CA2961939A1 - Cadre de jardinage poleothique et son procede - Google Patents

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    • AHUMAN NECESSITIES
    • A01AGRICULTURE; FORESTRY; ANIMAL HUSBANDRY; HUNTING; TRAPPING; FISHING
    • A01GHORTICULTURE; CULTIVATION OF VEGETABLES, FLOWERS, RICE, FRUIT, VINES, HOPS OR SEAWEED; FORESTRY; WATERING
    • A01G9/00Cultivation in receptacles, forcing-frames or greenhouses; Edging for beds, lawn or the like
    • A01G9/12Supports for plants; Trellis for strawberries or the like

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  • Life Sciences & Earth Sciences (AREA)
  • Environmental Sciences (AREA)
  • Cultivation Of Plants (AREA)

Abstract

Le cadre de jardinage paléolithique et son procédé (CJPP) est un appareil qui permet de cultiver des plantes potagères ou ornementales sur pelouses de milieux urbains et périurbains, sur prairies de milieux horticoles, sans pesticides, pratiquement sans engrais minéraux. Mon invention et son procédé va permettre de cultiver des fruits et légumes tout en améliorant la fertilité biologique des sols parce qu'il permet de copier la nature comme au temps de l'ère paléolithique où toute les plantes, que l'homme de Cro-Magnon cueillait, poussaient dans un pêle-mêle paradoxalement ordonné en ce sens que les plantes nourricières se développaient en synergie ou en symbios avec les adventices et les êtres vivants du sol. Ce pêle-mêle rétablissait continuellement l'équilibre avec le milieu air, eau, sol. Le milieu d'alors ne se dégradait pas, au contraire la fertilité intrinsèque des sols s'améliorait d'une année à l'autre. Mon appareil et sa méthode veut rétablir la situation comme au temps paléolithique où le sol n'était jamais à découvert de végétation, où les plantes potagères adventices se côtoyaient et où la fertilité et la fécondité des sols se perpétuaient ad vitam aeternam.

Description

2 Description 2,1 DOMAINE DE L'INVENTION
Le domaine de mon invention et son procédé concernent l'horticulture et la fertilité naturelle des sols par la matière organique, ainsi que sur la façon de faire du jardinage pour que l'énergie solaire puisse être optimalement captée par les plantes horticoles et que le milieu anthropologique, de partout de par le monde, puisse en bénéficier positivement. Mon invention et son procédé concerne, les sols dénaturés des villes, les sols de jardins familiaux, les sols attitrés à l'horticulture. Mon invention et son procédé permettent de cultiver directement sur les pelouses de milieux urbains, périurbains et certaines prairies tout en améliorant la fertilité des sols.
C'est un nouveau mode d'exploitation domestique où il n'y a plus de découverts de sol. Mon invention et son procédé vont faire en sorte qu'il n'y aura plus jamais de retournement de sol, de sarclage, de mis à nu du sol soit par l'application d'herbicides, soit par le sarclage à la main, soit par la préparation du sol par le labour, hersage, binage, etc. en vue de faire du jardinage. On ne parlera plus du tout de mauvaises herbes, mais plutôt d'adventices utiles et nécessaires à la croissance et développement harmonieux de la plante.
2,2 L'ART ANTÉRIEUR
Au début de la sédentarisation de l'homme, on cultivait les sols sur brulis.
La méthode consistait à bruler un boisé pour libérer des éléments nutritifs nécessaires à
la croissance des plantes. Par la suite, au lieu de bruler des boisés, on découvrit que si l'on brulait des prairies les résultats étaient les même sinon meilleurs. Plus tard, on s'est aperçu en fait de compte que bruler des prairies ou virer (labourer) le sol les résultats étaient non seulement meilleurs, mais duraient plus longtemps. Au fil des temps, on découvrit la synergie qu'avaient les plantes entre elles, entre les êtres vivants du sol et le milieu air, eau, sol. On a découvert les propriétés des légumineuses sur la fertilité et la fécondité
des sols, on a découvert la technique de compagnonnage des plantes, etc. Certes, on a beaucoup étudié
sur les propriétés de la matière organique et le rôle des êtres vivants dans le sol tels bactéries, champignons, insecte, larves, vers de terre, etc. Toutefois, l'aspect économique des activités agricoles étant naturellement plus important à court terme qu'à
long terme on oublia de gérer naturellement les matières organiques dans les sols comme facteur de fertilité et de fécondité. Il devint plus rentable et payant d'appliquer des engrais minéraux et d'employer une gestion de pointe pour avoir de meilleurs rendements. Ce fut dans la normale des choses. Ainsi, depuis la nuit des temps, on cultive toujours en sol découvert.
Ce découvert de sol empêche celui-ci de fabriquer de la matière organique par l'absence de végétation. Ce faisant, le sol devient de plus en plus compacté, de plus en plus dur à
travailler et de moins en moins productif et fécond en ce sens que les êtres vivants qui y vivent arrivent difficilement à se faire une place et à améliorer les propriétés physiques, chimiques et biologiques. Propriétés qui sont la base de la fertilité et de la fécondité du sol.
C:\Userslessard\Documents\l P-DR&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVET\2 Description. docx 2 Description Aujourd'hui, le sol est tellement compacté que nous en sommes arrivés à
développer des techniques aussi sophistiquées que le non-labour :
On brasse le sol sur une largeur et profondeur de quelques centimètres pour y introduire la graine. C'est une technique en autres pour contrer la compaction du sol et avoir des rendements intéressants. Cependant, on applique des herbicides pour éliminer la compétition des mauvaises herbes par rapport à la photosynthèse, aux éléments nutritifs, la matière organique et l'eau. Ainsi, en mettant le sol à
nu, on empêche le sol d'améliorer le niveau de la matière organique, gage de la fertilité et fécondité.
L'art antérieur, en matière agricole, horticole et même au niveau du jardinage le plus élémentaire qu'est le jardin familial, on n'a pratiquement jamais compris et exploité à bon escient le rôle de la matière organique sur et dans le sol. Dans le temps, on a longtemps eu une connaissance empirique des matières organiques ; à preuve lorsque le sol redevenait improductif, on le laissait se reposer, sous-entendant qu'il allait refaire ses forces, supposément en matière organique. Plus près de nous, on a découvert que la façon la plus efficace d'augmenter la fertilité naturelle des sols, c'était de faire des rotations des cultures en y introduisant la prairie pour environ trois à cinq ans. La prairie naturelle comme les forêts naturelles ont toujours été les meilleures entités pour assurer un genre de roulement des éléments nutritifs et pour augmenter le taux des matières organiques dans le sol. On évalue qu'au début de la colonisation en Amérique, le taux de matière organique sous forme d'humus était de 13% à 18%. Aujourd'hui, plusieurs de ces sols cultivés en ont un taux de matière organique d'à peine 2% à 3%. Au niveau des jardins familiaux de milieux urbains, un tel taux de matière organique serait encore plus bas suite à de nombreux brassages de sol rendus nécessaires pour la construction de maisons, de routes, de fossés, etc. on a détruit d'une façon inconsidérée et sans le savoir, la matière organique du sol.
D'où la nécessité d'utiliser prioritairement mon invention en milieux urbains.
Pour mieux comprendre et utiliser mon invention, il faut aussi comprendre ce qu'est l'indice photosynthétique(IP) d'un champ cultivé :
L'indice photosynthétique d'un champ c'est la situation idéale d'équilibre écologique de la photosynthèse qu'un champ peut effectuer lorsqu'il est entièrement recouvert de végétation. A son niveau d'équilibre optimum, l'IP est égal à un ; la matière organique et les nutriments libérés par celle-ci répondent aux besoins de la plante et du sol, sans plus. Lorsque la végétation prend de la hauteur, comme le maïs rendu à 5 pieds de haut, l'IP devient plus grand qu'un et la matière organique en plus de répondre à ce qui précède, va s'accumuler dans le sol ; ce qui va maintenir et C:\Userslessard\Documents\1 P-DR&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVET\2 Description.docx 2 Description améliorer dans le temps, la fertilisation et la fécondité naturelle du sol ;
le milieu va s'autofertiliser , va s'autofécondiser et s'autoaméliorer de façon à
augmenter la vie des êtres vivants du sol presque à l'infinie. Si l'IP est plus petit qu'un, cela veut dire qu'il y a toujours une partie du champ qui est dénudé, sans végétation;
c'est là
le problème qui va provoquer immanquablement une perte de matière organique avec toutes les conséquences qui s'en suivent. Dans le contexte actuel d'exploitation du sol, il est pratiquement impossible d'augmenter le taux de matière organique dans les sols parce qu'il y a toujours une partie des sols à découvert. Avec mon invention, les sols ne seront plus à découvert et donc, il n'y aura plus de sarclage, plus de virages de sol plus de labour et le taux de matière organique dans le sol ira en augmentant.
Lorsque les résidus de culture tombent au sol, elles constituent, avec les herbages du sol et les racines mortes dans le sol, de la matière organique fraîche. Elles servent, en premier lieu, de nourriture à des milliers d'êtres vivants du sol. En second lieu, elles sont humifiées (transformées en humus) par des microorganismes spécialisés pour former une matière organique plus condensée, plus stabilisée que l'on nomme humus. On dit stabilisée : en fait selon les conditions du milieu, ce type de matière organique dite stabilisée se décompose dans le sol en raison de 1% à 3% par année. Une partie de cet humus se lie aux particules du sol pour former le complexe-argilohumique. Ce complexe va rendre le sol plus meuble, plus drainant tout en retenant les minéraux et les protéger contre le lessivage. Ce complexe va structurer le sol pour lui donner du corps et le rendre plus facilement pénétrable par les racines et plus exploitable par les êtres vivants du sol. En termes de minéraux, le complexe-argilohumique est le garde-manger des éléments nutritifs des plantes. Par ailleurs, la décomposition plus poussée de l'humus donne lieu à ce qu'on appelle la minéralisation, phénomène par laquelle les minéraux sont libérés de l'humus. Ils sont, soit absorbés directement par la plante, soient adsorbés sur le complexe-argilohumique pour utilisation ultérieure. Dans le pire des situations, les minéraux risquent d'être éliminés du profil sol. Ce dernier cas arrive lorsque ni la plante ni le complexe n'arrive à retenir les minéraux dus à
une activité de décomposition trop forte et une assimilation moindre, en d'autres termes due à une mauvaise harmonisation entre l'activité édaphique du sol et celle de la plante.
C'est ce qui arrive lorsque le champ est à découvert trop longtemps, lorsqu'il est retourné, brassé et biner trop souvent. C'est aussi ce qui se passe lorsqu'un champ qui a un IP plus petit qu'un, s'appauvrit d'année en année et se déstructure et donc, devient plus difficile à
travailler et vulnérable à la dégradation et supporte des plantes plus enclines aux attaques par les insectes et maladies. C'est ce qu'on observe dans l'état actuel des choses. Mon invention avec son procédé va rétablir la situation comme c'elle qui existait au paléolithique où, du moins l'indice photosynthétique était toujours plus grand qu'un.
CAUserslessard\Documents\1 P-DR&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVEn2 Description.docx 2 Description En agriculture biologique comme en jardinage domestique, on enlève à la main les mauvaises herbes parce que, dit-on, elles nuisent au développement chez la plante potagère à cause d'une diminution de la photosynthèse, d'une moins grande absorption des minéraux et de l'eau. De plus, une telle façon de faire a comme incidences de mettre le sol à découvert. Un sol, ainsi mis à découvert, a la propriété de se réchauffer plus vite et plus intensément et donc activer inutilement la vie des êtres vivants du sol.
Ce qui a pour résultat de provoquer une décomposition accélérée des matières organiques et par le fait même, une plus grande libération des éléments nutritifs. Paradoxalement, l'enlèvement des mauvaises herbes favorise chez la plante potagère une plus grande photosynthèse et donc une plus grande activité de croissance, à la condition toutefois, que les éléments nutritifs dans le sol soient au rendez-vous; ce qui n'est pas toujours le cas, à moins qu'on y ajoute des engrais minéraux au sol c'est ce qu'on fait actuellement. Avec mon invention et son procédé, l'ajout de compost ou d'engrais minéraux sera peut-être nécessaire au début. En vitesse de croisière, il ne sera plus nécessaire de fertiliser. Le système sol-plante va pourvoir à ses propres besoins comme au temps du paléolithique, et ce pour des lustres.
2,3 DESCRIPTION PRÉFÉRENTIELLE
Mon invention et son procédé apportent la solution au niveau de la photosynthèse, des matières organiques et des éléments nutritifs. Elle va même qu'à développer une synergie entre la diversité des plantes qui s'y développent. D'une part, on y implante la culture de plantes maraichères dans le cadre de jardinage et d'autre part on favorise la croissance des herbages situés en dehors du cadre de jardinage.
Ces dernières deviennent, par rapport à mon système global d'exploitation, des adventices et donc des plantes utiles et nécessaires à la croissance et développement des plantes se trouvant dans le cadre de jardinage.
Ainsi, le cadre de jardinage est un genre de boite à quatre côtés, de forme allongée et très étroite et qui n'a pas de fond. L'étroitesse du cadre fait en sorte que les racines des plantes maraichères se trouvant dans le cadre ne sont pas capables de se développer horizontalement; elles n'ont pas d'autre choix que d'exploiter le sous-sol du cadre, puis s'éparpiller dans toutes les directions pour en fin de compte s'entremêler avec les racines des adventices qui se trouvent hors cadre et développer avec elles et les êtres vivants du sol une synergie de croissance. Les côtés du cadre servent à protéger les plantes de jardinage contre les accidents de coupe par la tondeuse ou par la débroussailleuse, car C:\Users\Lessard\Documents1 P-DR&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVEn2 Description.docx 2 Description avec mon invention et sa méthode, on ne sarcle plus, on n'enlève plus les herbages; on les coupe avec une tondeuse à gazon et avec la débroussailleuse, on coupe l'herbe adjacente au cadre de jardinage. De cette façon, les plantes qu'on cultive sont en présence d'adventices comme au temps du paléolithique comme au temps de l'homme de Cro-Magnon.
Le but de la tonte est de procurer en tout temps le maximum de photosynthèse aux plantes maraichères : jamais l'herbe hors cadre ne doit porter ombrage aux plantes se trouvant dans le cadre. Par exemple, lorsque le plant de maïs est en début de croissance, il ne faut pas qu'il subisse les méfaits de l'ombrage dus aux herbages qui poussent en dehors du cadre, ou ombrage dû à la hauteur du cadre lui-même. C'est pour cela que la hauteur de coupe sera modifiée en fonction de la plus basse feuille de la plante maraichère susceptible d'effectuer de la photosynthèse. En d'autres termes, mon invention et la gestion qui s'en suivent doivent toujours favoriser la photosynthèse. Ainsi, la hauteur des parois du cadre de jardinage tient compte de cette considération. La hauteur des parois du cadre déterminée dans le présent article est celle qui convient le mieux à la grande majorité des plantes potagères. Il en est de même en ce qui a trait à la largeur du cadre :
elle convient à
la grande majorité de plantes potagères.
Cependant, ce n'est pas toutes les plantes potagères qui cadrent avec mon invention.
Les plantes qui rampent sur le sol comme les citrouilles, les melons d'eau ne peuvent pas être utilisés parce qu'on doit couper les herbages hors cadre. Il faut que la plante ait un port dressé, arbustif ou grimpant. Par exemple, parmi les plantes qui viennent très bien on peut citer : le maïs, la tomate, le concombre, l'aubergine, le céleri, la basilique, le chou, etc. En fait, toutes plantes à port dressé ou qu'on peut soutenir par des ficelles via des tuteurs appropriés.
Toutefois des recherches seront nécessaires pour déterminer d'une façon précise, une largeur spécifique à chaque espèce ou chaque groupe d'espèces. Par exemple, la carotte pourrait demander un cadre moins large que la moyenne recommandée dans mon invention. A l'opposé, le tubercule de pomme de terre conviendrait peut-être mieux à une largeur de cadre plus grande que celle qui est recommandée. Peut-être qu'une hauteur de cadre serait préférable que celle proposée ou la superposition d'un cadre serait avantageuse. Cependant, une trop grande largeur ou une largeur non adaptée peut donner des problèmes susceptibles de nuire aux objectifs de l'utilisation du cadre à
jardinage paléolithique et son procédé; d'où la nécessité de continuer des recherches en ce sens.
C:\Userslessard\Documents\l P-DR&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVEn2 Description. docx 2 Description Le cadre de jardinage paléolithique convient bien dans des endroits bien drainés, afin de permettre aux racines de pénétrer dans le sol et à la matière organique de bien se décomposer, de bien s'humifier et de bien se minéraliser. Le cadre convient bien aux sols de villes dont le drainage est d'office présent suite aux différents travaux de construction d'édifices, de voirie, etc. Cependant, le ph du sol devrait être entre 6,5 et 7,0. L'ajout d'un fertilisant serait peut-être nécessaire que dans les deux premières années. Le fertilisant idéal serait un compost jeune avec, préférablement des graines d'adventices pour diversifier les espèces d'herbage. Dans les deux cas, les fertilisants doivent être appliqués hors cadre et non dans le cadre de jardinage paléolithique.
Le but recherché est évidemment la production de fruits et légumes de qualité
sans pesticides, ni sarclages manuels, ni emploi d'herbicide et être en situation de sol constamment recouvert de verdure. Par ailleurs, il faut retenir que des objectifs ultimes du cadre de jardinage et son procédé est de permettre le roulement et le recyclage des éléments nutritifs et par de là, augmenter le taux d'humus du sol et la vivacité des êtres vivants du sol.
Pour un effet synergique approprié, le champ de culture engazonné pour un cadre de jardinage paléolithique doit couvrir une largeur d'au moins un mètre de part et d'autre du cadre. Si deux cadres sont en disposés parallèlement, le champ commun et engazonné
entre les deux cadres doit être d'au moins un mètre.
2,4 PROCÉDÉ D'UTILISATION
Là où on décide de placer l'appareil, il faudra effilocher le plus court que possible avec une débroussailleuse, la partie enherbée qui constituera le fond du cadre. Puis, vous déposez l'appareil directement sur la partie 100% enherbée et effilochée. Par précaution il faut effilocher une superficie plus grande que le cadre pour être certain que le fond du cadre ne comporte pas d'herbe qui ne soit pas ainsi traitée.
Vous placez dans l'appareil un substrat naturellement stérile sur une épaisseur qui fait environ la mi-hauteur de la paroi. Le substrat qui est généralement composé de mousse de tourbe, de perlite et de vermiculite est fabriqué par des entreprises de tourbière et vendu dans des centres de jardinage comme terre à empoter naturellement stérilisée.
Il sera très important de s'assurer que ce substrat soit stérilisé et qu'il soit ainsi exempt de graines de plantes indésirables. Ce type de substrat est généralement très sec. Ainsi, lors de la mise en culture, il sera très important de ne pas le mouiller avant transplantation ni avant de C:\Userslessard\DocumentsVI P-Z\R&D\Cadre jardinage paléolithique et son procéde\BREVEn2 Description.docx 2 Description semer. On doit arroser et j'insiste lorsque toute opération de mise en culture est terminée pour un cadre.
Également, la préparation des transplants est très importante pour la réussite du projet de mise en culture dans le cadre : deux heures avant de les transplanter, les plants de la caissette devront avoir été arrosés abondamment, de façon à ce que les tiges et les feuilles se soient gorgées d'eau. Ainsi gorgés d'eau, la reprise de la croissance sera plus facile et les méfaits de stress seront pratiquement éliminés sans compter le fait que la motte de racines profite de la fraicheur du sol et de la présence de l'herbe effilochée.
Il est à noter que la façon de transplanter et la largeur du cadre et l'épaisseur du substrat ont pour objet de forcer le développement radiculaire de la plante dans le sol au travers l'herbe effilochée.
En certaines situations, l'épaisseur du substrat sera trop mince pour recouvrir la motte.
C'est voulu ainsi; il ne faut surtout pas ajouter de substrat. A cet effet, il faut procéder ainsi :
Durant que la main gauche gratte l'herbe effilochée comme pour aller plus en profondeur sans pouvoir y parvenir, l'autre main qui tient le transplant introduit la motte au fond du cadre, sur les parties effilochées de l'herbe, puis on recouvre le tout avec le substrat. Si la motte du transplant est trop épaisse par rapport à l'épaisseur du substrat, il ne faut surtout pas écraser la motte de racines ni ajouter de substrat, mais plutôt saupoudrer sur la motte un peu de substrat déjà présent dans le cadre de jardinage. N.B. On ne doit en aucun cas mouiller au préalable le substrat organique; on doit l'utiliser tel qu'il se présente dans l'empaquetage.
Par la suite, lorsque la transplantation est terminée pour un appareil, vous arrosez immédiatement et modérément deux à trois fois espacées d'environ 15 à 20 minutes ; si vous avez plusieurs cadres, ne pas attendre à ce que tous les cadres de jardinage paléolithique soient plantés avant d'arroser; il faut arroser au fur et à
mesure qu'un cadre est prêt. Par la suite, vous devez arroser de nouveau seulement lorsque le substrat sera redevenu sec et que la plante montrera de légers symptômes de sécheresse.
Normalement, la plante s'enracine très bien et les arrosages se feront dans ce cas, hors cadre : on arrose l'herbe en dehors du cadre. Les racines dans le cadre iront chercher l'eau qui leur sera nécessaire.
Ainsi, que la fertilisation soit chimique ou organique, elle doit se faire principalement sur la prairie qui entoure les cadres de jardinage. Le résultat recherché d'une fertilisation sur C:\Userslessard\Documents\1 P-Z\R&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVER2 Description.docx 2 Description prairie est de produire le plus possible de matière organique tant sur le sol que dans le sol lors de la mort des racines. Laissée sur le sol, la matière organique fraîche va libérer des nutriments facilement assimilables et immédiatement disponibles à la plante potagère et des adventices. La libération de nutriments suite à une fertilisation organique, comme le compost appliqué sur les herbages de la pelouse ou de la prairie, sera fonction de la température du sol. De toute façon que ce soit les bactéries, les herbages de prairie ou les plantes du cadre, le fonctionnement physiologique des trois entités sera harmonisé et déterminé par la température du moment présent. Donc, avec mon appareil, il ne sert à rien de forcer les événements : elles viendront quand le moment sera propice.
Quant à la fertilisation dans le cadre de jardinage avec un engrais liquide, peut-être qu'elle ne sera pas nécessaire en début de l'adoption de mon appareil; à la limite, on fertilisera si on pense que le taux d'humus dans le sol n'est pas très élevé. Quand le taux deviendra 'important, le producteur ou le jardinier verra une différence sur les rendements. L'atteinte d'un optimum en ce qui a trait à la quantité d'humus dans le sol n'est pratiquement pas mesurable physiquement, mais observable pas ses effets. Refaire l'humus dans le sol peut prendre plusieurs décennies voire des lustres; tout dépend du type de sol.
J'évalue cependant que l'atteinte d'un rendement optimal, au niveau des légumes et fleurs, prendra de deux à trois ans. Une chose est certaine, avec le cadre de jardinage et la méthodologie d'utilisation, le taux d'humus augmentera d'année en année. Dans plusieurs cas, les maximums de rendements horticoles comparativement à celui actuellement obtenu en conventionnel seront dépassés en moins de trois ans.
Les arrosages subséquents se feront à l'aide d'un boyau d'arrosage type goutte à goutte et situé à environ 20 centimètres du cadre de jardinage ou au milieu de la partie commune enherbée partagée par deux cadres en parallèle.
Si la gestion de l'eau et des matières organiques se fait dans les règles de l'art, il n'y aura pas de compétition au niveau de l'eau et des éléments nutritifs. La raison est que la matière organique alliée au complexe-argilohumique a la propriété d'absorber plusieurs fois son poids en eau sans asphyxier les racines et elle a la propriété de s'unir aux particules de sol, pour lui conférer une structure telle que les nutriments nécessaires à la croissance et du développement de la plante sont protégés du lessivage. Suivant mon procédé, quand les matières organiques commenceront à s'accumuler dans le sol sous forme d'humus, la fertilisation organique sera la règle, mais pas nécessairement nécessaires.
En fait, les mauvaises herbes que vous retrouvez dans un jardin conventionnel, c'est tout simplement ce qui pousse et qui est étranger de la plante à cultiver. Dans le cas présent, C:\Userslessard\Documents\ 1 P-DR&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVEn2 Description. docx 'C
2 Description les herbages qui poussent tout autour de l'appareil de jardinage, c'est ce que vous n'aimeriez pas avoir dans un jardin conventionnel. Ce qui est fantastique, dans l'utilisation de l'appareil, c'est que les pelouses et autres herbages vont aider la plante potagère à bien croître; c'est ce qu'on appelle l'effet synergique et symbiotique. En d'autres termes, les mauvaises herbes deviennent des partenaires de croissance qui sont en synergie avec les plantes de l'appareil et le milieu sol avec le contenu de ses êtres vivants.
Au lieu de s'évertuer à les arracher, on les coupe avec une tondeuse ou une débroussailleuse. C'est moins dur que de se mettre à quatre pattes pour les arracher. C'est surtout plus écologique et plus naturel puisqu'une plante pousse bien dans le sol qui lui est adapté
et que le sol est toujours couvert de végétation comme au temps de paléolithique.
Il est très important que le sol des herbages hors cadre soit à un pH de 6,5 à
7,0. Il est donc nécessaire d'appliquer à l'automne ou au printemps de chaque année de la chaux dolomitique suivant les recommandations du fabricant ou mieux suivant l'analyse du sol.
Les herbages comportent le plus souvent des graminées qui sont friandes d'azote. Par ailleurs, l'ajout d'une légumineuse aux herbages est fortement recommandé dû
au fait que les légumineuses fixent l'azote de l'air pour la redonner aux graminées et aux adventices, y compris aux plantes se trouvant dans le cadre de jardinage paléolithique.
Également, l'ajout de plantes à racines profondes (pivotantes) est intéressant dû au fait qu'en fin de vie, les racines vont laisser en profondeur de la nourriture pour les êtres vivants du sol et la formation d'humus, qui va être un plus en ce qui regarde la captation des minéraux sur le complexe-argilohumique.
C:\Userslessard\Documents\l P-DR&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVER2 Description.docx 4 Description des figures DESCRIPTION DESFIGURES
Figure 1 : vue en perspective d'un cadre de jardinage paléolithique et son procédé montrant les principales composantes du cadre de jardinage;
Figure 2 : cadre de jardinage paléolithique montrant le système de tuteurs et de soutiens éventuels des plantes;
Figure 3 : extrémité 5 d'un cadre montrant le positionnement des franges de liaison et de fermeture;
Figure 4 : vue de face d'un cadre, lorsque désarticulé sur toute la longueur de sa circonférence;
Figure 4a : vue à plat sur une table lorsque le cadre apparaissant à la figure 4 est plié vers la droite prêt à être manipulé d'une façon éco énergétique soit pour le transport, la mise en marché, l'entreposage et le marketing;
Figure 4b : vue à plat sur une table lorsque le cadre apparaissant à la figure 4 est plié vers la gauche prêt à être manipulé d'une façon éco énergétique soit pour le transport, la mise en marché, l'entreposage et le marketing;
Figure 5 : vue à vol d'oiseau d'une planteraie montrant un cadre de jardinage paléolithique et son procédé sur une superficie d'herbage à effet synergique et symbiotique;
Figure 6 : vue à vol d'oiseau d'une planteraie de deux cadres placés en parallèle.
FIGURE 1 VUE D'ENSEMBLE
La figure 1 montre l'ensemble 1 du cadre de jardinage et son procédé avec ses deux côtés 2 et 3 parallèles sur le sens de la longueur et les deux côtés 4 et 5, formant l'extrémité du cadre également parallèle sur le sens de la largeur. La paroi longitudinale 2 possède deux ouvertures par où s'introduiront les boulons de soutènement servant à
assembler et à
solidifier le cadrage aux pieux de soutènement 6a et 6b. Ces derniers servent à maintenir fermement le cadre sur l'herbe effilochée. On peut percevoir adjacent au muret
3 la languette de fermeture 7 servant à donner au cadre une solidité et une forme définie dans l'espace.
C:\Userslessard\Documents1 P-Z\R&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVEn4 Description des figures.docx
4 Description des figures La languette de fermeture est percée de deux trous 7a et 7b par où passeront les boulons de fermeture pour lier solidement la languette de fermeture 7 au muret 3. Les extrémités 4 et 5 sont munies de deux trous chacun, respectivement 4a et 4b puis 5a et 5b positionnés horizontalement de manière d'être en mesure de relier deux cadres bout à bout par des boulons de liaison. N.B.: Au lieu d'utiliser des boulons, on peut utiliser des franges de fermeture en bois et des franges de liaison en bois et de même nature que les pieux de soutènement et au travers lesquelles on pourra utiliser des vis à bois en remplacement de boulons. Les franges en bois serviront de mordant aux vis à bois et peuvent être utilisées en remplacement de boulons; (voir figure 3) Les murets du cadrage sont articulés de manière à les rabattre les uns sur les autres dans le but d'occuper le plus petit volume possible, pour une manipulation éco énergétique lors de transport ou de la mise en marché.
Ces articulations, qui jouent le rôle de charnières 10a, 10b, 10c,10d sont rendues possibles grâce à un amincissement du matériel aux quatre coins du cadre ou grâce à tout autre procédé
pouvant jouer le même rôle.

La figure 2 montre le positionnement des pieux de soutènement 6a et 6b placés en position 2a et 2b. Ils sont constitués de latte de bois provenant d'une quincaillerie.
Elles sont vendues généralement en longueur de huit pieds (2,4 mètres) qu'on coupe en différents segments pour constituer lesdits pieux de soutènement. Les morceaux sont effilés à une extrémité
pour permettre une meilleure pénétration du pieu dans le sol. Astuce : pour faciliter la verticalité des pieux lorsqu'on les entre dans le sol, il est préférable de faire un trou-guide dans le sol avec une barre de fer, pour permettre d'y placer les pieux. D'une main on maintient et on rectifie au besoin la verticalité du pieu et avec l'autre main, on l'enfonce dans le sol avec un marteau. On peut observer que les trous 2a et 2b par où
passeront les boulons de soutènement (ou vis à bois) sont situés à la partie supérieure de la paroi 2. On peut également observer que les pieux de soutènement 6a et 6b sont placés à
l'intérieur du cadre.
Il y a généralement deux pieux de soutènement par cadre. Il est possible d'en avoir plus en fonction de la longueur du cadre ou de la rangée de cadres, ou en fonction de besoins particuliers. Ils servent également à y attacher les tuteurs verticaux 8a et 8b lesquels sont reliés aux pieux de soutènement 6a et 6b par des boulons ou par des vis à
bois. La base des tuteurs 8a et 8b repose sur la partie supérieure du cadre et est placée derrière le pieu de soutènement 6a et 6b. Les tuteurs verticaux serviront à soutenir des tuteurs horizontaux 9 desquels descendront jusqu'à la partie supérieure du cadre, des ficelles 11 servant à
soutenir les plants par des pince-attache de plantes 12 qu'on peut trouver facilement sur le C:\Userslessard\Documents\1 P-Z\R&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVEn4 Description des figures.docx f 4 Description des figures marché. Ce sont les mêmes types d'attaches qu'on utilise pour soutenir les plants de tomates en serre.
FIGURE 3: EXTRÉMITÉ DROITE DU CADRE MONTRANT EN RELIEF LES FRANGES
La figure 3 présente l'extrémité droite d'un cadre montrant le muret 5 munie de la frange de liaison 13 laquelle va éventuellement se rattacher au muret 4 d'un autre cadre. Sous-jacente et à l'extrémité de la paroi 3 du cadre, on peut découvrir la frange de fermeture 14 mise en relief. On peut observer que les deux types de franges sont situées à
l'intérieur du cadre.
FIGURE 4: VUE DE FACE D'UN CADRE LORSQU'IL EST DÉSARTICULÉ SUR TOUTE SA
CIRCONFÉRENCE
De gauche à droite, on peut voir la paroi 3 munie en ses extrémités de deux trous 3a et3b par lesquels passeront les boulons de fermeture la reliant éventuellement la languette de fermeture 7. L'extrémité 4 du cadre est reliée respectivement à la paroi 3 et 2 par les charnières 10b et 10a. Sur la paroi 4, on peut observer deux trous de liaison 4a et 4b.
Toujours en allant vers la droite, la paroi 2 est munie de deux trous de soutènement 2a et 2b servant au passage des boulons de soutènement. Par ailleurs, la paroi 2 est reliée aux parois 4 et 5 par les charnières 10a et 10c. Quant à la paroi 5, elle possède deux trous de liaison 5a et 5b et elle est reliée à la paroi 2 et à la languette de fermeture 7 respectivement par les charnières 10c et 10d. Le tout se termine par la languette de fermeture 7 laquelle possède deux trous de fermeture 7a et 7b.
FIGURE 4A: ÉCO EMBALLAGE DU CADRE DE JARDINAGE PREMIERE OPTION
Cette figure montre ce qu'aura l'emballage si, à partir de la charnière 10a, on infléchit le tout vers la droite. On aura un emballage montrant la paroi 4 en son entier et la paroi 3 partiellement recouverte de la languette de fermeture. On peut voir les charnières 10b, 10a et 10d, les trous de liaison 4a et 4b ainsi que les trous de fermeture 7a et 7b. La longueur totale de l'emballage correspondra à la longueur de la paroi 3 plus la largeur du cadre.
FIGURE 4B: ÉCO EMBALLAGE DU CADRE DE JARDINAGE DEUXIEME OPTION
Cette figure est l'image de la précédente. Elle montre ce qu'aura l'emballage si, à partir de la charnière 10a on infléchit le tout vers la gauche. On aura alors un emballage montrant la C:\Userslessard\Documents\1 P-DR&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVER4 Description des figures.docx 4 Description des figures paroi 5 muni de ses deux trous de liaison 5a et 5b, de trois charnières 10d, 10c et 10a. La paroi 2 qui est partiellement recouverte par la paroi 5, montre les deux trous de soutènement 2a et 2b. La longueur totale est exactement la même que celle de la figure 4a.
FIGURE 5: PLANTERAIE DE LÉGUME NOTION
Vue à vol d'oiseau d'une planteraie formée d'un cadre de jardinage 1 placé sur une superficie de terrain recouvert d'herbage qui entoure le cadre et qu'on nomme pour les besoins de la cause planteraie 15. Planteraie qui veut dire jardin de plantes et dont la sémantique est similaire à roseraie : jardin de roses. On peut observer que l'herbe effilochée se trouvant dans le fond 16 du cadre est coupée, comme il a été mentionné précédemment, très courtement. Pour être certain qu'il ne reste pas d'herbage qui n'ait pas été
coupé par la débroussailleuse, on s'assure, à cet effet, d'avoir effiloché une partie 17 de l'herbage dépassant la superficie du cadre et on place fermement le cadre sur la superficie d'herbe effilochée, puis on le consolide avec des pieux de soutènement. Afin d'avoir un effet synergique et symbiotique, l'étendue 18 d'herbe située de chaque côté du cadre devrait être d'au moins un mètre. Quant aux extrémités, l'effet synergique et symbiotique est négligeable.
FIGURE 6: PLANTERAIE DE LÉGUMES MONTRANT DEUX CADRES EN PARALLELE
La figure 6 montre une planteraie 21 formée de deux cadres de jardinage 1 en parallèle, la partie enherbée 19 commune aux deux cadres devrait mesurer au moins un mètre tandis que les parties 20 situées de chacun des deux autres cadres devraient avoir une largeur d'au moins un mètre également. Quant aux extrémités, l'effet synergique est négligeable, surtout s'il y a plusieurs cadres en parallèle.
CAUsers\Lessard\Documents\1 P-Z\R&D\Cadre jardinage paléolithique et son procédé\BREVER4 Description des figures.docx

Claims

3 Revendications REVENDICATIONS
Les réalisations de l'invention, au sujet desquelles un droit exclusif de propriété ou de privilège est revendiqué, sont comme il suit :
1 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé qui est formé de parois longitudinales parallèles deux à deux, soit assez étroit de façon à ne pas permettre la prolifération des racines à l'intérieur, mais les diriger vers le sous-sol du cadre, à partir duquel les racines provenant du cadre et celles provenant hors cades, puissent échanger suivant les principes symbiotiques et synergiques des êtres vivants constituant par le fait même le symbiome lequel se défini comme étant le milieu où l'association, d'êtres vivants de nature animale ou végétale aient, des avantages réciproques, comme au temps du paléolithique.
Temps où les plantes étaient si près l'une de l'autre qu'il y avait des échanges ioniques d'éléments nutritifs provenant d'excrétions racinaires de différentes espèces, temps où il y avait également transformation des matières organiques provenant tant du milieu air, eau que du milieu sol et d'un réarrangement continuel des propriétés physiques, biologiques et chimiques du sol dues à la promiscuité des plantes du milieu et de la vie des êtres vivants d'un milieu donné
pour constituer dans le domaine de mon invention une planteraie , terme qui sera défini plus loin qui veut dire, dans ses grandes lignes, diversité de plantes et de milieu de croissance. Le cadre de jardinage paléolithique va permettre cette promiscuité
et le procédé
va permettre l'implantation et la réussite de mon invention.
2 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 1 où
ledit cadre est composé de quatre parois parallèles deux à deux et caractérisé par le fait qu'il n'a pas de fond et que la base du cadre repose directement sur l'herbe effilochée à un point tel que la repousse de celle-ci, lorsque recouverte de substrat, est pratiquement impossible.
3 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 1 où
ledit cadre est dénommé paléolithique pour imiter le temps où les plantes poussaient anarchiquement, au temps où l'homme de Cro-Magnon n'avait pas encore appris à cultiver le sol et dont le sol était, de ce fait, toujours recouvert de végétation et s'enrichissait de lui-même tout en s'adaptant aux changements naturels devant avoir lieu. Avec la cadre de jardinage paléolithique et procédé, le même sol peut maintenant s'adapter aux changements anthropiques sans perdre sa faculté de s'améliorer.
4 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 1 lesdites parois sont d'une certaine hauteur pouvant convenir à la plupart des plantes de jardinage comme :

3 Revendications maïs, tomate, concombre, fève, chou et toutes plantes dressées et arbustives qui ont besoin on non de tuteurs de soutiens.
Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 1 où
ladite étroitesse peut varier en fonction de l'espèce, par exemple la carotte. Il se peut qu'à
la suite à différents essais ultérieurs, que la largeur soit moindre comme elle puisse s'avérer être plus: par exemple suite à la culture des pommes de terre ou autres plantes semblables.
6 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 4 où
ladite hauteur des parois peut varier en fonction de certaines propriétés et caractéristiques des plantes à
cultiver.
7 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 1 où
lesdites parois longitudinales parallèles peuvent épouser des formes différentes comme pour épouser la forme carrée, rectangulaire, triangulaire, etc.
8 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 5 où
lesdits essais ultérieurs permettent d'autres formes de cadres. Essais à venir effectués par moi ou par toutes autres entreprises ou personne dûment accréditées par moi, le tout en conservant les principes de bases de la patente.
9 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 1 où
ledit cadre est fabriqué d'une seule pièce, dont la circonférence, peut se déplier en un seul tenant (voir figure 4) sur toute sa longueur et qui peut être replié pour former ledit cadre paléolithique lequel sera solidifié en tant que tel par une languette de fermeture située à
une extrémité;
languette qui lui procurera un aplomb et sa forme définitive. Le cadre sera muni d'ouvertures ou de trous qui serviront à boulonner le cadre à des pieux de soutènement également munis d'ouvertures ou trous correspondants. Voir figure 1 position 6a,6b et 2a,2b.
Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 9 où
ledit cadre est éco énergétique et éco environnemental du fait que le cadre est pliable sur lui-même pour épouser un volume permettant une manipulation, un empaquetage et une mise en marché
résultants en tout point en une économie d'énergie et respectueux de l'environnement.
11 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 9 où
ledit cadre est composé de murets parallèles en tout point : parallèle sur le sens de la longueur, de la largeur et sur le sens de la hauteur des parois. Ce qui fait que s'il n'était pas pliable, le volume qu'il prendrait pour l'empaquetage, la mise en marché, la manipulation et le transport 3 Revendications exigerait beaucoup d'espace et ne serait pas économique au niveau des activités précitées précédemment et correspondrait difficilement à la finalité du cadre qui se dit des temps paléolithiques où l'environnement était des plus naturel et des plus respecté
par l'homme de Cro-Magnon.
12 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 9 où
ledit cadre lorsque plié pour les opérations d'empaquetage, d'expédition et de mise en marché, le volume correspond à l'épaisseur de deux parois l'une sur l'autre et une longueur totale égale à la longueur du cadre plus une longueur de sa largeur, comme le montre la figure 4a et 4b.
C'est comme un ballon duquel on a enlevé l'air on a alors un ballon à plat comme on aurait un cadre à plat.
13 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 9 où
ledit cadre est pliable grâce à des charnières résultant lors de la fabrication en un amincissement aux quatre coins comme le montre les charnières en position 10a, 10b 10c et 10d de la figure 1 et 4. L'amincissement peut être remplacé totalement ou partiellement par d'autres procédés de fabrication.
14 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 9 où
ledit cadre est muni d'une languette de fermeture laquelle contient deux trous correspondant à
deux autres trous de la paroi sous-jacente et à travers lesquelles passeront les boulons pour mettre d'aplomb l'ensemble du cadre.
15 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 14 où
ladite languette de fermeture pourrait être fixée à la paroi du cadre par des vis à
bois et une frange de fermeture en bois en remplacement des boulons et des trous; les vis à bois prendront leur mordant sur la frange de fermeture en bois située à l'intérieur et à
l'extrémité du cadre sous-jacente à l'extrémité du muret 3 et de la languette de fermeture 7.
16 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 14 où
ledit cadre peut être relié bout à bout à un autre cadre par des trous de liaison se trouvant sur les extrémités de chacun des cadres, par lesquels passeront les boulons de liaison pour les unir. Par exemple, les boulons de liaison entreront par les trous de l'extrémité 5 d'un cadre pour s'enfiler au travers les trous de liaison de l'extrémité 4 de l'autre cadre pour ensuite prendre leur mordant dans les franges de liaison.
17 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 14 où
lesdits cadres pourraient être fixés bout à bout par des vis à bois et une frange en bois dite de liaison placée 3 Revendications à une extrémité d'un cadre en remplacement des boulons et des trous; les vis à
bois prendront ainsi leur mordant dans la frange liaison en bois.
18 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 15 et 17 où lesdites franges en bois pourraient être constituées d'un bois de même nature que les tuteurs en bois ou de toute autre matière, lesquelles servent uniquement de mordant aux vis à bois. La frange de liaison et la frange de fermeture sont situées à l'intérieur du cadre (voir figure 3).
19 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 9 où
lesdits pieux de soutènement sont constitués de lattes de bois facilement disponible en quincaillerie. Les lattes de bois sont normalement vendues en longueur de huit pieds (240 centimètres). Les pieux de soutènement seront d'une longueur telle qu'après les avoir enfoncés dans le sol ils dépasseront la partie supérieure du cadre suffisamment pour être en mesure d'y attacher, par des vis à bois, des tuteurs verticaux. Voir figure 2, positions 6a et 6b.
On les place généralement à l'intérieur du cadre et ils servent essentiellement à soutenir le cadre étant donné l'étroitesse de celui-ci.
20 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 19 où
lesdits tuteurs verticaux généralement de hauteur variable sont vissés aux pieux de soutènement et sont le plus souvent deux par cadre. Ils serviront à soutenir les tuteurs horizontaux desquels descendront des ficelles de soutien accompagnées de pinces attache-plante. La base des tuteurs verticaux repose sur la partie supérieure du cadre et il est, de ce fait, placé derrière les pieux de soutènement. Ils sont faits, généralement de la même essence que les pieux de soutènement. Dans le cas d'une rangée de cadres de jardinage paléolithique, ils peuvent être aboutés et liés les uns aux autres par des vis à bois. Les pieux de soutènement sont vissés aux tuteurs verticaux, voir figure 2 positions 8a at 8b.
21 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 18, 19 et 20 où
lesdits tuteurs verticaux, horizontaux, pieux de soutènement, franges de liaison et frange de fermeture sont constitués de lattes de bois facilement disponibles en quincailleries. Pour les distinguer des lattes de bois devant être utilisées spécifiquement pour les cadres de jardinage paléolithique, ils seront alors peints de couleurs appropriées.
22 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 9 où
lesdits trous 2a et 2b peuvent être en plus ou moins en grands nombres. Ils peuvent également ne pas être présents. De plus la vis à bois traverse facilement la matière qui compose le cadre de jardinage paléolithique.

3 Revendications 23 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 1 où
ledit symbiome se définit pour les besoins de la présente comme un milieu d'êtres vivants du sol et de l'entourage immédiat des plantes de nature animale, végétale et biophysique dont la caractéristique est de se partager des avantages réciproques. Le symbiome doit occuper un espace tridimensionnel de diversité vitale de nature végétale, animale, environnementale et édaphique d'au moins un mètre de part et d'autre du cadre de jardinages paléolithique et une profondeur où cette diversité de vie peut exister entièrement ou partiellement. Voir figure et 6.
24 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 23 où
ledit milieu symbiome composé de cadre et d'herbage où la partie enherbée s'étend sur une largeur d'au moins un mètre de part et d'autre du cadre et constitue pour les besoins du présent dossier une planteraie , terme dont la sémantique se rapproche de roseraie, où préfixe rose est remplacé par plante. On dira alors une planteraie de plantes à
jardinage, une planteraie de tomates, une planteraie de plantes médicinales, etc.
25 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 23 où
ladite planteraie pourrait avoir deux rangées parallèles de cadres paléolithiques qui se partageraient un espace de végétation commun d'au moins un mètre. Voir la figure 6 26 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 25 où
ledit espace de végétation commune pourrait être moins d'un mètre. Ce serait le cas en ce qui regarde des plants de jardinage à racines peut abondante comme certains radis, laitue feuille, etc.
Dans tous les cas, il sera nécessaire d'être en mesure de couper au besoin l'espace herbager commun de façon à ce que la photosynthèse ne soit pas entravée.
27 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 12 ladite épaisseur n'est pas uniforme sur toute la longueur étant donné la présence de la bosselure due au replie de la languette de stabilité sur l'une des deux parois. Des ouvrages sont rendus nécessaires pour obtenir une épaisseur uniforme sur toute la longueur de l'empaquetage. A
cet effet, on amincit légèrement chacune des composantes de l'extrémité en question telle que : la languette de stabilité, les deux extrémités des parois longitudinales et le bout du cadre relié à la languette de fermeture par la charnière 10d.
28 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 11 où
ledit parallélisme des parois du cadre sur le sens de la hauteur peut ne pas être respecté dû au fait qu'un modèle différent, à l'étude, fait en sorte que les cadres de jardinage paléolithiques soient emboîtés les uns dans les autres pour les besoins de l'empaquetage, l'expédition et de la mise en marché et aussi pour une meilleure manipulation de mise en place dans son utilisation. A cause de l'étroitesse du cadre, il sera quand même nécessaire qu'il soit bien retenu au sol par des pieux de soutènement. Le volume total d'un certain nombre de cadres emboîtés est, toutes proportions gardées, plus grand que celui où les cadres sont pliés parois à parois, mais plus petit que celui livré tel que le montre la figure
1. L'avantage des cadres emboîtés, c'est qu'ils sont plus faciles et plus rapides à installer.
29 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 28 où
ladite non-respectabilité du parallélisme vertical des parois du cadre confère à la paroi du cadre attachée aux pieux de soutènement une même disposition verticale qui lui est adjacente et perpendiculaire au sol qui constitue la base, ou bien toutes autres édifications résultantes d'un mode de fabrication du cadre susceptible de répondre aux besoins de solidification du cadre au sol par le pieu de soutènement.
30 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 1 ou ledit procédé
d'utilisation est fonction d'un mode d'emploi bien spécifique pour concrétiser le concept du temps paléolithique. Mode d'emploi qui inclus la façon de planter d'assoir le cadre sur le sol, de semer ou planter dans un substrat bien défini et le recouvrement de l'ensemble pour limiter la croissance des mauvaises herbes et favoriser la conservation de l'humidité dans le cadre et aussi la fertilité et la fécondité naturelle du sol de la planteraie.
31 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 30 où
ledit substrat utilisé doit être placé dans le cadre de jardinage suivant une quantité
minimale ne dépassant pas la mi-hauteur des parois et cela même si on n'arrive pas à recouvrir totalement la motte de terre du transplant. Dans cette dernière situation, on fait en sorte d'envoyer une peu de substrat sur la motte. On ne doit jamais écraser la motte pour tenter de la couvrir. En d'autres termes il n'est pas nécessaire que la motte soit recouverte entièrement de substrat parce que cette quantité minimale va forcer la plante à développer les racines en profondeur. Par ailleurs, la façon de mettre en terre le transplant est aussi très importante;
il est indispensable de suivre la procédure de transplantation que voici : pendant que la main gauche tient la motte, la main droite, écarte le substrat pour assoir la motte sur l'herbe effilochée, les racines de la motte profiteront de la fraîcheur de l'herbe effilochée pour s'établir.
Puis on recouvre le tout dans la mesure du possible. Autre chose importante, deux heures avant la mise en terre, on doit au préalable arroser abondamment les plants de la caissette pour que les tiges et feuilles du futur transplant se gorgent d'eau. Ainsi, le choc de transplantation sera pratiquement nul. Lorsque la plantation d'un cadre de jardinage paléolithique est terminée, on arrose abondamment deux à trois fois espacés d'environ vingt minutes ou jusqu'à ce que le substrat soit gorgé d'eau. Puis on recouvre le tout d'un paillis de commerce.

Revendications 32 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 31 où
les arrosages dans le cadre, après recouvrement d'un paillis de commerce, ne seront plus nécessaires, sauf si les transplants semblent souffrir vraiment d'eau. Cependant les arrosages subséquents seront quand même nécessaires, mais à l'extérieur du cadre seulement. Pour se faire, on place à environ vingt centimètres du cadre, un boyau d'arrosage de style goutte à goutte qu'on laissera en permanence et bien en contact avec le sol pour être en mesure de passer la tondeuse à gazon sans endommager le boyau d'arrosage. Un tel type d'arrosage se répétera au besoin afin de s'assurer que les herbages hors cadre puissent croître et se développer promptement et que l'eau ne soit pas un facteur limitant. Il ne faut pas exagérer les arrosages; vous devez arroser quand besoins seulement c.-à-d.
il faut arroser lorsque le sol est sec : il ne faut pas que le sol soit constamment en surplus d'eau ni en carence hydrique continuellement.
33 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 1 et 32 où ledit facteur limitant par rapport à l'eau étant résolu, un autre facteur susceptible de compromettre la réussite de l'ensemble c'est l'accessibilité des plants du cadre au rayonnement solaire. A
ce niveau, en aucun cas, les herbages hors cadre ne doivent nuire aux plants du cadre en ce qui regarde la photosynthèse. C'est la raison pour laquelle on doit utiliser la tondeuse à
gazon ou une débroussailleuse pour les couper aux besoins. C'est également le pourquoi des parois du cadre : protéger les plants contre les accidents possibles lors de la tonte des herbages. Comme on peut le constater, il est plus facile de couper les herbes que de se mettre à quatre pattes pour sarcler et mettre ainsi le sol à découvert. Il est évident que l'herbe de la coupe ou les fanes provenant de l'entretien comme également la taille des plants, doivent restés au sol où leur décomposition libérera non seulement des nutriments, mais aussi pourvoira à l'entretien des propriétés biophysiques du sol.
34 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 30 où
la fertilité et la fécondité naturelle se maintiennent et vont en s'améliorant. Cependant la fertilisation anthropique peut être désirée et nécessaire, surtout dans les premiers temps.
Dans ce cas, on fertilise ce qui est hors cadre seulement, soit avec un engrais chimique mi soluble ou soluble, mais à ce niveau un engrais chimique non soluble serait préférable.
Toutefois la fertilisation qui serait la meilleure serait le compost. Appliquer le compost sur les herbages hors cadre, de préférence un compost non stérilisé; ce qui augmentera la diversité des herbages hors cades à cause de la présence possible de graines d'adventice et aussi parce que le compost est en général moins agressif et répond le mieux à la quintessence du milieu biophysique du sol. Va sans dire que le pH du sol est maintenu à un niveau variant entre 6,5 et 7,0.

Revendications 35 Un cadre de jardinage paléolithique et procédé selon la revendication 2 où
ladite herbe effilochée est un procédé par lequel les racines des transplants ou des semis se feront un chemin pour pénétrer dans le sous-sol du cadre et profiteront de la fraîcheur du milieu pour mieux réaliser la croissance et développement des racines en profondeur.
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