CH291145A - Procédé de gazéification de fines de combustibles solides. - Google Patents

Procédé de gazéification de fines de combustibles solides.

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CH291145A
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Anonima Ammonia Casale Societa
Jequier Leon
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Anonima Ammonia Casale Societa
Jequier Leon
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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C10PETROLEUM, GAS OR COKE INDUSTRIES; TECHNICAL GASES CONTAINING CARBON MONOXIDE; FUELS; LUBRICANTS; PEAT
    • C10JPRODUCTION OF PRODUCER GAS, WATER-GAS, SYNTHESIS GAS FROM SOLID CARBONACEOUS MATERIAL, OR MIXTURES CONTAINING THESE GASES; CARBURETTING AIR OR OTHER GASES
    • C10J3/00Production of combustible gases containing carbon monoxide from solid carbonaceous fuels
    • C10J3/46Gasification of granular or pulverulent flues in suspension
    • C10J3/48Apparatus; Plants
    • C10J3/482Gasifiers with stationary fluidised bed
    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C10PETROLEUM, GAS OR COKE INDUSTRIES; TECHNICAL GASES CONTAINING CARBON MONOXIDE; FUELS; LUBRICANTS; PEAT
    • C10JPRODUCTION OF PRODUCER GAS, WATER-GAS, SYNTHESIS GAS FROM SOLID CARBONACEOUS MATERIAL, OR MIXTURES CONTAINING THESE GASES; CARBURETTING AIR OR OTHER GASES
    • C10J2300/00Details of gasification processes
    • C10J2300/09Details of the feed, e.g. feeding of spent catalyst, inert gas or halogens
    • C10J2300/0913Carbonaceous raw material
    • C10J2300/093Coal
    • C10J2300/0933Coal fines for producing water gas

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Description


  Procédé de gazéification de fines de combustibles solides.    La gazéification de     fines    de combustibles  solides, coke, anthracite, houille, lignite, etc.,  présente de grosses difficultés, car il faut avoir  des couches suffisamment perméables et un  contact assez bon entre les     moyens    de gazéifi  cation et les fines.     Orr    a donc pensé depuis  fort longtemps à traiter ces fines, soit telles  quelles, soit après broyage préalable, en les  maintenant en suspension dans un courant d'air  pour la fabrication de gaz pauvre ou dans un       courant    de vapeur d'eau et d'oxygène pour la  fabrication de gaz à l'eau.

   Des réalisations très  importantes de ce procédé ont été faites, mais  n'ont pas donné les résultats escomptés, car  le rendement en gaz utile était     insuffisant    et  le gaz entraînait des quantités par trop con  sidérables de poussières incomplètement brû  lées et dont on ne savait que faire. Pour la  fabrication de gaz à l'eau, on avait en outre  l'inconvénient de très fortes consommations  d'oxygène qui ont rendu le procédé peu écono  mique. On a également essayé de fabriquer du  gaz à l'eau à partir de combustibles solides  pulvérisés en les agitant violemment dans un  courant (le gaz à grande vitesse.

   Les réalisations  ont montré que ce principe permet une bonne  gazéification, mais     qu'on    a de forts entraîne  ments de     poussières,    une consommation d'oxy  gène assez élevée, qu'il faut     préchauffer    forte  ment les moyens de gazéification, vapeur et       oxygène,    et qu'il est nécessaire d'utiliser des  appareils relativement compliqués et, par con-         séquent,    d'un prix d'achat, d'un entretien et  d'une exploitation onéreux.  



  La présente invention permet de gazéifier  des fines maintenues en suspension tout en  remédiant aux inconvénients ci-dessus, et cela  au moyen d'un appareil de construction     relati=          vement    simple et robuste et consommant, pour  une production donnée, des quantités réduites  de combustible, d'oxygène et de vapeur; elle  permet, en outre, une élimination presque com  plète des poussières entraînées par le gaz.  



  L'invention a pour objet un procédé de  gazéification de fines de combustibles solides,  maintenues à l'état     fluidisé    dense par l'agent  gazeux de gazéification, et caractérisé par  l'emploi d'une chambre dont la zone de gazéifi  cation présente une section allant en s'élargis  sant de bas en haut, par le maintien dans cette  zone d'une température telle qu'un début de  ramollissement des cendres du combustible  utilisé soit atteint et par l'utilisation de la  chaleur sensible des gaz sortant de la zone de  gazéification au     réchauffage    de l'agent de  gazéification entrant clans cette zone.  



  La formation des poussières, lorsqu'on  gazéifie en suspension des fines de combusti  bles solides, est due à deux phénomènes  a) les grains de combustible introduits dans le  gazogène ont toutes les dimensions depuis les  plus fines poussières jusqu'aux grains qui peu  vent avoir, dans certains cas, plusieurs milli  mètres. Dans ces conditions, si les grains les  plus gros tombent au fond de l'appareil, les      poussières sont entraînées sans avoir le temps  d'être complètement gazéifiées; b) même en  utilisant des grains de charbons uniformes,  ceux-ci, au cours de la gazéification, s'allègent  de plus en plus et finissent par être entraînés  hors de l'appareil avant d'être complètement  brûlés.

   En outre, certains charbons très humides,  s'ils sont chauffés brusquement, peuvent être  brisés par l'évacuation trop rapide de la vapeur  d'eau qu'ils contiennent.  



  Cet inconvénient est éliminé en opérant  conformément à l'invention. On utilise avan  tageusement un gazogène en forme de cône ou  de pyramide, posé sur la pointe, en donnant à  ce cône ou à cette pyramide des dimensions  telles que le courant de gaz arrivant à sa  partie inférieure soit suffisamment rapide pour  mettre en suspension les grains de combustible  les plus gros, mais qu'à la partie supérieure  la vitesse du gaz soit suffisamment réduite pour  ne pas entraîner des particules, même très       fines,    avant qu'elles soient complètement gazéi  fiées. Le cône ou la pyramide peut être sur  monté d'une zone à parois verticales servant  de zone de dégagement des poussières entraî  nées, puis terminé par un couvercle empêchant  la chaleur du foyer de rayonner vers l'extérieur.

    Dans ces conditions, on peut facilement attein  dre dans toute la zone de gazéification une  température telle (1100 à 1500 ) que les cen  dres du combustible     traité    subissent un début  de fusion. Comme dans l'appareil l'agitation  des particules est très intense, il y a des chocs  nombreux entre particules. Si celles-ci ont déjà  atteint un stade de gazéification assez avancé  pour comporter à leur extérieur une quantité  suffisante de cendres ayant subi un début de  fusion, elles se colleront l'une à l'autre, puis  d'autres particules s'agglomérant encore à elles,  elles finiront par former des grains de cendres  de dimensions suffisantes pour tomber au fond  de l'appareil, d'où il sera facile de les extraire  par tout moyen approprié.

   L'expérience montre  que la chute des particules, grossissant len  tement, sera lente et laissera tout le temps au  carbone, qu'elles     pourraient    encore contenir,  d'être gazéifié. Cette agglomération progressive  des grains de cendres les plus fins permet    l'emploi de vitesses de gaz relativement élevées  (de 0,5 à 5     mlsec)    sans qu'il y ait     d'entraîne-          ments.    Il est à remarquer, que les parois de  l'appareil étant plus froides que le centre de  celui-ci, du fait du rayonnement vers l'exté  rieur, rayonnement qui existe même si l'appareil  est, comme il se doit, soigneusement calorifugé,  les cendres n'auront pas tendance à.

   coller sur  le revêtement, car, quand les particules arri  veront contre celui-ci, les     cendres    seront déjà  solidifiées; d'autre part, l'action abrasive des  particules non encore fortement gazéifiées, aura  tendance à enlever ce qui aurait pu se coller  sur ce revêtement. Il est d'ailleurs préférable  de faire un revêtement très réfractaire, com  pact et d'une composition chimique telle que  les cendres n'aient pas tendance à y adhérer.  On peut employer des briques à base de     chro-          mite,    de carborundum, de     mullite    ou tout autre  produit convenant aux cendres du charbon à  utiliser.

   Il faudra d'ailleurs régler la tempéra  ture dans l'appareil en modifiant plus ou moins  les quantités relatives de vapeur et d'oxygène  introduites, en fonction du point de fusion       commençante    des cendres pour éviter tout  risque d'agglomération sur les parois.  



  Si l'invention permet ainsi d'éliminer le  gros inconvénient de la gazéification de fines  de combustibles qu'est la formation de pous  sières abondantes entraînées par les gaz avant  gazéification complète, elle élimine également  le deuxième inconvénient des consommations  trop élevées et cela de la     manière    suivante:  dans un gazogène, comme dans tout autre  appareil traitant des poudres en suspension  dans un courant de gaz, la température est  égale, à quelques degrés près, dans toute l'en  ceinte, ceci à cause du brassage extrêmement  violent des particules. Dans ces conditions,  le gaz sortant à une température élevée  entraîne une     grande    quantité de chaleur qui  est perdue pour l'opération.

   Dans les gazogènes  qui traitent du charbon en gros morceaux, en  lit     fixe,    cette chaleur est, par contre, utilisée  en grande partie à     réchauffer    le charbon entrant  jusqu'à la température voulue. Dans le procédé  selon l'invention, on utilise cette chaleur non  pas au     réchauffage    du charbon, mais à celui      des moyens de gazéification, air, oxygène et  vapeur, oxygène et gaz carbonique, etc. Pour  cela, le plus simple est de prévoir un échangeur  placé directement à la sortie du gazogène,  mais tout autre type d'échangeur ou de régé  nérateur peut être employé.  



  Le fait que la température est égale et  élevée dans toute l'enceinte de gazéification a  d'ailleurs des avantages qui peuvent être  importants dans certains cas: ainsi les grains  de combustibles étant portés brutalement à  haute température, ne peuvent s'agglomérer,  même s'ils sont très cokéfiants, car ils ne pas  sent pas par le stade de fusion pâteuse; comme,  d'autre part, tous les gaz qui pourraient distiller  au cours du chauffage du combustible sont  soumis à une température très élevée, les  goudrons et autres corps organiques complexes  sont immédiatement décomposés en corps plus  simples, hydrogène, oxyde de carbone, gaz  carbonique et éventuellement un peu de  méthane.

   On pourra donc, sans inconvénients,  utiliser des combustibles très jeunes, à condi  tion naturellement de les introduire dans l'appa  reil avec une teneur en eau telle qu'il ne soit  pas impossible d'atteindre la température néces  saire ou que les grains ne se brisent pas en  très fines poussières par suite du départ trop  brutal de cette eau. Cette teneur en eau maxi  mum dépend du combustible utilisé et peut  être fixée par de simples essais de laboratoire  ou par calculs.  



  La fig. 1 du dessin annexé représente  schématiquement un appareil pour la réalisa  tion de l'invention.  



  Le combustible à l'état de fines 0-5 ou  même 0 -10 n'a pas besoin d'être pulvérisé,  il suffit, le cas échéant, de le sécher partiel  lement. Ce combustible entre dans le gazogène  par 1 au moyen d'un appareil convenable qui  n'est pas représenté. Le combustible est main  tenu en suspension dans le gazogène 2 au  moyen d'un courant de gaz, air pour la fabri  cation de gaz pauvre, oxygène et vapeur pour  celle de gaz à l'eau, oxygène et gaz carbonique  pour celle d'oxyde de carbone, arrivant par la  tuyauterie 13. Les cendres qui tombent au fond  du gazogène sont     extraites    par un organe 3    qui peut être de tout     type    convenable, mais  doit être étanche pour empêcher les sorties du  gaz avec tous les inconvénients qu'elles com  porteraient.

   A la sortie du gazogène, les gaz  sont déviés par un écran 4 destiné principale  ment à empêcher le rayonnement extérieur  et à maintenir le plus de chaleur possible à  l'intérieur du gazogène proprement dit 2. A  la sortie du gazogène, les gaz passent dans  un échangeur de chaleur en matériaux réfrac  taires 5 dans lequel passent un ou plusieurs  tuyaux 6 où circulent les moyens de gazéifi  cation à     réchauffer.    Ces tuyaux, en métal  réfractaire, par exemple acier à très haute  teneur en chrome, suivent à contre-courant les  méandres de l'échangeur formés par des chi  canes 7.

   La vitesse du gaz étant beaucoup  plus élevée dans cet échangeur 5 qu'à la partie  supérieure du gazogène 2, il ne devrait pas y  avoir de dépôts de poussières dans l'échangeur 5,  mais il faudra cependant y prévoir des portes  de visite pour l'inspection, le montage et le  démontage des tuyauteries d'échange de cha  leur 6. Le gaz refroidi sortant de l'échangeur  par le tuyau 8 passe encore dans une chau  dière de récupération 9 puis va à     l'utilisation     par la tuyauterie 10. La vapeur     nécessaire    à  la gazéification, lorsqu'on fabrique du gaz à  l'eau, est en partie produite par la chaudière 9  et arrive par la tuyauterie 11, l'oxygène par  la tuyauterie 12.

   Il est préférable de faire le  mélange des moyens de     gazéification    avant l'en  trée dans l'échangeur, de manière que ce mélange  soit ainsi aussi intime que possible à l'en  trée dans le gazogène 2. IL est d'ailleurs bien  évident que l'on pourrait remplacer la vapeur  par du gaz carbonique pour obtenir un gaz à  très haute teneur en oxyde de carbone au lieu  d'obtenir du gaz à l'eau. De même, au lieu  d'oxygène, on peut utiliser de     l'air    si. on veut  fabriquer du gaz pauvre.  



  Le type d'échangeur de chaleur indiqué à  la     fig.    1 exige naturellement pour les tuyau  teries l'emploi de métaux     réfractaires    spéciaux.  De tels métaux ont été mis au point par la  technique moderne et il faut rappeler d'ailleurs       qu'ils    doivent travailler, dans le cas particu  lier, dans des     conditions    relativement     fgçiles,         car ils ne sont soumis qu'à des tensions méca  niques extrêmement faibles. D'autre part, les  moyens de gazéification étant à une pression  légèrement supérieure à celle du gaz à l'eau,  il n'y a pas à craindre de     diffusion    de l'hydro  gène même à haute température.

   Si l'appareil  de gazéification 2 doit être maintenu entre 1100  et 1500 , dans la généralité des cas les moyens  de gazéification sortant de l'échangeur pourront  avoir une température de l'ordre de 900 à  1200 . Dans ces conditions, la consommation  d'oxygène sera extrêmement réduite. Ainsi, en  utilisant des fines de coke et un gazogène de  dimensions convenables, on devrait consommer:  carbone pur moins de 0,4 kg, oxygène moins  de 0,2 Nm3, vapeur moins de 0,4 kg, pour un  Nm  de gaz à l'eau produit et comprenant:  3% de gaz carbonique, 64 % d'oxyde de car  bone, 32% d'hydrogène et 1 % d'azote.  



  Il est évident que l'on pourrait introduire  avec les moyens de gazéification du gaz formé  surtout d'hydrocarbures qui seraient crackés  aux températures envisagées et serviraient à  augmenter la production de gaz à l'eau. Un  tel mode de faire serait particulièrement inté  ressant pour utiliser les gaz de queue de fabri  cations qui, comme la synthèse des hydro  carbures à partir d'oxyde de carbone et d'hydro  gène, donnent comme sous-produits des quan  tités importantes de gaz riches en hydrocarbures  légers. L'introduction de ces hydrocarbures,  préalablement chauffés dans un échangeur par  ticulier au moyen d'une partie de la chaleur  sensible du gaz fabriqué, pourra se faire soit  séparément des moyens de gazéification, soit  en même temps que ceux-ci, le mélange préa  lable étant fait dans un brûleur convenable.  



  L'angle au sommet du cône ou de la pyra  mide ne doit pas être trop grand, 20 à 40   étant une valeur convenable. Il faudra natu  rellement due cet angle soit d'autant plus faible  que le traitement auquel on veut ou doit sou  mettre les grains les plus gros est plus lent.  Pour débarrasser complètement les cendres  agglomérées de leur charbon on peut prévoir  d'introduire tout au fond du gazogène une petite  quantité d'air, d'oxygène, d'oxygène et vapeur  ou d'oxygène et gaz carbonique.    Le type d'échangeur de chaleur de la fig. 1  pourrait être remplacé par d'autres types  d'échangeurs. Un échangeur tubulaire convien  drait bien et sur la fig. 2 on a prévu de trans  mettre la chaleur du gaz sortant aux moyens  de gazéification entrant par une circulation de  billes réfractaires.

   Sur cette figure, les chiffres  1, 2 et 3 ont la même signification que sur la  figure précédente. Les gaz sortent du gazogène  par la tuyauterie 20 et entrent clans la colonne  21 remplie de boules réfractaires (alumine,       silico-alumineux,    métaux réfractaires, etc.).  Ces boules réfractaires d'environ 1 cm de dia  mètre proviennent froides de l'entonnoir de  chargement 22 par la tuyauterie 23. Le gaz  refroidi au moins partiellement sort par la  tuyauterie 24, la chaudière 34 et le ventila  teur 26. Un manomètre 25 placé entre les  tuyauteries 23 et 24 permet le réglage manuel  ou     automatique    de la     pression    du gaz avant  entrée dans la chaudière, de manière qu'il n'y  ait ni sortie de gaz, ni rentrée d'air par \?2 et  23.

   Les billes chaudes tombent, par la tuyau  terie 27, qui peut. comporter un réchauffage  auxiliaire non figuré ici, dans la colonne 28  où elles sont refroidies par les moyens de  gazéification entrant et passant dans le gazo  gène par la tuyauterie     19.    La longueur de la  tuyauterie 2 7 est     suffisante    pour qu'il     n''y    ait       pas    de passage des moyens de gazéification  dans le gaz produit par ladite tuyauterie. Les  billes, extraites de 28 par l'organe 31, sont  remontées en 22 par un dispositif convenable 32.  Pour la mise en route, le gazogène est muni  d'une cheminée 33.  



  Avec les dispositions d'appareillage prévues  ci-dessus, on peut fabriquer du gaz pauvre     cri     utilisant comme moyens de gazéification de  l'air plus ou moins chargé en vapeur, du gaz  à l'eau avec de la vapeur et de l'oxygène, de  l'oxyde de carbone avec du gaz carbonique et  de l'oxygène.

Claims (1)

  1. R.FVTNDICATION Procédé de gazéification de fines de coin- bustibles solides, maintenues à l'état fluidisé dense par l'agent gazeux de gazéification, caractérisé par l'emploi d'une chambre dont la zone de gazéification présente une section allant en s'élargissant de bas en haut, par le maintien dans cette zone d'une température telle qu'un début de ramollissement des cen dres du combustible utilisé soit atteint et par l'utilisation de la chaleur sensible des gaz sortant de la zone de gazéification au réchauf- fage de l'agent de gazéification entrant dans cette zone. SOUS-REVENDICATIONS: 1.
    Procédé selon la revendications, dans lequel, en vue d'obtenir un gaz à l'eau, on utilise comme agent de gazéification de la vapeur et de l'oxygène et on introduit en outre dans la chambre de gazéification, où il subit un craquage, un hydrocarbure, caractérisé par l'introduction séparée dans la zone de gazéifi cation de la vapeur et de l'oxygène, d'une part, de l'hydrocarbure à craquer, d'autre part. 2.
    Procédé selon la revendication, dans lequel, en vue d'obtenir un, gaz à l'eau, on utilise comme agent de gazéification de la vapeur et de l'oxygène et on introduit en outre dans la chambre de gazéification, où il subit un cra quage, un hydrocarbure, caractérisé par l'in troduction de la vapeur, de l'oxygène et de l'hydrocarbure à craquer sous forme d'un mé lange, celui-ci étant effectué dans un ou plusieurs brûleurs placés directement à l'entrée de la zone de gazéification.
CH291145D 1951-04-19 1951-01-29 Procédé de gazéification de fines de combustibles solides. CH291145A (fr)

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