CH266687A - Procédé pour la coulée continue de barres, verges et fils. - Google Patents

Procédé pour la coulée continue de barres, verges et fils.

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CH266687A
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La Soudure Electrique Anonyme
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Soudure Electr Autogene Societ
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B22CASTING; POWDER METALLURGY
    • B22DCASTING OF METALS; CASTING OF OTHER SUBSTANCES BY THE SAME PROCESSES OR DEVICES
    • B22D11/00Continuous casting of metals, i.e. casting in indefinite lengths
    • B22D11/06Continuous casting of metals, i.e. casting in indefinite lengths into moulds with travelling walls, e.g. with rolls, plates, belts, caterpillars
    • B22D11/0628Continuous casting of metals, i.e. casting in indefinite lengths into moulds with travelling walls, e.g. with rolls, plates, belts, caterpillars formed by more than two casting wheels

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Continuous Casting (AREA)

Description


  Procédé pour la coulée continue de barres, verges et fils.    Les méthodes de coulée continue des mé  taux se divisent en deux classes principales  les procédés     dans    lesquels les surfaces mou  lantes accompagnent le métal dans son trajet  durant. la solidification et les procédés où le  métal en cours de solidification glisse dans un  moule stationnaire.

   Les tôles ou les bandes  qui sont relativement minces par rapport à  leur largeur se coulent mieux dans des rou  leaux cylindriques en rotation appartenant au  premier groupe, tandis que les     billettes,    les  barres ou les verges de section approximati  vement carrée ou ronde sont plus faciles à  produire dans des moules tubulaires du se  cond groupe desquels le produit solidifié est  extrait graduellement par la pesanteur ou par  toute autre force extérieure.  



  Un caractère commun des deux groupes       ci-dessus    mentionnés, et qui se retrouve dans  toutes les méthodes connues de coulée conti  nue, consiste dans la solidification progressive  de l'extérieur vers le centre du produit: Une  pellicule solide est d'abord formée au contact  des parois froides des rouleaux ou des moules,  et l'on doit alors prendre     grand    soin d'éviter  sa rupture jusqu'à ce qu'elle ait acquis une       épaisseur    suffisante pour résister à la pres  sion hydrostatique du métal intérieur encore  liquide. A ce moment, le produit peut. émer  ger sans danger de la machine à. couler et  être refroidi par des jets d'eau ou autrement.  



  La fragilité de la pellicule de métal soli  difiée dès sa formation est une des principales    difficultés de la coulée continue. En  fait, la plupart des perfectionnements appor  tés aux divers procédés ont cherché à renfor  cer rapidement cette pellicule. Un refroidisse  ment accéléré n'est pas très utile, parce qu'il  favorise la contraction du produit et sa sépa  ration du moule, créant par endroits un espace  vide entre moule et pellicule. La pellicule  cesse alors de se refroidir. Au contraire, elle  se réchauffe rapidement par l'apport. de cha  leur du métal liquide intérieur. Fréquemment,  elle se fond ou se rompt, laissant le métal  fondu couler librement dans l'espace entre  moule et pellicule, avec formation de défauts  superficiels     tels    que pailles et doublures.

   On  a cherché à éviter la r     efusion    de la pellicule,  par l'emploi de divers matériaux clans la cons  truction des moules, par l'introduction de lu  brifiants     tels    que le graphite ou certaines  huiles, destinés à remplir l'espace et à faciliter  le refroidissement de la pellicule malgré son  décollage, par la vibration des moules, etc.  Ces méthodes ont eu quelques succès avec les  métaux relativement fusibles, tels que l'alu  minium, le laiton et le bronze, mais la coulée  continue des aciers est demeurée essentielle  ment impraticable.  



  A cause de l'extrême difficulté du pro  blème de la pellicule, le procédé de la pré  sente invention, lequel peut s'appliquer aussi  à des matières fusibles autres que des métaux,  opère sur     un    principe tout à fait différent; au      lieu de former une pellicule et de protéger  sa croissance, il s'oppose délibérément à une  telle formation et détruit immédiatement  toute trace de pellicule qui aurait tendance à  apparaître.

   Selon ce procédé, on maintient un  bain de matière fondue, disposé entre des pa  rois de refroidissement, en état permanent       d'agitation    par la chute dans ce bain d'un jet  libre de ladite matière, de faon à mélanger  la matière dès le début de son refroidissement  et     jusqu'à    ce     qu'elle    ait été amenée à un état  pâteux, et en ce que l'on oblige ladite matière  à descendre pendant qu'on réduit substan  tiellement sa section horizontale dans au       moins    deux     directions    transversales et à se  refroidir progressivement jusqu'à ce qu'elle  émerge d'une faon continue à l'état solide  sous forme d'un produit de section constante.

    Ainsi, au lieu de refroidir la matière en ré  gime statique, en laissant la solidification pro  gresser couche par couche vers le centre du  produit, dans le procédé selon l'invention, on  mélange la matière dès le début de son refroi  dissement et jusqu'à l'amener au moins à un  état     pâteux.    La matière passe ensuite en con  dition forgeable. Ceci pourrait s'appeler  un  refroidissement dynamique . On men  tionne souvent pour les     métaius,    comme con  dition essentielle d'une bonne coulée continue,  la nécessité     d'alimenter    le métal liquide par  un     versage    exempt de toute turbulence.

   Dans  le procédé de l'invention, au contraire, il a été  démontré expérimentalement qu'une agita  tion constante du métal liquide est nécessaire  et que le procédé échoue lorsque cette agitation  cesse accidentellement. Heureusement, il est  bien plus facile de maintenir     une    turbulence  que de l'empêcher dans le cas qui nous occupe.  



  Avant de décrire le nouveau procédé en dé  tail, on peut encore faire une autre distinc  tion importante entre les méthodes usuelles  de coulée continue et celle de la présente  invention.  



  Dans les méthodes du second groupe, avec  moules tubulaires stationnaires ou vibrants, la  section transversale du produit demeure inva  riable en dimension ou en forme durant toute  la     solidification.    Ceci est d'accord, évidem-    ment, avec la formation d'une pellicule qui  doit demeurer intacte jusqu'à la fin. Dans les  méthodes du premier     groupe,    qui emploient  des rouleaux cylindriques pour former les  tôles et les bandes, on cherche à obtenir la  formation de deux pellicules, une sur chaque  rouleau, et l'on cherche aussi à éviter leur  rupture. Mais ces deux pellicules, par suite  du mouvement relatif des cylindres se rap  prochent l'une de l'autre jusqu'à atteindre  une distance égale à l'épaisseur du produit  fini.

   Ceci s'obtient en chassant le métal liquide  entre elles, vers le bain de métal fondu flot  tant sur les rouleaux. En     d'autres    termes, les  deux pellicules descendent avec les rouleaux  et se joignent au centre du laminoir, soute  nant un coin de métal liquide stationnaire  entre elles. Cette méthode de coulée dépend  essentiellement de la formation de deux pel  licules qui ne peuvent être ni allongées, ni ré  trécies,     ni    déformées dans aucune direction  de     leur    propre surface, ainsi qu'il est démon  tré par le fait que les cylindres changent une  surface originellement     cylindrique    en une sur  face plane pour chaque pellicule, par simple  développement géométrique.

   C'est     aussi    dé  montré par la grande difficulté rencontrée  dans cette méthode aux rebords des rouleaux  qui limitent la largeur du produit. Les bords  sont un point. critique dans cette méthode,  parce que les pellicules transversales qui se  forment à ces endroits doivent se replier ou  se briser dans la descente, avec le danger ton  jours présent du coulage. De nombreux  moyens ont été essayés sans trop de succès  pour assurer le contrôle de la solidification  des bords de la tôle ou du feuillard.  



  Dans le procédé de l'invention, la section  transversale du produit est, substantiellement       réduite    en dimension au moins depuis l'état  pâteux jusqu'à l'état solide, dans au moins  deux directions transversales croisées.  



  De plus, la section transversale est réduite  dans une condition pâteuse homogène, tan  dis que le métal devient de plus en plus vis  queux et forgeable en descendant     dans    le la  minoir, jusqu'à, ce qu'il émerge finalement      sous celui-ci avec assez de consistance pour  conserver     sa    forme finale.  



  Les préliminaires ci-dessus étaient indis  pensables pour montrer clairement le principe  fonctionnel employé dans le procédé de l'in  vention. Les applications décrites sont limi  tées aux formes de section     transversale    relati  vement réduites, ayant une épaisseur compa  rable à la largeur. Des barres, verges ou fils  de section carrée, polygonale ou ronde de  moins de 12 mm de dimension     transversale     sont typiques, avec une préférence pour du  fil de     J/.j    de pouce (6,35 mm) de diamètre au  maximum, qui n'est pas     obtenable    par coulée  continue de l'acier selon les procédés connus.  



  Le procédé de l'invention peut être exécuté,  par exemple, comme suit : Du métal liquide est  versé sous la forme d'un jet continu ayant  une hauteur libre minimum lui assurant une       vitesse    de chute suffisante. Ce jet frappe le  centre d'un petit bain de même métal fondu,  lequel est supporté par les rouleaux sphéri  ques d'un laminoir clos ou complet,     préférable-          ment    du modèle décrit dans le brevet suisse  N  259520. Le débit de ce jet. est ajusté cons  tamment pour compenser la. sortie du produit  solidifié par le bas du laminoir, maintenant  ainsi le bain liquide à un niveau constant.

   Ou  bien le jet est simplement ajusté par le choix  approprié d'un orifice de coulée dans le four  ou la poche contenant la     réserve    de métal  liquide, tandis que l'ajustement du débit se  fait par variation de la vitesse de rotation  des rouleaux du laminoir.  



  Ledit laminoir complet comprime le pro  duit concentriquement et au moins dans deux  directions transversales croisées. Cet appareil  comporte des surfaces moulantes sphériques et  toroïdales qui s'enveloppent l'une l'autre  étroitement et contribuent toutes au forgeage  du produit à partir de l'état pâteux jusqu'à  la forme définitive à l'état solide.  



  Physiquement parlant, les rouleaux enfer  ment entre eux un volume limité latéralement  de toutes parts, de section décroissante du  haut vers le bas et laissant un     passage    infé  rieur étroit de la forme et de la dimension du  produit. désiré. Les surfaces limitant ce vo-    lame forment donc un entonnoir, mais les pa  rois de ce dernier sont toutes mobiles vers le  bas à une vitesse uniforme, sans guides fixes  ou coins de remplissage quelconques.  



  Les fi-. 1 à 4 des dessins annexés au pré  sent mémoire montrent une disposition typi  que d'un tel laminoir, dans laquelle quatre  rouleaux identiques sont utilisés pour la pro  duction d'un fil rond.  



  La     fig.    1 est une section horizontale sui  vant le plan désigné par la ligne     II-II    de la       fig.    2.  



  La     fig.    2 est une coupe verticale suivant  le plan désigné par la ligne     I-I    de la     fig.    1.  Les     fig.    3 et 4 sont, à plus grande échelle,  des coupes semblables à celle de la     fig.    2.  Dans cet exemple, qui n'est nullement limi  tatif, le diamètre des rouleaux est de 220 mm  et celui du fil de 5 mm. Chaque rouleau pos  sède une surface sphérique convexe 2 conju  guée à la surface     sphérique'    concave 3 du  rouleau adjacent..

   A la jonction des surfaces  sphériques convexe et concave de chaque rou  leau se trouve une gorge annulaire 4 de forme  appropriée à la section transversale du pro  duit (à peu près     -Lui    quart de cercle pour un  fil rond). La vitesse moyenne de rotation des  rouleaux est de 39 tours par minute, et la  production est     d'environ    30 cm de fil d'acier  par seconde ou 18     ni    par minute. Elle est  d'ailleurs réglable     dans    de larges limites. Le  métal est alimenté à partir d'un creuset, four  ou poche de coulée 5 convenablement chauffé,  par exemple au moyen d'une bobine à haute  fréquence 6.

   La coulée par le fond à travers  une tuyère 7 est préférée à la coulée par le  bec parce que le jet peut être ajusté rapide  ment par un léger mouvement du bouchon  réfractaire 8, tandis que l'ajustement du     ver-          sage    par le bec implique des grands effets  d'inertie et trop de pertes de chaleur par ra  diation. Le métal dans le récipient 5 doit être  complètement fondu,     mais    pas trop sur  chauffé. On empêchera l'oxydation du métal  liquide soit par un laitier, soit par une atmo  sphère neutre ou réductrice. Un petit jet de  gaz de ville convient pour les aciers au car  bone, tandis que l'azote est préférable pour les      aciers inoxydables au nickel-chrome.

   Si on se  sert de laitier et si la poche 5 est remplie pé  riodiquement ou continuellement, il faut     éli-          miner    l'excès de laitier par     tut    trou de cou  lée supérieur 10.  



  La     fig.    3 montre l'action favorable de la       turbulence    ou du remous dans le procédé. Le  mouvement     indiqué    par les flèches 11 est clai  rement visible en pratique: si on observe le  bain entre les     rouleaux,    du métal pâteux sem  ble émerger continuellement des rouleaux 1 et  se concentrer sous le jet 12 en un tourbillon       permanent.    Ceci montre un mouvement ascen  sionnel du métal contre les     rouleaux,        malgré          leur    mouvement de descente.

   A un niveau  inférieur dans le laminoir, cependant, le mé  tal qui a acquis assez de consistance pour réa  gir à la pression des     rouleaux    doit évidem  ment accompagner ceux-ci vers le bas pour       finalement    sortir sous forme d'un fil sous  l'appareil. Ce renversement de direction est  montré par les flèches 13. On a essayé d'ali  menter les rouleaux par un tube de guidage 14  en réfractaire chauffé, comme indiqué à la       fig.    4. On cherchait ainsi à éviter le bain ou  vert au-dessus des rouleaux et la nécessité  d'ajuster le débit du jet ou la vitesse de la  machine. Mais aucun     fil    ne put être obtenu  de cette manière.

   Par suite du manque d'agi  tation,, une mince pellicule stationnaire 15 se for  mait sur les rouleaux, laissant le métal liquide  couler librement par l'orifice central du la  minoir. Après quelques instants, la     pellicule     avait crû suffisamment pour boucher cet ori  fice et tout écoulement s'arrêtait. Ceci prouve  bien la nécessité de l'agitation du bain pour  obtenir un refroidissement homogène par con  vection bien plus que par conduction.  



  Le contact effectif entre les rouleaux et  le métal chaud est de durée extrêmement  courte, comparée à celle des autres méthodes  de coulée continue. Dans le cas de la     fig.    1,  par .exemple, ce contact ne dure que     '/e    de  seconde environ à chaque tour des rouleaux  et pour     tin    point quelconque de leur surface  active. Comme les rouleaux sont refroidis  extérieurement par bain d'eau ou autrement,  les contacts successifs avec le métal fondu    n'ont pas d'effet thermique cumulatif, et ils  restent pratiquement froids même avec l'acier  fondu.

   Après mouillage, chaque portion des  rouleaux est séchée par un     violent        eotuant     d'air avant de reprendre le contact du bain  de métal     liquide,    afin d'éviter des explosions  par vaporisation     instantanée.    On remédie ainsi  à la désintégration des rouleaux constatée dans  d'autres méthodes de coulée continue où les  contacts sont de bien     phis        longue    durée et les  cycles     thermiques    bien     phis    sévères.  



  L'opération de coulée continue peut être  manuelle ou automatique soit. selon la mé  thode du jet variable et de la vitesse de rota  tion constante, soit avec un jet. constant ou  variant continûment à mesure que la poche  de coulée se vide, et une vitesse de     rotation     variable. On peut encore, par l'une comme par  l'autre de ces deux méthodes, maintenir un  bain bas, moyen ou haut, selon le degré de  surchauffe du métal. Si, par     exemple,    le fil  sort trop froid (couleur trop sombre), l'opé  rateur peut soit diminuer la hauteur du bain,  soit accélérer la machine en augmentant le  débit du jet. D'une manière comme de l'autre,  il réduira ainsi la surface ou le temps de con  tact, et, par suite, le refroidissement dans le  laminoir.

   Ces ajustements ont le mérite  d'avoir un effet instantané, tandis que toute  variation de la. température du jet serait né  cessairement trop lente. Ils peuvent d'ailleurs  être contrôlés automatiquement par des dis  positifs pyrométriques ou photoélectriques  connus.  



  L'emploi d'un laminoir du type décrit est  indiqué, à titre d'exemple seulement, et n'est  pas limitatif, d'autres appareils pouvant être       -utilisés    dans le même but.

Claims (1)

  1. R,TVLNDICATION: Procédé pour la coulée continue de barres, verges et fils de longueur indéfinie, en métal ou toute autre matière fusible, caractérisé en ce que l'on maintient -in bain de matière fon due, disposé entre des parois de refroidisse ment, en état permanent d'agitation par la chute dans ce bain d'un jet libre de ladite ma tière, de façon à mélanger la matière dès le début de son refroidissement et jusqu'à ce qu'elle ait été amenée à un état pâteux,
    et en ce que l'on oblige ladite matière à descendre pendant qu'on réduit sa section horizontale dans au moins deux directions transversales et à se refroidir progressivement jusqu'à ce qu'elle émerge d'une façon continue à l'état solide sous forme d'un produit de section constante. SOUS-REVENDICATIONS: 1.
    Procédé selon la revendication, carac térisé en ce que l'on déverse la matière fondue sous forme d'un jet libre au centre d'un petit bain de cette matière maintenue à niveau constant, en ce que l'on supporte ce bain par des parois solides refroidies, étanches aux fiütes, de grande conductivité thermique, ayant la forme de surfaces de révolution, et laissant entre elles, au point le plus rapproché, un passage correspondant à la section transver sale du produit fini, et en ce que l'on fait tourner ces parois d'une façon continue. 2.
    Procédé selon la revendication, caracté risé en ce que le bain de matière a sensible ment la forme d'une pyramide inversée dans laquelle la viscosité augmente vers la pointe, d'où émerge de façon continue le produit so lide.
CH266687D 1946-07-02 1947-05-28 Procédé pour la coulée continue de barres, verges et fils. CH266687A (fr)

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