Installation électrique de protection contre les vols, effractions, etc. L'objet de la présente invention est une installation électrique de protection contre les vols, effractions, etc. Cette installation est caractérisée par au moins un poste pro tégé par une centrale munie d'une source électrique, alimentant un relais de surveil lance du poste, celui-ci étant protégé par un dispositif formé de pièces métalliques de deux catégories différentes, les pièces d'une catégorie étant reliées en série entre elles de façon à former un circuit inséré entre l'un des pôles de la source et l'une des bornes du relais, tandis que les pièces de la deuxième catégorie, isolées de celles de la première et aussi reliées entre elles en série, forment un deuxième circuit,
inséré entre l'autre borne du relais et l'autre pôle de la source, de façon que, lorsque des pièces des deux catégories sont mises en contact élec trique, le relais soit court-circuité.
Le dessin ci-annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'objet de l'invention, supposée installée dans un immeuble. Cette forme d'exécution comprend une petite centrale électrique c disposée dans le local où habite le surveillant de l'immeuble, par exemple le concierge de celui-ci et quatre postes protégés, à savoir un coffre-fort pa, une porte d'entrée<B>Pb</B> du local où se trouve celui-ci, une fenêtre p,, de l'immeuble et une porte pd de celui-ci.
La fig. 1 est un schéma simplifié de la centrale et du poste p,; la fig. 2 montre ce poste en perspective; les fig. 3 à 9 concer nent des détails de celui-ci; La fig. 10 est une vue en élévation du second poste<B>;</B> la fig. 11 en montre un sché ma des circuits; la fig. 12 concerne un détail; La fig. 13 est une vue en élévation du troisième poste et la fig. 14 un schéma des connexions électriques de celui-ci; les fig. 15 et 16 montrent un détail;
La fig. 17 est un schéma des connexions électriques du quatrième poste; les fig. 18 et 19 montrent des détails de celui-ci; La fig. 20 est un schéma de la centrale; les fig. 21 et 22 montrent deux détails de celle-ci; La fig. 23 montre une variante du pre mier poste; la fig. 24 est une coupe par A-B de fig. 23.
Le poste p., comprend un coffre-fort usuel 7 reposant par ses pieds sur le plancher et enfermé à l'intérieur d'un grillage 8; celui-ci est constitué par un cadre 9, de forme cubi que, sur chacune des six faces duquel sont placés des barreaux 10; la face antérieure du grillage est munie d'une porte 11, égale ment à barreaux, et qui se ferme par une serrure 12, 13 est la serrure du coffre.
Chaque barreau 10 est constitué par un tube métallique, fixé par ses extrémités dans le cadre, et isolé électriquement de celui-ci par des rondelles 14: dans l'intérieur, de chaque barreau est disposé, axialement, un fil métallique 15, également isolé du barreau et du cadre.
Quant à la centrale, elle com prend une source d'électricité 16, un relais 17a, de surveillance du poste p,, et une lampe de contrôle 18a,, alimentée depuis la source 161, par le moyen d'un transformateur dont le primaire est montré en 191 et le secon daire en<B>192</B> (en réalité, les deux sources 16 et 161 sont identiques, c'est-à-dire que le courant de la source 16 est livré par la source 161 par l'intermédiaire d'un redres seur);
cette centrale comprend, en outre, pour le poste pa, six plots 1a,, 2a,, 3a,, 4a,, %, 6a;, qui sont reliés par six conducteurs réunis en un seul câble au poste p,,; le circuit est le suivant: du pôle positif de la source 16, le courant passe au plot 1a, puis au conduc teur 21. qui va au poste p., et est connecté à l'un des barreaux 10, par exemple au pre mier barreau de gauche de la face avant du grillage, barreau appelé n 1 ;
de là le cou rant se rend, noir pas au barreau immédia tement adjacent et qui porte le numéro 2, mais au barreau suivant, n 3, de là au nu méro 5, etc. (au schéma de la fig. 1, on a sup posé les barreaux réduits à 4). En sortant du d,-rnier barreau impair, le courant pénètre dans le fil conducteur 15 du premier bar reau pair, c'est-à-dire du numéro 2, puis de là, il passe au fil conducteur dur barreau n 4 et parcourt ainsi successivement tous les fils métalliques des barreaux pairs;
après quoi, après avoir traversé certains appareils qui seront décrits en détail plus loin, il revient par le fil 22a, au plot 2a, de la centrale pour pénétrer dans le relais de surveillance 17$ par la borne positive de celui-ci.
Les bar reaux impairs susmentionnés et les fils con ducteurs contenus dans les barreaux pairs se trouvent donc montés en série entre le pôle positif de la source et la borne positive du relais, c'est pourquoi ils aeront désignés plus loin sous le nom d'éléments positifs et le circuit sous le nom de circuit + du poste p,,. Après avoir traversé le relais 17a,, le courant arrive au plot 5a,, parcourt le conducteur 25$ et différents appareils qui seront décrits en détail plus loin, pour arriver au fil conduc teur contenu dans le premier barreau impair, soit le na 1;
de là, il passe dans le fil du n 3, puis parcourt successivement tous les fils des barreaux impairs, puis, après quoi, il se rend dans le premier barreau pair, n 2, puis, dans le deuxième, n 4, et parcourt successivement en série tous les barreaux pairs pour retourner au plot 4a, de la cen trale par le conducteur 24a,, ce plot 4a, étant relié au pôle négatif de la source;
les bar reaux pairs et les fils conducteurs des bar reaux impairs sont donc montés en série entre la borne négative du relais et le pôle négatif de la source, c'est pourquoi ils se ront désignés plus loin sous 1e nom d'élé ments négatifs et le circuit susmentionné sous le nom de circuit--du poste pa,. Si un cambrioleur veut essayer de démonter le grillage ou de pénétrer jusqu'au coffre 7 à travers celui-ci, il pontera deux barreaux adjacents, qui sont de catégories différentes, l'un positif, l'autre négatif; le courant de la source 16, au lieu de passer dans le relais <B>1%,</B> traversera alors directement ce pont et le relais sera privé de courant;
il actionnera alors divers appareils avertisseurs qui seront décrits plus loin; de même, si le cambrioleur cherche -à scier un barreau 10 en prenant la précaution de ne pas toucher les barreaux adjacents, soir outil arrivera en contact avec le fil contenu dans l'intérieur du barreau; or, ce fil et ce barreau sont de polarité dif férente, il se produira alors sur le relais 17p, un court-circuit analogue à celui précédem ment décrit.
Le cadre 9 est formé également de tuyaux constitués chacun par deux parties semi- circulaires, fixées entre elles. Dans l'une de ces parties semi-circulaires, on monte les tu bes 10; après quoi, la deuxième partie semi- circulaire est fixée à la première au moyen de vis 21 (voir fig. 3 et 4 qui représentent, la première, une coupe longitudinale d'un de ces tuyaux et la deuxième, une coupe par IV-IV de la fig. 3).
Pour éviter que ces vis 21 puissent être enlevées saris attirer l'attention du surveillant, on a placé dans chacun des tuyaux du cadre une lamelle métallique 22, montée dans le tuyau par des vis 23 et des douilles et rondelles isolantes 24 et 25; cette lamelle est percée de trous 26, dans lesquels passe librement la partie amincie 27 de la vis 21; le cadre est monté en série dans le circuit négatif du poste alors que les lamelles 22 sont connectées en série dans le circuit positif; il s'ensuit que si l'on dévisse une vis 21, celle-ci ponter, un tuyau du cadre, qui est négatif; et une lamelle 22, qui est positive; produisant ainsi sur le relais 17a, un court-circuit analogue aux précédents.
En outre, le coffre 7 est également mis en série dans le circuit positif au moyen d'un téton fileté 28 (voir fig. 5), fixé à un barreau positif et qui pousse contre la masse du coffre 7 une pointe de contact 29. De cette façon, le cambrioleur peut également produire un court-circuit sur le relais 17a en touchant, d'une part, la masse du coffre et, d'autre part, soit un barreau 10 négatif, soit un des tuyaux du cadre.
Enfin, dans chacun des circuits positifs et négatifs du poste p,,, on a placé un godet à mercure 30, respectivement 301. Chacun de ces godets comprend sur son fond deux bornes d'entrée et de sortie normalement reliées par une goutte de mercure; si l'on cherche à changer le coffre et son grillage de place, on déplace le mercure dans les godets et l'un des deux circuits positif ou négatif est ouvert. Le relais 17p, cessera d'être en relation avec l'un des pôles de la source 16 et fera agir les avertisseurs de la centrale comme s'il était court-circuité; ces deux godets sont placés à l'intérieur du grillage, l'un parallèlement à la face avant de celui-ci, l'autre perpendiculairement à cette face.
Les deux plots 3a, et 6a sont reliés dans la centrale à la lampe 18. Du plot 6a part un conducteur 26p, qui va au poste où il est relié, sans l'intermédiaire d'aucun appareil, au conducteur de .retour 2%. Les six con ducteurs 21a, 2%, 23a, 24a, <B>2%,</B> 26a sont, comme déjà dit, enfermés dans Lin câble commun 20 (voir fig. 6).
Lorsque l'installa tion est en fonction et que la lampe 18 est allumée, le surveillant sait que le poste p, est normalement sous courant, car si le câble 20 était interrompu, le courant ne pourrait pas passer dans les conducteurs 26a et 23a et la lampe 18 serait éteinte. D'ailleurs, pour plus de sécurité, chacun des conduc teurs 21a à 26a (voir fig. 7) est constitué par un tube caoutchouc 31, rempli de mercure et fermé à chaque extrémité par titi bouchon conducteur 32.
De ce bouchon part, vers l'extérieur, un conducteur 33 et vers l'inté rieur, un autre conducteur 34 plongeant profondément dans le mercure. Si l'on cher- cbe à couper l'un ou l'autre des conducteurs 21, à 26a, le mercure coulera et le circuit reliant le relais 17a à la source 16 sera in terrompu, ce qui produira l'actionnement des appareils d'alarme.
Enfin, il se pourrait qu'un cambrioleur cherche à placer, par exemple, sur les fils 21a et 22a, entre la centrale et le poste p,, une résistance qui, une fois mise, lui permet trait de séparer le poste de la centrale sans influencer le relais<B>1%.</B> Pour empêcher cette opération, il a été prévu dans chacun des circuits positifs et négatifs du poste _p,, Lin interrupteur spécial 35, respectivement 36; l'interrupteur 35 (voir fig. 1 et 8) com prend une bobine 37, montée en série dans le circuit positif et qui peut tourner dans le champ d'un aimant permanent 38.
Lorsque cette bobine est sous courant, elle prend la position représentée en traits pleins en fig. 8 et ne relie pas les deux plots 39 et 40, reliés, l'un à un point 39p, du circuit positif, et l'autre à un point 40p, du circuit négatif; si les deux fils 21p, et 22a sont pon tés par une résistance, aucun courant ne traversera la bobine 37 qui, sous l'action d'un ressort, non représenté, viendra alors prendre la position représentée en pointillé où elle ponte les deux plots 39 et 40;
les deux circuits positif et négatif du poste p,, se trouveront alors réunis par un court- circuit, le relais 17p, ne recevra plus de cou rant et les appareils d'alarme seront actionnés.
Enfin, il a été jugé bon de protéger également la serrure 12 de la porte du gril lage. A cet effet, on a prévu une fiche 41 (voir fig. 9) constituée par un carter en ma tière isolante et par une tige métallique fendue 42, destinée à s'enfoncer dans la ser rure. Cette dernière (voir fig. 1) est reliée élec triquement au cadre 9 alors que la tige 42 est reliée à l'une des bornes du godet à mercure 301. Tant que la fiche est dans la serrure, le circuit négatif du poste p,, sera fermé et du courant passera dans le relais de surveil lance<B>1%;</B> si l'on enlève la fiche de la ser rure pour placer dans celle-ci une clé, on interrompt ce circuit et le relais 17a, n'étant plus sous courant, actionnera les appareils avertisseurs.
Pour plus de sûreté, il a été également prévu, à l'intérieur de la fiche 41, une chambre dans laquelle sont prévues deux bornes 43 et 44, mises en série dans le cir cuit positif du poste pp, et normalement re liées par une goutte de mercure. Lorsque l'on touche -légèrement la fiche dans la ser rure, on fait bouger la masse de mercure et on interrompt le circuit positif entre les bornes 43 et 44, ce qui actionne le relais<B>1%.</B> Dans la fiche, entrent en 45 un fil positif 431, allant aux bornes 43 et 44, et un fil négatif 25a, se rendant à la tige 42;
si l'on essaie de ponter deux de ces fils de polarité différente par une résistance, on mét le relais 17p, en court-circuit, ce qui l'action nera.
Le second poste de l'installation (voir fig. 10, 11 et 12) comprend la porte fermant le local où se trouve le coffre-fort susdécrit; cette porte, pratiquée dans un mur en béton 46, comprend un cadre 47 monté, par des gonds non représentés, contre le mur et muni d'une serrure 48; chaque côté du cadre (voir fig. 12) est constitué par un fer en U 49, fermé par un fer plat 50, formant couvercle; ce fer 50 est fixé, par des vis 51, à un fer plat 52, placé à mi-hauteur dans le fer en<B>U</B> et fixé au fond de celui-ci par des vis 53.
Au fond du fer plat est disposée une lamelle isolante 56, sur laquelle est disposé un con ducteur 59 qui arrive au premier rivet 60; celui-ci est relié par une plaque élastique et conductrice 61 avec un rivet 62, d'où part de nouveau un conducteur 59, placé sur la lamelle 56, et allant jusqu'au prochain rivet 60; le dessus de la lame 61 est recouvert par une plaque isolante 63 sur laquelle appuie normalement la vis 51 de façon que la plaque 61 et le rivet 62, qui constituent un interrupteur, soient normalement en con tact. Entre les deux côtés horizontaux du cadre sont disposés des tuyaux métalliques 54, serrés par l'intermédiaire des vis 51, entre les deux fers plats 50 et 52, revêtus intérieurement de plaques isolantes 55.
Cha cun de ces tuyaux 54 est traversé axiale- ment, comme ceux du coffre-fort précédenï- ment décrit, par un conducteur 57.
Trois traverses horizontales 64 sont mon tées sur la porte de façon isolante et sans toucher les barreaux. Les six fils 21b à 26b, qui relient les plots 1b à 6b de la centrale à ce deuxième poste, arrivent réunis en un seul câble 20 dans une boîte de connexion 58.
Les circuits sont les suivants (voir fig. 11): le plot lb est relié, comme le plot la du poste précédent, au pôle positif de la source 16; de ce plot, le courant passe au conducteur 21b; traverse les six barreaux impairs de la porte, puis les six conducteurs 57 placés à l'intérieur des six barreaux pairs, puis la barre 64 inférieure et la barre 64 supérieure. Après quoi, le courant traverse le godet à mercure 65, semblable à celui précédemment décrit et placé horizontalement sur la porte, puis passe dans la tige métal lique 66 d'une fiche 67, analogue à celle susdécrite, et qui se place dans la serrure 48 de la porte.
Lorsque la fiche est dans cette position, le courant passe de la tige 66 dans la serrure, puis de là dans la masse du cadre et à une borne 68, d'où part le conducteur 59 placé sur la lamelle isolante 56; tant que les vis 51 sont serrées à fond, les différents interrupteurs 61 et 62 sont fer més et le courant, après les avoir passés en série, revient par le conducteur 22b au plot 2b;
de là, il traverse le relais de surveil lance 17b, arrive au plot 5b, puis traverse le conducteur 25b, le godet à mercure 69, placé dans la fiche 67, un second godet à mercure 70, monté horizontalement sur la porte, dans une direction perpendiculaire à celle du go det 65, la barre médiane 64, les six fils conducteurs 57, placés dans les barreaux impairs, puis les six barreaux pairs, pour revenir par le conducteur 24b air plot 4b, relié lui-même au pôle négatif de la source 16.
Quant aux plots 3b et 6b, ils sont, comme les plots %, et 6a, reliés d'une part à une lampe de contrôle 18b et, d'autre part, aux deux fils 23b et 26b, allant jusqu'au poste, mais ne contenant pas d'appareils spéciaux.
Le fonctionnement de ce poste est donc semblable à celui du précédent avec cette remarque en plus que, si l'on cherche à dé monter le cadre de la porte en dévissant les vis 51, on interrompt le courant entre la plaque élastique 61 et le rivet 62 montés eux-mêmes en série entre les plots lb et 2b, ce qui actionne le relais de surveillance. Les liaisons électriques entre la boîte de con nexion et les parties mobiles de la porte peuvent se faire par l'intermédiaire des gonds.
Le troisième poste p. (fig. 13 à 16) est constitué par une fenêtre placée à l'intérieur de la fenêtre usuelle, dans le cadre de celle- ci, et constituée par deux battants montés sur ce cadre par l'intermédiaire de gonds, non représentés. Chaque battant est consti tué par un cadre 71 formé, comme le cadre de la porte précédemment décrite, par des fers en U sur lesquels sont vissés, par des vis 72, des fers plats formant couvercle. Chaque vis 72, lorsqu'elle est, serrée à fond, ferme un interrupteur 73, 79., analogue à l'interrupteur 61, 62 qui vient d'être décrit.
Dans chaque cadre 71 sont montés des bar reaux 75 qui sont traversés axialement par des conducteurs isolés et qui portent une barre transversale 76 ne touchant pas les barreaux et isolée de la masse. La fenêtre se ferme par le moyen d'une crémone (voir fig. 15) que l'on peut actionner par le moyen d'une clé carrée destinée à s'engager dans un trou carré 77 d'une roue dentée 78 en grenant avec des crémaillères portées par les extrémités internes des deux tiges de ver rouillage 79. Au fond du trou 77 fait saillie un bouton conducteur 80 isolé et relié à un fil conducteur 81, également isolé.
Chacun des battants de la fenêtre comporte, en ou tre, une lame élastique 82 tendant à faire saillie sur le bord du battant et que le cadre de la fenêtre fait rentrer dans celui-ci lorsque la fenêtre est fermée. Dans cette position, la lame 82 vient appuyer sur un contact 82n (voir fig. 14).
Les circuits, particulièrement montrés en fig. 14, sont les suivants : du plot 1a, relié au pôle positif de la source 16, le courant traverse le fil 21, puis tous les barreaux pairs du battant de gauche, les interrupteurs de ce même battant, les barreaux impairs de droite, la barre transversale 76 de droite, les conducteurs impairs du battant gauche, les conducteurs pairs du battant droit, un godet à mercure 83, l'un des interrupteurs 82,<B>8%,</B> pour revenir enfin par le fil 22, au plot 2a; en outre, de la barre 76 de droite, part également le conducteur 81, aboutissant au bouton 80 de la crémone.
Le relais de surveillance<B>17,</B> est ponté entre les deux plots 2a et 5a; depuis ce dernier, le courant traverse le second circuit du poste compre nant le conducteur 25a, un godet à mercure 84, pour arriver, au point 85, à la masse du cadre et ainsi à la roue dentée 78 de la crémone.
Le courant sort de cette masse au point 86 pour traverser les conducteurs des barreaux impairs du battant de droite, puis les conducteurs des barreaux pairs du bat tant de gauche, puis la barre 76 de gauche, les barreaux pairs du battant de droite, le cadre de droite avec ses interrupteurs 73, 74 et l'interrupteur spécial 82-82n, et enfin, les barreaux impairs du battant gauche ; de là, le courant revient par le fil 24, au plot & . Entre les plots 3, et 6, sont montés la lampe de contrôle et les deux conducteurs 23, et 26, qui vont de la centrale au poste, sans contenir aucun appareil.
Le fonctionnement est semblable à celui des deux postes précédemment décrits avec cette remarque en plus que si, depuis l'inté rieur, une personne veut ouvrir la crémone en introduisant une clé dans le trou carré 77, elle pontera la masse du cadre mis en série dans le deuxième circuit du poste avec le bouton 80 et le conducteur 81 relié lui- même au premier circuit. Le relais de sur veillance 17a sera alors court-circuité et actionnera les appareils avertisseurs.
Si, par impossible, la personne en question arrivait à ouvrir la crémone sans produire le court- circuit susmentionné, les battants de la fe nêtre, en s'ouvrant, ouvriraient les interrup teurs 82, 82n,, ce qui couperait les deux cir cuits du poste et priverait également de courant le relais de surveillance.
Le quatrième poste (voir fig. 17 à 19) est constitué par une porte ordinaire à ser rure et est disposé de façon que, lorsque cette serrure est fermée, il est impossible de l'ouvrir. A cet effet, il suffit de placer, dans la serrure fermée et à l'intérieur de la pièce, la fiche 87 comprenant un carter isolant muni d'une plaque conductrice 88, sur la quelle est montée une douille conductrice fendue 89 et deux contacts conducteurs 90 isolés de la plaque. Dans la tige 89 peut coulisser un poussoir conducteur 91 qu'un ressort 92 tend constamment à faire sortir de la fiche et qui, lorsqu'il est rentré dans celle-ci, vient en contact avec une lame conductrice 94.
A l'intérieur de la fiche est disposé un godet à mercure 93, comprenant une borne d'entrée et une borne de sortie, reliées par une goutte de mercure.
La fig. 17 montre le schéma des circuits électriques : du plot 1d part le conducteur 21d qui aboutit à la borne d'entrée du godet 93; de la borne de sortie de celui-ci, le courant revient par le conducteur 22,1 au plot 2d. Dans la centrale, il traverse le relais de surveillance 17d et arrive au plot 5d; de là, il pénètre dans le deuxième circuit du poste comprenant le conducteur 25d et les deux contacts 90, dont le second est relié au plot 4d, relié lui-même au pôle négatif de la source 16.
Lorsque la fiche est dans la ser rure, les deux plots conducteurs 90 sont re liés entre eux par les parties métalliques de cette serrure extérieures à la porte et comme la fiche est immobile, la goutte de mercure du godet 93 relie également les deux bornes de ce godet; il en résulte que les deux circuits du poste sont fermés. Si l'on retire la fiche depuis l'intérieur, le deuxième circuit s'ouvre aux contacts 90 et si, sans retirer la fiche, on la bouge pour lui faire subir une manipulation quelconque, le premier circuit s'ouvre au godet 93; enfin, si une personne, depuis l'extérieur, cherche à introduire une clé dans la serrure, il pous sera, dans la fiche, le poussoir 91 (relié électriquement au premier circuit) et l'amè nera en contact avec la lame 94 (reliée au second circuit).
Les deux circuits du poste seront alors pontés et le relais de surveil lance 17,1, court-circuité.
La centrale elle-même est représentée en détail en fig. 20. (Dans cette figure, lorsque des conducteurs qui se coupent sont réelle ment en contact électrique, ce point est agrandi de façon à former un petit cercle sur le dessin.) Cette centrale est normale ment alimentée eu courant électrique par le . réseau du secteur de lumière (supposé à courant alternatif) arrivant aux bornes 100 et 101 de la centrale. Cependant, comme ce courant peut manquer, soit par suite d'un accident, soit parce que des cambrioleurs l'auraient au préalable coupé, le courant peut être également fourni par une batterie 102 de 30 volts, placée dans la centrale et qui, alors, entre automatiquement en action, ainsi qu'il sera expliqué plus loin.
Cette centrale comprend également une seconde batterie 103, de 6 volts, destinée à alimenter les appareils d'alarme. Les six plots 1a, 2a, 3a, 4a, 5a et 6a, montrés à gauche et en. bas de la fig. 20, sont ceux d'où partent les six conducteurs qui relient la centrale au pre; mier poste .pa susdécrit;
au-dessus de ces plots se trouvent un relais de commutation 104a, la lampe de contrôle 18a dont il a déjà été parlé, un commutateur de poste 105a, le relais de surveillance<B>17.</B> déjà men tionné, et la sonnette d'alarme 106a aux bornes de laquelle est branchée une lampe 107a; tous ces appareils sont propres au poste pa. A droite des six plots du premier poste sont disposés successivement les six plots du deuxième, troisième et quatrième poste ainsi que les six plots d'un cinquième: poste de réserve.
Au-dessus de chaque groupe de plots sont également rangés, en colonne verticale, les différents appareils de la cen trale concernant le poste correspondant. A gauche et à droite des cinq colonnes ainsi constituées sont disposés les appareils com muns à tous les postes.
Le rôle du relais de surveillance 17a a déjà été expliqué en principe, ainsi que celui de la lampe 18a; examinons encore ceux du commutateur de poste 105a et du relais de commutation 104a. L'installation n'a pas besoin d'être toujours armée; par exemple si, pendant les heures de bureau, des employés utilisent le coffre- fort du poste p. ou travaillent dans le local fermé par la porte du poste pb, il faut que ces postes soient désarmés pour être armés entre les heures de bureau.
C'est là le but du commutateur de poste. 105a. Quand ses trois branches sont en contact avec les plots 108, 110 et 112, le poste est désarmé; au contraire, lorsque ces trois branches, comme représenté au dessin, sont en contact avec les plots 109, 111 et 113, le poste est ar mé. Enfin, lorsque c'est le courant du réseau du secteur de lumière qui alimente les pos tes, il faut, bien entendu, que la batterie 102 soit hors circuit et réciproquement ; c'est le relais de commutation 104. qui contrôle cette opération et qui, en outre, lorsque la batterie 102 fonctionne, intercale dans son circuit des résistances Ra, Rb, Re, Rd, Re.
Décrivons maintenant en détail la cen trale et ses différents circuits, en commen çant par le commutateur de centrale, 114. Celui-ci, dans la position représentée au dessin, met en relation le plot 115 avec le plot 116, et le plot 117 avec la plot<B>118;
</B> il permet donc au courant du secteur de se rendre aux deux bornes 119 et 120 de l'ap pareil redresseur de courant 121 ainsi qu'au bornes du primaire du transformateur 19,-, les bornes du secondaire<B>192</B> de ce trans formateur sont reliées, l'une à travers la lampe 18a, au plot 6a, et l'autre au plot 3a, plots qui, ainsi qu'il a déjà été dit, sont reliés par deux conducteurs qui se rejoignent au poste p,, et qui se trouvent dans le câble commun, reliant ce poste à la centrale ;
lorsque la lampe 18a est allumée, on sait donc que la centrale est alimentée par le courant du secteur et que le câble reliant cette centrale au poste p. est en bon état. Quant à l'appareil redresseur de courant 121, montré plus en détail en fig. 22, il comprend un transformateur dont le primaire est con necté aux bornes 119 et 120 et dont le secondaire 123' travaille sur un tube redres seur 122 dont la cathode est alimentée par le secondaire 123.
Une prise de courant est faite, d'une part, sur le secondaire 123, d'autre part, sur le secondaire 123' du trans formateur alimentant les anodes, et on monte en parallèle, sur cette prise de courant, au tant de bornes qu'il y a de postes ; par exemple, les deux bornes 124a sont desti nées à alimenter le poste pa, les bornes 124b, le poste<B>Pb,</B> etc., jusqu'au bornes 1248 qui sont destinées à alimenter le poste de ré serve;
quant aux deux bornes 125, elles sont connectées à des bobines 126 qui, quand le courant du secteur n'est pas coupé, main tiennent le commutateur 114 dans la position représentée au dessin. 121a, 1216 sont des résistances montées entre le secondaire 123' et l'une des séries de bornes 124a à 125.
Du plot 124a de droite; le courant redressé du secteur se rend au point 136 et de là, comme le contact 148 du relais de commu tation 104a est fermé, il va au plot 1A, sans passer par la résistance R,,. Du plot la, le courant se rend au poste p#, et revient au plot 2p, connecté à la borne 137 de la bobine principale (voir plus loin) du relais de sur veillance 17a;
l'autre borne 138 de cette bobine est reliée, à travers le plot 113 du commutateur de poste<B>10%,</B> au plot 5a,; de là, le courant se rend encore une fois au poste p.,, revient par le plot 4., puis, à tra vers le contact fermé 147 du relais de com mutation 104a, rejoint la borne 124a, de gauche, du redresseur 121.
Passons maintenant à la description dé taillée du relais de surveillance<B>1%,</B> repré senté en détail en fig. 21, l'installation étant supposée armée, mais à l'9tat normal et non pas à l'état d'alarme.
Ce relais comprend une bobine principale 127 qui, lorsqu'elle est sous courant, attire, à l'encontre d'un ressort 128, une armature 129 qui occupe alors la position représentée en fig. 21 et ouvre les contacts 130 et 132, tout en laissant fermé le contact 131 ;
lorsque la bobine 127 n'est plus sous cou rant, l'armature 129 remonte dans sa posi tion en pointillé, sous l'action du ressort 128, et vient s'appuyer sur un épaulement 133 d'une seconde armature 134 qu'un res sort 135 tend constamment à amener dans la position représentée en pointillé;
cette armature 134 est sous l'action d'une bobine secondaire 1271 qui, lorsqu'elle est sous cou rant, la ramène dans la position en traits pleins, ce qui permet à l'armature 129 de reprendre également sa position en traits pleins si la bobine 127 est excitée<B>;</B> le relais comprend également 10 bornes 137 à 146 qui sont connectées aux circuits suivants les bornes 137 et 138, qui sont celles de la bobine principale 127, pont reliées, ainsi que déjà dit, la première à la borne 2., et la seconde à la borne 5.. Les bornes 145 et 146 sont reliées aux contacts 132 qui, lors que l'installation est armée et à l'état nor- rnal, sont ouverts;
quant à la borne 145 elle est, d'autre part, reliée à la sonnerie d'alarme 106a et à la lampe 107a branchée en dérivation sur celle-ci; de là, le circuit se rend au plot 111 du commutateur 105a, puis au pôle négatif de la batterie 103, alors que le pôle positif de celle-ci est relié au plot 146. Si un cambrioleur attaque le poste p,,, cette attaque aura pour consé quence, ainsi qu'expliqué précédemment, de priver de courant la bobine principale 127 du relais<B>1%;</B> l'armature 129 prendra alors sa position en pointillé et fermera le con tact 132 ; le courant de la batterie 103 tra versera la sonnerie d'alarme 106a et la lampe 107a.
Les bornes 139 et 140 sont connec tées entre elles par les contacts 130 qui, en position armée et normale de l'installation, sont ouverts ; d'autre part, la borne 139 est reliée directement au pôle positif de la bat terie 103 alors que la borne 140 est reliée à l'une des bornes de la bobine 150a dont l'autre borne rejoint le pôle négatif de la batterie 103 à travers le plot<B>111</B> du com mutateur de poste 105a.
Lorsqu'un cambrio leur cherche à attaquer le poste p,,, l'arma ture 129 viendra dans sa position en poin tillé et fermera le contact 130; le courant de la batterie 103 pourra alors passer dans la bobine 150a laquelle abaissera un volet laissant paraître la lettre<I>a,</I> ce qui indiquera au surveillant de l'installation que c'est le poste-.p,, qui est attaqué; la lampe 107a, qui, ainsi que l'on vient de voir, est allumée lorsque le poste pa est attaqué, est située, en réalité, à côté de cette lettre a, de façon à l'éclairer pendant la nuit.
Les bornes 143, 144 sont reliées entre elles par les contacts 131 qui sont fermés lorsque l'installation est armée et en position normale; d'autre part, la borne 143 est reliée à l'une des bornes de la sonnerie 106a (dont l'autre borne est reliée par le plot 111 au pôle négatif de 103) alors que la borne 144 est reliée à un interrupteur à main 151a, relié lui-même au pôle positif de la batterie 103. Lorsque l'on ferme l'interrupteur 151a, on ferme donc le circuit précédent, ce qui, lorsque ce circuit_ est en ordre, allume la lampe 107a. En pres sant sur cet interrupteur on peut donc, à chaque instant, se rendre compte si les ap pareils d'alarme fonctionnent normalement.
Il reste enfin les deux bornes 141 et 142 qui sont les bornes de la bobine secondaire 1271 du relais de surveillance. La borne 142 est reliée directement au pôle négatif de la batterie 102, tandis que la, borne 141 est reliée à un interrupteur à main 152a qui, lorsqu'il est fermé, relie cette borne au pôle positif de la source 102.
Lorsque l'installa tion a été mise en état d'alarme par un cambrioleur et que le surveillant, après en avoir été avisé par la sonnerie de la lampe 106a, veut remettre l'installation en position armée normale, il n'a qu'à presser sur l'in terrupteur 152a; la bobine secondaire 127,, mise sous courant, attirera l'armature 134, à l'encontre du ressort 135, et l'armature 129 sera attirée dans sa position en traits pleins, montrée en fig. 21 par la bobine 127, de nouveau parcourue par le courant de l'ins tallation.
Pour cacher la lettre cs, découverte par la chute du volet précédemment décrit, il suffit de presser sur l'interrupteur 153, ce qui relie la bobine 154. à la source 103; cette bobine, excitée, relèvera le volet.
Supposons que le courant du secteur s'interrompe par suite d'un accident ou grâce à la manoeuvre de cambrioleurs; la bobine 126 ne recevant plus de courant, le commu tateur 114, sous l'influence de son poids ou d'un ressort, oscillera dans le sens des ai guilles d'une montre et quittera les plots 115 à 118 pour venir appuyer sur les plots 155 à 158. ll mettra ainsi le pôle positif de la source 102 en communication avec le plot 156, et le pôle négatif de cette source avec le plot 158; la bobine du relais 104a sera parcourue par du courant continu et les contacts 149 se fermeront, alors que les contacts 147 et 148 s'ouvriront;
à partir de ce moment, la source à courant continu 102 alimentera le différent circuit du poste p8 de la fagon suivante: pôle positif 102, plots 155 et<B>156,</B> plots positifs du redresseur 121 (par le conducteur 165, point 136;
là, le contact 148 étant ouvert, le courant traver sera la résistance Ra, se rendra au plot<B>la,</B> puis au poste Pa, au plot 2a, au relais de surveillance 17a, au plot 5p,, de nouveau au poste .p., pour aboutir, finalement, au plot 4a; là, les contacts 147 étant ouverts et les con tacts 149 fermés, le courant traversera ces derniers et reviendra au pôle négatif de la source 102 par les plots 158 et 157.
Pen dant l'intervalle dans lequel le commutateur 114 oscille de ses plots de gauche à ceux de droite, les différents postes sont privés de courant; en conséquence, les sonneries d'alarme 106 seront actionnées en même temps que les lampes 107 seront allumées et que les volets correspondants tomberont; en outre, les lampes 108 s'éteindront; le surveillant sera donc avisé du changement de courant. Pour réarmer les postes, il lui suffira d'actionner les interrupteurs 152 et l'interrupteur 153.
S'il veut brancher à nouveau l'installation sur le courant du secteur, il n'a qu'à fermer l'interrupteur<B>159;</B> les plots 160, 161 étant connectés par des fils non représentés, l'un au pôle positif et l'autre au pôle négatif de la source 102, le courant continu traversera la bobine 126, qui ramènera le commutateur 114 à la position représentée au dessin. A partir de ce moment, la bobine 126 sera de nouveau alimentée en courant alternatif.
On a déjà vu que, pendant la journée, l'installation devait être désarmée, pour être armée à nouveau à la fermeture des bu reaux, par exemple à 6 heures. Dans sa position désarmée, le commutateur repose sur les contacts 108, 110 et 112; supposons que le surveillant oublie d'armer l'installa tion, c'est-à-dire qu'il laisse le commutateur 105a sur les plots susmentionnés; le plot 108 est relié à l'une des bornes d'une sonnerie 162, dont l'autre borne est reliée à l'un des contacts d'une horloge à contact 163, repré sentée schématiquement au dessin.
L'autre contact de cette horloge est relié au pôle négatif de la source 103, tandis que le pôle positif de celle-ci est relié au bras du com mutateur 105a, qui appuie sur le plot 108 ; l'horloge 163 est disposée de façon à relier ses deux contacts pendant un instant, tous les quarts d'heure, par exemple, entre six et dix heures du soir. Après six heures du soir, si le commutateur reste sur les plots 108, 1.10 et 112, la sonnerie de 162, retentissant tous les quarts d'heure, avisera le surveil lant que l'installation n'est pas armée.
164 est un voltmètre qui permet de con trôler les tensions des deux batteries 102 et 103 de la centrale.
.Le coffre-fort du premier poste décrit est un coffre-fort du modèle usuel que l'on a placé dans un grillage mais, bien entendu, on pourrait construire de nouveaux coffres- forts munis, eux-mêmes d'un grillage. Un de ces coffres-forts a été représenté aux fig. 23 et 24. Ce coffre-fort est de forme prismati que et, sur chacune de ses six faces, sont disposés des barreaux 165 semblables aux barreaux du grillage décrits dans le premier poste et montés de façon isolante entre les côtés 166 que présente la masse du coffre- fort.
Electrical installation to protect against theft, burglary, etc. The object of the present invention is an electrical installation for protection against theft, break-ins, etc. This installation is characterized by at least one station protected by a central equipped with an electric source, supplying a monitoring relay of the station, the latter being protected by a device formed of metal parts of two different categories, the parts of the station. 'a category being connected in series with each other so as to form a circuit inserted between one of the poles of the source and one of the terminals of the relay, while the parts of the second category, isolated from those of the first and also connected together in series, form a second circuit,
inserted between the other terminal of the relay and the other pole of the source, so that, when parts of the two categories are brought into electrical contact, the relay is short-circuited.
The appended drawing represents, by way of example, an embodiment of the object of the invention, assumed to be installed in a building. This embodiment comprises a small electric power station c arranged in the room where the building supervisor lives, for example the concierge of the latter and four protected stations, namely a safe pa, an entrance door <B> Pb </B> of the room where it is located, a window p ,, of the building and a door pd of it.
Fig. 1 is a simplified diagram of the central unit and of the station p; fig. 2 shows this station in perspective; figs. 3 to 9 relate to details thereof; Fig. 10 is an elevational view of the second station <B>; </B> FIG. 11 shows a diagram of the circuits; fig. 12 concerns a detail; Fig. 13 is an elevational view of the third station and FIG. 14 a diagram of the electrical connections thereof; figs. 15 and 16 show a detail;
Fig. 17 is a diagram of the electrical connections of the fourth station; figs. 18 and 19 show details of it; Fig. 20 is a diagram of the plant; figs. 21 and 22 show two details of it; Fig. 23 shows a variant of the first station; fig. 24 is a section through A-B of FIG. 23.
The station p., Comprises a usual safe 7 resting by its feet on the floor and locked inside a wire mesh 8; the latter is constituted by a frame 9, of cubic shape, on each of the six faces of which bars 10 are placed; the front face of the mesh is provided with a door 11, also with bars, and which is closed by a lock 12, 13 is the lock of the safe.
Each bar 10 is formed by a metal tube, fixed by its ends in the frame, and electrically insulated from the latter by washers 14: inside, of each bar is arranged, axially, a metal wire 15, also insulated bar and frame.
As for the central, it comprises a source of electricity 16, a relay 17a, for monitoring the station p ,, and a control lamp 18a ,, supplied from the source 161, by means of a transformer, the primary of which is is shown in 191 and the secondary in <B> 192 </B> (in reality, the two sources 16 and 161 are identical, that is to say that the current of the source 16 is delivered by the source 161 through a rectifier);
this unit also comprises, for the station pa, six pads 1a ,, 2a ,, 3a ,, 4a ,,%, 6a ;, which are connected by six conductors joined in a single cable to the station p ,,; the circuit is as follows: from the positive pole of the source 16, the current passes to pin 1a, then to conductor 21. which goes to station p., and is connected to one of the bars 10, for example to the first left bar of the front face of the fence, bar called n 1;
from there the current flows, black not to the bar immediately adjacent and which bears the number 2, but to the next bar, n 3, thence to number 5, etc. (in the diagram in fig. 1, the bars reduced to 4 have been assumed). On leaving the rst odd bar, the current enters the conductive wire 15 of the first even bar, that is to say of number 2, then from there it passes to the hard conductive wire of bar n 4 and travels through thus successively all the metal wires of the even bars;
after which, after having passed through certain devices which will be described in detail later, it returns via wire 22a, to pad 2a, of the control unit to enter the monitoring relay $ 17 via the positive terminal thereof.
The aforementioned odd bars and the conductor wires contained in the even bars are therefore connected in series between the positive pole of the source and the positive terminal of the relay, which is why they will be referred to below under the name of elements. positive and the circuit under the name of circuit + of the station p ,,. After having passed through the relay 17a ,, the current arrives at the pad 5a ,, passes through the conductor $ 25 and various devices which will be described in detail later, to arrive at the conductor wire contained in the first odd bar, ie the na 1;
from there, it passes in the wire of n 3, then successively traverses all the wires of the odd bars, then, after which, it goes to the first even bar, n 2, then, in the second, n 4, and traverses successively in series all the even bars to return to the pad 4a, of the central via the conductor 24a, this pad 4a, being connected to the negative pole of the source;
the even bars and the conductors of the odd bars are therefore connected in series between the negative terminal of the relay and the negative pole of the source, this is why they will be referred to below under the name of negative elements and the aforementioned circuit under the name of circuit - from the post pa ,. If a burglar wants to try to dismantle the fence or to penetrate as far as safe 7 through it, he will bridge two adjacent bars, which are of different categories, one positive, the other negative; the current from source 16, instead of passing through the <B> 1%, </B> relay, will then cross this bridge directly and the relay will be deprived of current;
it will then activate various warning devices which will be described later; likewise, if the burglar seeks -a sawing a bar 10, taking the precaution not to touch the adjacent bars, the tool will come into contact with the wire contained in the interior of the bar; however, this wire and this bar are of different polarity, a short-circuit similar to that described above will then occur on relay 17p.
The frame 9 is also formed of pipes each consisting of two semicircular parts, fixed together. In one of these semi-circular parts, we mount the tu bes 10; after which, the second semicircular part is fixed to the first by means of screws 21 (see fig. 3 and 4 which represent, the first, a longitudinal section of one of these pipes and the second, a section through IV- IV of fig. 3).
To prevent these screws 21 from being removed without attracting the attention of the supervisor, a metal strip 22 was placed in each of the pipes of the frame, mounted in the pipe by screws 23 and insulating sleeves and washers 24 and 25; this strip is pierced with holes 26, through which the thinned part 27 of the screw 21 passes freely; the frame is mounted in series in the negative circuit of the station while the strips 22 are connected in series in the positive circuit; it follows that if one unscrews a screw 21, the latter will bridge a pipe of the frame, which is negative; and a lamella 22, which is positive; thus producing on relay 17a, a short-circuit similar to the previous ones.
In addition, the box 7 is also connected in series in the positive circuit by means of a threaded stud 28 (see FIG. 5), fixed to a positive bar and which pushes against the mass of the box 7 a contact tip 29. In this way, the burglar can also produce a short circuit on the relay 17a by touching, on the one hand, the mass of the safe and, on the other hand, either a negative bar or one of the pipes of the frame.
Finally, in each of the positive and negative circuits of the station p ,,, a mercury cup 30, respectively 301 has been placed. Each of these cups comprises on its bottom two input and output terminals normally connected by a drop of mercury. ; if we try to change the box and its grid, we move the mercury in the cups and one of the two positive or negative circuits is opened. The 17p relay will cease to be in relation with one of the poles of the source 16 and will make the alarms of the control unit act as if it were short-circuited; these two cups are placed inside the mesh, one parallel to the front face of the latter, the other perpendicular to this face.
The two pads 3a, and 6a are connected in the control unit to the lamp 18. From pad 6a a conductor 26p leaves, which goes to the station where it is connected, without the intermediary of any device, to the return conductor 2%. . The six conductors 21a, 2%, 23a, 24a, <B> 2%, </B> 26a are, as already said, enclosed in the common cable 20 (see fig. 6).
When the installation is in operation and the lamp 18 is on, the supervisor knows that the station p, is normally under current, because if the cable 20 were interrupted, the current could not pass through the conductors 26a and 23a and the lamp 18 would be off. Moreover, for greater safety, each of the conductors 21a to 26a (see fig. 7) consists of a rubber tube 31, filled with mercury and closed at each end by a titi conductive plug 32.
From this plug leaves, towards the outside, a conductor 33 and towards the inside, another conductor 34 plunging deeply into the mercury. If one tries to cut one or the other of the conductors 21, to 26a, the mercury will flow and the circuit connecting the relay 17a to the source 16 will be interrupted, which will produce the actuation of the devices d. 'alarm.
Finally, it could be that a burglar tries to place, for example, on the wires 21a and 22a, between the central and the station p ,, a resistance which, once put on, allows him to separate the station from the central without influencing the <B> 1% relay. </B> To prevent this operation, each of the positive and negative circuits of the _p ,, terminal has been provided, Lin special switch 35, respectively 36; switch 35 (see fig. 1 and 8) com takes a coil 37, mounted in series in the positive circuit and which can rotate in the field of a permanent magnet 38.
When this coil is under current, it takes the position shown in solid lines in fig. 8 and does not connect the two pads 39 and 40, connected, one to a point 39p, of the positive circuit, and the other to a point 40p, of the negative circuit; if the two wires 21p and 22a are bridged by a resistor, no current will flow through the coil 37 which, under the action of a spring, not shown, will then take the position shown in dotted lines where it bridges the two pads 39 and 40;
the two positive and negative circuits of station p ,, will then be brought together by a short circuit, relay 17p will no longer receive current and the alarm devices will be activated.
Finally, it has been deemed appropriate to also protect the lock 12 of the grill door. For this purpose, a plug 41 is provided (see FIG. 9) consisting of a casing made of insulating material and of a split metal rod 42, intended to sink into the lock. The latter (see fig. 1) is electrically connected to the frame 9 while the rod 42 is connected to one of the terminals of the mercury cup 301. As long as the plug is in the lock, the negative circuit of the station p, , will be closed and current will flow through the monitoring relay <B> 1%; </B> if the plug is removed from the lock to place a key in it, this circuit is interrupted and the relay 17a, no longer under current, will activate the warning devices.
For greater safety, it has also been provided, inside the sheet 41, a chamber in which are provided two terminals 43 and 44, placed in series in the positive cir cuit of the pp station, and normally connected by a drop of mercury. When the plug is lightly touched in the lock, the mass of mercury is moved and the positive circuit between terminals 43 and 44 is interrupted, which activates the <B> 1% relay. </B> In the plug, enter at 45 a positive wire 431, going to terminals 43 and 44, and a negative wire 25a, going to the rod 42;
if we try to bridge two of these wires of different polarity with a resistor, we put the 17p relay, short-circuited, which will trigger the action.
The second station of the installation (see fig. 10, 11 and 12) includes the door closing the room where the above-described safe is located; this door, made in a concrete wall 46, comprises a frame 47 mounted, by hinges not shown, against the wall and provided with a lock 48; each side of the frame (see fig. 12) consists of a U-shaped iron 49, closed by a flat iron 50, forming a cover; this iron 50 is fixed, by screws 51, to a flat iron 52, placed halfway up in the <B> U </B> iron and fixed to the bottom thereof by screws 53.
At the bottom of the flat iron is disposed an insulating strip 56, on which is disposed a conductor 59 which arrives at the first rivet 60; the latter is connected by an elastic and conductive plate 61 with a rivet 62, from which again a conductor 59, placed on the strip 56, and going up to the next rivet 60; the top of the blade 61 is covered by an insulating plate 63 on which the screw 51 normally rests so that the plate 61 and the rivet 62, which constitute a switch, are normally in contact. Between the two horizontal sides of the frame are arranged metal pipes 54, clamped by means of screws 51, between the two flat bars 50 and 52, internally coated with insulating plates 55.
Each of these pipes 54 is crossed axially, like those of the safe previously described, by a conductor 57.
Three horizontal crosspieces 64 are mounted on the door in an insulating manner and without touching the bars. The six wires 21b to 26b, which connect the pads 1b to 6b of the control unit to this second station, arrive together in a single cable 20 in a connection box 58.
The circuits are as follows (see FIG. 11): the pad lb is connected, like the pad la of the previous station, to the positive pole of the source 16; from this pad, the current passes to the conductor 21b; crosses the six odd bars of the door, then the six conductors 57 placed inside the six even bars, then the lower bar 64 and the upper bar 64. After which, the current passes through the mercury cup 65, similar to that previously described and placed horizontally on the door, then passes into the metal rod 66 of a plug 67, similar to that described above, and which is placed in the lock 48 from the door.
When the plug is in this position, the current passes from the rod 66 into the lock, then from there to the mass of the frame and to a terminal 68, from where the conductor 59 placed on the insulating strip 56 leaves; as long as the screws 51 are fully tightened, the various switches 61 and 62 are closed and the current, after having passed them in series, returns through the conductor 22b to the pad 2b;
from there, it crosses the lance monitoring relay 17b, arrives at pad 5b, then crosses the conductor 25b, the mercury bucket 69, placed in the plug 67, a second mercury bucket 70, mounted horizontally on the door, in a direction perpendicular to that of the go det 65, the middle bar 64, the six conductor wires 57, placed in the odd bars, then the six even bars, to return by the conductor 24b air plot 4b, itself connected to the negative pole of source 16.
As for the pads 3b and 6b, they are, like the pads%, and 6a, connected on the one hand to a control lamp 18b and, on the other hand, to the two wires 23b and 26b, going to the station, but not containing special devices.
The operation of this station is therefore similar to that of the previous one with this remark in addition that, if one seeks to disassemble the frame of the door by unscrewing the screws 51, one interrupts the current between the elastic plate 61 and the rivet 62 themselves mounted in series between the pads 1b and 2b, which actuates the monitoring relay. The electrical connections between the junction box and the moving parts of the door can be made via the hinges.
The third post p. (Fig. 13 to 16) is constituted by a window placed inside the usual window, within the frame thereof, and constituted by two leaves mounted on this frame by means of hinges, not shown. Each leaf is constituted by a frame 71 formed, like the frame of the door previously described, by U-shaped irons on which are screwed, by screws 72, flat irons forming a cover. Each screw 72, when fully tightened, closes a switch 73, 79., similar to the switch 61, 62 which has just been described.
In each frame 71 are mounted bars 75 which are axially crossed by insulated conductors and which carry a transverse bar 76 not touching the bars and insulated from ground. The window is closed by means of a cremone bolt (see fig. 15) which can be actuated by means of a square key intended to engage in a square hole 77 of a toothed wheel 78 by grinding with racks carried by the internal ends of the two rusting worm rods 79. At the bottom of the hole 77 protrudes a conductive button 80 isolated and connected to a conductive wire 81, also insulated.
Each of the window sashes comprises, in or out, an elastic strip 82 tending to protrude from the edge of the sash and which the window frame makes fit into the latter when the window is closed. In this position, the blade 82 comes to press on a contact 82n (see FIG. 14).
The circuits, particularly shown in fig. 14, are as follows: from pad 1a, connected to the positive pole of source 16, the current passes through wire 21, then all the even bars of the left leaf, the switches of this same leaf, the odd bars on the right, the crossbar 76 on the right, the odd conductors of the left leaf, the even conductors of the right leaf, a mercury bucket 83, one of the switches 82, <B> 8%, </B> to finally return by wire 22 , at pad 2a; furthermore, from the bar 76 on the right, the conductor 81 also leaves, leading to the button 80 of the lock.
The monitoring relay <B> 17, </B> is bridged between the two pads 2a and 5a; from the latter, the current passes through the second circuit of the station comprising the conductor 25a, a mercury bucket 84, to arrive, at point 85, at the mass of the frame and thus at the toothed wheel 78 of the gear.
The current leaves this mass at point 86 to cross the conductors of the odd bars of the right wing, then the conductors of the even bars of the left wing, then the left bar 76, the even bars of the right wing, the frame on the right with its switches 73, 74 and the special switch 82-82n, and finally, the odd bars of the left leaf; from there, the current returns through wire 24, to pad &. Between the pads 3, and 6, are mounted the control lamp and the two conductors 23, and 26, which go from the central to the station, without containing any device.
The operation is similar to that of the two positions previously described with this remark in addition that if, from the inside, a person wants to open the lock by inserting a key in the square hole 77, it will bridge the mass of the frame put in series. in the second circuit of the station with the button 80 and the conductor 81 itself connected to the first circuit. The monitoring relay 17a will then be short-circuited and will activate the warning devices.
If, by impossible, the person in question were to open the lock without producing the aforementioned short-circuit, the leaves of the window, when opening, would open the switches 82, 82n ,, which would cut the two circuits. station and also deprive the monitoring relay of power.
The fourth station (see fig. 17 to 19) consists of an ordinary door with lock and is arranged so that, when this lock is closed, it is impossible to open it. To this end, it suffices to place, in the closed lock and inside the room, the plug 87 comprising an insulating casing provided with a conductive plate 88, on which is mounted a slotted conductive sleeve 89 and two contacts. conductors 90 insulated from the plate. In the rod 89 can slide a conductive pusher 91 that a spring 92 constantly tends to pull out of the plug and which, when it has entered the latter, comes into contact with a conductive blade 94.
Inside the plug is arranged a mercury cup 93, comprising an input terminal and an output terminal, connected by a drop of mercury.
Fig. 17 shows the diagram of the electrical circuits: from pad 1d the conductor 21d leaves which ends at the input terminal of the bucket 93; from the output terminal thereof, the current returns through the conductor 22.1 to the pad 2d. In the control unit, it passes through monitoring relay 17d and arrives at pin 5d; from there, it enters the second circuit of the station comprising the conductor 25d and the two contacts 90, the second of which is connected to the pad 4d, itself connected to the negative pole of the source 16.
When the plug is in the lock, the two conductive pads 90 are linked together by the metal parts of this lock outside the door and as the plug is stationary, the drop of mercury from cup 93 also connects the two terminals of this bucket; as a result, the two circuits of the station are closed. If the plug is removed from the inside, the second circuit opens at the contacts 90 and if, without removing the plug, it is moved to subject it to any manipulation, the first circuit opens at the cup 93; finally, if a person, from the outside, tries to insert a key in the lock, it will push, in the plug, the push-button 91 (electrically connected to the first circuit) and will bring it into contact with the blade 94 ( connected to the second circuit).
The two circuits of the station will then be bridged and the monitoring relay launches 17.1, short-circuited.
The unit itself is shown in detail in fig. 20. (In this figure, when intersecting conductors are actually in electrical contact, this point is enlarged so as to form a small circle in the drawing.) This plant is normally supplied with electric current by the. network of the light sector (assumed to be alternating current) arriving at terminals 100 and 101 of the control unit. However, as this current may be lacking, either as a result of an accident or because burglars have previously cut it off, the current can also be supplied by a 30-volt battery 102, placed in the central and which, then , automatically takes effect, as will be explained later.
This control unit also includes a second battery 103, 6 volts, intended to supply the alarm devices. The six studs 1a, 2a, 3a, 4a, 5a and 6a, shown on the left and in. bottom of fig. 20, are those from which leave the six conductors which connect the power station to the father; mier post .pa described above;
above these pads are a switching relay 104a, the control lamp 18a which has already been mentioned, a station switch 105a, the monitoring relay <B> 17. </B> already mentioned, and the alarm bell 106a to the terminals of which a lamp 107a is connected; all these devices are specific to the pa station. To the right of the six studs of the first station are successively arranged the six studs of the second, third and fourth station as well as the six studs of a fifth: reserve station.
Above each group of pads are also arranged, in a vertical column, the various devices of the central relating to the corresponding station. To the left and to the right of the five columns thus formed are arranged the devices common to all the stations.
The role of the monitoring relay 17a has already been explained in principle, as well as that of the lamp 18a; again let us examine those of the station switch 105a and the switching relay 104a. The installation does not need to be always armed; for example if, during office hours, employees use the safe of the station p. or work in the room closed by the door of the pb station, these stations must be disarmed to be armed between office hours.
This is the purpose of the post switch. 105a. When its three branches are in contact with the pads 108, 110 and 112, the station is disarmed; on the contrary, when these three branches, as shown in the drawing, are in contact with the pads 109, 111 and 113, the station is armed. Finally, when it is the current from the network of the light sector which supplies the stations, it is of course necessary that the battery 102 is switched off and vice versa; it is the switching relay 104 which controls this operation and which, moreover, when the battery 102 is operating, interposes resistors Ra, Rb, Re, Rd, Re in its circuit.
Let us now describe in detail the control unit and its various circuits, starting with the control unit switch, 114. The latter, in the position shown in the drawing, connects the stud 115 with the stud 116, and the stud 117 with pad <B> 118;
</B> it therefore allows the mains current to go to the two terminals 119 and 120 of the current rectifier device 121 as well as to the terminals of the primary of the transformer 19, -, the terminals of the secondary <B> 192 </B> of this transformer are connected, one through the lamp 18a, to the pad 6a, and the other to the pad 3a, pads which, as has already been said, are connected by two conductors which meet at station p ,, and which are in the common cable, connecting this station to the central;
when the lamp 18a is on, we therefore know that the control unit is supplied by the mains current and that the cable connecting this control unit to the station p. is in good condition. As for the current rectifier apparatus 121, shown in more detail in FIG. 22, it comprises a transformer whose primary is connected to terminals 119 and 120 and whose secondary 123 'works on a rectifier tube 122 whose cathode is supplied by secondary 123.
A current outlet is made, on the one hand, on the secondary 123, on the other hand, on the secondary 123 'of the transformer supplying the anodes, and one goes up in parallel, on this current outlet, to so many terminals that there are positions; for example, the two terminals 124a are intended to supply the station pa, the terminals 124b, the station <B> Pb, </B> etc., up to terminals 1248 which are intended to supply the reserve station;
as for the two terminals 125, they are connected to coils 126 which, when the mains current is not cut, hand hold the switch 114 in the position shown in the drawing. 121a, 1216 are resistors mounted between secondary 123 'and one of the series of terminals 124a to 125.
From plot 124a on the right; the rectified current of the sector goes to point 136 and from there, as the contact 148 of the switching relay 104a is closed, it goes to the pad 1A, without passing through the resistance R ,,. From pad 1a, the current goes to station p #, and returns to pad 2p, connected to terminal 137 of the main coil (see below) of monitoring relay 17a;
the other terminal 138 of this coil is connected, through the pad 113 of the station switch <B> 10%, </B> to the pad 5a ,; from there, the current goes once again to the station p. ,, returns via pin 4., then, through the closed contact 147 of the switching relay 104a, reaches the terminal 124a, on the left, of the rectifier 121 .
Let us now proceed to the detailed description of the <B> 1%, </B> monitoring relay shown in detail in fig. 21, the installation being assumed to be armed, but in the normal state and not in the alarm state.
This relay comprises a main coil 127 which, when it is under current, attracts, against a spring 128, an armature 129 which then occupies the position shown in FIG. 21 and opens contacts 130 and 132, while leaving contact 131 closed;
when the coil 127 is no longer under current, the armature 129 rises in its dotted position, under the action of the spring 128, and comes to rest on a shoulder 133 of a second armature 134 that a res sort 135 constantly tends to bring into the position shown in dotted lines;
this reinforcement 134 is under the action of a secondary coil 1271 which, when it is under current, brings it back to the position in solid lines, which allows the reinforcement 129 to also resume its position in solid lines if the coil 127 is energized <B>; </B> the relay also includes 10 terminals 137 to 146 which are connected to the following circuits the terminals 137 and 138, which are those of the main coil 127, bridge connected, as already said , the first to terminal 2., and the second to terminal 5. Terminals 145 and 146 are connected to contacts 132 which, when the installation is armed and in the normal state, are open;
as for the terminal 145, it is, on the other hand, connected to the alarm bell 106a and to the lamp 107a branched off thereon; from there, the circuit goes to pad 111 of switch 105a, then to the negative pole of battery 103, while the positive pole of the latter is connected to pad 146. If a burglar attacks station p ,,, this attack will result, as explained previously, in depriving the main coil 127 of the <B> 1%; </B> relay of current; </B> the armature 129 will then take its dotted position and close contact 132; current from battery 103 will flow to alarm bell 106a and lamp 107a.
The terminals 139 and 140 are interconnected by the contacts 130 which, in the armed and normal position of the installation, are open; on the other hand, terminal 139 is connected directly to the positive pole of battery 103 while terminal 140 is connected to one of the terminals of coil 150a, the other terminal of which joins the negative pole of battery 103 to through plot <B> 111 </B> of station switch 105a.
When a cambrio tries to attack the station p ,,, the armor 129 will come into its punched position and will close the contact 130; the current from the battery 103 will then be able to pass through the coil 150a which will lower a shutter revealing the letter <I> a, </I> which will indicate to the supervisor of the installation that it is the post-.p ,, who is attacked; the lamp 107a, which, as we have just seen, is lit when the station pa is attacked, is situated, in reality, next to this letter a, so as to illuminate it during the night.
The terminals 143, 144 are interconnected by the contacts 131 which are closed when the installation is armed and in the normal position; on the other hand, terminal 143 is connected to one of the ringtone terminals 106a (the other terminal of which is connected by pad 111 to the negative pole of 103) while terminal 144 is connected to a hand switch 151a, itself connected to the positive pole of the battery 103. When the switch 151a is closed, the previous circuit is therefore closed, which, when this circuit_ is in order, lights the lamp 107a. By pressing this switch it is therefore possible, at any time, to see whether the alarm devices are functioning normally.
Finally, there are the two terminals 141 and 142 which are the terminals of the secondary coil 1271 of the monitoring relay. Terminal 142 is connected directly to the negative pole of battery 102, while terminal 141 is connected to a hand switch 152a which, when closed, connects this terminal to the positive pole of source 102.
When the installation has been put into an alarm state by a burglar and the supervisor, after having been informed by the ringing of the lamp 106a, wants to return the installation to the normal armed position, he only has to to press on the switch 152a; the secondary coil 127, energized, will attract the armature 134 against the spring 135, and the armature 129 will be drawn into its position in solid lines, shown in fig. 21 by the coil 127, again traversed by the current of the installation.
To hide the letter cs, discovered by the fall of the shutter previously described, it suffices to press on the switch 153, which connects the coil 154. to the source 103; this coil, excited, will raise the shutter.
Let us suppose that the current of the sector is cut off as a result of an accident or thanks to the maneuver of burglars; the coil 126 no longer receiving current, the switch 114, under the influence of its weight or of a spring, will oscillate in the direction of the needles of a watch and will leave the pads 115 to 118 to press on the pads 155 to 158. It will thus put the positive pole of the source 102 in communication with the pad 156, and the negative pole of this source with the pad 158; the coil of the relay 104a will be traversed by direct current and the contacts 149 will close, while the contacts 147 and 148 will open;
From this moment, the direct current source 102 will feed the different circuit of the station p8 in the following way: positive pole 102, pads 155 and <B> 156, </B> positive pads of the rectifier 121 (by the conductor 165 , point 136;
there, contact 148 being open, the current will flow through resistance Ra, will go to pad <B> la, </B> then to station Pa, to pad 2a, to monitoring relay 17a, to pad 5p ,, of again at the post .p., to end up, finally, at plot 4a; there, the contacts 147 being open and the contacts 149 closed, the current will flow through the latter and return to the negative pole of the source 102 through the pads 158 and 157.
During the interval in which the switch 114 oscillates from its left pads to those on the right, the various stations are deprived of current; consequently, the alarm bells 106 will be activated at the same time as the lamps 107 will be on and the corresponding shutters will fall; furthermore, lamps 108 will go out; the supervisor will therefore be notified of the change in current. To reset the stations, it will suffice to actuate switches 152 and switch 153.
If he wants to reconnect the installation to the mains, he has only to close the switch <B> 159; </B> the pads 160, 161 being connected by wires not shown, l One at the positive pole and the other at the negative pole of source 102, direct current will flow through coil 126, which will return switch 114 to the position shown in the drawing. From this moment, the coil 126 will again be supplied with alternating current.
We have already seen that, during the day, the installation had to be disarmed, in order to be armed again when the offices closed, for example at 6 a.m. In its disarmed position, the switch rests on contacts 108, 110 and 112; suppose that the supervisor forgets to arm the installation, that is to say he leaves the switch 105a on the aforementioned pads; the pad 108 is connected to one of the terminals of a bell 162, the other terminal of which is connected to one of the contacts of a contact clock 163, shown schematically in the drawing.
The other contact of this clock is connected to the negative pole of the source 103, while the positive pole of the latter is connected to the arm of the switch 105a, which presses on the pad 108; the clock 163 is arranged so as to connect its two contacts for an instant, every quarter of an hour, for example, between six and ten in the evening. After six o'clock in the evening, if the switch remains on pads 108, 1.10 and 112, the buzzer of 162, sounding every quarter of an hour, will notify the supervisor that the installation is not armed.
164 is a voltmeter which makes it possible to check the voltages of the two batteries 102 and 103 of the central unit.
The safe of the first station described is a safe of the usual model which has been placed in a wire mesh but, of course, new safes could be constructed, themselves fitted with a wire mesh. One of these safes has been shown in FIGS. 23 and 24. This safe is of prismatic shape and, on each of its six faces, bars 165 are arranged similar to the bars of the wire mesh described in the first station and mounted in an insulating manner between the sides 166 that the mass presents. from the safe.