BE658060A - - Google Patents

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BE658060A
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    • AHUMAN NECESSITIES
    • A01AGRICULTURE; FORESTRY; ANIMAL HUSBANDRY; HUNTING; TRAPPING; FISHING
    • A01GHORTICULTURE; CULTIVATION OF VEGETABLES, FLOWERS, RICE, FRUIT, VINES, HOPS OR SEAWEED; FORESTRY; WATERING
    • A01G7/00Botany in general
    • A01G7/04Electric or magnetic or acoustic treatment of plants for promoting growth

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  • Life Sciences & Earth Sciences (AREA)
  • Biodiversity & Conservation Biology (AREA)
  • Botany (AREA)
  • Ecology (AREA)
  • Forests & Forestry (AREA)
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  • Catching Or Destruction (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  "Procédé électromagnétique pour traiter les plantes".- 
 EMI1.1 
 Qualification proposée : :31# VET D t Ilè"VEHTIClf.- priorité d'une demande de brevet déposée aux Etats-Unis d'Amûrique le 9   janvier   1964 sous le n    336.761.-   

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   La.   présente invention est relative   à   la transmission d'ondes électromagnétiques pour lutter contre les plantes et animaux nuisibles et pour avantager la croissance de plantes et d'autres cellules.

   Plus   particulièrement,   l'invention con- cerne l'utilisation et   la.   diffusion d'énergie aveo des fré-   quences   porteuses d'énergie qui sont harmoniques vis-à-vis de la croissance   envisagée   ou comportent des caractéristiques désirables pour le but visé. 



   La lumière, la chaleur et l'électricité se présentent toutes sous la forme d'ondes électromagnétiques, la seule dif- férence entre ces formes d'énergie résidant dans leur fréquen- ce ou leur longueur d'onde. On cait depuis longtemps que les, ondes électromagnétiques peuvent affecter, de   Manière   critique, la matière vivante. Ainsi, il est bien connu que la vie des plantes ne peut pas durer longtemps en l'absence de lumière. 



   On sait aussi que l'application d'ue dose   excessive   de cer- tains. types d'ondes électromagnétiques peut endommager sérieu- sement, voir même tuer la matière vivante. Ainsi, un excès de rayons X a   tendance     à   endommager ou à tuer les tissus qui les reçoivent. Les ondes à haute fréquence provenant d'installa- tions puissantes de radar allument, comme on le   sait,   des in- cendies dans un certain rayon et affectent les tissus vivants dans une mesure telle que ceux-ci sont tués presque instanta- nément. 

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   Des recherches récentes dans le domaine en question ont révélé que les   réactions   de la matière vivante   vis-à-vis   des rayons ou des ondes électromagnétiques dans le domaine de la visibilité tout au moins et au voisinage de celui-ci sont de nature complexe et peuvent affecter les caractéristiques des cellules individuelles par des   changements   introduits dans la structure moléculaire. Ces processus ne sont pas bien élucidés et il   n'existe   pas de principes ou de théories bien acceptés pour expliquer les réactions. 



   La présente invention utilise des sources capables d'affecter la structure moléculaire de la matière vivante, en raison du système d'ondes électromagnétiques appliqué à cette structure. Ceci est, de manière générale, en accord avec une théorie selon laquelle chaque particule de   matière   a son propre système d'ondes caractéristiques et peut être mis en résonance, de manière à vibrer activement par imposition d'on- des étrangères du même système ou en harmonique de celui-oi. 



  A cet égard, l'attention est attirée sur le travail du Dr. 



  Edward   Purcell   décrit dans un article publié dans Science Hews Letter. 62 ;   302-7,   15 novembre 1952, sur la fréquence de ré- sonance caractéristique des éléments, lorsqu'on les fait ré- soner dans des champs choisis. Plus tôt, le Dr. Felix Bloch, qui fut prix Nobel avec le Dr.   Purcell   a rouai à faire jouer à des particules atomiques le rôle d'émetteurs radio infini-   tesimaux,   dont les émissions pouvaient, lorsqu'elles étaient fortement amplifiées, être mises en évidence par un haut parleur. Ceci est décrit dans Electronic Médical   ))il'est,   San Francisco, vol. XXXVI, n  4, 1952. 



     '   Bien que la demanderesse sache bien que de nombreuses et différentes machines électroniques génératrices de fréquence ont été et sont encore produites pour le traitement d'objets 

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 ou d'articles organiques et inorganiques à des fins utiles, dont certaines sont utilisées par la demanderesse, pour effectuer des mesures comparatives de l'état et des   condi-   tions d'un corps de matière, la demanderesse ne connaît aucun dispositif et aucun procédé produisant les effets et les ré-   suitats   décrits dans le présent mémoire. 



   Compte tenu de ce qui précède, l'invention a pour objet principal un procédé pour transformer, modifier ou avantager une substance physique choisie, en appliquant à cette substance ou en faisant absorber par cette substance son propre système d'ondes caractéristiques ou une fréquence d'onde porteuse équivalente séparément ou en combinaison avec les systèmes d'ondes caractéristiques d'une ou plusieurse      autres substances d'espèces différentes, chacun de ces sys-   ternes   d'ondes caractéristiques étant transmis concurremment à l'aide d'un appareil de diffusion radio avec amplificateur. 



  Comme on le verra plus loin, le procédé suivant la présente invention est d'une application large et peut être utilisé dans des domaines fortement ramifiés, pour créer des change- ments physiques, chimiques et   physicochimiques   substantiels      dans diverses substances et dans leurs structures moléculaires et électroniques.      



   D'autres objets, avantages et caractéristiques de l'invention reaortiront de la description suivante, dans laquelle il est fait référence aux dessins ci-annexés, dans lesquels      - la figure 1 est une vue en perspective partiellement'      schématique montrant le câblage, la plaque collectrice et la boîte d'un appareil à utiliser pour l'exécution du procédé suivant l'invention;      - la figure 2 est un schéma de circuit de l'émetteur 

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 contenu dans l'appareil;

   - la figure 3 est une légende indiquant les   caracté-   ristiques du circuit représenté à la figure 2, étant entendu que toutes les résistances ont un demi watt sauf indication contraire et que les résistances R1 à R5 et lee capacités C1 à C$ ont les   tolérences   haoituelles de + 10%; - les figures 4 et 5 illustrent deux procédés pour enregistrer la fréquence d'onde d'un objet tel qu'un arbre; - la figure 6 montre schématiquement un autre pro- cédé pour enregistrer un système de fréquences d'un groupe d'objets différents d'une   même   parcelle; - la figure 7 est, à plus grande échelle, une vue de détail de la plaque collectrice, de l'écran et des parties adjacentes montrées à la figure 1;

   - la figure 8 montre une plaque collectrice pelli- culaire avec un bottier garni muni d'une charnière à utiliser avec une pellicule non développée comme porteur de système d'ondes;   - la   figure 9 montre un ensemble à plaque oolleotri- ce comportant une feuille de protection; - la figure 10 est une vue latérale du dispositif montré à la figure 9;

   -la figure 11 illustre un procédé à boucle pour traiter un arbre ou un autre objectif, et - la figure 12 illustre un procédé et un dispositif à collecteur direct pour traiter une plante dans un pot métal- lique, en utilisant la plaque collectrice comme base et un récipient   contenant   un réactif intercalé dans le fil conduc- teur/ , 
Il est évident que de nombreuses modifications peuvent être apportées aux exemples montrés dans les dessins, 

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 ces modifications étant contenues dans le cadre de l'inven-   tion.   



   Le procédé de 'base suivant la présente invention consiste d'abord à enregistrer le système de fréquences ou système résonant de la matière vivante   impliquée.   L'enregis- trement ainsi effectué est alors amené à un émetteur électro- magnétique, tel que celui montré à la figure 1, dans lequel cet enregistrement est appliqué à la plaque collectrice en cuivre 16 et à l'écran 17 montés sur une plate-forme isolée 15, La plaque 16 et l'écran 17 sont serrés l'un contre l'au- tre à l'aide de pinces 18 attachées à un fil conducteur isolé en cuivre 19 qui a une longueur d'environ 30 à 60 cm et qui est maintenu exempt de boucles ou de points d'inflexion brus- que.

     Etant donné   qu'avec les procédés utilisés à l'heure actu- elle, il importe que'l'enregistrement, une fois effectué, ne soit pas soumis à d'autres influences électromagnétiques perturbatrices, il faut prendre grand soin que l'enregistre- ment soit,   à   tout moment, isolé des influences étrangères. 



   L'autre extrémité du fil 19 est enfichée dans un jack 20 d'un   appareil   radio diffusion. 40.   L'appareil   et le circuit reposent entièrement sur la plate-forme 15 qui est convenablement isolée. Un commutateur 23 commande le chauffa- ge des tubes sous 110 V et à 60 cycles par seconde. Le courant arrive de n'importe quelle source d'énergie appropriée, par exemple de la prise de courant 21 et est amené par un conduc- teur au jaok 22. La lampe pilote 24 indique visuellement si l'émetteur radio 40 est en service ou hors service. On notera nue le commutateur 23 est mis en position d'activité pendant la période usuelle pour le circuit ordinaire   d'échauffement   d'un appareil d'émission radio,qui, pour un appareil à tubes, est généralement de 1   à   5 minutes.

   Après cela, le commutateur 

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 25 est fermé pendant la durée subséquente du traitement par diffusion,   à   moins que l'on lasse usage du procédé   intermit-   tent, dans lequel les diffusions se font à des   intervalles   périodiques. La période usuelle de diffusion dure de 30 se-   condes   à 20 minutes ou davantage, selon l'effet nécessaire. 



   Il est   à.   noter que la fréquence absorbée par l'en- registrement est diffusée et que le signal, bien que répété, est   irrégulier. En   conséquence, il ne faut pas croire à l'émission électromagnétique à partir de l'enregistrement, ni simplement une onde radio dans laquelle l'amplitude ou la fréquence est Modulée, mais bien à une combinaison des deux. 



   Le signal amplifié de   1'enregistrement   ou d'autres objets choisis est diffusé a l'aide de l'antenne 27 qui est d'un type classique et peut porter un dispositif direction- nel ordinaire, si on,le désire. Le fil de terre 28, la pince 29 et la tige 30 enfoncées dans le sol constituent l'ensemble de   mise 4   la terre du circuit. On peut utiliser n'importe quel équipement classique de mise à la terre. 



   L'amplificateur montré   à   la figure 2 comporte deux pentodes classiques 37 et 38 aveo des cathodes chauffées indirectement. 



   La grille de commande de la pentode 37 reçoit les impulsions de signaux du condensateur 36 qui répond, à son tour, aux signaux venant de la plague 16 par le fil conduc- teur 19. Le signal est amplifié, par l'intermédiaire du con-   densateur   35, vers la grille de commande de la pentode 38 où il est encore amplifié pour être ensuite diffusé par l'an- tenne 27, en passant par le condensateur 34. Les grilles d'écran et   suppresseuscs   des pentodes sont portées au poten- tiel de la terre, par l'intermédiaire de résistances et de 

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 condensateurs, comme montré. Le milliampèrementre de 0 à 100 milliampères en courant continu indique le passage d'électri- cité.

   Le transformateur 33 est un transformateur de type ordinaire d'appareil récepteur radio fonctionnant sur la tension de 110 volts en courant alternatif à 60 périodes avec 325 volts de part et d'autre de la prise centrale et avec une alimentation de filaments à 5 volts pour le tube redresseur V3 et à. 6,3 volts pour les éléments chauffants des pentodes. 



  Les caractéristiques électriques des divers éléments sont indiquées à la figure 3. Si on le désire, une bobine condensa- trice non inductive (non montrée) peut être insérée dans la ligne d'antenne 27, pour accentuer les effets des fréquences. 



   La diffusion avec un support d'enregistrement seule- ment constitue évidemment simplement une amplification de la fréquence   ,ou   de l'enregistrement porté par ce support. Cepen- dant, lorsqu'un réactif 54 est introduit, le signal est modi- fié par le signal du réactif et le signal diffusé est ainsi Modulé. 



   La figure 4 illustre un mode d'obtention d'un   'enre-   gistrement d'une plante vivante B, Bien qu'il paraisse quelque peu grossier, le procédé est utilisable tout au moins pour certains types d'émission. Ainsi, on notera que l'enregistre- ment est obtenu en tenant manuellement une barre de graphite 
1 contre la plante B constituant l'objectif, à l'aide d'une poignée non conductrice 2. Une borne 6 relie la barre en graphite 1   à   un fil de cuivre enrobé 7. A l'autre extrémité du fil de cuivre, celui-ci est réuni à une seconde barre en graphite 9 par une borne 8 qui est maintenue contre une bande isolante 4 par une patte non conductrice 10, de manière à former une marque 41 qui constitue, comme on le comprendra, une couche de particules de graphite disposées sur la bande. 

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  La bande 4 est maintenue sur une surface 3 non   métallique   et non conductrice   à   deux dimensions, à   l'aine   de liante   isolants 5   en caoutchouc. L'opérateur déplace la barre de graphite 9   longent   le long de la surface de la bande 4 avec une pression suffisante pour faire en sorte qu'une ligne épaisse et noire formée de fines particules et mesurant   7,5 à   12,5 cm soit produite sur cette surface. Il a été con- staté que la barre de graphie 1 ou 9 peut être remplacée par une barre de carbone oontenant des particules métalliques, etc...

   Il importe cependant que les particules provenant de la barre 9, auxquelles a été imposée   la   fréquence   hariionique   de la plante   B,   soient déposées sur la bande 4. On suppose que les particules de graphite absorbent et retiennent un signal communiqué par la plante 3 ou un signal en résonance avec ce signal. Lorsque la transmission se fait dans un laps de temps raisonnablement court après l'enregistrement, le signal émis par l'appareil de diffusion 40 est sensiblement identique ou tout au moins en résonance avec celui de la plante B. 



   La figure 5 illustre un autre moyen pratique pour obtenir un enregistrement. On notera que la seule barre en graphite 1 est maintenue par une   poLgnée   non conductrice 2 contre l'objectif B, tandis qu'un support 3a en matière non conductrice auquel est attaohée, par des liens non conducteurs en caoutchouc 5, une bande 4 à deux dimensions, est déplacé lentement le long de la barre en graphite et contre celle-ci, de façon à former une ligne de particules   41,   comme on le voit à la figure 4. Dans ce cas également, on notera que les lignes formées de particules de graphite comportent, dans tous les cas, des particules qui ont absorbé le système de fréquences de l'objectif choisi. 

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   A la figure 6, une ligne de partioules 42 est obtenue en entourant une zone d'un fil enrobé 32 en forme de boucle, ce fil étant de préférence en cuivre et étant posé autour d'une série de plantée 44 et 45. Les extrémités nues du fil sont tordues ou nouées en 12, de façon que la barre de graphite 1 puisse être placée sur le fil, comme   Montre,   une extrémité de cette barre étant appliquée sur le noeud, tandis que l'autre extrémité produit la ligne de particules 42 sur la bande isolée 4 portée par le support 3a, lorsque celui-ci se déplace de la manière décrite en ré- férence à la figure 5' On considère que le fil métallique recueille une émission harmonique globale des plantes 44 et 45, qui est enregistrée dans la ligne de particules de graphite 42. 



   Comme indiqué plus haut, il importe que, lors de l'enregistrement, toutes les matières impliquées soient manipulées avec des pinces en bois, caoutchouc ou matière plastique et que des gants en caoutchouc soient utilisés pour enlever les bandes 4. Ces bandes doivent, de préférence, être immédiatement placées dans des enveloppes recouverte de paraffine, ce qui semble minimiser la contamination et la perte d'énergie, Lorsqu'on se trouve en présence d'objets métalliques ayant des propriétés magnétiques, il est fréquem- ment souhaitable de les purger, par exemple en faisant passer un aimant fort.de taille moyenne sur la   face' de   ces objets métalliques, avant leur utilisation dans le procédé. 



   Une autre variante du système collecteur est montrée à la figure 11. Cette variante convient pour le traitement direct   à   l'aide d'une boucle L dans le fil 19, en utilisant la borne 18 pour former la boucle L qui entoure un objectif, tel qu'un arbre B. 

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   La figure 12 montre un ensemble collecteur spécial avec une plante p contenue dans un récipient métallique 50, de préférence en une matière bien conductrice de l'électriei- té, telle que le cuivre. Le fil métallique 19 est enroulé au- tour d'un tube 51 en cuivre ou en laiton ou attaohé à ce tube, ce tube pouvant   Atre   fermé   à   une extrémité à la manière d'une   cartouche,   si on le désire. Ce tube peut contenir le réactif de traitement choisi pour avantager la plante se trouvant dans le récipient 50. Ainsi, la fréquence du réactif est su- perposé à a fréqueace d'onde porteuse de la plante et les fréquences Jerlées   amplifiées   sont rediffusées vers la plante se trouvan dans récipient 50.

   Le dispositif de radio diffusion 40   e@@le  fil ecteur   19   qui mènent un jack 20 sont les mêmes qu'au.- figures 2, si ce n'est que le dispositif 51 a été ajouté   t   qu'un   retient   50 est utilisé au lieu de la plaque collectrice 16. 
 EMI11.1 
 



  On notera à la figure 7 qu'une Plaqu- collectrice 16 portant un enregistrement 4 couporte égalettient,.,k réactif 54. En conséquence, la fréquence du réactif 54 est su,,' Osde à la fréquence de l'enregistrement 4 et les fréquences j/>. <g sont diffusées par le dispositif radio diffuser 40. Lorsq<1, i cette fréquence diffusée est reçue par la plante, la fréquence dela plante a apparemment tendance à se synchroniser et à se mettre en résonance avec la fréquence modifiée qui lui est diffusée.

   Lorsque le réactif 54 est un insecticide, on   oonsta-   te que la plante a tendance à repousser les insectes ou, tout au moins, qu'elle exerce une moindre attraction sur les insec- tes se trouvant dans les   parafes.   pur contre, si le réactif est un produit chimique [lui attire les insectes, ceux-ci sont attirés par la plante en question. Cette dernière oarac- téristique peut être appliquée avec profit, lorsqu'une attrao- 

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 tion d'insectes est désirable, dans le but d'obtenir une pollinisation et des phénomènes analogues. 



   Il y a d'autres facteurs, en plus de la fréquence de modulation variée, qui sont nécessaires pour une exécution adéquate du procédé suivant la présente invention. Parmi ces. , autres facteurs, on'peut citer l'état du sol, en particulier l'état plus ou moins réceptif que semble présenter le sol vis-à-vis des diverses diffusions, ainsi que les organismes cellulaires végétaux qui poussent dans le sol. Il a été consta- 5é que dans un sol alcalin ou à pH élevé, lee plantes qui poussent ne reçoivent ou ne retiennent apparemment pas aussi   .'-bien   les fréquences des réactifs modulateurs et que les ani- maux ou plantes nuisibles et les maladies s'éliminent moins bien. En d'autres termes, l'état électrolytique est meilleur, lorsque le sol est humide et a un pH peu élevé, toutes autres conditions étant par ailleurs semblables. 



   Dans les sols alcalins que l'on rencontre dans les déserts, les zones irrigées ou les sols sablonneux à base de calcium, comme on en rencontre en Floride, de même que dans les zones calcaires des Etats de l'Atlantique Nord, les plan- tes qui ont été fertilisées en proportions et à l'aide de matières normales, bien que réceptives, de manière mesurable, à la diffusion réalisée dans le cadre de la présente invention, ne retiennent cette diffusion que pendant des intervalles de temps très courts. Dans ces conditions, les diffusions doivent être prolongées et répétées un-plus grand nombre de fois par semaine. Un appareil de diffusion plus puissant paraît être plus efficace pour faire retenir les fréquences modulatrices. et éliminer les organismes et plantes   nuisj.bles   dans une mesure plus grande. 



   Comme on le sait, la lumière solaire est une combi- naison de fréquences électromagnétiques, Ces fréquences sont, 

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 en fait, modulées ou filtrées, lorsqu'elles sont réfléohies par un objet, Lorsque cette réflexion se fait à partir d'une plante, il y a une certaine relation entre la fréquence de la plante et la lumière réfléchie. Une circonstance   intéres-   sante réside dans le fait que, lorsqu'une photographie est prise d'une plante, ces fréquences sont apparemment trans- mises à la matière se trouvant dans la pellicule elle-même, ce qui a pour effet d'enregistrer sur la pellicule sensible- ment à deux dimensions la résonance de la fréquence de la plante.

   Ainsi, un négatif d'une plante à traiter peut être utilisé comme enregistrement des fréquences, 
La figure 8 montre une plaque de retenue en cuivre 55 articulée par une charnière à la plaque collectrice 16. 



  Lorsqu'elle est fermée, la pince 18 sert à maintenir lee plaques 55 et 16 en contact l'une avec l'autre et à établir une connexion avec le jack collecteur 20. Oe dispositif.est destiné à être utilisé avec une pellicule photographique non développée 56 qui agit comme support d'enregistrement, comme indiqué plus haut. Un joint G montré en traits interrompus empêche, l'endommagement par la lumière, lorsque le oouver- cle 55 a été fermé brusquement, de manière à protéger la pel- licule d'enregistrement 56. Les négatifs qui ont été   dévelop-   pés et les épreuves obtenues à partir de ces négatifs ont été utilisées comme enregistrements avec un certain succès. 



     163 figures   9 et 10 montrent une plaque collectrice 16 avec un couvercle de dessus 57 en cuivre serré contre cette plaque par pince 18 connectée, de manière   conauctrioe,   au fil connecteur 19. Entre ces éléments se trouve une feuille pro- tectrice en verre ou caoutchouc 60 recouvrant la pellicule d'enregistrément 61 pour la protéger contre un dommage pos- sible par le réactif se trouvant dans l'enveloppe   62.,Cette   

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 enveloppe peut être utilisée en présentant une surface en dessous du   couvercle 57   ou au-dessus de celui-ci. 



   Les exemples suivants sont donnés pour montrer l'utilité du procédé suivant l'invention et pour éluoider l'application pratique de ce procédé. 



   EXEMPLE I. 



   Le   "Pennsylvanie.   Farm bureau" a effectué des essais, pour tester l'efficacité du procédé suivant l'invention, en traitant une superficie de 1420 acres de 81 fermes réparties dans 5 somtés de l'état de Pennsylvanie aux Etats-Unis d'Amé-   rique.   Ces essais ont été effectués et les résultats ont été enregistrés sous la supervision du directeur des recherches du "Pennsylvania Farm Bureau".   78.360   tiges de mats ont été examinées, lors des essais oontre le scarabée japonais et le térébrant européen dans des champs de maïs.

   Une analyse sta- tique effectuée par les inspecteurs a donné les résultats suivants : a. lutte contre le scarabée japonais :  dans'70   cas      sur 76, soit 92%, les résultats ont été   très   notables, b. térébrant européen dans 53 cas sur 91 cas, soit   56   les résultats ont été très bons. 



     EXEMPLE   II. 



   Un certain nombre d'essais ont été effectués dans le district de Maitland du comté d'Orange en Floride, Ces essais ont été effectués sur des terrains d'écoles, des champs de fermes, des bois de pins et une plantation d'oran.-   gère   de 6   acrs,   le sol'de cette plantation de 6 acres étant particulièrement sablonneux. Le terrain de la ferme A.était sablonneux. Le terrain de la ferme B était un sol   boueux.,   Le terrain de la ferme C était un sol semi-boueux. Au total, une 

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 superficie de plus de 250 acres (1 acre - 0,4 hectare), dont environ 40 acres de terre de culture, ont été testés. Parmi les produits non traités, on peut citer les oignons, la laitue, le persil et les betteraves.

   Les produite traités sont les suivants : (1)   orangers -   pour la teigne, les puce- rons et les araignées; (2) haricots (en cordons et sur per- ches) pour les scarabées, pucerons et insectes; (3) choux (4 variétés) pour les vers de choux, pucerons et scarabées; (4) mais (doux et sauvage) pour les térébrants, agrotis et perce-oreilles; (5) pois, pour les pucerons; - (6) pommes de terre, pour les doryphores, altises, puces des feuilles et blatte ; (7) courges, pour les pucerons; (8) tomates, pour les vers de tomates et la blatte; (9) navets, pour les altisee et pucerons. 



   Le traitement par le procédé suivant l'invention était destiné , englober tous les objectifs, La plantation et les grandes cultures ont été traitées en utilisant des négatifs photographiques aériens ou terrestres et des réac- tifs de minerais catalytiques ont été utilisés sur les pe- tites   par.celles.   Des témoins ont été utilisés dans chaque parcelle. L'appareil utilisé était constitué d'émetteurs radio   à   4 et 2 tubes actionnés à une ferme et à une distance de 2,25 miles. Les réactifs utilisés pour le modulateur étaient les réactifs qui se sont révélés pratiques pour chacun des insectes mentionnés plus haut, Trois diffusions ont été effectuées par semaine.

   Les résultats obtenus au terme de 5 automnes et de 5 printemps se sont révélés de plus en plus efficaces chaque année dans la plantation d'orangers et dans les parcelles de légumes. Il semble que le sol ait été condi- tionné pour provoquer une résistance et qu'il ait été purgé des larves résiduelles, etc... La ferme A était tellement 

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 infestée par les insectes précités et les maladies précitées qu'une pulvérisation constante était   nécessaire.   Après le premier hiver et le premier printemps de traitement des terres de cette ferme par le procédé suivant l'invention, une diminution de 15% de la pulvérisation est devenue pos- sible et après le traitement effectué chaque saison, on n'a plus fait de pulvérisation pendant 5 ans.

   La plantation d'oran- ters traitée n'a pas nécessité de pulvérisation, bien que la teigne et les araignées existent dans des plantations conti- gués où une pulvérisation a eu lieu chaque année. On a obtenu une récolte de 254 boisseaux par acre dans une zone traitée par le procédé suivant l'invention, alors que la moyenne pour le district était voisine de 150   à   160 boisseaux par acre. 



     EXEMPLE  III. 



   Dans une petite ferme de New Cumberland en Pennsyl- vanie, d'une superficie de 4,5 acres, le traitement   susdéorit   a été appliqué pendant 5 saisons, pour combattre les maladies 
 EMI16.1 
 dee arbree que éon% bla%%e l'orme, rouille eeri- des arbres que sont la blatte de l'orme, la rouille du ceri- sier et la gale du pommier, et pendant plus de 4 saisons pour éliminer les insectes nuisibles de plus d'une douzaine de- variétés de végétaux. Un essai a également été effectué sur plus de 20   variées   de plantes et de fleurs de jardin. Un cer- tain nombre d'observateurs qualifiés ont constaté que chaque traitement, sans aucune exception, s'est révélé positif, sauf dans le cas de la gale du pommier, qui n'a été qu'en partie éliminée.

   Le procédé a été ultérieurement exécuté seulement au moment où des insectes nuisibles ont apparu. On a constaté que ces insectes nuisibles ont été sensiblement éliminés grâce à l'utilisation du procédé suivant l'invention. Des témoins ont été utilisés dans chaque cas. Des enregistrements de photo- graphie du sol, de lignes de graphite et de feuilles directes 

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 ont été utilisés, 
EXEMPLE IV. 



   Une ferme du   Ifiddletown   dans l'état de Pennsylvanie, ainsi que des fermes dans le conté de Perry de l'état de fennsylvanie ont fait l'objet d'essais pendant 4 ans, pour protéger des récoltes de mais contre le térébrant européen, le ver de   maïs et   le scarabée japonais. Les traitements ont été effectués par le procédé suivant l'invention mis en oeuvre par des experts agricoles et les plantes ont été inspectées par des inspecteurs qualifiés qui ont   examiné   à la fois les champs traités et les champs témoins, On a constaté une protection meilleure de 74% pour les champs traités que pour les champs non traités. Des enregistrements de photographies aériennes ont été utilisés dans ces essais.

   Le   même   type d'enregistrements a également été utilisé avec succès dans plus de 200 fermes de l'état de penmsylvanie, au cours de plu- sieurs saisons. Les récoltes de ces fermes n'ont fait l'objet d'aucune pulvérisation a'insecticide au cours des années où elles ont été traitées par le procédé suivant l'invention, 
EXEMPLE Y. 



   Plus de   32000   acres de champs de coton du district de Marana dans l'état de l'Arizona, U.S.A., ont été traités par le procédé suivant l'invention. Les rapports des opéra- teur inspecteurs et propriétaires ont révélé que toutes les parcelles traitées ont donné des résultats satisfaisants, en utilisant le   proçédé     d'enregistrement   photographique aérien, conjointement avec des fréquences de réactifs modulateurs choisis pour éliminer   7 à 11   variétés d'insectes attaquant les plants de'coton chaque saison, 

 <Desc/Clms Page number 18> 

   EXEMPLE   VI. 



   Comme exemple illustratif de l'emploi de catalyseur, on a utilisé un catalyseur mixte métallique et non métallique constitué par un concentre d'un minerai ferreux de niccolite cubain contenant du fer, du nickel, du cobalt, du manganèse, du chrome et du molybdène finement divisés, ainsi qu'une petite quantité de leurs oxydes et des oxydes d'aluminium, de   calcium,   et de magnésium avec de la silice. Un récipient contenant quelques kilos de ces catalyseurs a été utilisé comme instrument d'enregistrement. Le porteur pour une telle fréquence a été placé sur une plaque collectrice en cuivre avec un petit paquet de pyrèthre en poudre.

   Le récipient contenant le catalyseur a été ensuite placé sur la plaque en cuivre à quelque dizaine de centimètre de l'émetteur et irradié par   celui-ci..   Le catalyseur traité a été transporté,      dans une caisse en bois, le jour suivant, dans une pépinière se trouvant à 38miles de l'émetteur. Le catalyseur y a été. pulvérisé autour d'un certain nombre de plantes et non sur celles-ci. Une diffusion par un émetteur radio semblable à celui montré   à   la figure 2, mais   comportant   4 pentodes plutôt que 2, a alors été effectuée ,pendant 8 minutes. Au cours de cette diffusion, l'enregistrement portant le système de fré- quences du catalyseur a été utilisé sur la plaque collectrice. 



   On a constaté que dans la zone où le catalyseur avait été pul- vérisé, les insectes ont été éliminés à raison d'environ 95% au bout de 3 jours et que cette situation a perduré pendant 
17 semaines. Au cours d'autres essais, des résultats simi- lairee ont été obtenus à des distances de 28 à   140   miles entre les objectifs etl'émetteur   radio.   



     EXEMPLE   VII. 
 EMI18.1 
 



  Dans le district de Herahey de l'état de petinsylvanie, deux rangées de plants de mais et une grande surface plantée 

 <Desc/Clms Page number 19> 

 de soja fortement infectes de scarabées japonais ont été choisies et fruitées   comme suit   à l'aide de   catalyseurs   et d'enregistrements photographiques. Jeux enregistrements de systèmes de fréquences ont été   effectuas  sur le maîs Des enregistrements ont également été effectués pour une fleur de Géranium rouge et pour la liqueurde pyrèthre et de marrube. 



  Deux lots de ces dernières particules catalytiques ont été pulvérisées prés ou en dessous de chaque   ti,e   de mais des deux rangées et, en   utilisent   les emregistrements, une diffu- sion de 2   minute!}   a été effectuée vers chaque rangée de plants de mais. Une des diffusion comportait la fréquence du mais avec la fleur de géranium rouge, tandis que l'autre diffusion comportait également la fréquence du mais, mais cette fois avec la fréquence de la liqueur de pyrèthre et de marrube   superpo-   sée à celle du nais. Dans une des rangées se trouvaient des aphidiens ainsi que des scarabées japonais.

   Au bout de 5 douro, on a   constaté   que tous les carabées avaient   abandonné   la première rangée et 232 scarabées morte ont été retrouvés en dessous des   30   plants en cause, tandis qu'en dessous des rangées restantes comportant le même nombre de plants, la moyenne des scarabées morts était de 6, Dans l'autre rangée, dans laquelle on a utilisé du pyrèthre avec du marrube, il a fallu deux fois plus de temps pour obtenir des résultats intéressants et de loin supérieurs   à   ceux des rangées non traitées contenant des scarabées et des   aphidiens.   



   Dans l'essai effectué sur le champ de soja,' les enregistrements ont été obtenus en prenant des photographies de bandes s'étendant le long d'un rectangle de plants de soja fortement infesté de scarabées japonais plus d'un mois avant leur hibernation. Quatre bandes ont été prises. 



  Trois bandes adjacentes ont été   laissées   sans traitemet et 

 <Desc/Clms Page number 20> 

 n'ont pas été photographiées. Après développement, les né- gatifs ont été utilisés comme enregistrements de toute la végétation de chaque bande et les graines et scarabées ont- été pris comme objectifs. Ces négatifs ont été chacun   utili-   sés pour effectuer une diffusion vers la bande en question à une distance de 31 miles, pendant 15 minutes, après quoi les trois négatifs d'un côté ont été utilisés séparément avec des fleurs de géranium rouges (variété foncée) addition- nées d'huile de fenouil sur un papier filtre placé sur une plaque collectrice. La fréquence de combinaison a été trans- mise pendant 5 minutes.

   Sur le dernier négatif on a placé les semences d'écosses et feuilles d'un ailanthus (sumac chinois), qui ont été diffusées également pendant 5 minutes. 



   Une inspection effectuée 3 jours plus tard a révé- lé que 75 à 85% des scarabées ont quitté les'trois premières zones ou bandes traitées, mais que ces scarabées étaient encore présents dans les zones non traitées adjacentes. Dans le quatrième secteur traité par l'ailanthus, il y avait 4 trois fois plus de scarabées qu'il n'y en avait au moment où l'enregistrement a été effectué. Ceci semble indique: que l'ailanthus est très attractif, plutôt que répulsif. Pour redresser cet état de choses, l'enregistrement photographique de ce quatrième secteur a été utilisé sans aucuns pulvérisa- tion d'ailanthus pour une diffusion de 5 minutes. Une dif- fusion de 5 minutes a encore été effectuée avec   la.photo-   graphie avec-les réactifs de géranium et de fenouil ajoutés, tels qu'ils ont été utilisés sur l'autre parcelle. 



   Trois jours plus tard, une inspection a révélé qu'il ne restait plus aucun scarabée japonais dans le qua- trième secteur. Le nombre de scarabées morts a été compté dans toutes les zones, tant celles traitées que celles qui 

 <Desc/Clms Page number 21> 

 ne l'ont pas été et on a constaté, en effectuant les comptages sur de nombreux yards carrés, qu'il y avait plus de   115.000   scarabées morts par acre dans les zones traitées, alors qu'il n'y en avait qu'environ   25.000   dans les zones non traitées. 



   EXEMPLE VIII. 



   Des essais ont été effectués sur des récoltes et des arbres dans le Maryland. Les objectifs étaient des cultu- res de mats infestées de vers de mais, de térébrante euro- péens et de scarabées japonais, ces cultures contenant coca- sionnellement des pucerons et des chenilles de la   leucanie,   
D'autres objectifs étant constituée par des arbres fruitiers, principalement des   pommiers   et des pêchers infestés par la teigne et les insectes habituels.

   Les plantations suivantes d'arbres ont également été utilisées comme objectifs : châtaigniers avec scarabées Japonais et blatte (Endothia parasitica), sept chêne attaqués par la gale (Andrious podo- zezia), deux frênes infestés de térébrants (podosefia   Fraxinin)   ainsi qu'un certain nombre d'autres arbres, dont certains étaient infestés d'aphidiens et de scarabées japonais et d'autres de scarabées et de térébrants.   Enfin,   trois grands ormes attaqués par la maladie des ormes ont été traités par le procédé suivant la présente invention, Tous les arbres et toutes les maladies ont été   identifiée   et inspectés par les experts.

   L'appareil, ainsi que les réactifs désirés ont été utilisés par intermittence au cours de 5 saisons de croissan- ce, pour protéger ces plantations d'arbres, le traitement ayant lieu à la férue et à une distance de quelque 140 miles dans l'état de   Pennsylvanie.   Les principales variétés de procédés de diffusion ont été utilisées, notamment les suivan- tes :Groupe A- sur les arbre;

  3, en utilisant les enregistre- ments de graphite direct et une diffusion sur le ou les arbres 

 <Desc/Clms Page number 22> 

 avec une fréquence modulatrice des réactifs, Groupe B - sur les   châtaigniers   chinois, les chênes et les ormes, par un procédé utilisant des modulateurs de fréquence du sulfate de nickel, troupe C- sur des champs de mâle, en utilisant des négatifs de photographies aériennes comme enregistrements et divers réactifs pour moduler la fréquence suivant les besoins, pour l'élimination des insectes.

   Groupe D - sur les pommiers, etc.., pour éliminer la teigne, les   mycètea,   les scarabées japonais, en utilisant des enregistrements né-   gatifs   photographiques du sol et divers réactifs pour moduler la fréquence, notamment du fluorure de nickel, du sulfate de cobalt, de l'huile de fenouil, des fleurs de géranium, de la -. poudre de pyrèthre, des cristaux de NiAs et des cristaux de roténone, selon .l'insecte   ou 'la   maladie à traiter. Ainsi le   'châtaignier   chinois a nécessité l'emploi de fenouil et de gé- ranium pour éliminer les scarabées et l'emploi de sulfate de nickel pour éliminer la blatte. 



   Les opérateurs et fermiers ont constaté que les traitements suivant l'invention sont plus persistante et plus efficaces dans les plantations d'arbres que dans les cultures. Ceci pourait être dû aux racines plus profondes et aux conditions du sol, grâce auxquelles les arbres sont plus stables dans leur état électrolytique. Les récoltes ou cultures ont   exigé 3 à  5 fois plus de diffusions pour éliminer les animaux et   microorganismes   nuisibles. La seule exception a été constituée par les scarabées japonais qui      préfèrent les fleurs des chatatgniers et les feuilles des rosiers grimpants. Cependant, ces insectes ont été éliminés de ces derniers après un nombre moindre de diffusions que pour le mais, par exemple. 

 <Desc/Clms Page number 23> 

 



   A deux exceptions près, à savoir la blatte de l'abricotier et les sycophantes, une élimination de plus de 75% des insectes a été obtenue sur tous les objectifs, En ce qui concerne les arbres malades, 97 à   99   des trois maladies en question ont été complètement éliminées, sauf dans un cas où on a constaté, après 3 ans, l'apparition de quelques petites vésicules sur un chêne. Ces vésicules ont ensuite été éliminées par un seul traitement de la manière décrite. 



   Une tentative antérieure pour éliminer des   insec-   tes et mycètes de pruniers et d'abricotiers, ainsi que de vignes a été effectuée dans le comté de   Greenwood   en Califor- nie. Une photo aérienne a été prise et l'épreuve du négatif obtenu a été utilisée comme enregistrement de fréquence. Une diffusion classique a été effectuée à une distance de 20 miles et plus tard, sur la vigne, en utilisant du pyrèthre, comme réactif antifungique. Des effets mesurables et apparents ont été observés et on a enregistré une réduction des térébrante et de la blatte. 



   EXEMPLE X. 



   Une photographie d'une rangée de plants de haricot a été prise, en éliminant environ 20% de l'image. Pour isoler cette rangée, un rectangle a été découpé dans la photographie, de manière à ce que cette photographie ne comporte que la ran- gée choisie. La partie découpée a été ensuite placée dans une enveloppe revêtue de paraffine et   ai,ienée à   un émetteur radio à une distance de 6 miles. L'enveloppe a été placée sur une plaque collectrice telle que la plaque 16 montrée à la figure 
1, l'opérateur utilisant des pinces en bois et des gants pour manipuler la pellicule photographique découpée. Une fréquence modulatrice a été établie en plaçant un paquet de pyrêthre à 

 <Desc/Clms Page number 24> 

      coté de l'enregistrement photographique. Une diffusion d'une durée de 4 minutes a été effectuée.

   Endéans les 48 heures, plus de 95% des mouches blanches ont quitté la zone traitée, tandis que 20% des plantes non traitées ont gardé leurs mou- ches blanches, sans aucune diminution du nombre de celles-ci. 



   EXEMPLE XI.      



   Une boucle d'un fil métallique isolé a été placée de manière à entourer   complètement   une zone infestée conte- nant des plants de haricots et de brocolis. L'enregistrement a été effectué de la manière illustrée à la figure 6. La bande : avec les particules de graphite portées par elle a été trans- portée à 6 miles de là jusqu'à un appareil émetteur radio et une diffusion a été effectuée en utilisant un modulateur de      pyrèthre conformément à la présente invention. Au cours.d'une      inspection effectuée 3 jours plus tard, en a constaté qu'il      n'y avait pas de vers de choux sur le brocoli et que la quan- tité d'araignées avait diminué de plus de 95% et la quantité de   Mouches   blanches d'environ 98% dans la zone traitée.

   Aucun des animaux n'est revenu sur les plantes, au cours de la pé- ;      riode ultérieure de 32 jours. 



   EXEMPLE XII. 



   Après la période de récolte dont question dans l'exemple XI, un enregistrement de fréquence a été effectué conformément à la présente invention, par la méthode utili- sant une boucle, sur un collecteur.   On   a ensuite procédé à une diffusion sans utiliser un facteur de modulation, tel que du pyrèthre, En moins de 24 heures, les quelques brocolis et plants de haricots restants ont été à nouveau fortement infestés de vers de choux, d'araignées de choux et de mouches blanches et ils sont restés infestés jusqu'à ce que les plantes soient rétamées dans le sol'plusieurs semaines plus tard, 

 <Desc/Clms Page number 25> 

   EXEMPLE   XIII. 



   Dans une grande roseraie fortement infestée d'arai- gnées, on a effectué un enregistrement de fréquence par le procédé utilisant une boucle de fil comme décrit plus haut. 



  Des diffusions ont été effectuées en utilisant un paquet de pyrèthre comme réactif modulateur de fréquence, la durée de la diffusion étant de 5 minutes pour un appareil de dif- fusion situé   à   6 miles de l'objectif. En l'espaoe de 24 heures, les araignées et les fourmis ont disparue. Pendant toute la durée de l'été, les roses sont restées exemptes d'insectes, alors que d'autres roses se trouvant dans les jardins voisins étaient   infestes.   les roses traitées pré- sentaient une croissance plus luxuriante que les roses non traitées dans les parcelles adjacentes. 



   .Au   coure   des essais dont question dans les exem- ples X à XIII, le sol était riche, bien fertilisé et   unifor-   mément irrigé. 



     EXEMPLE   )live 
Un chêne de   Californie   agé de 20 ans   (Quercus   Chrysolepsis) était fortement infesté de myriades de chenil- les (Phryganeia   Californica)   et plus de la moitié des feuil- les était mangée par ces animaux. Le traitement suivant a été utilisé. Un enregistrement de fréquence du chêne a été effectué en utilisant le procédé illustré à la figure 4. La durée d'enregistrement a été de moins 10 secondes et la   ligne   de particules enregistrée d'une longueur d'environ 5 cm. La ligne a été ensuite placée, à l'aide de pinces en bois isolées, sur une plaque collectrice en cuivre, telle que la plaque 16   montrée à.   la figure 1.

   Des échantillons témoins de chenilles ont été enlevée de l'arbre au moyen de. pinces en bois, tandis que certaines feuilles ont été également en- 

 <Desc/Clms Page number 26> 

 levées, Le tout a été placé dans des récipients appropriés, avant que le système soit pris et que la diffusion ait lieu. 



  Une seule petite feuille provenant d'une plante de géranium voisine a été arrachée avec une pince en bois et placée sur , la plaque collectrice, sans utiliser d'écran, comme réactif modulateur. L'enregistrement a été diffusé avec le réactif. 



  En l'espace de 3 jours, on a observé que des myriades de chenilles étaient tombées de l'arbre où descendaient de ce- lui-ci et au bout de 5 jours on a constaté que les chenilles avaient entièrement quitté l'arbre traitée Elles   n'y sont   plus retournées sur cet arbre au cours de cette saison. Des chênes non traités se trouvant au voisinage du chêne traité sont restés infestés pendant plusieurs semaines   jusqu'à   ce qu'ils soient entièrement débarrassés de leurs feuilles par les vers. On a constaté en examinant ces vers qu'ils avaient une vitalité   sensiblement   inférieure   à   oelle des échantillons      de   vers   placés dans le récipient.      



   Il est évident que l'invention n'est pas limitée aux détails décrits plus haut et que de nombreuses   modifica-   tions peuvent être apportées à ces détails, sans sortir du cadre de l'invention. 



   REVENDICATIONS. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. 1.- Procédé pour avantager des plantes, caractérisé en ce qu'on enregistre le système de fréquences particulier capable d'être émis d'une plante particulière et en ce qu'on amplifie et on diffuse vers cette plante le système enregistré, 2.- Procédé pour lutter contre des organismes nuisi- bles des plantes, caractérisé en ce qu'on 'enregistre un système de fréquences particulier capable d'être émis avec des ondes électromagnétiques de la plante infestée, on utilise le système de fréquences particulier capable d'être émis avec des ondes <Desc/Clms Page number 27> électromagnétiques d'un réactif choisi pour lutter contre les organismes nuisibles et on amplifie et on diffuse simul- tanément ces systèmes vers la zone où. se trouve la plante à traiter.
    3.- Procédé pour avantager ou favoriser la crois- ,sanoe de plantes, caractérisé en ce qu'on utilise un système électromagnétique caractéristique capable d'être émis par radio, d'une plante particulière, on amplifie ce système et on la diffuse vers la plante dont la croissance doit être favorisée en créant des décalages d'amplitudes variables dans la structure moléculaire de la plante, en utilisant un autre système amplifié suffisant pour provoquer des varia- tions dans le champ électromagnétique originel engendré par la plante, 4.- Procédé pour favoriser et augmenter la crois- sance de plantes, caractérisé en ce qu'on enregistre le système de fréquences électromagnétiques caractéristiques des plantes particulières dont la croissance doit être fa- vorisée,
    en amplifie le système de fréquences choisi enre- gistré, on diffuse le signal amplifié vers une zone dans la- quelle les plantes en question se trouvent et on crée des décalages d'amplitude variables dans la structure molécu- laire des plantes, en utilisant un schéma amplifié suffisant pour provoquer des variations dans le ohamp magnétique ori- ginel engendré par les plantes.
    5.- Procédé suivant la revendication 4, caractérisé en ce que le système de fréquences caractéristique est enre- gistré par une photographie des plantes.
    6. - Procédé pour favoriser la croissance de plantes, caractérisé en ce qu'on enregistre le système de fréquences électromagnétiques caractéristique des plantes particulières <Desc/Clms Page number 28> dont la croissance doit être favorisée, sur une surface capa- ble d'enregistrer ce système, on associe, de manière conduc- trice, cette surface à une série d'amplificateurs électro- magnétiques connectés pour amplifier seulement les caracté- ristiques de haute fréquence dudit système et on diffuse la baute fréquence amplifiée vers la zone ci\ se trouve la plante dont la croissance doit être' favorisée.
    7. - Procédé pour favoriser la croissance de plantes, caractérisé en ce qu'on enregistre le système de fréquences électromagnétiques caractéristique de la plante particulière à traiter, on prend une matière insecticide, on amplifie les caractéristiques électroniques inhérentes dudit système tout en amplifiant simultanément les effete électroniques de la matière insecticide, et on diffuse les effets amplifiée vers la zone où se trouve la plante dont la croissance doit être favorisée.
    8.- Procédé suivant la revendication 7, caractérisé en ce que le système de fréquences électromagnétiques carac- téristique de la plante particulière à traiter est enregistré par une photographie de cette plante.
    9.- Procédé pour lutter contre des organismes nuisi- bles, caractérisé en ce qu'on prend un agent fongicide déter- miné, on amplifie un équivalent électronique caractéristique de la plante infestée, tout en amplifiant simultanément l'équi- valent électronique caractéristique de l'agent fongicide choisi et on diffuse la fréquence amplifiée résultante vers la zone où se trouve la plante à traiter.
    10. - Procédé pour lutter contre les insectes, carac- térisé en ce qu'on prend un insecticide déterminé, on amplifie le système de fréquences électromagnétiques caractéristique de la plante particulière qui est infestée, on amplifie <Desc/Clms Page number 29> EMI29.1 aitaultandiaent le système éleotrooiagiiétique de l'insecticide choisi et de la plante en question et on diffuse la fréquence amplifiée obtenue vers la zone où se trouve la plante à trai- ter, 11.- Procédé pour lutter contre les mycètes, carac- térisé en ce qu'on prend un agent fongicide, on amplifie le système de fréquences électromagnétiques caractéristique de la plante.infestée,
    on aiiplif'ie simultanément le système électromagnétique de 1'agent fongicide choisi et on diffuse la fréquence amplifiée obtenue vers la zone dans laquelle se trouve la plante à traiter* 12.- Procédé pour lutter à distance contre des insectes, caractérisé en ce qu'on prend un agent insecticide, on développe un équivalent électromagnétique à haute fréquence amplifié de l'insecticide et on diffuse les ondes de fréquence élevée obtenues vers la zone d'application.
    13.- Procédé pour lutter à distance oontre des insectes se trouvant sur des plantes, caractérisé en ce qu'on prend un agent insecticide, ou entendre une onde porteuse particulière avec laquelle s'accorde la plante choisie, on module l'onde porteuse avec une onde modulatrice à haute fréquence qui constitue l'équivalent électronique essentiel de l'agent insecticide particulier choisi et on diffuse l'onde porteuse modulée vers la zone où. il faut lutter contre les insectes.
    14. - procédé suivant la .revendication 13, caractérisé en ce que l'équivalent électronique est diffusé périodiquement vers la zone à traiter.
    15. - Procédé suivant la. revendication 13, caractérisé en ce que l'agent insecticide est du pyrêthre.
    16.- Procédé pour favoriser la croissance de plantes caractérisé en ce qu'on prend une matière inorganique possédant <Desc/Clms Page number 30> une activité catalytique, on enregistre le système de fréquences électromagnétiques caractéristique de cette Matière inorganique, en associe, de manière conductrice, cet enregistrement avec une matière insecticide, on ampli- fie les caractéristiques de fréquence du schéma électroma- 'tique de la Matière insecticide conjointement avec le- dit enregistrement, on transmet la fréquence amplifiée à une nasse de matière catalytique, on disperse la matière ca- talytique ainsi irradiée dans une zone à protéger et on dif- fuse ehcaite à nouveau l'énergie amplifiée vers cette zone.
    17.- profédé suivant la revendication 16, caracté- risé en ce que la matière insecticide est du pyrèthre.
    18.- Procédé suivant la revendication 16, caracté- risé en ce que la matière catalytique est choisie parmi les métaux et les oxydes métalliques à activité catalytique, 19,- Procédé pour favoriser la croissance de plan- tes, caractérisé en ce qu'on prend une matière favorisant la croissance de plantes constituée par une substance inor- ganique à activité catalytique, on engendre une onde porteu- se à fréquence élevée caractéristique de cette matière inor- ganique à activité catalytique, on module l'onde porteuse aveo une onde à fréquence élevée qui est caractéristique de la matière favorisant la croissance des plantes et on diffuse l'onde porteuse ainsi modulée vers une zone sur laquelle la matière catalytiquement active a été répandue.
    20.- procédé suivant la revendication 19, carac- térisé en ce que ladite matière favorisant la croissance des plantes oet une matière fertilisante.
    21.- Procédé suivant la revendication 19, oarao- i térisé en ce que ladite matière est un agent insecticide, 22.- Procédé suivant la revendication 19, caracté- risé en ce que ladite matière est un agent fongicide. <Desc/Clms Page number 31>
    23.- Procédé pour avantager les organismes à cellules vivantes, caractérisé en ce qu'on obtient le sys- tème de fréquences électromagnétiques de l'organisme cel- lulaire particulier en présence, on enregistre ce système sur un objet réceptif, on amplifie ce système à partir de cet objet et on diffuse le système amplifié vers les orga- nismes cellulaires.
    24.- Procédé pour favoriser la végétation, carac- térisé en ce qu'on obtient le système de fréquences électro- magnétiques de la végétation particulière à traiter, on enre- sur gistre ce système l'objet réceptif , on amplifie ce système à partir de cet objet et on diffuse le système amplifié par des ondes à haute fréquence vers la végétation.
    25. - Procédé pour favoriser la végétation, caracté- risé en ce qu'on obtient le système de fréquence électromané- tique de la végétation particulière à traiter, on enregistre ce système sur un oojet réceptif, on amplifie ce système à partir dudit objet, on diffuse le système amplifié simultané- ment avec celui d'un réactif modulateur vers ladite végéta- tion.
    26.- Procédé pour favoriser des organismes oellulai- res vivants, caractérisé en ce qu'on introduit des agents car- bonés dans des particules catalytiques ayant leur propre système de fréquences électromagnétiques, on enregistre ce système de fréquences sur un objet réceptif, on dépose cer- taines des particules de catalyseur sur ou au voisinage des organismes cellulaires, on amplifie ce système à partir de l'objet réoeptif et on diffuse le système amplifié vers les organismes cellulaires.
    27.- procédé pour favoriser la végétation, caracté- risé en ce qu'on introduit uns substance carbonée dans des <Desc/Clms Page number 32> particules catalytiques ayant leur propre système de fréquences électromagnétiques, on enregistre le système de fréquences sur un objet réceptif, on dépose certaines particules catalytiques sur la végétation ou au voieinage de celle-ci, on amplifie le système à partir dudit objet et on diffuse le système amplifié vers la végétation, de façon qu'il soit absorbé par celle-ci, 28.- Procédé pour enregistrer la fréquence électro- magnétique d'un organisme vivant, caractérisé en ce qu'on place un élément conducteur contre cet organisme vivant et en ce qu'on retire au moins une partie de la matière conductrice ,et on la dépose sur une matière isolante.
    29. - Procédé suivant la revendication 28, caracté- risé en ce que la matière conductrice est du graphite.
    30.- Procédé suivant la revendication 28, caracté- risé en ce que la matière conductrice est un mélange de gra- phite et de particules métalliques.
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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP0005713A1 (fr) * 1978-06-06 1979-12-12 Erich Rasche Appareil de traitement par champs magnétiques

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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