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: "Watelas comprenant au moins une couche de mousse de polyéther"
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On a proposé d'utiliser des masses parallélépi- pédiques de mousse de polyéther pour constituer des mate- las ou des parties de matelas.
Dans ce dernier cas, il s'agissait de matelas à ressorts métalliques dont au moins une face était re- couverte d'une couche de mousse de polyther,
On a constate que lorsque le matelas est en ser- vice d'une façon permanente, comme c'est parfois le cas dans lea hôpitaux, le contact prolongé de la personne alitée avec la mousse de polyéther provoque un échauffe- ment qui fait nattre une transpiration trop abondante chez l'alité. La condensation de la transpiration qui se produit alors au oontact du tissu de recouvrement du ma- telas peut provoquer des auréoles sur ce tissu.
La présente invention a pour but d'éviter l'é- chauffement, la transpiration trop abondante et les au- réoles.
A cet effet, la ou lea couches de mousse de po- lyéther du matelas selon l'invention présentent des perforations s'étendant de façon ininterrompue d'une face à la faoe opposée. Les perforations peuvent être ménagées perpendiculairement aux faces auxquelles elles aboutissent ou obliquement par rapport à ces faces. Elles peuvent avoir une forme et des dimensions quelconques. Elles ont comme effet de permettre un certain renouvellement de l'air entre la personne alitée et le matelas ainsi qu'une certaine aération intérieure de la couche de mousse de polyéther.
L'intensité du renouvellement de l'air dépend évidemment du rapport entre la section transversale totale
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des perforations et la surface du matelas ainsi que de la répartition de ces perforations.
Le rapport entre la aection transversale totale des perforations susdites et la surface de la couche de polyéther dans laquelle ces perforations sont ménagées est avantageusement compris entre un peu moins de 1 et un peu plus de 4%. Avec un rapport plus petit que la limite inférieure susdite, les échanges thermiques pourraient ne plus devenir suffisants tandis qu'avec un rapport plus grand que la limite supérieure, on pourrait craindre que les qualités que l'on reconnaît à une couche de mousse de polyéther non perforée soient trop diminuées.
De préférence, la couche de mousse de polyéther du matelas selon l'invention en contact avec la personne alitée, présente uniformément, à environ dix centimètres l'une de l'autre, des perforations circulaires-dont le diamètre est compris entre un et deux centimètres.
Avec des perforations circulaires à dix centi- mètres l'une de l'autre et d'un diamètre d'un centimètre, le rapport susdit est de 0,78% tandis qu'à la même distan- ce l'une de l'autre des perforations circulaires de deux centimètres de diamètre donnent lieu à un rapport de 3,14%.
Les dessine annexée su présent mémoire repré- sentent schématiquement une forme d'exécution d'une partie de matelas selon l'invention.
La figure 1 est une vue en plan d'une partie de matelas selon l'invention.
La figure 2 est une coupe correspondant à la ligne II-II de la figure 1.
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Ces figures montrent une partie de matelas constitué par une couche de mousse de polyéther 2 dans laquelle on a ménagé des perforations circulaires 3 qui s'étendent de façon ininterrompue depuis une face 4 jus- qu'à la face opposée 5. Ces perforations sont par exemple ménagées à environ dix centimètres l'une de l'autre et ont un diamètre compris entre environ un et environ deux centimètres.
Il va de soi que l'invention n'est pas limitée à la forme de réalisation représentée aux dessins. Les perforations ne doivent pas nécessairement avoir une section transversale circulaire. Le matelas, au lieu d'être constitué par une seule couche relativement épais- se de mousse.de polyéther, pefzt par exemple compredre une couche de ressorts métalliques recouverte sur une de ses faces ou sur ses deux faces d'une couche de mousse de polyéther présentant des perforations continues sur toute son épaisseur. Le matela put év: emment être pourvu d'une housse.
REVENDICATIONS
1.- Matelas comprenant au moins une couche de mousse de polyéther, caractérisé en ce que ladi- te couche présente des perforations s'étendant de façon ininterrompue d'une face à la face opposée.
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: "Watelas comprising at least one layer of polyether foam"
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It has been proposed to use parallelepipedal masses of polyether foam to form mats or parts of mattresses.
In the latter case, they were mattresses with metal springs, at least one side of which was covered with a layer of polyther foam,
It has been observed that when the mattress is in permanent use, as is sometimes the case in hospitals, the prolonged contact of the bedridden person with the polyether foam causes heating which causes a too profuse sweating in the ality. The condensation of the perspiration which then occurs on contact with the covering fabric of the mattress can cause halos on this fabric.
The object of the present invention is to avoid overheating, excessive sweating and the aroles.
To this end, the layer or layers of polyether foam of the mattress according to the invention have perforations extending uninterruptedly from one side to the opposite side. The perforations can be made perpendicular to the faces on which they end or obliquely with respect to these faces. They can have any shape and dimensions. They have the effect of allowing a certain renewal of the air between the bedridden person and the mattress as well as a certain internal ventilation of the layer of polyether foam.
The intensity of the air renewal obviously depends on the ratio between the total cross section
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perforations and the surface of the mattress as well as the distribution of these perforations.
The ratio between the total cross section of the aforementioned perforations and the area of the polyether layer in which these perforations are formed is advantageously between a little less than 1 and a little more than 4%. With a ratio smaller than the aforementioned lower limit, the heat exchanges could no longer become sufficient, while with a ratio greater than the upper limit, one could fear that the qualities which one recognizes in a layer of polyether foam non-perforated are too thin.
Preferably, the layer of polyether foam of the mattress according to the invention in contact with the bedridden person, uniformly presents, at about ten centimeters from each other, circular perforations, the diameter of which is between one and two. centimeters.
With circular perforations ten centimeters apart and one centimeter in diameter, the above ratio is 0.78% while at the same distance from one of the other circular perforations two centimeters in diameter give rise to a ratio of 3.14%.
The accompanying drawings schematically represent an embodiment of a part of the mattress according to the invention.
Figure 1 is a plan view of part of a mattress according to the invention.
Figure 2 is a section corresponding to the line II-II of Figure 1.
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These figures show a part of the mattress consisting of a layer of polyether foam 2 in which circular perforations 3 have been formed which extend uninterruptedly from one face 4 to the opposite face 5. These perforations are by example formed about ten centimeters from each other and have a diameter of between about one and about two centimeters.
It goes without saying that the invention is not limited to the embodiment shown in the drawings. The perforations do not necessarily have to have a circular cross section. The mattress, instead of being made up of a single relatively thick layer of polyether foam, could, for example, consist of a layer of metal springs covered on one of its faces or on both sides with a layer of foam. polyether with continuous perforations throughout its thickness. The material could possibly be provided with a cover.
CLAIMS
1.- Mattress comprising at least one layer of polyether foam, characterized in that said layer has perforations extending uninterruptedly from one face to the opposite face.