Machine pour effectuer des multiplications. Il existe actuellement deux types de ma chines à multiplier utilisant le principe des quatre opérations élémentaires de l'arithmé tique. Les machines du premier type, les plus anciennement connues (et dont celle de Leibnitz est le prototype), effectuent une multiplication par additions successives. Celles du second type (dont le premier mo dèle fut réalisé par L. Bollée) sont les ma chines dites "à multiplication directe"; elles sont basées sur le principe de la table de mul tiplication ou table de Pythagore.
Les machines à multiplication par addi tions successives sont relativement très sim ples; par contre, elles présentent l'inconvé nient de demander beaucoup de temps, puis qu'il s'agit, pour chaque multiplication, d'ad ditionner le multiplicande un nombre de fois égal à la somme des chiffres du multiplica teur (en tenant compte du rang naturelle ment).
Une machine à multiplier directement, qui serait basée sur le principe de la table de multiplication et qui donnerait d'un seul coup, directement, le produit de deux nom bres quelconques, est concevable (bien que devant nécessairement être limitée quant à sa capacité), mais ne saurait avantageuse ment devenir une réalité pratique, vu l'ex trême complexité qu'elle devrait nécessaire ment présenter.
Les machines que l'on désigne habituellement sous le nom de machines à multiplication directe procèdent en réalité par étapes, en effectuant autant de multiplica tions élémentaires que le multiplicateur pré sente de chiffres significatifs, tout comme nous sommes obligés de le faire lorsque nous faisons une multiplication par écrit. C'est chaque multiplication élémentaire (du multi plicande par chaque chiffre du multiplica teur) qui se fait directement.
Bien que ne donnant pas la solution g6né- rale du problème de la multiplication directe, les machines actuellement connues qui ap partiennent au second type sont nécessaire ment d'une complexité très notablement plus grande que les machines à additions succes sives. Cela se conçoit aisément, vu que la multiplication est une -opération d'ordre plus élevé que l'addition.
La présente invention a pour objet une machine pour effectuer des multiplications qui, comme on va le voir, peut être considérée en quelque sorte comme appartenant à un troisième type, qui serait intermédiaire entre les deux précédents.
La machine selon l'inven tion comprend un dispositif d'enregistrement du multiplicande, un dispositif d'enregistre ment du multiplicateur, un dispositif totali sateur, un dispositif multiplicateur destiné à fournir au dispositif totalisateur des produits élémentaires dont la somme est égale au pro duit des nombres multiplicateur et multipli cande à multiplier et que les dispositifs d'en registrement respectifs ont enregistrés.
Elle est caractérisée en ce que le.dispositif multiplicateur comprend des organes multi- plieurs établissant et fournissant automati quement le produit du multiplicande par un certain nombre, très inférieur à 9, de multipli cateurs fixes constants, chaque organe multi- plieur correspondant à un au moins de ces chiffres fixes,
des moyens commandant l'en trée en fonction de ces organes multiplieurs successivement au moins pour les différents rangs du multiplicateur dans lesquels se trou vent des chiffres différents de zéro, des moyens sélecteurs, commandés par le disposi tif d'enregistrement du multiplicateur, sélec tionnant et commandant automatiquement successivement pour les différents chiffres du multiplicateur, celui, respectivement ceux des organes multiplieurs qui doivent entrer en jeu, selon une règle établie d'avance (rè gle suivant laquelle, par exemple,
la somme algébrique des multiplicateurs fixes est égale au chiffre considéré du multiplicateur qu'ils remplacent), des moyens étant en outre pré vus pour faire totaliser dans le rang voulu, dans le dispositif totalisateur, chacun des produits élémentaires, multiplicande par mul- tiplicateurs fixes, ainsi formés et sélection nés. On remarquera qu'avec une telle machine, on évite les inconvénients signalés plus haut, des machines connues.
En effet, d'une part, on voit qu'une multiplication demandera moins de temps avec la machine selon l'in vention qu'avec une machine à additions suc cessives, puisque le nombre des multiplica teurs figes est choisi inférieur à celui du nom bre de chiffres de la base de numération (qui est 10 dans le cas de la base décimale, la seule que l'on ait à considérer en pratique).
D'autre part, du fait de ce nombre réduit de multiplicateurs fixes (qui d'ailleurs constitue une différence fondamentale entre la machine considérée et celles désignées habituellement machines à multiplication directe), la com plexité de la machine selon l'invention appa raît évidemment comme devant être moins grande que celle des machines du second- type mentionné plus haut. En outre, et cela ressort clairement de l'exemple qui suit, on peut en core diminuer très notablement la complexité de la machine grâce à un choix judicieux des multiplicateurs fixes. On peut choisir, par exemple: 1, 2, 5, 10 ou 1, 2, 2, 4 ou 1, 2, 2, 5, etc.
La première combinaison offre l'avan tage qu'elle permet de représenter tous les chiffres au moyen d'un ou de deux des nom bres fixes au maximum (c'est-à-dire par leur somme ou leur différence). Avec la seconde et la troisième de ces combinaisons, cer tains chiffres ne peuvent être représentés que par la somme de trois nombres fixes; par con tre, aucun chiffre n'est représenté, dans ce cas, par une différence de nombres fixes. Ceci est un avantage, si l'on considère le dispositif totalisateur qui reçoit les produits partiels élémentaires. Dans le premier cas, ,certains de ces produits sont négatifs, dans les deux autres cas ils sont toujours positifs.
Les fig. la et lb des dessins annexés re présentent, à titre d'exemple, le schéma élec trique d'une forme d'exécution de la machine faisant l'objet de l'invention.
Supposons, par exemple, que l'on prenne les valeurs 1, 2, 5 et 10 comme multiplica teurs figes. Un chiffre quelconque pourra toujours être représenté par la somme ou la différence de deux au maximum de ces multi plicateurs fixes.. En effet, on a:
EMI0003.0001
0 <SEP> = <SEP> ....
<tb> 1=1
<tb> 2 <SEP> = <SEP> 2
<tb> 3 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> + <SEP> 2
<tb> 4=2-f-2
<tb> 5=5
<tb> 6=5+1.
<tb> 7-5-f-2
<tb> 8=10-2=-2+ <SEP> 10
<tb> 9=10-1=-1.-f-10 Or, la multiplication par 0 est l'absence de multiplication. La multiplication par 1 est extrêmement simple, c'est l'addition pure et simple du multiplicande; de même que pour la multiplication par 10 (en tenant compte. du rang des chiffres bien entendu).
La multi plication par 2 et celle par 5 sont très simples, comme on peut s'en rendre compte par les remarques suivantes:
EMI0003.0002
B
<tb> 0 <SEP> X <SEP> 2 <SEP> - <SEP> 0 <SEP> - <SEP> <U>ô</U>
<tb> 1X2=2 <SEP> =2
<tb> 2X2=4 <SEP> = <SEP> 4
<tb> 3X2=6 <SEP> = <SEP> 2-f-4
<tb> 4X2=8 <SEP> = <SEP> 8
<tb> 5X2= <SEP> <B>10 <SEP> *=</B> <SEP> 1 <SEP> diz. <SEP> + <SEP> 0 <SEP> unit. <SEP> = <SEP> 1 <SEP> diz. <SEP> + <SEP> 0 <SEP> unit.
<tb> 6X2=12--1 <SEP> " <SEP> +2 <SEP> " <SEP> =1 <SEP> ;
, <SEP> +2 <SEP> "
<tb> 7X2=14=1 <SEP> " <SEP> +4 <SEP> " <SEP> = <SEP> 1 <SEP> " <SEP> +4 <SEP> "
<tb> 8X2=16=1 <SEP> " <SEP> +6 <SEP> " <SEP> = <SEP> 1 <SEP> " <SEP> +2-f-4 <SEP> unit.
<tb> 9X2-18-=1 <SEP> <SEP> @i-8 <SEP> <SEP> = <SEP> 1 <SEP> , <SEP> 0x5=0 <SEP> = <SEP> a
<tb> 1X5-5 <SEP> =1+4
<tb> 2 <SEP> X <SEP> â <SEP> = <SEP> 10 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> diz. <SEP> + <SEP> 0 <SEP> unit. <SEP> = <SEP> 1 <SEP> diz.
<SEP> + <SEP> 0 <SEP> unit.
<tb> 3X5=15=1 <SEP> " <SEP> +5 <SEP> " <SEP> = <SEP> 1 <SEP> " <SEP> +(1+4) <SEP> unit.
<tb> 4X5=20=2 <SEP> " <SEP> -f-.0 <SEP> " <SEP> = <SEP> 2 <SEP> " <SEP> +0 <SEP> unit.
<tb> 5X5=25=2 <SEP> " <SEP> +5 <SEP> " <SEP> - <SEP> 2 <SEP> " <SEP> +(1+4) <SEP> unit.
<tb> 6X5=30=3 <SEP> ,, <SEP> -f--0 <SEP> , <SEP> = <SEP> 3 <SEP> " <SEP> +0 <SEP> unit.
<tb> 7 <SEP> X <SEP> 5=35=3 <SEP> " <SEP> + <SEP> 5 <SEP> " <SEP> - <SEP> 3 <SEP> " <SEP> +(1-f-4) <SEP> unit.
<tb> 8X5=40=4 <SEP> " <SEP> -f-0 <SEP> " <SEP> =4 <SEP> ,. <SEP> +0 <SEP> unit.
<tb> 9X5=45=4 <SEP> " <SEP> +5 <SEP> " <SEP> =4 <SEP> " <SEP> +(1+4) <SEP> unit. En A on a indiqué les produits des dix chiffres par 2, respectivement par 5, au moyen de la notation décimale usuelle.
En vue d'obtenir certaines simplifications très utiles dans bon nombres d'applications, on peut, au lieu d'employer cette rotation, repré senter chaque chiffre par une combinaison telle que la suivante par *exemple (code à qua tre chiffres: 1, 2, 4 et 8), ce qui donne les ré sultats indiqués ci-dessus en B:
EMI0003.0005
1 <SEP> 2 <SEP> 4 <SEP> 8
<tb> 0 <SEP> = <SEP> 1
<tb> 1 <SEP> # <SEP> 1
<tb> 2= <SEP> 2
<tb> 3 <SEP> = <SEP> 1+2
<tb> 4 <SEP> = <SEP> 4
<tb> 5 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> +4
<tb> 6 <SEP> = <SEP> 2-f-4
<tb> 7 <SEP> = <SEP> 1+2+4
<tb> 8 <SEP> = <SEP> 8
<tb> 9 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> +8 L'avantage d'une telle combinaison con siste en ce que, grâce à elle, quatre paramè tres (ce mot étant pris dans son sens le plus large) - à savoir: 1, 2, 4 et 8 - sont suffi sants pour représenter tous les chiffres (le zéro étant représenté par l'absence des quatre paramètres) d'une manière univoque, tandis qu'avec la notation usuelle, il faut dix para mètres, c'est-à-dire un par chiffre.
Cette re marque, qui d'ailleurs n'est pas nouvelle, per met de réaliser dans bien des cas une grande diminution du nombre des organes nécessaires au fonctionnement des machines à calculer. Des exemples de machines à additionner et soustraire construites sur cette base sont in diqués notamment dans les brevets suisses nos 129784 et 138449.
Afin de bien se faire comprendre, on po sera dès maintenant qu'en principe, d'une ma nière tout à fait générale, la machine à multi plier que l'on va décrire comprend les par ties suivantes: un dispositif A destiné à enregistrer le multiplicande, un dispositif B destiné à enregistrer le multiplicateur, un dispositif C destiné à enregistrer les produits partiels et à les totaliser, un dispositif D destiné à transformer au tomatiquement chaque chiffre du nombre multiplicateur en multiplicateurs fixes, un dispositif E destiné à fournir successi vement,
pour chaque rang de chiffres du mul tiplicateur d'abord, et pour ses différents rangs ensuite, les produits élémentaires par tiels du multiplicande par les différents mul- tiplicateurs fixes présents, un dispositif F destiné à transmettre au tomatiquement au dispositif C chaque produit élémentaire partiel du multiplicande par un multiplicateur fixe, un,dispositif G destiné à transmettre ces produits élémentaires dans le rang conve nable.
Les dispositifs<I>A, B,</I> C peuvent être de tous types appropriés. Avant de décrire la forme d'exécution re présentée de la machine, on va examiner le principe de son fonctionnement, ce qui faci litera la compréhension de la suite.
La forme d'exécution représentée est pu rement électrique et les dispositifs <I>A et B</I> sont constitués par des relais électriques; on n'a donc représenté que le schéma des con- nexions.
<I>1</I> Aa, 2Aa, 4Aa et 8Aa sont quatre relais correspondant respectivement aux chiffres 1, 2, 4, 8 du code et destinés à enregistrer les unités du multiplicande. Ab,<I>Ac, Ad</I> corres pondent respectivement aux dizaines, cen taines et milliers du multiplicande, comme Aa correspond aux unités, dans le disposi tif A.
<I>Ba,</I> Bb, <I>Bc</I> désignent les organes corres pondant respectivement à l'enregistrement des unités, dizaines et centaines du multiplicateur dans le dispositif<I>B. 1</I> Ba, 2Ba, 4Ba, 8Ba sont les relais qui, dans l'ordre des unités, correspondent respectivement aux chiffres 1, 2, 4 et 8 du code.
1Fa, 2Fa, 5Fa et lOFa sont quatre relais du dispositif F qui ont pour fonction d'assurer la transmission des produits élémentaires du multiplicande (enregistré en A), respective ment par les multiplicateurs fixes 1, 2, 5 et 10.
Le dispositif D est formé par des circuits commandés par des contacts commandés eux mêmes par les relais constituant le dispositif B. Leur fonction est de commander les re lais des dispositifs F et G.
Le dispositif E est formé par des circuits commandés par des contacts commandés eux mêmes par les relais constituant le dispositif A. Leur fonction est de former le produit du multiplicande enregistré en A par les diffé rents multiplicateurs fixes. Le groupe de contacts 1E effectue la multiplication du multiplicande par 1, c'est-à-dire transmet le multiplicande tel quel.
Le groupe de contacts 2E effectue la mul tiplication du multiplicande par 2. Le groupe 5E effectue la multiplication de ce multipli- cande par 5. Pour la multiplication par 10, ce sont les contacts du groupe 1E qui sont utili <B>sés.</B>
Sur le schéma, les fils simples sont repré sentés par des traits ordinaires. Les traits forts représentent des groupes ou faisceaux de quatre fils servant à la transmission d'un chiffre et correspondant respectivement aux chiffres 1., 22, 4 et 8 du code employé.
Les contacts indiqués en traits forts et commandant le passage du courant dans ces faisceaux de quatre fils (par exemple 1Fa2 commande Fb2) représentent en réalité qua tre contacts simples commandant chacun l'un des quatre fils du faisceau. C'est pour la clarté du dessin qu'on a adopté cette représen tation.
Dans la suite, on aura à considérer ce que l'on appellera le cycle d'opérations, ou sim plement le cycle de la machine. C'est le laps de temps correspondant à l'exécution du pro duit du multiplicande par l'un ou l'autre des multiplicateurs fixes (1, 2, 5 ou 10).
La durée d'un cycle est définie par un tour complet d'un arbre tournant régulière ment et portant des cames commandant des commutateurs, de manière à fermer et ouvrir périodiquement ces commutateurs, à certains instants définis de chaque tour ou cycle. On a arbitrairement choisi une origine des temps et divisé le cycle en 48 parties égales par exemple.
On supposera qu'il s'agit de multiplier le nombre<B>3215</B> (multiplicande) par 805 (multi plicateur). au moyen de la machine représen tée, et on décrira le fonctionnement de cette machine dans le cas de cet exemple, en réfé rence au schéma.
Voici tout d'abord un aperçu général de ce fonctionnement, qui facilitera la com préhension des explications détaillées données plus loin.
Au début d'un premier cycle, le multipli cande et le multiplicateur sont envoyés, sous forme de courants, selon le code 1, 2, 4, 8 choisi; respectivement: le premier- aux relais du dispositif A, le second aux relais du dis positif B.
Le multiplicande étant enregistré en A (par le fait de l'excitation de certains relais déterminés du dispositif A), il s'ensuit que certains des contacts du dispositif E sont ou verts, tandis que les autres sont fermés, et cela d'une façon bien déterminée et telle (comme on le verra) que, lorsqu'une impul sion est envoyée à la borne ak, elle parvient simultanément: agi) en passant à travers ceux des contacts du groupe 1E qui sont fermés, à ceux des fils d'un groupe de faisceaux désignés par 1H qui, selon le code 1, 2, 4, 8 forment une combinai son représentant le multiplicande lui-même (8215 dans le cas présent);
b) en passant à travers ceux des contacts du groupe 2E qui sont fermés, à ceux des fils d'un groupe de faisceaux désigné par 2H qui, selon le code 1, 2, 4, 8, forment une combi naison représentant le produit du multipli cande (soit<B>3215)</B> par le chiffre multiplica teur fixe 2 (soit donc le produit élémentaire 6430); c) en passant à travers ceux des contacts du groupe 5E qui sont fermés, à ceux des fils d'un groupe de faisceaux désigné par 5H qui, selon le code 1, 2, 4, 8 forment une combi naison représentant le produit du multipli cande (â215) par le chiffre multiplicateur fixe 5 (soit donc le produit élémentaire 16075);
d) à un groupe de faisceaux désigné par 10H, qui est simplement une dérivation de 1H destinée à fournir le produit du multipli cande (3215) par le multiplicateur fixe 10 (soit donc le produit élémentaire 32l50).
Tant que la multiplication n'est pas ache vée, à chaque cycle, les groupes de faisceaux <I>I H, 2H,</I> 5H et 10H reçoivent respectivement le produit du multiplicande par, 1, par 2, par 5 et par 10.
Le multiplicateur 805 étant enregistré dans le dispositif B, le dispositif D détermine au- tomatiquement le déroulement de la multipli cation de la façon suivante: Le groupe de contacts D3 détermine, pour chaque ordre du multiplicateur (centaines, dizaines et unités) s'il faudra zéro, un ou deux cycles et commande en conséquence le dispositif G: Le groupe de contacts Dl détermine quels sont les différents multiplicateurs fixes qui doivent être utilisés.
Le groupe de contact D2 détermine les produits élémentaires qui doivent être enre gistrés négativement par le dispositif C.
Le dispositif G commande le dispositif F, pour laisser passer dans l'ordre et dans le rang convenables, cycle après cycle, les dif férents produits élémentaires correspondant aux multiplicateurs fixes qui doivent être uti lisés. Ce dispositif agit en reliant, à chaque cycle, au groupe de faisceaux Fe aboutissant aux bornes d'entrées du compteur C, celui des quatre groupes de faisceaux 1H, 2H, 5H, 10H, et ceci avec le signe voulu et dans l'or dre et dans le rang convenables, comme il vient d'être dit.
Sitôt le dernier produit élémentaire trans mis au dispositif C, les dispositifs<I>A</I> et<I>B</I> sont automatiquement mis au repos et l'im pulsion cesse d'être envoyée à la borne ak.
Dans l'exemple choisi, où le multiplica teur est égal à 805, on a:
EMI0006.0014
centaines: <SEP> 8 <SEP> - <SEP> 10 <SEP> - <SEP> 2; <SEP> deux <SEP> cycles <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 10 <SEP> centaines <SEP> = <SEP> <B>32150</B> <SEP> centaines
<tb> 3215 <SEP> X <SEP> (- <SEP> 2) <SEP> centaines <SEP> = <SEP> - <SEP> 6430 <SEP> centaines
<tb> dizaines: <SEP> 0; <SEP> zéro <SEP> cycle <SEP> (omis <SEP> automatiquement) <SEP> 0
<tb> unités: <SEP> 5 <SEP> = <SEP> 5; <SEP> un <SEP> cycle <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 5 <SEP> unités <SEP> = <SEP> 16075 <SEP> unités.
En détail, les choses se passent de la ma nière suivante: Le multiplicande est envoyé, sous forme de courants, à des bornes quadruples aAa, aAb, aAc et aAd, correspondant respective ment aux unités, dizaines, centaines et milliers.
Ces bornes quadruples sont reliées aux relais du dispositif A par des faisceaux b-Aa, bAb, bAc, bAd, formés chacun de quatre fils. On a désigné, pour l'ordre des unités, par blAa, b2Aa, b4Aa, b8-4a les quatre fils du faisceau correspondant bAa, qui aboutissent respectivement aux quatre relais 1-4a, 2Aa, 4Aa,
8Aa. Ces quatre relais et les quatre fils d'amenées correspondent respectivement aux chiffres 1, 2, 4 et 8 du code.
Ainsi, l'enregistrement du multiplicande 3215 en A produit l'excitation des- relais sui- vants: -
EMI0006.0042
unités: <SEP> <I>lAa, <SEP> 4Aa</I> <SEP> car <SEP> 5 <SEP> est <SEP> représenté <SEP> avec <SEP> le <SEP> code <SEP> par <SEP> 1 <SEP> et <SEP> 4
<tb> dizaines: <SEP> lAb <SEP> " <SEP> 1 <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> 1
<tb> centaines: <SEP> 2Ac <SEP> " <SEP> 2 <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> 2
<tb> milliers: <SEP> <I>lAd, <SEP> 2Ad <SEP> " <SEP> 3 <SEP> "</I> <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> 1 <SEP> et <SEP> 2 Les autres relais de ce dispositif A restent au repos. Les contacts des relais excités sont amenés en position de travail.
Sur le dessin, tous les contacts sont représentés en position correspondant au repos de tous les relais.
Le multiplicateur est envoyé, sous forme de courants, à des bornes quadruples aBa, aBb, aBc correspondant respectivement aux unités, dizaines et centaines. Ces bornes qua- druples sont reliées aux relais du dispositif <I>B</I> par des faisceaux bBa, bBb, bBc, formés chacun de quatre fils aboutissant respective ment aux quatre relais de chaque ordre.
Dans les unités, par exemple, les quatre relais sont: lBa, 2Ba, 4Ba, 8Ba. Ils correspondent aux quatre chiffres 1, 2, 4, 8 du code.
L'enregistrement de la valeur 805 en B détermine l'excitation des relais suivants:
EMI0007.0001
unités: <SEP> <I>1Ba, <SEP> 4Ba</I> <SEP> car <SEP> 5 <SEP> est <SEP> représenté <SEP> avec <SEP> le <SEP> code <SEP> par <SEP> 1 <SEP> et <SEP> 4
<tb> dizaines: <SEP> aucun <SEP> " <SEP> 0 <SEP> " <SEP> <B><I>Il</I> <SEP> le</B> <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> rien
<tb> centaines: <SEP> 8Bc <SEP> " <SEP> 8 <SEP> " <SEP> <B>le <SEP> 15</B> <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> 8 Les autres relais de ce dispositif B restent au repos.
Les courants ayant produit l'excitation (lesdits relais de A et de B sont fournis par tous moyens connus, sous forme d'une im pulsion se donnant à un instant déterminé du premier cycle et ne se répétant pas aux cy cles suivants: On a indiqué en regard de chaque borne l'instant du début et l'instant de la fin de chaque impulsion par rapport à l'origine du cycle. Ainsi, par exemple, l'impulsion qui provoque l'excitation des relais susindiqués de A et de B est désignée par (0-4) ; cela si gnifie qu'elle débute à l'origine du cycle et prend fin au quatrième quarante-huitième du cycle (le cycle étant divisé en quarante-huit parties comme déjà dit).
Une impulsion (2-4) unique (c'est-à-dire envoyée au premier cycle seulement) est en voyée à la borne aM et suit les chemins sui vants <I>a)</I> Borne aM, fil bM, contact 2 (fermé) de 8B(, fil bMc, relais aGc, fil bXc, contact 3 (fermé) du relais eGc, fil bX, borne aX, pôle -. Ainsi le relais aGc est excité.
b) Borne aM, fil bM, contacts 2 de Ma et 2 de 4Ba, fil bMa, relais aGa, fil bXa, con tact 3 de cGa, fil bX, borne aX, pôle -. Ainsi est excité le relais aGa.
Les relais aGc et aGa restent excités tant que les relais eGc et cGa restent au repos (c'est-à-dire tant que les contacts no 3 de ces derniers relais restent fermés), car dès qu'ils ont été excités par l'impulsion venant de la borne aM, ils ont fermé leur contact no 1, ce qui les a reliés au pôle + par l'intermé diaire de la borne aT, du fil bT et de leur contact no 1.
Tant que l'un au moins des deux relais aGc et aGa sera excité, les relais de A et B excités par le fait de l'enregistrement des nombres à multiplier (impulsion 0-4) reste ront excités pour la raison suivante. Dès leur excitation, ces relais lAd, 2Ad, 2Ac, lAb, lAa, 4Aa, 8Bc, IBa, 4Ba ont fermé leur con tact no 1., ce qui les a reliés au pôle + par le chemin suivant:
pôle -I-, borne aT, fil<I>CT,</I> contact 2 de aGc ou de aGa, fil dT, contact no 1 des relais excités de A et de B et de là au pôle - à travers ces relais. Ces derniers relais resteront excités pendant le nombre de cycles nécessaire pour l'exécution de la multi plication.
A chaque cycle, une impulsion + (4-6) est envoyée à la borne aU. Au cours du pre mier cycle, dans l'exemple considéré, elle suit le circuit suivant: Pôle +, borne aU, fil bU, contact 3 de aGc, fil cUc, relais eGc, pôle -. Le relais eGc est ainsi excité.
Il reste excité jusqu'à 16 du premier cycle, par l'impulsion + (4-16) fournie à la borne a;W et lui arrivant, dès son excitation, par le fil b W et son contact no 1.
L'excitation du relais eGc coupe la com munication entre le relais aGc et la borne aX, qui est reliée au pôle -. Toutefois, malgré l'ouverture du contact 3 de cGc, le relais aGc ne se désexcite pas immédiatement, car il reste en relation avec le pôle - par le fil aSc, le fil bS et la borne aS, qui reçoit à chaque cycle l'impulsion - (2-6), ce qui veut dire que de 2 à 6 de chaque cycle la borne est reliée au pôle -.
A chaque cycle, une impulsion + (6-8) est envoyée à la borne aR. Les contacts du groupe D3, destinés à recevoir cette impul sion, sont disposés et connectés entre eux de telle façon que cette impulsion n'atteigne (par exemple dans les centaines) le fil eQc que si le chiffre enregistré en<I>Bc</I> correspond à deux multiplicateurs fixes.
On a déjà in diqué que ces chiffres sont:
EMI0008.0001
<B>3----l</B> <SEP> -f- <SEP> 2 <SEP> à <SEP> quoi <SEP> correspond <SEP> l'excitation <SEP> de <SEP> 1Bc <SEP> et <SEP> <I>2Bc</I>
<tb> 4 <SEP> = <SEP> 2 <SEP> + <SEP> 2 <SEP> " <SEP> " <SEP> <B>Il <SEP> DI</B> <SEP> " <SEP> 4Bc <SEP> seul
<tb> 6 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> -I-5 <SEP> " <SEP> " <SEP> De <SEP> <B>DI</B> <SEP> " <SEP> 2Bc <SEP> et <SEP> 4Bc
<tb> 7 <SEP> = <SEP> 2 <SEP> -f- <SEP> 5 <SEP> " <SEP> " <SEP> De <SEP> <B>le</B> <SEP> <I>" <SEP> I <SEP> Be, <SEP> 2Bc</I> <SEP> et <SEP> <I>4Bc</I>
<tb> 8 <SEP> = <SEP> - <SEP> 2 <SEP> -f-10 <SEP> " <SEP> " <SEP> <B>DI</B> <SEP> le <SEP> " <SEP> 8Bc <SEP> seul
<tb> 9 <SEP> = <SEP> -1 <SEP> -I- <SEP> 10 <SEP> " <SEP> " <SEP> 12 <SEP> <B>D5</B> <SEP> <I>" <SEP> I <SEP> BC</I> <SEP> et <SEP> 8Bc L'impulsion + (6-8)
arrivant en aQ sui vra donc le chemin suivant: Pour les centaines: borne aQ, fil bQ, con tact 8 de 8Bc (fermé), fil cQc, contact 5 (fermé) de aGc, fil dQc, contact 2 de eGc, fil eQc, relais bGc, pôle -.
Ce relais bGc est ainsi excité et le reste jusqu'à l'instant 12 du premier cycle, par l'impulsion -I- (6-12) arrivant à chaque cycle à la borne aV et de là passant par le fil blF et le contact 1 de bGc pour atteindre le relais bGc et le mainte- nir excité après la cessation de l'impulsion (6-8) ayant provoqué son excitation.
A partir de l'instant 8 du premier cycle, on a donc la situation suivante en Gc: aGc excité, bGc excité, eGc excité. A chaque cycle, une impulsion -f- (8-12) destinée au groupe de contacts D1 arrive à la borne aN.
Les contacts du groupe Dl sont disposés et connectés de telle façon, pour chaque or dre, que l'impulsion venant de aN atteigne les fils suivants dans le cas des centaines (et semblablement pour les dizaines et les uni tés):
EMI0008.0032
<I>1Ncl</I> <SEP> si <SEP> le <SEP> chiffre <SEP> enregistré <SEP> en <SEP> <I>Bc</I> <SEP> est <SEP> égal <SEP> à <SEP> 1 <SEP> ou <SEP> 3
<tb> 1Nc2 <SEP> <SEP> <SEP> <B>le <SEP> I></B> <SEP> <I> <SEP> Bc <SEP> </I> <SEP> <SEP> <SEP> 2 <SEP> ou <SEP> 4 <SEP> . <SEP> _
<tb> <I>1Nc5 <SEP> ;
, <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> Bc <SEP> "</I> <SEP> " <SEP> " <SEP> 5 <SEP> ou <SEP> 6 <SEP> ou <SEP> 7 <SEP> .
<tb> 1 <SEP> Nc10 <SEP> " <SEP> " <SEP> DI <SEP> <B>le</B> <SEP> " <SEP> Bc <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> 8 <SEP> ou <SEP> 9
<tb> <I>2Nc1 <SEP> " <SEP> "</I> <SEP> <B>51 <SEP> Il</B> <SEP> <I>" <SEP> Bc <SEP> "</I> <SEP> " <SEP> " <SEP> 6 <SEP> ou <SEP> 9
<tb> 2Nc2 <SEP> " <SEP> " <SEP> <B>I> <SEP> <I>DI</I></B> <SEP> " <SEP> Bc <SEP> " <SEP> "- <SEP> " <SEP> 3 <SEP> ou <SEP> 4 <SEP> ou <SEP> 7 <SEP> ou <SEP> 8 Le groupe D2 relie la borne aP au fil bPc (dans les centaines) si le chiffre enregis- tréenBcestégal à8ouà9.
Considérons, par exemple, les centaines du multiplicateur. Voici, en effet, comment la multiplication se fera, en ce qui concerne cet ordre:
EMI0008.0040
Nombre <SEP> Multiplicateurs
<tb> Chiffre <SEP> de <SEP> figes <SEP> intervenant
<tb> erre- <SEP> Multiplicateurs
<tb> istré <SEP> cycles <SEP> - <SEP> figes <SEP> intervenant <SEP> au <SEP> 1er <SEP> au <SEP> <B>cycle</B>
<tb> en <SEP> <I>Bc</I> <SEP> nacre- <SEP> sil <SEP> y <SEP> en <SEP> unique
<tb> safres
<tb> a <SEP> deus <SEP> ou <SEP> au <SEP> 2e
<tb> 0 <SEP> .
<SEP> 0 <SEP> I <SEP> - <SEP> - <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> I <SEP> 1 <SEP> 1
<tb> 2 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 2
<tb> 3 <SEP> 2 <SEP> I <SEP> 2 <SEP> + <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 1 2 <SEP> i <SEP> 2 <SEP> + <SEP> 2 <SEP> 2 <SEP> 2
<tb> 5 <SEP> 1 <SEP> ' <SEP> _ <SEP> 5 <SEP> 5
<tb> 6 <SEP> 2 <SEP> 1-f-6 <SEP> 1 <SEP> 5
<tb> 7 <SEP> 2 <SEP> 2 <SEP> â <SEP> 2 <SEP> 5
<tb> 8 <SEP> 2 <SEP> -- <SEP> 2 <SEP> 10 <SEP> - <SEP> 2 <SEP> 10
<tb> 9 <SEP> I <SEP> 2
<tb> -1 <SEP> 10 <SEP> I- <SEP> 1 <SEP> 10 Dans les cas où le chiffre enregistré en<I>Bc</I> est tel qu'un seul multiplicateur fixe lui cor respond (c'est-à-dire s'il ne fut qu'ün-cycle), bGc n'est pas excité, tandis que eGc l'est.
C'est le cas pour 1, 2 et 5.
Dans les cas où le chiffre enregistré en<I>Bc</I> correspond à deux multiplicateurs figes (c'est-à-dire s'il faut deux cycles), ce qui est le cas pour 3, 4, 6, 7, 8 et<I>9,</I> -bGc et eGc sont excités au cours du premier cycle (multipli- cation par 1 ou par 2), et au cours du second cycle, bGc vient au repos, tandis que eGc reste excité (multiplication par 2, 5 ou 10).
Revenons à notre exemple, où le chiffre enregistré en.<I>Bc</I> est 8. L'impulsion (8-12) venant de aN, atteint les fils 1Nc10 et 2Nc2 et pas les autres. Au cours du pre mier cycle, elle suit le circuit suivant (et celui-ci-seulement): Borne aN; fil bN, fil bNc, contact 4 de 1Bc, contact 6 de 8Bc, fil -2Ni2, contact 9 de bGc, fil 1Y1, relais 2Fa, pôle -.
Le re lais 2Fa est ainsi excité et le reste jusqu'à l'instant 12 du même cycle. On indiquera plus loin quelle est la conséquence de cette exci tation.
Une impulsion + (8-10) est envoyée à chaque cycle à la borne aP. Si le chiffre en registré en<I>Bc</I> est 8 ou 9 (ce qui, étant donné le code employé, implique que 8B6 est excité), cette impulsion passe le fil bB, le contact 7 de 8B6 et de là atteint le fil bPc. Dans le cas présent, au cours du premier cycle, elle con tinue, à partir du fil bPc, par le contact 10 de bOc et le fil cPc,
pour atteindre la borne gCs. Cette borne est celle du dispositif C par laquelle l'indication du signe négatif d'une donnée à totaliser est reçue sous forme d'une impulsion (qui est précisément celle que l'on vient de considérer).
On remarquera qu'au cours de ce premier cycle, l'impulsion -f- (8-12) venant de aN atteint bien le fil 1N610, mais qu'elle est ar rêtée au contact 7 de bGc, ce relais étant excité.
A l'instant 16 du premier cycle, le relais cGc vient au repos, l'impulsion auxiliaire (4-16) venant de aW se terminant à cet instant.
Au même instant, le relais bGc est déjà venu au repos; l'impulsion auxiliaire (6-12) venant de aV ayant pris fin à l'ins tant 12.
Le relais aGc reste excité jusqu'à l'ins tant 6 du deuxième cycle. En effet, jusqu'à ce moment, il reste en permanence connecté au pôle -f- et au pôle -. Ce n'est qu'à cet ins tant qu'il est déconnecté du pôle -I- à la fois par les trois bornes aR (où l'impulsion - (10-6) prend fin à cet instant), aS (où l'impulsion - (2-6) prend fin également à cet instant), aX (par le fait de la réexcita- tion de cGc à partir de l'instant 4 du deuxième cycle, comme on le verra plus loin,
ce qui ouvre le contact 3 de ce relais et coupe la communication de aGc avec la borne aX).
Le relais aGc étant excité et les relais bGc et cGc étant au repos à l'origine du deuxième cycle, les opérations suivantes ont lieu au cours de ce deuxième cycle: L'impulsion + (4-6) suit le circuit: borne aÜ, fil bIT, contact 3 de aGc, fil cUc, relais cGc, pôle -.
Ce relais est ainsi excité et le reste jusqu'à l'instant 16 du même cycle (son impulsion auxiliaire venant de aW pre nant fin à cet instant). L'excitation de cGc ouvre le contact 3 de ce relais, ce qui permet bien la mise au repos du relais aGc, comme on vient de l'indiquer plus haut.
L'impulsion -f- (6-8) venant de aQ ne peut plus atteindre (au second cycle) le relais bGc, comme elle l'avait fait au cours du pre mier cycle, car au moment où elle se donne, le relais aGc est revenu au repos et cette im pulsion ne peut pas passer par le contact 5 de aGc, parce que ce contact est ouvert dès l'instant 6.
La différence entre le premier et le se cond cycle, en ce qui concerne le dispositif G, c'est que le relais bGc n'est plus excité ait cours du second, alors qu'il l'était au cours du premier.
Au cours du second cycle, l'impulsion -E- (8-10) de aP ne peut plus atteindre la borne gCs, car le contact 10 de bGc est ou vert.
Comme au premier cycle, l'impulsion (8-12) de aN atteint les fils<I>2N62</I> et 1N610. Mais contrairement à ce qui a eu lieû au premier cycle, cette impulsion ne peut plus passer (à partir du fil 2N62) à travers le contact 9 de bGc, puisqu'il est ouvert; par contre, elle peut suivre le circuit suivant:
borne aN, fil bN, fil bNc, contàct 4 de 8B6, fil 1N610, contact 7 de bGc, fil 1Y610, con tact 4 de cGc, fil 1Y10, relais IOFa, pôle -. Le relais 10Fa est excité et le reste jusqu'à l'instant 12. On verra plus loin la consé quence de cette excitation.
Au début du troisième cycle, les relais a06, bGc et cGc sont revenus -tous trois au repos. Il n'y a que le relais aGa qui soit excité dans le dispositif G.
Ainsi, quand l'impulsion -E- (4-6) du troisième cycle arrive, elle suit le chemin suivant: borne aÜ, fil bÜ, contact 4 de aGc, contact 3 de bGé, fil 1Z, contact 4 de aGb, contact 3 de bGb; fil 2Z, contact 3 de aGa, fil cUa, relais cGa, pôle -.
Le relais cGa est ainsi excité et le reste jusqu'à l'instant 16 du même cycle, grâce à l'impulsion (4T16) de aW.
Etaut donné que le chiffre enregistré en <I>Ba</I> est 5, ce qui, comme déjà dit, signifie que les relais 1Ba et 4Ba sont excités, tandis que 2Ba et 8Ba sont au repos, l'impulsion (6-8) de aQ ne peut pas atteindre le fil cQa pour aller exciter le relais bGa. Ce relais restera donc au repos.
De même, l'impulsion (8-10) de aP ne peut pas atteindre le fil Wa (le contact 8 de 8Ba étant ouvert); elle n'atteindra donc pas la borne gCs.
L'impulsion + (8-12) de aN suit le cir cuit suivant (qui est le seul praticable par elle au cours de ce cycle) : borne a1V, fil bN, fil bNa, contact 5 de 1Ba, contact 6 de 4Ba, fil 1Na5, contact 5 de bGa, fil lYa5, contact 5 de cGa, fil 1Y5, relais 5Fa, pôle -. Le re lais Va est ainsi excité entre R et 12 du troi sième cycle.
Dès l'instant 6 de ce troisième cycle, le relais aGa est revenu au repos. En effet, con trairement à ce qui avait eu lieu pour les cen taines<I>(Bc</I> et<I>Ge),</I> dans le cas des unités dans l'exemple numérique choisi - le relais <I>Ga</I> n'est pas connecté, à la borne aR où se donne l'impulsion - (10-6).
Ce relais n'est donc connecté au pôle -, au cours du troi sième cycle, que par les bornes aS et aX. Mais la borne a.S ne le relie au pôle - qu'entre 2 et 6 et, d'autre part, à partir de 4 et jusqu'à 16, le relais cGa ouvre son contact 3, ce qui déconnecte le relais aGa de la borne aX à partir de l'instant 4.
Ainsi donc, l'excitation de aGa prendra fin avec l'impulsion - (2-6) de aS. Le relais aGa n'aura donc été excité que pendant un cycle (le troisième), tandis que le relais aGc l'a été pendant deux cycles (le premier et le second).
La raison en est que, pour les centaines, le chiffre du multiplicateur (8) correspon dait à deux multiplicateurs fixes (- 2 et 10), ce qui nécessitait deux cycles pour l'intervention de Gc (un cycle pour chaque multiplication élémentaire par - 2 et par -f- 10). Pour les unités au contraire, le chiffre du multiplicateur (5) correspondait à un seul multiplicateur fixe (5), ce qui ne nécessitait qu'un cycle pour l'intervention de<I>Ga.</I>
A partir de l'instant 16 du troisième cy cle, les trois relais aGa, bGa et cGa sont re venus au repos et la multiplication est ter minée.
On remarquera que Gb n'est pas inter venu, parce que le relais aGb n'a été excité à aucun moment. Ce relais n'a pas été excité par l'impulsion initiale venant de aM, parce que les quatre relais de Bb étaient au repos, par le fait que le chiffre des dizaines du multiplicateur est zéro et qu'il n'y a pas lieu pour ce chiffre d'effectuer une multiplication élémentaire.
Ainsi, d'une façon générale, le dispositif G commande l'intervention des multiplica teurs fixes nécessités par les chiffres particu liers du nombre multiplicateur enregistré en B, en accordant un cycle pour chacun de ces multiplicateurs (dont un cycle ou deux cy cles pour chaque rang, selon le chiffre), en omettant automatiquement le ou les rangs où figure<I>0 en B.</I>
En résumé, en ce qui concerne les disposi tifs<I>B, D,</I> G et F, il s'est produit ce qui suit, dans le cas choisi: Premier cycle: l'impulsion + (8-10) de aP atteint la borne gCs, l'impulsion -f- (8-12) de aN excite le re lais 2Fa, le relais cGc est excité de 4 à 16 (par les borates aU et aW).
Second cycle: l'impulsion -I- (8-12) de aY excite le re lais 1OFa, le relais cGc est excité de 4 à 16 par les bornes aU et aW.
Troisième cycle: l'impulsion + (8-12) de aN excite le relais Va, le relais cGa est excité de 4 à 16 (par les bornes aZT et aW).
Voyons maintenant ce qui s'est passé pendant ces trois cycles, dans le dispositif E et pour cela voyons d'abord comment sont agencés les groupes de contacts 1E, 2E, 5E pour chaque ordre de multiplicande:<I>Ad, Ac,</I> A b et Aa.
Les bornes gCa, gCb, gCc... gCg de C ser vent respectivement à la réception, par le groupe de faisceaux de fils Fe des unités, di zaines, centaines... dix millions, par ce dis positif C.
Le groupe de contacts 1E assure la trans mission au groupe de faisceaux 1H, au moyen de l'impulsion -f- (10-12) de aK, du multi plicande lui-même. Pour cela, dans chaque ordre, le contact 2 de chacun des quatre re lais<I>(l</I> Aa, 2Aa, 4Aa, 8Aa, par exemple pour les unités) commande l'un des quatre fils du faisceau correspondant (1Ha pour les unités).
Ainsi, pour les unités, le chiffre enregistré en Aa étant 5, lAa et 4Aa sont excités; les contacts 2 de ces relais sont fermés, tandis que les contacts 2 des deux autres (2Aa et 8Aa) sont ouverts. L'impulsion -f- (10-12) de aK atteindra donc (le multiplicande étant 3215) le fil no 1 et le fil no 2 de 1Hd, le fil n 2 de lHc, le fil no 1 de lHb et les fils 1 et 4 de 1Ha.
Le groupe de faisceaux de conducteurs 1H sert donc à transmettre, sous forme de cou rants, le multiplicande, du groupe de contacts 1E aux contacts lFal (unités), lFa2 (di zaines), 1Fa3 (centaines) et lFa4 (milliers) du relais I Fa.
Ainsi, quand au cours d'un cy cle, le relais 1Fa est excité (par l'impulsion -I- (8-12) comme on l'a vu), les contacts qu'il commande se ferment et le multiplicande (ou plus exactement le produit du multipli cande par le multiplicateur fixe 1) est trans mis aux faisceaux Fbl, Fb2, Fb3, Fb4. Sui- vaut lequel des relais eGc, cGb ou cGa est en fonction au cours de ce cycle, le multiplicande sera transmis aux bornes d'entrée du dispo sitif C dans le rang correspondant respective ment à cent fois,
dix fois ou une fois le pro duit élémentaire par 1. Ainsi, par exemple, si c'est le relais eGb (correspondant aux di zaines du nombre multiplicateur) le produit élémentaire que le dispositif C doit enregis trer est 10 X 1 X multiplicande. Pour cela, les contacts cGb8-cGbll connectent les faisceaux Fbl... Fb4 respectivement aux faisceaux Feb... Fce, c'est-à-dire que les uni tés, dizaines, etc., du produit élémentaire multiplicande X 1 sont envoyées respective ment dans l'ordre des dizaines, centaines, etc. du dispositif totalisateur C.
Si ce pro duit doit être enregistré négativement, l'im pulsion -f- (8-10) arrive à la borne gCs en même temps que le produit élémentaire arrive aux autres bornes gCa... gCg par l'impulsion -I- (10-12) venant de aK.
Le groupe de faisceaux 10H dérivés de 1H aboutit aux contacts 10Fal... 10Fa4 com mandés par le relais IOFa. Ces contacts re lient (lorsque 1OFa est excité) les faisceaux lOHb (dérivé de 1Ha), lOHc (dérivé de 1Hb), 10Hd (dérivé de lHc), 10He (dérivé de 1Hd) aux faisceaux Fb2 (dizaines), Fb3 (cen taines), Fb4 (milliers),
Fb5 (dix milliers). Les contacts du relais 1OFa sont. donc décalés d'un rang vers le haut par rapport à ceux du relais 1Fa. C'est ainsi que se fait la multipli cation par 10. On reviendra là-dessus, à pro pos de l'exemple numérique.
Le groupe de contacts 2E de chaque or dre<I>Ad, Ac, Ab,</I> Aa est agencé pour fournir aux groupes de faisceaux, sous forme de cou rants, le produit élémentaire multiplicande X 2, à partir de l'impulsion -i-- (10-12) de aK.
Les contacts 2E de Aa sont disposés de manière à satisfaire aux conditions suivantes:
EMI0012.0001
Valeur <SEP> enregistrée <SEP> en <SEP> Aa <SEP> Relais <SEP> de <SEP> <I>Aa</I> <SEP> excités <SEP> Produit <SEP> à, <SEP> obtenir
<tb> unités <SEP> I <SEP> dizaines
<tb> 0= <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> 0= <SEP> - <SEP> 1=1 <SEP> <I>lAa</I> <SEP> 2=2
<tb> <I>2= <SEP> 2 <SEP> 2Aa <SEP> 4= <SEP> 4</I>
<tb> 3=1-f-2 <SEP> <I>lAa</I> <SEP> et <SEP> <I>2Aa</I> <SEP> 6=2-f-4
<tb> <I>4 <SEP> = <SEP> 4</I> <SEP> 4,4a <SEP> <I>8 <SEP> = <SEP> 8</I>
<tb> 5=1 <SEP> -f-4 <SEP> lAa <SEP> et <SEP> <I>4Aa <SEP> 0= <SEP> -</I> <SEP> 1=1
<tb> 6= <SEP> 2-f-4 <SEP> <I>2Aa</I> <SEP> et <SEP> <I>4Aa</I> <SEP> 2=2 <SEP> 1=1
<tb> 7=1-f- <SEP> 2.+4 <SEP> <I>lAa,
<SEP> 2Aa</I> <SEP> et <SEP> <I>4Aa</I> <SEP> 4= <SEP> 4 <SEP> 1=1
<tb> '8= <SEP> 8 <SEP> 8Aa <SEP> 6=2-f-4 <SEP> 1=1
<tb> 9=1 <SEP> -f-8 <SEP> <I>lAa</I> <SEP> et <SEP> 8Aa <SEP> 8- <SEP> 8 <SEP> 1=1
EMI0012.0002
Fils <SEP> atteints <SEP> par <SEP> l'impulsion <SEP> -f- <SEP> (10-12) <SEP> de <SEP> <I>aIi'</I>
<tb> Unités <SEP> Dizaines
<tb> 0:
<tb> 1: <SEP> 2Ha2
<tb> <I>2: <SEP> 2Ha4</I>
<tb> 3: <SEP> 2Ha2 <SEP> et <SEP> 2Ha4
<tb> <I>4: <SEP> 2Ha8</I>
<tb> 5 <SEP> : <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> 2 <SEP> Hb <SEP> 1
<tb> 6: <SEP> 2Ha2 <SEP> <I>2Hb1</I>
<tb> <I>7: <SEP> 2Ha4 <SEP> 2Hb1</I>
<tb> 8 <SEP> : <SEP> 2Ha2 <SEP> et <SEP> <I>2Ha4 <SEP> 2Hb <SEP> 1</I>
<tb> 9 <SEP> :
<SEP> 2 <SEP> <I>Ha.8 <SEP> 2 <SEP> Hb <SEP> 1</I> On voit sur la fig. la que, conformément à ce tableau, le fil 2Hbl sera atteint pour les valeurs 5 à 9 et pas pour les valeurs 1 à 4, par le fait que le fil 2Hbl n'est atteint que si l'on a l'une des combinaisons suivantes de contacts fermés:
6 de<I>l</I> Aa et 7 de 4Aa, ce qui correspond à5 et à7, 7 de 2Aa et 7 de 4Aa, ce qui correspond à6 et à7, 7 de 8Aa, ce qui correspond à 8 et à 9. Le produit élémentaire par 2 étant néces sairement toujours, pour chaque rang, un nombre pair; le fil correspondant au chiffre 1 du code n'est pas employé (colonne 5).
Par contre, comme le produit des chiffres 5, 6, 7, 8, 9 par 2 donne un nombre excédant 10, on envoie la dizaine au fil 1 (2Hbl dans le cas envisagé) du rang supérieur.
Ainsi, au cours du premier cycle de la multiplication, où s'effectue le produit élé mentaire 3215 X 2 centaines = 6430 cen taines, l'impulsion suit les circuits suivants, comme on peut facilement le vérifier sur le schéma: dans les unités, elle n'atteint aucun des fils 2Ha2, 2Ha8, par contre, elle atteint le fil 2Hb1, qui appartient aux dizaines, dans les dizaines, elle atteint les fils 2Hb1 et 2Hb2, dans les centaines, elle atteint le fil 2Hc4, dans les milliers,
elle atteint les fils 2Hd2 et 2Hd4.
Le groupe de faisceaux 2H transmet donc le nombre 6430. Le relais 2Fa étant seul excité dans le dispositif F, au cours de ce cycle, l'impulsion + (10-12) est inefficace dans les groupes de faisceaux 1H, 5H, 10H, puisque les relais 1Fa, <I>Va</I> et IOFa l'empê chent d'atteindre le dispositif C.
Le relais cGc étant excité au cours du premier cycle, le nombre 6430 sera transmis ainsi par les con tacts cGc8... cGc12:
EMI0013.0001
6 <SEP> à <SEP> la <SEP> borne <SEP> <I>gCf <SEP> =</I> <SEP> 6 <SEP> 00 <SEP> 000 <SEP> pour <SEP> le <SEP> dispositif <SEP> C
<tb> <I>4 <SEP> " <SEP> " <SEP> gCe <SEP> -</I> <SEP> 40000 <SEP> <B>, <SEP> Il <SEP> Il</B> <SEP> C
<tb> <I>3 <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> gCd <SEP> =</I> <SEP> <B>3000 <SEP> 11 <SEP> 11</B> <SEP> C
<tb> <I>0 <SEP> <SEP> <SEP> 9Cc <SEP> <U>=</U></I> <SEP> 000 <SEP> <B>15 <SEP> 59</B> <SEP> C
<tb> soit:
<SEP> 643000 <SEP> = <SEP> 6430 <SEP> centaines <SEP> = <SEP> <B>3215</B> <SEP> X <SEP> 2 <SEP> centaines On a vu plus haut qu'au cours du pre mier cycle, l'impulsion + (8-10) de aP at teint la borne gCs, en sorte que ce produit élémentaire sera enregistré négativement par C, comme il convient dans ce cas.
Au cours du deuxième cycle, c'est la mul tiplication par 10 qui intervient. Le relais IOFa est alors excité pour laisser passer les courants parcourant le groupe de faisceaux <B>1011</B> et leur laisser atteindre le dispositif C. Les autres relais du dispositif F étant au re pos au cours de ce second cycle, on est assuré que seul le produit 3215 X 10 centaines est envoyé à C, parmi les quatre produits élé mentaires formés à chaque cycle par le dis positif E.
Au cours de ce deuxième cycle, l'impul sion + (10-12) de aK atteint les fils sui vants des faisceaux du groupe 111:
EMI0013.0012
Unités: <SEP> <I>111a1</I> <SEP> et <SEP> <I>111a4,</I> <SEP> ce <SEP> qui <SEP> correspond <SEP> à <SEP> 5 <SEP> dans <SEP> <I>lOHb</I>
<tb> Dizaines: <SEP> <I>1Hbl</I> <SEP> " <SEP> 1 <SEP> " <SEP> IOHc
<tb> Centaines: <SEP> 111c2 <SEP> <I>" <SEP> " <SEP> " <SEP> 2 <SEP> " <SEP> lOHd</I>
<tb> Milliers:
<SEP> <I>1 <SEP> Hdl</I> <SEP> et <SEP> <I>1 <SEP> 11d2</I> <SEP> " <SEP> 3 <SEP> " <SEP> l <SEP> OHe Les contacts lOFal... lOFa4 étant décalés d'un rang, comme déjà dit, par rapport aux contacts de 1Fa et, d'autre part, le relais cGc étant excité au cours de ce cycle, les chiffres du nombre 3215 venant par 10H atteindront le dispositif C dans le rang suivant, comme on le voit facilement sur le schéma:
EMI0013.0020
3 <SEP> à <SEP> la <SEP> borne <SEP> gCg <SEP> = <SEP> 3 <SEP> 000 <SEP> 000 <SEP> pour <SEP> le <SEP> dispositif <SEP> C
<tb> <I>2 <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> gcf <SEP> =</I> <SEP> 200 <SEP> 000 <SEP> C
<tb> <I>1 <SEP> " <SEP> " <SEP> gCe <SEP> =</I> <SEP> <B>10000</B> <SEP> C
<tb> <I>5 <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> gCd <SEP> -</I> <SEP> <B>5000</B> <SEP> " <SEP> " <SEP> C
<tb> soit: <SEP> 3 <SEP> 215 <SEP> 000 <SEP> = <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 10 <SEP> centaines. Ce nombre sera enregistré positivement par C, car, ainsi qu'on l'a vu également, au cours du second cycle, la borne gCs ne reçoit pas l'impulsion -I- (8-10). Au cours du troisième cycle a lieu la multiplication par 5.
Le relais 5Fa est alors seul excité dans le dis positif F et permet au produit 3215 X 5 d'at teindre les faisceaux Fbl... Fb5, à partir d'où, à travers les contacts cGa8... cGal2, il ira au dispositif C. Ce produit élémentaire est formé par le groupe de contacts 5E de la manière que l'on va examiner maintenant.
Si, dans un ordre quelconque du multi plicande, Aa par exemple, le chiffre est pair ou impair, le résultat de la multiplication élémentaire par 5 sera: zéro ou 5 dans l'ordre considéré et une retenue égale à 0, 1, 2, 3 ou 4 (selon le chiffre qui se trouve enregistré en Aa) destinée à s'ajouter au résultat de la mul tiplication dans l'ordre immédiatement supé rieur<I>(Ab) ;</I> résultat qui est lui-même égal à zéro ou cinq selon que le chiffre enregistré en <I>Ab</I> est pair ou impair. Quand le chiffre enre gistré dans un ordre de A (par exemple en <I>Ab)</I> est pair, le relais qui correspond à la va leur 1 du code (lAb) est au repos, si le chiffre est impair, ce relais est excité.
Sur-la base de ces remarques, on a disposé, pour chaque ordre, les contacts du groupe 5E de manière qu'ils satisfassent aux conditions suivantes, que l'on indiquera à titre d'exem ple pour l'ordre des dizaines<I>(Ab).</I>
Les contacts 2 à 13 de 2Ab, 8 à 11 de 4Ab et 8, 9, 10 de 8Ab sont disposés et connectés entre eux de manière à ce que, recevant l'im pulsion -[- (10-12) par le fil bKb, ils lais sent atteindre par cette impulsion certains des fils aEcl, aEc2, aEc4, aEc8 d'une part, et certains des fils bEcl, bEc2, bEc4 d'autre part,
selon la règle suivante: les fils bEcl, bEc2, bEc4 (correspondant respectivement aux chiffres 1, 2 et 4 du code) doivent recevoir des courants (à partir de la dite impulsion) représentant, par leur combi naison, la retenue du produit par 5 du chiffre enregistré en Ab, les fils aEcl, aEc2, aEc4, aEc8 (corres pondant respectivement aux chiffres 1, 2, 4, 8 du code) doivent recevoir des courants re présentant, par leur combinaison,
la retenue du produit par 5 du chiffre enregistré en<I>Ab,</I> augmentée de 5.
Les contacts 7 à 13 de lAc connectent le groupe des trois premiers fils ou le groupe des quatre seconds aux quatre fils du fais ceau SHc, selon que 1Ac est au repos ou est excité, c'est-à-dire selon. que le chiffre enre gistré en Ab est pair ou impair.
La disposition étant la même pour les dif férents éléments, il en résulte que les fais ceaux 5Ha, 5Hb... 5He transmettent le pro duit par 5 du nombre enregistré en A.
Naturellement, dans les unités (5Ha), le produit ne peut être que 5 ou 0; le faisceau 5Ha n'a donc que deux fils correspondant aux chiffres 1 et 4 du code, dont la combinaison représente 5 d'après le code.
Le tableau suivant résume les conditions qui déterminent la disposition des contacts du groupe 5E, en prenant l'ordre Ab à titre d'exemple.
EMI0014.0048
Valeur <SEP> enregistrée <SEP> en <SEP> <I>Ab</I>
<tb> <I>.</I> <SEP> Relais <SEP> de <SEP> <I>Ab</I> <SEP> excités <SEP> Retenue <SEP> à <SEP> obtenir <SEP> Retenue <SEP> + <SEP> 5
<tb> <U>I</U>
<tb> 0=- <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> 0 <SEP> = <SEP> _ <SEP> - <SEP> - <SEP> 5=1-E- <SEP> 4
<tb> 1=1 <SEP> <I>1 <SEP> Ab</I> <SEP> 0=-- <SEP> 5=1-E- <SEP> 4
<tb> 2= <SEP> 2 <SEP> <I>2Ab</I> <SEP> 1 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> 6= <SEP> 2-E-4
<tb> 3= <SEP> 1 <SEP> + <SEP> 2 <SEP> 1 <SEP> Ab <SEP> et <SEP> <I>2Ab</I> <SEP> 1 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> 6= <SEP> 2-E-4
<tb> <I>4= <SEP> 4
<SEP> 4Ab</I> <SEP> 2 <SEP> = <SEP> 2 <SEP> 7=1+2+4
<tb> 5 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> + <SEP> 4 <SEP> <B><I>l <SEP> Ab</I></B> <SEP> et <SEP> <I>4 <SEP> Ab</I> <SEP> 2 <SEP> = <SEP> 2 <SEP> 7 <SEP> =1-E- <SEP> 2 <SEP> -E- <SEP> 4
<tb> 6 <SEP> = <SEP> 2+4 <SEP> 2 <SEP> ,A.b <SEP> et <SEP> 4 <SEP> Ab <SEP> 3 <SEP> = <SEP> 1+2 <SEP> 8 <SEP> = <SEP> 8
<tb> 7=1-2-E-4 <SEP> lAb <SEP> 2Abet4Ab <SEP> 3 <SEP> = <SEP> 1-E-2 <SEP> 8= <SEP> 8
<tb> 8 <SEP> = <SEP> 8 <SEP> <B>8 <SEP> .Ab</B> <SEP> 4 <SEP> = <SEP> 4 <SEP> 9 <SEP> =1 <SEP> <B>+8</B>
<tb> 9 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> <B>+8</B> <SEP> 1 <SEP> Ab <SEP> et <SEP> <B>8,4b</B> <SEP> <I>4 <SEP> =</I> <SEP> 4 <SEP> 9 <SEP> =1 <SEP> <B>+8</B>
EMI0014.0049
Circuits <SEP> recevant <SEP> l'impulsion <SEP> venant <SEP> de <SEP> <I>bIfb</I>
<tb> <I>0 <SEP> :
<SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> aEc1</I> <SEP> et <SEP> <I>aEc4</I>
<tb> <I>1 <SEP> : <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> aEc1</I> <SEP> et <SEP> <I>aEc4</I>
<tb> <I>2 <SEP> : <SEP> bEc <SEP> 1 <SEP> aEc <SEP> 2</I> <SEP> et <SEP> <I>a.Ec <SEP> 4</I>
<tb> <I>3: <SEP> bEc1</I> <SEP> aEc2 <SEP> et <SEP> <I>aEc4</I>
<tb> <I>4: <SEP> bEc2 <SEP> aEc1, <SEP> aEc2</I> <SEP> et <SEP> <I>aEc4</I>
<tb> 5: <SEP> bEc2 <SEP> <I>aEc1, <SEP> aEc2</I> <SEP> et <SEP> <I>aEc4</I>
<tb> <I>6 <SEP> : <SEP> bEc <SEP> 1 <SEP> et <SEP> bEc2 <SEP> aEc <SEP> 8</I>
<tb> <I>7: <SEP> bEcl</I> <SEP> et <SEP> <I>bEc2 <SEP> aEc8</I>
<tb> <I>8: <SEP> bEc4 <SEP> aEc1</I> <SEP> et <SEP> <I>aEc8</I>
<tb> 9:
<SEP> bEc4 <SEP> <I>aEcl</I> <SEP> et <SEP> <I>aEc8</I> On voit sur la fig. la que, conformément à ce tableau, seuls les circuits indiqués comme recevant l'impulsion venant de bKb sont at teints par l'impulsion venant de ag. En ef fet, pour que ces fils soient atteints, il faut que l'on ait:
pour bEcl: contact 8 de 2Ab fermé, c'est-à- dire d'après le code: 2, 3, 6 ou 7 en<I>Ab;</I> pour bEc2: contact 8 de 4Ab fermé, c'est-à- dire d'après le code: 4, 5, 6 ou 7 en Ab;
pour bEc4: contact 8 de 8Ab fermé, c'est-à- dire d'après le code: 8 ou 9 en<I>Ab;</I> pour aEcl: contact 9 de 2Ab fermé, c'est-à- dire d'après le code:
0, 1, 4, 5, 8 ou 9 en<I>Ab;</I> pour aEe2: contacts 10 de 2Ab et 9 de 4Ab simultanément fermés (ce qui correspond à 2 ou 3 en Ab) ou contacts 11 de<B>'-)Ab</B> et 8 de 4Ab simultanément fermés (ce qui correspond à 4 ou 5 en<I>Ab);</I> pour aEc4: contacts 11 de 4Ab et 9 de 8Ab simultanément fermés (ce qui correspond à 0 ou 1 ou 2 ou 3 en Ab) ou contacts 13 de 2Ab et 10 de 4Ab simultanément fermés (ce qui correspond à 4 ou 5 en<I>Ab);</I> pour aEc8:
contacts 12 de 2Ab et 10 de 4Ab simultanément fermés (ce qui correspond à 6 ou 7 en Ab) ou contact 10 de 8Ab fermé (ce qui correspond à 8 ou 9 en Ab). Si maintenant on revient à l'exemple nu mérique envisagé, au cours du troisième cycle, où s'effectue la multiplication élémentaire 3215 X 5 unités - 16075 unités, l'impul sion venant de aK suit les circuits suivants, comme on peut le vérifier facilement sur le schéma:
unités: borne aK, fil bK, fil bKa, con tacts 7 et 8 de lAa, fils 1 et 4 de SHa; dizaines: borne aK, fil bK, fil bKa, con tact 9 de 2Aa, fil aEbl, con tact 7 de lAb, fil 1 de 5Hb;
borne aK, fil bK, fil bKa, con tact 8 de 4Aa, contact 11 de 2Aa, fil aEb2, contact 9 de lAb, fil 2 de SHb; borne aK, fil bK, fil bKa, con tact 10 de 4Aa, contact 13 de Ma, fil aEb4, contact 11 de lAb, fil 4 de 5Hb; centaines:
l'impulsion venant de aK par bKb ne peut atteindre aucun des quatre fils du faisceau 5Hc; milliers: borne aK, fil bK, fil bKc, con tact 9 de 4Ac, contact 10 de 2Ac, fil aEd2, contact de <B><I>l Ad,</I></B> fil 2 de 5Hd;
borne aK, fil bK, fil bKc, con tact 9 de 8Ac, contact 11 de 4Ac, fil aEd4, contact 11 de lAd, fil 4 de 51d; dix milliers: borne aK, fil bK, fil bKd, con tact 8 de 2Ad, fil 1 de 5He. Ainsi le groupe de faisceaux 5H reçoit et transmet le nombre 16075.
Le relais Va étant le seul excité du dispositif F, les cou rants représentant ce nombre sont transmis aux faisceaux Fbl... Fb5 par les contacts SFal... 5Fa5. Le relais cGa étant excité au cours de ce troisième cycle, les courants ainsi reçus par les faisceaux Fbl... Fb5 sont trans mis aux faisceaux Fca, Feb... Fce (et de là aux bornes gCa, gCb... gCe)
par les contacts cGa8... cGal2.
Ce relais cGa transmet donc le nombre 16075 de la façon suivante:
EMI0015.0090
1 <SEP> à <SEP> la <SEP> borne <SEP> <I>cGe <SEP> -</I> <SEP> <B>10000</B>
<tb> <I>6 <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> cGd <SEP> -</I> <SEP> <B>6000</B>
<tb> <I>0 <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> cGc <SEP> =</I> <SEP> 000
<tb> <I>7 <SEP> " <SEP> " <SEP> " <SEP> cGb <SEP> - <SEP> 70</I>
<tb> <I>5 <SEP> " <SEP> " <SEP> fa <SEP> - <SEP> 5</I>
<tb> 16 <SEP> 075 <SEP> = <SEP> 16075
<tb> unités <SEP> - <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 5 <SEP> unités. La borne gCs ne reçoit pas l'impulsion -f- (8-10) au troisième cycle, en sorte que le dispositif C enregistrera positivement ce nombre.
En résumé, le dispositif totalisateur a reçu:
EMI0016.0001
au <SEP> ler <SEP> cycle: <SEP> - <SEP> 643 <SEP> 000 <SEP> = <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> (-2) <SEP> centaines
<tb> au <SEP> 2me <SEP> cycle: <SEP> -@- <SEP> 3215 <SEP> 000 <SEP> = <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 10 <SEP> centaines
<tb> au <SEP> 3me <SEP> cycle: <SEP> -@- <SEP> <U>16 <SEP> 0</U>7<U>5</U> <SEP> = <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 5 <SEP> unités
<tb> Total <SEP> <B>2588075</B> On peut résumer comme suit le fonction nement de la machine: Au cours d'un premier cycle, les dispo sitifs d'enregistrement<I>A</I> et<I>B</I> enregistrent respectivement le multiplicande et le multi plicateur.
Dès ce premier cycle et jusqu'à la fin de la multiplication, le dispositif A commande le dispositif E, qui est disposé de manière à former les quatre produits élémentaires (multiplicande par 1, 2, 5 et 10).
Le dispositif B commande le dispositif D, qui détermine automatiquement combien de cycles sont nécessaires pour chaque rang du multiplicateur et qui commande en consé quence le dispositif G.
Le dispositif G a deux fonctions <B>10</B> Il sélectionne à chaque cycle celui des quatre produits élémentaires qui doit être envoyé au dispositif C; 20 Il envoie ce produit élémentaire dans le rang qui convient, aux bornes du dispo sitif C, selon qu'il s'agit d'un produit cor respondant aux centaines, dizaines ou uni tés du multiplicateur.
Le dispositif G fait intervenir un ordre après l'autre (du multiplicateur) et, pour chaque ordre, quand le chiffre d'un ordre correspond à deux multiplicateurs fixes (- 2 et -I- 10, par exemple), il fait intervenir deux fois le dispositif F; une fois pour cha que multiplicateur fixe.
Les quatre relais du dispositif F sont excités sélectivement (un par cycle) par le dispositif G; chacun de ces relais permet à l'un des produits élémentaires (formé par E) de passer.
Une fois que les relais aGc, adb et aGa sont venus tous trois au repos, la communi cation entre les fils cT et dT est rompue (le contact 1 de ces relais étant ouvert), et les relais des dispositifs A et B reviennent au repos. La machine est alors prête à recom mencer une nouvelle multiplication.
Le dispositif C est de tout type connu. Il peut être, par exemple, du type décrit dans le brevet suisse no 138449.
La division du cycle en 48 parties est arbitraire. Elle pourrait être différente. Les dispositifs A et B pourraient ne pas être des relais. L'un ou les deux pourraient être formés par un dispositif mécanique ou électromécanique.
Enfin, bien que l'agencement des disposi tifs<I>E, D, G,</I> F au moyen de contacts et cir cuits électriques soit particulièrement avan tageux par sa simplicité, tout ou partie de ces dispositifs pourrait être conçue pour être réalisée par d'autres moyens, mécaniques ou pneumatiques, par exemple.
La machine décrite peut être utilisée, par exemple, dans des installations automatiques pour le dépouillement de données statistiques enregistrées par perforation sur des cartes ou des rubans. Bien entendu, elle n'est pas limi tée à de telles installations automatiques. On pourrait fort bien commander l'envoi du mul tiplicateur et du multiplicande aux disposi tifs B et A au moyen d'un clavier. Dans ce cas, la machine fonctionnerait comme ma chine à multiplier à commande par clavier.
Machine for performing multiplications. There are currently two types of multiplying machines using the principle of the four elementary operations of arithmetic. Machines of the first type, the oldest known (and of which Leibnitz's is the prototype), carry out a multiplication by successive additions. Those of the second type (the first model of which was produced by L. Bollée) are the so-called "direct multiplication" machines; they are based on the principle of the multiplication table or Pythagorean table.
Multiplication machines by successive additions are relatively very simple; on the other hand, they have the disadvantage of requiring a lot of time, since it is a question, for each multiplication, of adding the multiplicand a number of times equal to the sum of the digits of the multiplier (taking into account rank naturally).
A direct multiplication machine, which would be based on the principle of the multiplication table and which would give at once, directly, the product of any two nouns, is conceivable (although it must necessarily be limited in its capacity) , but could not advantageously become a practical reality, given the extreme complexity that it would necessarily have to present.
The machines that are usually referred to as direct multiplication machines actually proceed in stages, performing as many elementary multiplications as the multiplier has significant digits, just as we are forced to do when we do a multiplication in writing. It is each elementary multiplication (of the multiplicand by each digit of the multiplier) which is done directly.
Although not giving the general solution to the problem of direct multiplication, the currently known machines which belong to the second type are necessarily of very notably greater complexity than the machines with successive addition. This is easily understood, since multiplication is a higher order operation than addition.
The object of the present invention is a machine for carrying out multiplications which, as will be seen, can be considered in some way as belonging to a third type, which would be intermediate between the two preceding ones.
The machine according to the invention comprises a device for recording the multiplicand, a device for recording the multiplier, a totalizing device, a multiplying device intended to supply the totalizing device with elementary products, the sum of which is equal to the product. multiplier and multiplier numbers to be multiplied and which the respective recording devices have recorded.
It is characterized in that the multiplier device comprises multiplier members automatically establishing and supplying the product of the multiplicand by a certain number, much less than 9, of constant fixed multipliers, each multiplier member corresponding to one au. less of these fixed figures,
means controlling the input as a function of these successively multiplying members at least for the different ranks of the multiplier in which there are digits other than zero, selector means, controlled by the recording device of the multiplier, selecting and automatically ordering successively for the different digits of the multiplier, that, respectively those of the multiplier organs which must come into play, according to a rule established in advance (rule according to which, for example,
the algebraic sum of the fixed multipliers is equal to the considered figure of the multiplier they replace), means being furthermore provided for making totalize in the desired rank, in the totalizing device, each of the elementary products, multiplicand by fixed multipliers , well trained and born selection. It will be noted that with such a machine, the drawbacks mentioned above of known machines are avoided.
Indeed, on the one hand, we see that a multiplication will require less time with the machine according to the invention than with a machine with successive additions, since the number of fixed multipliers is chosen less than that of the name bre of digits of the number base (which is 10 in the case of the decimal base, the only one to be considered in practice).
On the other hand, because of this reduced number of fixed multipliers (which moreover constitutes a fundamental difference between the machine considered and those usually designated direct multiplication machines), the complexity of the machine according to the invention is evidently apparent. as having to be smaller than that of the machines of the second type mentioned above. In addition, and this is clear from the example which follows, the complexity of the machine can still be very significantly reduced by virtue of a judicious choice of fixed multipliers. You can choose, for example: 1, 2, 5, 10 or 1, 2, 2, 4 or 1, 2, 2, 5, etc.
The first combination offers the advantage that it allows all digits to be represented by one or two of the fixed names at most (that is, by their sum or their difference). With the second and third of these combinations, some digits can only be represented by the sum of three fixed numbers; on the other hand, no digit is represented, in this case, by a difference of fixed numbers. This is an advantage, if we consider the totalizing device which receives the elementary partial products. In the first case, some of these products are negative, in the other two cases they are always positive.
Figs. 1a and 1b of the accompanying drawings show, by way of example, the electrical diagram of one embodiment of the machine forming the subject of the invention.
Suppose, for example, that we take the values 1, 2, 5 and 10 as fixed multipliers. Any number can always be represented by the sum or the difference of two at most of these fixed multipliers. Indeed, we have:
EMI0003.0001
0 <SEP> = <SEP> ....
<tb> 1 = 1
<tb> 2 <SEP> = <SEP> 2
<tb> 3 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> + <SEP> 2
<tb> 4 = 2-f-2
<tb> 5 = 5
<tb> 6 = 5 + 1.
<tb> 7-5-f-2
<tb> 8 = 10-2 = -2 + <SEP> 10
<tb> 9 = 10-1 = -1.-f-10 Now, multiplication by 0 is the absence of multiplication. The multiplication by 1 is extremely simple, it is the pure and simple addition of the multiplicand; the same as for the multiplication by 10 (taking into account the rank of the digits of course).
The multiplication by 2 and that by 5 are very simple, as can be seen from the following remarks:
EMI0003.0002
B
<tb> 0 <SEP> X <SEP> 2 <SEP> - <SEP> 0 <SEP> - <SEP> <U> ô </U>
<tb> 1X2 = 2 <SEP> = 2
<tb> 2X2 = 4 <SEP> = <SEP> 4
<tb> 3X2 = 6 <SEP> = <SEP> 2-f-4
<tb> 4X2 = 8 <SEP> = <SEP> 8
<tb> 5X2 = <SEP> <B> 10 <SEP> * = </B> <SEP> 1 <SEP> diz. <SEP> + <SEP> 0 <SEP> unit. <SEP> = <SEP> 1 <SEP> diz. <SEP> + <SEP> 0 <SEP> unit.
<tb> 6X2 = 12--1 <SEP> "<SEP> +2 <SEP>" <SEP> = 1 <SEP>;
, <SEP> +2 <SEP> "
<tb> 7X2 = 14 = 1 <SEP> "<SEP> +4 <SEP>" <SEP> = <SEP> 1 <SEP> "<SEP> +4 <SEP>"
<tb> 8X2 = 16 = 1 <SEP> "<SEP> +6 <SEP>" <SEP> = <SEP> 1 <SEP> "<SEP> + 2-f-4 <SEP> unit.
<tb> 9X2-18- = 1 <SEP> <SEP> @ i-8 <SEP> <SEP> = <SEP> 1 <SEP>, <SEP> 0x5 = 0 <SEP> = <SEP> a
<tb> 1X5-5 <SEP> = 1 + 4
<tb> 2 <SEP> X <SEP> â <SEP> = <SEP> 10 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> diz. <SEP> + <SEP> 0 <SEP> unit. <SEP> = <SEP> 1 <SEP> diz.
<SEP> + <SEP> 0 <SEP> unit.
<tb> 3X5 = 15 = 1 <SEP> "<SEP> +5 <SEP>" <SEP> = <SEP> 1 <SEP> "<SEP> + (1 + 4) <SEP> unit.
<tb> 4X5 = 20 = 2 <SEP> "<SEP> -f-.0 <SEP>" <SEP> = <SEP> 2 <SEP> "<SEP> +0 <SEP> unit.
<tb> 5X5 = 25 = 2 <SEP> "<SEP> +5 <SEP>" <SEP> - <SEP> 2 <SEP> "<SEP> + (1 + 4) <SEP> unit.
<tb> 6X5 = 30 = 3 <SEP> ,, <SEP> -f - 0 <SEP>, <SEP> = <SEP> 3 <SEP> "<SEP> +0 <SEP> unit.
<tb> 7 <SEP> X <SEP> 5 = 35 = 3 <SEP> "<SEP> + <SEP> 5 <SEP>" <SEP> - <SEP> 3 <SEP> "<SEP> + (1 -f-4) <SEP> unit.
<tb> 8X5 = 40 = 4 <SEP> "<SEP> -f-0 <SEP>" <SEP> = 4 <SEP>,. <SEP> +0 <SEP> unit.
<tb> 9X5 = 45 = 4 <SEP> "<SEP> +5 <SEP>" <SEP> = 4 <SEP> "<SEP> + (1 + 4) <SEP> unit. In A we have indicated the products of the ten digits by 2, respectively by 5, using the usual decimal notation.
In order to obtain certain simplifications which are very useful in a good number of applications, we can, instead of using this rotation, represent each digit by a combination such as the following for * example (four-digit code: 1, 2, 4 and 8), which gives the results indicated above in B:
EMI0003.0005
1 <SEP> 2 <SEP> 4 <SEP> 8
<tb> 0 <SEP> = <SEP> 1
<tb> 1 <SEP> # <SEP> 1
<tb> 2 = <SEP> 2
<tb> 3 <SEP> = <SEP> 1 + 2
<tb> 4 <SEP> = <SEP> 4
<tb> 5 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> +4
<tb> 6 <SEP> = <SEP> 2-f-4
<tb> 7 <SEP> = <SEP> 1 + 2 + 4
<tb> 8 <SEP> = <SEP> 8
<tb> 9 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> +8 The advantage of such a combination consists in that, thanks to it, four parameters (this word being taken in its broadest sense) - namely: 1, 2, 4 and 8 - are sufficient to represent all the digits (zero being represented by the absence of the four parameters) in an unambiguous manner, while with the usual notation, ten para meters, that is, one per digit.
This re-mark, which moreover is not new, makes it possible in many cases to achieve a great reduction in the number of organs necessary for the operation of calculating machines. Examples of adding and subtracting machines built on this basis are indicated in particular in Swiss Patents Nos. 129784 and 138449.
In order to make ourselves understood, we will now be able to see that in principle, in a very general way, the multi-folding machine which we are going to describe comprises the following parts: a device A intended to record the multiplicand, a device B intended to record the multiplier, a device C intended to record the partial products and to total them, a device D intended to automatically transform each digit of the multiplier number into fixed multipliers, a device E intended to provide successive event,
for each row of digits of the multiplier first, and for its different rows then, the partial elementary products of the multiplicand by the various fixed multipliers present, a device F intended to automatically transmit to the device C each partial elementary product multiplicand by a fixed multiplier, a device G intended to transmit these elementary products in the appropriate rank.
The devices <I> A, B, </I> C can be of any suitable type. Before describing the illustrated embodiment of the machine, we will examine the principle of its operation, which will facilitate understanding of the following.
The embodiment shown is purely electric and the devices <I> A and B </I> consist of electric relays; only the diagram of the connections has therefore been shown.
<I> 1 </I> Aa, 2Aa, 4Aa and 8Aa are four relays corresponding respectively to digits 1, 2, 4, 8 of the code and intended to record the units of the multiplicand. Ab, <I> Ac, Ad </I> correspond respectively to the tens, hundreds and thousands of the multiplicand, as Aa corresponds to the units, in device A.
<I> Ba, </I> Bb, <I> Bc </I> designate the organs corresponding respectively to the recording of the units, tens and hundreds of the multiplier in the device <I> B. 1 </I> Ba, 2Ba, 4Ba, 8Ba are the relays which, in the order of the units, correspond respectively to the digits 1, 2, 4 and 8 of the code.
1Fa, 2Fa, 5Fa and lOFa are four relays of the device F whose function is to ensure the transmission of the elementary products of the multiplicand (recorded in A), respectively by the fixed multipliers 1, 2, 5 and 10.
Device D is formed by circuits controlled by contacts which are themselves controlled by the relays constituting device B. Their function is to control the relays of devices F and G.
Device E is formed by circuits controlled by contacts which are themselves controlled by the relays constituting device A. Their function is to form the product of the multiplicand recorded in A by the various fixed multipliers. The contact group 1E performs the multiplicand multiplication by 1, that is to say transmits the multiplicand as is.
Contact group 2E performs the multiplication of the multiplicand by 2. Group 5E performs the multiplication of this multiplicand by 5. For the multiplication by 10, the contacts of group 1E are used. < / B>
In the diagram, the single threads are represented by ordinary lines. The strong lines represent groups or bundles of four wires used for the transmission of a digit and corresponding respectively to the digits 1., 22, 4 and 8 of the code used.
The contacts indicated in solid lines and controlling the passage of current in these bundles of four wires (for example 1Fa2 control Fb2) actually represent four single contacts each controlling one of the four wires of the bundle. It is for the clarity of the drawing that this representation has been adopted.
In the following, we will have to consider what we will call the cycle of operations, or simply the cycle of the machine. It is the period of time corresponding to the execution of the multiplicand product by one or the other of the fixed multipliers (1, 2, 5 or 10).
The duration of a cycle is defined by a complete revolution of a regularly rotating shaft and carrying cams controlling switches, so as to periodically close and open these switches, at certain defined times of each revolution or cycle. We arbitrarily chose an origin of the times and divided the cycle into 48 equal parts for example.
We will suppose that it is a question of multiplying the number <B> 3215 </B> (multiplicand) by 805 (multiplier). by means of the machine shown, and the operation of this machine will be described in the case of this example, with reference to the diagram.
First of all, here is a general overview of how it works, which will make it easier to understand the detailed explanations given below.
At the start of a first cycle, the multiplier and the multiplier are sent, in the form of currents, according to the code 1, 2, 4, 8 chosen; respectively: the first to the relays of device A, the second to the relays of device B.
The multiplicand being recorded in A (by the fact of the excitation of certain determined relays of the device A), it follows that some of the contacts of the device E are or green, while the others are closed, and that of a a well-determined way and such (as we will see) that, when a pulse is sent to terminal ak, it arrives simultaneously: act) by passing through those of the contacts of group 1E which are closed, to those of the wires d a group of beams designated by 1H which, according to the code 1, 2, 4, 8 form a combination representing the multiplicand itself (8215 in the present case);
b) passing through those of the contacts of group 2E which are closed, to those of the wires of a group of bundles designated by 2H which, according to the code 1, 2, 4, 8, form a combination representing the product of multiply (ie <B> 3215) </B> by the fixed multiplier digit 2 (ie therefore the elementary product 6430); c) passing through those of the contacts of group 5E which are closed, to those of the wires of a group of bundles designated by 5H which, according to the code 1, 2, 4, 8 form a combination representing the product of the multiplication cande (â215) by the fixed multiplier figure 5 (ie therefore the elementary product 16075);
d) to a group of beams denoted by 10H, which is simply a derivation of 1H intended to provide the product of the multiplication (3215) by the fixed multiplier 10 (hence the elementary product 32150).
As long as the multiplication is not completed, in each cycle, the groups of beams <I> IH, 2H, </I> 5H and 10H respectively receive the product of the multiplicand by, 1, by 2, by 5 and by 10.
The multiplier 805 being stored in the device B, the device D automatically determines the progress of the multiplication as follows: The group of contacts D3 determines, for each order of the multiplier (hundreds, tens and units) if it It will take zero, one or two cycles and accordingly controls the device G: The contact group D1 determines which different fixed multipliers are to be used.
The contact group D2 determines the elementary products which must be registered negatively by the device C.
The device G controls the device F, so as to allow the various elementary products corresponding to the fixed multipliers which must be used to pass, in the appropriate order and in the appropriate rank, cycle after cycle. This device acts by connecting, at each cycle, to the group of Fe beams leading to the input terminals of the counter C, that of the four groups of beams 1H, 2H, 5H, 10H, and this with the desired sign and in gold dre and in the proper rank, as just said.
As soon as the last elementary product transmitted to device C, devices <I> A </I> and <I> B </I> are automatically put to rest and the pulse ceases to be sent to terminal ak.
In the example chosen, where the multiplier is equal to 805, we have:
EMI0006.0014
hundreds: <SEP> 8 <SEP> - <SEP> 10 <SEP> - <SEP> 2; <SEP> two <SEP> cycles <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 10 <SEP> hundreds <SEP> = <SEP> <B> 32150 </B> <SEP> hundreds
<tb> 3215 <SEP> X <SEP> (- <SEP> 2) <SEP> hundreds <SEP> = <SEP> - <SEP> 6430 <SEP> hundreds
<tb> tens: <SEP> 0; <SEP> zero <SEP> cycle <SEP> (omitted <SEP> automatically) <SEP> 0
<tb> units: <SEP> 5 <SEP> = <SEP> 5; <SEP> one <SEP> cycle <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 5 <SEP> units <SEP> = <SEP> 16075 <SEP> units.
In detail, things happen as follows: The multiplicand is sent, in the form of currents, to quadruple terminals aAa, aAb, aAc and aAd, corresponding respectively to the units, tens, hundreds and thousands.
These quadruple terminals are connected to the relays of device A by bundles b-Aa, bAb, bAc, bAd, each formed by four wires. We have designated, for the order of the units, by blAa, b2Aa, b4Aa, b8-4a the four wires of the corresponding bundle bAa, which respectively end at the four relays 1-4a, 2Aa, 4Aa,
8Aa. These four relays and the four supply wires correspond respectively to digits 1, 2, 4 and 8 of the code.
Thus, the recording of multiplicand 3215 in A produces the excitation of the following relays: -
EMI0006.0042
units: <SEP> <I> lAa, <SEP> 4Aa </I> <SEP> because <SEP> 5 <SEP> is <SEP> represented <SEP> with <SEP> the <SEP> code <SEP> by <SEP> 1 <SEP> and <SEP> 4
<tb> tens: <SEP> lAb <SEP> "<SEP> 1 <SEP>" <SEP> "<SEP>" <SEP> "<SEP> 1
<tb> hundreds: <SEP> 2Ac <SEP> "<SEP> 2 <SEP>" <SEP> "<SEP>" <SEP> "<SEP> 2
<tb> thousands: <SEP> <I> lAd, <SEP> 2Ad <SEP> "<SEP> 3 <SEP>" </I> <SEP> "<SEP>" <SEP> "<SEP> 1 < SEP> and <SEP> 2 The other relays of this device A remain at rest The contacts of the energized relays are brought to the operating position.
In the drawing, all the contacts are shown in the position corresponding to the rest of all the relays.
The multiplier is sent, in the form of currents, to quadruple terminals aBa, aBb, aBc corresponding respectively to units, tens and hundreds. These quadruple terminals are connected to the relays of the device <I> B </I> by bundles bBa, bBb, bBc, each formed of four wires respectively terminating at the four relays of each order.
In units, for example, the four relays are: lBa, 2Ba, 4Ba, 8Ba. They correspond to the four digits 1, 2, 4, 8 of the code.
Saving the value 805 in B determines the energization of the following relays:
EMI0007.0001
units: <SEP> <I> 1Ba, <SEP> 4Ba </I> <SEP> because <SEP> 5 <SEP> is <SEP> represented <SEP> with <SEP> the <SEP> code <SEP> by <SEP> 1 <SEP> and <SEP> 4
<tb> tens: <SEP> none <SEP> "<SEP> 0 <SEP>" <SEP> <B> <I> He </I> <SEP> on </B> <SEP> "<SEP> "<SEP>" <SEP> nothing
<tb> hundreds: <SEP> 8Bc <SEP> "<SEP> 8 <SEP>" <SEP> <B> on <SEP> 15 </B> <SEP> "<SEP>" <SEP> "<SEP > 8 The other relays of this device B remain at rest.
The currents having produced the excitation (said relays of A and B are supplied by any known means, in the form of an impulse giving itself at a determined instant of the first cycle and not repeating itself in the following cycles: indicated opposite each terminal the instant of the beginning and the instant of the end of each pulse with respect to the origin of the cycle. Thus, for example, the pulse which causes the excitation of the aforementioned relays of A and of B is designated by (0-4); this means that it begins at the origin of the cycle and ends on the fourth forty-eighth of the cycle (the cycle being divided into forty-eight parts as already said).
A single pulse (2-4) (i.e. sent to the first cycle only) is sent to terminal aM and follows the following paths <I> a) </I> Terminal aM, wire bM, contact 2 (closed) of 8B (, wire bMc, relay aGc, wire bXc, contact 3 (closed) of relay eGc, wire bX, terminal aX, pole -. Thus the relay aGc is energized.
b) Terminal aM, wire bM, contacts 2 of Ma and 2 of 4Ba, wire bMa, relay aGa, wire bXa, con tact 3 of cGa, wire bX, terminal aX, pole -. Thus the aGa relay is energized.
The aGc and aGa relays remain energized as long as the eGc and cGa relays remain at rest (i.e. as long as contacts no.3 of these latter relays remain closed), because as soon as they have been energized by the impulse coming from terminal aM, they closed their contact no.1, which connected them to the + pole by the intermediary of terminal aT, wire bT and their contact no.1.
As long as at least one of the two relays aGc and aGa is energized, the relays of A and B energized by the fact of the recording of the numbers to be multiplied (pulse 0-4) will remain energized for the following reason. As soon as they were excited, these relays lAd, 2Ad, 2Ac, lAb, lAa, 4Aa, 8Bc, IBa, 4Ba closed their contact no.1, which connected them to the + pole by the following path:
pole -I-, terminal aT, wire <I> CT, </I> contact 2 of aGc or aGa, wire dT, contact no.1 of the energized relays of A and B and from there to the pole - through these relays . These latter relays will remain energized for the number of cycles necessary for the execution of the multiplication.
At each cycle, a + (4-6) pulse is sent to terminal aU. During the first cycle, in the example considered, it follows the following circuit: + pole, aU terminal, bU wire, aGc contact 3, cUc wire, eGc relay, - pole. The eGc relay is thus energized.
It remains excited until 16 of the first cycle, by the + (4-16) pulse supplied to terminal a; W and arriving, as soon as it is excited, by wire b W and its contact no.1.
Excitation of the eGc relay cuts off the communication between the aGc relay and the aX terminal, which is connected to the - pole. However, despite the opening of contact 3 of cGc, the aGc relay does not de-energize immediately, because it remains in relation with the pole - through the aSc wire, the bS wire and the aS terminal, which receives the pulse - (2-6), which means that from 2 to 6 of each cycle the terminal is connected to the - pole.
At each cycle, a + (6-8) pulse is sent to terminal aR. The contacts of group D3, intended to receive this pulse, are arranged and connected to one another in such a way that this pulse does not reach (for example in the hundreds) the eQc wire unless the figure recorded in <I> Bc </ I> corresponds to two fixed multipliers.
We have already indicated that these figures are:
EMI0008.0001
<B> 3 ---- l </B> <SEP> -f- <SEP> 2 <SEP> to <SEP> which <SEP> corresponds <SEP> to the <SEP> excitation of <SEP> 1Bc < SEP> and <SEP> <I> 2Bc </I>
<tb> 4 <SEP> = <SEP> 2 <SEP> + <SEP> 2 <SEP> "<SEP>" <SEP> <B> Il <SEP> DI </B> <SEP> "<SEP> 4Bc <SEP> alone
<tb> 6 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> -I-5 <SEP> "<SEP>" <SEP> From <SEP> <B> DI </B> <SEP> "<SEP> 2Bc <SEP> and <SEP> 4Bc
<tb> 7 <SEP> = <SEP> 2 <SEP> -f- <SEP> 5 <SEP> "<SEP>" <SEP> From <SEP> <B> on </B> <SEP> <I > "<SEP> I <SEP> Be, <SEP> 2Bc </I> <SEP> and <SEP> <I> 4Bc </I>
<tb> 8 <SEP> = <SEP> - <SEP> 2 <SEP> -f-10 <SEP> "<SEP>" <SEP> <B> DI </B> <SEP> on <SEP> " <SEP> 8Bc <SEP> alone
<tb> 9 <SEP> = <SEP> -1 <SEP> -I- <SEP> 10 <SEP> "<SEP>" <SEP> 12 <SEP> <B> D5 </B> <SEP> < I> "<SEP> I <SEP> BC </I> <SEP> and <SEP> 8Bc Pulse + (6-8)
arriving at aQ therefore follow the following path: For the hundreds: terminal aQ, wire bQ, contact 8 of 8Bc (closed), wire cQc, contact 5 (closed) of aGc, wire dQc, contact 2 of eGc, wire eQc , relay bGc, pole -.
This relay bGc is thus energized and the remainder until time 12 of the first cycle, by the pulse -I- (6-12) arriving at each cycle at the terminal aV and from there passing through the wire blF and the bGc contact 1 to reach the bGc relay and keep it energized after the pulse (6-8) has ceased to energize it.
From time 8 of the first cycle, we therefore have the following situation in Gc: aGc excited, bGc excited, eGc excited. At each cycle, a pulse -f- (8-12) intended for contact group D1 arrives at terminal aN.
The contacts of the group Dl are arranged and connected in such a way, for each order, that the impulse coming from aN reaches the following wires in the case of the hundreds (and similarly for the tens and the units):
EMI0008.0032
<I> 1Ncl </I> <SEP> if <SEP> the <SEP> digit <SEP> saved <SEP> in <SEP> <I> Bc </I> <SEP> is <SEP> equal <SEP> to <SEP> 1 <SEP> or <SEP> 3
<tb> 1Nc2 <SEP> <SEP> <SEP> <B> the <SEP> I> </B> <SEP> <I> <SEP> Bc <SEP> </I> <SEP> <SEP> < SEP> 2 <SEP> or <SEP> 4 <SEP>. <SEP> _
<tb> <I> 1Nc5 <SEP>;
, <SEP> "<SEP>" <SEP> "<SEP>" <SEP> Bc <SEP> "</I> <SEP>" <SEP> "<SEP> 5 <SEP> or <SEP> 6 < SEP> or <SEP> 7 <SEP>.
<tb> 1 <SEP> Nc10 <SEP> "<SEP>" <SEP> DI <SEP> <B> on </B> <SEP> "<SEP> Bc <SEP>" <SEP> "<SEP> "<SEP> 8 <SEP> or <SEP> 9
<tb> <I> 2Nc1 <SEP> "<SEP>" </I> <SEP> <B> 51 <SEP> He </B> <SEP> <I> "<SEP> Bc <SEP>" < / I> <SEP> "<SEP>" <SEP> 6 <SEP> or <SEP> 9
<tb> 2Nc2 <SEP> "<SEP>" <SEP> <B> I> <SEP> <I>DI</I> </B> <SEP> "<SEP> Bc <SEP>" <SEP> "- <SEP>" <SEP> 3 <SEP> or <SEP> 4 <SEP> or <SEP> 7 <SEP> or <SEP> 8 Group D2 connects terminal aP to wire bPc (in the hundreds) if the registered digit Bcis equal to 8or9.
Consider, for example, the hundreds of the multiplier. Here is, in fact, how the multiplication will be done, with regard to this order:
EMI0008.0040
Number <SEP> Multipliers
<tb> Cipher <SEP> of <SEP> figes <SEP> intervening
<tb> erre- <SEP> Multipliers
<tb> istré <SEP> cycles <SEP> - <SEP> freezes <SEP> occurring <SEP> at <SEP> 1st <SEP> in <SEP> <B> cycle </B>
<tb> in <SEP> <I> Bc </I> <SEP> mother of pearl- <SEP> sil <SEP> y <SEP> in unique <SEP>
<tb> safres
<tb> a <SEP> deus <SEP> or <SEP> at <SEP> 2nd
<tb> 0 <SEP>.
<SEP> 0 <SEP> I <SEP> - <SEP> - <SEP> 1 <SEP> 1 <SEP> I <SEP> 1 <SEP> 1
<tb> 2 <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 2
<tb> 3 <SEP> 2 <SEP> I <SEP> 2 <SEP> + <SEP> 1 <SEP> 2 <SEP> 1 2 <SEP> i <SEP> 2 <SEP> + <SEP> 2 < SEP> 2 <SEP> 2
<tb> 5 <SEP> 1 <SEP> '<SEP> _ <SEP> 5 <SEP> 5
<tb> 6 <SEP> 2 <SEP> 1-f-6 <SEP> 1 <SEP> 5
<tb> 7 <SEP> 2 <SEP> 2 <SEP> â <SEP> 2 <SEP> 5
<tb> 8 <SEP> 2 <SEP> - <SEP> 2 <SEP> 10 <SEP> - <SEP> 2 <SEP> 10
<tb> 9 <SEP> I <SEP> 2
<tb> -1 <SEP> 10 <SEP> I- <SEP> 1 <SEP> 10 In cases where the digit recorded in <I> Bc </I> is such that a single fixed multiplier corresponds to it ( that is, if it was only an-cycle), bGc is not excited, while eGc is.
This is the case for 1, 2 and 5.
In cases where the digit recorded in <I> Bc </I> corresponds to two fixed multipliers (i.e. if two cycles are required), which is the case for 3, 4, 6, 7 , 8 and <I> 9, </I> -bGc and eGc are excited in the first cycle (multiplied by 1 or by 2), and in the second cycle, bGc comes to rest, while eGc remains excited (multiplication by 2, 5 or 10).
Let us return to our example, where the number recorded in. <I> Bc </I> is 8. The impulse (8-12) from aN, reaches the children 1Nc10 and 2Nc2 and not the others. During the first cycle, it follows the following circuit (and this one only): Terminal aN; bN wire, bNc wire, contact 4 of 1Bc, contact 6 of 8Bc, wire -2Ni2, contact 9 of bGc, wire 1Y1, relay 2Fa, pole -.
The delay 2Fa is thus excited and remains so until time 12 of the same cycle. We will indicate later what is the consequence of this excitation.
A + (8-10) pulse is sent each cycle to the aP terminal. If the digit stored in <I> Bc </I> is 8 or 9 (which, given the code used, implies that 8B6 is energized), this impulse passes wire bB, contact 7 of 8B6 and from there reaches the wire bPc. In the present case, during the first cycle, it continues, from the bPc wire, through the contact 10 of bOc and the cPc wire,
to reach the gCs terminal. This terminal is that of the device C by which the indication of the negative sign of a data item to be totaled is received in the form of a pulse (which is precisely that which has just been considered).
It will be noted that during this first cycle, the pulse -f- (8-12) coming from aN does indeed reach wire 1N610, but that it is stopped at contact 7 of bGc, this relay being energized.
At the instant 16 of the first cycle, the relay cGc comes to rest, the auxiliary pulse (4-16) coming from aW ending at this instant.
At the same time, the bGc relay has already come to rest; the auxiliary pulse (6-12) coming from aV having ended at instant 12.
The aGc relay remains energized until time 6 of the second cycle. In fact, until this moment, it remains permanently connected to the -f- pole and to the - pole. It is only at this point as long as it is disconnected from the pole -I- at the same time by the three terminals aR (where the pulse - (10-6) ends at this instant), aS (where l 'impulse - (2-6) also ends at this instant), aX (due to the re-excitation of cGc from instant 4 of the second cycle, as will be seen later,
which opens contact 3 of this relay and cuts off communication from aGc with terminal aX).
The aGc relay being energized and the bGc and cGc relays being at rest at the origin of the second cycle, the following operations take place during this second cycle: The + pulse (4-6) follows the circuit: terminal aÜ, bIT wire, aGc contact 3, cUc wire, cGc relay, - pole.
This relay is thus energized and remains until time 16 of the same cycle (its auxiliary pulse coming from aW coming to an end at this instant). Excitation of cGc opens contact 3 of this relay, which allows the aGc relay to be put to rest, as we have just indicated above.
The pulse -f- (6-8) coming from aQ can no longer reach (in the second cycle) the relay bGc, as it had done during the first cycle, because when it is given, the relay aGc has returned to rest and this impulse cannot pass through contact 5 of aGc, because this contact is open from instant 6.
The difference between the first and the second cycle, with regard to device G, is that the relay bGc is no longer energized during the second, whereas it was during the first.
During the second cycle, the pulse -E- (8-10) from aP can no longer reach terminal gCs, because contact 10 of bGc is or green.
As in the first cycle, the impulse (8-12) of aN reaches the children <I> 2N62 </I> and 1N610. But contrary to what was linked to the first cycle, this impulse can no longer pass (from the wire 2N62) through the contact 9 of bGc, since it is open; on the other hand, it can follow the following circuit:
terminal aN, wire bN, wire bNc, contact 4 of 8B6, wire 1N610, contact 7 of bGc, wire 1Y610, contact 4 of cGc, wire 1Y10, relay IOFa, pole -. The 10Fa relay is energized and the remainder until time 12. The consequence of this excitation will be seen later.
At the start of the third cycle, relays a06, bGc and cGc all returned to rest. Only the aGa relay is energized in device G.
Thus, when the pulse -E- (4-6) of the third cycle arrives, it follows the following path: terminal aÜ, wire bÜ, contact 4 of aGc, contact 3 of bGé, wire 1Z, contact 4 of aGb, contact 3 of bGb; wire 2Z, contact 3 of aGa, wire cUa, relay cGa, pole -.
The cGa relay is thus energized and remains so until time 16 of the same cycle, thanks to the pulse (4T16) of aW.
Given that the number recorded in <I> Ba </I> is 5, which, as already said, means that the relays 1Ba and 4Ba are energized, while 2Ba and 8Ba are at rest, the pulse (6- 8) of aQ cannot reach the cQa wire to energize the bGa relay. This relay will therefore remain at rest.
Likewise, the pulse (8-10) of aP cannot reach the wire Wa (contact 8 of 8Ba being open); it will therefore not reach the gCs terminal.
The + (8-12) pulse of aN follows the following circuit (which is the only one that can be used by it during this cycle): terminal a1V, wire bN, wire bNa, contact 5 of 1Ba, contact 6 of 4Ba, wire 1Na5, contact 5 of bGa, wire lYa5, contact 5 of cGa, wire 1Y5, relay 5Fa, pole -. The delay Va is thus excited between R and 12 of the third cycle.
From moment 6 of this third cycle, the aGa relay has returned to rest. Indeed, unlike what had taken place for hundreds of <I> (Bc </I> and <I> Ge), </I> in the case of units in the digital example chosen - the relay < I> Ga </I> is not connected, to the terminal aR where the impulse is given - (10-6).
This relay is therefore connected to the - pole, during the third cycle, only by terminals aS and aX. But the aS terminal only connects it to the pole - only between 2 and 6 and, on the other hand, from 4 and up to 16, the cGa relay opens its contact 3, which disconnects the aGa relay from the terminal aX from time 4.
Thus, the excitation of aGa will end with the impulse - (2-6) of aS. The aGa relay will therefore only have been energized for one cycle (the third), while the aGc relay has been energized for two cycles (the first and the second).
The reason is that, for the hundreds, the digit of the multiplier (8) corresponded to two fixed multipliers (- 2 and 10), which required two cycles for the intervention of Gc (one cycle for each elementary multiplication by - 2 and by -f- 10). For the units on the contrary, the figure of the multiplier (5) corresponded to a single fixed multiplier (5), which only required one cycle for the intervention of <I> Ga. </I>
From instant 16 of the third cycle, the three relays aGa, bGa and cGa have come to rest and the multiplication is complete.
Note that Gb did not intervene, because the aGb relay was not energized at any time. This relay was not energized by the initial impulse coming from aM, because the four relays of Bb were at rest, by the fact that the tens digit of the multiplier is zero and that there is no place for this figure to perform an elementary multiplication.
Thus, in general, the device G controls the intervention of the fixed multipliers required by the particular figures of the multiplier number recorded in B, by granting a cycle for each of these multipliers (including one cycle or two cycles for each row, depending on the number), automatically omitting the row (s) where <I> 0 appears in B. </I>
In summary, with regard to devices <I> B, D, </I> G and F, the following occurred in the case chosen: First cycle: the impulse + (8-10 ) of aP reaches terminal gCs, the pulse -f- (8-12) of aN energizes relay 2Fa, relay cGc is energized from 4 to 16 (by borates aU and aW).
Second cycle: the pulse -I- (8-12) of aY energizes the relay 1OFa, the cGc relay is energized from 4 to 16 by the terminals aU and aW.
Third cycle: the + (8-12) pulse of aN energizes relay Va, relay cGa is energized from 4 to 16 (via terminals aZT and aW).
Let us now see what happened during these three cycles, in the device E and for that we first see how the groups of contacts 1E, 2E, 5E are arranged for each multiplicand order: <I> Ad, Ac, < / I> A b and Aa.
The terminals gCa, gCb, gCc ... gCg of C serve respectively on reception, by the group of bundles of wires Fe, units, tens, hundreds ... ten millions, by this positive device C.
The contact group 1E ensures the transmission to the beam group 1H, by means of the pulse -f- (10-12) of aK, of the multi plicand itself. For this, in each order, contact 2 of each of the four relays <I> (l </I> Aa, 2Aa, 4Aa, 8Aa, for example for the units) controls one of the four wires of the corresponding harness ( 1Ha for units).
Thus, for units, the digit recorded in Aa being 5, lAa and 4Aa are excited; contacts 2 of these relays are closed, while contacts 2 of the other two (2Aa and 8Aa) are open. The pulse -f- (10-12) of aK will therefore reach (the multiplicand being 3215) wire no.1 and wire no.2 of 1Hd, wire no.2 of lHc, wire no.1 of lHb and wires 1 and 4 of 1Ha.
The group of bundles of conductors 1H is therefore used to transmit, in the form of currents, the multiplicand, from the group of contacts 1E to the contacts lFal (units), lFa2 (tens), 1Fa3 (hundreds) and lFa4 (thousands) of the relay I Fa.
Thus, when during a cycle, relay 1Fa is energized (by the pulse -I- (8-12) as we have seen), the contacts it controls close and the multiplicand (or more exactly the product of the multiplication by the fixed multiplier 1) is transmitted to the beams Fbl, Fb2, Fb3, Fb4. Depending on which of the relays eGc, cGb or cGa is in operation during this cycle, the multiplicand will be transmitted to the input terminals of device C in the row corresponding respectively to one hundred times,
ten times or once the elementary product by 1. Thus, for example, if it is the relay eGb (corresponding to the tens of the multiplier number) the elementary product that the device C must register is 10 X 1 X multiplicand. For this, the contacts cGb8-cGbll connect the bundles Fbl ... Fb4 respectively to the Feb ... Fce bundles, that is to say that the units, tens, etc., of the multiplicand elementary product X 1 are sent respectively in the order of tens, hundreds, etc. of the totalizing device C.
If this product must be registered negatively, the pulse -f- (8-10) arrives at the terminal gCs at the same time as the elementary product arrives at the other terminals gCa ... gCg by the pulse -I- ( 10-12) from aK.
The group of 10H harnesses derived from 1H ends at the 10Fal ... 10Fa4 contacts controlled by the IOFa relay. These contacts link (when 1OFa is excited) the lOHb (derivative of 1Ha), lOHc (derivative of 1Hb), 10Hd (derivative of lHc), 10He (derivative of 1Hd) beams to the beams Fb2 (tens), Fb3 (hundreds ), Bb4 (thousands),
Bb5 (ten thousand). The 1OFa relay contacts are. therefore shifted by one row upwards compared to those of relay 1Fa. This is how the multiplication by 10. We will come back to this, with regard to the numerical example.
The contact group 2E of each order <I> Ad, Ac, Ab, </I> Aa is arranged to provide the groups of beams, in the form of currents, the elementary multiplicand product X 2, from the pulse -i-- (10-12) of aK.
The 2E contacts of Aa are arranged so as to satisfy the following conditions:
EMI0012.0001
<SEP> value saved <SEP> in <SEP> Aa <SEP> Relay <SEP> of <SEP> <I> Aa </I> <SEP> excited <SEP> Product <SEP> to, <SEP> get
<tb> units <SEP> I <SEP> tens
<tb> 0 = <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> 0 = <SEP> - <SEP> 1 = 1 <SEP> <I> lAa </ I > <SEP> 2 = 2
<tb> <I> 2 = <SEP> 2 <SEP> 2Aa <SEP> 4 = <SEP> 4 </I>
<tb> 3 = 1-f-2 <SEP> <I> lAa </I> <SEP> and <SEP> <I> 2Aa </I> <SEP> 6 = 2-f-4
<tb> <I> 4 <SEP> = <SEP> 4 </I> <SEP> 4.4a <SEP> <I> 8 <SEP> = <SEP> 8 </I>
<tb> 5 = 1 <SEP> -f-4 <SEP> lAa <SEP> and <SEP> <I> 4Aa <SEP> 0 = <SEP> - </I> <SEP> 1 = 1
<tb> 6 = <SEP> 2-f-4 <SEP> <I> 2Aa </I> <SEP> and <SEP> <I> 4Aa </I> <SEP> 2 = 2 <SEP> 1 = 1
<tb> 7 = 1-f- <SEP> 2. + 4 <SEP> <I> lAa,
<SEP> 2Aa </I> <SEP> and <SEP> <I> 4Aa </I> <SEP> 4 = <SEP> 4 <SEP> 1 = 1
<tb> '8 = <SEP> 8 <SEP> 8Aa <SEP> 6 = 2-f-4 <SEP> 1 = 1
<tb> 9 = 1 <SEP> -f-8 <SEP> <I> lAa </I> <SEP> and <SEP> 8Aa <SEP> 8- <SEP> 8 <SEP> 1 = 1
EMI0012.0002
Sons <SEP> reached <SEP> by <SEP> pulse <SEP> -f- <SEP> (10-12) <SEP> of <SEP> <I> aIi '</I>
<tb> Units <SEP> Tens
<tb> 0:
<tb> 1: <SEP> 2Ha2
<tb> <I> 2: <SEP> 2Ha4 </I>
<tb> 3: <SEP> 2Ha2 <SEP> and <SEP> 2Ha4
<tb> <I> 4: <SEP> 2Ha8 </I>
<tb> 5 <SEP>: <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> 2 <SEP> Hb <SEP> 1
<tb> 6: <SEP> 2Ha2 <SEP> <I> 2Hb1 </I>
<tb> <I> 7: <SEP> 2Ha4 <SEP> 2Hb1 </I>
<tb> 8 <SEP>: <SEP> 2Ha2 <SEP> and <SEP> <I> 2Ha4 <SEP> 2Hb <SEP> 1 </I>
<tb> 9 <SEP>:
<SEP> 2 <SEP> <I> Ha.8 <SEP> 2 <SEP> Hb <SEP> 1 </I> We see in fig. the that, according to this table, the 2Hbl wire will be reached for the values 5 to 9 and not for the values 1 to 4, by the fact that the 2Hbl wire is only reached if one of the combinations following closed contacts:
6 of <I> l </I> Aa and 7 of 4Aa, which corresponds to 5 and 7, 7 of 2Aa and 7 of 4Aa, which corresponds to 6 and 7, 7 of 8Aa, which corresponds to 8 and 9 The elementary product by 2 necessarily always being, for each rank, an even number; the wire corresponding to digit 1 of the code is not used (column 5).
On the other hand, as the product of the digits 5, 6, 7, 8, 9 by 2 gives a number exceeding 10, we send the ten to the wire 1 (2Hbl in the case considered) of the higher row.
Thus, during the first cycle of multiplication, where the elementary product 3215 X 2 hundreds = 6430 cents is carried out, the pulse follows the following circuits, as can easily be seen from the diagram: in units, it does not reach any of the threads 2Ha2, 2Ha8, on the other hand, it reaches the thread 2Hb1, which belongs to the tens, in the tens, it reaches the threads 2Hb1 and 2Hb2, in the hundreds, it reaches the thread 2Hc4, in the thousands ,
it reaches the sons 2Hd2 and 2Hd4.
The group of beams 2H therefore transmits the number 6430. The relay 2Fa being the only one energized in the device F, during this cycle, the pulse + (10-12) is ineffective in the groups of beams 1H, 5H, 10H, since the 1Fa, <I> Va </I> and IOFa relays prevent it from reaching device C.
The cGc relay being energized during the first cycle, the number 6430 will be transmitted as follows by the cGc8 ... cGc12 contacts:
EMI0013.0001
6 <SEP> to <SEP> the <SEP> terminal <SEP> <I> gCf <SEP> = </I> <SEP> 6 <SEP> 00 <SEP> 000 <SEP> for <SEP> the <SEP > device <SEP> C
<tb> <I> 4 <SEP> "<SEP>" <SEP> gCe <SEP> - </I> <SEP> 40000 <SEP> <B>, <SEP> He <SEP> He </B> <SEP> C
<tb> <I> 3 <SEP> "<SEP>" <SEP> "<SEP> gCd <SEP> = </I> <SEP> <B> 3000 <SEP> 11 <SEP> 11 </B> <SEP> C
<tb> <I> 0 <SEP> <SEP> <SEP> 9Cc <SEP> <U>=</U> </I> <SEP> 000 <SEP> <B> 15 <SEP> 59 </ B > <SEP> C
<tb> either:
<SEP> 643000 <SEP> = <SEP> 6430 <SEP> hundreds <SEP> = <SEP> <B> 3215 </B> <SEP> X <SEP> 2 <SEP> hundreds We saw above that during the first cycle, the + (8-10) pulse of aP has reached the gCs terminal, so that this elementary product will be registered negatively by C, as is appropriate in this case.
During the second cycle, the multiplication by 10 takes place. The IOFa relay is then energized to allow the currents flowing through the group of beams <B> 1011 </B> to pass through and allow them to reach device C. The other relays of device F being at rest during this second cycle, we is ensured that only the product 3215 X 10 hundreds is sent to C, among the four elementary products formed at each cycle by the positive device E.
During this second cycle, the + (10-12) pulse of aK reaches the following wires of the bundles of group 111:
EMI0013.0012
Units: <SEP> <I> 111a1 </I> <SEP> and <SEP> <I> 111a4, </I> <SEP> this <SEP> which <SEP> corresponds <SEP> to <SEP> 5 < SEP> in <SEP> <I> lOHb </I>
<tb> Tens: <SEP> <I> 1Hbl </I> <SEP> "<SEP> 1 <SEP>" <SEP> IOHc
<tb> Hundreds: <SEP> 111c2 <SEP> <I> "<SEP>" <SEP> "<SEP> 2 <SEP>" <SEP> lOHd </I>
<tb> Thousands:
<SEP> <I> 1 <SEP> Hdl </I> <SEP> and <SEP> <I> 1 <SEP> 11d2 </I> <SEP> "<SEP> 3 <SEP>" <SEP> l <SEP> OHe The contacts lOFal ... lOFa4 being shifted by one rank, as already mentioned, with respect to the contacts of 1Fa and, on the other hand, the relay cGc being energized during this cycle, the digits of the number 3215 coming by 10H will reach device C in the following row, as can easily be seen in the diagram:
EMI0013.0020
3 <SEP> to <SEP> the <SEP> terminal <SEP> gCg <SEP> = <SEP> 3 <SEP> 000 <SEP> 000 <SEP> for <SEP> the <SEP> device <SEP> C
<tb> <I> 2 <SEP> "<SEP>" <SEP> "<SEP> gcf <SEP> = </I> <SEP> 200 <SEP> 000 <SEP> C
<tb> <I> 1 <SEP> "<SEP>" <SEP> gCe <SEP> = </I> <SEP> <B> 10000 </B> <SEP> C
<tb> <I> 5 <SEP> "<SEP>" <SEP> "<SEP> gCd <SEP> - </I> <SEP> <B> 5000 </B> <SEP>" <SEP> " <SEP> C
<tb> either: <SEP> 3 <SEP> 215 <SEP> 000 <SEP> = <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 10 <SEP> hundreds. This number will be recorded positively by C, because, as we have also seen, during the second cycle, the terminal gCs does not receive the pulse -I- (8-10). During the third cycle the multiplication by 5 takes place.
Relay 5Fa is then alone excited in positive device F and allows product 3215 X 5 to reach beams Fbl ... Fb5, from where, through contacts cGa8 ... cGal2, it will go to device C. This elementary product is formed by the group of contacts 5E in the manner which we will now examine.
If, in any order of the multiplicand, Aa for example, the number is even or odd, the result of the elementary multiplication by 5 will be: zero or 5 in the order considered and a carry equal to 0, 1, 2, 3 or 4 (depending on the number recorded in Aa) intended to be added to the result of the multiplication in the immediately superior order <I> (Ab); </I> result which is itself equal to zero or five depending on whether the digit recorded in <I> Ab </I> is odd or even. When the digit recorded in an order of A (for example in <I> Ab) </I> is even, the relay which corresponds to the value 1 of the code (lAb) is at rest, if the digit is odd, this relay is energized.
On the basis of these remarks, we have arranged, for each order, the contacts of group 5E so that they satisfy the following conditions, which will be indicated by way of example for the order of tens <I > (Ab). </I>
Contacts 2 to 13 of 2Ab, 8 to 11 of 4Ab and 8, 9, 10 of 8Ab are arranged and connected to each other so that, receiving the pulse - [- (10-12) by the wire bKb , they let some of the children aEcl, aEc2, aEc4, aEc8 on the one hand, and some of the children bEcl, bEc2, bEc4 on the other hand, reach
according to the following rule: the wires bEcl, bEc2, bEc4 (corresponding respectively to digits 1, 2 and 4 of the code) must receive currents (from said pulse) representing, by their combination, the retention of the product by 5 of the digit recorded in Ab, the wires aEcl, aEc2, aEc4, aEc8 (corresponding respectively to digits 1, 2, 4, 8 of the code) must receive currents representing, by their combination,
withholding of the product by 5 of the figure recorded in <I> Ab, </I> increased by 5.
The contacts 7 to 13 of the Ac connect the group of the first three wires or the group of the four seconds to the four wires of the bundle SHc, depending on whether 1Ac is at rest or is excited, that is to say according to. whether the number recorded in Ab is odd or even.
The arrangement being the same for the dif ferent elements, it follows that the beams 5Ha, 5Hb ... 5He transmit the product by 5 of the number recorded in A.
Of course, in units (5Ha) the product can only be 5 or 0; the 5Ha bundle therefore has only two wires corresponding to digits 1 and 4 of the code, the combination of which represents 5 according to the code.
The following table summarizes the conditions which determine the arrangement of the contacts of group 5E, taking the order Ab as an example.
EMI0014.0048
<SEP> value saved <SEP> in <SEP> <I> Ab </I>
<tb> <I>. </I> <SEP> Relay <SEP> from <SEP> <I> Ab </I> <SEP> excited <SEP> Hold <SEP> to <SEP> get <SEP> Hold <SEP> + <SEP> 5
<tb> <U> I </U>
<tb> 0 = - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> 0 <SEP> = <SEP> _ <SEP> - <SEP> - <SEP> 5 = 1-E- <SEP> 4
<tb> 1 = 1 <SEP> <I> 1 <SEP> Ab </I> <SEP> 0 = - <SEP> 5 = 1-E- <SEP> 4
<tb> 2 = <SEP> 2 <SEP> <I> 2Ab </I> <SEP> 1 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> 6 = <SEP> 2-E-4
<tb> 3 = <SEP> 1 <SEP> + <SEP> 2 <SEP> 1 <SEP> Ab <SEP> and <SEP> <I> 2Ab </I> <SEP> 1 <SEP> = <SEP > 1 <SEP> 6 = <SEP> 2-E-4
<tb> <I> 4 = <SEP> 4
<SEP> 4Ab </I> <SEP> 2 <SEP> = <SEP> 2 <SEP> 7 = 1 + 2 + 4
<tb> 5 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> + <SEP> 4 <SEP> <B> <I> l <SEP> Ab </I> </B> <SEP> and <SEP> < I> 4 <SEP> Ab </I> <SEP> 2 <SEP> = <SEP> 2 <SEP> 7 <SEP> = 1-E- <SEP> 2 <SEP> -E- <SEP> 4
<tb> 6 <SEP> = <SEP> 2 + 4 <SEP> 2 <SEP>, Ab <SEP> and <SEP> 4 <SEP> Ab <SEP> 3 <SEP> = <SEP> 1 + 2 < SEP> 8 <SEP> = <SEP> 8
<tb> 7 = 1-2-E-4 <SEP> lAb <SEP> 2Abet4Ab <SEP> 3 <SEP> = <SEP> 1-E-2 <SEP> 8 = <SEP> 8
<tb> 8 <SEP> = <SEP> 8 <SEP> <B> 8 <SEP> .Ab </B> <SEP> 4 <SEP> = <SEP> 4 <SEP> 9 <SEP> = 1 < SEP> <B> +8 </B>
<tb> 9 <SEP> = <SEP> 1 <SEP> <B> +8 </B> <SEP> 1 <SEP> Ab <SEP> and <SEP> <B> 8,4b </B> < SEP> <I> 4 <SEP> = </I> <SEP> 4 <SEP> 9 <SEP> = 1 <SEP> <B> +8 </B>
EMI0014.0049
<SEP> circuits receiving <SEP> the <SEP> pulse coming <SEP> from <SEP> <I> bIfb </I>
<tb> <I> 0 <SEP>:
<SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> aEc1 </I> <SEP> and <SEP> <I> aEc4 </I>
<tb> <I> 1 <SEP>: <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> - <SEP> aEc1 </I> <SEP> and <SEP> <I> aEc4 </I>
<tb> <I> 2 <SEP>: <SEP> bEc <SEP> 1 <SEP> aEc <SEP> 2 </I> <SEP> and <SEP> <I> a.Ec <SEP> 4 </ I>
<tb> <I> 3: <SEP> bEc1 </I> <SEP> aEc2 <SEP> and <SEP> <I> aEc4 </I>
<tb> <I> 4: <SEP> bEc2 <SEP> aEc1, <SEP> aEc2 </I> <SEP> and <SEP> <I> aEc4 </I>
<tb> 5: <SEP> bEc2 <SEP> <I> aEc1, <SEP> aEc2 </I> <SEP> and <SEP> <I> aEc4 </I>
<tb> <I> 6 <SEP>: <SEP> bEc <SEP> 1 <SEP> and <SEP> bEc2 <SEP> aEc <SEP> 8 </I>
<tb> <I> 7: <SEP> bEcl </I> <SEP> and <SEP> <I> bEc2 <SEP> aEc8 </I>
<tb> <I> 8: <SEP> bEc4 <SEP> aEc1 </I> <SEP> and <SEP> <I> aEc8 </I>
<tb> 9:
<SEP> bEc4 <SEP> <I> aEcl </I> <SEP> and <SEP> <I> aEc8 </I> We see in fig. The that, according to this table, only the circuits indicated as receiving the impulse coming from bKb are reached by the impulse coming from ag. In fact, for these threads to be affected, it is necessary that we have:
for bEcl: contact 8 of 2Ab closed, i.e. according to the code: 2, 3, 6 or 7 in <I> Ab; </I> for bEc2: contact 8 of 4Ab closed, c ' that is to say according to the code: 4, 5, 6 or 7 in Ab;
for bEc4: contact 8 of 8Ab closed, that is to say according to the code: 8 or 9 in <I> Ab; </I> for aEcl: contact 9 of 2Ab closed, that is say from the code:
0, 1, 4, 5, 8 or 9 in <I> Ab; </I> for aEe2: contacts 10 of 2Ab and 9 of 4Ab simultaneously closed (which corresponds to 2 or 3 in Ab) or contacts 11 of < B> '-) Ab </B> and 8 of 4Ab simultaneously closed (which corresponds to 4 or 5 in <I> Ab); </I> for aEc4: contacts 11 of 4Ab and 9 of 8Ab simultaneously closed (this which corresponds to 0 or 1 or 2 or 3 in Ab) or contacts 13 of 2Ab and 10 of 4Ab simultaneously closed (which corresponds to 4 or 5 in <I> Ab); </I> for aEc8:
contacts 12 of 2Ab and 10 of 4Ab simultaneously closed (which corresponds to 6 or 7 in Ab) or contact 10 of 8Ab closed (which corresponds to 8 or 9 in Ab). If we now come back to the numerical example considered, during the third cycle, where the elementary multiplication is carried out 3215 X 5 units - 16,075 units, the impulse coming from aK follows the following circuits, as can be verified. easily on the diagram:
units: terminal aK, wire bK, wire bKa, contacts 7 and 8 of AA, wires 1 and 4 of SHa; tens: terminal aK, wire bK, wire bKa, con tact 9 of 2Aa, wire aEbl, con tact 7 of lAb, wire 1 of 5Hb;
terminal aK, wire bK, wire bKa, contact 8 of 4Aa, contact 11 of 2Aa, wire aEb2, contact 9 of lAb, wire 2 of SHb; terminal aK, wire bK, wire bKa, con tact 10 of 4Aa, contact 13 of Ma, wire aEb4, contact 11 of lAb, wire 4 of 5Hb; hundreds:
the pulse coming from aK through bKb cannot reach any of the four wires of the 5Hc bundle; thousands: terminal aK, wire bK, wire bKc, contact 9 of 4Ac, contact 10 of 2Ac, wire aEd2, contact of <B> <I> l Ad, </I> </B> wire 2 of 5Hd;
terminal aK, wire bK, wire bKc, contact 9 of 8Ac, contact 11 of 4Ac, wire aEd4, contact 11 of Ad, wire 4 of 51d; ten thousand: terminal aK, wire bK, wire bKd, con tact 8 of 2Ad, wire 1 of 5He. Thus the group of beams 5H receives and transmits the number 16075.
The relay Va being the only one excited by the device F, the currents representing this number are transmitted to the beams Fbl ... Fb5 by the contacts SFal ... 5Fa5. The relay cGa being energized during this third cycle, the currents thus received by the beams Fbl ... Fb5 are transmitted to the beams Fca, Feb ... Fce (and from there to the terminals gCa, gCb ... gCe)
by contacts cGa8 ... cGal2.
This cGa relay therefore transmits the number 16075 as follows:
EMI0015.0090
1 <SEP> to <SEP> the <SEP> terminal <SEP> <I> cGe <SEP> - </I> <SEP> <B> 10000 </B>
<tb> <I> 6 <SEP> "<SEP>" <SEP> "<SEP> cGd <SEP> - </I> <SEP> <B> 6000 </B>
<tb> <I> 0 <SEP> "<SEP>" <SEP> "<SEP> cGc <SEP> = </I> <SEP> 000
<tb> <I> 7 <SEP> "<SEP>" <SEP> "<SEP> cGb <SEP> - <SEP> 70 </I>
<tb> <I> 5 <SEP> "<SEP>" <SEP> fa <SEP> - <SEP> 5 </I>
<tb> 16 <SEP> 075 <SEP> = <SEP> 16075
<tb> units <SEP> - <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 5 <SEP> units. Terminal gCs does not receive the pulse -f- (8-10) in the third cycle, so device C will register this number positively.
In summary, the totalizing device received:
EMI0016.0001
at <SEP> 1st <SEP> cycle: <SEP> - <SEP> 643 <SEP> 000 <SEP> = <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> (-2) <SEP> hundreds
<tb> at <SEP> 2nd <SEP> cycle: <SEP> - @ - <SEP> 3215 <SEP> 000 <SEP> = <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 10 <SEP> hundreds
<tb> at <SEP> 3rd <SEP> cycle: <SEP> - @ - <SEP> <U> 16 <SEP> 0 </U> 7 <U> 5 </U> <SEP> = <SEP> 3215 <SEP> X <SEP> 5 <SEP> units
<tb> Total <SEP> <B> 2588075 </B> The operation of the machine can be summarized as follows: During a first cycle, the recording devices <I> A </I> and <I> B </I> store the multiplicand and the multiplier respectively.
From this first cycle and until the end of the multiplication, the device A controls the device E, which is arranged so as to form the four elementary products (multiplicand by 1, 2, 5 and 10).
Device B controls device D, which automatically determines how many cycles are required for each row of the multiplier and therefore controls device G.
The device G has two functions <B> 10 </B> It selects at each cycle that of the four elementary products which must be sent to the device C; 20 It sends this elementary product in the appropriate row, across the device C, depending on whether it is a product corresponding to the hundreds, tens or units of the multiplier.
Device G involves one order after another (of the multiplier) and, for each order, when the digit of an order corresponds to two fixed multipliers (- 2 and -I- 10, for example), it involves two times device F; once for each fixed multiplier.
The four relays of device F are selectively energized (one per cycle) by device G; each of these relays allows one of the elementary products (formed by E) to pass.
Once the relays aGc, adb and aGa have all come to rest, the communication between the cT and dT wires is broken (contact 1 of these relays being open), and the relays of devices A and B return to rest . The machine is then ready to start a new multiplication again.
Device C is of any known type. It may be, for example, of the type described in Swiss Patent No. 138449.
The division of the cycle into 48 parts is arbitrary. It could be different. Devices A and B might not be relays. One or both could be formed by a mechanical or electromechanical device.
Finally, although the arrangement of the devices <I> E, D, G, </I> F by means of electrical contacts and circuits is particularly advantageous in its simplicity, all or part of these devices could be designed for be carried out by other means, mechanical or pneumatic, for example.
The machine described can be used, for example, in automatic installations for the analysis of statistical data recorded by perforation on cards or tapes. Of course, it is not limited to such automatic installations. We could very well control the sending of the multiplier and the multiplicand to devices B and A by means of a keyboard. In this case, the machine would work like my keyboard operated multiplier.