BE656029A - - Google Patents

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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C03GLASS; MINERAL OR SLAG WOOL
    • C03BMANUFACTURE, SHAPING, OR SUPPLEMENTARY PROCESSES
    • C03B15/00Drawing glass upwardly from the melt
    • C03B15/18Means for laying-down and conveying combined with the drawing of glass sheets, tubes or rods

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  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Materials Engineering (AREA)
  • Organic Chemistry (AREA)
  • Shaping Of Tube Ends By Bending Or Straightening (AREA)

Description


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    Machine. ,     fabriquer   le verre à   vitres.   



   La présente invention est relative d'une manière géné- raie à la production du verre en feuille ou à vitrée et   ae   rapporte plue particulièrement à un procédé et à un appareil pour étirer de façon continue une feuille ou un ruban de ver- re de qualité améliorée et d'une plus grande largeur utilisa-   ble,   à partir d'une masse de verre en fusion. 



   Le verre à vitres ou en feuille se distingue du verre à glaces par le   tait   qu'il est   étire   à plat, directement sous la forme finale et que, simultanément, il est soumis à un polissage naturel au feu, de sorte qu'il n'exige pas un trai- tement ultérieur visant à lui imprimer une surface unie et une transparence. 



   Il est bien entendu qu'un tel verre en feuille peut être produit de façon plus simple et moins onéreuse que le verre à glaces douci et poli; toutefois, il comporte un désa- 

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 vantage inhérent, qui réside dans son caractère onduleux et son aptitude aux défauts à base de distorsion. En   effet,   jusqu'à présent, on considérait ces   défauts   comme un mal   né-'     cessaire -   voire des   caractéristiques   distinctives - du ver-   re   commercial en feuille et à vitres. 



   La "distorsion" du verre à vitres est due principale- ment à une absence   d'épaisseur   uniforme ou, en d'autres ter-   mes, à   l'alternance de   sones   épaisses et minces, qui se ma- nifeste dans le verre en feuille lors de l'étirage de ce- lui-ci.

   Il existe plusieurs variétés de distorsion, connues dans   la   branche sous diverses dénominations, par exemple les "distorsions à grande longueur d'onde", les "distorsions à petite longueur   d'onde*,   "martelage",   *battage*,     etc.,   et les inventeurs ont constaté que tous ces défauts résultent d'une absence de conditions de température suffisamment uni- formes   d'un   côté à l'autre de la masse de verre en fusion, à partir de laquelle le verre est étiré;

   de l'influence dé- favorable de courants   d'air   ou de convection, qui se diri- gent vers, le long et autour des feuilles fraîchement formée* .et/ou du contact avec - ou de la proximité -des éléments de façonnage ou de traitement, qui exercent un effet de re- ' froidissement ou qui empêchent   d'une   autre façon d'atteindre une température uniforme d'un bord à l'autre de la feuille,      pendant que celle-ci   s'élève   à partir de la masse de verre en fusion. Parmi ces éléments de traitement se trouve le l'I., système généralement employé pour maintenir la feuille de verre à la largeur voulue, à mesure où celle-ci est tirée hors de la masse de verre en fusion.      



   La présente invention vise en premier lieu à améliorer notablement la qualité et la nature du verre à vitres étiré '¯'< à pla et à augmenter la capacité de production de   l'équipe-   ment d'étirage actuel. L'invention vise en outre à établir 

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 un mode de réalisation   perfectionné   d'un dispositif de main- tien de largeur ou calibreur qui soit capable de fonctionner d'une façon plus efficace en vue du but qui lui est assigné, tout en exerçant un effet préjudiciable minimal sur le verre situé dans son voisinage ou avec lequel il est en contact. 



   La présente invention se propose en outre de réduire le refroidissement préjudiciable du verre en fusion à la nais- sance de la feuille afin de diminuer ainsi la dévitrifica- tion et les pierres dans cette zone. 



   Un autre but de l'invention est d'augmenter la largeur utilisable de la feuille qui puisse être étirée à partir d'une cuve de travail de dimensions données et de réduire la quantité de verre de déchet dans la lisière de la lame de verre. 



   La présente invention a également pour hut de réduire notablement le nombre des - voire de supprimer complètement les - flammes ouvertes requises dans et autour de la zone      de l'élaboration de la feuille. 



   Dans les dessins annexés ; 
La fig. 1 est une vue en coupe longitudinale et verti- cale d'une étireuse courante pour verre à vitres, du type   Colburn,   qui comprend l'appareil suivant la présente inven- tion. 



   La fig. 2 est une vue en coupe transversale prise sen- siblement le long de la ligne 2-2 de la fig. 1. 



   La fig. 3 est une vue perspective d'un mode de réalisa- tion particulièrement favorable d'un rouleau à ventouses ou   à   fossettes, destiné à être utilisé dans l'appareil de cali- brage ou d'ancrage, suivant l'invention. 



   La fige 4 est une vue en coupe longitudinale de   l'élé-   ment de la fige 3. 



   La fig. 5 est une vue partielle en coupe, à une échelle 

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 plua grande,   pria*   en substance le long de la ligne 5-5 de la tige 4; et 
La fige 6 est une vue partielle en   coupe, .   plus grande échelle, analogue à celle de la fig. 4, mais montrant une forme de variante du barrage thermique. 



   Suivant la présente invention, il est prévu un procédé pour produire du verre en feuille, dans lequel une feuille de verre est étirée à partir d'un bain de verre en   fusion,   les borda de cette feuille étant étirée entre paires de mo- lettes de calibrage, ce procédé étant caractérisé en   ce   que les molettes précitées sont à une température sensiblement uniforme sur toute leur longueur,   c'est-à-dire,   supérieure .. 



   850 F, mais inférieure à la température à laquelle la   surfa-   ce des molettes adhère à la feuille de verre. 



   Suivant la présente invention, il est prévu une   molet.   te de calibrage, destinée à être utilisée dans les machines à former le verre en feuille et qui comprend un corps de   cy-   lindre creux,   ainsi   que des moyens pour appliquer un agent de réglage de température à l'intérieur de ladite partie principale, cette molette étant caractérisée par un système formant un barrage thermique entre l'intérieur du corps prin- cipal susdit et la surface extérieure de celui-ci. 



   Le dispositif de calibrage suivant la présente inven- tion n'est aucunement limité à son emploi avec un type par- ticulier de machine à produire le verre à vitres et, en fait, peut être aisément adapté   à   n'importe quelle des nombreuses machines qui sont actuellement en usage dans l'industrie; néanmoins, on admet que ce dispositif offre les plus grandes possibilités lorsqu'il est employé dans une étireuse de ver- re à vitres du type dit Colburn, et sera décrit ici en par- ticulier à propos de cette application. 



   On se reportera ci-après en particulier aux dessins 

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 annexés, dans   lesquels   le chiffre de référence 10 désigne l'ensemble   d'une   étireuse à verre à vitres représentative du type Colburn. Dans la marche   d'une   telle   machines   on éta- blit une   mana*   de verre en fusion 11, que l'on entretient en faisant fondre des matières de la composition dans l'ex- traite avant ou de fusion d'un   tour'   bassin courant pour la fusion du verre.

   Ce verre en fusion se déplace ensuite progressivement à travers un bassin d'affinage (non représen- té) et   pénètre     dana   la chambre de   refroidissement   ou de con- ditionnement 12 du four,   d'où   il   passe   dans la cuve de tra- vail ou pot d'étirage 13, supporté, dans une chambre à pot chauffée 14, sur des piedroits 15. 



   Lors de la production du verre à vitres aur des machines de cette espèce, un ruban ou une feuille continue de verre 
16 est étirée verticalement de la masse de verre dana le pot d'étirage 13, sur une courte distance, puis   pliée,   dana le plan horizontal, sur un rouleau ou tambour plieur 17, à par- tir duquel la feuille est   tranaportée,   aur un tablier à rou- leaux 18, vers et à travers une galerie de recuisson (non représentée). 



   A mesure que la feuille 16 eat tirée hora de la masse de verre en fusion, elle forme un bulbe 19 à sa naissance et, à moins que l'on adopte des moyens pour   l'en   empêcher, la feuille en cours d'étirage tend à se rétrécir progressi-   veent.   Ceci   est   principalement dû à la tension superficiel- le du verre, laquelle imprime à ce dernier une tendance à s'étirer   plut&t   en un simple filet que   sous   la forme d'une feuille. 



   Dans la pratique courante il est d'usage   d'empêcher   le rétrécissement de la feuille en faisant appel à des   éléments   de calibrage de diverses espèces, refroidis à l'eau, desti- nés à entrer en contact avec les borda opposée de la feuille 

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 qui s'élève, à   aon   pied ou bulbe, et à refroidir les bord* de la feuille ou agir sur ceux-ci   d'une   autre façon, de ma-   nière   à empêcher ou ralentir la tendance normale de la feuille 16 à   ae   rétrécir et à ae contracter avant qu'elle n'atteigne le rouleau plieur 17. 



   Lea dispositifs de calibrage les plue efficaces parmi ceux qui sont connus sont établie   noue   la forme de paires de rouleaux   molotéa,   refroidis à l'eau, qui étaient montée à rotation   aur   les côtés opposés de la feuille de verre, lea surfaces moletées   opposées   de chaque paire étant en pri- se avec lea faces opposées du bord de la feuille qui s'élè- ve, au niveau du bulbe. En faisant tourner cea molettes à une vitesse légèrement inférieure à celle à laquelle la feuille est étirée, on obtient qu'elles agissent de manière à produire une partie marginale refroidie d'une largeur   con-   aidérable à chaque bord du verre.

   En coupe   transversale,   ces zones marginales présentent une forme arrondie à leura ex-      trémités; dea   zones   voisines convergente., pincées  où lea rouleaux moletés entrent effectivement en contact avec le verre; une zone élargie, située juste intérieurement par rapport au point de contact le plua interne entre lea molet- tea, où l'excès de verre est refoulé; et une seconde zone   -convergente,   située intérieurement par rapport à la zone élargie, où lea surfaces du verre convergent, pour s'achever sur une   épaisseur   voisine de celle du corps principal de la feuille. 



   Comme indiqué plus haut, cea roulettes moletées   parais-,@   sent constituer la forme la plus efficace de dispositifs de calibrage que l'on ait établi jusqu'à l'apparition de la présente invention. Or, ces rouleaux présentent un certain '   nomb@@     d'inconvénients.   En premier lieu, il ressort de la description ci-dessus que les zones marginales   forméea   par 

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 les molettes, et qui avaient pour mission de maintenir la feuille   à   la largeur voulue, étaient évidemment marquées par la surface gaufrée dea molettes et présentaient   alternati-   vement dea portions épaisses et minces, en déterminant ce que l'on pourrait dénommer une lisière ou zone marginale de verre inutilisable.

   Ceci représentait une largeur   considé-   rable et, comme il fallait les détacher de la feuille finie, ces bords représentaient une perte sérieuse. 



   D'autre part, le fait que cette lisière ou cet encadre- ment était refroidi par les molettes faisait en sorte qu'il durcissait rapidement et l'empêchait de se conformer conve- nablement au rouleau plieur et se coucher à plat sur celui- -ci, lorsqu'il était étiré par dessus. ce rouleau. Ceci nécessitait l'intervention de flammes ouvertes le long des bords de la feuille de verre, afin de ramollir suffisamment les zones marginales refroidies, dans le but de leur permet- tre de se plier dans le plan horizontal et de se déplacer à plat dans celui-ci. Or, il est à présumer que ces flammes ouvertes ont été jusqu'ici la cause d'une grande partie des mouvements d'air incontrôlés dans la zone de formation de la feuille, ainsi que de défauts de distorsion, qui en ré- sultent, dans cette dernière. 



   Une autre particularité défavorable des rouleaux mole- tés consiste en ce que leur action de refroidissement avait pour effet que le verre en fusion, situé au-dessous des rou- leaux moletés, se refroidissait et se dévitrifiait lentement. 



  La pierre qui en résultait devait être extraite de temps en temps, la marche de la machine devant être interrompue pen- dant ces périodes. 



   On a déjà indiqué que la particularité principale de la , présente invention réside dans le fait que le nouveau systè- me de calibrage fonctionne efficacement non seulement en vue 

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 du but auquel il est destiné, mais qu'en outre il élimins un grand nombre, sinon la totalité, des particularités dé- favorables des dispositifs antérieurs, que l'on employait pour atteindre un résultat analogue. 



   Ainsi, les calibreurs suivant la présente invention com- portent des paires de rouleaux 20 à surface lisse, pourvus de fossettes ou de ventouses, disposés de manière à attaquer les parties marginales opposées de la feuille ascendante 16, à proximité du bulbe 19   (fige.   1 et 2). 



   Les rouleaux à fossettes suivant l'invention présentent une forme et des dimensions identiques à celles des rouleaux moletés connus à ce jour et employés à cet effet, les rou- leaux suivant   l'invention   étant supportés, actionnés et re- froidis - de préférence à l'eau - en substance d'une manié- re analogue à celle des rouleaux connus. 



   Par contre, les rouleaux suivant la présente invention diffèrent sur des points importants des rouleaux calibreurs moletés connus, à savoir ;   (1)   ils présentent une surface lisse, pourvue de ventouses ou alvéoles, au lieu d'une sur- face rugueuse moletée; (2) ils possèdent une configuration intérieure différente; et   (3)   leur température de fonction- nement critique est plus élevée. 



   En ce qui concerne d'abord la caractéristique relative à la température, on notera ce qui   suit :  En utilisant les rouleaux connus   à   ce jour, on a constaté qu'il était   néces-     saire   de refroidir ces rouleaux suffisamment pour éviter que le verre n'y colle pas et ne s'y enroule pas, ainsi que pour protéger leurs arbres contre la chaleur du tour.

   Ain- si, la température du verre dans le bulbe   19,   dans une éti- reuse à verre à vitres classique du type   Colburn,   qui fonc- tionne de façon classique, est normalement de 1700 F envi- ron ; d'autre part, la température de fonctionnement actuel- 

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 lement courante pour les rouleaux calibreurs moletés est de 550 F   environ,   dans la   sono   central* de la molette, 
Ainsi qu'il a été dit plus haut,   1'importance   de ce re- 
 EMI9.1 
 troidlisement est préjudiciable pour un certain nombre de rainons.

   En premier lieu, elle donne lieu 1 un 'paisaioae- ment du bord de la feuille, ce qui réduit la largeur utili- sable de celle-ci; doux1"..ent, elle nécessite l'interven- tion de brûlure que l'on pourrait denotmer "de rive*, des- tinds 1 r.Jehautter les soute marginal** refroidies et épais-   *les   de la feuille, avant qu'elle. ne soient   amen',. 1   pas- ser sur le rouleau plieur 17 ; troisièmement, la présence de ces "brûleurs de rive* constitue un facteur qui contribue à introduire de la distorsion dans la feuille, étant donné qu'   il   favorise la formation de courante de convection   dana   la sone d'étirage et dans la zone de la formation de la feuille;

   et, finalement, le système de refroidissement courant des   mo-   
 EMI9.2 
 lettes produit une dévitriication du verre en fusion contenu dans le pot, directement au-dessous des molettea, et lea "pierres de d6Yitr1tication" qui en résultent dana la fonte doivent être enlevées de   temps   en temps, ce qui entraine une perte de production correspondant*. 
 EMI9.3 
 



  Ces particularités dêtavorablas sont atténuées, voire complètement éliminéte, grâce à la présente invention, par l'adoption de rouleaux calibreurs dite "fonctionnant à chaud", qui travaillent à une température   plua   proche de celle du verre avec lequel les rouleaux sont en contact. A première vue, ceci peut ressembler à une solution allant de soi. Ce- pendant, ce système nes'est jamais avéré réalisable , ce jour, et l'on a constaté qu'il ne pouvait   paa   être appliqué d'une manière adéquate avec les rouleaux moletés construits de la manière couramment pratiquée à ce jour. 



     Ainsi,   les métaux et alliagea employés normalement dans 

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 les rouleaux calibreurs   (racler   inoxydable, par exemple)   1.-   se collent au verre au niveau du bulbe, chaque foie que ces rouleaux   atteignent   une température voisine de 1100 F; d'autre part, étant donné le type de refroidissement "en cul de sac", employé à ce jour dans le cas de rouleaux mole-   tes,   l'extrémité ouverte du rouleau est à une température de 1000 F environ, soit, voisine de la température de colla' ge, même lorsque de   tels   rouleaux fonctionnent à un niveau voisin de 500 F.

   Par conséquent,   dès   que l'on   *osais   d'é- lever notablement la température de fonctionnement sur la majeur partie de la longueur du rouleau, au moins une par-* tie de celui-ci aéra à une température à laquelle le verre colle au rouleau et enveloppe celui-ci. De plues les pointes ou   saillies   aiguës, qui   existent   sur les rouleaux courants agissent comme centres de collage pour le verre. 



   Par contre, lea rouleaux calibreurs   alvéolée   perfec-   tionnéa   suivant la présente invention peuvent *fonctionner à chaud", c'est-à-dire, travailler à une température   suffi-   somment élevée pour empêcher le refroidissement du verre à un point où il se forme une zone marginale   d'une   surépais-   cour   préjudiciable ou à un point où il est   nécessaire   de ré- chauffer les bords avant le passage de la feuille sur le   roui    leau plieur, température qui est cependant esscntiellement uniforme sur toute la longueur des rouleaux et suffisamment basse pour constituer un facteur de sécurité adéquat contre le collage du verre ou l'enveloppement par celui-ci. 



   La construction interne des rouleaux calibreurs alvéo- lés, suivant la présente invention, construction qui rend possible une amélioration du fonctionnement et du gradient de température, ainsi que   l'élévation   désirée du niveau de température de fonctionnement, de même que les avantagea qui en découlent, ressortiront aisément de la description de la 

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 construction du rouleau à ventouses ou cavités, tel que représenté dans les fige. 3 à 6 des dessins annexés. 



   Ainsi, et comme il ressort clairement des figs. 3 et 4, .les rouleaux calibreurs alvéolés suivant la présente inven- tion ressemblent, quant à leur configuration générale, aux rouleaux moletés connus, en ce sens qu'ils sont de   préféren-   ce constituée par un corps ou une enveloppe cylindrique 21 portée par un arbre ou fût creux 22. Toutefois, l'arbre 22 de la construction suivant l'invention traverse de pré-   férence   l'enveloppe 21 et est fermé par une paroi en bout 23, qui constitue d'autre part une paroi limite pour l'ex-   trémitd   extérieure de l'orifice du noyau de l'enveloppe. 



  L'enveloppe 21 et l'arbre 22 peuvent être maintenue assem- blés à l'aide d'un collier   24   muni d'une série de vis 25, tandis qu'un fluide de refroidissement, de l'eau par exemple, est fourni à l'arbre à partir de l'extrémité ouverte d'un tube 26 disposé au centre de cet arbre et se terminant à une faible distance de l'extrémité obturée. 



   Ainsi qu'il est indiqué plus haut, le type de construc- tion générale employé dans les rouleaux moletés antérieure n'assurait pas un refroidissement uniforme de la surface des molettes en contact avec le verre et faisait en sorte qu'il était impossible de faire fonctionner celles-ci dans leur totalité à une température   à   peu près uniforme, voisi- ne de la température du verre. Ceci était dû au fait que   l'extrémité   ouverte de la carcasse moletée des rouleaux con- nus à ce jour était simplement vissée sur l'extrémité de l'arbre creux, ce qui donnait lieu à une température non uni- forme, l'extrémité ouverte du rouleau étant toujours à une température supérieure à celle de la zone restante.

   En ef- fet, la température du rouleau moleté variait normalement, au cours du fonctionnement de tels rouleaux   d'après   le prin- 

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 cipe classique, entre environ 1000 F, à   l'extrémité   ouver- te, et environ 650 F à l'extrémité fermée, en passant par une zone intermédiaire de 550 F environ, 
Une des caractéristiques   importantes   de la présente invention réside dans l'isolement de l'enveloppe 21 des rou- leaux calibreure perfectionnés, par rapport au réfrigérant qui circule dans l'arbre creux 22.

   Grâce à cette   disposi- .   tion, la température de l'enveloppe 21 et, en particulier, celle de la surface lisse 28, qui entre en contact avec le verre, petit être plus élevée que jusqu'à présent et, de plus, cette température peut être égalisée ou équilibrée, de telle façon qu'une température sensiblement uniforme puis- se être maintenue d'une extrémité à l'autre du rouleau. 



   Cette particularité d'isolement et d'égalisation de %en- , pérature peut être réalisée de plusieurs manières   différen-   tes et en faisant appel à divers agents d'isolement.   Cepen-   dant, il semble qu'une ou plusieurs couches d'air mortes constituent le moyen le plus pratique. Une construction par- ticulièrement favorable, qui donne d'excellents   résultats   dans la pratique courante, est représentée dans les fige. 



   4 et 5 des dessins annexés. Ainsi qu'il est montré dans ces figures, l'enveloppe ou carcasse alvéolée 21 présente un fini lisse sur sa surface intérieure 29, l'extrémité de l'arbre 22 étant filetée en 30, sur une longueur sensible- ment égale à celle de l'enveloppe 21, les fileta étant enle. vés par mécanisage autour de la paroi en bout 23. De prêté- , rence, les filets restants sont également légèrement amincis      par mécanisage, par exemple, de 0,015 pouce environ, afin de constituer une meilleure surface d'appui et assurer à la par- tie filetée de l'arbre un diamètre extérieur exact et unifor- me.

   En cours d'assemblage, on fait glisser la carcasse al- véolée 21 par-dessus l'extrémité filetée de l'arbre   24   et 

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 on l'assujettit à l'aide des   via     d'arrêt   25. 



   Grâce à cette disposition on obtient une série de oham- bres à air Mort 31   disposées   de façon hélicoïdale et situées entre l'agent de refroidissement contenu à l'intérieur de l'arbre 22 et la   carcans*   21. On a constaté que les tempé- ratures de fonctionnement, dana le   cas   d'un rouleau de cette construction, étaient uniformes d'une extrémité à l'autre, aux en virons de 950 F, avec des variations de 25' en plus ou en moine, pour une température du four de 1700 F. 



   Il est bien entendu qu'un résultat similaire peut   être   obtenu si l'on utilise un arbre à surface   lien*   et une car-   cause   filetée intérieurement. On conçoit également que la série de chambres   à   air   isolantes   31, disposées en spirale, peuvent être remplacées par un espace d'air isolant unique ou par une série d'espaces d'air disposés d'une façon plus ou moine uniforme, entre l'arbre 22 et la   caresse*   21, en formant une   aurface   extérieure lisse sur cet arbre et une surface intérieure à fini liane sur la carcasse et en montant l'arbre 22 à écartement par rapport à la   carcasse   21, soit sur la totalité de sa longuour, soit sur une partie de cel-   16-ci.   



   Toutefois, et au moine en ce qui concerne l'espace d'air unique, lea essais ont démontré que la température du rou- leau était extrêmement senaible aux variations   d'épaisaeur .   d'un tel espace d'air unique ou continu et que cette   aenai-     bilité   était accentuée par le fait que la carcasse se dila- te plua fortement que l'arbre dans les conditions de fonc-   .tionnement,   étant dcnné que l'intérieur de ce dernier est relativement froid, de sorte que la température est plus dif-   ficile   à contrôler dans une disposition de ce type. 



   Ce facteur de sensibilité à la température a été clai- rement mis en évidence par des recherches plus   poussées   qui 

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 ont été effectuée à propos du mode de réalisation de va- riante de la construction d'isolement et d'égalisation de température, représentés dans la fig. 6. Cette construction a également fonctionné   d'une   manière   très   satisfaisante.

   Elle est établie en filetant intérieurement la   carcasse   21, en filetant extérieurement l'arbre 22, et en   constituant   un barrage thermique en enlevant, par mécanisage, 0,010 pouce à   0,020   pouce des crêtes des fileta de 0,054 pouce, formés sur l'arbre et la   carcasse,   ainsi qu'il est   représenté   en 32, pour constituer une série de canaux à air mort 33. 



   Pour déterminer l'efficacité de ces canaux en tant que barrage thermique, on a effectué des   essais   dans un four de laboratoire à une température de   1350*F,   en appliquant une température d'entrée   d'eau   de   100 F,   ce qui a déterminé aur la surface extérieure des rouleaux des températures compri-   son   entre 350 et 400 F, avec des fileta classiques.   L'on..   lèvement de 0,010 pouce des deux fileta a eu pour effet d'équilibrer la température d'une extrémité à l'autre du rouleau et d'élever cette température à   425*F   environ. 



  Un enlèvement supplémentaire de 0,005 pouce des crêtes (don- nant ainsi un total de   0,015   pouce) a produit une élévation de la température jusque   550*F   environ, tandis qu'un enlè- vement supplémentaire de 0,005 pouce (ce qui donne un   total   de 0,020 pouce) a eu pour effet   d'élever   la température   650 F   environ. 



   Il semble que dans la pratique effective, les   condition*     ' les   plus efficaces sont atteintes avec une température du verre de   1700*F   et une température d'eau de 100 F, si   l'on        enlève 0,018 pouce des crêtes des deux   filets,   profonds cha- cun de 0,054 pouce. On a constaté que, dans ces conditions, les tem µratures de surface des rouleaux en acier inoxydable . étaient voisines de   950*F   et étaient sensiblement uniformes ' d'une extrémité à l'autre du rouleau. D'autre part, on a 

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 réalisé un gain de 5 pouces de largeur utilisable de la feuille. 



   Il ressort de la description ci-dessus des figures 3 à 6 que la construction interne des rouleaux calibreurs perfectionnés suivant l'invention permet d'utiliser de tels rouleaux, dans les conditions qui existent actuellement dans l'industrie du verre à vitres, d'une façon telle que la température soit, d'une part, sensiblement uniforme d'une extrémité à l'autre, et, d'autre part, supérieure de 400 F   environ à   la température à laquelle les rouleaux moletés connus pouvaient fonctionner. 



   Il est toutefois bien entendu qu'en raison des varia- tions dans la température du verre au niveau du bulbe - va-   riations   dues aux modifications ou perfectionnements appor- tés aux méthodes d'étirage du verre à vitres -, il peut s'a- vérer nécessaire ou désirable d'apporter des modifications correspondantes aux températures de fonctionnement des rou- leaux calibreurs.

   D'autre part, les modifications apportées à la nature ou aux compositions des métaux ou alliages à par- tir desquels les rouleaux peuvent être établis, peuvent avoir pour résultat des changements correspondants dans la tempé- rature à laquelle le verre se colle aux molettes échauffées ou enveloppe celles-ci; or, une telle température de collage plus élevée ou moins élevée est de nature à autoriser ou 1 nécessiter une température plus élevée ou moins élevée, res- pectivement, du fonctionnement des rouleaux calibreurs. 



   Par conséquent, aucune température spécifique ni aucune gamme spécifique de températures ne peut être considérée comme étant critique, le point essentiel étant que les rou- leaux calibreurs doivent toujours être suffisamment chauds pour empêcher la formation de surépaisseurs préjudiciables dans les parties marginales de la feuille et/ou éliminer la 

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 nécessité d'employer des brûleurs de rive pour le réchauf- fage des parties marginales de la feuille, avant que celle- -ci ne passe sur le rouleau plieur, les rouleaux calibreurs devant cependant être suffisamment froids pour constituer un facteur de sécurité adéquat contre le collage du verre et son enroulement autour d'une partie quelconque du rouleau calibreur.      



   Cet aspect de   l'invention   peut être exprimé sous sa for- me la plus simple en disant que les rouleaux doivent   "fonc-     tionner   à chaud" (de préférence au-dessus de 850 F), mais à une température qui, d'un bout   à   l'autre de chaque rouleau calibreur, soit inférieure au point de collage du verre à ces rouleaux. 



   La troisième particularité des rouleaux perfectionnés se rapporte au type de surface qu'ils présentent à la por-   . tion   du verre du bulbe, avec laquelle ils sont en contact. 



    .   Ainsi   qu'il   a été dit plus haut, les inconvénients des rou- leaux moletés connus à ce jour comprenaient les faits que ces rouleaux exerçaient une influence   refroidissante   excessive sur le verre et   qu'ils   avaient une surface rugueuse présen- tant des saillies aiguës, lesquelles agissaient comme centres de collage pour le verre. De plus, ces rouleaux s'usaient rapidement. 



   Par contre, les rouleaux calibreurs suivant la présente invention possèdent une haute résistance à l'usure, parce qu'ils présentent au verre une surface de contact extérieure lisse 28. Toutefois, cette surface lisse est pourvue dtune série de trous, de cavités pu d'alvéoles 34   (fige. 3   et 5). 



   Lorsqu'une paire de tels rouleaux rotatifs à   fossettes   ou alvéoles agit de manière   à   exercer une pression contre les faces opposées de la feuille ascendante, elles fonctionnent de façon à agripper le verre au niveau du bulbe 19 plus ef- 

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 ficacement qu'il n'a été possible à ce jour* Ainsi, le .,>' verre ramolli   N'introduit   dans lea troua 34, lesquels ser- vent de pointa d'ancrage en vue   d'agripper   et   d'entraîner   la feuille 16 et de la maintenir à la largeur voulue.

   Le verre ramolli   n'est     paa   en contact avec les fonda des trous, étant donné lea   coussins     d'air     emprisonnis   dans ceux-ci en fonctionnement normal, D'autre part, et pour la même raison, il ae produit un refroidissement relativement peu important du   verrj   dans lea zones où lea troua ont été   òriel   l'espa- cement des troua pouvant être tel que la superficie effec- tive du contact entre le verre et le métal soit réduite   d'un     fiera   environ, avec une diminution correspondante de la   transmission   de chaleur du verre au métal. 



   Il est bien entendu que les troua   formée   dans lea sur-   facea   du rouleau peuvent affecter différentes formas, une forme particulièrement favorable étant   représentée   dans les fige. 3 à 5   Ainsi   qu'on le voit dans ces figurea, les trous 34 présentent une forme générale cylindrique.   Ils   ont une profondeur de 1/16 de pouce environ, sont espacés de   .5/16,de   pouce environ, présentent un fond conique et ont un      diamètre de 3/16 de pouce environ. 



   Cependant, des troua similaires à partie   supérieurs   chanfreinée, ainsi que des troua à forme générale conique inversée, ont également donné de   bona   résultats en cours d'application. Pratiquement, on peut adopter des troua de forme et de dimensions quelconques, qui agissent   d'une   ma- nière similaire, bien qu'il soit avantageux   d'éviter     dea   for- mes susceptibles d'agir de façon à produire des "arrache-   menta"   indésirables ou des bulles dans le verre, lorsque ce- lui-ci s'en retire. 



   Les trous et alvéoles peuvent d'autre part être   diapo- :.   ses suivant plusieurs arrangements différents. Un arrange- 

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 ment particulièrement favorable est représenté dans la fig. 3 ;   néanmoins   des modes de répartition différente, comportant une disposition en quinconce et/ou des trous alternants de grandes et de petites dimensions, arranges de différentes manières, assurent également un fonctionne. ment   satisfaisant.   En réalité, et pour autant que   l'on   res- te dans des limites raisonnables, les variations dans   l'or- ,   donnance et l'arrangement des troua ne sont pas considères comme critiques en ce qui concerne le succès de l'invention. 



   Ainsi qu'il a été indiqué plus haut, les paires de rouleoux alvéolés suivant la présente invention agissent de manière à agripper entre eux le ruban ou la feuille montan- te et - en considérant que le verre du ruban ou du bulbe ; est refoulé dans les alvéoles - à étirer   effectivement   feuille ou à la maintenir à la largeur voulue. Ainsi, on peut dire que les rouleaux entrent en contact avec - ou at- laquent - les surfaces marginales du ruban montant, le long de zones transversales espacées qui se déplacent   constam-,..   ment, et qu'ils "s'échauffent", tout en restant à une   tempe-..   rature inférieure au point de collage des rouleaux au verre du ruban   REVENDICATIONS   
1.

   Procédé pour produire du verre en feuille, dans le- quel une feuille de verre est étirée à partir d'un bain de verre en fusion, les bords de cette feuille étant étirés en- trepaires de molettes de calibrage,   caractérisé   en ce que ' , les molettes précitées sont à une température sensiblement uniforme sur toute leur longueur, c'est-à-dire, supérieure à 850 F, mais inférieure à la température à laquelle la surface des molettes adhère à la feuille de verre. 

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   2. Procédé comme spécifié dans la revendication 1, ca- ractérisé en ce que lesdites parties marginales de la feuil- le sont étirées entre paires de rouleaux de forme arquée et à surface lisse, munis de cavités dans leur surface. 



   3. Procédé comme spécifié dans une quelconque des re- vendications 1 et 2, caractérisé en ce que les rouleaux sus- dits tournent dans un sens correspondant à l'étirage de la feuille de verre ci-dessus et à une vitesse périphérique in- férieure à la vitesse de cet étirage. 



   4. Rouleau calibreur destiné à être utilisé dans lea machines à former le verre en feuille et qui comprend un corps de cylindre creux, ainsi que des moyens pour appliquer un agent de réglage de température à l'intérieur de ladite par- tie principale, caractérisé par un système formant un barra- ge thermique entre l'intérieur du corps principal susdit et la surface extérieure de celui-ci. 



   5. Rouleau calibreur, comme spécifié dans la revendica- tion 4, caractérisé en ce que le barrage thermique susdit comprend une ou plusieurs chambres closes, interposées entre ledit espace intérieur et la surface précitée. 



   6. Rouleau calibreur, comme spécjfié dans la revendica- tion 4, caractérisé en ce que le barrage thermique susdit comprend une série de chambres de forme arquée. 



   7. Rouleau calibreur, comme spécifié dans la revendica- tion 5, caractérisé en ce qu'un second élément cylindrique est ajusté à glissement dans la carcasse cylindrique ci-des- sus, la disposition étant telle que la surface intérieure de la carcasse cylindrique est en contact avec la surface exté- rieure dudit second élément cylindrique, une de ces surfaces étant filetée, dans le but de constituer la chambre susdite. 



   8. Rouleau calibreur, comme spécifié dans la revendica- tion 5, caractérisé en ce qu'un second élément cylindrique est vissé dans la carcasse cylindrique précitée, la   disposi-   

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 tion étant telle que la hauteur de la partie saillante du filet formé sur au moins un de ces éléments est inférieure à la profondeur de la partie en creux du filet formé sur l'autre élément, de façon à constituer ainsi la ou les cham- bres précitées. 



   9. Rouleau calibreur, comme spécifié dans une quelconque des revendications 4 à 8, caractérisé en ce que la carcasse cylindrique ci-dessus présente une surface extérieure lisse et des cavités dans cette surface. 



   10. Rouleau calibreur, comme spécifié dans la revendica- tion 9, caractérisé en ce que les cavités précitées sont des trous   cylindriques..   



   11. Rouleau calibreur, comme spécifié dans la revend!- cation 9, caractérisé en ce qu'au moins les fonds des cavi- tés précitées affectent la forme générale de cônes renver- sés. 



   12. Rouleau calibreur, comme spécifié dans une quelcon- que des revendications   9 à     11,   caractérisé en ce que les ca- vitéa précitées sont disposées dans des rangées essentiel- lement symétriques autour de la circonférence de la surface extérieure susdite. 



   13. Procédé pour produire du verre en feuille, en substan. ce comme décrit dans l'exposé ci-dessus. 



     14.   Rouleau calibreur, en substance comme décrit-ci-des- sus, en se reportant aux dessins annexés.

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