CH282146A - Alliage résistant à la corrosion. - Google Patents

Alliage résistant à la corrosion.

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Description


  Alliage résistant à la corrosion.    L'invention a pour objet un alliage résis  tant à la corrosion, qui peut être durci par  traitement thermique.  



  Une des principales raisons pour lesquelles  le fer et ses alliages, y compris l'acier au  carbone et les aciers alliés, ont été si large  ment utilisés en métallurgie, et continuent à  l'être en dépit. des remarquables inventions  qui ont été faites ces dernières années dans  le domaine des alliages non ferreux, est la  grande diversité des emplois que rend possible  la grande variété de leurs propriétés mécani  ques telles que la dureté, la ténacité, l'allonge  ment, etc.  



  Cela est confirmé par l'étude de quelques  alliages non ferreux dont L'usage s'est quel  que peu étendu, comme par exemple le bronze  au glucinium. Cet alliage possède, sur les  aciers ordinaires, l'avantage d'offrir une       ;ronde    résistance à la corrosion; de plus, il  est susceptible de durcir par traitement ther  mique. Cependant, la gamme des duretés pos  sibles avec le bronze au     glucinium    et la gamme  des autres propriétés associées, telles que la  ténacité, ne sont pas suffisamment étendues  pour en permettre l'emploi dans tous les cas  où l'on utilise l'acier.

   Il tend à être extrême  ment fragile quand la proportion de     gluci-          nium    atteint 2,5      /0    et plus et, pour l'alliage  commercial comportant la quantité maximum  de glucinium utilisable, 2 à 2,250/0, la dureté       maximum    avoisine 36 dans l'échelle C de       Roekwell.    Un autre inconvénient du bronze au    glucinium est son prix, le glucinium étant un  élément extrêmement coûteux.  



  Un autre alliage que l'on peut, prendre en  considération est l'alliage     cuivre-nickel-sili-          cium.    Cet alliage n'offre pas d'inconvénient  du point de vue du prix, parce que la propor  tion moyenne de nickel n'y est seulement que       d'environ        2%        et        celle        de        silicium        légèrement     supérieure à l0/0. Mais, bien que cet alliage  puisse être durci, on ne peut le rendre assez  tenace ou assez résistant pour beaucoup d'em  plois, sa ténacité maximum étant     voisine    de  85 kg par     mmz.     



  Les alliages d'argent et de nickel sont très  largement utilisés dans certains emplois où  l'on désire une certaine résistance à, la corro  sion, mais leur utilisation est limitée du fait  qu'on ne connaît aucune méthode pour les  durcir.  



  On a également utilisé quelque peu les  alliages de cuivre et de nickel obtenus directe  ment à partir du minerai canadien de nickel,  mais ils sont coûteux à cause de leur forte  proportion de nickel, et l'alliage ordinaire à       70        %        de        nickel        et        30        %        de        cuivre        ne        peut        pas     être durci.

   Récemment, on a. trouvé que l'addi  tion d'une quantité relativement petite de cer  tains éléments à de tels alliages permettait  l'obtention d'alliages susceptibles d'être durcis  par traitement. thermique.  



  Ces alliages cependant ne présentent pas  une gamme de propriétés adéquate permettant      leur utilisation, d'une manière générale, pour  les objets manufacturés.  



  L'alliage résistant à la corrosion qui fait  l'objet de l'invention est caractérisé en ce  qu'il est formé essentiellement de cuivre, de  nickel et de manganèse, les proportions rela  tives de cuivre, de nickel et de manganèse,  exprimées en pour-cent par rapport à l'en  semble de ces trois constituants, étant telles       qu'elles    déterminent un point tombant à l'in  térieur de l'ensemble des aires ombrée et     poile-          tuée    de la     fig.    1 du dessin. De préférence, cet  alliage contient presque exclusivement du  cuivre, du nickel et du manganèse; en d'au  tres termes, il est obtenu à partir de consti  tuants qui présentent un haut degré de pureté.  



  Cependant, pour certains usages, il peut  être avantageux d'y introduire d'autres élé  ments, tels que de l'étain, de l'argent, du  bore, du silicium ou du     glucinium    en petites  quantités, du chrome ou du zinc en plus  grandes proportions, du cobalt, et même du  fer, mais en très faibles proportions.  



  Les alliages     conformes    à. l'invention sont  très faciles à usiner et peuvent être durcis  par traitement thermique. Leur ténacité peut  ainsi varier de 28 kg (environ) par     mm2,    à  175 kg ou plus par     mm2.    Leur dureté dans  l'échelle C de     Rockwell    varie de -45 à. + 50.  D'autres propriétés telles que l'allongement,  la. ductilité, la facilité d'usinage,     été.    peuvent  varier d'une façon correspondante.

   Ces alliages  permettent donc la fabrication, à l'état doux,  d'articles métalliques qui, après durcissement,  présentent des propriétés mécaniques qui ne  se rencontrent habituellement que dans les  aciers, tout en possédant l'avantage d'une  haute résistance à la corrosion dans les condi  tions ordinaires d'utilisation.  



  Dans le but de rendre clair à l'homme de  l'art le caractère inhabituel de ces alliages, le  titulaire a montré, au dessin annexé,     quelques-          unes    des propriétés les plus intéressantes de  ces alliages, et les zones dans     lesquelle    ces pro  priétés se situent. .  



  La     fig.    1 est un diagramme ternaire mon  trant la zone des alliages     cuivre-nickel-manga-          nèse    conformes à l'invention et montrant la    dureté croissante obtenue par traitement ther  mique d'échantillons écrouis.  



  La     fig.    2 est un diagramme semblable à  celui de la     fig.    1 indiquant la résistance élec  trique d'alliages travaillés à. froid, à l'inté  rieur de la zone de composition indiquée.  



  La     fig.    3 est. semblable à la     fig.    2, qui in  dique la résistance électrique des alliages une  fois durcis par traitement thermique.  



  La     fig.    4 est un diagramme semblable mon  trant la. relation entre la     icomposition    et le  coefficient de variation de la résistivité en  fonction de la température.  



  La     fig.    5 est un diagramme     semblable    in  diquant le coefficient de dilatation de quel  ques-uns des alliages, à l'intérieur de la zone  indiquée.  



  On notera que la. ligne marquée     llya-Yi          (fig.    1)     bissecte    sensiblement l'aire ombrée.  bien qu'elle se dirige légèrement du côté d'une  proportion croissante de nickel. Cette ligne  correspond presque exactement au composé       hypothétique        Mn-Ni.    Il apparaît donc que  les alliages conformes à. l'invention peuvent  être caractérisés comme des alliages     pseudo-          binaires    dont le cuivre est durci par le com  posé     Mn-Ni.     



  L'aire     ponctuée    voisine de la ligne     Nickel-          Manganèse    représente des alliages dont l'usi  nage a été trouvé difficile. Les alliages corres  pondant à cette zone sont durs une fois fon  dus et ne sont pas facilement usinés. Ils ne  possèdent pas la. gamme de propriétés des  alliages de l'aire ombrée, mais ils peuvent être  employés avantageusement dans les cas où ils  peuvent être convenablement usinés.  



  Les alliages définis par l'ensemble des  aires ombrée et ponctuée de la     fig.    1 sont de  préférence durcis par trempe et vieillissement.  



  Le titulaire a observé que la. variation  maximum des propriétés peut être obtenue  par trempe à partir d'une température de       900     C, ou à. partir d'une température com  prise entre 900  C et le point de fusion.  



  Un travail mécanique intermédiaire, de  même que la température de revenu ou clé  vieillissement, paraît affecter les propriétés de  ces alliages et leur donner de la dureté. La      dureté finale n'est. cependant pas sensiblement  affectée par la valeur du travail à froid et  elle ne varie sensiblement pas, au moins dans  la partie centrale de l'aire ombrée, si les pro  portions des différents constituants sont modi  fiées. Par contre, il a été observé que la du  reté finale est affectée par la     température    de  trempe: si la température de trempe est égale  ou supérieure à 900  C, la dureté finale est  en général constante, mais si la température  de trempe est plus     basse,    le traitement de dur  cissement ou de vieillissement sera moins effi  cace.  



  En certains points de l'aire ombrée de la       fig.    1, on a indiqué par un chiffre l'accroisse  ment de dureté que l'on peut obtenir, dans  l'alliage correspondant au point où le chiffre  apparaît, par le traitement thermique d'un  échantillon travaillé à froid     ayant    été trempé  avant ledit travail. Ces chiffres n'indiquent    pas la dureté, mais expriment l'accroissement  de celle-ci dans l'échelle C de     Rockwell.    Dans  chaque cas, l'accroissement de dureté est  obtenu par chauffage à 450  C pendant  10 heures.  



  Dans le tableau I ci-dessous, on a indiqué  l'accroissement de dureté par traitement ther  mique à diverses températures, conjointement  avec l'accroissement de dureté des alliages fon  dus, trempés et travaillés à froid. Les trois  premières colonnes indiquent la composition  des alliages, la colonne suivante la dureté dans  l'échelle C de     Rockwell    après fusion, les deux  colonnes suivantes la dureté de ces alliages,  respectivement après trempe et travail à froid,  et les cinq dernières colonnes la dureté obte  nue (voisine de la plus grande dureté possi  ble) après chauffage aux différentes tempéra  tures indiquées en haut des colonnes corres  pondantes.

    
EMI0003.0007     
  
    <I>Tableau <SEP> I:</I>
<tb>  Mn <SEP> Ni <SEP> Cu <SEP> fondu <SEP> Trempé <SEP> travaillé <SEP> à <SEP> froid <SEP> 350  <SEP> 400  <SEP> 450  <SEP> 500  <SEP> 550 
<tb>  20 <SEP> 20 <SEP> 60 <SEP> -33 <SEP> -40 <SEP> 11 <SEP> 23 <SEP> 34 <SEP> 46 <SEP> 33 <SEP> -20
<tb>  15 <SEP> 15 <SEP> 70 <SEP> -42 <SEP> -44 <SEP> 6 <SEP> 10 <SEP> 12 <SEP> 19 <SEP> -8 <SEP> -39
<tb>  35 <SEP> 35 <SEP> 30 <SEP> -13 <SEP> - <SEP> 8 <SEP> 25 <SEP> 29 <SEP> 42 <SEP> 53 <SEP> 41 <SEP> 18
<tb>  35 <SEP> 45 <SEP> 20 <SEP> - <SEP> 7 <SEP> - <SEP> 9 <SEP> 26 <SEP> 28 <SEP> 41 <SEP> 50 <SEP> 38 <SEP> 14
<tb>  35 <SEP> 55 <SEP> 10 <SEP> - <SEP> 4 <SEP> - <SEP> 8 <SEP> 27 <SEP> 28 <SEP> 31 <SEP> 37 <SEP> 28 <SEP> 8
<tb>  70 <SEP> 30 <SEP> 0 <SEP> -15 <SEP> -13 <SEP> 15 <SEP> 20 <SEP> 20 <SEP> 21 <SEP> 18 <SEP> 8       Dans le tableau II ci-dessous est indiqué alliages 

  trempés n'avant pas été travaillés à  l'effet du traitement thermique sur des froid.  
EMI0003.0008     
  
    <I>Tableau <SEP> II:</I>
<tb>  Mn <SEP> Ni <SEP> ou <SEP> Trempé <SEP> 350  <SEP> 400  <SEP> 450  <SEP> 500  <SEP> 550 
<tb>  20 <SEP> 20 <SEP> 60 <SEP> -40 <SEP> -10 <SEP> 20 <SEP> 45 <SEP> 32 <SEP> -19
<tb>  15 <SEP> 15 <SEP> 70 <SEP> -44 <SEP> -12 <SEP> 10 <SEP> 20 <SEP> -9 <SEP> -35
<tb>  35 <SEP> 35 <SEP> 30 <SEP> - <SEP> 8 <SEP> 6 <SEP> 38 <SEP> 52 <SEP> 40 <SEP> 16
<tb>  35 <SEP> 45 <SEP> 20 <SEP> - <SEP> 9 <SEP> 8 <SEP> 39 <SEP> 51 <SEP> 36 <SEP> 10
<tb>  3r 5 <SEP> 10 <SEP> - <SEP> 8 <SEP> 6 <SEP> 27 <SEP> 38 <SEP> 25 <SEP> 7
<tb>  70 <SEP> 30 <SEP> 0 <SEP> -13 <SEP> 9 <SEP> -7 <SEP> 0 <SEP> -5 <SEP> -8       On notera, en     comparant    les deux tableaux,

    qu'à partir de 450  il y a très peu de diffé  rence dans la dureté finale entre les alliages    travaillés à, froid ou     simplement    trempés,  exception faite pour l'alliage à.     701/o    de man  ganèse et 30 % de nickel, non conforme à l'in-           vention    et donné à titre comparatif seulement,  la dureté acquise par lui étant en principe  due au travail à froid.  



  Dans les     tableaiLx    ci-dessus, on a porté  des valeurs négatives de la dureté     Rockwell.     On sait que cette dureté est mesurée par la  profondeur de l'empreinte produite sous une  charge déterminée par une pointe en diamant  dans le métal essayé, la dureté étant d'autant  plus faible que la profondeur de l'empreinte  est plus profonde.

   Habituellement,     ].'"échelle    C  de     Rockwell    n'est pas utilisée lorsque la pro  fondeur de l'empreinte correspond à une lec  ture inférieure au 0 de la dureté     Rockwell.     Cependant, l'appareil     Rockwell    peut être       -utilisé    dans le cas de profondeurs d'empreintes  supérieures à celle correspondant au 0 de  l'échelle, et ces valeurs négatives de la dureté  ont été     -utilisées    dans un certain nombre de  publications relatives à des alliages du genre  de l'alliage selon l'invention,

   notamment dans  une étude sur les alliages de magnésium et  de cuivre publiée dans les  Transactions of       American    Society for     Metals ,    1941, p. 802.  Dans le cas présent, l'utilisation des valeurs  négatives de la dureté permet de mieux mon  trer l'accroissement de la dureté des alliages  conformes à l'invention.  



  Le titulaire a indiqué ci-dessus que les  alliages conformes à l'invention pouvaient  être considérés comme constituant un système       pseudo-binaire,    soit du cuivre durci par le  composé     Mn-Ni;    il en     résillte    que la zone  la plus intéressante, où l'on peut obtenir la  plus grande variation des propriétés, est. la.

    partie de l'aire ombrée où les quantités de  nickel et de manganèse sont sensiblement  égales, c'est-à-dire le long de la ligne     pseudo-          binaire,        Cu-Dln-Ni.    Par conséquent, le rap  port du manganèse au nickel sera de préfé  rence choisi égal à l'unité, bien que, en fai  sant varier de 0,8:1,2 à 1,2:0,8 le rapport  manganèse-nickel, on puisse obtenir sensible  ment les mêmes effets.  



  Du point de vue de la proportion du  cuivre, la gamme     501/o    à.     801/o    de cuivre (ou  mieux 55 à<B>7004)</B> offre les plus grandes pos  sibilités de s'assurer des résultats avantageux,    et pour la fabrication d'articles tels qu'écrous,  petites pièces d'outillage, etc., cette gamme est.  à préférer. La. résistance à. la corrosion est  alors quelque peu diminuée, mais est encore  satisfaisante pour la. plupart des usages.

    Quand la proportion de cuivre est inférieure  à     50        %,        la        résistance        à.        la        corrosion        est        accrue,     mais, à d'autres points de vue, les propriétés  de l'alliage ne sont pas aussi satisfaisantes.  



  Une des propriétés des alliages conforme  à l'invention, comme cela. ressort avec évi  dence des tableaux, est que, si le pourcentage  de cuivre décroît, particulièrement s'il des  cend au-dessous de 50 0/0, ils s'écrouissent  plus rapidement. C'est     Lin    désavantage pour  de nombreux usages. Cependant, pour cer  tains travaux, tels que les opérations d'em  boutissage,     l'écrouissage    est désirable.  



  En ce qui concerne les meilleures propor  tions des constituants de l'alliage selon l'in  vention, le titulaire désire particulièrement  attirer l'attention     sur    les alliages comportant.       60        %        de        cuivre,        20        %        de        nickel        et        20        %        de     manganèse.

   Comme indiqué sur le tableau I,  cet alliage présente, après trempe, une dureté  de -40 dans l'échelle C de     Rockwell,    et une  dureté de     -f-    46 dans la même échelle après  vieillissement à 450  C.  



  Dans les alliages de ce type (comme dans  le cas de l'acier), il existe une relation sensi  blement directe entre la. ténacité et la dureté.       Ainsi,        un        alliage        comportant        60        %        de        cuivre,

            20        %        de        nickel        et        20        %        de        manganèse        pos-          sède,    après trempe, une ténacité d'environ  33     hg/mm2.    Le même alliage complètement  durci présente une ténacité voisine de  150     kg/mm2.     



  Ces propriétés sont accompagnées par des  modifications dans les propriétés corrélatives  telles que l'allongement, la ductilité, la faci  lité d'usinage, etc., de sorte que cet alliage  particulier présente des possibilités peu ordi  naires pour la. fabrication de nombreux types  différents d'objets où des propriétés variées  sont désirables soit dans le but de faciliter la  fabrication, soit dans le but de communiquer  des propriétés particulières au produit fini.  



  Dans le but d'illustrer les caractéristiques      des alliages dont le point représentatif se  situe au voisinage de la ligne     pseudo-binaire,     ou le long de celle-ci, le tableau III suivant  indique les compositions des alliages, leur  dureté une fois fondus, après trempe, après  écrouissage et après durcissement à 450  C  après trempe et écrouissage.  



  On notera qu'avec une teneur de cuivre  s'élevant jusqu'à 80 0/0, l'on obtient un accrois  sement de dureté appréciable et que les meil  leurs résultats sont obtenus avec l'alliage    comportant environ 60     o/a    de cuivre, 20 % de       nickel        et        20        %        de        manganèse.     



  Lorsque la quantité de cuivre est infé  rieure à 50     o/a    environ, l'accroissement de du  reté due à     l'écrouissage    augmente graduelle  ment, bien que la dureté finale puisse être  sensiblement la même; en outre, le tableau  montre que quand le rapport entre nickel et  manganèse diffère sensiblement de la valeur  1:1, l'effet de durcissement diminue de façon  appréciable.

    
EMI0005.0011     
  
    <I>Tableau <SEP> III:</I>
<tb>  Mn <SEP> Ni <SEP> Gu <SEP> Fondu <SEP> Trempé <SEP> Ecroui <SEP> après <SEP> durcissement
<tb>  <U>à <SEP> 450 </U>
<tb>  10 <SEP> 10 <SEP> 80 <SEP> -45 <SEP> -48 <SEP> -1 <SEP> --17
<tb>  12,5 <SEP> 12,5 <SEP> 75 <SEP> -42 <SEP> --45 <SEP> 0 <SEP> 6
<tb>  15 <SEP> 15 <SEP> 70 <SEP> -41 <SEP> -45 <SEP> 2,5 <SEP> 25
<tb>  17 <SEP> 17 <SEP> 66 <SEP> -43 <SEP> -42 <SEP> 6 <SEP> 37
<tb>  20 <SEP> 20 <SEP> 60 <SEP> -32 <SEP> -40 <SEP> 10 <SEP> 46
<tb>  25 <SEP> 25 <SEP> 50 <SEP> -24 <SEP> -28 <SEP> 18 <SEP> 46
<tb>  22 <SEP> 22 <SEP> 56 <SEP> -28 <SEP> -36 <SEP> 13 <SEP> 46
<tb>  30 <SEP> 30 <SEP> 40 <SEP> -18 <SEP> -17 <SEP> 21 <SEP> 50
<tb>  35 <SEP> 3 <SEP> 5 <SEP> 30 <SEP> -13 <SEP> - <SEP> 8 <SEP> 25 <SEP> 53
<tb>  15 <SEP> 1.7,5 <SEP> 67,5 <SEP> -45 <SEP> .-43 <SEP> 5 <SEP> 21
<tb>  20 <SEP> 12,5 <SEP> 67,

  5 <SEP> -41 <SEP> -42 <SEP> 6 <SEP> 24       Comme on l'a noté précédemment, la téna  cité des alliages conformes à l'invention varie  de façon sensiblement directe en fonction de  la dureté     Rockwell;    le tableau IV montre la  relation existant entre la dureté et la téna  cité dans lesdits alliages.

    
EMI0005.0013     
  
    <I>Tableau <SEP> IV:</I>
<tb>  Dureté <SEP> Rockwell <SEP> Tenacité <SEP> en <SEP> kg/mmz
<tb>  <U>échelle <SEP> G <SEP> (e</U>nvir<U>o</U>n)
<tb>  -40 <SEP> 32
<tb>  <B>-30</B> <SEP> 33
<tb>  -20 <SEP> 36
<tb>  -1.0 <SEP> 43
<tb>  - <SEP> 0 <SEP> 53
<tb>  <B>+10</B> <SEP> 65
<tb>  20 <SEP> 77
<tb>  30 <SEP> 98
<tb>  40 <SEP> l27
<tb>  50 <SEP> 174       Après la trempe, l'allongement de l'alliage  dont le point figuratif tombe sur la ligne       pseudo-binaire    varie entre 25 et 40 0/0.  



  Après le travail à froid, l'allongement se  situe entre 2 et 5 0/0, tandis que l'allongement  des alliages durcis se situe entre environ 2 à  20 %, en fonction de la valeur du durcisse  ment, de la composition des alliages et du  traitement complet subi par eux.  



  Les alliages conformes à l'invention mon  trent très peu de tendance à un vieillissement  exagéré aux températures inférieures à 450  C.  Certains d'entre eux peuvent être chauffés  quelque peu au-dessus de cette température  sans vieillissement, exagéré, mais, en général,  il faut utiliser une température inférieure ou  égale à 450  C pour leur communiquer la  dureté finale, la température exacte à utiliser  dépendant du résultat désiré.  



  Le degré de dureté communiqué aux  alliages par le traitement thermique peut      aussi être déterminé; en fixant la durée dudit  traitement à 450  C entre 1 et 25 heures, en  fonction des dimensions de la pièce à traiter,  on obtiendra de bons résultats. Il faut nor  malement une durée de 6 à 18 heures pour  obtenir le maximum de dureté. Lorsque l'on  utilise une température supérieure à 450  C,  il faut conduire l'opération avec soin, de façon  à obtenir les propriétés spécifiques désirées.  



  On peut prendre avantage de la réaction  inhabituelle de ces alliages au traitement  thermique pour obtenir divers degrés de du  reté dans un même objet manufacturé. Il y a  en effet de nombreux cas où il est souhai  table que les diverses parties d'un même objet  présentent des degrés de dureté différents.  Un durcissement non uniforme peut être ob  tenu par vieillissement local d'un alliage  trempé, les zones non chauffées de l'alliage  devant être maintenues à une température in  férieure à celle du durcissement.  



  Une autre façon d'obtenir le même résul  tat consiste à durcir tout l'objet manufacturé  et à chauffer alors localement le ou les por  tions de celui-ci que l'on désire avoir dans  un état plus doux à une température dépas  sant suffisamment la température de durcis  sement, de façon à produire un recuit. Une  température de 600  C sera généralement sa  tisfaisante; la chaleur peut être appliquée     ;z.     l'aide d'un chalumeau ou par tout autre pro  cédé convenable. Le résultat en sera un objet  de dureté graduée, la portion plus douce étant  généralement plus résistante que la portion  durcie. La conductibilité calorifique relative  ment faible de ces alliages, jointe à leurs tem  pératures critiques de durcissement et de re  cuit rend la technique de leur emploi très  simple dans une installation ordinaire.  



  Comme exemple de ce traitement appliqué  aux alliages conformes à l'invention, le titu  laire peut citer le cas de l'alliage contenant       30        %        de        cuivre,        35        %        de        manganèse        et        35        oio     de nickel.

   Cet alliage a été choisi à dessein  parce qu'il contient moins de cuivre que les  alliages précédemment signalés qui présentent  normalement la variation maximum de pro  priétés, de sorte que les résultats que l'on    peut obtenir sur un alliage de cette composi  tion particulière peuvent être obtenus sur  une échelle identique ou plus grande avec les  alliages contenant plus de cuivre.  



  Cet alliage trempé à partir d'une tempé  rature de 900  C, et écroui sous la forme d'un  barreau cylindrique circulaire, de 1 cm envi  ron de diamètre, présentait une dureté de  25 dans l'échelle C de     Rockwell.    Une éprou  vette d'essai, longue d'environ 27 cm, fut uti  lisée et, après écrouissage, cette éprouvette  fut chauffée à 450  C pendant 10 heures. La  dureté du barreau atteignit uniformément 51  dans l'échelle C de     Rockwell.    Puis, 10 cm en  viron de ce barreau furent chauffés au rouge  avec un chalumeau, et laissés refroidir à l'air;  aucune précaution spéciale ne fut prise pour  refroidir la partie non chauffée.  



  Après ce traitement, des mesures de du  reté furent faites le long du barreau, à des  distances variables de la partie chauffée, et  le tableau V ci-dessous indique la. dureté à  diverses distances de l'extrémité recuite.  Comme le tableau l'indique clairement, la  dureté     Rockwell    dans l'échelle C varie, d'une  extrémité à. l'autre du barreau, de 68 points,  montrant ainsi la variation de propriétés qu'il  est possible d'obtenir dans le même objet, ma  nufacturé.

    
EMI0006.0016     
  
    <I>Tableau</I>
<tb>  Distance <SEP> de <SEP> Dureté
<tb>  <U>l'extrémité <SEP> recuite <SEP> C <SEP> Rockwell</U>
<tb>  2,5 <SEP> cm <SEP> -18
<tb>  5,1 <SEP> cm <SEP> -17,5
<tb>  7,6 <SEP> cm <SEP> -22
<tb>  8,9 <SEP> cm <SEP> -21
<tb>  <B>9,5</B> <SEP> cm <SEP> -21
<tb>  10,2 <SEP> cm <SEP> - <SEP> 1
<tb>  10,5 <SEP> cm <SEP> <B>+31-</B>
<tb>  <B>10,8</B> <SEP> cm <SEP> +46
<tb>  11,5 <SEP> cm <SEP> 47,5
<tb>  12,7 <SEP> cm <SEP> .19,5
<tb>  15,2 <SEP> cm <SEP> -19,75
<tb>  17,8 <SEP> cm <SEP> 50       Tous les alliages conformes à l'invention  résistent à la corrosion,

   ceux comportant au           moins        35        %        de        nickel        résistant    à     la        corrosion     par l'eau salée.  



  La plupart de ces alliages sont non ma  gnétiques après trempe ou vieillissement. Ce  pendant, les alliages     comportant    de 20 à       25        0/a        de        manganèse        et        jusqu'à        10        %        de        cuivre     sont magnétiques après vieillissement.

   Le ma  gnétisme s'accroît lorsque ces alliages appro  chent de la composition correspondant à       75        %        de        nickel        et        25        %        de        manganèse.        Les     températures de pertes du magnétisme sont  abaissées comme le magnétisme est diminué  lorsque l'on s'éloigne de cette composition.  



       Un        alliage        composé        de        25        %        de        manga-          nèse,        70        %        de        nickel        et    5     %        de        cuivre        est        par-          ticulièrement    intéressant au point de vue des  propriétés magnétiques.

   Un exemple de ses  propriétés magnétiques peu ordinaires est  donné par le fait qu'il a une perméabilité  magnétique d'environ 7 restant sensiblement  constante jusqu'à une valeur du champ     ma-          gtlétisant    égale à 125     #rsteds.     



  Les alliages conformes à l'invention pré  sentent aussi quelques propriétés électriques  inhabituelles qui s'ajoutent à leurs proprié  tés mécaniques. La résistivité de ces métaux,  lorsqu'ils ont été écrouis après trempe, est  extraordinairement élevée. Cependant, lors  que ces     alliages    ont subi un traitement ther  mique amenant un durcissement, leur résis  tivité diminue, particulièrement lorsque leur  point figuratif est sur la ligne     pseudo-binaire     ou au voisinage de celle-ci. La résistivité de  ces alliages a été indiquée sur la     fig.    2, lors  qu'ils ont été trempés et travaillés à froid,  par des lignes d'égale résistivité, ladite résis  tivité étant exprimée en     microhms.    cm.

   Sur  la     fig.    3, la résistivité des alliages, après dur  cissement, est indiquée de la même façon.  



  On voit, en examinant la     fig.    2, que, le  long de la piste     pseudo-binaire,    les alliages,  après trempe et travail à froid, présentent  une résistivité qui monte jusqu'à 150, et que,  sur presque toute la surface correspondant  aux alliages conformes à l'invention à l'excep  tion clé la pointe correspondant à la propor  tion maximum de cuivre, la résistivité est au  moins de 75.

   Par contre, sur la     fig.    3, on cons-         tate    que, dans la même région particulière  que celle évoquée à propos de la     fig.    2, la ré  sistivité a décru et ne dépasse nulle part la  valeur 70     microhms.cm.    Cette région est limi  tée, cependant, par une zone dans laquelle la  résistivité est de 100, et au-delà de cette zone,  spécialement dans la. direction correspondant  à des teneurs accrues en manganèse, ladite  résistivité s'élève considérablement au-dessus  de 100.  



  On peut considérer cette différence comme  indiquant des différences prononcées dans les  caractères des alliages conformes à l'inven  tion par rapport aux alliages quelque peu  apparentés contenant du cuivre, du manga  nèse et du nickel, et dont la résistivité éle  vée n'est pas affectée par un traitement ther  mique. En d'autres termes, les profondes mo  difications durant le durcissement dans les  caractéristiques mécaniques, relevées dans la  gamme optimum des alliages conformes à  l'invention, déterminent une modification cor  respondante nette des propriétés électriques,  et la zone particulièrement choisie, à laquelle  correspondent lesdits alliages, peut être carac  térisée en se référant aux propriétés électri  ques de ces derniers après durcissement.  



  La résistivité de ces alliages ne varie pas       sensiblement    en fonction de la température,  autrement dit le coefficient de variation de la  résistivité en fonction de la température est  très faible, et sensiblement nul dans certaines  régions; ledit coefficient ne varie pas sensi  blement après durcissement de l'alliage, ce qui  ne veut pas dire que la résistivité ne varie pas  à la suite du durcissement.

   La     fig.    q indique  la relation entre la composition et le coeffi  cient de variation de la résistivité     en.    fonc  tion de la température, les lignes tracées sur  cette figure correspondant à une valeur déter  minée et constante de ce coefficient qui est  exprimé en     10-4        ohms/ohm/degré    centigrade.  



  Le titulaire désire signaler qu'en général,  lorsque le coefficient de variation de la résis  tivité en fonction de la température subit une  très légère variation après le durcissement,  celle-ci s'effectue dans le sens positif. Un       alliage        comportant        15        %        de        manganèse,        17,5        0/0,         de nickel et du cuivre pour compléter, pré  sente cependant une diminution dudit coeffi  cient après durcissement, le coefficient de cet  alliage particulier étant, après durcissement,  de l'ordre clé -1,4 X<B>I"</B>     ohms/ohm/degré     centigrade.

   Quelques alliages situés dans le  voisinage immédiat. de celui-ci présentent une  variation de ce coefficient dans le même sens,  après durcissement.  



  La     fig.    5 indique la relation entre le coeffi  cient de dilatation linéaire et la composition  des alliages conformes à l'invention,     ait    moyen  de lignes correspondant à une valeur déter  minée et constante dudit coefficient pour les  alliages dont les points figuratifs sont situés  sur cette ligne; ce coefficient de dilatation  est. exprimé en 10-6     cm/cm/degré    centigrade,  pour l'intervalle compris entre     ?5    et 100  C.  On notera que les alliages situés à. l'intérieur  de l'aire ombrée (voir     fig.    1) ont des coeffi  cients de dilatation variant dans de larges  limites.  



  Les éléments ajoutés, en sus du cuivre, du  nickel et du manganèse, ne doivent pas affec  ter sensiblement les caractéristiques du sys  tème     pseudo-binaire    décrit ci-dessus. Le titu  laire a constaté, par exemple, qu'on peut     ajou-          ter        jusqu'à.        1%        d'étain    à     de        nombreux        alliages     conformes à l'invention sans qu'il se produise  un effet. fâcheux sur leurs propriétés déjà  indiquées, tout en améliorant quelque peu la  résistance à la, corrosion tant par l'atmosphère  que par Peau salée.

   En ajoutant environ       1,5        %        d'argent    à     certains        desdits        alliages,        on     obtient quelques avantages en ce qui concerne  la résistance à, la corrosion sans sacrifier au  cune des propriétés mécaniques. De petites  quantités de bore et de silicium introduites  telles quelles ou de façon à éviter la possi  bilité de la présence d'oxydes peuvent égale  ment être utilisées. Tandis que le bore et le  silicium, aux essais, ont paru avoir un effet  légèrement défavorable en ce qui concerne la.  résistance à la corrosion, il semble qu'ils aug  mentent la facilité d'usinage de quelques-uns  des alliages.  



  Les alliages conformes à l'invention sont.  d'ordinaire très faciles à usiner, mais il peut    se présenter des occasions où, dans des buts  particuliers, on peut désirer     quelque    amélio  ration à cette facilité d'usinage.  



  La proportion maximum de bore ou de sili  cium qui peut, être ajoutée sans modifier sen  siblement l'effet de traitement thermique n'a  pas été déterminée, mais le titulaire a cons  taté que des quantités de bore atteignant jus  qu'à 1 pour mille, et des quantités de     sili-          cium        atteignant        jusqu'à        1%        peuvent        être     ajoutées à beaucoup d'alliages conformes à  l'invention sans affecter défavorablement  ledit effet.  



       Lorsque        l'on        ajoute        jusqu'à        1%        de        gluci-          nium,    particulièrement pour les     proportions     de cuivre élevées, le durcissement se produit  à, une température un peu plus basse qu'en  son absence, ce qui peut, être avantageux pour  certains usages. Les alliages contenant de  faibles proportions de glucinium réagissent.  toujours au traitement thermique de la façon  décrite.  



  On peut ajouter du chrome et du zinc  dans les proportions plus grandes que pour les  autres éléments examinés. L'addition de     10(1/o     de chrome produit une amélioration considé  rable de la résistance à la corrosion, princi  palement de la résistance à la corrosion par  les acides, et la plupart des alliages dans la  gamme indiquée réagissent également au  traitement thermique, lorsqu'ils comprennent  le chrome comme constituant.  



  On peut même utiliser, pour certains  usages, de très faibles proportions d'éléments  tels que le fer et. le cobalt, mais, en général,  l'utilisation de ces éléments, particulièrement.  du fer, n'est pas recommandée.

Claims (1)

  1. REVENDICATION: Alliage résistant à la corrosion, caractérisé en ce qu'il est formé essentiellement de cuivre, de nickel et de manganèse, les proportions relatives de cuivre, de nickel et de manga nèse, exprimées en pour-cent par rapport à l'ensemble de ces trois constituants, étant. telles qu'elles déterminent un point tombant à l'intérieur de l'ensemble des aires ombrée et ponctuée de la fig. 1 du dessin. SOUS-REVENDICATIONS 1. Alliage suivant la revendication, carac térisé en ce que le point, déterminé par les proportions relatives des trois constituants, tombe à l'intérieur de l'aire ombrée. 2. Alliage suivant la revendication, carac térisé en ce qu'il contient presque exclusive ment du cuivre, du nickel et du manganèse. 3.
    Alliage suivant la revendication, carac térisé en ce que la proportion du maganèse au nickel est comprise entre 1,2:0,8 et 0,8:1,2. -l. Alliage suivant la revendication, carac térisé en ce que la proportion de cuivre est comprise entre 50 et 801/o. 5. Alliage suivant la revendication, carac térisé en ce que la proportion de cuivre est comprise entre 55 et 70 0/0. 6. Alliage suivant la revendication et la sous-revendication 4, caractérisé en ce qu'il contient des quantités égales de manganèse et de nickel. 7.
    Alliage suivant la revendication, carac- térisé en ce qu'il contient, au moins 10 % de manganèse et 101/o de nickel. 8.
    Alliage suivant la revendication, carac- térisé en ce qu'il contient 60 % de cuivre, 20 0/0 de manganèse et 20 % de nickel.
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