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Convertisseur de couple.
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La présente invention se rapporte aux convertis- seurs de couple et concerne plus particulièrement un con- vertisseur de couple à commande hydraulique infiniment va- riable du type comportant un engrenage épicycloidal.
Une transmission par engrenage de type bien connu est celle qui comporte des éléments d'entrée et de sortie du couple reliés l'un à l'autre dans des conditions assu- rant l'entraînement par un engrenage à résistance à vites- se variable dont la vitesse est modifiée en lui imposant diverses charges pour obtenir un effort d'entraînement ré- sultant de l'arbre de sortie à une vitesse qui normalement soit inversement proportionnelle à la vitesse de l'engre- nage de réactance. Un problème difficile à résoudre dans ce type de transmission est la perte de couple ou de puis- sance occasionnée par la charge qui pèse sur l'engrenage à réactance.
Cette charge a été assurée, par exemple, en obligeant l'engrenage à réactance à entraîner une pompe à liquide et en commandant la charge qui pèse sur lui en étranglant plus ou moins l'écoulement à partir de cette pompe par des valves convenables. Cette pratique a l'in- convénient d'engendrer une quantité de chaleur considé- rable, ce qui se traduit par une perte de couple, de acr- te que la vulgarisation des transmissions de ce genr ne s'est pas affirmée dans l'industrie.
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L'invention permet d'obvier aux inconvénients sus- indiquée grâce à une transmission du type mentionné mais dans laquelle l'engrenage de résistance est chargé de ma- nière à réduire sa vitesse en étudiant la construction pour que la majeure partie de son couple soit transmise aux élé- ments d'entraînement de la transmission, afin de réaliser un convertisseur de couple à vitesse infiniment variable et à grande efficacité , L'invention permet plus particulière- ment de réaliser une transmission dans laquelle l'engrenage de réactance entraîne une pompe à liquide dont la sortie est dirigée vers l'entrée d'un moteur à actionnement hydrau- lique relié à l'élément transmetteur de couple de la trane- mission,
le volume de sortie de cette pompe dépassant la capacité d'admission du moteur hydraulique pour une vitesse donnée de la transmission, la contre-pression s'exerçant sur la pompe et par conséquent la charge pesant sur l'engrenage de réactance étant commandée en déviant à partir de l'ouïe d'admission du .moteur une plus ou moins grande quantité de l'excès de ce liquide à partir de la sortie de la pompe.
En prévoyant un excès relativement faible du liquide pompé par rapport à la quantité'utilisée par le moteur hydraulique, les variations dans la charge totale imposée à l'engrenage à réactance peuvent être réalisées en dérivant une plus ou moins grande quantité du volume relativement faible du li- quide par une distribution appropriée, de telle sorte que la chaleur engendrée au cours de la dérivation du liquide et par conséquent la perte de couple à travers la trans- mission soit comparativement faible.
Ceci posé, l'invention est matérialisée dans un
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oonvertisseur de couple comportant un organe à vitesse va- riable relié fonctionnellement à un organe entraîneur et un organe entraîné du convertisseur, de telle sorte que la vitesse de rotation de cet organe entraîné par rapport à celle de l'organe entraîneur soit proportionnelle à 1a vites- se imposée à cet organe à vitesse variable et caractérisé en ce que la oommande de la vitesse de cet organe à vitesse variable par rapport à l'organe entraîné est assurée grâce à une pompe hydraulique comportant une ouïe d'entrée du li- quide et une ouïe de sortie du liquide et fonctionnant grâ- oe à la coopération entre cet organe entraîné et cet orga- ne à vitesse variable,
un moteur hydraulique comportant une entrée de liquide et relié dans des conditions assurant l'en- traînement avec cet organe d'entraînement, des organes for- mant un canal depuis l'ouïe de sortie de la pompe vers l'ori- fice d'entrée de ce moteur pour conduire le liquide depuis l'ouïe de sortie de la pompe jusqu'à l'orifice d'entrée de ce moteur, et un système communiquant avec ce canal pour in- fluer sur la pression du liquide régnant dans ce canal.
Avantageusement, le convertisseur de couple ainsi construit comporte plusieurs pignons engrenant entre eux et formant des dispositifs de déplacement du liquide comportant des pressions d'écoulement variables grâce auxquels une transmission variable de la sortie de la transmission est réalisée, ces dispositifs de déplacement de liquide compre- nant des flasques latéraux portant dans les conditions as- surant l'étanchéité contre les extrémités des pignons pour maintenir le liquide entre leurs dents, ces flasques laté- raux étant sollicités vers les extrémités des pignons par
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une force proportionnelle aux pressions de liquide engen- drées par les dispositifs de déplacement de liquide,
de telle sorte que la friction des parties d'engagement soit réduite à un minimum pendant le régime à basse pression et soit augmentée pour ménager une étanchéité selon une telé- rance plus étroite en réponse aux pressions de liquide plue élevées auxquelles on doit faire face.
D'autres buta et avantages de l'invention décou- lent de la suite de cette description qui se lit en regard des dessins schématiques annexés dans lesquels en est re- présentée à titre d'exemple une des réalisations possibles: - la figure 1 est une vue en perspective d'une traiis- mission à vitesse variable conforme à l'invention; - la figure 2 est une vue en coupe longitudinale de cette transmission maie des inée à plue grande échelle, la coupe passant par la ligne 2-2 en figure 3; - la figure 3 est une vue en coupe par la ligne 3-3 de la figure 2; - la figure 4 est une vue en coupe par la ligne 4-4 en figure 2; - la figure 5 est une vue en coupe par la ligne 5-5 en figure 2 ; - la figure 6 est une vue en coupe par la ligne 6-6 en figure 2;
- la figure 7 est une vue fragmentaire des pignons que montre la figure 3 mais dessinée à plus grande échelle.
Comme représenté, ce convertisseur de couple à vitesse variable tel que le prévoit l'invention, est dési- gné dans son ensemble par 10 et oomprend un carter 11, un
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artre d'entrée entraîneur 12, un arbre de sortie entraîné 3 dont on peut faire varier la vitesse par rapport à cel- le de l'arbre d'entrée depuis un rapport sensiblement égal à 1:1 jusqu'à un rapport de 1 à l'infini. Cette transmission peut être utilisée pour assurer l'accouplement entre une source de force convenable quelconque et une charge appro- priée, aucun de ces éléments n'étant d'ailleurs représenté.
Le carter 11, qui est étudié de manière à renfermer' une masse d'un liquide convenable telle qu'une masse d'huile, comprend une enveloppe cylindrique 11a pourvue d'un chapeau terminal 11b en forme de cloche fixé à lui par des boulons 14 dont deux seulement sont représentés. L'arbre entraîné 13 comporte un collier 15 fixé à lui et qui tourillonne dans un palier à billes 16 supporté dans le chapeau terminal 11b.
L'extrémité interne de l'arbre entraîné 13 oomporte une bri- de circulaire 13a s'étendant radialement qui en est solidaire et qui est constituée par le flasque terminal d'un ensemble 17 en forme de cage fixé à lui, cette cage comprenant un pla- teau terminal 17a en forme de disque pourvu d'une partie 17b formant moyeu tourillonnée dans un palier à rouleaux 18 sup- porté dans un orifice pratiqué à travers la paroi terminale 11d du carter 11.
L'extrémité interne de l'arbre entraîneur 12 touril- lonne dans une creusure 13b de l'arbre de sortie 13 grâce à un palier à aiguilles 19 et peut tourner librement dans un orifice du plateau 17a de la cage 17. L'extrémité de gauche du carter 11 (en regardant la figure 2) est étanchéisée par rapport à l'orifice pratiqué dedans au moyen d'une plaque d'extrémité 20 qui traverse l'arbre 12. Cette plaque 20 por-
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te un joint 21 formé par une lèvre flexible entourant l'ar- bre d'entrée 12 et fixée au carter 11 par des boulons 22.
Un joint d'étanchéité à lèvre 23 entoure l'arbre 13 et est sup- porté dans une oreusure terminale du ohapeau 11b qui sert à étanchéiser l'extrémité de droite du carter 11.Les joints 21 et 23 sont de type bien connu et ne sont donc pas décrite plus complet ornent ici,
L'arbre entraîneur 12 comporte des pignons planétai- res 24,25 fixés à lui par des clavettes 24a, 25a logées dans une fente 12a ménagée le long de cet arbre. Chacun de ces pignons planétaires 24, 25 engrène avec trois satellites qui eux-mêmes tourillonnent dans la cage 17 et sont étudiés de manière à tourner avec cette cage autour des pignons plané- tairee. les trois satellites engrènent avec les pignons pla- nétaires respectifs et sont entourés d'une couronne dentée avec laquelle ils sont en prise.
Les pignons planétaires et les pignons entraînés par eux sont appelés ici "éléments d'en- trainement A et B". Comme leurs structures sont sensiblement identiques, seule la structure de l'élément A est décrite en détail.
Comme le montrent en particulier les figures 2 et 3, les satellites 26, 27, 28 engrènent avec le planétaire 24 et sont tourillonnés sur des arbres à tête désignée respec- tivement par 31, 32 et 33 qui sont fixés dans des orifices alignés pratiqués dans les plateaux 13a et 17a de la cage par des écrous 31a, 32a= 33a vissés sur les extrémités des arbres. Les pignons tournent dans des paliers convenables tels que des paliers à aiguilles dont l'un est visible en
35.
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Une couronne dentée 36 entoure le planétaire 24 et les satellites 26, 27 et 28; sa denture 36a engrène avec les dentures 26a, 27a, 28a des satellites respectifs, La couronne dentée correspondant à l'élément d'entraînement B est indiquée par 37 et correspond à la couronne dentée 36, On remarquera que les couronnes dentées 36, 37 ne sont pas solidaires d'un autre élément quelconque de la transmission, mais qu'elles peuvent tourner librement, sauf comme décrit ci-âpres. Le système planétaire ainsi décrit est bien connu dans la technique.
On conçoit que quand l'arbre 12 tourne dans le sens horaire (en regardant la figure 3) les satel- lites sont entraînés dans le sens anti-horaire si une char- ge empêche la cage 17 et l'arbre de sortie 13 de tourner, Si les couronnes dentées 36, 37 peuvent tourner librement, el- les tournent dans le sens anti-horaire. Si ces couronnes den- tées sont plus ou moins chargées, ce qui réduit leur vitesse par rapport à celle de l'arbre entraîné 13, la réactance de leur charge fait que les satellites entraînent en rotation la cage 17 et l'arbre entraîné 13 dans le sens horaire à une vitesse qui est proportionnelle à la réduction de vitesse des couronnes dentées.
Quand ces dernières sont suffisamment chargées par rapport à la charge de l'arbre de sortie 13, les planétaires ne tournent plus autour de leurs arbres
31, 32, 33 et la cage 17 est alors entraînée avec les pla- nétaires 24, 25. Dans la réalisation de l'invention qui est représentée, les couronnes dentées 36, 37 reavent être sé- lectivement chargées pour permettre l'obtention d'une varia- tion infinie de vitesse de l'arbre de sortie 13.
Il doit être entendu que les dents des satellites
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26, 27 et 28 et les dents de la couronne dentée 36 engre- nant avec eux forment un dispositif de pompage de liquide et que l'huile qui se trouve entre les dents 36a de la couronne dentée en est déplacée par l'entrée entre elles des dents 26a, 27a 28a des satellites respectif? comme ceci est plus complètement exposé ci-après, En outre, la profondeur des dents 24b et 25b des planétaires 24, 25 ne représente que 80% de la profondeur des dents des satel- lites et des couronnes dentées, de sorte que le volume d'huile entraîné déplacé à partir des dents des couronnes dentées dépasse de 20% la volume capable d'être reçu entre les dents des planétaires.
Cette différence de hauteur de dents est mise en évidence dans la figure 7 où ! repré- sente la profondeur des dents 24b et Y la profondeur des dents 26a.
Trois organes 40, 41, 42 ayant la forme générale de coins sont montés entre les satellites respectifs 26, 27,28 et sont maintenus en place par des tirants à tête 43,44,45 dont les extrémités rectilignes sont fixées dans des orifi- ces du plateau terminal de la cige 13a par des écrous dési- gnés respectivement par 43a, 44a et 45a.
On conçoit que l'élément d'entrainement B comprend des organes semblables aux organes 40, 41, 42 et placés de même entre les satellites engrenant avec le planétaire 25 bien que seul l'organe 50 qui correspond à l'organe 41 soit visible dans les dessins . Les organes formant les parois de l'élément d'entratnement B sont fixés en place par les ti- rants respectifs qui assurent l'assujettissement des coins
40, 41,42.
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Les organes 40, 41, 42 formant parcis comportent des surfaces externes courbes 40a, 41a 42a qui épousent étroite- ment les extrémités des dents 36a de la couronne dentée 36, de scrte que l'huile pénétrant entre ces dents y est retenue par ces surfaces. De Berne, les parois courbes 40b, 41b et 42b épousent étroitement les dents 24b du planétaire 24 pour emprisonner l'huile entre ces dents comme ceci est plus com- plètement expliqué ci-après.
Les parois 40a, 40d, 41c, 41d, 42c, 42d reliant entre elles respectivement les deux parois de chaque organe précité sont largement espacées des dents des satellites voisins, afin de ménager des trajets d'écoule- ment d'huile 48 sans entrave depuis la couronne dentée 36 jusqu'au planétaire 24 et des trajets d'écoulement relati- vement libres 49 de l'huile depuis le planétaire jusqu'à la couronne dentée.
On conçoit que les parois de l'élément d'entraînement B ont les mêmes formes relatives que ce qui a été décrit à propos des parois 40, 41, 42 de l'élément d'entraînement A.
L'épaisseur de tous les éléments dentés est la même et les extrémités latérales des dents des couronnes dentées 36, 37 et les dents du planétaire 24 des éléments d'entrai- nement respectifs A, B sont fermées par des plaques 51, 52 53,54 de retenue de l'huile. Ces plaques portent étroite- ment oontre les extrémités latérales des éléments dentés respectifs dont il vient d'être fait mention ainsi que les extrémités des parois telles que 40,41, et 42. Chaque pla- que de retenue 51, 54 comporte un orifice central à travers lequel passe librement l'arbre entraîneur 12. Chaque pla- que est pourvue d'orifices à travers lesquels passent les
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arbres 31, 32, 33 et les tirants 43, 44, 45.
La plaque 54 bute contre le plateau 17a de la cage, et un joint oonve- nable 55 étanche à l'huile est disposé autour de l'arbre 12 et des parois du plateau 17a de la cage dans le voisinage de l'orifice par lequel passe cet arbre afin de prévenir tout échappement d'huile vers l'extérieur par suintement le long de cet arbre. La plaque 53 bute contre les extrémités latérales internes des éléments dentés et des organes for- mant l'élément d'entraînement B, La plaque 53 ainsi que les éléments dentés et les parois précitées sont capables de se déplacer légèrement dans le sens axial par rapport aux élé- ments dentés, de telle sorte que la pression appliquée pour rapprocher la plaque 53 de la plaque 54 se traduise par un engagement plus étroit entre ces plaques et les organes pla- cés entre elles.
@
La plaque de retenue d'huile 52 qui est voisine de la plaque de retenue 53 et qui porte contre les extrémités internes du planétaire 24, des satellites 26,27 et 28 et de la couronne dentée 36 est pourvue d'un rebord ou bourrelet annulaire 52a faisant saillie axialement autour d'elle et s'étendant concentriquement à un bourrelet semblable 53a ménagé autour du bord de la plaque de retenue 53. Un anneau flexible 60 formant joint torique est interposé sans serra- ge exagéré entre les bourrelets 52a , 53a pour étanchéifier l'orifice ménagé entre les pourtours des plaques de retenue tout en permettant de légers mouvements axiaux relatifs des plaques.
Des ressorts 61 en forme de cuvettes dont deux seu- lement sont visibles dans les dessins sont montés autour des arbres 31, 32, 33 et des tirante 43, 44,45 pour maintenir
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une pression de séparation entre les plaques 52, 53 La plaque de retenue 51 porte oontre les extrémités externes du planétaire 24, des satellites 26, 27 et 28 et de la cou- ronne dentée 36, Des bagues toriques 62 sont montées autour des arbres 12, 31, 32 et 33 et des éléments dentés respec- tifs supportés par eux, afin d'empêcher toute fuite d'huile par suintement vers l'extérieur depuis le planétaire et les satellites le long de leurs arbres de support et à travers les orifioes des plaques de retenue 51,52, 53 et 54.
On voit que le planétaire, les satellites et les couronnes dentées des éléments d'entraînement A, B sont enveloppés de manière à former des ensembles de pompage, au- trement dit de déplacement d'huile dans les régions où les dents des éléments dentés des satellites pénètrent entre les dents des couronnes dentées qui se trouvent dans les parties externes des oanaux et- que l'huile s'écoule dans ces canaux.
On voit également que les dents des planétaires des éléments d'entraînement respectifs A, B coopérant avec les sections des parois 40b, 41b, 42b forment un système d'absorption de la pression de liquide ou d'entraînement qui réagit à la pression d'huile régnant dans les canaux 48 pour appliquer un couple cinématique à l'arbre d'entrée 12 du fait que les dents du planétaire aux extrémités des sections de parois courbes 40b, 41b 42b aux canaux 48 sont soumises à une pression plus forte que les dents situées aux extrémités op- posées de ces parois et au droit des canaux 49.
En raison du fait que le volume entre les dents 24a, 25a des plané- taires 24, 25 ne représente que 80% du volume entre les dents des couronnas dentées, un plus grand volume d'huile
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va pénétrer ou s'écouler par pompage des satellites et des couronnes dentées dans les canaux 48 qu'il ne peut en être entraîné ou s'en écouler entre les dents des planétaires pour n'importe quelle vitesse donnée des éléments dentés quand les couronnes dentées se meuvent par rapport à la cage 17.
Ce volume d'huile excédentaire est dérivé par con- tournement autour des planétaires et de leurs parois 40b, 41b 42b en empruntant trois orifices formant canaux à huile 51a, 51b, 51c qui sont représentés à propos de la plaque 51 visible dans les dessins et dont les emplacements sont étu- diés de manière qu'ils débouchent dans les extrémités in- ternes des canaux respectifs 48.
Chacune des plaques de re- tenue 52, 53, 54 comporte des orifices analogues placés dans l'alignement des orifices respectifs 51a, 51b, 51c, de telle sorte que l'huile excédentaire qui se trouve dans les canaux 48 des deux éléments s'écoule sans subir de retenue appréciable à travers ces orifices vers l'extrémité de droi- te de la cage 17 (en regardant la figure 2) pour pénétrer dans une creusure ou chambre cylindrique 13d ménagée dans la partie centrale de la bride 13a.
L'écoulement d'huile à partir de la chambre 13d dans le carter 11 proprement dit s'effectue à travers trois ori- ficea 13e, 13f, 13g, pratiqués dans la bride 13a et qui sont étudiés de manière à être fermés ou étranglés par trois gou- jons 56, 57, 58 logés de façon à pouvoir coulisser dans des orifices pratiqués dans le collier 15.
Les extrémités inter- nes de ces goujons 56, 57, 58 vont en diminuant graduelle- ment de section, de manière à assurer un étranglement précis des orifices distributeurs dans lesquels pénètrent les gou-
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jons respectifs, Leurs extrémités externes engagent la cou- ronne annulaire 60a d'un palier de butée 60 qui est suppor- té à coulissement sur l'arbre de sortie 13 et dont la couron- ne externe 60b est engagée par les deux doigts d'un pontet fourchu 61', un seul de ces doigts 61a étant visible dans les dessins,
Pendant le fonctionnement de la transmission, la pression d'huile qui règne dans la chambre 13d exerce une sollicitation sur ces goujons contre la couronne 60a du pa- lier.
La partie formant pontet de jonction est fixée par des boulons 62(dont un seul est visible dans les dessins) au méplat d'un arbre pivotant 63 qui tourillonne dans des pa- liers appropriée des parois du chapeau terminal 11b. Une extrémité de cet arbre 63 traverse un orifice pourvu d'un joint et fait saillie par rapport à la paroi latérale du cha- peau 11b; elle oomporte un bras de commande 64 (voir la figu- re 1) qui en est solidaire et par lequel l'arbre peut être entraîné en rotation pour placer les goujons distributeurs 56, 57,58 afin de régler le débit d'écoulement d'huile à partir de la chambre 13d.
L'huile est ramenée aux canaux 49 de l'élément d'en- trainement A à partir du carter proprement dit en passant par trois orifices 51d, 51e, 51f pratiqués à travers la plaque de retenue 51, ces orifices communiquant avec les oanaux respectifs 49 à leurs extrémités externes et à proxi- mité de l'entrée des dents de la couronne dentée 36 dans des canaux de retenue d'huile formée par les sections de parois courbes 40a, 41a, 42a et les plaques de retenue res- pectives 51 et 52. Bien que ceci ne soit pas représenté,
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des orifices analogues sont prévus dans la plaque de rete- nue 54 pour l'admission de l'huile dans les canaux corres- pondants 49 de l'élément d'entraînement B.
La plaque ter- minale 13a de la cage 17 est pourvue d'encoches 65 (voir la figure 4) placées dans l'alignement des orifices 51d, 51e ,
51f de la plaque 51 pour ménager un excès d'huile à ces ori- fioes. Des orifices sont prévus dans la plaque 54 et des encoches dans la plaque terminale 17a, Ces orifices sont respectivement semblables aux orifices 51d, 51e, 51f et 65 pour mettre l'écoulement de l'huile dans ces canaux de re- tour d'huile ménagés dans l'élément d'entraînement B.
Comme mentionné précédemment, le carter 11 renferme de une masse%liquide convenable telle que de l'huile qui peut être introduite dedans par un orifice 11e fermé par un bou- chon 11f.
@ Pour plue de clarté,'le fonctionnement de ce conver- tisseur de couple est décrit principalement à propos de l'élément A seulement et se déroule de la manière suivante:
L'arbre 12 est entraîné dans le sens horaire (en re- gardant les figures 3 et 4) par une source de force convena- ble quelconque et si l'on suppose que l'arbre 13 doit être relié à une charge et que les orifices 13e,13f, 13g sont ouverts en grand, la rotation du planétaire 24 provoque une rotation des satellites 26, 27, 28 dans le sens anti-horaire autour de leurs arbres respectifs 33,31, 32, tandis que la couronne dentée 36 est entraînée de ce fait dans le sens anti-horaire.
L'entrée des dents des satellites 26,27, 28 entre les dents de la couronne dentée 36 refoule l'huile
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ie , 1!eaacs.,omp eatre les d,erarda,Ge couronne jus-
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que dans les oanaux 48. L'entrée des dents 24a du planétai- re 24 dans les oanaux de retenue de l'huile ménagés dans les parois 40b, 41b, 42b et les plaques de retenue 51,52 entraîne l'huile hors des canaux 48 vers les oanaux 49.
Tou- tefois, du fait que-la'profondeur des dents du planétaire ne représente que 80% de la profondeur des dents des sa- tellites et des couronnes dentées, 20% de l'huile pompée dans les parties externes des canaux 48, lors de l'engrè- nement des dents des couronnes dentées aveo celles des planétaires et en tenant compte des fuites, circule des orifices 51a, 51b, 51c dans la creusure 13d, de sorte que l'huile s'y éooule aveo une liberté relative et pénètre dans le carter pour revenir aux éléments d'entràtnement A, B en passant par les orifices 51d, 51e, 51f et ceux de la plaque 54 leur correspondant pour gagner les canaux cor- respondants 49.
Etant donné que la rotation de la couronne
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dentée 36 n1e.....pa'" matél"ie118mettt enteavée pa 1.ë fait que les orifices 13e, 13f et 13g sont ouverts en grand, cette couronne tourne tandis que la cage 17 et l'arbre entraîné
13 demeurent immobiles.
.En étranglant l'écoulement d'huile depuis la creu- sure 13b par déplacement des goujons distributeurs 56,57,58 partiellement dans les orifices respectifs 13er 13f,13g grâce à l'actionnement du bras 64, la pression d'huile en- voyée dans les canaux 48 à partir de la denture des couron- nes dentées augmente, ce qui crée une résistance à la rota- tion de la couronne dentée puisque la pression d'huile tend à entratner cette couronne dans le sens horaire et à restrein- dre également le déplacement de*1'huile de l'espace compriar
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dans les canaux 48 agit sur les dents des satellites 26a, 27a, 28a également de part et d'autre de leurs arbres res- pectifs 30, 31, 32 et son effet sur ces satellites est par conséquent contre-balancé et annulé.
Toutefois, la région des dents 24a du planétaire 24 est exposée à la pression d'huile qui règne dans les ca- naux 48 et comme la pression d'huile régnant dans les ca- naux 49 est relativement plus faible, puisqu'elle provient de l'oule d'admission de la pompe formée par la couronne dentée, la différence de pression d'huile entre les canaux 48 et 49 fait qu'un effet d'entraînement ou de propulsion est imposé au planétaire dans une direction propre à lui restituer la puissance sous la forme d'un couple oinémati- que.
On voit que 20% seulement ou moins dé l'huile agissant pour restreindre la rotation de la couronne dentée 36 passent à travers les orifices 31e, 31f, 31g tandis que le reste de l'huile est utilisé dans un système de pompe et moteur hydraulique à écoulement relativement libre pour rétablir le couple au profit de l'élément entraîneur du convertis- seur. Il en résulte qu'une quantité d'énergie relativement faible est transformée en ohaleur et, de ce fait, perdue.
Au fur et à mesure que la contre-pression dans les canaux 48 de sortie de la pompe augmente du fait de l'étran- glement des orifices 13e, 13f, 13g, la vitesse de rotation de la couronne 36 par rapport à la cage 17 diminue. La cage tend ainsi à être entraînée en rotation et à tourner effec- tivement par suite de la réactance des satellites 26,27,28 sur la couronne dentée 36. La vitesse de rotation relative de cette oouronne 36 par rapport à la cage 17 diminue au fur
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qui et à mesure que la quantité d'huile/a la possibilité de s'écouler à travers les orifices 13e, 13f et 13g diminue jusqu'à ce que quand les orifices sont complètement fermés, la couronne dentée 36 soit sensiblement "bloquée" par rap- port à la cage 17, celle-ci tournant alors avec le planétai- re 24.
Dans la pratique,une faible fuite d'huile à partir de l'ensemble formant les canaux 48 des éléments d'entraînement A,B se produit, ce qui est la cause d'un léger patinage de la couronne dentée par rapport à la cage 17, et fait que le rapport de vitesse à travers la transmission est légèrement inférieur à un sur un.
Le fonctionnement décrit à propos de l'élément d'en- traînement A se répète pour l'élément d'entraînement B.
On voit qu'au fur et à mesure que la pression d'huile augmente celle qui règne dans les éléments d'entraînement A et B et entre les plaques de retenue 52,53, ces plaques sont impérativement écartées, ce qui fait que la plaque 52 presse vers la plaque 51 et que la plaque 53 presse vers la plaque 54,de telle sorte que les éléments dentés et les parois pla- cées entre eux sont étroitement engagés, ce qui augmente l'ef- ficacité du joint d'huile des plaques de retenue et des organes contre lesquels elles portent proportionnellement à l'augmenta- tion de la pression d'huile.
En revanche, quand la pression d'huile diminue et qu'un mouvement relatif plus grand se pro- duit entre les plaques de retenue et les organes portant her- métiquement contre elles comme les flancs des couronnes den- tées 36,37, les pressions entre les plaques et ces organes sont réduites, ce qui diminue dans une mesure correspondante le frot- tement entre leurs surfaces de glissement.
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La leoture de ce qui précède permet de voir que l'invention permet de réaliser un convertisseur de couple dans lequel le liquide est utilisé pour exercer une restric- tion variable sur une composante de réactance de la trans- mission dans des conditions propres à maintenir la majeure partie de l'énergie du couple sous forme de couple tandis qu'une partie relativement mineure du liquide de travail est distribuée et soumise à un phénomène de produotion de cha- leur, de sorte qu'en définitive on peut réaliser un oonver- tisseur de couple, autrement dit une transmission infini- ment variable et à rendement très élevé.
On remarquera que, dans la réalisation de l'inven- tion décrite et représentée, la capacité du moteur compre- nant la denture des planétaires est égale à 80% de oelle de la pompe à liquide formée par les dentures des couronnes dentées. Mais n'importe quelle autre proportion convenable pourrait être choisie ici. Le critère c'est que le débit volumétrique de la pompe doit être légèrement supérieur à l'huile absorbée par le moteur en tenant compte des fuites se produisant par les canaux 48. Plus le volume excéden- taire est petit, moins il se produit de pertes de chaleur.
Toutefois, un certain volume excédentaire est nécessaire pour assurer une contre-pression réglable du système de pom- page et pour transmettre le couple depuis les couronnes dentées jusqu'aux planétaires,
Les détails de construction peuvent être modifiés, sans s'écarter de l'invention, dans le domaine des équi- valences mécaniques.