CH127572A - Appareil indicateur de vitesse avec totalisateur de distance. - Google Patents

Description

      sl.ppareil    indicateur (le vitesse avec totalisateur de     distance.            L'invention    a pour objet un appareil in  dicateur de vitesse avec totalisateur de dis  tance.  



  On sait que la plupart des indicateurs de  vitesse actuels, basés sur la loi fondamentale  définissant la vitesse comme l'espace par  couru dans l'unité de temps, comportent par  suite un organisme rapportant la mesure à  l'unité de temps, lequel est généralement très  fragile et     coûteux.     



  L'appareil, objet de l'invention, établi  pour atteindre un prix de revient minimum,  supprime cet organisme et ses inconvénients  en donnant directement la vitesse en fonction  de l'espace parcouru et du temps. Cet appa  reil comporte un équipage mobile placé sous  l'action d'un ressort spiral et en relation  avec une aiguille indicatrice de la vitesse,  sur lequel agit, par intermittences, un or  gane animé d'un mouvement alternatif dont  la fréquence est proportionnelle à la vitesse  du mouvement à mesurer et qui imprime au  dit équipage des déplacements angulaires  d'amplitude constante ayant pour résultat de       tendre    le ressort spiral,

   ce dernier produisant    à son tour les déplacements angulaires in  verses de cet équipage et dont l'amplitude  dépend de la fréquence des actions exercées  par l'organe à mouvement alternatif et varie  par conséquent à chaque changement de ré  gime de la vitesse, de telle sorte que le dé  calage de l'équipage mobile est constamment  égal à la différence des déplacements angu  laires produits les uns par l'organe à mouve  ment alternatif, les autres par le ressort spi  ral, donc proportionnel aux variations de la  vitesse à mesurer, des moyens étant prévus  pour compenser l'erreur provenant de la dif  férence entre le diamètre de la roue sur la  quelle le mouvement est pris et le diamètre  de base maximum pour lequel l'appareil a été  étalonné.  



  Le dessin ci-annexé montre, à     titre     d'exemple, quelques formes d'exécution d'un  appareil indicateur selon l'invention. .  



  La     fig.    1 montre le mécanisme du dispo  sitif     indicateur    à commande mécanique;  La     fig.    2 en est la coupe diamétrale;  La     fig.    3 montre un dispositif indicateur  commande électromagnétique;      lia     fig.    4 est une coupe schématique d'un  détail de ce dispositif;  La     fig.    5 montre schématiquement la  commande combinée de l'équipage de mesure  et des totalisateurs dans ce dispositif;  La     fig.    6 montre un indicateur à. com  mande électrique;  La     fig.    7 montre une variante du précé  dent fonctionnant avec un courant alternatif;

    La     fig.    8 montre les phases d'utilisation  du courant issu d'une magnéto ou dispositif  électromagnétique;  La     fig.    9 montre une variante à com  mande: électromagnétique;  La     fig.    10 est la vue de face de l'appareil  complet (indicateur et compteurs);  La     fig.    11 montre le dispositif de trans  mission du mouvement aux totalisateurs;  La     fig.    12 montre isolément un organe de  ce dispositif;  La     fig.    13 est une coupe de détail du to  talisateur partiel à remise à zéro;  La     fig.    14 est la vue de face du disque  (les centaines de ce totalisateur;

    La     fig.    15 représente, en plan, le disposi  tif de réglage en fonction du diamètre des  roues du véhicule.  



  Ainsi qu'on le voit sur ce dessin, l'indi  cateur de vitesse comporte un équipage de  mesure comprenant une roue ou balancier 1  soumis à l'action d'un spiral 2 et pivotant  sur un axe 3. Cette roue peut porter, comme  on le voit sur la     fig.    2, un doigt 4 pénétrant  dans une fourchette 5 de commande de l'axe  secondaire 6 portant l'aiguille indicatrice 7.  Au voisinage de la roue 1 est placé un levier  8 articulé avec ébat en 9 et présentant un  découpage 8' dans lequel s'inscrit une came  10 tournant avec une vitesse fonction -de la  vitesse à mesurer. Le levier 8 est rappelé  par un ressort 11 tendant à l'appliquer con  tre la roue de mesure 1; il présente, "en outre,  une fente<B>8'</B> qui permet, par déformation  élastique du talon 83 au moyen d'une vis 12,  le réglage de l'abaissement du levier sous  l'action de la came.

      On voit aisément que l'action de la came  imprimera au levier un mouvement de     va-et-          vient    avec dégagement hors du contact de la  roue 1 chaque fois qu'un nez viendra agir  sur le talon 83. On aura ainsi par friction du  levier sur la roue 1 des avances déterminées  constantes de cette roue, .suivies de phases de  libération pendant lesquelles l'action du spi  ral 2 tend à la faire revenir à sa position  initiale. On conçoit dès lors que si, par exem  ple, la vitesse! du mobile est croissante, les in  tervalles de temps entre les passages des nez  de la came iront en décroissant et, par suite,  les valeurs des oscillations négatives de la  roue sous l'action du spiral seront inférieu  res aux impulsions positives constantes réa  lisées par le levier.  



  Il en résultera une avance de l'équipage  de mesure et, par suite, de l'aiguille indica  trice 7 jusqu'à la nouvelle position d'équi  libre correspondant à la stabilisation de la  vitesse, comme il a déjà été dit.  



  L'axe 10' de la came pourrait être com  mandé par une liaison mécanique quelconque  issue de l'organe mobile étudié, telle que par  exemple une transmission dite par flexible.  



  On pourrait aussi disposer sur cet axe  un rotor et utiliser une liaison électrique.  Les axes de la roue de mesure et de la  came sont maintenus en place par un pont 13  portant une raquette 14 pivotant à force en  3 et supportant l'attache 15 du spiral 2. La  raquette 14 est pourvue d'une denture 16  pouvant engrener avec un pignon 17 formé  sur une clé 18, dont le pivot d'extrémité  peut être engagé dans un trou 19 pratiqué  sur le pont 13. I1 suffit de prévoir dans le  boîtier une ouverture convenable en regard  du trou 19 pour permettre l'introduction de  la clé et le réglage de l'appareil monté et  emboîté.  



  Le mode de réalisation de l'appareil  indicateur représenté par la     fig.    3 est à com  mande électromagnétique.  



  Dans ce dispositif, la roue de mesure 1  est faite en un métal magnétique, du fer très  doux par exemple, et comprise dans le circuit  magnétique d'un électro-aimant 20, dont l'un      des pôles 20' est en regard de cette roue; de  vant l'autre pôle 202 de     l'électro    peut se dé  placer une armature 21 pivotant en 22 et  rappelée par un ressort 23 contre une butée 24:  Cette armature porte une pièce polaire 25  entraînée par l'ergot excentré 2-6 et pouvant  venir en contact avec la roue de mesure 1 ou  buter sur un doigt 27. Le circuit magnétique  de     l'électro    se ferme suivant la ligne mixte  indiquée sur la     fig.    3.  



  Comme on peut le voir sur la coupe     sebé-          matique    de la     fig.    4, les pièces 25 et 21 sont  superposées, offrant ainsi une large surface  au flux magnétique passant suivant la ligne       f1.    On conçoit, de ce fait, qu'au moment de       l'aimantation    une forte pression d'adhérence  s'établira entre ces deux pièces.  



       L'électro    est alimenté par exemple par le  courant d'une batterie d'accumulateurs 28,  coupé et rétabli un grand nombre de fois  clans l'unité de temps par un rupteur 29  tournant avec une vitesse fonction de celle  du mobile.  



  Le fonctionnement du dispositif est le  suivant Au moment de l'excitation de     l'électro,    la  pièce polaire 25 s'applique d'abord sur la  roue de mesure 1 établissant la, liaison mé  canique; en même temps une pression due à  l'aimantation s'exerce entre la pièce 25 et  l'armature 21, laquelle entre en mouvement,  se rapproche du pôle 202 en pivotant en 22  et tend à appliquer encore plus fortement la  pièce 25 sur la roue 1. D'autre part, le doigt  26, solidaire de l'armature 21, se déplace et  entraîne avec lui la masse polaire 25 et par  suite la roue de mesure d'une quantité pro  portionnelle à la course de l'armature entre  les butées 24 et 27.  



  Cette disposition a le gros avantage de  produire, simultanément avec l'avance, un  freinage progressif de l'armature au fur et à  mesure que le circuit magnétique devient  mieux fermé, la friction entre l'armature 21  et la pièce polaire 25 qui ne peut tourner  augmentant du fait de l'accentuation de cette  fermeture du circuit. On évite ainsi les oscil  lations de l'armature à fin de course tout en    lui assurant un départ facile. Le freinage de  cette armature suit la valeur du courant,  mais la course de l'armature reste identique  à elle-même.  



  A la rupture du courant, l'armature 21  est rappelée en arrière par le ressort 23 et  l'aimantation cessant la pression .sur la roue  de mesure 1 disparaît. Cependant, s'il existe  une légère rémanence, elle se manifeste aussi  entre la pièce 25 et l'armature; de sorte que  le mouvement de retour de cette dernière fa  vorise le décollement de la pièce polaire 25  de la roue 1 et de ce fait rend celle-ci immé  diatement libre. Le doigt 26 ramène natu  rellement la pièce polaire 25 à la position  de départ, où elle restera sur la butée 27 jus  qu'à une nouvelle émission de courant.  



  Par la répétition de ces fonctions, on ob  tiendra une suite de déplacements positifs et  de libérations de la roue de mesure, confor  mément au principe de l'invention.  



  Dans le but .d'augmenter la rapidité de  la désaimantation, il est utilisé avantageuse  ment un enroulement auxiliaire 30, branché  en dérivation et placé sur le noyau de     l'électro     20, cet enroulement présentant une faible  self, mais ayant une résistance de préférence  plus élevée que celle du bobinage principal.  A la coupure, l'enroulement 30 est parcouru  en sens inverse par le courant de rupture et  engendre un flux démagnétisant.  



  On peut produire l'avancement des tota  lisateurs de façon identique à celle exposée  ci-dessus pour l'avancement de la roue de me  sure.  



  La     fig.    5 montre schématiquement la -dis  position employée.  



  Sur un axe, placé de préférence dans le  prolongement de celui de la roue de mesure,  mais sans liaison avec lui, est calée une  deuxième roue 31 en métal magnétique  transmettant son mouvement aux totalisa  teurs. Une deuxième masse polaire 25' est  placée sur l'autre face :de l'armature 21 pi  votant sur l'axe 22. Le doigt excentré 26  traverse les deux masses polaires 25 et 25'  qu'il commande.      On conçoit aisément que lors du fonc  tionnement deux circuits magnétiques s'éta  bliront suivant<I>A B</I> et<I>A B'</I> et que les ac  tions déjà décrites se produiront cette fois  sur les deux roues.  



  On aura ainsi avance de la roue de mesure  et avance de la roue de     commande    des tota  lisateurs; cette dernière pourra être mainte  nue en place par un petit levier de friction  (non représenté) travaillant à la façon d'un  cliquet de retenue.  



  Suivant l'ensemble de cette disposition,  on peut faire varier l'avance des roues, soit  en déplaçant la butée 27     (fig.    3) de façon à  créer un chemin perdu plus grand entre les  masses polaires et les roues, soit en faisant  varier la course de l'armature 21 par exem  ple en déplaçant la butée 24. On pourra ainsi,  par une seule     manoeuvre,    faire une double  correction; ceci trouvera son application  pour le réglage d'appareils placés sur les  roues de véhicules de diamètres différents du  diamètre-étalon.

   Ainsi, pour les roues plus  grandes que la roue-étalon, on devra, toutes  choses égales d'ailleurs, augmenter la lon  gueur des déplacements positifs constants de  la roue de mesure, ainsi que l'avance de la  roue des totalisateurs, ce qui se fera aisé  ment, comme on l'a vu, en une seule fois en  modifiant la course de l'armature 21.  



  On pourra,     à,    cet effet, prévoir une butée  un index apparent sur le boîtier .de  l'appareil. Les appareils ainsi équipés pour  ront     s'ada-    ter avec précision .sur tous genres  de roues     c:i    de prises de commande.  



  Dans le mode de réalisation d'appareil       indicate-:.r    à commande électrique représenté  sur la     fig.    6, on utilise l'armature oscillante  32 d'un électro-aimant 33, laquelle est main  tenue écartée, au repos, du noyau de cet     élec-          tro    par un ressort 34, l'appliquant sur la bu  tée 35. Sur     cette    armature s'articule en 36  une     armature    plus légère 37 passant devant la  roue de mesure 1 et aboutissant au voisinage  d'une pièce polaire 38 portée par     l'électro.     



       L'électro    est alimenté, par exemple, par  le courant d'une batterie 28, coupé et rétabli  un grand nombre de fois dans l'unité de    temps par un rupteur 29 tournant avec une  vitesse fonction de celle du mobile.  



  On conçoit aisément que, lorsque le rup  teur 29 fermera le circuit,     l'électro    33 atti  rera différemment les deux armatures. L'ar  mature légère 37 se déplacera aussitôt sous  l'influence du pôle 38 et s'appliquera sur la  roue de mesure; l'armature lourde 32 entrera  alors en mouvement et entraînera la pièce 37  qui     ferai    avancer la roue de mesure. A la     rup-          l        ure    du courant, l'armature légère 37 cessera  de presser sur la roue qui sera ainsi libérée  puis l'armature lourde regagnera sa posi  tion de repos sans qu'il se produise une ac  tion quelconque sur la roue de mesure.  



  L'indicateur fonctionnera dès lors confor  mément au principe exposé plus haut.  



  La     fig.    7 montre une variante plus parti  culièrement destinée à fonctionner avec le  courant issu d'une magnéto ou d'une manière  générale avec un courant alternatif.  



  A cet effet, la disposition générale res  tant la même que précédemment, l'armature  32, ici d'une seule pièce avec le renvoi 32',  est polarisée par un aimant permanent N     S     qui, au repos, maintient cette armature éloi  gnée de la roue de mesure et appliquée sur  les butées 35 et 39, concurremment avec le  ressort 34.  



       L'électro    33 est alimenté par une source  90 de courant alternatif de fréquence pro  portionnelle à la vitesse à mesurer.  



  Le courant alternatif parcourant     l'électro     en fera changer la polarité et son action sera  attractive ou répulsive. En     admettant    que la  portion     o-a-b        (fig.    8) de la courbe repré  sentative du courant produise aux pôles de  l'électro-aimant une action attractive, on  aura en 38 attraction de l'armature 32' qui  viendra en contact avec la roue de mesure et       eittraction    de la branche 32 qui fera avancer  ladite roue;

   la portion de courant suivant       b-c-d    produisant des polarités inverses  provoquera la répulsion des     deux    branches  de     l'armature    et par suite le retour à     Ja    po  sition de repos avec libération absolue de.  l'équipage de mesure. La répétition de ces  fonctions suivra la fréquence du courant.      Le. mode de réalisation     c%dessus    de ce  dispositif n'a été indiqué qu'à titre d'exemple,  mais on peut prévoir aussi une autre forme  de réalisation comportant dans un indica  teur alimenté par un courant alternatif de  fréquence proportionnelle<B>-à</B> la vitesse l'utili  sation d'une demi-période active, l'autre  demi-période produisant une action passive.  



  La     fig.    9     montre    une variante des dispo  sitifs de commande électromécaniques dé  crits. '  Dans cette variante, on utilise pour pro  duire l'embrayage avec la roue de mesure une  action purement mécanique. A cet effet, une  armature 41 articulée en 42 disposée devant  un électro-aimant     33    est rappelée par l'ac  tion d'un ressort 43     contre    une butée 44 et  prolongée par un levier 45 pouvant venir en  contact avec la roue de mesure 1.

   Une lame  de ressort 46 pivotant en 47 sur le levier 45,  très rapprochée de la roue de mesure est ter  minée par un bec 48, en forme de cliquet,     ve-          nant-en    prise avec une roue à rochet 49 dont  le verrouillage est assuré par un sautoir 50.  



       L'électro        33    étant alimenté par exemple  par le courant d'une     batterie    28 distribué  par un rupteur 29; le fonctionnement est le  suivant:  Au moment du passage du courant,     l'é-          lectro        33    attire l'armature 41 et la lame sou  ple 46 avance. La roue 49 étant fixe oblige  le bec 48 à se lever pour passer sur une dent;  il en résulte le contact de la lame 46 avec la  roue de mesure et l'avancement de celle-ci.

    Cet avancement cessera lorsque le bec 48  sera en prise avec la dent suivante, ce qui  dégagera la roue 1, mais le levier 45 venant  alors au contact de celle-ci l'immobilisera  jusqu'à la fin du passage du courant d'exci  tation dans     l'électro.    A ce moment l'armature  41 reviendra en arrière sous l'action du res  sort 43, la roue de mesure sera libérée du le  vier 45 et la lame 46 remontera sans entraî  ner cette roue, le bec 48 se trouvant au fond  d'une dent du rochet 49 qui avancera d'une  dent. La roue 49 pourra par suite servir di  rectement à la commande des totalisateurs.

      La grandeur des déplacements positifs  -de la roue de mesure pourra être réglée -dans  ce dispositif par déplacement vers la gau  che ou vers la droite de la roue 49, ce qui  aura     pour    but d'avancer ou de retarder la ve  nue en contact de     ,la    lame 46 avec la roue de  mesure 1.  



  La commande des totalisateurs sera réa  lisée par une démultiplication appropriée,  non figurée sur le dessin, issue suivant le cas  soit da la .came 10     (fig.    1), soit de la roue 31       (fig.    5), soit d'une roue actionnée par l'ar  mature 32     (fig.    6 et 7), soit enfin d'une roue  49     (fig.    9), cette démultiplication aboutis  sant à l'axe 51 d'une roue plateau 52.

   Cette  dernière roue (voir     fig.    11) porte un     mane-          ton    53 sur lequel sont montés deux cliquets,  l'un 54 destiné à     l'actionnement    du rochet  55 du premier tambour 56 du totalisateur gé  néral 57, de type quelconque, l'autre 58 à       l'actionnement    de la roue des centaines du       totalisateur    partiel. Ces deux cliquets sont  appliqués sur leur rochet respectif par un res  sort 60 accroché sur des bossages ou levées  541 et 581 et pénétrant dans une rainure du  maneton 53. Le cliquet 54 porte en     outre    un  épaulement 542 pouvant venir buter sur un  cran 582 du .cliquet 58.

   Celui-ci est pourvu  de deux becs 58a et     58b    superposés, de forme  semblable. Le bec 58a est susceptible de       s'enelancher    dans l'encoche 61' d'un disque  61 monté fou sur un noyau 62 engagé sur  l'axe 631 ,de la roue 63 de compte des unités,  ledit axe 63' portant également l'aiguille 64  indicatrice des unités (kilomètres). La roue  63 est pourvue d'une denture de rochet de  cent     dents    et est actionnée par     un    cliquet 65       (fig.    12) monté excentré sur l'axe 51 de la  roue intermédiaire 52. Elle porte un ergot  66 engagé dans une rainure<B>61'</B> du disque  61 qui est ainsi entraîné dans le mouvement  de cette roue.

   Le bec     58b    superposé au bec  58a dont     il    est solidaire est ,susceptible de       s'enclancher    avec un rochet 59' solidaire de  la roue 59 des centaines     (fig.    13 et 14).  Celle-ci porte un disque gradué de 1 à 10  dont les indications peuvent apparaître de  vant une fenêtre 67 pratiquée sur le cadran      de l'appareil     (fig.    10).

   Le rochet<B>59'</B> et le  disque 61 ayant le même diamètre, on con  çoit que, lorsque par suite de la rotation du  disque 61     l'enclanchement    du bec 58a dans  l'encoche 611 se produira, il en résultera       l'enclanchement    simultané du bec 58b avec le  rochet 59'. -Sous l'action du maneton 53, le       eliquet    58 fera avancer alors d'une division  la roue 59 des centaines. On voit donc que,  pour un tour du plateau 52, la roue 63 du  totalisateur partiel et le rochet 55 du totali  sateur général avanceront d'une dent et que,       pour    cent tours de ce même plateau, donc  pour un tour de la roue 63, le disque 59 des  centaines avancera d'une division.

   On re  marquera, d'une part, qu'à la fin de la course  active du     cliquet    54, son épaulement 542 ren  contrera la butée 582 du     cliquet    58, ce qui  aura pour effet de     permettre    le dégagement  ultérieur dudit cliquet 54 du rochet 55 et  que, d'autre part, l'avancement d'une division  de la roue 59 des centaines se fera sans dé  placement de la roue des unités, l'extrémité  opposée de la rainure 612 du disque 61 ve  nant simplement au contact de l'ergot 66 qui  cesse d'agir pour     un    moment sur ledit  disque.  



  Le noyau 62, placé comme il a été dit  sur l'axe     63'    de lai roue des unités, porte, sui  vant une génératrice, une rainure 62' qui per  met le blocage sur ce noyau d'une roue 68,  dite de     "remise    à zéro";     cette    roue est mue  par un pignon actionné par une tige     man#u-          vrée    à la main de l'extérieur (disposition  non figurée .sur le dessin).

   Dans 'un évide  ment du disque 61 est logé un     eliquet    pivo  tant 69 qui, sous l'action d'un ressort,     s'en-          clanche    dans la rainure 62' et permet par  suite par la     manoeuvre    du noyau 62 de rame  ner à zéro l'aiguille     indicatrice    64 montée sur  l'axe 631 de la roue des unités, par l'inter  médiaire de la rainure 612 et de l'ergot 66.

    La roue 59 des centaines présente également  un évidement dans lequel est logé un     cliquet     70 agencé comme le cliquet 69 et     s'enclan-          chant    comme lui dans la rainure 62' du  noyau 62 lorsque cette rainure passe devant  lui, ce qui permet la remise à zéro     dè    la roue    des centaines. Naturellement le calage des       cliquets    69 et 70 sur leur roue respective est  réalisé de telle sorte que leur commun     en-          clanchement    dans la rainure     62'    se produise  pour des indications du même ordre, 10 et 1,  80 et 8, par exemple, de l'aiguille des unités  et de la fenêtre d'indication .des centaines.

   Il  en résulte que, lorsque cet     enclanchement    est  réalisé, ils reste au disque des centaines et à  la roue des unités à parcourir des arcs de ro  tation égaux pour arriver au zéro qu'ils at  teignent simultanément.  



  On remarquera, en outre, en considérant  le sens de la rotation vers le zéro que, lors  que le disque 61 sera     abandonné,    le zéro  étant atteint, l'ergot 66 se trouvera à l'ori  gine de la rainure 612; en d'autres termes, le  disque 61 sera dans une position correspon  dant à la position terminale     d'actionnement     par le cliquet 58a et par suite lors de la re  mise en marche un     déclanchement    intempes  tif du rochet des centaines 591 ne pourra se  produire.  



  Un sauteur (non représenté) s'engageant  dans une encoche de la roue 68 de remise à  zéro assurera le blocage quand la position  exacte sera atteinte.  



  Naturellement l'indicateur de vitesse et  les totalisateurs seront établis, pour l'appli  cation aux véhicules automobiles, en fonc  tion d'un diamètre maximum de roue ou au  tre organe de commande. Dans le cas     d'ac-          tionnement    de l'ensemble par un générateur  de courant alternatif de fréquence propor  tionnelle à la vitesse de rotation d'un organe  ou d'une roue du véhicule, ou par un dis  tributeur fonctionnant suivant la même loi,  il sera nécessaire d'adjoindre à l'appareil un  dispositif de réglage tenant compte du rap  port existant entre le diamètre de ladite roue  et .le diamètre de base maximum.  



  Le réglage de l'indicateur de vitesse  pourra être obtenu soit en faisant varier la  tension du spiral, soit en changeant la valeur  des, déplacements angulaires     positifs    cons  tants.  



  Pour le réglage des     totalisateurs,    on  pourra utiliser un dispositif de retardement      agissant sur une roue comprise dans la dé  multiplication, la rotation normale complète  de cette roue équivalant au fonctionnement  normal -des     totalisateurs    en conformité avec  le diamètre     maximum    de la roue ou de l'or  gane de base.  



  Ces dispositifs de réglage pourront être  réalisés par exemple de la façon indiquée sur  la     fig.    15. Sur un axe 71 sont montées deux  roues dentées 72 et 73. La roue 73 porte un  cliquet 74 pivotant en 75 et rappelé par un  ressort 76. Le bec avant 74' de ce cliquet  vient en prise avec la denture -de la roue 72  et le talon 742 viendra rencontrer, lorsque la  roue 73 tournera ans le sens de la flèche,  une came 77 montée sur un axe 78 et .de po  sition fixée par le réglage envisagé.  



  Afin d'obtenir plus de précision, on  pourrait aussi produire un embrayage à fric  tion entre le bec 74' du     cliquet    74 et la roue  72 qui serait alors sans denture.  



  On conçoit que, les roues 72 et 73 ,étant  solidarisées par le cliquet 74, si l'on fait  avancer la roue 73 en     permanence    par une  liaison     quelconque,    par exemple avec la roue  49 du dispositif indicateur précédemment dé  crit et que l'on place sur la roue 72 le départ  d'une commande démultiplicatrice des totali  sateurs, on aura une avance maximum lors  que la pièce excentrée 77 sera en dehors de  la trajectoire du talon 742 du cliquet. Si l'on  place, au contraire, la pièce 77 sur la trajec  toire dudit talon, il en résultera un     bascule-          ment    de ce dernier qui abandonnera la roue  72, ce qui produira un retard d'avancement  de     cette    roue.  



  Le centre de la pièce 77 peut être placé  dans l'axe de l'équipage de mesure de l'indi  cateur de vitesse et il peut être prévu un  doigt 79 pour la fixation du ressort spiral 2.  De cette manière, on pourrait par le seul dé  placement de la pièce 77 régler à la fois la  tension du spiral et par suite l'indicateur  ainsi que l'avancement des totalisateurs. Il  pourra être prévu sur la pièce excentrée 77  une graduation appropriée indiquant les po  sitions correctes pour les diamètres des roues  usuelles.    Il va sans dire que l'invention n'est pas  limitée aux formes d'exécution décrites et re  présentées et qu'elle comprend toutes les va  riantes basées sur les mêmes principes.

Claims (1)

1. REVENDICATION Appareil indicateur de vitesse avec tota lisateur de distance, caractérisé en ce qu'il comporte un équipage mobile placé sous l'action d'un ressort spiral et en relation avec une aiguille indicatrice de la vitesse, sur le quel agit, par friction et à des intervalles de temps variables, un organe animé d'un mou vement alternatif dont la fréquence est pro portionnelle à la vitesse du mouvement à me surer et qui imprime audit équipage des dé placements angulaires d'amplitude constante ayant pour résultat de tendre le ressort spi ral,

   ce dernier produisant à son tour des dé placements angulaires inverses de cet équi page et dont l'amplitude dépend de la fré quence des actions exercées par l'organe à mouvement alternatif et varie par conséquent à chaque changement,de régime de la vitesse de telle sorte que le décalage de l'équipage mobile est constamment égal à la différence des déplacements angulaires produits les uns par l'organe à mouvement alternatif, les autres par le ressort spiral, donc propor tionnel aux variations de la vitesse à me surer, des moyens étant prévus pour com penser l'erreur provenant de la différence entre le diamètre -de la roue sur laquelle le mouvement est pris et le diamètre de base maximum pour lequel l'appareil a été éta lonné.

   SOUS-REVENDICATIONS 1 Appareil selon la revendication, caracté risé en ce que le ressort spiral agissant sur l'équipage mobile est attaché par l'une de ses extrémités à un organe sus ceptible d'être déplacé à la main, ce qui permet de faire varier la tension du res sort spiral et de compenser ainsi des .er reurs d'indication de la vitesse.

   2 Appareil selon la revendication, caracté risé en ce que l'organe animé d'un mou- vement alternatif et qui provoque les dé placements de l'équipage mobile à l'en contre de la force du spiral est soumis à l'action de butées dont la position peut être réglée, ce qui permet d'avancer ou de retarder le moment de l'entrée en con tact dudit organe avec ledit équipage, cette disposition rendant possible la com pensation des erreurs dans l'indication de la vitesse.

   3 Appareil selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisé en ce que les déplacements de l'équipage mo bile à l'encontre de l'action du ressort spiral sont obtenus au moyen d'un levier oscillant mû par une came en liaison avec la roue sur laquelle le mouvement est pris et qui entre en contact avec une pièce du- dit équipage pour entraîner ce dernier par friction et l'abandonner ensuite à l'ac tion du ressort spiral, la rotation de la came étant en même temps utilisée pour faire mouvoir les organes du totalisateur de distance.

   4 Appareil selon la revendication, carac térisé en ce que les déplacements de l'é quipage mobile sont produits par un électro-aimant. 5 Appareil selon la revendication et la sous-revendication 4, caractérisé en ce que l'électro-aimant est excité par des impulsions de courant continu envoyées par un rupteur en relation avec un or gane animé du mouvement dont on veut mesurer la vitesse. 6 Appareil selon la revendication et la sous- revendication 4, caractérisé en ce que l'é- lectro-aimant est excité par un courant alternatif dont la fréquence est fonction de la vitesse à mesurer.

   7 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 1, 2, 4 et 5, caracté risé en ce que l'équipage mobile comporte une pièce en métal magnétique placée dans le circuit magnétique de l'électro aimant et sous l'action d'une pièce po laire articulée sur une armature soumise elle-même à l'action d'un ressort antago- piste et dont les mouvements sont uti lisés, d'une part, pour faire entrer en contact la pièce polaire et la pièce magné tique de l'équipage mobile et, d'autre part; pour produire le déplacement dudit équi page, la pression normale de friction en tre les deux pièces en contact. étant assu rée par la force attractive produite par le champ magnétique de l'électro-aimant.

   8 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 1, 2, 4, 5 et 7, carac térisé en ce que l'entrée en contact de la pièce polaire avec la pièce magnétique de l'équipage mobile est produite, pendant le premier moment du déplacement de l'armature, grâce à la friction exercée sur cette dernière . par ladite pièce polaire, friction produite par l'action attractive du champ magnétique et qui coopère avec ce dernier de manière à augmenter la pression de contact entre la pièce polaire et la pièce magnétique de l'équipage mo bile.

   9 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 1, 2, 4, 5, 7 et 8, ca ractérisé en ce que l'axe d'articulation de la pièce polaire sur l'armature est ex centré par rapport à l'axe d'oscillation de cette dernière, ce qui rend possible un dé placement tangentiel de ladite pièce po laire et l'entraînement de l'équipage mo bile. 10 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 1, 2, 4, 5 et 7, carac térisé en ce que l'armature de l'électro aimant porte une seconde pièce polaire agissant sur une roue montée coaxiale- ment à l'équipage mobile mais indépen dante de ce dernier et qui tourne en même temps que lui, son mouvement .étant utilisé pour faire mouvoir les organes du totalisateur de distance.

   11 Appareil selon la revendication et les- sous-revendications 1, 2, 4, 5 et 7, carac térisé en ce que l'électro-aimant comporte deux enroulements branchés en parallèle et dont l'un possède une résistance ohmi- que plus grande que celle de l'autre et- qui sert à1 accélérer l'annulation du champ magnétique lors ,de la rupture du cou rant en produisant un champ magnétique antagoniste.

   12 Appareil selon la revendication et les sous-revendictions 1, 4 et 5, caractérisé en ce que les déplacements de l'équipage mobile à l'encontre de l'action du ressort spiral sont produits par un ressort soli daire d'une armature de l'électro-aimant et qui agit sur ledit équipage mobile, l'un des pôles de l'électro-aimant exerçant sur ledit ressort une action attractive suffi sante pour produire une pression de con tact capable de produire l'entraînement ,de l'équipage mobile par le ressort en con tact avec lui. 13 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 1, 4, 5 et 12, caracté risé en ce que les mouvements de l'arma ture de l'électro-aimant sont utilisés pour faire mouvoir les organes d'un totalisa teur de distance.

   14 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 1, 4 et 6, caractérisé en ce que l'électro-aimant est polarisé par un aimant permanent, ce qui permet d'u tiliser l'une des alternance du courant al ternatif pour faire mouvoir l'armature dudit électro-aimant dans le sens du dé placement de l'équipage mobile à l'en contre de l'action du ressort spiral, l'autre alternance étant utilisée pour faire mou voir cette même armature dans le sens de la libération dudit équipage mobile..

   15 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 1, 4 et 5, caractérisé en ce que l'armature de l'électro-aimant placée sous l'action d'un ressort antago niste porte une lame terminée par un bec qui glisse sur les flancs inclinés des dents d'une roue à rochet, de manière à obliger ladite lame à entrer en contact avec une pièce de l'équipage mobile et à entraîner ce dernier, un frein étant prévu sur l'ar mature pour retenir ledit équipage tant que l'électro-aimant est excité, tandis que le bec de la lame tombe dans un entredent de la roue à rochet qui tourne de l'espace d'une dent lorsque l'armature est libérée.

   16 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 1, 4, 5 et 15, carac térisé en ce que la rotation de la roue à rochet est utilisée pour faire mouvoir les organes du totalisateur de distance. 17 Appareil selon la revendication, compor tant un totalisateur partiel avec remise à zéro et un totalisateur général, caracté risé en ce que ces totalisateurs sont com mandés tous deux par l'entremise d'un plateau monté, sur un axe en relation, avec l'organe qui imprime ses déplacements<B>à</B> l'équipage mobile.

   18 Appareil selon la revendication et la sous-revendication 17, caractérisé en ce que le mobile de comptage -des unités du totalisateur général et le mobile de comp tage des centaines du totalisateur partiel sont actionnés chacun par un cliquet, les deux cliquets étant articulés à un axe commun monté excentriquement sur le plateau de commande, le mobile de comp tage des unités du totalisateur partiel étant actionné séparément par un cliquet mû par un excentrique solidaire dudit plateau de commande.

   19 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 17 et 18, caractérisé en ce que le cliquet -d'actionnement du mobile de comptage des centaines du to talisateur partiel présente deux becs sem blables dont l'un agit sur un rochet soli idaire dudit mobile, tandis que l'autre s'en gage, au moment de l'enregistrement d'une centaine, dans une encoche prévue à la pé riphérie d'un disque possédant un diamè tre égal à celui du rochet susdit et qui est entraîné par le mobile de comptage des unités par l'entremise d'un ergot solidaire de ce dernier.

   20 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 17 à 19, caractérisé en ce que le disque entraîné par le mo bile de comptage des unités présente une rainure circulaire dans laquelle est en- gagé l'ergot porté par ledit mobile et qui embrasse un arc égal à celui que sépare deux dents du rochet de commande du mobile de comptage des centaines.

   21 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 17 à 20, caractérisé en ce que la remise à zéro .du totalisateur partiel s'effectue au moyen d'une roue montée concentriquement aux mobiles de comptage des unités et des centaines et solidaire d'un moyeu présentant une rai nure axiale dans laquelle viennent s'en gager deux cliquets dont l'un est porté par le disque entraîné par le mobile de comptage des unités et l'autre par le ro chet solidaire du mobile de comptage des centaines, la position de ces cliquets sur les organes qui les portent étant telle que, lors-de leur chute dans la rainure axiale du moyeu susmentionné, les indications des mobiles de comptage sont de même ordre, ces mobiles étant alors ramenés si multanément à zéro.

   22 Appareil selon la revendication, caracté risé en ce que le mouvement de l'organe qui imprime ses déplacements à l'équi page mobile est transmis au totalisateur de distance par l'intermédiaire d'un ac couplement permettant de compenser l'erreur de totalisation provenant de la différence entre le diamètre de la roue sur laquelle le mouvement est pris et le diamètre de base maximum pour lequel l'appareil a été étalonné.

   23 Appareil selon la revendication et la sous-revendication 22, caractérisé en ce que l'accouplement transmettant le mou vement aux organes de totalisation com- porte deux mobiles concentriques solida risés l'un avec l'autre par un cliquet pi voté sur l'un desdits mobiles et qui entre en prise dans une denture pratiquée à la périphérie de l'autre, ce cliquet rencon trant, à chaque tour de l'accouplement, un organe placé dans sa trajectoire et qui l'oblige à quitter momentanément le mo bile avec la denture duquel il est mis en prise dans le but de diminuer la totali sation d'une quantité égale à la valeur de l'erreur causée par la différence entre le diamètre de la rouet sur laquelle le mouve ment est pris et le diamètre maximum de base.

   24 Appareil selon la revendication et les sous-revendications 22 et 23, caractérisé en ce que l'organe placé sur le passage du cliquet de l'accouplement est une came en forme de limaçon dont le lobe pénètre plus ou moins profondément dans la tra- jeetoire dudit cliquet de manière à agir plus ou moins longtemps sur ce dernier suivant l'importance de l'erreur à corri ger.

   25 Appareil selon les revendications et les sous-revendications 1 et 2i2 à 24, carac térisé en ce que la came en forme de lima çon du dispositif de compensation des er reurs de totalisation porte une cheville à laquelle est attaché le spiral agissant sur l'équipage mobile de manière que l'erreur dans l'indication de la vitesse et l'erreur de totalisation sont corrigées simultané ment par une seule manoeuvre de réglage.