Presse. La présente invention concerne les presses destinées à former, par exemple, des objets à l'aide d'outils tels que poinçons et matrices et autres outils semblables. L'objet de l'in vention est une presse comprenant un bâti présentant une face supérieure, un sommier situé au-dessus de ladite face du bâti et des tiné à porter des outils, caractérisée en ce que le sommier est porté par des barres de trac tion traversant ladite face du bâti et destinées à communiquer au sommier un mouvement alternatif, en ce qu'elle comprend des cadrans d'alimentation situés du même côté que le sommier par rapport à ladite face et destinés à pivoter chacun autour d'une barre de trac tion pour amener les objets à façonner suc cessivement sous les différents outils que porte le sommier, et enfin,
en ce qu'elle com prend des moyens pour faire pivoter les ca drans de façon intermittente et en synchro nisme avec le mouvement alternatif du som mier.
On a décrit ci-dessous et représenté aux dessins annexés une forme d'exécution de l'in vention, donnée à titre d'exemple.
La fig. 1 est une vue en perspective d'une presse faite pour être portée par un plancher. lia fig. 2 est une vue en bout de l'arrière de la presse représentée dans la fig. 1, moins les outils, la partie inférieure étant une coupe partielle suivant approximativement la ligne 2-2 de la fig. 4, alors que celle supérieure droite est une coupe partielle suivant approxi mativement la ligne 2-2 de la fig. 6. La fig. 3 est une élévation frontale avec coupe partielle suivant approximativement la ligne 3-3 de la fig. 2.
La fig. 4 est une coupe horizontale suivant approximativement la ligne 4-4 de la fig. 2. La fig. 5 est une coupe élévation suivant approximativement la ligne 5-5 de la fig. 4. La fig. 6 est une coupe horizontale suivant approximativement la ligne 6-6 de la fig. 2.
La. fig. 7 est une coupe élévation partielle suivant approximativement la ligne 7-7 de la<B>fi-.</B> 6.
La presse est représentée dans les fig. 1 à 7 comme étant munie d'outils pour l'exécu tion d'une opération simple. L'opération re présentée est celle de la fixation, à l'aide d'une matrice généralement représentée par la lettre A (voir fig. 7), d'un anneau métalli que B aux environs de la base d'un projectile P. On peut exécuter simultanément, à l'aide de la machine représentée et ainsi que cela va être décrit plus en détail, quatre opérations ana logues. Néanmoins, il est clair qu'un nombre incalculable d'autres opérations que celle par ticulière représentée peuvent être exécutées à l'aide de la presse. D'une façon générale, la.
machine représentée comprend un bâti rec tangulaire en plusieurs parties et adapté pour être porté par le plancher. La partie supé rieure dudit bâti C présente une face de support 10 sur laquelle sont posées d'une fa çon amovible les deux plaques 11 et 12, alors que les barres de traction 13, 14, 15 et 16, reliées aux sommets du sommier D, permet tent d'animer ce dernier d'un mouvement al ternatif par rapport à la face 10, cette com binaison étant associée à quatre éléments 17, 18, 19 et 20 en forme de cadrans disposés concentriquement par rapport aux barres de traction 13, 14, 15 et 16.
Les parties infé rieurs des barres de traction 13, 14, 15 et 16 sont reliées au sommier inférieur E, logé à l'intérieur du bâti C vers la base de la ma chine, et forment avec lesdites barres et le sommier supérieur un ensemble rigide qui est animé, dans le sens vertical, d'un mouvement alternatif grâce à un vilebrequin F qui est relié au sommier inférieur E par l'intermé diaire d'une tige d'assemblage ou bielle ré glable G.
Le vilebrequin I', disposé horizontalement sous la table 10 et au-dessus du sommier in férieur F, passe à travers le bâti C, et son ou ses éléments concentriques sont supportés par des coussinets appropriés logés dans ledit bâti,C.
Suivant la machine représentée dans la fig.- 1, l'extrémité arrière du vilebrequin F est munie d'un volant et d'une poulie d'en traînement 21 (voir fig. 3) libre en rotation, mais adaptée pour en être rendue solidaire grâce à un embrayage H de construction nor male, commandé par une pédale 22 fixée à une tige horizontale 23 supportée par le bâti C, de façon à pouvoir tourner par rapport à lui, et reliée audit embrayage pour pouvoir le commander, par un système de levier approprié, généralement désigné par le chif fre 24.
Le mécanisme de commande 25 d'un frein J coopérant, au-delà de l'embrayage, avec le vilebrequin h\ est relié au mécanisme de commande de l'embrayage de manière telle, que le frein est appliqué toutes les fois que l'embrayage est dégagé. Le frein J, son méca nisme de commande et l'embrayage HH pou vant être de construction courante bien con nue, ne seront pas décrits en détail. On se contentera de mentionner, que si on le désire, la presse pourra être mise en action automa tiquement ou non.
Une source d'énergie mé canique, telle qu'un moteur électrique (non représenté) est reliée par l'intermédiaire d'une courroie 26 à la poulie d'entraînement et au volant 21 qui sont ainsi, et pendant toute la durée de fonctionnement de la presse, maintenus constamment en rotation.
Dans son mouvement vertical, le sommier inférieur est guidé et coopère avec des sur faces en forme de V 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33 et 34, dont les deux premières sont disposées entre la face intérieure de la paroie frontale du bâti C et la face extérieure de la paroi frontale du sommier E (voir fig. 4), alors que les deux autres se trouvent entre la face in terne de la paroi arrière du bâti et la face extérieure arrière du sommier. Les voies de guidages sont disposées à côté du vilebrequin F et celles du bâti s'étendent, bien au- dessus du bord inférieur de la ou des parties concentriques dudit vilebrequin.
Cette construction permet auxdites voies, et particulièrement à celle du bâti, d'être très longues, d'offrir une longue surface de gui dage, sans que l'on soit obligé d'augmenter la hauteur totale de la machine, et de permettre ainsi l'augmentation de la précision avec la quelle le sommier supérieur se déplace. Sui vant la forme d'exécution particulière repré sentée, les voies de guidages du bâti, servant à guider le sommier E, sont formées direc tement par des éléments en forme de [J 35, 36, les paires de voies de guidages d'un côté de la machine étant constituées par un des éléments, alors que l'autre forme les voies de guidages du second côté de la machine.
Les éléments 35 et 36 sont fixés au bâti à l'aide d'un certain nombre d'écrous 37, cependant, les éléments peuvent être réglés, ou rappro chés, ou écartés de l'intérieur du pied par des écrous de réglage 38, vissés dans des trous taraudés portés par le bâti C, et qui sont munis de contre-écrous qui les maintiennent dans leur position réglée quelle qu'elle soit. Ainsi que cela est indiqué dans la fig. 5, les extrémités intérieures des écrous 38 prennent appui sur les éléments 35 et 36.
Suivant une variante, on peut employer d'autres moyens pour régler les voies de guidages par rapport à la face intérieure du bâti de la machine, et lesdites voies peuvent être constituées par des éléments individuels de façon à permettre le réglage individuel des deux voies de l'un ou de l'autre côté du sommier E.
Les éléments 35 et 36 présentent la forme d'un<B>U</B> ou pos sèdent des parties échancrées s'ouvrant vers leurs bords supérieurs, cette disposition permet tant aux voies de s'étendre au-dessus du bord inférieur de la portion concentrique du vile brequin F. Pour tirer tout l'avantage de la longueur accrue des voies disposées à l'inté rieur du bâti C, la partie intérieure du cadre, se trouvant directement sous le sommier E, est non obstruée, et permet le déplacement descendant dudit sommier jusque près du plancher qui supporte la presse. La partie supérieure du sommier est échancrée pour loger le vilebrequin, et permet ainsi aux sur faces qui coopèrent avec les voies du cadre de s'étendre au-dessus de la partie inférieure de la portion concentrique du vilebrequin.
Les barres de traction 13, 14, 15 et 16, à l'endroit où elles passent à travers le bâti C, sont guidées par des douilles coniques fen dues réglables 40, logées, de façon à pouvoir glisser, dans des éléments tubulaires 41 fixés dans le bâti C. Les extrémités supérieures des douilles coniques 40 sont cylindriques et sont vissées dans des éléments 42 qui entourent les barres et qui sont situés au-dessus du bâti C. La construction est telle, que si on tourne les éléments 41 et en vertu de la coopération des surfaces coniques des douilles 40 et des éléments 41, les sections desdites douilles, qui sont. de préférence au nombre de trois, sont réglées vers l'intérieur ou vers l'extérieur par rapport aux barres de traction qui les tra versent.
Les barres de traction passent à tra vers des ouvertures appropriées 43 ménagées dans les plaques support-poinçon 11 et 12, et les portions des barres situées entre le dessus du bâti C et la surface inférieure du sommier supérieur D sont munies, de préférence, de tubes télescopiques de guidages 44 et 45, fixés aux éléments 42 et aux douilles 46, portées sous le sommier D par les barres de traction. Les tubes de protection 44 et 45 empêchent toute détérioration des barres de traction. Dans le présent exemple, les plaques sup- port-poinçon 11 et 12 sont fixées sur le des sus, ou table 10 du bâti C.
Elles s'étendent longitudinalement le long de chaque côté du cadre et supportent le dispositif d'alimenta tion à cadran et les éléments d'entraînement des poinçons 17, 18, 19 et 20 qui peuvent res pectivement tourner autour des barres 13, 14, 15 et 16. Lesdites plaques 11 et 12 sont dis posées ou fixées par rapport aux trous du ca dre à travers lesquels passent les barres, au moyen d'éléments 50 de formes annulaires, dont les extrémités inférieurs sont logées dans l'épaulement supérieur des trous du ca dre, tout en entourant l'embase annulaire for mée par l'extrémité inférieure de chacun des éléments 42 (voir fig. 2).
Les cadrans sont supportés par les plaques support-poinçon de façon à pouvoir tourner autour de douilles cy lindriques d'espacements 5l. fixées auxdites plaques à laide de manches 52 dont les bords inférieurs sont munis de rebords qui se logent dans les épaulements ménagés dans les pla ques<B>Il-</B> et 12, alors qu'à leurs extrémités su périeures sont vissés des éléments 53 de la forme d'écrous dont les extrémités s'appuient sur les éléments 54 en forme de disques qui sont en contact avec les surfaces supérieures des éléments 51. La réalisation est telle, que les cadrans tournent librement autour des éléments 51.
E n cours d'opération, les cadrans tour nent, ou sont déplacés par à-eoups dans la direction indiquée par les flèches (voir fig. 6) pour acheminer, et déplacer les ébauches, ou objets à, travailler, vers et à partir des posi tions situées sous les outils qui sont portés ; par le sommier supérieur et se prolongent vers le bas. Ainsi que cela a été mentionné précédemment, on peut employer toute dispo sition appropriée pour les outils.
Si l'on se rapporte à la disposition particulière repré sentée dans les dessins, les anneaux B, main tenus dans la position de travail par les ca drans, sont adaptés pour être resserrés aux extrémités inférieures des projectiles P au moyen des matrices A fixées à un bloc d'es- pavement 55 attaché à la face inférieure du sommier D. Ainsi que cela ressort de la fig. 6, les positions de travail sont les quatre positions les plus rapprochées de l'axe cen tral vertical de la machine. Les autres posi tions représentées sont soit des positions dans lesquelles on introduit ou on enlève des objets des cadrans, soit des positions mortes .
L'introduction ou l'enlèvement des objets des cadrans est de préférence exécuté dans une ou plusieurs positions extérieures; cette opé ration peut être manuelle ou automatique. Bien que dans l'exemple représenté, une opé ration soit exécutée dans ime position seule ment d'un cadran donné, on peut employer un nombre de positions pour la formation, l'éjection ou l'introduction, etc., des objets à travailler. Il est clair que l'éjection et l'intro duction seront de préférence faites dans une ou dans des positions situées près des côtés de la machine, puisque ces positions sont les plus accessibles, alors que la formation et le tra vail seront exécutés dans des positions situées près du centre de la machine.
Pendant que le sommier D est près de la limite supérieure de son déplacement, les cadrans tournent, ou sont déplacés pour transporter l'objet à travailler de station en station. La périphérie des cadrans 17, 18, 1.9, 20 est pourvue d'une pluralité d'échancrures verticales 56 qui forment des dents à double face 57 et 58, et pendant la partie active du cycle d'opérations, les cadrans sont main tenus immobiles par des cliquets 60 et 61 qui coopèrent respectivement avec les dents 57 et 58 des différentes échancrures 56.
Des pous soirs 62 et 63, pouvant glisser respectivement dans des boîtes 64 et 65 fixées sur les plaques 11 et 12, appuient sur lesdits cliquets suivant une direction telle, que ces derniers entrent, par une de leurs extrémités, en contact avec les dents 57 et 58. La réalisation de cette dis position est telle, que les cliquets 60 et 61, en dehors de la période de la mise en place, em pêchent, dans un sens comme dans l'autre, toute rotation des cadrans.
L'avancement périodique des cadrans est effectué par l'in termédiaire de cliquets 66 fixés de façon à pouvoir pivoter sur une barre 67, cette der- nière étant supportée de faon à pouvoir glis ser sur une plaque 68 fixée à la partie supé rieure du cadre et entre les deux plaques 11 et 12. La faon particulière dont est fixée la barre glissante 67 importe peu.
Ainsi que cela est représenté, cette barre a la forme d'un T renversé, et ses côtés inférieurs, évasés sont enfermés entre des contre-clavettes 70, verti cales, qui entrent en contact avec les côtés opposés de ladite barre; ces contre-clavettes 70 sont transversalement ajustables par rapport à la barre 70 grâce à des vis 71 portées par des éléments 72 et 73 qui sont fixés à la pla que 68 par les vis 74. Celles-ci, outre qu'elles retiennent en position la plaque 68 et les élé ments 72 et<B>73,</B> aident à maintenir les élé ments 75 et 76, respectivement sur les élé ments 72 et 73. Les faces adjacentes des élé ments 75 et 76 surplombent les côtés évasés de la barre glissante 67 et empêchent tout mou vement vertical de celle-ci.
La barre de glissement 67 animée d'un mouvement de va-et-vient en synchronisme avec celui que le mécanisme coudé communi que aii sommier D, ledit mécanisme, désigné d'une façon générale par la lettre K, étant relié à ladite barre et au vilebrequin F. Comme représenté, le vilebrequin F est relié par l'intermédiaire des engrenages coniques 77 et 78 à l'extrémité inférieure d'un arbre vertical 80 qui est supporté, de façon à pouvoir tourner, par un coussinet 81 fixé de façon amovible au cadre C. L'extrémité supérieure de l'arbre 80 est munie d'une pièce coudée 82 sur laquelle est montée une roulette 83 excen trée par rapport à l'axe de rotation de l'ar bre 80.
La roulette 83 s'engage dans une fente 84 ménagée dans la surface inférieure d'un bras 85 qui est relié, de façon à pouvoir tour ner autour d'un axe 86 fixé dans un bossage 87 situé d'un côté de l'arbre 80. Une rou lette 88 portée par le bras 85 sur sa face su périeure, s'engage dans une fente transversale 90 ménagée dans la face inférieure de la barre glissante 67. La construction est telle, que le mouvement alternatif de la barre glis sante. 67 est synchrone avec la rotation du vilebrequin et avec le mouvement alternatif du sommier D.
Suivant mie alternative, la roulette 83, ou un élément semblable peut s'engager directement dans la fente 90, ou dans une fente analogue ménagée dans la barre glissante 67, mais la forme d'exécution représentée offre l'avantage d'une mise en place rapide, puisque la partie du<I>cycle</I> d'opé ration employée pour cette mise en place est inférieure à la moitié du cycle complet.
Les cliquets 66 mentionnés ci-dessus, et portés par la barre glissante 67, sont, grâce à des poussoirs 91, actionnés par des ressorts et supportés, tout en pouvant glisser, par des éléments 92 fixés sur le dessus de la barre glissante 67, constamment poussés pour s'en gager dans les cadrans. La construction est telle, que lorsque la barre glissante 67 se retire, c'est-à-dire se meut vers le bas de la fig. 6, les cliquets 66 se déplacent sur les pé riphéries des cadrans jusqu'à engagement avec l'échancrure suivante; lorsque la barre glissante 67 se déplace dans la direction op posée, lesdits cliquets font tourner ou avancer les cadrans d'une position ou station.
Dans la fig. 6, la position retranchée d'un des cli- quets est représentée en pointillé. Les autres cliquets prendront des positions analogues. Avant que la barre glissante 67 n'atteigne sa position retranchée extrême, les bords arrières des éléments 92 entrent en contact avec des prolongements 93 des cliquets 61, retirent les cliquets des échancrures et ensuite des dents avec lesquels ils étaient en contact.
Comme la barre glissante 67 se déplace dans la di rection de l'avancement des cadrans, les éléments 92 s'écartent des prolongements 93 des cliquets 61 et permettent leur retour à la position opérative normale, mais avant qu'ils ne soient capables d'entrer à nouveau en contact avec les échancrures qu'ils ont quittées, les cliquets 66 on fait avancer suffi samment les cadrans pour que lesdits cli- quets 61 chevauchent sur la périphérie de ces derniers. Les cadrans ayant avancé d'une position, les cliquets 61 s'engageront dans les échancrures suivantes et empêcheront, jus qu'à la mise en position suivante, toute avance des cadrans.
Ainsi que cela a été mentionné précédemment, .tout déplacement des ca drans en sens inverse est empêché par les,, cliquets 60 qui coopèrent successivement avec toutes les échancrures.
Le fonctionnement de la presse découle de la description ci-dessus accompagnée des des sins. Qu'il suffise de mentionner que l'alimen tation en pièces à travailler dans un ou plu sieurs cadrans et dans n'importe quelle des positions représentées (de préférence dans une position adjacente aux côtés de la ma chine) peut être manuelle ou automatique, c les ébauches étant ensuite déplacées de station en station, ces dernières pouvant comporter une ou plusieurs opérations de formation. Là, où les opérations de mise en place sont exécutées en synchronisme avec le mouvement c alternatif du sommier D, et les cadrans sont, en dehors de l'intervalle de temps pen dant lequel se fait leur mise en place réelle, maintenus dans une position fixe grâce aux cliquets 60 et 61.
De la description qui précède, il ressort que la presse est peu coûteuse et de dimen sions réduites.
Hurry. The present invention relates to presses for forming, for example, articles using tools such as punches and dies and the like. The object of the invention is a press comprising a frame having an upper face, a bed base located above said face of the frame and tines to carry tools, characterized in that the bed base is carried by support bars. traction passing through said face of the frame and intended to impart reciprocating motion to the bed base, in that it comprises supply dials located on the same side as the bed base with respect to said face and each intended to pivot around a bar of traction to bring the objects to be shaped successively under the various tools carried by the bed base, and finally,
in that it comprises means for rotating the ca drans intermittently and in synchronism with the reciprocating movement of the base.
An embodiment of the invention, given by way of example, has been described below and shown in the accompanying drawings.
Fig. 1 is a perspective view of a press made to be carried by a floor. lia fig. 2 is an end view of the rear of the press shown in FIG. 1, minus the tools, the lower part being a partial section taken approximately along line 2-2 of FIG. 4, while the upper right one is a partial section along the line 2-2 of FIG. 6. FIG. 3 is a front elevation partially in section taken approximately on line 3-3 of FIG. 2.
Fig. 4 is a horizontal section taken approximately along line 4-4 of FIG. 2. FIG. 5 is a sectional elevation taken approximately on line 5-5 of FIG. 4. FIG. 6 is a horizontal section taken approximately along line 6-6 of FIG. 2.
Fig. 7 is a partial elevation section taken approximately on line 7-7 of <B> fi-. </B> 6.
The press is shown in fig. 1 to 7 as being provided with tools for carrying out a simple operation. The operation shown is that of fixing, using a die generally represented by the letter A (see fig. 7), of a metal ring B around the base of a projectile P. Four similar operations can be carried out simultaneously, using the machine shown and as will be described in more detail. Nevertheless, it is clear that countless other operations than the particular one shown can be performed using the press. In general, the.
machine shown comprises a rec tangular frame in several parts and adapted to be carried by the floor. The upper part of said frame C has a support face 10 on which the two plates 11 and 12 are removably placed, while the traction bars 13, 14, 15 and 16, connected to the tops of the bed base D , makes it possible to animate the latter with an alternate movement with respect to the face 10, this combination being associated with four elements 17, 18, 19 and 20 in the form of dials arranged concentrically with respect to the traction bars 13, 14, 15 and 16.
The lower parts of the traction bars 13, 14, 15 and 16 are connected to the lower bed base E, housed inside the frame C towards the base of the machine, and together with said bars and the upper bed frame form a rigid assembly. which is driven, in the vertical direction, with a reciprocating movement thanks to a crankshaft F which is connected to the lower beam E by the intermediary of an assembly rod or adjustable connecting rod G.
The crankshaft I ', disposed horizontally under the table 10 and above the lower beam F, passes through the frame C, and its concentric element (s) are supported by suitable bearings housed in said frame, C.
According to the machine shown in fig. 1, the rear end of the crankshaft F is provided with a flywheel and a drive pulley 21 (see fig. 3) free to rotate, but adapted to be made therefrom. integral with a clutch H of normal construction, controlled by a pedal 22 attached to a horizontal rod 23 supported by the frame C, so as to be able to rotate relative to it, and connected to said clutch to be able to control it, by a system appropriate leverage, generally designated by number 24.
The control mechanism 25 of a brake J cooperating, beyond the clutch, with the crankshaft h \ is connected to the control mechanism of the clutch in such a way that the brake is applied whenever the clutch is disengaged. The brake J, its control mechanism and the clutch HH may be of well-known common construction, will not be described in detail. We will only mention that, if desired, the press can be put into action automatically or not.
A source of mechanical energy, such as an electric motor (not shown) is connected by means of a belt 26 to the drive pulley and to the flywheel 21 which are thus, and throughout the period of operation of the press, kept constantly in rotation.
In its vertical movement, the lower base is guided and cooperates with V-shaped surfaces 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33 and 34, the first two of which are arranged between the inner face of the front wall of the frame C and the outer face of the front wall of the bed base E (see fig. 4), while the other two are located between the inner face of the rear wall of the frame and the rear exterior face of the bed base. The guide tracks are arranged next to the crankshaft F and those of the frame extend well above the lower edge of the concentric part or parts of said crankshaft.
This construction allows said tracks, and particularly that of the frame, to be very long, to offer a long guiding surface, without having to increase the total height of the machine, and thus to allow the increase in precision with which the upper box spring moves. In accordance with the particular embodiment shown, the guide tracks of the frame, serving to guide the bed base E, are formed directly by elements in the form of [J 35, 36, the pairs of guide tracks of a side of the machine being formed by one of the elements, while the other forms the guideways of the second side of the machine.
The elements 35 and 36 are fixed to the frame with a number of nuts 37, however, the elements can be adjusted, or brought together, or moved apart from the inside of the foot by adjusting nuts 38, screwed into threaded holes carried by frame C, and which are fitted with locknuts which hold them in their adjusted position whatever it may be. As indicated in fig. 5, the inner ends of the nuts 38 bear on the elements 35 and 36.
According to a variant, other means can be used to adjust the guide tracks relative to the inner face of the frame of the machine, and said tracks can be formed by individual elements so as to allow individual adjustment of the two tracks. either side of the base E.
The elements 35 and 36 have the shape of a <B> U </B> or have notched parts opening towards their upper edges, this arrangement allows both the tracks to extend above the lower edge of the concentric portion of the brequin vile F. To take full advantage of the increased length of the tracks arranged inside the frame C, the interior part of the frame, located directly under the bed base E, is unobstructed, and allows the downward movement of said base to close to the floor which supports the press. The upper part of the base is notched to house the crankshaft, and thus allows the surfaces which cooperate with the tracks of the frame to extend above the lower part of the concentric portion of the crankshaft.
The drawbars 13, 14, 15 and 16, where they pass through the frame C, are guided by adjustable fen due conical bushings 40, housed so as to be able to slide in the tubular elements 41 fixed. in the frame C. The upper ends of the conical bushings 40 are cylindrical and are screwed into elements 42 which surround the bars and which are located above the frame C. The construction is such that if we turn the elements 41 and by virtue of the cooperation of the conical surfaces of the sockets 40 and the elements 41, the sections of said sockets, which are. preferably three in number, are adjusted inward or outward with respect to the traction bars which traverse them.
The tension bars pass through suitable openings 43 formed in the punch-support plates 11 and 12, and the portions of the bars situated between the top of the frame C and the lower surface of the upper frame D are preferably provided with telescopic guide tubes 44 and 45, fixed to the elements 42 and to the bushes 46, carried under the base D by the traction bars. The protection tubes 44 and 45 prevent any damage to the traction bars. In the present example, the punch support plates 11 and 12 are fixed on the top, or table 10 of the frame C.
They extend longitudinally along each side of the frame and support the dial feed device and the punch drive elements 17, 18, 19 and 20 which can respectively rotate around the bars 13, 14, 15. and 16. Said plates 11 and 12 are arranged or fixed with respect to the holes of the frame through which the bars pass, by means of elements 50 of annular shapes, the lower ends of which are housed in the upper shoulder of the holes. of the frame, while surrounding the annular base formed by the lower end of each of the elements 42 (see fig. 2).
The dials are supported by the support-punch plates so as to be able to turn around cylindrical bushes 5l spacing. fixed to said plates by means of sleeves 52, the lower edges of which are provided with flanges which fit into the shoulders formed in the plates <B> Il- </B> and 12, while at their upper ends are screwed elements 53 in the form of nuts, the ends of which rest on the elements 54 in the form of discs which are in contact with the upper surfaces of the elements 51. The embodiment is such that the dials rotate freely around the elements 51.
In the course of operation, the dials turn, or are jerkily moved in the direction indicated by the arrows (see fig. 6) to convey, and move the blanks, or objects to, work, to and from positions under the tools that are carried; by the upper base and extend downwards. As mentioned previously, any suitable arrangement for the tools can be employed.
If we refer to the particular arrangement shown in the drawings, the rings B, hand held in the working position by the drans, are adapted to be tightened at the lower ends of the projectiles P by means of the dies A fixed to a paving block 55 attached to the underside of the bed base D. As can be seen from FIG. 6, the working positions are the four positions closest to the vertical central axis of the machine. The other positions shown are either positions in which objects are introduced or removed from the dials, or dead positions.
The introduction or removal of objects from the dials is preferably performed in one or more outer positions; this operation can be manual or automatic. Although in the example shown, an operation is performed in only one position of a given dial, a number of positions can be employed for the formation, ejection or introduction, etc., of the objects to be worked on. . It is clear that the ejection and the introduction will preferably be done in one or in positions located near the sides of the machine, since these positions are the most accessible, while the training and the work will be carried out in positions near the center of the machine.
While the D-base is near the upper limit of its displacement, the dials rotate, or are moved to transport the object to be worked from station to station. The periphery of the dials 17, 18, 1.9, 20 is provided with a plurality of vertical indentations 56 which form double-sided teeth 57 and 58, and during the active part of the cycle of operations, the dials are kept still. by pawls 60 and 61 which cooperate respectively with the teeth 57 and 58 of the various notches 56.
Pous evenings 62 and 63, which can slide respectively in boxes 64 and 65 fixed on the plates 11 and 12, press on said pawls in a direction such that the latter come into contact with the teeth 57 by one of their ends. and 58. The realization of this dis position is such that the pawls 60 and 61, outside the period of installation, prevent, in one direction or the other, any rotation of the dials.
The periodic advancement of the dials is effected by means of pawls 66 fixed so as to be able to pivot on a bar 67, the latter being supported so as to be able to slide on a plate 68 fixed to the upper part of the bar. frame and between the two plates 11 and 12. The particular way in which the sliding bar 67 is fixed does not matter.
As shown, this bar has the shape of an inverted T, and its flared lower sides are enclosed between counter-keys 70, vertical, which come into contact with the opposite sides of said bar; these counter-keys 70 are transversely adjustable with respect to the bar 70 by means of screws 71 carried by elements 72 and 73 which are fixed to the plate 68 by the screws 74. These, in addition to retaining in position the plate 68 and the elements 72 and <B> 73, </B> help to hold the elements 75 and 76, respectively on the elements 72 and 73. The adjacent faces of the elements 75 and 76 overhang the flared sides of the sliding bar 67 and prevent any vertical movement thereof.
The sliding bar 67 animated by a back and forth movement in synchronism with that which the elbow mechanism communicates with the base D, said mechanism, generally designated by the letter K, being connected to said bar and to the crankshaft F. As shown, the crankshaft F is connected through the intermediary of the bevel gears 77 and 78 to the lower end of a vertical shaft 80 which is supported, so as to be able to turn, by a bearing 81 fixed in such a way removable to the frame C. The upper end of the shaft 80 is provided with an elbow piece 82 on which is mounted a roller 83 eccentric with respect to the axis of rotation of the shaft 80.
The caster 83 engages in a slot 84 made in the lower surface of an arm 85 which is connected so as to be able to turn around an axis 86 fixed in a boss 87 located on one side of the shaft. 80. A wheel 88 carried by the arm 85 on its upper face, engages in a transverse slot 90 formed in the lower face of the sliding bar 67. The construction is such that the reciprocating movement of the sliding bar . 67 is synchronous with the rotation of the crankshaft and with the reciprocating movement of the beam D.
Depending on the alternative, the wheel 83, or a similar element can engage directly in the slot 90, or in a similar slot formed in the sliding bar 67, but the embodiment shown offers the advantage of rapid placement, since the part of the <I> cycle </I> of operation used for this placement is less than half of the complete cycle.
The pawls 66 mentioned above, and carried by the sliding bar 67, are, thanks to pushers 91, actuated by springs and supported, while being able to slide, by elements 92 fixed on the top of the sliding bar 67, constantly pushed to engage in the dials. The construction is such that when the sliding bar 67 withdraws, that is to say moves downwards in FIG. 6, the pawls 66 move on the periphery of the dials until they engage with the following notch; when the sliding bar 67 moves in the opposite direction, said pawls rotate or advance the dials one position or station.
In fig. 6, the retracted position of one of the pawls is shown in dotted lines. The other pawls will take similar positions. Before the slide bar 67 reaches its extreme recessed position, the rear edges of the elements 92 contact extensions 93 of the pawls 61, remove the pawls from the notches and then from the teeth with which they were in contact.
As the sliding bar 67 moves in the direction of the advance of the dials, the elements 92 move away from the extensions 93 of the pawls 61 and allow their return to the normal operating position, but before they are able to once again come into contact with the notches which they have left, the pawls 66 are advanced enough to advance the dials for said pawls 61 to overlap on the periphery of the latter. The dials having advanced one position, the pawls 61 will engage in the following notches and prevent, until the next position, any advance of the dials.
As was mentioned above, any movement of the drans in the opposite direction is prevented by the pawls 60 which successively cooperate with all the notches.
The operation of the press follows from the above description accompanied by sins. Suffice it to mention that the supply of workpieces in one or more dials and in any of the positions shown (preferably in a position adjacent to the sides of the machine) can be manual or automatic, c the blanks then being moved from station to station, the latter possibly comprising one or more training operations. There, where the positioning operations are carried out in synchronism with the reciprocating movement of the bed base D, and the dials are, outside the time interval during which their actual positioning takes place, kept in a position fixed thanks to pawls 60 and 61.
From the foregoing description, it emerges that the press is inexpensive and of small dimensions.