    circuits sont  encore ajoutés, la dernière douille PS27 cor  respondant à la dernière douille de droite qui  est connectée à un circuit parallèle doit être  utilisée pour assurer la continuité du     circuit.     de contrôle.

   En d'autres termes, à     mesure    que  le nombre de circuits de     commande    est aug  menté, l'extrémité de gauche de la connexion  à fiches insérée dans la douille PS28 doit être  déplacée vers la droite de façon à correspon  dre à la dernière position de  comptage  re  liée par connexions à fiches.    La machine a une capacité de dix sorties  de commande PS21 et de dix entrées     PS26,     mais il faut cependant se rappeler. que chaque  circuit de sortie peut comprendre des dériva  tions capables de commander sélectivement  plusieurs compteurs d'unités. Par exemple, à  la     fig.    49F, deux sorties de commande PS21  et deux entrées PS26 commandent le fonc  tionnement :de cinq compteurs d'unités.

   On  voit donc que les douilles PS21 et PS26 sont.  principalement des points     terminaiLx    de cir  cuits et que le nombre de ces points termi  naux n'a pas de relation     numérique    directe  avec le nombre effectif de circuits pouvant.       étre    commandés par les poinçonnages     des     fiches.

      Après que les courses de phase 3 sont ache  vées et que les fiches triées conformément au  lieu de naissance au cours des courses de  phase 2 ont été     soiunises    à une opération de       tabulation,    le commutateur S2 peut être  amené en position de phase 4 et les fiches  qui ont été     triées    au cours de la course de  phase 3 conformément au mois de naissance  sont à nouveau avancées dans la machine. Les  relais CR95 et     R212    sont excités et     1e    relais  R206 est également excité par l'intermédiaire      des contacts     $212B    lorsque le commutateur  de phase est amené en position de phase 4.

   Du  fait que les contacts     8206r1    sont fermés et  qu'aucun des autres relais représentés aux       fig.    48B et 481, associés au commutateur de  phase, ne sont     excités,    le second groupe d'em  magasinage de     chiffre    à     partir    de la gauche       (fig.    49G) est directement relié aux relais de  comparaison R69P à     R80P.    Ces relais peuvent  ainsi fonctionner au cours de cette phase 4,  de façon exactement semblable à celle décrite  en référence aux autres     courses.    Du fait que  les relais R210 et     R27.1    ne sont plus excités,

    les     douilles    d'entrée      CS     et  CC  PS23 et  <I>PS25</I> sont à nouveau reliées aux sorties de  comparaison  1  et  3 .  



  Si la première fiche est poinçonnée d'un   1  caractérisant un     individu    né au mois de  janvier, l'impulsion de contrôle peut être  suivie à partir de la source positive P1       (fig.    48E) et â travers les contacts     LCRLI    et  C11, la résistance de 1000 ohms, les contacts  8201C,     R58D,    8212C et 8212E     (fig.    48R)  jusqu'au relais de commande de triage  12        87.18P.    Après avoir traversé ce relais, cette  impulsion passe à travers les contacts     R24A,     <I>857B</I> et<I>R58B</I>     (fig.    48E) pour aboutir à la  douille  1  PS21 et à la douille  CC  PS25       (fig.    48R) et,

   à travers les contacts 8210D et  8211D, à la     douille    de comparaison  3  P824  et à la douille  C  PS39 du second groupe  d'emmagasinage de chiffre à partir de la  gauche. De là, cette impulsion se propage jus  qu'à la douille  1  du groupe de     douilles     PS40     (fig.    49G) et jusqu'à la douille PS56       (fig.    48R); elle passe ensuite à travers les  contacts 8206B,<I>8208B,</I> 8205B et     R4B,    tra  verse le relais de comparaison  1 <I>R77P</I> pour  aboutir à la douille  CE  PS36 et à la douille   1  PS26     (fig.    48E).

   Cette même     impulsion     traverse finalement les contacts<I>R57B</I> pour  parvenir à la douille  1  PS27 et à la douille       PS28.     



  Les relais R57 et R58 sont ainsi excités et  convertissent le circuit de contrôle série en  un groupe de circuits parallèles comprenant  le relais 8118P de la poche  12  et -le relais  de comparaison  1      R77P.    Ces circuits sont         prêts    à     recevoir    des     impulsions        d'actionne-          ment,    si bien que la fiche sera déposée     dans    la  poche  12  et que le modèle de comparaison  pour les autres fiches relatives au mois de  janvier sera établi.

   Si le circuit de contrôle  n'est pas fermé pour     une    raison ou     pour    une  autre, la fiche est rejetée pour être inspectée  et le relais de comparaison n'est pas excité,  comme dans le cas des courses de phase 2 et  3. De façon semblable, les autres fiches triées  par mois sont avancées dans la machine, une  série de cycles d'impression étant intercalée  à la fin de chaque groupe de mois pour impri  mer dans douze lignes sur 1a feuille de travail  la distribution des totaux,     conformément    à_ un  circuit de comptage quelconque qui peut être  relié par des     connexions    à fiches à une ou à  plusieurs des entrées et des sorties PS26 et       PS22.     



  Au cours des     courses        successives    compre  nant des opérations -de comparaison, il est dé  sirable     d'imprimer        dans    les colonnes de   Triage      (fig.    42) le nombre de groupe ou le  nombre de classe des différentes courses.

   Par  exemple, au cours des courses .de phase 2  pendant lesquelles les fiches relatives à des  individus  masculin blanc ,      féminin.    blanc ,   masculin de couleur  et  féminin de cou  leur  sont     sotunises    à une opération de     tabula-          tion,    on désire que le nombre de classe  1-1   pour les individus  masculin blanc  soit im  primé sur la feuille de travail, en alignement  horizontal avec les totaux correspondant à ce  nombre de classe.     Lorsqit'ime    série de courses  de phase telle que celle qu'on vient de     décrire     est effectuée, le nombre de groupe changeant  à chaque phase, il est désirable qu'on puisse  changer périodiquement l'impression du nom  bre de groupe.

   Pour obtenir ce résultat, la  machine comprend un groupe de     commande     disposé pour être connecté par des     connexions     à fiches et désigné par  Classe     GI     pour  classe     d'indication    de     groupe    aux     fig.    41 et 48R.  



  Les chiffres  1 ,  2  et  3      disposés        au-          dessus    .des douilles     PS58,    PS59 et PS60 se  rapportent aux courses de phase pendant les  quelles ces douilles, représentées à la     fig.    48R,  sont utilisées. Pour     simplifier    la description,      les balais de fiches sont représentés à la       fig.    49G comme étant reliés directement, par  des connexions à fiches, aux sélecteurs de     re-          codification,    si bien qu'aucune disposition  n'est prévue pour l'enregistrement d'un nom  bre !de groupe.

   Selon ce mode de     connexion,    le  nombre de groupe ou la colonne de  Triage  de  la     feuille    de travail reste vierge. 11 est évident  que cela n'est pas désirable et qu'il faut pré  voir des moyens permettant d'identifier les  rangées de totaux,     particulièrement    du fait  que la signification de ceux-ci change au  cours     d'une    ou de     plusieurs    courses succes  sives associées aux -différentes phases de fonc  tionnement.

   Pour permettre l'impression du  nombre de groupe et pour .effectuer un chan  gement automatique du nombre de groupe  correspondant aux courses de phase, les       douilles        PS1    pour les colonnes 18 et 19       (fig.    49B) sont reliées aux deux douilles PS58  d'extrême droite des     fig.    41 et 48R. La     douille          PS1    pour la colonne 20 est reliée à la douille  PS59 d'extrême droite, et la douille     PS1    pour  la colonne 21 est reliée à la douille     PS60     d'extrême droite.

   Les douilles  3  et  4  du  groupe de douilles     P861    sont reliées respecti  vement aux douilles .des unités et     des        dizaines     du groupe de     douilles        P814         GI    PU  d'exci  tation d'indication de groupe. Les mêmes  douilles     PS58,    PS59 et PS60 sont également  reliées aux sélecteurs de     recodification    1 et 3  et à la     douille    PS16     -des    deux groupes d'em  magasinage de chiffre de gauche à la     fig.    49G.  



  Grâce à cette disposition, les     impulsions     fournies à partir des balais ne rendent pas  seulement efficaces les sélecteurs de     recodi-          fication,    de la façon précédemment décrite,  mais elles commandent également les     ordres     des unités et des dizaines de la section d'indi  cation de groupe.

   Pendant la course de phase  1, lorsque les totaux sont     imprimés    confor  mément à un triage précédemment effectué et       non    décrit ci-dessus, le nombre de groupe  n'est pas imprimé,     puisque    les contacts  CR39A     (fig.    48R) restent ouverts, le relais  CR93     (fig.    48B) n'étant excité que lorsque le  commutateur S2 est amené en position -de  phase 2.

   Pendant les courses de phase     2,-    le    relais     CR93    reste continuellement excité et,       pendant    qu'une     tabulation    des fiches est  effectuée conformément aux classifications  obtenues pendant les courses de phase 1, le  nombre de groupe  1-1  -de la première fiche  de chaque course est     enregistré    à l'ordre des  unités de la section     d'indication    de groupe à  l'aide de circuits partant des douilles de ba  lais     PS1    correspondant aux colonnes 18 et 19.

    A partir de ces douilles, ces circuits s'étendent  au travers des contacts     CR93A,   <I>CR94B</I> et  CR95B jusqu'aux douilles  3  et  4  du  groupe de douilles     PS61    et aux douilles     PS14          des    ordres des unités et des dizaines. A partir  de     ces        douilles,    ces circuits aboutissent aux  tubes des ordres des unités et des     dizaines     V51 et V58 qui sont amorcés séparément et  selon des combinaisons conformément aux       poinçonnages    présents     dans    les colonnes 18 et  19.

   Par exemple, si l'opérateur commence la  course de phase 2 avec des fiches correspon  dant à des individus  masculin blanc , la sec  tion d'indication de groupe emmagasine la  valeur  1  dans les     ordres    des unités et des  dizaines et, lorsque .les totaux sont imprimés,  ce nombre apparaît dans la colonne de triage  des sections de la feuille de travail pour iden  tifier la classe de triage à laquelle se rapporte  la     ligne    de totaux.  



  Lorsque le commutateur de phase est  amené en position de phase 3 et en position  de phase 4, les relais CR94 et CR95 sont  excités et ferment leurs contacts     CR94A    et  <I>CR95A</I> pour provoquer l'impression des nom  bres de groupe relatifs au lieu de naissance  et au mois de naissance, pendant ces courses  de phase 3 et 4     respectivement.     



  La     suite    d'opérations comprenant le  comptage, la comparaison, l'impression du  nombre de groupe et le triage, décrites en  référence aux     fig.    49G et 49F combinées, et en       utilisant    le dispositif de classe d'indication de  groupe de la     fig.    48R, peut être     résumée    dans  la table     suivante:     <I>Table VI:</I>  <I>Suite (le</I>     comptage   <I>phase 1.</I>  



  1.     Tabulation    des     fiches        conformément    à un  triage préalable.           Z.    Nouveau triage des fiches pour le comp  tage au cours de la phase 2.  



  3. Pas d'impression de nombre de groupe.  4. Pas de comparaison.  



  5. Une ou plusieurs courses.  



  <I>Suite de comptage phase</I>     ,2.     



  1.     Tabulation    conformément au triage effec  tué au cours de la phase 1.  



  2. Nouveau triage des fiches pour le comp  tage au cours de la phase 3.  



  3. Impression du nombre de groupe de la  phase 1.  



  4. Comparaison du nombre de groupe de la  phase 1.  



  5. Quatre courses - quatre nombres de  groupe     différents.       <I>Suite de comptage phase 3.</I>  



  1.     Tabulation    conformément au triage effec  tué au cours .de la phase 2.  



  2. Nouveau triage pour le comptage au cours  de la phase 4.  



  3. Impression du nombre de groupe de la  phase 2.  



  4. Comparaison du nombre de groupe de la  phase 2.  



  5. Trois courses - trois nombres de groupe  différents.  



  <I>Suite de</I>     comptage   <I>phase</I>     j.     



  1.     Tabulation    conformément au triage effec  tué au cours de la phase 3.  



  2. Triage dans douze     poches.     



  3. Impression du nombre de groupe de la  phase 3.  



  4. Comparaison du nombre de groupe de la  phase 3.  



  5. Douze courses - douze nombres de groupe  différents.    La     fig.    49H représente un mode de con  nexion destiné à détecter des erreurs de poin  çonnage des fiches de nature à permettre à la  machine de fonctionner correctement pendant  une opération de comptage, mais à produire  des résultats     statistiques    faux, du fait que  ces résultats sont contraires à l'expérience,  par exemple     qu'ils    sont médicalement     impos-          sibles.    L'opération peut comprendre la tabu-         lation    de fiches conformément aux causes de  décès,

   et une fiche peut être poinçonnée pour       indiquer    que le décès est dû à     -aie    grossesse.  l'âge de la mère     indiqué        sur    la fiche étant su  périeur à 59 ou     inférieur    à 10 ans. L'opéra  teur de la machine à poinçonner pourrait  avoir     poinçonné    l'âge de 49 ans comme 69 ans  ou l'âge de 21 ans comme 01 par exemple.

    Lorsque la fiche passe par la     machine    pour  une opération de comptage, les     circuits    de  comptage pourraient être mis en place cor  rectement du fait que la fiche est effective  ment poinçonnée .dans les     colonnes    et aux po  sitions repère qui devraient être     poinçonnées,     mais les     faits        indiqués    par les poinçonnages  sont contraires à l'expérience médicale, bien  qu'il y ait une possibilité très faible pour  qu'ils puissent se produire.

   Le mode de con  nexion représenté à la     fig.    49H comprend des  moyens :destinés à séparer     des    fiches dans le  but de les vérifier avant qu'elles aient été  comptées ou triées préalablement à l'opération  suivante devant être effectuée sur les mêmes  fiches. L'âge est enregistré dans les     colonnes     19 et 20, mais, dans le but     considéré,    seul lé  chiffre des dizaines présente un intérêt puis  que le domaine des nombres faux est infé  rieur à 10 ou supérieur à 59 et qu'un des     chif-          frac    1 à 5 sera toujours     poinçonné    dans la  fiche si celui-ci est poinçonné correctement.  



  Un autre type d'erreur est     susceptible    de  se produire lorsque les fiches comprennent  une     indication    de     l'Etat    de     résidence.    Confor  mément au code statistique normal, les     Etats     peuvent être numérotés par ordre alphabéti  que, de 1 à 48 par exemple pour les     Etats-          Unis        d'Amérique,    ou de 1 à 25 pour les can  tons et demi-cantons de Suisse.

   Si une fiche  était poinçonnée du chiffre 69, ce chiffre  constituerait une erreur dans le poinçonnage  de     l'Etat.    Ce type d'erreur peut être détecté,  de même que le premier type d'erreur men  tionné ci-dessus, et ces erreurs sont choisies  comme exemples simples dans le but de mon  trer comment plusieurs erreurs de différents  types, constituant des     données    incompatibles  avec les faits, peuvent être détectées. Le sé  lecteur de     recodification    1 est relié par des           connexions    à fiches pour     étre    excité chaque  fois qu'un     poinçonnage    se présente à l'une  des positions repère 1 à 5 de la colonne 19.

    Les     sélecteurs    de     recodification    2 et 3 sont  reliés par des connexions à fiches, de façon  que le     ,sélecteur    de     recodification    2 soit à  nouveau excité lorsque l'un     quelconque    des  chiffres  0  à  3  est poinçonné dans la co  lonne 21, dans laquelle les dizaines des chif  fres correspondant aux     Etats    sont enregis  trées. Le sélecteur de     recodification    4 est  actionné     sous    l'effet d'une valeur  0  à  8   poinçonnée dans la colonne 22. Le commuta  teur S2 est mis en place dans sa position   Hors  ou en position de phase 1.  



  D'après ce mode de connexion, il est évi  dent que si l'âge poinçonné de la mère est  compris entre 10 et 59 ans, le sélecteur de       recodification    1 est excité, mais que si cet âge  est poinçonné comme 60 ou supérieur à 60 ou       comme    0 à 9, le sélecteur de     recodification    1  n'est pas excité.  



  Le sélecteur de     recodification    2 est excité       lorsqu'un        poinçonnage    se présente dan> l'une  des positions  0  à  3  de la colonne des di  zaine des     Etats    ou colonne 21. Le sélecteur  de     recodification    3 est excité chaque fois qu'un   4  se présente dans la colonne 21, et le sé  lecteur de     recodificaiion    4 est excité chaque  fois que l'un des chiffres  0  à  8  est poin  çonné dans la colonne 22.  



  Si     l'Etat    des Etats-Unis d'Amérique est  représenté par un poinçonnage 48 , les sé  lecteurs -de     recodification    3 et 4 sont excités  et l'impulsion de contrôle est émise à partir  de la douille     PS22.    En admettant que l'âge  poinçonné soit correct, cette     impulsion    passe  à travers les     contacts    normalement ouverts du  sélecteur 1, les contacts normalement fermés  du sélecteur 2, les     contacts    normalement  ouverts des sélecteurs 3 et 4 pour aboutir à  la douille  12  du groupe de douilles     PS54,     par l'intermédiaire de la connexion à     fiches    à  dérivation,

   provoquant ainsi l'excitation du  relais  12      R118P.    Si la fiche était poin  çonnée  39 , le sélecteur 2 serait excité et les  sélecteurs 3 et 4 ne seraient pas excités et  l'impulsion de contrôle passerait à travers     les            contacts    normalement ouverts des sélecteurs 1  et 2 et la même connexion à fiches à dériva  tion pour aboutir à la douille  12  du groupe  de     douilles        PS54.     



  Pour obtenir ce résultat, il est nécessaire  d'utiliser une     connexion    à fiches à dérivation,  c'est-à-dire une connexion comprenant trois  fiches reliées entre elles par deux câbles de       connexion    et destinées à relier entre elles trois  douilles. Pour éviter d'utiliser de telles .con  nexions à fiches à dérivation, autant que faire  se peut, le tableau de connexion comprend  des douilles PS41     qiii    permettent d'établir  une triple connexion en utilisant .trois con  nexions à     fiches    ordinaires. Les opérations dé  crites ci-dessous     illustreront    l'utilisation de  ces douilles     PS41.     



  Si     l'Etat    était poinçonné  49 , le sélecteur  de     recodification    3 serait excité et le sélecteur  de     recodification    4 ne- serait pas excité, si bien  que le circuit aboutissant au tube V123 ne se  rait pas continu et que la fiche poinçonnée   49  serait rejetée. Il en serait de même si  l'âge de la mère était indiqué comme étant  inférieur ou égal à 9 ans ou égal ou supérieur  à 60 ans, puisque, .dans ce cas, le sélecteur de       recodification    1 ne serait pas excité et que le  circuit de contrôle resterait interrompu.  



  L'exemple représenté à la     fig.    49H a été       simplifié    à     dessein    pour montrer comment  plusieurs facteurs peuvent être édités simul  tanément et comment ceux de ces facteurs qui  sont incompatibles avec l'expérience peuvent  être refusés pour être examinés. En fait, dans  le     fonctionnement    conforme au mode de con  nexion de la     fig.    49H il est désirable de dis  poser d'un troisième contrôle, afin de s'assu  rer que le sexe a été poinçonné correctement.

    Par exemple, si l'opérateur de la machine à       poinçonner    a par erreur poinçonné une fiche  pour indiquer un individu masculin, cette  fiche serait évidemment incompatible avec une  opération de triage ou de     tabulation,    confor  mément aux causes de décès     d'individus        fé-          minins.    Dans ce cas, le sélecteur 5 pourrait  être connecté par des connexions à fiches, de  façon à réagir à la désignation codifiée que  doit porter la fiche, correspondant à un indi-      v     idu    féminin,

   et ses contacts normalement  ouverts peuvent être disposés en série avec  les contacts normalement ouverts du sélecteur  de     recodification    1 et les contacts normale  ment ouverts du sélecteur de     recodification    2,  si bien que les deux sélecteurs de     recodifica-          tion    1 et 5 doivent être excités avant que le  circuit de contrôle puisse être établi.  



  Il     est    par     conséquent    possible de relier un  grand nombre de contacts des sélecteurs de       recodification    selon des combinaisons     série-          parallèle,    de façon qu'un circuit série de con  trôle doive être établi sous commande de cha  que fiche pour correspondre à des combinai  sons de faits prescrites. Cette opération dite       d' édition     peut être effectuée soit de façon  complémentaire à une opération de triage, soit  de façon complémentaire à     cule    opération de  comptage et de     tabulation,    soit encore de  façon complémentaire à ces deux types d'opé  rations.

   Le groupe de     douilles        PS21,    P826 et  PS27 des     fig.    41 et 48E .décrit en référence à  la.     fig.    49G, permet de relier plusieurs com  mandes :différentes selon des circuits     série-          parallèle,    si bien que le triage, le comptage,  l'édition, la     comparaison    et d'autres opéra  tions peuvent être effectués simultanément.

    Abstraction faite du nombre de circuits de  commande choisi au moyen de connexions à  fiches, une impulsion de contrôle doit tou  jours traverser la totalité de circuits devant  être efficaces pour chaque fiche, ces     circuits     étant disposés en série dans des buts d'essais  et étant ensuite modifiés du fait du fonction  nement des relais R57 et R58 pour     former@des     circuits parallèles destinés à actionner les  électro-aimants des compteurs ou des relais  de commande de triage. On comprendra donc  qu'en pratique, le mode de     connexion    de la  machine est beaucoup plus complique que  ceux représentés dans les différents exemples.

    Dans ces exemples, le problème doit en effet  nécessairement être     simplifié,    de façon que le  mode de connexion puisse être représenté sur  la vue du tableau de connexion sans que ce  mode de     connexion    devienne un amas     confus     de connexions à fiches qu'on ne pourrait plus  suivre.

      Le mode de connexion représenté à la       fig.    491 est destiné à. assurer     tune    opération       d'assortiment    lorsqu'on désire comparer     les     données enregistrées dans deux différents  champs, dans le but, d'effectuer     une        tabula-          tion    du nombre d'assortiments. Un problème  typique de ce genre se pose     lorsqu'on    désire ;  connaître le nombre de personnes     d'iun        Etat     déterminé qui sont     nées    dans     l'Etat    dans le  quel elles résident.

   Les buts de ce     type.de        ta-          bulation    sont de .fournir des indications sur  l'ampleur     d'une    migration. Les     Etats    de nais-,  lance et de résidence sont     poinçonnés        respec=          tivement    dans les colonnes 29, 30, 31 et 32,  en utilisant un code qui peut s'étendre de 01  à 49, pour les Etats-Unis d'Amérique, y com  pris le district de Columbia. Le commutateur,  de phase est disposé dans sa position  Hors   ou en position -de phase 1.  



  Dans le cas qui nous occupe, les valeurs  effectives poinçonnées dans les fiches n'ont  pas de signification, pour autant que les nom  bres poinçonnés respectivement dans les co  lonnes 29 et 31 et 30 et 32 sont identiques.  En d'autres termes, la colonne 29 correspond  à la colonne 31 et la colonne 30 à la colonne  32. Les douilles     PS1    des colonnes 29 et 31  sont reliées par connexions à fiches au sélec  teur 1 et le sélecteur 2 est     semblablement    relié  aux colonnes 30 et 32. Ainsi, si les colonnes 29  et 31 et les colonnes 30 et 32 concordent, les  deux sélecteurs 1 et 2 sont rendus efficaces.

    Dans ces conditions, leurs contacts normale  ment     ouverts    se ferment, permettant ainsi à  un circuit d'être formé à partir de l'émetteur       El,    en  12 , par l'intermédiaire des contacts  des sélecteurs 1 et 2, jusqu'aux grilles-écran i  et aux grilles de commande des tubes du sé  lecteur 3.  



  Une impulsion de contrôle peut dès lors  être transmise à partir de la douille PS22 et  à travers un des jeux de     contacts    du sélecteur  3, jusqu'à la douille  1  PS54 qui commande  le triage dans la poche  1 . Cette impulsion  de contrôle passe à travers les contacts     R24.4,          R57B,    R58B     (fig.    48F) et     soit    du tableau de  connexion par la douille  1  P821.

   Elle se  propage par la connexion à fiches jusqu'à la      douille     d' Entrée         1'S30        (fig.    491) du comp  teur d'unités 3 et, à travers l'électro-aimant  de ce compteur     d'unités,    et par l'intermédiaire       d'une    connexion à fiches jusqu'à la douille   1  P826.

       L'impulsion    passe     ensuite    à tra  vers les contacts     R57B,   <I>R58B</I>     (fig.    48E) pour  parvenir à la douille  2      PS21.    De là, elle  passe à travers la connexion à     fiches    pour  aller à l'autre jeu de contacts normalement  ouverts du sélecteur 3, à travers une con  nexion à fiches, à la douille     d' Entrée         PS30     du compteur 1     (fig.        49Z)

  .    Cette impulsion  part     ensuite    de la douille PS31 du compteur       d'unités    1 et se propage à travers un pont  jusqu'à la     douille    de sortie     PS31    du compteur  d'unités 2 et de là, à travers une connexion à  fiches, jusqu'à la douille  2      PS26.    Elle  s'étend     ensuite    à travers les contacts<I>R57B</I>       (fig.    48E) jusqu'à la douille  2  P829 et, par  l'intermédiaire d'une connexion à fiches, jus  qu'à la douille     PS28,    pour amorcer le tube  Y123 et exciter les relais     R57    et R58.

   Comme  on l'a expliqué ci-dessus, ces     relais    transfè  rent les     connexions    de façon que les liaisons  série comprenant les compteurs 1 et 3 soient  transformées en liaisons parallèles destinées à  fournir des impulsions de comptage et une  unité est alors comptée dans chacun de ces       compteurs.    Le     relais    de commande de triage   1      R115P    est également excité et provoque  l'acheminement de la fiche portant des champs  d'enregistrement     assortis    vers la poche  1 .  



  Si les champs ne sont pas assortis, l'un des  sélecteurs de     recodification    1 et 2 ou     les    deux  n'est ou ne sont pas excités et le sélecteur de       recodification    3     n'est    pas non plus excité dans  ces conditions, si bien que les contacts norma  lement fermés de ce relais restent fermés. Il       s'ensuit    que     l'impulsion    de contrôle     partant     de la douille PS22 passe à travers les     contacts     normalement fermés du jeu de droite- des con  tacts du sélecteur de     reeodification    2 pour  aboutir à la douille PS54 correspondant à la  poche  2 .

   A partir de cette douille, cette       impulsion    se propage à travers les contacts  normalement fermés du jeu de gauche jusqu'à  la douille     d' Entrée         PS30    du compteur 2. Le  compteur 3 et ses connexions à fiches sont com-    pris dans le circuit de contrôle série puisque  cette partie de ce circuit de contrôle ne dé  pend d'aucun sélecteur de     recodification.    De  ce fait, toutes les fiches sont comptées dans le       compteur    d'unités 3, les     fiches    assorties  sont comptées dans le compteur d'unités 1 et  les fiches non assorties sont comptées dans le  compteur d'unités 2.  



  A .la fin de chaque course de fiches, une  suite de cycles d'impression a lieu pour impri  mer les totaux     contenus    dans les compteurs 1,  2 et 3. Afin d'obtenir un contrôle sur l'exac  titude des comptages, le compteur d'unités 3  peut être connecté pour effectuer une sous  traction, comme représenté, en insérant un  pont dans les douilles PS32 et<I>PS52</I> de ce  compteur, comme représenté à la     fig.    491.  Pendant le troisième de la     suite    de trois cy  cles au cours     desquels    les totaux des comp  teurs 1, 2 et 3 sont     imprimés    successivement,  la quantité contenue dans le compteur 3 est  soustraite     dans    l'accumulateur 1.

   De cette  faon, sur la feuille de travail, le total figu  rant dans la colonne correspondant au comp  teur d'unités 3 devrait être égal à la somme  des totaux pour les compteurs d'unités 1 et 2  si la     tabalation    des fiches a été correctement  effectuée. Le contrôle par sommation décalée  devrait également donner des résultats cor  rects.  



  Dans certaines conditions, il peut être dé  sirable d'effectuer une     tabulation    sous com  mande de fiches disposées à intervalles régu  liers dans un paquet de fiches. Une telle  opération     nécessite    l'utilisation du compteur  d'unités 60. On se rappellera que ce compteur,  représenté à la     fig.    48D, comprend des     bandes     de     contacts    686 et des segments 685 reliés à  des douilles de façon telle que lorsque le  compte atteint un nombre arbitraire, un cir  cuit qui peut être utilisé dans des buts de  commande est fermé.  



  On peut, par exemple, désirer extraire un  échantillon de     101/o    parmi tous les individus  masculins âgés de 25 ans. Cela signifie que  chaque fois qu'une fiche poinçonnée dans la  colonne 6 .de façon correspondant à un indi-           vidu    masculin est analysée par les balais B,  cette fiche doit être comptée, et que chaque  dixième fiche de cette sorte doit être envoyée  dans une poche afin que ces fiches puissent  être utilisées dans des buts d'analyse statisti  que. La     fig.    49J montre le mode de connexion  de la machine pour cette opération. Le com  mutateur de phase est amené en position        I4ons     ou en position de phase 1.  



  Pour obtenir le résultat désiré, les colonnes  24 et 25,     dans    lesquelles l'âge est enregistré,  sont reliées par     des    connexions à fiches aux       sélecteurs    de     recodification    1 et 2, le sélec  teur de     recodification    1 étant rendu efficace  lorsqu'un poinçonnage  2  est décelé et le sé  lecteur de     recodification    2 étant rendu effi  cace lorsqu'un     poinçonnage     5  est rencon  tré.

   Le sélecteur de     recodification    3 est rendu  efficace     lorsqu'un        poinçonnage     1 , dési  gnant un individu  masculin , est présent  dans la colonne 26.  



  Chaque fois qu'une fiche poinçonnée pour  indiquer un individu masculin âgé de 25 ans  est analysée, tous les trois sélecteurs de     reco-          dification    sont excités et     l'impulsion    de con  trôle est transmise à partir de la douille<I>PS22</I>       (fig.    49J), par l'intermédiaire d'un circuit,  jusqu'à la     douille     C  PS42 du dispositif de  lecture de l'ordre des unités du compteur  d'unités 60 (voir     fig..48D).    A partir de cette  douille, cette     impulsion    se propage à travers  la bande commune 686 de l'ordre des unités  de ce compteur jusqu'aux balais 688 et à la  douille  0      PS43.    De là,

   elle passe par les  contacts de gauche normalement ouverts des  sélecteurs de     recodification    1, 2 et 3 pour  aboutir à la     douille     1      PS54.    Elle se propage  ensuite à partir de la douille  1>> PS21       (fig.    48E) à travers les contacts de droite nor  malement ouverts des sélecteurs de     recodifica-          tion    1, 2 et 3 jusqu'à la connexion à fiches  et à la douille     d' Entrée     PS30 du compteur  d'unités 60, à la douille PS31 de ce comp  teur et, à travers la connexion à fiches,

   jus  qu'à la douille  1      PS26.    Cette impulsion de  contrôle passe ensuite par la .douille  1   PS27 et parvient     jusqû'à    la douille PS28  pour amorcer le tube     V123.    Les relais     R57       et     R5$    sont actionnés, le compteur 60 reçoit  clés impulsions correspondant à une unité  et le relais R115P est excité pour diriger la  fiche vers la poche  1 .     Toutes    les     autres     fiches sont rejetées.  



  Après la première impulsion, le compteur       d'unités    60 est avancé d'un pas et interrompt  le circuit entre la douille     -PS42    et la     douille      0      PS43,    du fait que le balai 688 de l'ordre  des unités se déplace alors     jusqu'au    segment   1  685.  



  Les neuf fiches suivantes correspondant 'à       des    individus masculins âgés de 25     ans    sont  .envoyées     dans    la poche  4 , le circuit s'éten  dant à partir de la douille PS22 jusqu'au re  lais  4       & 112P,    par l'intermédiaire de l'un  des     segments    685  1  à  9  du     compteurqd'uni-          tés    60 et repartant de la     douille     1      PS21,    au  lieu de passer à travers les sélecteurs de     re-          codification    1, 2 et 3.

   Le compteur reçoit des       impulsions    pour chacune des     -fiches    corres  pondant à des individus     masculins    de 25 ans,  et la onzième de ces fiches est dirigée vers  la poche  1 . Ceci se produit chaque fois que  l'ordre des unités du compteur 60 passe par  zéro. Les     fiches        qui    ne sont pas poinçonnées  de façon     correspondant    à un individu mascu  lin de 25     ans    sont     rejetées.     



  La     fig.    49K représente un mode de con  nexion destiné     @à    assurer le triage arbitraire  sous     commande    de     poinçonnages    se présentant  simultanément dans plusieurs colonnes diffé  rentes. On admettra de nouveau que les     fiches     sont     poinçonnées    conformément au sexe, à la  race et au lieu de naissance. Le     commutateur     de phase est placé en position  Hors  ou en  position de phase 1.  



  Le sexe est poinçonné     dans    la     colonne    5,  un individu de sexe masculin étant désigné  par un poinçonnage  1  et un individu fémi  nin par un     poinçonnage     2 . La race est en  registrée à la colonne 10, .dans laquelle un  poinçonnage  1  désigne un individu blanc,  un  2  un     individu-    noir et un poinçonnage  différent compris entre  3  et  6  un indi  vidu d'une autre race.

   Le lieu de naissance  est     enregistré    dans la colonne<B>15,</B> dans la-           quelle    un     poinçonnage     1  indique un     iifdi-          vidu    autochtone, un  2  un individu né à  l'étranger et un  11      1-Lu    individu dont le lieu  de naissance est inconnu.

      Le but de l'opération est de     distribuer    ces  fiches dans différentes poches conformément  au sexe, à la race et au lieu de naissance, se  lon la table ci-dessous:  
EMI0100.0007     
  
    <I>Table <SEP> VII:</I>
<tb>  Poche <SEP> Groupe <SEP> - <SEP> Poinçonnages <SEP> Sel. <SEP> de <SEP> Rec.
<tb>  0 <SEP> Masculin, <SEP> blanc, <SEP> autochtone <SEP> 1, <SEP> 1, <SEP> 1 <SEP> 1, <SEP> 10, <SEP> 20
<tb>  1 <SEP> Masculin, <SEP> blanc, <SEP> né <SEP> à <SEP> l'étranger <SEP> 1, <SEP> 1, <SEP> 2 <SEP> 1, <SEP> 10, <SEP> 21
<tb>  2 <SEP> Masculin, <SEP> blanc, <SEP> lieu <SEP> de <SEP> naiss.

   <SEP> inconnu <SEP> 1, <SEP> 1, <SEP> 11 <SEP> 1, <SEP> 10, <SEP> 22
<tb>  3 <SEP> Féminin, <SEP> blanc, <SEP> autochtone <SEP> 2, <SEP> 1, <SEP> 1 <SEP> 2, <SEP> 10, <SEP> 20
<tb>  4 <SEP> Féminin, <SEP> blanc, <SEP> né <SEP> à <SEP> l'étranger <SEP> 2, <SEP> 1, <SEP> 2 <SEP> 2, <SEP> 10, <SEP> 21
<tb>  5 <SEP> Féminin, <SEP> blanc, <SEP> lieu <SEP> de <SEP> naiss.

   <SEP> inconnu <SEP> 2, <SEP> 1, <SEP> 11 <SEP> 2, <SEP> 10, <SEP> 22
<tb>  6 <SEP> Masculin, <SEP> noir <SEP> 1, <SEP> 2 <SEP> 1, <SEP> 11
<tb>  7 <SEP> Féminin, <SEP> noir <SEP> 2, <SEP> 2 <SEP> 2, <SEP> 11
<tb>  8 <SEP> Masculin, <SEP> autre <SEP> race <SEP> 1, <SEP> 3-6 <SEP> 1, <SEP> 12
<tb>  9 <SEP> Féminin, <SEP> autre <SEP> race <SEP> 2, <SEP> 3-6 <SEP> 2, <SEP> 12       Eu égard au mode de connexion compli  qué des contacts des sélecteurs de     recodifica-          tion    1, 2, 11, 12, 21 et 22, le mode de con  nexion de ces contacts est représenté séparé  ment     (fig.    50A).

   Le sélecteur de     rëcodifica-          tion    1 est excité lorsque la fiche     est    poinçon  née pour indiquer un individu masculin, et  le sélecteur de     recodification    2 lorsque la  fiche est poinçonnée d'un  2  pour indiquer  un     individu    féminin.

   L'un de ces deux sélec  teurs doit être rendu efficace pour chaque  fiche et, si aucun d'eux     n'est    rendu efficace,  l'impulsion de contrôle transmise aux relais  de     commande    de triage ne peut passer au tra  vers du circuit des relais de     recodification.     La fiche correspondante est alors rejetée, ce  qui indique que cette fiche contient     une     erreur.  



  Le sélecteur de     recodification    10 est effi  cace chaque fois qu'une fiche est poinçonnée  d'un  1  pour désigner un individu blanc, le  sélecteur de     recodification    11 est efficace cha  que fois qu'une fiche est poinçonnée d'un  2   pour désigner un individu noir, et le sélecteur  de     recodification    3 est efficace chaque fois  qu'une fiche est poinçonnée d'un  3 , d'un   4 , d'un  5  ou d'un  6  pour indiquer un  individu d'une autre race. Pour cette opéra  ;     tion.    les fiches     correspondant    à des individus  de ces autres races sont déposées dans une  seule et même poche.

      Le sélecteur de     recodification    20 est rendu  efficace chaque fois qu'une fiche poinçonnée  d'un  1      dans    sa colonne 15 est relative à un  individu autochtone, le sélecteur de     recodi-          fication    21 est efficace chaque fois qu'un  2   est poinçonné dans cette colonne pour dési  gner un individu né à l'étranger, et le sélec  teur de     recodification    22 est efficace chaque  fois qu'une fiche est poinçonnée d'un      1l     ou  d'un  X  pour indiquer que l'individu auquel  elle correspond est né dans un lieu inconnu.

    Pour suivre un circuit     typique    de triage, on  supposera que la fiche est poinçonnée d'un   2  pour indiquer un     individu    féminin, d'un   2  pour indiquer un individu noir et d'un   1  pour indiquer un individu autochtone.  Dans ces     conditions,    les sélecteurs de     recodi-          fication    2, 11 et 20 sont efficaces.

   A la       fig.        50A,    le circuit des connexions à fiches né  cessaires pour effectuer cette opération     est    re  présenté, .reliant les contacts des différents  relais sélecteurs de     recodification.    Les nu  méros réels     -des    circuits de ces relais sont  indiqués et les     numéros    des sélecteurs de     re-          codification    correspondants sont indiqués à  l'intérieur de rectangles en pointillés repré  sentant     les    enroulements des relais.  



  Le circuit de l'impulsion de contrôle part  de la douille PS22 et passe à travers les con  tacts     R36A,        R59B,    R27,4 et R28B pour  aboutir à la douille  7  du groupe de douil-      les PS54 qui commande l'acheminement des  fiches vers la poche  7 . De façon semblable,  les sélecteurs de     recodificatifln    sont excités  selon les combinaisons indiquées à la précé  dente table sous commande des poinçonnages  également indiqués dans cette table, de façon  à établir des     circuits    jusqu'aux relais de com  mande de triage par l'intermédiaire du cir  cuit de relais de     recodification    formé par l'en  semble de connexions reliant les douilles.  



  Les     fig.    49L et 50B montrent un mode de  connexion destiné à assurer un triage par  intervalle .de classe, selon lequel il est désira  ble de placer les fiches dans des poches cor  respondant à des domaines de classification.  La     classification    est enregistrée dans les co  lonnes 11 et 12 sous .forme d'un nombre de un  ou deux chiffres désignant des classes allant  de 01 à 99. On -désire trier ces fiches selon       certains    groupes, les groupes 01 à 04 corres  pondant à la poche  1 , 05 à 09 à la poche   2  et 10 à 19 à la poche  3  au cours de la  course de phase 1.

   Les intervalles de 20 à 29,  de 30 à 39 et de 40 à 49 correspondent aux  poches  1 ,  2  et  3  respectivement, pen  dant la course de phase 2 de la machine et à  la poche  4  pendant sa course de phase 1.  Les intervalles de 5 à 59, de 60 à 99 et de  plus de 99 correspondent respectivement aux  poches  1 ,  2  et  3  pendant la course de  phase 3 et à la poche  5  pendant la course  de phase 1. On admettra que pendant la  course de phase 1,     une    fiche poinçonnée  07   avance dans la machine. Le  0  dans la co  lonne 11 provoque l'excitation du sélecteur  de     recodification    9, tandis que le  7  dans la  colonne 12 provoque l'excitation du sélecteur  de     recodification    2.

   Un circuit peut ainsi  être établi à partir de la douille PS22       (fig.    49L et 50B), à travers les contacts nor  malement ouverts du sélecteur 9, les     contacts     normalement fermés du sélecteur 1 et les con  tacts normalement ouverts du sélecteur 2. Ce  circuit aboutit à la douille  2  du groupe de  douilles     PS54,    provoquant l'acheminement de  la fiche poinçonnée  07  vers la poche  2 .  Il en est de même si une fiche est     poinçonnée      05 ,  06 ,  08  ou  09 , du fait que le sélec-         teur    de     recodification    2 réagit aux poinçon  nages disposés à l'une des positions repère  5 à 9 de la colonne 12.  



  Le sélecteur de     recodification    1 réagit à  des     poinçonnages    disposés dans l'une des po  sitions  0  à  4  de la colonne 12, si bien  qu'une fiche poinçonnée d'un nombre com  pris entre  01  et  04  est acheminée vers la  poche  1      puisque    le sélecteur de     recodifica-          tion    9 est rendu efficace comme auparavant  et que le circuit de sélection de poche est éta  bli par le circuit de     recodification    1 au lieu  du sélecteur de     recodification    2.  



  Il est maintenant adéquat d'expliquer que  pour un problème de ce     type,    il n'est pas né  cessaire d'insérer un pont correspondant à  l'émetteur A, de la façon représentée à la       fig.    49L. Cette figure a été choisie principa  lement dans le but de simplifier les explica  tions.

   Au lieu d'introduire un pont dans la  douille  0      PS4,    ce pont pourrait être intro  duit dans une des douilles  0  à  4  du  groupe de douilles de chiffre     PS9    et la con  nexion à fiches qui, à la     fig.    49L, aboutit à  la.

   douille  5      PS5    pourrait alors être insé  rée dans la douille     PS8.    On se rappellera que  l'émetteur E14     (fig.    48U) comprend des con  tacts reliés entre     eux    de façon que cet émet  teur transmette une série     .d'impulsions    aux  quelles des valeurs de chiffre  0  à  4  sont  attribuées, jusqu'à la douille     PS9,    et des     im-          pulsions    correspondant à des valeurs de chif  fre  5  à  9 , jusqu'à la     douille        PS8.    Par  conséquent,

   lorsque le sélecteur de     recodifi-          cation    1 est relié de la     façon    qu'on vient de  décrire, il est excité lorsqu'un poinçonnage  quelconque compris entre  0  et  4  est ana  lysé, et le sélecteur de     recodification    2 est  excité lorsqu'un poinçonnage quelconque com  pris entre  5  et  9  se présente. En effet,  ces sélecteurs de     recodification    sont reliés par  des connexions à fiches aux douilles -de  groupe de chiffre  0  à  4  et  5  à  9 ,  c'est-à-dire aux     douilles        PS9    et     PS8    respecti  vement     (fig.    48U et 49L).  



  Si une fiche     est        poinçonnée    d'un chiffre  compris dans     l'intervalle    allant de 10     @à    19,  les sélecteurs de     recodification    1 et 8 sont      efficaces et Lm circuit est ainsi formé à partir  de la     douille        PS22,    à travers les contacts  normalement fermés du sélecteur 9 et les con  tacts normalement ouverts du sélecteur 8,       jusqu'à    la douille PS54 qui     commande    l'ache  minement des fiches vers la poche  3 .

   Les  circuits qu'on vient de décrire sont unique  ment des exemples de la façon dont     les    poches  sont choisies pour des fiches correspondant  aux intervalles 0 à 4, 5 à 9 et 10 à 19.  



  Si une     fiche    est poinçonnée de façon cor  respondant à un des intervalles 20 à 29, 30 à  39 et 40 à 49, elle     est    déposée dans la poche   4  pendant la course de phase 1, et si son  poinçonnage     est    compris dans un des inter  valles 50 à 59, 60 .à 99 ou     au-dessus    de 99,  elle est déposée dans la poche  5 . Admettons       qu'une    fiche soit poinçonnée  32 .

   Les sélec  teurs de     recodification    1 et 6 sont excités et  un circuit est établi à partir de la douille       PS32,    à travers les contacts normalement fer  més des sélecteurs de     recodification    9, 8 et 7  et les     contacts    normalement ouverts du sélec  teur de     recodification    6, jusqu'à la douille       PS55.    A partir de cette douille, ce circuit  s'étend jusqu'à la douille  E  PS38 corres  pondant à la rangée de douilles PS55 et de là  à la douille  4      PS54,    si bien que la fiche est  acheminée vers la poche  4 .

   Ce circuit est  semblable à     celui    utilisé pour choisir la poche   12 ,     dans    le fonctionnement correspondant  au mode de connexion représenté à la     fig.    49B.  Si la fiche était poinçonnée  65 , le sélecteur  de     recodification    3 serait efficace et le cir  cuit partant de la -douille PS22 passerait à  travers les contacts normalement fermés     des     sélecteurs de     recodification    9, 8, 7, 6, 5 et 4,  et les contacts     normalement    ouverts du sélec  teur de     recodification    3,

   pour aboutir à la       douille     2  du groupe de     douilles    PS56 et de  là à la douille  E  PS38 correspondant: à la  rangée de     douilles    PS56 et à la     douille     5   dû groupe de douilles     PS54,    si bien que cette  fiche serait déposée dans la poche  5 . Ce cir  cuit -est semblable à celui utilisé pour le  triage dans la poche  11  dans le fonctionne  ment selon le mode de connexion de la       fig.    49B.

      Si une fiche est     poinçonnée         X ,    pour  indiquer un âge supérieur à 99 ans, le sélec  teur de     recodification    10     est    excité et, au  moyen d'un circuit semblable à celui qu'on  vient de décrire, cette fiche est déposée dans  la poche  5 .  



  Le commutateur de phase est ensuite  avancé dans sa position de phase 2 et les  fiches qui ont été     recueillies    dans la poche   4  sont à nouveau fournies à la machine.  Pendant cette opération, les douilles PS55  commandent la mise en place des circuits .de  triage au moyen des contacts R209B et R207A       (fig.    48R) de la façon décrite en référence  à- la     fig.    49B.     Après    cette course, les fiches  qui avaient été     déposées    dans la poche  5   sont à     nouveau    acheminées dans la. machine,  le commutateur de phase ayant été amené  dans sa position de     phase    3.

       Les    douilles  PS56 sont alors reliées aux relais de com  mande de triage pour répartir les fiches  dans les poches  1 ,  2  et  3  de la même  façon générale qu'au cours des .deux     premières     courses et au moyen de circuits     semblables.     



  On comprendra que chaque fois qu'une  fiche est analysée et que les sélecteurs de     re-          codification    sont rendus efficaces, l'impulsion       initiale    fournie à partir de la douille PS22  contrôle la continuité du     circuit.    Si ce circuit  est continu, les relais R57 et R58 sont effi  caces pour fermer     Lui    circuit permettant à  une     impulsion        d'actionnement    de parvenir au  relais de commande de triage qui a été     choisi          polir        fonctionner.     



  Les     fig.    49M et 50C représentent un mode  de connexion destiné à assurer un comptage  et un triage simultanés. Selon ce mode de       fonctionnement,    l'opération de triage prépare  les fiches pour l'opération de comptage sui  vante, sous commande du même     ensemble    de       circuits    de comptage. Ce fonctionnement dif  fère de celui conforme au mode de     connexion     de la     fig.    49F, du fait que, dans la descrip  tion de ce dernier fonctionnement, on avait  admis que     les    fiches avaient été préalable  ment classées au cours d'une opération de  triage séparée et que le seul but de l'opéra  tion était le comptage.

   Ainsi qu'on l'a expli-           qué    plus haut, il est possible de combiner dif  férents     types    d'opérations comprenant des  comptages et des triages pour qu'un nouveau       triage    des fiches ait lieu préalablement à une  opération de comptage suivante durant la  quelle le comptage est effectué selon     les    mê  mes bases qu'au cours des opérations précé  dentes, mais relativement à des classifications  différentes.     Dans    le cas considéré, les fiches  doivent être triées à nouveau et recomptées  sur la base du sexe, de la race, du lieu de  naissance et de l'état civil, selon les mêmes  codes que ceux décrits plus haut.

   Ces données  sont enregistrées dans les colonnes 5, 10, 15 et  20 respectivement et, pour faciliter la com  préhension, les codes et les sélecteurs de     re-          codification    qui entrent en jeu sont indiqués  dans la table     ci-après,    de même que les co  lonnes dans lesquelles les données sont enre  gistrées.

    
EMI0103.0009     
  
    <I>Table <SEP> VIII:</I>
<tb>  <I>Colonne <SEP> 5:</I>
<tb>  1. <SEP> Masculin <SEP> Sélecteur <SEP> 1
<tb>  2. <SEP> Féminin <SEP> Sélecteur <SEP> 3
<tb>  <I>Colonne <SEP> 10:</I>
<tb>  1. <SEP> Blanc <SEP> Sélecteur <SEP> 5
<tb>  2. <SEP> Noir <SEP> Sélecteur <SEP> 7
<tb>  <I>Colonne <SEP> 15:</I>
<tb>  1. <SEP> Autochtone <SEP> Sélecteur <SEP> 9
<tb>  2. <SEP> Né <SEP> à <SEP> l'étranger <SEP> Sélecteur <SEP> 11
<tb>  <I>Colonne <SEP> 20:

  </I>
<tb>  1. <SEP> Marié <SEP> Sélecteur <SEP> 13
<tb>  2. <SEP> Célibataire <SEP> Sélecteur <SEP> 15
<tb>  3. <SEP> Veuf <SEP> Sélecteur <SEP> 17
<tb>  4. <SEP> Divorcé <SEP> Sélecteur <SEP> 19       La     fig.    50C représente l'ensemble des cir  cuits établis au moyen de     connexions    à fiches  entre la source d'impulsions de contrôle, re  présentée par la douille     PS22,    et la douille       i    PS28 reliée au tube V123. Le compteur 1 est  destiné à fonctionner comme compteur de to  tal pour compter toutes les     fiches.    Supposons  qu'une fiche soit poinçonnée  2 ,  1 ,  2 ,   3  pour désigner un individu féminin blanc  né à l'étranger et veuf.

   Ces poinçonnages pro  voquent l'excitation des     sélecteurs    de recodi-         fication    3, 5, 11 et 17. Le circuit de contrôle  peut     ainsi    être formé à partir de la douille  PS22     (fig.    50C), à travers les contacts nor  malement     fermés    du sélecteur de     recodifica-          tion    1, les contacts normalement     ouverts    du  sélecteur de     recodification    3, le relais de  triage  2      R114P,        les    contacts     R24A,

     <I>R57B</I> et  <I>R58B</I> et l'électro-aimant     CJII    du compteur  d'unités 1. Ce circuit s'étend ensuite à travers  les contacts<I>R57B</I> et     R58B,        les    contacts nor  malement ouverts du sélecteur de     recodifica-          tion    5,     l'électro-aimant        CJII    du compteur  d'unités 2, les contacts<I>R57B</I> et     R58B,    les  contacts normalement     fermés    du sélecteur de       recodification    9, les contacts normalement  ouverts du sélecteur de     recodification    11,  l'électro-aimant CM du compteur d'unités 5,

    les contacts<I>R57B</I> et     R58B,    les contacts nor  malement fermés des sélecteurs de     recodifiea-          tion    13 et 15, les contacts normalement       ouverts    du sélecteur de     recodification    17,  l'électro-aimant     C31    du compteur d'unités 8  et les contacts R57B jusqu'à la douille P828.  Le tube     V123-    est ainsi amorcé par l'impulsion  de contrôle et l'excitation subséquente .des  relais R57 et R58 provoque l'acheminement  de la fiche ainsi poinçonnée vers la poche  2 ,  tandis qu'une unité     est    comptée dans les comp  teurs     d'imités    1, 2, 5 et 8.  



       Ait    cours de la première course, le comp  teur 1 compte le nombre total de fiches, le  compteur 2 compte le nombre total d'indi  vidus blancs, le compteur 3 compte le nombre  total     d'individus    noirs, le compteur 4 le nom  bre total     d'individus    autochtones, le     compteur     5 le nombre total d'individus nés à l'étranger  et les compteurs 6 à 9 comptent les nombres  d'individus mariés,     célibataires,        divorcés    et  veufs respectivement.

   Les fiches relatives à  des individus     masculins    et     féminins    sont res  pectivement acheminées vers les poches  2   et  1  et, à la fin de la première course de la  machine, après l'impression des totaux     des     différents comptes énumérés ci-dessus,     les     fiches relatives à des     individus        masculins    sont       seules    acheminées dans la machine pour le  comptage ' relatif aux seuls individus mascu  lins sur la, base de la -race; du lieu de nais-           sancë    et de l'état civil. Une série de totaux  est alors obtenue sur la base de cette classifi  cation.  



  Sans modifier le mode de connexion de la  machine,     .les    fiches relatives aux seuls indi  vidus féminins sont ensuite     acheminées    dans  la machine au cours d'une troisième course.  A la fin de ces trois courses, on aura trois  lignes de totaux.  



  Les nombres de fiches relatives à des indi  vidus masculins et féminins ne sont pas comp  tés pendant la première course;     cependant,     au cours des seconde et troisième courses, le  compteur d'unités 1 provoque l'impression  des nombres totaux d'individus masculins et       d'individus        féminins    respectivement et ces  deux nombres ajoutés     l'Lm    à l'autre devraient  être égaux au total figurant sur la première  ligne, ce qui fournit un contrôle.

   Cependant,  il peut être désirable de compter le nombre  d'individus masculins et féminins pendant la  première     course    pour effectuer un double con  trôle, tout en     laissant    le mode -de connexion       inchangé.    Dans ce but, il est nécessaire de re  lier deux compteurs supplémentaires par des  connexions à fiches, l'un de ces compteurs  étant relié par l'intermédiaire d'une paire de  contacts normalement ouverts du sélecteur de       recodification    1 et l'autre par l'intermédiaire  d'une paire de contacts normalement fermés  du sélecteur de     recodification    3.

   Les comp  teurs d'unités 10 et 11 sont     ainsi    respective  ment connectés de la même façon que les  compteurs d'unités 4 ,et 5. Le circuit de comp  tage supplémentaire est relié par des con  nexions à fiches entre les douilles  5  PS21  et     PS26.    La     connexion    à fiches aboutissant à    la douille  4  PS27 est déplacée jusqu'à la  douille  5  P827 de faon qu'un autre circuit.

    de comptage tel que celui des compteurs  d'unités 4 et 5 soit inséré en série avec le  dernier jeu de contacts efficaces     R57B    et       R58B.    Pendant la première course, deux to  taux supplémentaires pour les     individus    mas  culins et pour les individus     féminins    sont im  primés dans les     colonnes    des compteurs d'unités  10 et 11, et ces deux totaux     ajoutés    l'un à  l'autre devraient fournir une somme égale du  nombre total de fiches comptées par le comp  teur d'unités 1.

   Pendant la seconde et la troi  sième course, les totaux des compteurs d'unités  10 et 11 servent également à contrôler le total  du compteur d'unités 1, si les fiches ont été  soumises à une opération de     fabulation    cor  recte. Ce contrôle est indépendant du con  trôle effectué par sommation décalée pendant  les cycles d'impression, si bien qu'un double  contrôle de l'exactitude de la     tabulation    est  ainsi obtenu.  



  Dans un problème de ce genre, les totaux  des groupes de chaque classe telle que le sexe,  la race, le lieu de naissance et l'état civil doi  vent également être égaux au nombre total  de fiches. Pour assurer une opération de som  mation décalée correcte au cours d'un fonc  tionnement tel que celui décrit, il peut être  nécessaire de connecter certains des     compteurs     pour leur faire effectuer une soustraction.  



  Pour illustrer la façon dont les compteurs  devraient être connectés pour effectuer des  soustractions, dans la solution d'un problème  tel que celui considéré, on admettra que la ta  ble ci-après représente la répartition des to  taux sur la     feuille    de travail:

    
EMI0104.0026     
  
    <I>Table <SEP> IX:</I>
<tb>  Total <SEP> Race <SEP> Lieu <SEP> naiss. <SEP> Etat <SEP> civil <SEP> Sexe
<tb>  b1. <SEP> nr. <SEP> aut. <SEP> étr. <SEP> m. <SEP> cél. <SEP> veuf <SEP> div. <SEP> m. <SEP> f.
<tb>  Compteurs <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5 <SEP> 6 <SEP> 7 <SEP> 8 <SEP> 9 <SEP> 10 <SEP> 11
<tb>  Toutes <SEP> classes <SEP> 200 <SEP> 175 <SEP> 25 <SEP> 170 <SEP> 30 <SEP> 100 <SEP> 50 <SEP> 25 <SEP> 25 <SEP> 150 <SEP> 50
<tb>  Masculins <SEP> 150 <SEP> 135 <SEP> 15 <SEP> 140 <SEP> 10 <SEP> 75 <SEP> 30 <SEP> 20 <SEP> 25 <SEP> 150 <SEP> -  FémiUins <SEP> 50 <SEP> 40 <SEP> 10 <SEP> 30 <SEP> 20 <SEP> 25 <SEP> 20 <SEP> 5 <SEP> - <SEP> - <SEP> 50            Dans    la table ci-dessus, on a admis que 200       fiches    sont comptées et recomptées sur la base    du sexe, de la race,

   du lieu de naissance et de  l'état civil, comme expliqué ci-dessus, onze      compteurs étant utilisés. On remarquera que  les totaux des groupes de chaque classe enre  gistrés dans les     compteurs    2 et 3, 4 et 5, 6 à  9 et 11 et 12 respectivement sont chacun  égaux au total     enregistré        dans    le     compteur    1  et que les totaux enregistrés dans les comp  teurs 2 et 3 équilibrent le total enregistré  dans le compteur 1, permettant d'effectuer  une opération de sommation décalée correcte.

    Cependant, si     tous    les     totaux    des compteurs 2  à 11 étaient utilisés pour équilibrer le total  du compteur 1, le total général des comp  teurs 2 à 11 serait quatre     fois        plus    grand que  le total dans le compteur 1, si bien que l'opé  ration de sommation décalée ne serait pas cor  recte. Pour éviter cette     difficulté,    les totaux  enregistrés dans les compteurs 4 et 5 peuvent  être     soustraits    de façon à équilibrer les totaux  contenus dans les compteurs 6 à 9. Ainsi, les       i    totaux des     compteurs    10 et 11 doivent encore  être équilibrés.

   Il y a     deux    solutions possibles.  Selon l'une de ces solutions, on effectue la  sommation décalée et on laisse la     machine     s'arrêter du fait d'une sommation décalée in  correcte pour provoquer     ensuite    manuelle  ment l'impression du total. Selon la seconde  solution, on .relie un compteur supplémentaire,  par exemple le compteur 12, de façon qu'il  compte également le nombre total de fiches  et on connecte ce compteur pour qu'il effec  tue une     soustraction,    si bien que les compteurs  10 et 11 sont équilibrés par le total contenu  dans ce second compteur de fiches, ou comp  teur 12. Grâce à cette disposition, l'opéra  tion de sommation décalée s'achève de façon  correcte si le comptage a été correctement  effectué.  



  Lorsqu'un nombre pair de groupes de  compteurs de     classe    -entre en jeu, il est néces  saire -de connecter la moitié de ces compteurs  pour la soustraction et de connecter égale  ment le compteur 1 pour la soustraction, un  groupe de compteurs de classe étant réservé  pour     équilibrer    le compteur de total. A la ta  i     ble    IX, il y a un nombre impair de groupes  de classe si on considère le compteur de total  comme un groupe, ce qui rend nécessaire l'im  pression manuelle du total ou l'addition     d'iui       compteur de total supplémentaire connecté  pour la soustraction et servant à équilibrer le ;  groupe de sexes constitué par les     compteurs     10 et 11.  



  Lorsque le compteur 1 est     utilisé    comme  compteur de total et que tous les     autres     comptes sont répartis entre les compteurs ;  d'un groupe de 15 au     maximiun,    il     n'est    pas       nécessaire    de connecter l'un quelconque de  ces compteurs autre que le compteur de total  pour la soustraction.

   Si plus de 15 comp  teurs sont utilisés, les compteurs supplémen  taires en plus de 15 doivent être pris d'un  autre     gmoupe    de 15, et dans ce groupe, des  précautions semblables doivent être prises de  faon que les groupes de classe équilibrent le  total du compteur 1.     Dtant    donné que les to  taux contenus dans les accumulateurs 1 à 4  sont finalement accumulés dans l'accumula  teur 4, le nombre total de     groupes    de     classe     entrant en jeu en plus du compteur     qui     compte les fiches est seul important et non   pas l'attribution de ces     groupes    aux diffé  rentes     batteries    d'impression.  



  Les     fig.    49N et 50D     représentent    un mode  de connexion permettant de trier les     fiches     conformément au nombre de positions repère  correctement     poinçonnées        dans        différentes     colonnes de la fiche.

   Ce type de fonctionne  ment est utile lorsque     la;    fiche constitue par  exemple un questionnaire marqué au crayon,  ces marques étant subséquemment     transfor-        i          mées    en poinçonnages dans une machine de  type connu et servant à déceler les marques  au crayon pour les reproduire sous la forme  de     poinçonnages.    Dans une telle machine,  trois colonnes de la fiche sont attribuées .à     i     des     réponses    et sont destinées à recevoir les  marques au crayon.

   Les données originales  sont enregistrées dans de telles fiches en tra  çant à la main de forts traits de crayon au  travers de ces trois colonnes et à la position!  repère correspondant à la réponse qu'on dé  sire formuler. Par exemple, si on désire ins  crire la valeur  10  sir une fiche au moyen  de traits au crayon, trois colonnes de la fiche  seraient attribuées à chaque colonne de ré  ponse pour recevoir les valeurs des     imités    et      des     dizaines        respectivement,    et  10  serait en  registré en tirant.

       un    trait au crayon en tra  vers -des trois colonnes correspondant à une  des colonnes de réponse à la position repère   1  et en tirant     tin    autre trait au crayon en     -          travers    des     trois    colonnes correspondant à  l'autre colonne de réponse, à la position  0 .  La fiche est ensuite acheminée à travers une  machine comprenant un dispositif capable de  déceler les marques au crayon et disposée  pour convertir ces marques en     poinçonnages     de valeurs équivalentes.  



  Pour     expliquer    de façon très simple l'in  térêt du     fonctionnement    selon le mode de  connexion     représenté    à la     fig.    4.9N on peut       admettre    que la fiche est un     questionnaire          contenant    trois     questions    auxquelles on peut  répondre par oui ou par non dans deux co  lonnes de réponse, chacune de ces deux co  lonnes correspondant à trois     colonnes    adja  centes .de positions de repère de la fiche.

   On       admettra        qu'une    marque au crayon à la po  sition repère  1  de la première colonne de       réponse,        une    marque à la position  2  -de la  seconde colonne de réponse et une marque à  la position  3  de la première colonne cons  tituent toutes     des        réponses    correctes.  



  Après que ces     fiches    ont été acheminées à  travers la machine destinée à convertir les  marques en     poinçonnages,    deux colonnes de  la fiche sont     poinçonnées,    l'une     xux    positions   1  et  3 , et     l'autre    à la position  2 . Dans  le cas     considéré,    on peut admettre que les co  lonnes 1 et 2 de la fiche sont utilisées dans  ce but.  



  Lorsqu'une telle fiche correctement mar  quée et     poinçonnée        dans    ces colonnes 1 et 2  est analysée, le sélecteur 1 est excité en  3   du cycle par le poinçonnage  3  de la colonne  1 et le circuit part de la douille     PS1    de la co  lonne 1 et passe à travers l'émetteur de chif  fre 1, à travers .le segment  3  de cet émet  teur, et à     travers    les- contacts normalement  fermés     des    sélecteurs de     recodification    1, 2 et  3 pour rendre le sélecteur de     recodification    1  efficace.

   Ce sélecteur ferme son jeu de con  tacts de droite et     commute    ce circuit série à       partir    du sélecteur de     recodification    1 pour    le brancher au     sélecteur    2. En  2  du cycle,  le sélecteur de     recodification    2 est excité par  l'intermédiaire du segment  2  de l'émetteur 1  et les contacts alors fermés du sélecteur 1, si  bien que le circuit est commuté pour être re  lié au sélecteur 3. En  1  du cycle, le sélec  teur de     recodification    3 est excité et permet.

    ainsi au circuit de contrôle d'être formé à par  tir de la douille     PS22    et à travers les contacts  normalement ouverts du sélecteur 3 jusqu'à  la douille  3  du groupe de douilles     PS54,    si  bien que cette fiche est acheminée vers la  poche  3 , ce qui indique qu'elle contient  trois réponses correctes.  



  S'il se produisait par exemple qu'on n'ait       répondu    correctement qu'à la. seule question 3,  la position  1  de la colonne 1 ou la position   2  de la colonne 2 ne contiendrait pas de  poinçonnage et seul le sélecteur 1 serait  excité. La fiche serait alors déposée dans la  poche  l , l'impulsion de contrôle     passant.     dans ce cas à travers les contacts normale  ment fermés des sélecteurs de     recodification    2  et 3 et les     contacts    normalement ouverts du  sélecteur 1 pour aboutir à la douille  1  du  groupe de     douilles        PS54.     



  S'il n'a été répondu correctement qu'à  deux     questions,    le sélecteur 2 est également  excité et la fiche est dirigée vers la poche   2 . Si, à l'instant où le circuit de contrôle  est établi, il n'a été répondu correctement à       aucune    des     questions,    le circuit de contrôle  passe à travers les contacts normalement  fermés des sélecteurs de     recodification    1, 2 et  3 disposés en série pour aboutir à la douille   0  du groupe .de douilles     PS54,    et les fiches  correspondantes sont dirigées vers la poche   0 .  



  Le mode de connexion utilisé pour cette  opération de triage est     représenté    à la       fig.    49N. La     fig.    50D montre le mode de con  nexion- utilisé pour compter le     nombre    de ré  ponses correctes     fournies    à chaque question,  le nombre total de fiches qui ne contenaient  aucune réponse correcte et le nombre to  tal de fiches     respectivement.   <B>A</B> partir .de la  droite de la     fig.    50D, les sélecteurs de     reco-          dification    1, 2 et 3 sont     rendus    efficaces pour      choisir les compteurs d'unités 3,

   4 et 5 selon  que la fiche contient une, deux ou trois ré  ponses     correctes.    Si la fiche ne contient au  cune réponse correcte, l'électro-aimant     CÏÎf    du  compteur d'unités 2 est excité. Le compteur  d'unités 1 compte le nombre total de fiches,  comme dans le     fonctionnement    conforme au  mode de connexion représenté à la     fig.    49F.

    Les douilles  1  et  2  des groupes de douilles  PS21 et<I>PS26</I> sont     utilisées    dans le cas con  sidéré et il est seulement     nécessaire    d'insérer  une connexion à fiches entre la douille  2   P827 et la douille PS28     pour    fermer le cir  cuit de contrôle série .à travers les relais de  triage et à travers     les    électro-aimants de tous  les compteurs choisis.  



  La     fig.    49N montre un mode de connexion       très    rudimentaire selon lequel on n'a le choix  qu'entre deux réponses correctes pour cha  i que question, trois questions étant posées. Ce  mode de connexion peut être complété pour  comprendre toutes les. douze     positions    repère  de chacune des colonnes oui ou non.

   Par exem  ple, si dix questions sont posées, il est seule  ; ment     nécessaire    d'utiliser dix sélecteurs de       recodification    et le seul émetteur 1 en reliant  entre elles et à la. connexion à fiches de cha  que colonne toutes les positions de cet     6met-          teur    correspondant aux positions repère qui  sont poinçonnées pour une réponse correcte.

    Par exemple, si la réponse correcte à la ques  tion 4 est  oui , un pont est inséré pour rendre  la colonne 1 efficace par l'intermédiaire des  positions 3 et 4 de l'émetteur 1, et le qua  ;     trième    sélecteur de     recodification    est relié en  cascade avec les autres et à l'émetteur 1, se  lon la même disposition générale des<I>con-</I>  nexions que celle, représentée pour le sélec  teur 3.

       Il    suffit de déplacer la     connexion    à       D    fiches aboutissant à la     douille     C  P85 à par  tir des contacts normalement     fermés    du sé  lecteur 3 pour la     relier    à un des jeux de con  tacts     normalement    fermés du sélecteur 4 et  de relier un     ailtre    jeu de contacts normale  ;

   ment ouverts du sélecteur 4 à la douille      4.      du groupe de douilles     PS54.    Si la réponse  correcte à la question 4 se trouve dans la co  lonne  non , la douille  2  PS54 de l'émetteur    1 doit alors .être reliée par une connexion à  fiches à la douille  4  du groupe de     douilles          PS4.    De     façon    semblable, l'émetteur 1 peut  être connecté de     façon    à faire participer au  fonctionnement autant de sélecteurs de     reco-          dification    supplémentaires qu'on le désire,  jusqu'à douze au     maximum,

      ce qui représente  la     limite    de sa capacité.     _     L'opération décrite illustre le     choix    le  plus simple selon lequel la     réponse    ne peut  être que oui ou non. Il est également possi  ble de connecter la     machine    pour     tenir    compte  de réponses     multiples.        II    arrive souvent qu'un  questionnaire comprenne un choix entre qua  tre ou même cinq réponses possibles diffé  rentes.

   Par exemple, s'il y avait cinq réponses       possibles    à chaque question, il serait alors né  cessaire .de disposer de cinq groupes de co  lonnes prévues pour être marquées au crayon,  ce qui ferait. un total de 15 colonnes de la  fiche. Ces colonnes de réponse peuvent être  respectivement désignées par A, B, C,<I>D</I> et E  sur la fiche elle-même, et les cinq     colonnes          poinçonnées    correspondant à ces cinq groupes  de colonnes de     réponse    sont reliées par des  connexions à fiches à     l'émetteur    1 de façon  analogue à celle représentée à la fie. 49N.

   Par  exemple, admettons     comme    auparavant que  le questionnaire ne     comprenne    que trois  questions, ce qui permet d'utiliser le mode de  connexion des contacts des sélecteurs de     reco-          dification    représenté à la     fig.    49N sans modi  fication. La réponse correcte à la     question    1  est marquée dans la colonne B, celle à la ques  tion 2 dans la colonne E et celle à la question  3     .dans    la colonne D.

   Le balai de la colonne 2  de la. fiche     est    relié par -une     connexion    à fiches  à la douille  1  du groupe de     douilles        PS4    de       l'émetteur    1; le balai de la colonne 5     est    re  lié .à la douille  2      PS4    et le balai de la co  lonne 3 à la     douille     3      PS4.    En 3 au     cours     du cycle, le balai de la     colonne    4 provoque  l'excitation du sélecteur 1;

   en  2  de ce même  cycle, le balai de la colonne 5 provoque l'exci  tation du sélecteur 2, et en  1  le balai de la  colonne 2 provoque l'excitation du sélecteur 3,  comme on l'a décrit plus haut. Si le question  naire comprenait cinq questions sur cette      même base et que la réponse correcte à la  quatrième question se trouvait dans la colonne       @2    et celle à la cinquième question dans la co  lonne 5, les     douilles     1  et  4  du groupe de       douilles        PS4    de l'émetteur 1 seraient alors re  liées en commun au balai de la, colonne 2 et  les     douilles     2  et  5      PS4    seraient reliées en  commun au balai de la colonne 5.

   Il s'ensuit  que les     sélecteurs    de     recodification    4 et 5 sont  ajoutés dans le circuit et que les douilles  4   et  5  du groupe de douilles     PS4    sont reliées  par des connexions à fiches, de     faon.    similaire  à celle indiquée à la     fig.        49N.    Si toutes les  cinq questions ont reçu des réponses correctes,  les     cinq    sélecteurs de     recodification    sont alors       rendais        efficaces    et la     douille     5  PS54 est  choisie.

   La table ci-après montre comment dix       questions    peuvent recevoir des réponses, un  choix de cinq     réponses    possibles étant prévu.  Un tel fonctionnement nécessite l'utilisation  de     dix    sélecteurs de     recodification     
EMI0108.0022     
  
    <I>Table <SEP> X:

  </I>
<tb>  1 <SEP> 2 <SEP> 3 <SEP> 4 <SEP> 5
<tb>  0 <SEP> - <SEP> - <SEP> X <SEP> - <SEP>   ,l <SEP> - <SEP> X
<tb>  2 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> X
<tb>  3 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> X <SEP>   4 <SEP> - <SEP> X <SEP>   5 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> X
<tb>  - <SEP> X <SEP> - <SEP>   7 <SEP> X <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP>   8 <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> X <SEP>   9 <SEP> - <SEP> - <SEP> X <SEP> - <SEP> -       Dans la table ci-dessus, un  X  indique  que le balai de fiche, par exemple celui de la  colonne 2, est relié aux douilles  1  et  4  du  groupe de douilles     PS4    de l'émetteur 1 pour  des réponses correctes.

   Selon cette disposition,  le balai de la colonne -1 est relié par une con  3     nexion    à     fiches    à la douille<B> 7 </B>     PS4,    celui de  la colonne 2 aux douilles  1  et  4 , celui de  la. colonne 3 aux     douilles     0 ,  6  et  9 , ce  lui de la colonne 4     aux    douilles  3  et  8  et  celui de la colonne 5 aux douilles  2  et  5 ,       ces    douilles correspondant aux segments de  l'émetteur 1 portant les mêmes numéros.

   Lors-    que le questionnaire comprend plus de douze  questions, la fiche peut être divisée en plu  sieurs champs de réponse     supplémentaires,    et  chacun de ces champs peut être trié et compté  au cours d'une course séparée.     Avec    cinq ré  ponses possibles pour chaque     question    et avec  douze     questions        possibles    par colonne, il est  possible d'avoir affaire à cinq champs de ré  ponses marqués,     prédis    pour être analysés,  permettant un maximum de 60 questions par  fiche.

   Si on le désire, les poinçonnages qui  constituent la traduction des marques peuvent  être effectués dans les mêmes colonnes que ces  marques constituant les réponses ou, dans     clés     buts analogues, la machine pourrait aussi être  équipée d'un dispositif analyseur pour de  telles     marques.     



  La     fig.    490 représente un mode de con  nexion destiné à assurer un     triage    de forme  extrêmement simple, selon une suite arbi  traire. Dans cette opération, les     fiches    doivent  être disposées dans l'ordre désiré au cours de  deux     courses    de phase, conformément à une  suite arbitraire qui n'a pas de relation avec  les nombres réels poinçonnés dans la fiche. Ce  problème et le mode de connexion y relatif ont  été choisis très simples, de faon que les cir  cuits soient faciles à suivre. On désire que les  fiches soient     disposées    dans l'ordre arbitraire       suivant:    2, 1, 3, 8, 5, 6.

   Avec le mode de con  nexion représenté, les valeurs des poinçon  nages contenus     dans    la colonne 25 sont. enre  gistrées     dans    deux groupes d'emmagasinage  de chiffre. Dans le cas considéré, le commu  tateur S2 est d'abord mis en position de phase  2. Pendant les opérations de triage de la  phase 2, les circuits de contrôle sont formés  à partir de la douille PS22 et jusqu'à la  douille  C  PS39 du groupe d'emmagasinage  de chiffre de gauche. Si une fiche poinçonnée  d'un  2  ou     d'in     8  est analysée, cette fiche  doit être dirigée vers la poche  1 .

   Si     la    fiche  est     poinçonnée        d'aire     5  ou d'un  1 . elle  doit être déposée     dans    la poche  2 , et si elle  est poinçonnée d'un  6  ou d'un  3 , elle doit.  être déposée dans la poche  3 . Dans le cas  considéré, il n'y a pas de fiche poinçonnée de   4  ou de  7 .

        Pendant la course de phase 1, le commu  tateur de phase étant en position de phase 1,  les fiches qui avaient précédemment été dé  posées dans les poches  1>>,  2  et  3  sont  acheminées dans la machine dans cet ordre, et  le groupe     d'emmagasinage    de chiffre de gau  che est efficace pour diriger les fiches poin  çonnées de  1 ,  2  ou de  3  vers la poche   1  et -les fiches poinçonnées de  5 , de  6   ou de  8  dans la poche      9-' .    A la fin de cette  opération, les fiches sont     empilées,    celles qui  se trouvaient dans la poche  1  étant au bas  du paquet, leurs .faces étant tournées vers le  bas .et celles qui étaient dans la poche  2  se  trouvant au-dessus .de celles qui étaient dans  la poche  1 .

   On constate alors que les fiches  se trouvent dans l'ordre 2, 1, 3, 8, 5, 6, à par  tir du bas jusqu'en haut. Il va de soi qu'il  peut y avoir plus d'une fiche pour chaque  chiffre.  



  Les     fig.    49p et 50F représentent un mode  de connexion destiné à permettre la solution  d'un problème d'addition complexe, les fiches  devant être     triées    après cette addition dans  5 quatre poches et selon quatre types d'erreurs  de poinçonnage susceptibles de se produire.  On comprendra qu'une opération de ce genre  peut être effectuée en relation avec une opé  ration de comptage. Par exemple, on peut  compter les fiches conformément à des classi  fications déterminées par une opération de  triage précédente ou à l'aide d'un circuit de       recodification    spécial, indépendant du cir  cuit d'édition.

   Dans ce cas, quatre types     d'er-          5        reurs    sont possibles et peuvent être détectés:  1  double poinçonnage, c'est-à-dire que  chaque colonne ne devrait contenir qu'un seul  poinçonnage, et si une colonne en contient  deux, l'un de ces poinçonnages est faux;       i    2  colonnes     vierges;        chaque    colonne de  vrait contenir un poinçonnage, et si une co  lonne n'en contient pas, cela constitue une  erreur;  3  certaines colonnes ne doivent pas con  tenir de poinçonnage de valeur paire;  4  certaines colonnes ne doivent pas con  tenir de poinçonnage de valeur impaire.

      Ce mode de fonctionnement     illustre    égale  ment une utilisation possible des groupes de  chiffre pairs et impairs     PS6    et     PS7.     



  Afin d'éviter d'utiliser des connexions à  fiches à dérivation, on utilise l'un des groupes  de douilles     PS41.    Dans le but de     simplifier     la représentation du mode de connexion, le  groupe de douilles PS41 est représenté à gau  che du groupe de     contacts    des sélecteurs 21  et 31. On comprendra que ces     connexions    à       fiches    aboutissent en réalité au bas du tableau  de connexion et     qu'elles    sont insérées dans le  groupe de huit douilles communes     PS41,        au-          dessous    des     groupes    de chiffre.  



  -Pour qu'une fiche soit déposée dans la     po-          che- 1 ,    il faut que tous les sélecteurs de r     e-          codification    1, 3, 5, 7, 24 et 26 soient excités.  Si la     colonne    -5 ne contient pas de poinçon  nage, le sélecteur de     recodification    1 n'est pas  excité et le circuit de contrôle     part    de la  douille PS22     (fig.   <B>50E)</B> et passe à travers les  contacts normalement fermés du sélecteur de       recodification    1 et, à travers des connexions  à fiches, jusqu'à la douille P841 et à la douille  <I> 4 </I>     PS54,

      provoquant ainsi     l'acheminement     de cette fiche vers la poche  4 . Si la colonne  5     est    poinçonnée de façon correcte, mais pas  la colonne 6, la poche  4  est à nouveau  choisie. Cette fois-ci, le circuit de contrôle  passe à travers les contacts normalement  ouverts du sélecteur 1 et les contacts fermés  du sélecteur 3. De même, si la.     colonie    15 n'est  pas poinçonnée dans une de ses positions 1  ou 2 ou si elle n'est pas poinçonnée dans une  de ses positions 3 à 6, les sélecteurs de     re-          codification    5 et 7 ne sont pas actionnés et la  poche  4  est à nouveau choisie.

   Par consé  quent, l'absence d'un     poinçonnage    à une des  positions repère d'une des colonnes 5 et 6 ou  à une des positions repère 1 et 2 ou 3 -à 6 de  la colonne 15 provoque l'acheminement de la  fiche vers la poche  4 . On remarquera que  les positions repère 1 ou 2 et une des posi  tions. repère 3 à 6 doivent être     poinçonnées     dans la colonne 15.     Il    est     évident    que lorsque  l'un des sélecteurs 1, 3, 5 et 7 n'est pas rendu  efficace, la fiche est toujours dirigée. vers la  poche  4 .

        Le sélecteur 13 est rendu efficace     sorts     l'effet d'un double     poinçonnage.        Supposons.,     par exemple, que la     colonne    5 contienne deux       poinçonnages;    le premier de ces     poinçonnages          établit        un        circuit    à travers les contacts nor  malement fermés du sélecteur 1 pour     rendre     efficace ce sélecteur     qui        actionne    ses contacts  et relie la douille PS41 au balai de la colonne  5.

   Si la colonne 5 contient un second poin  çonnage, ce     poinçonnage    provoque l'établisse  ment d'un circuit passant à travers les con  tacts normalement ouverts du sélecteur 1 et       aboutissant    à la douille PS41 et de là aux  douilles     PS2    et     PS3    du sélecteur 13, rendant  ainsi ce sélecteur efficace et fermant ses con  tacts normalement ouverts. Admettons     qu'au-          cune    des     colonnes    ne soit vierge et que tous  les sélecteurs 1, 3, 5 et 7 soient correctement  excités, le double     poinçonnage    que contient la.  



  ,colonne 5 provoque alors l'acheminement de  la fiche vers la poche  12 . Le circuit de con  trôle part de la douille     PS22        (fig.    50F) et       passe    à travers les     contacts    normalement       ouverts    des sélecteurs 1, 3, 5, 7 et 13 pour  aboutir à la douille  12  du groupe de douilles       PS54.        Cependant,    si l'une des colonnes est  vierge, la commande exercée par cette co  lonne a la préséance sur la commande exercée  par le double     poinçonnage,    si bien qu'une  fiche présentant une     colonne    vierge est en  voyée dans la poche  4 .  



  La colonne 25 ne devrait être poinçonnée  que     dans    l'une de ses positions repère de va  leur impaire et, si cette colonne est correcte  ment     poinçonnée,    elle provoque l'excitation  du sélecteur de     recodification    24. Si une va  leur paire est enregistrée dans la colonne 25,  le sélecteur 24     n'est    pas excité et, en admet  tant que la fiche ne présente ni double poin  çonnage ni colonne vierge, elle est déposée       dans    la poche  3 .  



  La colonne 30 ne devrait être     poinçonnée     qu'à     l'une    des positions repère paires et, si  cela n'est pas le cas, le sélecteur de     recodifi-          cation    26     n'est    pas rendu efficace. En admet  tant que les autres colonnes soient poinçon  nées correctement, la fiche est déposée dans  la poche  2 . Si la colonne 30 est correcte-    ment     poinçonnée    à l'une de     ses    positions re  père paires, le sélecteur de     recodification    26  est excité et la poche  1  est choisie.  



  A la     fig.    49P, on remarquera     qite    les con  tacts normalement ouverts de     chacun    des sé  lecteurs de     recodification    1, 3, 5 et 7 sont re  liés aux     douilles        PS41.    La première     impulsion     qui se produit lors de l'exploration d'une co  lonne pour rendre une commande     particulière     efficace a pour effet de rendre efficace l'un  des groupes 1, 3, 5 et 7, selon le cas.

   Cepen  dant, si cette colonne contient     im    second     poin-          çonnage    dans l'une de ses autres positions re  père, le sélecteur .de     recodification    13 est  rendu efficace par la. seconde     impulsion    de  balai, de la même façon que le sélecteur de       recodification    1.

   Par exemple, si la colonne 6  contient     un    double poinçonnage, le premier       poinçonnage    provoque l'excitation du sélec  teur de     recodification    3 et, pour le second  poinçonnage, un circuit analogue     est    formé à  travers les contacts     normalement    ouverts du  sélecteur 3     jusqu'aux    .douilles     PS41    et au sé  lecteur de     recodification    13.  



  Au cas où la colonne 15, par exemple,  dîme fiche quelconque est. poinçonnée à. ses  positions repère  1  et  2  ou à deux quel  conques de ses positions  3  à  6 , le sélec  teur de     recodification    13 est rendu efficace  par le second poinçonnage, par l'intermédiaire  des contacts normalement ouverts du sélecteur  de     recodification    5 ou 7, selon le cas. On voit  donc que le fonctionnement .du sélecteur de       recodïfication    13 dépend du     fonctionnement     des sélecteurs de     recodification    1, 3, 5 et 7.

    Cependant, si la colonne 5 ou la colonne 6 est  vierge, la commande de colonne vierge prend  la préséance sur la commande de double poin  çonnage pour envoyer la fiche présentant une  colonne vierge dans la poche  4 .  



  Les     fig.    49Q et     50F.représentent        im    mode  de connexion permettant à la machine de com  mander un triage, par exemple sur la base  de valeurs relatives: forte, faible ou égale  entre différents champs     poinçonnés    de la  fiche, l'un de ces champs comprenant les co  lonnes 1 à 3 et l'autre les colonnes 10 à 12.  Dans le cas considéré, on désire comparer des      températures mesurées au moyen d'un thermo  mètre sec,     enregistrées    dans le champ 1, avec  des températures     mesurées    au moyen d'un  thermomètre humide et     enregistrées    dans le  champ 2. Le domaine des températures passe  par zéro sur l'échelle de température.

   Il est  donc     nécessaire    d'indiquer le signe de la tem  pérature par rapport à zéro et     les    fiches     poin-          gonnées    d'un  X  à la colonne 1 ou à la co  lonne 10 contiennent des indications de tem  pérature négatives dans les champs qui com  prennent ces colonnes. Par exemple, -10  est  enregistré au moyen de poinçonnages     dans    les  colonnes 2 et 3 pour enregistrer 10 et par un  poinçonnage  X  ou  11  à. la colonne 1.       -I-10     est enregistré par des poinçonnages   010  aux colonnes 1, 2 et 3. Aucun zéro n'est  poinçonné dans les colonnes 1 et 10 lorsque       ces    colonnes contiennent un  X .  



  Trois     possibilités    peuvent être prises en  considération, de façon générale. Les tempé  ratures  humide  et  sèche  peuvent toutes  deux être positives, c'est-à-dire au-dessus de  zéro, et dans ce cas, la comparaison est pure  ment numérique, le nombre enregistré le plus  élevé étant le plus fort en valeur ou dans la  suite. D'autre part, les deux températures  peuvent être au-dessous de zéro et, dans ce  cas, le nombre le plus faible     est    le plus fort  dans la suite. Selon une troisième possibilité,  l'une des températures peut être au-dessus de  zéro, l'autre étant en dessous de zéro. Dans ce  cas le poinçonnage  X  de l'un des champs  détermine automatiquement lequel des champs  ainsi poinçonnés est le plus faible dans la  suite, sans tenir compte des chiffres réels.  



  Avant de décrire le fonctionnement de la  machine, il est opportun de faire remarquer  qu'un temps d'environ 2     millisecondes    est né  cessaire pour amorcer un tube de sélecteur de       recodification,    à partir de l'instant auquel  l'impulsion du balai analyseur de fiche est  appliqué à la     grille    de commande de ce tube.

    Cependant, un temps .d'environ 4,5     milli-          secondes    est nécessaire, à partir de ce moment,  pour provoquer la fermeture des contacts du  relais     commandé    par ce tube de sélecteur de       recodification.    Ce retard supplémentaire est    dû à l'influence de l'inductance de l'enroule  ment du relais et au retard mécanique des s       contacts    qui doivent effectuer un certain  mouvement avant d'établir     effectivement    le  contact électrique.

   De ce fait, il est possible  d'envoyer une impulsion, à partir d'un balai  de fiche, aux contacts     normalement    fermés       d'un    sélecteur de     recodification    et simulta  nément à la grille de     commande    de ce sélec  teur, pour rendre efficace un second sélecteur  de r     ecodification    avant que les contacts nor  malement fermés du premier sélecteur de     re-        e     codification ne s'ouvrent.  



  Pour commencer, admettons que la tem  pérature  sèche  enregistrée dans le champ 1  soit au-dessous de zéro et que la température   humide  enregistrée dans le champ 2 soit au-     c     dessus de zéro. Un poinçonnage  11  se trouve  par conséquent à la colonne 1, et ce poinçon  nage indique automatiquement que la tempé  rature     humide    est la     phis    forte dans la suite  puisque cette température est positive et que  la température sèche est négative.

   Les sélec  teurs de     recodification    1 et 31 sont     rendus     efficaces, permettant au circuit de contrôle  d'être établi à partir de la douille     PS22          (fig.    50F), à travers les contacts normalement  ouverts du sélecteur de     recodification    31 et  les contacts normalement fermés du sélecteur  de     recodification    32. Ce circuit aboutit à la  douille  2  du groupe de     douilles        PS54,    si  bien que 1a fiche contenant un  X  poin  çonné dans son champ 1, mais pas de  X        dans    son champ 2 est acheminée vers la po  che  2 .  



  Admettons maintenant que les conditions  de température soient     inversées    et que la a  fiche contienne un poinçonnage  X  dans sa  colonne 10 et pas de      X     dans sa colonne 1.  Les sélecteurs de     recodification    21 et 32 sont  excités et le circuit de contrôle partant de la  douille PS22     (fig.    50F)

   passe par les con- 9       tacts    normalement fermés du sélecteur de     re-          codification    31 et les contacts normalement  ouverts du sélecteur de     recodification    32  pour aboutir à .la douille  3  du     groupe    de  douilles     PS54.    La température humide est 9  ainsi indiquée comme étant la plus faible, et      la fiche est déposée dans la poche  3 .

   Dans  ces deux cas, la seule existence d'un     poin-          connage     11  dans     un    seul des champs dési  gne automatiquement le signe des valeurs  réelles et, si ces valeurs étaient égales, leurs  valeurs relatives seraient telles que la valeur  enregistrée dans le champ ne contenant pas  de  X  serait la plus forte.  



  Si les deux champs de la fiche     contiennent     chacun un poinçonnage  11 , un essai doit  alors être effectué pour déterminer le champ  contenant la valeur la plus forte dans la  suite, cette valeur étant alors représentée par  le nombre le plus faible.     Admettons    que les  deux champs soient poinçonnés en  11  dans  leurs colonnes 1 et 10 et que la température  sèche soit de -21 , la température humide  étant de -10 . Dans ce cas, les sélecteurs de       recodification    1, 11, 21, 31 et 32 sont efficaces  en  11 , du fait que les deux champs sont       poinçonnés    en  11  dans leurs     colonnes    1 et 10  respectives.

   En  2  du cycle, le sélecteur de       recodification    2 est excité et ouvre ses con  tacts normalement fermés, empêchant ainsi  l'excitation du sélecteur de     recodification    22.  En  1  du cycle, le sélecteur de     recodifica-          tion    3 est excité et empêche l'excitation du  sélecteur de     recodification    23.         Etant    donné que les sélecteurs de     recodi-          fication    1, 2, 3, 11, 21, 31 et 32 sont efficaces,  la poche  2  est choisie à l'aide d'un circuit  qu'on peut suivre à la     fig.    50F.

   Ce     circuit     part de la     douille        P822    et passe par les con  tacts normalement ouverts des sélecteurs de       recôdification    31, 32, 21 et 11 et par les con  tacts normalement fermés du sélecteur de     re-          codification    22, pour aboutir à la douille  2   'du groupe de douilles     P854,    si bien que la  poche  2  est choisie pour la fiche     considérée.     Si les conditions étaient inversées et que la  température sèche soit de -10 , la tempéra  ture humide étant de -21 , les sélecteurs de       recodification    1, 2, 3, 11, 21, 22, 23,

   31 et 32  seraient rendus efficaces pour établir le cir  cuit de contrôle. Ce circuit part à nouveau de  la douille PS22     (fig.    50F) et passe par les  contacts normalement ouverts des sélecteurs    de     recodification    31, 32,<B>9-1, 11</B> et 22 et par  les contacts normalement fermés du sélecteur  de     recodification    12, pour aboutir à la     douille      3  du groupe de douilles     PS54.    La poche  3   est ainsi choisie pour la fiche considérée.  



  Si les températures sont toutes deux su  périeures .à zéro, la température sèche étant  par exemple de 010  et la température humide  de 021 , les premiers zéros étant     poinconnés     dans la fiche, les sélecteurs de     recodification     l., 2, 3, 11, 21, 22 et 23 sont rendus efficaces  et le circuit. de contrôle partant de la douille       P822        (fig.    50F) passe par les contacts norma  lement fermés des sélecteurs .de     recodification     31 et 32, par les     contacts    normalement ouverts  des sélecteurs de     recodification    21, 11 et 22 et  par les contacts normalement fermés du sélec  teur de     recodification    12.

   Ce circuit aboutit  la douille  2  du groupe de douilles     PS54,    si  bien     que    la fiche est déposée dans la poche   2 . Si     ées    conditions sont inversées et que la  température sèche est de 021 , la température  humide étant de 010 , les sélecteurs de     reco-          dification    1, 2, 3, 11 et 21 sont rendus effi  caces et le circuit de contrôle partant de la       douille        P822        (fig.    50F) passe par les contacts  normalement.

   fermés des sélecteurs de     recodi-          fication    31 et 32, par les contacts normalement  ouverts des sélecteurs de     recodification    21 et  11 et par les     contacts    normalement. fermés du  sélecteur de     recodification    22. Ce circuit abou  tit à la douille  3  du groupe de douilles  <I>PS54</I> et la fiche est ainsi acheminée vers la  poche  3 .  



  Deux     états    d'égalité doivent encore être  considérés; tout d'abord, lorsque aucun des  champs n'est poinçonné d'un  X  et ensuite  lorsque les deux champs sont poinçonnés d'un        X ,    les températures étant égales dans les  deux cas. Admettons que la température  humide et la température sèche soient     toutes     deux de     +2511,    ces températures étant indi  quées par des poinçonnages 025. En  5  du  cycle, le sélecteur de     recodification    23 est.

    rendu efficace par     l'intermédiaire    des con  tacts normalement fermés du sélecteur de     re-          codification    3, et les sélecteurs de     recodifica-          tion    3 et 13 sont également rendus efficaces.      En  2  du cycle, le sélecteur de     recodification     22 est rendu efficace par l'intermédiaire des  contacts normalement fermés du sélecteur de       recodification    2 et les sélecteurs de     recodifica-          tion        Z    et 12 sont également rendus efficaces.

    En  0  du cycle, le sélecteur de     recodification     21 est rendu efficace par l'intermédiaire des  contacts normalement fermés du sélecteur de       recodification    1 et les sélecteurs de     recodifica-          tion    1 et 11 sont également rendus efficaces,  si bien que tous les sélecteurs de     recodifica-          t.ion,    sauf les sélecteurs 31 et 32, sont alors  efficaces.

   Le circuit de contrôle s'étend par  conséquent à partir de la douille     PS22          (fig.    50F) à travers les contacts normalement  fermés des sélecteurs de     recodification    31 et  32 et à travers     -les    contacts normalement       ouverts    des sélecteurs- de     recodification    -21,  11, 22, 12, 23 et 13. Ce circuit aboutit à la  douille  1  du groupe de douilles PS54 et la  fiche est envoyée dans la poche  1 .  



  Il en est de même lorsque la température  humide et la température sèche sont égales  entre elles et que les deux champs- sont poin  çonnés .d'un  X , sauf que les sélecteurs de       recodification    31 et 32 sont alors également  rendus efficaces. Le circuit de contrôle s'étend  dans ce cas à partir de la douille     PS22,    à tra  vers les contacts normalement ouverts des       sélecteurs    de     recodification    31, 32, 21, 11, 22,  12, 23 et 13, pour aboutir à la douille  1  du  groupe de douilles P854. Cette fiche est alors  également envoyée dans la poche  1 .  



  Il est évident que les fiches présentant  des poinçonnages correspondant à     des    valeurs  égales dans leurs deux champs respectifs sont  toujours envoyées     dans    la poche  1 , les     fiches     dont     les    poinçonnages correspondent à une  température humide plus forte que la tempé  rature sèche étant envoyées dans la poche  2   et les fiches dont les     poinçonnages    correspon  dent à une température humide plus faible  que la température sèche étant envoyées dans  la poche  3 .  



  *La     fig.        49R    représente un mode de con  nexion comprenant l'utilisation du distribu  teur     d'unités-dizaines    pour effectuer 'un  compte de subdivisions de classification d'une         répartition    par     classes        détermlinée    par     les     sélecteurs de     recodification.     



  Une application de ce mode de connexion  pourrait par exemple être constituée par une  opération de     tabulation    de     vétérans    par sexe,  par race et par état de service. Le sexe est  enregistré dans la colonne 5, un poinçonnage   1  désignant un individu masculin et un.  poinçonnage  2  un     individu        féminin.    La race  est enregistrée     dans    la colonne 10, un poin  çonnage  1  désignant un individu blanc et  un poinçonnage effectué .à l'une des positions  repère  2  à  6  indiquant un individu d'une  autre race. Dans le cas considéré, on distingue  quatre groupes de classe principaux compre  nant les deux groupes de sexe et les     deux     groupes de race.

   Chacun de ces groupes doit  être subdivisé conformément à l'état de ser  vice des vétérans qui     est    enregistré dans la co  lonne 30.     Les    positions  0  à  9  désignent  respectivement dix différentes classes d'état  de     service    qui, par exemple; pourraient être  constituées par  0  pour la     guerre    de Séces  sion,  1  pour la guerre -hispano-américaine  et ainsi de suite.

   Le code des états de service  pourrait aussi correspondre à un degré d'in  firmité ou de dépendance     dîi    à, -un service  effectué pendant une guerre.     Etant    donné  que le code utilisé est sans importance, il       n'est    pas nécessaire de le décrire en détail.  Chaque fiche présente trois poinçonnages dé  signant le sexe, la race et l'état de     service    .des  vétérans. On désire compter le nombre de vé  térans ayant un même état de service dans  chacun des quatre groupes de classe princi  paux, de sexe et de race.

   Dans ce but, il est  nécessaire d'utiliser le distributeur     d'unités-          dizaines    de façon     quelque    peu différente de  celle décrite en référence à- la     fig.    49E, mon  trant un mode de connexion destiné à utiliser  ce distributeur pour commander le triage sur  la base de domaines d'âges.  



  Admettons que la fiche analysée soit poin  çonnée  1-1-1 , cette fiche désignant un  individu masculin blanc ayant un état de ser  vice conforme à la position 1 dû codé. -L'état  de- service est     enregistré    à la - position des  unités du distributeur     d'unités--dizaines.-    Dans      le cas considéré, du fait que la fiche est     poiu-          çonnée    en  1  à sa colonne 30, ce     distributeur     provoque l'excitation du relais R171 (fila. 48V)  et ferme ainsi -an circuit aboutissant au relais   1  R180.

   De ce fait, tous les     contacts    R180A  du relais R180. reliés à     des    douilles PS35 dé  signées par O1,11 ,21, 31, etc. à 91 à la fila. 48V,  sont fermés. Les sélecteurs de     recodification    1  et 11 sont rendus efficaces, si bien qu'un cir  cuit de contrôle est formé à partir de la douille  PS22 (fila. 49R) et à travers le     relais    de triage   1  R115P jusqu'à la douille  1  du groupe  de douilles     PS21.    Ce circuit est semblable à  certains circuits de contrôle qu'on a décrits  en     détail    -à propos d'autres opérations.

   A par  tir .de la douille     PS21,    ce circuit de contrôle  passe à travers les contacts normalement       ouverts    du sélecteur de     recodification    1 et à  travers une connexion à fiches pour     parvenir     à la douille  0  PS34 et à la connexion com  mune d'extrême gauche (fila. 48V).

   Il s'étend       ensuite    à travers les     contacts    R180-4, jusqu'à  la douille  01  PS35 et de là jusqu'à la douille       d' Entrée     PS30 du compteur 2 et à travers       l'électro-aimant        C32    de ce compteur jusqu'à la  douille de sortie     PS31.    A partir de cette  douille,

   le circuit de contrôle passe par une       connexion    à fiches et par des ponts     reliant     entre elles toutes les douilles de sortie des  compteurs 1 à 10 et 16 à 25 et par une con  nexion à     fiches    aboutissant à la douille  1        PS26.    Le compteur 2 est ainsi choisi pour  compter un     individu    masculin dont l'état de  service correspond à la position 1 du code.

    A partir :de la douille  2      PS21,    le circuit de  contrôle s'étend, également à travers les con  tacts normalement ouverts du sélecteur de       recodification    11 jusqu'à la douille  3  PS34  et jusqu'à la quatrième connexion     commune    à  partir de la gauche, à la fila. 48V, aboutissant  aux     contacts    R180A et à travers ces contacts  à la douille  31  PS35     (fila.    4912).

   Ce même  circuit de contrôle parvient ensuite à la  douille     d' Entrée    <I>PS30</I> du compteur 41 et  passe .à travers l'électro-aimant     C111    de ce  compteur pour aboutir à la douille de sortie  PS31 de ce compteur et de là, à travers     les     ponts et la connexion à fiches, à la douille    <I> 2 </I>     PS26.    Le circuit de contrôle est fermé à  travers la connexion à fiches reliant la douille   2  PS27 à la douille     PS28,    et le tube     P123     est amorcé. Par conséquent, le nombre d'indi  vidus ayant un état de service correspondant  à la position 1 du code est compté par le  compteur 41.  



  Si la fiche est poinçonnée d'un  2  corres  pondant à un individu féminin, le sélecteur  de     recodification    2 est efficace et le circuit       passe    par la douille  1  du groupe de     douilles     PS34 et de là à la douille  11  du groupe de  douilles PS35 qui est reliée à la douille     d' En-          trée     P830 du compteur 17. Ainsi, le comp  teur 17 est choisi au lieu du compteur 1 pour  compter des vétérans féminins ayant. un état  de service correspondant à la position 1 du  code, la race étant identique     dans    ce cas.

   Le  reste du circuit peut être suivi comme aupa  ravant, et ce circuit choisit à nouveau le  compteur 41 qui compte le nombre de vété  rans blancs ayant un état de service conforme  à la position 1 du code.  



  -Si 1a race était     désignée    par une des po  sitions 2 à 7, désignant     respectivement    des       races        autres    que la race blanche, telles que les  races noire, jaune,     ete.,    le sélecteur de     reco-          dification    12 serait alors excité et, en admet  tant que le sexe soit masculin     comme    aupara  vant,

   le sélecteur de     recodification    1 serait  également excité et le circuit partirait de la  douille  1  du groupe de douilles PS21 et  passerait à travers     les    contacts normalement       ouverts    du sélecteur de     recodification    1 pour  parvenir à la douille  0  PS34 et pour choi  sir le compteur 2.

   Le second circuit de comp  tage s'étendrait ans ce cas à partir de la  douille  2  du groupe de douilles PS21 et à  travers les contacts normalement fermés du  sélecteur de     recodification    11 et les     contacts     normalement ouverts du sélecteur de     recodi-          fication    12 jusqu'à la douille  2  du groupe  de douilles PS35 et à la douille     PS30    du  compteur 32. A partir de cette douille, ce cir  cuit reviendrait à la douille     PS26.    Par consé  quent, le nombre de vétérans de couleur ayant  des états de service correspondant à la position  1 du code serait compté par le compteur 32.

        La rangée supérieure comprenant les       .compteurs    1 à 10 sert à compter le nombre  d'individus masculins conformément aux états  de service des vétérans de ce sexe. La  deuxième rangée comprenant les compteurs  16 à 25 sert à compter le nombre de vétérans  féminins pour chaque état de service, et la  troisième rangée comprenant les compteurs  31 à 40 sert à compter le nombre de vétérans  blancs conformément à leurs     états    de service.  Finalement, la rangée inférieure comprenant  les compteurs 46 à 55 sert à compter le nom  bre de vétérans de     couleur    pour chaque état  de service.

   Pour imprimer ces totaux, il est  désirable d'utiliser. un formulaire, ou une  feuille de travail, plus étroit que celui repré  senté à la     fig.    42 et ne comprenant que dix  colonnes numérotées pour les compteurs au  lieu de quinze. Sur la première section de la  feuille de     travail,    les nombres 1 à 10 d'une  moitié de cette section correspondent aux  états de service 0 à 9 des vétérans de sexe  masculin, et les nombres 11     à,    20 de l'autre  moitié de cette section correspondent aux  nombres de vétérans féminins pour chaque  état de service du code.

   Dans la seconde sec  tion de la     feuille    de travail,     les    nombres 21 à  30 et 31 à 40 se rapportent respectivement à  la répartition des vétérans entre individus  blancs et de couleur, conformément aux états  clé service de ces vétérans.   À6n d'imprimer lés     totâiix    et d'effectuer  une opération de sommation décalée correcte,  il est nécessaire de disposer une butée mar  ginale à la colonne 14 pour que les opérations  clé sommation 'décalée débutent immédiate  ment après que les totaux des     compteurs    10;  25, 40 et 55 ont -été imprimés au cours     di     treizième cycle d'impression.  



  étant donné qu'on dispose de dix entrées       possibles        PS34,    on peut subdiviser     jusqu'à    dix  classes principales fournies par la fiche<B> </B> en  autant de subdivisions que le permet la Capa  cité de comptage de la machine.

   La machine  représentée comprend 60     coinpteürs    et on ne  peut, par conséquent, former plus dé 15  subdivisions pour chacune des quatre classes"  principales     prévues,    -conformément au' mode    de connexion de la     fig.        491t.    Selon ce mode de  connexion, il n'a pas été prévu de connexions'  à fiches permettant d'utiliser le compteur 1  comme compteur de total, parce que le but  principal -de cette figure est de montrer la  façon dont une subdivision peut être effec  tuée.

     Les     compteurs    31 à 40 et 46 à 55 sont re  présentés comme étant     reliés    par des Con  nexions à     fiches    pour effectuer des     souÏtrac-          tions,    de façon que les totaux ' imprimés par  les batteries d'impression 3 et 4 équilibrent les  totaux imprimés par les batteries d'impres  sion 1     et.2.    Dé ce fait, il est évident que l'ac  cumulateur 4 'sera à zéro à la     fin    de     l'op6ra-          tion    de sommation décalée, et il sera, par con  séquent;

       nécessaire    d'effectuer une opération  d'impression finale à la main - puisque cet  accumulateur 4 ne sera pas en  9  au -mo  ment où son état est contrôlé.  



  Si on     désire    relier le compteur 1 par des  connexions à     fichés    pour lui faire compter le  total des fiches, il est également nécessaire de  relier     iin    second compteur pour équilibrer les  totaux contenus -dans les compteurs 31 à 40  et 46 à 55, de la façon expliquée plus haut en  référence à la     fig.    49M.

   Pour     relier    le comp  teur 1 pour le comptage des fiches; toutes les  connexions à fiches des compteurs représen  tées à la     fig.    49R peuvent être déplacées     d'une     position vers la droite, ces     connexions    à fiches  comprenant celles aboutissant aux     douilles      1  et  2  des groupes de douilles P821,  PS26 et P827, pour permettre au     eornpteur    1  d'être relié aux douilles  1  des groupes de"  douilles<I>PS21</I> et     PS26.    Pour équilibrer les  totaux, comme on l'a décrit plus haut, un se  cond compteur de fiches, qui peut être l'un  quelconque des compteurs restants,

   peut     être     relié aux douilles   4  des groupes de douilles  PS21 et PS26 et la     connëXion    à fiches abou  tissant â la douille     PS2â    sera alors déplacée  et reliée à la douille      4 -du    groupe de douilles       PS27.    Si l'on compte ainsi les fiches; il sera  nécessaire d'utiliser des sections de feuilles  de travail présentant quinze colonnes     niuné-          rotées    dans     chacune    de leurs demi-sections  pour pouvoir     imprimer        les    totaux fournis par      le compteur 1 et par le compteur d'équili  brage supplémentaire.

   Ce compteur d'équili  brage peut être choisi dans l'un quelconque  des quatre groupes et le total enregistré dans  ce compteur sera     imprimé    par la batterie  d'impression associée à ce groupe.  



  Pour réduire la largeur des sections de la       feuille    de travail à un     minimum    et polir évi  ter -de laisser des     colonnes    vierges dans ces  sections, il est     désirable    de partir de la gau  che avec les compteurs 1, 16, 31 et 46 lors  qu'on connecte les compteurs pour le fonc  tionnement et de relier ces compteurs dans  leur ensemble par des connexions à fiches,  comme indiqué aux     fig.    49F et     49K.        Ainsi,    si  13 compteurs par exemple sont nécessaires,  il est préférable d'utiliser les compteurs 1 à  14 (y compris le compteur de totalisation des  fiches),

       puisque    ceci permet d'utiliser une       feuille    comprenant 18 colonnes, en comptant  la     colonne    de quantité pour deux     colonnes    et  en comprenant la colonne de triage et la co  lonne de contrôle.  



  Pour l'établissement des feuilles de travail  et du mode de connexion des compteurs, il       est        essentiel    de se rappeler que l'impression  des totaux à partir des compteurs débute tou  jours par les compteurs 1, 16, 31 et 46 et de  vrait se terminer par le compteur de rang le  plus élevé à partir de la gauche d'une rangée  quelconque     (fig.41),    la     numérotation    de la ran  gée supérieure de cette figure étant relative aux  compteurs 1 à 15.

   Par exemple, si les     comp-          teurs1à13,16à22,31à44et46à50sont     reliés par des connexions à fiches, l'impres  sion des totaux contenus dans les compteurs  se- terminera par celle du compteur 44, puis  que c'est le compteur de rang le plus élevé       dans    la suite d'impression des totaux rap  portés à la rangée supérieure, ce     compteur     44 étant, à ce point de vue, équivalent au  compteur 14.

   Lorsque le tableau de connexion  a été préparé, il suffit que l'opérateur note  lequel des compteurs est     celui    de rang le plus  élevé par rapport à la suite     d'impression    des  totaux en repérant sa position horizontale par  rapport à la numérotation de la rangée supé  rieure -de douilles de     compteur    de la     fig.    41.         Il    peut alors     disposer    la butée marginale com  mandant l'inverseur     1!1S2,    de façon que     cette     butée soit efficace à la colonne de rang supé  rieure suivant celle     correspondant    au dernier  compteur dans la suite d'impression.  



  Pendant une opération de comptage et de       tabulation    de poste conformément à une clas  sification déterminée, selon laquelle les fiches  ne sont pas avancées par ordre de série, il est  parfois nécessaire de retirer les fiches selon  un ordre de série ou selon un ordre alphabé  tique préalablement à une opération de     tabu-          lation    subséquente ou à une série de telles  opérations. En d'autres termes, il est parfois  nécessaire d'effectuer la première partie d'une  simple opération de triage selon une     suite     pendant une opération de comptage.

   Au cours  d'une course unique de l'opération de comp  tage, il est seulement possible de     disposer    les  fiches par ordre par rapport à une seule co  lonne. Si ces fiches doivent effectuer plu  sieurs courses pour les disposer par ordre par       rapport    à d'autres colonnes, le comptage et  l'impression des totaux sur la feuille de tra  vail sont répétés, à moins qu'on prévoie     des     moyens spéciaux pour empêcher cette réim  pression.<B>Il</B> est, par conséquent, désirable de  prévoir     des    moyens capables de supprimer  temporairement le comptage au cours d'une  ou de plusieurs     courses    pendant lesquelles on  n'effectue qu'un simple triage,

   jusqu'à ce que  les fiches aient été placées dans l'ordre désiré  et qu'elles soient prêtes pour recommencer le  comptage sous commande du même     ensemble     de circuits de comptage. La position<I>NC</I> du       commutateur    de phase S2 est prévue pour  permettre d'effectuer une opération de  triage normale pendant une course de comp  tage .de la machine.

   Lorsque ce commutateur  de phase est mis dans sa position     NC          (fig.    48B), seul le relais R203 est excité, et ce  relais ferme ses contacts R203A     (fig.    48R)  pour permettre au groupe     d'emmagasinage    de  chiffre de la colonne 1 d'être efficace pour  commander le triage de la manière décrite  plus haut en référence à la     fig.        49f1.    Cepen  dant, dans ce cas, il faut insérer une con  nexion à fiches entre les     douilles    PS22 et      PS39 de la colonne 1 des groupes d'emmaga  sinage de chiffre.

   Après que la course de  comptage est achevée, le commutateur de  phase est amené dans sa position N pour des  courses subséquentes de simple triage. Pendant  ces courses, seul le relais R24 est efficace,  puisque le relais     R201    sépare les relais R57  et R58 des     contacts.    C8 à l'aide de ses     contacts     R201G     (fig.        48G).    Du fait que les relais R57 et  R58 ne peuvent être excités, les compteurs ne  peuvent recevoir d'impulsion pendant que le  circuit de contrôle série comprenant les élec  tro-aimants CM des compteurs fonctionne  normalement.  



  Après que     l'ensemble    de courses de sim  ple triage est achevé et que les fiches sont dis  posées dans l'ordre de série ou dans l'ordre  alphabétique     désiré,    le commutateur de phase  est ramené dans sa position<I>NC</I> et les courses  de comptage peuvent recommencer en utili  sant le même ensemble de circuits de comp  tage qu'au cours de la première course de  comptage..  



  L'une     des        caractéristiques    les plus impor  tantes de la machine décrite est constituée par  le dispositif de contrôle prévu pour assurer  une exactitude absolue en ce qui concerne le  triage et le comptage des     fiches.    Ce contrôle  est très important dans une machine conçue  pour un travail statistique par opposition à  une machine principalement conçue pour un  travail comptable. Pour le travail statistique  et de documentation, les données originales  sont     enregistrées    sur des listes ou question  naires sur lesquels le personnel de statistique,  de documentation ou de recensement prend  note des différents faits dont on désire tenir  compte.

   Ces     listes    -et ces questionnaires peu  vent contenir des erreurs d'inscription, et des  erreurs peuvent également se produire lors  qu'on traduit les listes ou questionnaires ori  ginaux en fiches poinçonnées pour effectuer       les        différentes    opérations     statistiques    néces  saires pour obtenir les     tabulations,    pourcen  tages,     rapports,    etc. désirés.

   '  Dans le travail de recensement, les fiches  poinçonnées passent et repassent plusieurs fois  à travers la machine à trier et à travers d'au-         tres    machines, telles que des tabulateurs,     qui     préparent la     tabulation    des faits ou qui pré  parent les fiches pour une opération subsé  quente. Il en résulte que ces fiches sont     très     usées après avoir été utilisées plusieurs fois,  qu'elles sont endommagées et qu'on éprouve  souvent des difficultés parce     qu'elles    n'avan  cent plus correctement dans la machine. Du  fait de leurs passages répétés dans les diffé  rentes machines, les fiches sont éraflées le  long de leur bord avant par le bord inférieur  limitant la sortie du magasin.

   Ces fiches peu  vent être ainsi éraflées de telle sorte qu'il  peut se produire qu'elles     passent    au-dessus  d'une lame de     triage    choisie du mécanisme de  triage au lieu de passer au-dessous de cette  lame. Par exemple, une fiche devant être di  rigée dans la poche  5  pourrait sauter par  dessus une des lames les plus proches, telle       que    la lame  9 , et être ainsi acheminée à la  poche  9  au lieu d'être dirigée vers la poche   5 .

   Il en résulte     qu'une    fiche peut très faci  lement être mal triée et être ainsi perdue,  particulièrement dans une machine du     type     décrit, dans laquelle la répartition des fiches  est basée sur une combinaison arbitraire de  données, préalablement à une     tabulation    sub  séquente. Dans ce cas; en effet,     1u1    triage  erroné n'est pas évident, puisque la .commande  est basée sur une combinaison arbitraire codi  fiée, déterminée par le mode dé connexion, et  une erreur n'est pas immédiatement appa  rente, sauf si l'on procède à une inspection       minutieuse    de la fiche.

   Dans tous les cas, si  la fiche n'était pas rejetée, l'opérateur n'au  rait aucune raison de soupçonner que quelque  chose n'est pas en ordre. L'adjonction d'un  contrôle qui est déterminé par la position  réelle des fiches dans les lames de triage sert  à avertir immédiatement     1#opérateur    que quel  que chose est anormal dans le fonctionnement  de la machine et lui fournit la possibilité       immédiate    de retrouver la fiche qui n'a pas  été triée correctement et de corriger l'erreur       commise.       Le contrôle de continuité     est    extrêmement       précieux    pour ,

  détecter des erreurs dans le  poinçonnage des fiches     ainsi    que des     erreurs         de fonctionnement dues à ce que les circuits  appropriés n'ont pas     été    formés. Cependant;  le circuit de contrôle pourrait avoir été formé  de façon correcte, puisque les poinçonnages  des fiches se trouvent aux positions voulues  dans ces fiches alors que, du fait de la dété  rioration d'une fiche dont on a parlé plus  haut, celle-ci pourrait ne pas- avoir été triée  effectivement de la façon déterminée par le  mode de connexion et par les données qu'elle  porte.  



  D'autre part, il est possible     qu'une    fiche  soit triée de façon correcte et que le circuit  de contrôle soit formé comme il devrait l'être,  mais un     des    compteurs pourrait par exemple  rester collé ou sauter une unité, si bien que,  lors de la     tabulation    finale, ce compteur pro  voquerait l'impression     d'un    total faux.

   Lors  que ceci se produit, le fait que l'opération de  sommation décalée ne s'effectue pas correc  tement indique, ainsi qu'on l'a vu plus haut,  qu'une erreur s'est     produite    dans la totalisa  tion des fiches, et cette erreur est alors immé  diatement découverte et elle est restreinte à  un nombre de     fiches        suffisamment        réduit     pour que la recherche de l'erreur elle-même  ne prenne     pas    trop de temps et ne soit pas  trop     fâcheuse.     



  Les trois caractères de contrôle de l'exac  titude de triage, de contrôle de la continuité  des     circuits,    et ' le fait qu'un circuit de com  mande est établi, de même que le contrôle par  sommation décalée, rendent la production       d'une    erreur pratiquement impossible, à  l'exception d'une erreur de poinçonnage, com  patible avec les données, et que la machine       est    naturellement incapable de déceler.  



  Dans la pratique     des    opérations compta  bles, de nombreuses erreurs peuvent facile  ment être décalées du fait que les données les       plus    importantes sont constituées par des  quantités d'argent. De telles erreurs doivent,  d'une façon ou de l'autre, finalement être dé  celées; par exemple     lorsqu'in    sous-total est  effectué pour vérification.

   Dans le     processus     de facturation, toute erreur dans le prix ou  dans le total de la facture sera probablement       très    rapidement remarquée, puisque les postes    que comprend cette facture sont étroitement       contrôlés    par plusieurs groupes     différents    de  personnes qui sont principalement     intéressées     à vérifier l'exactitude de ces chiffres.

   Par  exemple, si une erreur a été commise dans     une     facture, cette erreur peut être décelée d'au       moins    deux manières différentes: d'une part,  par le personnel de vérification du vendeur  au cours de l'un des contrôles périodiques des  livres qu'effectue ce personnel et, d'autre  part, par le personnel de bureau de l'acheteur  ou par ses vérificateurs .des comptes.

   Par     con-,          séquent,    il est donc plus important d'empê  cher des erreurs de se     produire    dans le travail  statistique, du fait que les probabilités sont  beaucoup plus faibles pour qu'une erreur soit  décelée, de par la nature des.     données,    de par,  l'utilisation des fiches ou du fait de leur dis  position par suite, après que les     tabulations     sont achevées. Dans le travail statistique, on  rencontre moins de contrôles répétés à inter  valles, effectués par des personnes différentes  mues par des intérêts et par des buts diffé  rents que dans la pratique des opérations  comptables.

   Dans ces dernières     opérations,,    les       postes    se rapportent le plus souvent à des  transactions d'argent, dans lesquelles     des-per-          sonnes    ayant des intérêts différents sont inté  ressées, ces personnes disposant     chacune    d'une  organisation .de vérification et de .contrôle  adéquate qui leur est propre. et     qiii    a pour  but -d'empêcher toute     -fraudé,.    toute factura-:       tion        excessive    et toute perte par facturation       insuffisante.     



  En résumé, la machine décrite est une ma  chine     à'répartir    des fiches d'enregistrement  dont le fonctionnement est excessivement  flexible; par rapport à celui de toutes les ma  chines commerciales connues. Cette machine  est     particulièrement        bien'adaptée    pour     effec-          tiïer    des travaux de recensement et     des    tra  vaux statistiques analogues.

   Elle est suscepti  ble de répartir Ides moyens porteurs d'enregis  trements et de les séparer conformément à di  verses combinaisons     ode    données ou à     des    rela  tions ' ,entre  des     données    pouvant présenter  une" signification statistique particulière. La,  répartition de ces     môyens    porteurs d'enregis-           trements    peut également être effectuée con  formément à une     reelassification    arbitraire  ou à des relations déterminées à l'avance  entre     les    données     enregistrées    sur ces moyens  porteurs.  



  La machine décrite offre diverses possibi  lités permettant d'effectuer certaines sortes  d'opérations spéciales de répartition de       moyens    porteurs d'enregistrements, telles par  exemple que le triage conformément à une sé  rie de nombres ou conformément à la lon  gueur d'un nom, ces opérations étant considé  rablement simplifiées et le     fonctionnement     étant rendu très flexible. On évite ainsi l'uti  lisation de différents dispositifs spéciaux dont  les machines commerciales à trier et à répartir  des     moyens    porteurs d'enregistrements ont  jusqu'ici été équipées. L'adjonction de cer  tains de ces dispositifs spéciaux gêne souvent  ou empêche l'adjonction à ces machines com  merciales d'autres dispositifs spéciaux.  



  La machine décrite comprend des moyens  permettant de :déceler     des    erreurs suscepti  bles de se produire dans le poinçonnage des  données sur les moyens porteurs     d'enregis-          trements,    si bien que ceux de ces     moyens    qui  portent des enregistrements correspondant à  des données qui semblent être incompatibles  avec des faits bien connus peuvent être sé  parés dans le but de contrôler visuellement  les données pour     s'assurer    que ces     moyens     porteurs n'ont pas été poinçonnés de     façon     erronée.

   Elle comprend diverses commandes  spéciales servant à choisir et à répartir des  fiches conformément à     certaines    désignations  arbitraires, telles par exemple que des poin  çonnages correspondant à des chiffres pairs  ou impairs :dans un champ ou dans     -Lute    co  lonne particulière de ces fiches.

   Elle com  prend également des     moyens    permettant de       recodifier    ou de reclasser les données enregis  trées sur les     moyens    porteurs d'enregistre  ments, dans le but de commander une réparti  tion arbitraire de ces données ou une réparti  tion arbitraire de ces moyens porteurs,

   con  formément aux données     recodifiées.    Elle est  pourvue de moyens servant à effectuer un  comptage et une     tabulation    du nombre de         moyens    porteurs présentant     -certaines        sortes     dé données ou certaines relations entre     las          données    enregistrées     dans    ces     moyens    ou con  tenant encore des données reclassées particu  lières.

   Cette machine est susceptible de répar  tir des moyens     porteurs        d'enregistrements     conformément à des données originales choi  sies- enregistrées dans ces moyens, ou à des  données     recodifiées        choisies,    et de compter si  multanément le     nombre    de moyens     porteurs     contenant de telles données originales.

   ou de  telles données     recodifiées.    Elle     présente    une  très grande capacité pour le comptage de  données     originales    ou de     données    r     eclassifiées,     déterminées par des     enregistrements        effectués     dans     les    moyens     portéurs.    Elle permet égale  ment de     reclassifier    arbitrairement les don  nées     enregistrées    dans les moyens porteurs et  de trier ces moyens et de les compter ou de  trier et de compter     des    moyens.

   porteurs d'en  registrements     comformément    à des données       reclassifiées..     



  La machine décrite comprend des moyens  permettant de contrôler le fonctionnement du       méçanisme    de distribution de moyens por  teurs     d'enregistrements    par rapport aux don  rées     originales    ou par rapport aux     données          reclassifiées,

      pour assurer que     chacun    de ces       moyens    porteurs soit réellement réparti ou     sé-          parq        conformément    aux données originales  enregistrées ou aux données     recodifiées.    Ces  moyens sont commandés par la position effec  tive du moyen porteur dans le mécanisme de  répartition. La machine est également prévue  pour compter des     moyens    porteurs d'enregis  trements conformément à des données origi  nales ou à des données     reclassifiées    et pour       contrôler    ce comptage par rapport au nombre  total de moyens porteurs.

   Elle comprend éga  lement des moyens permettant de faire la  preuve que les totaux     obtenus    par les moyens  de comptage sont exacts, et des moyens per  mettant     d'imprimer    les totaux accumulés dans  les dispositifs de     comptage..Cette    machine est  pourvue de commandes extrêmement     flexibles     pour le comptage, l'accumulation, la classifi  cation, la     reclassification,    le contrôle, la com  paraison, le recoupement, l'édition,     c'est,à-dire         l'annotation ou la préparation, et l'impression  des totaux     accumulés,

          Bous    commande des  données originales enregistrées sur     les    moyens       porteurs    d'enregistrements: Elle comprend des  moyens permettant d'effectuer une analyse       détaillée    et extrêmement     flexible    des données  contenues dans, les     moyens    porteurs d'enregis  trements et de procéder-     ensuite    à des con  trôles, triages,     comptages,    totalisations et à  des opérations de -répartition de ces     moyens     porteurs conformément à l'analyse des don  nées enregistrées sur eux.

   La machine décrite  présente donc l'avantage d'une extrême flexi  bilité pour la répartition des moyens porteurs       d'enregistrements    et de     possibilités    quasi- illi  mitées     pour    la     tabulation    et pour la réparti  tion de     ces    moyens     conformément    aux données       enregistrées    dans ceux-ci, par exemple sous  forme de perforations, de poinçonnages, de  repères électriquement conducteurs ou sous  une autre forme convenable     quelconque    bien       connue.  

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Machine comptable et statistique comman dée par des moyens porteurs d'enregistre ments, comprenant une source d'énergie et des moyens de mise en place destinés à former des circuits de commande représentant des données comptables et statistiques, .
    machine caractérisée par un dispositif d'essai destiné à effectuer un contrôle initial desdits circuits de commande branchés en série avec ladite source d'énergie, pour contrôler que tous ces circuits ont été formés, des moyens de com mutation étant prévus pour brancher tous ces circuits en parallèle avec la source d'énergie lorsque la continuité de chacun d'eux a ainsi été contrôlée..
    SOUS-REVENDICATIONS 1. Machine selon la revendication, caracté risée en ce =que lesdits circuits de commande sont formés sous commande desdites données qu'ils représentent. 2. Machine selon la revendication, carae- tërisée en ce que ledit dispositif d'essai com prend un tube électronique sensible à. une interruption quelconque du circuit série formé par les circuits de commande et la source d'énergie.
    3. Machine --selon la revendication et la sous-revendication 2, caractérisée par des moyens d'arrêt commandés par le dispositif d'essai et destinés à arrêter la machine lors qu'une interruption est constatée dans ledit circuit série. 4. Machine selon la revendication et les sous-revendications 2 et 3, caractérisée en ce que le dispositif d'essai comprend des moyens de signalisation destinés à fournir une indica tion lorsqu'une interruption a été constatée dans ledit- circuit série. 5.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 2 à 4, caractérisée par des moyens séparateurs servant à séparer lés moyens porteurs d'enregistrements pour les quels des interruptions du circuit série ont été constatées. 6.
    Machine selon la revendication, compre nant un jeu de dispositifs de conservation des tinés à conserver des données statistiques, en registrées dans lesdits moyens porteurs d'en- registrements au moyen de représentations, et le nombre de ces moyens porteurs,
    et des moyens enregistreurs destinés à enregistrer les totaux ainsi conservés et comprenant un chariot mobile servant à espacer les totaux les uns des autres sur une feuille d'enregistre ment, machine caractérisée par un mécanisme de sommation décalée. 7. Machine selon la revendication et la sous-revendication 6, caractérisée en ce que ledit mécanisme de sommation décalée sert à vérifier l'exactitude desdits totaux. 8.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 6, caractérisée en ce que le dit mécanisme de sommation décalée sert à comparer lesdits totaux avec le nombre total de moyens porteurs d'enregistrements. 9. Machine selon la revendication et les sous-revendications 6, 7 et 8. 10. Machine selon la revendication et les sous-revendications 6 et 7, caractérisée par un dispositif de signalisation destiné à fournir une indication lorsque lesdits totaux ne sont pas exacts. .
    11. Machine selon la revendication et les sous-revendications 6, 7 et 10, caractérisée par des moyens d'arrêt disposés pour arrêter le fonctionnement de cette machine lorsque les dits totaux ne sont pas exacts. 12. Machine selon la revendication et les sous-revendications 6, 7, 10 et 11, caractérisée par des moyens de blocage disposés pour em pêcher le chariot d'être ramené à sa position de départ lorsque lesdits totaux ne sont pas exacts. 13.
    Machine selon la revendication, carac térisée en ce que son circuit électrique est di visé en groupes protégés par des fusibles sé parés, et en ce qu'elle comprend des moyens indicateurs destinés à fournir tune indication lorsqu'un de ces fusibles a fondu. 14. Machine selon la revendication, carac térisée par au moins un fusible protégeant au moins une partie de son circuit électrique et par des moyens d'arrêt destinés à arrêter cette machine lorsqu'un fusible a fondu. 15.
    Machine selon la revendication, dans laquelle lesdits circuits de commande repré sentent des représentations de données portées par les moyens porteurs d'enregistrements, et caractérisée par- un dispositif de commande disposé pour rendre la machine capable de ne former lesdits circuits de commande que pour chaque Ume moyen porteur d'enregistre ment, U étant un nombre entier variable, sus ceptible d'être choisi à volonté. 16.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 15, caractérisée en ce que le dispositif de commande comprend un comp teur de moyens porteurs susceptible d'être disposé pour ne rendre la machine efficace que pour des moyens porteurs disposés à intervalles réguliers dans une série de tels moyens. 17.
    Machine selon la revendication, carac térisée en ce qu'elle comprend des moyens analyseurs servant à déceler des représenta tions de valeurs comprenant chacune au moins un chiffre, une source d'impulsions, un jeu de bornes de sortie représentant un jeu complet de valeurs de plus d'un chiffre, un premier sélecteur de chiffres commandé par Lin ordre de représentations de chiffres pour fermer partiellement un circuit aboutissant à l'une desdites bornes de sortie;
    ' conformément â. un chiffre, un second sélecteur de chiffres commandé par un autre ordre de représenta tions de chiffres pour achever de fermer ledit circuit conformément au second chiffre, et des électro-aimants de commande de la machine, reliés auxdites bornes de sortie et choisis par l'action combinée desdits sélecteurs de chiffres. 18.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 17, caractérisée en ce que chacun desdits sélecteurs de chiffres com prend - un jeu de relais d'emmagasinage bi naires excités selon diverses @ combinaisons pour fermer des circuits clé commande repré sentant tous les chiffres d'un ordre d'un sys tème de numération. 19.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 17 et 18, caractérisée en ce que les deux sélecteurs de chiffres susdits ont pour effet combiné le choix d'un nombre de circuits d'emmagasinage complets supérieur a:Lr nombre de possibilités de sélection de cha cun de ces sélecteurs et égal au nombre total de combinaisons de chiffres. 20.
    Machine selon la revendication, carac térisée en ce qu'elle comprend des moyens de poinçonnage servant à poinçonner .des fiches d'enregistrement statistique pour représenter des données numériques, ces moyens compre nant un poste de poinçonnage prévu pour poinçonner un chiffre à la fois et un chariot de poinçonnage destiné à déplacer une fiche pas à pas en regard de ce poste, un mécanisme d'impression prévu pour imprimer des nom bres, à raison de plusieurs chiffres à la fois,
    un chariot d'impression destiné à porter une feuille de travail comprenant des colonnes et prévue pour recevoir des impressions desdits nombres, à raison de plusieurs chiffres à la fois, dés moyens d'avance servant à déplacer pas à pas le chariot d'impression par rapport au mécanisme d'impression,
    un mécanisme d'établissement de programme destiné à pro voquer une succession continue de cycles du mécanisme d'impression pour imprimer une ligne de nombres dans des colonnes successives de la feuille de travail, un .dispositif d'emma gasinage commandé par le mécanisme d'im pression pour emmagasiner chaque nombre imprimé au cours d'une partie d'un cycle d'impression,
    et des moyens de lecture com mandés par le chariot de poinçonnage pour commander le poste :de poinçonnage de façon à faire poinçonner chaque nombre imprimé, à raison d'un chiffre à la fois. 21. Machine selon la revendication et la sous-revendication 20, caractérisée en ce que ledit dispositif d'emmagasinage comprend des moyens d'emmagasinage disposés confor mément à un système binaire-décimal de nu mération, et servant à représenter les nombres emmagasinés. 22.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 20 et 21, caractérisée en ce . -que ledit mécanisme d'impression com prend des barres de caractères susceptibles de se déplacer selon une course avant pour met tre en place un nombre pour son impression subséquente, et des moyens commandés par ces barres pour mettre en place ledit nombre dans le dispositif d'emmagasinage, au cours de la course avant de ces barres, lesdits moyens de lecture étant efficaces pendant le mouvement de retour desdites barres.
    23. Machine selon la revendication et les sous-revendications 20 à 22, caractérisée en ce que lesdites barres de caractères sont pourvues de moyens à contacts disposés pour être fer més de façon commandée dans le temps pour émettre des impulsions représentant des chif fres,
    et en ce que ledit dispositif d'emmaga- sinage comprend un jeii d'électro-aimants d'emmagasinage binaires pour chaque barre de caractères et des moyens de commande servant à provoquer l'excitation de ces électro- aimants. 24. Machine selon la revendication et les sous-revendications 20 à 23, caractérisée en ce que lesdits moyens de commande sont dis posés de façon à. provoquer l'excitation séparée desdits électro-aimants. 25.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 20 à 23, caractérisée en ce que lesdits moyens de commande sont disposés de façon à provoquer l'excitation combinée desdits électro-aimants, conformément à un système binaire. 26.
    Machine selon la revendication, desti née à répartir des moyens porteurs d'enregis trements, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens d'acheminement de ces moyens porteurs, dans lesquels des données ont été enregistrées au moyen de représentations de ces données, des moyens analyseurs servant à déceler lesdites représentations, un mécanisme répartiteur de moyens porteurs, des moyens sélecteurs commandés par lesdits moyens ana lyseurs pour choisir une destination pour chaque moyen porteur conformément à son analyse,
    des moyens de contrôle commandés par le moyen porteur lui-même pour contrô ler que la destination choisie pour ce moyen concorde avec sa destination effective, et des moyens marqueurs rendus efficaces par lesdits moyens de contrôle pour marquer tout moyen porteur dont la destination diffère de ladite destination choisie. 27. Machine selon la revendication et la sous-revendication 26, caractérisée en ce que lesdits moyens marqueurs comprennent un stylet actionné magnétiquement. 28.
    Machine selon la revendication, des tinée à répartir des moyens porteurs d'enre gistrements comptables et statistiques confor mément à des désignations de données que portent ces moyens et comprenant des moyens sélecteurs servant à choisir différentes desti nations pour de tels moyens porteurs, machine caractérisée par des moyens de contrôle dis posés pour comparer la destination effective ment choisie pour un moyen porteur avec sa destination proposée, pour contrôler que cha cun de ces moyens porteurs est effectivement acheminé vers cette destination proposée. 29.
    Machine selon la revendication et la soiis-revendication 28, caractérisée en ce que lesdits moyens de contrôle comprennent. des moyens de conservation destinés à conserver les destinations choisies jusqu'à ce qu'une des tination ait été choisie pour chaque moyen por teur. 30. Machine selon la revendication et les sous-revendications 28 et 29, caractérisée par des moyens d'arrêt, disposés pour arrêter la machine lorsque la destination d'un moyen porteur est différente de la destination choi sie pour ce moyen. 31.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 28 à 30, caractérisée par clés moyens indicateurs disposés pour fournir une indication lorsque la destination effec tive d'un moyen porteur est différente de la destination choisie pour ce moyen. 32. Machine selon la revendication et les sons-revendications 28 à 31, caractérisée par des moyens d'arrêt supplémentaires, ces moyens étant efficaces lorsqu'une seconde destination est choisie, en plus de la destina tion effective, et servant alors à rendre efficace au moins l'un desdits moyens d'arrêt et des dits moyens indicateurs. 33.
    Machine selon la revendication et les sous-revendications 28 à 32, caractérisée en ce que lesdits moyens de contrôle comprennent des moyens à contacts commandés par le moyen porteur et servant à indiquer la des tination effective -de ce moyen. 34.
    Machine selon la revendication, com mandée par des moyens porteurs d'enregistre ments comptables et statistiques portant des représentations de quantités et des représen tations des signes algébriques de ces quantités, comprenant des moyens analyseurs destinés à déceler lesdites représentations pour compa rer une quantité avec une autre, machine ca ractérisée par des moyens comparateurs des tinés à comparer entre eux deux jeux de re présentations de quantités, et par des moyens de commande de polarité commandés par les dites représentations de signe algébrique et servant à indiquer laquelle des quantités com parées est supérieure selon une suite algé brique. 35.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 34, caractérisée en ce que lesdits moyens comparateurs sont disposés pour traiter la quantité numériquement supé rieure comme étant supérieure dans la suite et en ce que lesdits moyens de commande de polarité inversent l'effet des moyens compa rateurs, de façon que cette quantité soit trai tée comme étant numériquement inférieure. 36.
    Machine selon la revendication et la sous-revendication 34, caractérisée en ce que lesdits moyens comparateurs comprennent deux tubes thermoïoniques comprenant cha cun deux grilles de commande, une anode et une cathode, deux relais commandés chacun par le courant .
    anode-cathode d'un desdits tubes, des moyens servant à commander les dites grilles de l'un desdits tubes à partir de l'in de deux chiffres d'une quantité devant être comparée, des moyens servant à comman der l'autre desdits tubes à partir .-,de deux chiffres identiques devant être comparés, un troisième tube thermoïonique.comprenant une grille de commande sensible au second desdits chiffres lorsque ce chiffre est de valeur au moins égale à \celle du premier chiffre,
    et en ce que le relais du premier tube est efficace lorsque le premier chiffre est phis élevé que le second, pour empêcher la grille de com mande du second tube d'être sensible au se cond chiffre. 37.
    Machine selon la revendication, carac térisée en ce qu'elle comprend un mécanisme analyseur disposé pour fonctionner selon un court cycle pour émettre des impulsions de chiffre représentant des valeurs en différents points de ce court cycle, les impulsions repré sentant différentes valeurs étant émises aux différents points du court cycle de valeurs correspondantes, un dispositif commandé pré sentant des éléments susceptibles d'être dé placés pour représenter lesdites valeurs et comprenant des éléments récepteurs d'impul sions de commande de valeurs d'un long cycle, disposés pour fonctionner selon un cycle re lativement plus long que ledit mécanisme analyseur,
    en des points de ce long cycle re présentant lesdites valeurs, lesdits points du long cycle étant séparés les uns des autres par des intervalles de temps plus longs que ceux séparant lesdits points du court cycle, et- des moyens commandés par les impulsions de chif fre du court cycle pour fournir des impul- suons aux éléments récepteurs d'impulsions du long cycle, aux points du long cycle corres pondant aux points du court cycle d'émission de ces impulsions du court cycle. 38.
    Machine selon la revendication et la, sous-revendication 37, caractérisée en ce que lesdits moyens commandés par les impulsions de chiffres du court cycle comprennent un jeu de tubes électroniques de retard destinés à conserver les valeurs desdites impulsions du court cycle et un émetteur commandé par ces tubes pour émettre des impulsions de valeurs correspondant aux impulsions de chiffres,
    à des instants postérieurs et de façon que les impulsions ainsi émises correspondent aux points de mêmes valeurs du long cycle. 39. Machine selon la revendication et la sous-revendication 37, caractérisée en ce que lesdits moyens commandés par les impulsions de chiffres du court cycle comprennent un dispositif d'emmagasinage de < valeurs com mandé par les impulsions de chiffres pour emmagasiner les valeurs et un dispositif de lecture destiné à fournir des impulsions aux éléments récepteurs,
    conformément à un long cycle et aux points de ce long cycle de valeurs correspondantes. 40. Machine selon la revendication, desti née à répartir des moyens porteurs d'enregis- trements, caractérisée par des moyens analy seurs destinés à analyser des moyens porteurs portant des représentations de données, par un mécanisme répartiteur de moyens porteurs comprenant des moyens de commande de des tination de ces moyens porteurs, par des moyens de mise .en place destinés à former des circuits de commande de destination,
    sous commande des moyens analyseurs, et par des moyens de commande de phase destinés à re- lier sélectivement auxdits moyens de com mande de destination différents circuits parmi lesdits circuits de commande, au cours de dif férentes courses de la machine. 41.
    Machine selon la revendication, carae- térisée en ce qu'elle comprend des moyens analyseurs destinés à analyser des moyens porteurs d'enregistrements portant des repré sentations de données constituées par des re pères sélectivement disposés dans au moins une colonne de positions de points de repère, un relais de recodification, des moyens des tinés à rendre ce relais de recodification effi cace pour certains repères, ces moyens com prenant un tube électronique présentant une anode qui commande ledit relais,
    une cathode et deux grilles de commande, dont l'une est commandée par lesdits moyens analyseurs, une source d'impulsions distinetivement com mandées dans le temps, et des moyens destinés à relier sélectivement l'autre desdites grilles à ladite source d'impulsions pour ne rendre ledit tube efficace que lorsque les repères que porte le moyen porteur coïncident avec les im pulsions choisies. 42.
    Machine selon la revendication, carac térisée par un circuit thermoïonique de coïn cidence comprenant une paire de dispositifs analyseurs électriques, destinés chacun à ana lyser une représentation d'une valeur, un tube thermoïonique muni de deux grilles de commande, chacun .des dispositifs analyseurs étant disposé pour modifier le potentiel de l'une de ces grilles lorsqu'il décèle une repré sentation d'une valeur, et un circuit de charge comprenant un relais disposé pour n'être actionné que lorsque lesdites représentations de valeurs coïncident.
CH293307D 1949-01-31 1950-01-31 Machine comptable et statistique commandée par des moyens porteurs d'enregistrements. CH293307A (fr)

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
US293307XA 1949-01-31 1949-01-31

Publications (1)

Publication Number Publication Date
CH293307A true CH293307A (fr) 1953-09-15

Family

ID=21848494

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
CH293307D CH293307A (fr) 1949-01-31 1950-01-31 Machine comptable et statistique commandée par des moyens porteurs d'enregistrements.

Country Status (1)

Country Link
CH (1) CH293307A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
US1608837A (en) Tabulating-card printer device
CH293307A (fr) Machine comptable et statistique commandée par des moyens porteurs d&#39;enregistrements.
US3048181A (en) Control for coin dispensing apparatus
US1944659A (en) Printing counter
US2105291A (en) Record card controlled machine
US2122136A (en) Combined printing and sorting machine
US2181166A (en) Statistical machine
US2138649A (en) Repeat printing of items
US2770186A (en) Plate sensing means in address printing machines
US2475315A (en) Record verifying machine
US1393827A (en) System and selector mechanism therefor
US2758537A (en) Record controlled machine
US2195845A (en) Card selecting machine
US2755860A (en) Duplicating punch and field selection and keyboard control
US2174685A (en) Accounting machine
US1985101A (en) Punching machine
US2860758A (en) Record positioning device
US1982020A (en) Tabulating machine
US1914263A (en) Card reproducing machine
US2079418A (en) Subtracting and totaling device
US1926896A (en) Printing counter for sorting machines
US2244262A (en) Record posting machine
US2770185A (en) Continuous form feeding apparatus in selective printing machines
CH210291A (fr) Procédé pour l&#39;enregistrement et l&#39;utilisation de données statistiques, comptables, etc., et installation pour la mise en oeuvre de ce procédé.
US1944692A (en) Perforated card sorting machine