BE625898A - - Google Patents

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BE625898A
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  • Crystals, And After-Treatments Of Crystals (AREA)

Description


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   La   présente   invention    et   relative à   des     procédés   pour   contrôler   la   composition   d'une phase vapeur contenant 
 EMI1.1 
 deux au pluatouva composant* coq procédés pont applicables, à n'importa quelle substance que l'on peut Amener à ))U;

  !.!p Une transformation de phase de l'état liquide à l'état de vapeur. que ce Bt1t par évaporation, par réaction ou par nt1mpote quel autre mécanisme  4,lnventton est intéressante en parti  oulier# pour le contrôle d'un* phase vapeur que l'on oondenee éventuellement pour produire uns orolaunnoe ori*talline ou a- morpho* De tel* procèdéo intéressant présentement la tabrîca- tion d'appareils coMportant une couche dpîtexialet Il tot clair que dans le cas d'une couche formée par croissance dpitaxialo# la composition doit être contrôlée avec la même   précision   que dans le cas d'appareils fabriquée par les techniques conventionnelles,

   La nécessité d'un con-   trôle   précis devient évidente quand il s'agit de produire   des   gradients de résistivité ou des   fonctions   p-n en cours de croissance. Quand il faut produire des   jonctions     activée   ou des gradients, par diffusion   subséquente   ou par un autre pro- 
 EMI1.2 
 cédé, la reproduotibilite et une production raisonnable deman- dent une composition   presque   identique d'une couche à   l'autre,   de façon qu'on puisse prévoir   les   résultat* à obtenir au cours d'opérations subséquentes. 



   La variation de volatilité des composante   utilisés   pour produire une couche donnée engendre la difficulté de pro- 
 EMI1.3 
 duotion d'une composition contrôlée de couches 6p1tax181'8. 

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   De telles   variations,   que l'on peut exprimer en termes sembla- 'blés ou termes familiers des équations normales bien connues de gel et de fusion zonale, entraînent un équilibre en phase vapeur différent de celui du liquide qui en est la source, 
Alors qu'on pourrait tolérer de telles variations si elles étaient constantes, elles entraînent   évidemment   une   élimination     d'un   ou de plusieurs constituants ou composants plus volatils du liquide et, dès lors, une composition variable en phase vapeur et une variation consécutive de composition de la   cou-     elle développée,    Tous  ceux qui   appliquent   cette techniqueont reconnu cet état   de chose,

     et ils ont en recours des mesures   soignées   des   constituants,   en vue   d'une     constance   de composi- tion pour une   croissance     acceptable.   Il est   clair,   cependant, qu'une solution est   nécessaire   pour le contrôle de la   composi-   tion d'une phase vapeur en équilibre avec le liquide qui en est la source* 
Le présent mémoire décrit un procédé suivant la pré-   sente   invention, pour produire d'une manière sûre, en continu, une phase vapeur qui, en régime permanent, soit entièrement constituée par la phase liquide   d'où.   elle est produite ou ait une composition identique à celle-ci,

   dans le cas où   l'on uti-     lise   des produits   entraîneurs.   Quand la phase vapeur doit ser- vir à faire croître un solide conformément à la   féerique   de   formation   des couches   épitaxiales,   la condensation entraîas nécessairement une composition   contrôlée.   En outre, le procédé suivant l'invention peut servir à d'autres usages connus où   intervient   la fusion zonale, Par exemple, des   parturbations   dans les conditions de croissance déplacent temporairement l'équilibre et, par une composition appropriée,

   pourraient   en-     traîner   des variations du type de résistivité et/ou de   oonduo   

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        tivité   d'une couche condensée. 



   Le procédé suivant 1'invention comporte le passage par capillarité du produit, qui constitue la source liquide , à travers une barrière de diffusion, ainsi que la formation d'une phase vapeur à partir de la couche d'arrêt, hors de con- tact avec la source, 
La présente invention a pour objet de provoquer l'é- vaporation d'une substance en phase vapeur qui ait la composi- tion globale du liquide d'où elle provient, dans un système dans lequel la substance en   évaporât Ion   est également enrichie initialement par rapport à un   ou 4   des composants dont la   pres-   sien de vapeur est plus   faible*   Dans ces conditions, la diffu- sion dans le liquide produit un gradient exponentiel de concentration dans la région proche de la surface,

   le régime permanent étant atteint lorsque la composition du   liquide, a   la surface, est telle que la composition de la phase vapeur en équilibre avec le liquide est la même que celle du liquide global, Cette condition n'est évidemment pas réalisée si on permet à   l'évaporation   ou à un autre   mécanisme   générateur de vapeur de se fcaire à partir de la surface libre d'un corps liquide. Toute Tentative pour produire un tel gradient de con. centration au sein du corps est contrecarrée par l'écoulement du liquide, produit uniquement par l'agitation thermique ou mécanique du liquide, laquelle agitation résulte de l'emploi d'un entraîneur gazeux.

   Le présent procédé surmonte cette   si-   tuation grâce à une barrière ou écran de diffusion - limitée,qui prend la forme d'une voie   d'écoulement   capillaire,   travers   laquelle le liquide doit nécessairement passer avant .   d'être   transformé en phase   vapeur.        

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   Dans une forme préférée d'exéoution, on   anoure   l'é- coulement capillaire à l'aide d'un filtre poreux en verre fritte qui bloque effectivement l'agitation thermique et   l'a-     gitation     mécanique.   D'autres   configuration.   comportent des Zain-   oeaux   de tubes capillaires, des faisccaux de tiges, des couchée de matière partioulaire et d'autre. agents poreux, télé que du papier   'buvard*   la majeure partie de la question discutée dans le présent mémoire,   l'est   en terme de systèmes serai-conducteurs  avec l'espoir que   c'est   dans cette technique que le procédé présent sera d'abord appliqué à l'échelle commerciale.

   Il est cependant clair que les procédés suivant l'invention peuvent être appliques à n'importe quel système à un ou à plusieurs composants susceptibles de subir une transformation de phase de   l'état   liquide à l'état de vapeur sans réaction indésirable  et que les procédés peuvent être appliques utilement là où existe une différence de volatilité entre deux composants quel- conques.

   Bien que le procédé serve en premier   lieu à   la crois- sance de pellicules épitaxiales, la phase vapeur à composition contrôlée n'étant   qu'un   produit intermédiaire, il est   vraisem-   blable que 1' intérêt du procédé se développera dans des   dosai-   nes où la composition de la phase vapeur elle-même sera le pro- duit   final.   Parmi les systèmes semi-conducteurs   auxquels   ces procédés conviennent en particulier, on peut citer les   solu-   tions usuelles de   germanium   et de silicium qui contiennent une ou plusieurs impuretés significatives, ainsi que d'une   ma-     nière   générale,

   des composée   intermétalliques   des groupes III-V et   II-VI.   Dans ces deux   démises   classes de   substances,   le   mé-     oaniame   de contrôle que permet l'invention vaut non seulement pour contrôler la quantité d'Impureté significative qui pourrait 

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      y tare présente, mais aussi pour assurer la   formation   du composé intermétallique en quantité stoéchiométrique. 



   Comme on l'a fait remarquer, on éprouve de nos jours un intérêt croissant pour la formation de pellicules supraoon-   duotrioes.   Un exemple spécifique concerne la formation d'une pellicule de   V,   stoéthiométrique. Ceci   constitue   une composi- tion particulièrement diffioile à faire croître par le procédé bien connu de réduction par   réaction   d'hydrogène avec du   chlo-   re, étant donné que le tétrachlorure de   silicium   est environ quarante foie plue volatil que le chlorure de vanadium* 
On peut faire croître aussi facilement d'autres supraconducteurs, notamment du Nb3Sn et des   .alliages   Nb-Ti. 



   Dans la description détaillée de l'invention, référence est faite aux   dessina   ci-annexés, dans lesquels - la figure 1 est une vue en élévation frontale, partiellement en coupe, d'un appareil qui convient pour la réalisation pratique de   l'invention!     -   les figures 2A et 2B, sont respectivement, une vue en élévation frontale d'une coupe de l'appareil représente à la figure 1, contenant la 'barrière de diffusion, et un tra- cé de la distance (A) correspondante le long de ou suivant la coupe, en fonction de la concentration (B) exprimée en fraction molaire pour une solution de   référence  et - la figure 3, donne la concentration (B) exprimée en fraction molaire, en fonction du temps   (@)

     et montre la   va-   riation de concentration de la phase vapeur d'un   système 1   deux composants en fonction du temps, avec une perturbation momentanée. 



   En référence à la figure   1,     l'appareil,   représenté convient pour réaliser chacun des aspects de l'invention, bien que Certaines parties   puissent,   comme on le verra, être' 

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 fermées ou isolées dans certaines circonstances.

   L'appareil représenté, qui peut être en verre ou en n'importe quel autre matériau qui ait les propriétés chimiques et les   caractéristi-   ques de température appropriées, comporte une chambre   d'évapo-   ration 1 munie d'une barrière 2 en verre fritte ou autre maté- riau capillaire, laquelle barrière peut être mouillée convena-   blement   grâce aux grains de verre 3, L'extrémité inférieure ouverte de la chambre d'évaporation 1 est immergée dans la masse du liquide 4, source de vapeur, contenu dans le ballon 5   $'appareil   représenté possède un tube 6, qui peut recevoir un produit   d'excitation   en phase vapeur, en provenance de la   cham-   bre d'évaporation 1;

   l'appareil renferme, en outre,   l'appareil-   lage conventionnel pour faire croître des pellicules par   réduc-   tien au moyen d'hydrogène, lequel appareillage comporte le support 7 pour le substrat, un dispositif de chauffage 8, qui peut prendre la forme d'un enroulement ou bobine d'induction, ainsi qu'un support en quartz 9,   qai   à son tour contient un thermocouple 10. Une pastille ou galette 11, formant substrat est représentée au sommet du support 7. 



   Etant donné que'dans la description générale de la présente invention, référence est faite à la figure 1 d'autres dispositifs comportant une source de chaleur 12 et un appareil d'alimentation 13 sont également décrits. Lee robinets   14,     15,     16,   17   18,   19 et 20 servent à régler le débit gazeux dans l'ap- pareil*   On   a représenté deux niveaux de liquide matérialises,      l'un par la ligne en traits .pleins 21 et l'autre par la ligne en traits interrompus 22. 



     On   a trouve.pratique d'opérer à un niveau en-dessous   -de l'extrémité   inférieure de la barrière, de diffusion   représen-   têe par la ligne de surface 21. L'ensemble de tubulures par où      

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 passe le   liquide   pour   atteindre   le verre   fritte   peut être, au choix, rempli de graine de verre qui   empêchent   la   formation   de bulles sur la face inférieure du verre fritte   eten   restrei- gnant le volume de la chambre d'alimentation, ils augmentent la longueur effective de la barrière de diffusion* Quand le niveau se trouve en-dessous de la   barrière   de diffusion,

   il est nécessaire d'amener initialement le produit de la   source   de liquide 4 à la surface inférieure de la barrière de diffus sion. Cela peut se faire en appliquant dans le   réservoir   une pression d'hydrogène.   Apres   la mise en contact, on   égalise   la pression à   l'intérieur   du réservoir et à l'iontérieur de la chmm- bre   d'évaporation   pour permettre au liquide restant de retour**   ner   en s'écoulene dans le réservoir.

   En raison de la capilla- rite  la colonne de liquide reste en contact avec la   barrière   de diffusion et   maintient   humide la surface supérieure, Grâoe à cette technique, l'espacement entre   l'extrémité   inférieure de la barrière de diffusion et la surface supérieure de la source de liquide, n'a pas une -importance   critique,   étant donné que la   capillarité   et la force de cohésion du liquide supportent la colonne en   contact   avec la barrière, à   l'encan-*   tre du poids   spécifique   élevé de la colonne de liquide.

     On   peut se passer de cette opération si on maintient le niveau du liquide comme désigné par la notation de référence 22,   au*    dessus de la surface inférieure de la barrière de   diffusion   'limitée, bien qu'on puisse trouver souhaitable de diminuer dans ces   circonstances,   la formation de bulles par   agitation *   Ou bien le niveau du liquide dans le réservoir peut dépasser celui au verre   fritte,   la   Hauteur     permise   du   liquide   étant   ce!* ,   le qui est tout   juste   incapable, de surmonter les forces de   capillarité   qui   empêchent   le liquide de dépasser la surface y supérieure du verre fritté.

   

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  Apr<M cou opération  priminairti, en oommtfto. -La trano:ro=ation en phase vapeur, toit par dvaporation activée éventuellement par une 10U:OI de chaleur 120 soit en Utilisant un <&trBtn<uï? provenant 44 la rioérvo 1% bi on 44.1r, xainte- ni* uniforme 11 composition d'une pellicule qui croit sur un substrat 11. on continue lu de phase p.n4t Uns OQU1' p.t'4. 4'.aoumulation, lU cours de laquelle la pha- se vapeur ont aspirée par l'ouverture des robinets de dloom- pression 18 et 20* Après cette période d#aooumulationl on fait   passer   la substance à   l'état   de vapeur par un robinet 17 et on la condense sur une pastille ou galette 11, par n'importe quel moyen   appropria   comme le procédé de réduction thermique par hydrogène, lequel procédé comporte l'usage de l'appareil repré- 
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 sent6. 



   La figure 2A représente une coupe de l'appareil représenta à la   figure   1 et comprend la barrière de diffusion 2 au-dessus d'un support 3, à l'intérieur de la   chambre   de va- peur 1. 
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 la figure SB donner en ordonnées, les unités do distance (A) qui correspondent à oelle de la coupe représentée à la   figure   2A, et en   abscisse,   des unités de   concentration   (B) exprimées en fraction molaire, basée sur la   exposition   du liquide;

   la figure 2B montre la variation de composition en   . régime     constant,   le long de la colonnes pour un système à deux 
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 oompost8'rentermant plue de composant volatil 50 et moins de composant volatil 31, En procédant du bas vers le haut, on voit que les concentrations relatives des ingrédients 30 et 31 sont constantes dans le   liquide   et dans la partie inférieure de la   barrière   de diffusion 2 A partir   d'une   position désignée par la notation de référence 32 dans la barrière, on voit que 

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 la concentration en oompcoant mo1n1 volatile 31 augmente t:tpo 21!.nt1el1emtlnt et atteint une valeur t4a:s1. à une 120.4..- tl*n ?3 qui oo3weeyod à la surface eupt1QU' de la barxlère de effusion 2.

   A partir de lit la concentration de Jinlr44iln 31 eb<!daa<t b%utalowont à le valuur attointa ditna le liquide ; o(t .11, roote 1110 dnno la pligne vapeiii-t X,11nlt:r.I41in'b >01 plu$ Vo1CL1IJ,\ VRfi  de t'&\90n inveput, cit .1hJ.t1 \4U nlnimum nu point 330 La situation représenta graphiquément à la figure 2B est celle qui est atteinte à l'équilibre, condition rdali- née pour une solution idéale, quand la composition & la eurfa- ce de la barrière de diffusion 2 (position 33) est égale àt 
 EMI9.2 
 
 EMI9.3 
 Na =p*  * rapport molaire des composants en phase liquide ri %*apport molai;

  re des composante phase vapeur y-S < rapport molaire des composants en phase vapeur \ p0 m pression de vapeur du composant a  pur et p0 a pression de vapeur du composant b pur* On peut faire remarquer que cette équation do dit* tribution a une forme identique à celle de 1* équation foa 41îb- re de fusion sonaiet us là Olle 

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   dans laquelle   
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 traction molaire d'un composant dans le eoiide qui cristallise, 
C1 fraction molaire du liquide d'alimentation à    l'interface,   
 EMI10.2 
 k   coefficient de distribution à travers ltinter- face. 



   Par analogie, on peut considérer que la rapport 
 EMI10.3 
 p  a/o   représente   un coefficient de distribution et permet de pb 
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 prévoir le rapport de la concentration à .' etui7.ibie d'un coin- posant à la surface et dans la masse du liquide. 
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 A la figure 2B, la concentration f. l'équilibre du      
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 composant moins volatil 31 atteint un maximun dans la position 33j concentration égale a colle qu'il a dans la masse.du li- quide, multipliée par le rapport de a pression de vapeur a celle du liquide plus volatil   30.   



   Pour atteindre   Imitât   de   régime     constant représen-   
 EMI10.7 
 té à la figure 2B# la seule exigence est que la barrière capil- laire et la vitesse ou débit d'écoulement soient tels que la gradient de concentration, défini à la figure 2B ce rame étant 
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 la section comprise entre las positions 32 et 33, soit conte- . nu dans la barrière* Pour une barrière donnée, les conditions qui limitent l6aou.ieent sont celles qui ont.pour résultat une épaisseur de oouche do diffusion é,ale e la lon,,uuur de la barrière* Des procèdes pour calculer l'épaisseur de la cou- che ont été exposes (voir, par exeuple 3 Qanad.an Journal of Physios, 723 Z"19557 ).

   En général, la longueur de la barrière doit valoir au moins 7 fois   l'apaisscur     #   de la couche et 
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 peut ôtre calculée à partir de la distance caractéristique de 

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 diffusion r"donnée par l'équation! 
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 dans laquelle du diffusibilitd- on cn2/seconde et, je s  vitesse d'écoulement en en/seconde. la littérature mentionne la dif!ua1bilité pour- dif- férente liquides (voir, par exemple "Diffusion in Solide# Li<- quide and Ouseau W Just, 3e édition Z-1960Y Académie Press, II.Y. pages 4-74 et suivantes. A des fins. de réalisation, on peut faire rewarquer que les diffusibilités de liquides varient ratèmen plus que d'un facteur de 3 dd la valeur 3 X 10-5am2/ sec.

   C'est pburquoi, ou peut ccnsldérer que la diffusibilite est comprise entre 1 x 10-5 et 1 x 10.4, indiquant ainsi une vitesse d'écoulement uiniuale adminsibls .é;a7e à 7 x 10 -4 obi ace/1 cm do longueur de barrière. La deteruination do la vites. se d'écoulement à travers une barrière capillaire particulière dépend de la section moyenne transversale, des capillaires. 



  Cette valeur.est facile   à   déterminer pour un faisceau de tubes capillaires et le fabricant de matières poreuses, comme le verre fritte,fournit en général cette valeur. On voit qu'il n'y a pas de limite supérieure théorique   à   la vitesse   d'écoule..   ment   à   travers la barrière capillaire, étant donné que   l'équa-   tion (3) montre qu'un accroissement de la vitesse d'écoulement   entraîne   une diminution de l'épaisseur de la couche de dit- fusion. Une   limite   pratique est imposée par la vitesse maximum      à laquelle peut se faire une transformation   d'une   phase   liqui-   
 EMI11.4 
 de en phase solide à la surface de la barrière. 



  On se rendra compte qu'une perturbation de l'évapora- teur en ré-irie constant doit entraîner ulychangement temporaire do le composition du soluté et qu'après la perturbation, le 

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   système va   retourner dans l'état Initial de   régime     constant.   



  Des perturbations intentionnelles de   l'évaporateur   à régime constant entraînent   des .changements   de composition pondant la croissance de la pellicule épitaiale, lesquela ohangements   produisent    dans le   eau   de   semi-conducteurs,   des jonctions p-n simples ou multiples IL est   possible   de perturber   1* évapora-   teur en égime constant soit en changeant la vitesse   d'évapora-   tion   soit   en   codifiant   l'écoulement du liquide du réservoir à la   barrière   de   diffusion.     1 ' accélération   ae   l'évaporation,

     ce   môme     que l'augmentation   de   l'écoulement   de 1' entraîneur, pro- duit une augmentation de la concentration en soluté qui a une   pression de   vapeur Inférieure à celle du solvant, et décroît la concentration en soluté qui a une pression de vapeur plus forte. En diminuant la vitesse d'évaçoration de   même   qu'en di- minuant l'écoulement de   l'entraîneur,   on produit l'effet   inver-        se. En maintenant constante la vitesse d'évaporation, on peut   augmenter-,le   débit d'alimentation par une augmentation de pres- sion   dans le     réservoir-,   pour accumuler une couche de liquide sur la surface supérieure de la barrière.

   En subemergeant la   barrière   de diffusion, on produit une forte augmentation de la concentration    pointé   qui a une   pression     de vapeur   plus gran- de que le-solvant, et une   diminution   correspondante de la con-        centration*   en solutés qui ont une plus forte pression de vapeur. en séchant, en partie la barrière de diffusion, par   une     augmen-     tatlon   de-pression dans la chambre d'évaporation, on évacue temporairement le liquide de la barrière de diffusion et cela entraine des   changements   de composition inverses de ceux expo-   ses ci-dessus.

   / / -'La figure 3 illustre l'emploi de l'évaporateur, avec   perturbation du régime constant. Cette figure constitue um tracé de la concentration exprimée en   fraction. molaire   en 

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 fonction du tempe et représente la concentration de chacun des deux composants d'un système à trois composants ou   ter-   naire on phase vapeur, au moment, où il quitte la surface   eu-   
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 peritture de la barrière capillaire. Le système particulier - décrit, contient les solutés   40- et   41 dans un solvant qui   n'est   pas représenté. Les deux solutés 40 et 41 sont moins volatile 
 EMI13.2 
 que le oolviuit, le soluté 40 étant moins volatil que le soluté 41.

   Au tempe to'la phase vapeur quitte le sommet ou le haut de la barrière et contient les solutés 40 et 41 à den   concen-     trations   que l'on peut représenter comme étant inférieures à collez du liquide initial. Pendent l'intervalle qui s'écoule 
 EMI13.3 
 entre le temps to et tjo les concentrations de  solutés 40 et z augmentent eXf-Onentionnelle1.ont jusqu'à ce qui au tempo tif, la phase vapeur on équilibra arec ce liquide, ait la   composi-   
 EMI13.4 
 *ion du liquide dont  le réservoir. Du temps tl au tempo t2o des conditions de croissance rfi,,#;uliàra ne maintiennent et en- traînent une composition constante,   rendue   dvidente par la      droite horizontale, au cours   doucette   période.

   Au temps t2, on 
 EMI13.5 
 change brusquement la composition de la phase Vapeur, en 1nmQr- gerutt la barrière de diffusion limitée, dans le liquide du ré- servir, opération que l'on peut réaliser en fermant aoncn- taneiaent les robinets 17, la et 20, ot on ouvrant le robinet 3'j, Cela rend presque in6tantan6nt los concentrations en phase vapeur des solutés 40 et 41 essentiellement égales aux concentrations atteintes initialement, rau temps to, Kn permet- tant tut. l'excédant de liquide de retourner dans le réservoir, en égalisant la pression  ' taxa le rn(!rvo1r et dnua l1 évapora-   teur.   on laisse croître la concentration du liquide à la sur- face supérieure de la barrière,pour atteindra celle qui est 
 EMI13.6 
 représentée sur la période définie e:.4rr les temps t et 'ci;

   

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 EMI14.1 
 aur une période égale qui va du temps tp au tempe t4, l'accumulation est complète, grgoe à quoi la vapeur subséquente a de nouveau la composition du liquide. 



   Bien que les conditions représentées par le tracé 
 EMI14.2 
 de la figure 3# aient été discutées en termes de débit cong- tant, avant et   après   la   .perturbation au   temps t2' dans les limites discutées en rapport avec la figure   2B,     c'est-à-dire   dans le   cas   où la barrière a une longueur de   voie     d'écoulement   au   Moins   égale à sa longueur propre, on atteint cependant à l'équilibre des concentrations en phase vapeur qui sont iden- tiques à celles du liquide, dans tenir compte lu débit.

   Hais, 
 EMI14.3 
 étant donné que s varie inversement compare au débit, le gra- dient   requiert   mains de   composant   volatil et ce gradient ainsi que   l'augmentation,   entraînent une   diminution   pendant les in- 
 EMI14.4 
 tervalles de tempa entre to et ti et entre t et t 4g * On peut considérer que la figure 3 représente les ozidit.nu"ppropx.f es pour la croissance des jonctions n-p-n ou p-n-p d'un sem.-oon,duoxaue.'. eupposant que le atxp4a 40  le soluté le moins volrtil, représente un composé contenant une impureté significative du type p, par exemple du BBr3 dans 
 EMI14.5 
 du siez 40, et que le soluté 41 représente un composa contenant une impureté du type n, par exemple du 1101 dans du 4.C2, on voit que la couche développée correspond à la période qui va de t..

   à t2j et que la période après t 4 représente une reaittt- vite constante du matériau de type p, tandis que la   portion   de la couche, qui résulte de la vapeur formée par   1  intervalle   t2 
 EMI14.6 
 à t3# représente un matériau de type n. Comme il, a d<$4& été dit, il est   possible   en   faisant   varier le débit, de modifier   l'épaisseur   des   couches   de type n, des   régions   plus   minces   
 EMI14.7 
 étant obtenues par un dôbit,pxus rapide.

   On peut répéter et processus un certain nombre de fois, pour   produire   le nombre 

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 et l'espacement voulue des multiples jonctions p-n, 
Le procédé discuté   en/rapport   avec la figure 3 est analogue au procédé connu sous le nem de "croissance à vitesse donnée avec fusion nouvelle" suivant lequel (1) on tait croître à une vitesse donnée, une substance qui cristallise, (2) on arrête le processus de croissance et on   iumerce   de nouveau la partie cristallisée de façon qu'une surface refonde, et (3) on continue la croissance à la vitesse originale, Pour réaliser ce procédé, il faut, en général que le soluté' le moins volatil soit celui qui prédomine dans le liquide initial.

   Il est pos-   siblo   de produire des jonctions* par un procède analogue   à   celui de croissance 4 vitesse donnée, mais sans fusion   nouvel-     le.   De même que le procédé normal de croiseance de cristaux, ce procédé-ci ne produit pas de jonctions aussi nettement   dé-     limitées que celles qu'on peut réaliser par fusion nouvelle, *   Il est possible de produire les jonctions soit en augmentant le débit   d'un   système dans lequel le soluté prddomine au sein du liquide initial, soit en diminuant le débit, pour des sys-      tomes dans lesquels c'est le soluté le moins volatil qui pré- domine. 



   La vitesse   d'établissement   de la concentration,par exemple   l'intervalle     représenta'par   la   distance   de to à t1' à la figure 3 est également déterminée par la diffusibilité et la débit. La condition générale a été envisagée et exposée dans la littérature par V.G. Smith, W.A. Tiler et J,W.

   Rutter, dans le Canadien Journal of   Physics,   33,723, 1955.   On   a cons- taté que l'accumulation est en général, très rapido, et que, dans la plupart des cas, elle se fait en une minute ou moins, 
Bien que la croissance perturbée, par exemple, con- fermement au   processus   représenté à la figure 3 ait été dis- 

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 cutée en   termes   de création   d'une,   ou de   plusieurs     J'onction*   p-n, dans le cas de semi-condueteurs, il est clair qu'on paut effectuer le procédé de   façon qu'il     en.

   résulte   un gradient de résistivité sans   fonctions*   Il est très   facile   d'obtenir un tel gradient en opérant avec des systèmes complémentaires de ceux qui ont été   discutes   en rapport avec   des     processus   analé- guos au   processus   de croissance à une   vitesse   donnée avec   ou.     sana     fusion     nouvelle.     C'est     ainsi,   par exemple que   des gradients     résultent     d'uns   diminution de débit,

   pour un   système     dans     le*-   quel le soluté le plus volatil prédomine pour faire croître   -eau    fusion   nouvelle.   D'autres possibilités   comportent   une   perturbation   dans un système à soluté unique. 



   .Deux exemples spécifiques sont   présentés   ci-dessous. 



  Le   premier-4'entre   eux concerne le développement ou la   crois* ,     sanoe   d'une pellicule du composé supraconducteur V3Si. Le second exemple   concerne,'également   la croissance épitaxiale, mais d' une solution semiconductrice à l'état solide contenant du SiCl4 et du PC13' pour préparer des pellicules du type n de résistivité contrôlée. 



   EXEMPLE 1   .On   a rempli le réservoir 5 de l'appareil   représenté   à la   figure   1. jusqu'au niveau 21   d'un   mélange de   tétrachloru-   re de vanadium et de   tétrachlorure   de silicium en 'rapport mo- laire   trois' sur   un. On a appliqué une pression   d'hydrogène   jusqu'à   ce,que   la surface inférieure du verre fritte de la barrière   de, diffusion   soit mouillée.

   On a   commencé   à débiter de l'hydrogène en ouvrant les robinets appropriés et on a con- tinué l'opération en chauffant le produit dix minutes environ,   après   quoi-on a   laissé   la vapeur se déposer sur le haut de la      

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 galette ou pastille 11,substrat en MgO. Cn a maintenu   la   ga- lette à une température de 1000 C environ, indiquée par une 
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 lecture du tliermocouploq de façon que le Mélange en phase va" peur se condense. On a continué à débiter pondant cinq minute. environ, avec pour résultat une oouohe dont l'épaisseur avait environ un micron.

   Des analyses par   rayona   X ont montra une 
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 structure correspondant à YS1, et les tenpératuree critiquée des pellicules se situent entre 15,,7 et 1f,° R ce sont des temp6raturen caractéristiques de cotte substance 
EXEMPLE 2..- 
On a rempli le réservoir 5 de l'appareil   représen-   té àla figure 1,   jusqu'au     niveau   21 d'un   mélange   de 100 PPM de PC13 dans   du .810148   On a applique une pression d'hydrogène   jusqu'à   ce que la surface inférieure du verre fritte de la bar- rière de diffusion soit mouillée.

   On a commence   à   débiter de 
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 l'hydrogcne en ouvrant les robinets appropriée, et on a conti- nu l'opération en   chauffant   le produit pendant 5 à 10 minutes, après quoi   on @   laisse la vapoui de déposer sur le haut ae la 
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 galette ou pastille 11, substrat également im .11.c04 On a main- tenu la galette à une température do 1150-1200*0 environ, in- diquée par une lecture au thcraocouple, do façon que le mdlan- ge en phase vapeur se cordonue. On a continué z débiter pon-      dant 20 minutes environ, avec pour résultat une couche qui avait une   épaisseur   d'environ 10 nierons.

   Un examen au micros- 
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 cope a révélé que la couche était J?itaxiale< Cette couche était-constituée de silice du type n, avec une réclotivité do 0,5 ohm cm environ. 



   Les processus suivant l'invention ont été   décrits        en ternes qui   impliquent   un nombre   limite   de formes   d'exécution.   

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 EMI18.1 
 L'expose de l'invention aasa te, cependant  en gros.

   Item.. ploi d'une barrière de diffusion limitée, qui permette   l'éta-   
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 bl1saQmentd'un gradient de concentration en ingrédient coins volatils   d   façon que   la   liquide doive   s'écouler     à   travers la barrière avant   d'Stre     transforme   dans la phase vapeur 
 EMI18.3 
 L'emploi d'une telle 1Je.l'r:Ll'è produit, en régime constant, une composition en phase vapeur identique à celle de la phase li- 
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 quide. Cette.condition est atteinte, en régime constant, indé- pendeoment du procède de transformation.

   Parmi les m6oan1smes applicables on peut' oiter notamment la réduction de pression, le chauffage   et-l'emploi   de gaz inertes autant que de gaz 
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 réactionnels comme entraîneurs* D'une manière generïtie, on peut appliquer les procédés à une larget catégorie du aubstan- ces, leur application avantageuse exigeant uniquement la pré- 
 EMI18.6 
 nonce d'au moins deux ooapoeants avec une pression de vapeur différente, Pour atteindre 4)t o',3eatif, ran e:

  3tàme suffiee-jita 
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 une différence de pre88io de vapeur dq un pour cent exprimée en pourcentage d'ingrédient le plus volatil, de façon qu'on puisée réaliser ava2itageultez6nt lu présente invention* Les substances auxquelles on applique ces   procédât   doivent pou- voir exister en phase liquide, oe liquide étant   soit   une eolu- 
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 tien d'éléments# soit une solution de composée qui puissent éventuellement donner li produit final voulu.

   f!s dernier pro- duit peut être la vapeur ,(lU peut 8tre un produit orieta.ll1Q6 ou solidifié d'une autre ugon,qui de nouveau, peut *tre cons- titué d'un mélange d'élément a et/ou de oot!tpo8'<c,ou d'une edhîtion par exemple, un alliage métallique 1 un verre, ou un composé illustré par le 5, do l'exemple 1, Le maintien de n1 importe   quelle     condition   voulue, à savoir, la   présence     d'une   phase- 

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 liquide et la   nécessite   d'une transiormantion de phase, peut rendre nécessaire ou souhaitable'que   1* opération   touteentière      se fasse à une température   différente   de la température ambian- fe. 



   REVENDICATIONS.

Claims (1)

  1. 1.- Procédé pour produire une vapeur contenant au moins deux compossnts. avec une pression de vapeur différente, par transformation de phase d'un corps liquide, caractérise en ce qu'on affectue la transformation de phase à 1'extrémité , d'une voie d'écoulement capillaire par laquelle on fait s'é- couler tout le liquide à transformer, 2.- Procède suivant la revendication l, caractérise en ce qu'on utilise, à l'extrémité de la vcie d'écoulemant capillaire, la vapeur produite par transformation de phase, pour produire une croissance cristalline, 3.- Procède suivant l'une ou l'autre des revendi- cations 1 ou 2, caractérise en ce qu'on établit ou règle le débit à travers la voie d'écoulement capillaire, de façon que la longueur ae la voie ou trajet,
    anus la direction d'écoule- ment, soit au moins sept fois aussi grande que la diffusibili- té du liquide, divisée par la vitesoe d'écoulement linéaire sur la vole, le tout étant exprimé en unités compatibles, 4.- Procède suivant l'une ou l'autre des revendiez tions précédentes, caractérisé en ce qu'on utilise un corps en verre fritté pour constituer la voie d'écoulement oapillaire, 5,- Procédé suivant l'une ou l'autre des revendica- tions précédentes, caractérisé en ce qu'on maintient le débit et la vitesse de transfermation sans interruption, pendant une période substantielle, dans des conditions telles que les concentrations relatives d'au moins deux composants du liquide et do la valeur sont, en substance, identiques.
    <Desc/Clms Page number 20> EMI20.1
    6 prooddé suivmt t'MM at tomt" i*i a.reti,oa-.. tien* pràc<$4##t s, factiri** ,t <Mt $ * lûterronpt le débit au 140ine MM o.s dmo des omdttlo -toile* $ne lg,t*cipol3i-. tion de 1* v f eu* est dItér4oo 7f 't'40édé autirent .*1u .*tt 414m iceveMIoa.* tions prd#4dontemi oaraotdrloé au rer <"<!<eL tN)!)] 3 dëbit a<Mte 'dew conditions -telles 'q Io w<M<. toa T.M<e mottez Ilextrémitt de la vote A'eottlewwmt oapïll*4 ett la piM 3pinbs du'aoxpu.
    8.''- autran-t 1'<NM l'atttw <i!<M) :2w maioa- tiOM pxda3dsutsr, a<M*aot!'iw<< # quo= -fo.rt lia trans- formation ou mine uxu foi*# da des <<M!LjtjMM t,'1 que la oompouition de lavapeur *et altérde, Procédé suivant 3L'MM ou 1*autr d r endï*8- tions pr<!edentwe, caractérisé 'on ce qu'on jp 0y )$aci la trams. formation par évaporation.
    10." Procédé suivant la revenucatim 9, c<M'weri<4 en ce qu'on utilise un gaz entratueur pour sttser l'érapom- EMI20.2 tion. EMI20.3 lHi** Procédé suivant l'une ou 1140-tre des 3'evaHLea'* tiens pra6â"antas, caractériel en ce quion tramfo=t eu moins EMI20.4 une partie de la vapour en un solide, EMI20.5 12*- Procédé suivant la revendication 11, caractériel en ce qu'on effectue la transformation en solide par oondonss -' EMI20.6 tien, EMI20.7 13*-' Procédé suivant la revendication 11, caractériel EMI20.8 en ce qu'on-effectue la transformation en solide par une EMI20.9 réaction chiaique. <Desc/Clms Page number 21> EMI21.1
    14- Pyo&<M svat ,11ri.! qu i:'!à zizi ,"Ielf dioationo p* 5c-<S4 ftte< M. 13 eftT ,et43fl 4 ta ## qu'6 |îfo duit un A,ida 'iatet.a 3 rallr sut <mb<tr oa'tal- lin, 15 TTQ.< awttvs.t lit tvioioa 3.4t carttotdri- né en ce cu'q7' fait 3rtt3N 3L<t aolide- ,p,'tl.11'î3li'r t441' un aubstrat n'u erinte xxque.
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