BE889017A - Trousse de diagnostic - Google Patents

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BE889017A
BE889017A BE0/204944A BE204944A BE889017A BE 889017 A BE889017 A BE 889017A BE 0/204944 A BE0/204944 A BE 0/204944A BE 204944 A BE204944 A BE 204944A BE 889017 A BE889017 A BE 889017A
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Mallinckrodt Inc
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    • G01N33/48Biological material, e.g. blood, urine; Haemocytometers
    • G01N33/50Chemical analysis of biological material, e.g. blood, urine; Testing involving biospecific ligand binding methods; Immunological testing
    • G01N33/579Chemical analysis of biological material, e.g. blood, urine; Testing involving biospecific ligand binding methods; Immunological testing involving limulus lysate
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Description


  Trousse de diagnostic.

  
Levin et Bang ont été les premiers à indiquer en

  
 <EMI ID=1.1> 

  
polyphemus) coagule en présence d'une endotoxine bactérienne, dont la quantité détectée a été portée au picogramme

  
 <EMI ID=2.1> 

  
sa sensibilité extrême et de sa spécificité à l'égard des endotoxines, le dosage au moyen du produit de lyse des amibocytes de limule a été appliqué à la détection des endotoxines contaminantes dans les préparations pharmaceutiques et médicaments à usage parentéral utilisés en médecine humaine. En outre, le dosage au moyen du produit de lyse des amibocytes de limule a trouvé des applications cliniques dans le diagnostic précoce de la méningite, des infections urinaires et des syndromes d'urétrite et cervicite.

  
L'invention concerne un procédé et un appareil de diagnostic de la gonorrhée, en particulier chez l'homme. Bien que des tests de ce genre existent déjà, ils laissent

  
à désirer en raison de leur complexité, des influences perturbatrices, de la lenteur d'exécution, de leur mauvaise reproductibilité, de leur précision douteuse et des dépenses élevées qu'ils entraînent. Tous ces tests se sont révélés exiger une durée sensible pour l'établissement d'un diagnostic sûr. Beaucoup de ces difficultés sont évitées au moyen du procédé et de l'appareil faisant l'objet de l'invention.

  
La rapidité et la précision sont améliorées par

  
la nature de l'épreuve et de l'appareil de diagnostic. Ce test est une épreuve au moyen du produit de lyse dés amibocytes de limule qui s'est révélée particulièrement efficace pour le diagnostic rapide de l'urétrite gonococcique chez l'homme. Diverses épreuves exécutées au moyen du produit de lyse des amibocytes de limule sont expliquées en détail dans British Journal of Venereal Diseases, volume 55, n[deg.] 3,
1979, pages 179 - 182. La prévision par culture de

  
 <EMI ID=3.1> 

  
cité est de 96,3% et la précision d'ensemble est de 98%, ce qui indique que l'épreuve constitue un progrès sensible pour le diagnostic de la gonorrhée.

  
Les épreuves décrites dans British Journal of Veneral Diseases ci-dessus sont relativement fastidieuses et ne se prêtent pas à.une application clinique pour laquelle la simplicité et la rapidité sont essentielles. Par exemple, les épreuves originales sont exécutées au moyen de tubes à essai et de pipettes en matière plastique pour l'évaluation qualitative du prélèvement. La préparation des tubes à essai, la dilution et l'utilisation des pipettes ne sont pas commodes pour le médecin.

  
Il est au contraire préférable que le matériel nécessaire pour l'épreuve diagnostique soit emballé dans une trousse contenant un appareil collecteur de prélèvements,

  
un dispositif de dilution et un réactif à base de produit

  
de lyse d'amibocytes de limule, de manière que le médecin puisse utiliser ce matériel immédiatement ou après peu de temps, par exemple 30 minutes. La dilution du prélèvement doit être effectuée sans contamination parce que des picogrammes d'endotoxine sont mis en évidence lors du dosage au moyen du produit de lyse d'amibocytes de limule. Le matériel doit en outre être simple et facile à utiliser.

  
L'invention a pour objet un procédé et un appareil permettant d'arriver aux résultats voulus indiqués ci-dessus d'une manière remarquable qui est efficace, simple, précise et reproductible. Plus spécifiquement, l'invention a pour objet une trousse qui contient tout le matériel nécessaire, notamment les solutions requises pour diluer le prélèvement et en faire le diagnostic après dilution convenable, le tout sans contamination. Les éléments constitutifs de la trousse sont une seringue apyrogène stérile, par exemple une seringue à tuberculine avec une coiffe, un récipient de dilution apyrogène stérile à bouchage frarigible, et une aiguille apyrogène stérile munie d'une gaine ou d'un fourreau, outre une fiole contenant du produit de lyse d'amibocytes de limule lyophilisé pour une seule épreuve.

  
La seringue est utilisée d'abord sans l'aiguille pour effectuer le prélèvement sous dépression partielle, par traction du piston. D'autres accessoires qui ont été essayés pour la collecte quantitative de l'exsudat à l'urètre sont notamment des tubes capillaires et des sondes de microdilution. Ces accessoires n'ont toutefois pas eu de succès parce que l'exsudat est relativement visqueux et qu'il faut exercer une certaine dépression pour collecter la quantité nécessaire pour une épreuve diagnostique. De plus, les tubes capillaires pointus risquent de blesser le patient. Par conséquent, la seringue à tuberculine sans aiguille s'est révélée préférable pour collecter par dépression l'exsudat à l'urètre sans risque de blesser le patient, tout en conservant une bonne visibilité pendant la collecte du prélèvement.

  
L'opération de dilution doit être précise, rapide, simple et peu onéreuse tout en évitant la contamination

  
du prélèvement ou un danger biologique pour l'utilisateur. Il est désirable que le système soit scellé pendant la dilution

  
du prélèvement et reste scellé pendant le mélange et la dilution jusqu'au moment où le prélèvement est ajouté au produit de lyse. Le dispositif de dilution est un récipient

  
de diluant muni d'un bouchage frangible. Le dispositif est spécialement conçu pour coopérer avec la seringue de façon

  
que lorsque celle-ci est insérée dans le dispositif de dilution, après rupture du bouchage frangible, l'étanchéité subsiste entre ces deux éléments pour permettre la dilution

  
en système clos et en une seule opération. Le diluant est

  
de l'eau apyrogène stérile ou une solution apyrogène isotonique, par exemple du chlorure de sodium aqueux, etc.

  
L'aiguille est alors adaptée sur la seringue contenant le prélèvement dilué et,tandis qu'elle est portée par la seringue, est insérée à travers le diaphragme d'une fiole, après quoi une quantité mesurée du prélèvement dilué est introduite dans le produit de lysed'amibocytes de limule que contient la fiole par enfoncement du piston de la seringue.

  
Dans d'autres formes de réalisation, la conformation de l'aiguille est telle que celle-ci peut être adaptée sur la seringue avant la dilution et permet de rompre le bouchage frangible tandis qu'elle est portée par la seringue. Cette mesure supprime un élément distinct qui serait sinon nécessaire pour rompre le bouchage frangible. Dans l'un et l'autre cas, après que le prélèvement dilué a été débité dans la fiole, le mélange de produit de lyse d'amibocytes de limule et de prélèvement est examiné après environ 30 minutes d'incubation pour déterminer si une gélification s'est opérée. En cas de gélification, l'épreuve fait présumer à

  
la présence de N. gonorrhoeae.

  
Lors de la réalisation d'un prélèvement en vue du diagnostic de la cervicite gonococcique ou non gonococcique chez la femme, la collecte d'un prélèvement provenant réellement de l'orifice du col utérin provoque des difficultés supplémentaires. Au laboratoire, des prélèvements peuvent être recueillis à la pipette sous légère dépression, puis dilués dans de l'eau apyrogène. Ces techniques sont acceptables et assurent une sensibilité et une_spécificité élevées [Spagna et al., American Journal of Obstetrics and Gynecology, volume 137, n[deg.] 5, pages 595 - 599, 1980], mais elles ne sont pas applicables pour la pratique médicale courante.

   L'utilisation d'une pipette suscite des difficultés en raison de l'emplacement du col utérin et de la variabilité de consistance de l'exsudat. 'De plus, il faut exécuter une série de dilutions qui augmentent le risque d'erreurs et de contamination tant du prélèvement que de la personne qui recueille le prélèvement, parce que celui-ci peut véhiculer des germes dangereux. L'invention vise à éviter ces difficultés et à procurer un dispositif de dilution et de collecte autocontenu que le médecin peut utiliser

  
au lit du patient. La trousse, tout comme celle conçue pour le diagnostic chez l'homme, comprend le matériel nécessaire pour la collecte du prélèvement au col utérin, pour

  
la dilution du prélèvement et pour l'épreuve avec le produit de lyse d'amibocytes dans une fiole contenant ce produit de lyse pour une seule épreuve.

  
Chez la femme, une technique par aspiration permet de recueillir le prélèvement en excès sur la quantité nécessaire, puis de l'amener dans une seringue qui est adaptée ensuite au dispositif de dilution. Cette technique exige toutefois différentes opérations et l'aspiration de l'exsudat du col utérin, bien que possible, devrait être évitée parce qu'elle exige une manipulation supplémentaire, est aléatoire et provoque des contaminations par des endotoxines exogènes. Il est difficile de faire appliquer une technique aussi méticuleuse en pratique médicale courante. 

  
Il serait donc intéressant de disposer d'un procédé qui évite ces inconvénients, qui est bien connu du médecin et que celui-ci peut exécuter rapidement et avec précision pour une dilution rapide et commode. Un procédé que les médecins connaissent bien pour la collecte de prélèvements au col utérin et qui n'expose la patiente à aucun risque consiste à utiliser un écouvillon à tampon d'ouate. L'écouvillon est enfoncé d'un ou deux centimètres dans l'orifice du col utérin. L'ouate est préférée parce qu'elle est  mouillable, mais des écouvillons en polyester apyrogène ou autres conviendraient aussi, quoique l'ouate absorbante collecte davantage d'endotoxines. Lorsque le prélèvement a été recueilli dans l'ouate,' il est ensuite utilisé pour le dosage avec le produit de lyse d'amibocytes de limule en vue de déterminer la présence de N. gonorrhoeae. 

  
La discussion générale ci-dessus du procédé et

  
de l'appareil de l'invention est complétée par une discussion plus détaillée donnée avec référence aux dessins annexés.

  
Dans les dessins :
Fig. 1 est une vue en élévation de la seringue stérile et de sa coiffe; Fig. 2 est une vue en élévation du dispositif de dilution stérile et de son bouchage; Fig. 3 est une vue en élévation d'une aiguille stérile et de sa gaine; Fig. 4 est une vue d'une fiole de produit de lyse d'amibocytes de limule lyophilisé pour un seul essai; Fig. 5 est une vue, à plus grande échelle, en élévation, du bec de la seringue visible à la Fig. 1 et du col du dispositif de dilution visible à la Fig. 2; Fig. 6 illustre l'utilisation des différents élé- <EMI ID=4.1> 

  
et de dilution du prélèvement; Fig. 7 illustre les stades (e) à (h) de dilution du prélèvement; Fig. 8 illustre les stades (i) à (1) d'introduction du prélèvement dilué dans la fiole de produit de lyse d'amibocytes de limule; Fig. 9 représente un autre dispositif de dilution stérile; Fig. 10 montre un élément permettant de rompre l'opercule du dispositif de la Fig. 9; Fig. 11 montre une autre aiguille; Fig. 12 illustre les stades (a) à (d) de dilution d'un prélèvement au moyen de-l'aiguille de la Fig. 11; Fig. 13 illustre les stades (e) et (f) d'utilisation de l'aiguille de la Fig. 11 et d'introduction du prélèvement dilué dans la fiole de produit de lyse d'amibocytes;

  
la Fig. 14 montre un écouvillon pour la collecte du prélèvement; Fig. 15 illustre les stades (a) à (d) de dilution <EMI ID=5.1>  Fig. 16 illustre les stades (a) et (b) pour une autre forme de réalisation de la seringue et de l'écouvillon.

  
Les éléments constitutifs de la trousse de diagnostic, comme illustré par les Fig. 1, 2, 3 et 4, comprennent une seringue avec coiffe 10, un dispositif de dilution

  
 <EMI ID=6.1> 

  
préférable d'utiliser une seringue à jeter après usage pour assurer qu'elle soit apyrogène. La seringue 18 comporte

  
un corps creux 19 et un bec 22. Une marque 21 est apposée sur le corps de seringue 19 pour indiquer un volume de

  
0,25 ml défini dans la seringue par la cavité depuis le bec jusqu'à la marque. Le bec 22 de la seringue est conique et habituellement couvert d'une coiffe 24. De préférence, la coiffe 24 présente une extrémité pointue fermée 26 et une extrémité ouverte 28,de manière qu'elle puisse recouvrir le bec 22 de la seringue 18.

  
Le dispositif de dilution 12, comme le montre la Fig. 2, est un dispositif stérile apyrogène de 20 ml comprenant un récipient en matière plastique souple 30 muni d'un bouchage 32 scellé sur le récipient par un joint frangible aisément rompu par torsion du bouchage du récipient. Le liquide contenu dans le récipient 30 est de l'eau apyrogène stérile ou une autre solution aqueuse acceptable. Le bouchage <EMI ID=7.1>  l'arracher par torsion du récipient 30. Un prolongement conique 36 fait saillie sur la face supérieure 34 opposée à celle au contact du récipient 30 et est conformé pour s'adapter dans un orifice ou canal du récipient 30, comme décrit plus en détail ci-après.

  
Bien qu'un dispositif de 20 ml soit représenté, il est évident que la dimension du récipient dépend du volume du prélèvement recueilli et de la sensibilité du dosage. Par exemple, le récipient doit avoir une capacité suffisante pour contenir environ 5 à 20 ml de diluant et

  
de préférence environ 0,5 à 10 ml du diluant pour une sensibilité du produit de lyse d'amibocytes de limule de 0,25 à 0,5 nanogramme par ml d'endotoxine de référence EC-2.

  
 <EMI ID=8.1> 

  
dont une extrémité est munie d'un adaptateur 40 permettant de la monter sur le bec 22 de la seringue 18. De préférence, l'aiguille gainée 14 est une aiguille 38 stérile, apyrogène, n[deg.] 23 G de 25,4 mm munie d'une gaine de protection 42. La gaine de protection est un corps cylindrique en matière plastique forcé sur l'adaptateur 40 de manière à protéger l'aiguille 38.

  
La fiole 16 est un tube de verre muni d'un diaphragme supérieur ordinaire 46 qui peut être perforé par l'aiguille 38. Dans le cas illustré à la Fig. 4, la fiole
16 contient du produit de lyse d'amibocytes de limule lyophilisé.

  
Comme le montre la Fig. 5, le bec 22 et le dispositif de dilution 12 sont spécialement conçus pour assurer

  
 <EMI ID=9.1> 

  
forme d'un cône dont la base 48 fait corps avec la seringue et dont le sommet tronqué 50 facilite l'insertion dans le dispositif de dilution 12. Le bec 22 porte un bourrelet péri-phérique 52 qui améliore l'étanchéité entre la seringue et le dispositif de dilution 12 lorsque le bec est inséré dans le dispositif de dilution. Le dispositif de dilution 12 comporte un col 54 en saillie vers le haut, dans lequel est ménagé un canal 56 dont la forme est sensiblement celle de l'extérieur du bec 22, sauf le bourrelet 52. Spécifiquement, le canal 56 présente un orifice supérieur 58 dont le diamètre est sensiblement identique ou un peu inférieur à celui

  
 <EMI ID=10.1> 

  
dont le diamètre est sensiblement identique ou inférieur à celui du sommet tronqué 50. De cette façon, le canal 56 présente une surface complémentaire s'adaptant sur le bec 22  de la seringue de manière à assurer l'étanchéité entre la seringue et le récipient pendant la dilution du prélèvement. L'opération de dilution est expliquée ci-après dans la description de la forme de réalisation préférée.

  
Lors de la recherche de la gonorrhée au moyen du

  
 <EMI ID=11.1> 

  
que lorsque la sensibilité est d'environ 0,25 nanogramme d'endotoxine EC-2 étalon par ml, une dilution du prélèvement d'environ 1:400 permet de faire la différence entre une affection provoquée par des gonocoques et une affection d'autre origine. Cette dilution a été déterminée par des études cliniques et peut être exprimée de la façon suivante :

  

 <EMI ID=12.1> 


  
avec

  
 <EMI ID=13.1> 

  
Une épreuve positive au limule égale ou supérieure

  
à la dilution critique indique l'urétrite gonococcique, tandis qu'une épreuve négative au limule indique uneurétrite non gonococcique. Par exemple, un prélèvement d'exsudat de

  
 <EMI ID=14.1> 

  
viron 10 ml d'eau pour atteindre un rapport de dilution moyen de 1:400 qui conviendrait lorsque le produit de lyse

  
a une sensibilité de 0,25 nanogramme de EC-2 par ml.

  
Les dimensions de la seringue étant connues, le calcul indique le niveau exact dans la seringue jusqu' auquel le prélèvement doit être aspiré pour que son volume soit de 0,025 ml.

  
Le prélèvement dilué est ensuite introduit dans une fiole contenant du produit de lyse, qui est ensuite mis

  
à incuber et dont la gélification est surveillée. Cette opération, comme expliqué à propos de l'article paru dans British Journal of Venereal Diseases, s'est révélée efficace pour le diagnostic et constitue un progrès sensible dans ce domaine .

  
La simplicité et la fiabilité de l'épreuve exécutée à l'aide des éléments représentés aux dessins et décrits sont telles qu'elle est applicable au diagnostic et peut être exécutée aisément et avec précision par le médecin. Plus spécifiquement, la seringue stérile apyrogène 18, d'une capacité de 1 ml, est utilisée pour recueillir un prélèvement d'exsudat de l'urètre, normalement chez l'homme, comme illustré à la Fig. 6. La marque 52 sur la seringue indique un volume de 0,025 ml, de sorte qu'il est aisé d'apprécier à quel moment le volume de prélèvement est suffisant.

  
La seringue 18 est normalement munie d'une coiffe

  
 <EMI ID=15.1> 

  
moment où la coiffe est retirée pour la collecte du prélèvement. Comme indiqué en (a) à (d) à la Fig. 6, après que la

  
 <EMI ID=16.1>  au voisinage de l'endroit où il faut opérer le prélèvement. Le piston 20 est alors manoeuvré pour aspirer le prélèvement dans la seringue 18 jusqu'à la marque 52 de 0,025 ml. Une

  
 <EMI ID=17.1> 

  
sans qu'il y ait d'effet défavorable sur les résultats. A ce stade, un volume suffisant est aspiré dans la seringue 18 par la dépression provoquée par le retrait du piston. Le prélèvement est dilué ensuite, avant d'être ajouté au produit de lyse d' amibocytes de limule.

  
Le diluant est contenu dans le dispositif de dilution 12, qui est stérile et apyrogène et est muni d'un bouchage 32 indiqué à la Fig. 2. Le dispositif de dilution
12 contient de l'eau stérile apyrogène pour la dilution du prélèvement. Ce dispositif de dilution particulier comprend un bouchage frangible qui protège de manière étanche le diluant contenu dans le récipient jusqu'au moment où l'étanchéité est supprimée. Pour donner accès au diluant, comme on le voit en (c) à la Fig. 6, le bouchage 32 est enlevé

  
 <EMI ID=18.1> 

  
de sorte que le joint est rompu. Le bec 22 de la seringue

  
 <EMI ID=19.1> 

  
que le prélèvement puisse être expulsé dans le dispositif 12. pour y être dilué. Comme le montre la Fig. 5, la surface intérieure du canal 56 et la surface extérieure du bec 22

  
de la seringue 18 sont conçues pour assurer l'étanchéité entre la seringue et le dispositif de dilution pendant que le prélèvement est dilué. De la sorte, la dilution peut être effectuée sans contamination, ni du prélèvement recueilli,

  
ni de l'opérateur par le prélèvement qui peut contenir des germes dangereux.

  
Comme indiqué en (d) à la Fig. 6, le piston est enfoncé prudemment pour l'expulsion de l'exsudat dans le récipient. Le dispositif de dilution 12 est alors retourné tandis-qu'il reste adapté à la seringue 18 pour l'achèvement de la dilution. L'opération est exécutée par déplacement du piston 20 de la seringue 18, environ cinq fois de haut en bas, comme montré en (e) à la Fig. 7, le tout sous vive agitation. Après un mélange suffisant, le piston est tiré à nouveau comme indiqué en (f) à la Fig. 7 pour que la seringue se remplisse de prélèvement dilué jusqu'à la marque 21 de

  
0,25 ml. Après que le dispositif 12 a été retourné, la seringue 18 est retirée de celui-ci par un mouvement de traction avec légère torsion tandis qu'elle contient le prélèvement dilué, comme indiqué en (g) à la Fig. 7. L'opération doit être effectuée sans attouchement du bec 22 de la seringue. Un bouchon est alors appliqué sur le dispositif de dilution par insertion du cône 36 du bouchage 32 dans le col

  
 <EMI ID=20.1> 

  
La fiole contenant le produit de lyse d'amibocytes

  
 <EMI ID=21.1> 

  
diaphragme élastique 46 prévu pour être percé par l'aiguille
38 tout en assurant l'étanchéité. Ce diaphragme 46 est masqué par un couvercle qui le protège contre les poussières, mais qui n'est pas représenté aux figures. Après aspiration de la quantité voulue de prélèvement dilué dans la seringue
18, l'aiguille 38 protégée dans la gaine 42 est montée sur

  
la seringue 18 par enfoncement direct sur le bec 22. Le frot-

  
 <EMI ID=22.1> 

  
la seringue est suffisant pour immobiliser l'aiguille sur la seringue pendant que l'exsudat est débité dans la fiole contenant le produit de lyse d'amibocytes de limule. Du fait que cette opération est classique en médecine pour l'établissement d'un diagnostic, d'autres détails sur la façon dont l'aiguille est fixée à la seringue ne seront pas précisés ici. 

  
Lorsque l'aiguille est en place, comme indiqué en (i) à la Fig. 8, la gaine 42 est retirée comme indiqué en (j) de manière que l'aiguille soit démasquée pour débiter le prélèvement.

  
La fiole 44 contenant le produit de lyse d'amibocytes de limule est représentée en (k) de la Fig. 8 après retrait du couvercle. L'aiguille 38 est enfoncée, tandis qu'elle est fixée sur la seringue 18, dans le diaphragme 46 de la fiole et le prélèvement dilué est refoulé dans la fiole par enfoncement du piston 20. L'aiguille et la seringue sont alors retirées et jetées. La fiole 44 contenant le mélange de prélèvement et de produit de lyse d'amibocytes de limule doit être agitée modérément pour la bonne dispersion mutuelle,

  
 <EMI ID=23.1> 

  
observée lorsque la fiole est retournée.

  
La trousse pour la conduite de l'épreuve diagnostique doit comprendre les différents éléments montrés aux Fig. 1 à 4 qui sont utilisés comme précisé aux Fig. 6 à 8. Néanmoins, il ne s'agit que des formes de réalisation préférées pour la conduite de l'épreuve. D'autres accessoires peuvent être utilisés, à la condition qu'ils permettent la conduite des différentes opérations de collecte, de dilution et de diagnostic sans provoquer .de contamination.

  
Les Fig. 9 et 10 montrent d'autres éléments qui peuvent être utilisés pour le dispositif de dilution, de même que pour rompre l'opercule. Le dispositif de dilution 61

  
de la Fig. 9 comprend un récipient 62 de forme généralement cylindrique muni d'un col de raccordement conique 63. Entre le col 63 et le récipient proprement dit 62, une membrane 64 frangible isole le diluant liquide 66 contenu dans le récipient 62 jusqu'à rupture par le perforateur 70 que représente la Fig. 10. Le perforateur 70 comprend une pointe 72

  
et un corps tubulaire 74 permettant au perforateur 70 d'être tenu par l'utilisateur et forcé dans le col 63 pour la rupture de la membrane 64. Lorsque la membrane est percée, le diluant est mélangé avec le prélèvement recueilli dans la seringue comme indiqué à propos des Fig. 1 à 8 ci-dessus.

  
Le diamètre intérieur du col 63 est choisi en fonction du diamètre du bec de la seringue pour établir l'étanchéité entre la seringue et le récipient 62 pendant la dilution. En outre, la membrane 64 réalise en fait un coincement, de

  
sorte qu'au moment où l'utilisateur enfonce le bec 22 de la seringue dans le col 63 du récipient 62, un coincement indique que la seringue est enfoncée de la profondeur voulue

  
 <EMI ID=24.1> 

  
bec 22 de la seringue. De la sorte, des agents pyrogènes n'interviennent pas lors de la dilution et celle-ci est exécutée en milieu apyrogène. L'utilisateur est également protégé contre le risque biologique et la fiabilité de l'épreuve est améliorée. Dans le cas contraire, des agents pyrogènes et autres endotoxines peuvent s'insinuer dans le système et donner lieu à un résultat positif fallacieux.

  
Lorsque les opérations sont exécutées avec ces autres éléments représentés aux Fig. 9 et 10, le prélèvement ayant été recueilli dans la seringue comme ci-dessus, le piston est'saisi par l'utilisateur et la pointe 72 est enfoncée dans le col 63 du dispositif 61 pour rompre la membrane entre le col et le diluant contenu dans le dispositif. Lorsque la membrane est rompue, le perforateur 70 est retiré et le bec de la seringue est inséré dans le col jusqu'au coincement perçu par l'opérateur. Le piston est alors animé d'un mouvement de va-et-vient pour la dilution du prélèvement, comme indiqué ci-dessus à propos de l'autre dispositif de dilution.

   Après dilution convenable, le volume requis de prélèvement dilué est aspiré hors du récipient par le mouvement du piston et la seringue est séparée du dispositif de dilution, puis les opérations sont poursuivies comme indiqué précédemment. En variante, la coiffe 24 de la seringue est conçue de manière à couvrir le bec 22 et, de plus, à rompre la membrane 64 au lieu du perforateur 70. De plus, une telle coiffe pourrait être adaptée sur le dispositif de dilution
61 pour le fermer après que le prélèvement a été dilué et que la seringue a été retirée

  
Les particularités du matériel de l'invention décrites ci-dessus non seulement facilitent une épreuve qualitative, mais en outre rendent plus simple et plus facile une épreuve quantitative. Par exemple, un bec de pipette, par exemple d'une capacité de 0,05 ml, peut être adapté à l'orifice du dispositif de dilution et une quantité de 0,05 ml de prélèvement dilué peut être déposée sur une plaque de microdilution pour la détermination d'un point final. En prati-

  
 <EMI ID=25.1> 

  
du dispositif de dilution 12 contenant du prélèvement dilué

  
et le dispositif 12 serait retourné et pressé pour déposer

  
une goutte (0,05 ml) dans une plaque de microdilution pour effectuer une dilution en série de raison deux, puis une détermination du point final d'endotoxine dans le prélèvement

  
(voir Journal of Clinical Microbiology, volume 10, pages

  
394 - 395, 1979).

  
L'utilisation de la fiole pour épreuve unique dans la trousse pour prélèvement et dilution convient mieux pour des 'épreuves qualitatives et offre l'avantage de la simplicité,

  
de sorte que le procédé est préféré pour l'examen clinique par le médecin. Le matériel de microdilution convient

  
mieux pour une étude quantitative et est utile pour évaluer des lots de produits de lyse et déterminer les points d'apparition. Par conséquent, la trousse décrite ci-dessus convient non seulement pour l'essai qualitatif chez le patient, mais également pour des essais quantitatifs.

  
La Fig. 11 représente un dispositif conçu pour être utilisé conjointement avec la seringue des Fig. 1 à 10, qui supprime deux stades dans l'épreuve diagnostique décrite à propos des figures précédentes. Le dispositif, lorsqu'il est adapté sur le bec 22 de la seringue 18, constitue le moyen de rompre la membrane du récipient et aussi le moyen de donner accès à travers le diaphragme, par exemple de la fiole 44.

  
Ce dispositif comprend une aiguille en matière plastique relativement courte, mais plus grosse que l'aiguille 38 de la Fig. 3. L'aiguille gainée 80 comprend une aiguille 86 et une gaine 82. Spécifiquement, l'aiguille
86 est une grosse aiguille en matière plastique, stérile, apyrogène, n[deg.] 8 - 16g, de 13 mm, munie d'un cône d'adaptation 84 qui s'applique sur le bec 22 de la seringue. Une gaine 82 est adaptée par-dessus l'aiguille 86, comme la gaine

  
 <EMI ID=26.1>  Fig. 10.

  
Cette aiguille 80 est utilisée pour la conduite de l'épreuve diagnostique de la façon décrite à propos des Fig. l à 10, mais l'élément distinct permettant de rompre la membrane du récipient de dilution est supprimé. En raison de cette similitude, seules quelques opérations de l'utilisation de l'aiguille gainée 80 sont décrites,du fait qu'il est évident que les autres opérations non décrites sont identiques à celles déjà indiquées, ceci afin d'éviter les redondances.

  
Pour la collecte du prélèvement, l'aiguille gainée
80 est montée sur la seringue 18 immédiatement après que l'exsudat a été collecté chez le patient et reste fixée sur la seringue pendant la dilution dans le dispositif de dilution et l'introduction du prélèvement dans la fiole contenant le produit de lyse d'amibocytes de limule. L'utilisation de l'aiguille gainée 80 est expliquée plus en détail avec référence à la Fig. 12. Après collecte de l'exsudat

  
à l'urètre, l'aiguille gainée 80 portant la gaine protectrice par-dessus l'aiguille est fixée sur le bec 22 de la seringue 18. La gaine est alors retirée comme indiqué en
(b) à la Fig. 12 de manière que l'aiguille 86 reste en place sur le bec 22. L'aiguille 86 dégagée est alors introduite dans le dispositif de dilution par rupture de la membrane frangible 64 sous laquelle le diluant 66 est conservé de façon étanche dans le dispositif 61, comme indiqué en (c) et
(d). L'aiguille 86 est enfoncée à travers la membrane 64 suffisamment pour que la surface extérieure de l'aiguille
86 assure l'étanchéité avec la membrane 64 tandis que la _surface extérieure 84 vient contre la surface intérieure du col 63 pendant la dilution. Les autres opérations sont les mêmes qu'aux Fig. 7(e) et (f).

  
Lorsque la dilution est achevée, comme indiqué à

  
 <EMI ID=27.1> 

  
dilué est retirée du récipient de dilution comme indiqué en
(e) à la Fig. 13. Ensuite, l'aiguille 86 est enfoncée dans la fiole de produit de lyse d'amibocytes à travers le diaphragme 46 et le prélèvement dilué est injecté dans la fiole comme indiqué à la Fig. 13(f). Les stades d'incubation sont les mêmes que ceux décrits précédemment. Par conséquent, l'aiguille gainée 80 de plus grand diamètre et faite de matière plastique permet de supprimer le stade de rupture du joint frangible du récipient 61 avant qu'une aiguille soit montée sur le bec 22 de la seringue 18. La suppression de cette opération augmente la vitesse et la précision de l'épreuve et atténue davantage encore le risque de contamination des prélèvements pendant la conduite de l'épreuve.

  
La trousse décrite ci-dessus permet le diagnostic rapide sur un prélèvement à l'urètre chez l'homme. Certaines particularités sont susceptibles d'une modification aisée pour la conduite de l'épreuve chez la femme. Néanmoins, le prélèvement doit être collecté autrement. Le prélèvement, au lieu d'être aspiré dans la seringue, est absorbé dans un écouvillon et recueilli ainsi dans l'orifice du col utérin. Les éléments utilisés pour recueillir le prélèvement chez la femme et pour ensuite le diluer et enfin l'examiner sont décrits ci-après par analogie avec la description donnée à propos du diagnostic chez l'homme.

  
L'écouvillon 100 représenté à la Fig. 14 est utilisé conjointement avec la seringue 18 pour recueillir le prélèvement. L'écouvillon 100 comprend un tampon 106 en ouate

  
ou en une autre matière absorbante convenable dépyrogénée fixée à une extrémité d'une tige 104, qui a une longueur d'environ 3 à 7 cm. La base 102, à l'autre extrémité de la tige

  
 <EMI ID=28.1> 

  
extérieure conique s'ajuste au récipient de dilution et dont la surface intérieure s'ajuste sur le bec 22 de la seringue. La tige 102 est creuse sur toute sa longueur et ouverte à chaque bout, de manière que le tampon 106 communique avec

  
la base 102. Le dispositif de dilution 108 est suffisamment profond pour recevoir toute la longueur de l'écouvillon 100 lorsque celui-ci est enfoncé dans l'embouchure 105 (Fig. 15).

  
La Fig. 15 illustre plus en détail la façon d'utili-ser l'écouvillon 100. Avant de recueillir le prélèvement, l'écouvillon 100 est fixé sur le bec 22 de la seringue 18, comme indiqué au stade (b). Les surfaces correspondantes de la base 102 et du bec 22 coopèrent pour retenir l'écouvillon 100 sur la seringue 18 par friction. Pour la collecte du prélèvement, l'extrémité de l'écouvillon 100 est introduite dans l'orifice du col utérin sur une longueur de 1 à 2 cm et le prélèvement est aspiré. Après avoir été recueilli, le prélèvement est dilué dans le dispositif de dilution 108. A

  
cette fin, l'opercule frangible, qui couvre l'orifice du dispositif de dilution 108 contenant le diluant 110, est d'abord rompu. Le dispositif de dilution 108 présente une embouchure

  
 <EMI ID=29.1> 

  
représenté aux Fig. 2 et 5 pour que l'écouvillon puisse pénétrer dans le récipient et que le col reçoive la base 102 de l'écouvillon 100. Comme on le voit en (c) de la Fig. 15, l'écouvillon est inséré à travers l'opercule frangible rompu dans le récipient de dilution 108 jusqu'à ce que la base 102 forme un joint étanche avec l'embouchure 105 du récipient 108. Le mélange est réalisé par va-et-vient du piston 20 aspirant du diluant dans la seringue 18 et le refoulant de celle-ci en passant par le tampon 106 de l'écouvillon. Après mélange convenable, le piston 20 est manoeuvré pour aspirer dans la seringue 0,2&#65533; ml de prélèvement dilué, après quoi la seringue
18 est séparée de l'écouvillon 100, qui reste fixé au récipient de dilution 108, comme indiqué en (d). Les opérations suivantes pour le dosage sont les mêmes que celles illustrées par

  
la Fig. 8, en (i), (j), (k) et CI), où une aiguille est montée sur le bec 22 de la seringue et le prélèvement dilué est ensuite introduit dans la fiole de produit de lyse d'amibocytes de limule et mis à incuber comme décrit.

  
La Fig. 16 représente un autre dispositif pour la trousse d'examen de la femme qui supprime la nécessité d'une aiguille 14 distincte dans la Fig. 3 ou 11. La seringue porte par construction l'aiguille courte déjà fixée,laquelle, après la dilution, sert à perforer le diaphragme de caoutchouc comme illustré en (f) à la Fig. 13. La seringue 18 comprend un bec 116 qui comporte une plus grosse aiguille
120 semblable à l'aiguille 86 de la Fig. 13, mais faisant corps avec la seringue 18. L'aiguille intermédiaire 120 se continue dans le reste de la seringue par un. adaptateur 118 de forme semb lable- à celle- du bec 22. L'écouvillon
122 est conçu pour coopérer avec la seringue 18 de façon que

  
 <EMI ID=30.1> 

  
recevoir tant l'aiguille que l'adaptateur 118 du bec 116 pour établir l'étanchéité. Le reste de l'écouvillon 122, sensiblement identique à l'écouvillon 100 décrit avec référence

  
 <EMI ID=31.1> 

  
mité opposée à la base 124 un tampon de coton 130.

  
Pour la collecte d'un prélèvement, l'écouvillon 122 est monté sur le bec 116 d'une manière semblable à celle

  
 <EMI ID=32.1> 

  
lèvement à l'orifice du col utérin et dilution comme ci-dessus et après que l'écouvillon a été détaché, la seringue peut être utilisée pour introduire le prélèvement dilué dans la fiole de produit de lyse d'amibocytes de limule par simple perforation du diaphragme comme indiqué en &#65533;f) de la Fig. 13

  
à propos du matériel pour examen de l'homme. L'écouvillon 122 peut être présenté dans la trousse déjà monté sur la seringue, de sorte qu'aucune opération d'assemblage ne doit précéder

  
la collecte du prélèvement. De la sorte, l'insertion de la seringue dans l'écouvillon et le risque de contamination qui en résulte sont supprimés.

  
Les résultats indiquent que.le volume de diluant pour l'examen chez la femme doit être d'environ 5 à 30 ml d'eau pour un produit de lyse ayant la sensibilité minimum d'environ 0,25 nanogramme par ml EC-2 et que le diluant peut contenir un agent dispersant, par exemple du Pyrosperse en solution à 5%'

  
Les tampons des écouvillons doivent être dépyrogénés afin que les écouvillons soient exempts de toute endotoxine au seuil de sensibilité retenu. Cette dépyrogénation peut être obtenue par chauffage des écouvillons à une température relativement élevée pendant un temps suffisant. Par exemple, le chauffage des écouvillons à environ 200[deg.]C pendant environ 30 minutes les rend sensiblement exempts d'endotoxines pour le seuil de sensibilité propre au produit de lyse d'amibocytes de limule. D'autres moyens conviennent évidemment aux mêmes fins, par exemple l'exposition à l'oxyde d'éthylène ou au rayonnement du cobalt radio-actif.

  
L'appareil à écouvillons et le système de dilution scellé décrits ci-dessus peuvent être utilisés également chez l'homme lorsque l'exsudat à l'urètre n'est pas suffisamment abondant pour appliquer le premier procédé décrit. Dans ce cas, bien qu'il soit possible d'utiliser un écouvillon tel que celui de la Fig. 15, la dimension du tampon de coton doit normalement être réduite, le tampon étant porté par une tige dont les dimensions sont voisines de celles d'une aiguille de 25,4 mm, n[deg.] 21 à 23. Le récipient de dilution, de même que le volume de son contenu, doivent être réduits en proportion. Sauf pour ce qui est de la collecte proprement dite du prélèvement, toutes les autres opérations sont identiques à celles décrites ci-dessus à propos de l'examen de la femme. 

REVENDICATIONS

  
1.- Trousse de diagnostic, caractérisée en ce qu'elle comprend :
(a) une seringue dont le bec comporte un orifice pour extraire, par dépression, un prélèvement à examiner et expulser le prélèvement en surpression;
(b) un dispositif de dilution scellé contenant une quantité choisie au préalable d'un diluant pour diluer le prélèvement, le dispositif comportant un orifice donnant accès au diluant;
(c) le bec étant adaptable au dispositif pour recevoir du diluant du dispositif de dilution;
(d) une aiguille propre à être fixée sur le bec de la seringue;
(e) une fiole qui contient un réactif et qui est munie d'un diaphragme qui peut être percé par l'aiguille, et
(f) l'aiguille ayant une longueur suffisante pour traverser le diaphragme et constituer pour le prélèvement dilué un trajet jusqu'au réactif contenu dans la fiole.

Claims (1)

  1. 2.- Trousse suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le réactif est un réactif pour la détection d'une maladie vénérienne.
    3.- Trousse suivant la revendication 2, caractérisée en ce que le réactif comprend un produit de lyse de limule pour détecter l'urétrite gonococcique et non gonococcique.
    4.- Trousse suivant la revendication 3, caractérisée en ce que le bec de la seringue est un cône tronqué dont la base est adjacente au corps de seringue et dont le sommet est exposé pour être inséré dans le dispositif de dilution, l'orifice du dispositif de dilution présentant une surface conique complémentaire pour l'adaptation au bec de la.seringue.afin d'établir l'étanchéité entre la seringue et le dispositif
    de dilution lorsque le prélèvement est refoulé dans le dispositif et en est extrait.
    5.- Trousse suivant la revendication 4, caractérisée en ce que le'bec comprend ur bourrelet entourant sensiblement le cône pour venir au contact de la surface du dispositif définissant cet orifice afin d'adapter de manière étanche le dispositif à la seringue.
    6.- Trousse suivant la revendication 5, caractérisée en ce que le dispositif de dilution comprend un récipient et un col dont le diamètre est plus faible que celui du récipient, le col présentant une surface intérieure définissant l'orifice conique, et un bouchage pour couvrir le col, le bouchage étant fixé sur le col du récipient par un joint frangible.
    7.- Trousse suivant la revendication 6, caractérisée en ce que le bouchage présente un rebord en saillie vers le haut destiné à être saisi par l'utilisateur, le joint frangible étant rompu par torsion du bouchage lorsqu'il est saisi à son rebord pour démasquer l'orifice du col.
    8. Trousse suivant la revendication 7, caractérisée en ce que le dispositif de dilution est fait d'une matière plastique souple et contient suffisamment de diluant pour que le prélèvement puisse être dilué dans un rapport d'environ 1:400.
    9.- Trousse suivant la revendication 8, caractérisée en ce qu'elle comprend un organe de protection couvrant l'aiguille jusqu'au moment où celle-ci est prête à être utilisée.
    10.- Trousse suivant la revendication 8, caractérisée en ce que la seringue comprend une coiffe couvrant le bec jusqu'au moment où la seringue doit être utilisée pour collec-ter le prélèvement, la seringue comprenant, en outre, une marque au niveau de 0,025 ml pour indiquer qu'une quantité déterminée au préalable de prélèvement a été recueillie à l'urètre.
    11.- Trousse suivant la revendication 10, caractérisée en ce que le dispositif de dilution est un récipient apyrogène stérile contenant de l'eau apyrogène stérile, la seringue est une seringue de 1 ml apyrogène stérile, l'aiguille est une aiguille apyrogène stérile n[deg.] 23-G de 25,4 mm et la fiole contient un produit de lyse d'amibocytes de limule lyophilisé.
    12.- Procédé de conduite d'une épreuve de diagnostic, caractérisé en ce que :
    (a) on collecte un prélèvement à examiner à l'aide d'une seringue présentant une partie terminale à amener à l'endroit où le prélèvement est disponible, outre un piston pour exercer une dépression ou une surpression et on exerce une traction sur le piston pour entretenir une dépression et aspirer un prélèvement dans la seringue; (b) on utilise une quantité choisie au préalable d'un diluant dans un récipient comportant un orifice donnant accès au contenu du récipient, outre un bouchage pour sceller l'orifice; (c) on retire le bouchage pour démasquer l'orifice du récipient;
    (d) on adapte la partie terminale de la seringue contenant le prélèvement dans l'orifice avec une force suffisante pour rendre étanche le trajet entre le récipient de diluant et la seringue, on dilue le prélèvement en expulsant celui-ci dans le récipient de diluant et en aspirant le prélèvement dilué dans la seringue et on retire la seringue du récipient de diluant en laissant subsister dans la seringue une quantité choisie de prélèvement dilué ; (e) on adapte une aiguille à la partie terminale de la seringue;
    (g) on utilise dans une fiole un réactif pour le diagnostic sur le prélèvement, la fiole étant munie d'un diaphragme qui peut être percé par l'aiguille;
    (g) on enfonce l'aiguille à travers le diaphragme et on refoule le prélèvement dilué dans la fiole en enfonçant le piston et en exerçant une surpression sur le prélèvement, et
    (h) on observe le prélèvement et le réactif pour déceler un signe indiquant un résultat positif ou négatif.
    13.- Procédé suivant la revendication 12, caractérisé en ce que le diluant est scellé à l'intérieur du récipient,
    le bouchage est fixé sur le récipient par un joint frangible et le retrait du bouchage comprend la torsion de celui-ci
    pour rompre le joint frangible et démasquer l'orifice pour donner accès au diluant. <EMI ID=33.1>
    en ce que pour l'utilisation du diluant,la'quantité de diluant est suffisante pour diluer le prélèvement dans un rapport d'environ 1:400.
    <EMI ID=34.1>
    en ce que pour opérer la dilution, on amène le récipient en position dressée, on insère la partie terminale de la seringue dans l'orifice du récipient et on refoule le prélèvement dans le récipient en enfonçant le piston, on retourne la seringue assemblée avec le récipient et on mélange les liquides par mouvement ascendant et descendant du piston de la seringue, on imprime au piston un retrait jusqu'à ce qu'une quantité choisie de prélèvement dilué soit aspirée dans la seringue à
    .partir du récipient, on retourne à nouveau la seringue assemblée avec le récipient et on détache la seringue remplie en la tirant droit vers le haut sans attouchement du bec de la seringue.
    <EMI ID=35.1>
    risé en ce qu'avant le stade (g) l'aiguille est munie d'un organe de protection, on adapte l'aiguille sur l'extrémité de la seringue avec l'organe de protection en place et on retire l'organe de protection en le retirant tout droit.
    17.- Procédé suivant là revendication 16, caractérisé en ce qu'on met à incuber le prélèvement dilué et le réactif dans la fiole avant d'observer une gélification éventuelle.
    18.- Procédé suivant la revendication 17, caractérisé en ce que l'incubation comprend un chauffage de la fiole à environ 37[deg.]C pendant environ 30 minutes.
    19.- Procédé suivant la revendication 18, caractérisé en ce que le prélèvement est un exsudât de l'urètre de l'homme et la gélification du réactif indique la présence de N. gonorrhoeae.
    20.- Procédé suivant la revendication 19, caracté-
    <EMI ID=36.1>
    comme prélèvement et pour la dilution, on mélange l'exsudat avec environ 10 ml d'eau apyrogène stérile contenue dans le récipient dans le cas d'un produit de lyse ayant une sensibilité d'au moins environ 0,25 ng/ml EC-2.
    21.- Trousse de diagnostic, caractérisée en ce qu'elle comprend :
    (a) un dispositif collecteur de prélèvement pour extraire de l'exsudat sous dépression et refouler le prélèvement en surpression; (b) un dispositif de dilution scellé comprenant un récipient qui contient une quantité choisie au préalable d'un diluant pour diluer le prélèvement, lequel dispositif comporte un orifice donnant accès au diluant; (c) l'orifice comportant un joint frangible qui scelle le diluant dans le récipient;
    (d) le dispositif collecteur de prélèvement étant conformé pour s'adapter au dispositif de dilution de manière étanche à l'orifice pour recevoir le diluant du récipient à l'abri de l'atmosphère ambiante, et (e) une fiole contenant un réactif et comportant un ori-. fice rescellable conformé pour recevoir le prélèvement dilué sous adaptation étanche du dispositif collecteur de prélèvement afin d'isoler le prélèvement dilué et le réactif de l'atmosphère ambiante.
    22.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 21, caractérisée en ce que le dispositif collecteur de prélèvement comprend un corps creux oblong, un piston mobile dans ce corps, le corps étant muni à une extrémité d'un bec comportant un orifice pour recueillir le prélèvement sous dépression et refouler le prélèvement en surpression, le
    <EMI ID=37.1>
    à actionner par l'utilisateur en direction de l'extrémité à bec pour exercer une surpression afin d'expulser le prélèvement et en direction de l'autre extrémité pour exercer une -dépression.
    23.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 21 ou 22, caractérisée en ce qu'elle comprend une aiguille à adapter sur le bec du corps creux du dispositif collecteur de prélèvement, la fiole comportant un diaphragme assurant l'adaptation étanche à l&#65533;aiguille lorsqu'il est perforé
    par l'aiguille de manière que le prélèvement dilué recueilli puisse être refoulé dans la fiole après que le diaphragme a été perforé par l'aiguille en adaptation étanche.
    24.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 21 ou 22, caractérisée en ce que le dispositif de dilution comprend un col dont le diamètre est plus petit que celui
    du récipient, ce col présentant des surfaces intérieures définissant un orifice, l'orifice étant obturé par une membrane frangible.
    <EMI ID=38.1>
    risée en ce que la membrane vient au contact du bec du dispositif collecteur de prélèvement lorsque le bec est engagé dans l'orifice et assure l'étanchéité entre le col du récipient et la surface extérieure du dispositif collecteur
    de prélèvement de manière qu'il y ait une étanchéité entre le dispositif collecteur de prélèvement et le dispositif
    de dilution.
    26.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 25, caractérisée en ce que le dispositif collecteur de prélèvement comprend une seringue et l'aiguille comprend un adaptateur pour le montage de l'aiguille à friction sur le bec de la seringue.
    27.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 26, caractérisée en ce qu'elle comprend un accessoire pour rompre la membrane frangible.
    28.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 27, caractérisée en ce que l'accessoire pour rompre la membrane frangible comporte une extrémité pointue ayant un diamètre efficace propre à l'adaptation dans l'orifice du dispositif de dilution et à la rupture de la membrane frangible.
    29.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 28, caractérisée en ce que l'extrémité pointue comprend une pointe conique conformée pour permettre la pénétration à travers la membrane et limiter le degré de pénétration dans le récipient.
    30.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 29, caractérisée en ce l'accessoire pour rompre la membrane frangible comportant l'extrémité pointue est un organe en matière plastique apyrogène creux qui est une coiffe masquant le bec de la seringue.
    31.- Procédé de conduite d'une épreuve de diagnostic, caractérisé en ce que :
    (a) on collecte par dépression un prélèvement à examiner; (b) on utilise une quantité choisie au préalable de diluant dans un récipient qui comporte un orifice d'accès scellé par une membrane frangible; (c) on rompt la membrane frangible pour acquérir l'accès au diluant dans le récipient; (d) on dilue le prélèvement en refoulant celui-ci en surpression à travers l'orifice sous l'étanchéité avec la membrane pour abriter, de l'atmosphère ambiante, le trajet pour le prélèvement; (e) on soutire une quantité déterminée au préalable de prélèvement dilué du récipient à l'abri de l'atmosphère ambiante; (f) on utilise dans une fiole un réactif pour le diagnostic,sur le prélèvement, la fiole comportant un orifice rescellable pour recevoir le prélèvement dilué;
    (g) on introduit le prélèvement dilué dans la fiole
    sous l'étanchéité de l'orifice rescellable et on expulse le prélèvement dilué dans la fiole à l'abri de l'atmosphère 'ambiante, et
    (h) on observe le prélèvement dilué et le réactif pour déceler un signe indiquant un résultat positif ou négatif.
    32.- Procédé suivant la revendication 31, caractérisé en ce que pour recueillir le prélèvement sous dépression et le refouler en surpression, on utilise un corps creux oblong dans lequel un piston peut être déplacé et qui comprend une extrémité ouverte pour la collecte et l'expulsion du prélèvement et une autre extrémité traversée par le piston
    à actionner par l'utilisateur de manière que l'enfoncement du piston vers l'extrémité ouverte exerce une surpression pour refouler le, prélèvement et que le retrait du piston vers l'autre extrémité exerce une dépression pour recueillir le prélèvement.
    33-- Procédé suivant la revendication 32, caractérisé en ce que le corps creux comporte un bec pour la pénétration dans le récipient, la membrane frangible s'étend par-dessus l'orifice, et pour l'opération de dilution, après, rupture de la membrane frangible, on enfonce le bec dans l'orifice pour qu'il vienne en prise avec la membrane rompue afin d'établir l'étanchéité entre le corps creux et le récipient pendant la dilution du prélèvement.
    <EMI ID=39.1>
    risé en ce que pour l'utilisation du diluant, la quantité
    de diluant est suffisante pour- diluer le prélèvement dans. un rapport d'environ 1:400.
    35.- Procédé suivant la revendication 34, caractérisé en ce que la fiole comprend un diaphragme pour resceller la fiole contenant le réactif après l'introduction du prélèvement et,après la dilution,on adapte l'aiguille sur.le bec du corps creux, on fait passer l'aiguille à travers le diaphragme. et on enfonce le piston pour refouler le prélèvement dilué dans la fiole.
    36.- Procédé suivant la revendication 3&#65533;, caractérisé en ce qu'on met le prélèvement dilué et le réactif dans la fiole à incuber avant d'observer une gélification.
    37.- Procédé suivant la revendication 36, caractérisé en ce que l'incubation comprend le chauffage de la fiole à environ 37[deg.]C pendant environ 30 minutes. 38.- Trousse de diagnostic, caractérisée en ce qu'elle comprend :
    <EMI ID=40.1>
    un corps pour extraire de l'exsudat sous dépression et refouler l'exsudat en surpression;
    (b) une tige creuse comportant, à une extrémité, une base pour adapter de manière amovible la tige au corps et, à l'autre extrémité, un tampon absorbant pour absorber
    le prélèvement;
    (c) un dispositif de dilution scellé contenant une quantité choisie au préalable d'un diluant pour diluer le prélèvement, le dispositif comportant un orifice donnant accès au diluant; (d) l'orifice étant muni d'un joint frangible isolant le diluant dans le récipient; (e) le dispositif collecteur de prélèvement étant conformé pour s'adapter au dispositif de dilution de manière étanche à l'orifice pour recevoir le diluant du récipient à l'abri de l'atmosphère ambiante, et (f) une fiole contenant un réactif et comportant un orifice rescellable conformé pour recevoir le prélèvement dilué sous adaptation étanche du dispositif collecteur de prélèvement afin d'isoler le prélèvement dilué et le réactif. de l'atmosphère ambiante.
    39.- Trousse suivant la revendication 38, caractérisée en ce que la base est conformée pour s'adapter de manière étanche' au dispositif de dilution..
    40.- Trousse suivant la revendication 39, caractérisée en ce que le dispositif de dilution est suffisamment
    <EMI ID=41.1>
    lorsque la base de la tige est adaptée de manière étanche.
    41.- Trousse suivant la revendication 40, caracté-risée en ce que le tampon absorbant est un tampon de coton couvrant l'autre extrémité de la tige pour forcer du liquide entrant dans la tige creuse et en sortant de traverser le tampon de coton.
    42.- Trousse suivant la revendication 41, caractérisée en ce que la tige et le tampon constituent un écouvillon d'ouate dépyrogénée d'une longueur d'environ 3 à 7 cm.
    43.- Trousse de diagnostic suivant la revendication
    <EMI ID=42.1>
    comprend un piston intérieur mobile, le corps présentant,
    à une extrémité, un orifice pour recueillir le prélèvement
    sous dépression et refouler le prélèvement en surpression et présentant une autre extrémité traversée par le piston pour l'enfoncement par l'utilisateur vers l'extrémité à orifice
    pour exercer la surpression et refouler le prélèvement et
    pour le retrait à partir de l'extrémité à orifice pour exercer la dépression,et la base est conformée pour être adaptée de
    manière amovible sur le corps.
    44.-.Trousse de diagnostic suivant la revendication
    43, caractérisée en ce que le corps creux oblong comporte, un becàl'extrémité à orifice, une aiguille est prévue pour être adaptée sur le bec du corps du dispositif collecteur de prélèvement, la fiole comporte un diaphragme assurant l'adaptation étanche à l'aiguille lorsque ce diaphragme est traversé par l'aiguille de manière que le prélèvement dilué recueilli puisse être refoulé dans la fiole après que le diaphragme a été perforé par l'aiguille en adaptation étanche.
    <EMI ID=43.1>
    un col dont le diamètre est plus petit que celui du récipient, ce col présentant des surfaces intérieures définissant un orifice, cet orifice étant obturé par une membrane frangible. <EMI ID=44.1>
    risée en ce que la membrane vient au contact du bec du dispositif collecteur de prélèvement lorsque le bec est engagé dans l'orifice et assure l'étanchéité entre le col du récipient et la surface extérieure du dispositif collecteur de prélèvement, de manière qu'il y ait une étanchéité entre le dispositif collecteur de prélèvement et le dispositif de dilution.
    47.- Trousse de diagnostic suivant la revendication
    <EMI ID=45.1>
    vement comprend une seringue et l'aiguille comprend un adaptateur pour le montage de l'aiguille à friction sur le bec de la seringue.
    <EMI ID=46.1>
    brane frangible comporte une extrémité pointue ayant un diamètre efficace propre à l'adaptation dans l'orifice du dispositif de dilution et à la rupture de la membrane frangible.
    <EMI ID=47.1>
    49, caractérisée en ce que l'extrémité pointue comprend une pointe conique conformée pour permettre la pénétration à travers la membrane et limiter le degré de pénétration dans le récipient.
    51.- Trousse de diagnostic suivant la revendication &#65533;0, caractérisée en ce que l'accessoire pour rompre la membrane frangible comportant l'extrémité pointue est un organe en matière plastique apyrogène creux qui est une coiffe masquant le bec de la seringue.
    52.- Trousse de diagnostic, caractérisée en ce <EMI ID=48.1>
    qu'elle comprend :
    (a) une seringue dont le bec comporte un orifice pour extraire par dépression un prélèvement à examiner et expulser le prélèvement en surpression; (b) une tige creuse comportant, à une extrémité, une base pour adapter de manière amovible la tige au bec de la seringue et, à l'autre extrémité, un tampon absorbant pour absorber le prélèvement; (c) un dispositif de dilution contenant une quantité choisie au préalable de diluant pour diluer le prélèvement, le dispositif présentant un orifice donnant accès au diluant; (d) la base de la tige étant propre à venir en prise avec le dispositif de dilution pour enfoncer la tige dans le dispositif de dilution et constituer,pour le diluant contenu dans le dispositif de dilution,un trajet à travers le tampon et la_tige creuse; (e) une aiguille propre à être fixée au bec de la seringue;
    (f) une fiole qui contient un réactif et qui.est munie d'un diaphragme qui peut être percé par l'aiguille, et (g) l'aiguille ayant une longueur suffisante pour traverser le diaphragme et constituer,pour le prélèvement dilué,un trajet jusqu'au réactif contenu dans la fiole.
    <EMI ID=49.1>
    risée en ce que le réactif est un réactif pour la détection d'une maladie. vénérienne.
    <EMI ID=50.1>
    risée en ce que le réactif comprend un produit de lyse de limule pour détecter l'urétrite gonococcique et non gonococcique.
    <EMI ID=51.1>
    risée en ce que l'aiguille comprend un adaptateur pour monter. l'aiguille sur la seringue et le bec de la seringue est un cône tronqué dont la base est adjacente au corps de la seringue et dont l'autre extrémité est exposée pour être insérée dans l'adaptateur de l'aiguille, l'orifice du dispositif de dilution présentant une surface conique complémentaire pour venir en prise avec la base de l'aiguille lorsqu'elle est montée sur la seringue afin d'établir l'étanchéité entre la seringue et le dispositif de dilution pendant que le prélèvement est refoulé dans le dispositif et en est extrait.
    56.- Trousse de diagnostic, caractérisée en ce qu'elle comprend :
    (a) un dispositif collecteur de prélèvement pour recueillir un prélèvement et soumettre celui-ci en alternance à une dépression et une surpression; (b) un dispositif de dilution scellé comprenant un récipient qui contient une quantité choisie au préalable d'un diluant pour diluer le prélèvement, ce dispositif comportant un orifice donnant accès au .diluant;- <EMI ID=52.1>
    scelle le diluant dans le récipient;
    (d) .une aiguille comportant une base pour l'adaptation de l'aiguille sur le dispositif collecteur de prélèvement, cette base étant conformée pour venir en prise avec le dispositif de dilution de manière étanche à l'orifice pour permettre le passage du diluant du récipient jusque dans le dispositif collecteur à l'abri de l'atmosphère extérieure, et (e) une fiole qui contient un réactif et qui comporte un orifice rescellable pour assurer l'adaptation étanche à l'aiguille lorsqu'il est perforé par celle-ci en vue du refoulement du prélèvement dilué dans la fiole.
    <EMI ID=53.1> 56, caractérisée en ce que le dispositif collecteur de prélèvement comprend un corps creux oblong, un piston mobile dans ce corps, le corps étant muni, à une extrémité, d'un bec comportant un orifice pour recueillir le prélèvement sous dépression et refouler le prélèvement en surpression, le corps comportant une autre extrémité traversée par le piston à actionner par l'utilisateur en direction de l'extrémité à bec pour exercer une surpression afin d'expulser le prélèvement et en retrait à partir de l'extrémité à bec pour exercer une dépression, et la base de l'aiguille
    <EMI ID=54.1>
    58.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 56 ou 57, caractérisée en ce que le dispositif de dilution comprend un col dont le diamètre est plus petit que celui
    du récipient, ce col présentant des surfaces intérieures définissant un orifice, cet orifice étant obturé par une membrane frangible.
    59.- Trousse suivant la revendication 58, caractérisée en ce que la membrane vient au contact de la base de l'aiguille montée sur le dispositif collecteur de prélèvement quand l'aiguille est enfoncée dans l'orifice'et assure l'étanchéité entre le col du récipient et les surfaces extérieures de l'aiguille, de manière qu'il y ait une étanchéité entre le dispositif collecteur de prélèvement et le dispositif de dilution.
    60.- Trousse de.diagnostic suivant la revendication 58, caractérisé en ce que le dispositif'collecteur de prélèvement comprend une seringue et la base de l'aiguille comprend un adaptateur pour le montage de l'aiguille à friction sur le bec de la seringue.
    61.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 60, caractérisée en ce que le réactif est un réactif pour la détection d'une maladie vénérienne.
    62.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 61, caractérisée en ce que le réactif comprend un produit de lyse de limule pour détecter l'urétrite gonococcique et non gonococcique.
    63.- Trousse de diagnostic suivant la revendication 62, caractérisée en ce que le bec de la seringue est un cône tronqué dont la base est adjacente au corps de la seringue et dont l'autre extrémité est exposée pour être insérée dans l'adaptateur de la base de l'aiguille, l'orifice du dispositif de dilution présentant une surface conique complémentaire pour l'adaptation sur la base de l'aiguille lorsqu'elle est montée sur la seringue afin d'établir l'étanchéité entre la seringue et le dispositif de dilution lorsque le prélèvement est refoulé dans le dispositif et en est extrait.
    64.- Trousse suivant la revendication 63, caractérisée en ce que l'adaptateur comprend des surfaces d'adaptation internes pour le montage à friction sur le bec et des surfaces d'adaptation externes pour le montage à friction avec le dispositif de dilution.
    <EMI ID=55.1>
    qu'elle comprend :
    (a) un dispositif collecteur de prélèvement comportant un corps creux pour extraire un exsudat par dépression et refouler le prélèvement en surpression; (b) une tige creuse présentant, à une extrémité,une base pour le montage amovible de la tige sur le corps et, à l'autre extrémité:,un tampon absorbant pour absorber le prélèvement; (c) un dispositif de dilution scellé comprenant un récipient qui contient une quantité choisie au préalable d'un diluant pour diluer le prélèvement, ce dispositif comportant un orifice donnant accès au diluant; (d) l'orifice portant un joint frangible scellant le diluant à l'intérieur du récipient; (e) le dispositif collecteur de prélèvement étant conformé pour venir en prise avec le dispositif de dilution de manière étanche avec celui-ci à l'orifice pour recevoir
    le diluant du récipient à l'abri de l'atmosphère ambiante;
    (f) une fiole contenant un réactif;
    (g) le corps du dispositif collecteur de prélèvement présentant un bec à une extrémité et une aiguille étant prévue pour l'adaptation sur le bec du dispositif collecteur de prélèvement, la fiole comprenant un diaphragme assurant l'adaptation étanche à l'aiguille lorsqu'il est perforé par l'aiguille
    de manière que le prélèvement dilué recueilli puisse être refoulé dans la fiole après que le diaphragme a été perforé par l'aiguille en adaptation étanche,
    (h) l'aiguille comprenant, à une extrémité, un adaptateur pour le montage de l'aiguille sur le corps creux, la base de
    la tige creuse étant conformée pour que la tige soit montée
    de manière amovible sur l'adaptateur.
    66.- Trousse suivant la revendication 65, caractérisée en ce que l'adaptateur fait partie intégrante avec le corps creux.
    67.- Trousse suivant la revendication 66, caractérisée en ce que l'adaptateur comprend des surfaces d'adaptation extérieures et la base de la tige comprend des surfaces d'adaptation intérieures pour le montage à friction sur les surfaces extérieures de l'adaptateur et des surfaces d'adaptation extérieures pour l'adaptation de manière étanche avec
    le dispositif de dilution.
    68.- Trousse suivant la revendication 67, caractérisée en ce que la base comporte une partie creuse de diamètre intermédiaire,pour recevoir l'aiguille,entre une partie creuse de plus grand diamètre,pour recevoir l'adaptateur,et la tige creuse de plus petit diamètre.
    69.- Procédé de conduite d'une épreuve de diagnostic, caractérisé en ce que :
    (a) on collecte par dépression le prélèvement à examiner; (b) on utilise une quantité choisie au préalable de diluant dans un récipient qui comporte un orifice d'accès scellé par une membrane frangible; (c) on rompt la membrane frangible pour acquérir l'accès au diluant dans le récipient; (d) on dilue le prélèvement en refoulant celui-ci en surpression à travers l'orifice et sous l'étanchéité avec la membrane pour abriter de l'atmosphère ambiante le trajet pour le prélèvement; (e) on soutire une quantité déterminée au préalable de prélèvement dilué du récipient à l'abri de l'atmosphère ambiante; (f) on utilise dans une fiole un réactif pour le diagnostic sur le prélèvement, la fiole comportant un orifice rescellable pour recevoir le prélèvement dilué;
    (g) on introduit le prélèvement dilué dans la fiole sous étanchéité avec l'orifice rescellable et on refoule le prélèvement dilué dans la fiole à l'abri de l'atmosphère ambiante;
    (h) on observe le prélèvement et le réactif pour déceler un si gne indiquant un résultat positif ou négatif;
    (i) pour la collecte du prélèvement en dépression et le refoulement du prélèvement en surpression, on utilise un corps creux oblong dans lequel un piston peut être déplacé, ce corps comportant une extrémité ouverte pour recueillir et expulser le prélèvement et une autre extrémité traversée par le piston à actionner par l'utilisateur en direction de l'extrémité ouverte pour exercer une surpression afin d'expulser le prélèvement et en direction de l'autre extrémité pour exercer une dépression et recueillir un prélèvement, et
    (j) le corps creux comprend un bec, une aiguille est montée sur le bec avant la rupture de la membrane frangible et la membrane frangible est rompue par l'insertion de l'aiguille dans l'orifice du récipient de diluant.
    70.- Procédé suivant la revendication 69, caractérisé en ce que l'aiguille comprend une base et on exécute la dilution sous étanchéité en pressant.la base de l'aiguille
    de façon étanche sur la surface intérieure de l'orifice
    pour abriter de l'atmosphère extérieure le trajet du prélèvement dilué.
    71.- Procédé suivant la revendication 70, caractérisé en ce que pour l'utilisation du diluant, la quantité de diluant est suffisante pour diluer le prélèvement dans un
    <EMI ID=56.1>
    72.- Procédé suivant la revendication 71, caractérisé en ce que pour opérer la dilution, on amène le récipient en position dressée, on insère le bec du corps creux dans l'orifice du récipient et on refoule le prélèvement dans le récipient en enfonçant le piston, on retourne le corps creux assemblé avec le récipient et on mélange les liquides par mouvement ascendant et descendant du piston du corps creux, on imprime au piston un retrait jusqu'à ce qu'une quantité choisie de prélèvement dilué soit aspirée dans le corps creux à partir du récipient, en retourné à nouveau le corps creux assemblé avec le récipient et on détache le corps creux rempli en le retirant droit vers le haut sans attouchement du bec. <EMI ID=57.1>
    risé en ce qu'avant le stade (g), l'aiguille est munie d'un organe de protection, on monte l'aiguille à l'extrémité de
    <EMI ID=58.1>
    risé en ce qu'on met à incuber le prélèvement dilué et le réactif dans la fiole avant d'observer une gélification éventuelle.
    <EMI ID=59.1>
    risé en ce que l'incubation comprend un chauffage de la fiole à environ 37[deg.]C pendant environ 30 minutes.
    <EMI ID=60.1>
    risé en ce que le prélèvement est l'exsudat à l'urètre de l'homme et le réactif indique, par sa gélification, la présence présumée de N. gonorrhoeae.
    77.- Procédé suivant la revendication 76, caracté-
    <EMI ID=61.1>
    comme prélèvement et, pour la dilution, on mélange l'exsudat avec environ 10 ml d'eau apyrogène stérile contenue dans le récipient dans le cas d'un produit de lyse ayant une sensibilité d'au moins environ 0,25 ng/ml EC-2.
    78.- Procédé de conduite d'une épreuve de diagnostic, caractérisé en ce que :
    (a) on recueille un prélèvement à examiner par absorption de ce prélèvement sur un tampon absorbant monté à l'extrémité d'une tige creuse; (b) on utilise une quantité choisie au préalable de diluant dans un récipient qui comporte un orifice d'accès scellé par une membrane frangible; (c) on rompt la membrane frangible pour acquérir l'accès au diluant dans le récipient;
    (d) on dilue le prélèvement en insérant le tampon absorbant dans le récipient de diluant et en aspirant du diluant par dépression à travers le tampon et en refoulant du diluant en surpression à travers le tampon dans le récipient, en opérant à l'abri de l'atmosphère ambiante; (e) on retire une quantité choisie au préalable de prélèvement dilué du récipient en opérant à l'abri de l'atmosphère ambiante; (f) on utilise dans une fiole un réactif pour le diagnostic d'un prélèvement, laquelle fiole présente un orifice rescellable.pour recevoir le prélèvement dilué;
    (g) on introduit le prélèvement dilué dans la fiole sous étanchéité avec l'orifice rescellable et on refoule le prélèvement dilué dans la fiole à l'abri de l'atmosphère ambiante, et
    (h) on observe le prélèvement dilué et le réactif pour déceler un signe indiquant un résultat positif ou négatif.
    79-- Procédé suivant la revendication 78, caractérisé que ce que pour aspirer du diluant en dépression et refouler du prélèvement dilué en surpression, on utilise un corps creux oblong dans lequel un piston peut être déplacé et qui présente une extrémité ouverte pour recueillir et refouler le prélèvement et une autre extrémité qui est traversée par le piston à actionner par l'utilisateur, en direction de l'extrémité ouverte pour exercer une surpression afin de refouler le prélèvement et en direction de l'autre extrémité pour exercer une dépression afin d'aspirer du diluant.
    80.- Procédé suivant la revendication 79, caractérisé en ce que la tige creuse comprend.une base pour le montage de la tige sur le corps creux, la membrane frangible masque l'orifice et pour la conduite de la dilution, après rupture de la membrane frangible, on enfonce la tige dans l'orifice afin que la base de la tige vienne en prise avec l'orifice du récipient pour établir l'étanchéité entre le corps creux et le récipient pendant la dilution du prélèvement.
    81.- Procédé suivant la revendication 80, caractérisé en ce que pour l'utilisation du diluant, la quantité
    de diluant est suffisante pour diluer le prélèvement dans un rapport d'environ 1:400.
    82.- Procédé suivant la revendication 81, caractérisé en ce que la fiole comprend un diaphragme, la fiole contenant le réactif après l'introduction, et,après l'exécution de la dilution, on monte l'aiguille sur le bec du corps creux, on perce le diaphragme au moyen de l'aiguille et on enfonce
    le piston pour refouler le prélèvement dilué dans la fiole.
    83.- Procédé suivant la revendication 82, caractérisé en ce qu'on met le prélèvement dilué et le réactif à incuber avant d'observer une gélification éventuelle.
    <EMI ID=62.1>
    risé en ce que l'incubation comprend un chauffage de la fiole à environ 37[deg.]C pendant environ 30 minutes.
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