liécanisme permettant d'agir sur au moins l'une des aiguilles que comportent habituellement la minuterie et l'indication des secondes, dans une pièce d'horlogerie. L'invention concerne un mécanisme per mettant d'agir sur au moins l'une des aiguilles que .comportent habituellement la minuterie et l'indication des secondes, -dans une pièce d'horlogerie, c'est-à-dire sur l'une des ai guilles donnant l'heure à la minute et à la seconde, à l'exclusion d'aiguilles -de compteurs chronographiques.
Ce mécanisme est caractérisé par des moyens permettant d'amener, par la ,simple application .d'une force, cette ou ces aiguilles dans une position constructivement prédéter minée.
Ladite force peut être soit un effet de traction, soit un effet de pression, applicable, par exemple, aux organes habituels de mi-se à l'heure, c'est-à-dire à la. couronne, soit à un organe auxiliaire, poussoir ou autre, accessi ble de l'extérieur de la pièce d'horlogerie.
La position constructivement prédéter minée, dans laquelle -on amène la ou les ai guilles sur lesquelles on agit, sera de préfé rence le zéro pour l'aiguille .des secondes et un point coïncidant avec l'indication précise d'une minute donnée en ce qui concerne l'ai guille des minutes -de la minuterie. Le méca nisme pourra, par exemple, être prévu de manière à amener cette dernière aiguille dans une position correspondant à un multi ple de cinq minutes, se trouvant la plus pro che -de la position dans laquelle se trouve l'aiguille au moment où l'on actionne le mé canisme.
Il est évident que l'on peut aussi prévoir le cas où l'on amène simultanément l'aiguille des secondes et les aiguilles de la minuterie dans la position voulue.
Le dessin représente, à titre d'exemple, quelques formes d'exécution -de l'objet de l'in vention. Les figures sont semi-s-chématiques, c'est-à-dire qu'elles ne représentent que les or ganes nécessaires à la compréhension de l'in vention, à l'exclusion d'autres organes suscep tibles -de surcharger le dessin.
La fig. 1 se rapporte à une forme -d'exé cution avec mise à l'heure à tirage, l'effort de traction exercé dans ce but actionnant un mécanisme de mise à zéro de l'aiguille des secondes; Les fig. 2 et 3 sont deux vues de détail, la fig. 2 représentant à plus grande échelle et en élévation l'arbre des secondes, son pignon et la roue des secondes -de la montre selon la fig. 1;
La fig. 4 se rapporte à une forme d'exé cution de fonctionnement identique à celui -de la fig. 1, l'aiguille des secondes étant toute fois située au centre;
La fig. 5 se rapporte à une forme d'exécu tion de fonctionnement identique à celui de la fig. 1, l'aiguille des secondes ne se trouvant ici toutefois pas dans l'alignement de la tige de couronne, mais sur un diamètre perpendi- oulaire à cette direction, comme c'est le cas dans les montres-bracelets;
La fig. 6 se rapporte à une forme d'exé cution avec action simultanée- sur l'aiguille -des secondes et sur les aiguilles de la minu terie, la montre représentée étant munie d'une mise à l'heure à tirage, mais le mécanisme permettant d'agir sur les aiguilles étant dé- clenché par l'effet d'une pression appliquée à la couronne;
La fig. 7 se rapporte à une forme d'exé cution permettant la mise à zéro de l'aiguille des secondes, et plus particulièrement appli cable ià une montre-bracelet du genre -à gui chets, comportant un guichet pour l'aiguille des secondes et un guichet pour les aiguilles de la minuterie.
Dans toutes les formes d'-exécution repré sentées aux figures que l'on vient d'énumé rer, l'application de la force provoque le dé placement -de la ou .des aiguilles à la position voulue, cette ou ces aiguilles ne quittant cette position qu'au moment où l'application -de la force cesse.
Les fig. 8 à 11 montrent trois formes d'exécution dans lesquelles l'application de la force a pour effet d'amener la ou les aiguilles désirées à la position,constructivement prédé terminée, cette ou ces aiguilles étant ensuite et instantanément abandonnées à elles-mêmes, de manière à pouvoir reprendre librement son ou leur mouvement.
Dans la forme -d'exécution selon la fig. 1, on voit sur la montre 1 la tige de couronne 2 se prolongeant par les organes habituels du mécanisme de mise à l'heure à tirage, la roue de centre 3, un mobile intermédiaire 4 et la roue de secondes 5. La tige -de couronne 2 agit de la manière habituelle sur un verrou 6 commandant une bascule 7 qu'un ressort 8 tend à ramener à sa position de repos.
Cette bascule se prolonge toutefois par un bras 9 portant à son extrémité un marteau de e#ur 10 destiné à agir sur le coeur 11 solidaire -de l'arbre -des secondes 12. C#ur et marteau sont disposés de telle manière que, le second agis sant sur le premier, l'aiguille des secondes est ramenéè au zéro.
Il est évident que pour permettre ce mou vem-ent de l'aiguille des secondes, donc de son arbre 12, il est nécessaire que ce dernier puisse se déplacer indépendamment -de la roue des secondes 5 et -du pignon 13 solidaire de cette dernière.
Cet effet est obtenu, selon la vue de détail -de la fig. 2, en prévoyant le c#ur 11 et l'arbre des secondes 12 solidaires l'un de l'autre, la roue -des secondes 5 et le pignon 13 de l'arbre -des secondes également solidaires l'un de l'autre, mais ces deux or ganes montés fous sur l'axe, un ressort 14 établissant une friction suffisante pour l'en traînement normal de l'arbre des secondes par la roue et le pignon, tout en permettant le -déplacement indépendant du premier par rapport aux seconds.
Voici comment fonctionne le mécanisme décrit: Supposons, par exemple, que l'on veuille mettre sa montre à l'heure d'après un signal horaire quelconque, tout en ayant le synchro nisme parfait entre l'aiguille des secondes et l'aiguille des minutes.
De la manière habituelle, on exerce une traction sur la couronne, donc sur la tige de couronne 2, que l'on extrait de ce fait d'une petite quantité de la montre. En tournant. la couronne, on agit à ce moment, et de la ma- nière habituelle également, sur les aiguilles de la minuterie.
Mais en extrayant la tige de couronne et en faisant pivoter de ce fait le verrou 6 et la bascule 7, on a entraîné en même temps le levier 9 et le marteau 10, de manière à agir sur le c#ur et à ramener l'aiguille des secon des au zéro. Des flèches indiquent le sens de rotation des organes 6 et 7.
L'aiguille des secondes étant ainsi mainte nues au zéro, on agit sur la couronne de ma nière à mettre la minuterie à l'heure corres pondant à l'heure donnée par le signal horaire et, dès réception de ce signal, on enfonce la couronne dans sa position de repos. A -ce mo ment, non seulement les aiguilles de la minu terie reprennent leur mouvement, mais l'ai. guille des secondes se met également en mar che, le c#ur étant. libéré.
Comme il est évident que les signaux ho raires se donnent toujours de manière à coïn cider avec une minute précise donnée, il est évident que la mise à l'heure s'effectuera toujours sur une minute, de sorte que l'ai guille des secondes sera bien en synchronisme avec l'aiguille des minutes.
La fig. 3 montre une autre manière de liaison de la roue des secondes avec l'aiguille < les secondes, permettant un déplacement re latif à frottement doux de ces deux organes. Ici, la roue des secondes 15, le pignon 16 des secondes et l'arbre 17 lui-même, forment un tout sur lequel est situé le c#ur 18 solidaire d'une bague 19 et d'un canon 20 destiné à re cevoir l'aiguille des secondes.
La bague<B>19</B> porte une encoche 21 permettant à l'un des bras d'un ressort 22 en<B>U</B> de venir s'appliquer dans une gorge de l'arbre des secondes<B>17.</B> créant ainsi le frottement. nécessaire à l'ae- couplement du canon 20 audit arbre. -Un tel mécanisme est visible en plan sur les ceeurs -des fi-.<B>5</B> et<B>8.</B>
Dans la forme d'exécution selon la fi-. 4 la roue de centre 23 et la roue des secondes 24 sont concentriques l'une à l'autre. La mise au zéro de l'aiguille des secondes se fait (le, la manière précédemment décrite par l'inter médiaire de la tige de couronne 25, du ver- rou 26, d'une bascule 27 portant un marteau 28 agissant sur le coeur 29.
Alors que dans l'exemple :de la fig. 1, la bascule 7 n'était rien d'autre que la bascule habituelle du mécanisme de mise à l'heure, mais munie -d'un prolongement portant un marteau, dans l'exemple de la fig. 4, la bas cule 27 est une bascule spéciale uniquement destinée à accomplir l'opération commandée par le mécanisme selon l'invention. Cette bascule se trouve -du reste sur le même pivot 30 que la bascule habituelle non représentée et à laquelle elle serait, par exemple, superpo sée.
Dans les deux exemples que l'on vient de décrire, l'arbre des secondes coupe le prolon gement de l'axe de la tige de couronne, ce qui n'est pas le cas dans les montres-bracelets, dans lesquelles cet arbre est situé sur un dia mètre perpendiculairé audit axe.
Ce cas fait l'objet de la forme d'exécution selon la fig. 5. Ici, le verrou 31 commandé par la tige de couronne 32, comporte à l'une de ses extrémités, une dent 33 s'engageant dans une fourche d'une bascule 34 se terlrii- nant par le marteau de c#ur 35 destiné à agir sur le c#ur 36 -de l'arbre des secondes 37. Le fonctionnement est, à part cela, identique aux précédents.
La fig. 6 montre une forme d'exécution dans laquelle on agit simultanément sur l'ai- guilledes secondes et sur les aiguilles de la minuterie. L'action se fait ici également par l'intermédiaire de la couronne, mais non pas par un effort de traction, mais par un effort de pression sur cette dernière.
En 38 se trouve la roue de centre et en 39 la roue des secondes. En 40 se trouve le pre mier pignon de la roue de centre. En 41 se trouve la tige de couronne, suivie -du méca nisme de mise à l'heure et, en particulier, du verrou 42. En tirant sur la couronne, c'eat- à-dire en extrayant la tige de .couronne 41 de la montre, on fait basculer le verrou 42 dans le sens :de la flèche 43, et l'on agit de la manière habituelle sur le mécanisme de mise à l'heure. En pressant par ,contre sur la couronne, c'est-à-dire en enfonçant la tige de couronne 41 dans la montre, on provoque au contraire un mouvement en sens inverse du verrou 42.
dont, d'une part, le nez 44, d'autre part, la cheville 45, agissent sur deux bascules 46, respectivement 47 et contre l'action de leurs ressorts 48, respectivement 49. La bascule 46 porte le marteau 50 destiné à agir sur le coeur 51 et à, provoquer la mise à zéro de l'ai guille des speondes. La bascule 47 se termine par une dent 52 s'engageant dans la denture du pignon 40.
En prévoyant pour le pignon 40 un nom bre de -dents approprié, par exemple douze dents, on voit que le mouvement de la bascule 47 aura pour effet d'amener l'aiguille des n.i- nutesdans une position correspondant au dou zième de circonférence dont elle se trouve le plus proche au moment de l'action. En ap puyant donc sur la couronne, on amènera, par exemple, simultanément l'aiguille des se condes à zéro et l'aiguille des minutes à la position de la vingtième minute. En relâch-ânt la couronne, donc en libérant les diverses ai guilles, on provoquera leur départ, l'aiguille des secondes étant en ce moment en synchro nisme avec l'aiguille des minutes.
Il est évi dent que le mouvement de l'aiguille des mi nutes, ainsi que celui de l'aiguille des heures, est ici rendu possible par le fait que le .canon de chaussée est monté à friction sur l'arbre de la grande moyenne.
Les signaux horaires d'après lesquels on a l'habitue de mettre sa montre à l'heure étant généralement donnés aux heures et aux -de mies, il suffira, pour mettre la montre à l'heure et l'aiguille des secondes en synchro nisme avec les aiguilles de la minuterie, d'ap puyer sur la couronne et de relâcher la pres sion au moment du signal. Si le déplacement de l'aiguille -des minutes ainsi provoqué se fait de cinq en cinq minutes, la mise à l'heure de la manière susindiquée pourra se faire toutes les fois que le retard ou l'avance sera inférieur à deux minutes et demie.
Dans le -cas -contraire, on commencera par tirer la .cou ronne vers l'extérieur, on mettra approxima- tivement à l'heure désirée et de la manière habituelle, puis, appuyant sur la couronne, on procédera- comme il vient d'être dit.
Au lieu d'agir avec la dent 52 dans le pi gnon 40, on pourrait également agir sur une étoile placée sur le canon de la chaussée.
L'exemple de la fig. 7 se rapporte plus particulièrement à une petite montre-bracelet du genre à guichets, comportant dans une boîte .de forme rectangulaire un guichet pour les aiguilles de la minuterie et un guichet pour l'aiguille des secondes. Dans le mouve ment rectangulaire 53 sont représentés le ba rillet 54, le premier pignon 55, la roue des minutes 56, un deuxième pignon 57, un mo bile intermédiaire 58, un troisième pignon 59, la roue des secondes 60, un quatrième pignon 61 et finalement la roue d'échappement 62.
n voit que si la roue des minutes 56 est pla- -cée dans l'axe du mouvement, il n'en est pas de même de la roue des secondes 60, qui ne pourra, de ce fait, pas porter l'aiguille des secondes. Cette dernière est portée par l'ar bre 63, dont le pignon 64 engrène avec une roue 65 reliée au mobile 58 et au pignon 57 par l'intermédiaire d'un accouplement à frot tement élastique constitué par la lame ressort 66. Le coeur 67 se trouve sur l'ar bre de secondes 63 et un marteau 68 sert à la mise à zéro -de l'aiguille des secondes.
Dans la forme .d'exécution représentée dans .deux positions différentes aux fil-. 8 et 9, mais partiellement seulement à la fi-. 9, le verrou 69 actionne la bascule 70 se termi nant par le marteau 71 destiné à agir sur le .cocur 72, par l'intermédiaire d'un levier 73 à deux bras, articulé sur la bascule 70 et dont l'un des bras vient crocher en 74 dans le verrou, tandis que l'autre est disposé de ma nière à pouvoir rencontrer dans son déplace ment une goupille 75.
Un ressort 76 assure la coopération .d,: ce levier 73 avec le verrou 69.
Le mécanisme représenté fonctionne à la pression, -c'est-à-dire en appuyant sur la cou ronne, dont on voit la tige 77 à la fig. 8. L'application de cet effort a pour effet de faire basculer le verrou 69, qui transmet son mouvement à la bascule 70 par l'intermédiaire du petit levier 73, et ceci jusqu'au moment où les divers organes atteignent la position représentée à la fig. 9, dans laquelle le mar teau 71 a ramené le c#ur à. sa position de dé part et dans laquelle le levier 73, retenu par la goupille 75, a légèrement oscillé relative ment à la bascule 70 et de manière à attein dre une position telle relativement au ver rou, qu'il va échapper à ce dernier.
C'est ce qui se produit si, poussant la couronne plus à fond, on achève le déplacement du verrou. r1 <I>ce</I> moment, la bascule 70, mue par son res sort non représenté, revient à sa position ini tiale et libère le coeur. De ce fait, une bru- que poussée de la couronne a pour effet de ramener le coeur et les organes qui en dépen dent à une position prédéterminée et. de le li bérer immédiatement, ce qui permet, par exemple de ramener l'aiguille des secondes au zéro, d'où elle reprendra instantanément sa course.
La fig. 10 représente partiellement un au tre mécanisme muni de l'organe intermédiaire permettant le départ instantané de l'organe ramené à la position prédéterminée.
Dans cet exemple, c'est le verrou 78 qui porte un petit levier 79, par l'intermédiaire duquel il agit sur la bascule 80, une goupille 81 coopérant avec un plan incliné -du levier 79, de telle manière que lorsque celui-ci s'é lève (rotation du verrou en sens inverse des aiguilles d'une montre sur le dessin), il s'é loigne peu à peu de la bascule, jusqu'à la li bérer complètement au moment où le c#ur non représenté a été ramené à la position vou lue. Ici, c'est également par poussée que l'on fait fonctionner le mécanisme.
La fig. 11 montre un mécanisme analogue, avec seconde au centre. En poussant la cou ronne dans la pièce, on fait osciller le verrou 82 dans le sens des aiguilles d'une montre sur le dessin, ce qui a pour effet d'abaisser le petit levier 88 fixé sur la bascule 84. Une goupille 85 retient également ce levier, de telle manière qu'à un moment donné de sa course, la bascule 82 cesse d'être en prise avec lui, ce moment correspondant au moment où le coeur 86 a été ramené à sa position de dé part.
Le mécanisme selon l'invention dans l'une ou l'autre :de ses formes d'exécution est également applicable à des horloges ou à des montres dites à heures sautantes. Dans le cas d'horloges, on peut prévoir une commande électrique quelconque à distance, avec ou sans fil, par exemple au moyen d'un électro aimant, d'un relais, ete.
Il est évident que le c#ur peut être rem placé par une étoile permettant, par exem ple, une mise à l'heure de l'aiguille des mi nutes de cinq en cinq minutes. L'étoile pour rait également être disposée sur la petite moyenne.
Quoique dans les formes d'exécution re présentées, il s'agisse de l'adaptation de l'ob jet de l'invention à une mise à l'heure à ti rage, il est évident que le mécanisme peut s'adapter à toute autre mise à l'heure, en par ticulier à une mise à l'heure à bascule, le mouvement du verrou pouvant, dans ce cas, être utilisé pour actionner le ou les marteaux. il peut également s'adapter à ce que l'on nomme un remontoir négatif ou américain.
Il a été dit dans l'introduction que le mécanisme ne comporte pas la mise à l'heure d'aiguilles de compteurs chronographiques, mais il est évident que les aiguilles habi tuelles des minutes et des secondes que .com portent des chronographes peuvent être mises à l'heure au moyen du mécanisme revendi qué.
Une application intéressante de l'inven tion à plusieurs horloges simultanément peut résider dans le fait d'une mise à l'heure à commande électrique de toute une série d'hor loges dépendant d'une même horloge-mère. On sait que, dans ce cas, il peut. parfois se produire des ratés dans la transmission des signaux émis par l'horloge-mère, ratés que l'on pourrait compenser, par exemple, une fois par jour en mettant toutes les horloges à la fois à l'heure, ce qui pourrait même se faire automatiquement, par exemple tous les jours à minuit. La transmission -électrique pourra, par\ exemple, se faire par l'intermédiaire d'un le vier qu'une impulsion de courant ferait bascu ler.
Ce levier pourrait porter non seulement une, mais deux bascules, dont l'une se termi nant par un marteau agissant sur un cour de l'arbre .des secondes influencerait l'aiguille des secondes, tandis que l'autre agirait sur l'ai guille des minutes par un marteau agissant sur une étoile du canon de la chaussée. Ce levier pourrait également comporter un cor don de maneeuvre permettant de l'actionner à la main.
the mechanism making it possible to act on at least one of the hands usually included in the minute minder and the seconds indication, in a timepiece. The invention relates to a mechanism making it possible to act on at least one of the hands that are usually included in the timer and the indication of the seconds, -in a timepiece, that is to say on the one of the hands giving the hour to the minute and to the second, excluding chronographic counter hands.
This mechanism is characterized by means making it possible to bring, by the simple application of a force, this or these needles in a position constructively predetermined undermined.
Said force can be either a pulling effect or a pressure effect, applicable, for example, to the usual mid-hour units, that is to say to the. crown, or to an auxiliary member, push-button or the like, accessible from outside the timepiece.
The constructively predetermined position mined, in which the needle (s) on which one acts is brought, will preferably be zero for the seconds hand and a point coinciding with the precise indication of a given minute in this respect. which concerns the minute hand -of the timer. The mechanism could, for example, be provided in such a way as to bring the latter hand into a position corresponding to a five-minute multiple, being closest to the position in which the needle is at the moment when the 'we operate the mechanism.
It is obvious that it is also possible to provide for the case where the seconds hand and the timer hands are simultaneously brought into the desired position.
The drawing represents, by way of example, some embodiments of the object of the invention. The figures are semi-schematic, that is to say that they represent only the organs necessary for the understanding of the invention, to the exclusion of other organs liable to overload the drawing. .
Fig. 1 relates to a form -d'execution with drawing time setting, the traction force exerted for this purpose activating a mechanism for setting the seconds hand to zero; Figs. 2 and 3 are two detail views, FIG. 2 showing on a larger scale and in elevation the seconds shaft, its pinion and the seconds wheel of the watch according to FIG. 1;
Fig. 4 relates to a form of execution of operation identical to that of FIG. 1, the seconds hand being however located in the center;
Fig. 5 relates to an embodiment of operation identical to that of FIG. 1, the seconds hand not being here however in alignment with the crown stem, but on a diameter perpendicular to this direction, as is the case in wristwatches;
Fig. 6 relates to a form of execution with simultaneous action on the second hand and on the timer hands, the watch shown being fitted with a pull-down time setting, but the mechanism allowing to act on the hands being triggered by the effect of pressure applied to the crown;
Fig. 7 relates to a form of execution allowing the setting to zero of the seconds hand, and more particularly applicable to a wristwatch of the gui chets type, comprising a window for the seconds hand and a window for the timer hands.
In all the forms of execution represented in the figures which have just been enumerated, the application of force causes the displacement of the needle or needles to the desired position, this or these needles not leaving this position only when the application of force ceases.
Figs. 8 to 11 show three embodiments in which the application of the force has the effect of bringing the desired needle or needles to the position, constructively predetermined, this or these needles then being and instantaneously abandoned to themselves, so as to be able to resume his or their movement freely.
In the form of execution according to FIG. 1, we see on watch 1 the crown stem 2 extending by the usual members of the pulling time-setting mechanism, the center wheel 3, an intermediate mobile 4 and the seconds wheel 5. The stem - crown 2 acts in the usual way on a latch 6 controlling a lever 7 that a spring 8 tends to return to its rest position.
This rocker is however extended by an arm 9 carrying at its end a heart hammer 10 intended to act on the heart 11 integral with the shaft -of the seconds 12. Heart and hammer are arranged in such a way that, the second acting on the first, the seconds hand is brought back to zero.
It is obvious that to allow this slack vem-ent of the seconds hand, therefore of its shaft 12, it is necessary that the latter can move independently - of the seconds wheel 5 and - of the pinion 13 integral with the latter .
This effect is obtained, according to the detail view of FIG. 2, by providing the heart 11 and the seconds shaft 12 integral with one another, the second wheel 5 and the pinion 13 of the second shaft also integral with one of the other, but these two organs mounted idle on the axle, a spring 14 establishing sufficient friction for the normal dragging of the seconds shaft by the wheel and the pinion, while allowing the independent displacement of the first by compared to the latter.
Here is how the mechanism described works: Suppose, for example, that one wants to set the time according to some time signal, while having perfect synchronization between the seconds hand and the hour hand. minutes.
In the usual way, traction is exerted on the crown, and therefore on the crown stem 2, which is thereby extracted from a small quantity of the watch. While turning. the crown, we act at this time, and in the usual way also, on the hands of the minute track.
But by extracting the crown rod and thereby rotating the latch 6 and the rocker 7, the lever 9 and the hammer 10 were driven at the same time, so as to act on the heart and bring back the second hand to zero. Arrows indicate the direction of rotation of components 6 and 7.
With the seconds hand thus kept at zero, the crown is operated so as to set the timer to the time corresponding to the time given by the time signal and, as soon as this signal is received, the button is pressed. crown in its rest position. At this time, not only do the hands of the timer resume their movement, but also have it. guille des seconds is also started, the heart being. released.
As it is obvious that the hourly signals are always given in such a way as to coincide with a given precise minute, it is obvious that the time setting will always be carried out on one minute, so that the hand runs out of seconds. will be well synchronized with the minute hand.
Fig. 3 shows another way of connecting the seconds wheel with the seconds hand, allowing a relative movement with gentle friction of these two members. Here, the seconds wheel 15, the seconds pinion 16 and the shaft 17 itself, form a whole on which is located the heart 18 integral with a ring 19 and a barrel 20 intended to receive seconds hand.
The ring <B> 19 </B> carries a notch 21 allowing one of the arms of a spring 22 in <B> U </B> to come to rest in a groove of the seconds shaft < B> 17. </B> thus creating friction. necessary for coupling the barrel 20 to said shaft. -Such a mechanism is visible in plan on the ceeurs -of the fi-. <B> 5 </B> and <B> 8. </B>
In the embodiment according to fi-. 4 the center wheel 23 and the seconds wheel 24 are concentric to each other. The seconds hand is reset to zero (the, the manner previously described by the intermediary of the crown rod 25, the lock 26, a lever 27 carrying a hammer 28 acting on the heart 29.
While in the example: of FIG. 1, the lever 7 was nothing other than the usual lever for the time-setting mechanism, but provided with an extension bearing a hammer, in the example of FIG. 4, the rocker 27 is a special rocker only intended to accomplish the operation controlled by the mechanism according to the invention. This rocker is located -of the rest on the same pivot 30 as the usual rocker not shown and on which it would, for example, be superposed.
In the two examples which have just been described, the seconds shaft intersects the extension of the axis of the crown stem, which is not the case in wristwatches, in which this shaft is located on a diameter perpendicular to said axis.
This case is the subject of the embodiment according to FIG. 5. Here, the latch 31 controlled by the crown rod 32, has at one of its ends, a tooth 33 engaging in a fork of a lever 34 terminated by the heart hammer 35. intended to act on the heart 36 -of the seconds tree 37. Operation is, apart from that, identical to the previous ones.
Fig. 6 shows an embodiment in which the seconds hand and the timer hands are acted simultaneously. The action here also takes place via the crown, but not by a tensile force, but by a pressure force on the latter.
At 38 is the center wheel and at 39 the seconds wheel. At 40 is the first pinion of the center wheel. At 41 is the crown stem, followed by the time-setting mechanism and, in particular, the latch 42. By pulling on the crown, that is to say by extracting the crown stem 41 of the watch, the lock 42 is tilted in the direction: of the arrow 43, and the time-setting mechanism is acted in the usual way. By pressing against the crown, that is to say by pushing the crown stem 41 into the watch, on the contrary, a movement in the opposite direction of the lock 42 is caused.
of which, on the one hand, the nose 44, on the other hand, the ankle 45, act on two levers 46, respectively 47 and against the action of their springs 48, respectively 49. The lever 46 carries the hammer 50 intended to act on the core 51 and to cause the spondes needle to be reset to zero. The rocker 47 ends with a tooth 52 which engages the teeth of the pinion 40.
By providing for the pinion 40 an appropriate number of teeth, for example twelve teeth, it can be seen that the movement of the rocker 47 will have the effect of bringing the minute needle into a position corresponding to the twelfth of circumference of which it is closest to the moment of the action. By pressing on the crown, for example, the second hand will be simultaneously brought to zero and the minute hand to the twentieth minute position. By releasing the crown, therefore by releasing the various needles, they will be caused to start, the seconds hand being at this moment in synchronization with the minute hand.
It is obvious that the movement of the minute hand, as well as that of the hour hand, is here made possible by the fact that the road cannon is frictionally mounted on the shaft of the large average .
The time signals according to which we are accustomed to setting our watch to the time being generally given to the hours and to the crumbs, it will suffice, to set the watch to the time and the seconds hand in sync. nism with the timer hands, press on the crown and release the pressure when the signal is given. If the movement of the minute hand thus caused is made from five to five minutes, setting the time in the above-mentioned manner may be done whenever the delay or advance is less than two and a half minutes. .
In the contrary case, we will start by pulling the .cou ronne outwards, we will set approximately at the desired time and in the usual way, then, pressing the crown, we will proceed as follows. to be said.
Instead of acting with tooth 52 in pin 40, one could also act on a star placed on the barrel of the roadway.
The example of fig. 7 relates more particularly to a small wristwatch of the type with apertures, comprising in a box .de rectangular shape an aperture for the timer hands and a window for the seconds hand. In the rectangular movement 53 are shown the ball 54, the first pinion 55, the minute wheel 56, a second pinion 57, an intermediate wheel 58, a third pinion 59, the seconds wheel 60, a fourth pinion 61 and finally the escape wheel 62.
n sees that if the minute wheel 56 is placed in the axis of the movement, it is not the same for the seconds wheel 60, which cannot, therefore, carry the seconds. The latter is carried by the shaft 63, the pinion 64 of which meshes with a wheel 65 connected to the mobile 58 and to the pinion 57 by means of an elastic friction coupling formed by the leaf spring 66. The core 67 is on the seconds ar ber 63 and a hammer 68 is used to reset the seconds hand.
In the form .d'execution shown in .deux different positions to the wire. 8 and 9, but only partially at the fi-. 9, the latch 69 actuates the rocker 70 terminating in the hammer 71 intended to act on the .cocur 72, by means of a lever 73 with two arms, articulated on the rocker 70 and of which one of the arms hooks at 74 in the lock, while the other is arranged so as to be able to meet a pin 75 in its movement.
A spring 76 ensures cooperation .d: this lever 73 with the latch 69.
The mechanism shown operates under pressure, that is to say by pressing on the crown, the rod 77 of which can be seen in FIG. 8. The application of this force has the effect of tilting the latch 69, which transmits its movement to the rocker 70 by means of the small lever 73, and this until the moment when the various members reach the position shown in fig. 9, in which the hammer 71 has returned the heart to. its starting position and in which the lever 73, retained by the pin 75, has oscillated slightly relative to the lever 70 and so as to reach a position such relative to the worm, that it will escape from the latter.
This is what happens if, pushing the crown further in, the movement of the lock is completed. r1 <I> this </I> moment, the rocker 70, moved by its res fate not shown, returns to its initial position and releases the core. Therefore, a sudden thrust of the crown has the effect of returning the heart and the organs which depend on it to a predetermined position and. to release it immediately, which makes it possible, for example, to return the seconds hand to zero, from where it will instantly resume its course.
Fig. 10 partially represents another mechanism provided with the intermediate member allowing the instantaneous start of the member brought back to the predetermined position.
In this example, it is the latch 78 which carries a small lever 79, by means of which it acts on the rocker 80, a pin 81 cooperating with an inclined plane of the lever 79, in such a way that when the latter rises (rotation of the lock anti-clockwise in the drawing), it moves away little by little from the rocker, until it is completely released when the heart not shown has been returned to the desired position. Here, it is also by pushing that the mechanism is operated.
Fig. 11 shows a similar mechanism, with a second in the center. By pushing the crown into the room, the latch 82 is oscillated clockwise in the drawing, which has the effect of lowering the small lever 88 fixed to the rocker 84. A pin 85 retains also this lever, in such a way that at a given moment of its travel, the rocker 82 ceases to be in engagement with it, this moment corresponding to the moment when the core 86 has been brought back to its starting position.
The mechanism according to the invention in one or other of its embodiments is also applicable to clocks or to so-called jumping hour watches. In the case of clocks, it is possible to provide any remote electrical control, with or without wire, for example by means of an electromagnet, a relay, etc.
It is obvious that the heart can be replaced by a star allowing, for example, a setting of the minute hand from five to five minutes. The star could also be placed on the small average.
Although in the embodiments shown, it is the adaptation of the object of the invention to a setting of the time, it is obvious that the mechanism can be adapted to any another time setting, in particular to a toggle time setting, the movement of the lock being able, in this case, to be used to actuate the hammer or hammers. it can also be adapted to what is called a negative or American winder.
It was said in the introduction that the mechanism does not include the time setting of chronographic counter hands, but it is obvious that the usual minute and second hands that .com wear chronographs can be put on. on time by means of the claimed mechanism.
An interesting application of the invention to several clocks simultaneously can reside in the fact of an electrically controlled time setting of a whole series of clocks depending on the same master clock. We know that, in this case, he can. sometimes failures occur in the transmission of signals emitted by the master clock, failures that could be compensated for, for example, once a day by setting all the clocks at the same time, which could even be done automatically, for example every day at midnight. The electrical transmission could, for example, be done by means of a lever which a current pulse would cause to switch.
This lever could carry not only one, but two rockers, one of which ends in a hammer acting on a court of the second shaft. The seconds hand would influence the seconds hand, while the other would act on the axis. ticks the minutes by a hammer acting on a star of the roadway cannon. This lever could also include an operating horn allowing it to be operated by hand.