Dispositif de mesure de pression. L22 pré@ent.e invention a polir objet un (lispositif de mesure .de pression, susceptible d'applieation.s .différentes, par exemple aux tnesttres barométriques et manométriques, à la tnesurr, de pression d'un pneumatique, ete.
Ce dispositif est -caractérisé par le fait que la pre,sion à mesurer agit sur un rhéostat dont 121 résistance est variable par pression intercalé clans un circuit électrique muni d'un appareil de mesure.
Pour qu'un tel dispositif de mesure de pression fonctionne de manière précise et sa ti.sfaisante, le rhéostat à utiliser doit avoir une constitution particulière. Il peut, par exemple, comprendre une masse de poudre dont la conductibilité varie en fonction -de la pression à laquelle elle est soumise, ainsi que fies moyens de décompression permettant de ramener la poudre comprimée à son état ini tial, afin qu'à chaque pression donnée à me surer corresponde la même résistance et la même indication de l'appareil .de meure du cirerait électrique.
Ces moyens de décompression sont, par exemple, des ressorts isolés électriquement et noyés dans la masse de poudre, -ou bien du caoutchouc finement divisé et mélangé à la masse de poudre.
Cependant, pour obtenir les meilleurs ré sultats, et principalement pour que la résis tance électrique ait la même valeur pour une valeur donnée de la pression, quelles que soient les successions de compression et de dé compression par lesquelles l'on est arrivé<B>-à</B> la pression considérée, c'est-à-dire pour que la masse de poudre semi-conductrice reprenne toujours le même état pour une pression dé terminée, il est utile de prévoir des dispositifs de décompression qui sont en contact intime et permanent avec la masse de poudre.
Pour réaliser le contact intime et perma nent entre- le -dispositif de décompression et la poudre, par exemple dans le cas où le dis positif de décompression est, comme indiqué plus haut, soit un ressort, soit une masse de caoutchouc noyée dans la poudre, un premier moyen consiste à recouvrir ce ressort ou cette masse de caoutchouc .d'une couche de même poudre semi-conductrice rendue adhérente par un collage approprié. Sans cette précaution, il peut arriver que le contact entre le ressort ou la masse de caoutchouc d'une part, et la pou dre, .d'autre part,
ne soit suffisamment intime pour que la décompression du dispositif élas tique soit communiquée à la masse -de poudre.
Un second moyen consiste en ce que la poudre semi-conductrice est incorporée à une masse de caoutchouc cru, qui est ensuite mou lée en pièces de forme appropriée ou transfor mée par les procédés habituels en caoutchouc éponge ou en caoutchouc mousse. La poudre se trouve ainsi immobilisée à l'intérieur d'une masse élastique et, par conséquent, cet en semble est susceptible de se compresser et de se décompresser en revenant toujours au même état pour une pression déterminée.
Un troisième moyen consiste en -ce que la poudre est émulsionnée dans une dissolution de caoutchouc ou dans un liquide évaporable, comme l'eau éventuellement additionnée d'Lln siccatif, par exemple du -silicate -de soude, de façon à donner, après séchage, une sorte de ci ment solide plus ou moins élastique.
Enfin, un dernier moyen .de ramener tou jours la poudre semi-conductrice au même état, pour une pression donnée, consiste en ce que la poudre est mise en émulsion dans un liquide isolant ou semi-conducteur non élec- trolysable, par exemple du graphite colloïdal dans une huile, ou bien cette poudre semi- conductrice est mise en mélange intime avec un .corps semi-liquide, pâteux, isolant, par exemple une graisse ou une vaseline.
On cons tate en effet que, quand les mélanges liquides ou pâteux ci-dessus sont soumis à une pres sion, la résistance à travers la masse varie d'une façon continue avec cette pression. Il est bien évident que l'état de la masse revient. toujours au même point pour une pression donnée.
On a décrit ci-dessous, à titre d'exemple:. quelques formes .d'exécution de l'objet de l'invention, illustrées au dessin annexé, dans lequel La fie. 1 est une vue en coupe d'une ré sistance; La fiâ. ? montre une application de la résistance d'après la fie. 1, permettant de me surer d'une façon continue et précise la dis tance variable séparant deux pièces d'une machine quelconque; La fie. 3 est un diagramme explicatif; La fie. 4 est un perfectionnement de l'ap pareil -de 1a fie. 2 avec vue en coupe partielle;
La fie. 5 est un exemple d'exécution per mettant des indications manométTiques vu après arrachement de certaines parties; La fie. 6 représente une autre forme d'exécution d'un rhéostat; La fig. 7 montre le rhéostat de la fib. 6 . monté sur la jante d'une roue à pneumatique, vue en coupe partielle; La fib. 8 est une vue schématique en élé vation d'une roue à pneumatique équipée avec le rhéostat de la fi-.<B>6.</B>
Dans un tube 1 de matière isolante @à pa roi intérieures lisses (fie. 1),@ on dispose une pièce conductrice 2 fixe; une autre pièce con ductrice 3, montée au bout d'une tige 4, peut coulisser à frottement doux dans le tube; cette pièce forme piston et elle est munie d'une gar niture 3' assurant une étanchéité suffisante; l'espace compris entre les deux pièces conduc- trices est. occupé par une pièce élastique 5, ainsi que par une certaine quantité de poudre semi-conductrice, par exemple .du graphite pulvérisé.
La pièce élastique 5 peut être cons tituée par exemple par un ressort à boudin ou une hélice en matière élastique isolante, ou recouverte d'isolant. A la construction, la poudre semi-conductrice 6 est répartie oussi uniformément que possible entre les spires du ressort ou de l'hélice.
Des fils conducteurs 7 et 8 sont connectés respectivement à chacune des deux pièces 2et 3.
Le fonctionnement de la. résistance est le suivant: Lorsque la pièce élastique est complètement détendue, la conductibilité de la poudre est minima, la résistance obtenue est maxima; quand on appuie sur la tige .de façon à com- primer la pièce élastique, on comprime en même temps la. poudre. semi=conductrice ré partie entre les spires, la conductibilité de la poudre augmente progressivement et la résis tance obtenue diminue d'une façon continue.
Quand on diminue la pression sur la tige 4, la pièce élastique se détend, entraînant la poudre semi-conductrice qui .devient aussitôt plus résistante parce que moins comprimée.
La pièce élastique peut être divi,ée en un grand nombre de parties: par exemple, on peut la constituer par de petites pièces en caoutchouc ou autre matière élastique, noyées dans la poudre semi-conductrice; ou encore, on peut mélanger intimement la poudre semi- conductricr_. avec une poudre élastique iso lante, telle que -du caoutchouc pulvérisé.
La fin. 2 montre une application .d'une ré siaance pour indiquer d'une façon précise les variations de distance entre deux pièces de machines 9 et 10.
La résistance 11, constituée comme il a été dit plus haut, est intercalée entre les pièces dont on veut connaître à chaque ins tant la position relative. Cette résistance fait partie d'un circuit électrique comportant un appareil de mesure 13, et monté aux bornes d'un rhéostat réglable 12.
Lorsque les pièces 9 et 10 s'éloignent ou se rapprochent l'une de l'autre, l'appareil 13 accuse les variations de potentiel qui permettent, au moyen d'une graduation con venable, de lire la. distance qui sépare les pièces 9 et 10 l'une de l'autre.
Il peut arriver, dans ce genre .d'applica tion, que la courbe de conductibilité de cer taines poudres ne soit pas la même à la pres sion qu'à la .détente, ainsi que l'indique la fig. 3. Si .donc les pièces 9 et 10 ont un mou vement alternatif, les indications de distance ne seront plus comparables à elles-mêmes à l'aller et au retour. On pourra corriger cette anomalie par une double graduation. Il est cependant préférable d'établir la résistance comme l'indique la fig. 4, .de façon à obtenir un fonctionnement différentiel.
La résistance est double, la pièce 14 for mant piston se trouvant entre deux tubes 15 et 16 contenant chacun la poudre semi- conductrice 6. une pièce conductrice fixe 2 et une pièce élastique 5.
En observant simultanément les varia tions de conductibilité des deux tubes, l'un travaillant à la compression, tandis que l'au tre travaille à la détente, et inversement, on peut, par montage électrique approprié, obte nir une indication compensée, le cycle de la fig. 3 étant remplacé par la courbe moyenne 17.
Comme exemple -de montage électrique pour obtenir ce résultat, on peut utiliser celui indiqué par la fig. 4, .dans lequel les deux ré sistances continues 15, 16 constituent deux bras d'un pont de Wheatstone dont les autres sont une résistance fixe 18 et une résistance de réglage 19.
Par ce procédé, la variation de potentiel entre les bornes du pont sera la résultante de l'augmentation -de conductibilité de l'une des résistances et de la diminution .de conductibi- lité .de l'autre.
A titre -d'exemple, on a indiqué ci-après, ainsi que par la fig. 5, une autre application de l'invention permettant des indications ba rométriques ou manométriques. Dans une telle application, on utilise les boîtes baromé triques ou les tubes manométriques déforma- bles des appareils actuellement en usage et on les remplit de poudre semi-conductrice for mant résistance.
La déformation .des boîtes ou .des tubes sous l'effet des variations de pression en traîne une variation du taux de compression de la poudre semi-conductrice. Il en résulte une variation -de conductibilité de cette pou dre, qui permet la lecture, sur un récepteur électrique approprié, des pressions supportées par l'appareil.
Par exemple (fig. 5), 20 est un tube ba rométrique ou manométrique -de section apla tie 21, contenant une certaine quantité de poudre. semi-conductrice 5 en contact avec des pièces polaires 22 et 23 connectées par les fils 24 et 25à un pont de Wheatstone comportant un appareil indicateur 13. Une .des extrémités du tube est maintenue d'une façon fixe .dans un support 26; l'autre extré mité est libre.
Sous l'effet .des variations des pressions extérieures, le tube se déforme et il en ré sulte des variations de compression de la poudre semi-conductrice, variations qui se traduisent sur l'appareil 13 par des indica tions qui sont fonction de la pression exté rieure.
D'après. la fig. 6, le rhéostat est constitué par une boite ou capsule '3-7, .à l'intérieur de laquelle sont empilées un certain nombre de rondelles 3 2 en clinquant d'acier, au nom bre, par exemple, -de cinq à. vingt, suivant la pression moyenne à contrôler, chaque ron delle de clinquant étant revêtue, sur ses deux faces, d'un ciment obtenu par l'émulsion -de graphite colloïdal dans de l'eau éventuelle ment additionnée .d'un siccatif, par exemple de silicate de .soude, et séchage de cette émul sion. Le ciment présente certaines inégalités, qui permettent une légère déformation élas tique :des rondelles.
Ces rondelles sont isolées des. parois latérales de la capsule 37 par un ruban extérieur 36 en tissu isolant entourant le cylindre qu'elles forment. L'évidement in térieur de ces capsules est maintenu par un tube de caoutchouc 35.
La pile des rondelles est placée entre deux armatures rigides métalliques 31, 31'. La capsule 37 est fermée par une mem brane souple 40.
L'armature supérieure 31 est en commu nication, par un fil central 34, avec une borne extérieure 38 montée dans un bouchon isolant 39 vissé .à la base de la capsule 37. L'armature inférieure 31' met l'extrémité inférieure :de la. pile des rondelles en commu nication électrique avec la capsule 37.
Si donc l'on intercale .dans un circuit électri que, d'une part, la borne 38, et, d'autre part, la. masse de la capsule 37, le courant passera à travers la pile des rondelles 32 munies de leur couche de ciment 33. .Si l'on fait varier la pression sur la membrane flexible 40, on fera varier en même temps la pression qui s'exerce sur l'ensemble élastique constitué par les rondelles et le ciment graphité, et la résistance de ce rhéostat variera avec la pres sion.
Pour appliquer un tel rhéostat à la. me sure ,à distance -de la pression d'un pneuma tique, la capsule 3 7 est. vissée dans un ori fice percé dans la jante du pneumatique 41. Sur le moyeu 44 -de la roue est fixé un dis que 43, dont la face intérieure porte deux couronnes de contact 46 et 45. L'une,des cou ronnes de, contact 46' est reliée, par un fil 42, à la borne 38 du rhéostat.
Le couvercle du tambour de frein porte deux frotteurs 48, 47, qui appuient respecti vement sur les -contacts circulaires 46 et 45.
Le frotteur 47 a pour but de mettre la masse de la. capsule 37 et la partie métalli que de la roue dans laquelle elle est vissée en bon contact avec le reste de la masse de la voiture avec laquelle, sans cela, elle ne serait en contact que par le roulement à billes interposé entre la vis et le moyeu, roulement à billes qui, à cause de la. graisse qu'il con tient, n'assure pas un bon .contact.
Les fil= qui partent des balais 47. 48 vont l'un à un pôle de la source, l'autre à l'entrée d'un milliampèremètre placé sur le tableau -de bord; la. sortie du milliampère- mètre est reliée à l'autre pôle de la source.
Le fonctionnement est évident: toute va riation de pression à. l'intérieur de la cham bre à air 41 se traduit par une variation de résistance électrique de la cellule, qui en traîne une variation proportionnelle #des in dications -de l'aiguille @du milliampèremètre, dont la graduation peut être établie en kg par<B>-cm'.</B>
Pour parer à l'effet des variations. de voltage<B>-</B>de la source, on peut employer un autre montage électrique, par exemple un pont de Wheatstone, comme il a été indiqué à propos d'un exemple précédent, ou encore utiliser comme récepteur un milliampèremètre. -du type connu à deux cadres, l'un parcouru par le courant direct de la source, l'autre par le courant passant par la cellule; les deux cadres étant à. 90 l'un -de l'autre, la direc- fion prie par l'ensemble est, pratiquement indépendante -les petites variations de vol tage de la source.
Il est clair que l'on pourra. disposer sur le tableau de bord d'une voiture automobile, par exemple autant de récepteurs qu'il y a de pneumatiques si l'on veut avoir l'indica tion permanente de la pression de chacun d'eux, ou encore, si cette indication perma nente n'est pas nécessaire, on mettra un seul récepteur successivement en communication avec les différents pneumatiques au moyen d'iin commutateur approprié.
On pourra aussi disposer les quatre cel lules et le milliampèremètre en série dans le circuit, de façon que ce dernier indiquant le total des pressions soit affecté par une di minution de pression de l'un quelconque -les pneumatiques; dans ce cas, un commutateur permettra en outre de relier successivement le milliampèremètre à. chacune des cellules pour se rendre compte en cas de besoin de ia pression individuelle de chaque pneum#-iti- que.
Ce commutateur sera de préférence mis en marche automatiquement par une variation du courant correspondant à une baisse de pression importante d'un pneumatique, et il s'arrêtera automatiquement sur le pneumati que dont la pression aura. baisse.
On pourra également utiliser toute varia tion importante de la pression -d'un pneuma tique pour faire fonctionner un avertisseur, par exemple une lampe, un klakson, etc.
Pressure measuring device. L22 pre@ent.e invention has object polishing (lispositif .de pressure measurement, capable of appleation.s .different, for example to barometric and pressure gauges, tnesurr, pressure of a tire, ete.
This device is -characterized by the fact that the pre, sion to be measured acts on a rheostat, the resistance of which is variable by pressure, interposed in an electrical circuit provided with a measuring device.
In order for such a pressure measuring device to function accurately and its ti.sfaisante, the rheostat to be used must have a particular constitution. It may, for example, comprise a mass of powder whose conductivity varies as a function of the pressure to which it is subjected, as well as decompression means making it possible to return the compressed powder to its initial state, so that each The pressure given to me corresponds to the same resistance and the same indication of the apparatus for the death of electric wax.
These decompression means are, for example, electrically insulated springs embedded in the mass of powder, or else finely divided rubber mixed with the mass of powder.
However, in order to obtain the best results, and mainly so that the electrical resistance has the same value for a given value of the pressure, whatever the successions of compression and of decompression by which we have arrived <B> -at the pressure considered, that is to say so that the mass of semiconductor powder always returns to the same state for a determined pressure, it is useful to provide decompression devices which are in contact intimate and permanent with the mass of powder.
To achieve intimate and permanent contact between the -decompression device and the powder, for example in the case where the decompression device is, as indicated above, either a spring or a mass of rubber embedded in the powder , a first means consists in covering this spring or this mass of rubber with a layer of the same semiconductor powder made adherent by suitable gluing. Without this precaution, it may happen that the contact between the spring or the rubber mass on the one hand, and the powder, on the other hand,
is not sufficiently intimate for the decompression of the elastic device to be communicated to the mass of powder.
A second means is that the semiconductor powder is incorporated into a mass of raw rubber, which is then softened into pieces of suitable shape or transformed by the usual methods into sponge rubber or foam rubber. The powder is thus immobilized inside an elastic mass and, consequently, this unit is liable to compress and decompress, always returning to the same state for a determined pressure.
A third means consists in -that the powder is emulsified in a rubber solution or in an evaporable liquid, such as water optionally added with ln siccative, for example sodium -silicate -soda, so as to give, after drying , a kind of solid more or less elastic.
Finally, a last means of always bringing the semiconductor powder back to the same state, for a given pressure, consists in the powder being emulsified in an insulating or non-electrolysable semiconductor liquid, for example colloidal graphite in an oil, or else this semiconductor powder is mixed intimately with a semi-liquid, pasty, insulating body, for example a grease or a petrolatum.
It is in fact noted that, when the above liquid or pasty mixtures are subjected to a pressure, the resistance across the mass varies continuously with this pressure. It is quite obvious that the state of the mass returns. always at the same point for a given pressure.
We have described below, by way of example :. some embodiments of the object of the invention, illustrated in the accompanying drawing, in which La fie. 1 is a sectional view of a resistor; The fiâ. ? shows an application of resistance according to fie. 1, allowing me to monitor in a continuous and precise manner the variable distance separating two parts of any machine; The fie. 3 is an explanatory diagram; The fie. 4 is an improvement of the apparatus -de 1a trust. 2 with partial sectional view;
The fie. 5 is an exemplary embodiment allowing manometric indications seen after tearing off certain parts; The fie. 6 shows another embodiment of a rheostat; Fig. 7 shows the rheostat of the fib. 6. mounted on the rim of a pneumatic wheel, partially sectioned view; The fib. 8 is a schematic elevation view of a pneumatic wheel equipped with the rheostat of figure. <B> 6. </B>
In a tube 1 of insulating material @ with smooth interior pa king (fie. 1), @ a fixed conductive part 2 is placed; another conductive part 3, mounted at the end of a rod 4, can slide with gentle friction in the tube; this part forms a piston and it is provided with a seal 3 'ensuring sufficient sealing; the space between the two conductive parts is. occupied by an elastic part 5, as well as by a certain quantity of semiconductor powder, for example .du pulverized graphite.
The elastic part 5 can be constituted, for example, by a coil spring or a helix of elastic insulating material, or covered with insulation. During construction, the semiconductor powder 6 is distributed as uniformly as possible between the turns of the spring or the helix.
Conductor wires 7 and 8 are connected respectively to each of the two parts 2 and 3.
The operation of the. resistance is as follows: When the elastic part is completely relaxed, the conductivity of the powder is minimum, the resistance obtained is maximum; when the rod is pressed so as to compress the elastic part, at the same time it is compressed. powder. semiconductor re part between the turns, the conductivity of the powder increases progressively and the resistance obtained decreases in a continuous way.
When the pressure on the rod 4 is reduced, the elastic part relaxes, entraining the semiconductor powder which immediately becomes more resistant because it is less compressed.
The elastic part can be divided into a large number of parts: for example, it can be formed by small parts of rubber or other elastic material, embedded in the semiconductor powder; or the semiconductor powder can be intimately mixed. with an insulating elastic powder, such as pulverized rubber.
The end. 2 shows an application. Of a resiaance to indicate precisely the variations in distance between two parts of machines 9 and 10.
Resistor 11, formed as it was said above, is interposed between the parts whose relative position we want to know at each time. This resistor is part of an electrical circuit comprising a measuring device 13, and mounted at the terminals of an adjustable rheostat 12.
When the parts 9 and 10 move away from or approach one another, the device 13 shows the variations in potential which make it possible, by means of a suitable graduation, to read the. distance between parts 9 and 10 from each other.
It may happen, in this kind of application, that the conductivity curve of certain powders is not the same at the pressure as at the expansion, as shown in fig. 3. If, therefore, parts 9 and 10 have reciprocating movement, the distance indications will no longer be comparable to themselves on the outward and return path. This anomaly can be corrected by a double graduation. However, it is preferable to establish resistance as shown in fig. 4, so as to obtain a differential operation.
The resistance is double, the part 14 forming a piston located between two tubes 15 and 16 each containing the semiconductor powder 6, a fixed conductive part 2 and an elastic part 5.
By simultaneously observing the variations in conductivity of the two tubes, one working on compression, while the other working on expansion, and vice versa, it is possible, by appropriate electrical assembly, to obtain a compensated indication, the cycle of fig. 3 being replaced by the average curve 17.
As an example of an electrical assembly to obtain this result, the one indicated by FIG. 4,. In which the two continuous resistors 15, 16 constitute two arms of a Wheatstone bridge, the others of which are a fixed resistor 18 and an adjustment resistor 19.
By this method, the variation in potential between the terminals of the bridge will be the result of the increase in conductivity of one of the resistors and the decrease in conductivity of the other.
By way of example, it has been indicated below, as well as in FIG. 5, another application of the invention allowing ba rometric or manometric indications. In such an application, the barometric boxes or the deformable pressure tubes of the apparatuses currently in use are used and they are filled with semiconductor powder forming a resistance.
The deformation of the boxes or tubes under the effect of the pressure variations results in a variation in the compression ratio of the semiconductor powder. This results in a variation -de conductivity of this powder, which allows the reading, on an appropriate electrical receiver, of the pressures supported by the device.
For example (Fig. 5), 20 is a ba rometric or manometric tube -de flattened section 21, containing a certain quantity of powder. semiconductor 5 in contact with pole pieces 22 and 23 connected by wires 24 and 25 to a Wheatstone bridge comprising an indicator device 13. One of the ends of the tube is held in a fixed manner in a support 26; the other end is free.
Under the effect of variations in external pressures, the tube is deformed and the result is variations in the compression of the semiconductor powder, variations which are reflected on the device 13 by indications which are a function of the pressure. exterior.
According to. fig. 6, the rheostat is constituted by a box or capsule '3-7, inside which are stacked a number of washers 3 2 in steel foil, the number of, for example, -from five to. twenty, according to the average pressure to be controlled, each ron of foil being coated, on both sides, with a cement obtained by the emulsion of colloidal graphite in water possibly added with a siccative, by example of soda silicate, and drying of this emulsion. The cement presents certain inequalities, which allow a slight elastic deformation: washers.
These washers are insulated from. side walls of the capsule 37 by an outer tape 36 of insulating fabric surrounding the cylinder they form. The interior recess of these capsules is held by a rubber tube 35.
The stack of washers is placed between two rigid metal frames 31, 31 '. The capsule 37 is closed by a flexible membrane 40.
The upper frame 31 is in communication, by a central wire 34, with an external terminal 38 mounted in an insulating plug 39 screwed to the base of the capsule 37. The lower frame 31 'puts the lower end: of the. stack of washers in electrical communication with the capsule 37.
If therefore one interposes .dans an electric circuit that, on the one hand, the terminal 38, and, on the other hand, the. mass of the capsule 37, the current will pass through the stack of washers 32 provided with their layer of cement 33. If we vary the pressure on the flexible membrane 40, we will vary at the same time the pressure which s' exerts on the elastic assembly formed by the washers and the graphite cement, and the resistance of this rheostat will vary with the pressure.
To apply such a rheostat to the. measure, at a distance -from the pressure of a tire, the capsule 3 7 is. screwed into an orifice drilled in the rim of the tire 41. On the hub 44 of the wheel is fixed a disk 43, the inner face of which carries two contact rings 46 and 45. One, crowns, contact 46 'is connected, by a wire 42, to terminal 38 of the rheostat.
The cover of the brake drum carries two wipers 48, 47 which rest on the circular contacts 46 and 45 respectively.
The purpose of the slider 47 is to put the mass of the. capsule 37 and the metal part of the wheel in which it is screwed in good contact with the rest of the mass of the car with which, otherwise, it would only be in contact by the ball bearing interposed between the screw and the hub, ball bearing which, because of the. grease that it contains, does not ensure a good contact.
The wires = which leave the brushes 47. 48 go one to a pole of the source, the other to the input of a milliammeter placed on the dashboard; the. milliampere- meter output is connected to the other pole of the source.
The operation is obvious: any variation in pressure at. the interior of the air chamber 41 results in a variation in the electrical resistance of the cell, which results in a proportional variation # of the indications - of the needle @ of the milli-ammeter, the graduation of which can be established in kg by <B> -cm '. </B>
To deal with the effect of variations. voltage <B> - </B> of the source, one can use another electrical assembly, for example a Wheatstone bridge, as it was indicated in connection with a previous example, or even use as receiver a milliamperemeter. of the known type with two frames, one traversed by the direct current from the source, the other by the current passing through the cell; the two frames being at. 90 one -of the other, the direction required by the whole is, practically independent -the small variations in vol tage of the source.
It is clear that we can. place on the dashboard of a motor car, for example as many receivers as there are tires, if we want to have the permanent indication of the pressure of each of them, or even if this indication permanent is not necessary, a single receiver will be placed in communication with the different tires by means of an appropriate switch.
The four cells and the milli-ammeter can also be placed in series in the circuit, so that the latter indicating the total of the pressures is affected by a decrease in pressure of any one of the tires; in this case, a switch will also make it possible to successively connect the milli-ammeter to. each of the cells to realize if necessary the individual pressure of each tire.
This switch will preferably be started automatically by a variation of the current corresponding to a significant drop in pressure of a tire, and it will automatically stop on the tire whose pressure will be. drop.
Any significant variation in the pressure of a tire can also be used to operate a warning device, for example a lamp, a klakson, etc.