<Desc/Clms Page number 1>
EMI1.1
" EPURATION DES EAUX RESIDOAIRE3 AU MOTU DE KICROORGANISKE3 AEROBIES ET DISPOSITIF PERKETTAM UNE REACTION ACCII.!:RBI.-
EMI1.2
L'invention ce rapporte à un procédé d'épuration
EMI1.3
d'eaux résiduaires au. moyen de microorganismes a4roblO$ qui sont mi.a alternativement en contact avea 1oxyips atmosphérique et aveo les eaux à purifier de façon à aoti-
EMI1.4
ver l'oxydation.
EMI1.5
Dana l"at10n biologique on oxyde en oompo." . faible poida molèculairegles composée à poids moléculaire 4lev. Cette réaction de décomposition peut être poussée
<Desc/Clms Page number 2>
EMI2.1
ju4quik utilisation totale de la capacité de oombinaiaon de l'oxygène de ces matibrief lorsque l'en se trouva dans des conditions favorable* pour les mioroor6aniomoa et que l'on dispose d'oxygène en quantité 8Uft10@Îl%0* On connait plusieurs procédés dépuration biologi-
EMI2.2
, que des eaux r6siduaires.
EMI2.3
bzz Dans le procédé dit par "boues activée'* on additionne le@ bactéries sous forme de "boue@ aotiv40a* k l'eau ré8dualre contenue dans den bassins, un braaaage énergique à 1 a; oomprim6 apporte l'oxy6éne néoeesairo.
Ce procédé peut fonctionner avec une faible hauteur de chute mais est sensible aux variations Importantes du degr4 de putréfaction des eaux à traiter.
Dans le procédé dit " d'égouttoir"ou des lita par-
EMI2.4
colateur8" l'eau réeiduaire ruisselle sur den corps égout- toira fortement chargea, des morceaux de mâchefer, de la lave, du tuf, des pièces de forme cultes au tour; ce procéda demande des Installations de pompage qui pompent de l'eau pré- alablement clarifiée par des moyens mécaniques car une hau-
EMI2.5
teur de chute di 3 à $ m. est néceae4ire pour l'application de ce procédé.
On connaît aussi les procédée par corps immergée.
Ce mont des cylindrée reposant sur un axe et qui sont remplia
EMI2.6
de brindilles, pierres# mgebeforeu anneaux Raoohi6 ou simila1ree. ou des corps à surface rueueuxe. Cee corps cylin- driques plongent à moitié dans une cuve et sont animée d'un
EMI2.7
mouvement lent de rotation* Les corps de xmpliasa6e, ou la surface rugueuse ce couvrent de gazon biologiques qui pendant l'immersion absorbe les matières cales de l'eau et pendant le contact avec l'air abeorbe et accumule l'oxygène
<Desc/Clms Page number 3>
nécessaire pour traiter le gazon*
La force motrice pour la rotation de* cylindrée est Insignifiante mais le gacon biologique bouche rapidement les corps de remplissage,
l'action épurant@ diminue et un débourbage des cylindrée est fréquemment nécessaire, ce qui entraîne des arrêta onéreux.
L'invention permet de remédier aux Inconvénients signalée ci-dessus, elle consiste en un procédé d'épuration biologique des eaux résiduaires qui utilise des microbes aérobies, dans lequel ,pour intensifier l'oxydation, les microorganismes sont mis alternativement en contact aveo l'oxygène de l'air et arec les eaux résidusires à épurer.
Le procédé est caractérisé en ce qu'on règle suivant le degré de aouillure la durée du contact des microorganismes aveo l'air et les eaux résiduaires,, pour ce réglage on utilise un dispositif rotatif dont.on règle la vitesse et consistant en des plaques en matières synthétiques calées sur un arbre reposant sur deux ou plusieurs paliera de trouvant sur les parois d'une cuve dans laquelle s'écoule l'eau à traiter. De cette façon,lea mioroorganiemee peuvent être exposés à l'eau à épurer jusqu'à un degré désiré d'absorption en substance absorbante et à l'oxygène de l'air jusqu'à absorption et dissolution de la quantité d'oxygène désirable qui sera consommée dans l'opération d'immersion.
Le procédé n'exige qu'une force motrice réduite, ne demande qu'une hauteur de chute insignifiante, permet de réduire la fréquence du nettoyage et possède une efficacité remarquable pour un encombrement relativement faible*
D'autre part dans le procédé selon l'invention, l'épaisseur de couche de substance se développant comme
<Desc/Clms Page number 4>
gazon biologique n'augmentera que Jusqu'à une valeur déterminée, de préférence on choisit une vitesse de rotation telle que les différentes phases du procède se renouvellent au moins toutes les 2 minutes.
Le dispositif pour la mise en application du procédé se compose de plaques circulaires rotatives formant support sur lequel croissent les microorgainsmes qui se développent sous forme d'un gazon biologique, ces plaques sont fixées par leur centre sur un arbre qui par ea rotation fait plonger les plaques jusqu'à mi-hauteur dans une cuve dans laquelle s'écoule l'eau à traiter, après immersion la plaque continuant sa rotation est ensuite exposée à l'air.
Pour empêcher la formation de boues et pour mainte- nir une épaisseur adéquate au gazon biologique la durée du contact de celui-ci dans l'eau et dans l'air doit être déterminée d'après le degr6 de pollution des eaux résiduaires à traiter en réglant la vitesse de rotation des plaques.
Le gazon biologique qui croît sur les plaques eat constitué par une communauté de vie des différents types d'organismes. Ces divers types de mena que leur quantité dépendent de la nature et de la quantité des eaux ré- siduaires à traiter dans cette cuve*
Si l'on purifie une eau résiduaire d'une concem- tration déterminée dans plusieurs cuves parcourues succes- sivement, l'épaisseur et la composition du gazon biologique sur les plaques seront différentes pour chaque cuve de la première à la dernière et varieront avec les concentrations décroissantes, tandis qu'à l'intérieur d'une cuve la concen- tration sera maintenue à peu prèe constante.
,Il
<Desc/Clms Page number 5>
EMI5.1
aur lea plaque., il 4e,", 1 avoir doe orpn1.... appropriée pour une concentration d'term1n6e de 1'*au À traiter. La 4&.,elcppe.jltt. !!s ces organ1'M' ne doit pas <tre entravé par don ol"6"n1e.. qui oxigant pour des conditiens de vio optima un. conosutration plus ou *oins bleri en 41dm.nt. nutritifs. Afin d'obtenir les conditions les plut favorables pour les différente types d'or6aniomoo suivont la concentration des eaux résiduaire* se trouvant dans les cuve$ et éventuellement afin deaugmenter la 4ur&. 801'.ne de 8'Jour de ces toux dans une ouvo, 1* présente Invention py<poae en vue d'améliorer le rendement de d'oompoaition, 4'.8stmblor au moins deux plaque* au un groupe de plaques et de prévoir un recyclage de* .aux.
En outre selon l'invention, entre plusieurs cuves,
EMI5.2
on peut intercaler une cuve int*rn4diairé de clartflestion pour retenir les matières boueuses formée@ dans les cuves
EMI5.3
qui procèdent, par exemple les bouts former de fila ton- gueux apherotilua ou de bactéries de soufre* Celles-et se traneforment facilement en pourriture ou sont oxydées en présence d'oxygène par les organismes des soute plus pure,
-
EMI5.4
Les file fongueux apherottlus et les bactéries de aoufra sont facilement décomposée biolo6iquomont et leur Il181na- tion déchargera d'autant les cuves suivantes*
La cuve intermédiaire de clarification sera de préférence intercalée à l'endroit où l'on observe une natta
EMI5.5
diminution de la croissance du apherotilust ce qui, suivant le type d'eau r'8idua1re, se produit aprbe un aejour de 13 à z0 minutée, des eaux dans le dispositif à corps dligouttap plongeur.
Par la présence de cette cuva intarmediaira la dlopositif à corps diésouttaee plongeur peut tire réduit en /
<Desc/Clms Page number 6>
improtance et le rendement de décomposition de tout le dis- positif n'en sera cependant pas affecté,
Les eaux résiduaires à apurer peuvent s'écouler en ligne droite pour traverser toute l'inettaltion, celle- ci étant composée d'une ou plusieurs cuvée avec des plaques montées sur plusieurs arbres parallèles disposés les une derribre les autre. ou de toute autre façon.
Lea eaux résiduaires peuvent aussi @$écouler dans la ou les cuves, eurtout pour les petites installations en décrivant des méandres La différence de hauteur de chute, due une faible augmentation du niveau amont qui @'établit de lui-même et par suite la vitesse de l'eau doivent être maintenues de façon à empêcher une trop forte augmentation de la croissance* Afin d'accroître la vitesse relative de l'eau qui s'écoule et des plaquée rotatives, les plaques peuvent éventuellement tourner dans le eena opposé au Bons du oourant d'eau.
Le dispositif pour l'application du procédé compren- dra une ou plusieurs cuves disposées en série de façon à réa- liser un écoulement en ligne droite ou sinueux, avec recy- clage éventuels Sur les parois de ces cuves reposeront les plaiers supportant les arbres sur lesquels seront calées des plaquée circulaires en matière synthétique à surface rugueuse ou poreuse et sur lesquelles se formera le gazon biologique,
Ces plaques disposées en un ou plusieurs groupes d'au moins deux plaques mais comportant habituellement de 30 à 250 unités seront animées d'un mouvement de rotation lent,
elles plongeront jusqu'à mi-hauteur dans les eaux résidusires à épurer et se rechargeront ensuite d'oxygène lora de leur rotation à l'air libre pour recommencer le cycle, qui de
<Desc/Clms Page number 7>
préférence ce renouvellera toutes' les 2 minutée, on veille- ra à ce que l'épaisseur de gazon biologique se maintienne à une épaisseur suffisamment faible pour que son action soit efficace dans l'opération d'épuration et pour que l'c- xygène de l'air puisse atteindre toute son épaisseur* Ce résultat sera obtenu en réglant la vitesse de rotation des plaquée, en agissant sur le sono de l'écoulement du courant liquide et éventuellement en donnant aux plaques un sens de rotation Inverse au sens de l'écoulement de l'eau.
On peut aussi prévoir avec certaines constructions de plaquée des bras racleurs qui enlèveront l'exode de gazon biologique qui pourrait nuire à l'efficacité du procédé*
L'invention s'étend également aux caractéristiques résultant de la présente description et des dessine annexée représentant quelques exemples de réalisation de l'invention* Elle s'étendra aussi à d'autres combinaisons de airsuits ou de constructions de plaques en concordance avec le prinapipe de l'invention.
Le procédé suivant l'invention combine lee avanta- Ses des installations à boues activées et des Installations .du type à égouttoirs: il évite les Inconvénients propres ces Installations déjà connues. Bien que de dimensions plue réduites, de traie de construction et d'exploitation moins onéreux, une installation conforme à l'invention donne- ra de meilleure résultats d'épuration. On obtiendra notam- ment une plus grande destruction de la salissure et une te- neur en nitrates de l'eau épurée plus faible, résultat tort apprécié actuellement.
En outre l'épuration des eaux résiduaires peut /
<Desc/Clms Page number 8>
être interrompue à tout moment; il suffit d;arrêter, sans précautions spécilaes, l'installation qui fonctionne d'ail';' leurs automatiquement,
Les dessine ci-jointe donnent quelques exemples non limitatifs de réalisation de l'invention.
La fige I est une vue en plan d'une Installation à corps immergés, conforme à l'invention;
La fig 2 est une coupe de l'installation effectuée suivant la ligne XI-II de la figure I.
La fige 3 eet une coupe de l'installation effectuée suivant la ligne III-III de la figure I;
La fig. 4 eet une vue en plan de l'installation re- présentée schématiquement, et composée de Plusieurs cuve. disposées l'une derrière l'autre;
La fige 5 représente une installation dane laquelle l'eau s'écoule en formant des méandres;
La fige 6 est une coupe effectuée suivant la ligne
VI-VI de l'installation de la figure 5.
La fige 7 est une coupe suivant la ligne VII-VII de la figure 5.
La fige 8 est une coupe suivant la. ligne VIII-VIII de la même installation ,les barres de peignes étant alors placées entre les plaques*
La fige 9 est une coupe suivant la ligne IX-IX de l'installation représentée tige 8.
La fige 10 représente une installation pour écoule- ment en ligne droite.
La fige 11 est une coupe de cette installation suivant la ligne IX-IX de la figure 10.
Dans l'exemple de réalisation d'une installation /
<Desc/Clms Page number 9>
EMI9.1
d'épuration oontor88 , l'lnTent10n. reptert6e tige 1 3, il y a dans une cuve 1 remplie 4'.lux r6siduslres, dee plaquée 2 ayant la force de diequee, a. eurfaoe rudueuee et en eatiere plastique r4elitent à 1'*au et eux baot4rl.., plaqua plongeant presque usqu'1 moitié dans les *aux r6 .1dud...., *% assemblée# à un arbre 3, qui peut étre ontrainé en rotation avec les plaques dans le sens de la tl\ob' par- un moteur 4.
L'admission 4',au est au A ol la <0ï'ti d'eau OU B, de sorte que le sens de rotation de la partie ID1rs4' don -laques a le mime sono que celui de 1"ooul*w*nt 4'* .
Au-dessus de l'axe 3 de l'lnlt.l1stloD de corps lomre4a un peu 8 1'*xt6nour d'un plan vertical passant le long de l'axe, Il 1 . une poutre en U 5 à laquelle sont suspendu@@
EMI9.2
par des crochets 7 entre les dirrérentes plaques 2# les barraa de peigne 6, dont la partie Intérieure repose sur l'arbre.
EMI9.3
Pendant la marche de ltlustallatlong les plaque@ tournent lentement@ Le gazon biologique se développe sur la partie des plaquée qui plonge dans la cuve et absorbe
EMI9.4
pendant le court tempe d'immersion le* salissures or6aniqu*o.
Quand les plaques émergent de l'eau l'oxygène n'c'I.alre .. l'oxydation de-eea salissures ont préleva direote'Tent de l'air. Llépaieeeur¯du gazon biologique qui a ai'tl ne doit pas être trop grande, et doit être telle que l'oxygène de l'air nécessaire de l'oxydation puise* arriver cane diffi- cultés à toute la substance activée qui se trouve sur la plaque, l'épaisseur de couche de gazon qui rente après le
EMI9.5
raclage sur la plaque, ne causant pas de d'oompo.lt1on ana6robique,
Le gazon biologique qui dépasse l'épaisseu
<Desc/Clms Page number 10>
désirés de 4 mm est racle par le contact des berres de peigne 6 tort de la rotation des plaqua retombe dane l'eau courante dpurde et il ont entraîna dans une cuve de classification de type usuel et disposée après la première CUTI.
La boue déposée peut alors être enlevée de cette cuvée Les plaquât et los barres de peigne ont à peu près la état* épaisseur. La distance entre deux plaqua voisines est par conséquent plue grande que leur épaisseur*
La figure 4 montre schématiquement comment l'eau à apurer traverse successivement plusieurs cuvée placées à la suite l'une de l'autre. L'eau arrivant en A est divisés en un courant principal 8, qui traverse successivement les cuves dans le même sent transversalement à chaque axe longitudinal de plaques, et en un courant secondaire 9, d'où partent latéralement les courante partiele 10, 11, 12 qui sont dans le sens longitudinal de chaque axe.
Dans le dispositif représenté sur les tige 5 à les plaquée disposées sur l'axe sont chaque foie assemblées en paquets de plaque13 et chaque paquet de plaques est séparé du paquet voisin par une cloison 14 ouverte pour le paquet précédent d'un côté et pour le paquet suivant de l'autre cote* L'arrivée d'eau est en A, et le départ de l'eau en B. De cette façon l'eau traverse les paquets de plaques en formant des méandres, Avec cette dispositions le niveau amont s'établit automatiquement plue haut et la vitesse d'écoulement *et plue grande que dana une installstion où touteslea plaques reçoivent le courant transversa- lement à leur axe commun, et serait placé dana le même courant d'eau.
Les figures 10 et 11 représentent une Installation
<Desc/Clms Page number 11>
dans laquelle plusieurs paquets de plaquée 15, dont les axée eont parallèles entre eux, sont disposée l'un derrière l'autre dans une même cuve* L'eau résiduaire travers@ ainsi plusieurs paquets de plaques successivement dane une seul* cuve et dans un seul acné.
Afin d'obtenir les conditions les plus favorables pour l'action des différente types d'organismes d'après la composition des eaux résiduaires se trouvant dana chaque cuve et dans le but d'augmenter la durée moyenne de séjour des eaux résiduaires dans une cuve, on procède de préférence par recyclage des eaux à épurer et dont les dessine suivante donnent des exemples de réalisation.
La Fige 12 est une coupe longitudinale, suivant la ligne I-I de la Fig.13, d'un dispositif à corps d'égoutta. ge plongeur suivant la présente invention;
La Fige 13 est un plan horizontal du dispositif représenté à la Fig. 12.
La Fige 14 est une coupe transversale le long de la ligne III-III du dispositif représenté à la ?les 12.
La FiK.15 est une coupe longitudinale d'un autrs dispositif à corps d'égouttage plongeur comportant plusieurs 1 groupes de plaques, disposés successivement et les une à côté des autres.
La Fige 16 est un plan horizontal du dispositif représenté à la Fige 15.
La Fig. 17 est une coupe transversale d'un diapo- aitif à corps d'égouttage plongeur oomportant trois groupée
Juxtaposée de plaques*
La Fige 18 eat un plan horizontal du dispositif , représenté à la Fig. 17.
<Desc/Clms Page number 12>
La Fige 19 est une vue, dans le sens VIII, des parole de limitation représentées à la Fig.20.
La Fig. 20 est une coupe longitudinale, le long de la ligne IX-IX, du dispositif représenté à la Fig.17.
La Fige 21 est un plan horizontal d'un dispositif à coprs d'égouttage plonger à circulation en méandreset oomportant deux groupesde plaques disposés l'un à coté de l'autre.
La Fig. 22 est une coupe transversales suivant la ligne XI-XI, du dispositif représenté à la Fig. 21.
La Fige 23 est un plan horizontal d'un dispositif à corps d'égouttage plongeur comportant plusieurs cuvée de clarification successives, munies de plaques et entre lesquelles est placée une cuve intermédiaire de clarification sans plaques.
Un dispositif de purifioation biologique des eaux résiduaires se compose d'une cuve de clarification, 16 dans laquelle plongent presque à moitié ou plutôt jusqu'à l'arbre 17, des plaques circulaires 18, disposées très près l'une de l'autre sur un arbre 17 et pouvant être ac- tionnées par un groupe moteur non-reprsenté. Les plaquée d'environ 13 mm d'épaisseur, constituées de préférence de matière synthétique, servent de surfaces de croissance ' pour la pelouse biologique, qui doit s'y développer jusqu'à une épaisseur d'environ 5 mm.
Suivant la présente Invention, on assemble chaque foia plusieurs plaques 1$ en groupes de plaques permettant la formation d'un recyclage à by-pass des eaux résiduaires entre les cotés longitudinaux voisins de deux groupes de plaques ou entre un coté longitudinal extérieur d'un
<Desc/Clms Page number 13>
EMI13.1
emps de plaquée et une paroi de 1* durs, 08. groupée de plaques pemettent réalèsent d'adapter une conduite wpeeielw de recyclage des eaux rdaiduairea.
Dana les ?le* 12 14, on représente une fore de r6aliéation aveo un groupe de plaques 19, pttétttat deux t1P't8 de "01obee des eaux I14uatr.... aur un oati loue-, tudinal 20 du groupe de plaques 19o en dehors de la paroi 21 de la uTt on prévoit une conduite tubulaire 2Z. dont les extNm1tcS. recourbée* traversent la paroi 2l de la ou'e, raccordant ainsi la oaaal 4'ldmI..10n 23 au oaaal 4',.,aouation 24. tireo%*mon% sur l'autre o8té longitudinal 23 du groupe de plaque* 19, on prévoit une paroi de "parat10n 26 à l'60art. de la paroi 27 de la cure, de tsoon à former un autre canal à b3rpaes 28 de rocyclag des ceux r481dualre..
La paroi de adparation 26 et la paroi 21 de la cuve cono%1tuent l'emplacement des palier* 29 et 'j0 de l'.rbro \'1,
EMI13.2
Les fige 15 et 16 représentent un autre exemple
EMI13.3
de réalisation d'un dispositif à corps d'6eouttlee plongeur avec don groupée de plaques et dee recyclages d'eaux rdoiduatrose Dans une cuvol6 d'eaux résiduatraig on dispose aucoes- 8lvement plusieurs arbres pa:rallèle. 17 comportant des groupes de plaquée. Sur chaque arbre 17, sont disposée des groupe* de plaquée 31 et 32 entre lesquels il y a un jeu calcule de façon à former un espace 33.
De plue, entre les cotée longitudinaux extérieurs de deux groupée de plaquée 31 et 32 et lea parole voisines 34 et-35 de la cuve, 11 y zut '6Gltmtnt
EMI13.4
un Jeu calculé de façon à former chaque foie un espace 36
EMI13.5
ou 379 Par les espaces 33, 36 et ,7, on peut chaque foie mcycler une partie dee eaux ibésiduaires de façon que toute la durée moyenne de séjour d'une quantité d'eau déterminée dans
<Desc/Clms Page number 14>
EMI14.1
une ouve soit plus longue que $$Il n'y a pas de rtC7olas' des eaux r681dua1rel, Pour favoriser le changement de direction des eaux
EMI14.2
r6eidueireo du canal d'évacuation 38 d'une cuve vers les espaces de recyclage 33 au 36. 37 de même que la changement
EMI14.3
de direction des eaux rde1dualre. des pacte de recyclage 53 ou ,6.
37 vers le canal d'.dmI8elon 39 d'une cuve, on étonne, sur les arêteo de barravge 40. emparant les canaux deadminsion 39 des canaux d'évacuation 38# devant les reoyola6o' à b)"4pa... des tablée de barrage 41, 42, 43 dépaseaut le niveau du liqulàe..
Dana l'exemple de réalisation représenté dans les Fige 17 à 19, il y a, eur un arbre 17, trois groupée de plaques 44, 45, et 46. Entre leo groupée de plaquée 44 et 45 de même qu'entre les groupée de plaquée 45 et 46, on forme chaque fois un espace 47 servant de canal de recyclage
EMI14.4
des eaux rèsiduairece Entre le groupe de plaquée 44 et la paroi 49 de la cuve de même qu'entre le groups de plaques 46 et la paroi 50 de la cuve, on laisse chaque foie un
EMI14.5
canal de recyclage 48 libre- Dans le canal d'8dmleelon 51 et le canal d'évacuation 52 on dispose chaque foie des pa- rois de délimitation 53 et 54,
placées verticalement sur les crêtes de barrage et s'étendant sur toute la largeur de la cuve des eaux réeiduairee. Cee parois de délimitation 53 et 54 , dépassant le niveau de liquide, comportent dee
EMI14.6
ouvertures 55,. 56,par lesquelles l'eau r6siduoire peut aldocu- ler du canal d'admission 51 ou du canal d'évacuation 52 dans la cuve de clarification envisagée et dont l'onverture 56 comporte une conduite de dérivation*
Dane cette forme de réalisation, où l'on a les
<Desc/Clms Page number 15>
parole de délimitation 53, 54, formant les côtés d'un ca- nal en U, il est souhaitable, dans le cas de groupes succes- alfa de plaquée, d'avoir, comme représenté & la Fig.20, un étage entre deux cuves de clarification,
lorsqu'on dispose d'une chute suffisamment grande sur le terrain envisagée
Aux endroits où un secteur de disque émerge de l'eau, l'eau est légèrement soulevée, cocos représenté ,dana les Fige 12/ 15, et 20, de façon que par les espacée où les canaux, le mouvement de retour soit favorisé à l'en. droit où le niveau de l'eau est abaissa par un autre secteur de plaques entrant en Immersion*
L'exemple de réalisation représenté dans les Fige 21 et 22 comprend deux groupes de plaques 57 et 58 disposes sur un arbre 17 et plongeant chacun dans une cuve d'eaux résiduaires 59 et 60. Les deux cuves sont séparées par une paroi 61 comportant un canal 62, établissant la liaison d'une cuve à l'autre.
L'eau résiduaire s'écoule en 63 dans le canal d'admission 64 et de là. elle passe par le premier groupe de plaques 57. Du canal d'évacuation 65, une partie des eaux résiduaires peut revenir par les canaux de recyclage 67 et 68 restés libres entre lea cotés extérieure du groupe de plaques 57 de marne que les parois 61 et 66 des cuves, tandis qu'une autre partie des eaux résiduaires s'écoule par le canal de raccordement 62 pour arriver au canal d'ad- mission 64 de la cuve 60 et de là passe par le groupe de plaques 58. L'eau résiduaire parcourt ce dispositif en dé- crivant des méandres. Un dispositif comportant plusieurs cuves disposées successivement et parcourues en méandres est particulièrement peu encombrant.
Les groupes de plaques d'un dispositif de ce genre,
<Desc/Clms Page number 16>
sont actionnée dans le même sens de rotation* On peut également concevoir un dispositif parcouru en méandres sans canal de raccordement 62, ce dispositif étant parcouru par l'eau résiduaire de telle sorte que les groupée de pla- ques, disposés les uns à coté des autres, soient traversée avec un sono d'écoulement opposée Dans un dispositif de ce genre, les groupes de plaques juxtaposée sont avantageu- sèment actionnes dans des sens opposés.
Le dispositif représenté schématiquement à la Pige 23 comprend, entre plusieurs cuves d'eau résiduaire
70, 71, et 72,73, 74, munies de groupes de plaques suivant la présente invention, une cuve intermédiaire de clarifica- tion 75 un peu conique, le plus petit diamètre étant dirigé vers le bas, et ne comportant aucune plaque. Dans cette cuve intermédiaire de clarification 75,des matières boueuses peuvent se déposer sous forme de parties de croissance déjà décomposées.
Le fait d'intercaler cette cuve présente l'avan- tage de pouvoir dispoeer, après celle-ci, des cuves d'eau résiduaire, à nouveau munies de plaques et plus petites que s'il n'y avait pas cette cuve intermédiaire de clarification
L'expérience a montré que les meilleurs résultats d'épuration et d'exploitation étaient obtenue en utilisant ...un recyclage judicieux et le type de plaques représentées ainsi que leur montage dans les dessine suivants*
Dans ce type de plaques des disques d'écartement sont située entre les plaques fixées d'une manière inamovi- ble sur l'arbre et maintenues ensemble au moyen d'au moine.
deux boulons* Dans ce cas, les disques d'écartement, dispo- sés l'un derrière l'autre en série et dont deux disques succes- sifs sont séparés simplement par une plaque, sont traversée/
<Desc/Clms Page number 17>
EMI17.1
par les boulons* Dans une autre tome de réalisation de
EMI17.2
l'invention, on peut chaque fois r4elleer d'une pièce, une plaque composée de matière synth4tique coaae, par exemple@ en particuliers du polystyrène contenant un ageat de dilate- %ion, et tuf l'autre c8t 4. cette plaque, doo oae.. d'écartoment correspondant aux disques d"cart.m.nt, de taoon que leo plaques gliusies d'un ot4 sur l'arbre soient 'cartéen les unes des outre..
Dans les destin4t La Irisé 24-ent une coupe longitudinale d'un dis- icaittf à corps dt6aoutta plongeur représenté soh4matlque-
EMI17.3
ment:
EMI17.4
La P1S. 25 représente le plan hopizontel du dispositif représenté h la Fige 24; La PIS, 26 est une vue latérale d'un corps d'46oU%- j tage plongeur cont6 sur un 4rbre et comportant de* ètrésil- lots# dont deux ne aont pas repr6.8nt6., La Fig. 27 est une coupe d'une partie du corps d'é6outtaEo plongeur euivant la ligne lv-ZV de la FIS#26;
La Fig. 28 représente, à une plue grande 4obell.,
EMI17.5
le détail "a" de la Fig. 27;
EMI17.6
La Fig. 29 représente, en coupe, une BOUIO plaque
EMI17.7
suivant la ligne IV-IV de la Fige 26;
EMI17.8
La Fig. 30 est une vue d'un disque en t81.. 'adaptant 4 l'arbre et qui, enrobé de mousse 0ynthétiqU., sort
EMI17.9
.de disque d'appuiµ¯
EMI17.10
Un corps d' 6gouttaee plongeur 76 et compose de plueieura plaques circulaires 77 en mousse de Polystyrène contenant un agent de dilatation, ces plaques étant aseem- blèen en un groupe sur un arbre 78. L'arbre 78 ne compose
<Desc/Clms Page number 18>
EMI18.1
d'un tube 79 aux deux extreaiteo duquel sont .oud4. de* tronçons d'arbre 80 aveo don pibets de centrage circulaires al.
L'arbre comportant le groupe de plaques repose# avec ses tronçons su, dans deux paliers M située sur les borde opposée 83 et 84 d'une cuve d immereion 6. remplie d'eau r6a14udre 85p de façon que les plaquée,ayant un diamètre d'environ 3 m, plongeant à peu près à moitié dans l'eau réaiduaire purifier. L'arbre 78 et, par conséquent# les plaque 77, fixées sur ce dernier d'une manière Inamovible au moyen d'une cale 87, peuvent être mie en rotation par un moteur électrique 88 avec un mécanisme 89, de façon que
EMI18.2
la partie des plaquée plongeant dana l'eau r4siduaire ee déplace dans le sens d'écoulement de l'eau.
Chacune des plaques 77 d'environ 12 mm d'épais- seur et assemblées en un groupe de plaques, dont une est
EMI18.3
raprueentde en coupe à la figure 29, est recouverte de mou.. ae entre dee parois de moule. Ces parole de moule comportent des perforations d'environ 2 mm, écartées d'environ 20 mm, de aorte que l'on obtient, au même écartement, eur la plaque finie, de petite noeuds(non représentés dans le dessin), augmentant la rugosité superficielle des plaquée et améliorant l'adhérence de la Pelouse biologique croissant sur les plaques à partir des eaux résiduaires*
Sur un côté, chaque plaque comporte des camée d'écartement 90 d'environ 20 mm d'épaisseur qui, lors du
EMI18.4
montage des plaques sur l'arbre,
assurent lléoartement nécessaire de 18 à 20 mm d'une plaque à l'autre. Cet écartement est nécessaire car, en plue de la croissance qui, sur chaque plaque, ne dépasse généralement pas 5 mm d'épaisseur, il doit encore rester, entre les plaques re
<Desc/Clms Page number 19>
recouvertes de cette croissance, un espace suffisant pour l'admission d'air*
Les camée 90 sont en forme de Mont et$ en outre, elles sont disposées de façon que huit de ces cames, dispo- nées à la même distance l'Une de l'autre, aient chaque foie le même écartement par rapport au centre des plaques circu- laires.
Sur les surfaces extérieures des deux plaques ter- minales, on adapte des étrésillons radiaux 91 à section trans- versale en U, s'étendant sur des cames placées radialement l'une par rapport à l'autre, les extrémités intérieures de ces étrésillons étant reliées, au moyen de vis 92, à un dis- que 93, reposant sur le tube 79,
Lee cames situées le plus 4 l'écart du centre des plaques oomportant des perforations 94, dans lesquelles pé- nètrent des tubes 95 servant de douille d'écartement et dont la longueur correspondant à la distance entre les deux sur- faces extérieures du groupe de plaques* Les surfaces ter- minales de ces douilles d'écartement viennent s'adapter à l'âme des étrésillona 91, Par chaque tube 95, on fait pas- ser un boulon de retenue 96,
dont les extrémités libres, comportant des filets ressortent du groupe de plaques* --Sur les filets, onvisse des écrous 97, fixant l'âme des étré- aillonë 91, sous une légère pression des plaques 77. contre les surfaces terminales des douilles d'écartement 95.
Pour maintenir fermement les plaques sur l'arbre et assurer un entraînement de ce dernier, cn introduit, dans les plaques 77, à proximité de l'axe, des disques d'entraîne- ment 98 e'adaptant à l'arbre, Comme on le constate en parti- oulier à la Fige 30, ces disques d'entraînement 98 comportent un grand nombre de perforations 99, dans lesquelles on fait,, /
<Desc/Clms Page number 20>
pénétrer la matière synthétique, à partir de laquelle la plaque est fabriquée.
De plus, pour le renmforcer à cet en- droit, on coule, autour du disque, une épaisseur 100 en forme de oame et égale à l'épaisseur dea camée d'écartement 90,
De plus, pour renforcer les plaques aux endroits particulière- ment sollicités, on peut, avec la transformation en mousse, répandre de la matière sythétioue non-transformée en mousse, principalement sur les bords, sur les cames et/ou sur le moyeu*
Sur un tronçon d'arbre, situé entre deux paliers, on peut faire glisser 30 à 250 plaques*
Les plaques peuvent être ondulées, comme par exem- ple de la tôle ondulée, ou ondulées sous forme d'anneaux concentriques*
Pour actionner un groupe de plaques, on peut égale- ment employer de l'eau mais, dans ce cas, il faut disposer d'eau supplémentaire car,
l'écoulement de l'eau passant dans la cuve d'immersion ne suffit pas, à lui seul, pour astionner les plaques* Lorsqu'on emploie la force hydraulique, l'ao- tionnement d'un groupe de plaques est facilité si les pla- ques de mousse sont notamment plus légères que l'eau..