CH287904A - Restituteur stéréogrammétrique pour l'établissement de cartes géographiques. - Google Patents

Restituteur stéréogrammétrique pour l'établissement de cartes géographiques.

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CH287904A
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Societe De Recherc Industriels
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Soc D Rech Et De Perfectionnem
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Description


  



  Restituteur stéréogrammétrique pour l'établiesement de cartes géographiques.



   La présente invention a pour objet un    restituteur stéréoararnlnétrique, c'est-à-dire    un appareil qui permet de tracer, à une échelle donnée, la carte géographique d'une région (planimétrie et courbes de niveau) ou seulement quelques points sont connus par leurs trois coordonnées, par examen stéréoscopique de deux photos aériennes du même terrain, prises de deux points de vue distincts, généralement à des altitudes voi  sines,    le plan des clichés étant sensiblement horizontal au moment de la prise de vue.



     Le      restituteur stéréogrammétrique    selon l'invention est du type comportant aux deux
   points fixes   du   triangle d'exploration   deux miroirs tournant autour d'axes perpen  diculaires    au plan dudit triangle et contenus dans les surfaces desdits miroirs, for  mant    un ensemble pouvant tourner autour de        I'axe   de référence ;' :

  ' joignant ces deux      points fixes   et deux tiges aptes à coulisser dans des manchons supérieurs articulés sur une poutrelle, sur laquelle est monté l'optique    de vision stéréoscopique, ces tiges étant assu-    jetties à rester dans un plan dont la position    relative par rapport à celui du triangle d'ex-      ploration est fixe    et étant liées aux deux mi  soirs    rotatifs, de façon à avoir dans leur plan des déplacements angulaires doubles de ceux de leurs miroirs respectifs.

   Selon l'invention, ledit   restituteur    est caractérisé par le fait que lesdites tiges sont soutenues à leur partie inférieure par deux manchons inférieurs articulés sur une plaque faisant partie d'un bloc traceur, et dont l'un au moins peut coulisser sur cette plaque pour varier l'échelle de la reproduction.



   Du fait de cette disposition, il est donc possible de faire varier l'échelle de la repro  duction,    et cela sans avoir à modifier l'écartement des manchons supérieurs dans lesquels coulissent les deux tiges, c'est-à-dire sans l'obligation de procéder à un nouveau calage initial des deux miroirs qui sont reliés auxdites tiges.



   A titre d'exemple, on a décrit ci-dessous et représenté au dessin annexé une forme de réalisation du   restituteur    conforme à   l'inven-    tion.



   Les   fig. 1,    2,3 et 4 sont des schémas explicatifs.



   La fig. 5 représente le bâti de l'appareil, en vue perspective, avec les plateaux portephoto et porte-carte.



   Les fig. 6 et 7 représentent, en vue pers  pectine    et en plan, la partie supérieure de l'appareil.



   La fig. 8 représente, à plus grande échelle, un détail.



   Pour exposer le fonctionnement du restituteur, il est commode d'envisager d'abord le cas particulier où les trois conditions suivantes sont remplies :
   1     Les deux clichés sont horizontaux au moment de la prise de vue. 



   2  Les deux   points de prise de vue   sont. à la même altitude.



     3     Le manchon inférieur coulissant sur la plaque du bloc traceur est supposé dans une position où son axe d'articulation coïncide avec l'axe d'articulation de l'autre manchon inférieur.



   Le principe de l'appareil repose sur la considération pour chacun des points du terrain à restituer, d'un ensemble de trois triangles semblables   (fig.      1    et   2).   



     1     Le triangle de prise de vue (fig. 1) :
Ses sommets sont le point du sol à restituer P et les deux   positions B B',    au moment des prises de vue, du point nodal-image de   l'ob-      jectif    de prise de vue. On appellera ces deux sommets B B' ¸les points de prise de   vue  .   



  Le côté qui les joint est     la    base de prise de vue    .    Celle-ci est supposée exactement horizontale dans le cas particulier envisagé, mais elle peut être inclinée de quelques degrés dans le cas général. R et R'représentent les plaques photographiques servant à former les images p et p' du point P.



     2     Le triangle d'exploration   (fig.      2)    : Le triangle d'exploration dont les sommets   homo-      logues    des   points de prise de vue   B B'sont    deux   points fixes   Jjfjf de l'appareil-      c'est    ainsi qu'on les nommera par la suite. La droite qui les joint, homologue de la     base    de prise de   vue  ,    sera nommée     l'axe de réfé-    rence¯. Le troisième sommet P', homologue du point à restituer P, est le point de rencontre, virtuel, de deux rayons lumineux passant res  pectivement    par les ¸points fixes¯ M M' et par les points p p'des deux photos A A' qui sont les images du point P à restituer.



   La position dans 1'espace du   triangle d'exploration   peut être théoriquement quelconque, mais il est préférable, pour la com  modité    de l'emploi et la facilité des réglages, que   l'axe de   référence   1T 1Z'soit rigoureuse-    ment horizontal. C'est ce qu'on supposera toujours dans ce qui suit.



   3  Le triangle de restitution (fig. 2) : Le triangle de restitution dans lequel le côté homologue S S'de la base de prise de vue     B      B'est    appelé la     base    de restitution  .



  Dans le cas particulier envisagé, cette dernière a une longueur fixe et les deux autres cotés sont matérialisés par   deux   tiges   mé-    talliques. Leur point d'intersection   Z¯,    qui est donc l'homologue du point P à restituer, est appelé le   point restituée.



   La position dans 1'espace du   triangle de restitution¯ S S' U peut Ûtre thÚoriquement une position fixe quelconque par rapport au   triangle d'exploration  , mais pour des com  modités    de réalisation, il est préférable que ses côtés soient   parallèles aux côtés homo-    logues dudit     triangle d exploration  . 11. 1I'P',    ce qu'on supposera toujours dans ce qui suit.



   Les photos A A' doivent Ûtre d'abord placées dans l'appareil, de façon que le solide constitué par     l'axe de réiérenee  . lI. lI'et    les deux photos soit superposable au solide en  gendré    de la manière suivante (voir fig. 3) :
   1     On place chaque cliché A et 1'dans la position qu'il occupait au moment de la prise de vue.



     ''     On prend les symétriques   et a' de chaque cliché   A    et   21'par    rapport   au   point    de prise de vue   eorrespondant (B et   B').   



     30    On fait subir au solide constitué par l'un des points de prise de vue (B ou   B') et    le symétrique (a ou a') du cliché   eorrespon-    dant, par exemple à   l'ensemble B'a', une    translation dirigée selon la     base    de prise de vue   B B'et d'amplitude telle que   B'vienne      en B1',    la distance B B1' Útant Úgale Ó la longueur de   l'axe de   référence   1Z JZ'de    l'appareil.



   Il en résulte que, lorsqu'elle a été mise dans sa position correcte, chaque photo A (A') est à une distance du     point fixe   37 ()    égale à la distance focale de l'objectif de prise de vue et au-dessous de lui ; elle est horizontale et orientée dans son plan de telle   fac.    que les deux faisceaux de droites définis   l'un    par r ¸le point de prise de vue   B   (B')    et par les   différents points P du terrain,    l'autre par le ¸point fixe¯ M (M') et les points p (p') de la photo-image A(A') des points du terrain, sont superposables.



   Cette opération constitue la   mise en place des faisceaux perspectifs  . On la réalise par quatre mouvements de chaque photo   l. l',    soit :
 trois translations suivant trois directions tri rectangulaires et une rotation autour d'un axe perpendiculaire au plan de chaque photo ; il est commode que de construction cet axe passe par le   point fixe  .



   Les photos restent ensuite immobiles pendant toutes les autres opérations.



   Les deux photos   jl,.      J/sont examinées    simultanément à l'aide de deux viseurs (non représentés en fig. 2) comportant chacun, entre autres organes, un repère stéréoseopique, appelé couramment ¸ballonnet¯, constitué généralement par un petit disque noir qui est     au point      dans le viseur en même temps que l'image de la photo. Entre chaque viseur et la photo correspondante se trouve l'un des organes essentiels de l'appareil qui est le     miroir d'exploratiom V (V'). Ce mi-      roir passe constamment    par le   point fixe     . 11 (M'),    il peut tourner autour de ce point de manière à renvoyer sur le ballonnet l'image d'un point quelconque p (p') de la photo.



   L'observateur aperçoit, en regardant simultanément dans les deux viseurs, une image en relief du terrain sur laquelle se projette l'image unique des deux ballonnets.



  Cette image unique donne, en général, l'impression d'être soit au-dessus du sol, soit enfoncée sous terre, mais en agissant sur les organes de commande, l'opérateur peut   réali-    ser le   contact stéréoscopique  , c'est-à-dire avoir l'impression que l'image du ballonnet est exactement au contact du sol.



   Lorsque le contact   stéréoseopique    est réalisé pour un point du terrain,   c'est    que les deux rayons lumineux passant respectivement par les ¸points fixes¯ M M' et par les points p   p'des    deux photos   : 1 A'qui    sont l'image de ce point P du terrain se rencontrent, c'est-à-dire que le triangle d'exploration   J'P'est réalisé.   



     Comme l'on    suppose que, par r construction, la ¸base de   restitution   SS'est    parallèle à   l'axe de   référence   J',    il suffit, pour réaliser Se triangle de restitution   S      S'ZT,    de rendre chacune des tiges T T' respectivement parallèle au rayon lumineux Mp, M'p' correspondant du triangle d'exploration. Le point de rencontre   U des    tiges est alors le point restitué.



   Ces résultats ayant été acquis, il faut, pour tracer la carte :
   1     construire le triangle d'exploration   M M'P'pour chaque    point P du terrain en explorant la surface des photos   A    A'par   dé-    placement des miroirs et en réalisant pour chacun de ces points P le contact   stéréoseo-    pique,
   2     rendre, automatiquement, à chaque instant, par des dispositifs appropriés, le triangle de restitution S   S'zut    semblable au triangle d'exploration   MAl'P'.   



   L'exploration de la photo est obtenue par un double mouvement de rotation des miroirs
V   V"autour    de deux axes passant tous deux par les     points fixes   j le    premier coincide avec   l'axe de   référence   VZ VI', le second    est perpendiculaire au premier et il est dans le plan du miroir V V' (donc perpendiculaire au plan de la fig. 2).



   La réalisation du   triangle de restitution  ,   
S 7, c'est-à-dire le maintien automatique du    parallélisme des divers côtés, est assurée de la façon suivante :
   1  La   base    de restitution   S S'est paral  lèle par construction à   l'axe    de référence     11 M'.   



   2  Tout le triangle de restitution S S' U est entraîné avee les miroirs dans le mouvement d'exploration autour de l'axe de référence N M'.



     3  Chaque    tige T   (T')    peut tourner en outre autour d'un axe parallèle au second axe du miroir et passant par les extrémités S S' de la base de restitution.



   Lorsqu'on fait tourner le miroir V (V') autour de ce second axe (perpendiculaire au plan de la fig. 2), une liaison cinématique appropriée fait tourner la tige T   (T')    dans le même sens et d'un angle. double. Ce dispositif cinématique peut être constitué par exemple par deux poulies X Y, X' Y' montÚes sur les deux axes et autour desquelles passe une courroie. Pour obtenir le rapport de rotation cher   ehé,    il suffit de donner à la   poulie X (X'),    montée sur l'axe du miroir, un diamètre double de celui de la poulie Y   (Y')    montée sur l'axe de la tige (le   dessin, tout à fait schéma-    tique, ne tient pas compte de ce rapport).



   Les poulies peuvent être remplacées par un système de bielles ou d'engrenages, ou par tout autre dispositif connu.



   On sait que, lorsqu'un miroir tourne d'un certain angle autour d'une droite située dans son. plan, le rayon réfléchi, correspondant à un rayon incident fixe, tourne d'un angle double, il en résulte que, quels que soient les mouvements du miroir, la tige T (T') reste constamment parallèle au rayon lumineux   . 1I P' (. U'P') eonstituant l'1m    des côtés du   triangle d'exploration  .



   Si donc l'opérateur déplace le point d'intersection U des tiges T T'd'une façon quelconque, mais de manière à maintenir constamment le contact stéréoscopique entre les images du ballonnet et le terrain, ce point d'interseetion U décrira une figure semblable au terrain, ce qui justifie son nom de   point resti  tuée, le    rapport de similitude étant le rapport de la     base    de prise de vue   B   B'à    la     base    de restitution   S   S'.   



   Si, en particulier, le point restitué U est assujetti dans ses déplacements à rester dans un plan horizontal, le contact stéréoscopique étant toujours maintenu, la hauteur verticale du triangle de restitution S S'U reste constante, et le point restitué U décrit une section horizontale du terrain, c'est-à-dire une   courbe de   niveau  .   



   Si un crayon est lié au point restitué de façon que sa pointe ait constamment des   dé-    placements équipollents à ceux de la projection du point restitué U sur un plan horizontal et que cette pointe soit maintenue au contact   d'une    feuille de papier horizontale, cette pointe décrira la même   courbe de niveau   que le point restitué.



   Pour tracer une autre courbe de niveau, il suffit d'assujettir le point restitué à se   dé-    placer dans un autre plan horizontal, la distance entre les deux plans horizontaux étant égale à la différence des côtés des deux courbes divisée par le rapport de similitude.



  Ce résultat peut être obtenu de deux façons : soit en déplaçant verticalement le plan de la carte, ce qui entraînera un déplacement égal pour le crayon et le point restitué, soit en déplaçant verticalement seulement le point restitué puisqu'il est évident que dans les   deux    cas le crayon tracera la même courbe.



   Pratiquement, il est commode de disposer de ees deux mouvements : le premier sert de mouvement rapide pour fixer le plan de Ja carte à une hauteur moyenne correspondant au terrain, le deuxième sert ensuite de mouvement lent pour tracer les courbes de niveau successives.



   Pour tracer sur la carte une ligne du terrain dont tous les points ne sont pas à la même altitude, telle que rivière, route,   etc.,    il faudra déplacer le point restitué dans les trois dimensions pour maintenir constamment le contact stéréoscopique   avee    tous les points de cette ligne ; il sera commode, encore dans ce cas, de maintenir la carte fixe et de déplacer le point restitué en utilisant le mouvement lent.



   Si les déplacements du point restitué sont repérés sur trois échelles suivant trois direetions   o x, o, o z, OI1 pourra eonnaitre exaete-    ment les différences de coordonnées de deux points quelconques en réalisant successivement le contact stéréoscopique pour les deux points et en multipliant les valeurs des déplacements selon les trois axes par le rapport de similitude.



   Les quelques points du terrain dont il est nécessaire de connaître au préalable les coordonnées servent à l'exécution de réglages   ini-      tiaux,    à la détermination exacte du rapport de similitude et des cotes absolues des courbes de niveaux et à la vérification de l'ensemble des opérations.



   A cause des mouvements de l'aéronef, les clichés ne sont pas en général exactement horizonaux au moment de la prise de vue ; la mise en place correcte des faisceaux perspectifs exige donc que la photo puisse recevoir, en plus des quatre mouvements indiqués ei-avant comme nécessaires dans le cas particulier en visage, des mouvements supplémentaires lui permettant d'être inclinée en tous sens, tout en restant constamment tangente à une sphère, dont le centre est     le    point   fixe   Jf ()    et le rayon la distance foeale de l'objectif de prise de vue.



   Divers dispositifs mécaniques peuvent être utilisés pour obtenir ce résultat. Par exemple, le plateau porte-photo pourrait être mobile le long   d'une    tige liée à un premier bâti pouvant se déplacer sur deux glissières cylindriques ; cet ensemble peut lui-même se déplacer, par rapport au bâti général de   l'ap-    pareil, sur deux autres glissières cylindriques perpendiculaires aux premières. les axes des deux   cylindres de révolution constitués    par les glissières, ainsi   que l'axe de    la tige. passant constamment par le   apoint fixe  . 1I      M'.   



   Dans l'appareil suivant les fig. 5 à 8, les deux   cylindres ci-dessus) sont remplacés, comme    on le verra par la suite, par deux calottes sphériques de mêmes rayons   ayant pour cen-    tres   communs    le point   fize : II ( : IT'). L'une, eon-    cave, est fixe, l'autre, convexe, glisse sur la première, et la tige-support du plateau portephoto, fixe par rapport à cette deuxième sphère, est dirigée suivant un rayon.



   ITne conséquence du défaut d'horizontalité des clichés au moment de la prise de vue est que les images des horizontales du terrain, paallèles an plan vertical passant par la     base    de prise de vue     B B',    ne sont plus parallèles. mais convergent vers un   point de fuite   qui est à distance finie.



   Cette convergence, inégale sur les deux    clichés, peut gêner le   fusionnement stéréosco-    pique   des deux photographies si   elle devient    trop importante ; il est facile d'y remédier par un dispositif purement optique, par exemple en interposant sur le trajet lumineux un prisme dit de Wollaston, dont la face   réfléchis-    sante est parallèle à l'axe optique.



   On sait que dans ces conditions, à toute rotation du prime autour de cet axe correspond une rotation double de l'image ; on peut done, par ce moyen, sans toucher aux photos, ramener les images dans la position permettant le fusionnement.



   Il peut se faire que l'aéronef   n'ait    pu voler horizontalement entre les deux instants de prise de vue. La base de prise de vue n'est plus horizontale. Il en   résulte    deux effets :
   a)    Les deux photos ne sont plus exactement à la même échelle, ce qui peut gêner le fusionnement stéréoscopique.

   On remédiera à ce défaut en introduisant dans l'un des   viseur. s   
 (ou dans les deux) un dispositif optique   per-    mettant de légères variations de grossissement.
 b) Le plan de la carte ne doit plus être maintenu parallèle à     l'axe de référencer    mais ce plan et cet axe doivent avoir la même position relative que la     base    de prise de   vue   B B'et    un plan   horizontal. Selon l'ex-    pression couramment employée en photogrammétrie, il faut assurer     l'orientation des verti-    cales  .



   Ceci peut être obtenu de diverses manières par des mouvements relatifs de l'axe de référence, des porte-photos et du porte-carte.



   Par exemple, il est commode de laisser     l'axe de référenee   lI 31'horizontal    et   d'orienter les verticales   par une rotation du plateau porte-carte autour d'un axe horizontal et perpendiculaire à   l'axe de référence   et par deux rotations égales des plans des photos autour de ce dernier axe.



   On peut remarquer que ces deux dernières rotations peuvent être obtenues par les dispositifs qui servent à la mise en place des faisceaux perspectifs.



   Si pour faire varier l'échelle de la carte. on faisait varier la longueur de la base de restitution S   S',    on risquerait de dérégler les miroirs et cela à cause de la liaison cinématique existant entre les axes des tiges T T'et les axes des miroirs V   V'perpendieulaires an    plan du triangle d'exploration, pour assurer constamment un rapport de   2    : 1 entre les rotations de chaque tige et du miroir correspondant. En effet, le réglage de l'échelle ainsi pratiqué modifie la distance entre les axes   d'au    moins une tige et du miroir   eorrespon-    dant et, par conséquent, il faudrait vérifier et refaire le réglage du calage initial du miroir    après chaque variation d'échelle.

   Autrement    dit, le réglage de l'échelle et celui du miroir ne seraient pas indépendants.



   Or,   c'est    justement cet inconvénient qui est supprimé du fait qu'au moins un des manchons inférieurs peut coulisser. Par ce eoulissement, on remplace le triangle de   restitu-    tion théorique S   S'IT    (fig. 4), dans lequel S UT   et S'lT    sont les   tiges, SS'la ( < base    de resti  tution      et U le point restitué, par un trapèze
S   IT    S"U', dans lequel le côté   S"LT'est obtenu    par une   translation du côté S'It d'amplitude    arbitraire S'S"et de direction   parallèle a.      l'axe    de référence S S'.



   La tige   S U    n'a pas changé et la tige   S'T'    vient en S"TT'en position telle que   S'tri      S"I'    soit un parallélogramme. Dans ces conditions, un raisonnement géométrique montre que :
 a) Le point restitué IT décrit la même figure que précédemment.
 b) Pour faire varier l'échelle, il suffit de faire varier la longueur U en déplaçant le point   lJ sur 1me parallèle à l'axe    de référence, les points d'articulation S et S"des tiges S   lt et S"IT'restant    fixes.



   Au lieu de faire coulisser un seul des manehons inférieurs, on pourrait également faire varier l'échelle en faisant de sorte que tous les deux manchons inférieurs puissent coulisser sur la plaque du bloc traceur. Enfin, il   n'est    pas absolument nécessaire que l'écartement S   S"entre    les manchons supérieurs dans lesquels coulissent les tiges soit fixe, bien que pour les raisons données on se servira du   cou-      lissement    d'un ou des deux manchons inférieurs pour les variations d'échelle normales.



   Selon la fig. 5, l'appareil comprend une plaque de base 1 montée sur quatre pieds à vis calantes 1'permettant de rendre horizontal   ontal    l'axe de référence et portant :
   1     quatre arceaux, 8-8 et   9-9,    pourvus à leurs sommets de quatre paliers alignés,   10-10    et 11-11, qui définissent   l'axe de   référence   MM'    (fig. 2),
 2  un manchon central 2 dans lequel eoulisse le plateau porte-carte 3.



     3     deux carters 4 contenant chacun une calotte sphérique 5. Chaque calotte porte un manchon cylindrique 5'dont l'axe passe par construction par le centre de la sphère dont fait partie la calotte et dans lequel coulisse la colonne 6 supportant le plateau portephoto 7.



   Deux niveaux, perpendiculaires entre eux.



     12 et 13, sont placés sur    la plaque de base, deux autres niveaux également perpendiculaires entre eux. 14   et 13, sur chaque plateau    porte-photo 7, et un niveau 16 parallèle à l'axe de référence, sur le plateau porte-carte 3.



   Par construction, lorsque les bulles de ces sept niveaux sont entre leurs repères :
   1     l'axe de référence est horizontal,   
 2  les axes des trois colonnes 6, 6 et 2    sont verticaux,
   3"les axes    des colonnes 6 des porte-photos 7 sont dans le plan vertical de l'axe de référenee ; leur prolongement rencontre donc cet axe en deux points qui sont les     points tixes      20 sommets du   triangle d'exploration   précé demment défini,
 4  les plateaux porte-photos   7    et le plateau porte-carte 3 sont horizontaux.



   Pour faciliter la suite de la description. on supposera désormais que les bulles des niveaux   12 et 13    sont amenées entre leurs repères par un réglage préalable, c'est-à-dire que     l'axe    de référencer est horizontal.



   Dans ce qui suit, on se référera à trois directions d'axes   trirectangulaires    : ox est horizontal et parallèle à l'axe de   référence, f.'/    est horizontal et   perpendieulaire à o. r, oz est    vertical.



   Les plateaux porte-photos 7   peuvent rece-    voir six mouvements :
 deux   translations parallèles à o. r et oy et    laissant la colonne 6 fixe, assurant le eentrage de la photo et commandées par les   bou-    tons 21 et   22,   
 une rotation autour de   1'axe    de la colonne 6 assurant l'orientation de la photo et eommandée par le bouton 23,
 une translation par eoulissement vertical de la colonne 6 dans le manchon 5'de la   ea-    lotte sphérique 5 ;

   cette translation permet de régler la distance entre le point fixe 20 et le plan des photos et d'amener cette distance à   être égale Åa    la distance focale des objectifs de prise de vue,
 deux rotations de l'ensemble porte-photo 7 et colonne 6 autour de   l'axe    de référence   20-20    et d'un deuxième axe, perpendiculaire au premier, horizontal et passant par le point fixe 20 ; ces deux rotations permettent de donner aux photos une inclinaison quelconque tout en maintenant constante la distance du point fixe au plan de la photo ; elles sont obtenues par déplacement des   calottes sphéri-      ques    5 sur trois billes 5"solidaires du carter 4 ; ces déplacements sont commandés par les   boutons 17 et 18.   



   Ces six mouvements permettent   la mise en place correcte des faisceaux perspectifs   même si les clichés sont inclinés au moment les prises de vue.



   Le plateau porte-carte 3 peut tourner au  tour d'un axe A    B parallèle par construction à   o i. Ce mouvement    permet l'orientation des   verticales parallèlement au    plan zox.



   L'orientation des verticales parallèlement au   plan yoz est obtenue    par des rotations égales des deux calottes sphériques 5 autour de l'axe de référence 20-20 en agissant sur les boutons 18.



   Le plateau porte-carte   3 peut en outre cou-    lisser   dans-le manchon    2, ce qui permet de régler la hauteur du   triangle de restitution    .   



   Dans les paliers 10 et 11 des arceaux 8 et ') peut tourillonner une poutrelle 27 (fig. 6 et 7). Cette poutrelle porte les paliers de pivotement des tiges, les miroirs d'exploration et les viseurs coudés.



   Les paliers de pivotement des tiges   24      (fig.    6) sont formés de manchons   25    dans lesquels les   tiges 2-)-peuvent, coulisser    ; ces manchons peuvent eux-mêmes tourner autour de deux axes 26 fixes par rapport à la poutrelle 27, parallèles entre eux et perpendiculaires à   t'axe de référence 20-20.   



   L'une des tiges 24, la gauche, matérialise l'un des côtés du triangle de restitution, tandis que l'autre tige, la droite, occupe une position qui se déduit comme il a été expliqué sur la fig.   4    du deuxième côté du   triangle de restitution   par une translation parallèle à   l'axe de référencer.



   Sur chaque manchon 25 de tige est montée une poulie 28 assurant la liaison cinéma tique avee le miroir d'exploration 33 et un pignon conique   29    entraînant un arbre   auxi-      liaire    51 (fig. 5) parallèle à   l'axe de référenee   et destiné à assurer la mise au point automatique de l'objectif du viseur, dans le mouvement   d'exploration selon ox,    ainsi qu'il est indiqué plus loin.



   Le miroir 33 est un disque de verre poli et alumine sur sa face avant ; il doit pouvoir recevoir deux mouvements de rotation pour explorer la photo selon les deux directions   ox    et   o y.    Dans ces deux mouvements de rotation, la face réfléchissante du miroir doit constamment passer par le point fixe 20, ce qui exige que ces deux axes de rotation soient, par eonstruction, concourants en ce point.



   Les rotations d'exploration ont lieu dans le sens ou par rotation d'ensemble de la poutrell.   27 autour    de   l'axe de référence   20-20 et dans le sens o x par rotation du support du miroir autour   d'un    axe 30 lié à la poutrelle et. perpendiculaire au premier. Par construction, le prolongement de cet axe est contenu dans le plan de la face réfléchissante du miroir.



   Ce dernier mouvement est commandé par l'opérateur du fait qu'il agit sur les tiges 24 ; il est transmis par une poulie 31 montée sur l'axe 30 et reliée par un ruban d'acier à la poulie 28 montée sur le manchon 25 des tiges 24. Le diamètre de la poulie 31 est le double de celui de la poulie 28. Un ressort spiral 32 assure le rattrapage des jeux.



   Deux niveaux 36 et 37, disposés à angle droit, sont placés de façon que quand les deux bulles sont entre leurs repères :
   1       1'axe    de rotation 30 de chacun des deux miroirs 33, perpendiculaire à   l'axe de réfé  rente  ,    est horizontal,
 2  le miroir 33 est incliné exactement de 45  sur l'horizontale.



   Il en résulte que, dans cette position, à un rayon lumineux incident vertical correspond un rayon réfléchi horizontal et parallèle à   l'axe de référence  . 



   Sur la fig. 5, on a représenté deux viseurs   s    coudés qui comprennent chacun :
 un objectif 38 dont l'axe optique coïncide par construction avec   l'axe de   référencer,   
 un réticule 39 sur lequel est gravé un petit disque noir constituant le   ballonnets ;

   par construction, ce ballonnet est également sur     l'axe    de référencer.
 deux lentilles 40, identiques, dont les axes optiques coïncident également, par   construe-    tion, avec   l'axe de référencer,
 entre les deux lentilles 40, un prisme 41, dit de     Wollaston  ,    dont la face réfléchissante est par construction parallèle à   l'axe de référenee   et inclinée de façon à assurer   l'orien-      tation correcte    des images (pour la clarté du dessin, sur la fig. 5, les primes de Wollaston ont été orientés avec leur face réfléchissante dans le plan vertical),
 un prisme pentagonal 42 dont l'angle   sz    des faces réfléchissantes est un peu supérieur à   45     (ce qui n'est pas visible sur le dessin) :

   ce prisme est orienté de telle façon que dans la position moyenne de la poutrelle,   c'est-    à-dire lorsque les axes 26 des tiges et ceux 30 des miroirs sont horizontaux, les axes des   ocu-    laires sont inclinés d'environ 450 sur le plan horizontal et convergent de quelques degrés ; cette convergence facilite le   fusionnement   stéréoscopiquer    des deux images,
 un oculaire   43    formé de deux lentilles (pour la clarté du dessin, sur la fig.   7,    les oculaires ont été ramenés dans le plan horizontal).



   Le mouvement d'ensemble autour de l'   axe de   référencer 20-20,    qui permet à l'opérateur d'explorer les photos dans la direction    og, entrame toutes ees pièees optiques à l'ex-      ception    toutefois de l'objectif 38 dont la rotation est inutile puisque son axe optique coineide avec   l'axe de référencer.



   Pour la même raison, il ne serait pas indispensable que le réticule et les lentilles 39 et   40    participent à ce mouvement d'ensemble, mais, dans l'exemple de réalisation décrit, la construction est plus simple en les y faisant participer.



   Il est à remarquer que, dans l'exemple de réalisation décrit, les oculaires   43    et par suite la tête de l'opérateur participent à ce mouvement d'ensemble. Il serait possible, en ajoutant au système optique certains dispositifs connus et appliqués dans les lunettes dites     panoramiques  ,    de maintenir les oculaires fixes, mais il en résulterait dans la réalisation une complication sans grand intérêt, car dans le tracé de la carte, le mouvement de rotation d'ensemble est toujours très lent et pratiquement insensible pour l'opérateur, ainsi que   l'expérience l'a montré.   



   Pour assurer un fonctionnement absolument correct de l'appareil, il est nécessaire de pouvoir communiquer aux diverses pièces optiques de la fig. 7 des mouvements particuliers supplémentaires qu'on décrira ci-après :
 a) Maintien de   l'image donnée par l'objec-    tif dans le plan du ballonnet.



   A chaque instant et dans chacun des deux viseurs employés séparément en vision mono  culaire,    il importe que la portion de photo examinée et le ballonnet soient   au points en même temps.



   Or, la distance focale des objectifs de prise de vue peut différer d'un appareil à l'autre dans d'assez larges limites, par exemple de   100 à 300    mm ; la distance du   point fixe   20 au plan de la photo, qui doit lui être égale, doit done varier de la même quantité, ce qui entraîne un déplacement de l'image de la photo fournie par l'objectif 38 du viseur, même pour le centre de la photo.



   Dans l'exemple de réalisation décrit,   1'oh-      jectif    38 du viseur est calculé pour assurer une mise au point correcte pour une distance focale déterminée de l'objectif de prise de vue ; pour les autres distances focales, on ajoute devant l'objectif une lentille additionnelle calculée pour rétablir exactement la mise au point.



   En outre, dans les mouvements d'exploration de la photo, la distance du   point fixe     5020    au point visé de la photo varie. Si l'objectif du viseur était fixe, l'image qu'il donne ne resterait done pas en permanence dans le plan du ballonnet. 



   Dans l'exemple de réalisation décrit, il existe un mécanisme de mise au point auto  matique de l'objectif. Ce mouvement    est obtenu par deux ergots 44 et   45,    engagés dans deux hélices   46    et   47    portées par un même cylindre 48 concentrique à   l'axe de référence    .   



   Sur ce cylindre 48 est monté un manchon   49    portant l'objectif 38.



   L'ergot 44 est invariablement lié au man  chon 49    ; le seul mouvement permis à cet ergot est une translation le long de l'axe de référence.



   L'ergot   45    est invariablement lié à un pignon droit 52 ; le seul mouvement permis à cet ergot est une rotation autour de l'axe de référence.



   Une clavette 50 placée entre le palier fixe 11 et le manchon   49    empêche celui-ci de tourner, mais lui permet un mouvement de translation selon l'axe de référence.



   Enfin, un ergot 59 porté par le cylindre -18 et engagé dans une rainure de la monture du réticule 39 rend ces deux pièces solidaires en rotation, mais permet au cylindre   48    un mouvement de translation selon l'axe de référenee.



   Ceci étant, dans le mouvement d'exploration selon o x, le pignon conique 29 monté sur l'axe 26 d'articulation des tiges 24 fait tour  ner,    par l'intermédiaire   d'un    deuxième pignon conique, l'arbre auxiliaire 51 qui, par l'intermédiaire d'un couple de pignons droits   52,    fait tourner l'ergot 45 engagé dans   l'hé-    lice 46 tracée sur le cylindre   48.    Dans ce mouvement d'exploration, le réticule 39 reste fixe ; grâce à 1'ergot 59, le cylindre 48 ne peut tourner, il se déplace donc le long de l'axe de référence en entraînant avee lui l'ergot 44, le manchon   49    et l'objectif 38.



   Dans le mouvement d'exploration selon    V,    le cylindre 48 entraîné par l'ergot 59 partieipe à la rotation d'ensemble de la poutrelle 27 autour de   l'axe    de référence ;   l'ergot44,    qui ne peut tourner, se déplace sous l'action de l'hélice   47    le long de l'axe de référence en entraînant avec lui le manchon   49    et   l'objee-    tif 38.



   En choisissant convenablement le pas des hélices   46    et   47    et les rapports des couples de pignons   29    et   52,    on peut maintenir sensiblement l'image donnée, par l'objectif 38, de la région explorée de la photo, dans le plan du ballonnet, quelle que soit cette région.



   En outre, l'objectif 38 est monté dans le manchon 49 par l'intermédiaire d'un filetage 53 qui permet à l'opérateur de régler la mise au point initiale indépendamment du méca  nisme    automatique, notamment dans le cas où il ne possède pas de lentille additionnelle exactement adaptée à la distance focale de l'objectif de prise de vue.
 b) Réglage de l'écartement des yeux.



   Ce réglage se fait en déplaçant d'un mouvement de translation parallèle à l'axe de ré  férence    un ensemble constitué par l'oculaire 43 du viseur de droite, par la lentille 40 voisine de cet oculaire et par le prisme pentagonal   42,    ensemble qui dans ce but sera monté dans un carter 42'coulissant dans le tube 55'.



   Le foyer de la première lentille 40 de droite étant par construction en coïncidence avec le ballonnet, le mouvement ci-dessus n'entraîne aucune variation de la mise au point pour l'opérateur.



   Ce mouvement de translation est commandé par un pignon 85 et une crémaillère.



  L'axe de ce pignon, 85', commandé par le bouton 85, est tourillonné dans la poutrelle   27,    et le pignon 85'engrène avec une crémaillère, non figurée, portée sur ledit carter renfermant les trois éléments   susénoncês.   
 c) Egalisation des grossissements.



   Cette égalisation, permettant un bon   fu-    sionnement stéréoscopique, est rendue nécessaire par les petites différences d'échelles de clichés, dues aux différences d'altitude des points de prise de vue.



   Elle est obtenue par un déplacement d'ensemble des deux lentilles   40    et du prisme de
Wollaston   41    du viseur de gauche.



   En effet, dans la position moyenne, le foyer de la première lentille coïncide avec le ballonnet et l'ensemble des lentilles   40    a un grandissement de-1 ; dans ce cas, il est connu qu'un petit déplacement des lentilles n'affecte pas sensiblement la position de l'image qu'elles donnent, mais seulement sa grandeur.



   Ce déplacement permet donc de faire varier la grandeur de l'image gauche dans les petites limites nécessaires pour l'amener à être égale à celle de l'image droite.



   Il est obtenu par une bague moletée   54    munie de deux filetages de sens contraire qui fait coulisser le tube 55 portant les lentilles 40 et le prime de Wollaston   41    dans le tube   56    portant le réticule.
 d) Réglage des déversements.



   Il est connu que, pour obtenir 1'effet stéréoseopique, il faut que les images finales des horizontales du terrain situées dans des plans passant par la   base de prise de vue   soient parallèles à la ligne des yeux de l'opérateur.



   Par suite de l'inclinaison des clichés au moment de la prise de vue, ces images   n'ont    pas en général l'orientation correcte et cette orientation peut varier   d'un    point à l'autre du cliché. On obtient l'orientation correcte en faisant tourner les prismes de Wollaston 41 autour de   l'axe de   référencer 20-20 d'un    angle convenable ; il est connu en effet que l'on obtient ainsi une rotation de l'image double de celle du prisme.



   Deux bagues moletées 57 permettent de faire tourner ces prismes.



   De plus, en faisant tourner de 900 les deux prismes, on obtient l'inversion de relief nécessaire, lorsqu'on veut passer de l'examen de tirages positifs à l'examen direct des clichés négatifs.



   Ceci s'explique de la façon suivante :
 On sait que lorsqu'on passe d'un cliché négatif à un tirage positif, on obtient un renversement d'image, et par suite, en cas d'examen stéréoscopique, un renversement du relief, ce qui: fait que la vision n'est pas stéréoscopique, mais   pseudoseopique,    c'est  à-dire    une vision dans laquelle les reliefs apparaissent en creux et les creux en relief.



   Ceci serait le cas dans l'appareil décrit lors de l'examen direct de clichés négatifs qui donneraient une vision   pseudoseopique.    Pour supprimer cette   pseudoscopie    lors de l'analyse des clichés négatifs, il faut   redresser    les images, done les faire tourner de 180 . Cette opération est réalisée par une rotation de   90     des prismes de Wollaston autour de l'axe optique.
   e)    Réglage de la mise au point de   l'image    finale.



   Les oculaires 43 sont réglables comme dans la plupart des appareils d'optique à l'aide    d'un filetage 58, pour permettre à l'opérateur    de mettre initialement au point selon sa vue l'image des ballonnets : ce réglage lui permet en outre de compenser exactement la petite différence de   mine au point que peut    introduire l'égalisation des grossissements.



   La fig. 8 représente un bloc traceur, c'est   à-dire 1'ensemble neeaniclne tte deplaee 1'ope-      rateur    pendant le tracé de la carte. Il porte le crayon 62, qui traee la carte en se dépla  chant    conformément au   point restituée 66.



   Le bloc traceur transmet, d'autre part, par l'intermédiaire des tiges 24 aux miroirs 33 et à la poutrelle   27    les mouvements permettant 1'exploration des photos.



   Ce bloc peut présenter des formes assez diverses et une complication plus ou moins grande selon la façon de répartir les divers réglages ainsi   qu'il résuite des principes expo.    ses plus haut.



   Dans le mode de réalisation ici décrit, le bloc traceur est constitué par un ensemble de pièces, susceptibles de recevoir sept mouvements relatifs différents, à savoir cinq rotations autour de cinq axes et deux translations.



  Sur la fig. 6, ce bloc est vu de arrière ; par suite, la tige de droite est à gauche et inversement.



   Le bloc traceur repose constamment sur le plan de la carte par trois billes serties dans une plaque 60 formant un triangle équilatéral.



   A cette plaque 60 est liée invariablement une vis creuse   61 dont l'axe 63 est    par construction perpendiculaire au plan de contact des trois billes.



   Le crayon traceur 62 est dirigé selon l'axe 63 de cette vis creuse.



   Un manchon-écrou   64,    portant tous les autres organes du bloc, peut se déplacer le long de cette vis à   l'aide d'une bague 65 mo-    letée et graduée (premier mouvement de translation). I] permet de modifier la cote du point restitué 66 soit d'une manière discontinue et d'une quantité exactement connue, pour tracer les courbes de niveau successives, soit d'une manière continue, pour le tracé d'un détail planimétrique linéaire, non horizontal, tel que route, cours   d'eau,    limite de culture, etc.



   Un bouton de blocage 67 évite tout risque de déréglage pendant le tracé   d'une    courbe de niveau, il est desserré au contraire pour le tracé d'un détail planimétrique linéaire non horizontal. L'opérateur tient le bloc par un carter cylindrique non représenté, fixé sur la plaque 60 et entourant la vis 61 et le man  thon-écrou 64.   



   Tout l'ensemble : plaque, vis et manchonécrou, peut tourner librement à sa partie supérieure dans un manchon 68 concentrique à la vis 61 (premier mouvement de rotation) : dans cette rotation, la pointe du crayon 62 ne bouge pas, et tout mouvement involontaire de torsion de l'opérateur   n'a donc aucune réper-    cussion ni sur le tracé de la carte, ni sur les autres organes du bloc traceur et en particulier sur les tiges 24.



   Ce manchon 68 porte un deuxième axe   69    parallèle par construction aux lignes de plus grande pente du plan de la carte. Autour de lui peut tourner (deuxième rotation, perpen  diculaire    à la première) l'ensemble des autres piècesdu bloc lorsque l'opérateur déplace celui-ci vers l'avant ou vers l'arrière pour explorer les photos parallèlement au plan yoz.



   Un troisième axe 70 est défini de la façon suivante :
 a)   iI    est invariablement lié au deuxième axe 69 et lui est perpendiculaire,
 b) il est, par construction, perpendiculaire au plan du   triangle de restitution  ,
 c) les trois axes de rotation qui viennent d'être définis, 63,69 et 70, sont concourants par construction ; le point de concours est appelé le   centrer 83 du bloc traceur.



   Le deuxième axe 69 réunit, par   l'intermé-    diaire d'un étrier 84, l'ensemble déjà décrit à une plaque rectangulaire 76 parallèle par construction, au   plan de restitution   et qui porte les manchons articulés inférieurs 72 et 73 qui soutiennent inférieurement les deux tiges   24      (4 "'et 5""'axe    de rotation).



   Le quatrième axe (articulation de la tige de gauche   24,    représentée à droite en fig. 6) est fixe sur la plaque 76 et, par construction, dans le prolongement du troisième axe 70.



   I] est rappelé que dans le mode de réalisation décrit, cette tige 24 matérialise l'un des côtés du triangle de restitution. Ce quatrième axe, prolongeant le troisième axe 70, et   l'axe    de la tige 24, sont par construction perpendi  culaires    et concourants, leur point de reneontre 66 est précisément le   point restitué  .



   Le cinquième axe 74 (articulation de l'autre tige   24)    est parallèle au quatrième axe et il peut recevoir un mouvement de   transla-    tion (deuxième mouvement de translation) parallèle à   l'axe de référencer, étant agencé sur une. pièce 75 coulissant par rapport à la plaque rectangulaire 76 pour le réglage de   l'échelle.    La tige de droite   24,    représentée à gauche en fig. 6, peut tourner autour de ce cinquième axe   74    ; par construction également, l'axe de cette tige 24 et ce cinquième axe 74 sont perpendiculaires et concourants.

   Il est rappelé que dans le mode de réalisation de l'invention actuellement décrit, la tige de droite, montrée à gauche dans la fig. 6, ne matérialise pas un coté du triangle de restitution, mais lui reste constamment parallèle, comme représenté en   S"U'sur    la fig. 4.



   Lorsque l'opérateur déplace le bloe traceur vers la droite ou vers la gauche, pour explorer les photos parallèlement à la direction o x, les deux tiges 24 tournent autour de ces quatrième et cinquième axes ; elles coulissent en même temps dans les manchons 25 (fig. 6) qui tournent dans les paliers supérieurs, en entraînant les miroirs 33 par l'intermédiaire des poulies   28    et 31.



   Mais pour que la deuxième translation (celle de l'axe 74) de l'articulation de la tige de droite 24 puisse être parallèle à   l'axe de référencer, quelle que soit l'inclinaison du plan de la carte, il faut que la plaque rectangulaire 76 puisse tourner autour   d'un    axe per   pendieulaire    au plan de triangle de   restitu-    tion, c'est-à-dire perpendiculaire à son propre plan.



   Le troisième axe 70 a précisément pour but de permettre ce mouvement qui est commandé par un secteur de roue dentée 77 et une vis tangente 78. Un levier de blocage 79 empêche tout mouvement intempestif au cours du tracé, une fois le réglage initial fait.



   Chaque manchon inférieur 72,73 des tiges 24 porte deux niveaux 80,81 disposés à   90O    l'un par rapport à l'autre ; par   construc-    tion, lorsque leurs bulles sont entre leurs repères, l'axe de chaque tige est vertical.



   Un autre niveau 82 est placé sur la plaque rectangulaire 76 ; par construction, lorsque la bulle est entre ses repères, la pièce coulissante 75, et par conséquent la direction de translation de l'axe 74 (deuxième mouvement de translation), est horizontale.



   Par construction, le   centrer 83 du bloc traceur est dans le plan du triangle d'exploration et ses déplacements sont identiques à ceux du   point restitué   66 ; si l'opérateur explore les photos en maintenant constamment le contact stéréoscopique, le centre 83 du bloc décrit donc, comme le point restitué 66, une figure semblable au terrain.



   La pointe du crayon 62, qui est, par construction, la projection du centre 83 du bloc sur le plan de la carte, décrit donc la projection horizontale du terrain, c'est-à-dire la carte elle-même.


Claims (1)

  1. REVENDICATION : Restituteur stéréogrammétrique pour l'éta- blissement de cartes géographiques par examen stéréoseopique de deux photographies aériennes du même terrain prises de deux points de vue distincts, du type comportant aux deux points fixes du triangle d'exploration deux miroirs tournant autour d'axes perpendiculaires au plan dudit triangle et contenus dans les surfaces desdits miroirs, formant un ensemble pouvant tourner autour de l'axe de référence joignant ces deux points fixes , et deux tiges aptes à coulisser dans des manchons supérieurs, articulés sur une poutrelle, sur laquelle est monté l'optique de vision stéréoscopique,
    ces tiges étant assu- jetties à rester dans un plan dont la position relative par rapport à celui du triangle d'ex- : :- ploration est fixe, et étant liées aux deux miroirs rotatifs de façon à avoir dans leur plan des déplacements angulaires doubles de ceux de leurs miroirs respectifs, caractérisé par le fait que lesdites tiges (24) sont soutenues à leur partie inférieure par deux manchons in férieurs (72, 73) articulés sur une plaque (76) faisant partie d'un bloc traceur et dont l'un (72) au moins peut coulisser sur cette plaque pour varier l'échelle de la reproduction.
    SOUS-REVENDICATIONS : 1. Restituteur stéréogrammétrique suivant la revendication, caractérisé par le fait que ladite plaque (76) du bloc traceur est parallèle au triangle de restitution.
    2. Restituteur stéréogrammétrique suivant la revendication, caractérisé par le fait que l'une des tiges (24) matérialise l'un des côtés du triangle de restitution (S TI S') et que l'autre tige reste parallèle à l'autre côté de ce triangle, l'écartement entre les manchons supérieurs (25) des tiges (24) étant fixe.
    3. Restituteur stéréoglrammétrique suivant la sous-revendication 2, caractérisé par le fait que ladite plaque (76) est portée par un étrier (84) dont les deux bras sont tourillonnés sur une potence du bloc traceur qui eomporte une plaque d'appui (60) à billes reposant sur un porte-carte (3), une colonne (61) à crayon (62) perpendiculaire à cette plaque d'appui, un manchon fileté (64) à vis réglable (67) sur cette colonne, et sur ce.
    manchon (64) un chapeau (68) muni de tourillons pour l'étrier, dont l'axe (69) est perpendiculaire et concourant à l'axe de la colonne à crayon et à l'axe d'articulation (70) d'un desdits manchons inférieurs (73), l'autre manehon inférieur (72) étant articulé à une glissière (75) coulissant sur la plaque (76), laquelle peut être réglée dans son propre plan par une rotation autour de l'axe d'articulation (70) d'un desdits manchons inférieurs (73).
    4. Restituteur stéréogrammétrique suivant la sous-revendication 3, caractérisé par le fait que le porte-carte (3) est constitué par un plateau monté sur une colonne (2) réglable en hauteur, au centre d'une table (1) à pieds réglables en hauteur par des vis calantes (1'), ce plateau étant susceptible d'être incliné légèrement autour d'un axe (AB) perpendieulaire au plan vertical passant par l'axe de référence, ladite table portant, de part et d'autre du plateau porte-carte (3), un plateau porte-photo (7) et étant munie de quatre arceaux (8-8, 9-9) ayant à leur sommet des palier.
    s alignés (10-10, 11.-11) dans lesquels est tourillonnée ladite poutrelle (27) portant les miroirs (33), les manchons supérieurs (25) des tiges coulissantes (24) et les viseurs stéréoscopiques.
    5. Restituteur suivant la sous-revendica- tion 4, caractérisé par le fait que chaque plateau porte-photo (7) est porté par une colonne (6) réglable en hauteur dans un manchon eylindrique (5') porté par une ealotte sphérique (5) déplacable sur trois billes (5"), de façon que son centre coïncide avec le point fixe correspondant, la colonne (6) pouvant être dé- placée parallèlement et perpendiculairement à l'axe de référence et le plateau porte-photo (7) étant réglable autour de l'axe de cette colonne (6).
    6. Restituteur suivant la sous-revendica- tion 4, caractérisé par le fait que la poutrelle (27) porte à l'avant les viseurs et les miroirs (33) et à l'arrière les manchons supérieurs (25).
    7. Restituteur stéréogrammétrique suivant la sous-revendication 6, caractérisé par le fait que chaque viseur comprend un objectif (38), un réticule à ballonnet (39), un ensemble de deux lentilles identiques (40) entre lesquelles est intercalé un prisme de Wollaston (41) dont la face réfléchissante est parallèle à l'axe de référence, un prisme pentagonal (42) dont l'angle (a) des faces réfléchissantes est supé rieur a 45"et un oculaire (43), les deux prismes pentagonaux (42) étant orientés de façon que les axes des oculaires convergent de quelques degrés.
    8. Restituteur stéréogrammétrique suivant la sous-revendication 7, caractérisé par le fait que les viseurs comprennent des dispositifs de mise au point automatique des objectifs (38) pour les différentes régions de photographies par une liaison cinématique entre les déplacements des miroirs (33) et ceux des objectifs (38) et par une liaison cinématique avec la poutrelle (27), le déplacement axial desdits objectifs étant commandé, d'une part, par te pivotement des manchons supérieurs (25) des tiges (24), au moyen de pignons (29), d'arbres (51.), de roues dentées (52) et d'un ergot (45) engagé dans une rainure (46) prévue sur un cylindre (48)
    solidaire en rotation de la monture du réticule (39) et, d'autre part, par la rotation de la poutrelle (27), au moyen d'un ergot (44) engagé dans une rainure (47 ! d'un manchon (48) et se déplaçant parallèlement à l'axe de référence en entraînant le manchon (49) de l'objectif.
    9. Restituteur stéréogrammétrique suivant la sous-revendication 7, caractérisé par le fait qu'un des viseurs comporte un dispositif (45) d'égalisation des grossissements par déplacement de l'ensemble des deux lentilles (40) et du prisme de Wollaston (41).
    10. Restituteur stéréogrammétrique suivant la sous-revendication 7, caractérisé par le fait que les viseurs comportent un dispositif de correction des inclinaisons d'images par rotation des prismes de Wollaston (41) autour de l'axe de référence.
    11. Restituteur stéréogrammétrique suivant la sous-revendication 7, caractérisé par le fait que les viseurs comportent un dispositif (57) d'inversion du relief pour l'utilisation des photographies négatives par rotation de 90 des prismes de Wollaston autour de l'axe de référence.
    12. Restituteur stéréogrammétrique suivant la revendication, caractérisé par le fait que les deux manchons inférieurs peuvent coulisser sur ladite plaque du bloc traceur.
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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US3549234A (en) * 1969-08-20 1970-12-22 Harry T Kelsh Kelsh plotter with variable lens system

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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US3549234A (en) * 1969-08-20 1970-12-22 Harry T Kelsh Kelsh plotter with variable lens system

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