BE711586A - - Google Patents

Description

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  IROHE POUR ESCALIERS HELICOIDAUX. 
 EMI1.2 
 La présente invention se rapporte à des modifications 
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 èt à des amvlsoratio-rs apportées à la marche pour escaliers is.'3W:3;zC vivant le brevet principale Ce perfectionnement ti,oent compte due ce que la marche, Ob'2. t'l br':;Ye : -'¯c.pa? doit toujours étre montée en passant. 



  :'. rj:;):15.1 i:; c.i.:. support de marche :::l!J,)1J.r du tube central ou axe .:;I. 1: "''' :;::l:r..,r h41ic'.j!d:Ü lorsque ,, tube a été amené en posi- ç 0?ca:ç ce tuba cetr31 mouvant ; dans de nombreux cas, 

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 avoir une hauteur assez grande, l'opération de montage des marches est rendue difficile sinon dangereuse. 



   De plus, la douille du support doit s'adapter exactement sur   l'axe.,   avec un jeu minimum. De ce fait, la galvanisation au trempé des pièces est impossible car on n'est pas certain de l'épaisseur exacte de zinc déposa ce qui peut occasionner des difficultés de montage de la douille sur l'axe et détériorer la galvanisation. Or la galvanisation d'un escalier hélicoïdal est souhaitée, du fait principalement que de tels escaliers sont montés à l'extérieur. 



   Le but du'perfectionnement est par conséquent de faciliter le montage des douilles sur l'axe et de permettre la galvanisation de l'ensemble. 



   Le perfectionnement constate essentiellement en ce que le support de marche est constitué de deux fers plats, solidaires d'une douille fendue ou collier de serrage, sur lesquels on fixe le fer creux constituant le support proprement dit de la marche. 



   Dans la réalisation pratique de l'invention, les deux fers plats sont rendus solidaires du collier de serrage par exemple par soudure, et ces deux fers plats sont introduits dans le fer creux, à section carrée par exemple, un boulon venant ensuite fixer ce dernier sur les fers plats. 



   Afin de bien faire comprendre le perfectionnement, on en décrira ci-après un exemple de réalisation non limitatif en se référant aux dessins dans lesquels :
La figure 1 est une vue en élévation du collier de serrage. 



   La figure 2 est une vue en plan de ce collier. 



   La figure 3 est une vue en élévation du support de marche proprement dit. 

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   La figure   4   est une vue en plan de ce support. 



   Les figures 5 et 6 sont des vues en élévation montrant le support de marche monté sur le collier de serrage dans deux positions différentes. 



   La figure 7 est une vue par en dessous de l'ensemble de la marche montrant les pièces de réglage pour   montant   de rampe. 



   Les figures 1 à   4   montrent les deux parties du support de marche ; tout comme dans le brevet principal, on a représenté par   8 et     10   les fer creux et fer plat constituant le support proprement dit de la marche ;la douille ou collier de serrage 9 présentant une fente 91 est solidaire de deux fers plats 81 ; ceux-ci sont par exemple soudés au' collier 9 verticalement et de chaque côté de la fente 91 ; les fers plats 81 sont percés de plusieurs séries de trous (82 et 83 dans les figures). Le fer creux 8 est parcé quant à lui, sur un côté, d'un trou 84 ; le fer creux 8 est passé cur les fers plats 81 de telle sorte que le trou 84 coïncide avec une série de trous 82 ou 83 des fers 81 i un boulon 85 passe dans les trous 84-82 ou 84-83 et fixe le fer creux 8 sur les fers plats 81. 



   On comprend aisément que l'avantage principal du perfectionnement est de permettre de passer tous les colliers 9 sur l'axe de l'escalier lorsque celui-ci n'est pas encore placé dans la position verticale. Ensuite,   aprés   avoir fixé l'axe verticalement, il suffit de passer, pour chaque degré de l'escalier, le fer creux 8 sur les fers 81 et de fixer le tout au moyen du boulon 85 ; en serrant ce dernier, on rapproche les deux fers plats 81 l'un de l'autre et on serre   ainsi   le collier 9 sur le tube central de l'escalier. 

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   L'existence, qui est due à la ,fente 91, du jeu initial entre le collier 9 et l'axe de   l'escalier   permet un montage facile sans friction et   sang.détérioration,   des pièces galvanisées. 
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  R E V E¯N D I c A T 1 0 N,S. t ..var.,.r-m.r-. r-rr w. n. r r r.w.n.., r w .w r s r 
1. Marche pour escaliers   hélicoïdaux   suivant le brevet principal, caractérisée en ce que le support de marche est constitué de deux fers plats (81), solidaires d'une douille fendue ou collier de serrage (9),sur   lesquels   on fixe le fer creux (8) constituant le support proprement dit de la marche.

Claims (1)

1. 2. Marche suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le fer creux (8) est fixé sur les fers plats (81) au moyen d'un boulon (85) passant dans un trou (84) du fer EMI4.2 creux (8) et dans des trous (82 ou 0) des fers plats (81).

   3. Marche suivant les revendications 1-et 2, caractérisée en ce que le boulon (85) serre également le collier de serrage (9) par rapprochement des fers plats (81) l'un vers l'autre.

   4. Marche suivant les revendications 1 à 3, caractérisée en ce qu'elle comprend les pièces de réglage (14) telles que décrites et mises sous protection par la demande de brevet belge n PV 53.190, déposée le 12 janvier 1968 au nom du demandeur.

   5. Marche suivant les revendications 1 à 4, caractérisée en ce que toutes les pièce,en sont galvanisées et en ce qu'elle peut être montée sur un tube central également galvanisé.