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-Procédé et appareil pour la fabrication d'articles en. céramique, et produits obtenus par ledit procédé".-
L'invention a essentiellement pour objet un procède pour la fabrication d'articles céramique et vise également les produits obtenus au moyen dudit procédé,
L'argile a été dans de nombreux cas un ingrédient pour la fabrication de produits céramique de tous genres.
Qu'elle de présente à l'état raffiné ou brut, l'argile a invariablement mis le technicien en face de divers problè- mes à presque tous les stades de la fabrication des pro-
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duits céramiques. Des solutions h ces problèmes ont été avancées dans la conception de l'appareillage, de même que dans les nombreuses adaptations des formules et des techniques L'argile constitue une source bon marché d'alumine) les argiles naturelles présentent la proprié- que té d'être plus ou moins plastiques Alors/cette dernière propriété de plasticité eat importante pour assurer qu'une pièce formée conserve la forme qui lui a été don-
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née,
toutefois cette propriété mtme de plasticité est h l'origine de problèmes concernant la manipulation du matériau en ce qui concerne la résistance finale de la pièce réalisée et la prévision des propriétés de celle-ci, Des problèmes apparaissent au cours de la préparation et au couro du ferrage et continuent à être présents au cours de la manipulation de l'article pendant les di-
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verses étapes suivant le forage, Les argiles, marnes lorsqu'elles proviennent d'une m±nie source, ont des te- neurs qui sort difficilement prévisibles.
L'argile manque d'uniformité dès son origine naturelle, Habituellement, lorsqu'on traite l'argile en vue des diverses opérations
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de réalisation de edra.qui3 on la considère comme con" portant des ingrédients constante, Toutefois, l'argile est généralement souniae à diverses phares de traiteront et de raffinage pour la rendre plus facile à travailler,, cependant de tels traitements, dans de rombreux cas, ne conduisent pas au but recherché qui consiste en l'obten-
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tion d'un ingrédient présentant une certaine uriiforri+6, De m6m", pour la fabrication de matière céramique, d'eu- tres ingrédients sont m01aés à l'argile, par oxezple, du sable, du feldspath, ou d'autres ingrédients peuvent pire utilisés dans de tels t.:01ances.
Dans les mélanges
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ainsi réalisés, à sec ou à l'état mouillé, et avec de l'argile assurant une liaison des ingrédients entre eux, les ingrédients conservent leurs propriétés individuel- les, leurs masses spécifiques individuelles, leurs tend=- oes à se séparer des autres Ingrédients, jusqu'à ce que la pièce crue ait été formée et ait été soumise à la cuis- son en vue d'en assurer la fixation de la forme, comme par exemple lors de l'obtention de la vitrification au feu, A ce dernier stade, il se produit des changements de phase à la fois au point de Tue chimique et au point de vue physique.
La nature et l'importance de ces change- ments de phases varient d'un mélange à l'autre, Dan.3 de nombreux cas, on constate une variation, môme lorsque les mélanges sont produits avec la même formule à partir des mômes produits bruts,
Par exemple ; il est bien connu qu'avec de l'argile comme ingrédient, dans le mélange généralement connu sous le nom de "barbotine", la production industrielle néces- site l'utilisation d'un Grand nombre de moules employés de telle sorte que chaque moule contienne son produit propre ou son moulage pendant une longue période de temps, de façon à. ce que suffisamment d'eau soit absorbée par le meule en provenance de la "barbotine" pour peraettre l'extraction du "moulage" hors du moule en vue de .son trai..
tement ultérieur. Lorsqu'on alimente en barbotine le moule sous une pression élevée, on obtient des gaina inattendus par rapport aux résultats obtenus lors de l'alimentation à la pression ordinaire, les moules cependant doivent contenir les moulages pendant des périodes de temps impor- tantes et les moulages qui sont ainsi obtenus comportent dans certains cas de nombreux parmi les défauts rencontrés
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dans les produits obtenus par formage ordinaire à partir de mélanges contenant de l'argile.
L'argile naturelle comporte des quantités substan- tielles de particules très fines, Dans les cas où le for- mage est réalisé dans des moules, dont les parois absor- bent le liquide porteur des solides à partir desquels on réalise le moulagela partie de barbotine qui se trouve dans la cavité du moule la plus proche des parois dudit moule est la première à perdre son liquide porteur. Le liquide,porteur, qui est ensuite extrait des parois de la cavité du moule, doit alors passer à travers les pre- mières particules dont la densité s'est accrue, qui ont déjà transmis leur liquide porteur aux parois du moule.
L'accroissement de la densité des particules solides se ralentit ensuite et il en est de môme pour l'ensemble du processus. Il devient ainsi difficile et môme impos- sible, de déterminer le moment où tout le liquide por- teur est rassé du "moulage" aux parois du moule,* En fait, même la conservation uniforme du moulage dans le moule pendant une longue période de temps s'est avérée insuf- fisante pour éviter à coup nûr un inconvénient auquel il sera fait allusion plus loin et selon lequel un réel cli- vage résulte de la formation de couches dans le moulage,
Dans les procédés habituels de formage des articles céramiques, après la formation à partir de la barbotine .ou autre mélange analogue,
on met l'article formé de côté pendant non séchage,A ce stade, et lorsque la pièce formée est positionnée dans le four et y est chauffée, on a décou- vert que la pièce formée avait tendance à se déformer sous Inaction de son prcpre poids.
Dans de nonbreux cas, il s'est avéré nécessaire de prévoir un support des pièces
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formées dans le four, par exemple, on tasse du sable au- tour de la pièce formée, ou l'on utilise d'autres moyens pour empêcher que le moulage ne s'effondre comme cola pourrait se produire par exemple lors de la cuisson dans le four, L'argile elle mme comporte de l'eau de cristallin sation, La pièce formée retient des quantités substar- tiellea d'eau correspondait: à la propriété de plasticité* De môme, les argiles naturelles comportent toujours des quantités importantes de matières organiques et autres matières oxydables.
Tous ces facteurs et d'autres facteurs qui seront considérés plus loin, ont pour résultat que la température des pièces formées s'accroît au cours de la cuisson et qu'il se produit de la vapeur et dos gaz qui pouvent avoir pour effet, et qui ont pour effet dans de nombreux cas, de produire la déformation de la bisque, qui est le produit de la cuisson de la pièce formée crue.
Dans de nombreux cas, cette formation de gaz peut entraî- ner la destruction complète de la pièce en cours de cuis*- ' son. Des craquelures se forment; des lignes de faiblesse se développent, des contraintes et des tensions internes prennent naissance dans la pièce, de telle sorte qu'elle peut se fendiller au moindre choc, mêm longtemps après qu'elle ait été totalement traitée. Les diverses réelstances mesurées pour diverses pièces provenant d'un même lot, ont rendu nécessaire la réalisation de toutes les pièces avec des dimensions plus grandes que nécessaire en coupe, de façon à assurer un facteur suffisant de sécu- rite en ce qui concerne la résistance du produit fini.
L'invention a pour objet un procédé de fabrication de matériau céramique dans lequel, par le traitement des
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ingrédients d'origine à un stade initial, les propriétés d'inconsistance de l'argile sont éliminées do telle sorte quo l'on n'obtienno aucun effet substantiel au cours du stade final de cuisson, naître l'économie relative obto- nue grâce à l'argile en tant'que source d'alumine et d'au- tres ingrédients} cependant d'autres propriétés souhaita- bles sont utilisées et conservées en fait à un point tel que, dans de nombreux cas,
il n'est plus nécessaire de choisir inutilement l'utilisation d'argiles d'excellente qualité relativement plus chères pour réaliser des arti- cles tels que les service de table do qualité relative- ment soignée. De plus, tout ceci est obtenu avec une ré- duction de la quantité d'ingrédients nécessaire pour réa- liser un moulage ou une pièce formée et en faire un arti- cle céramique de la résistance désirée présentant des pro- priétés électriques et d'autres propriétés physiques faciles à prévoir.
Dans le procédé de fabrication d'articles céramiques et dans les articles produits par ce procédé, l'argile constitue au moins un ingrédient d'origine et la tempé- rature de pointe nécessaire pour produire une pièce dans l'état habituellement désigné 'nous le nom de "bicquc" peut être sensiblement réduit, on produit toutefois un article relativement plus résistant etplus uniforme dans son composants comme le montre sa rupture.
Cet ar- .ticle est également capable d'être prévu avec des carac- téristiques dimencionnelles beaucoup plue précices et avec une uniformité de résistance supérieure pour uno épaisseur donnée; de plus, une réduction sensible est notée en ce qui concerne le nombre de pièces fabriquées rebutées pour un fonctionnement normal de l'installation,
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L'invention vise également un procédé do fabrication d'articles céramiques'et les produits obtenus par ce pro- cédé, dans lesquels l'argile est utilisée comme ingré- dient d'origine, le temps nécessaire pour la formation d'une pièce afin qu'elle ait la forme désirée avec un dimensionnement sensiblement précis,
se trouve nettement réduit de telle sorte que le riatériel est plus rapidement libéré pour les utilisations ultérieures, de telle sorte qu'il on résulte une réduction sensible de la surface d'implatation nécessaire pour un taux de production donné,
Selon l'invention, on élimine ou on réduit sensible- tient dans les stades finaux de formation et de cuisson de la pièce formée, certains facteurs préjudiciables ayant pour origine les propriétés de l'argile et il en résulte l'obtention d'une résistance et un contrôle des caracté- ristiques dimensionnelles plus grands si bien que l'on obtient ainsi une réduction de l'épaisseur nécessaire d'une pièce pour parvenir à la résistance nécessaire,
et également une densité sensiblement uniforme des particu- les sur toute l'épaisseur de la pièce forcée, Do môme, selon le procédé, l'absorption du liquide porteur, d'une pièce formée, par un moule n'est pas retardée par un phénomène d'encrassement de filtre", étant donné que le liquide porteur est extrait de la pièce formée par les parois dos moyens de formage tels qu'un moule.
Toujours selon l'invention, l'argile est combinée avec d'autres ingrédients et, lors de la dernière phaso du moulage ou du formage, les ingrédients sont combinés dans une réaction qui précède le moulage ou le formage do telle sorte qu'on obtient ainsi un produit utilisé
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pour les phases suivantes du moulage ou du formage et pour la cuisson desdites pièces moulées ou formées en vue de la production d'articles présentant des propriétés bien définies et noteront présentant des caractéristiques dimensionnelles prévisibles avec réduction possible de la section des plèces pour l'obtention d'un résistance structurelle désirée,
de telle sorte qu'il est possible de fabriquer des produits céramiques d'une grande uniformité et dans lesquels les propriétés do l'argile qui normalement s'opposent à l'ob- tention de tels résultats sont sensiblement domestiquées ou éliminées et effectivement contrôlées,
Un des objets de l'invention est de travailler, à un stade intermédiaire du processus, lorsque les ingrédients qui entrent dans un procédé do fabrication do produits céramiques comportent l'utilisation d'argile corme ingré- dient d'origine, do telle sorte que, dans les stades de production de la.bisque et de réalisation do la vitrifica- tion, des réductions substantielles dos températures soient obtenues.
C'est également un objet de l'invention d'éliminer d'une façon très sensible et à un stade très avancé, par rapport aux stades finaux de formation et de cuisson, les facteurs indésirables provonant des propriétés des Ingrédients d'un mélange pour moulage do céramique, de telle sorte quo do telles propriétés indésirables des ingrédients soient incapables d'avoir des effets nuisibles au cours des phases finales de la fabrication d'un produit susceptible d'être mis sur le marché.
Un but qui est recherché dans la fabrication do produits céramiques, dans lesquels l'argile apparaît comme un ingrédient d'origine, est de ruduire les températures nécessaires aux stades finaux de production
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do la bisque et d'obtention do la vitrification. Une réduction dos températures d&.ns ces ('.eux derniers stades a pour effet, non seulement do réaliser dos économies on combustible mais également d'obtenir l'élimination des changements do phase des composants de la pièce formée.
Par exemple, il est connu que, dans certaines do ces réactions, la forme des changements ayant pour résultat de transformer la silice en cristobalito qui Introduit uno dilatation et une contraction sensible du produit fabrique ne se produit pas !. des températures plus basses.
Ces changements consistant en une dilitation brutale ont pour effet de créer des contraintes dans la structure du corps de la pièce formée. Lorsqu'on réduit la température pour éliminer de tels changements de phase, un tel facteur qui, dans le passé, avait pour résultat de provoquer la destruction des pièces formées au cours do la cuisson ou même après celle-ci, pour obtention de la bisque ou pour obtention du vernis, se trouve sensiblement réduit et même totalement éliminé.
L'invention vise un procédé de fabrication de produits céramiques ot également le produit obtenu avec un tel procédé et, selon ladite invention, la plus grande partie des variations entraînées par l'utilisation do l'argile en tant que matière de moulage, dans les modifications chimiques ou physiques qui apparaissent au cours des divers stades du traitement habituel, sont réduites ou supprimées, de telle sorte que le produit final est moins déformé, est plus solide ot nécessite moins do matières pour sa réalisation, il est de plus capable d'être réalisé sous une forme plus esthétique étant donné qu'il est possi- ble de le réaliser avec uno réduction de l'épaisseur
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nécessaire et, au cours dos stades finaux de la cuisson,
1' importance des supporta peut être réduite et cos supporte peuvent mono être supprimée.
Un objet do l'invention ost égalai.lent un procède do fabrication de produit céramique dans lequel le produit se présente avec uno plus grande uniformité sur touto sa section si on se place au point de vue des propriétés physiques, y compris les propriétés électriques..
Etant donné que, en tant que résultat d'un tel procède, les articles obtenus ont effectivement une uniformité plus grande en ce qui concerne les propriétés physiques, y compris électriques et chimiques, il est possible de fabriquer des articles qui, contrairement à ce qui était admis jusqu'à présent, sont capables d'être soumis à un conditionnement thermique, étant donne que les articles ainsi produits présentent une hemegénéité plus grande et il est possible de prédire qu'elles seront à la fois leurs dimensions et leur résistance finales.
Un autre objet de l'invention consiste en un procédé de préparation de matériaux en vue de la phase finale do formation des corps moulés pour obtenir un produit défini- tif dont on puisse prédire- les caractéristiques, ledit procède étant tel que le formaté peut être réalisé dans un moule dont au moins une face est susceptible d'absorber l'humidité, do telle sorte que, si l'on se place au point de vue des dimensions du produit fini, on peut obtenir une réduction des tolérances dimensionnelles et parvenir à la production de produits dimonisonnés avec plus de précision.
Il a été possible de fabriquer par ce procédé des articles pour lesquels les tolérances ont etc réduites à uoins do
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# 0,05 mm, Grâce à un procédé comportant la préparation du matériau do la façon décrite ici et comportant l'utili- sation d'un tel matériau dans un moule tel qu'il sera défini ici, il s'est avéré possible de travailler pratique- ment à la chaîne.
Un autre objet do l'invention consiste à éliminer sensiblement ou totalement la production de gaz tels que ceux qui résultent de la séparation de l'eau de cristalli- sation ot de la destruction des matières carbonées et autres matières oxydables, au cours des stades finaux de cuisson ot ainsi d'éliminer les effets destructifs possibles do tels gaz sur le corps formé finalement fabriqué, et ainsi de réduire non seulement le temps effectif nécessaire pour terminer los séquences do caisson, mais également pour réduire la quantité do rebuts parmi les articles manufac- trés au cours des dernières phasse do la. cuisson. l'invention consiste donc en un procédé pour la fabrication d'articles céramiques,
ledit procédé comportant les phases qui consistent à produire un mélange sensiblo- ment uniforme d'un ensemble do produits céramiques, compre- nant l'argile, dans des proportions qui sont déterminées en fonction du produit final particulier qu'il y a lieu do produire, qui consiste à diviser le mélange on parties auxquelles sont données toutes formes voulues sans aucune relation prédéterminée avec la forme du produit final à produire, à faire réagir le mélange ayant reçu une telle forme par chauffage jusqu'à une température déterminée suffisante pour réaliser jusqu'à un point final désiré les modifications chimiques et physiques apportées au mélange ayant reçu ladite forme,
à désintégrer le produit ayant fait l'objet do la réaction en fines particules et à éliminer
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parmi les particules désintégrées toutes les particules dont los granulométries se trouvent en dehors de certaines limites prédétorminées; l'invention visant également le produit obtenu grâce à un tel procédé.
L'invention vise également un moule à utiliser lors do la fabrication d'articles on céramique, à partir d'une suspension do particules céramiques dans un liquide porteur, ledit moulo comportant uno cavité de moulage et un conduit d'entrée pour permettre lo remplissage du moule au moyen do ladite suspension, la cavité comportant une face de moulage qui est perméable au liquide porteur, et qui se comporte comme un absorbant pour co dernier ot comprenant également une autre face do moulage qui est imperméable au liquide porteur et qui r.'eet pas susceptible de l'absorber,
le corps du moule assurant dos moyens pour absorber le liquida porteur de la suspension à travers la paroi poreuse et pour retenir les particules do façon à permettre leur formation en épaisseur à partir de la paroi poreuse vers et jusqu'à la paroi imperméable.
D'autres caractéristiques de l'invention apparaîtront ci-après uu seront mises on évidence au cours do la description qui va suivre et à la lecture des dessons dans lesquels sont illustrés des modes de réalisation do l'invention donnés uniquement à titre d'exemples non limitatifs.
Dans ces dessins : - los figures 1, 2 et 3 sont des vues on coupe, correspondant chacune à une structure différente de moule conçu pour être utilisé selon le procédé qui va âtre décrit*
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Les articles do coranique sont formas ou reçoivent leur forme do nombreuses façons différentes.
Un procéda comporte la formation d'un moulage dans un moule.Dans un tel cas, les ingrédients nécessaires à uno tollo opération
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ont été prépares do la façon connue do l'hOLlt1O de l'art généralement avec une fluidité suffisante pour on por-
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mottro l'introduction dans la cavité d'un moule, Dans un tol cas, lo Matériau peut 8tro considéré comme une sus- pension liquide do matGria..x céramiques bien que, dents la plupart des cas, do telles suspensions sont très Via- qUf,1USQa bien que cependant fluides. L'eau constitue (gd¯ ndra:Loment lo liquide portour. Dos pressions Yàr1tSo.\sont utilisées pour favoriser l'introduction do la suspension
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do céramique dans la cavité du moule.
Le moule comporta \ dos parois qui absorbent le liquide, l'eau lorsque *Il ci est utilisée, et ainsi amène le matériau céramique à atteindre un état do dureté suffisant pour permettre la ! séparation du "moulage" du moule quand ses éléments sont séparés à cet effet. Los pressions variant do la simple
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pression statique de la masse de fluide olle-meco.3usqu'k des pressions relativement élevées peuvent être utilisées pour amener la suspension do céramique dans la cavité du moule et pour assister le phénomène d'absorption du liqui-
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do porteur par les parois du moule.
Evidemment, un nct:t"1'" sèment de la pression hydraulique aura pour effet d1 entraî- nor uno réduction du temps nécessaire pour permettre l'ab- sorption du liquide porteur par les parois du moult). Nor-
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malomont, chaque moule se trouvera occupé par un moulage unique pendant un temps relativement long, jusque ce que soit terminée la séparation d'une quantité suffisante de liquide porteur du moulage, de telle sorte quo le moulage ,
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puisée être extrait on toute sécurité do 1'intérieur do la cavité du moulo.
D'autres procédés sont également utilisée, comme,par exemple, le pressage des ingrédients après qu'ils aient été prépares par des opérations do mélange covenables, soit à l'état sec soit avec dos porteurs convenables. Un do cos procèdes cet connu sous la nom do procède du potior (moulage au tour), dans lequel un article mis on forme cet obtenu on travaillant une masse du matériau sans faire couler le matériau préparé à l'intérieur do la cavité du moule.
Un autre procédé est connu sous la dénomination de "moulage par drainage", dans lequel le matériau est déposé sur les faces du moule, soit par force centrifuge, soit par une autre méthode, do façon à produire uno coucho prédéterminée de particules de céramique, Dans ce cas, le volume total de la cavité no détermine pas le volume du corps qui se trouve finalement formé dans colla-ci.
Les propriétés de l'argile sont à l'origine do pro- blêmes divers dans chacun des procèdes ci-dessus. Lorsque la formage est réalisé dans la cavité d'.un moule, qui ainsi définit un moulage, l'argilc qui est un ingrédient qui so trouve à l'état brut, c'est à dire, n'ayant pas été soumis au bénéfice du procédé qui va être décrit ici, provoque lit- téralement un codage ou un encollago des parois du noule.
Ainsi, bien qu'on ne veuille pas linitor la procédé qui va être décrit ici, à son utilisation à la formation do moulages dans les cavités des moules, une utilisation importante de l'invention résida dans l'obtention do la formation d'un corps céramique dans la cavité d'un moule où l'absorption du liquide porteur du moulage cet effectuée par lce parois du moule. Dans de tels cas, les parois du
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mouler qui peuvent Gtro réalisées on un matériau absor bant le liquide, extraiont l'eau du matériau qui se trouva dans la cavité, Lo plâtre do Paris ou d'autres matériaux
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qui présentent des propriétés d'absorption do liquide ans- logues cet utilisé couramment à cet effet.
Avec des Maté- riaux prépares comme défini ici, on n trouvé qu'il était possible de produire dos moulages faciles à travaillera partir do diverses formules do matériaux céramiques se trouvant en suspension liquide. Il était également possible
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d'éliminer les d'faute dnns l'article forme telle quo la formation do cavités dans le moulage aux zones do sépara tion du matériau solide et enfin d'obtenir ces résultats
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par l'utilisation d'un moule dont uno face efit împormdablo ou autrement dit incapable d'absorber l'humilité du aoulago qui se trouve dans la cavité.
Dans un tel cas, la totalité
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du liquide qu'il y a lieu d'extraire du li.1oul::.iJO e-ori-',, ôte absorbée à travers une paroi unique absorbante ou perméa-
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b.o l'humidité du moule, Ainsi, le liquide qui provient do ces parties du corps qui se trouvent formées-dans la. cavité du moule Ion plus éloignées de cette paroi unique, doivent passer à travers la totalité do l'épaisseur do la cavité.
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Lors do réalisation do moulages dans don moulos ISO<- lon la pratique courante, les fines particules d'argile sont considérées comme agissant pour s'opposor à l'écoule- mont du liquide porteur. Leur prée,noo dans W1 mélange des- tiné à être utilisa dans un moula du type qui sera décrit ici aurait pour effet d'augmenter plutôt quo de réduire
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à temps do moulage, Cependant, il a été observe, que erdco à la préparation des matériaux de moulage do la façon qui sera décrite ici, le temps requis, après chargement d'un
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moule, permettant quo le moule puisse être ouvert en vuo do l'extraction du moulage, a été réduit considérablement.
Pour être plus facilement identifiés, les matériaux prépa- rés on vue de l'utilisation qui ncra précisée plus loin eurent désignes par les expressions do matériaux "ayant réagis" ou encore matériaux "traités".
,Un utilisant un matériau traité dans un moule dont une faon seulement est perméable à l'humidité ou suscopti- ble d'absorber l'humidité, le temps permettant de séparer le moulage du moule une fois quo le moule est susceptible d'être manipulé, s'est avéré non seulement plus court quo lors des opérations do moulage habituelles, mais il a été possible de constater qu'il y avait moyen do prédire los dimensions,
l'uniformité de la texture ou l'homogénéité dos ingrédients do la pièce formée pour pratiquement tou. tes les pièces préparées à partir du même mélange on constate également un accroissement très not do la résis- tance et une diminution du phénomène do craquelures , De plus, les moulages réalisés comme précisé ici se sont avé- rés no pas nécessiter de supports au cours do la phaso finale do cuisson ou phase do cuisson de la bisque, cette phase finale sera désignée ci-après, pour permettra plus do clarté dans l'exposé, par l'expression stade do *frit- tage",
Un facteur qui présente un problème sérieux lors do la manipulation des pièces formées par moulage ou autres opérations do formage réside dans les caractéristiques va- riables dos divers ingrédients qui entrent dans los sus- pensions liquides utilisées jusqu'à présent et généralement désignées par lo terme "barbotino". Los ingrédients de la barbotino utilisée pour la réalisation de produits aéra
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Niques comportant presque invariablement d* 1lalUJU hl* qui constitue une partie relativement importante des at:L1Q.. utilisées pour les tiotluace, on mtme temps quo 4#auttte substances.
Les substances telles quo les fondants comme. par exemple, Ica feldspaths, se trouvant osleNcnt rt6 l<:mc:nt on teraps qu'ingrédients dans les bot:1n(jS, tot oubstancos silicoucon, en plus de la silice qui 00 trûu à l'dtat de coabinaison dans los argiles, sont &.jouMO:' lors dé la formation do toiles barbotine.B< Habituollûaicnti les argilon contiennent dou-sub3tancoo carbonées ot autre. subeïancya oxydables fr.iscmt partie do la c6u<tho 4'b1M1no..
L'alumine et la silice des argiles sont prdacntcs on tojapë quo structurée cristallines comportant une quantité dubg4 tantiolla d'eau do cristallisation.
Une barbotine ost un mélange et non pas \U1 OCtli o¯1LH tion chimique. Les divers ingrédients sont t\stJe:ltb11., ot par des processus bien connus sont dispersa ausaï 1t m6mont que possible pour réaliser la barbotine On obtiott ur. certain dc¯-r6 d'uniformité mais cette un1tot est
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la mono que dans tout mélange physique dans lequel les
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particules sont distinctes et e6par6co los Urtos dot attteôâb Qttand un article a été réalisé à partir d'une telle b&rbo tino et qu'il a été séché, on procède à na cU1ash..ÀU cours de cette cuisson, l'article forme perd n0ft Sttl6<* mont l'eau qui a été laissée dans 1' article forme apï4btî. séchage, main perd également son eau de or1Gt1l18t1onf toutes doux sous forme de vapeur.
La matière co.t'lbO²1 et autres matières oxydables brftlcnt 4 la température dU tour et los Gaz qui résultent de cette combustion sont 4aé* ment évacués . Il en reculte une contraction eu coufe du stade séchage et du stade de cuisson. De plus, On 11 601%ë>
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taté que le. formation soit do la vapeur, soit dos gaz provenant do l'oxydation des produits carbonée ou oxyda- bles avait pour offot d'affecter la disposition dos parti- cules solides los unes par rapport au:: autres. Do la même façon, les ingrédients passent par diverses phases aux diverses températures. Il y a au moins intor-action on- tre les particules distinctes adjacentes. Il est connu qu'une certaine inter-action chiniquc se produit.
Une phase connue réside en la formation d'une certaine solu- tion solide d'un ou de plusieurs des ingrédients dans un autre. Il résulte d'une telle inter-action des substances présentant des caractéristiques différentes par rapport à colles dos composants d'origine. Tous ces changements ont pour résultat d'imposer des contraintes ot dos ton- sions au corps qui est obtenu par cette cuisson avec de nombreuses sortes do fractures ou de lignes do tension, qui, lorsque l'article est utilisé peuvent avoir pour résultat le bris dudit article . Un tel bris ce pro- duit dans de nombreux cas dans l'installation même où l'article a été fabriqué et cela a une incidence très importante sur la prix de revient.
Avec le procède selon l'invention, de nombreuses caractéristiques indésirables, comprenant celles qui vion- nent d'être discutées ci-dessus, sont pratiquement élimi- nées, il en est résulta le production de pièces uniformes sensiblement homogènes dans leur formation, sensiblement uniformes dans leurs caractéristiques lorsqu'elles sont considérées on coupe, lesdites pièces présentant une ré- sistance plus' scande et permettant de praire les dimen- sions du produit final y compris l'uniformité de la den- sité pour diverses sections de la pièce fabriquée.
La
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variation do teneur en divers ingrédients on dos points différents d'une pièce fabriquée avec une barbotine or-
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dina3rQ, les variations d;. la finesse de l'argile ordinaire dans 1 enscrablc d'une pièce foro, lorsqu'elle cet fabri- que do la uar..rc habituelle, rendent difficile la pro- duction de densitcs uniformes en de fols cmplcemQnt8 différents. Ces facteurs contribuent éGloor.t à rendre impossible l'obtention do caractéristiques électriques uni-
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formç,s dans le corps du produit finalement obtenu.
Ainsi dans la pièce fabriquée selon les procèdes habituels, après cuisson, les pertes électriques en divers peinte
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de la pièce varient sensiblement, il existe 6lcont des variations on cot1paoitû, en nasse spécifique- Ainsi, on effet, le stado de cuisson, étant donné qu'il produit
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un certain changement chimique, nu,.,. pas pour effet do créer l'uniformité aux différents points d'no,mOm.) pièce pour un certain nombre do raisons parai lesquelles il y a
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liou do notur los variations dans les espaces intorati. ciela existant entre particules qui sont entrées en ré- action chimique ou qui ont constituées uns solution solide.
Ainsi la densité ou la compacité du produit final n'avère
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dtro de beaucoup inférieure à co quo serait la vraio don- site si la totalité do la masse avait subi un cb.an6C:lDCnt d'ordre chimique.
Do monte, on constate uno variation dos résistances structurelles on différents points. Dos petites poches
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d'eau ou des quantités localisées de matières oxydaiploe peuvent bien produire de 3 variations très sensibles do la résistance en différents points. Un des buts les plus
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recherchés par los mouleurs d'argile a été la réduction dos températures nécessaires pour traiter la pièce formée
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h la fois au stade do la bisque et à celui do la vitrifi- cation ou du vernissage.
Dans le procède considère ici, on réalise un ce lange des ingrédients désirés, soit à sec, soit à l'état humide.
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Loo ingrédients pour chaque mélange sont d6torrJ1nÓo en fonction du produit final particulier que 7. n: a on vue. far exemple, dans le cas où l'on désire obtenir un corps résistent à haute température ot présentant des propr1Ó- tés électriques élevées, la composition utilise" est la suivante :
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<tb> A
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Oxydo d'alumim à faible teneur
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<tb> en <SEP> podium <SEP> 90%
<tb>
<tb> Argile <SEP> 4%
<tb>
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Tc-.le z
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<tb> 100%
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lorsque l'on fabrique dos pièces do poroln1ne, do nom trouées fomulos peuvent ttre utiliedosi deux excin-plon on. sont donnés ci-dessous
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<tb> B
<tb>
EMI20.10
Néphêline S,yénit1que 5705%.
EMI20.11
<tb> Oxydo <SEP> d'aluminium <SEP> 15 <SEP> %
<tb>
EMI20.12
Kaolin de Giorgio 27 5?5
EMI20.13
<tb> 100 <SEP> %
<tb>
<tb> C
<tb>
EMI20.14
Quarfczite do Ponaylvannio 37<0%
EMI20.15
<tb> Feldspath <SEP> 18,5%
<tb>
<tb> Argile <SEP> anglaisa <SEP> oalcinéo
<tb> pour <SEP> porcolaino <SEP> 21 <SEP> %
<tb>
EMI20.16
Kaolin do G60raio 23 %
EMI20.17
<tb> 100 <SEP> %
<tb>
<Desc/Clms Page number 21>
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Pour l'obtention d'un produit rÍraQt1t. zozo suivante peut dtro utilisée 8
EMI21.2
<tb> D
<tb>
EMI21.3
Argile du Kentucky-Tonnoosoe 14#2% Kaolin de Ouorgio 21 #-M.
Talc français 1 ' G Kaolin de Giorgio calciné 47#1/4 100 9i
EMI21.4
Pour la production do carreaux do at.quo ptiur 1%%Wâ# la formule suivante ost uno do celles qui pouvant Ûtrû utilis6on 8 # # #
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<tb> E
<tb>
EMI21.6
Tain 60 d' .: Argilo 40 e 100
EMI21.7
Pour la fabrication do curfaiquc 8an1taio. li 8t\ p08a1bo d'utiliser pcnni los formules '"'. ".bw
EMI21.8
suivante
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r Feldspath 2S;Oft Quartzito do pcnsylvann1e 1P5 g Argile as Kaolin 25 tt<.!<..tt!lX 100 %
EMI21.10
Dans lue cas do chacune de ces compositions et d'au* trou compositions dont los ingrédients sont dôt(rbii:
i" ost fonction dos propriétés du produit final dúè1t&, loa bzz gos peuvent ttre réalisés de toute tahlbea bion Conhuo telle que colle qui est utilisée à présent à 1' effet d'obtenir une barbotine en un matériau similaire 13U.*Oè tibla d'etro travaillé en vue du formage. lorsqu'on tdUàU#m oc uno barbotine avec un porteur tel que 1'oo.u, 10 11 . ost amené à une viscosité telle qu'elle facilita le tr&v&il Bien que de nombreuses méthodes différotttoô do hit10 dos ingrédients mélangés puissent ctro uti.L.tcts 'u3.tr sont toutes utilisables dans 10 domino technique mtraS D# un procédé ont 4 4crit ici. à 4J.vi i: d,W.u$ywYJcGily CS#li'y liement ot comporte un p:..oc...w"ur.; destina à t'fio1;.:t.tQt la m.-mip'l.1lD. t1on.
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Par exemple, la barbotine peut être extrudée pour cons- tituer des tiges ou des barres ou peut se présenter eoua une forme similaire à celle de spaghettis épais ou de nouilles pour constituer une masse plastique dont les parties présentent de grandes surfaces permettant l'absorption de la chaleur et facilitent la manipulation.
La masse qui se présente sous cette forme, comme par exemple sous la forme de spaghettis, est soumise à la température d'un four qui peut être un four à opération discontinue ou uno installation alimentée et déchargée d'une façon continue. La température et la durée de traitement varieront conformément à la formule spécifique mise en oeuvre. Etant donné la surface exposée relative- ment grande, l'application de la chaleur se trouve facilitée. Dans certains cas, où il est Indiqué de procé- der h une vitrification, la température est convenable- ment contrôlée de façon à ce que l'on puisse atteindre, dans cette masse qui, évidemment, n'a pas de forme définie, les résultats qui normalement seraient obtenus lors de la cuisson habituelle de la bisque pour une pièce formée.
Lorsqu'on fera allusion à ce processus on parlera du stade de "réaction" ou du "traitenent". Par exemple, des températures pour les compositions A, B, C, D, E et F qui se sont avérées convenables sont de 1590 C, 1180 C, 1285 C, 1410 C, et 1310 C, respectivement. Les vitesses de chauffage peuvent être déterminées par les divers ingrédients. Généralement, un chauffage à raison de 55 C par heure s'est avéré satisfaisant, bien que le procédé ne soit pas nécessairement limité de la sorte.
Uno fois qua la température de pointe est obtenue dans chaque cas, la température est maintenue pendant un temps suffisant,
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selon les divers mélangea pour que soit complètement obte- nu la réaction ou le traitement désiré, Par exemple, il s'est avéré efficace de maintenir la température ..maximale indiquée pour la composition A pendant une période de trois heures.
Dans chacun des autres cas, le chauffage a été maintenu au maximum pendant des durées pouvant attein- dre de huit à dix heures,
Comme résultat de ce traitement, le matériau, bien que n'ayant reçu aucune forme particulière par formage ou par moulage, subit toutes les modifications chimiques et physiques qu'il subirait autrenent dans la cuisson habituel- le de la bisque, L'eau de cristallisation at les matières carbonées ou oxydables autres sont ainsi é liminées; cepen- dant leur élimination à ce stade n'a pas pour effet de produire un dommage quelconque, étant donné qu'il n'existe aucune structure moulée ou formée mise en oeuvre suscepti- ble de souffrir de ces modifications.
S'il se produit de la mullite et si la silice passe à l'état de cristobalite, ces changements n'ont aucun effet destructif. L'eau intersticielle, en tant que partie d'une forme do moule dans un stade final, n'a pas besoin d'être prise en consi- dération, étant donné que, môme si elle cet présente, elle no peut affecter le produit final qu'il y a lieu de fabri- quer.
Le refroidissement du produit traité qui fait l'objet do la réaction no présente aucune difficulté et no nécessite aucun contrôle , Il est possible do plonger le produit do la réaction ou produit traité dans l'eau ou dans un autre liquide pour produire le refroidissement et une fragmentation partielle. Alors, le produit traité est à nouveau travaillé do façon à ce que ces particules soient
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réduites à la granulométrie désirée, par tout moyen convenable, Ce produit traite, dans les processus mis on couvre ici, a été dans chaque cas moulu et alors le criblage du matériau traité en fonction do la granulométrie des particules a été réalisé comme indiqué ici.
On a tracé des courbes pour déterminer les combinai- sons efficaces do granulométries do particules pour chaque formule. Le degré do finesse dos particules- auquel on est arrivé loi est d'une importance capitale lors du traiteront ultérieur du matériau ayant réagi, Les particules d'argile sont extrêmement fines. Il est admis que cotte finesse est .une des raisons expliquant de nombreux parmi les problèmes rencontrés lors du moulage do l'argile. Pour le traitement ultérieur du matériau ayant réagi, il s'est avéré qu'il était important de contrôler la granulome trio des particu- les du matériau ayant réagi dans dos limites définies, telles quo celles qui sont déterminées par les courbes.
Par exem- ple, il s'est avéré désirable, on règle générale, do limiter le matériau ayant réagi à une granulométrio do particules qui ne soient sensiblement pas supérieures à
44 microns. Pour le traiteront ultérieur, il s'est avéré désirable qu'il no devait pas y avoir plus de 9,5 à 35% dos particules inférieures à un micron . Dans do nombreux cas, des résultats très intérossants ont été obtenus on limitant los dimensions des particules do toile sorte que pas plus de 15 à 20% d'entre elles soient plus petit.. qu'un micron. Cette formulation à laquelle on est arrivé après do nombreux essais, à montré qu'elle permettait d'obtenir les résultats désirés dans les divers produits finis.
Le matériau ayant réagi, lorsqu'il a été finalement
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séparé ou classé on vue de l'obtention do la granulométrie de particules désirée, présente des caractéristiques qui n'étaient pas présentes dans le matériau avant qu'il n'ait régal. II présente un degré élevé d'uniformité.
II y a ou notamment un changement dans la structure dos ingrédients, à savoir un changement substantiel chimique aussi bien '.que physique.Quand le matériau ayant réagi est broyé do façon à présenter la granulométrie convenable après cuisson de , réaction, ledit matériau ayant réagi se divise on particules présentant un degré élevé d'uniformité au point de vue structure et constituants.
Les particules do matériau ayant réagit, ainsi classées ou séparées, sont traitera à nouveau on leur donnant la forme d'un corps on vue de l'obtention do l'article ou des articles qu'il y a lieu do fabriquer. Le matériau ayant réagi se prête à un tel formage par un certain nombre de méthodes diverses* Par exemple, les particules peuvent être séparées BOUS forme de suspension dans un liquide. Une telle suspension nota désignée ici au moyon do l'expression "suspension cérami- que", Une telle suspension céramique peut être soumise au formage cuivant l'une quelconque d'un grand nombre do méthodes.
On considérera son utilisation par formago dans (a) un moule dont toutes les faces sont sensiblement susceptibles d'absorber du liquide et (b) un moulo dont au moins uno partie des parois sont sensiblement incapables d'absorber du liquide.
Dans un procédé, la suspension céramique peut être admise dans un moule dont les parois absorberont le liquide do la suspension, Le moulo habituel est fabriqué en un matériau tel que du plâtre de Paris. D'autres matériaux sont utilisés qui, de la même façon, ss prétent à un
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formage facile pour l'obtention do contours d'articles à réaliser ot qui do la morne façon sont apablos d'absorber do l'humidité. Toutes ces substances, qui se sont avérées utilou à cot effet, seront comprises sous le terme générique do "plâtro do Paris",..
Los moules sont faits do la manière habituelle. Dans le cas présont . la suspension céramique, sous pression convenable, est introduite dans la cavité d'un tel moule do la manière habituelle. Une propriété du matériau ayant réagi s'est avéréo résider dans le fait qu'il n'oppose plus do résistance au mouvement du liquide porteur à travers lui ce qui caractérisait uno barbotine d'argile ordinairo.
Bien que la pièce formée ou lo moulage qui sera retiré do la cavité do moule, lorsqu'on utilise lo ntériau ayant réagi, s'avère présenter les caractéristiques do résistance quo no présentait pas le moulage de barbo- tine, cependant, le temps nécessaire pour l'absorption do l'eau intersticicllo dos particules do matériau ayant réagi à l'intérieur do la cavité s'est avéré être réduit d'une façon remarquable.
Par exemple, dans un essai comparé fait avec une barbotine ordinaire et une suspension céramique do produit ayant réagi, la suspension do produit ayant réagi a rendu sen oau de telle sorte que 1'élément utilisé pour l'essai pouvait être extrait do son moulo au bout du tiers du temps nécessaire pour pourvoir manipuler en sécurité un spécimen d'essai fabriqué au moyen d'une barbotino d'argile ordinaire.
L'élément d'essai réalisé oommo moyen do matériau ayant réagi était apparemment suffisam- mont sec pour permettre un traitement ultérieur, tel quo les opérations habituelles do séchage, alors quo la pièce d'essai réalisée à partir de barbotino d'argile présentait encore do l'humidité après trois fois environ la période
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do séparation do l'humidité, En son centre, la pièce d'essai, faite en barbotine d'argile ordinaire, présentait toutes les indications habituelles do pièces faites à par- tir de barbotine ordinaire qui interfèrent avec l'uni- formité effective,
comportant une ligne do séparation définie au milieu do la section et indiquant des couche? ou les séparations d'argiles ot d'eau en ce point,
Lorsqu'on réalise la suspension céramique do matériau ayant réagi une quantité suffisante de liquide tel quo do l'eau, est utilisée do façon à ce qu'on obtienne une valeur de viscosité prédéterminée ,Dans pratiquement tous les cas, environ 30% d'eau on poids par rapport à la quantité do solide sec a été utilisé. Dans lu cas du matériau ayant réagi, obtenu à partir des compositions D, E, F, des résultats satisfaisants ont été obtenue avec uno teneur en eau d'environ 30 à 33%.
Dans certains cas, un Ingrédient peut être ajoute à la suspension céramique do façon à réduire la quantité 4 'eau ou do fluide analogue nécessaire pour cbtonir la viscosité désirée. Ainsi, dans le cas d'une formule telle que celle dos compositions A, C, D, E et P environ 0,1% do pyrophosphato do sodium s'est avère efficace; pour la composition B, la composition elle-même pouvait être utilisée sans quo l'on ait besoin d'aucun additif.
Dans le cas dos autres formules, d'autres ingrédients, confor- mément aux propriétés du matériau ayant réagi, serviront pour obtenir le résultat désire ot pourront être détor- mines conformément aux principes bien connus dans ce do- maino do la technique,,
En ce qui concerne les opérations considérées ici, la viscosité des diverses suspensions céramiques tond à
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être un problème dépendant des ingrédients particuliers d'origine mis on oeuvre, Cependant, il s'ont avéré quo la gamme do viscosités pour l'obtention d'uno suspension céramique susceptible d'être travaillée convenablement était comprise ontro 40 ot 1000 Centipoisoe.
La limite préférée est inférieure à 120 Contipoisas. Egalomont, la quantité d'eau, basée sur le poids vrai do matériau ayant réagi, à l'état soc, en vue do l'obtention d'un travail convenable, s'ost avérée être comprise ontro 25 ot 35%, Dans certaine cas, la gemma se trouve comprise entre 27,5 et 32,5 %.
Ainsi par réduction du temps qui s'écoule pour pormottro la séparation do 1'article formé do son liquide, le temps pendant lequel il est nécos&airo do laisser chaque moulage dans son moulo s'est trouvé également réduit do telle sorte quo le moula peut être utilisé pour un nombre beaucoup plus grand d'opérations au cours d'un temps total de travail donné.
Un facteur important est oolui qui consiste à contrôler les dimonsions ou la granulométrie des particules , ot une plus grande uniformité dans les propriétés chimiques ot physiques dos particules do matériau ayant réagi, Le contrôle de la granulométrie des particules apparaît comma ayant pour résultat la formation d'un produit dans loquol dos particules do dimensions différentes vionnont n'adapter los unes aux autres, dans les espaces formés par engagement des plus grandos particules los unes dans les autres de tollo sorte qu'il on résulte l'obtention d'un produit plus donne.
Ainsi dans un produit formé finalement avant cuisson, il y a liou d'éliminer moins d'eau. L'eau qui n'est pas extraite comme, par o::cmplo, par les faces du moulo no so présente pas sous la forme d'eau combinée chimiquement mais se trouve présente nous forme d'eau intersticielle qui peut
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être éliminée facilement au cours du atado subséquent de cuisson,
Le matériau ayant réagi rond possible un moulage efficace au moyen d'un moule dont la plus grande partie au moins des faces du moule est imperméable à l'eau ou n'absorbe pas ladite eau,
Les moulages obtenus à partir d'un tel processus do moulage montrent que les problèmes ,que l'on avait rencontrés jusqu'à présent avec los moulages d'argile se trouvent éliminés. On avait observé jusqu'ici que quand le porteur liquide est absorba par un moulage dans deux directions dans un moule ordinaire, dont toutes les parties sont susceptibles d'absorber l'humidité, une ligne de clivage apparaît à mi-section dans le moulage, ladite ligne de clivage subsistant jusqu'à rester dans la pièce culte finalement obtenue, oc qui constitue un élément do faiblesse.
Quand un tel moulage a été extrait de son moule, séché puis cuit, une cavité définie s'est avéréo exister dans do nombreux Cas à l'intérieur du corps do la bisque ainsi fabriquée. On considère que, dans un tel moulage, l'eau se trouve séparée du mélange dans des directions multiples, ce qui a pour effet do provoquer une contraction au cours de ce stade do fabrication, La nouveau matériau n'est pas sensible à cotte contraction qui, apparemment, laisse une zone de clivage à l'intérieur du corps formé.
Dans la structure du moule représentée sur les dessins, à la figure 1, on a montré un dispositif qui peut éviter ces inconvénients d'uno façon notable A la figure 1, un mandrin 10 est supporté par uno broche 12,
Dos moyens convenables sont prévus pour maintenir le mandrin 10 espacé dos faces 14 des parois 16 du corps du
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moulo 18 do telle aorte que soit ménagé l'ospace 20 pour la formation d'un moulage 22 entra le mandrin 10 ot le corps 18. Des conduits d'alimentation ou cheminées 24 pouvant être prévus do la façon habituelle.
Dans eo cas, le mandrin 10 peut être construit do tollo sorte que sa face 26 qui pout être soigneusement polio do façon à constituer uno surface lisse pour lo moulago qu'il y a lieu do réaliser, voit impermzalable à l'humidité. Un procédé efficace à cet offot consiste à réaliser lo mandrin 10 on un métal quelconque, tel quo do l'acier inoxydable.
La corps 18, y compris la fr.co 14 opposée au mandrin 10 est perméable à l'humidité ou absorbant, il est fabriqué au moyon d'un matériau habituellement utilisé pour réaliser dos moules,
Le moule 28 do la figure 2 est spécialement adapté on vue do l'utilisation d'une suspension céramique telle qu'elle a été décrite ici. Il est destiné à donner sa forme à la pièce qu'il y a lieu do former conformément à la forma d'un mandrin exécuté en un matériau, qui n'absorbe pas l'humidité provenant du moulage.
Dans la structuro représentée à la figure 2, le moule comporte un mandrin contrai 30 qui est fixé à uno base 32 et qui peut être retiré do l'intérieur' de la cavité 34 définie dans le corps do moule 36.
Le moulo peut être réalisé au moyon du nombre requis d'éléments en vue do sa séparation do la manière usuelle, ces détails structurale ne sont pas envisagés ici étant donné quo la construction d'un moule comportant la nombre requis d'éléments est uno ohoco bien connue dos spécialistes Toutefois, le mandrin 30 peut consister en un corps 38 dont la face 40 n'est pas susceptible d'absorber do l'humidité ou est imperméable
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EMI31.1
à l*humidité Co résultat peut ttro obtenu on réalisant on Butai ou autre matériau imperméable ou non absorbant la partie du mandrin 30 qui définit la face 40.
On peut également réviser le mandrin 30 en tout\
EMI31.2
matériau poreux classique ot appliquer un revôtemont imperméable sur sa surface, le matériau utilisé pour
EMI31.3
réaliser un tel revoteront étant tel qu'il ne réaB1sco \ pas avec l'un quelconque des ingrédients qui composent la suspension céramique utilisée pour former le coulage.
EMI31.4
1..1. surface poreuse du moulage peut ttre imprégnée, par exemple, au moyen do paraffine ou do vernis imperméable ou d'un ravôtomont plastique tel qu'une résine- époxy, du polyurúthano, un polysulfure (Thiokol) ou une matière plastique inorto analogue, La cheminée ho.bi.t\J.lo ou entrée 42 sera ménagée, pour un tel moule, dx.s le corps 36. Le corps 36 cet perméable à l'humidité exception faite suivant la cheminéa 42, les parois do ladite cheminée
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étant réalioéos on un matériau imporméablo à l'humidité sensiblement de la mono manière que la face 40 est réalisée imperméable à l'humidité.
Il est évident qu'après qu'un roulage 44 a été
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réalisé dans un tel moulo, la corps 36 peut dtro oxtrait du moulago qui sera retenu sur le mandrin. Le moulage peut être alors retiré du mandrin.
Sur la figure 3 est représenté un moule dans lequel un mandrin 46 est prévu avec une cheminée s'étendant verticalement à travers ledit mandrin. Dans ce cas, lo mandrin peut être réalisé on métal. La cheminée 48 doit être imperméable à l'humidité. Le mandrin 46 est espacé do la paroi 50 de la cavité 52 constituée par le -corps 54
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de façon à assurer la mise on forme du moulage à exécuter au moyon do co moule. Le nandrin 46 peut être supporté do touto façon désirée pour maintenir l'espacement désiré, Los cheminées 56 sont ménagées dans cet espace pour favoriser la. pénétration do la suspension céramique dans la cavité 52.
Dans tous ces modes do réalisation et dans d'autres qui peuvent être conçus en fonction de l'articlo à mouler, une face du moula est porméable à l'humidité, Loo faeoa do moule qui so trouvent on vis à via do ces faces perméa- bleu à l'humidité sont imperméables à l'humidité soit grâce à un revêtement soit grâce à l'utilisation d'un matériau tel quo l'acier inoxydable pour former cette face@ Quand on introduit une suspension céramique dans la cavité do l'un quelconque do ces moules, loau contenue dans la suspension céramique se déploie vers la faco penné* ' able à l'humidité. Evidemment,
l'eau qui est la plus éleigniée do la face perméable à l'humidité devra circuler à travers le matériau dont l'eau a été retirée on promior par suite dos caractéristiques d'absorption do la paroi perméable à l'humidité. liais la disposition dos solides dans la suspension céramique aura pour effet d'augmenter l'épaisseur do la couche do matériau formée dans uno direction opposée à colle du mouvement do l'eau. Le premier compactage do particules aura lieu au niveau do cotto par.)1 absorbant l'humidité et, par suite, l'augmenta-' tien do la densité des particules se déplacera on s'éloi- gnant de cette paroi.
Bien quo certaines particules do la suspension céramique puissent adhérer à la paroi imper- méable à l'humidité, il n'y aura pas d'augmentation do donaité dos particules dans cotte direction étant donné quo l'oau no sera pas absorbée par cotte paroi. Le résultat
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final est quo, lorsqu'une quantité suffisantes d'oau a été absorbée par la paroi absorbante on provenance du moulage, l'augmentation do donsitd des solides est exécuta senti.
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blomont dans une direction unique, c'ont-à-ditot 'V'I.:*"j 1'extérieur à partir do la paroi poimdablo h l'humidité.
Bu conC3quonco. l'augmentation do densité ne se proPô40 pas dans deux directions à la fois, elle out tlol1sibJ.ot1On't uniforme par ce qu'ollo no se propage avec régularité
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quo dras une direction unique ot aucun elivago ni auu;l4 liano do d^xea,tion n'apparaît antre deux partiaa distinctes d1ff6rotos do matériau à densité acer # coruj6 c'ust la aaa dans le corps habituolloaont moulé on b:.rbotino dansa un moule dont Zlrntiquot1ont toutos los po.rois sont perraérblon à l'humidité", Haintonant, les moulages ou pièo aa tomÓos obton1a08 par l'un quelconque do ces stades do formation sont soumio à la cuit/con dans dos fours C'.p,ropr14iJ". loti tc,mp:
.'r 4turea à ce stade de cuisson, qui peut âtre désigna par le terme stade do "frittago", sont sensiblement inférieures aux températures atteintes lors du etado do réaction. Le soul but recherché maintenant est
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l'obtention d'une réaction 1nt0rtaclo suffisant0 dos particules de telle sorte qu'elles oc lient Ion =ce aux -utron. On a constate quo Ils pièces forheos, uno fois placées dans le four, conservent leurs féroce sans quo aoit nécessaire la réalisation dos supports habituols, en sable par exemple, on dessous dos parties do aoulo ne trouvant on porte à faux.
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On a renarquo quo, pour le stade de frittaeco, qui ont c3ntc:na^.r.t comparable à la cuisson do la bisque do la cuisson habituelle do l'argile, los températures
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maximales suivantes donnaient dos articles finaux d'uno
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gronda résistance, aux dimensions prdvîoîbloa ot présentant dos caractéristiques d'uniformité en section e pour Ion artlolos obtenus à partir do la composition A, 1520 0, pour los articles obtenus à partir do la composition B, t 184 â; pour los t1clos obtenus partir do la composition C, 1250 C; pour les articles obtenus à partir do la composition
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D, 1350OC; pour les articles obtenus à partir do la composition E, 1144 0:
pour les articles obtenue à partir do la composition F, 1285 C. Etant donné qu'il s'avère possible d'utilisor des températures plus faibles, il est possible d'obtenir des résultats très souhaitables comme, par exemple, le fait qu'on évito la formation do
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criatobito et les déformations qui on rJcultont aux températures plus élevées.
Do plus, un r .sultnt ir*attondu a été l'élimination de la valeur critique de la température nécessaire à l'obtention de la vitrification. On a pu obtenir la certitude qu'il est possible do réaliser la vitrification dans une bande do températures de l'ordro do 80 C environ,
Bien entendu, l'invention n'est nullement limitée aux modes d'exécution représentés et décrits qui n'ont
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été donnés qu'à titre d'cjC.mple.