CH203924A - Métier à tisser domestique. - Google Patents

Métier à tisser domestique.

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CH203924A
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Fils Louis Segard
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Louis Segard & Fils
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    • D03WEAVING
    • D03DWOVEN FABRICS; METHODS OF WEAVING; LOOMS
    • D03D29/00Hand looms

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  • Textile Engineering (AREA)
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  • Auxiliary Weaving Apparatuses, Weavers' Tools, And Shuttles (AREA)

Description


  Métier à tisser domestique.    La présente invention a pour objet un mé  tier à tisser domestique, aménagé pour sim  plifier le rentrage des fils. de chaîne.  



  Ce métier à tisser se     caractérise    en ce  qu'il comprend un peigne rigide pourvu de  deux armatures transversales en bois, dispo  sées l'une     au-dessus,de    l'autre, l'armature in  férieure étant composée de deux éléments       juxtaposés    dont l'un est pourvu de rainures       verticales    dont     l'écartement    correspond au  pas, ainsi que d'une rainure horizontale,

       ces     rainures verticales recevant des lamelles mé  talliques terminées par un repli     entrant    dans  la rainure horizontale pour les empêcher de  sortir de leur logement lorsque les deux élé  ments de     cette    armature sont     solidarisés,     l'armature supérieure étant munie d'une rai  nure longitudinale servant -à     emprisonner    les  extrémités libres des lamelles formant dents  du peigne, deux bras- servant à articuler ce  peigne sur le bâti du métier étant coudés à cet  effet dans le bas et filetés dans le haut pour  retenir en     place        l'armature    mobile à l'aide         d'écrous,

      les lisses utilisées avec     ce    peigne  étant formées par des lames métalliques pliées  en<B>U,</B> chacune de leur branches étant pourvue  de deux lumières superposées et de section  correspondant à celle de tringles métalliques,  les lumières du bas servant à l'enfilage sur  tringle pour que ces lisses puissent être main  tenues en     position,    verticale sur le bâti du mé  tier en introduisant les extrémités de     ladite     tringle dans des rainures pratiquées pour cela,       tandis    que les     lumières    supérieures servent  à enfiler une tringle semblable à la première,       lorsque    le rentrage est effectué,

   afin de pou  voir porter les lisses     rentrées,    après avoir re  tiré la     tringle    du bas, dans des pièces arti  culées sur des bras de levier montés sur un  arbre transversal oscillant dans des encoches  de supports     montés    sur le bâti     horizontal,     un levier     central    permettant d'agir sur ledit  arbre pour opérer     alternativement    le change  ment du pas et passer la duite dans chaque  pas ainsi formé.  



       Le    dessin annexé représente, à titre      d'exemples, deux formes d'exécution du mé  tier faisant l'objet de l'invention.  



  La fi-. 1 représente une vue en élévation  de la première forme d'exécution, montrant  la. disposition du peigne articulé sur le bâti,  et l'aménagement des deux     groupes    de lisses,  en position d'attente pour le rentrage et en       position    de travail pour le changement de  pas.  



       Fig.    la et     1b    sont des vues en élévation  et de profil de l'une des lisses de ce métier.  La fi* ? est une vue en plan montrant le  peigne couché sur le     bâti,    l'armature supé  rieure enlevée pour abaisser     simultanément     les fils de chaîne entre ses dents et dans les  deux groupes. de lisses coulissant sur des  tringles les fixant à, cet effet sur le bâti.  



  La fi-. 3 est une vue en élévation du       peigne,    montrant     l'assemblage    des dents, le  montage des bras d'articulation et la liaison  de     l'armature    supérieure     amovible.     



  La fi-. 3a est une vue en coupe trans  versale dudit peigne.  



  Les fi,-. 4 à 7 se rapportent à la seconde  forme d'exécution équipée en vue de rendre  le cadre ou bâti du métier extensible et dis  posé pour pouvoir tourner sur un pied pour  son garnissage et rentrage en fils de chaîne  en lui imprimant un mouvement continu de  rotation.  



  La fi-. 4 montre une vue en élévation  du métier avec le pied disposé pour le mou  vement tournant du cadre.  



  Les     fig.    4a et 41) sont des vues en éléva  tion et de profil de l'une des lisses de ce  métier.  



  La. fi-. 5 est une vue du métier avec le  pied déployé pour amener le cadre en position  horizontale de travail.  



  La fi-. 6 montre, par une vue en éléva  tion, le mode d'assemblage de     traverses    avec  le cadre pour la, fixation de ce dernier en  position de     tourillonnement    et en position ho  rizontale stable obtenue par l'ouverture des  croisillons de droite et de gauche constituant  le pied tel qu'il est compris pour répondre à  cet usage.    La     fig.    6a est une vue partielle en plan  correspondant à la     fig.    6.  



  La     fig.    7 montre l'assemblage de tringles  porte-lisses avec des crochets articulés aux  extrémités de bras de levier d'un arbre oscil  lant de lève et baisse des deux groupes de  lisses, ainsi que la façon de les retenir en  place par simple verrouillage de ces crochets.  



  Dans les deux formes     d'exécution    repré  sentées, on voit que le peigne est formé de  deux armatures transversales en bois A et B.  



  L'armature inférieure B comprend deux  éléments juxtaposés     b    et     b'        (fig.    3a), dont  l'un reçoit des rainures verticales c     (fig.    3)  dont l'écartement correspond au pas du  peigne, ainsi qu'une rainure horizontale c'.  Ces rainures servent à introduire des lamelles  métalliques C formant dents de peigne, ter  minées par un repli e entrant dans la rainure  <B>c'</B>, afin d'empêcher ces lamelles de sortir de  leur logement lorsque l'élément b sera recou  vert par l'élément     b'    et que ces deux parties  seront solidarisées par collage ou autrement.  



  L'armature A présente une rainure lon  gitudinale a servant à emprisonner les extré  mités libres des lamelles C ou dents du  peigne. Deux bras D, servant à articuler ce  peigne sur le bâti du métier, sont coudés à cet  effet; en d et filetés dans le haut pour re  tenir en place l'armature mobile A à l'aide  d'écrous g moletés.  



  Ainsi     constitué,    ce peigne est très rigide,  ses dents conservent toujours un     écartement     fixe même quand l'armature supérieure est  enlevée et, de plus, il présente cet avantage  d'être non seulement articulé pour un  meilleur fonctionnement, à l'instar d'une vé  ritable     échasse,    mais encore de pouvoir se     dé-          placer    aisément pour se     monter    en bonne  position     .sur    le bâti lors (lu rentrage des fils  de chaîne.  



  Dans la forme d'exécution des     fig.    1 à, 3a,  les lisses H utilisées avec ce peigne sont for  mées par des lames métalliques pliées en  forme     d'U    et chacune de leurs branches est  pourvue de deux lumières     li,    et     lz'        superposées     dont la section correspond à celle de tringles  en métal 1. Les lumières du bas     la'        (fig.    la)      servent à l'enfilage de ces lisses spéciales sur  une tringle I, afin qu'elles puissent être main  tenues en position verticale sur le bâti en in  troduisant les     extrémités    de 1 dans des rai  nures     pratiquées    sur le dessus du bâti.

   Les  lumière     supérieures    h     (fig.    la) servent à pas  ser une autre tringle semblable à la première,  quand le     rentrage    des fils de chaîne a été ef  fectué, pour les placer, après avoir retiré la  tringle du bas, dans des     pièces    articulées     sur     des bras .de levier J montés près des deux ex  trémités d'un axe L pouvant osciller dans des  encoches de supports M, dépendant du bâti  horizontal N, à l'aide d'un levier central 0.  



  <I>Opération du rentrage des fils de chaîne.</I>  La disposition des lisses et du peigne permet  de rentrer les fils de chaîne enroulés sur une  ensouple ou sur     bobines,    par     abaissement    de  ceux-ci légèrement tendus pour les faire en  trer simultanément dans des lisses voulues et  dans les intervalles correspondant des dents  du peigne.  



  Pour cela, le peigne est enlevé de     .sa    posi  tion de travail, soit de     tourillonnement    en d  sur les pieds P, l'armature supérieure A est  retirée en dévissant les écrous g pour coucher  ce     peigne    en<I>1,</I> alors que tourillonnant en<I>d'</I>  il est maintenu en place     convenable    au-dessus  d'un rouleau enrouleur     Q    du tissu.

   Cette  première opération     terminée,    on enfile un  nombre de lisses H,     correspondant    à la moi  tié des fils à rentrer, sur une tringle 1 entrant  dans les lumières h', et l'on place     cette    trin  gle dans les. rainures. de N en Hl     (fig.    1),  puis l'autre moitié des lisses -est enfilée dans  les mêmes conditions sur une seconde trin  gle et placée en H2     (fig.    1).  



  Pour rentrer les fils de chaîne enroulés sur  une     ensouple    R, il suffit de prendre le fil  I. du rouleau R; d'amener la première lisse  du groupe Hl devant le premier intervalle  du peigne pour descendre ce fil dans la lisse  et dans l'intervalle du peigne et l'attacher  ensuite sur le rouleau     Q.    On opère de la  même façon pour le fil 2 en prenant la pre  mière lisse du groupe H2 et le second inter  valle du peigne, et ainsi de suite pour tous    les fils à rentrer (voir     fig.    2, fils 1, 2, 3, 4,  5, 6...).  



  Pour pouvoir     commencer    à tisser, il ne  restera plus qu'à faire prendre aux deux  groupes de lisses. Hl et H2 leur position de  travail. A cet effet, on enfilera les lisses de       chaque    groupe, par les     lumières    supérieures  h, sur une tringle 1 semblable à celle sur la  quelle elles reposent et qu'on retire après,  afin que les fils tombent dans le fond des  lisses. Il est facile ensuite de suspendre les  groupes de lisses en bonne position sur les  bras. J de l'arbre L.  



  Le peigne sera alors muni de son arma  ture À maintenue sur son bras D par les vis       g,    et il sera remis en position de travail en       i.ntro@duisant    les extrémités coudées d dans les  alésages des pieds P.  



  On se rend parfaitement compte que ce  métier ainsi équipé, l'introduction de la trame  dans la foule ou pas s'effectuera en action  nant le levier     'Od'avant    en arrière et d'ar  rière en avant pour faire lever alternative  ment les fils de chaîne comme il     convient.     



  La seconde forme d'exécution représentée       permet    l'enroulement continu de la chaîne sur  le cadre ou bâti, ainsi que     cela    se pratique  déjà, et permet de rentrer en même temps la  chaîne dans les lisses et le peigne en impri  mant un mouvement de rotation au cadre,       comme    connu aussi, mais en     disposant    les  lisses     dans    de meilleures conditions pour leur  faire prendre, plus     rapidement    et plus aisé  ment, leur     position    de travail.  



  On voit en     fig.    4 et 5 que cette     forme     d'exécution ne     comporte        plus    d'ensouple ni  de rouleau enrouleur. Le cadre est rendu  extensible et toujours     rigide,    quelle que soit  sa longueur, les     éléments   <I>N</I> et<I>N'</I> étant mu  nis l'un d'une rainure n et l'autre d'un er  got r avec déplacement d'une entretoise in  termédiaire. Des entretoises d'extrémités R  et     Q    remplacent     l'ensouple    et le rouleau en  rouleur de la     fig.    1,     S    est l'entretoise inter  médiaire.  



  L'enroulement de la chaîne se fait     ,sur    les  entretoises R -et Q, le cadre portant des     sup-          ports    M et des pieds droits P. Pour rendre      cet ensemble mobile et pouvoir le faire tour  ner autour d'un axe horizontal, on dispose  une traverse T s'assujettissant sous les élé  ments     N    ou     N',    de droite et de gauche, à  l'aide de chapes     Z"    solidaires de vis à écrou  à oreilles.

   La traverse T, munie de tourillons  ou pivots d'extrémités t, avec écrous à       oreilles    de retenue est montée sur l'une des  branches d'un pied constitué par une branche       T    et une autre branche 1'. toutes deux arti  culées sur une semelle Z, la seconde     branchie     Y étant reliée à la,     première    N à l'aide d'un  boulon v.  



  <I>Garnissage du cadre</I>     ci?,   <I>fils de</I>     chaîne   <I>et,</I>       reiatrage   <I>de ceux-ci dans les lisses et le</I>     peigne     <I>par</I>     rotation        dit,   <I>cadre.</I> On commence d'abord  par enfiler sur une tringle 1 des lisses<I>II</I> en  nombre voulu pour constituer le premier  croupe de lisses 111     (fig.    4), par leur lumière  du bas Y (fi-. 4a). On introduit alors cette  tringle 1 dans des lumières pratiquées en Il  sur les supports latéraux 31, en passant un  bout de la tringle dans l'une des mortaises  Il du support de droite ou de gauche, pour  entrer ensuite l'autre bout dans la mortaise  correspondante de l'autre support.  



  On opère de même pour l'autre tringle  devant former le     second    groupe     H2    pour le  placer en 13 et on introduit dans l'un des       supports    31 une goupille     p,    dans des trous       pratiqués    à cet usage, pour fixer les tringles  en place pendant le garnissage. Le peigne,       primitivement    articulé en d     sur,    les pieds  droits P, est retiré de cette position et son  armature supérieure<B>A</B> est enlevée. Il est en  suite articulé en d' et couché en 1     (fig.    4);  ses dents libres reposant sur     Q,    alors qu'un  crochet     q    le retient.  



  L'arbre longitudinal L portant les bras  de suspension des lisses est retiré des enco  ches de 111 en desserrant des écrous s de fric  tion.  



  Enfin, pour que le cadre soit prêt à pro  céder à son garnissage et     rentrage    en fils  de chaîne, il faut chercher sa position ap  proximative d'équilibre sur son pied.  



  Pour cela, on fait glisser le cadre, en  avant ou en arrière, sur la traverse T, les    chapes     U    étant dégagées en desserrant les  écrous, et une fois l'équilibre obtenu, on fixe  solidement les chapes en serrant les écrous  ii,     ce    qui permet d'imprimer un mouvement   < le rotation continu du cadre, tel qu'il est  équipé, sur les pivots t de traverse.  



  Ceci réalisé, on amène le cadre horizonta  lement et la chaîne provenant d'une bobine ou       pelotte    quelconque est nouée autour de R. On  fait tourner le cadre dans le sens des flèches  (voir fi-. 4), afin d'enrouler d'une façon  continue le fil de, chaîne G sur R et Q. en  procédant en même temps au rentrage à cha  que tour effectué, c'est-à-dire en     introduisant     ce fil dans la première lisse du groupe 111 et  dans le premier intervalle du peigne, puis re  levant le     cadre    pour le     faire    tourner suivant  la.

   flèche de droite, lui faire contourner  l'entretoise     Q    afin de passer sous R et conti  nuer     ce    mouvement de rotation pour l'intro  duire dans la première lisse du groupe H?  et dans le second intervalle du peigne et ainsi  de suite pour tous les fils à rentrer devant  constituer la nappe ou chaîne à travailler,  nouant l'extrémité de la dernière spire en     Q.     



  I1 reste maintenant     à,    placer le cadre  garni de sa     ebaîne,    lisses et peigne rentrés,  en position de travail, ce que l'on obtient en  réglant d'abord la traverse T après avoir des  serré les écrous de retenue des chapes et re  tiré la branche Y de son écrou     v    de fixation  en position initiale (voir fi-. 5). On fixe en  suite une seconde traverse T' avec chape     U'     et écrou de     serrage    n', en bonne place sur le  cadre et dans les mêmes conditions que pour  T, on amène la branche Y en Y' et ou la soli  darise à l'aide de la tige filetée t' entrant  dans son encoche.  



  Tous les écrous des boulons d'articulation  et d'arrêt des deux croisillons de droite et  de gauche étant serrés, le cadre se trouve par  faitement stable et en position horizontale de  travail.  



  Des encoches<I>x,</I> et<I>y</I> à coupes obliques  pratiquées sur les semelles Z, arrêtent     X    et  <I>Y</I> à leur inclinaison convenable     X'    et<I>Y';</I>  deux traverses W maintiennent l'écartement  des semelles Z.      Tour pouvoir     commencer    le tissage, on re  met en place l'arbre L portant les bras de  suspension des deux groupes de lisses (voir       fig.    5 et 7) en posant ses extrémités dans :des  encoches de M et en serrant légèrement les  écrous s pour une certaine friction.  



  On amène un guide avant F de l'axe L,  de telle façon que ses lumières<I>f, f'</I> correspon  dent avec les     mortaises    de     I'1    des supports       IVI    et, prenant une     tringle   <I>I</I> semblable à celle  supportant les lisses des groupes Hl et H2,  -on la passe en     1'l,    puis soulevant un cur  seur k du guide F pour laisser le     passage     libre, on pousse cette tringle à travers. tou  tes     les,    ouvertures h des lisses, compris celle  <B>f</B> d'un bras médian F, jusqu'à la rencon  tre du curseur opposé de l'autre guide  extrême F.  



  A ce moment, le curseur du premier guide  s'abaisse automatiquement, n'étant plus       maintenu    par la tringle qui se trouve de ce  fait verrouillée.  



  On retire la tringle inférieure placée en  Il et on opère pour l'autre groupe de lisses  H2 encore en position de rentrage comme  ,on vient de le faire pour le groupe Hl. Le       peigne    est recouvert de son armature A et re  mis ensuite en position de travail, soit ar  ticulé en d sur P et, comme les deux groupes  de lisses Hl et H2 ont été mis parfaitement  en place, l'action du levier O permet de faire  lever et baisser les fils de chaîne pour ou  vrir alternativement la foule et passer la  duite sans difficulté dans chaque pas formé.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Métier à tisser domestique, aménagé pour simplifier le rentrage des fils de chaîne, ca- ractérisé en ce qu'il comprend un peigne ri gide pourvu de deux armatures transversales en bois<I>(A, B),</I> .disposées l'une au-dessus de l'autre, l'armature inférieure étant composée de deux éléments juxtaposés (b, b') dont l'un est pourvu de rainures verticales (c) dont l'écartement correspond au pas, ainsi que d'une rainure horizontale (c'), ces rainures verticales recevant des lamelles métalliques (C) terminées par un repli (e)
    entrant dans la rainure horizontale (c') pour les empêcher de sortir de leur logement lorsque les deux éléments de cette armature sont solidarisés, l'armature supérieure (A) étant munie d'une rainure longitudinale (a) servant à emprison ner les extrémités libres des lamelles formant.
    dents du peigne, deux bras (D) servant à articuler ce peigne sur le bâti du métier étant coudés à cet effet dans le bas et filetés dans le haut pour retenir en place l'armature mo bile (A) à l'aide d'écrous (g), les lisses (H) utilisées avec ce' peigne étant formées par des lames métalliques pliées en<B>U,</B> chacune de leurs branches étant pourvue de- deux lu mières (h, h') superposées et de section cor respondant :
    à celle de tringles métalliques <I>(I),</I> les lumières du bas<I>(h')</I> servant à l'enfi lage sur tringle (1) pour que ces lisses puissent être maintenues en position verti cale sur le bâti du métier<I>(N, N')</I> en intro duisant les extrémités de ladite tringle (1) dans des rainures pratiquées pour cela, tan dis que les lumières supérieures (h) servent à enfiler une tringle semblable à la première, lorsque le rentrage est effectue, afin de pou voir porter les lisses rentrées, après avoir retiré la tringle du bas, dans des pièces ar ticulées sur des bras de levier (J) montés sur un arbre transversal (L) oscillant dans des encoches de support (M) montés sur le bâti horizontal, un levier central (O) permettant d'agir sur ledit arbre (L)
    pour opérer alter nativement le changement du pas et passer la duite dans chaque pas ainsi formé. SOUS-REVENDICATIONS: 1 Métier à tisser domestique suivant la re vendication, caractérisé en ce que le bâti <I>(N, N')</I> est monté sur un pied pour réaliser l'enroulement continu de la chaine en ef fectuant simultanément le rentrage des lisses et du peigne en lui imprimant un mouvement de rotation, ce pied étant com posé d'éléments amovibles (X, Y, Z) per mettant, une fois terminées, les trois opé rations de garnissage, rentrage du peigne, rentrage des lisses, d'amener le bâti en po sition horizontale de travail, ce bâti étant primitivement monté sur une traverse (T)
    pourvue de chapes ([T) assurant la possi bilité de rechercher sa position d'équilibre pour sa rotation et ensuite de le solidariser avec cette traverse dont les extrémités portent des pivots (t) tourillonnant sur le pied-support, une seconde traverse (T') re liée au cadre, étant destinée à compléter l'assise utile pour obtenir la position sta ble de travail, sur le pied déployé à cet ef fet.
    2 Métier à tisser domestique suivant la re vendication et la sous-revendication 1, ca ractérisé par des lumières<I>(11, l'1, 12, l'2)</I> pratiquées dans les supports (H) de l'arbre (L) transversal porte-lisses, pour donner aux deux groupes de lisses<I>(Hl, H2), en</I> position de rentrage, l'avantage de pou voir être enfilées d'un seul coup très ra pidement, une fois le rentrage terminé, sur une tringle (1) devant les reprendre pour les porter et les maintenir en posi tion de travail, sur des pièces (F,<I>F</I>) à lumières (f, f'), articulées sur les bras de levier (.7)
    de l'arbre transversal oscil lant (L).
CH203924D 1937-03-18 1938-03-17 Métier à tisser domestique. CH203924A (fr)

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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US3137320A (en) * 1962-10-10 1964-06-16 Agnes L Parton Loom

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US3137320A (en) * 1962-10-10 1964-06-16 Agnes L Parton Loom

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