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"PROCEDE ET DISPOSITIFS POUR ETANCONNER LE TOIT D'UNE VEINE DANS UN CHANTIER DE MINE AU FOND".-
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L'invention concerne un procédé ainsi que des dispo-
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attife pour étançonner le toit d'une veine dans don extractions au fond.
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Par différence aux dispositifs et procédés de ooulé- 'ne ment connus jusqu'alors, elle procure d'une manière fondamen- talement améliorée la possibilité, en .présence de toutes oondi-
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tiona iinab3.ea et également particulièrement défavorables de la roche, ac rester maître du toit.de la veine au-dessus de
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, l'espace du chantier due la ruine tant dans les conditions qui se -..réee.%tent au foudroyage qu'à l'abattage avec remblayage artitiaie .
L'invention part de la notion que ce problème ne peut être résolu impeccablement qu'en créant des possibilités per-
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mettant de fz.ire face aux conditions des toits de velne, va- riables de fi70n générale d'un gisement à l'autre, mois aussi plue ou moins .'ortement différenciées, dans le même chantier de minet des variations parfois surprenantes exigent des menu- res précises pouvant être exécutées rapidement et do manière simple aussitôt sur place..
L'invention consiste selon son idée de bas)en ceci! la force de soutien d'un éliment d'étançon qui forme de préfé- ronce une partie d'un groupé d'élançons composé de plusieurs
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dlémsnta semblables, agit sUr le toit de veine par la choix d'une ou de plusieurs possibilités d'action réunies an lui et disponibles par na ermatîon,et/ou son équipement selon les va- riations du rapport du toit de veine localement et/ou dans le tempe.
L'un des moyens mis à la disposition de l'homme-de-' -
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service, désigné désormais Comme "moyen n 10, est an aooore
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hydraulique susceptible d'agir dans un temps comme dans un lieu sur le toit de veine.avec une répartition de charge variable et modifiable au choix.
Ceci est rendu possible par le fait que- cet accore consiste en deux étançons hydrauliques,mutuellement. imbriqués coaxialement, le piston de 1'étançon extérieur est un piston creux ouvert dans lequel est inséré concentriquement l'étançon intérieur plus faible alors qu'à chacun des deux étançons est joint un élément de longeron particulier. Ces deux étançons, construits solidairement, peuvent être mis en action dans un ordre différent, choisi à volonté, par un milieu de même pression d'entrée et ils peuvent agir sur le toit de veine avec différentes répartitions de charge.
Un autre de ces moyens qui est applicable au choix seul ou conjointement avec le moyen n et qui est désigne oi- après par "moyen n 2", consiste en ceci que l'accore du toit de veine - pouvant être un étançon unique - est de préférence une pièce d'un groupe d'étancons, réglé par une charge élevée, at- teignant de préférence la charge -,nominale; ce moyen est soumis tout d'abord à une charge en-dessous de la charge maximale, in- diquée par un indicateur de pression stationnaire incoiporé; gaz,, rapport à la charge et en considérant les conditions du toit d veine, on procède ensuite aux corrections nécessaires en choi- sissant à volonté le moment rationnel et les étapes rationnelles suivantes.
Dans ce dernier cas, on prévoit de préférence un dis- positif (composé notamment d'un élément à ressorte) pour retar- der la création de la pression dans le cylindre de l'étançon et on y a recours dans le cas d'une roche, réagissant fortement; on peut également prévoir un dispositif de verrouillage d'une construction rationnelle désirée pour l'admission du milieu, pouvaht être réglé à une pression déterminée dans le cylindre de l'étançon, prêt à fonctionner une fois cette pression dattein-
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te, mais pouvant également être débranché, autrement dit un dispositif pour limiter la charge.
En complément de ces moyens, l'invention comprend des dispositifs qui seront décrits plus loin et qui sont avantageux et importante pour l'utilisation sans incidente de ces nouveaux moyens.
Dans le premier des nouveaux moyens nommés('Moyen n 1"), l'étançon travaille seul ou conjointement avec un diapo- sitif analogue ou aveo d'autres accores hydrauliques, éventuel- lement groupes d'accores, l'accore étant constitué par deux étançons hydrauliques imbriqués ooaxialement, utilisables in- dépendamment le cas échéant, généralement de longueur approxi- mativement égale; l'étançon extérieur , désigné désormais par l'étançon.**, généralement de longueur approximativement égale à celle de l'autre, porte dans son piston creux l'étançon inté- rieur ,désigné désormais par "étançon I"; l'étançon extérieur peut supporter une charge supérieure à la charge hydraulique nominale de l'étançon I.
Chacun des deux élançons aménagés dans le moindre espace grâce à leur construction coaxiale agit sur le toit de veine par son élément de longeron, indépendant de celui du second étançon, et ainsi dans sa propre étendue déli- mitée par rapport à celle de l'autre étançon.
L'un au moins des éléments de longeron deo deux élan- çons, que ce soit de l'étançon I ou de l'étançon A, est cons- truit de préférence en poutrelle simple ou double s'étendant en direction longitudinale. Alors que l'élément de longeron de l'étançon I sera généralement d'une seule pièce, celui de l'é- tançon A, lors de l'emploi de l'aooore coaxial comma accore uni- que, peut être soit également d'une seule pièce - il entoure alors en forme de cadre avec du jeu l'élément de longeron de l'étançon I- ou il peut consister en deux pièces réciproque- ment indépendantes avec l'avantage particulier d'un, large mifioation'de l'effet d'étançonnage de l'accore entier.
Dans ce
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dernier cas,- chaque longeron partiel repose efficacement par un coussinet sur l'un des deux bras d'un longeron intermédiaire en forme de joug dont la construction procure dans sa partie
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médiane un eapace libre en forme de oadre ou anneau; de son côté, ce joug est logé en position inclinable'à l'arête supé- rieure du piston creux de l'étançon A perpendiculairement à la direction longitudinale de l'élément de longeron aveo des te- none saillant vers l'intérieur qui sont rotatifs dans'des évi-
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dements de l'étançon et qui ne gênent pas le passage de 186- tançon I, placé dans l'étançon A, par l'espace libre Susdit dane le longeron intermédiaire en forme de joug.
Le nouvel accore d'étançons coaxiaux forme in dispo-
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sitif d'étai qui peut être réglé à une capacité d'é1sÀçonna o laquelle correspond à la capacité totale d'étançonnage de plu- sieurs étançons de résistance habituelle. Sans exiger sensible-
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ment davantage d'espace qu'un tel accore hydraulique Âéparée le nouvel accore "oompaot" peut mettre en action la foret d'étan- çonnage, concentrée dana lui, par les éléments de .cneron fona- tionnant indépendamment des deux étançons en lui réunis et agir sur le toit de veine de manière à peu près égale à ce qui se produirait si différents éléments de longeron étaient étançonnée à partir de plusieurs étançons individuels de capacité moyenne,
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répartis sur un pltw grand espace.
La solution du problème de ) la variation' de l'utilisation de la force d'étanoonnttge dans son action de nouvel accore résulte des manières d'emploi, empli"\ quées oi-aprjas et applicables au choix, des deux étançons oo- axiaux qui, gomme tels, peuvent encore être variés.
Pour les deux étançons, on peut par exemple
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(1) solliciter par le milieu de pression d'abord liétapgon l, " présentant la plus petite surface de piston et ensuite, au moment désiré, l'étançon A, présentant une surface de pistonsupérieure,'
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de préférence plusieurs fois supérieure (ordre de charge A),
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ou (B) les deux étançons seront installas dans l'ordre inverse (ordre de charge B),
Dans le cas de l'ordre de charge A;
on sort d'abord l'étançon I et on le dispose sous son élément de longeron avec sa charge normale (déterminée par la pression maximale du mi- lieu affluent), on le charge ensuite.par la force du piston le supportant, alors seulement sollicité, de l'étançon A agissant sur lui comme une presse hydraulique-et cela jusqu'au fonction- nement du clapet de surpression, donc jusqu'à l'obtention de sa charge nominale; l'étançon I est finalement poussé en sur- montant cette résistance hydraulique jusqu'à ce que l'élément de longeron de l'étançon A ait pris un contact forme avec le toit de veine et que dans le cylindre de l'étançon A se soit encore réalisée la pression pour l'exoès de charge que l'étan- çon peut fournir pour atteindre sa charge maximale.
Le ou les longerons de l'étançon A ont exercé sur le toit de veine une partie de l'action produite par la charge totale de la combi- naison des étançons; cette partie de-l'action correspond à la différence entre les valeurs de la charge maximale de l'étan- çon A et la charge nominale de l'étançon I.
Dans le cas de l'ordre de charge B, donc en sollioi- tant les deux étançons par le milieu'de pression dans l'ordre inverse, l'étançon I qui est alors disposé en deuxième lieu réduit seulement de la valeur de sa -charge nominale la part de la charge totale, produite par l'étançon A, agissant sur letoit de la veine par l'élément de longeron de l'étançon A.
Une autre possibilité, déduite de la précédente, cet celle-ci! ne pas commencer la montée. de l'étançon I seulement après complète installation de l'étançon A, mais fermer le cla- pet d'arrivée de l'étançon 1 seulement après la fin de l'instal- ' la%ion de l'étançon A lorsque ledit clapet d'arrivée le cas
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échéant - ce qui peut être plus rationnel selon les circonstan- ces - est remonté en même temps que l'étançon A ou même plus tôt.
Ce prooédé d'installation aboutit à la même répartition de la pression sur le toit de.veine que selon l'ordre de charge B, mais ne porte pas la force totale de l'étançonA sur le toit de veine dans la première phase du procédé - ainsi que o'eat le cas dans l'ordre de charge B.
On comprendra aisément que les effets de l'ordre de charge A se différencieront de ceux de l'ordre de charge B ou de la variante mentionnée d'autant plus que seront plus ou moina grandes les étendues du toit de veine, déterminées par les di- mensions des éléments de longeron, étendues sur lesquelles a- gissent d'une part l'étançon I et l'étançon A d'autre part.
Ainsi qu'il ressort des précédents exposés,l'étançon A et 7.' étançon I, combinés en un étançon coaxial. sont des dis- positifs d'étançonnage agissant indépendamment et dont les systèmes hydrauliques sont mutuellement séparés.
Une dépendance de l'efficacité des deux étançons en- tre eux existe cependant du fait que l'étançon A supporte l'é- tançon I dane son piston creux et qu'ainsi l'effet d'étançonna- ge de l'étançon I est conditionné par la pression régnant dans l'espace de cylindre de l'étançon A.
Toute diminution - volontaire ou non - de pression dans l'espace de cylindre de l'étançon A ou l'abaissement de son piston entraine une.diminution simultanée de .pression ou l'abaissement de l'étançon I.
Cette dépendance des effets de soutien des étançons A et I entre eux peut avoir des conséquences désavantageuses ai l'étançon A devient sans pression pour une raison quelconque par exemple à la suite d'un dérangement à la manchette de cal- feu rage.et que l'effet d'étançonnage disparaît simultanément tant sur.l'étançon A que l'étançon I.
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D'autre part, lors de la suppression plar.ifiée de la pression dans l'étançon A et en raison de son diamètre relati- vement important, l'abissement du piston de l'étançon A ne so produit pas dans certaines circonstances assez rapidement ce qui peut retarder de façon inopportune le moment où le déplace-- ment de l'accore entier est possible,
Afin de tenir compte de ces circonstances, une carac- téristique particulière de l'invention prévoit dans l'admission du milieu de pression de l'étançon I un clapet de retenue qui empêche un retour de courant à partir de l'espace de pression, le clapet de verrouillage de cette admission étant constamment ouvert;
le clapet de retenue facilite d'autre part à tout mo- ment l'admission de moyens de pression à partir de la conduite dans la chambre de pression de l'étançon I et cela en quantité nécessaire pour équilibrer la pression entre les deux espaces de liquide lorsque la pression dans la chambre de l'étançon I est descendue si peu que ce soit en-dessous de la valeur de la pression du milieu dans l'admission lors de l'abaissement de l'étançon 1 avec le piston de pression de l'étançon A, alors privé de pression.
Ceci a pour résultat que le piston de l'é- tançon I sort sans interruption dans la mesure où le cylindre de l'étançon I s'abaisse par suite du relâchement Cu piston de l'étançon A; par conséquent, même dans ce oas, c'est-à-dire malgré le relâchement de l'étançon A, l'étançon 1 lion seulement ne perd pas le contact avec le toit de veine se produisant par l'élément de longeron, étayé par lui, mais encore :este effica- ce par une pression d'étayage active, atteignant sa charge nor- male, et de plus est à même de supporter de nouvelles charges par la pression de la roche.
A"l'inverse, l'aménagement proposé d'un clapet de retenue facilite également le processus d'abaissement du piston de l'étançon A ce qui est efficace déjà dans le can d'un relâ- chement involontaire de l'étançon A (notamment en joignant ,
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ce processus un émetteur de signal acoustique ou autre) et présente un avantage particulier pour l'abaissement intentionnel du piston de 1.' étançon A, provoqué par l'ouverture planifie* du clapet d'écoulement de l'étançon A.
Dans le dernier cas, pour autant que le clapet de re- tenue n'est paa débranche par la fermeture de la conduite d'ad- mission et que la conduite d'écoulement de l'étançon I est ouverte, l'étançon I par l'ouverture du robinet d'écoulement de l'étançon A n'agit pas uniquement par sa propre force de pression et celle correspondant au poids de son chapeau sur le piston de l'étançon A, mais comprime celui-ci vers le bas - a- vançant grâce à l'arrivée du milieu de pression qui se produit automatiquement par le clapet de retenue - et cela pratiquement avec la même force qu'il exerce ainsi contre le toit de veine; il accélère ainsi méthodiquement le mouvement de descente du piston de l'étançon A.
. L'aménagement du clapet de retenue décrit ne condi- tionne d'ailleurs rien d'autre que l'installation d'un clapet, servant autrement de clapet de verouillage, nais correspondant maintenant avec le clapet de retenue dans la conduite du milieu de pression de l'étançon I;
ce clapet sert de robinet à double orientation, avec possibilité 4'installer un deuxième clapet de verrouillage et cela dans les deux cas de telle façon que, l'étançon I étant installé, son espace de pression puisse con- etamment être relié à la conduite d'admission du milieu de pres- sion et puisse être relié à une conduite d'écoulement, - en vue d'un alègement de pression après ou simultanément avec le ver- rouillage de la conduite d'admission. La conduite d'écoulement peut, par exemple, à un endroit situé au-delà du clapet de re- tenue , aboutir de nouveau dans la conduite d'alimentation par laquelle le milieu de pression peut être évacue pendant la pha- se de relâchement de pression sans admission.
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Pour des raisons de sécurité, il sera plus rationnel dans certaines circonstances d'utiliser deux clapets séparés dont un servira à l'enclenchement et-déclenchement du clapet de retenue et l'autre à l'évacuation.du milieu de pression, et .le cas échéant, à l'approvisionnement de l'étançon en milieu de pression;
ces clapets peuvent être couplés par des moyens mécaniques, dans le cas d'utilisation de clapets à pivots de préférence par une liaison réciproque des pivots pouvant être débranchée, par exemple par des couronnes dentées s'entre-pe- nétrant, agissant en sens dbntraire et pouvant être déplacées en rapport vertical mutuel) dans ce couplage, en formant un clapet et en verrouillant dînai l'admission possible du milieu da pression dans l'espace de pression de l'étançon I par le clapet de retenue, le deuxième clapet aveo la conduite d'alimen- tation s'ouvre soit pour l'écoulement du milieu ou également pour l'arrivée du milieu.
Dans le cas où. l'aooore coaxial est utilisé comme deuxième étal d'un longero de toit de veine, supporté par deux aco@@@@, il est rationnel de relier les pièces supportées par l'étançon1 et l'étançon A par un moyen non rigide (chaîne ou aimilaire) afin d'empêcher ainsi un abaissement trop fort, théoriquement possible, du longeron .(ou similaire) supporté par létançon A ce qui pourrait se produire si le chemin de descente du piston de l'étançon A devenait trop grand,
Dans le cadre de la conception de l'invention,
un ou deux outrée étançons extérieurs peuvent être ajoutés dans car- taines circonstances à l'étançon coaxial décrit avec le même principe d'aménagement d'où. résulterait un groupe d'étanéons de trois ou éventuellement quatre étançons ooaxiaux.
Alors que jusqu'ici l'étançon devait être installé seulement avec sa charge extrême (quelle qu'en fût l'importan- ce), le deuxième des moyens décrits ci-dessus (moyen n 2) pour exercer un effet de pression différencié sur le toit de veine
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donne - ainsi que déjà exposé pour l'essentiel - à la personne de service, le porion d'un tel soutènement, la possibilité d'in- terrompre la création de la pression déjà à l'obtention d'un stade, déterminable par avance, en-dessous de la pression maxi- male à l'intérieur d'un espace de jeu par oomparaison'plua éten- du et ainsi plus rationnel;
il peut ainsi procéder à des oorreo- tions graduelles au moment approprié et, lors de chaque avan- cernent et remise en place du dispositif d'étayage, varier mé- thodiquement la charge de l'étançon en-dessous de sa limite supérieure en considérant l'état présent du toit de veine.
Le dispositif de limitation de charge fonotionnant automatiquement, proposé en complément à cet effet et qui entre en action dès que la pression prédéterminée est atteinte, maie qui peut, lui-même, être débranché, est ajouté au groupe de soutènement ou, le cas échéant, aux étançons réglables selon l'invention pour que la personne de service n'ait pas à exécu- ter manuellement une mesure identique se renouvelant toujours à chaque avancement et remise en place de l'installation d'é- tayage, mais puisse confier la limitation de la chargs à un tel automate lorsque poux.une durée probablement assez longue de nouvelles conditions se manifestent au tott de veine ce qui exigerait la recherche d'une nouvelle valeur de charge corres- pondante .
Quelques exemples d'application pratiqua suivent afin d'expliquer encore plus complètement les possibilités offertes par l'invention pour traiter le toit de veina par l'emploi des deux moyen*) I et II. a)Dans le cas où las deux étançons coaxiaux sont alimentés par la même conduite d'admission, la pression dans la conduite cet de 100 kg/cm2 et la surface du piston de l'étançon I, réglé à une charge supposée de 25 000 kg, se monte à 50 cm2 et celle de l'étançon A à 400 cm2, la personne de service peut obtenir
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les deux résultats finals suivants en mettant enoeuvre les deux étançons, chacun séparément; de la manière habituelle jusqu'ici pour des étançons en groupe, c'est-à-dire jusqu'à l'obtention de la charge normale:
(I) En choisissant l'ordre de charge A pour les étançons coaxiau avec un milieu de pression, on agit sur le toit de veine par (40 000 - 25 000), soit 15 000 kp dans le romaine de l'élément de longeron de l'étançon A qui atteint une charge total de (400 cm2 x 100 kp/cm2) soit 40 000 kp, mais dont une partie se montant aux sus-mentionnés 25 000 kp est passée à l'étançon 1 par lui supporté.
(2) En choisissant l'ordre de charge B pour les étançons co- axiaux, seulement (50 cm2 x 100 kp/cm2) soit 5 000 kp revien- nent au secteur du toit de veine, affecté à l'élément de longe- ron de l'étançon I et 40 000 - 5 000 kp) soit 35 000 kp au secteur affecté à l'élément de longeron de l'étançon A car .l'étançon A, pourvu en premier lieu par le milieu, ne transmet , de la charge totale de 40 000 kp que la partie de charge pro- pre à l'étançon I, pourvu plus tard, (b) Etant donné que lors de l'application du moyen II, la créa- -tien de la pression dans le cylindre de 1 étançon A peut être arrêtée à un degré quelconque choisi en-dessous de la pression dans la conduite d'admission du milieu, on peut,
par l'élément de longeron de l'étançon A dans le cas d'emploi des deux étan- çpns ooaxiaux avec l'ordre de charge A, mettre en action toute charge désirée sur le toit de veine en dessous des 5 000 kp (mentionnés sous a,1) et, dans le cas d'emploi des étançons ' avec les ordres de charge B, toute charge en-dessous des 35/000 kp (mentionnés sous a, 2).
(.o) Si, au contraire, on se sert de l'étançon A seul ce qu est également possible, c'est-à-dire connue d'un étançon hydraul ue habituel avec la même charge maximale de 40 000 kp, la liait '
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supérieure de l'espace de jeu se situe dans l'application du ' moyen II à ces 40 000 kp puisque l'étançon I n'y participa Pas$ (d) Dans le cas de l'approvisionnement de l'accore axial selon l'ordre B et en prévoyant une charge maximale de 15 000 kp par exemple pour l'étançon I,
on peut déjà s'en tenir pour le fone- tionnement de l'aooore à des degrés de pression située en-448- sous de celle de la conduite d'alimentation et à des dimensions dans la chambre de jeu du cylindre de l'étançon 1 qui permet- tent des répartitions efficaces de l'action totale du groupe sur le toît de veine.
(e) Si un seul étançon - comme l'un de ceux dans les exemple* b, o, d - est muni d'un indicateur permanent de pression et que l'étançon est en outre équipé d'une unité de piston de cylindre agissant comme presse comme le représente l'étançon A, l'homme de service peut au moyen de cet étançon A sous le contrôle de l'indicateur de pression en cas de besoin installer également le clapet réglable de surpression de l'étançon à une autre pros.* sion, c'est-à-dire mettre l'étançon à toute nouvelle charge dé- sirée, située en-dessous de la charge nominale maximale,
L'ap- plication de cette caractéristique complémentaire de l'inven- tion sera Toujours avantageuse pour traiter notamment des con- ditions dans le toit de veine se modifiant fortement par en - droite, Son.application sur un étançon I d'un accore ooaxial est d'une importance encore plus considérable car, dans le cas du choix de.l'ordre de charge A pour les deux étançons ooaxiaux la répartition de la charge totale de l'accore peut être intlu- encée dans une large mesure par la,modification de la charge nominale de l'étançon I.
Désire-t-on par exemple faire agir la charge totale possible d9'l'accore à parte égalée sur l'élément de longeron de l'etançon 1 et sur celui de l'élément.A, cela est désormais possible - les conditions préalables précitées étant observées-
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sans autre, en abaissant la charge.nominale de l'étançon I des précédents 25 000 kp à 20 000; 1'ordre de charge A provoque alors que la proportion de la charge de l'étançon A qui revient à l'élément de longeron de l'étanÅaon A, augmente de ces 5 000 kp dont la charge nominale de l'étançon I fut diminuée, c'est- '-dire qu'elle devient également de.
( 15 000 plus 5 000),soit 20 000 kp.
Bien entendu, on peut répartir dana toute autre pro- ,portion désirée la charge de l'étalon A passant d'une part à l'étançon I et agissant d'autre part sur le longeron de l'é- tangon A.
Dans les cadres des possibilités déjà exposées, un avantage particulier réside dans l'exploitation de l'élasticité naturelle ou méthodiquement augmentée, des éléments de longe- ron de l'accore ooaxial en exécutant, selon l'invention, une modification de charge ou une répartition de pression.
A cet effet - et de préférence au moyen de télécom- mandes prévues sur les éléments de longeron, mobiles éventuel- lement - il est créé une zone, plus* ou moins étendue selon les besoins, dans la région du point d'appui des éléments de longe- ron; à 1''intérieur de cette zone, un tel élément de longeron.
. s'infléchit sous l'influence de la pression se produisant dans l'étançon le soutenant et cela avec une résistance croissante -avant que l'élément n'atteigne le toit de veine - ai même il se trouve dans la zone .En déplaçant les télécommandes sur l'élément de longeron, l'homme de service peut en cas de néces- sité modifier l'étendue de la zone de longeron qui doit rester détachée du toit de veine, et changér ainsi le déroulement de la récistance élastique du longeron, c'est-à-dire influencer par un réglage l'effet modérateur du longeron sur ?a création de la pression dans l'étanon.
. On a déjà fait ressortir ci-dessus que toute forme d'exécution imaginable de l'accore, représentant selon l'inven-
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tion le moyen I, peut être appliquée indépendamment ou dans les
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combinaisons les plus diverses aveo d'autres ,.dats , rt iou ..., ; pes d'aocore pareils ou quelconques. On obtiendra déjà tages essentiels dans le sens du but de l'invention si un seul étançon présente des caractéristiques de l'invention dans un groupe d'accore à plusieurs étançons.
Un maximum des avantages de l'invention est obtenu
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dans son application sur del:J groupes d'aooore qui oont1f#M.nt au moins un aooore ooaxial construit de la manière décrite.
Afin de satisfaire avec un tel groupe d' aooo1'.::' W1:!,G,..'e aux conditions du to1 de veine, essentiellement variables qui .e produisent à l'abattage ",,','..1'1 1I..":''''oyag. et & l'abattage avec remblayage, oee groupes sont construits 'ilement aolon une us- raoterietiqua epéuiale de l'invention, tan% b., o. qui ooaoemw l'aménagement do l'aocore que celui des aaoaùbP,,i,oa (àinpooi- tifs d'avancement eta ) , de telle façon que l'on pu+%,, 18s met- tre en service pour tout autre cas par une simple rotat,, de 160 ;
cela est aussi bien possible si les aaoores du groupe forment une unité par un corps de base commun ou si le plus fort accore, notamment construit en aooore ooaxial du groupe
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total de la manibre dsorite, est pose selon une oarnotériet:l.1uI apdciala de l'invention sur une plaque de baaa indépenduntl et peut ainsi être déplace par rapport aux autres accores, réunis de leur cote par un corps de base en un deuxième groupe partie.,
Un tel groupe de soutènement, utilement un groupe à plusieurs étançons peut présenter aux extrémités avant ou ar-
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riére d'un de ses éléments de longeron, adapté à cet effet, dos corps de liaison qui permettent la fixation de chapeaux de cof- frage,
inclinables en haut et en bas selon les besoins, aux deux extrémités ou seulement à l'un ou à l'autre bout, A cet effet.
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se prêtent particulièrement des chapeaux de coffrage, inclina- bl<J en haut et en bas par des mécanismes à clavettes; les cha-
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peaux, possèdent une plaque de pression basculante. L'avancement du groupe ne peut commencer qu'après abaissement du coffrage car la chambre de pression du mécanisme hydraulique qui prcvo- que sa descente, est reliée hydrauliquement avec le ohambre de pression du cylindre d'avancement qui cause l'avancement du groupe de soutènement ou du groupe partiel où les coffrages sont aménagée.
Considérons un élément de longeron, construit en lon- gueur, déjà mentionné ci-dessus dans le cas de l'application de l'invention à un groupe de soutènement, décrit en dernier lieu, l'élément, reposant sur l'aooore le plus résistant, s'étend de préférence profondément dans la région de superstructure des autres,accorte du groupe dans un tel arrangement que cet élé- ment, s'étendant loin, fait valoir la majeure partie de la tor- ce d'étayage de l'étançon qu'il doit transmettre, par le bout extérieur de son bras plus court vers le toit de veine;
son avant-bras plue court, portant de préférence une plaque de prou-,. sion, atteint au foudroyage la poussée d'abattage et étaye au remblayage le champ à remblayer*
On a déjà indiqué au début que l'invention ne se li- mite pas au perfectionnement de la seule fonction d'étayage d'un tel groupe, mais qu'elle orée également les conditions pour mettre la mise en service du groupe à l'abri de risques qui pourraient se produire en raison des insuffisances de ses ac- cessioires nécessaires.
Pour cette raison, l'invention comprend également l'équipement des nouveaux groupes de soutènement aveo un dis- positif d'avancement leur convenant particulièrement; sa co- struction, éventuelle:lent un dispositif spécial de direction résout également le problème de pouvoir modifier ou corriger la direction de marche des groupes lors de l'avancement.
Ce dispositif de redressement est par exemple et de préférence une
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unité de piston de cylindre, un pivot ou similaire agissant sur un corps de guidage consiste en un joug orienté transversale- ment par rapport au sens longitudinal du chevalet ou du groupe pouvant être attache au moyen d'extraction ou à un groupe par- tiel, mobile par lui-même, formant le corps d'attaque pour les cylindre@ d'avancement ou similaires du dispositif d'avance- ment ou également pour le dispositif de direction ou son par- ties; ce joug porte au moins une tige de guidage ou similaires reliée rigidement avec lui à angle droit et pénétrant on glis- sent aveo du jeu dans une chambre du groupe ou du groupe par- tiel.
Cette ou ces tiges de guidage sont inclinable* autour d'un point fixe situé dans une des deux régions extré- mes du corps de base. Le cas échéant, un point d'inclinaison pareil ou similaire est prévu sur le corps de superstructure du dispositif d'étançonnage ce qui permet une inclinaison latérale du longeron à peu près parallèlement avec le corps de guidage, disposé dans la région inférieure du groupe de soutènement, cette solution se recommande surtout dans le cas où un longe- ron , pénétrant dans le corps de superstructure en forme d'un cadre, est supporté par l'aocore d'un groupe partiel,
mobile en lui-même.'
On'peut généralement renoncer à une unité de piston de cylindre supplémentaire ou similaire agissant en sens trans- versal sur le corps de guidage si on met en place comme dispo- sitif de direction non pas-une unité,mais une paire d'unités de piston de'cylindre, mises en oeuvre ensemble ou également séparément e dont l'une attaque à l'une et l'autre à l'extré- mité inférieure du joug transversal du corps de guidage.
:pans un autre développement de la derniers caracté- ristique de l'invention, le joug transversal des corps de gui- dage, glissant dans l'un des deux groupes partiels, est attaché à l'autre groupe partiel, mobile par lui-même, au moyen d'un
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corps en forme d'anneau ou de cadre entourant mollement la région inférieure du groupe partiel, à l'aide du joug transver- aal de ce corps de guidage les mouvements des deux corps en direction verticale sont mutuellement possibles, mais des mouvements basculants exagérée du groupe entoure sont empêches dans n'importe quelle direction.
Cet arrangement permet d'éliminer des difficultés (in- terruptions de liaison , endommagement des pistons de cylindre du corps de guidage, etc) qui se produisent lorsque, au cours de l'avancement successif des groupes partiels, le groupe avan- gant doit surmonter de grec changements de niveau du mur de la veine (comme par exemple des couloirs, nervures et similaires causas par la machine d'axtraction).
En règle générale, il y a lieu de prévoir en outre la formation de cette liaison légèrement élastique et/ou légè- rement articulées dans ce dernier cas, le point d'articulation, utilement mobile en hauteur, est situé de préférence dans la région supérieure de l'anneau ou du,corps en forme de oadre.
L'application de tous ces dispoitifs complémentaires sa manifeste avec un avantage particulier sur des groupes avec les caractéristiques essentielles de l'invention, mais n'en est pas limitée. Ces dispositifs complémentaires sont donc également objet de l'invention comme tels dans l'application à des instal-y lations de soutènement de toute sorte.
,Oi-après, l'invention sera expliquée en détail à l'ai- de de ses modes d'exécution, représentés dans les figures aveo les installations de soutènement montrant ses caractéristiques* - La figure 1 montre l'accore coaxial en vue latérale, partiellement en coupe; - la figure 'la est une vue partielle d'avant de la figure 1, partiellement en coupe également et - la figure 1b est un plan schématique de la figure 1; ,
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- la figure 2 montre un groupe de soutènement à troie pieds, équipé avec un accore coaxial selon la figure 1 en vue latérale; la figure 2a est un plan de la figure 2; - la figure 2b est une coupe selon la ligne . A de la figure 2;
- la figure 20 est un plan à échelle plus réduite d'u- ne forme d'exécution du groupe de soutènement quelque peu modi- fiée par rapport à la figure 2; la figure 3 est un plan d'un groupe de soutènement à trois pieds du genre présenté principalement.en figure 2 dont le dispositif d'avancement est équipe avec une forme d'exécu- tion du nouveau corps de guidage avec dispositif de direction pour le sens de la Marche du groupe; la figure 3a est une coupe selon la ligne B de la figure 3; -La figure 4a montre en plan, à échelle plus réduite, fortement schématisée une autre forme d'exécution d'un groupe de soutétènement en deux parties;
la figure 4b montre également an plan une autre forme d'exécution d'un groupe de soutènement en deux partie la figure 40 montre 'la forme d'exécution d'un grou- pe de soutèrnement correspondant à la raprésentation on figure 4b, quelque peu modifié par rapport à la figure 4b la figure 4d est le plan d'un groupe pouvant se mouvoir dans le pas de resserrage et la figure 4e dans la même représentation une forme d'exécution d'un tel groupa légèrement modifie par rapport a 4d ; la figura 5 est une vue latérale d'une autre forme d'exécution d'un groupe pouvant se mouvoir dans le pas de res- ses age;
, - la figure 5a est un plan où sont montrées uniquement
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les ..parties de la superstructure du groupe total selon la fi- gure 5 ; - la figure 5b est un plan du groupe selon la figure
5 après enlèvement des éléments de la superstructure;
- les figures 5c et 5d sont des vues latérales rédui,- tes du groupe total et le montrent dans deux phases différon- tes de son application! la figure 5e est un plan d'une forme d'exécution légèrement modifiée d'un tel groupe qui permet de reconnaître le dispositif d'avancement et de direction aménagé dans son corps de base} - la figure 6 montre schématiquement une forme d'eé- oution d'un,dispositif automatique limitant la charge. ' Dans l'exemple d'exécution du nouvel accore coaxial représenté en figures 1, la et 1b, le cylindre est désigné par 11, le piston en forme de pot par 12 et l'étançon extérieur, désigné plus haut comme l'étançon A, par 10.
Au fond 13 du pie- ; ton repose l'étançon intérieur 15, designé plus haut comme étançon I avec son cylindre 16; dans le cas de l'exemple d'exé- ou%ion , cet étançon supporte un élément de longeron 14, rela- tivement court.
Les éléments de longeron 18 de l'étançon 10, munis aux extrémités par des plaques de pression 17, 17a, re - posent aux extrémités 22 d'un joug 25 au moyen de corps de 10- gement 21 qui les entourent partiellement par des griffes 19 et sont en forme de demi-sphère dans leur partie inférieure;
le joug 25 est logé au bord utilement renforcé du pistcn creux 12 de l'étançon à 10 par des tenons 23 dans des évidements conce- ves 24 et il entoure l'étançon 1 15 concentriquement à distance, Selon cet exemple d'exécution, les étançons 10 et 15 - dont chacun présente un clapet de surpression 26, 27 et un indicateur permanent de pression 28, 29 - sont alimentés en milieu de pression par la conduite d'arrivée commune 30 à travers le ro- binet à plusieure voies 31sur 32 , éventuellement 33,
34 et 35
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désignent des anneaux élastiques de soutien pour l'étançon I dans le piston.creux 12 de l'étançon A et 36 désigne un dispo- sitif de ressorts comprimé par l'étançon 1 15 presque jusqu'à l'épuisement, de la partie disponible de sa résistance élasti- que comme exemple d'exécution d'un dispositif pour retarder la création de la pression dans le cylindre 16 lors de la mise en oeuvre de l'étançon 1 15.
La'figure 1 montre la situation où l'étançon 1 15 est complètement mis en place avec sa charge normale Après avoir été pourvu en premier lieu par le milieu de pression so- on l'ordre de charge A du groupe selon les explications pré- cödentes. Si'on pourvoit ensuite avec du milieu de pression le platon creux-12, sensiblement plus grand, de l'étançon A 10, l'étançon A remonte en entraînant l'étançon 1 15, situé sur eon sol 13 ou sur le dispositif de ressorts 36 ce qui cependant , n'est possible qu'en surmontant la pression qui s'est créée dans l'étançon I jusqu'à ce que soit atteinte sa, charge nominale ou jusqu'au fonctionnement du clapet de surpression 27, réglé à la pression correspondante.
Lorsque les deux éléments de longeron
18, remontés 'par le piston 12 de l'étançon A, sont arrivés au tott le veine, ils sont soumis à une pression et, dans le cas représenté, chacun à la moitié de la pression qui résulte de la proportion , non utilisée pour la montée de l'étançon I, de la pression orées dans le cylindre 11 de l'étançon A jusqu'à l'obtention du niveau de pression régnant dans la conduite d'ad- mission.
Dans. les figures n'est pas représentée l'application, décrite en détail, d'un clapet de retenue dans l'admission vers l'espace de pression de l'étançon I qui empêche le manque de pression simultané involontaire dans l'étançon A et l'étançon I et qui favorise le processus d'entrée de l'étançon A en cas ¯¯ d'allégement de pression intentionnel.
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.Précédemment furent déjà expliquées quelques-unes des possibilités chiffrées parmi le grand nombre de variations de charge que l'on peut obtenir par la nouvelle construction d'un accore coaxial.
Dans le chevalet à trois pieds, représenté en figu- res 2, 2a, 2b par divers pans ou vues partielles et qui se prête particulièrement à la' réalisation de l'idée fondamentale d de l'invention, la chaussée 50 est formée entre les deux sim- ples étançons arrière 52, respectivement 52a, 52b (figure 2a), vus à partir du moyen d'extraction, et d'autre part par l'acco- re antérieur 49, construit en accors coaxial.
L'accore coaxial
49 supporte, sur le joug 25 de son étançon A 10 au-delà de tê- tes rondes 42 ou 42a, 42b (figures AB, 2b) chaque fois une ex- trémité antérieure de transversaux (coudes) 43, 44 (figures 2,
2a) descendus ou recourbée et, reliés en un cadre 45, des épau- des 46 ou 46a, 46b ( figures 2a, 2b) lesquelles, du coté du remblai, sont étayées par un corps de base 51 en tourne de bâti, assurant la stabilité du groupe solidairement avec 'aooore coacial 49 en forme rectangulaire malgré que les étançons 49,
52a 52b soient disposés en triangle'. 54 désigne une partie du corps de base que l'on peut enlever pour permettre le change- ment de l'accore 49. La forme rectangulaire du corps de base est d'un avantage particulier pour l'appui au sol de l'étançon plus fort avancé et offre en outre la possibilité d'installer des chambres des deux cotés et non sous les étançon,3 afin d'y loger des corps de guidage, des dispositifs de direction,etc.
L'étançon I 15 supporte un longeron 14 dans le cas de ce mode d'exécution. Aux deux extrémités du cadre 45, dans le cas présent aux épaules 46 ou 46a; 46b sont prévis des corps . de liaison 108 pour la mise en oeuvre de coffrages 111 (éven- tuellement par paires) qui peuvent être hydrauliquement pres- aés et descendus vers le toit de veine et munis de préférence de plaques de pression 47 basculables. Ces corps de liaison
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consi6ent selon l'exemple chacun en une fourche 110 aec une cheville de liaison 112 et un mécanisme de coins transversaux 113 qui est mis en action par l'unité de piston de cylindre 114.
La possibilité d'aménager des paires de coffrage aux deux
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extrémités dujchevalet n'est donnée que par le fait quà la 4 forme rectangulaire a été choisie également pour le clAdre de la superstructure malgré la disposition en triangla d4o etan.. çons (figure 2a).
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L'invention prévoit deux possibilités pour ,air: <.,,<n, cer le chevalet avec le même dispositif d'avancement dans le: cas où le chevalet est utilisé tantôt dans une position, tan-
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t6t dans une autre à 1800.
A un moment donné, le dispositif,d'avancemeiit déta- ché du moyen d'extraction et orienté maintenant vers !!Le rem- blai peut recevoir une assise solide vers le remblai où Le groupe s'appuiera en avançant (alors que le dispositif d'avan-
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cement dans la position représentée du chevalet l'entratno. s'attaquant au moyen d'extraction)* ?'ne tellb assise tonsiste
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par exemple ainsi que cela est indiqué par ..a,ple sw tireté dans la figure 2b, en une traverse 105. inclinable et mobi@@ fixée à un chevalet voisin de manière appropriée. Le remblai même pourrait cependant former cette assise également.
En ou*. tre, la possibilité indiquée en figure 3 permet 1'adaptation du dispositif d'avancement duns le groupe, ce qui sera encore explique plus loin.
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Dans la forme d'exécution du groupe de noutènement selon les figures 2 et 2a, le longeron 14 de l'étangon 1 15 qui est monté on premier lieu vers le'toit de veine dans la
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roprésrmtation selon l'ordre de charge A de l'Moore ooaxi,1, a la forme d'un cadre étroit dont les deux épaulez lcrngitudina,. les 14a, 14b (figures 2a, 2b) sont reliées par deux coquilles d'aoilec 41 forint des transvarao,ux , oo qui permet de ddpla-
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ver à volonté le longeron .14 dans sa direction longitudinale sur l'étançon I et de modifier la longueur de ses bras de le- vier.
Sur la plus court bras-levier antérieur est placée dans ce cas une plaque de pression 40, mobile de tout cté, qui déplace la majeure partie de l'effet d'étayage de l'étançon I, # en établissant dans le champ d'extraction une zone 106 (figure 2), libre de contact aveo le toit de veine, sur le longeron 14.. Le cas échéant, des plaques élarigissantes, de préférence i rabattables, 47, peuvent être aménagées dans la région anté- rieure des épaules 46 ou 46a, 46b, étayée par l'étançon A 10.
A rencontre de la représentation exagérée pour plus de olarté dans les figures 2 et 2b, le cardre 45 est déoalé dans la pratique de quelques centimètres seulement par rapport au teit de veine.
La figure 2b mettre en représentation tiretée lea épaules 46a, 46b du cadre 45 remonté vers le toit de veine après terminaison de l'ordre de'charge A de l'acoore ooaxial et mis en charge. Ainsi qu'il ressort des explications antérieures concernant l'ordre de charge A, au cours et en accomplisse- ment de cette mesure, l'étançon 1 15, porté d'abord à sa ohar- ge normale, fut comprimé par le piston remontant 12 de l'étan- çon A 10 jusqu'à l'obtention de sa .charge nominale dont envi- ron 21 000 kp deviennent actifs sur le toit de veine dans le domaine du champ d'extraction dans le cas de l'allongement du longeron 14,représenté en figures 2 et 2a,
par la pièce 107 ou 18 000 kp par la plaque de pression, la charge nowinale étant da 30,000 kp par exemple.
Il faut bien entendu que pour remonter l'étançon A 10 , supportât la partie antérieure du cadre 45, les étions 52a, 52b, supportant la partie arrière du cadre, doivent éga- lement être remontés à peu près parallèlement et mis à leur position. Il faut procéder de pareille manière avec l'ordre
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de charge B qui prescrit, comme expliqué ci-dessus. que des deux étançons de l'accore coaxial, l'étançon A 10 soit le premier mis en oeuvre et, seulement après la fin complète de de processus, l'étançon 1 15 - avec sa charge normale - et que, le cas échéant, la mise en oeuvre de l'étançon 1 15, mis en route auparavant, soit terminée par la fermeture de son clapet.
En ce qui concerne maintenant l'application) égale- ment possible et avantageuse du moyen II pour un tel groupe de soutènement, on comprendra aisément après les expdaéa dé- taillés précédents que la possibilité d'adaptation du groupe total de soutènement aux exigences des conditions du toit de' veine modifiées est multiple tant à des stades successifs que dans un réglage précis, dans le cas de l'équipement de l'aoco- re coaxial 49 avec 10 moyen II (non représenté), les deux étançons individuels 52a, 52b, présentent un espace de jeu favorable pour l'appliuation de ce moyen en raison de leur surface de pistons relativement importante déjà lors d'une pression de-seulement 000 kp/cm2,
par exemple dans la conduite d'admission du milieu. Il est alors en particulier également possible d'approvisionner'les deux élancent indivi- duels 52a, 52b en milieu en accord permanent avec l'approvi- sionnement momentané des deux étançons 10, 15 de l'accore co- axial.
A la fin de chaque avancement, un seul gesle manuel est nécessaire pour ressortir l'étançon 1 15 avec sor longeron et mettre aussitôt sous une première protection efficace l'es- pace libre de taille dans toute son étendue, c'est-àdire, dans la représentation de la figure 2, pratiquement depuis le rem- bla jusqu'à l'extrémité du groupe sur quoi l'homme de service ainsi garanti peut, en toute tranquillité, mettre en action les éléments suivants d'étançonnage dans un ordre qui lui
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paraîtra correct à ce moment.
La figure 2c représente un-cadre de soutènement, un cadre "oompact" aveo un large corps de base (non montré dans la figure); ce cadre se compose d'un'accore coaxial 49 et d'un simple étançon hydraulique usuel 52.'Le corps de longeron 14a est supporté par l'étançon 1 15 et l'étançon 52 alors qu'un cadre de longeron 45a, étendu en longueur et présentant une plaque de déplacement de pression 40a sur son transversal antérieur, est aménagé sur l'étançon A 10.
Dans la coupe représentée en figure 3 par un corps de base 51 également rectangulaire dun chevalet de soutène- ment à trois pieds, présentant une chaussée, on peut observer un dispositif de direction formant une caractéristique spéciale de l'invention, monté dans le dispositif d'avanoement. Dans cette figure, 70 désigne un joug transversal pouvant être relié par exemple par l'anneau 73 au'moyen d'extraction, et qui est relié rigidement à angle droit aveo une tige de gui- dage 71, logée dans le canal 76 du corps de base 51, inolina- ble des deux cotés autour des saillies 77.
L'unité de oylin- dre à piston 72, attaquant sur le joug 70 dans 75, provoque le mouvement en avant du corps de guidage 71 ou; le long de cette tige, 1'entraînement du groupe'de la construction de guidage, préalablement sortie en 73 et reliée au moyen d'ex- traction.
Le nouveau dispositif de direction pour des modifi- cations éventuellement nécessaires dans le sens de la marcha du groupe consiste, selon l'exemple d'exécution, en une ooulis.. se longitudinale 80, actionnée par l'unité de cylindre à pis- ton 78 et dont la fente oblique guidé le tenon 74 de la coulis- se transversale 79. Ces organes, aménagés sur le corps de base 51, dont également représentés en figure 3a qui permet de se rendre compte comment la coulisse transversale 79 saisir la
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tige de guidage 71 au moyen d'un corps de oadra 81 qui permet à la tige un jeu de mouvement vers le haut et le bas.
Selon l'illustration, le dispositif de direction est dans sa position neutre qui correspond à l'avancement a- mentané du groupe dans la direction prescrite. Si le groupe devait se placer lors d'un avancement dans un angle par rapport à la direction de la marche par exemple par suite d'un glau- sement sur un sol trop abrupt, il serait remis dans la direc- tion de la marche comme suit
Tout d'abord le groupe @@êté ou remis en place sera détaché de l'appareil extradteur a\nt que celui-ci n'avance de nouveau.
Ensuite, le corps de gui age 70, 71 et, de ce fait, l'anneau de jonction 73 au moyen du réglage de coulisces 78,
80, 74-, 79, 81 et incliné autour du tenon d'assise 77 dans le canal 76 par exemple en actionnant l'unité de cylindre 4 piston 78 dans la direction de la flèche D en direotion la- térale indiquée par la flèche C.
La.sortie du corps de guida- ge 70, 71 peut alors se produire dans la position indiquée par tireté et ensuite le nouveau couplage de l'anneau 73 sur l'appareil d'extraction, ensuite l'inclinaison du groupe, abaissé à cet effet, dans la nouvelle direction de la tige de guidage 71 par une marche arrière de l'unité du cylindre à piston 78 et finalement le rattachement du groupe au moyen d'extraction par l'action correspondante de l'unité de cylin- dre à piston 72.
Dans le cas d'un groupe de soutënement en deux par- ties pour lequel le chevalet à trois pieds, représente en figure 3, est complété en le faisant précéder de préférence seulement par un groupe partiel antérieur en extension droite comprenant seulement un accore (ou un accore double), le joug transversal 70 de la tige de guidage 71 est relié avec le grou- pe partiel antérieur - dont l'appui 55 est indiqué par tireté
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en figure 3 - (par exemple de manière similaire à l'exemple représenté en figure 5e) et on peut ensuite faire avancer les deux groupes partiels à des pas séparés comme d'habitude.
En outre, il est indiqué par tireté en figure 3 quelles possibilités d'adaptation dans le cas de l'exemple d'exécu- ' tion sont données pour le corps de guidage 70, 71, 73 et le cylindre d'avancement 72 afin de permettre le mouvement du groupe à trois pieds comme groupe sépara en sens contraire comme cela est nécessaire quand le groupe doit Atre mis en service dans l'abattage avec remblartificiel dans un arran- gement orienté vers le re......'blai par son accore compact.
Dans ce cas, le moyen d'extraction est situé devant l'extrémité du chevalet formé par les deux étançons simples.
52a, 52b, de sorte que le dispositif d'avancement, udapté à la nouvelle position, peut être attaché de nouveau au moyen d'extraction.
Les figures 4a à 40 montrent des exemples d'exécu- tion du groupe qui se différencient de ceux selon lus figure% 2,
2a, 2b et 2o en ce que l'accore coaxial 85 est posé sur son propre corps de base (non représenté) et forme l'un des grou- pas partiels, mobile par lui-même, d'un'groupe total en plu- sieurs parties. Selon la figure 4a, le groupe arrière est un cadre de soutènement 60 de deux étançons aveo une chaussée
50, selon la figure 4b, un chevalet de chaussée à tiois pie
86, selon la figure 4c un chevalet à trois pieds 87 plus cout, éloigné.de l'accore coaxial avec l'écart d'une largeur de chaussée 50 et selon les figures 4d et 4e un chevalet à quatre pieds 88 ou 89.
La différence essentielle entre l'eu semble de groupes selon les figures 4a, 4b, 40 et celui ss a les figures 4d et 4e consiste en ceci que dans le premier ou- pe, l'étanç'on 1 15 intéressé de l'accore 85 porte un chape court 61 (ou 90, 91) en forme de plaque et que, sur le jou
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de l'étançon A 10 de l'accore 85, les lonjerons entièrement in- cépendants 52 ou 92,93 sont aménagés; ils pénètrent profonde- ment dana le domaine des groupes 60 ou 85, 87.
Dans l'ensemble de groupes selon les figures 4d, 4e- en disposition inverse - un grand élément de longeron 94, 95 est joint chaque fois à l'étançon 1 15 et, chaque fois, deux plus courts ou courta longerons sont joints à l'étançon A 10 alors que les longerons 96, formés de'préférence en profils de caisse (comme les au- tres longerons) se trouvent, au moyen d'un dispositif de res- sorts longs 101, 102, les pénétrant avec du jeu, en liaison souple avec le cadre supérieur du chevalet 89 et qui permet le glissement indépendant de chacun des deux groupes partiels.
" Lors de l'avancement de l'accore coaxial 85 abaisse, les bras plus longs de ses lonjerons dans les modes de con- struction selon les figures 4a, 4b, 4c peuvent se pose. sur une console 98, disposée en-dessous de la superstructure des grou- pes partiels 60, 86, 87 et dans le cas des exemples selon les figures 4d, 4e sur le transversal 99, recourbé à cet effet vers le bas, du cadre supérieur du chevalet 88 ou 89.
Lors de l'application des groupes décrits loirs de l'abattage avec un remblai artificiel, on peut prévoir) indé- pendamment ou en complément aux coffrages articulés 11 sur le cadre en forme de T du chevalet 86, un large bras eh porte-. à-faux 63 ou un prolongement 64 du longeron 94 ainsi que cela est représenté par tireté dans les figures 4b ou 4d.
Ainsi que cela est visible dans les figures 4a à 4d, le cadre de longeron 62 selon la figure.4a agit sur le toit de veine.par une plaque de déplacement de pression 100b par quoi les borda de ce cadre sont tenue hors contact avec le toit de veine dans leur point d'appui) la sécurité de ce secteur du coit de veine est assurée par le longeron court' 61 de l'étançon 1 15 de l'accore coaxial 85.
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Dano la figure 4c, le longeron. 93 du groupe, en haut du dessin, est équipé avec une plaque de pression 100b, mobile de tous côtés, du genre décrit plus haut, et qui peut être installée à volonté dans des évidements 100e du longeron ou en être enlevée. A l'extrémité opposée, le longeron supé- rieur 93 présente une plaqua de pression 100a soudée. Aucune plaque de pression n'est aménagée sur. le longeron inférieur 93 du même groupe; l'extrémité de son-bras plus court présente seulement un élargissement 100 au même niveau comme cela est également prévu sur le longeron 95 du-groupe selon la figure 4e. La formation particulière d'une plaque de déplacement de pression ou d'une plaque double, mobile eten outre bascu- lante, est montrée en figure 4d sur le bras plus court du lon- geron 94.
Dans ce cas, les deux plaques 100b inclinables au- tour de leur axe reposent sur un bras transversal lequel, in- clinable de son côté dane le plan vertical, est supporté par un tenon pouvant être inséré et retira, disposé sur la face antérieure du longeron 94.
L'exemple d'exécution, représenté dans les figures 5, 5a, 5b, 5e, montre la possibilité 'de séparer l'accore aoax- ial en deux étançons individuels, placés l'un derrière l'autre; afin de former un groupe partiel 115, mobile par lui-même et orienté dans le dessin vers le tas d'abattage, l'étançon 1 15 est enlevé de l'étançon A 10 demeurant dans le corps de base 51 du restant du groupe.qui forme ainsi un groupe partiel 124; l'étançon 1 15 est posé sur une plaque de fond particulière 116. Avec le groupe partiel 124, cet étançon 15 est relié main- tenant uniquement par le dispositif hydraulique d'avancement 72 qui agit sur le corps de guidage 135, 'Il relié avec le corps en forme de cadre 120 entourant le groupe partiel 115.
Pour que l'étançon 15 méthodiquement réglé puisse être porté à une charge plus élevée que la sienne propre, il est inséré -
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avec application partielle au principe ae l'etançon A lu - dans une unité de cylindre à piston 119 en forme de pot, for- mant désormais un renforçateur de charge à course courte, ali- mentée avec possibilité d'un contrôle permanent de pression ;, (indicateur de pression continu). Le piston creux de cette unité, court selon l'illustration( mais qui peut être plus long) est désigné par 118 alors que 117 désigne un cylindre extérieur qui entoure sur une assez grande étendue l'étançon 15 avec le concours d'anneaux de maintien élastiques non re- présentés.
Le coup' de piston de ce renforçateur de charge peut être limité par une butée ou également par un gicleur d'écoulement, dégagé par le piston lors du dépassement de la hauteur de course,
Lorsque le cylindre extérieur de ce renforçque de charge, relié avec la plaque de sol 116, est remonté aune une proportion grande selon l'illustration et, le cas échéant avec des étançons plus longs, dans une proportion encore supé- rieure, il forme alors, en deuxième fonction, un réceptacle pour létançon supporté dans son piston creux. Le cylindre pour- rait être d'une construction sensiblement plus faible pour la fonction seule de renforceur de charge.
Dans les conditions préalables qui exigent la mise en oeuvre permanente de l'accore coaxial dans la forme sépa- rée en deux étançons individuels selon la figure 5, il est possible de remplacer l'étançon A 10, relativement volumineux par un étançon d'environ 25 à 30% plus faible qui -porte ensuite le joug 25 dans une forme appropriée et peut également être équipé par le moyen 11.
. Dans le cas représenté en figure 5, l'élasticité de la partie du longeron 14, soutenu par l'étançon 15, hors con- tact avec la région du toit de veine par l'action de la plaque
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40 résout le problème du dispositif nécessaire pour retarder la-.création de la pression afin de rester maître de la créa- tion de la pression dans l'étançon de telle façon que l'homme de service puisse régler la charge de l'étançon même dans le cas de mesures précises.
Par la visibilité de la mesure de fléchissement, l'homme de service a la possibilité, dans le cas d'une panne éventuelle de l'indicateur de pression per- menant ou si on y a renoncé, de contrôler la création de la pres'sion dans le cylindre et de différencier ainsi, tout au moins sommairement, la charge de l'étançon ou l'efficacité du renforceur de charge de manière suffisamment sûre. Afin de faire connaître encore plus clairement le degré momentané du fléchissement élastique de ce chapeau, notamment en l'agran- dissant optique ment , on peut, par exemple, prévoir de manière simple, ainsi que c'est visible en figure 2, une tige 170 re- lativement longue, située latéralement au longeron 14 et oren- téa dans son sens longitudinal avec un écart ;
cette tige, 'fonctionnant comme indicateur, est fixée par une de ses ex- trémités sur un tenon latéral 171 dans la région de section des axes de l'étançon et du longeron alors que son autre ex- trémité est orientée vers une échelle' d'indices 172 sur le longeron.
Ce dispositif indicateur, aménagé dans la région su- périeure du dispositif d'accore peut, dans le cas de l'utili- sation d'un renforçateur de charge (figure 5) , être replacé par l'aménagement sur l'étançon extérieur de l'étagçon ayacrau- lique d'une échelle d'indices (non représentée) qui devient plus ou moins visible lors du mouvement du piston da renfor- gateur de charge selon le degré du fléchissement duchapeau.
Etant donné que les valeurs ainsi indiqué (3 peuvent être très faibles; il s'avère généralement utile de Les trans-
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mettre à'une plus grande échelle par un dispositif efficace selon le principe expliqué ci-dessus. A cet effet, une tige dentée, abritée bien entendu par un toit de protection, peut par exemple être disposée pour faire tourner une roue dentée coopérant avec elle sur le bord du cylindre extérieur du ren- forcour de charge; le cas échéant, cette rouo actionne un in- dicateur devant une échelle.
Si on n'emploie pas la plaque de déplacement de pression 40 qui peut ne pas pouvoir être mise en service dans certaines circonstances par exemple avec une couche inférieure du toit de veine trop molle, on peut, au lieu du lonjeron 14 à construction non élastique, se servir d'un tout autre élé- ment de retardement comme par exemple d'un dispositif de reu- sorts, visible en figure 1 dans l'accore coaxial; ce dispositif sera placé utilement non pas mous le pied de l'étançon 15, mais à sa tête dans un montage approprié. Dans ce cas égale- ment, existe la possibilité d'installer un indicateur optique du genre précédemment décrit pour observer la création de la pression dans le cylindre ou la création de la charge dans l'étançon.
En reliant les organes fléchissant élastiquement pour retarder la création de la pression dans la chambre de pres- sion de l'étançon avec un indicateur optique quelconque pour ldegré de fléchissement, on obtient un dispositif où l'organe provoquant le retardement de lacréation de la pression prend en même temps la fonction de l'indicateur de pression spécial, autrement nécessaire.
On conçoit qu'un renforçateur de charge d'un diamè- tre sensiblement plus rand que le diamètre de l'étançon .supporté alrs par lui permet d'obtenir un renforcement de la pression jusqu'à la valeur de la charge nominale de son étan-
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çon et cela déjà dans le cas du choix d'une pression du¯milieu située considérablement en-dessous les pressions habituelles (déjà aux environs de 50 kp/cm2 seule.ment); ainsi un espace de jeu des plus étendus est également mis à la disposition en dedans duquel l'homme de service peut installer l'étançon avec une charge différenciée...
Dans les figures 5 et 5b est en outre visible un exemple d'exécution particulier du cadre de support 120 déjà mentionné et qui entoure la partie inférieure du groupe partiel
115, formant le membre deliaison de de groupe partiel avec le dispositif d'avancement ou avec son corps de guidage. Sur ce cadre, ouvert en haut et en bas, permettant à l'intérieur d'es- paces de jeu délimités des mouvementé' relatifs verticaux et des positions obliques du groupe partiel 115 entouré par lui, des fentes latérales 122 sont prévues dans lesquelles pénètrent des tenons de maintien 121 du cylindre extérieur 117 du groupe partiel 115, assurant ainsi la position des tiges de guidage lors du processus d'avancement contre d'indésirables inclinai- sons latérales.
Les figures 5a, 5b ainsi que particulièrement la figres 5e montrent de plus une forme-d'exécution du dispositif pour l'avancement et en même temps pour la direction du groupe, exécution modifiée par comparaison avec celle décrite ci-des- sus à l'aide des digures 3, 3a et 3b: Elle consiste essentiel- lèment en un point fixet prévu sur le corps de fond 51 du grou- pe, en un tenon vertical 130 et en un corps inclinable 131 en forme de U dont les ailes 132 en profil creux servent de guidage en forme de chambres à deux tiges de guidage 71 reliées -transversalement par le joug 133.
Aux extrémités 134 du joug transversal 133 qui supporte le cadre 120, décrit ci-dessus et entourant le groupe antérieur 115, attaquent les pistons des deux unités de piston de cylindre 72. Lors de la poussée
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des tiges de guidage 71 en alimentant le cylindre 72, il se produit d'abord selon l'exemple d'exécution, un guidage des tiges 71 non influençable par les cylindres 72, parallèle à l'axe longitudinal du groupe arrière jusqu'à ce qu'elles en- trent par leur extrémité 135 en 137 dans les chambres 136 stables qui permettent une inclinaison limitée des tiea 71 et complètent les guidages 132 en forme de chambres.
A partir de ce point d'entrée et selon que l'un ou l'autre cylindre
72 est alimenté à part, une inclinaison latérale des tiges df, guidage 135 autour du point de cotation 130 du corpe en U 131 devient possible et ainsi également un'changement de direct..*-! du groupe avançant dans les limites indiquées par tireté en figure 5e. Les amincissements coniques 137 des régions de chambre 136 fixes - et qui peuvent être déplacés plus près de l'extrémité des chambres 132 du corps en U 131 dans leur fonction dirigeante du dispositif d'avancement - provoquant la remise indépendante du groupe 124 entraîné à la fin du pirs cessus d'avancement dans sa position parallèle aux tiges 71 par inclinaison des extrémités 135 des tiges, pénétrant dans les amincissements, autour du point de rotation 130 en posi- tion neutre.
Un dispositif d'arrêt comme par exemple un tenon pouvant être placé en 140, permet la fixation du dispositif dans une direction prédéterminée ou une restriction de son efficacité à une proportion donnée par la jeu restant disponi- (le duns les chambres de glissement 132. Le cas échéant et notamment si les mouvements d'inclinaison exigées sont faibles, on peut aussi renoncer à créer la possibilité d'incliner les chambres de glissement.
Lors des circonstances aggravées du mur d'une veine, particulièrement en cas d'affaissement, afin d'étayer le pro-
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cossus d'inclinaison décrit, le cas exhéant également pour le travail même, on prévoit la mise en 'service d'une unité spé- ciale de cylindre à piston 138 - agissant directement ou par un tringlage 141 sur les extrémités de chambre 139 ou seulement sur l'une d'elles- ; à sa place peut le cas échéant interve- nir un dispositif mécanique (par exemple un pivot ou similai- re).
Un dispositif de direction dans la manière décrite est applicable - dans une construction chaque fois appropriée dans une quelconque forme d'exécution d'un groupe en deux par- ties, avancé en deux marches séparées, avec les mêmes avanta- ges. Son emploi est cependant également possible sur des grou:. pes en une seule partie (par exemple sur ceux selon la figure
2). Une condition. préalable pour leur efficacité est la sta- bilité de l'aocore 115, supportant le corps de guidage 70, 71, contre une torsion autour de son axe.
En figure 5a, est représenté ensuite un exemple com- ment peut être rendue possible une inclinaison du longeron
14 du corps de superstructure du groupe total à peu, près parallèlement avec les mouvements d'inclinaison du nouveau corps de guidage décrit. Ainsi que cela est indiqué en tireté, il est prévu, à cet et-et, une cuve de guidage 131 qui reçoit par ses arêtes latérales 150 le longeron 14, soutenu en 151;
cette cuve est placée sur la superstructure 46a, 4Eb en forme de cadre du groupe partiel 124 et peut être logée avec pos- sibilité d'inclinaison moyennant un tenon 130a, monté à peu près coaxialement, dans une perforation (ou de manière simi- laire) pratiquée sur le transversal 44 du corps de superstrac- ture - le tout de façon similaire au corps inclinable 131 u- tour du tenon 130 en figure 5b.
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Dans de.nombreux cas, l'utilisation de saillies de paroi opposées - pareilles ou similaires aux arêtes 77 dans les chambres de glissement 76 en figure 3) - peut suffire comme assise d'inclinaison pour le corps de guidage inférieur ainsi que pour le longeron supérieur 14 pour le groupe de sou- tènement selon les figures 5a, 5, 5b, 5e.
Dans les exemples d'exécution, représentés dans les figures 5, 5a, l'extrémité arrière du cadre de supersteuc- ture 45 peut de plus être munie avantageusement d'une plaque de pression 47 basculante, représentée en figure 2, ou d'une plaque de pression 48 fixe ou mobile, indiquée en figure 5.
Par 113 sont désignés des mécanisme.s à clavette, actionnés par 1'.unité de piston de cylindre 114 pour incliner les chapeaux de coffrage 111 en haut et en bas. Dans les cas des figures 5c et 5d, le groupe est complété par l'aménagement du prolon- gement 107 sur le longeron 14 et par des coffrages 111 égale- ment à l'autre extrémité du chevalet 124. afin de le mettre en oeuvre pour l'abattage avec reublai.
Alors que la figure 5a représente le groupe de soutâ nement dans sa nouvelle position terminale, après l'apport compiet du remblai et avant le commencement de l'ex- traction dans-le nouveau champ d'abattage - pour plus de clar- té, les éléments de superstructure du chevalet 124 sont des- sinés ici, contrairement à la réalité, dans une position non' encore remontée vers le toit de veine - , la figure 5d donne de nouveau la'situation occupée par les deux groupes partiels aprbs dégagement du nouveau champ d'abattage, avancement du moyen d'extraction et entraînement du groupe partiel 124 se trouvant alors en avant sans toutefois être complètement on place.
La figure 6 représente un exemple d'exécution du dis- positif proposé pour limiter la charge automatiquement, qui
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peut également être débranché et qui.se distingue par sa sim- Plicité particulière et sûreté d'exploitation.
Selon cet exemple, le dispositif consiste en une ob- turation secondaire II, déviée à partir de la conduite d'ali- mentation en milieu de pression de 1! étançon hydraulique - conduite qui présente généralement, partant du clapet de ré- glage S, un clapet de verrouillage A 1 ainsi qu'un clapet de surpression B 1, déterminant la charge nominale de l'étançon dans l'obturation secondaire II sont'montés un clapet de ver- rouillage A 2 et, le suivant, un clapet de surpression B2 pou- vant être réglé ou déjà rélé sur le' degré de charge momentané, puis un clapet de retenue entre le-clapet de surpression et la chambre de l'étançon.
La conduite d'obturation secondaire, 6quipée avec les trois organes nommés, agit comme dispositif automatique de imitation de charge en tant que le clapet de surpression
B C, re@@@ à une pression réduite par rapport, à la charge max- imale, réagit dijà à cette pression plus faible du milieu lors de l'alimentation de l'étaniçon par le milieu de pression au moyen de la conduite; le dispositif empêche ainsi la création dans la chambre de l'étançon, d'une .pression possible, dépas- sant la pression du milieuproduite' du côté des pompes.
Après verrouillage de l'arrivée du milieu (par fer- ,mature du clapet A 2), le clapet de-retenue empêche tout écou- lement, autrement possible) du milieu à partir de l'étançon par le clapet de surpression B2 et permet ainsi dans l'étan- çon la création de la pression possible sous l'influence de . la roche se produisant jusqu'à l'obtention de la charge nomi. nale..
si à l'équipement total décrit de l'étançon on ajou- te par un indicateur de pression du -milieu, constamment dis- ponible, il en résulte encore d'autres possibilités avantageu-
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L'installation de l'indicateur de pression dans l'ob- turation secondaire II permet de limiter à volonté, même manu- ellement, la création de la charge dans l'étançon dans l'éten-. due au-dessous du degré de charge, déterminé par le clapet de surpression B2.
Par l'ouverture des deux clapets de verrouillage A1 et A2, l'indicateur de pression peut toujours être consulté pour le contrôle du clapet de surpression B2 lors de son ré- glage à un autre degré de pression. Cette possibilité existe également si l'indioteur de pression est monté dans le chemin de conduite I.
Dans ce dernier cas - en comp@@ment des possibilités mentionnées pour limiter la charge par le ch@@in de conduit II - une limitation de charge, commandée manuelle@@ peut s'effectuer également au-dessus de la charge, déterminée le clapet de surpression B2.
L'application des diverses caractéristiques.de l'invention n'est pas limitée aux groupes ou dispositifs à l'aide desquels elle fut décrite ou son utilisation exposée ou son application recommandée. L'invention embrasse plutôt tous les dispositifs de soutènement où l'application de ces caractéristiques indépendamment ou dans une combinaison quel- conque est possible et avantageuse.
Ainsi est-il manifeste que les possibilités d'appli@@ cation du dispositif automatique pour limiter la charge, décria en derier lieu, ne se bornent pas à des groupes hydrauliques pour étaycr le toit de veine ou à leurs étançons et aux ren- forçateurs de la charge d'étançon dans les forme;,, spéciales d'exécution, préalablement décrites en détail, mais qu'il est aussi possible de les utiliser également pour limiter la char- ge d'accores hydrauliques de toit de veine quelconques, ensuite aussi pour des dispositifs d'assise (pistolets d'assise) d'é-
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tançons hydrauliques du système dit ouvert ainsi que pour des dispositifs d'assise hydrauliques d'étançons mécaniques;
ainsi est créée la possibilité de porter à une charge quelconque, limitée chaque fois par les conditions d'un cas donné, de tels étançons où un nouveau milieu de pression est imprimé dans lies- pace de pression à chaque installation de l'étançon.
Il est également bien entendu que notamment la con- atruotion d'un corps de guidage, représenté en figure 50, sous forme de deux tiges de guidage, reliées par des traver- ses, et de deux cylindres d'avancement qui y sont prévus, peut trouver avantageusement son application également dans des monogroupea à trois étançons, ceux par exemple selon les figu- res 2, 2b., REVENDICATIONS
1.- Procédé pour étançonner un toit de veine dans des exploitations d'extraction au fond par un élément hydrau- lique d'étançonnage, formant de préférenoe une partie d'un groupe d'étançonnage,
caractérisé en ce que la force d'étay- age de cet élément d'étançonnage est mise en action différen- ciée envers le toit de veine selon les variations des condi- tions du toit de veine localement ou dans le temps et par le choix d'une ou de plusieurs des possibilités d'efficacité, réu- nies en lui par sa construction et/ou son équipement.