CH262029A - Method of centrifugal casting of a tubular metal element and permanent metal mold for the implementation of this method. - Google Patents

Method of centrifugal casting of a tubular metal element and permanent metal mold for the implementation of this method.

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CH262029A
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CH
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United States Pipe And Company
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United States Pipe Foundry
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B22CASTING; POWDER METALLURGY
    • B22DCASTING OF METALS; CASTING OF OTHER SUBSTANCES BY THE SAME PROCESSES OR DEVICES
    • B22D13/00Centrifugal casting; Casting by using centrifugal force
    • B22D13/02Centrifugal casting; Casting by using centrifugal force of elongated solid or hollow bodies, e.g. pipes, in moulds rotating around their longitudinal axis
    • B22D13/023Centrifugal casting; Casting by using centrifugal force of elongated solid or hollow bodies, e.g. pipes, in moulds rotating around their longitudinal axis the longitudinal axis being horizontal

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Molds, Cores, And Manufacturing Methods Thereof (AREA)

Description

  

  Procédé de coulage centrifuge d'un élément tubulaire en métal et moule métallique  permanent pour la mise en     oeuvre    de ce procédé.    l'invention comprend un procédé de cou  lage     centrifuge        cl'un    élément tubulaire en mé  tal et un moule métallique permanent pour  la mise en     oeuvre    de ce procédé. Elle se rap  porte notamment au coulage centrifuge d'un  tel élément dans un     moule\    métallique perma  nent disposé sensiblement horizontalement et       oui    est animé d'un mouvement de rotation  autour de son axe     longitudinal.     



  Pour effectuer un coulage centrifuge de  cette     manière,    et notamment quand il s'agit  (le couler     nu    corps tubulaire     relativement     long,     c'est-à-dire    dont la longueur dépasse  trois ou quatre fois le diamètre extérieur, on  a longtemps éprouvé des difficultés empê  chant  < .l'obtenir un élément fondu, dans le  quel le métal soit. complètement fondu dans  toute l'épaisseur de la paroi et qui ait une  surface extérieure à peu près sans défauts.  



  Selon un procédé (le coulage centrifuge  employé jusqu'ici pour la fabrication d'un  long élément.     tubulaire    dans un moule métal  lique permanent, on coule une quantité déter  minée de métal fondu dans le moule, de ma  nière telle que la répartition dit métal dans  le sens de la     longueur    du moule se fasse prin  cipalement sous l'effet de la force     centrifuge.     Un moyen employé communément pour at  teindre ce but consiste à verser le métal à  l'aide     (l'uii    bec, occupant une position relati  vement fixe le     loti-    chi moule et placé.

   par  exemple, à l'une (les extrémités (le ce     moule.       Toutefois, les tentatives faites jusqu'à pré  sent pour fabriquer de longs éléments     tubu-          laires    selon ce procédé de coulage     centrifuge     n'ont pas permis d'obtenir des éléments ne  présentant pas de  piqûres  ni de  recouvre  ments  ou de  reprises , qui rendent ces élé  ments inacceptables pour le commerce.  



  Selon un autre procédé, très utilisé dans  l'industrie, le métal fondu est coulé dans le  moule au moyen d'un     bec,    qui pénètre à l'in  térieur du moule     bors    duquel on le retire  progressivement, de façon que le métal fondu  soit déposé le long d'une hélice, dont les tours  se fondent les uns dans les autres pour for  mer une structure unique. Selon ce procédé,  le métal est réparti dans le sens de la lon  gueur sur la surface du moule, principale  ment par le mouvement du bec à l'intérieur  de celui-ci et la force centrifuge maintient  le métal fondu contre le moule, comme dans  tout. coulage centrifuge.

   Toutefois, dans la  pratique, le métal ayant été ainsi déposé  s'étend dans une certaine mesure, à cause de  la pression latérale résultant de la force     cen-          t.rifube.    De ce fait, il coule dans le sens de  la longueur du moule pour avancer au-delà,  de la, zone hélicoïdale dans laquelle il a été  déposé. Il s'étend d'une manière quelquefois  excessive et fréquemment irrégulière oit dis  continue     sur    le bord antérieur. Il en résulte  alors une formation de dépôts excessivement  minces, qui se solidifient presque instantané-      ment et produisent de petits     recouvrements     ou reprises à la     surface    extérieure de l'élé  ment coulé.

   Ce procédé atténue les défauts  inhérents au coulage centrifuge sans les éli  miner complètement.  



  On a constaté que la     fusion    incomplète  du métal et les défauts de la     surface    exté  rieure des éléments     coulés    selon les procédés  connus de coulage centrifuge sont dus au fait  que la charge de métal fondu avance sans  contrôle le long du     moule,    sans prendre une  part suffisante à son mouvement de rota  tion. Quand le métal fondu, qui s'avance le  long du moule glisse sur celui-ci et s'avance  par intermittences ou trop rapidement ou par  intermittences et trop rapidement, il en ré  sulte     -me    tendance à la formation de piqûres  partant de la     surface    extérieure de l'élément  fondu.

   Les recouvrements ou les reprises se  produisent quand le bord antérieur du métal  fondu se déplace le long du moule d'une  manière     phis    ou moins intermittente ou dis  continue ou encore d'une manière plus ou  moins     intermittente    et     discontinue,    à     lune    vi  tesse qui le rend par endroits si mince qu'il  se refroidit rapidement. Il se solidifie pré  maturément et s'oxyde, si bien qu'il ne se  soude ou ne     s'unit    pas efficacement à la  masse de métal, qui s'écoule sur lui par la  suite, lorsque la répartition de la charge se  poursuit.

   Ces piqûres et ces recouvrements  ou reprises traversent quelquefois toute  l'épaisseur de la paroi de l'élément coulé, mais  d'habitude elles ne se produisent qu'à l'exté  rieur de la paroi.  



       L'invention    a pour objet un procédé per  mettant de fabriquer de longs éléments tubu  laires en métal par coulage centrifuge dans  des moules métalliques permanents, horizon  taux ou à peu près horizontaux, d'une ma  nière telle que le métal des éléments coulés  soit complètement soudé à lui-même sur toute  l'épaisseur des parois de ces éléments et que  l'extérieur de ces derniers ne présente pra  tiquement ni piqûres ni     recouvrements    ou  reprises.  



  Selon le procédé objet de     l'invention,     avant de verser le métal fondu dans le moule,    on projette sur la. surface intérieure de  celui-ci une suspension dans un liquide d'une  matière réfractaire réduite en poudre et d'un  liant, de manière que cette suspension se dé  pose sur le moule sous forme de globules.

   On  maintient le moule, pendant ladite opération  de projection, à une température suffisante  pour que le liquide desdits globules déposés  s'évapore rapidement, de manière que la ma  tière solide de ces globules forme progressive  ment un revêtement isolant continu relative  ment mince qui adhère au moule et présente,       sur    sa surface libre, un grand nombre clé  protubérances destinées à augmenter la     prise     du moule sur le métal fondu, ledit     revêtement     adhérant suffisamment pour ne pas être dé  taché du moule par le métal fondu pendant.  la répartition de ce dernier, niais étant assez  friable pour ne pas constituer un obstacle au  démoulage de l'élément coulé.  



  L'invention a également pour objet     un     moule métallique permanent pour la mise en       oeuvre    de ce procédé. La surface intérieure de  ce moule est munie d'un revêtement isolant  continu, d'une épaisseur moyenne comprise  entre 0,05 et 2 mm. Ce revêtement présente,  sur sa surface libre, un grand nombre de pro  tubérances destinées à augmenter la prise du  moule sur le métal fondu coulé dans ce der  nier, ledit revêtement adhérant suffisamment       ail    moule pour ne pas être détaché du moelle  par le métal fondu pendant la répartition  de ce dernier, mais étant assez friable pour  ne pas constituer un obstacle au démoulage  de l'élément coulé.  



  Le dessin représente, à titre d'exemple,  une forme d'exécution d'un dispositif pour la  mise en     aeuvre    d'une     forme    d'exécution du  procédé objet de l'invention et comprenant  un moule métallique permanent et un revête  ment propre à être utilisé pour le coulage       d'lin    élément tubulaire en métal selon ce pro  cédé.  



  La     fig.    1 est une élévation latérale sché  matique de ce dispositif, ledit moule étant  représenté en coupe partielle.  



  La     fig.    2 est une coupe transversale par  la ligne 2-2 de la     fig.    1.      <B>La</B>     fig.    3 est une     coupe,    vue en     perspec-          tiv    e, de     l'extrémité    de droite (lu moule re  présenté à la<B>fi'-.</B> 1, montrant. également le  bec (le     coulage    déversant du métal fondu  clans le moule.  



  La     fig.    4 est un plan représentant     sché-          ntatiquenient,    à une échelle agrandie, la sur  face du revêtement.  



  La     fig.    5 est une coupe schématique du  revêtement par la     ligne    5-5 de la     fig.    4.  Le dispositif représenté aux     fig.    1, 2 et 3  est prévu pour la taise en     couvre    d'une forme  (l'exécution du procédé dans laquelle la ré  partition     chi    métal fondu le long dit moule  est. effectuée     principalement    sous l'effet de  la force     centrifuge,    le     goulot    ou bec (le cou  lage n'étant pas prévu pour être déplacé le  long (lit moule et étant disposé à l'une de  ses     extrémités.     



  ])ans la     fig.    1, un     moule        cylindrique    10  est supporté, dans une position horizontale,  par deux jeux ale galets     17..    Les deux galets  11, alignés de chaque côté du moule 10, sont  fixés sur un axe 12 porté par des supports  1.3 montés sur des poutres 14. Ces poutres  sont posées sur un socle 15 servant de     base     pour le dispositif complet. L n prolongement  à     l'extrémité    (le l'un ales axes 12 est pourvu  d'une poulie 16, reliée à un dispositif moteur  (non représenté) polir entraîner l'axe et faire       tourner    le moule.

   Des rainures annulaires 17  sont     ménagées    à la surface extérieure     du     moule pour servir de chemins pour les galets  11 et empêcher tout déplacement du moule  dans le sens de sa longueur. Les extrémités ale  l'alésage 18 du moule sont élargies en 19 pour  recevoir des plaques     d'extrémités    20 qui sont  maintenues en place par des vis 21 traversant  la paroi du moule.  



  La suspension destinée à constituer lui  revêtement est. appliquée sur la surface inté  rieure clic     moule    10 par un dispositif de pro  jection 22, représenté sur la partie gauche  (le la     fig.    1. Ce dispositif de projection     \?'?     est monté sur un chariot 23 dont. les roues  24 reposent. sur des rails 25,     disposés    (le sorte  que le chariot puise se déplacer dans la di  rection (le l'extrémité adjacente     (lu    moule<B>10</B>    et en sens contraire. Les rails<B>225</B> sont alignés  sur le moule et montés sur (les traverses     \?6          reposant    sur le socle 15.

   Sur le chariot 23  est installé un récipient 27     pour    la     suspeit-          siort    destinée à. constituer le revêtement. Un  moteur électrique 28, monté au-dessus du ré  cipient 27, est utilisé pour actionner un agi  tateur disposé dans le récipient, ainsi qu'une  pompe placée clans ce dernier et prévue pour  envoyer la suspension au travers de tuyaux  29 et 30, et d'une lance 31, vers un pulvé  risateur 32, monté à l'extrémité de cette  lance. La. lance 31 est fixée au chariot 23  (le telle façon qu'un mouvement du chariot  en arrière et en avant sur les rails 25 en  traîne le pulvérisateur 32 dans un mouve  ment de va-et-vient. alun bout à l'autre de  l'alésage 18, parallèlement à l'axe du moule.

    La lance est filée à des supports 33, (le ma  nière à pouvoir     être    ajustée dans le sens ver  tical, afin de faire varier la distance qui sé  pare le pulvérisateur 32 de la face inté  rieure d'un moule donné, ou d'ajuster cette  distance pour des moules ale différents dia  mètres. Le chariot 23 est déplacé dans la  direction     du    moule et en sens contraire, au       moyen    d'une tige de piston 34, dont l'une  des     extrémités    est. reliée au chariot par un  bras 35 et dont l'autre     extrémité    est reliée  à un piston coulissant clans un cylindre 36,  monté le long de l'un des rails 25.  



  Avec ce dispositif (le projection, on ap  plique la     suspension    destinée à constituer le  revêtement sur la face intérieure du moule  en faisant faire     un    mouvement de va-et-vient  au pulvérisateur 32 sur toute la     longueur    de  l'alésage du moule, qu'on chauffe et     qu'on     fait tourner, et cela autant de fois qu'il peut  être nécessaire pour former un revêtement  ayant l'épaisseur voulue et une rugosité su  perficielle du caractère désiré dans les con  ditions de coulage données.

   Un revêtement  qui a été reconnu satisfaisant pour le cou  lage (le longs corps tubulaires par le procédé  de     coulage    centrifuge employant un dispo  sitif de déversement     d'un    type rte se retirant  pas, est représenté en 37 dans les     fig.    4 et 5  (les dessins, à une échelle qui représente un-           âgrandissement    de dix fois à peu près.

   Comme  cela est     indiqué    ici, diverses protubérances 38  sont séparées les     unes    des antres par des dé  pressions 39;     elles    ont une forme et des di  mensions plus ou moins irrégulières et se fon  dent dans une partie 40 formant une base  continue et couvrant la face intérieure du  moule, de telle faon que cette dernière soit  isolée du métal qu'on verse dans le moule       pendant    l'opération de coulage.  



  Après que le revêtement a été appliqué  sur la face intérieure du moule, les plaques       d'extrémités    20 sont mises en place dans les  élargissements 19 et fixées dans ces derniers  par les vis 21. Avant d'introduire les pla  ques d'extrémités, on recouvre leurs faces in  térieures     d'un.    revêtement approprié qu'il  peut convenir de choisir semblable à celui qui       vient    d'être décrit. La charge de métal fondu  est amenée à l'une des extrémités du moule  qu'on fait tourner; elle est déversée par un  dispositif 41 qui peut être une poche de  coulée ordinaire, un four à induction ou sim  plement un récipient pour le métal fondu,  tel que     celui    que représente le dessin.

   Le  dispositif de déversement est pourvu     d'tin     bec 42 qui est construit et disposé de faon  que, quand on verse la charge, il pénètre  jusqu'à l'intérieur de l'extrémité du moule,  par     une    ouverture centrale 43 de la plaque       d'extrémité    adjacente 20. Le dispositif de  déversement 41 est porté par un chariot 44  pourvu de roues 45 reposant sur des rails  46, de façon qu'il puisse être amené rapide  ment jusqu'à la position de déversement et  en être écarté de même.  



  Quand la charge est déversée dans le  moule avec une certaine vitesse, le mince re  vêtement réfractaire étendu précédemment  sur le moule remplit     simultanément    deux  fonctions     importantes.     



  La première de ces fonctions consiste à       entraîner    le métal fondu à suivre le mouve  ment de rotation du moule tout en retar  dant son avance le long de     celui-ci,    pour  assurer une bonne répartition du métal dans  ce moule. Les nombreuses protubérances que  présente le revêtement isolant constituent une    surface rugueuse, solidaire du moule et tour  nant avec lui. Cette surface rugueuse assure  l'adhérence nécessaire entre le moule et le  métal fondu     pour    un entraînement rapide  de ce métal et pour qu'il participe ainsi an  mouvement de rotation du moule, tout en  l'empêchant de glisser sur celui-ci dans le  sens de sa longueur et d'avancer par inter  mittences, trop rapidement et avec un bord  antérieur discontinu et excessivement mince.  



  La seconde de ces fonctions consiste à  empêcher la solidification trop brusque et  trop rapide du bord antérieur du métal  fondu s'avançant le long du moule et, par  conséquent, la formation. de reprises ou de       recouvrements    dus au fait que de minces pel  licules de métal, constituant ce bord anté  rieur, sont trop froides     pour    se souder effi  cacement au métal fondu qui les recouvre  par la suite.

   Le revêtement isolant constitue  une barrière thermique qui arrête et règle  efficacement la vitesse de solidification du  bord antérieur du métal fondu.     Ltant    donné  la faible     épaisseur    du revêtement, la vitesse  globale de solidification de l'élément coulé  reste à peu près la même que dans un moule  métallique nu, tandis que l'écoulement de  chaleur vers le moule à partir du bord anté  rieur du métal fondu est momentanément  arrêté. Ce bord est ainsi maintenu à une tem  pérature suffisante pour qu'il se soude et  se lie     intimement    avec le métal fondu qui  vient le recouvrir par la suite.

   La fusion  complète du métal formant la partie exté  rieure de l'élément coulé, lorsque le métal  fondu se répand dans le     moule,    est ainsi  assurée     ail    prix d'un arrêt momentané du  flux de     chaleur    vers le moule. Pratiquement,  le revêtement n'occasionne pas de ralentisse  ment appréciable du flux global de chaleur,  il n'empêche pas le glaçage rapide du métal,  caractéristique du coulage dans des moules  métalliques et n'entraîne pas de réduction de  la vitesse de fabrication des éléments coulés.  



  L'élément coulé une fois refroidi, le revê  tement est suffisamment friable pour n'oppo  ser qu'une faible résistance lors du démou  lage. Cette opération détruit donc en grande      partie le revêtement et, avant une nouvelle  opération de coulage, il faut procéder à une  nouvelle pulvérisation pour constituer un  nouveau revêtement et ainsi de suite.  



  Avec une suspension de composition don  née, on peut modifier et régler les propriétés  du revêtement et principalement les dimen  sions moyennes de ses protubérances en agis  sant sur l'opération de pulvérisation. Ce ré  glage est nécessaire afin d'éviter une sur  face trop lisse qui n'entraînerait pas suffi  samment le métal fondu dans le     mouvement     de rotation du moule ou, au contraire, une  surface plus rugueuse qu'il ne serait néces  saire pour le but poursuivi.  



  Une composition, qui a été reconnue con  venable pour fournir un revêtement ayant  les caractéristiques désirées, est constituée  par une suspension dans de l'eau de farine  de silice et de bentonite. Cette suspension  est déposée sur la face intérieure du moule  métallique chauffé, par un bec de pulvérisa  tion effectuant un mouvement de va-et-vient  par rapport à ce moule.  



  La composition de la suspension destinée  à constituer le revêtement peut être modifiée,  mais on a obtenu des résultats satisfaisants  avec une suspension aqueuse uniforme, faite  dans les proportions d'un litre d'eau pour       500    à 1000 g de farine de silice et de 10 à  40 g de bentonite. Les parcelles de farine  de silice doivent être d'une finesse telle que  la suspension puisse être projetée à l'aide  d'un type de pulvérisateur à jet, et sont  < le  préférence d'une grosseur correspondant à  peu près à un tamis de 13 mailles carrées  au moins par millimètre.

   Bien que la bento  nite contribue efficacement à maintenir la  farine de silice en suspension dans l'eau, il  est désirable que la suspension liquide soit  agitée     d'une    manière plus ou moins continue,  afin de lui conserver son caractère uniforme  pendant l'application.  



  Pendant qu'on pulvérise une telle sus  pension sur sa surface intérieure, il est essen  tiel que le moule soit chauffé à une tempé  rature comprise entre 122 et 425  C, de pré  férence entre 177 et 260  C. La suspension    doit. être pulvérisée et. projetée sur le moule  à une vitesse telle que le liquide s'évapore  très rapidement, sitôt que les globules for  més par pulvérisation viennent en contact  avec la surface chauffée. Le moule ne doit  cependant pas être assez chaud pour que le  liquide s'évapore avant que les globules ne  se soient déposés. Quand on applique la sus  pension de la manière indiquée, les matières  solides, réfractaires ou liantes de chaque glo  bule restent à l'endroit où elles ont été dépo  sées sur la surface du moule et un revêtement  est ainsi progressivement formé.

   Lorsque les  conditions de pulvérisation sont telles que les  globules ne se répandent ou ne se déplacent  pas ensemble sur la surface du moule, le  revêtement présente une surface rugueuse,  constituée par un très grand nombre de sail  lies ou protubérances.  



  La forme et le profil particuliers de cha  que protubérance ne semblent pas avoir de  l'importance, bien qu'on ait reconnu qu'on  obtient des résultats très satisfaisants avec  une surface qui, agrandie par la photogra  phie, ressemble quelque peu à celle d'un  chou-fleur. Les protubérances d'une telle  surface sont. naturellement de forme et de  grandeur irrégulières et sont d'habitude dis  posées de façon à être séparées les unes des  autres par des distances appréciables. Il ne  faut toutefois pas en conclure qu'une telle  irrégularité soit essentielle.

   Il est désirable  que le revêtement soit formé de telle façon  que les protubérances se fondent dans une  partie formant. une couche de base oit qu'elles  soient reliées par leurs bases, afin que la sur  face du moule soit pratiquement entièrement  recouverte par le revêtement, et afin que la  charge de métal fondu soit soumise d'une  manière à peu près uniforme à l'action de  barrière thermique exercée par le revêtement.  



  Le caractère de la surface du revêtement  peut être rapidement modifié pour obtenir  une surface qui ne soit ni trop lisse pour  exercer l'action désirée sur la distribution du  métal fondu dans le moule ni plus rugueuse  qu'il ne serait nécessaire dans ce but. Les mo  difications de la rugosité de la surface du      revêtement peuvent être obtenues par un ré  glage approprié des diverses conditions dans       lesquelles    la. pulvérisation est effectuée. On  peut agir, par exemple, sur la forme et la  direction du jet sortant de la base du pulvé  risateur, sur la distance séparant cette buse  de la surface du     moule,    ou sur le degré de  pulvérisation de la suspension.

   On peut aussi  faire varier la pression d'un fluide gazeux  employé pour la pulvérisation ou modifier la  quantité de suspension pulvérisée sur une  aire donnée de la surface du moule dans     un     temps donné, ou encore faire varier l'étendue  de la formation progressive du revêtement.  



  Pour     appliquer    la     suspension    destinée à       constituer    le revêtement, on peut se servir de  buses ou de têtes de pulvérisateurs de formes  différentes, mais on a reconnu les avantages       d'in    jet en éventail, car il peut être réglé  rapidement pour faire varier les dimensions  et les directions de l'éventail ou de la lame  projeté par la buse.

   Quand on applique un  revêtement à un moule     cylindrique    rotatif au  moyen d'un dispositif de pulvérisation animé  d'un mouvement relatif de va-et-vient dans  le sens de la     longueur,    à l'intérieur de l'alé  sage du moule, il est préférable que ce     dis-          positif    soit agencé de telle faon que le jet  en éventail ou en lame s'étende     parallèlement     à l'axe     longitudinal    de l'axe du moule. Une  telle disposition est désirable, afin de pro  duire un revêtement présentant une surface  rugueuse.

   Un revêtement moins     rugueux    peut  être obtenu en faisant varier la direction du  jet, à partir de cette direction parallèle à  l'axe vers une direction perpendiculaire à ce  dernier. En raison de la plus grande concen  tration du jet sur une aire donnée de la  surface du moule, un revêtement à surface       lisse    peut être obtenu en     dirigeant    la buse  perpendiculairement à la surface du moule,  tandis     qu'une    surface rugueuse peut être ob  tenue en     dirigeant    la buse obliquement à  cette surface, suivant un angle de 45  par  exemple.

   On a aussi reconnu     qu'une    augmen  tation de la     préssion    de l'air ou autre fluide  gazeux, utilisé dans un dispositif de pulvé  risation pneumatique, tend à     produire    un    revêtement     phis    rugueux, mais cette tendance  peut être     neutralisée    si la buse de pulvérisa  tion est disposée trop près de la surface du  moule. En augmentant la distance séparant  cette buse de la surface du moule, on tend  à accroître la rugosité de la surface du revê  tement.  



  On peut aussi faire varier la rugosité de  la surface du revêtement en modifiant la  quantité de suspension appliquée sur une aire  donnée de la surface du moule dans un temps  donné. Quand on les projette avec une vitesse  appropriée, les matières solides des différents  globules restent en place, de sorte que l'ac  croissement progressif produit un revêtement  à surface rugueuse. Si on augmente la quan  tité de suspension appliquée au moule ou la  vitesse avec laquelle on l'applique, la suspen  sion tend à s'étaler sur la surface du moule,  en raison de l'évaporation plus lente du  liquide, et il en résulte un revêtement pré  sentant une surface plus unie.  



  Quand les différentes conditions sont de  nature à produire un revêtement présentant       une    surface rugueuse d'un caractère appro  prié, la rugosité de la surface tend à s'ac  croître à mesure que l'épaisseur du revête  ment s'accroît progressivement.

   Il est proba  ble que cela provienne de ce que les masses  distinctes de matière solide des premiers glo  bules qui frappent la surface du moule font  saillie sur la surface et sont     ainsi    placées de  façon à     intercepter    la matière projetée,

   en  plus grande quantité que la surface qui les       environne.    Ces petites masses de matière so  lide croissent ainsi plus rapidement en épais  seur que les aires environnantes de la sur  face du revêtement et cette croissance rapide  se poursuit jusqu'à ce que     l'épaisseur    des  protubérances ainsi formées     devienne    suffi  sante pour isoler leurs surfaces découvertes  de l'action calorifique du moule et pour em  pêcher ainsi le     liquide    de s'évaporer rapide  ment des globules ou parties de globules sup  plémentaires qui sont dirigés sur ces sur  faces.

   Quand cela se produit, on est arrivé à  un stade au cours duquel les globules pro  jetés coulent et se fondent ensemble en une      surface relativement unie qui n'est plus ap  propriée à la fabrication de longs éléments  tubulaires exempts de défauts.  



  On a reconnu que l'épaisseur moyenne  d'un revêtement formé à partir de la suspen  sion décrite peut varier entre 0,05 et 2 mm  environ. Le nombre moyen de protubérances  peut varier entre 4 et 50 par centimètre, me  suré dans une direction quelconque sur la  surface du revêtement, tandis que la hauteur  moyenne des protubérances au-dessus de  l'aire environnante du revêtement peut varier  entre 0,025 et 1,25 mm. On peut aussi com  parer la rugosité de la surface du revêtement  à celles de papiers ou de toiles d'émeri des  Nos 24 à 240.  



  L'épaisseur du revêtement. et l'ordre de  grandeur de la rugosité peuvent être modi  fiés dans une certaine mesure selon les con  ditions dans lesquelles on effectue le coulage  du métal fondu. Par exemple, lorsque le mé  tal fondu est réparti dans le sens de la lon  gueur du moule, principalement sous l'effet  de la force centrifuge, on peut utiliser des  revêtements d'une épaisseur moyenne com  prise entre 0,25 et 2 mm. Ces revêtements  présenteront 4 à 20 protubérances par centi  mètre, comptées dans une direction quelcon  que sur leur surface (de préférence 8 à  10 protubérances par centimètre) et une hau  teur moyenne des protubérances comprise  entre 0,125 et 1,25 mm.

   La rugosité de ces  revêtements sera alors de l'ordre de grandeur  des Nos 24 à<B>100,</B> selon l'échelle des toiles  ou papiers d'émeri et de préférence entre les  limites des Nos 40 et 60. D'autre part, lorsque  le métal fondu est réparti dans le sens de la  longueur du moule, principalement par un  mouvement du bec de coulage à l'intérieur de  celui-ci, on a reconnu que le revêtement peut  être plus mince et d'une rugosité d'un ordre  de grandeur moins élevé, tout en donnant  encore des résultats satisfaisants.  



  Avec les proportions indiquées, la sus  pension décrite produit un revêtement com  pact et qui adhère au moule et qui, cepen  dant, est. suffisamment friable. Une fois l'opé  ration de coulage terminée, les parcelles    constituant ce revêtement n'adhèrent pas les  unes aux autres et au moule à un point tel  qu'elles empêchent de démouler rapidement  l'élément coulé. Ce revêtement semble être  un peu plus friable après l'opération de cou  lage qu'avant cette dernière. Il résiste à  l'effet de lavage par le courant de métal  fondu quand on verse ce dernier dans le  moule, et les protubérances formant sa sur  face rugueuse ont une prise efficace sur le  métal fondu, dont elles règlent le mouve  ment, sans être écrasées par lui. On ne pou  vait logiquement s'attendre à ce qu'un revête  ment agisse de la manière indiquée.

   Son ac  tion efficace est peut-être due au fait que les  forces exercées sur le revêtement par le métal  fondu sont en réalité beaucoup plus petites  qu'on ne l'aurait cru. Il faut aussi remar  quer qu'on peut modifier et régler la friabi  lité en faisant varier la proportion de     ben-          tonite    dans la suspension destinée à consti  tuer le revêtement.  



  Un revêtement formé à partir de cette  suspension a un caractère temporaire et on  l'applique au moule avant chaque opération  de coulage. Après l'application du revêtement,  le moule revêtu peut être manutentionné,  contrôlé, le revêtement peut être renouvelé et  on peut le mettre en réserve, suivant les be  soins, sans compromettre son utilisation sub  séquente. Après qu'on a démoulé l'élément  coulé, on peut, grâce à sa friabilité, enlever  rapidement le revêtement du moule à l'aide  d'une brosse métallique ou d'un jet d'air com  primé, ou de ces deux moyens simultanément,  pour faciliter la préparation du moule pour  le coulage suivant.  



  On peut se servir de diverses autres sus  pensions pour former, en les projetant sur le  moule, un revêtement réfractaire mince ayant  en même temps l'effet de barrière thermique       nécessaire    et la rugosité superficielle indis  pensable à l'entraînement du métal fondu. La  farine de silice est un produit réfractaire  satisfaisant et facile à obtenir et, quand elle  est appliquée comme cela a été décrit dans  ce qui précède, elle forme un revêtement pré-      sentant la résistance à la chaleur nécessaire  et ayant une porosité suffisante pour fournir  l'effet de barrière thermique indispensable.

    On peut aussi se     servir    de toutes autres ma  tières réfractaires appropriées, telles que, par  exemple, les oxydes     d'aluminium,    de magné  sium, de béryllium, de zirconium, de chrome,  etc. La bentonite est     un    liant     satisfaisant,     parce qu'elle sert non seulement d'agent de  liaison pour les parcelles de matière réfrac  taire dans le revêtement, mais aussi d'agent  facilitant la suspension des particules de ma  tière réfractaire dans le support     liquide    uti  lisé.

   On peut se     servir    d'autres agents de  liaison appropriés, pourvu qu'ils aient les qua  lités d'adhérence nécessaires pour permettre  au revêtement de résister aux forces exercées  sur lui par la charge de métal fondu et  d'adhérer ait moule de métal de façon satis  faisante et qu'ils soient suffisamment réfrac  taires et exempts de composants tendant à  émettre des gaz pendant l'opération de cou  lage. L'eau est un support convenable pour  les ingrédients contenus dans la suspension,  mais tout autre liquide approprié peut être  employé dans ce but.  



  La surface extérieure     d'-Lui   <B>é</B> lément, coulé  selon une forme d'exécution quelconque du  procédé décrit, présente pratiquement la  même rugosité que le revêtement du moule  employé pour sa fabrication. Cette rugosité  n'a pas     d'inconvénients    dans beaucoup de cas       d'application    de tels éléments coulés. Cepen  dant, là où une surface extérieure plus unie  est nécessaire, on peut l'obtenir rapidement  par un usinage de l'élément     coulé    avec le  degré de finesse requis, et supprimer ainsi  la rugosité de sa     surface    extérieure.

   Selon la  forme d'exécution du procédé, décrite en ré  férence au dessin, la répartition du métal  fondu dans le sens de la longueur du moule  se fait principalement sous l'effet de la force  centrifuge, mais il est évident que le procédé  peut également être utilisé dans une installa  tion de coulage centrifuge     dans    laquelle cette  répartition est principalement effectuée par  un mouvement du bec de coulage, le long  et à l'intérieur du moule.



  Method of centrifugal casting of a tubular metal element and permanent metal mold for the implementation of this method. the invention comprises a process for the centrifugal casting of a tubular metal element and a permanent metal mold for carrying out this process. It relates in particular to the centrifugal casting of such an element in a permanent metal mold disposed substantially horizontally and yes is driven by a rotational movement around its longitudinal axis.



  To perform centrifugal casting in this way, and in particular when it comes to casting a relatively long tubular body, that is to say the length of which exceeds three or four times the outer diameter, difficulties have long been encountered. This prevents the obtaining of a molten element in which the metal is completely molten throughout the entire thickness of the wall and which has an exterior surface which is practically flawless.



  According to a process (centrifugal casting hitherto employed for the manufacture of a long tubular element in a permanent metal mold, a determined quantity of molten metal is poured into the mold, in such a way that the so-called metal distribution in the direction of the length of the mold is done mainly under the effect of the centrifugal force. One means commonly employed to achieve this goal is to pour the metal with the aid (the ui nozzle, occupying a relatively position fixed the loti- chi mold and placed.

   for example, at one (the ends (of this mold. However, the attempts made so far to manufacture long tubular elements by this centrifugal casting process have failed to obtain elements which are exhibiting no pits, overlays or resumptions, which make these items unacceptable for trade.



  According to another process, widely used in industry, the molten metal is poured into the mold by means of a nozzle, which penetrates inside the mold, from which it is gradually withdrawn, so that the molten metal is placed along a helix, the turns of which merge into each other to form a unique structure. According to this process, the metal is distributed lengthwise on the surface of the mold, mainly by the movement of the nozzle inside it and the centrifugal force keeps the molten metal against the mold, as in all. centrifugal casting.

   However, in practice, the metal having been so deposited expands to a certain extent, due to the lateral pressure resulting from the centrifube force. As a result, it flows in the direction of the length of the mold to advance beyond the helical zone in which it has been deposited. It extends sometimes excessively and frequently irregularly or continuously over the anterior border. This then results in the formation of excessively thin deposits, which solidify almost instantaneously and produce small overlaps or pickups on the outer surface of the cast member.

   This process alleviates the defects inherent in centrifugal casting without eliminating them completely.



  It has been found that the incomplete melting of the metal and the defects of the external surface of the elements cast according to the known methods of centrifugal casting are due to the fact that the charge of molten metal advances without control along the mold, without taking a sufficient part. to its rotational movement. When the molten metal, which advances along the mold slides on it and advances intermittently or too quickly or intermittently and too quickly, the result is a tendency to form pitting from the surface. outside of the melted element.

   The overlaps or the recoveries occur when the leading edge of the molten metal moves along the mold in a phis or less intermittent or dis continuous manner or again in a more or less intermittent and discontinuous manner, at a speed which makes it so thin in places that it cools quickly. It solidifies prematurely and oxidizes, so that it does not weld or effectively unite with the mass of metal, which subsequently flows over it, as the distribution of the charge continues.

   These pits and overlaps or recesses sometimes pass through the entire thickness of the wall of the cast member, but usually they only occur on the outside of the wall.



       The object of the invention is a process for manufacturing long tubular metal elements by centrifugal casting in permanent metal molds, horizontal or nearly horizontal, in such a way that the metal of the cast elements is completely welded to itself over the entire thickness of the walls of these elements and that the outside of the latter shows practically no pitting or overlaps or recoveries.



  According to the method which is the subject of the invention, before pouring the molten metal into the mold, it is projected onto the. inner surface thereof a suspension in a liquid of a powdered refractory material and a binder, so that this suspension is deposited on the mold in the form of globules.

   The mold is maintained, during said spraying operation, at a temperature sufficient for the liquid of said deposited globules to evaporate rapidly, so that the solid material of these globules gradually forms a relatively thin continuous insulating coating which adheres to the material. mold and has, on its free surface, a large number of protuberances intended to increase the grip of the mold on the molten metal, said coating adhering sufficiently so as not to be detached from the mold by the pendant molten metal. the distribution of the latter, but being friable enough not to constitute an obstacle to the release of the cast element.



  A subject of the invention is also a permanent metal mold for implementing this method. The interior surface of this mold is provided with a continuous insulating coating, with an average thickness of between 0.05 and 2 mm. This coating has, on its free surface, a large number of pro tuberances intended to increase the grip of the mold on the molten metal cast in the latter, said coating adhering sufficiently to the mold so as not to be detached from the pith by the molten metal during the distribution of the latter, but being friable enough not to constitute an obstacle to the release of the cast element.



  The drawing represents, by way of example, an embodiment of a device for the implementation of an embodiment of the method which is the subject of the invention and comprising a permanent metal mold and a coating specific to be used for the casting of a tubular metal element according to this process.



  Fig. 1 is a diagrammatic side elevation of this device, said mold being shown in partial section.



  Fig. 2 is a cross section taken on line 2-2 of FIG. 1. <B> The </B> fig. 3 is a section, perspective view, from the end of the right (the mold re presented in <B> fi'-. </B> 1, also showing the spout (the pouring pouring out molten metal in the mold.



  Fig. 4 is a plan showing schematically, on an enlarged scale, the surface of the coating.



  Fig. 5 is a schematic sectional view of the coating taken on line 5-5 of FIG. 4. The device shown in FIGS. 1, 2 and 3 is provided for the silencing of a form (the execution of the process in which the distribution of molten metal along said mold is carried out mainly under the effect of centrifugal force, the neck or spout (the casting is not intended to be moved along (mold bed and being disposed at one of its ends.



  ]) in fig. 1, a cylindrical mold 10 is supported, in a horizontal position, by two sets of rollers 17 .. The two rollers 11, aligned on each side of the mold 10, are fixed on a pin 12 carried by supports 1.3 mounted on beams 14. These beams are placed on a base 15 serving as a base for the complete device. L n extension at the end (the one ales axes 12 is provided with a pulley 16, connected to a motor device (not shown) polish drive the axis and rotate the mold.

   Annular grooves 17 are formed on the outer surface of the mold to serve as paths for the rollers 11 and to prevent any movement of the mold in the direction of its length. The ends of the bore 18 of the mold are widened at 19 to receive end plates 20 which are held in place by screws 21 passing through the wall of the mold.



  The suspension intended to constitute its coating is. applied to the inner click-mold surface 10 by a projection device 22, shown on the left side (Fig. 1. This projection device is mounted on a carriage 23, the wheels 24 of which rest. on rails 25, arranged (the so that the carriage can move in the direction (the adjacent end (read the mold <B> 10 </B> and in the opposite direction. The rails <B> 225 </ B > are aligned on the mold and mounted on (the crosspieces \? 6 resting on the base 15.

   On the carriage 23 is installed a container 27 for the suspension intended for. constitute the coating. An electric motor 28, mounted above the receptacle 27, is used to actuate an agitator disposed in the receptacle, as well as a pump placed in the latter and intended to send the suspension through pipes 29 and 30, and from a lance 31, to a spray riser 32, mounted at the end of this lance. The lance 31 is attached to the carriage 23 such that movement of the carriage back and forth on the rails 25 drags the sprayer 32 in a reciprocating motion from end to end. of the bore 18, parallel to the axis of the mold.

    The lance is spun on supports 33, (the way to be able to be adjusted in the vertical direction, in order to vary the distance which separates the sprayer 32 from the inside face of a given mold, or to adjust this distance for molds of different diameters The carriage 23 is moved in the direction of the mold and in the opposite direction, by means of a piston rod 34, one end of which is connected to the carriage by an arm 35. and the other end of which is connected to a piston sliding in a cylinder 36, mounted along one of the rails 25.



  With this device (spraying, the suspension intended to constitute the coating is applied to the inside face of the mold by causing the sprayer 32 to move back and forth over the entire length of the bore of the mold, which it is heated and rotated, and this as many times as may be necessary to form a coating having the desired thickness and a surface roughness of the desired character under the given casting conditions.

   A coating which has been found to be satisfactory for casting (the long tubular bodies by the centrifugal casting process employing a non-shrinking rte-type discharge device, is shown at 37 in Figs. 4 and 5 (the drawings, on a scale which represents an enlargement of about ten times.

   As indicated here, various protuberances 38 are separated from each other by depressures 39; they have a more or less irregular shape and dimensions and merge into a part 40 forming a continuous base and covering the interior face of the mold, so that the latter is isolated from the metal which is poured into the mold during the casting operation.



  After the coating has been applied to the interior face of the mold, the end plates 20 are placed in the enlargements 19 and fixed in the latter by the screws 21. Before inserting the end plates, it is necessary to covers their inner faces with a. suitable coating that it may be appropriate to choose similar to that which has just been described. The charge of molten metal is brought to one end of the mold which is rotated; it is discharged by a device 41 which may be an ordinary ladle, an induction furnace or simply a vessel for molten metal, such as that shown in the drawing.

   The pouring device is provided with a spout 42 which is constructed and arranged in such a way that, when the charge is poured, it penetrates to the inside of the end of the mold, through a central opening 43 of the plate. The adjacent end 20. The dumping device 41 is carried by a carriage 44 provided with wheels 45 resting on rails 46, so that it can be quickly brought to the dumping position and likewise removed therefrom.



  When the load is discharged into the mold with a certain speed, the thin refractory lining previously laid on the mold simultaneously performs two important functions.



  The first of these functions consists in causing the molten metal to follow the rotational movement of the mold while delaying its advance along the latter, to ensure good distribution of the metal in this mold. The numerous protuberances presented by the insulating coating constitute a rough surface, integral with the mold and rotating with it. This rough surface provides the necessary adhesion between the mold and the molten metal for a rapid drive of this metal and for it to participate in the rotational movement of the mold, while preventing it from sliding on it in the direction. of its length and to advance intermittently, too rapidly and with a discontinuous and excessively thin anterior border.



  The second of these functions is to prevent the too abrupt and too rapid solidification of the leading edge of the molten metal advancing along the mold and, consequently, formation. recoveries or recoveries due to the fact that the thin metal coils, constituting this front edge, are too cold to be welded effi ciently to the molten metal which subsequently covers them.

   The insulating coating provides a thermal barrier that effectively stops and controls the rate of solidification of the leading edge of the molten metal. Due to the small thickness of the coating, the overall solidification rate of the cast member remains about the same as in a bare metal mold, while the heat flow to the mold from the front edge of the molten metal. is momentarily stopped. This edge is thus maintained at a temperature sufficient for it to weld and bond intimately with the molten metal which subsequently covers it.

   The complete melting of the metal forming the outer part of the cast member, when the molten metal spreads in the mold, is thus ensured at the cost of a momentary stopping of the flow of heat to the mold. In practice, the coating does not cause an appreciable slowing down of the overall heat flow, it does not prevent the rapid glazing of the metal, characteristic of casting in metal molds, and does not lead to a reduction in the manufacturing speed of the elements. sunk.



  Once the cast element has cooled, the coating is sufficiently friable to oppose only low resistance during demoulding. This operation therefore largely destroys the coating and, before a new casting operation, it is necessary to carry out a new spraying to form a new coating and so on.



  With a suspension of given composition, it is possible to modify and adjust the properties of the coating and mainly the average dimensions of its protuberances by acting on the spraying operation. This adjustment is necessary in order to avoid a too smooth surface which would not sufficiently entrain the molten metal in the rotational movement of the mold or, on the contrary, a rougher surface than would be necessary for the purpose. for follow-up.



  One composition which has been found to be suitable for providing a coating having the desired characteristics is a suspension in water of silica flour and bentonite. This suspension is deposited on the inner face of the heated metal mold, by a spray nozzle effecting a back-and-forth movement relative to this mold.



  The composition of the suspension intended to constitute the coating can be modified, but satisfactory results have been obtained with a uniform aqueous suspension, made in the proportions of one liter of water per 500 to 1000 g of silica flour and 10 to 40 g of bentonite. The silica flour plots should be of such fineness that the slurry can be sprayed using some type of jet sprayer, and are <preferably about a size of 13 sieve. square meshes at least per millimeter.

   Although bento nite effectively helps to keep the silica flour suspended in water, it is desirable that the liquid suspension be stirred more or less continuously, in order to maintain its uniformity during application.



  While spraying such a suspension on its inner surface, it is essential that the mold be heated to a temperature between 122 and 425 C, preferably between 177 and 260 C. The suspension should. be sprayed and. sprayed onto the mold at such a rate that the liquid evaporates very quickly, as soon as the spray-formed globules come into contact with the heated surface. However, the mold should not be hot enough for the liquid to evaporate before the globules have settled. When the suspension is applied in the manner indicated, the solids, refractories or binders of each globule remain where they were deposited on the surface of the mold and a coating is thus gradually formed.

   When the spraying conditions are such that the globules do not spread or move together on the surface of the mold, the coating has a rough surface, consisting of a very large number of protrusions or protuberances.



  The peculiar shape and profile of each protuberance does not seem to matter, although it has been recognized that very satisfactory results are obtained with a surface which, enlarged by the photograph, resembles that of 'a cauliflower. The protuberances of such a surface are. naturally irregular in shape and size and are usually arranged so as to be separated from each other by appreciable distances. However, it should not be concluded that such an irregularity is essential.

   It is desirable that the coating be formed such that the protuberances merge into a forming portion. a base layer where they are connected by their bases, so that the surface of the mold is almost entirely covered by the coating, and so that the load of molten metal is subjected in a more or less uniform manner to the coating. thermal barrier action exerted by the coating.



  The character of the coating surface can be quickly changed to obtain a surface which is neither too smooth to exert the desired action on the distribution of molten metal in the mold nor rougher than would be necessary for this purpose. Changes in the roughness of the coating surface can be achieved by appropriate adjustment of the various conditions under which the. spraying is carried out. It is possible, for example, to act on the shape and direction of the jet exiting the base of the sprayer, on the distance separating this nozzle from the surface of the mold, or on the degree of spraying of the suspension.

   It is also possible to vary the pressure of a gaseous fluid used for the spraying or to modify the quantity of suspension sprayed on a given area of the surface of the mold in a given time, or to vary the extent of the progressive formation of the coating. .



  Different shaped nozzles or spray heads can be used to apply the slurry to form the coating, but the advantages of the fan-shaped jet have been recognized, as it can be quickly adjusted to vary the size and size. the directions of the fan or blade thrown by the nozzle.

   When a coating is applied to a rotating cylindrical mold by means of a spraying device driven by a relative reciprocating movement in the length direction, within the bore of the mold, it It is preferable that this device is arranged such that the fan or blade jet extends parallel to the longitudinal axis of the axis of the mold. Such an arrangement is desirable, in order to produce a coating having a rough surface.

   A less rough coating can be obtained by varying the direction of the jet, from this direction parallel to the axis to a direction perpendicular to the latter. Due to the greater concentration of the jet over a given area of the mold surface, a smooth surface coating can be obtained by directing the nozzle perpendicular to the mold surface, while a rough surface can be obtained by directing the nozzle perpendicular to the mold surface. directing the nozzle obliquely to this surface, at an angle of 45 for example.

   It has also been recognized that an increase in the pressure of air or other gaseous fluid used in a pneumatic spray device tends to produce a thicker coating, but this tendency can be counteracted if the spray nozzle is placed too close to the surface of the mold. By increasing the distance separating this nozzle from the surface of the mold, one tends to increase the roughness of the surface of the coating.



  The roughness of the coating surface can also be varied by modifying the amount of suspension applied to a given area of the mold surface in a given time. When sprayed at an appropriate speed, the solids of the various globules remain in place, so that the incremental growth produces a rough surface coating. If the amount of suspension applied to the mold or the speed with which it is applied is increased, the suspension tends to spread over the surface of the mold, due to the slower evaporation of the liquid, and the result is a coating with a smoother surface.



  When the different conditions are such as to produce a coating having a rough surface of a suitable character, the roughness of the surface tends to increase as the thickness of the coating gradually increases.

   It is likely that this is due to the fact that the distinct masses of solid matter of the first globules which hit the surface of the mold protrude on the surface and are thus placed so as to intercept the projected material,

   in greater quantity than the surface which surrounds them. These small masses of solid material thus grow more rapidly in thickness than the surrounding areas of the surface of the coating and this rapid growth continues until the thickness of the protuberances thus formed becomes sufficient to isolate their exposed surfaces. of the calorific action of the mold and thus to prevent the liquid from rapidly evaporating from the additional globules or parts of globules which are directed to these surfaces.

   When this occurs, a stage has been reached in which the projected globules sink and coalesce into a relatively smooth surface which is no longer suitable for making long tubular members free from defects.



  It has been recognized that the average thickness of a coating formed from the described suspension can vary from about 0.05 to 2 mm. The average number of protrusions can vary between 4 and 50 per centimeter, measured in any direction on the surface of the coating, while the average height of the protrusions above the surrounding area of the coating can vary between 0.025 and 1, 25 mm. The roughness of the coating surface can also be compared to that of paper or emery cloth of Nos. 24 to 240.



  The thickness of the coating. and the order of magnitude of the roughness can be varied to some extent depending on the conditions under which the casting of the molten metal is carried out. For example, when the molten metal is distributed in the direction of the length of the mold, mainly under the effect of centrifugal force, it is possible to use coatings with an average thickness of between 0.25 and 2 mm. These coatings will have 4-20 protrusions per centimeter, counted in any direction on their surface (preferably 8-10 protrusions per centimeter) and an average protuberance height of between 0.125 and 1.25 mm.

   The roughness of these coatings will then be of the order of magnitude of Nos. 24 to <B> 100, </B> depending on the scale of the fabrics or emery paper and preferably between the limits of Nos. 40 and 60. D 'On the other hand, when the molten metal is distributed along the length of the mold, mainly by movement of the pouring nozzle therein, it has been recognized that the coating can be thinner and of a better length. roughness of an order of magnitude less, while still giving satisfactory results.



  With the proportions indicated, the above described above produces a compact coating which adheres to the mold and which, however, is. sufficiently friable. Once the casting operation is complete, the pieces constituting this coating do not adhere to each other and to the mold to such an extent that they prevent the cast element from being quickly demolded. This coating seems to be a little more friable after the casting operation than before the latter. It resists the washing effect by the stream of molten metal when it is poured into the mold, and the protuberances forming its rough surface have an effective grip on the molten metal, the movement of which they regulate, without being crushed. by him. One could not logically expect a coating to act in the manner indicated.

   Its effective action may be due to the fact that the forces exerted on the coating by the molten metal are in fact much smaller than one would expect. It should also be noted that the friability can be modified and adjusted by varying the proportion of benzonite in the suspension intended to constitute the coating.



  A coating formed from this suspension has a temporary character and is applied to the mold before each casting operation. After the application of the coating, the coated mold can be handled, checked, the coating can be renewed and can be put in reserve, as needed, without compromising its subsequent use. After the cast element has been removed from the mold, the coating can quickly be removed from the mold, thanks to its friability, using a wire brush or a jet of compressed air, or both. simultaneously, to facilitate the preparation of the mold for the next casting.



  Various other substrates can be used to form, by spraying them onto the mold, a thin refractory lining having at the same time the necessary thermal barrier effect and the surface roughness required for the entrainment of the molten metal. Silica flour is a satisfactory and readily obtainable refractory product and, when applied as described in the foregoing, forms a coating having the necessary heat resistance and having sufficient porosity to provide l essential thermal barrier effect.

    It is also possible to use any other suitable refractory materials, such as, for example, the oxides of aluminum, magnesium, beryllium, zirconium, chromium, etc. Bentonite is a satisfactory binder because it serves not only as a binding agent for the particles of refractory material in the coating, but also as an agent facilitating the suspension of the particles of refractory material in the liquid support used. .

   Other suitable bonding agents may be used, provided they have the necessary adhesion qualities to enable the coating to resist the forces exerted on it by the load of molten metal and to adhere to the metal mold. satisfactorily and that they are sufficiently refractory and free from components which tend to emit gases during the casting operation. Water is a suitable carrier for the ingredients contained in the suspension, but any other suitable liquid can be employed for this purpose.



  The outer surface of the element, cast according to any embodiment of the method described, exhibits substantially the same roughness as the coating of the mold used in its manufacture. This roughness has no drawbacks in many cases of application of such cast elements. However, where a smoother outer surface is required, it can be obtained quickly by machining the cast member to the required degree of fineness, thereby removing the roughness of its outer surface.

   According to the embodiment of the method, described with reference to the drawing, the distribution of the molten metal in the direction of the length of the mold takes place mainly under the effect of centrifugal force, but it is obvious that the method can also be used in a centrifugal casting installation in which this distribution is mainly effected by a movement of the pouring nozzle, along and inside the mold.

 

Claims (1)

REVENDICATIONS I. Procédé de coulage centrifuge d'un élé ment tubulaire en métal, dans lequel on verse du métal fondu dans un moule métallique permanent disposé sensiblement horizontale ment et qui est animé d'un mouvement de rotation autour de son axe longitudinal, ca ractérisé en ce que, avant de verser le métal fondu dans le moule, on projette sur la sur face intérieure de celui-ci une suspension dans lin liquide d'une matière réfractaire réduite en poudre, et d'un liant, de manière que cette suspension se dépose sur le moule sous forme de globules et en ce que l'on maintient le moule, pendant ladite opération de projec tion, CLAIMS I. A method of centrifugal casting of a tubular metal element, in which molten metal is poured into a permanent metal mold disposed substantially horizontally and which is driven in a rotational movement around its longitudinal axis, which is characterized by in that, before pouring the molten metal into the mold, a suspension in liquid linen of a refractory material reduced to powder, and of a binder, is sprayed onto the inner surface thereof, so that this suspension is deposited on the mold in the form of globules and in that the mold is maintained, during said spraying operation, à une température suffisante pour que le liquide desdits globules déposés s'évapore rapidement, de manière que la matière solide de ces globules forme progressivement un re vêtement isolant continu relativement mince qui adhère au moule et présente sur sa sur= face libre un grand nombre de protubérances destinées à augmenter la prise du moule sur le métal fondu, ledit revêtement adhérant suffisamment pour ne pas être détaché du moule par le métal fondu pendant la répar tition de ce dernier, mais étant assez friable pour ne pas constituer un obstacle au démou lage de l'élément coulé. II. at a temperature sufficient for the liquid of said deposited globules to evaporate rapidly, so that the solid matter of these globules progressively forms a relatively thin continuous insulating coating which adheres to the mold and has on its free surface a large number of protrusions intended to increase the grip of the mold on the molten metal, said coating adhering sufficiently so as not to be detached from the mold by the molten metal during the repair of the latter, but being friable enough not to constitute an obstacle to the release of the mold. the sunken element. II. Moule métallique permanent pour la mise en oeuvre du procédé selon la revendica tion I, caractérisé en ce que sa surface inté rieure est munie d'un revêtement isolant continu, d'une épaisseur moyenne comprise entre 0,05 et 2 mm, et en ce que ce revêtement présente, sur sa surface libre, un grand nom bre de protubérances destinées à augmenter la prise du moule sur le métal fondit coulé dans ce dernier, ledit revêtement adhérant suffisamment au moule pour ne pas être dé taché du moule par le métaffondu pendant la répartition de ce dernier, mais étant assez friable pour ne pas constituer un obstacle au démoulage de l'élément coulé. Permanent metal mold for carrying out the process according to claim I, characterized in that its interior surface is provided with a continuous insulating coating, with an average thickness of between 0.05 and 2 mm, and in that that this coating has, on its free surface, a large number of protuberances intended to increase the grip of the mold on the molten metal cast in the latter, said coating adhering sufficiently to the mold so as not to be detached from the mold by the metaffolding during the distribution of the latter, but being friable enough not to constitute an obstacle to the release of the cast element. SOUS-REVENDICATIONS '. 1. Procédé selon la revendication I, carac térisé en ce que la suspension que l'on pro- jette sur la surface intérieure du moule est une suspension aqueuse et en ce que l'on maintient le moule à une température com prise entre 120 et 425 C pendant cette pro jection. 2. Procédé selon la revendication I et la sous-revendication 1, caractérisé en ce que ladite suspension que l'on projette est une suspension de farine de silice et de bentonite. 3. SUB-CLAIMS '. 1. Method according to claim I, characterized in that the suspension which is sprayed onto the interior surface of the mold is an aqueous suspension and in that the mold is maintained at a temperature between 120 and 425 C during this projection. 2. Method according to claim I and sub-claim 1, characterized in that said suspension which is sprayed is a suspension of silica flour and bentonite. 3. Procédé selon la revendication I et les sous-revendications 1 et 2, caractérisé en ce que ladite suspension aqueuse qu'on projette contient 500 à 1000 g de farine de silice et 10 à 40 g de bentonite par litre d'eau. 4. Procédé selon la revendication 1, carac térisé en ce qu'on projette la suspension sur la surface intérieure du moule jusqu'à ce que le revêtement atteigne une épaisseur moyenne comprise entre 0,05 et 2 mm. 5. Process according to claim I and sub-claims 1 and 2, characterized in that the said aqueous suspension which is sprayed contains 500 to 1000 g of silica flour and 10 to 40 g of bentonite per liter of water. 4. Method according to claim 1, characterized in that the suspension is projected onto the interior surface of the mold until the coating reaches an average thickness of between 0.05 and 2 mm. 5. Procédé selon la revendication I, ca ractérisé en ce qu'on projette la suspension sur la surface intérieure du moule de ma nière que le nombre moyen, compté dans une direction quelconque, des protubérances du revêtement, est compris entre 4 et 50 par centimètre, et en ce que lesdites protubé rances ont une hauteur moyenne, au-dessus dit revêtement environnant, comprise entre 0,025 et 1,25 mm. 6. Procédé selon la revendication I, carac térisé en ce que l'on verse le métal fondu à l'aide d'un bec qui est stationnaire pendant la coulée. 7. Process according to Claim I, characterized in that the suspension is projected onto the interior surface of the mold so that the average number, counted in any direction, of the protuberances of the coating is between 4 and 50 per centimeter, and in that said protuberances have an average height, above said surrounding coating, of between 0.025 and 1.25 mm. 6. A method according to claim I, characterized in that the molten metal is poured using a nozzle which is stationary during the casting. 7. Procédé selon la revendication I, carac térisé en ce qu'on forme le revêtement du moule à l'aide d'in dispositif de projection animé d'un mouvement de va-et-vient Longi tudinal par rapport au moule, pour se dé placer à l'intérieur et sur toute la longueur de ce dernier pendant l'opération de projec tion. 8. Procédé selon la revendication I et la sous-revendication 7, caractérisé en ce qu'on anime le moule d'un mouvement de rotation par rapport au dispositif de projection pen dant l'opération de projection. 9. Process according to Claim I, characterized in that the coating of the mold is formed with the aid of a projection device driven by a reciprocating movement Longi tudinally with respect to the mold, in order to move inside and over the entire length of the latter during the spraying operation. 8. Method according to claim I and sub-claim 7, characterized in that the mold is animated with a rotational movement relative to the projection device during the projection operation. 9. Moule selon la revendication II, carac térisé en ce que le nombre moyen des pro tubérances, compté dans une direction quel conque sur la surface du revêtement, est com pris entre 4 et 50 par centimètre, et en ce que lesdites protubérances ont une hauteur moyenne, au-dessus du revêtement environ nant, comprise entre 0,025 et 1,25 mm. Mold according to claim II, characterized in that the average number of protuberances, counted in any direction on the surface of the coating, is between 4 and 50 per centimeter, and in that said protuberances have an average height , above the coating approximately nant, between 0.025 and 1.25 mm.
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* Cited by examiner, † Cited by third party
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