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" Proodd4 pour agglou4ror de particules difficiles a&±lom<5ror et produit obtenu 0
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La pr4sontu invention concerne de façon générale l'aclom4ration do p-rtiouleo divisée finumont et plus particu11èroQent l'agglomération du particule do matières qui ont été difficilta, sinon 1upoaaibla h alouêrer, et le produit toroz pnr un tel procédé d'a,7.oératiart.
La plupart des ratières séchées dispo- nibles dans l'industrie actuelle existent sous forme de particules relativement petites. Ceci
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est vrai pour las matières s6ch63 par pulvérisa- tion, au rouleau, au plateau ou à la courroie dans
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l'atMouphcro ou soua vida, et cristallisées. Lee M,Itîèruil utehéga par pulvérisation ont 80UO la .aara lu petit)" 1),.trti4uien .oan,u' a,a sont on-. av'ea du donn1c01tdur. tlnd1 <jU4 Ija produite r!'"\11l)nt r:.m 1J1'oodd.u ai ca'ura nu roulons, (Au 111ato:\u ou h la courroie et du crintallinatïon non pulv ?ri8t5a près avoir -5t<!f 4;)nlovêo des doaaicoatouro et du criBtalliBataur afin da donner au produit un d1tth.na1on particuluiro et un aspect assez uniformo.
La 1imaneion pEirt3.cu.raira obtenue de lu totalité des produite 8uBntionn&B out approximativonunt la 1.1.\() et ust ai exagérément l'otite que loo parti- culas ont tendance à a'"agglonëror" ou à former des
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blocs incomplètement mouilles lorsqu'elles sont
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ajout'I)O h un liquide appropria. Par conséquent l'utilisation d'un tul produit nécoaulto beaucoup do temps et d'efforts pour effectuer sa reconstitu- tion satinfaiaanto dans l'eau ou dans d'autres li- quidas. Do telles caractéristiques nédioorua de mouillago et do rjconatitution ont handicapa le unnOGntument populairu à 000 matières eduh6e fino"
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mont divisas. On suit quo lorsque certaines particules
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aéohél3B, finamont divisées, sont "asG10tilôr6JslIl le pouvoir de mouillage ot do dispersion de ces ma-
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tières dans des liquides est fortement accru.
Un
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uxemple d'un tal produit aggloméré est le produit
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connu couramment corme lait séché écrémé "instan- tané".
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L8aGgloTaÓratil,m" est un procédé par le-
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quel les petites particules sont contraintes d'ad-
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hérer les unes aux autres de façon irrégulière pour donner des grégats poreux do structure ajou- rée de dimension plus grande que celle des parti- cules individuelles J'origine. L'état poreux, la structure ajourée et la dimension particulaire ac- oruo sont Les caractéristiques qui sont reponsa- bles du pouvoir accru d'écoulement, do mouillage et de dispersion du produit aggloméré dans les li- quides.
Dans la procédé d'agglomération classi- que, les particules sont souuisos à un oourant d'air chaud, humide, provoquant la sorption de l'humidité sur la surface des particules pour for- mer l'état poisseux superficiel. La courant d'air a une vitesse suffisante pour provoquer des colli- sions au hasard entre les particules.
L'état pois- seux superficiel oblige de telles particules en collision à être lidos les unes aux autres ut les liaisons ainsi formées au cours du mouillage des particules sont maintenues lorsque l'humidité ajou- tée est enlevée par un courant d'air chaud, sec
De tels procèdes d'agglomération classi- ques ont été limités à l'agglomération de parti- cules séchées qui sortent facilement l'humidité lorsqu'elles sont mouillées par l'air humide, chaud, qui adhèrent les unes aux autres lors do leur collision après le mouillage et qui restent collées ou liées les unes aux autres après avoir été séchées par l'air chaud, sac.
Les particules séchées qui no possèdent pas la totalité de ces trois caractéristiques ont été difficiles, sinon
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impossibles a agglomérer par lui, procès antérieurs
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connus. Ainsi do tallas poudres ne réussissant pa3
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obtenir lu m3ria de6r4 de pouvoir d'écoulement, de
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mouillage et de dispersion perfectionna que le lait
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auc ,cxsar3 sbcsh6 par pulvérisation lorsqu'elles sont
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soumises au morne procédé* d'agglomération.
A titre d'exemple seulement, les produits suivants sont
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pami aaux qui sont difficiles sinon lmpassiblca z Q;.:;lomÓr'3j," par les proc3dÓs connus antérieurs t loa produits d'ooufo méchda, comprenant 1' albumine d'oouf, l'ouuf ontlar, l'oeuf fortifia et lu jaune
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d'oeuf ; los produits du lait untior déshydrate
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lu cacao, les viandos dshydrat6oa ut les produits
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de la viande ; les Mélanges d'aliuents déshydratas,
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coran le mélange de galettes, les ci5l.anços de soupa ot divers m lfJnt;oo de produits de boulangerie ; les farines, les aliments du bdttdl, oorùl':1l3 l'aliment
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du veau ;
de nombreuses matières chimiques et bio-
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logiques, ooMprûnw)?' lea colles, loo engrais, les vnzytaos, les pesticides, luu herbicides sichJs et
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d'autres substances en poudre finement divisées, et
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de nombreux produits pharnllceu tiquú adeh4s.
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En utilisant les procédés exposés dans la
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présente deuande, les matières séchées suementïon- n3vs et toute autre do ces matières qui ne peut pas 5tre ii,-Slom6rd.3 par des Moyens classiques peuvent
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être transformées en produits qui ont la dimension particulière et la nature poreuse nécessaires pour
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fournir un pouvoir d'dooulemont, de mouillage et de
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dispersion sensiblement accru.
Ces produite, lors-
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qu'ils sont a4f,lotabrde suivant les enseignements
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111,tGtlill d'm. lu prduontu 1hyut\U\)O. ftOtlt ilugonatist titin tlfinn lu torr.,,! ,.n1,.,&b1u it111N un M1n1f1\J''\ duo tohtpt), 4'yffort ut d'out111haQ.
Par conséquent, la vr8nt. invention so proton* du fournir - un prood4 1"lat1vQmunt peu ooûtuux pour (lui) f.la.t1J"u" l% uhydrntxrr :t1r.t.,ont d1v1,,.t1, <11±/1.011tJu h ag.orahxur pr4od- dar.,tlunt ; - un proc4d6 pour acg10m4rer des particules a<!ch4os finumunt divisas, difficiles h 8aglorur vrdcddu30nt de f-tyon h 11u1nor aonsi- bl orient los tendances qu'ont ces particules à la floculation et L leur permettre de s'écouler li- brl1i:1dnt ;
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- un procède pour agglomérer des
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particules finement di viaten difficiles 4 alloua rer pr.!o.'t'der4.entp qui peut être f.,1a en oeuvre avec un o\1ti111\t,;8 d' o.ùlo:JQrn.t1on classique actuel ;
- un procès contrôla pour 8;:;810- tarer dos particule !1nt1f.1unt di Vi6fJO difficiles h !I.elor.11rur prc4d nr;ont, q,ui gczxcrtta un nininua do crintallication du produit t,,lo jrd , p tui procédé pour ngglo6ror des mntibroti finuc,ant d1vifJ\J6 dU'1'1clo8 '\ aglooira prÓo6dl.muont qui Xl 1 nuem.mtu pria exar4!ient lu prix unituiru de ces untièrao j - un produit aGlot:1ré stable ayant corame ingrédient principal une matière prG c.deI:1T.1..mt difficile t3r,;Ior.=rar.
D'autres avantagea ut carne ttSrtetiqu,H3
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40 3.'invention 1'..IIHU'UJ'On dw 1% dvnor1ptton qui vu f4\a1 VI'" 1'hi tt .111 :"1\(1\1'1'1 .1." chl101nn annuxta sur lt,1,Htl..,J" . la 'uf""rCl 1 est un acharna d'ooou" lj'MMnt indiquant un procoasuo i;4n$rnl pour mettre on couvru le procédé nolon l'invention la fltueu 2 ont un noch61.18 r\)}lr6- oont'int un typu d'npparoll 010"011.1 Uv grdcu auquel lu prood4 peut 3tre min en couvre ;
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la figure 3 oot un graphiquu re-
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prdsentmt la vi taO.1\) de sorption d'eau de divers
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sucres ; la figure 4 est un graphique re-
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pr4santant les caractéristiques d'agglomération de divorseu matières articulaires adchëes agclonéréos
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par la procède* selon l'invantion ;
la figura 5 est un graphique re-
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pr*5ovntnnt l'offot du pouvoir du reconstitution de particules diverses acslolnér6ae par le procède
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selon l'invention.
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x;n t;4nérni, le présent procédé comporte
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l'addition d'un agent agglomérant facilement agglo-
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m4rt! la matière du produit difficile h. nC61omrer pour former, lorsqu'elle est aoutiiae 4 une itraos- phtre chaude, hut1!1., un noyau poisseux aur lequel leu particules non po1enouBua du produit h agglo- mttrar adhèrent de façon irr;
u5.irc. r se réfé- rant z, la figure 1, qui représente les divers sa-
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des nécessaires pour réaliser le procédé selon
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Ilinvuntion, la matière particulaira difficile à agglomérer 1 et Il.,,.Cent facilement a.t.lot.1r4 2 sont
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mélangés à sec dans les proportions correctes 3.
Lu mélange à sec peut comprendre entre 5 et 50 % environ de l'agent agglomérant comme on va le dé- crire plus complètement au t'ur et à mesure de la descriptoin La mélange à sec est alors injecté dans un courant d'air chaud, humide pour effectuer le mouillage 4 dos particules pour provoquer l'ag- glemération susmentionnée, Lus particules agglo- mérxs sont alors soumises au séchage rapide 5 pour fournir le produit agglomér¯ sec désiré 6. La plus grande partie des agrégats de ce produit se compose du particules difficiles à agglomérer qui adhbrent fermement aux particules de l'agent agglomérant de façon irrégulière.
Toutefois, un faible pouroen- tage de tôle agrégats ne peut être formé que de l'agent agglomérant ou que de particules difficiles à agglomérer.
Les matières sèches qui sont traitées par le procédé exposé dans la présente invention présentent des propriétés qui sont remarquablement différentes de celles qui ne sont pas traitées de cette façon. Les propriétés obtenues dans le pro- duit agglomère du procède de l'invention sont cel- les de la dimension partioulaire accrue, du pou- voir d'écoulement amélioré, du Mouillage, de la dispersion et de la reconstitution dans le liquide et l'empêchement de floouler.
Pour qu'une poudre soit agglomérée, elle doit présenter certaines propriétés telles que mentionnées précédemment. La première. ot peut- être la propriété la plus importante, est celle
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de l'hydroscopicité, c'est-a-.dire la propriété de sorb&r et de retanir facilement l'humidité. La sorption de l'eau est nécessaire pour obtenir un état poisseux superficiel qui permette aux parti-
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cules en poudra d'adhérer do façon irrégulièra les unes aux autres.
Toutefois, toutes les particules hydroscopiquea ne deviennent pas collantes lors- qu'elles absorbant do l'humidité et celles qui ne
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présentent pua cette adhéronce no sont pas Inoïle- ment agglori6rdos. Une troisième propriété qui doit être présente est celle de la conservation de la forme agglomérée lorsque les agrÓeata sont 8éohâs de nouveau et empaquetés ultérieurement. Cette ex-
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pression peut être définie cotnrne la résistance de l'agrégat.
Aux fins do la demanda, l'expression
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"particules difficiles h agglomérer" se rapporte z, ces particules qui ne comportent pas une ou plu- sieurs des propriétés ndconsaires 4 1' agglomération susmentionnée. L'expression "agent agglomérant" peut coinprondre toutes les matières qui possèdent la totalité des trois des propriétés susmentionnées.
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Le choix de l'agent ab10m6rant particulier 4 uti- liser dépend du degré auquel les agents d'a,;lom6 ration particuliers disponibles possèdent les pro- pr1Ótéa ci-dessus, du prix relatif des agents dis- ponibles, des diverses propriétés supplémentaires
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comW1 le goût, la composition ot ainsi de suite des agents disponibles ot du produit particulier qu'on désira a±nlotlérr.
Les exemples d'agonts agglornérants appropries sont les sucres anhydres,
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coiame la Ifiotone anhydre et lu glucose anhydre, lea matieruo solides du oirop de gluooou, la petit- lait anhydre, le petit-lait anhydre modifié, cer- talnen 60lluI1oa animales.et v6gétalun et d'autres composés apparent 3a qui présentant également les OQl'l1ot r1e't1clulJ" avantageuses d f hydroeoop101 t â, de l'état poiuaeux superficiel et do la résistance de l'agrégat* Cem agents agClomdranto pouvant être utilisée aépnrëuent ou en combinaison ou avec des
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diluants appropriée. Comme indiqua précéderaient dans cette
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ddt3axiptian, la Demanderesse a constaté quj le
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cacao peut être aggloméré de façon satisfaisante,
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grâce in son procédé.
Le Brevet des Lrtats-Unis d'Amérique n 2,8>0.388 du 2 Septembre 1958 au nota de Peeblea et als et le Brevet des ,tata-Unie d'Am6-
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rique n 3.013.881 du 19 Décembre 1961 au nom de Curloon et al. ont appris que les mélanges conte-
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nant des quantités rdiativeuent petites de cacao peuvent être acaloméréa pour former un produit do
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connotation de chocolat en poudre instantané.
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Toutefois, le présent procédé prévoit 1 traitement dlll la poudre de cacao 16cithinde ou non Hoithinee pour fortlor un produit ag,loQ6rt dont la majeur. partie oet du cacao. Un tul procède éli1ne la ndaensitd d'ajouter do grandes quantités do lait sec or(.tl6, ou d'autres substances pour obtenir l' Qglor.1ro. tion. Le produit de cacao acJlor.14râ obtenu par le procédé da l'invention a une variété
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d'utilisations dans l'industrie des alinonts ot
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n'est pas l:1nitG b. l'application un tant qu'un pro-
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duit du chocolat oonoor.II,lahlo.
Paeti lus agents aaslom6rants susuunt1on- ucn, le seul qui aoit peut-être le plus souvent utile est le lactose anhydre. 0<) dernier peut être obtnnu par séchage par pulvérisation du lactose dissous et il existe à l'état amorphe ou vitreux.
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Il présente toutou les propriétés d'hydrosoopioité, d'état poisseux superficiel et do résistance de l'agrégat suaraontionn6es. Le lactose anhydre perd- sontt une propriété très remarquable en ce sens que, bien qu'il soit très hydroscopiquo, il est égale.mont tout à fait insoluble on comparaison des autres sucres ordinaires.
Cette solubilité rela-
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tivement faible rond le lactose anhydre relative- ment facile in man.pulrar dan la plupart des dispo- ai tifs d' I1ti(SloT.1&ra tion classiques ot réduit au tai- nimuct le "plâtrage" dans le dispositif d'agglomé- ration. Lorsque les particules de lactose anhydre sont injectées dans un courant d'air humide, l'eau est immédiatement sorbéo sur la surface des parti-
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cules clu lactose par suite de leur forte hydroaoo- picité. L'eau contraint les surfaces des particu- les do lactose h devenir oollantus et cos aurfaoea collantes provoquant la collision dus particules on poudre difficiles h agglomérer pour adhérer aux partiou1ue de lactose et fomur dus agrégats.
Les liaisons qui sont forcées entre les particules de lactose anhydre et les particules on poudre sont
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assez solides pour rduister 4 la fracture pendant les opérations de ro-oéohage et d'empaquetage ulf6- rieures.
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La propriété de sorption de l'humidité
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du laotosu anhydro cet due à son terme désir do rovt1.. une forma stable. La forme de lactose la plus stable est colle de la forme nonohydrate ou Cristalline. La réaction Duivantf.l.t.10ntre le procède d'hydratation i ai? H22 11 + M20 * 12 H22 11. H20.
La réaction ci-duaaua a uno forte tndanoe à se diriger vers la droite. Afin que la réaction progresse, Une certaine quantité d'eau doit être
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présenta pour âtre ooubinée avec le lactose anhydre, ootme représenté sur le a8t6 gauche de 1' 3quation. C'est cette forte tendance qu'a le lactose anhydre à revêtir la forme monohydrate stable qui oblige le lactose anhydre à sorber rapidement l'oau. Une
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fois que le monohydrate est forra6, il n'existe plue de force da oonnande quelconque qui oblige le lac- tose à sorber plus d'onu.
La forte tendance qu'a le laotose anhydre à sorber de l'eau est représen- tée graphiquement sur la figure 3, dans laquelle l'axe vertical représente le rapport du poids at-
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teint par les divers sucres représentas aprte avoir sorbes de l'eau, par rapport au poids initial des sucres à l'état sec. L'axe horizontal représente la durée d'accroissement.
Il est évident sur la figure 3 que dans une période de temps donnée, le lactose anhydre sorbe une quantité beaucoup plus
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grande que le lactose uonohydraté, qui sorbe très peu d'eau.
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Naturellement , il résulte de l'exanen de
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la réaction ci-dessus que, plut la quantité de lactose anhydre donnée peut rester mouillée, plus la transformation du laotose sous la forme monohy- drate ou cristalline est totale.
Duos les dispo- sitifs d'agglomération du type représenté dans le Brevet des ±tata-Unis d'Amérique n 2.865.318 du 23 Décembre 1958 et n 2.850.388 précité au nom de Peebles, le produit aggloméré peut d'une manière typique rester à l'état mouillé pendant une période de temps allant de une à plusieurs minutes de façon h obtenir un degré de cristallisation élevé des liaisons entre les particules agglomérées. Toute- fois, la demanderesse a constaté qu'une telle pé- riode de temps de mouillage prolongée est défavo- rable dans l'agglomération de la plupart des ma- tières difficiles à agglomérer.
Elle a constaté que, lorsque les particules sèches mélangées sont mouillées pendant une période de temps maxiumum de deux à huit secondes environ, il se produit très peu de cristallisation du lactose anhydre s'il s'en produit toutefois. Lorsque les particules mouillées sont rapidement séchéen, le lactose est séché à l'état sensiblement amorphe ou vitreux et les liaisons entre le lactose amorphe et les par- ticules difficiles à agglomérer ainsi formées sont suffisamment robustes pour résister à la fracture pendant l'empaquetage et l'entreposage. Les liai- sons ainsi formées sont totalement différentes des liaisons cristallines existant dans les produits du Brevet de Peebles susmentionné.
Ce mouillage et ce séchage rapide contrôlés éliminent la néces-
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sité d/uno période de tempo quelconque de repos et do Maintien pendant que les agrégats sont 4 l'état
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mouillé et ut.,.3aha sensiblement Ion réactions se- condaires défavorables quelconques qui se produi- sent souvent lorsque les particules pouvant rester
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mouillées pendant un aur*5u ralati vouant important .
Doe effets secondaires défavorables courante qui
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résultent de ue mouillage prolonge sont la modtti- oatïun du goût, la durée d'entreposage réduite et le "brunieaeraent" uu produit fini. la présence d'un ou de plusieurs du ous effets oucondaïren dé- pend, naturellement, de la matière qui est en cours d'a,,om6xatioz. Au cas où ces effets nu sont pas nuisibles ou ont peu de chances de se produira, ce séchage rapide peut no pas Atre nécessaire. Avec
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certains produits difficiles k aggloradrer, comme par exemple certains produits pharmaceutiques ou chimiques, aucune diminution de la teneur en humi-
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dicté du produit ala3r n'est nécessaire et le stade de re-sdchage peut être totalement éliminé.
Il est 4galument 4 cifnalor quo lue Brevets de Peeblua ouamontioùndo sont limitée au procédé d'agglomération de la poudre do lactose cristalline et d'un produit da chocolat particulier séché par pulvérisation qui ne couprand u'un faible pour-
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cent'1g8 de cacao pur m61'e;é avec du lait sec 4or&ud et du nombreux autres ingrédients.
La fi jure 4 contre l'effet de l'addition de diverses quantités de lactose anhydre à plu- sieurs matièran difficiles riz agglomérer. L'axe vertical du graphique de la figure 4 représente
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Ilndelomdration efficace dans laquelle zéro ne re. présente aucune agglomération appréciable ot 10 re- présente 1'at,;,amSrut.on efficace maximum. L'axa horiaont-il reprisante la pourcentage do lactose anhydre dans lao radiant nec aggloméré. On voit que pour un mélange de lactose anhydre ut de farine
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de ',1& 1 agglomération efficace maximum na produit lorsque lao 6lngJ contient 10 de lactose anhydre et 90 eu de farine de blû environ.
Un mélange con- tenant 20 % de lactose anhydro environ fournit
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l'b.;lomérl1tion efficace maximum lorsque soit de l'oeuf entier adchtS soit do l'albumine de l'oeuf séché doivent 8tre aeglomérds. Le jauno d'oouf ae- oh est le plus facilement aEloï'<! dans un mé.. lange contenant entro 10 ost 20 de lactose anhy- dre. Le pourcentage exact de lactose anhydre qui
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devrait exister dans un mélange donn(5 varie avec l'appareil d'a0clomôut1on particulier qui ent utilisa, avec son mode de fonctionnement et aveu la quantité d'huralditd qui y oot appliquée. On pout voir sur la figure 4 quo divers mélanges sace
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compris entre 5 et 50 eu environ de lactose anhydre fournissent une agglomération ralat1vouent bonne.
Pour les mélangea contenant moins de 5 eu environ de lactose anhydre, le nombre de particules de lactose anhydre collantes dans le mélange mouillé est insuffisantpour provoquer l'agglomération de toutes les particules difficiles à agglomérer qui y sont présentes. Pour les mélanges contenant plus de 50 % environ de lactose anhydre, le Mélange mouillé devient trop collant pour être traita cor-
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rectement dans la plupart des dispositifs d'agglo- mération. Dons ces mélanges les agrégats qui sont formée deviennent anormalement grands, en rendant le séchage difficile et en obstruant l'appareil d'agglomération.
Dans la plupart des cas il est avantageux de n'utiliser que la quantité de lactose anhydre qui est nécessaire pour obtenir le degré d'agglomération désiré. L'addition de telles quantités minimales de lactose fournit un produit qui n'est que légèrement plus doux que le produit difficile à agglomérer initial, attendu que le lactose est l'un des sucres les moins doux. En outre, lorsqu'on ajoute les quantités minimum de lactose, le prix unitaire de la matière difficile à agglomérer n'est que légèrement augmente.
La figure 5 montre l'effet qu'a l'addi- tion du lactose sur la durée de reconstitution du produit. L'axe vertical représente le rapport de la durée de reconstitution après l'agglomération à la durée de reconstitution avant l'agglomération.
Lorsque le rapport est égal à un, il n'existe au- oune amélioration de la durée de reconstitution sur les matières finement divisées difficiles à agglo- mérer initiales. Los valeurs décroissantes sur l'axe vertical représentant les caractéristiques de reconstitution améliorée du produit aggloméré.
On peut voir sur la figure que la durée do recons- titution diminue brusquement h mesure que de telles quantités de lactose anhydro sont ajoutées aux produits difficiles h agglomérer et l'agglomération commence à so produire. On peut voir qu'un mélange
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agglomère de 80 % d'albumine d'oeuf séché et de 20 % de lactose anhydre est reconstitua dans un cinquième environ de la durée nécessaire pour re- constituer la poudre d'albumine d'oeuf non aglo- mérée.
Un radiante aggloméré de 20 % environ de lactose anhydre et de 80 % d'oeuf entier séché ou de jaune d'oeuf séché est reconstitué dans moins d'un dixième de la durée nécessaire pour reconsti- tuer l'oeuf entier sèche ou le jaune d'oeuf séché non agglomérés. Un mélange de 10 % environ de lactose anhydre et de 90 % de farine de blé a une durée de reconstitution de 1/20e environ de celle de la farine de blé non agglomérée. A mesure que les pourcentages du lactose anhydre existant dans le mélange sec augmentent au-dessus des valeurs susmentionnées, la durée de reconstitution reste sensiblement la Mono.
Un autre agent agglomérant qui peut être utilisa suivant la présente invention est le glu- cose anhydre ou le dextrose anhydre, Lorsque le glucose anhydre est mélangé à des poudres diffici- les à agglomérer, il doit être utilisé dans des pourcentages plus grands que le lactose anhydre lorsque les poudras sont agglomérées dnns un appa- reil à agglomérer classique pour obtenir des ré- sultats comparables. Ceci est dû à la vitesse in- férieure de sorption de l'eau possédée par le glu- cose anhydre, représentée graphiquement sur la fi- gure 3.
Par exemple, pour des matières qui peuvont être agglomérées facilement dune dos mélangea con- tenant 20 environ de lactose anhydre, dos mélanges
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QClOhn"nt 50 tf environ du 41LIpI ttilly'iit1 lH'UVun 6tllill nCJ.",tU111" IfJUJ1 l'Ih''''"U' l.rrtr;lilrrna;L.tott CIOH- t<<'ttt4t<, n,uI f<tt<n tftti< l'l. uu duV,4u rtu;nunt<on
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8enoiblmont la douceur du produit aggloméré et augmentent égaleront le prix unitaire de la matière de base difficile à e4.,glomérur du produit f16clolJ.dr,s.
Toutefois, dans les mélangea agglomérée où la dou-
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cour aooruo est avantageuse ou eusentiolloi l'uti- lisation du glucose anhydre on tant qu'agent agglo- mérant est souhaitable D'IJ.utrus oucres anbydron sont également utiles comme nyonta Bculomdrant8 dans oertainua conditions.
Lu poU t-lui nnhydra ut un autra bon #rit ntttt.rrmdrrcrr, qui cm utiltt dnnn Qurt'41n&u, "1'" agerit LI patlt-lait .anhydre contient une AI)- grande proportion de lactose anhydre et ont oons1- d4rabl'mont moinu coûteux. Toutefois, l'utilisa- tion du petit-lait anhydre en tant qu'agent agglo- mérant est limitée par suite de la prssence dune ou dernier d'un goût salé ot de diverses protéines du petit-lait. Lorsque ce Colt culé n'est vue nui- sible, comme par exemple dann divers alimente pour
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loa veaux, les ongrais, les produite chiniqueft et pharmaceutiques, l'utilisation du petit-lait '.nhy- dre peut souvent être préférable à causa de son bas
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prix.
Egalement, le traitouont correct du petit- lait anhydre peut être utilisé pour obtenir un pe- tit-lait anhydre modifié dans lequel ces caracté.. ristqieus limitatives sont éliminées.
Une forme possible de l'appareil d'agglo- mération classiques qui convient pour mettre on oeu-
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vro le nouveau proo'!dd de la 3amundurcurau unt rU" 'r'<nnt4 uur ltt 11Gur. a don ilonMinn. t. rodlh"6 mon dititilti 41a 1,w 1'0\111.,4' tlit'r'i,utlu h fli.Klwn !1 9% tin J.I ull,mt. H,!éÍ101'iJl'linfl aat pliiU.4 dans li. trémie d'alimentation 12 et nuand d6'na le tube de mouil- lage ou chambre 14 par la via d'avance 13 actionnée par le moteur 13a. Le mélange sec est exposa à une atmosphère do vapeur humide pénétrant par la conduite 15.
Le produit mélange et le courant humide sont maintenus en mouvement constant dans le tube do mouillage 14 par un ventilateur à grande vitesse 16 actionna par un moteur 17 qui aoufflo
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le produit tF\nontiollomont (1una un 81)tU'ntuut'.. oyolona cu mouilla 18. Lw vunt11atuUl\ 1ti a un re- tour d'uli1 1 j. Au ooura du )\fUHJ"BÜ du produit (litnii le tube de mouillage 14, les surfaces des particu- les de l'agent agglomérant deviennent humides et collantes.
A mesure que les particules collantes entrent en collision avec les particules difficiles à agglomérer dans le tube do mouillage, les parti- cules difficiles à agglomérer adhèrent aux parti-
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culas collantes de l'agent agglomérant pour foinaer des agrégats qui sont sensiblement plus Grands que les particules individuelles dont les agrégats sont formas. La teneur en humidité totale du mélange est accrue de préférence entre 2 et 6 % dans le tube de mouillage ou chambre 14.
La température dans le tube de mouillage ou chambre 14 peut être comprise entre 38 C et 850C environ, les tempéra- tures optimum dépendant de la vitesse de l'air et de la composition du produit en cours de traite-
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ment. naturellement, si l'on utilise un appareil différent pour mettre en oeuvre le procédé de l'invention, les valeurs ci-dessus pour 1'humidité et la température variant quelque pou pour fournir l'agglomération efficace maximum.
Après avoir été refoulés du tube de mouillage 14, les agrégats traversent le sépara- teur-cyclone humide 18 puis tombent de ce dernier dans la section de re-séchage 20. Dans la section de re-séchage 20 les agrégats sont soumis à un air chaud à grande vitesse provenant du ventilateur 21 actionna par le moteur 21a et comprenant les fil- tres 22 et le serpentin calorifuge 23 qui chauffe l'air. Les agréais sont soumis à l'air séchant aux températures comprises de préférence entre 93 C et 162 C environ. Les agrégats commencent alors a sécher immédiatement à mesure que le produit tra- verse la section de re-séchage 20.
Le produit cet refoula dans le tube 24 où il est soumis à l'air refoula du ventilateur 25 actionna par le moteur 26 Le produit est sépare du courant d'air à me- sure qu'il est refoulé du tube 24 dans la vanne en étoile 27. Le produit est sensiblement sec lors- qu'il se dépose sur la table à secoussdes 28, bien que le séchage final jusqu'à la teneur on humidité désirée soit effectué avant qu'il atteicnu l'extré- mité de la table à secousses 28. Les particules agglomérées sont dimensionnées pur loo rouleaux de dimensions 29 puis plaoéon dans le tambour 30 par le tube 31 pour 1' empaquetage final.
La ligne de sol comprise entre les niveaux supérieur ot infé=
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rieur de l'installation ont indiquée par P sur la figure 2.
Le lapa de temps de l'entrée du produit dans lu tube do mouillage ou chambre 14 jusque de qu'il quitta le tube 24 par la vanne 27 est compris entre 5 et 20 secondes environ. la période de temps comprise entre le mouillage initial des particules dans le tube de mouillage 14 et le séchage des particules dans la section de séchage 20 peut être comprise entre 2 et 8 secondes environ. La durée totale du mouillage des particules jusque leur récolte dans le tambour 30 est de préférence infé- rieure à une minute.
Bien qu'un grand nombre d'autres appa- rails approprias puissent être utilisés pour mettre en oeuvre le procède, on préfère habituellement que l'appareil permette le sxchage rapide des particu- les mouillées pour empocher les effets secondaireo non voulue, comme expliqua précédemment et pour obtenir un produit supdriour. Lorsque lu sucre anhydre ou le petit-lait anhydre est utilisé à ti- tre d'agent do mouillage dans la mélange traité par l'appareil de la figure 2, la vitesse rapide du mouillage ut du séchage telle que décrite oi- dessus permet une quantité minimum, s'il on est, de cristallisation du lactose pendant le stade de séchage.
Le produit aggloméré séché obtenu à l'aide de cet appareil et de ce procédé est main- tenu noua forme agglomérée par les liaisons rela- tivement solides existant entre le lactose amorphe ot Ion particules difficiles a agglomérer.
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A titra d'exemple seulement, Ion exemptée
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qui suivent sont dos cas particuliers de mise en couvre du procédé.
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EX 1,:PL.:1 1 On a dlnna4 010 de l'albumine d'oeuf 84oh6 par pulvérisation avec du lactose anhydre aah6 par pulvoriuation dans la proportion ou1vnn- te : 8 parties d'albumine d'oeuf séché par pulvé. ristoin pour deux parties de lactose anhydre séché* par pulvérisation. Apre avoir achevé le mélange ,
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oe dernier a 4td glo4rd de la façon classique# rprLrs 1' a,p.amfrat.an, 1 dimension prt10u1air. moyenne (en poido) a été de 150 nierons environ.
La teneur en hunidité de la poudre non
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a,;g.amrc3o a t de 4 ot on a ajouté 5 d'humi- dit6 dans le diapooitif d'amlon&rat1on pour four- nir une teneur totale en humidité aux agrégate Mouillas de 9 ## Léo agrd,5ate moulll<5a ont 6t4> alors re-néchia ru.,der::ant juoqu'a 4 CÀ d 'hul.)1d1 tô avoo de l'air sec h 1770.
Le produit aCglomdr4 formé par ce prooédQ a eu une densité de 0,312 gr par centimètre cube.
Cette albumine d'oeuf agglomérée a un pouvoir d'é- ooulement, do mouillage et de dispersion supérieur à une albumine d'oeuf en poudre qui a été traitée dans un dispositif d'agglomération classique sans
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l'aide d'un agent aalomérant.
X3 >i.: 2
On a mélangé à sec 8 parties environ d'un jaune d'oeuf séché par pulvérisation avec 2 parties
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environ de lactose anhydre séché par pulvérisation.
Ce mélange a été alors aggleméré d'une façon clan- sique. La teneur en humidité de la poudre non ag- glomérée a été do 4 % et on a ajouta 2,6 % d'humi- dité au mélange pour fournir un agrégat qui, avant d'avoir été séché de nouveau, a eu une teneur en humidité do 6, 6 %.
Les agrégats Mouillés ont été alors séchés de nouveau rapidement jusqu'à 3,5 % d'humidité. La dimension paticulaire moyenne du produit (en poids) dans ce eau a été de 240 microns environ, qui a été considérablement plus grnndo quo celle du jaune d'oeuf séché par pulvérisation ini- tial . La densité apparente a été de 0,33 gr par centimètre cube.
Le produit aggloméré obtenu par co proessus a montré une amélioration marquée du pouvoir d'dooulument, de mouillage et do dispersion sur le jaunu d'oeuf en poudra qui a été traité dan un dispositif d'agglomération classique sans l'aide d'un agent agglomérant, et sur le jaune d'oeuf sé- ohé pnr pulvérisation initial.
EXEMPLE 3
On a mlane à seo 6 parties environ d'un oeuf entier séché par pulvérisation avec 2 parties environ de lactose anhydre séché par pulvérisation.
Ce mélange a été alors aggloméré d'uno façon clas- sique. La teneur en humidité de la poudre non ag- glomdrde a été do 3,4 et on a ajouté 4 % d'humi- dité au mélange pour fournir un agrégat qui, avant d'avoir été séché de nouveau, a ou une teneur en humidité de 7,4 le*, L'agrégat mouilles a été alors
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séché de nouveau rapidement jusque 3,5 d'huai...
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dité.
La dimension partic1tlliire moyenne du produit (eu poids) dans ou cas a été de 180 microns envi- ron, qui a été oona1dl$rubld!:1ùnt plus grande que celle de l'oeuf entier initial séché par pulvéri- sation. La donsité apparente a été de 0,33 gr par
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centimètre cube. Le produit obtunu par ce procédé" a montré une amélioration marquée du pouvoir d' 3-. ooulornant, de mouillaGù et de dispersion sur la poudre d'oeuf entier initial séchée pur pulvérisa- tion.
EXEMPLE 4
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On a mélangé a sec 9 purtioa environ de farine de blé avoo une partie environ de lactose anhydre nfah4 par pulvc3r.aatian. Le mclsno a été alors a.omdr3 d'une façon classique, La teneur en humidité de la poudre non aGlomér&tt a été de 8,2 % et on a ajouta 5,8 % d'humidité au mélange pour fournir un agréât qui, avant d'avoir été séché de nouveau, a eu une teneur en humidité de 14 %. L'agrégat Mouille a été alors séché de nou-
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veau rapidement. La dimension pnrtiou.a.xu moyenne du produit (en poids) dans ce cas a été de 100 mi- crons environ, qui a été considérablement plus grande que celle des particules de farine initia- les. La densité apparente a été de 0,35 gr par centimètre cube.
Le produit obtenu par ce procède a montré une amélioration remarquable du pouvoir
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d'écoulement, de mouillage et de dioporn1on sur la farine de blé initiale.
Toutefois, il est évident que la présent -
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invention n'est pas limitée aux former de réalisa- tion décrites et représentées et est susceptible de recevoir diverses variantes rentrant dans le cadre et l'esprit du l'invention.