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Dispositif de commando pour machine à laver.
La présente invention concerne un dispositif do , commande pour machine à laver servant à commander une suito des .opérations de lavage et à régler au moins la valour d'une grandeur pour au moins une desdites opérations, cc dispositif comprenant un commutateur à programme qui parcourt un certain nombre de positions de commutation et qui commando la suite des épurations. On connaît déjà des dispositifs de commando de ce type, dans lesquels la grandeur prenant une valeur pré- vue contrôlée est par exemple la température de la lessive, le niveau de la lessive etc ...
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Pour régler à plusieurs valeurs prévues diffé- rentes, ladite grandeur par exemple plusieurs températures différentes de la lessive pendant l'opération de lavage, il est déjà connu de prévoir plusieurs interrupteurs thermiques -qui correspondent à diverses température:- et à faire entrer sélectivement ces interrupteurs en action, au moyen du com- mutateur à programme pendant diverses phases du programme , pour fixer des températures maximales adaptées aux phases correspondantes de l'opération de lavage.
Toutefois, dans ces dispositifs de commande connus, il n'est pas possible de r6gler un grand nombre de valeurs prévues, par exemple des températures de lessive échelonnées à des niveaux rela- tivement rapprochés, sans mettre en oeuvre des moyens techni- quos importants parce que, pour chaque température, il est nécessaire de prévoir un thermostat particulier.
Pour remédier à ces inconvénients, il a déjà été proposé de prévoir un .seul thermostat réglable et do faire régler ce thormostat par le commutatour à programma. Toute- fois, cet agencement ost compliqué car il est alors nécessaire de transmettre le mouvement de réglage du commutatour à pro- gramme un thermostat réglable.
Dans un autre dispositif de commande connu, la commande de certaines valeurs prévues est assurée par un dis- que de commande du programmateur, ce disque coopérant par l'intermédiaire d'un organe de liaison, avec un commutateur et modifiant la position de ce commutateur par rapport à un organe sensible , par exemple à la température ou à la pres- sion, de façon que, suivant la forme et la position du dis- que de commande, la température atteigne une valeur plus ou moins élevée ou que le liquide atteigne un niveau plus ou
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moins élevé avant que le commutateur do l'organe do commande ne puisse être actionne. Ce dispositif permet d'obtenir, avec un seul interrupteur, plusieurs valeurs prévues dans une seule phase de lavage,
le passage d'une valeur à une autre s'effec- tuant par passage au pas suivant du commutateur programme qui est habituellement actionné pas pas et du disque do com- mande entraîne en synchronisme avec ce commutateur. Toutefois, si, pour une position donnée du commutateur à programme, la grandeur réglée atteint la valeur prévue et que, d cc fait, l'interrupteur est actionné, par exemple ouvert, par l'organe sensible à la température ou la pression, au pas suivent, si la valeur prévue est plus élevée, cet interrupteur doit tout d'abord être ramené en arrière d'une distanco égale à la course du retour et referma avant de pouvoir être ramené à la position qui correspond à la nouvelle valeur prévue.
Le réglage de la valeur prévue à l'aido d'interrup- teurs commandés par les organes sensibles à la pression ou à la température ne peut se faire qu'à l'intérieur de limites do tolérance relativement grandes. L'existence de la plage do to- lérance est due, de façon connue à la course de retour de l'interrupteur, à l'hystérésis des éléments élastiques do l'or- gane sensible et aux jeux de montage des organes de transmission entre le disque de commande et l'interrupteur. La valeur prévue varie elle-même en fonction do l'usure des organes mécaniques, do l'usure des contacts par combustion et des variations do la température extérieure.
Pour 1'.assemblage et le réglage du dispositif de commande, une autre cause d'effets défavorables est que les organes sensibles àla température ou à la pression sont montés sur la cuve do levage, laquelle vibre très fortement dans la plupart des cas, tandis que le commutatour à programme
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est fixé, avec les organes de commando qu'il porto, sur le bâti . do la machine. Il est donc nécessaire d'utiliser, entre le ' commutateur à programme et la cuve de lavage, des liaisons par tubes capillaires et par conducteurs électriques souples, qui rendent difficile le réglage et l'entretien de la machine.
On sait également par expérience que la grande lenteur, de la manoeuvre de l'interrupteur, par un organe sen- sible à la température, conduit très fréquemment à des oscilla- ; tions des contacts d'où il résulte la formation d'un arc cons- tant et un retard à l'ouverture du circuit, des erreurs de mise en marche du moteur pouvant alors provoquer une erreur d'avan- ce du commutateur à programme équivalent à plusieurs pas.
Par ailleurs, la température de la paroi de la cuve et, par conséquent celle de l'organe sensible la tem- pérature continuent encore s'élever légèrement, immédiatement après la mise à l'arrêt du chauffage et l'avance du commu- tateur à progrpmme d'un pas. Une telle élévation de la tem- pérature augmente la course de retour nécessaire pour la refermeture de l'interrupteur et, étant donné que cette course est plus grande ou plus petite, suivant le remplissage de la cuve de lavage ou de la cuve de rinçage, cette continuation de la variation de la température donne une inertie indé- sirable à l'ensemble de la commande de la température.
La technique moderne du lavage nécessite un chauffage par paliers, ce qui signifie que la température du liquide de lavage doit s'élever pas à pas ce qui permet d'effectuer entre les paliers de température des agitations du linge en vue de l'égalisation des températures. En effet, on constate une tendance générale à augmenter la puissance de lavage installée des machines à laver modernes et, par conséquent, une tendance à réduire les durées de chauffage. Toutefois, ceci nécessite des phases
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d'uniformisation périodiques de la température interne du linge, intercalées entre les périodes de chauffage. Du reste, la technique du lavage moderne nécessite un chauffage continu tout en évitant la formation de mousse. Ceci nécessite un ré- glage extrêmenent précis de la température de lavage du linge.
Etant donné que, avec les thermostats généralement utilisés à l'heure actuelle, par exemple avec les thermostats fonction- nant par dilatation d'uno barre ou d'un liquide, et les thermos- tats à lames bimétalliques, il n'est pas possible de régler la température prévue d'une façon suffisamment précise, on so contente en général, pour la phase de chauffage, d'une com- mande de température répartie dans le temps, c'est-à-diro que l'on met périodiquement le chauffage en marche et à l'arrêt.
La mousse qui se enveloppe dans cette opération doit soit être combattue par addition d'adjuvants chimiques à la lessive soit être aspirée, ce qui est, dans les deux cas, défavorable au résultat du lavage.
Ainsi les commandes de température connues en soi ui sont montées sur les machines à laver la lingo ou à laver la vaisselle et qui utilisent des orgnnos sensibles à la température connus à base de thermostats fonctionnant par dilatation d'une barre ou d'un liquide ou à base do thermostats à lames bimétalliques, combinés avec des interrupteurs élec- triques, ne satisfont plus aux besoins pour des raisons de technique de la régulation et pour des raisons économiques.
Le but de la présente invention est de remédier aux inconvénients mentionnés ci-dessus de tous les dispositifs de commande déjà connus ou proposés pour machines à laver. La dispositif de commande suivant l'invention est caractérisé en ce que le commutateur à programme comprend un élément do com- mande réglable, par exemple gne résistance, dont la vnlour,
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est fonction de sa position do commutation et correspond à la valeur prévue à commander, cet élément étant connecté, en môme temps qu'un organe sensible dans le circuit d'entrée ou do commande d'un montage à relais dont la sortie commando un dis- positif, par exemple un dispositif de chauffage qui a pour fonction d'amener la grandeur considérée sa valeur prévue.
Grâce à cet agencement, il est possible de mettre en oeuvre un seul organe sensible simple et il est de plus pos- sible do choisir par présélection et de régler par variation pratiquement continue à n'importe quelle valeur pr6vuo voulue le grandeur à commander. Par ailleurs, toutes les linisons mécaniques entre l'organe sensible et le commutatour à program- me sont ainsi supprimées et il suffit d'établir des liaisons électrique entre le capteur et le montage à relais d'une part, ainsi qu'entre le commutateur à programme et le montage à relais d'autre part. Les grandeurs-électriques qui correspondent aux valeurs prévues voulues peuvent être choisies par présélection et réglées à toute vitesse voulue dans chaque sens et de façon entièrement indépendante de l'état de l'organe sensible.
Fina- lement, il est possible d'assurer, avec des relais appropriés, de préférence au moyen d'un basculeur électronique commandé par une tension ou une intensité qui peut être par exemple un déclencheur de Schmitt, un mouvement de commutation sûr, sans contact et parfaitement déterminé, ce qui n'est pas le cas avec les commutateurs électro-mécaniques à palpeurs, par exemple, avec les interrupteurs thermostatiques. Il est éga- lement possible, d'obtenir une hystérésis de réglage trs fai- ble par des mesures appropriées en particulier dans le cas dos relais électroniques.
Un qutre but de l'invention est d'utiliser le montage à relais ou le montage régulateur qui est disponible de toute façon pour commander d'autres grandeurs, on particu-
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lier le niveau de la lessive. e cette façon, il est possible d'abaisser à une valeur pratiquement aussi faible qu'on le désire la puissance de coupure de l'interrupteur de niveau et ce dernier n'a plus a être construit sous la forme d'un commutateur. La construction du dispositif suivant l'invention est caractérisée en ce que le régulateur est commandé en fonction d'au moins deux valeurs prévues, l'organe sensible affecté à une valeur prévue étant connecté dans le circuit de commande du régulateur suivant la position de commutation du commutateur à programme.
Dans un dispositif de commande dans lequel l'un des organes sensibles est constitué par une résis- tance variable en fonction de la température, le commutateur commandé par le niveau de la less@@@ est de préférence agencé de façon pouvoir être connecté sélectivement dans le circuit de commande. Le montage régulateur peut alors être utilisé sélectivement pour commander la température de la lessive et le niveau de la lessive.
Etant donné que, dans ce cas, la commando do la température ou du chauffage et celle du robinet d'arrivée doi- vent s'effectuer indépendamment l'une do l'autre, la sortie du régulateur ne doit pas agir directement sur le chauffage et, par ailleurs, elle ne peut pas agir directement sur le robinet d'arrivée. C'est pourquoi, suivant l'invention, la commando par le régulateur agit exclusivement sur la commando du mou- vement du commutateur à programme et surveille indirectement, par manoeuvre de ce dernier les commutations qui doivent so pro- duire dans les circuits de commande du chauffage et du robinet d'arrivée.
A cet effet, le régulateur comprend de préférence un contact repos dans le circuit d'alimentation do l'entraîne- ment du commutateur à programme, ce qui présente l'nvnntago supplémentaire que l'entraînement du commutatour à programme
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est toujours actif lorsque l'enroulement de relais du régula- tour qui correspond audit contact repos est hors tension. Si,, pour une raison quelconque, l'alimentation du régulateur faisait défaut, ledit enroulement du relais serait hors tension dans tous les cas et le commutateur à programme décrirait toute sa course dans le temps le plus court possible de sorte que, en aucun cas, il ne pourra se produire de surchauffe do la machine ni, par conséquent de détérioration de la machine ou du linge traite.
La description qui va suivre en regard du dessin annexé, donné à titre d'exemple non limitatif, fera bien comprendre comment l'invention peut être réalisée, les particu- larités qui ressortent tant du dessin que du texte faisant, bien entendu, partie de ladite invention.
La figure 1 montre le schéma de commando d'une première forme de réalisation de l'invention ;
La figure 2 montre une deuxième forme do réali- , sation du dispositif de commande conforme à l'invention@-
Le dispositif de commande montré sur la figure 1 agit sur un organe do chauffage 1, un moteur à mouvement alter- natif 2, un moteur 3 d'une pompe de vidange et un moteur de lavage 4 par l'intermédiaire de contacteurs dont les enroulements' sont seuls repérés sur le dessin par les références 5-8. Dans le circuit d'alimentation du moteur de lavage 4 se trouve de plus un commutateur réversible 9 qui est entraîné par un mo- ! teur 10, par exemple un moteur synchrone, pour inverser pério- diquement le sens de rotation du moteur 4.
Le moteur généra- teur d'impulsions 10 actionne par ailleurs un interrupteur a impulsions 11 qui est fermé périodiquement, pr exemple, une fois à chaque minute.
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Le commutateur à programme proprement dit comprend'un moteur d'avancement 12 muni d'un contact auto- interrupteur 13 qui permet de faire tourner pas à pas un arbre à cames 14 représenté schématiquement. L'arbre à cames 14 agit sur les contacts de commande 15-20 du com- mutateur à programme proprement dit. Le commutateur à pro- gramme comprend de plus une touche de mise en marche 21 ainsi que trois touches de sélection désignées par les références I-III et qui sont affectées aux diverses opé- rations de lavage, ces touches agissant sur des contacts non représentés de commutateurs à touches. L'alimentation du dispositif de commande s'effectue par l'intermédiaire. d'un interrupteur de porte 22 et d'un interrupteur 23 monté dans la boite à savon.
Le contact de commande 19' du commu- tateurà programme peut mettre sélectivement en circuit un robinet électro-magnétique 25 d'arrivée d'eau ou bien la bobine 5 du contacteur de chauffage.
L'arbre à cames 14 du commutateur à programme porte d'autres cames, non représentées, qui agissent sur des commutateurs de commande 26-28. Tous les commutateurs 26-28 sont connectés en parallèle dans un circuit de com- mande qui présente une résistance sensible 30 à coefficient de température négatif, ainsi qu'au moins une résistance 38 branchée en série. Les commutateurs de commande 26-28 per- mettent de palper diverses prises d'un diviseur de tension composé de plusieurs résistances séparées. Le diviseur de tension est connecté entre les bornes de sortie d'un appa- reil de tension 31 qui débite une tension continue appro- priée, cet appareil étant alimenté constamment, aussi long- temps que le commutateur est sous tension.
Les commutateurs
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de commande supplémentaires 26-28 du commutateur à pro- gramme et le diviseur de tension combiné à ces commutateurs constituent les moyens de commande qui permettent de régler sur une valeur donnée une grandeur électrique qui dépend de la position de commutation du commateur à programme et qui correspond à la valeur prévue à commander. Le circuit de commande est relié à travers une résistance 38 au pôle positif de l'appareil de tension 31, c'est-à-dire à la prise du diviseur de tension qui est la plus proche de ce pôle.
Le circuit de commande comprend un contact inverseur 50 commandé par l'arbre à cames 14 et qui permet de connecter sélectivement la résistance 30 ou un interrupteur de ni- veau 51 dans le circuit de commande. L'interrupteur de niveau 51 est ouvert lorsque la machine est vide.
Le dispositif de commande comprend également un basculeur électronique formant déclencheur do Schmitt, comprenant des transistors 32 et 33 et qui est également alimenté par l'appareil 31. Le basculeur électronique se distingue d'un basculeur à transistors classique en ce qu'une résistance W de valeur relativement basse est con- nectée en parallèle avec le circuit émetteur-collecteur du transistor 32 qui est conducteur l'état de repos.
L'enroulement de relai4' qui est branché dans le circuit de collecteur du transistor 32 actionne un contact repos 35' connecté dans le circuit de commande du moteur d'avancement
12 du commutateur à programme. Lo basculour électronique constitue avec l'appareil d'alimentation 31 un ensemble désigné par la référence 37.
Le mode de fonctionnement du dispositif de com- mande représenté est expliqué ci-après. On supposera qu'une
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révolution du commutateur à programme comprend 45 pas de commutation, le commutateur à programme restant dans sa position finale après le 44ème pas de commutation du fait que le contact de commande 15 s'inverse alors pour prendre la position représentée 5 sur la figure 1.
Après la fermeture des interrupteurs 22 et 23 de verrouillage de la porte et de la boîte à savon, on ferme l'une des touches de sélection I, II ou III et cette touche reste en position fermée grâce à un verrouillage mécanique.
Sous l'effet d'une pression ----- rapide sur la touche de mise en marche 21, le commutateur à programme passe de la position finale 45 à la position 0, le contact do commande 15 s'inversant à ce moment. Le moteur 10 générateur d'im- pulsions, qui est entraîné en rot@tion continue fait ensuite. avancer le commutateur à programme pas pas l'aida d'im- pulsions courtes, par l'intermédiaire du commutateur à impulsions 11. L'achèvement correct de chaque pas est contrôlé par le contact auto-interrupteur 13 qui est en- traîné en synchronisme avec le commutateur à programme.
Sur. le pas 0, la phase de lavage est déclenchée par mise en' marche simultanée du moteur de lavage 4 et de l'arrivée d'eau par le robinet électro-magnétique d'arrivée 25, par . rabattement du contact de commande 19' de haut en bas.
L'interrupteur de niveau 51 qui est ouvert maintient la base du transistor 33 à un potentiel, négatif de sorte que ce transistor est bloqué tandis que le transistor 32 est conducteur. La bobine de relais 34' laisse donc passer un courant qui a pour effet d'ouvrier.le contact repos 35' ot de s'opposer temporairement à ce que le commutateur décrive un pas à partir de sa position 0. Des que le liquide de
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lavage ou de rinçage a atteint la hauteur prédéterminée, l'interrupteur de niveau 51 se ferme. Sous cet effet, le basculeur électronique 32,33 est aussitôt inversé. La bobine de relais 34' est alors désexcitée et le contact repos 35' se ferme de sorte que l'arbre cames 14 sera entraîné d'un pas à l'impulsion suivante.
Au cours de ce pas, le contact de commande 19' s'inverse et met le chauf- fage sous tension. Le contact d'inversion 50 s'inverse également de sorte que, maintenant la résistance 30 est connect4e dans le circuit de commande. Les valeurs des résistances du basculeur électronique 37, de la résistance 30 et de celle du diviur de ension, sont choisies de façon que, à basse température du liquide de lavage ou de rinçage, c'est-à-dire lorsque la valeur ohmique de la ré- sistance 30 est élevée et que la base du transistor 33 reçoit une tension positive d'autant plus élevée, co tran- sistor soit bloqué, Je transistor 32 étant conducteur.
La bobine 34' du relais est par conséquent excitée et le contact de repos 35' interrompt l'alimentation du moteur d'avan- cement 12 jusqu'à ce qu'on ait atteint une température pré- dé terminé e.
La température qui correspond à chaque position du commutateur à programme est commandée par les commu- tateurs de commande 26-28 du fait que, à chaque position de commutation du commutateur à programme, ces commutateurs de commande attaquent une prise donnée du diviseur de ten- sion et la relient à la résistance 30.
Si, maintenant, en raison de la mise en marche du chauffage, la température du liquide e lavage s'élève, la valeur de la résistance thermosensible 30 décroit
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jusqu'à ce que la caractéristique de tension partielle du basculeur électronique so soit modifiée à tel point que le transistor 33 soit devenu conducteur et que la tran- sistor 32 soit bloqué. Ceci a pour effet do désexciter la bobine 34' du relais et de former le contact repos 35', de sorte quo l'impulsion suivante du contact à impulsions 11, atteint à travers le contact auto-interrupteur 13, le moteur d'avancement 12 et que le commutateur à programme passe à la position de commutation suivante.
Les contacts de commande 26-28 peuvent donc également s'inverser de façon que, pour le pas suivant, la température du liquide de lavage soit réglée sur une valeur plus élevée. Si le commuta+.ur à programme se bloque dans une position de pas donnée, la modification do la carac- téristique de tension fera à nouveau basculer le basculeur électronique de sorte que le transistor 33 sera bloqué et que le transistor 32 sera rendu conducteur. Ceci a pour effet de réexcitcr la bobine 34' du relais et d'ouvrir à nouveau le contact repos 35'. Ce chauffage par paliers du liquide de lavage peut être interrompu ou accompagné par des circulations ou agitations plus ou moins longues du linge ou de la matière à laver dans la machine, la came qui actionne le contact de commande 17 étant profilée de façon que le contacteur 8 soit fermé pendant un ou plusieurs pas.
De même, la commande du contact de commande 19' et des inter- rupteurs de commande 26-28 peut 8tre agencée de façon que la courbe de température croisse constamment et soit carac- térisée par des pas sans élévation de la température.
Lorsqu'on a atteint la température finale dési- rée pour un programme déterminé, le commutateur à programme
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parvient dans une position dans laquelle son contact de commande 19' met le chauffage à l'arrêt. Si la température ainsi atteinte doit être maintenue pendant un temps rela- tivement long, ce qui est habituellement le cas, au moins dans une opération de lavage, le commutateur à programme décrit un nouveau pas après un temps déterminé ; à cet effet, le contact de repos 35' qui a été à nouveau ouvert par la chute de la température peut être shunté, le chauffage étant romis on marche après ce pas. Lorsque la température finale prescrite est à nouveau atteinte, le contact repos 35' se ferme et le chauffage est mis à l'arrêt par le pas suivant du commutateur à programme.
De cette façon il est possible de décrire encore plusieurs pas de contrôle pour ramener constamment la température au niveau désiré. Dans le cas où la commutation est double, c'est-à-dire lorsque, par @@emple la résistance 30 présente un coefficient de température positif de sorte que, à basse température, -le transistor 33 est conducteur et le transistor 32 non conducteur, on peut utiliser un montage dans lequel la bobine 34' du relais remplace la résistance W. L'interrupteur de niveau 31 devrait dans ce cas travailler dans le sens inverse, c'est-à-dire s'ouvrir lorsque le liquide atteint le niveau désiré.
Il serait également possible, dans le montage décrit de connecter la bobine 34' du relais à la place de la résistahce W et de la faire agir sur un contact travail au lieu de la faire agir sur un contact repos. Toutefois, le montage représenté a l'avantage que, en cas de défail- lance de l'alimentation du basculeur électronique, la bobine 34' du relais se trouve hors tension et que son
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contact de repos 35' reste toujours fermé, auquel cas le commutateur à programme décrit sa course dans le temps le plus court et, de ce fait exclut tout risque de surchauffe.
Une autre sécurité contre les surchauffes est représentée par le raccordement du circuit de commande à la résistance 38 du diviseur de tension. Faute de cette mesure, en cas de défaut de contact sur les interrupteurs de com- mande 26-28, le circuit de commande pourrait rester ouvert, auquel cas le transistor 33 resterait toujours fermé, le transistor 32 resterait toujours ouvert et, par conséquent, la bobine 34' du relais resterait toujours excitée et le contact repos 35' resterait toujours ouvert. Le commuta- teur à programme pourrait donc rester cons@@ment avec le chauffage en marche.
Ce risque est évité dans le dispositif de commande représenté du fait que, lorsqu'on atteint la température maximale, qui est par exemple de 95 , le bas- culeur électronique est inversé, même si tous les inter.- rupteurs 26-28 sont ouverts.
La figure 2 montre une autre forme de réalisation, également schématisée, des moyens de commande comprenant un diviseur do tension. Les résistances du diviseur de tension qui ont déjà été mentionnés dans la description do la figure 1, sont soudés dans l'exemple de la figure 2 sur un disque circulaire 40 en matière isolante qui porte dos conducteurs électriques imprimés sur ses deux faces. Le câblage imprimé, connu en soi, est conformé de façon à présenter, sur l'une des faces des conducteurs électriques concentriques qui sont connectés en série par los résis- tances.
Sur l'autre face, des conducteurs électriques sont agencés de façon que la totalité du potentiel appliqué aux
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bornes du diviseur de tension puisse 8tre appliquée entre une bague collectrice intérieure 41 et une bague collectrice extérieure 42. En outre, il est prévu des conducteurs élec- triques qui permettent de relier sélectivement au moyen d'un doigt palpeur 43, l'une des extrémités de la résis- tance 30 à coefficient de température négatif à toute prise choisie du diviseur de tension. La liaison transversale entre les conducteurs concentriques sur une face du disque programmateur 40 et les conducteurs à palper sur l'autre face peut être assurée, d'une façon connue en soi, par exemple, par pose d'oeillets ou par soudure à travers un trou transversal.
Les liaisons transversales sont indiquées, par exemple en 44.
La commande de la température s'effectue par le fait que, pour une position donnée à l'intérieur d'une période de chauffage, par exemple, comme représenté, à la position A, l'une dos extrémités de la résistance à coeffi- cient de température négatif 30 est reliée à la troisième prise du diviseur de tension en partant de l'extérieur. Si la température s'élève en raison do la mise on marcho du chauffage, la valeur ohmique de la résistance à coofficient de température négatif 30 diminue et fait basculer le cir- cuit électronique de la façon décrite. A ce momont, 10 commutateur à programme prend la position de commutation suivante B, dans laquelle la résistance 30 est reliée à la prise suivante du diviseur de tension (en se dirigeant de l'extérieur vers l'intérieur).
Ceci a pour effet do provo- quer un basculement du circuit électronique, de sorte que le commutateur programme reste immobile. Ce n'est qu'a- près une nouvelle élévation de température que le montage
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électronique bascule à nouveau, le commutateur à programme étant alors amené au pas C. Le chauffage peut rester on marche jusque ce que le commutateur à programmo exécute un nouveau pas pour quitter la position de commutation qui correspond à la température la plus élevée.
On obtient un élargissement des possibilités de commande de l'invention par le passage rapide d'un ou do plusieurs étages de température, ce qui peut être commandé de façon connue en soi par l'un des contacts 16, 18 ou 20 de' la figure 1 qui sont respectivement affectés aux pro- grammes I, II et III et peuvent alimenter directement le moteur du commutateur à programme en parallèle avec le générateur d'impulsions. Dans cette alimentation directe, le moteur du commutateur à programma est continuellement connecté à la tension et il décrit rapidement dos pas on sautant totalemcnt ou partiellement des phases de lavago qu'on peut choisir par sélection ou qui sont prédéterminés.
Le basculeur représenté sur la figura 1 ot qui comporte une résistance W à valeur ohmiquo relativement faible qui est connectée en parallèle avoc le transistor 32 conducteur. l'état de repos présente l'avantage parti- culier d'une très faible hystérésis de basculement, c'est- à-dire que le basculement et le retour d'un état à l'autre s'effectuent sous do très faibles différences do tension à l'entrée du déclencheur. Lo basculour est donc particuliè- rement bien approprié pour l'utilisation suivant l'invention car, dans ce cas, il est possible do procéder àà tous moments à une régulation et à un réglage de la température ou d'une autre variable sur la valeur désirée, par pas do faible amplitude.
Par ailleurs, il est aussi possible do
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régler dans des limites étroites une température, par exemple la température de lavage désirée, une fois quo cotte température a été atteinte, parco qu'après une chute relativement faible de la température do la lessive au- dessousde la température assignée le circuit bascule et remet le chauffage en marche.
Naturellement, la prédétermination de la grandeur électrique qui correspond à la valeur prévue à régler peut s'effectuer d'une façon différente de celle qui a été représentée dans les deux exemples d'exécution. Par exemple, il est possible de faire actionner un potentiomètre par une came particulière du commutateur à programme et de brancher par ce moyen les diverses résistances nécessaires en série avec la résistance sensible 30. Evidemmont, le dispositif peut Egalement être agence de façon inverse, c'est-à-dire que.'(on peut utiliser une résistance à coefficient do tom- pérature positif à la place do la résistance 30.
Par ailleurs, il n'est absolument pas nécessaire que les organes de com- .mande comprennent un diviseur de tension branche aux bornes de l'appareil d'alimentation, mais au contraire, il pourrait être prévu un diviseur de tension ou un potentiomètre qui serait simplement branché on série avec la résistance 30.
Toutefois, on pourrait également prévoir un autre montage de relais électrique ou électronique, muni d'un autro or- gane sensible présentant une hystérésis do régulation rela- tivement faible et permettant de ce fait, des opérations do commutation parfaitement déterminées.
Un autre fait d'importance est que, pendant certaines phases du programme de lavage pour des groupes de positions de commutation successives du commutatuer à
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programmât les organes de commande donnent des grandeurs électriques qui correspondent à diverses valeurs prévues.
Il est donc possible d'atteindre pas à pas et par paliers, pendant ces phases, une température de lavage désirée et de commander ensuite, à des températures prévues intermé- diaires' entièrement déterminées, dans une position de commutation correspondante du commutateur à programme, des opérations supplémentaires, par exemple une rotation du linge et de la lessive dans la machine à laver. Par ailleurs, il est possible de passer rapidement sur les autres paliers de température lorsqu'on a atteint une température déterminée, par exe@@@le 35 .
Il va de soi que des modifications peuvent être apportées aux modes de réalisation qui viennent d'être décrits, notamment par substitution de moyens techniques équivalents, sans que l'on sorte pour cela du cadre de la présente invention.