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Réglas de la température dans les jours de réchauffage, en particulier dans les fours Pite.
La présente invention a pour objet le réglage de la vitesse et de la température de chauffage des produits métalliques chauds dans les fours de réchauffage et, en parti- culier, dans les fours pits.
Jusqu'à présent, il est connu de régler l'apport de chaleur à un four de réchauffage ou à un four pit suivant les températures du compartiment du four, mesurées au moyen d'un thermo-élément, A cet effet, on emploie un régulateur de température veillant à ce qe le four ne dépasse pas sa tempe- rature théorique prédéterminée ou à ce que cett dernière reste constante. Danc ce type de réglage, à partir du moment où les chambres sont occupées, on amène, au four, la quantité maximum possible de gaz, jusqu'à ce que l'on atteigne la valeur théori- que probablement réglée de la température.
Ensuite, on réduit automatiquement l'admission de gaz à la quantité nécessaire
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pour le maintien de la température pri:ti Dans e .- k ' , cage admet sénêralem=t que, ,'" --'"...'lrfJ1<('-.!).rff't'.. ""' '{' . cal. on admet généralement que, lorsqu'on Atteint 1.'échauffa':,' 'Î'I,r",:......t::,.;-f:;f .\'0, "!;., -. ,')" ;., i w,;, men.t désire de la charge,'l'apport d!" t ;aU\4llut '> :;d! r1,.;,.P)!",.t"A"- . , , quantité minitauat dépendant ausentio lemoge,4* 'at*t du ô;x*, .; quantité minimum dépendant < .' -'. y F rN f La quantité d'air de combustion ¯que cas ,: c; *et déterminé- par un réslage du râp-p"4ï"ï' îfv;\,,,,,,-:'+,1,,,,,,;\:y,\:J,,',1::- f,-" < '' En et qui concerne t. tr J, 'on 'en.1d, que,,:' ; pour des matières premières dét4u:m.J- .(ija 'tf!\ùpératUré" de 4 :
Ingot de 13000 C par exemple xlt¯ .''r "t'{'r", x4'iet ' '' , r toutefois vrai que si la température: 9./1' out la 1iôç .tt'>' '/' équilibrée, c'est..l-dire que la cha, . 4UrAt:.L'.Cbaud.', à."i'intér1Qr qu'a l'extérieur. r É",sir '"ir i <-,,4':,,è':;"'ri" 's "t"""";/"'.J.:'(7,1t,,(. transmise d'autant plus rapidameaC ,,14 Fltrae <tu.i2;:..:c1tffénà';r: .A nfi .... 3:f.'" ce de température entre le cam.ï .ç tour charge -:'; est importante, on a tendance ch ouir 14, :!1,etnttnt '' du four, une température aussi e1..",.,, }4u:,a:1. unifo.qNa.poa'-"' .." l .t. \i4'F\ '"; 1""- "..;Iii, . ,) 81ble. Par exemple,- ai, la sur;a ,to-y. tc .., . J" ' ,-,....... "" 1 CempÔ1:4CUn da 13Z0.
C, ,,1 .. xi",, et des four habituellement oxji4àntes, ''' tr "r r T,k ,1iq\1id...; ';11. ' en tenir compte lorsque la tea!p.raturà four et, ço=n#4,0 quent rem temprature superfi"c4ile d#l xai,ea quent la température superfic-ielle \. charge,'n'om.pa* nouveau abaissée . Etant donne que !:'t'hla.3e de la R;.tUX'8'" du four conserve sa valeur théorique er4ditermtnêè cona tante, S , n;
comme décrit ci-dessus,, la valeur, troique de la t:ïpt'a .;:"- du four ne peut dépasser, par exee 1320* C ou, urt;<yut lors- que les lingots séjournent 1=gçet dana le four suite des conditions opératoires, tenir compte t aP!toulema' des acories liquides sur la got4 4U'tQur.' , .. .T Outre les thormoél4jànts employés 'pôur"Maturtr et
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régler la température du four, il est connu de mesurer et d'en-
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registrer la température superficielle des lingots chars...;
' - , , par exemple au pied, au moyen d'un pyromètre optique à rayonne. ment, Lorsqu'on compare l'élévation <ao<nentanee de la tempéra- ture superficielle du lingot avec celle de la température du four, en constate qu'avec une charge normale chaude ou plus
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froide, la température du four monte beaucoup plus rapidement que la température superficielle du lingot. Dès lors, si l'on effectue un réglage uniquement par la température superficiel- le du lingot, notamment sur des périodes prolongées, la maçon- nerie réfractaire du compartiment.: du four risque de subir une surcharge thermique.
Ce n'est qu'avec une charge très chaude (à par- tir d'environ 1000 c de la température superficielle) que la température théorique du lingot est atteinte en même temps ou même un peu avant la température théorique du compartiement du four. Avec ces charges chaudes, il se produit encore un équilibre sensible de chaleur du noyau chaud vers la surface du lingot.
Les procédés connus présentent donc les inconvé- nients suivants :
1) Avec un réglage parla température du compartiment du four, il se produit une fusion des lingots (on atteint le point de fusion des scories) et, par suite des accumulations de scories ainsi provoquées sur la sole du four, la durée d'enfournement dans ce dernier est réduite. Lorsqu'on évite la formation de scories, le débit est réduit, car la capacité d'absorption thermique maximum du four n'est pas exploitée complètement.
2) Avec un réglage par la température du pied du lingot, on : dépasse les températures permises du four avec les suites néfastes qui en résultent pour la maçonnerie réframtsire.
Dans les fours pits, des matières premières déter- minées nécessitent des vitesses de chauffage sensiblement infé- rieures à celle à laquelle le four pit doit normalement être . chauffé (chauffage commandé). On sait que ces processus de chauffage peuvent être commandés par un réglage à programma de l'apport d'énergie.
En ce qui concerne les deux procédés précités de réglage de la température, il n'était toutefois pas passible, jusqu'à présent, d'effectuer un chauffage complé@entsize à la, température finale désirée en utilisant la @@pacité d'alsap-
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tien thermique maximum, après avoir atteint une température limite* prédéterminée.
Le problème consistait dès lors à prévoie un dis- positif qui, tout en assurant au tour un rendement au moins égal ainsi qu'un fonctionnement modéré, empêchait la formation de scories liquides, tout en permettant en outre un fonctionne- ment automatique avec une utilisation de la capacité d'absorp- tion thermique maximum lors du chargement de matières premières déterminées.
Suivant la présente invention, on a trouve la solution de ce problème dans la combinaison de deux possibilités de réglage, cette combinaison étant décrite ci-après, Les me- sures indiquées par le thermoélément (température du comparti- du ment/four) ainsi que par le pyromètre optique à rayonnement (température du pied du lingot) sont fournies chacune à un régulateur comportant un indicateur de valeur théorique., Dans ce cas, la valeur théorique pour la température du pied du lin- got est établie, par exemple à 1 300 C et la valeur théorique' pour la température du compartiment du four par exemple à 1380 C.
Les différences de réglage fournies par les deux indi- cateurs de valeur théorique (valeur réelle valeur théorique) sont amenées à un sélecteur dit minimum raccordant chaque fois le régulateur comportant la plus petite différence de réglage avec l'amplificateur intercalé à la suite et la commande de réglage. De la sorte, la température du compartiment du four monte tout d'abord à sa valeur théorique qui est, par exemple/ de 1380 C. Celle-ci est maintenue constante, jusqu'à ceque la température du pied du lingot atteignesa valeur théorique de, par exemple, 1300 C.
Ensuite, le sélecteur minimum est commuté sur le réglage de la température du pied du lingot et Maintient cette dernière constante. La température du comparti- ment du four retombe d'une manière correspondante. De la sorte on assure un chauffage rapide du produit de charge (forte chute de température entre le compartiment du four et la charge), mais on évite également la formation de scories liquides (la témpéra- ture de la charge ne dopasse pas 1300 C).
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Dans le cas du "chauffage commandé",au lieu de la valeur théo- rique établie d'une maniera fixe, on peut, au moyen d'une com- mande à programme connue en soit.fournir au régulateur de la température du compartiment .du four ou également à celui de la température du lingot, une valeur théorique momentanément varia- ble, notamment suivant le type de programme.
Chaque différence de réglage est traitée comme décrit ci-dessus par le ¯électeur minimum, l'amplificateur et l'organe de commande. Le disque de la commande à programme, sur lequel sont indiquées les tempé- raturas théoriques, effectue une rotation, par exemple en 12 heures, puis il reste dans la position finale. En actionnant un interrupteur à main (marche rapide),on peut Introduire n'im- porte quelle température initiale, Dans cette position, la ro- tation du disque ne dure que quelques secondes.
Dès lors, air. l'en règle également le disque à la main sur la valeur finale au début du chauffage, on peut également, avec ce montage, chauffer des charges normales à une vitesse maximum de chauffage.
Des matières premières déterminées ne doivent être chauffées, suivant un programme, qu'aune température limite déterminée, par exemple 1000 ou 1100' C. Le chauffage ultérieur jusqu'à la temfpérature de laminage peut alors être effectué comme pour un matériau noraml. Lorsqu'on atteint cette température limite, on peut, au moyen d'un interrupteur à valeur limite, commuter la commande à programme sur la mar- che. prapide. Elle tourne alors dans la position finale et le chauffage ultérieur s'effectue de la manière habituelle, clos*- à-dire avec une capacité d'absorption thermque maximum.
On décrira à présent une forme de réalisation à titre d'exemple, en se référant au dessin en annexe. La ten- sion fournie par le poste de mesure 1 (pyromètre optique à rayonnement) de la température du pied du lingot est amenée à un régulateur 2 comportant un indicateur de valeur théorique 3.
La différence de réglage (valeur réelle - valeur théorique) est amenée à un sélecteur de valeur limite 4,
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La tension fournie par un poste de mesure 5
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(température du compartiment du four) est amenée <t'un régul**' leur lieu d'un indit;ûd.'y.i.t;têqû,jti1e d'une manière fixe, on a une commande à 'pt'ogramm. '1 fourni** sont, au régulateur 6, la valeur théorique déf ini ' p* le P" gramme préalablement déterminé.
Un contacteur k *4t, limite* adapté avant la commande à programme 71 permet, lôriquoïiât teint une température limite préalablement trabU, d6<MM'" ter la eotnmande à programme dans sa position finale La diffé- ronce de réglage obtenue du régulateur 6 est fournie au sélec-
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t4U1" minimum 4.
De,4on côté, ce dernier roll* chaque 101. le. régulateur du système à régulateurs décrit ci-dessus 'avec l'am-
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plificateur 8 intercalé à la suite, ainsi qu*ave juni 5éon aandt de réglage non-représentée. notamment le régulateur,dont: la différence de réglage avec la valeur théorique est la plus fai- ble ou la plus grande suivant le cas. te sélecteur de valeur limite 4 peut comporter d'autres raccordements, par exemple 10,
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11, etc., auxquels peuvent chaque foie être adaptés 'd**autre! circuits de commutation, constitués des éléments 5, 6, 7 et 9.
Suivant le cas, on peut remplacer une ou plusieurs commandes à programme par des indicateurs habituels de valeur théorie.
Les postes de mesure précités 1 et 3 ne doivent pas être néces- sairement des postes de mesure de température, mais ils peuvent' également être parfaitement des postes de mesure, par exemple pour la pression, le pH ou analogues. Dans ce cas, il suffit de transformer les valeurs indiquées en valeurs électriques, qui seront utilisées ultérieurement dans la montage décrie.
Dès lors, le domaine d'application du montage n'est pas limité à un réglage de température.
L'application du montage suivant ,la présente
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invention dans le réglage des fours pits offris lit avantage! suivante : 1) On peut chauffer, dans le .tour pit, aussi bien des chapes normales que des charges spéciales en utilisant la vitesse maximum possible de chauffage, conditionnée par le four, lui* même et par le programme, car on peut effectuer automatique-
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ment un réglage basque de la valeur théorique.
2) Etant donné que l'on peut chauffer dans des intervalles de température déterminés avec une vitesse maximum, mais par con- tre, dans d'autres intervalles de température, exactement sui- par vant un programme prédéterminé, on obtient/un traitement très modéré les aciers de haute qualité.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.