CA1262051A - Chronographe electronique, notamment montre-chronographe electronique, analogue compteur de temps chronometres - Google Patents
Chronographe electronique, notamment montre-chronographe electronique, analogue compteur de temps chronometresInfo
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- CA1262051A CA1262051A CA000457228A CA457228A CA1262051A CA 1262051 A CA1262051 A CA 1262051A CA 000457228 A CA000457228 A CA 000457228A CA 457228 A CA457228 A CA 457228A CA 1262051 A CA1262051 A CA 1262051A
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Abstract
: Afin de pouvoir afficher d'une façon analogique plusieurs temps chronométrés devant selon le cas être relevés a très peu de temps d'intervalle, la montre comprend, dans un boîtier (1), outre des organes d'indication du temps courant (2-4), des indicateurs de temps comptés des centièmes de seconde, des secondes, des minutes et des heures (5-8). La montre comprend également des mémoires où les temps chronométrés sont enregistrés à l'aide d'un poussoir (10), chaque temps successif étant emmagasiné dans une mémoire successive. L'appel du contenu des mémoires pour l'affichage est commandé indépendamment par un autre poussoir (12), de sorte que l'on peut prendre rapidement des temps et les lire ensuite sans être pressé. Un affichage digital (13) du rang de la mémoire dont le contenu est affiche par les aiguilles est for utile aux chronométreurs utilisant la montre-chrono-graphe. Ce chronographe électronique digital convient particulièrement dans les cas de chronométrage où une grande souplesse ou diversité de fonctions est recherchée. (fig. 1)
Description
6;~
Chronographe é.lectronique, notamment montre-chronographe électronique analogique compteur de temps chronométres -La presente invention concerne un chrono-graphe electronique analogique compteur de temps chronométrés, notamment montre-chronographe électronique analogique compteur de temps chronométrés, comprenant un dispositif d'affichage équipé d'une aiguille des minutes du temps chronométré, d'une aiguille des secondes du temps chronométré et de moyens d'affichage d'unités de temps chronométré de durée inférieure à la seconde, des moyens électroniques de comptage du temps, un moteur pas à pas pour mouvoir au moins la dite aiguille des secondes du temps chrono-métré en synchronisme avec les moyens de comptage et un dispositif de commande comportant plusieurs organes manuels capable de commander au moins le démarrage du 15 comptage de chronographe, son arrêt, la prise et l'affichage d'un temps intermédiaire, ainsi que le rattrapage de l'affichage du temps chronométré.
Dans le domaine des chronographes compteurs de temps et des montres-chronographes à affichage 20 digital, on a déjà réalisé un très grand nombre de modèles, munis d'une grande diversité de fonctions.
Dans le domaine des chronographes et montres-chronographes électroniques à affichage analogique par aiguilles, peu de choses ont par contre 25 ete proposées jusqu'à maintenant. On connaît différentes pièces comprenant plusieurs moteurs pas à
pas, les dispositifs de minuterie qui lient deux aiguilles cinématiquement étant onéreux en ce qui concerne la mise à l'heure, de même que la fonction de 30 rattrapante ou la fonction de remise à zero pour les ' ~6;~S~
la aiguilles de chronographe. Un certain nombre de chronométreurs préfereraient toutefois pouvoir travailler avec des chronographes à affichage analogique par aiguilles, car ceux-ci donnent une vision plus intuitive de l'avance du temps. Les particularites et avantages que l'on demande aujourd'hui d'un chronographe ou d'une montre-chronographe sont avant tout qu'ils permettent une grande diversité de fonctions, tout en restant d'un emploi commode, et qu'ils soient d'un emploi pratique pour le chronométrage des compétitions ou de l'entrainement aux compétitions. Une performance intéressante serait la présence d'un certain nombre de mémoires permettant de mémoriser différents temps, se lS combinant de différentes façons, et pouvant le cas échéant être rappelés après coup pour réinscription ou contrôle. Il serait notamment très intéressant de pouvoir contrôler, avec un seul chronographe électronique digital, les temps d'arrivée d'une dizaine, voire de plusieurs dizaines de coureurs qui parfois se suivent de très près. Une pièce réalisable en un format montre-bracelet permettant aisément de "spliter" (c'est-à-dire "prendre le temps exact") d'une succession très rapide de passages de coureurs, puis de lire après coup successivement tous ces temps, sous une forme analogique, trouverait un interêt certainement marqué auprès des chronometreurs, typiquement pour le c.hronométrage sportif, mais également pour d'autes types de chronométrage.
Parmi les publications antérieures citées -toutes à titre "d'arrière plan technologique" - la plus proche est la publication GB-A-2,005,875. Elle concerne un chronographe électronique à affichage digital comprenant plusieurs moteurs. On n'y trouve toutefois , pas de moyens pour mémoriser différents temps chronométrés et les faire réapparaître à volonté sous forme de position des différentes aiguilles. L'art antérieur montre que le probleme de l'imbrication des différentes fonctions d'un chronographe, fonctions auxquelles l'affichage doit naturellement coopérer, n'est pas des plus simples dès que l'on désire un affichage analogique. L'art antérieur n'avait pas prévu d'agencement de mémorisation de différents temps chronométrés dans le cas d'un affichage analogique, étant entendu que l'amenée en place de différentes aiguilles, sur différentes positions qui peuvent être fort divergentes, ne peut pas se faire d'une façon aussi instantanée que le changement d'une indication digitale electronique-Le but de la présente invention est defournir un chronographe électronique analogique, notamment sous forme de montre-chronographe électronique analogique , permettant de réaliser les performances souhaîtables, notamment les performances relatives à la mémorisation de différents temps chronométrés combinée avec un agencement d'affichage analogique. L'invention vise ainsi à allier d'une manière très souple et diversifiée quant à
l'utilisation mais restant fort simple quant à la fabrication, les avantages de la mémorisation électronique des temps chronométrés et de l'affichage analogique de ceux-ci, d'une manière fiable et permettant des rappels de vérification. Le chronographe ou la montre-chronographe proposé se doit d'être adaptable avec souplesse aux différents types de chronométrage pouvant se présenter.
Conformément a l'invention, ce but est atteint par la présence des caracteres énoncés dans la A
.
, 2a première revendication annexée.
Les revendications dépendantes définissent des formes d'execution particulierement avantageuses, tout d'abord quant aux possibilités de fonction et aux dispositifs de manipulation, et ensuite quant a la consti-~ . .
, ~ ' ~
~2~ 5~
tution des schémas qui permettent de nombreuses fonc-tions, souvent tres nuanc~es, au moyen d'un nombre re-lativement peu éleve d'eléments, realisables sous forme de circuits intégrés.
Le dessin annexé illustre, ~ titre d'exemple, une forme d'exécution de l'objet de l'invention; dans ce dessin :
la fig. 1 est une vue de face d'une montre-chro-nographe conforme a l'invention sous le ~ormat d'une montre~bracelet, les fig. 2A, 2B, 2C et 2D forment ensemble, de la manière illustrée à la fig. 2E, le schéma logique et électronique de la montre-chronographe en question, et les ; fig. 3 et 4 sont des schémas détaillés respectivement, d'un bloc compteur-comparateur représenté par un cadre à la fig.
2B~ et des mémoires similairement ~ontrées à la fig. 2C.
A la fig. 1, on voit que, considérée de l'extérieur, la montre-chronographe comprend un boitier 1, contenant un ensemble électronique d'actionnement des aiguilles de mesure du temps courant et des aiguilles des différentes variantes de fonction chronographe. Le temps courant est affiché, de façon classique, par une aiguille des heures
Chronographe é.lectronique, notamment montre-chronographe électronique analogique compteur de temps chronométres -La presente invention concerne un chrono-graphe electronique analogique compteur de temps chronométrés, notamment montre-chronographe électronique analogique compteur de temps chronométrés, comprenant un dispositif d'affichage équipé d'une aiguille des minutes du temps chronométré, d'une aiguille des secondes du temps chronométré et de moyens d'affichage d'unités de temps chronométré de durée inférieure à la seconde, des moyens électroniques de comptage du temps, un moteur pas à pas pour mouvoir au moins la dite aiguille des secondes du temps chrono-métré en synchronisme avec les moyens de comptage et un dispositif de commande comportant plusieurs organes manuels capable de commander au moins le démarrage du 15 comptage de chronographe, son arrêt, la prise et l'affichage d'un temps intermédiaire, ainsi que le rattrapage de l'affichage du temps chronométré.
Dans le domaine des chronographes compteurs de temps et des montres-chronographes à affichage 20 digital, on a déjà réalisé un très grand nombre de modèles, munis d'une grande diversité de fonctions.
Dans le domaine des chronographes et montres-chronographes électroniques à affichage analogique par aiguilles, peu de choses ont par contre 25 ete proposées jusqu'à maintenant. On connaît différentes pièces comprenant plusieurs moteurs pas à
pas, les dispositifs de minuterie qui lient deux aiguilles cinématiquement étant onéreux en ce qui concerne la mise à l'heure, de même que la fonction de 30 rattrapante ou la fonction de remise à zero pour les ' ~6;~S~
la aiguilles de chronographe. Un certain nombre de chronométreurs préfereraient toutefois pouvoir travailler avec des chronographes à affichage analogique par aiguilles, car ceux-ci donnent une vision plus intuitive de l'avance du temps. Les particularites et avantages que l'on demande aujourd'hui d'un chronographe ou d'une montre-chronographe sont avant tout qu'ils permettent une grande diversité de fonctions, tout en restant d'un emploi commode, et qu'ils soient d'un emploi pratique pour le chronométrage des compétitions ou de l'entrainement aux compétitions. Une performance intéressante serait la présence d'un certain nombre de mémoires permettant de mémoriser différents temps, se lS combinant de différentes façons, et pouvant le cas échéant être rappelés après coup pour réinscription ou contrôle. Il serait notamment très intéressant de pouvoir contrôler, avec un seul chronographe électronique digital, les temps d'arrivée d'une dizaine, voire de plusieurs dizaines de coureurs qui parfois se suivent de très près. Une pièce réalisable en un format montre-bracelet permettant aisément de "spliter" (c'est-à-dire "prendre le temps exact") d'une succession très rapide de passages de coureurs, puis de lire après coup successivement tous ces temps, sous une forme analogique, trouverait un interêt certainement marqué auprès des chronometreurs, typiquement pour le c.hronométrage sportif, mais également pour d'autes types de chronométrage.
Parmi les publications antérieures citées -toutes à titre "d'arrière plan technologique" - la plus proche est la publication GB-A-2,005,875. Elle concerne un chronographe électronique à affichage digital comprenant plusieurs moteurs. On n'y trouve toutefois , pas de moyens pour mémoriser différents temps chronométrés et les faire réapparaître à volonté sous forme de position des différentes aiguilles. L'art antérieur montre que le probleme de l'imbrication des différentes fonctions d'un chronographe, fonctions auxquelles l'affichage doit naturellement coopérer, n'est pas des plus simples dès que l'on désire un affichage analogique. L'art antérieur n'avait pas prévu d'agencement de mémorisation de différents temps chronométrés dans le cas d'un affichage analogique, étant entendu que l'amenée en place de différentes aiguilles, sur différentes positions qui peuvent être fort divergentes, ne peut pas se faire d'une façon aussi instantanée que le changement d'une indication digitale electronique-Le but de la présente invention est defournir un chronographe électronique analogique, notamment sous forme de montre-chronographe électronique analogique , permettant de réaliser les performances souhaîtables, notamment les performances relatives à la mémorisation de différents temps chronométrés combinée avec un agencement d'affichage analogique. L'invention vise ainsi à allier d'une manière très souple et diversifiée quant à
l'utilisation mais restant fort simple quant à la fabrication, les avantages de la mémorisation électronique des temps chronométrés et de l'affichage analogique de ceux-ci, d'une manière fiable et permettant des rappels de vérification. Le chronographe ou la montre-chronographe proposé se doit d'être adaptable avec souplesse aux différents types de chronométrage pouvant se présenter.
Conformément a l'invention, ce but est atteint par la présence des caracteres énoncés dans la A
.
, 2a première revendication annexée.
Les revendications dépendantes définissent des formes d'execution particulierement avantageuses, tout d'abord quant aux possibilités de fonction et aux dispositifs de manipulation, et ensuite quant a la consti-~ . .
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tution des schémas qui permettent de nombreuses fonc-tions, souvent tres nuanc~es, au moyen d'un nombre re-lativement peu éleve d'eléments, realisables sous forme de circuits intégrés.
Le dessin annexé illustre, ~ titre d'exemple, une forme d'exécution de l'objet de l'invention; dans ce dessin :
la fig. 1 est une vue de face d'une montre-chro-nographe conforme a l'invention sous le ~ormat d'une montre~bracelet, les fig. 2A, 2B, 2C et 2D forment ensemble, de la manière illustrée à la fig. 2E, le schéma logique et électronique de la montre-chronographe en question, et les ; fig. 3 et 4 sont des schémas détaillés respectivement, d'un bloc compteur-comparateur représenté par un cadre à la fig.
2B~ et des mémoires similairement ~ontrées à la fig. 2C.
A la fig. 1, on voit que, considérée de l'extérieur, la montre-chronographe comprend un boitier 1, contenant un ensemble électronique d'actionnement des aiguilles de mesure du temps courant et des aiguilles des différentes variantes de fonction chronographe. Le temps courant est affiché, de façon classique, par une aiguille des heures
2, centrale, une aiguille des minutes 3, également cen-trale, une aiguille des minutes 3, également centrale, et une aiguille des secondes 4, en position "six heures", comme cela s'est souvent fait. Les aiguilles de la fonction chronographe consistent en une aiguille des heures de temps chronométrés 8, une aiguille des minutes de temps chronométrés 7, situées respectivement à "douze heures" et "neuf heures". Par contre, les aiguilles les plus importantes pour le chronométrage, c'est-à-dire l'ai-guiLle 6 des secondes de temps chronométrés et l'aiguille 5 des centièmes de seconde de temps chronométrés sont éga-lement des aiguilles centrale, l'aiguille des centièmes de secondes de temps chronométrés travaillant sur ; une graduation tout à fait extérieure d'un cadran cir-.
:,, ' ~' . '' ' ' ' . . . .
~X62(~
culaire sur lequel une unité d'un centième de tour peut aisement être lue.
Comme on le verra plus loin, la montre comprend une serie de memoires de temps chronometrés, et les contenus de ces memoires peuvent être sélectivement affichés, un champ d'affic~ge digital 13, typiquement à cristaux liquides, fournissant l'indication de celle des mémoires dont les aiguilles de la fonction de chro-nographe indiquent le contenu. D'une fa~con qui a déja été proposee, mais uniquement, dans le cas de montres-chronographes, pour de petites aiguilles des centièmes de seconde, l'aiguille des centième de seconde 5 est mue non pas en permanence mais elle est amenee après coup sur la valeur voulue, electroniquement enregistree, une fois que le temps à mesurer a été apprehendé. En fonctionnement, l'aiguille des centièmes de seconde 5 reste immobile tant que le temps est en train d'être compte et que l'on n'a pas appelé l'affichage d'un temps chronométré.
On sait qu'en chronometrage, on distingue diffe-rents types de fonction, la plus simple étant la fonc-tion START-STOP, ou fonction "~ALLYE" des pointages de temps intermediaires n'etant pas alors à realiser. Lors-qu'un certain nombre de temps sont à chronometrer, on conna~t deux fonctions qui sont respectivement denommees SPLIT, et LAP(ou LAP RESET).
La fonction SPLIT est la fonction typique, la plus courante, qui permet des pointages de temps inter-mediaires tout au long d'un parcours ou des pointages de passage de différents coureurs au cours d'un même chro-nometrage de base. ~ l'instant voulu, une pression sur un bouton-poussoir lO a fait démarrer le comptage du chronographe, et une ou plusieurs nouvelles pressions sur ce bouton permettront de noter des temps interm~diai-res, voire un temps ~inal. Par contre~ le comptage debases du temps se poursuivra jusqu'~ ce que l'on y ait ~2~;Z~5~
mis fin par une fonction STOP a l'aide dlun bouton-poussoir 11. ~ne fois qu'une première pression sur ce bouton-poussoir a arrêté le comptage, c'est-~-dire a arrêté les aiguilles des secondes, des minutes et des heures de temps chronométrés et a provoqué le passage de l'aiguille des centiemes de seconde, en un clin d'oeil, sur la valeur désirée, une nouvelle pression sur ce bouton-poussoir 11 remet toutes ces aiguilles en position zéro. Si, durant le fonctionnement continu du comptage de temps de base ayant démarré à l'aide du bouton-poussoir 10, on veut relever des temps inter-mediaires, on utilise à nouveau le bouton-poussoir 10.
Les aiguilles du chronographe s'arrêtent alors (l'ai-guille des centièmes de seconde se positionne adequa tement) et on peut lire le temps intermédiaire. Si plu-sieurs temps intermediaires sont relevés à très peu de temps d'intervalle, seul le premier est d'abord affiché, les autres, mémorisés, devant être ensuite ap-peles, ceci se faisant à l'aide d'un troisième bouton-poussoir 12. On verra plus loin le detail de ce fonc-tionnement.
Relevons que par contre en fonction LAP, chaque pression par laquelle on relève le temps d'un passage n'interrompt pas le fonctionnement du compteur de base mais le remet instantanément à zero, ce qui fait qu'un nouveau comptage debut. Ce système LAP est utilise par exemple pour les circuits de course automobile lorsque l'on veut chaque fois connaitre le temps mis par un cou-reur pour parcourir un tour. Ainsi, l'instant de chrono-métrage de la fin du tour précédent colncide avec l'ins-tant de démarrage du chronométrage du tour suivant.
On note que le nombre de mémoires qu'une telle montre peut contenir peut être relativement élevé, des pièces relativement simples pourront présenter six à huit memoires, d'autres pièces, plus professionnelles, pour-ront en compter vingt, trente, voire cinquante ou da-i~X~
vantage. Au champ d'affichage 13 de la fig. 1, on aprévu un aEfichage à deux chiffres, ce qui au maximum correspondrait ~ quatre-vingt-dix-neu~ mémoires.
On peut également vouloir utiliser la montre uniquement pour mémoriser temporairement les temps que l'on n'a pas pu i~scrire immédiatement, et libérer ensuite les memoires dès que le temps est noté sur une feuille de papier, par exemple; on peut également uti-liser ~a montre, en particulier si elle est munie d'un grand nombre de mémoires, pour mémoriser les temps d'arrivée, par exemple des vingt ou trente coureurs d'une course sportive.
On note encore, ~ la fig. l, la présence d'une pièce 9 ayant la forme d'une couronne de remontoir, celle-ci permet, après tirage, la remise à l'heure des aiguilles indicatrices du temps courant. En même temps, le tirage de cette couronne 9 bloque l'aiguille des se-condes du temps courant, soit en la laissant où elle est soit, en variante, en la faisant revenir à zéro par des moyens classiques.
On va décrire maintenant sommairement les diffé-rentes fonctions~ ou possibilités de fonctionnement, de la partie chronographe. On admet qu'au départ le chro-nographe est en position remise à zéro (RESET), les ai-guilles 5, 6, 7 et 8 étant sur zéro. On peut reconnaî-tre les ~onctions suivantes :
1. Fonction START - STOP - RESET
.. _ . ...
Une pression sur le poussoir lO fait démarrer le compteur de temps, les aiguilles 6, 7 et 8 tournent.
Une pression sur le poussoir ll arr~te le comp-teur de temps, les aiguilles 6, 7 et 8 s'arrêtent, l'ai-guille 5 reçoit un nombre d'impulsions correspondant au nombre de centièmes de seconde mesurés.
Une seconde pression sur le bouton-poussoir ll remet le compteur à zéro, c'est-à-dire que les quatre 7 ~262~5~
aiguilles 5, 6, 7 et 8 sont ramenées ~ zéro. Dans cette ~onction-l~ l'affichage digital 13, représentatif du rang de la mémoire dont le contenu est affiché, reste à zéro.
.. .. .. . .. ... . . .. . ...
2. Fonction S~ART-STOP-STA;~T-STOP-RESET (RALLYE) La fonction est la même que précédemment, à part le fait que, a la suite de la premiere pression sur le poussoir 11, on exerce une nouvelle pression sur le pous-soir lO de façon que les aiguilles 6, 7 et 8 redémarrent, tandis que l'aiguille des centièmes de seconde reste o~
elle était. Ensuite, la prochaine pression à nouveau sur le poussoir 11 arrête les aiguilles, et le processus peut se répéter autant qu'on le veut. A la fin, lorsque ; l'on a pressé deux fois de suite sur le poussoir 11, la seconde pression sur celui-ci ramène toutes les aiguilles à zéro. L'affichage digital 13 reste a zéro également dans cette fonction.
:,, ' ~' . '' ' ' ' . . . .
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culaire sur lequel une unité d'un centième de tour peut aisement être lue.
Comme on le verra plus loin, la montre comprend une serie de memoires de temps chronometrés, et les contenus de ces memoires peuvent être sélectivement affichés, un champ d'affic~ge digital 13, typiquement à cristaux liquides, fournissant l'indication de celle des mémoires dont les aiguilles de la fonction de chro-nographe indiquent le contenu. D'une fa~con qui a déja été proposee, mais uniquement, dans le cas de montres-chronographes, pour de petites aiguilles des centièmes de seconde, l'aiguille des centième de seconde 5 est mue non pas en permanence mais elle est amenee après coup sur la valeur voulue, electroniquement enregistree, une fois que le temps à mesurer a été apprehendé. En fonctionnement, l'aiguille des centièmes de seconde 5 reste immobile tant que le temps est en train d'être compte et que l'on n'a pas appelé l'affichage d'un temps chronométré.
On sait qu'en chronometrage, on distingue diffe-rents types de fonction, la plus simple étant la fonc-tion START-STOP, ou fonction "~ALLYE" des pointages de temps intermediaires n'etant pas alors à realiser. Lors-qu'un certain nombre de temps sont à chronometrer, on conna~t deux fonctions qui sont respectivement denommees SPLIT, et LAP(ou LAP RESET).
La fonction SPLIT est la fonction typique, la plus courante, qui permet des pointages de temps inter-mediaires tout au long d'un parcours ou des pointages de passage de différents coureurs au cours d'un même chro-nometrage de base. ~ l'instant voulu, une pression sur un bouton-poussoir lO a fait démarrer le comptage du chronographe, et une ou plusieurs nouvelles pressions sur ce bouton permettront de noter des temps interm~diai-res, voire un temps ~inal. Par contre~ le comptage debases du temps se poursuivra jusqu'~ ce que l'on y ait ~2~;Z~5~
mis fin par une fonction STOP a l'aide dlun bouton-poussoir 11. ~ne fois qu'une première pression sur ce bouton-poussoir a arrêté le comptage, c'est-~-dire a arrêté les aiguilles des secondes, des minutes et des heures de temps chronométrés et a provoqué le passage de l'aiguille des centiemes de seconde, en un clin d'oeil, sur la valeur désirée, une nouvelle pression sur ce bouton-poussoir 11 remet toutes ces aiguilles en position zéro. Si, durant le fonctionnement continu du comptage de temps de base ayant démarré à l'aide du bouton-poussoir 10, on veut relever des temps inter-mediaires, on utilise à nouveau le bouton-poussoir 10.
Les aiguilles du chronographe s'arrêtent alors (l'ai-guille des centièmes de seconde se positionne adequa tement) et on peut lire le temps intermédiaire. Si plu-sieurs temps intermediaires sont relevés à très peu de temps d'intervalle, seul le premier est d'abord affiché, les autres, mémorisés, devant être ensuite ap-peles, ceci se faisant à l'aide d'un troisième bouton-poussoir 12. On verra plus loin le detail de ce fonc-tionnement.
Relevons que par contre en fonction LAP, chaque pression par laquelle on relève le temps d'un passage n'interrompt pas le fonctionnement du compteur de base mais le remet instantanément à zero, ce qui fait qu'un nouveau comptage debut. Ce système LAP est utilise par exemple pour les circuits de course automobile lorsque l'on veut chaque fois connaitre le temps mis par un cou-reur pour parcourir un tour. Ainsi, l'instant de chrono-métrage de la fin du tour précédent colncide avec l'ins-tant de démarrage du chronométrage du tour suivant.
On note que le nombre de mémoires qu'une telle montre peut contenir peut être relativement élevé, des pièces relativement simples pourront présenter six à huit memoires, d'autres pièces, plus professionnelles, pour-ront en compter vingt, trente, voire cinquante ou da-i~X~
vantage. Au champ d'affichage 13 de la fig. 1, on aprévu un aEfichage à deux chiffres, ce qui au maximum correspondrait ~ quatre-vingt-dix-neu~ mémoires.
On peut également vouloir utiliser la montre uniquement pour mémoriser temporairement les temps que l'on n'a pas pu i~scrire immédiatement, et libérer ensuite les memoires dès que le temps est noté sur une feuille de papier, par exemple; on peut également uti-liser ~a montre, en particulier si elle est munie d'un grand nombre de mémoires, pour mémoriser les temps d'arrivée, par exemple des vingt ou trente coureurs d'une course sportive.
On note encore, ~ la fig. l, la présence d'une pièce 9 ayant la forme d'une couronne de remontoir, celle-ci permet, après tirage, la remise à l'heure des aiguilles indicatrices du temps courant. En même temps, le tirage de cette couronne 9 bloque l'aiguille des se-condes du temps courant, soit en la laissant où elle est soit, en variante, en la faisant revenir à zéro par des moyens classiques.
On va décrire maintenant sommairement les diffé-rentes fonctions~ ou possibilités de fonctionnement, de la partie chronographe. On admet qu'au départ le chro-nographe est en position remise à zéro (RESET), les ai-guilles 5, 6, 7 et 8 étant sur zéro. On peut reconnaî-tre les ~onctions suivantes :
1. Fonction START - STOP - RESET
.. _ . ...
Une pression sur le poussoir lO fait démarrer le compteur de temps, les aiguilles 6, 7 et 8 tournent.
Une pression sur le poussoir ll arr~te le comp-teur de temps, les aiguilles 6, 7 et 8 s'arrêtent, l'ai-guille 5 reçoit un nombre d'impulsions correspondant au nombre de centièmes de seconde mesurés.
Une seconde pression sur le bouton-poussoir ll remet le compteur à zéro, c'est-à-dire que les quatre 7 ~262~5~
aiguilles 5, 6, 7 et 8 sont ramenées ~ zéro. Dans cette ~onction-l~ l'affichage digital 13, représentatif du rang de la mémoire dont le contenu est affiché, reste à zéro.
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2. Fonction S~ART-STOP-STA;~T-STOP-RESET (RALLYE) La fonction est la même que précédemment, à part le fait que, a la suite de la premiere pression sur le poussoir 11, on exerce une nouvelle pression sur le pous-soir lO de façon que les aiguilles 6, 7 et 8 redémarrent, tandis que l'aiguille des centièmes de seconde reste o~
elle était. Ensuite, la prochaine pression à nouveau sur le poussoir 11 arrête les aiguilles, et le processus peut se répéter autant qu'on le veut. A la fin, lorsque ; l'on a pressé deux fois de suite sur le poussoir 11, la seconde pression sur celui-ci ramène toutes les aiguilles à zéro. L'affichage digital 13 reste a zéro également dans cette fonction.
3. onction SI~ ~ SPLI~ E~ PANTE_STOP
Une pression sur le poussoir lO fait démarrer le comptage du temps, les aiguilles 6, 7 et 8 tournent. Une nouvelle pression sur le poussoir lO effectue un "SPLIT", c'est-à-dire que le compteur de temps ne s'arrête pas, mais la première memoire memorise le temps du SPLIT. En m~me temps, le dispositif determinant quelle est la memoire qui est lue, provoque la lecture de la première memoire, de sorte que les aiguilles 6, 7 et 8 s'arrêtent sur le temps correspondant à l'instant o~ l'on a presse sur le bouton lO, et en même temps l'aiguille 5, des centiemes de seconde, rejoint la valeur memorisee. L'af-- 30 fichage digital indique alors "1", ce qui sig~i~ie qu'on a l'affichage du contenu de la premiere memoire.
Lors d'une pression sur le poussoir 12, les ai-guilles 6, 7 et 8 rejoiynent la valeur du temps du comp-teur de temps, plus exactement elles rejoignent la valeur de la memoire suivante, qui est elle-même synchronisée , ' "- ' ' .
~ .
:~
.
~3 ~6;2~
sur le compteur de temps. L'aiguille 5 reste en place;
17affichage 13 marquera "2" laissant entendre qu'on pourrait prendre un second SPLIT, mais on admet ici qu'il n'y en a qu'un. Ensuite, une pression sur le bouton 11 arrete le compteur de temps, les aiguilles 6, 7 et 8 s'arretent sur le temps mesuré, l'aiguille 5 rejoint la position correspondante au nombre de cen~
tièmes mesures.
Une nouvelle pression sur le poussoir 11 remet toutes les aiguilles à zero, et le champ d'affichage 13 indique à nouveau zero.
Une pression sur le poussoir lO fait démarrer le comptage du temps, les aiguilles 6, 7 et 8 tournent. Une nouvelle pression sur le poussoir lO effectue un "SPLIT", c'est-à-dire que le compteur de temps ne s'arrête pas, mais la première memoire memorise le temps du SPLIT. En m~me temps, le dispositif determinant quelle est la memoire qui est lue, provoque la lecture de la première memoire, de sorte que les aiguilles 6, 7 et 8 s'arrêtent sur le temps correspondant à l'instant o~ l'on a presse sur le bouton lO, et en même temps l'aiguille 5, des centiemes de seconde, rejoint la valeur memorisee. L'af-- 30 fichage digital indique alors "1", ce qui sig~i~ie qu'on a l'affichage du contenu de la premiere memoire.
Lors d'une pression sur le poussoir 12, les ai-guilles 6, 7 et 8 rejoiynent la valeur du temps du comp-teur de temps, plus exactement elles rejoignent la valeur de la memoire suivante, qui est elle-même synchronisée , ' "- ' ' .
~ .
:~
.
~3 ~6;2~
sur le compteur de temps. L'aiguille 5 reste en place;
17affichage 13 marquera "2" laissant entendre qu'on pourrait prendre un second SPLIT, mais on admet ici qu'il n'y en a qu'un. Ensuite, une pression sur le bouton 11 arrete le compteur de temps, les aiguilles 6, 7 et 8 s'arretent sur le temps mesuré, l'aiguille 5 rejoint la position correspondante au nombre de cen~
tièmes mesures.
Une nouvelle pression sur le poussoir 11 remet toutes les aiguilles à zero, et le champ d'affichage 13 indique à nouveau zero.
4. Fonction STA~T-:SPLIT-n SPLIT-RATTRAPANTE
Une pression sur le poussoir lO fait démarrer le compteur de temps, les aiguilles 6 et 7 tournent.
Ensuite, une première pression de SPLIT, ~ nouveau sur le poussoir lO, provoque la mémorisation dans une pre-mière mémoire du temps ainsi détecté, mais le compteur de temps de base ne s'arrete pas. Par contre, les ai-guilles 6, 7 et 8 s'arrêtent sur les positions corres-pondant au temps ainsi mémorisé et l'aiguille 5 rejointla vale~ur mémorisée. L'affichage digital 13 indique "1".
Ensuite, on peut, par exemple, si un certain nombre de coureurs arrivent très rapidement à l'endroit de poin-tage, effectuer un certain nombre de nouvelles pressions sur le poussoir lO. Les ~aleurs de temps correspondantes sont successivement mémorisées, chaque fois dans une mémoire ulterieure. L'affichage digital indique cepen-dant toujours la valeur "1", et les aiguilles restent positionnées sur les indications du premier temps en-registré. Lorsque celui-ci a été noté, une pression sur le poussoir 12 fait passer l'affichage sur la seconde memoire, l'affichage digital 13 indique "2", et les ai-guilles 5, 6, 7 et 8 sont rapidement amenees sur la va-leur memorisée~dans la seconde memoire, c'est-à-dire qu'elles indiquent le temps du second "SP~IT". Ce der-nier peut être noté, puis une nouvelle pression sur le ~L2~ 5~
poussoir 12 fait de la meme manière apparaitre le temps enregistré dans la troisième mémoire, tandis que l'affi-chage digital 13 indiaue "3". On peut ainsi poursuivre l'appel des temps successivement mémorisés dans les dif-férentes mémoires. S'il arrive que l'on passe sur unemémoire qui n'a pas encore enregistré de temps, les ai-guilles 6, 7 et 8 se remettent à tourner, car cette mé-moire-là est encore synchronisée sur le compteur de base.
Lorsque le coureur suivant arrive, une nouvelle pression sur le poussoir lO enregistre le temps correspondant ' dans la mémoire en question, les aiguilles 6, 7 et 8 s'arrêtent de tourner tandis que l'aiguille 5, restée immobile jusque-là, gagne la position correspondant à
la valeur de centième de seconde memorisée. A tout moment, on peut, si on le veut, effectuer une fonction de RATTRAPANTE, ou plus exactement une fonction de resyn-chronisation de toutes les mémoires~ Pour cela, il faut tout d'abord presser sur le poussoir 12, puis, tandis que celui-ci est pressé, presser également sur le pous-soir ll. Cela a pour effet de resynchroniser toutes lesmémoires sur le compteur de temps de base, en meme temps que l'affichage de la mémoire lue, dans le champ digital ; 13, est remis à zéro. Cette fonction de "RATTRAPANTE", ou RESYNCHRONISATION est utile principalement lorsque, après avoir chargé toutes les mémoires, il reste encore des temps à prélever, c'est-à~dire que le nombre des coureurs est supérieur au nombre de mémoires. On peut alors recommencer à prendre des temps (SPLITS) qui re-viendront successivement dans les mémoires 1, 2, etc.
Pour appeler l'affichage dela prochaine mémoire, on exer-ce une pression sur le poussoir 12. Il est ~ noter que, au moment du premier SPLIT alors que l'affichage digital 13 est encore sur zéro, le passage sur "l" se fait auto-matiquement, et les aiguilles se positionnent sur la va-leur mémorisée dans la première mémoire, sans qu'il soit necessaire d'agir sur le poussoir 12. Lorsque tous les 21)5i~
temps ont ~té inscrits dans des mémoires, c'est-a-dire lorsque tous les coureurs ont passé, on peut arreter le comptage, par une pression sur le poussoir 11, ensuite de quoi on peut, si on le désire, remettre a zéro le compteur de base, en meme temps que toutes les mémoires sont resynchronisées sur ce compteur de base lui-meme à
zéro, llopération de comptage étant ainsi terminée. Avant de remettre toutes les mémoires à zéro, il convient tou-tefois d'appeler, à l'aide du poussoir 12, tous les con-tenus de mémoires mémorisés. Si l'on passe sur une mémoi-re qui n'a pas enregistré de temps, cette mémoire, encore synchronisée sur le compteur de hase, provoquera le posi-tionnement des aiguilles sur l'instant o~ l'on a arrêté
le comptage. Une pression encore ultérieure sur le pous-soir 12 ramène automatiquement la lecture de mémoire sur"O", car le cycle de l'appel des comptages est automati-quement limité à une posi ffin au-dela du nombre de mémoi-res ayant été chargees.
Tant que l'on n'a pas remis tout le compteur ~
zéro, par deux pressions successives sur le poussoir 11, et tant que l'on n'a pas non plus effectué de fonction RATTRAPANTE ou RESYNCHRONISATION comme précédemment in-diqué (à l'aide du poussoir 12 et du poussoir 11), on peut si on le desire reparcourir le cycle des mémoires afin ~eventuellement de controler que les differents temps ont bien ete notes. La fonction d'appel successive des contenus des mémoires, à l'aide du poussoir 12, continue en effet d'être réalisable à l'état arrête du compteur, tant que celui-ci n'a pas été remis à zéro.
Une pression sur le poussoir lO fait démarrer le compteur de temps, les aiguilles 6 et 7 tournent.
Ensuite, une première pression de SPLIT, ~ nouveau sur le poussoir lO, provoque la mémorisation dans une pre-mière mémoire du temps ainsi détecté, mais le compteur de temps de base ne s'arrete pas. Par contre, les ai-guilles 6, 7 et 8 s'arrêtent sur les positions corres-pondant au temps ainsi mémorisé et l'aiguille 5 rejointla vale~ur mémorisée. L'affichage digital 13 indique "1".
Ensuite, on peut, par exemple, si un certain nombre de coureurs arrivent très rapidement à l'endroit de poin-tage, effectuer un certain nombre de nouvelles pressions sur le poussoir lO. Les ~aleurs de temps correspondantes sont successivement mémorisées, chaque fois dans une mémoire ulterieure. L'affichage digital indique cepen-dant toujours la valeur "1", et les aiguilles restent positionnées sur les indications du premier temps en-registré. Lorsque celui-ci a été noté, une pression sur le poussoir 12 fait passer l'affichage sur la seconde memoire, l'affichage digital 13 indique "2", et les ai-guilles 5, 6, 7 et 8 sont rapidement amenees sur la va-leur memorisée~dans la seconde memoire, c'est-à-dire qu'elles indiquent le temps du second "SP~IT". Ce der-nier peut être noté, puis une nouvelle pression sur le ~L2~ 5~
poussoir 12 fait de la meme manière apparaitre le temps enregistré dans la troisième mémoire, tandis que l'affi-chage digital 13 indiaue "3". On peut ainsi poursuivre l'appel des temps successivement mémorisés dans les dif-férentes mémoires. S'il arrive que l'on passe sur unemémoire qui n'a pas encore enregistré de temps, les ai-guilles 6, 7 et 8 se remettent à tourner, car cette mé-moire-là est encore synchronisée sur le compteur de base.
Lorsque le coureur suivant arrive, une nouvelle pression sur le poussoir lO enregistre le temps correspondant ' dans la mémoire en question, les aiguilles 6, 7 et 8 s'arrêtent de tourner tandis que l'aiguille 5, restée immobile jusque-là, gagne la position correspondant à
la valeur de centième de seconde memorisée. A tout moment, on peut, si on le veut, effectuer une fonction de RATTRAPANTE, ou plus exactement une fonction de resyn-chronisation de toutes les mémoires~ Pour cela, il faut tout d'abord presser sur le poussoir 12, puis, tandis que celui-ci est pressé, presser également sur le pous-soir ll. Cela a pour effet de resynchroniser toutes lesmémoires sur le compteur de temps de base, en meme temps que l'affichage de la mémoire lue, dans le champ digital ; 13, est remis à zéro. Cette fonction de "RATTRAPANTE", ou RESYNCHRONISATION est utile principalement lorsque, après avoir chargé toutes les mémoires, il reste encore des temps à prélever, c'est-à~dire que le nombre des coureurs est supérieur au nombre de mémoires. On peut alors recommencer à prendre des temps (SPLITS) qui re-viendront successivement dans les mémoires 1, 2, etc.
Pour appeler l'affichage dela prochaine mémoire, on exer-ce une pression sur le poussoir 12. Il est ~ noter que, au moment du premier SPLIT alors que l'affichage digital 13 est encore sur zéro, le passage sur "l" se fait auto-matiquement, et les aiguilles se positionnent sur la va-leur mémorisée dans la première mémoire, sans qu'il soit necessaire d'agir sur le poussoir 12. Lorsque tous les 21)5i~
temps ont ~té inscrits dans des mémoires, c'est-a-dire lorsque tous les coureurs ont passé, on peut arreter le comptage, par une pression sur le poussoir 11, ensuite de quoi on peut, si on le désire, remettre a zéro le compteur de base, en meme temps que toutes les mémoires sont resynchronisées sur ce compteur de base lui-meme à
zéro, llopération de comptage étant ainsi terminée. Avant de remettre toutes les mémoires à zéro, il convient tou-tefois d'appeler, à l'aide du poussoir 12, tous les con-tenus de mémoires mémorisés. Si l'on passe sur une mémoi-re qui n'a pas enregistré de temps, cette mémoire, encore synchronisée sur le compteur de hase, provoquera le posi-tionnement des aiguilles sur l'instant o~ l'on a arrêté
le comptage. Une pression encore ultérieure sur le pous-soir 12 ramène automatiquement la lecture de mémoire sur"O", car le cycle de l'appel des comptages est automati-quement limité à une posi ffin au-dela du nombre de mémoi-res ayant été chargees.
Tant que l'on n'a pas remis tout le compteur ~
zéro, par deux pressions successives sur le poussoir 11, et tant que l'on n'a pas non plus effectué de fonction RATTRAPANTE ou RESYNCHRONISATION comme précédemment in-diqué (à l'aide du poussoir 12 et du poussoir 11), on peut si on le desire reparcourir le cycle des mémoires afin ~eventuellement de controler que les differents temps ont bien ete notes. La fonction d'appel successive des contenus des mémoires, à l'aide du poussoir 12, continue en effet d'être réalisable à l'état arrête du compteur, tant que celui-ci n'a pas été remis à zéro.
5. Fonction START-n ARRIVEES MEMORISEES
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Une première pression sur le poussoir lO fait demarrer le compteur, les aiguilles 6, 7 et 8 ~ournent. En-suite, une première pression de prise de temps à nouveau sur le poussoir lO provoque l'affichage du premier temps ainsi memorise dans la premi~re mémoire, l'affichage digi-11 ~L2~ 5~
tal 13 indique "1". On peut ensuite poursuivre tout le processus comme il a ét~ expliqué précédemment, sous 4, en arrêtant le comptage ~ l'aide du poussoir 11 (stop), lorsque tous les temps ont été appréhendes. Dans ces cir-constances, tous les temps restent en mémoire et leure~ploration successive se fait ~ l'aide du poussoir 12.
Pour la remise de tout le chronographe à zéro, il faut effectuer une seconde pression sur le poussoir 11.
Il y a lieu de noter que lorsque le compteur mar-che, une pression sur le poussoir 11 l'arrête, et quelorsque le compteur est arrêté, une pression sur le pous-soir 11 remet le chronographe à zéro. Il est indifférent que ces deux pressions, la premiere de STOP et~aseconde de RESET~ aient ete effectuees juste l'une apres l'autre, ou au contraire qu'un certain nombre d'appels d'affichage de memoires à l'aide du poussoir 12 soit intervenu entre temps. L'important est que la fonction RESET s'effectue par une pression sur le poussoir 11, lorsque le compteur est arrête.
Il est à remarquer quel selon que l'on a l'une ou l'autre de deux variantes qui seront expliquees en liaison avec le schéma, la fonction RATTRAPANTE, RESYNCHRONISA-; TION peut soit être possible seulement lorsque le compteur fonctionne, soit être possible egalement lorsque le comp-2~ teur est arrête. Pour effectuer cette fonction, il faut toujours tout d'abord presser le poussoir 12, qui prépa re l'action, puis le poussoir 11, qui resynchronise toutes les mémoires sur le compteur de base. Si celui-ci est ar-rêté, toutes les memoires se resynchroniseront sur la valeur à laquelle le compteur de base est arrete. Par contre, du fait que le poussoir 11 est presse pendant que le poussoir 12 l'est également, cette pression sur le poussoir 11 ne provoque pas une remise ~ zéro (ou RESET).
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Une première pression sur le poussoir lO fait demarrer le compteur, les aiguilles 6, 7 et 8 ~ournent. En-suite, une première pression de prise de temps à nouveau sur le poussoir lO provoque l'affichage du premier temps ainsi memorise dans la premi~re mémoire, l'affichage digi-11 ~L2~ 5~
tal 13 indique "1". On peut ensuite poursuivre tout le processus comme il a ét~ expliqué précédemment, sous 4, en arrêtant le comptage ~ l'aide du poussoir 11 (stop), lorsque tous les temps ont été appréhendes. Dans ces cir-constances, tous les temps restent en mémoire et leure~ploration successive se fait ~ l'aide du poussoir 12.
Pour la remise de tout le chronographe à zéro, il faut effectuer une seconde pression sur le poussoir 11.
Il y a lieu de noter que lorsque le compteur mar-che, une pression sur le poussoir 11 l'arrête, et quelorsque le compteur est arrêté, une pression sur le pous-soir 11 remet le chronographe à zéro. Il est indifférent que ces deux pressions, la premiere de STOP et~aseconde de RESET~ aient ete effectuees juste l'une apres l'autre, ou au contraire qu'un certain nombre d'appels d'affichage de memoires à l'aide du poussoir 12 soit intervenu entre temps. L'important est que la fonction RESET s'effectue par une pression sur le poussoir 11, lorsque le compteur est arrête.
Il est à remarquer quel selon que l'on a l'une ou l'autre de deux variantes qui seront expliquees en liaison avec le schéma, la fonction RATTRAPANTE, RESYNCHRONISA-; TION peut soit être possible seulement lorsque le compteur fonctionne, soit être possible egalement lorsque le comp-2~ teur est arrête. Pour effectuer cette fonction, il faut toujours tout d'abord presser le poussoir 12, qui prépa re l'action, puis le poussoir 11, qui resynchronise toutes les mémoires sur le compteur de base. Si celui-ci est ar-rêté, toutes les memoires se resynchroniseront sur la valeur à laquelle le compteur de base est arrete. Par contre, du fait que le poussoir 11 est presse pendant que le poussoir 12 l'est également, cette pression sur le poussoir 11 ne provoque pas une remise ~ zéro (ou RESET).
6. Fonctlon S~ART-LAP-(RATTRA:PANT~iLAP ou n LAP, etc.
Les différentes fonctions que l'on vient de voir .
s~
~t qui permettaient de mémoriser des temps intermediaires sans arrêt du compteur (SPLITS), peuvent ~tre effectués simultanément en tant que fonction LAP (ou LAP-RESET).
Pour cela, les temps sont appréhendés a l'aide du poussoir lO, comme cela a été vu précédemment, mais, préalablement à l'actionnement du poussoir lO, on presse le poussoir 12 qui prépare la fonction LAP ou lieu de la fonction SPLIT.
Dans ce cas, le temps est mémorisé et le compteur ne s'ar-rete pas mais est instantanément remis à zéro pour repartir lo de zéro. Les aiguilles 6, 7 et 8 s'arrêtent et l'aiguille des centièmes de seconde se positionne adéquatement;
l'affichage digital 13 indique "1". Si l'on n'effectue pas de fonctio~ RATTRAPANTE, RESYNCHRONISATION entretemps, un nouveau ~AP pourra ensuite etre effectue de la meme façon, toutefois le temps s'enregistrera dans la seconde memoire.
Pour faire cette seconde lecture, on devra presser une fois sur le poussoir 12, afin d'avoir l'affichage du con-tenu de la seconde mémoire. Si l'on a effectue cette me-sure avant le second LAP, les aiguilles 6, 7 et 8 se re-20 mettront ~ tourner (fonction de pseudo-rattrapante), et l'aiguille des centièmes de seconde 5 restera fixe. Lors-que le second LAP sera fait à l'aide du poussoir lO, alors que l'on aura préalablement pressé le poussoir 12, le deuxième temps de LAP se trouvera arr~té, c'est-~-dire que ~; 25 les aiguilles 6, 7 et 8 s'arreteront tandis que l'aiguille 5 gagnera la position voulue. On peut par exemple de cette fa~on chronométrer successivement le temps exact qu'une voiture automobile aura mis chaque fois ~our effectuer un tour dans une course automobile. La première mémoire mémo-risera le temps du premier tour, la secon~e mémoire le temps du second tour, la troisième mémoire le temps du troisième tour, etc. Si l'on a ~ mémoriser un nombre de temps de tours supérieur au nombre de mémoires disponibles, on peut utili-ser la fonction RATTRAPANTE, RESYNCHRONISATION exactement comme cela a ét- ~u précédemment; naturellement les temps .
13 ~2~5~
de tours mémorisés anterieurement à la RESYNCHRONISATION
sont perdus, c'est-a-dire que les mémoires sont déchar~ees et rendues libres pour les prochaines mémorisation.
Il est à noter que selon la constitution d'un compteur d'entrée de SPLIT ou de LAP 39, que l'on consi-dérera plus loin, il est possible de prévoir que, une fois la dernière mémoire chargée, le prochain SPLIT ou le prochain LAP recharge a nouveau la première mémoire.
A ce moment-là, à supposer que l'on ait 25 mémoires et 10 que 27 SPLITS ou LAPS aient d~ être mémorisés, les deux premières memoires memoriseront les temps 26 et 27, tan-dis que les mémoires 3 à 25 mémoriseront encore les temps 3 à 25. Cette possibilité n'est toutefois qu'une variante qui depend de la constitution d'un compteur dans le cir-cuit electronique.
Les différentes fonctions que l'on vient de voir .
s~
~t qui permettaient de mémoriser des temps intermediaires sans arrêt du compteur (SPLITS), peuvent ~tre effectués simultanément en tant que fonction LAP (ou LAP-RESET).
Pour cela, les temps sont appréhendés a l'aide du poussoir lO, comme cela a été vu précédemment, mais, préalablement à l'actionnement du poussoir lO, on presse le poussoir 12 qui prépare la fonction LAP ou lieu de la fonction SPLIT.
Dans ce cas, le temps est mémorisé et le compteur ne s'ar-rete pas mais est instantanément remis à zéro pour repartir lo de zéro. Les aiguilles 6, 7 et 8 s'arrêtent et l'aiguille des centièmes de seconde se positionne adéquatement;
l'affichage digital 13 indique "1". Si l'on n'effectue pas de fonctio~ RATTRAPANTE, RESYNCHRONISATION entretemps, un nouveau ~AP pourra ensuite etre effectue de la meme façon, toutefois le temps s'enregistrera dans la seconde memoire.
Pour faire cette seconde lecture, on devra presser une fois sur le poussoir 12, afin d'avoir l'affichage du con-tenu de la seconde mémoire. Si l'on a effectue cette me-sure avant le second LAP, les aiguilles 6, 7 et 8 se re-20 mettront ~ tourner (fonction de pseudo-rattrapante), et l'aiguille des centièmes de seconde 5 restera fixe. Lors-que le second LAP sera fait à l'aide du poussoir lO, alors que l'on aura préalablement pressé le poussoir 12, le deuxième temps de LAP se trouvera arr~té, c'est-~-dire que ~; 25 les aiguilles 6, 7 et 8 s'arreteront tandis que l'aiguille 5 gagnera la position voulue. On peut par exemple de cette fa~on chronométrer successivement le temps exact qu'une voiture automobile aura mis chaque fois ~our effectuer un tour dans une course automobile. La première mémoire mémo-risera le temps du premier tour, la secon~e mémoire le temps du second tour, la troisième mémoire le temps du troisième tour, etc. Si l'on a ~ mémoriser un nombre de temps de tours supérieur au nombre de mémoires disponibles, on peut utili-ser la fonction RATTRAPANTE, RESYNCHRONISATION exactement comme cela a ét- ~u précédemment; naturellement les temps .
13 ~2~5~
de tours mémorisés anterieurement à la RESYNCHRONISATION
sont perdus, c'est-a-dire que les mémoires sont déchar~ees et rendues libres pour les prochaines mémorisation.
Il est à noter que selon la constitution d'un compteur d'entrée de SPLIT ou de LAP 39, que l'on consi-dérera plus loin, il est possible de prévoir que, une fois la dernière mémoire chargée, le prochain SPLIT ou le prochain LAP recharge a nouveau la première mémoire.
A ce moment-là, à supposer que l'on ait 25 mémoires et 10 que 27 SPLITS ou LAPS aient d~ être mémorisés, les deux premières memoires memoriseront les temps 26 et 27, tan-dis que les mémoires 3 à 25 mémoriseront encore les temps 3 à 25. Cette possibilité n'est toutefois qu'une variante qui depend de la constitution d'un compteur dans le cir-cuit electronique.
7. Fonction d'indications -tem~oraires de dates Durant le fonctionnement en chronographe, le champ d'affichage digital 13 affiche le rang de la memoire dont le contenu est affiche. Lorsque le chronographe n'est 20 pas utilise, ce champ d'affichage indique la date. Il peut arriver toutefois que, durant un chronometrage, on veuille rapidement s'assurer de la date, sans pour autant abandon-ner l'etat de chronometrage. Cela peut se faire par une pression "de longue duree" sur le poussoir 12. En effet, 25 si, alors que le champ 13 affiche le rang d'une memoire, on presse sur le poussoir 12 durant plus qu'environ 3 se~, un circuit temporise fait que, après approximativement 3 sec, - la commande de l'affichage 13 change et c'est la date qui apparait dans ce champ. Cette apparition de la date sub-30 siste aussi longtemps que le poussoir 12 est presse; dès qu'il est relâche, le rang de mémoire lue est ~ nouveau affiche. Une telle pression sur le poussoir 12, pour fai-re appara~tre temporairement la date, ne provoque pas l'ac-tion sinon habituelle d 7 une pression sur le poussoir 12, 3~ c'est-à-dire l'avance d'un pas du rang de la memoire dont ~26~11~i1 le contenu est aE~iché.
Ayant maintenant considéré les dif~érentes possi-bilites de combinaisons de fonctions possibles avec la montre-chronographe décrite, on va, en liaison avec les fig. 2 (2A, 2B, 2C, 2D), 3 et 4, examiner la constitution interne de la montre, du point de vue électronique et lo-gique.
Il faut d'abord remarquer que les quatre figures 2A, 2B, 2C et 2D forment un tout, de la maniere qui est illustrée ~ la fig. 2E. La fig. 3 est un schéma du comp-teur-comparateur 51 de la fig. 2B, dont la structure assez particuli~re méritait d'etre représentee plus en detail.
La fig. 4 est un schéma détaillé d'une memoire telle que les mémoires 66, 67, 681 n de la fig. 2C. On notera en-core que, pour retrouver plus facilement les éléments,on a pris des signes de référence situes entre 20 et 39 pour la fig. 2A, entre 40 et 59 pour la fig. 2B, entre 60 et 79 pour la fig. 2C et entre 80 et 110 pour la fig. 2D.
Les signes de reférence de la fig. 3 se situent entre 110 et 120, ceux de la fig. 4 entre 130 et 140.
On considérera d'abord le schéma tel qu'il appa-ralt sur l'ensemble des fig. 2A, 2B~ 2C, 2D. D'une façon générale, on remarque que le schéma est de lui-même rela-tivement "parlant" pour un électronicien expérimenté, et que certains détails qui n'auront peut-être pas éte expli-qués dans le texte pourront fort bien être compris simple-ment à la vue des figures.
Un oscillateur 21, piloté par quartz, fournit une fréquence élevée qui est divisée jusqu'à 100 Hz dans un diviseur de fréquence 22. Depuis la, on a, pour la fonc-tion d'affichage du temps courant, un second diviseur de frequence 23 fournissant une fréquence de 1 ~3z. Celle-ci est appliquée à une porte ET 24, dont l'aukre entrée se voit appliquer un niveau "1", a moins qu'un interrupteur SO (seconde ~ zéro) soit manipule et applique un niveau .
" , ' ., ' .
.
~6Z~
zéro sur cette autre entrée. Ce commutateur est fermé
(passant) lorsque l'on manoeuvre la couronne 9 de remise à l'heure m~canique des aiguilles 2, 3 et 4 d'indications du temps courant~ Dans ce cas, les impulsions a l Hz ne peuvent plus traverser la porte 24 et le moteur pas a pas qui actionne l'aiguille des secondes du temps courant est arrêté. En variante, on pourrait prévoir un dispositif mécanique ou électronique qui non seulement arr~te l'ai-guille des secondes mais la remet ~ zéro. En temps normal, des impulsions à l Hz sortent de la porte 24 et sont ap-pliquées à un circuit 25 qui procède à la mise en forme voulue des impulsions destinées à faire avancer d'un pas chaque seconde un moteur 36. Ce moteur 36 actionne, comrne on le voit en 37a,une aigu~le des secondes, laquelle, par un mécanisme d'engrenage classique, entraîne une aiguille des minutes qui elle-meme entraine l'aiguille des heures.
Un contact H (voir fig. 2B en bas ~ gauche) est actionné
deux fois par jour par l'aiguille des heures du temps courant, pour le comptage de la date. Pour la remise a l'heure à l'aide de la couronne 9, on a classiquement un dispositif de lanternage.
Cet affichage du temps courant est classique et ne demande pas d'explications plus détaillées.
La sortie a lOO Hz du diviseur de fréquence 22 est également appliquée a une porte 30 qui constitue la porte de commande du compteur de temps de base pour la fonction chronographe. Lorsque l'autre entrée de cette porte 30 porte un niveau "l", des irnpulsions à lOO Hz sont émises par la porte 30 et font fonctionner-le compteur de chrono-graphe (temps chronométrés), par contre, lorsque le ni-veau sur cette autre entrée est "O", l'impulsion à lOO Hz n'est pas transmise et le compteur de base de la fonction chronographe est arrête.
On voit que le bouton-poussoir lO agit tout d'abord sur un étage de mise en forrne 26, dont le signal de sortie 05i~
met à l'état de travail un flip-flop 29. La sortie Q de ce dernier est appliquee à la seconde entrée de la porte ET 30, de sorte que le compteur de base de la fonction chronographe fonctionne lorsque le flip-flop 29 est a ltetat de travail tandis qu'il est arr8te lorsque ce flip-flop est à l'etat de repos. Par l'agencement, d'une ma-nière connue, de deux portes OU INVERSE 31 et 32, un second flip-flop, 28, suit dans ses basculements le flip-flop 29, mais avec un retard egal ~ la duree de l'impulsion qui agit sur le flip-flop 29. En effet, dès que le compteur de chronographe est en fonction, c'est-à-dire que la porte 30 est passante, un nouvel actionnement du bouton-poussoir lO provoque une fonction de SPLIT. Il faut toutefois eviter que le premier actionnement de ce bouton-poussoir, qui fait demarrer le compteur, ne provoque deà un SPLIT, raison pour laquelle l'autorisation de la ~onction SPLIT, n'intervien-t que lorsque le flip-flop 28 est egalement passe à son etat de travail, c'est-à-dire lorsque l'impulsion delivree par le formeur d'impulsions 28 à disparu.
Pour remettre le flip-flop 29 à l'etat de repos, 1~ bouton poussoir 11 est actionne et son impulsion est mise en forme par un circuit 27~ Cette impulsion est appli-quee à une porte ET 37 dont une autre entree re~oit le signal de la sortie Q du flip-flop 28, et dont une autre entrée encore reçoit un signal C qui est au niveau "1"
lorsque le bouton-poussoir 12 n'est pas presse et qui passe au niveau "O", lorsque ce dernier est pressé. De cette facon, si le bouton-poussor 11 est manipule alors que le bouton-poussoir 12 est presse, la fonction STOP ne peut pas se faire. Si tel n'est pas le cas et si le compteur est en fonctionnement, c'est-à-dire que les flip flops 28 et 29 sont aux positions de travail, une pression sur le bouton-poussoir 11 amene un signal de niveau "1" a la sor-tie de la porte 37, et le flip-flop 29 est immediatement remis a l'etat de repos. Com~e le signal sortant du circuit ~2~ S~L
de mise en forme 29 est également appliqué ~ la seconde entrée de la porte OU INVERSE 32, le basculement de retour du flip-flop 28 ne suit celui du flip-flop 29 qu'au moment o~ le bouton-poussoir ll a été rel~ché.
En effet, une seconde manipulation du bouton-pous-soir ll provoque une fonction de remise à zéro (RESET) par l'intermédiaire d'une porte ET 38, dont une entrée recoit le signal issu du formeur d'impulsions 27 et dont une autre entrée reçoit le signal issu de la sortie Q du flip-flop 28. ~e cette maniere, la remise à zéro nécessite obligatoirement deux manipulations du poussoir ll, lequel doit d'abord avoir été relâché pour faire basculer en re-tour le flip-flop ~8, avant qu'une nouvelle manipulation puisse provoquer la fonction de remise ~ zéro ~ travers la porte 38. Cette derni~re reçoit egalement le signal C, qui a le même effet qu'on vient d'expliquer concernant la porte 37.
Selon l'état du flip-flop 29, la porte 30 est donc passante ou non, et le compteur de base de la fonction chronographe est soit en marche soit arrêté. ~
En considérant la fig. 2C, on voit que le signal de sortie de la porte 30, par une ligne CT,est appliqué
dlabord a un ~ormeur d'impulsions 51 qui délivre une im-pulsion tous les centiemes de seconde. Cette impulsion est appliquée a l'entrée d'horloge d'un compteur-mémoire 650 qui compte selon un cycle de lOO,(de préférence deux quartetts BCD en série) et qui fournit l'information des centièmes de seconde de chronographe. On reviendra plus loin sur la constitution exacte de ce compteur-mémoire. Cet-te information est fournie sur une ligne formée d'une plu-ralité de conducteurs, raison pour laquelle la liaison est dessinée en traits ~pais. Le conducteur ayant la plus haute pondération bascule une fois par cycle et il est tiré de l'information de sortie du compteur-mémoire 650 pour etre ~2~;Z~
appliqué à un formeur d'impulsions 62 qui délivre un si-ynal à une impulsion par seconde. Similairement, ce signal actionne un compteur-mémoire 660, qui compte à 60 et qui fournit 11indication des secondes sur une ligne comprenant une plur~lité de conducteurs. A nouveau l'information du conducte1r ayant la plus haute pondération est prélevée de cette information pour être appliqu~e ~ un formeur d'im-pulsions 63 qui délivre une impulsion par minute, laquelle est appliquée comme impulsion d'horloge à un compteur-mémoi-re 670 qui compte les minutes. Ce dernier délivre l'infor-mation des minutes sur une ligne à multi-conducteurs, et le signal de pondération la plus haute est preleve pour etre appliqué à un etage formeur d'impulsions 64 qui delivre un~
impulsion par heure sur un compteur-memoire 68 delivrant l'information des heures sur une ligne multi-conducteurs.
L'ensemble des compteurs-memoires 650, 660, 670 et 680 constitue le compteur de base de la fonction chrono-graphe.
Les quatre informations multiples de sortie de ces compteurs, à savoir l'information des centièmes de seconde de chronographe, l'information des secondes de chronographe, l'information des minutes de chronographe, et l'information des heures de chronographe, son~ delivrees sur des lignes omnibus qui sont appliquées respectivement sur les entrees de mise en position E de toute une serie de memoires 65l-pour les centièmes de seconde, 66l-66n pour les secon-des, 67l-67n pour les minutes et 68l-68 pour les heures.
Ainsi, on a n groupes de quatre mémoires, chaque groupe etant toutefois considéré comme étant une mémoire d'infor-mation de temps, allant des centièmes de seconde aux heures.Ainsi, on parlera ensuite dela m~moire no l, pour le grou-pe formé des mémoires (partielles 65l,66l,671,6al, de la mémoire no 2 pour le groupe form~ des mémoires ~partielles) suivantes, e~c... jusqu'~ la mémoire no n, pour le groupe 19 ~ 2 ~Z ~ ~
forme des mémoires (partielles) 65 , 66 , 67 , 68 .
Chaque mémoire (partielle) represen~ee à la fig. 2C
peut avoir avantageusement la struc~ure representée ~ la fig. 4. On voit qu'elle se compose d'un élément-mémoire 5 proprement dit 135, dont l'entrée est co~nandée par une porte multiple 13~, qui laisse passer ou non l'infonnation multiple située sur l'entrée E. De m~me la sortie de l'élé-ment-mémoire 135 est appliquée à un circuit de sortie 136 qui comprend un circuit-porte ET multiple 136a, et un grou-10 pe d'étages de sortie 136b. A nouveau l'in~ormation sortantde l'elément- memoire 135 peut être transmiseou arrêt~ selon la commande fournie à la porte multiple 136a~ A la fig. 4, on a représenté un seul des étages de sortie, et l'on voit qu'il est formé d'un transistor 137 travaillant sur une 15 résistance 138. Une telle configuration d'étages de sortie permet de mettre sans difficulte en parallèle les étages de sortie homologues de toutes les memoires de même pon-deration, cette connexion galvanique directe de toutes les sorties sur un conducteur etablissant automatiquement une 20 fonction oU. On note que la resistance 138 peut être ex-trêmement elevee, compte tenu du fait qu'il en aura un grand nombre en parallèle. On peut aussi prevoir de n'avoir une résistance 138 que par exemple sur les sorties des der-nières memoires, de rang n, les autres etant simplement 25 5 U~primeeS .
Une entrée Ts commande la porte multiple de sortie 136a, et il n'y a jamais qu'une memoire, la première, la deuxième ou la n-]~ième, o~a n:~ième, dont la sor~ie est passante. En effet, comme on le verra, il n'y a jamais 30 qu'une des m~moires (complète allant des centièmes de se-conde aux heures) qui recoit un signal de niveau "1" sur son entree Ts. Les entrees Ts des differentes memoires sont alimentees par les lignes Ao - An, qui correspondent aux differentes sorties du compteur-comparateur 51 que l'on 35 considerera plus loin. ~n remarque que les compteurs-me-~6~0~
20moires 650-680 comprennent un meme circuit de sortie 136a, ce qui permet de commander leur sortie exactement comme celle des simples mémoires, également par une entrée TS.
Concernant ces compteurs-mémoires, il y a lieu de dire 5 encore qu'ils comprennent deux sorties, l'une (MC0, MS0, MMO, MHO) pour fournir en permanence l'information corres-pondante, pour les m~moires subordonnées et une autre sortie S, commandée par un circuit semblable au circuit 136 de la fig. 4, et qui ne délivre une in~ormation que lorsque l'on veut afficher l'information même contenue dans les compteurs-mémoixes, c'est-a-dire le compteur de base de la fonction chronographe.
L'ouverture ou la fermeture de la porte multiple 134, ~ l'entrée de chaque mémoire (partielle) est comman-15 dé par un flip-flop 132 qui est mis en position de travail sur r~ception d'une impulsion BL (blocage), passant par un étage de mise en forme 130, et qui est mis en position de repos par une impulsion sur une entrée Sy (Synchronisa-tion) par l'intermédiaire de l'étage de mise en forme 131.
20 C'est l'information de la sortie Q du flip-flop 132 qui commande la porte multiple 134, en passant toutefois par une porte OU 133. En effet, l'impulsion de blocage, par-venant par l'étage 130, met le flip-flop 132 a l'état de travail et établit donc un niveau zéro a la sortie Q.
25 Toutefois, durant l'impulsion même, étant donné la conne-xion entre l'entrée s du flip-flop 132 et la seconde entree de la porte OU 133, le niveau appliqué a la porte multiple 134 est toujours le niveau "1". Ainsi donc, si la porte était antérieurement passante, l'impulsion Bl la rend 30 non passante, mais seulement a partir du moment de sa dis-parition. Si par contre, une impulsion BL est appliquée alors que le flip-flop 132 est déj~ a l'état de travail, c'est-~-dire que la porte 134 est déja non passante, un niveau "1" apparait ~ l'entrée de cette porte 134 seule-35 ment durant la très brève durée de l'impulsion delivree ~ILX~ 5~L
21par l'étage ~ormeur d'impulsions 130, ce qui ~ait que, durant un bre~ instant, l'information présente sur l'en-trée E peut passer sur l'élément-memoire 135. Ainsi, plu-sieurs impulsions sL successives, ont pour effet de re-positionner sur une nouvelle position de blocage l'élémentmemoire 135. Par ailleurs, la resynchronisation se fait par un signal appliqué ~ l'entrée Sy, qui, par l'étage formeur d'impusions 131, agit sur l'entrée r du flip-flop 132. La sortie Q de ce dernier passe alors au niveau "1"
et la porte 134 redevient passante en permanence, ce qui fait que l'élément-mémoire 135 suit exactement l'évolu-tion du compteur-mémoire correspondant (65 -68 ).
On remarque que les compteurs-memoires sont munis d'une entree de remise a z~ro; les memoires memes ne le sont pas; pour les remettre à zero, elles sont simplement resynchronisees sur le compteur-memoire alors que celui-ci est lui-même remis ~ zero. Par contre, aussi bien les comp-teurs-memoires ("compteur de base" ou "compteur zero") que les differentes memoires (mémoires no 1, mémoire no 2 ...
mémoire no n) comprennent l'entrée Ts qui permet la déli-vrance de l'information de sortie pour l'affichage.
Revenant a la fig. 2A, on voit que lorsque le comp-teur est en fonctionnement (flip-flops 2~ et 29 a l'etat de travail) et que le poussoir 10 est manipulé, une porte 35 est rendue passante et delivre une impulsion SPLIT. Cet-te impulsion est appliquee a l'entree d'horloge d'un comp-teur 39 ayant n positions, plus une position zero. Au départ, ce compteur a ete remis en position zero par une impulsion sur son entree r. Il s'agit d'un compteur du type soit en ligne, soit en anneau. En position zéro, aucune des sorties Bl ~ Bn ne porte de signal. Lorsqu'une impulsion SPLIT
est appliqu~e, ce compteur avance d'un rang et sa sortie Bl porte un niveau "l"~ Comme on peut le voir à la fig. 2C, ce niveau est appliqué ~ l'entrée BL des mémoires partiel-les de la m~molre no l. Cette mémoire est aloxs bloquée ~;~62l015g 22sur la position que le compteur de base a juste ~ ce mo-ment-là. Dès lors la mémoire no 1 est charg~e d'une in-formation de temps, celle du premier SPLIT. Lorsqu'in-tervient une seconde pression du bouton-poussoir 10, le 5 compteur 39 avance d'un rang et clestsimilairement la mémoire no 2 qui se bloque sur l'état que le compteur de base de la f~nction chronographe présente ~ ce moment-là.
Le même processus se poursuit et, chaque fois que le pous-soir 10 est manipule, une nouvelle memoire se charge de 10 l'information que le compteur de temps presente juste a ce moment-là. A la ~ig. 2A, on voit que la sortie de la porte 35 est appliquee à une entrée d'une porte ET 36, dont l'autre entree recoit un signal provenant du bouton-poussoir 12 (fig. 2s). Ceci a pour effet que, lorsque le 15 poussoir 10 est manipulé alors que le poussoir 12 est presse, la fonction de SPLIT devient une fonction LAP-RESET, c'est-à-dire que l'impulsion qui apparait alors à la sortie de la porte 36, par l'intermédiaire d'une porte OU 34, remet instantanément à zéro les compteurs-20 mémoires 650 à 68 , c'est-à-dire le compteur de base de la mémoire, mais le comptage même du temps n'est pas arrete, il repart simplement de zéro. On a alors la fonction LAP, qui a eté précédemment expliquee.
On a déjà vu quels étaient, par l'intermediaire 25 des portes ET 37 et 38, les effets d'une pression sur le poussoir 11, c'est-à-dire tout d'abord le stoppage du comp-teur, puis sa remise à zero, par l'intermediaire de la por-te 38 et de la porte 34.
~ la fig. 2B, on a un compteur-comparateur 51 30 dont le détail est repr~senté à la fig. 3 et sera considéré
plus loin. Ce compteur est à n positions, plus une position zéro. Il avance d'un pas chaque fois qu'il reçoit, sur son entrée d'horloge, une impulsion qui provient d'un formeur d'impulsions 44. Ce dernier est commandé par le poussoir 35 12, d'une façon qu'il s'agit maintenant de considérer.
' 126Z~
Le poussoir 12 peut avoir soit sa fonction intrin-sèque, qui ~e faire avancer d'un pas le compteur 51, soit une fonction auxiliaire, qui est de modifier les effets d'une pression sur les poussoirs 10 ou 11. Dans ce cas, sa fonctlon intrinsèque e3t inhibée~ Pour cela, apr~s pas-sage dans un étage formeur d'impulsions 41, le poussoir 12 met en position de travail un flip-flop 50. La sortie de ce dernier est appliquée à une entrée d'une porte ET 43 dont l'autre entrée reçoit la sortie d'un inverseur 42, 10 lui-meme aussi co~nandé par le bouton-poussoir 12. Ainsi, la porte 43 ne devient pas passante lorsque la sortie Q
du flip-flop 50 passe au niveau "1". C'est seulement iorsque la pression sera relachée sur le poussoir 12 que le niveau "1" reviendra à la sortie de l'inverseur 42 et que, si le 15 flip-flop 50 est encore ~ l'état de travail, la porte 43 délivrera à sa sortie un signal au formeur d'impulsions 44, alimentant l'entrée d'horloge du compteur 51. Si toutefois, entretemps, une impulsion a été appliquée à l'entrée de remise à zéro r du flip-flop 50, la porte 43 ne deviendra 20 aucunement passante et aucun signal ne sera délivré par le circuit 44. Cette entrée de remise à zéro r du flip-flop 50 est connectée a la sortie d'une porte OU 45, à quatre entrées. Deux de ces entrées sont respectivement les signaux A et B provenant des étages formeurs d'impulsions 26 et 25 27, eux-mêmes commandés par les boutons-poussoirs 10 et 11.
Si donc, entretemps, l'un de ces deu~ boutons-poussoirs a été manipulé, la fonction intrinsèque du bouton-poussoir 12 ne s'effectue pas. Par ailleurs, si le commutateur 12 est relâché sans qu'entretemps un des commutateurs 10 ou 11 ait 30 été actionné, le signal émis par le circuit 44, également appliqué ~ la porte OU 45, remet à zéro le flip-flop 50, sur quoi ce signal cesse automatiquement, sa duree est donc faible,mais en aucun cas trop faible.
on remarque encore que la sortie Q ~u flip-flcp 50 ac-35 tionne un uni-vibrateur qui établit entre son entree et sa ~26~15~
sortie, un retard d'approximativement 3 sec pour le passage ~ l'état"l', la transmission du passage ~ l'état "O" étant instantanée. Dans ce cas, si le commutateur 12 est pressé plus de 3 sec, un signal apparait a la sortie 5 de cet uni-vibrateur 52, et un flip-flop 53 est mis en position de travail. ~a sortie Q passe au niveau "O", et bloque une porte ~T 47, qui commande un sélecteur 57 de l'affichage analogique. En une positiGn, ce sélecteur provoque l'affichage dans le champ 13 de la montre-chrono-10 graphe, représenté en 59 a la fig. 2B, du rang de la mémoi-re dont le contenu est affiché, dans l'autre position de ce sélecteur, cet affichage indique la date. Ainsi, une pression de plus de 3 sec sur l'interrupteur C provoque, durant tout le temps o~ il reste pressé au-dela de ces 3 sec, une commutation temporaire du sélecteur 57, qui fait appara;tre l'indication de la date au lieu de l'in-dication du rang de la mémoire dont le con~enu est affi-che, ceci pouvant ~tre utile aux chronométreurs. En même temps, la sortie Q du flip-flop 53 est appliquée a une entree de la porte OU 45, de sorte qu'elle fait revenir 20 le flip-flop 50 à l'état de repos avant que le commutateur 1~ soit relâche, ce dont resulte que la fonction intrin-sèque de ce dernier (avance d'un pas du compteur-compa-rateur 51) est inhibee.
Ce compteur 51 est representé plus en détail a la 25 fig 3. On voit notamment qu'il comprend un convertisseur "o n/BCD"120 qui délivre une information au selecteur 57 susmentionné, lequel actionne l'affichage digital 59 par l'intermédiaire d'un convertisseur "BCD/ 7 SÉGM" 58. En passant, on remarque que l'autre entrée du selecteur 57 30 re~oit un signal BCD qui provient d'un compteur ~ cycle de'~ 55, recevant lui-même un signal d'un diviseur par deux 54 qui reçoit, par un interrupteur H, une impulsion a chaque tour de l'aiguille des heures de temps courant (en 37 fig. 2A).
~L26~
On remarque par ailleurs que le s~ilec~eur 57 est commandé d'une façon permanente par un flip-flop 56 qui est mis en position de travail chaque fois que soit le commutateur lO fonctionne (ST~RT ou SPLIT) ou chaque fois 5 que le co.mmutateur 12 fonctionne de façon ~ effectuer sa fonction intrins~que (sortie du circuit 44). Par ailleur~, le flip-flop 56 est remis ~ l'état de repos soit par la fonction RESET, remettant ~ zéro tous les circuits du chronographe, soit par la fonction STOP, a la condition 10 qu'a ce moment-la le compteur-comparateur 51 soit en posi-tion zero, c'est-a-dire commande l'affichage du compteur de temps de base de la fonction chronographe et non pas l'affichage d'une des mémoires. Cette fonction de remise a zéro du flip-flop 56 est réalisée par l'intermédiaire 15 d'une porte ET 40 et d'une porte OU 4Oa.
A la fig. 2B, on voit que le compteur-comparateur 51 reçoit également les impulsions de SPLIT, de même qu'il recoit des impulsions de remise a zéro (RESET) ou encore les impulsions de la RESYNCHRONISATION de la mémoire, issues 20 de la porte ET 46. Par ailleurs, ce compteur reçoit l'infor-mation de l'état du compteur 39, précédemment considéré
et servant a diriger les SPLITS vers les différentes mé-moires.
Les n + 1 sorties du compteur-comparateur 51 sont appliquées aux n + 1 groupes d'entrées TS des compteurs-mémoires de base (mémoires zéro) et des différentes mémoi-res 1, 2, ... n-l, n C'est donc ce compteur 51 qui dé-termine de quel compteur -mémoire ou mémoirei. l'afficha-ge va afficher le contenu.
Il est temps d'examiner, ~ la fig. 3, la consti-tution de ce compteur-comparateur 51.
On voit qu'il comprend un registre d'entrée 111 qui emmagasine simplement l'information re~ue du compteur 39. Il comprend également un registre de sortie 112, qui fournit les sorties Ao ...An du compteur 51. L'entrée c~
~ ~2 Z~51 d'impulsions d'horloge fait chaque fois avancer dun pas ce compteur 112, tandis que llentrée de remise à zéro (RZ),de même que l'entrée de resynchronisation (RM) pro-voquent par l'entremise dlune porte OU 113, la remise a 5 zéro de ce compteur 112. Ce dernier comprend une position zéro plus n positions, de 1 a n. Le registre d'entrée 111 comprend également n positions p~lus une position zéro, quoi-que sa position zéro ne soit que rarement utilisée.
A part le circuit convertisseur 120, déja mention-10 né, le compteur-comparateur 51 de la fig. 3 comprend dif-férentes portes ayant differentes fonctions. Tout d'abord, une porte ET 119 re~oit les impulsions SPLIT, de meme qu'elle reçoit, retardé par un étage temporisateur 118, le signal de sortie de llétaye zéro du compteur 112.
Ainsi donc, lorsque ce dernier est sur sa position zéro, si un SPLIT apparait, un signal de niveau "l"apparalt à la sortie de la porte 119. Celui-ci, par l'intermédiaire dlune série de portes 1140 à 114n a pour effet de provoquer la mise du registre compteur 112 à la position où se trou-20 ve le compteur d'entrée 111. Comme ce dernier comprendtoujours l'information du rang de la mémoire ayant reçu la dernière information, si le compteur 112 se trouve sur zéro, une impulsion de SPLIT le fait automatiquement pas-ser sur la position qui correspond ~ la mémoire où juste-25 ment ce SPLIT vient d'inscrire un temps chronométré. Ainsidonc, à partir de zéro, le passage du compteur 51 à la position 1 se fait automatiquement sans nécessiter d'im-pulsions sur llentrée dlhorloge c~. Il en va de meme si, après avoir par exemple lu quatre ou cinq mémoires, déjà
30 enregistrées, le compteur 51 revient à sa position zéro et si, par exemple, un sixième SPLIT intervient ~ ce moment-la~ Ce sixième SPLIT, qui slinscrira dans la sixième mémoi-re, fera pas~er le compteur 112 sur sa position 6, ce qui provoquera automatiquement l'affichage de l'information 35 contenue dans la mémoire no 6, en mêmetemps que l'affichage ~LZ62~5~
digital(13, 59)a~fichera le chif~re "~".
Le compteur 51 permet de répéter un cycle afin de ~érifier des valeurs de temps chronométrés enregistrées.
Son cycle est ~e n ~ 1. Toute~ois, Si sPulement un pe~it 5 nombre de splits sont enregistr~s, son c~cle se trouve raccourci de façon que, pour passer en revue, par exemple, six ou sept temps chronométrés, il ne faille pas passer chaque fois par vingt-cinq positions dont près de vingt seraient vides. C'est pour cela que l'on ales portes 10 ET 115 115 3, ... 115n 3 n-l~ 11Sn-2, n-de toutes ces portes sont connectées par une porte OU 116, qui, par l'intermédiaire d'un temporisateur 117, agit sur la porte OU 113 de remise ~ zéro. ~insi donc, si alors que l'on a déjà mémorisé un certain nombre de temps chronomé
15 trés, on veut passer une mémoire plus loin, on le peut, on aura simplement la marche des aiguilles en fonction de la position de la mémoire suivante, encore synchronisée avec le compteur de base de la fonction chronographe. On pourra rester sur cette position, pour attendre le prochain 20 SPLIT qui positionnera les aiguilles en correspondance avec son ~mps, on peut aussi essayer de passer encore un rang plus avant dans le compteur 51 de rang de mémoir~slues, mais alors on aura une des portes 115 ~ui deviendra pas-sante, et le signal de niveau "1" à la sortie de la porte 25 116, prolonge,pour éviter des ennuis,quelques très brefs instants par le temporisateur 117, provoquera la remise à zéro du registre compteur 112. C'est ainsi que le cycle du compteur 51 est automatiquement adapté au nombre de splits déjà enregistrés, en laissant toutefois une réserve 30 vers le haut, et en prévoyant un retour sur la position zéro où c'est toujours l'information du compteur de base de la fonction chronomètre qui est affichée.
Il convient de parler maintenant encore de la fonc-tion de la resynchronisation des mémoires. Cette fonction 35 serait en quelque sorte dangereuse si elle venait inter-28ferer avec d'~utres fonctions, p~r exemple la fonc~ion de mémorisation de n arxivées et si elle résultait d'une simple manipulation du commutateur 12. En e~fet, ce~te ~onction ef~ace les contenus des mémoires. Toutefois, elle est r~llsée ici d'une fa~on qui élimine ce danger.
~ la condition que le commutateur 12 soit préalablement pressé et que le commutateur 11 soit pressé ensuite, la porte 46 peut ~evenir passante, pour autant encore que la sortie d'un comparateur 48 que l'on étudiera plus loin fournisse un niveau "1". De plus, dans une variante dé-nommée QV, une entrée de la porte 46 reçoit encore le signal Q, issu de la sortie Q du flip-flop 28, ce qui signifie qu'alors la fonction de'~resync~ronisation mémoi-res"ne peut avoir lieu que si le compteur fonctionne.
Dans l'autre variante, si la connexion QV, dessinée en pointillés n'est pas faite, l'entrée correspondante de la porte 46 est considérée comme étant ~ l'etat "1", et la "resynchronisation mémoires'est également possible lorsque le compteur est au repos. Cette~resynchronisation mémoi-res"resynchronise toutes les mémoires 1 à n sur le comp-teur de base de la fonction chronographe (compteur zéro) mais par contre, à l'encontre de la fonction "remise à
zéro" (ou RESET), cette fonction de~resynchronisation de mémoires~ne remet pas le compteur de base à zéro.
Comme on peut le voir en suivant les figures, la sortie de la porte 46, passant ensuite par la porte OU 35, remet, par la liaison RS toutes les mémoires en ~tant de syn-chronisation, en appliquant une impulsion sur leur entrée Sy .
Le comparateur 48 compare l'état du compteur 51 de commande d'affichage de mémoires et l'état du compteur 39 de commande d'entrée des SPLITS dans les mémoires (ou d'adressage despLITs dans les mémoires). Si l'état du compteur 51 est au moins aussi elevé que l'etat du compteur 39, cela signifie que toutes les informations mémorisées ont été lues au moins une fois et l'on peut -lZ6Z~
donc permettre la resynchronisation des mémoires~ Si 1l~-tat du compteur 51 est inférieur a l'état du compteur 39 (si l'on a par exemple emmayasiné six SPLITS alors que l'on n'a lu que quatre mémoires), le comparateur 48 ne dé-livre pas de signal de niveau "1" ~ sa sortie, ce quiempêche le fonctionnement de la porte 46 et interdit donc la ~onction de "resynchronisation mémoires". Ceci prévient le risque que des temps chronométrés soient en-registrés et soient perdus avant d'avoir été lus.
Il reste a voir, en considérant la fig. 2D, comment les différents moteurs entrainant les aiguilles des centiè-mes de seconde, des secondes, des minutes et des heures de la fonction chronographe sont commandées. En haut de la fig.
2D, on voit que les entrées desinformations respectives des centièmes de seconde (TC), des secondes (TS), des minutes (TM), et des heures (TH). Les trois informations des secon-des, des minutes et des heures sont directement appliquées respectivement à chacun de trois comparateurs, 82, 83, 84.
Par contre, l'information des centièmes de seconde est d'a-bord appliquée à un circuit inhibiteur 106, en meme temps qu'elle est appliquée, par un différentiateur 108, à un circuit de retard, du type uni-vibrateur, qui, pour le retour à l'état de repos, présente un retard d'au moins 0,04 sec de la sortie par rapport ~ l'entrée. Cela signi-fie que tant que l'information des centièmes de secondeTC sera "en mouvement", c'est-à-dire changera à son rythme d'une impulsion par centième de seconde, la sortie du circuit à retard 105 sera en permanence au niveau "1", et ce niveau, appliqué au circuit inhibiteur 106, fera que l'information des centi~mes de seconde ne sera pas transmise au comparateur correspondant 81. Dès, par con-tre, que l'information des centièmes de seconde sera au repos (lecture d'une mémoire bloqu~e ou encore du compteur de base arr8té), le circuit 105 reviendra à l'état de repos après 0,04 sec, et le circuit inhigibeur lO~ cessera dlagir, Q5~
de sorte qu~ l'information des centiemes de seconde se trouvera appliquée au comparateur 81, Ainsi donc, en cours de comptage, le comparateur 81 ne re~oit pas de signal, tandis qu'il re~oit le signal des centi~mes de seconde lorsque ce dernier est permanent, P.cur la mise en position voulue de chacune des aiguilles, les compara-teurs 82, 83, 84 comparent l'information de consigne qu'i~srec,oivent (TS, TM, TH) avec une information de si-tuation reelle qu'ils reçoivent d'un compteur respective-ment 93, 94, 95. Ce compteur reçoit une impulsion de remise à zero lorsque l'aiguille correspondante passe par zero, par des moyens mécaniques, au moyen de contacts R2, R3, R4. Ils recoivent ensuite autant d'impulsions que le moteur, ce qui signifie que leur etat sera representatif de la position de l'aiguille correspondante. Si une im pulsion venait à manquer son but et ne faisait pas tourner le rotor du moteur, ce defaut serait vite éliminé, au prochain tour, par le contact de passage à zéro. Les com-parateurs comparent ainsi la position réelle de l'aiguil-le avec la position que l'aiguille devrait prendre, ettant qu'il n'y a pas identité, ils donnent un.signal de niveau "1" sur leur sortie Q, qui rend passante une porte respectivement 85, 86, 87, recevant par ailleurs sur une autre entrée un signal cadencé issu d'un diviseur de ca-dencement 33 alimenté par le diviseur de fréquence 22. Lafréquence du diviseur de cadencement sera adaptée aux possibilités des moteurs, compte tenu également de l'iner-tie des aiguilles; une fréquence de l'ordre de 30 a 50 Hz devrait convenir. En marche normale, les informations de consigne n'avancent que d'une unité à la fois, c'est-à-dire que seule une impulsion est envoyée par la porte correspondante, 85, 86, 87, ensuite de quoi le compara-teur constate déjà le rétablissement de la colncidence.
Par contre, lorsqu'il s'agit de gagner une position éloi-gnée, les portes 85, 86, 87 envoient une série d'impul-31sions, On voit ~alement sur la figure que les circuits de mise en forme 97, 98 et 99 me~tent les signaux dans la forme voulue pour l'actionnement des moteurs, respectivement 102, pour les secondes, 103 pour les minutes et 104 pour les heures, Il en va d'une fa~on pratiquement analogue du moteur actionnant l'aiguille des centiemes de seconde, par 1'intermédiaire d'un moteur 101 commandé par un formeur d'impulsions 96, La position de l'aiguille des secondes est également reconnue par un circuit 92 fonctionnant, en coopération avec un contact de passage a zéro Rl, exacte-ment comme les circuits précédemment mentionnés 93, 95,97.
La seule différence dans le cas du compteur des centiemes de seconde est que, en marche normale, le comparateur 81 re~oit un signal "0000", S'il agissait comme les autres comparateurs, il remettrait donc chaque fois l'aiguille des centiemes de seconde sur la position zéro. Cette manie-re de faire pourrait avoir son charme et peut etre prévue comme une variante intéressante, surtout si l'on suppose que l'aiguille des centièmes de seconde est quelque peu encombrante, suivant l'endroit o~ elle se trouve bloquée.
Pour cette variante, la connexion en pointillés ZV doit etre supprimée. Toutefois, selon l'exécution prévue, on applique, par un inverseur 107, l'inverse du signal de sor-tie du temporisateur 105 a une troisieme entrée de la porte88 qui reçoit le signal de la sortie Q du comparateur 81 des centi~mes de seconde (conne~ion en pointillés Z~ en circuit).
Dans ce cas, même lorsque ce comparateur en lui-meme au~
toriserait les impulsions a traverser la porte ET 88~
le signal de niveau "O" sortant de l'inverseur 107 in-terdit l'envoi de ces impulsions, de sorte que l'aiguille des centièmes de seconde reste toujours immobile lorsque les centièmes de seconde dé~ilent à la cadence de lOO Hz.
Le moteur ne bouge pas et le comparateur constate toujours une non-colncidence entre le signal délivré par le circuit 92 et le signal "0000" délivré par le circuit d'inhibition ~Z6~[)5~
~ 2 10~, mais, la porte 88 restant blogué~, cette non-colnci-dence reste sans ef~et. C'est seulement lorsque le tem-porisateur 105 cesse d'agir, que le circuit inhibiteur 106 transmet l'lnformation voulue et que l'inverseur 107 cesse de bloquer la porte 88. A ce moment-l~, la mise en position de l'aiyuille des centièmes de seconde se produit exactement comme celle des autres aiguilles.
On note que si l'information TC des centi~mes de seconde est donnée par deux circuits BCD en cascade, il suffira de prélever, pour le circuit temporisateur 105, le signal de l'étage dela pondération la plus faible du premier groupe BCD, qui basculera deux fois par cen-tième de seconde. Il se pourrait toutefois que, lorsque l'information est arretée, ce signal soit au niveau haut 1~ (si le nombre de centièmes de seconde est impair). C'est la raison pour laquelle on a prévu encore le circuit différentiateur 108 sur l'entrée du ternporisateur 105, ce circuit 108 ne transmettant que les impulsions de sauts po-sitifs, de sorte que, d~s que le signal ces~ d'effectuer des sauts, le niveau "O" réapparaît à l'entrée du circuit 105 et qu'ainsi m~me les centièmes de seconde impairs ne ris~uent pas de maintenir le circuit 105 bloqué.
Concernant le compteur 39 d'adressage des SPLITS
- (ou LAPS) dans lesmémoires, on remarque que deux exé-cutions sont envisageables. Ce compteur 39 peut être un compteur "en ligne" qui, partant de zéro, passe pas à pas jusqu'à sa derniare position "n", puis s'arrete, de nou-velles impulsions sur son entrée c~ restant alors sans effet. Dans une autre forme dlexécution, ce compteur pour-rait ~tre du type "en anneau", en ce sens qu'une nouvelleimpulsion apparaissant sur l'entrée c~ alors que le comp-teur est déjà sur sa derniere position "n" provoque le retour du compteu~ sur la position "1" (mais en aucun cas sur la position "O").
lX~
Avec la premi~re forme d'execution susmentionnée du compteur 39, on peut enregistrer un nombre de SPLITS
egal à la capacité "n" du compteur, ensuite de quoi les SPLITS (ou LAPS) ne sont plus enregistrés, à moins qu'entretemps on ait effectué une fonction de "resyn-chronisation des mémoires, effa~cant le contenu de toutes les mémoires et ramenant le compteur ~ "O". Dans la seconde forme d'exécution de ce compteur, l'enregistre-ment d'un nombre de SPLITS (ou de LAPS) supérieur ~ la l~ capacité du compteur (correspondant au nombre de mémoi-res) est possible; en admettant par exemple que l'on ait vingt-cinq mémoires et que la 25eme memoire soit deja chargee, le prochain SPLIT (ou LAP) reviendra sur la memoire no 1 dont l'ancien contenu sera efface. Ainsi donc, les temps chronometres n + 1, n f 2, n + 3, etc, prendront automatiquement la place des anciens contenus chronometrés 1, 2, 3, etc, sans qu'il soit nécessaire d'effectuer entretemps une manipulation de "resynchroni-sation".
Les deux variantes ont leurs avantages et leurs inconvénients, le choix entre elles sera une question d'opportunité.
Un agencement qui n'est pas représente au dessin mais qui, etant classique,peut fort bien être imagine, pourrait egalement munir le chronographe ou la montre-chronographe selon l'invention. Il s'agit d'un agencement de "detection d'approche de fin de vie de la pile". Un tel agencement comprend un circuit qui mesure avec exac-titude la tension restante de la pile alimentant le chronographe ou la montre-chronographe, cette tension subissant une legère baisse a l'approche de sa fin de vie. Pour signaler cette approche de fin de vie, des moyens qu'il n'est pas necessaire de decrire d'une fa~on plus detaillée, car ils sont connus des gens du metier~
ameneront l'affichage digital dans le champ 13 (affichage -..
os~
de la date ou du rang de mémoire lue) à clignoter au lieu d'~tre fourni d'une façon permanente.
Bien que représentée a la fig. 1 sous forme de montre-chronographe de format bracelet, le chronographe ou la ~ontre~chronographe selon la conception proposée peut aussi avantageusement etre réalisée dans le format d'une montre de poche. Dans ce cas, le cadran est plus grand et les différents petits cadrans intérieurs, sur lesquels travaillen~ l'aiguille des secondes de temps courant 4, l'aiguille des minutes de temps chronométrés 7 et l'aiguille des heures de temps chronométrés, auraient avantage a se trouver plus éloignées du centre qu'elles ne le sont dans la pièce de format montre-bracelet re-presentée à la fig. 1. A cet effet, on a prevu que, pour 1~ l'entralnement des aiguilles en question, on utilisera un agencement modulaire, comprenant le moteur pas à pas, les engrenages démultiplicateurs nécessaires et l'axe de l'aiguille, formant du point de vue constructif un sous-ensemble distinct. Cet agencement modulaire permettra sans grande difficulté de disposer les petits cadrans sus-mentionnés à plus ou moins grande distance du centre selon qu'il s'agira d'une pièce de format montre-bracelet ou d'une pièce de format montre de poche.
Ainsi fonctionne la montre-chronographe dont la forme extérieure est représentée à la fig. 1. La concep-tion proposée ne se limite toutefois pas à ce qui a été
décrit, et en particulier, d'autres formes d'exécution seraient pensables, notamment avec d'autres moyens pour afficher les centièmes de seconde. On pourrait fort bien avoir la série d'aiguilles des secondes, minutes, et heures de la fonction chronographe actionn~esde la façon décrite ou d'une façon similaire, et avoir les centièmes de seconde apparaissant par exemple sous forme digitale.
Il faut dire egalement que de nombreuses fonctions qui ont ete decrites pourraient eventuelleme~ être suppri-~L2 E;2~
35mees, on pourrait par exemple se passer de l'aiguille des heures de la fonction chronographe. On pourrait également se passer de l'affichage de la date ou de la possibilite d'obtenir l'aEfichage temporaire de la date en fonction-nement chronographe.
Il est à remarquer egalement que la montre pourrait fort bien etre realisee dans le format d'une montre de poche ou encore un autre format.
Enfin, concernant l'electronique et en particulier les compteurs, registres, et memoires, il est bien clair que de nombreuses méthodes sont à disposition pour réali-ser des fonctions similaires, et que c'est avant tout la combinaison des fonctions qui permet le fonctionnement extérieur commode, efficace et souple du chrono~raphe qui particularise la conception proposée. Une forme d'exécu-tion ne comportant pas d'indications du temps courant, c'est-à-dire un simple chronographe ou compteur de temps correspondrait également à la conception proposee par l'invention.
Ayant maintenant considéré les dif~érentes possi-bilites de combinaisons de fonctions possibles avec la montre-chronographe décrite, on va, en liaison avec les fig. 2 (2A, 2B, 2C, 2D), 3 et 4, examiner la constitution interne de la montre, du point de vue électronique et lo-gique.
Il faut d'abord remarquer que les quatre figures 2A, 2B, 2C et 2D forment un tout, de la maniere qui est illustrée ~ la fig. 2E. La fig. 3 est un schéma du comp-teur-comparateur 51 de la fig. 2B, dont la structure assez particuli~re méritait d'etre représentee plus en detail.
La fig. 4 est un schéma détaillé d'une memoire telle que les mémoires 66, 67, 681 n de la fig. 2C. On notera en-core que, pour retrouver plus facilement les éléments,on a pris des signes de référence situes entre 20 et 39 pour la fig. 2A, entre 40 et 59 pour la fig. 2B, entre 60 et 79 pour la fig. 2C et entre 80 et 110 pour la fig. 2D.
Les signes de reférence de la fig. 3 se situent entre 110 et 120, ceux de la fig. 4 entre 130 et 140.
On considérera d'abord le schéma tel qu'il appa-ralt sur l'ensemble des fig. 2A, 2B~ 2C, 2D. D'une façon générale, on remarque que le schéma est de lui-même rela-tivement "parlant" pour un électronicien expérimenté, et que certains détails qui n'auront peut-être pas éte expli-qués dans le texte pourront fort bien être compris simple-ment à la vue des figures.
Un oscillateur 21, piloté par quartz, fournit une fréquence élevée qui est divisée jusqu'à 100 Hz dans un diviseur de fréquence 22. Depuis la, on a, pour la fonc-tion d'affichage du temps courant, un second diviseur de frequence 23 fournissant une fréquence de 1 ~3z. Celle-ci est appliquée à une porte ET 24, dont l'aukre entrée se voit appliquer un niveau "1", a moins qu'un interrupteur SO (seconde ~ zéro) soit manipule et applique un niveau .
" , ' ., ' .
.
~6Z~
zéro sur cette autre entrée. Ce commutateur est fermé
(passant) lorsque l'on manoeuvre la couronne 9 de remise à l'heure m~canique des aiguilles 2, 3 et 4 d'indications du temps courant~ Dans ce cas, les impulsions a l Hz ne peuvent plus traverser la porte 24 et le moteur pas a pas qui actionne l'aiguille des secondes du temps courant est arrêté. En variante, on pourrait prévoir un dispositif mécanique ou électronique qui non seulement arr~te l'ai-guille des secondes mais la remet ~ zéro. En temps normal, des impulsions à l Hz sortent de la porte 24 et sont ap-pliquées à un circuit 25 qui procède à la mise en forme voulue des impulsions destinées à faire avancer d'un pas chaque seconde un moteur 36. Ce moteur 36 actionne, comrne on le voit en 37a,une aigu~le des secondes, laquelle, par un mécanisme d'engrenage classique, entraîne une aiguille des minutes qui elle-meme entraine l'aiguille des heures.
Un contact H (voir fig. 2B en bas ~ gauche) est actionné
deux fois par jour par l'aiguille des heures du temps courant, pour le comptage de la date. Pour la remise a l'heure à l'aide de la couronne 9, on a classiquement un dispositif de lanternage.
Cet affichage du temps courant est classique et ne demande pas d'explications plus détaillées.
La sortie a lOO Hz du diviseur de fréquence 22 est également appliquée a une porte 30 qui constitue la porte de commande du compteur de temps de base pour la fonction chronographe. Lorsque l'autre entrée de cette porte 30 porte un niveau "l", des irnpulsions à lOO Hz sont émises par la porte 30 et font fonctionner-le compteur de chrono-graphe (temps chronométrés), par contre, lorsque le ni-veau sur cette autre entrée est "O", l'impulsion à lOO Hz n'est pas transmise et le compteur de base de la fonction chronographe est arrête.
On voit que le bouton-poussoir lO agit tout d'abord sur un étage de mise en forrne 26, dont le signal de sortie 05i~
met à l'état de travail un flip-flop 29. La sortie Q de ce dernier est appliquee à la seconde entrée de la porte ET 30, de sorte que le compteur de base de la fonction chronographe fonctionne lorsque le flip-flop 29 est a ltetat de travail tandis qu'il est arr8te lorsque ce flip-flop est à l'etat de repos. Par l'agencement, d'une ma-nière connue, de deux portes OU INVERSE 31 et 32, un second flip-flop, 28, suit dans ses basculements le flip-flop 29, mais avec un retard egal ~ la duree de l'impulsion qui agit sur le flip-flop 29. En effet, dès que le compteur de chronographe est en fonction, c'est-à-dire que la porte 30 est passante, un nouvel actionnement du bouton-poussoir lO provoque une fonction de SPLIT. Il faut toutefois eviter que le premier actionnement de ce bouton-poussoir, qui fait demarrer le compteur, ne provoque deà un SPLIT, raison pour laquelle l'autorisation de la ~onction SPLIT, n'intervien-t que lorsque le flip-flop 28 est egalement passe à son etat de travail, c'est-à-dire lorsque l'impulsion delivree par le formeur d'impulsions 28 à disparu.
Pour remettre le flip-flop 29 à l'etat de repos, 1~ bouton poussoir 11 est actionne et son impulsion est mise en forme par un circuit 27~ Cette impulsion est appli-quee à une porte ET 37 dont une autre entree re~oit le signal de la sortie Q du flip-flop 28, et dont une autre entrée encore reçoit un signal C qui est au niveau "1"
lorsque le bouton-poussoir 12 n'est pas presse et qui passe au niveau "O", lorsque ce dernier est pressé. De cette facon, si le bouton-poussor 11 est manipule alors que le bouton-poussoir 12 est presse, la fonction STOP ne peut pas se faire. Si tel n'est pas le cas et si le compteur est en fonctionnement, c'est-à-dire que les flip flops 28 et 29 sont aux positions de travail, une pression sur le bouton-poussoir 11 amene un signal de niveau "1" a la sor-tie de la porte 37, et le flip-flop 29 est immediatement remis a l'etat de repos. Com~e le signal sortant du circuit ~2~ S~L
de mise en forme 29 est également appliqué ~ la seconde entrée de la porte OU INVERSE 32, le basculement de retour du flip-flop 28 ne suit celui du flip-flop 29 qu'au moment o~ le bouton-poussoir ll a été rel~ché.
En effet, une seconde manipulation du bouton-pous-soir ll provoque une fonction de remise à zéro (RESET) par l'intermédiaire d'une porte ET 38, dont une entrée recoit le signal issu du formeur d'impulsions 27 et dont une autre entrée reçoit le signal issu de la sortie Q du flip-flop 28. ~e cette maniere, la remise à zéro nécessite obligatoirement deux manipulations du poussoir ll, lequel doit d'abord avoir été relâché pour faire basculer en re-tour le flip-flop ~8, avant qu'une nouvelle manipulation puisse provoquer la fonction de remise ~ zéro ~ travers la porte 38. Cette derni~re reçoit egalement le signal C, qui a le même effet qu'on vient d'expliquer concernant la porte 37.
Selon l'état du flip-flop 29, la porte 30 est donc passante ou non, et le compteur de base de la fonction chronographe est soit en marche soit arrêté. ~
En considérant la fig. 2C, on voit que le signal de sortie de la porte 30, par une ligne CT,est appliqué
dlabord a un ~ormeur d'impulsions 51 qui délivre une im-pulsion tous les centiemes de seconde. Cette impulsion est appliquée a l'entrée d'horloge d'un compteur-mémoire 650 qui compte selon un cycle de lOO,(de préférence deux quartetts BCD en série) et qui fournit l'information des centièmes de seconde de chronographe. On reviendra plus loin sur la constitution exacte de ce compteur-mémoire. Cet-te information est fournie sur une ligne formée d'une plu-ralité de conducteurs, raison pour laquelle la liaison est dessinée en traits ~pais. Le conducteur ayant la plus haute pondération bascule une fois par cycle et il est tiré de l'information de sortie du compteur-mémoire 650 pour etre ~2~;Z~
appliqué à un formeur d'impulsions 62 qui délivre un si-ynal à une impulsion par seconde. Similairement, ce signal actionne un compteur-mémoire 660, qui compte à 60 et qui fournit 11indication des secondes sur une ligne comprenant une plur~lité de conducteurs. A nouveau l'information du conducte1r ayant la plus haute pondération est prélevée de cette information pour être appliqu~e ~ un formeur d'im-pulsions 63 qui délivre une impulsion par minute, laquelle est appliquée comme impulsion d'horloge à un compteur-mémoi-re 670 qui compte les minutes. Ce dernier délivre l'infor-mation des minutes sur une ligne à multi-conducteurs, et le signal de pondération la plus haute est preleve pour etre appliqué à un etage formeur d'impulsions 64 qui delivre un~
impulsion par heure sur un compteur-memoire 68 delivrant l'information des heures sur une ligne multi-conducteurs.
L'ensemble des compteurs-memoires 650, 660, 670 et 680 constitue le compteur de base de la fonction chrono-graphe.
Les quatre informations multiples de sortie de ces compteurs, à savoir l'information des centièmes de seconde de chronographe, l'information des secondes de chronographe, l'information des minutes de chronographe, et l'information des heures de chronographe, son~ delivrees sur des lignes omnibus qui sont appliquées respectivement sur les entrees de mise en position E de toute une serie de memoires 65l-pour les centièmes de seconde, 66l-66n pour les secon-des, 67l-67n pour les minutes et 68l-68 pour les heures.
Ainsi, on a n groupes de quatre mémoires, chaque groupe etant toutefois considéré comme étant une mémoire d'infor-mation de temps, allant des centièmes de seconde aux heures.Ainsi, on parlera ensuite dela m~moire no l, pour le grou-pe formé des mémoires (partielles 65l,66l,671,6al, de la mémoire no 2 pour le groupe form~ des mémoires ~partielles) suivantes, e~c... jusqu'~ la mémoire no n, pour le groupe 19 ~ 2 ~Z ~ ~
forme des mémoires (partielles) 65 , 66 , 67 , 68 .
Chaque mémoire (partielle) represen~ee à la fig. 2C
peut avoir avantageusement la struc~ure representée ~ la fig. 4. On voit qu'elle se compose d'un élément-mémoire 5 proprement dit 135, dont l'entrée est co~nandée par une porte multiple 13~, qui laisse passer ou non l'infonnation multiple située sur l'entrée E. De m~me la sortie de l'élé-ment-mémoire 135 est appliquée à un circuit de sortie 136 qui comprend un circuit-porte ET multiple 136a, et un grou-10 pe d'étages de sortie 136b. A nouveau l'in~ormation sortantde l'elément- memoire 135 peut être transmiseou arrêt~ selon la commande fournie à la porte multiple 136a~ A la fig. 4, on a représenté un seul des étages de sortie, et l'on voit qu'il est formé d'un transistor 137 travaillant sur une 15 résistance 138. Une telle configuration d'étages de sortie permet de mettre sans difficulte en parallèle les étages de sortie homologues de toutes les memoires de même pon-deration, cette connexion galvanique directe de toutes les sorties sur un conducteur etablissant automatiquement une 20 fonction oU. On note que la resistance 138 peut être ex-trêmement elevee, compte tenu du fait qu'il en aura un grand nombre en parallèle. On peut aussi prevoir de n'avoir une résistance 138 que par exemple sur les sorties des der-nières memoires, de rang n, les autres etant simplement 25 5 U~primeeS .
Une entrée Ts commande la porte multiple de sortie 136a, et il n'y a jamais qu'une memoire, la première, la deuxième ou la n-]~ième, o~a n:~ième, dont la sor~ie est passante. En effet, comme on le verra, il n'y a jamais 30 qu'une des m~moires (complète allant des centièmes de se-conde aux heures) qui recoit un signal de niveau "1" sur son entree Ts. Les entrees Ts des differentes memoires sont alimentees par les lignes Ao - An, qui correspondent aux differentes sorties du compteur-comparateur 51 que l'on 35 considerera plus loin. ~n remarque que les compteurs-me-~6~0~
20moires 650-680 comprennent un meme circuit de sortie 136a, ce qui permet de commander leur sortie exactement comme celle des simples mémoires, également par une entrée TS.
Concernant ces compteurs-mémoires, il y a lieu de dire 5 encore qu'ils comprennent deux sorties, l'une (MC0, MS0, MMO, MHO) pour fournir en permanence l'information corres-pondante, pour les m~moires subordonnées et une autre sortie S, commandée par un circuit semblable au circuit 136 de la fig. 4, et qui ne délivre une in~ormation que lorsque l'on veut afficher l'information même contenue dans les compteurs-mémoixes, c'est-a-dire le compteur de base de la fonction chronographe.
L'ouverture ou la fermeture de la porte multiple 134, ~ l'entrée de chaque mémoire (partielle) est comman-15 dé par un flip-flop 132 qui est mis en position de travail sur r~ception d'une impulsion BL (blocage), passant par un étage de mise en forme 130, et qui est mis en position de repos par une impulsion sur une entrée Sy (Synchronisa-tion) par l'intermédiaire de l'étage de mise en forme 131.
20 C'est l'information de la sortie Q du flip-flop 132 qui commande la porte multiple 134, en passant toutefois par une porte OU 133. En effet, l'impulsion de blocage, par-venant par l'étage 130, met le flip-flop 132 a l'état de travail et établit donc un niveau zéro a la sortie Q.
25 Toutefois, durant l'impulsion même, étant donné la conne-xion entre l'entrée s du flip-flop 132 et la seconde entree de la porte OU 133, le niveau appliqué a la porte multiple 134 est toujours le niveau "1". Ainsi donc, si la porte était antérieurement passante, l'impulsion Bl la rend 30 non passante, mais seulement a partir du moment de sa dis-parition. Si par contre, une impulsion BL est appliquée alors que le flip-flop 132 est déj~ a l'état de travail, c'est-~-dire que la porte 134 est déja non passante, un niveau "1" apparait ~ l'entrée de cette porte 134 seule-35 ment durant la très brève durée de l'impulsion delivree ~ILX~ 5~L
21par l'étage ~ormeur d'impulsions 130, ce qui ~ait que, durant un bre~ instant, l'information présente sur l'en-trée E peut passer sur l'élément-memoire 135. Ainsi, plu-sieurs impulsions sL successives, ont pour effet de re-positionner sur une nouvelle position de blocage l'élémentmemoire 135. Par ailleurs, la resynchronisation se fait par un signal appliqué ~ l'entrée Sy, qui, par l'étage formeur d'impusions 131, agit sur l'entrée r du flip-flop 132. La sortie Q de ce dernier passe alors au niveau "1"
et la porte 134 redevient passante en permanence, ce qui fait que l'élément-mémoire 135 suit exactement l'évolu-tion du compteur-mémoire correspondant (65 -68 ).
On remarque que les compteurs-memoires sont munis d'une entree de remise a z~ro; les memoires memes ne le sont pas; pour les remettre à zero, elles sont simplement resynchronisees sur le compteur-memoire alors que celui-ci est lui-même remis ~ zero. Par contre, aussi bien les comp-teurs-memoires ("compteur de base" ou "compteur zero") que les differentes memoires (mémoires no 1, mémoire no 2 ...
mémoire no n) comprennent l'entrée Ts qui permet la déli-vrance de l'information de sortie pour l'affichage.
Revenant a la fig. 2A, on voit que lorsque le comp-teur est en fonctionnement (flip-flops 2~ et 29 a l'etat de travail) et que le poussoir 10 est manipulé, une porte 35 est rendue passante et delivre une impulsion SPLIT. Cet-te impulsion est appliquee a l'entree d'horloge d'un comp-teur 39 ayant n positions, plus une position zero. Au départ, ce compteur a ete remis en position zero par une impulsion sur son entree r. Il s'agit d'un compteur du type soit en ligne, soit en anneau. En position zéro, aucune des sorties Bl ~ Bn ne porte de signal. Lorsqu'une impulsion SPLIT
est appliqu~e, ce compteur avance d'un rang et sa sortie Bl porte un niveau "l"~ Comme on peut le voir à la fig. 2C, ce niveau est appliqué ~ l'entrée BL des mémoires partiel-les de la m~molre no l. Cette mémoire est aloxs bloquée ~;~62l015g 22sur la position que le compteur de base a juste ~ ce mo-ment-là. Dès lors la mémoire no 1 est charg~e d'une in-formation de temps, celle du premier SPLIT. Lorsqu'in-tervient une seconde pression du bouton-poussoir 10, le 5 compteur 39 avance d'un rang et clestsimilairement la mémoire no 2 qui se bloque sur l'état que le compteur de base de la f~nction chronographe présente ~ ce moment-là.
Le même processus se poursuit et, chaque fois que le pous-soir 10 est manipule, une nouvelle memoire se charge de 10 l'information que le compteur de temps presente juste a ce moment-là. A la ~ig. 2A, on voit que la sortie de la porte 35 est appliquee à une entrée d'une porte ET 36, dont l'autre entree recoit un signal provenant du bouton-poussoir 12 (fig. 2s). Ceci a pour effet que, lorsque le 15 poussoir 10 est manipulé alors que le poussoir 12 est presse, la fonction de SPLIT devient une fonction LAP-RESET, c'est-à-dire que l'impulsion qui apparait alors à la sortie de la porte 36, par l'intermédiaire d'une porte OU 34, remet instantanément à zéro les compteurs-20 mémoires 650 à 68 , c'est-à-dire le compteur de base de la mémoire, mais le comptage même du temps n'est pas arrete, il repart simplement de zéro. On a alors la fonction LAP, qui a eté précédemment expliquee.
On a déjà vu quels étaient, par l'intermediaire 25 des portes ET 37 et 38, les effets d'une pression sur le poussoir 11, c'est-à-dire tout d'abord le stoppage du comp-teur, puis sa remise à zero, par l'intermediaire de la por-te 38 et de la porte 34.
~ la fig. 2B, on a un compteur-comparateur 51 30 dont le détail est repr~senté à la fig. 3 et sera considéré
plus loin. Ce compteur est à n positions, plus une position zéro. Il avance d'un pas chaque fois qu'il reçoit, sur son entrée d'horloge, une impulsion qui provient d'un formeur d'impulsions 44. Ce dernier est commandé par le poussoir 35 12, d'une façon qu'il s'agit maintenant de considérer.
' 126Z~
Le poussoir 12 peut avoir soit sa fonction intrin-sèque, qui ~e faire avancer d'un pas le compteur 51, soit une fonction auxiliaire, qui est de modifier les effets d'une pression sur les poussoirs 10 ou 11. Dans ce cas, sa fonctlon intrinsèque e3t inhibée~ Pour cela, apr~s pas-sage dans un étage formeur d'impulsions 41, le poussoir 12 met en position de travail un flip-flop 50. La sortie de ce dernier est appliquée à une entrée d'une porte ET 43 dont l'autre entrée reçoit la sortie d'un inverseur 42, 10 lui-meme aussi co~nandé par le bouton-poussoir 12. Ainsi, la porte 43 ne devient pas passante lorsque la sortie Q
du flip-flop 50 passe au niveau "1". C'est seulement iorsque la pression sera relachée sur le poussoir 12 que le niveau "1" reviendra à la sortie de l'inverseur 42 et que, si le 15 flip-flop 50 est encore ~ l'état de travail, la porte 43 délivrera à sa sortie un signal au formeur d'impulsions 44, alimentant l'entrée d'horloge du compteur 51. Si toutefois, entretemps, une impulsion a été appliquée à l'entrée de remise à zéro r du flip-flop 50, la porte 43 ne deviendra 20 aucunement passante et aucun signal ne sera délivré par le circuit 44. Cette entrée de remise à zéro r du flip-flop 50 est connectée a la sortie d'une porte OU 45, à quatre entrées. Deux de ces entrées sont respectivement les signaux A et B provenant des étages formeurs d'impulsions 26 et 25 27, eux-mêmes commandés par les boutons-poussoirs 10 et 11.
Si donc, entretemps, l'un de ces deu~ boutons-poussoirs a été manipulé, la fonction intrinsèque du bouton-poussoir 12 ne s'effectue pas. Par ailleurs, si le commutateur 12 est relâché sans qu'entretemps un des commutateurs 10 ou 11 ait 30 été actionné, le signal émis par le circuit 44, également appliqué ~ la porte OU 45, remet à zéro le flip-flop 50, sur quoi ce signal cesse automatiquement, sa duree est donc faible,mais en aucun cas trop faible.
on remarque encore que la sortie Q ~u flip-flcp 50 ac-35 tionne un uni-vibrateur qui établit entre son entree et sa ~26~15~
sortie, un retard d'approximativement 3 sec pour le passage ~ l'état"l', la transmission du passage ~ l'état "O" étant instantanée. Dans ce cas, si le commutateur 12 est pressé plus de 3 sec, un signal apparait a la sortie 5 de cet uni-vibrateur 52, et un flip-flop 53 est mis en position de travail. ~a sortie Q passe au niveau "O", et bloque une porte ~T 47, qui commande un sélecteur 57 de l'affichage analogique. En une positiGn, ce sélecteur provoque l'affichage dans le champ 13 de la montre-chrono-10 graphe, représenté en 59 a la fig. 2B, du rang de la mémoi-re dont le contenu est affiché, dans l'autre position de ce sélecteur, cet affichage indique la date. Ainsi, une pression de plus de 3 sec sur l'interrupteur C provoque, durant tout le temps o~ il reste pressé au-dela de ces 3 sec, une commutation temporaire du sélecteur 57, qui fait appara;tre l'indication de la date au lieu de l'in-dication du rang de la mémoire dont le con~enu est affi-che, ceci pouvant ~tre utile aux chronométreurs. En même temps, la sortie Q du flip-flop 53 est appliquée a une entree de la porte OU 45, de sorte qu'elle fait revenir 20 le flip-flop 50 à l'état de repos avant que le commutateur 1~ soit relâche, ce dont resulte que la fonction intrin-sèque de ce dernier (avance d'un pas du compteur-compa-rateur 51) est inhibee.
Ce compteur 51 est representé plus en détail a la 25 fig 3. On voit notamment qu'il comprend un convertisseur "o n/BCD"120 qui délivre une information au selecteur 57 susmentionné, lequel actionne l'affichage digital 59 par l'intermédiaire d'un convertisseur "BCD/ 7 SÉGM" 58. En passant, on remarque que l'autre entrée du selecteur 57 30 re~oit un signal BCD qui provient d'un compteur ~ cycle de'~ 55, recevant lui-même un signal d'un diviseur par deux 54 qui reçoit, par un interrupteur H, une impulsion a chaque tour de l'aiguille des heures de temps courant (en 37 fig. 2A).
~L26~
On remarque par ailleurs que le s~ilec~eur 57 est commandé d'une façon permanente par un flip-flop 56 qui est mis en position de travail chaque fois que soit le commutateur lO fonctionne (ST~RT ou SPLIT) ou chaque fois 5 que le co.mmutateur 12 fonctionne de façon ~ effectuer sa fonction intrins~que (sortie du circuit 44). Par ailleur~, le flip-flop 56 est remis ~ l'état de repos soit par la fonction RESET, remettant ~ zéro tous les circuits du chronographe, soit par la fonction STOP, a la condition 10 qu'a ce moment-la le compteur-comparateur 51 soit en posi-tion zero, c'est-a-dire commande l'affichage du compteur de temps de base de la fonction chronographe et non pas l'affichage d'une des mémoires. Cette fonction de remise a zéro du flip-flop 56 est réalisée par l'intermédiaire 15 d'une porte ET 40 et d'une porte OU 4Oa.
A la fig. 2B, on voit que le compteur-comparateur 51 reçoit également les impulsions de SPLIT, de même qu'il recoit des impulsions de remise a zéro (RESET) ou encore les impulsions de la RESYNCHRONISATION de la mémoire, issues 20 de la porte ET 46. Par ailleurs, ce compteur reçoit l'infor-mation de l'état du compteur 39, précédemment considéré
et servant a diriger les SPLITS vers les différentes mé-moires.
Les n + 1 sorties du compteur-comparateur 51 sont appliquées aux n + 1 groupes d'entrées TS des compteurs-mémoires de base (mémoires zéro) et des différentes mémoi-res 1, 2, ... n-l, n C'est donc ce compteur 51 qui dé-termine de quel compteur -mémoire ou mémoirei. l'afficha-ge va afficher le contenu.
Il est temps d'examiner, ~ la fig. 3, la consti-tution de ce compteur-comparateur 51.
On voit qu'il comprend un registre d'entrée 111 qui emmagasine simplement l'information re~ue du compteur 39. Il comprend également un registre de sortie 112, qui fournit les sorties Ao ...An du compteur 51. L'entrée c~
~ ~2 Z~51 d'impulsions d'horloge fait chaque fois avancer dun pas ce compteur 112, tandis que llentrée de remise à zéro (RZ),de même que l'entrée de resynchronisation (RM) pro-voquent par l'entremise dlune porte OU 113, la remise a 5 zéro de ce compteur 112. Ce dernier comprend une position zéro plus n positions, de 1 a n. Le registre d'entrée 111 comprend également n positions p~lus une position zéro, quoi-que sa position zéro ne soit que rarement utilisée.
A part le circuit convertisseur 120, déja mention-10 né, le compteur-comparateur 51 de la fig. 3 comprend dif-férentes portes ayant differentes fonctions. Tout d'abord, une porte ET 119 re~oit les impulsions SPLIT, de meme qu'elle reçoit, retardé par un étage temporisateur 118, le signal de sortie de llétaye zéro du compteur 112.
Ainsi donc, lorsque ce dernier est sur sa position zéro, si un SPLIT apparait, un signal de niveau "l"apparalt à la sortie de la porte 119. Celui-ci, par l'intermédiaire dlune série de portes 1140 à 114n a pour effet de provoquer la mise du registre compteur 112 à la position où se trou-20 ve le compteur d'entrée 111. Comme ce dernier comprendtoujours l'information du rang de la mémoire ayant reçu la dernière information, si le compteur 112 se trouve sur zéro, une impulsion de SPLIT le fait automatiquement pas-ser sur la position qui correspond ~ la mémoire où juste-25 ment ce SPLIT vient d'inscrire un temps chronométré. Ainsidonc, à partir de zéro, le passage du compteur 51 à la position 1 se fait automatiquement sans nécessiter d'im-pulsions sur llentrée dlhorloge c~. Il en va de meme si, après avoir par exemple lu quatre ou cinq mémoires, déjà
30 enregistrées, le compteur 51 revient à sa position zéro et si, par exemple, un sixième SPLIT intervient ~ ce moment-la~ Ce sixième SPLIT, qui slinscrira dans la sixième mémoi-re, fera pas~er le compteur 112 sur sa position 6, ce qui provoquera automatiquement l'affichage de l'information 35 contenue dans la mémoire no 6, en mêmetemps que l'affichage ~LZ62~5~
digital(13, 59)a~fichera le chif~re "~".
Le compteur 51 permet de répéter un cycle afin de ~érifier des valeurs de temps chronométrés enregistrées.
Son cycle est ~e n ~ 1. Toute~ois, Si sPulement un pe~it 5 nombre de splits sont enregistr~s, son c~cle se trouve raccourci de façon que, pour passer en revue, par exemple, six ou sept temps chronométrés, il ne faille pas passer chaque fois par vingt-cinq positions dont près de vingt seraient vides. C'est pour cela que l'on ales portes 10 ET 115 115 3, ... 115n 3 n-l~ 11Sn-2, n-de toutes ces portes sont connectées par une porte OU 116, qui, par l'intermédiaire d'un temporisateur 117, agit sur la porte OU 113 de remise ~ zéro. ~insi donc, si alors que l'on a déjà mémorisé un certain nombre de temps chronomé
15 trés, on veut passer une mémoire plus loin, on le peut, on aura simplement la marche des aiguilles en fonction de la position de la mémoire suivante, encore synchronisée avec le compteur de base de la fonction chronographe. On pourra rester sur cette position, pour attendre le prochain 20 SPLIT qui positionnera les aiguilles en correspondance avec son ~mps, on peut aussi essayer de passer encore un rang plus avant dans le compteur 51 de rang de mémoir~slues, mais alors on aura une des portes 115 ~ui deviendra pas-sante, et le signal de niveau "1" à la sortie de la porte 25 116, prolonge,pour éviter des ennuis,quelques très brefs instants par le temporisateur 117, provoquera la remise à zéro du registre compteur 112. C'est ainsi que le cycle du compteur 51 est automatiquement adapté au nombre de splits déjà enregistrés, en laissant toutefois une réserve 30 vers le haut, et en prévoyant un retour sur la position zéro où c'est toujours l'information du compteur de base de la fonction chronomètre qui est affichée.
Il convient de parler maintenant encore de la fonc-tion de la resynchronisation des mémoires. Cette fonction 35 serait en quelque sorte dangereuse si elle venait inter-28ferer avec d'~utres fonctions, p~r exemple la fonc~ion de mémorisation de n arxivées et si elle résultait d'une simple manipulation du commutateur 12. En e~fet, ce~te ~onction ef~ace les contenus des mémoires. Toutefois, elle est r~llsée ici d'une fa~on qui élimine ce danger.
~ la condition que le commutateur 12 soit préalablement pressé et que le commutateur 11 soit pressé ensuite, la porte 46 peut ~evenir passante, pour autant encore que la sortie d'un comparateur 48 que l'on étudiera plus loin fournisse un niveau "1". De plus, dans une variante dé-nommée QV, une entrée de la porte 46 reçoit encore le signal Q, issu de la sortie Q du flip-flop 28, ce qui signifie qu'alors la fonction de'~resync~ronisation mémoi-res"ne peut avoir lieu que si le compteur fonctionne.
Dans l'autre variante, si la connexion QV, dessinée en pointillés n'est pas faite, l'entrée correspondante de la porte 46 est considérée comme étant ~ l'etat "1", et la "resynchronisation mémoires'est également possible lorsque le compteur est au repos. Cette~resynchronisation mémoi-res"resynchronise toutes les mémoires 1 à n sur le comp-teur de base de la fonction chronographe (compteur zéro) mais par contre, à l'encontre de la fonction "remise à
zéro" (ou RESET), cette fonction de~resynchronisation de mémoires~ne remet pas le compteur de base à zéro.
Comme on peut le voir en suivant les figures, la sortie de la porte 46, passant ensuite par la porte OU 35, remet, par la liaison RS toutes les mémoires en ~tant de syn-chronisation, en appliquant une impulsion sur leur entrée Sy .
Le comparateur 48 compare l'état du compteur 51 de commande d'affichage de mémoires et l'état du compteur 39 de commande d'entrée des SPLITS dans les mémoires (ou d'adressage despLITs dans les mémoires). Si l'état du compteur 51 est au moins aussi elevé que l'etat du compteur 39, cela signifie que toutes les informations mémorisées ont été lues au moins une fois et l'on peut -lZ6Z~
donc permettre la resynchronisation des mémoires~ Si 1l~-tat du compteur 51 est inférieur a l'état du compteur 39 (si l'on a par exemple emmayasiné six SPLITS alors que l'on n'a lu que quatre mémoires), le comparateur 48 ne dé-livre pas de signal de niveau "1" ~ sa sortie, ce quiempêche le fonctionnement de la porte 46 et interdit donc la ~onction de "resynchronisation mémoires". Ceci prévient le risque que des temps chronométrés soient en-registrés et soient perdus avant d'avoir été lus.
Il reste a voir, en considérant la fig. 2D, comment les différents moteurs entrainant les aiguilles des centiè-mes de seconde, des secondes, des minutes et des heures de la fonction chronographe sont commandées. En haut de la fig.
2D, on voit que les entrées desinformations respectives des centièmes de seconde (TC), des secondes (TS), des minutes (TM), et des heures (TH). Les trois informations des secon-des, des minutes et des heures sont directement appliquées respectivement à chacun de trois comparateurs, 82, 83, 84.
Par contre, l'information des centièmes de seconde est d'a-bord appliquée à un circuit inhibiteur 106, en meme temps qu'elle est appliquée, par un différentiateur 108, à un circuit de retard, du type uni-vibrateur, qui, pour le retour à l'état de repos, présente un retard d'au moins 0,04 sec de la sortie par rapport ~ l'entrée. Cela signi-fie que tant que l'information des centièmes de secondeTC sera "en mouvement", c'est-à-dire changera à son rythme d'une impulsion par centième de seconde, la sortie du circuit à retard 105 sera en permanence au niveau "1", et ce niveau, appliqué au circuit inhibiteur 106, fera que l'information des centi~mes de seconde ne sera pas transmise au comparateur correspondant 81. Dès, par con-tre, que l'information des centièmes de seconde sera au repos (lecture d'une mémoire bloqu~e ou encore du compteur de base arr8té), le circuit 105 reviendra à l'état de repos après 0,04 sec, et le circuit inhigibeur lO~ cessera dlagir, Q5~
de sorte qu~ l'information des centiemes de seconde se trouvera appliquée au comparateur 81, Ainsi donc, en cours de comptage, le comparateur 81 ne re~oit pas de signal, tandis qu'il re~oit le signal des centi~mes de seconde lorsque ce dernier est permanent, P.cur la mise en position voulue de chacune des aiguilles, les compara-teurs 82, 83, 84 comparent l'information de consigne qu'i~srec,oivent (TS, TM, TH) avec une information de si-tuation reelle qu'ils reçoivent d'un compteur respective-ment 93, 94, 95. Ce compteur reçoit une impulsion de remise à zero lorsque l'aiguille correspondante passe par zero, par des moyens mécaniques, au moyen de contacts R2, R3, R4. Ils recoivent ensuite autant d'impulsions que le moteur, ce qui signifie que leur etat sera representatif de la position de l'aiguille correspondante. Si une im pulsion venait à manquer son but et ne faisait pas tourner le rotor du moteur, ce defaut serait vite éliminé, au prochain tour, par le contact de passage à zéro. Les com-parateurs comparent ainsi la position réelle de l'aiguil-le avec la position que l'aiguille devrait prendre, ettant qu'il n'y a pas identité, ils donnent un.signal de niveau "1" sur leur sortie Q, qui rend passante une porte respectivement 85, 86, 87, recevant par ailleurs sur une autre entrée un signal cadencé issu d'un diviseur de ca-dencement 33 alimenté par le diviseur de fréquence 22. Lafréquence du diviseur de cadencement sera adaptée aux possibilités des moteurs, compte tenu également de l'iner-tie des aiguilles; une fréquence de l'ordre de 30 a 50 Hz devrait convenir. En marche normale, les informations de consigne n'avancent que d'une unité à la fois, c'est-à-dire que seule une impulsion est envoyée par la porte correspondante, 85, 86, 87, ensuite de quoi le compara-teur constate déjà le rétablissement de la colncidence.
Par contre, lorsqu'il s'agit de gagner une position éloi-gnée, les portes 85, 86, 87 envoient une série d'impul-31sions, On voit ~alement sur la figure que les circuits de mise en forme 97, 98 et 99 me~tent les signaux dans la forme voulue pour l'actionnement des moteurs, respectivement 102, pour les secondes, 103 pour les minutes et 104 pour les heures, Il en va d'une fa~on pratiquement analogue du moteur actionnant l'aiguille des centiemes de seconde, par 1'intermédiaire d'un moteur 101 commandé par un formeur d'impulsions 96, La position de l'aiguille des secondes est également reconnue par un circuit 92 fonctionnant, en coopération avec un contact de passage a zéro Rl, exacte-ment comme les circuits précédemment mentionnés 93, 95,97.
La seule différence dans le cas du compteur des centiemes de seconde est que, en marche normale, le comparateur 81 re~oit un signal "0000", S'il agissait comme les autres comparateurs, il remettrait donc chaque fois l'aiguille des centiemes de seconde sur la position zéro. Cette manie-re de faire pourrait avoir son charme et peut etre prévue comme une variante intéressante, surtout si l'on suppose que l'aiguille des centièmes de seconde est quelque peu encombrante, suivant l'endroit o~ elle se trouve bloquée.
Pour cette variante, la connexion en pointillés ZV doit etre supprimée. Toutefois, selon l'exécution prévue, on applique, par un inverseur 107, l'inverse du signal de sor-tie du temporisateur 105 a une troisieme entrée de la porte88 qui reçoit le signal de la sortie Q du comparateur 81 des centi~mes de seconde (conne~ion en pointillés Z~ en circuit).
Dans ce cas, même lorsque ce comparateur en lui-meme au~
toriserait les impulsions a traverser la porte ET 88~
le signal de niveau "O" sortant de l'inverseur 107 in-terdit l'envoi de ces impulsions, de sorte que l'aiguille des centièmes de seconde reste toujours immobile lorsque les centièmes de seconde dé~ilent à la cadence de lOO Hz.
Le moteur ne bouge pas et le comparateur constate toujours une non-colncidence entre le signal délivré par le circuit 92 et le signal "0000" délivré par le circuit d'inhibition ~Z6~[)5~
~ 2 10~, mais, la porte 88 restant blogué~, cette non-colnci-dence reste sans ef~et. C'est seulement lorsque le tem-porisateur 105 cesse d'agir, que le circuit inhibiteur 106 transmet l'lnformation voulue et que l'inverseur 107 cesse de bloquer la porte 88. A ce moment-l~, la mise en position de l'aiyuille des centièmes de seconde se produit exactement comme celle des autres aiguilles.
On note que si l'information TC des centi~mes de seconde est donnée par deux circuits BCD en cascade, il suffira de prélever, pour le circuit temporisateur 105, le signal de l'étage dela pondération la plus faible du premier groupe BCD, qui basculera deux fois par cen-tième de seconde. Il se pourrait toutefois que, lorsque l'information est arretée, ce signal soit au niveau haut 1~ (si le nombre de centièmes de seconde est impair). C'est la raison pour laquelle on a prévu encore le circuit différentiateur 108 sur l'entrée du ternporisateur 105, ce circuit 108 ne transmettant que les impulsions de sauts po-sitifs, de sorte que, d~s que le signal ces~ d'effectuer des sauts, le niveau "O" réapparaît à l'entrée du circuit 105 et qu'ainsi m~me les centièmes de seconde impairs ne ris~uent pas de maintenir le circuit 105 bloqué.
Concernant le compteur 39 d'adressage des SPLITS
- (ou LAPS) dans lesmémoires, on remarque que deux exé-cutions sont envisageables. Ce compteur 39 peut être un compteur "en ligne" qui, partant de zéro, passe pas à pas jusqu'à sa derniare position "n", puis s'arrete, de nou-velles impulsions sur son entrée c~ restant alors sans effet. Dans une autre forme dlexécution, ce compteur pour-rait ~tre du type "en anneau", en ce sens qu'une nouvelleimpulsion apparaissant sur l'entrée c~ alors que le comp-teur est déjà sur sa derniere position "n" provoque le retour du compteu~ sur la position "1" (mais en aucun cas sur la position "O").
lX~
Avec la premi~re forme d'execution susmentionnée du compteur 39, on peut enregistrer un nombre de SPLITS
egal à la capacité "n" du compteur, ensuite de quoi les SPLITS (ou LAPS) ne sont plus enregistrés, à moins qu'entretemps on ait effectué une fonction de "resyn-chronisation des mémoires, effa~cant le contenu de toutes les mémoires et ramenant le compteur ~ "O". Dans la seconde forme d'exécution de ce compteur, l'enregistre-ment d'un nombre de SPLITS (ou de LAPS) supérieur ~ la l~ capacité du compteur (correspondant au nombre de mémoi-res) est possible; en admettant par exemple que l'on ait vingt-cinq mémoires et que la 25eme memoire soit deja chargee, le prochain SPLIT (ou LAP) reviendra sur la memoire no 1 dont l'ancien contenu sera efface. Ainsi donc, les temps chronometres n + 1, n f 2, n + 3, etc, prendront automatiquement la place des anciens contenus chronometrés 1, 2, 3, etc, sans qu'il soit nécessaire d'effectuer entretemps une manipulation de "resynchroni-sation".
Les deux variantes ont leurs avantages et leurs inconvénients, le choix entre elles sera une question d'opportunité.
Un agencement qui n'est pas représente au dessin mais qui, etant classique,peut fort bien être imagine, pourrait egalement munir le chronographe ou la montre-chronographe selon l'invention. Il s'agit d'un agencement de "detection d'approche de fin de vie de la pile". Un tel agencement comprend un circuit qui mesure avec exac-titude la tension restante de la pile alimentant le chronographe ou la montre-chronographe, cette tension subissant une legère baisse a l'approche de sa fin de vie. Pour signaler cette approche de fin de vie, des moyens qu'il n'est pas necessaire de decrire d'une fa~on plus detaillée, car ils sont connus des gens du metier~
ameneront l'affichage digital dans le champ 13 (affichage -..
os~
de la date ou du rang de mémoire lue) à clignoter au lieu d'~tre fourni d'une façon permanente.
Bien que représentée a la fig. 1 sous forme de montre-chronographe de format bracelet, le chronographe ou la ~ontre~chronographe selon la conception proposée peut aussi avantageusement etre réalisée dans le format d'une montre de poche. Dans ce cas, le cadran est plus grand et les différents petits cadrans intérieurs, sur lesquels travaillen~ l'aiguille des secondes de temps courant 4, l'aiguille des minutes de temps chronométrés 7 et l'aiguille des heures de temps chronométrés, auraient avantage a se trouver plus éloignées du centre qu'elles ne le sont dans la pièce de format montre-bracelet re-presentée à la fig. 1. A cet effet, on a prevu que, pour 1~ l'entralnement des aiguilles en question, on utilisera un agencement modulaire, comprenant le moteur pas à pas, les engrenages démultiplicateurs nécessaires et l'axe de l'aiguille, formant du point de vue constructif un sous-ensemble distinct. Cet agencement modulaire permettra sans grande difficulté de disposer les petits cadrans sus-mentionnés à plus ou moins grande distance du centre selon qu'il s'agira d'une pièce de format montre-bracelet ou d'une pièce de format montre de poche.
Ainsi fonctionne la montre-chronographe dont la forme extérieure est représentée à la fig. 1. La concep-tion proposée ne se limite toutefois pas à ce qui a été
décrit, et en particulier, d'autres formes d'exécution seraient pensables, notamment avec d'autres moyens pour afficher les centièmes de seconde. On pourrait fort bien avoir la série d'aiguilles des secondes, minutes, et heures de la fonction chronographe actionn~esde la façon décrite ou d'une façon similaire, et avoir les centièmes de seconde apparaissant par exemple sous forme digitale.
Il faut dire egalement que de nombreuses fonctions qui ont ete decrites pourraient eventuelleme~ être suppri-~L2 E;2~
35mees, on pourrait par exemple se passer de l'aiguille des heures de la fonction chronographe. On pourrait également se passer de l'affichage de la date ou de la possibilite d'obtenir l'aEfichage temporaire de la date en fonction-nement chronographe.
Il est à remarquer egalement que la montre pourrait fort bien etre realisee dans le format d'une montre de poche ou encore un autre format.
Enfin, concernant l'electronique et en particulier les compteurs, registres, et memoires, il est bien clair que de nombreuses méthodes sont à disposition pour réali-ser des fonctions similaires, et que c'est avant tout la combinaison des fonctions qui permet le fonctionnement extérieur commode, efficace et souple du chrono~raphe qui particularise la conception proposée. Une forme d'exécu-tion ne comportant pas d'indications du temps courant, c'est-à-dire un simple chronographe ou compteur de temps correspondrait également à la conception proposee par l'invention.
Claims (19)
EXCLUSIF DE PROPRIETE OU DE PRIVILEGE EST REVENDIQUE, SONT
DEFINIS COMME IL SUIT:
1. Montre-chronographe électronique qui comprend des moyens électroniques compteurs de temps (21, 22, 61-64,65-68), des moyens d'entraînment à moteurs pas à pas (102, 101), des moyens indicateurs de type analogique, à aiguilles comprenant des aiguilles indiquant respectivement les minutes, les secondes et les centièmes de seconde, des périodes de temps chronométrées, des moyens de commande avec une pluralité
d'organes manuels (10,11), ces moyens de commande permettant de chronométrer des périodes de temps et d'arrêter les aiguilles sur des positions permettant de lire ces temps, caractérisé en ce que des moyens de mémorisation (65-68) sont associés aux moyens de comptage, aux moyens d'entraînement et aux moyens de commande de manière telle que des manoeuvres successives d'un des dits organes manuels, effectuées après une opération d'enclenchement du comptage mette en mémoire les différents temps correspondant à ces manoeuvres et qu'une opération ultérieure des dits moyens de commande amène au moins une partie des dites aiguilles dans des positions successive qui correspondent aux contenus des mémoires.
d'organes manuels (10,11), ces moyens de commande permettant de chronométrer des périodes de temps et d'arrêter les aiguilles sur des positions permettant de lire ces temps, caractérisé en ce que des moyens de mémorisation (65-68) sont associés aux moyens de comptage, aux moyens d'entraînement et aux moyens de commande de manière telle que des manoeuvres successives d'un des dits organes manuels, effectuées après une opération d'enclenchement du comptage mette en mémoire les différents temps correspondant à ces manoeuvres et qu'une opération ultérieure des dits moyens de commande amène au moins une partie des dites aiguilles dans des positions successive qui correspondent aux contenus des mémoires.
2. Chronographe selon la revendication 1 caractérisé en ce qu'il comprend moyens d'affichage d'unités du temps chronométré de durée inférieure à la seconde par une aiguille (5) des centièmes de seconde de temps chronométrés, comprenant, en plus du dit moteur pas a pas (102) pour mouvoir l'aiguille des secondes de temps chronométrés, un autre moteur pas a pas (101) pour mouvoir l'aiguille-des centièmes de seconde de temps chronométrés, les dits organes manuels (10,11) étant agencés pour commander le démarrage de la fonction chronographe, depuis lequel l'aiguille des secondes de temps chronométrés est mue par le moteur pas à pas qui lui est dévolu, et pour commander des prises de temps chronométrés, de façon qu'à partir de leur actionnement en tant qu'organe de prise de temps, l'aiguille des secondes de temps chronométrés soit stoppée et l'aiguille des centièmes de seconde de temps chronométrés soit mue par le moteur pas à pas qui lui est dévolu pour atteindre une position indicatrice de l'état de comptage au moment de l'actionnement de prise de temps, caractérisé en ce que les dites mémoires (651-681, 652-682,... 65n-68n) sont aptes à mémoriser chacune successivenent un temps chronométré
correspondant respectivement à chacun des états de comptage de temps chronométrés, aux instants d'actionnement de l'organe de prise de temps, un organe manuel (12) de commande d'appel des temps chronométrés mémorisés permettant de provoquer successivement le positionnement des aiguilles (6, 5,7) d'indications de temps chronométrés sur des positions indiquant chacun des temmps chronométrés ainsi mémorisés.
correspondant respectivement à chacun des états de comptage de temps chronométrés, aux instants d'actionnement de l'organe de prise de temps, un organe manuel (12) de commande d'appel des temps chronométrés mémorisés permettant de provoquer successivement le positionnement des aiguilles (6, 5,7) d'indications de temps chronométrés sur des positions indiquant chacun des temmps chronométrés ainsi mémorisés.
3. Chronographe selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend un compteur comparateur de mémoires (51) qui actionne un affichage digital (59) indiquant quel est le rang de la mémoire qui est lue et donc celui du temps chronométré
correspondant qui se trouve affiché.
correspondant qui se trouve affiché.
4. Chronographe selon la revendication 2, caractérisé en ce qu'il comprend un troisième moteur pas à pas (103) pour mouvoir l'aiguille (7) des minutes des temps chronométrés.
5. Chronographe selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'il comprend une aiguille (8) des heures des temps chronométrés.
6. Chronographe selon la revendication 5, caractérisé en ce qu'il comprend un quatrième moteur pas à pas (104) pour mouvoir l'aiguille (8) des heures des temps chronométrés.
7. Chronographe selon l'une des revendications 1 à 3,caractérisé en ce qu'il constitue une montre-chronographe et comprend en plus des aiguilles (2, 3, 9) indicatrices du temps courant, mues par un moteur pas a pas (36) particulier à cette fonction-là.
8. Chronographe selon la revendication 3, caractérisé en ce que l'affichge digital (13, 59) du rang de la mémoire lue fournit une fonction d'indicateur de date lorsque la fonction chronographe n'est pas utilisée.
9. Chronographe selon la revendication 2, caractérisé en ce que le dit organe manuel (12) de commande d'appel des temps chronométrés actionne un compteur de rang de mémoires (51) indiquant quel est le rang de la mémoire qui est lue et donc celui du temps chronométré correspondant qui se trouve affiché, cet organe manuel (12) de commande d'appel étant également agencé pour modifier la fonction de l'organe manuel (10) de commande de démarrage et de prise de temps, de façon que la fonction de cet organe de commande de démarrage et de prise de temps (10) soit une fonction de SPLIT si à ce moment-la l'organe manuel (12) de commande d'appel n'est pas pressé et une fonction LAP
RESET si à ce moment-là l'organe (12) de commande d'appel se trouve pressé, la fonction intrinsèque de l'organe (12) de commande d'appel (12) étant par ailleurs inhibée si la fonction LAP RESET a été effectuée par l'organe de commande de démarrage et de prise de temps (10) pendant que ce commutateur de commande d'appel (12) était actionné.
RESET si à ce moment-là l'organe (12) de commande d'appel se trouve pressé, la fonction intrinsèque de l'organe (12) de commande d'appel (12) étant par ailleurs inhibée si la fonction LAP RESET a été effectuée par l'organe de commande de démarrage et de prise de temps (10) pendant que ce commutateur de commande d'appel (12) était actionné.
10. Chronographe selon la revendication 9, dans lequel l'un des dits organes manuels, commandant les prises de temps chronométrés (11), effectue une fonction STOP qui arrête le comptage lorsque celui-ci était en fonction, puis, s'il est manipulé une seconde fois, ef-fectue une fonction RESET, remettant le compteur à zéro s'il était déjà arrêté, caractérisé en ce que le dit organe manuel (12) de commande d'appel conditionne éga-lement le fonctionnement de l'organe manuel de prise de temps (11), en ce sens que si l'organe de commande d'appel (12) n'est pas pressé, le dit organe manuel de prise de temps (11) effectue ses fonctions précitées, tandis que, si le dit organe manuel de commande d'appel (12) est pressé tandis que le dit organe manuel de prise de temps (11) est manipulé, la fonction de ce dernier devient une fonction de resynchronisation de mémoire, c'est-a-dire rattrapante pour toutes les mémoires, dont la totalité se resynchronise alors avec le compteur de temps de base, la fonction intrinsèque du commutateur de commande d'appel (12), qui agit normalement sur le compteur de rang de mémoires (51), étant alors inhibée.
11. Chronographe selon la revendication 9, caractérisé en ce qu'il comprend un compteur (39) de comptage d'adressage des splits successifs dans les mémoires, ledit compteur de rang de mémoire (51) comprenant un registre (112) avançant pas à pas sous l'action de l'organe commutateur (12) de commande d'appel et déterminant chaque fois quelle est la mémoire qui est lue, en même temps qu'il fournit, par l'intermédiaire d'un convertisseur (120) l'information d'affichage du rang de la mémoire dont le contenu est affiché.
12. Chronographe selon la revendication 11, caractérisé en ce que le dit compteur de rang de mémoires (51) est connecté au dit compteur (39) d'adressage de splits dans les mémoires, de façon que le cycle du compteur de commande de mémoires soit réduit à une valeur au maximum de deux unités supérieure au nombre de mémoires déjà chargées, mémorisé dans le compteur d'adressage de splits (39).
13 Chronographe selon la revendication 11 ou la revendication 12, caractérisé en ce que le dit compteur de rang de mémoires (51) comprend une position zéro dans laquelle il provoque l'affichage du compteur de base et à partir de laquelle l'arrivée d'une impulsion de SPLIT fait automatiquement passer son dit registre (112) et donc son information de sortie (B1- Bn) sur la mémoire dans laquelle cette impulsion de SPLIT vient de mémoriser un temps, de façon que ce temps se trouve automatiquement affiché sans manipulation particulière de l'organe de conmande d'appel (12) pour appeler la bonne mémoire.
14. Chronographe selon la revendication 10, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens à portes (46) qui n'autorisent la dite fonction de resynchronisation de toutes les mémoires que si l'état du compteur (51) de rang de mémoires lues est égal ou supérieur à l'état du compteur (39) de splits enregistrés, c'est-à-dire de mémoires chargées, un comparateur (48) étant pour cela disposé entre les deux compteurs précités (51, 39) et agissant sur les dits moyens à portes (46).
Chronographe selon les revendications 8, 9 et 10, caractérisé en ce que l'affichage soit de la date soit du rang de mémoire lue dans le champ d'affichage (13, 59), est sélectionné par un sélecteur (57) commandé par une bascule (56), cette dernière pas-sant a l'état où elle provoque l'affichage de la date lorsqu'une pression sur l'organe manuel de prise de temps (11) fait intervenir une fonction STOP, ou une fonction RESET, ceci à condition toutefois que simultanément le compteur de rang de mémoires lues (51) se trouve en position zéro, cette bascule (56) étant mise dans la position où elle provoque l'affichage du rang de mémoi-res lors d'une fonction START au moyen du premier organe manuel de commande (10) ou également lors d'une manipu-lation de l'organe d'appel (12) agissant sur le compteur de rang de mémoire (51).
16. Chronographe selon la revendication 15, caractérisé en ce que, à l'aide de moyens temporisés (52) et d'une bascule (53), l'affichage temporaire de la date peut également être appliqué dans le cas d'une pression sur l'organe manuel (12) de commande d'appel durant une période supérieure à un délai d'au moins 3 secondes, la date apparaissant alors à partir de ce délai tant que cet organe manuel commutateur reste pressé, ensuite de quoi l'affichage du rang de mémoires réapparaît, sans que cette manipulation de l'organe manuel de commande d'appel (12) ait fait avancer le compteur de mémoires (51).
17. Chronographe selon la revendication 1, constituant une montre-chronographe, caractérisé
en ce qu'il a le format d'une montre-bracelet.
en ce qu'il a le format d'une montre-bracelet.
18. Chronographe selon la revendication 17, caractérisé en ce que les deux aiguilles respectivement des secondes de temps chronométrés (6) et des centièmes de seconde de temps chronométrés (5) sont des aiguilles centrales relativement à un grand cadran circulaire, ces aiguilles fournissant toutes deux leurs indications sur des graduations respectives situées au voisinage de la périphérie de ce grand cadran circulaire.
19. Chronographe selon la revendication 1, caractérisé en ce que les éléments qui forment l'entraînemnt des aiguilles, principalement des aiguilles qui se meuvent dans un petit cadran intérieur, sont réalisés sous une forme modulaire qui comprend, en tant qu'un sous-ensemble modulaire, le moteur pas à pas, les engrenages démultiplicateurs nécessaires, et l'axe destiné à porter l'aiguille.
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