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" Lame de rasoir ?
La présente invention concerne une lame de rasoir perfectionnée qui rase beaucoup mieux, et plus particulièrement les lames de rasoir en acier, c'est-à-drie en acier au carbone ou en acier inoxy- dable, sur lesquelles a été appliquée, au moine au voisinage de $on arête de coupe, une couche mince ou pellicule adhérente d'un lubrifiant en matière adhésive, en améliorant ainsi les propriétés de coupe de la lame en diminuant le frottement entre l'instrument de coupe et la face et la barbe de la personne qui se rase.
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A cet effet il a déjà, été proposé d'ap- pliquer sur les lames de rasoir une couche mine ou pellicule adhérente de fluorocarbone et plus spécialement d'un polymère solide de tétrafluorcé- thylène. connu sous le nom de la marque déposée "Teflon".
Suivant cette solution connue, on appli- que le polymère solide de fluorocarbone sur la lame sous forme de suspension en dispersion dans un mi- lieu volatil liquide, par exemple l'eau, ou un sol- vaut organique en plongeant les borda de la lame dans la suspension ou en l'appliquant à la brosse ou par pulvérisation sur les lames ; puis on fait sécher la couche ainsi déposée en évaporant le mi- lieu liquide et on cuit les lames à température élevée pour faire fondre les particules solides de fluorocarbone et former une pellicule mince adhé- rente. Suivant cette solution connue, l'opération de cuisson s'effectue à une température comprise entre environ 93 et environ 400 C en atmosphère oxydante ou neutre.
Ces solutions connues ont été décrites par exemple dans les Breveta Français Nos 1.299.519 du 27 Décembre 1960 et 1.293.388 du 26 Juin 1961.
On sait que le "Téflon" par exemple est une matière adhésive d'excellente qualité. En d'autres termes, il a uneforte tendance à n'adhé- rer à aucune matière et à empêcher les autres ma- tières d'y adhérer, propriété connue couramment sous le nom de "répulsion" ou "anti-adhérence".
Par conséquent, on s'est efforcé de rechercher lea
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voies et moyens permettant de faire adhérer ces
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fluorocarbonea é, une surface adtallique et de jfojp- mer ainsi sur elle une pellicule mince fortement
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adhérente. Quoiqu'on ait ou recoure à une Quisson, alnai qu'il a été dit, pour ax.var ± oo résultat son application dans la pratique a donné lieu à de nombreuses difficultés dans la fabrication da lames
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de rasoir de qualité supérieure uniforme à un rythme de production industrielle.
Une des difficultés consiste dans le .probité de la corrosion de la lame pendant l'opé- ration de cuisson à température élevée. Une autre
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difficulté consiste dans .'.mpoasibi.it6 paraiesan-t imprévisible de faire adhérer régulièrement la cou- che sur la lame. Ces difficultés ont donné lieu à . des rendenenta relativement bas en lamea do qualité irrégulière..
On peut résoudre le problème dans une certaine mesure en effectuant l'opération de cuis- son dans une atmosphère inerte telle que l'argon ou l'azote au lieu de l'air. Hais môme si on prend cette précaution, on constate que la qualité et le rendement en lames traitées satisfaisantes sont in- suffisants pour que le procédé puisse être appliqué par un fabricant industriel de lames de rasoir sans qu'il ait à supporter des dépenses excessives de fabrication et de contrôle de la qualité.
L'invention est basée sur le fait nouvel- lement découvert qu'on peut remédier aux inconvé- nients et difficultés rencontrés dans le traitement des lames de rasoir par la procédé décrit dans les
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Brevata Françale prdaitio et avalise* un rendement él9vê en lames de radoîr roacuverten d'une couobo de fluorocarbone de qualité j&Méliorée,me!!tea régulière, en effectuant In$ opérations dµ> euiseont de collage ou d' agglomération on atmouphées tdduc.
1:pice contenant par exemple pr.nd.a3. 4e l'hy" drogène, et qu'on peut obtenir des raultats parti* ouliëreaent avantageux en fornant l'atmosphère ré- ductrice principalement par Ithydroëè?e et l'azote et en particulier en présence d'une atmosphère ré ,, ductrice obtenue par la dissociation thermique de l'ammoniaque, se composant principa2sront d'hydra.- gène et d'azote et contenant une faible proportion d'ammoniaque non décomposée.
Dans ces conditions, l'invention dans son acception la plus générale peut s'appliquer à l'o- pération par laquelle on fait adhérer une pellicule mince de divers fluorocarbones à des lames de ra- soir en acier au carbone ou en acier inoxydable, par exemple des fluorocarbones tels que le poly-
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tëtra-fluoroethyleno, c'est-à-dire le 11126flonlle le poly-trifluoro-chloro-éthylène, l'ethylene-propy- lène fluoré, etc.
Mais le procède de l'invention convient d'une manière particulièrement avantageuse, à l'application sur des lames de rasoir de couches minces adhérentes de "Téflon". Il s'applique aux' . diverses conditions de durée et de température de cuisson qui sont indiquées par exemple dans les Brevets Français précités, les conditions de durée
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et de température les plus avantagtuaas 46pendant l'une de .' 6d
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Plus spécialement) la température de cuisson peut être comprise entre 149 ou un peu moins
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et environ 400 0,
eu fanant compte avec soin du risque deexcreer unu influence nuisible sur l'a- cier des lac-es de rasoir on les exposant à une tem- pérature élevée pendant des périodes de longue durée, ainsi qu'il *et connu.
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Suivant Ilinv3n*.îon, on applique la flue-:. rocarbone sur la 3.,-xae de rasoir, par exemple par immersion, au pinceau ou par pulvérisation, sous forme de suspension ou de dispersion dans un milieu ' liquide volatil et la couche une fois appliquée doit être séchée avec soin par évaporation du mi-
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lieu liquide avant de faïro subir à la lame l'opl* ration de cuisson pour éviter de contaminer liat- moophbre rdductriou. tue milieu liquide qui peut être choisi consiste en em ou en un bolvant orga- nique, ainsi qu'il a déjà été dit, Ma général, les lames de rasoir ont été affûtées avoo soin ot uettoyie? avant qu'en $ ap- plique la couche mt on a constaté qu'un des prino1- paux probl4nia qui am posent consiste à conserver les ar8toa en bon état d'affûtage pendant le traite-. ment.
A 00 propos, les lames de rasoir attûtden risquent de s'endommager en s'oxydant, même très légèrement, pendant l'opération de cuisson. On re- médie complètement à cet inconvénient en affectant l'opération de cuisson en atmosphère réductrice sui-
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vant l'invention, D* plne, le. couche adhère plue fortement à la lp.!M, ent plus régulière et dure plus longtemps et on a constaté que "Les lan'on ainsi fa-
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briquées rasent mieux et plus régulièrement que celles dont on disposait antérieurement.
Quoiqu'on no se propose pas d'exposer une théorie quelconque au sujet de la ou des raisons pour lesquelles les lames de rasoir de l'invention sont de qualité supérieure, il paraît probable que l'atmosphèrs réductrice maintenue pendant l'opéra- tion da cuisson a pour effet d'atténuer et d'éli- miner les pellicules d'oxyde éventuellement formées sur les facettes ou biseaux qui forment l'arête de coupe, en faisant adhérer plus fortement et plus régulièrement le tluorocarbone sur ces surfaces et en empêchant complètement toute corrosion, attaque ou oxydation de ces surfaces.
De plus, l'atmso- phère réductrice a tendance à supprimer l'effet produit par les huiles, ou outras Matières organi- ques retenues sur ces surfaces) on assurant encore une plus forte adhérence de la pellicule sur l'a- cier sans que cas huiles ou autres maières orgs- niques exercent une action nuisible , On obtient ainsi une pellicule de substance lubrifiante de pitié longue durée sur les arêtes des lames.
De mode, lorsque l'opération de cuisson s'effectue en atmosphère réductrice d'hydrogène et d'azote en particulier à une température voisine de 316-371 C. il semble qu'il se forme une couche mince et dure d'acier nitruré sur les facettes et biseaux qui forment les arêtes de coupe de la lame et cette couche résiste à l'usure et rond la durée de la lama encore plus longue.
Quoiqu'on puisse atténuer notablement la
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corrosion, l'attaque et l'oxydation des arêtes de coupe en cuisant les lames recouvertes en atmos- phère neutre, ainsi qu'on pouvait s'y attendre, on pense obtenir des lames qui rasent encore mieux que celles qu'on obtient en effectuant la cuisson en atmosphère neutre et par suite la supériorité du procède de l'invention et des lames de rasoir trai- tées par ce procédé ne peut être attribuée complè- tement à l'absence d'oxydation.
Une application de l'invention paricu- lièrement intéressante dans la pratique industrielle est décrite ci-après en détail. Bien entendu elle ne doit pas être considérée à cette application qui n'a été choisie qu'à titre d'exemple.
Suivant cette forme spéciale de réalisa- tin de l'invention, on commence par assembler des lames de rasoir de sûreté polies et affûtées par groupes d'environ 100 à 2000 dans une monture du , type 4 baïonnette ou support, puis on les nettoie par exemple en les lavant dans le trichlorséthylène, puis on les rince et on les sèche.
On les préchauffe ensuite à une température de 71 0 à 82 C et on y pulvérise une dispersion diluée de polytétrafluo- roéthylène, par exemple une dispersion aqueuse dé- signée dans le commerce par le nom de la marque dé- posée "GP 1" ou "Téflon" La concentration de la dispersion peut être avantageusement d'environ une partie en poids de polymère pour 9 parties d'eau.
On applique ainsi la couche sur les arêtes des la. mes qui doivent être ninces et régulières.
On chauffe ensuite les lames recouvertes
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de,la couche à une température d'environ 335 C à 349 C en atmosphère d'ammoniaque dissociée qu'on introduit dans la chambre de traitement avec un débit équivalent à 140 dm3 d'hydrogène (à 0 C et 760 mm) par heure pour 1000 lames. On poursuit le cycle de chauffage pondant 20 à 30 minutes et on maintient les lam&s à une température de plus de 332 C, par exemple de 343 0 pondant 5 à 8 minutes..
On les refroidit ensuite à 260 C environ, toujours en atmosphère réductrice, puis à environ 149 c. On peut accélérer le refroidissement entre 260 C et 14900 en l'effectuant en atmosphère inerte, par exemple d'azote. Lorsque les lames ont été refroi- dies à 149 C environ, on peut les refroidir davan- tage par de l'air comprimé.
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" Razor blade ?
The present invention relates to an improved razor blade which shaves much better, and more particularly to steel razor blades, that is to say carbon steel or stainless steel, on which has been applied, to the monk. in the vicinity of the cutting edge, a thin film or adherent film of an adhesive lubricant, thus improving the cutting properties of the blade by reducing the friction between the cutting instrument and the face and the beard of the person who shaves.
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For this purpose, it has already been proposed to apply to the razor blades a lead layer or an adhesive film of fluorocarbon and more especially of a solid polymer of tetrafluorethylene. known under the trade name "Teflon".
According to this known solution, the solid fluorocarbon polymer is applied to the slide in the form of a suspension in dispersion in a liquid volatile medium, for example water, or an organic sol- val by dipping the edges of the slide. in suspension or by brushing or spraying the blades; the layer thus deposited is then dried by evaporating the liquid medium and the slides are baked at an elevated temperature to melt the solid fluorocarbon particles and form an adherent thin film. According to this known solution, the baking operation is carried out at a temperature between approximately 93 and approximately 400 ° C. in an oxidizing or neutral atmosphere.
These known solutions have been described for example in French Patents Nos. 1,299,519 of December 27, 1960 and 1,293,388 of June 26, 1961.
It is known that "Teflon" for example is an adhesive material of excellent quality. In other words, it has a strong tendency to not adhere to any material and prevent other materials from adhering to it, a property commonly known as "repellency" or "anti-stick".
Therefore, an attempt was made to search for lea
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ways and means to get these
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fluorocarbonea, an adtallic surface and thus de jfojp- mer on it a strongly thin film
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adherent. Although one has or uses a Quisson, alnai it has been said, for ax.var ± oo result its application in practice has given rise to many difficulties in the manufacture of blades
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consistent premium quality razor at an industrial production rate.
One of the difficulties is the likelihood of corrosion of the blade during the high temperature firing operation. Another
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The difficulty is that it is unpredictable to get the coating to adhere regularly to the slide. These difficulties gave rise to. relatively low rendenenta in lamea of irregular quality.
The problem can be solved to some extent by carrying out the firing operation in an inert atmosphere such as argon or nitrogen instead of air. But even if this precaution is taken, it is found that the quality and the yield of satisfactory treated blades are insufficient for the process to be applied by an industrial manufacturer of razor blades without having to incur excessive expenses of. manufacturing and quality control.
The invention is based on the newly discovered fact that the drawbacks and difficulties encountered in the treatment of razor blades can be overcome by the method described in
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Brevata Françale prdaitio and endorses * a high yield in radoîr blades roacuverten from a couobo of fluorocarbon of improved quality, regular tea, by carrying out In $ operations of bonding or agglomeration or atmouphées tdduc.
1: part containing for example pr.nd.a3. 4e hydrogen, and that one can obtain partial advantageous raultats by forming the reducing atmosphere mainly by hydroelectric and nitrogen and in particular in the presence of a reducing atmosphere obtained by thermal dissociation of ammonia, consisting mainly of hydrogen and nitrogen and containing a small proportion of undecomposed ammonia.
Under these conditions, the invention in its most general sense can be applied to the operation by which a thin film of various fluorocarbons is made to adhere to scraper blades of carbon steel or stainless steel, for example fluorocarbons such as poly-
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tetra-fluoroethyleno, that is, 11126 foils poly-trifluoro-chloro-ethylene, fluorinated ethylene-propylene, etc.
However, the process of the invention is suitable in a particularly advantageous manner for the application to razor blades of thin adherent layers of "Teflon". It applies to '. various conditions of duration and temperature of cooking which are indicated for example in the aforementioned French Patents, the conditions of duration
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and temperature the most advantageous 46 during one of. 6d
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More specifically) the cooking temperature can be between 149 or a little lower
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and about 400 0,
Fading carefully takes into account the risk of exacerbating a deleterious influence on the steel of the razor laces by exposing them to high temperature for long periods of time, as is known.
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Following Ilinv3n * .îon, we apply the flue- :. carbon on the razor 3., - xae, for example by immersion, brush or spray, as a suspension or dispersion in a volatile liquid medium and the layer once applied should be carefully dried by evaporation of the medium -
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liquid place before faïro undergo the cooking operation with the blade to avoid contaminating the redductriou liat- moophbre. Does any liquid medium which can be chosen consists of em or an organic bolvant, as has already been said, General, have the razor blades been sharpened with care and with care? before the mt layer was applied, it was found that one of the main problems which arises is to keep the ar8toa in good sharp condition during processing. is lying.
By the way, the attûtden razor blades may be damaged by oxidizing, even slightly, during the cooking process. This drawback is completely remedied by affecting the firing operation in a reducing atmosphere which follows.
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before the invention, D * plne, the. layer adheres more strongly to the lp.! M, ent more regular and lasts longer and it has been found that "The lan'on thus
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bricks shave better and more regularly than those previously available.
Although it is not intended to set forth any theory as to the reason (s) why the razor blades of the invention are of superior quality, it seems likely that the reducing atmosphere maintained during the operation. The firing has the effect of attenuating and eliminating the oxide films possibly formed on the facets or bevels which form the cutting edge, by making the tluorocarbon adhere more strongly and more regularly to these surfaces and by preventing completely any corrosion, attack or oxidation of these surfaces.
In addition, the reducing atmosphere tends to suppress the effect produced by the oils, or organic materials retained on these surfaces), ensuring even stronger adhesion of the film to the steel without If oils or other organic materials exert a detrimental action, a film of long lasting lubricating substance is thus obtained on the edges of the blades.
Fashionably, when the firing operation is carried out in a reducing atmosphere of hydrogen and nitrogen, in particular at a temperature close to 316-371 C., it seems that a thin and hard layer of nitrided steel is formed. on the facets and bevels that form the cutting edges of the blade and this layer resists wear and rounds the life of the llama even longer.
Although we can significantly reduce the
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corrosion, attack and oxidation of the cutting edges by firing the coated blades in a neutral atmosphere, as one would expect, it is believed to obtain blades which shave even better than those obtained by baking in a neutral atmosphere and hence the superiority of the process of the invention and of the razor blades treated by this process cannot be entirely attributed to the absence of oxidation.
A particularly interesting application of the invention in industrial practice is hereinafter described in detail. Of course, it should not be considered for this application which was chosen only as an example.
According to this special embodiment of the invention, one starts by assembling polished and sharpened safety razor blades in groups of about 100 to 2000 in a mount, type 4 bayonet or holder, then they are cleaned by example by washing them in trichlorsethylene, then rinsed and dried.
They are then preheated to a temperature of 710 to 82 ° C. and a dilute dispersion of polytetrafluoroethylene is sprayed thereon, for example an aqueous dispersion designated in the trade by the trade name "GP 1" or "Teflon" The concentration of the dispersion can advantageously be about one part by weight of polymer to 9 parts of water.
The layer is thus applied to the edges of the. mes who must be smooth and regular.
The coated slides are then heated
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of, the layer at a temperature of approximately 335 C to 349 C in an atmosphere of dissociated ammonia which is introduced into the treatment chamber with a flow rate equivalent to 140 dm3 of hydrogen (at 0 C and 760 mm) per hour for 1000 slides. The heating cycle is continued for 20 to 30 minutes and the lam & s are maintained at a temperature above 332 C, for example 3430 for 5 to 8 minutes.
They are then cooled to approximately 260 ° C., still in a reducing atmosphere, then to approximately 149 ° C. The cooling can be accelerated to between 260 ° C. and 14900 by performing it in an inert atmosphere, for example nitrogen. When the blades have been cooled to about 149 ° C, they can be further cooled with compressed air.