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ou soulier composée d'éléments interchangeables.
En général, les chaussures traditionnelles sont constituées
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inférieure qui constitue elle-même la semelle et qui est reliée
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Au bas de la partie postérieure de cette semelle, on vient ensuite fixer rigidement un talon* Cet aperça est donné d'une façon tout à fait générale et schématique. Il existe aussi des modes de réalisation pratique de chaussures qui sont extrêmement particulière" par exemple pour assurer une bonne aération et
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des cavités dans lesquelles, de façon très avantageuse? sont insérés des éléments dont la matière constitutive et la construction favorisent l'aération. Bien que ces modes de réalisation présentent une originalité certaine et notable par rapport aux chaussures traditionnelles susmentionnées" il n'en reste pas moins qu'ils sont toujours réalisés, en substance, à l'aida d'une semelle, associée à. une empeigne et présentant un
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Cette semelle doit répondre à des exigences contradictoires:
en effet, si dans la zona où elle se plie lors de la marche, la semelle doit posséder des caractéristiques de souplesse et de flexibilité, dans la zone Médiane comprise entre le talon et la partie antérieure, elle doit être suffisamment rigide pour constituer une surface portante.
De l'exposé qui précède, il ressort clairement que les chaussures susmentionnées ne sont-pas exemptes d'inconvénients.
L'invention a précisément pour but principal d'éliminer les inconvénients rencontrés auparavant en créant une chaussure <EMI ID=7.1>
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entra cette partie antérieure et le talon. L'invention a également pour but de créer une chaussure qui soit munie d'éléments interchangeables entre eux. L'invention a encore
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interchangeables, des chaussures différentes qui présentent
des forme et structure diversifiées, tout en conservant toujours au moins l'un desdits éléments interchangeables. L'invention
a enfin pour but de rendre ladite chaussure avantageuse au point de vue économique, soit par les modalités d'exécution de ses éléments constitutifs, soit par la simplicité et la rapidité de leur assemblage.
Ces buts, ainsi que d'autres qui apparaîtront plus clairement à la lecture de ce qui suit, sent atteints par une structure
de chaussure comprenant essentiellement une partie inférieure et une partie supérieure ou empeigne associée à ladite partie inférieure, laquelle structure est caractérisée en ce que ladite partie intérieure, définissant dans son ensemble la semelle et le talon de ladite chaussure, comprend essentiellement un élément
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extrémités, dans les éléments antérieur et postérieur.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description de huit modes de réalisation préférés, mais non exclusifs, d'une chaussure conforme à l'invention, ces modes de réalisation étant représentés à titre indicatif et non limitatif aux dessins annexés.
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La tige 3 montre en perspective la partie inférieure d'une chaussure conforme à un deuxième mode de réalisation, que l'on peut simplement obtenir en faisant varier les dimensions de l'élément inférieur et antérieur.
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chaussure conforme à un troisième mode de réalisation, que l'on peut obtenir en faillant varier les dimensions de l'élément inférieur et postérieur.
La fig. 5 montre, en perspective et séparément, deux des éléments de la partie inférieurs d'une chaussure conforme à un quatrième mode de réalisation.
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éléments de la. partie inférieure d'une chaussure conforme à un cinquième mode de réalisation.
La tige 7 montre, en perspective et séparément, deux des éléments de la partie intérieurs d'une chaussure conforme à un
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La tige 8 montre, en perspective et séparément, deux des
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septième mode de réalisation.
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de réalisation avec deux empeignes différentes..
La fig. 10 montre, en perspective, .la chaussure assemblée à l'aide de certains des éléments de la fig. 9.
Si l'on se reporte aux :tige 1 et 2, on y a indique en
<EMI ID=18.1> empeigne, non représentée sur la majorité des figuras. Cette partie inférieure 1 résulte de l'assemblage de trois éléments fondamentaux, désignés respectivement par 2, 3 et 4.
L'élément 2 est l'élément antérieur de la partie inférieure de la chaussure et, dans oe mode de réalisation particulier,
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suite, dans l'élément 4.
L'élément 3 est l'élément postérieur de la. partie inférieure
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saillie 8 destinée à s'emboîter, ainsi qu'il apparaîtra plus clairement par la suite, dans l'élément 4.
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l'âme 4 est munie d'une cavité 10 dans laquelle vient s'emboîter
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encore munie de troua traversants 11 dont la section est rectangulaire et qui, après assemblages viennent dans le prolonSemant des creux traversante 7 dont est, équipé l'élément postérieur
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doit posséder une rigidité et une robustesse notables; elle peut donc être avantageusement moulée par injection en une matière de caractéristiques appropriées..
L'élément antérieur 2, l'élément postérieur 3 et l'élément
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convenant le mieux à la fonction que doivent remplir ces éléments.
Suivant les matières utilisées, l'assemblage des trois éléments
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indiqué, aoit par emboîtement et collage.
Une telle réalisation s'avère particulièrement avantageuse"
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compte tenu du prix des moules, soit enfin grâce au fiait que chaque Mènent peut être fait de la matière qui répond le mieux aux "Agences propres de cet élément. C'est ainsi que l'élément 4 pourra être réalisé* en matière robuste et de grande rigidité
<EMI ID=29.1> . avantages qui résultent de l'interchangeabilité des éléments constituant la partie inférieure 1 de la chaussure.
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tant au point de vue de la forme que des dimensions. On a au ' contraire échange l'élément antérieur 2 contre un élément antérieur 2a différent, dont l'épaisseur est plus grande.
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<EMI ID=32.1> figures étant donné que l'on peut avec avantage utiliser à cet effet l'élément 2.
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d'empeigne 103. La partie antérieure 101 est profilée à l'arrière <EMI ID=34.1>
semelle et le talon et'qui est constituée d'une seule pièce. Les deux parties sont fixées ensemble non seulement par emboîtement
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autres, ces derniers moyens étant situés dans la zona d'encastrement et n'étant pas représentés à la :fige 9.
A leur partie postérieure, les empeignes du type 102 et
103 possèdent un téton 107 en matière élastique qui fait saillie
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forme est conjuguée et que la section 106 présente a. sa partie supérieure) dans la zone du talon. Sous la partie inférieure ou cambrée de la structure, on peut insérer un élément de remplissage
109 qui est maintenu en place par une liaison mécanique du type à
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112, associée à l'élément 109; cette nervure 112 coopère avec un siège 113 dont la forme est conjuguée et qui 'se développe
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Grâce à la description qui précède" on comprend bien le fonctionnement d'une telle structure; d'un côté, elle permet de réaliser une grande variété de modèles de chaussures qui comprennent néanmoins un nombre limité de pièces fondamentales, ce qui réduit le nombre des moules nécessaires et par conséquent
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la:! plait le mieux à n'importe quel moment. De toute façon, on comprend aisément que les buts proposés ci-dessus sont bien atteints.
Tous les détails décrits peuvent être remplacés par des éléments équivalents au point de vue technique. Sa pratique aussi., les matières, la tome et les dimensions peuvent être choisies de façon quelconque selon les exigences pratiques* <EMI ID=41.1>
1) Structure de chaussure comprenant essentiellement uns partie inférieure et une partie supérieure ou empeigne associée à ladite partie inférieure, caractérisée en oe que ladite partie inférieure, définissant dans son ensemble la semelle et le talon de ladite chaussure, comprend, essentiellement un élément
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extrémités, dans les éléments antérieur et postérieur.