<Desc/Clms Page number 1>
Perfectionnements aux émetteurs de faisceaux lumineux et appareils
EMI1.1
Incoporant ces émetteurs.
La présente invention concerne les émetteurs de faisceaux lumineux et a pour but ae procurer un appareil pouvant être utilisé pour émettre 'un faisceau lumineux ayant une très faible divergence au moins aans un plan, de i'açon qu'au moins une dimension de la section transversale au faisceau soit très petite, même à une
EMI1.2
alstance cons1C1éraeJ.e de liécetteur.
L'invention concerne aussi aes appareils 1norrport ces émetteurs de faisceaux minces ainsi que des récepteurs servanca
<Desc/Clms Page number 2>
détecterces faisceaux..
Une application ao la présente invention est la géodésie, , mais l'invention peut trouver de nombreux autres utilisations.
En géodésie, l'appareil ae la présente invention peut être utilisé pour remplir certaines des fonctions a'un théodolite et procure un appareil plus perfectionne et plus précis que le niveau à lunette généralement utilise jusqu'ici pour des levées. de terrain. Dans le cas du nivau a lunette on vise à l'oeil une mire de nivellement et l'appareil est agence de façon à établir une ligne horizontale de collimation, grâce à quoi on peut mesurer les distances respectives par rapport à la terre de la ligne de collimation à hauteur du niveau à lunette et à hauteur de la mire de nivellement.
Le niveau à lunette a pour Inconvénient qu'il exige une bonne visibilité sans la moindre brume ni le moinare miroite- ment afin ae pouvoir établir avec précision la ligne de collima- %ion, En outre, la portée maximum du niveau à lunette est de 100 m environ. En outre, il y a la possibilité a'erreurs humaines a causa de la fatigue de l'oeil en particulier et de la fatigue en général.
La présente invention consiste en un émetteur de fais- ceau lumineux comprenant une source de lumière et un moyen de foca- lisation capable de produira une Lage d'au moins une partie ae la -source lumineuse a une certaine aistance ae l'émetteur, le moyen ae focalisation consistant en ou comportant un miroir parabolique dont la surface a une précision meilleure qu'une longueur d'onde de la lumière visiple,
La présente invention consiste aussi en un appareil de mesure incorporant un émetteur de faisceau lumineux conforme au paragraphe précéaent et en un récepteur comportant un moyen pour détecter le faisceau lumineux provenant au détecteur et pourvu d'un servo-mécanisme permettant d'aligner le moyen détecteur sur l'émetteur, au moins dans un plan.
.
L'expression "précision meilleure qu'une (ou toute frac-
<Desc/Clms Page number 3>
tion d'une) longueur a'onae de la lumière visible" est une expres- sion couraient utilisée paroles fabricants ae télescopes et concerne la précision de polissage de la surface d'un miroir ou a'une lentille. La lumière utilisée pour vérifier cette précision est normalement de la lumière de sodium qui a une longueur d'onde moyenne de 5893 A, La longueur a'onae cont question dans la défini- tion de la précision requise pour la présente invention peut être .
. considérée cornue la longueur d'onde ae 5893 A.
Dans son application à la géodésie, un émetteur de faisceau lumineux suivant la présente invention est utilisé en association avec un ou plusieursrécepteurs de faisceaux lumineux afin d'établir la ligne de collimation sans qu'un opérateur doive :raire une visée précise, l'effort visuel se limitant à un aligne- ment approximatif ae l'émetteur sur un ou plusieurs récepteurs.
Le ou les récepteurs peuvent être pourvus d'un servo- mécanisme permettant un alignement automatique par rapport à l'ima- ge produite par la source lumineuse.
Les particularités et avantages ae la présente invention
EMI3.1
ressortiront clairement ae la tieseriptidh donnée ci-après ae plusieurs formes 4' ex4cutian représentées, a-titre d'exemple, aux dessins annexes, aans lesquels: la Fig. 1 est un plan optique schématique d'un émetteur ae faisceau lamineux suivant la présente invention; la Fig. 2 est une coupe longitudinale verticale d'un émetteur de faisceau lumineux semblable a celui représenté a la
EMI3.2
Fig. 1 mais incorporant un aispo53.ti' 4e visée vertical; ¯ ¯ ..,--.I.¯a..rlg. 3 montre la forme de l'image focalisée produite ,f"ftit:"'" "t= ..-. b'" -- . -... ...,:..- ,1.1""'" ".oJO;.","'- >t' r- 1 f - --+'f'" --- par un émetteur ae faisceau lumineux suivant la présente invention;
la Fig.4 est une vue partiellement schéma-tique-en élévation d'un récepteur pouvant être utilisé avec l'émetteur de la Fig. 1; .La Fig. 5 est une coupe transversale raite suivant la
<Desc/Clms Page number 4>
EMI4.1
ligne E-R ae 1a 1g. 4; . la r'ig. 6 est un SCr.E:;:13. synoptique au circuit électrique au récepteur représenté à la fig. 4; et, la ig. 7 représente une l'orne modifiée du récepteur représenté à la fig. 4.
Cornue la Fig. 1 le montre., l'émetteur comprend un boî-
EMI4.2
tier tubulaire 10 pouvant avoir un diazérre ce 178 mm et une longueur ae 95 cm, ce boîtier étant monté de façon appropriée sur un trépied (non représenté), une source lumineuse 11 à rendement élevéétant contenue dans le boîtier. Dans la l'orme d'exécution représentée, la source lumineuse consiste en un filament de tungstène 12 contenu dans une enveloppe évacuée dont le fond est argenté en 13. Le filament a la forme d'une spirale et, lorsque ce filament est chauffée il produit une ligne de lumière intense le long ae l'axe de la spirale.
Comme le dessin le montre, la ligne de lumière intense est horizontale et perpendiculaire à l'axe du Doltier 10. La source lumineuse est située derrière un miroir parabolique 14 percé d'une petite ouverture 15 en son centre, cette . ouverture étant concentrique par rapport au centre du miroir. Le
EMI4.3
miroir peut avoir, par exemple, un 4ia :ètre ae 152 mm et une ouverture 2U aon-nant une distance focale de 122 cm. La aistance entre le filarent. i2 et la surface réfléchissante du miroir 14 peut être ce 51 z9ù et peut âtre renaue réglable au moyen d'un méclanisme non représenté.
La luaiere produite par le filament 12 traverse l'ouvertare 15 au centre du miroir 1 pour atteindre un.miroir optiquement plan 16 situé à une.distance de la surface . réfléchissante du miroir 14 PQUvant'à1 - de 584'',lesjieuxmij-'..,-... roirs étant coaxiaux. Le diamètre du miroir plan 16 est léger- . ment. supérieur a la moitié du d1rEitr au miroir 14 et pout-Stre . de.?9,4 no. De préférence le miroir 16 est monté da façon à pouvoir décrire un mouvement limité de long de l'axe au tube 10, et dans ce cas, la lampe 11 est montée fixe. La plage de réglage ou
<Desc/Clms Page number 5>
de déplacement du miroir 16 peut être, par exemple, de 178 mm de sorte que la distance maximum entre les deux miroirs est de
762mm.
La lumière quitte le filament 12 pour traverser l'ou- verture 15 du centre du miroir 14 et est réfléchie en arrière par le miroir 16 sur la suri'ace reiléchissante au miroir 14 d'où la lumière est à nouveau réfléchie vers 1'avant jusqu'à un point distant où se forme une imge claire du filament 12. La finesse de focalisation ae cette image projetée peut être aisément réglée avec précision à l'aine d'un réglage approprié par vernier qui fait varier ae façon progressive l'écart entre les miroirs 14 et 16. Ce réglage do focalisation est avantageusement étalonné en unités de distance de façon qu'a ces distances, l'image proje- tée soit focalisée de façon précise.
Les distances peuvent varier, par excmpleentre 23 m et un maximum de 640 m, ceci par bonds ap- propriés,, mais un réglage de l'écart entre miroirs de 178 mm comme précité permet d'obtenir une image clairement définie a toute distance comprise entre 2,75 m et la distance maximum au faisceau qui dépend évidemment de la puissance ae la source lumineuse.
La section transversale ae l'image lumineuse focalisée 20 est représentée à la Fig. 3.
Le fonctionnement satisfaisant du système optique entier . en fonction des paramètres-requis dépned de la précision optique ces miroirs 14 et 10 qui avivent être polis de façon que leurs surfaces aient une précision meilleure qu'une longueur d'onde ' et, de préférence, meilleure qu'une demi ou même qu'un dixième de longueur a'onde de lumière visiole. Comme il a aéja été dit, la longueur d'onde en question est la longueur d'onde moyenne de la lumière de sodium, c'est-à-dire 5893 A.
Divers dispositifs de réglage, de fixation et c'indica- tion peuvent être montés de façon à pouvoir monter et faire fonc- tionner instantanément et de façon précise l'émetteur entier ae
<Desc/Clms Page number 6>
la manière voulue. Parmi ces dispositifs, on peut citer un moyen précis pour établir une référence précise de verticalité comme un niveau à bulle de grande longueur et très sensible monté avec grand soin afin d'être exactement parallèle à l'axe du miroir 14, un autre niveau à bulle plus petit monté perpendiculairement au premier, un tube de visée, un compas magnétique et des moyens de réglage, le tout comme on en utilise, par exemple, dans des niveaux , geodésiques et aans les théodolites connus.
Le boîtier tubulaire
10 peut être pourvu d'un cercle horizontal, d'un cercle vertical et d'autres moyens de réglage comme on en utilise aans les tnéoao- lites connus, le tout attaché à une tête de nivellement ordinaire ou tripode constituant la monture à la partie supérieure du trépied. De cette manière, le système optique de l'émetteur peut être réglé avec aisance et une précision absolue sous tout angle requis en fonctionnement normal. Un fil à plomb est attaché au bas de l'axe vertical pour indiquer la moment où l'instrument occu- pe une position centrale au-dessus d'une marque faite au sol. Un peut aussi utiliser un niveau à lunette.
L'émetteur peut être modifié en y ajoutant un prisme' optique à réflexion totale 17 comme celui représenté à la Fig. 2, afin de pouvoir effectuer des alignements Verticaux. Le prisme 17 est du type aéviant la lumière à 90 sans dispersion. Le prisme est monté sur une monture 18 rapidement détachable qui peut être fixée à la partie avant du boîtier de l'émetteur ae façon à pouvoir décrire, par rotation, un arc de 180 , de manière à diriger le faisceau lumineux sortant de l'émetteur suivant tout angle d'élévation entre la verticale vers le haut et la verticale vers le bas, ceci sans déformation de l'image finale.
Pour déterminer et établir ces niveaux et des angles, dans un plan horizontal, l'image optique-ment projetée par la source lumineuse qui peut consister en un filament de tungstène approprié, est nettement''focalisée à hauteur d'un récepteur sous la forme
<Desc/Clms Page number 7>
@ d'un rectangle horizontal de lumière riche à la fois en rayons infrarouges et en rayons visible$, le maximum d'intensité se pré- sentant le long ae la ligne centrale de l'axe horizontal de l'image. La dimension au rectangle de lumière dans le plan hori- zontal est considérablement plus grande que.sa hauteur qui est' fortement restreinte, comme représenté en 20 sur la Fig. 3.
Dans son application à la géoaésie, l'émetteur de fais- ceau lumineux représenté à la Fig. 1 peut être utilisé avec un ré- cepteur directif comme celui représenté à la Fig. 4. L'émetteur projette une image de la source lumineuse le long d'une trajectoire horizontale et le récepteur directif détecte la hauteur de la ,-ligne centrale horizontale de l'image au-aessus du niveau du sol à hauteur au récepteur. Lorsque l'axe airectif au récepteur est .en alignement nvec le plan horizontal contenant l'axe airectif de l'émetteur, une mesure verticale de la hauteur de l'axe directif du récepteur par rapport à la terre donne une mesure ae la distance verticale entre le sol à hauteur au récepteur et l'axe directif ae la lumière projetée par l'émetteur.
Pour que le récepteur puisse faire la distinction entre la lumière ambiante et l'image lumineuse projetée, ce récepteur est pourvu d'un ou de plusieurs tubas longs et plats àcnt la sec- tion transversale correspona a la l'orme de l'image lumineuse foca- lisée 20 représentée à la Fig. 3. Le tube ou chaque tune est ou- vert à une extrémité et comporte un élément photosensible à son autre extrémité. Les parois intérieures aes tuoes ont des surfaces aosoroant la lumière, ce qui permet ae s'assurer que oeule la lumiere venant ae 1'émetteur peut traverser les tubes et frapper les surfaces photosensibles.
Le récepteur représenté à la Fig. 4 comprena un organe 21 éliminant la lumière ambiante et se composant de trois tunes plats et longs 22, 2 et 24 ouverts à une extrémité et pourvus à leur autre extrémité d'éléments photosensiples 25, 2b et 27. Ces
<Desc/Clms Page number 8>
éléments photosensibles sont représentés à la Fig. 5, celle-ci montrant que la forme de ces éléments correspond à la section transversale des ouvertures 22, 23 et 24.
Le dispositif éliminant la lumière ambiante peut avoir une longueur de 457 mm et peut comporter, en outre ,une coulisse de prolongation a son extrémité ouverte permettant d'en augmenter la longueur pour augmenter l'effet d'élimination de la lumière ampiaote, si nécessaire.
Les éléments photosensibles peuvent être des cellules photoconductrices du type à sulfure de cadmium comme le type
Nullard ORP 94, ou bien il peut c'agir de cellules au séléniure de cadmium ou au tellurure de caumium
Le dispositif éliminant la lumière ambiante.'21' est attaché a une tête tournante 28 portée elle-même par un montant central 30. Ce montant peut monter et descenare sous l'action d'un moteur électrique réversible 31 qui agit, par l'intermédiaire d'une boite à engrenages 32, sur une commande par pignon et cré- maillère 33. Le moteur 31 peut être commandé a la main à l'aide d'un interrupteur 38 actionné par un levier 39 représenté dans sa position centraled'arrêt.
Le levier 39 peut être ramené vers le haut ou vers le bas pour faire monter ou descendre l'organe 21, respectivement.
En fonctionnement, le récepteur est placé en ligne avec l'émetteur et a toute distança jusqu'à un maximum de 600 m de l'émetteur. On met ensuite l'émetteur en marche et on règle le trépied de façon que le faisceau de l'émettour passe aans la plae de réglage de l'organe 21. Le montant central 30 estentièrement rentré, ae façon que le faisceau passe exactement au-dessus. de l'organe 21.
On regle l'émetteur et le récepteur do façon que leurs axes directifs soient horizontaux et ue façon que l'axe direc- tif au récepteur se trouve dans un plan vertical contenant l'axe directif de l'émetteur ou de façon que cet axe se trouve au moins
<Desc/Clms Page number 9>
à l'intérieur de la divergence angulaire du faisceau transmis.
Un commute ensuite l'interrupteur 38 aans sa position supérieure de façon que l'organe 21 soit remonte par le moteur électrique 31.
Lorsque l'organe 21 a monté suffisamment pour que la lumière de l'émetteur passe par l'ouverture 23 et frappe l'élément photosen- sible 25, la modification de résistance électrique de l'élément 26 provoque l'actionnement d'un circuit de commande 34 qui déconnecte l'interrupteur de commande manuel 38 et alimente un circuit d'équiliorage 35 consistant en un circuit en pont ordinaire. Les éléments photosensibles 25 et 27 sont électriquement reliés chacun ae façon à constituer un aras au circuit en pont, ce circuit for- çant le relais 37 à arrêter le moteur électrique 31 lorsqu'il est en équilibre. Le circuit de commande 34 contient ainsi une commande de supplantation qui est elle-même influencée par le niveau d'é- clairement frappant l'élément 26.
C'est ainsi que lorsque le niveau d'éclairement frappant l'élément photosensiole 26 atteint une valeur suffisamment supérieure au niveau de la lumière ambiante, le circuit en pont est mis en marche et tcut déséquilibre entre la lumière frappant 1'élément 25 et la lumière frappant l'élément 27 provoque un signal ae déséquilibre qui actionne un circuit de com- 'mutation polarisé incorporé aans Le circuit d'équilibrage 35 met- tant lui-même en marche .Le moteur 31 dans le sens de rotation voulu pour éliminer le signal d@ déséquilibre.
Lorsque l'équilibre est atteint, le relais 37 déconnecte l'alimentation électrique au moteur électrique 31, ce qui arrête l'organe 21 qui est alors en alignement avec le faisceau lumineux projeté par l'émetteur. Si l'axe directif'de l'organe 2!se trouve plus haut que l'axe direc- tif au faisceau lumineux projeté ae sorte que plus ae lumière frappe l'élément 27 que l'élément 25, le circuit ae commande 34 actionne le circuit de commutation polarisé ae façon que le moteur entraîne le montant central vers le bas jusqu'à ce que les axes directifs se trouvent dans le même plan horizontal.
Le circuit ae commande
<Desc/Clms Page number 10>
34 contient une résistance réglable'à la main et une photorésistan ce servant à la commande respectivement manuelle et automatique ' de la sensibilité genérale de l'élément 26 et du circuit 34 combinés. combines..
La circuit électrique du récepteur est alimenté par une batterie 40, par exemple une oatterie type RIFE de 24 volts. En outre, une lampe de signalisation'rouge 41 est prévue et agencée de façon à être allumée lorsque le moteur est en marche. Le récep- teur est-aussi pourvu d'un dispositif de visée, comme un viseur de télescope ou un viseur d'arme à feu, ainsi que d'un niveau, par exemple un niveau à bulle, monté de façon a être exactement paral- Lèle à l'axe longitudinal de l'organe 21.
La hauteur précise au-dessus du sol de l'axe airectif du x'aisceau lumineux projeté peut être mesurée au moyen de tout dispositif connu, comme une échelle graauée attachée au montant central et une flecne solidaire au trépied, ou un indicateur avec potentiomètre étalonné, ou encore une jauge de hauteur avec un contact ae terre de référence. Le récepteur peut être étalonné de façon claire afin de pouvoir lire facilement des différences de niveau. La précision d'une telle mesure de hauteur peut tre meilleure que 2 mm.
Dans le cas de l'agencement décrit, le moteur s'arrête lorsque la ligne centrale de l'organe 21 se trouve dans le même plan horizontal que l'axe directif au faisceau lumineux provenant de l'émetteur, et le moteur ne s'arrte que lorsque l'organe 21 arrive à cette hauteur et à aucun autre moment, sauf lorsqu'il est arrêté à l'aide a'un interrupteur 38 ou par-des interrupteurs de fin de course situés'aux extrémités de montée et de descente. au montant central.
L'autre type de récepteur représenté à la Fige 7 com- porte aussi un aispositif d'élimination de la lumière ambiante qui portecans le cas considéré, la référence 118. L'organe 118
<Desc/Clms Page number 11>
diffère de 3.'organe 21 représenté à la Fig. 4 en ce qu'il consiste en un seul tube plat. Le tube a une ouverture 120 à une extrémité et un élément photodsensiple 121 à l'autre extrémité.
' Cette rois encore,'le'dispositif d'élimination de la lumière ambiante est attaché à une tête tournante portent la ré- férence 126 et portée par un non tant central 127. Ce montant glis- .se dans une monture portée par la tête 125 du trépied; le montant peut être relevé à la main et peut redescenare sous l'effet de la pesanteur. Une crémaillère 131 a été gravée dans le tube 127 et cette crémaillère entraîne un'pignon en Aylon 130 monté sur un axe 140 relié à un compteur d'élévation 123 par l'intermédiaire . d'un embrayage a commande électromagnétique 128.
En cours de fonctionnement l'émetteur et le récepteur sont réglés de façon que leurs axes d'émission et ce réception soient horizontaux et se trouvent dans le même plan vertical, ou tout au moins ae façon que le plan vertical contenant l'axe de réception soit compris dans l'angle de divergence du faisceau transmis. Le compteur 123 est initialement mis à zéro, le tube
127 étant entierement rentré et l'embrayage 128 étant embrayé à la main.'On remonte ensuite l'organe 118 a sa position la plus haute possible, c'est-a-aire avec le montant central 131 entière- ment sorti et on regle le trépied 125 ae façon que le faisceau de l'émetteur passe aans la plage ae emplacement ae l'organe 118.
Comme l'embrayage est emorayé, le compteur mesure la hauteur ae l'axe au tune 118 au-dessus d'un niveau ae référence dans la tête
125 au trépied. On déconnecte ensuite l'cmbragage 128 et on laisse descendre au compteur. 123vers le sol un ruban ou un fil de référence (non représentée Ce ruban est enroule sur un autre axe qui commande le compteur 123 et le nomore de tours au compteur équivaut a la hauteur au niveau ae référence par rapport au sol, de sorte que le compteur mesure maintenant exactement la hauteur de l'axe au tube 118 au-dessus au sol,
On réembraye manuellement
<Desc/Clms Page number 12>
EMI12.1
Ile.-4brayaZe 125 et on relâche lorgane 118 qui descend sous l'effet
EMI12.2
de la pesanteur. L'axe 140 peut porter un volant et un dispositif
EMI12.3
'de limitation ae vitesse pour que le tube 118-descende a vitesse zur con3tance, si cela est nécessaire. Lorsque le faisceau lumineux venant de 1.' ée 4 ters pénètre dans le tube 11S et frappe la cellule pnotosensibie 121, .la modification ae résistance électrique de la cellule force une Dascule de Sc"tt 122 à fonctionner de
EMI12.4
.
EMI12.5
nani"à=f a alimenter un solérolae corar:aant l'ezrarayabe 128, 1.'eï;crayage se desrayant et restant débrayé.
L'emorayage 128 se . dénraye aonc à 1''instant où i'axe au tuoe 118 se trouve dans le
EMI12.6
mené plan horizontal que l'axe directif au faisceau lumineux ae
EMI12.7
1'émetteur de sorte que, lorsque le compteur 123 slarrte, il mesure la hauteur de l'axe airectif de leémetteui au-aessus du sol
EMI12.8
à hauteur au récepteur.
EMI12.9
L'enbrayaùe 128 et la compteur 123 sont enfermes , aans up. boîtier 124 et le tout est alimente par une batterie 137 qui,' z peut étre, par exemple, une vattorie au mercure. Un interrupteur 132 comnana6 par un levier L33 est prévu pour la mise en marche de i'alimentation et une lanpe 134 s'allume pour indiquer que
EMI12.10
L'alimentation est en Egrené.
EMI12.11
On remarquera que le tube .L27 continue à descendre lorsque iembrayage s'ée;t déorayéjt alors que le compteur 123 reste fixe. L'* embrayage coit 3tre réembrayé à lamain après remise à zéro du compteur pour connencer une nouvelle mesure.
Les moacs ae fonctionneaent décrits ci-dessus sont aussi applicables au type de mesure ait en géodésie l*établissement à'ang.tes verticaux et ae aécliv4,tés, y compris la détermination ae déclivités par rapport à des angles a'iraelirai50n établis au préalable, En ces cas, en eadilt a'aopra une référence verticale et Horizontale exactes au moyen de c::zposilûil's mont6s à cet effet
EMI12.12
sur l'émetteur et le récepteur, et on pointe ensuite avec précision
EMI12.13
a l'ar.8le voulu u/élévation ou ae plongée au boltiet ae l'émotteur
<Desc/Clms Page number 13>
et de la tête du récepteur par rapport aux données établies.
La série finale coopérations est en suostance la même que celle décrite pour déterminer des niveaux dans un plan horizontal*
Pour rendre l'ensemble plus mobile, l'émetteur et le récepteur peuvent être montés sur aes plates-formes mobiles.
L'émetteur et le récepteur peuvent être pourvus ae niveaux automatiques que l'on combine avec des commutateurs élec- triques appropriés de façon que la source lumineuse de l'émetteur ne puisse être mise en marcne que lorsque le système optique est pointé suivant des coordonnées précises aans un plan de niveau, c'est-à-dire aussi bien horizontalement qu'en azimuth. Un procède de niveau automatique de ce genre peut consister a monter la partie correspondante de l'équipement dans une suspension prenant sà position liorement sous l'effet ae la pesanteur.
Si cela est nécessaire, la largeur dans le sens horizon- tal au faisceau peut être faite très grande, par exemple en utilisant un mince filament très long comme source lumineuse* eci rena plus aisée l'utilisation ae plusieurs récepteurs avec un seul émetteur*
Un circuit électronique et un mécanisme de commande ae moteur approprié peuvent être incorporés dans l'émetteur pour que celui-ci pointe automatiquement sur le récepteur.
Le récepteur peut composer aussi une commande d'enre- gistreur automatique enregistrant toute hauteur lue sans que l'opérateur aoive y porter son attention. Un procédé pourrait con- sister a fixer un potentiomenTRE de précision sur l'arore du moteur par l'intermédiaire d'une forme appropriée d'embrayage et ae train d'engrenages. La tension de sortie du potentiometre commanderait le mécanisme enregistreur qui enregistrerait sur un papier portant des repérages appropriés. On obtiendrait ainsi automatiquement un enregistrement permanent.
En ajoutant l'équipement nécessaire à l'émetteur ou au
<Desc/Clms Page number 14>
récepteur, il est possible'de mesurer avec une grande précisi la distance entre ceux-ci. Un procéda consiste à introduire d dispositifs tachymétriques qui pourraient être facilement int- prétés par un boservateur.
La présente invention n'est pas limitée aux applica- tions en géodésie. Par exemple, l'invention peut être incorporée dans un dispositif d'atterrisage sans visibilité ou dans un radiogoniomctre monté sur un avion ou dans un véhicule spatial.'
Comme l'équipement de l'invention produit. un faisceau contenant) aes infrarouges aussi bien que de la lumière visible, une adaptai tion de l'appareil de base pourrait constituer un moyen relative- ) ment économique pour procurer une information de position à un pilote ou à un pilote automatique a'avion. Ou bien, on pourrait utiliser un système entièrement automatique qui remplacerait ,le pilote pour l'approche et au incarnent de l'atterrisage.
La présente invention envisage qu'une forme de l'équi- pement pourrait, inclure un dispositif pour moduler le faisceau d'une façon précise et prédéterminée en vue d'une communication bilatérale entre l'émetteur et le récepteur. Des récepteurs appro- priés doivent alors être prévus,
L'invention peut aussi êtrealaptée de façon à procurer des informations de navigation aux navires et, en prolongement, on pourrait réaliser un pilotage automatique et une commande de la vitesse des navires dans ces conditions de mauvaise visibilité et aans aes eaux etroites ou difficiles ainsi que dans les ports .
L'invention peut aussi être utilisée pour compléter les informa- tions -produites par les plans. L'invention procure une lumière visible ae granae intensité ainsi que des radications infrarouges de forte intensité, les aeux pouvant être utilisées pour des alar- mes et pour des informations de navigation. '