<Desc/Clms Page number 1>
EMI1.1
J'Pert.ct1onD.menta relatifs à la pulvérisation de liquides. "
La présente invention est relative à des perfectionnement dans le dosage de fluides et dans le dosage de fluides utilisée pour l'application de liquides, ainsi que dans des appareils pour le dosage et l'application de liquides sur des surfaces, de façon à les faire adhérer à ces surfaces. En particulier, l'invention concerne le traitement de surfaces, telles que l'ex- térieur ou l'intérieur d'avions, de véhicules de services publiée et autres, ou d'installations fixes, telles que réservoirs ou
<Desc/Clms Page number 2>
édifices, à l'aide de solutions chimique.
Ces dernières sont appliquées aux surfaces par épongeage ou pulvérisation par exemple, et après que la substance chimique a rempli son oeuvre, elle est lavé*. essuyée ou arrosée. Cette méthode entraîne un gaspillage de liquide, car une grande partie de la solution chimique coule le long de la surface et est ainsi perdue. Dans les climat chauds, la solution peut s'évaporer rapidement, en rendant l'opération désirée encore plus difficile.
Les procédés connus pour founir ou distribuer des mélanges de fluides dosés dans les buts précités comprennent l'utilisation de pompes individuelles fournissant chacuntdes gaz ou liquide* sous pression à un orifice ou un dispositif doseur analogue* La précision du dosage est affectée par les variations indépen- dantes de rendement des pompes individuelles,, variations qui proviennent de défauts mécaniques ou autres. Un autre procédé consiste à utiliser des cylindres doseurs qui ont un fonctionne- ment essentiellement intermittent et, si l'on interpose un réser- voir à pression constante dans le cas de liquides mélangés pour remédier à ce défaut, les proportions fournies ne peuvent pas être modifiées instantanément.
Un autre procédé consiste à utili- ser de l'air ou un autre gaz comprimé appliqua aux surfaces des liquides contenus dans des compartiments distincts à sommet ouvert d'un récipient sous pression ou dans des récipients sous pression distincts mais reliés entre eux, de telle sorte qu'une pression d'air égale soit établie au-dessus de chaque fluide. Ce procédé pour l'obtention d'une égalisation de pression grâce à l'utilisa- tion d'un fluide est limité à l'utilisation d'un ou de plusieurs gaz en tant que fluides sous pression.
Dans les procédés connus précités, les dispositifs doseurs ont une dimension qui exige qu'ils soient disposés dans certaine cas en un endroit éloigné du point de fourniture des fluides mesurés, de telle sorte qu'un opérateur se trouvant au point
<Desc/Clms Page number 3>
de fourniture peut ne pas être en mesure de commander ou de modifier le dosage, ce qui est avantageux par exemple lorsque les fluides dosée (dont au moins un est un liquide) doivent être pulvérisés au moyen j'une lance à l'endroit de fourniture.
Un exemple d'utilisation de dosage de fluides se trouve dans le traitement de surfaces,'telles que l'extérieur ou l'intérieur d'avions, de véhicules de services publics ou autres, à l'aide de solutions chimiques, par exemple celles qui sont appliquées aux surfaces pour les nettoyer, en enlever la peinture, ,en retirer des pellicules d'oxyde ou de ternissures, ou pour rendre brillante ou modifier chimiquement la surface,, les surfaces étant ensuite lavées pour retirer les solutions chimiques de ces
EMI3.1
surfaces.
Dans un procédé de ce genre, eu d'eun'e tMiteteent de wu.fa.... '.4 ,U...,. "IUt, 1.....aft.. al irln' # terl*e.n iftm .' a7.?a/Gl. 'l'.oddiWift' le.-1 un liquide lIQu8sable est mis en contact avec une matière provoquant le bous sage, afin de faire mousser le liquide et le liquide sous forme de mousse est pulvéri- sé ou projeté sur la surface et adhère par conséquent à celle-ci jusqu'à ce que la substance chimique ait rempli son effet désire sur la surface.
Le but principal de la présente invention est de procurer, à l'aide d'un équipement simple, léger et peu coûteux, une matière sous forme de mousse dans toutes les conditions d'atmosphère am- biante et d'une façon rapide et économique.
Suivant la présente invention, un procédé pour fournir un mélange de fluides dans un rapport volumétrique prédéterminé à un point de fourniture sous pression, consiste à fournir un flui- de, dénommé le fluide communiquant la pression, sous pression à un point de dosage, à fournir chacun des fluides restant au point de dosage par l'intermédiaire d'un dispositif influencé par le fluide communiquant la pression de façon à leur communiquer une pression déterminée, à mélanger les fluides sous la même pression
<Desc/Clms Page number 4>
au point de dosage et à .fourni!* le mélange de fluide au point de fourniture.
Suivant un procédé préféré, le fluide communiquant la pres- lion est fourni sous une pression déterminée au point de dosage et chacun des fluides restant est fourni à partir d'un récipient fermé rar l'intermédiaire d'un autre récipient dans lequel il est en contact de pression avec le fluide communiquant la pression, ce qui amène le ou les fluides restant à être alimentés au point de dosage à la même pression que le fluide communiquant la pres- sion/
Dans un autre procédé préféré, le fluide communiquant la pression est un liquide fourni par l'intermédiaire d'un conduit formé au dispositif de dosage,
à partir d'un récipient ayant de préférence une hauteur Barométrique constante et chacun des fluides restant est un liquide fourni à partir d'un récipient *tanche aux fluides à un flotteur creux flottant sur le liquide communiquant la pression dans ledit récipient, de telle aorte que le niveau de liquide dans le flotteur et dans ledit récipient se trouve dans un môme plan horizontal et chacun desdits liquides restant est fourni depuis le flotteur au dispositif doseur, tous les liquides étant ainsi fournis à partir d'une môme hauteur manométrique de liquide et sous la même pression.
Dans un troisième procédé, tous les fluides sont liquides et chacun des liquides restant est fourni au point de dosage à par- tir d'un récipient étanche aux fluides dans le circuit d'alimen- tation de liquide communiquant la pression, ce dernier étant séparé de chacun des liquides restant par une membrane flexible imperméable auxdits liquides, de telle aorte que tous les liquides sont maintenue à la pression du liquide communiquant la pression.
Sous un autre aspect, l'invention comprend le procédé ci-avant Utilisa pour appliquer une matière sousr forme de mousse à une surface, ce procédé constatant à faire passer séparément un liqui- de moussable et un liquide communiquant la pression sous la forme d'un diluant pour le liquide moussable vers un dispositif
<Desc/Clms Page number 5>
doseur, à faire passer le liquide moussable et le diluant en proportion prédéterminée ou sous une pression prédéterminée depuis le dispositif doseur vers le point de fourniture nous la forme d'une chambre Alimentée en gaz, par exemple en air, et contenant une matière provoquant le bous sage,
et à appliquer le mélange sous forme de mousse provenant de la chambre par l'in- termédiaire d'un dispositif pulvérisateur sur la surface.
L'appareil pour la mise en oeuvre de ce procédé comprend un dispositif pour fournir le fluide communiquant la pression sous pression à un point de dosage, un récipient étanche au flui- de pour chacun des fluides restant, ledit récipient comportant un orifice de sortie menant audit dispositif de dosage, un corps creux à travers lequel s'écoule le fluide communiquant la pression et en contact de pression avec chacun des fluides res- tant se trouvant dans son récipient propre, pour communiquer à chacun desdits fluides dans son récipient une pression destinée à amener ledit fluide à être fourni audit Dispositif de dosage sous la même pression que le fluide communiquant la pression.
Le gaz, tel que de l'air comprimé par exemple à 30 livres par pouce carré, est fourni à la chambre de façon à coopérer avec la matière provoquant la formation de mousse afin de former une mousse destinée à être pulvérisée, Le gaz peut être introduit dans la chambre par des moyens appropries quelconques, par exemple nous pression à l'aide d'une pompe ou par une action de venturi.
La mousse pulvérisée adhérera à la surface à cause de la présence des bulles qui réduisent l'effet du rapport surface/poids sur la matière bout forme de mousse et réduisent ainsi le poids spécifique de la matière et augmentent l'effet de friction de l'air.
Le liquide moussable peut être constitué par un détergent, un agent mouillant pour le détergent et un agent moussant. Le li- quide mous sable et un diluant pour celui-ci peuvent être fourni* séparément à une chambre mélangeuse qui peut se trouver sous une
<Desc/Clms Page number 6>
pression réduite et le mélange de liquide moussable et de diluant:' n' ou le liquida moussable seul et 1'on/utilise pas de diluant. sont chassés sous pression vers une chambre de moussage contenant la matière provoquant la formation de mousse.
La matière provoquant la formation de mousse est de préférence constitué* par une spirale ou un certain nombre de spirale@, par exemple des fila métalliques, un réseau, un treillis, une masse de fibre. ouvertes, de gazou de matière cellulaire avec de fins passa :98 à liquide les traversant..
Un procédé préféré pour fournir les deux fluides sous un rapport volumétrique prédéterminé au point de fourniture, c'est-à- dire l'ajutage de pulvérisation, consiste à fournir un fluide dé- nommé le fluide communiquant la pression, sous pression au point de fourniture, à fournir l'autre fluide au point de fourniture à partir d'un récipient étanche à la pression dans le circuit d'ali- mentation dudit fluide communiquant lapression, les deux fluides étant séparés dans le récipient par une membrane flexible imperméa- ble auxdits fluides, de telle sorte que les deux fluides sont la- tenus à la pression du fluide communiquant la pression.
Au point de fourniture les fluides peuvent être fournis séparément à un dispositif de dosage qui peut, si on le désire être utilisé pour mélanger les fluides séparés suivant un rapport volumétrique ré- déterminé et à partir de ce dispositif les fluides sont envoyée à ua point de fourniture final, qui peut être par exemple une lance de pulvérisation. D'une autre façon, les fluides séparés peuvent gés être déchar/ individuellement dans le rapport prédéterminé.
De préférence, en plus du fluide communiquant la pression, deux fluides sont contenus séparément dans le récipient et le circuit d'alimentation du fluide communiquant la pression comprend le* récipient ou réservoir et tous les fluides dans le récipient sont maintenus séparés par des membranes flexibles imperméables aux fluides venant en contact avec elles, de telle sorte que tous
<Desc/Clms Page number 7>
les fluides sont maintenus à la pression du fluide communiqu ant la pression.
Le ou les fluides fournis à partir du récipient ou du réser- ' voir au point de fourniture, par exemple un dispositif doseur, peuvent être des liquides et le fluide communiquant la pression peut tire un liquide, par exemple de l'eau provenant d'un réseau de distribution urbain. La pression peut être communiquée parqua des fluides constitue par un gaz. Lorsque l'un au moins des flui- des ont un liquide devant être pulvérisé a, partir d'un ajutage ou d'une lance de pulvérisation, la pulvérisation est de préfé- rence effectuée directement ou au voisinage imnédiat du point de fourniture ou du dispositif de dosage lorsqu'on en utilise un.
Des exemples de liquides moussables destines à tire utilisée pour le nettoyage de surfaces peintes, l'enlèvement des pellicules de peinture existantes ou pour rendre brillantes les surface,* métal- liques sont les suivants :
1) Des solutions de détergents alcalins tels que les silicates et phosphates de métaux alcaline avec un agent mouillant ajoute, par exemple des sulfonates d'alkyles à longue chaîne ou des ami- ne* quaternaires substituées avec ou sans addition d'agent mous- sante
2) Une solution d'acide phosphorique, d'agents mouillants non ioniques, d'agents épaississants tels que les éthers de cellu- lose avec ou sans addition d'agents moussant
3) Des hydrocarbures chlorés, des épaississants tels que des agents tensio-actifs non ioniques à base de cellulose méthylique avec ou sans addition d'agents moussants.
Un appareil pour la mise en oeuvre de l'application de la mousse sur la surface comprend un récipient ou réservoir pour un liquide moussable, un orifice de sortie du récipient menant à une chambre de moussage et comportant une pompe ou d'autres moyens pour appliquer une pression afin de chasser ledit liquide
<Desc/Clms Page number 8>
vers la chambre de moussage, un agent provoquant la formation de mousse dans la chambre de moussage à travers laquelle le liquide est chassé, afin de provoquer la mine én mousse de ce liquide. et un dispositif de pulvérisation pouvant être raccordé à la chas.
bre de moussage et grâce auquel le liquide mia en mouise* *et fourni à partir de la chambre de moussage et appliqué sur une surface pouvant être recouverte avec la mousse de liquide,
Un second récipient pour un diluant de la matière de nettoya- ge peut être prévu et agence de façon à fournir son contenu à une chambre de mélange étanche à laquelle le liquide mous sable et le diluant sont fournis à partir desdits récipients la chambre de mélange comportant un orifice de sortît menant à la chambre de moussage, orifice par l'intermédiaire duquel le diluant et la matière de nettoyage peuvent être fournie nous pression.
La chambre de Mélange étanche peut comporter un certain nom- bre d'orifices d'admission pour y faire pénétrer le liquide mdussa. ble et le diluant et des dispositifs de commande pour régler l'é- coulement à travers certains des orifices d'admission ou tous ' ceux-ci, afin de modifier la concentration du liquide moussable dilué. Ces orifices d'admission peuvent se présenter sous la forme d'ajutages de dimensions calibrées mutuellement, de telle sorte que le fonctionnement de deux ou plus de deux organes de commander qui peuvent se présenter sous la forme de simples robinets, permet l'écoulement du liquide moussable et du diluant en une proportion prédéterminée et précise.
Le récipient à diluant comprend de préférence un réservoir avec des moyens destinés à maintenir le niveau du diluant dans celui-ci pratiquement constant et un orifice de sortie menant à la chambre de mlangs,et le récipient pour le liquide moussable comprend un réservoir étanche comportant un orifice de sortie débouchant dans un .flotteur creux à une hauteur fixe par rapport
<Desc/Clms Page number 9>
à celui-ci, le flotteur flottant sur le diluant dans le récipient
EMI9.1
z diluant ait en communication avec 1* atmosphère, le flotteur com- portant un orifice de sortie menant à la chambre de .'lange.
Le dispositif de pulvérisation peut recevoir du liquide mis en mousse par l'intermédiaire d'un tuyau raccordé à une soupape
EMI9.2
multiple ou à un groupe de soupapes raccord' t son tour à l'ali- eau mentation en liquide mous sable, & une alimentation en/*t h une alimentation en air comprimé, la ou les soupapes pouvant être actionnées de façon à permettre la fourniture à volonté au die- posittf de pulvérisation de liquide mis en mousse, d'eau de rinçage aérée* d'eau de rinçage ou d'air.
La chambre de aoussage et le dispositif de pulvérisation sont construits en tant qu'un seul bloc ou sont disposés en série en un endroit éloigné de l'alimentation en liquide moussable, en air et en eau.
Un autre appareil préféré comprend un point de fourniture, une conduite d'alimentation par l'intermédiaire de laquelle un
EMI9.3
premier fluide, c'est-à-dîre le fluide communiquant la pression, est fourni sous pression au point de fourniture, un récipient étanche pour l'autre fluide, une dérivation de la conduite d'ali- mentation pour le premier fluide menant audit récipient, une mem-
EMI9.4
brane flexible imperméable audit fluide dans le récipient et sépia- rant les deux fluides se trouvant dans celui-ci, de telle sorte
EMI9.5
que les deux fluides sont fournis au point de fourniture à la pre...
EMI9.6
sion dudit premier fluide, Au point de fourniture, les deux nui- .
des peuvent être amenés à un dispositif de dosage et ensuite par une conduite d'alimentation en fluide doué vers un point de tour- niture final, tel qu'une lance de pulvérisation.
Lorsque trois fluides, l'un étant le fluide communiquant
EMI9.7
la pression, par exemple de l'eau provenant du réseau de diatribu- tion,sont utilisés, le récipient comporte trois compartiments séparés par dea membranes flexibles imperméables aux fluides en .
<Desc/Clms Page number 10>
contact avec elles, deux desdits compartiments étant étanches et contenant des fluides à doser et étant reliée par des conduites d'alimentation au point de fourniture, par exemple un dispositif doseur, l'autre fluide étant le fluide communiquant la pression qui est fourni par une conduite d'alimentation au point de fourni-* ture et une dérivation mène de la conduite d'alimentation en flui- de communiquant la pression au troisième compartiment dans le récipient.
Le fluide communiquant la pression peut être remplacé par une pression d'air, ai nécessaire, dans les cas où un simple dosage des deux fluides eat requis de préférence à une dilution de l'un ou de l'autre avec, par exemple, de l'eau. Ceci pourrait être ajou- té avantageusement,
De môme, l'agent communiquant la pression (liquide ou air) peut être utilisé uniquement en tant que moyen de transmission dé .puissance-' et ne doit pas être utilisé en tant que diluant ou pour introduire de l'air ou un gaz dans le mélange, à moins qu'on ne le désire expressément.
Un orifice de drainage peut être prévu dans la conduite d'a- limentation en fluide communiquant la pression, cet orifice étant commandé par les soupapes de telle sorte que ladite conduite d'alimentation peut être drainée ou la pression peut y être rédui- te afin de permettre le remplissage du récipient étancha ou des compartimenta étanches de celui-ci avec un ou des fluides avant le dosage ou une autre opération de fourniture.
Lorsque trois compartiments sont utilises dans le récipient, en ils sont disposes/une formation stratifiée et la dérivation dit fluide communiquant la pression est de préférence raccordée au compartiment central, celui-ci contenant des séparateurs espacés à travers lesquels le fluide communiquant la pression peut circu.
1er librement et qui maintient les membranes hors de contact l'une avec l'autre lorsque le contenu en fluide du compartiment central
<Desc/Clms Page number 11>
*et faible. D'autres détails et particularités de l'invention ressortiront de la description ci-après, donnée à titre d'exemple non limitatif et en se référant aux dessina annexez, dans les- quels :
La figure 1 est une vue en coupe schématique d'un appareil de fourniture de liquide moussable et de diluant.
La figure 2 est une vue en coupe transversale de l'appareil, représentant non seulement la construction de la figue* 1, maie aussi une chambre de mélange et une pompe de fourniture.
La figure 3 est un schéma des conduites d'alimentation d'un appareil de pulvérisation.
La figure 4 est un schéma d'une lance de pulvérisation.
La figure 1A est une représentation schématique d'un appa- reilù pour la fourniture de deux fluide µ mélanges sous un rappert volume brique constant.
La figure 2A est une vue analogue à la figure il, mais repré- sentant un appareil pour la fourniture d'un mélange de trois fluides sous un rapport volumétrique constant.
La figure 5 est une vue en coupe transversale d'un disposi- tif de dosage.
La figure 6 est une vue en coupe analogue à. la figure 5, représentant le dispositif dans une position de fonctionnement Différente.
Les figures 7 et 8 sont des vues analogues aux figures 5 et 6, Mais représentant une autre forme du dispositif de dosage.
Les figures 9 et 10 sont des vues en coupe transversale res- pectivement suivant les lignes IX-IX et X-X des figures 5 et 7.
La figure 11 est une vue schématique en coupe transversale d'une autre forme du dispositif de dosage:
Dans les dessins, les mêmes référencés désignent des pièces identiques ou analogues.
. D'après les figures 1 à 4, un concentré de liquide' chimi-
<Desc/Clms Page number 12>
que moussable est introduit dans un récipient ou réservoir 1 qui est alors obturé contre toute pénétration d'air par un capu- chon 2 et qui comporte un orifice de sortie 3 sous la forme d'une liaison flexible, par exemple un tuyau 5, menant à une chambre de mélange 6.
Un diluant est contenu dans un réservoir 7 vers lequel le diluant s'écoule à travers un tuyau 8 à partir d'une source d' alimentation, le tuyau 8 débouchant dans une soupape à bille 9 grâce à laquelle le diluant dans le réservoir 7 est maintenu
10 à un niveau pratiquement constant, l'extrémité ouverte/du tuyau 3 est fixée à un flotteur 4, de telle sorte que le liquide moussable obturera son extrémité inférieure dans le flotteur 4 avec le niveau du liquide dans le flotteur se trouvant prati- quement dans le plan de la surface du diluant dans le réservoir 7, Un volume d'air 11 est prévu dans le flotteur pour le maintenir flottant et le compartiment 12 du flotteur, qui contient le li- quide,
est mis en communication avec l'atmosphère par une liaison 13, de telle sorte que lorsque le liquide moussable s'écoule dans le tuyau 5, de l'air remontera sous forme de bullesdans le tuyau 3, en permettant à une quantité supplémentaire de liquide moussable de s'écouler dans le tuyau 3 pour remplir le flotteur de liquide moussable.
La construction du flotteur peut être modifiée, par exemple le volume d'air pourrait être prévu sous la forme de poches dans le flotteur ou autour de celui-ci et la liaison entre le tuyau 3 et le flotteur pourrait être verticale, de telle sorte que la niveau de liquide moussable dans le compartiment 12 pourrait être modifié à volonté, bien qu'il soit de préférence dans le même plan que le niveau du diluant dans le réservoir 7.
Comme on peut s'entendre compte d'après la figure 2, un tuyau 15 provenant du réservoir 7 mène en 14 à la chambre de mélange étanche 6 qui se trouv sous pression réduite en un point situé au-dessus du niveau
<Desc/Clms Page number 13>
du diluant dans le réservoir 7, de telle sorte que la pesanteur facilite l'alimentation du diluant dans la chambre 6 mais la pression réduite dans celle-ci créée par une succion exercée par une pompe 22 aspire le diluant et le liquide moussant dans la chambre qui peut par conséquent se trouver à niveau avec le
4 réservoir 7 ou au-dessus de celui-ci.
Le tuyau 5 est divisé en un certain nombre de tuyaux, quatre de ceux-ci, 16, 17, 18 et 19 étant représentée, qui débouchent également dans la chambre 6 à niveau avec l'ouverture 14 du tuyau 15. Si on le désire, l'aU.- mentation en diluant peut être conçue.de telle sorte qu'au lieu d'avoir une fourniture par l'intermédiaire d'un seul tuyau 14, il soit fourni par l'intermédiaire d'une série de tuyaux chacun présentant ou étant* façonné en un orifice de proportions appro- priées, Le robinet 20 peut toutefois être réglé de façon à ajus- ter la dilution du liquide mous sable concentré de façon prédéter- minée.
Ce robinet 20 peut tire conçu et manipulé de façon à pro- curer une concentration prédéterminée, à titre d'alternative pour un dosage commande par ajutage. Les robinets sont généralement disposes dans la position "ouvert " ou $$fermé$$, c'est-à-dire totalement ouverts ou fermés, le dosage étant effectue par l'in- termédiaire des orifices sélectionnée grâce à la manipulation des robinets. Bien que les ouvertures des tuyaux 15-19 dans la . chambres 6 soient situées au-dessus du niveau du diluant dans le réservoir 7, elle pourraient être au niveau de celui-ci ou môme en dessous de celui-ci, mais dans ce dernier cas il se produirait un siphonnage de liquides, ce qui n'est en général pas nécessaire.
De la chambre de mélange 6 part un tuyau d'alimentation 21 qui raccorde une pompe 22 à la conduite d'alimentation en mélange 23, de telle sorte que la pompe engendre une pression réduite dans la chambre 6, en prélevant par conséquent les deux liquidât de leurs réservoirs 7 et flotteurs 4 respectifs. Les ajutages
<Desc/Clms Page number 14>
ou orifices des tuyaux 15-19 dans la chambre 6 sont proportionnés de façon à procurer le rapport désiré de concentré et de diluant.
L'on peut soit introduire un seul ajutage, soit une gamme d'aju- tages à diluant pour procurer une plus large gamme ou un rapport plue étroit du mélange. La proportion entre lesdits orifices permet aussi d'admettre toute différence de viscosité qui peut exister entre le liquide moussable et le diluant.
D'après la figure 3, l'on se rendra compte que le tuyau 23 passe par la pompe 22 à partir d'un bloc de dosage (non représen- té) et de la pompe 22 par une soupape de commande 24 en un point d'alimentation général désigné globalement en 25. A partir de la soupape 24., une conduite d'alimentation en mélange 26 part vers la lance ou autre appareil de pulvérisation ( figure 4), par l'intermédiaire d'une soupape de commande 27 pour le liquide moussable dilue dose, la soupape 27 étant disposée dans la con- duite 26 de façon à être aisément accessible pour la conduite de la lance.
Egalement au point d'alimentation se trouve une conduite à air 28 menant depuis une source d'air comprimé tel qu'un compres- seur 29, par l'intermédiaire d'une soupape de commande 30, jusqu'à une conduite 31 qui se réunit à la conduite 26 au voisinage de la lance, une soupape de commande pour l'opérateur étant prévue pour la conduite 31, en 32, au voisinage de la soupape 27.
A la station 25 se trouve également une conduite d'alimenta- tion en eau 33qui peut comporter une pompe 34 et qui mène, par l'intermédiaire d'une soupape de commande 35 à la conduite 31.
L'on se rendra ainsi compte que l'opérateur de la lance peut, grâce à une manipulation des soupapes 27 et 32, régler 1 'alimenta- tion en liquide moussable et en air vers la lance pour former une pulvérisation de mousse, comme décrit ci-après. Lorsque la pulvé- risation est achevée, l'opérateur ferme la soupape 27 et la soupa- pe 30, tout en ouvrant simultanément la soupape 35, de telle sor-
<Desc/Clms Page number 15>
te que la lance de pulvérisation est alors utilisée pour pulvéri- ser un liquide de rinçage sur la surface recouverte de musse qui a et* préalablement pulvérisée par la lance.
Grâce à un, réglage approprié des soupapes 27, 32, 35 et 30, l'opérateur peut fournir soit du liquide sous forme de mousse, soit du liquide qui n'est pas sous forme de mousse, ou encore de l'air ou de l'eau séparément ou un mélange d'air et d'eau, de telle sorte qu'avec un seul tuyau d'alimentation 36 la lance est alimentée en matières ou mélanges de matières appropriées, telles que sélectionner par l'opérateur.
Le liquide moussable concentré est de préférence fourni mélangé au diluant, mais la soupape 37 peut être prévue dans un tuyau 15 de telle sorte que du liquide mous sable non dilue soit fourni à la lance.
La figure 4 représente une lance de pulvérisation constituée par des ajutages de pulvérisation jumeaux 40 alimentés par de* tuyaux 41, 42. Le tuyau 41 est raccordé par une soupape à deux voies 43 à la soupape 27 et par celle-ci au tuyau 26. Le tuyau 42 est fixé à l'extrémité de sortie d'une chambre de nous sage 45, qui est alimentée à partir du tuyau 31 par l'intermédiaire de la soupape 32. Une dérivation 47 mène de la soupape 47 au tuyau 31.
La chambre 45 contient une matière 46 provoquant la formation de mousse et qui peut être une matière queconque avec de fins passages amenant le liquide moussable et l'air à s'intégrer pour former une mousse plus stable et homogène qu'il n'est possible par un simple mélange d'air et de produits chimiques en l'absence d'un tel dispositif. Une telle matière provoquant la formation de mousse peut être une spirale ou une série de spirales, une matière sous forme de gaz; un réseau, un treillis, une masse de fibres emmêlées, ou une matière cellulaire.
La soupape à trois voies peut permettre à l'opérateur de faire passer le liquide moussable
<Desc/Clms Page number 16>
directement vers l'ajutage supérueur 40 ou vers l'ajutage inti. rieur par l'intermédiaire de la chambre 45.
Avec toutes lea combinaisons de robinets, etc. utilisées pour permettre les variations de la technique d'application, (c'est-à-dire mousse, pulvérisation, lavage ou eaux aérées), la matière provoquant la formation de mousse est toujours utilisée pour la formation de mousse.
EMI16.1
Le liquide moussable peut être un liquide qui nettoie1\ la surface, enlèvera la peinture, éliminera les pellicules d'oxyde ou de ternissures, fera briller la surface ou provoquera une modification chimique de cette dernière. Lorsqu'on utilise un agent mouillant, celui-ci peut par lui-même agir en tant qu'agent moussant et certaines matières ont la propriété de former des
EMI16.2
aouesee stables lor'AU'tl1t. sont M41*ncdet à 1,.i, tant addition d'agents moussants particuliers,
La figure 1A représente un récipient 1 constitué par deux moitiés en forme de dôme peu profond réunies par un joint étanche aux liquides la dans lequel est fixée une membrane flexible faite en une matière qui est inerte et imperméable aux fluides venant ,( en contact avec elle.
La membrane 16 a une surface plus grande que la surface de la section transversale du récipient au joint la, de telle sorte que si le récipient est vida, la membrane fléchira et même, si on le désire, viendra s'appliquer contre l'une des parois de délimitation du récipient. La membrane divise ainsi le récipient en deux compartiments destines à contenis
Séparément des fluides A et B et une caractéristique importante est de ce diaphragme (qu'il est suffisamment grand pour pouvoir se déplacer librement entre les deux liquides et, en formant une barrière artificielle, Imperméable et pratiquement sans friction entre le* fluides,
il assure qu'une pression uniforme existe dans les deux fluides contenus dans le récipient. Le récipient a été représenté aous la forme de deux dômes mais, toutefois, le
<Desc/Clms Page number 17>
principe utilisé peut tout aussi bien être appliqué à une forme quelconque d'enceinte pour autant qu'un diaphragme de configura- tion et en matière appropriée; soit utilisé.
A la figure 1A, le fluide A cet un concentré d'une matière chimique liquide qui peut être un produit chimique moussable et, lorsque le produit a été diverse dans le récipient, celui-ci est alors fermé par un capuchon 2. Ce récipient comporte un cri- fice de sortie 3 du côté du diaphragme 16 écarté du liquide B et qui mène à un tuyau 5 d'où le liquide A est envoyé à un point de fourniture représenté sous la forme d'une chambre de mélange 6 d'un dispositif doseur 7 du type décrit précédemment. Le tuyau 5 est divisa en plusieurs tuyaux 8 commandes chacun par une soupape 9, menant à la chambre 6, de telle aorte qu'en agissant sur une ou plusieurs des soupapes 9,
la proportion désirée du concentré si écoulera dans la chambre 6. Le second fluide B est le fluide communiquant la pression, c'est-à-dire de l'eau prove- nant des conduites de distribution ou un liquide provenant d'un réservoir sous pression ou d'une pompe, qui doit être mélan- gé au concentré A et qui est envoyé par une conduite 10 vers la chambre 6, par l'intermédiaire d'une soupape de commande 11.
Un orifice de sortie 12, qui peut être commandé par une soupape, (non représentée) est prévu dans la chambre 6 et par son intermé- diaire les liquides A et B dosés et mélangés, c'est-à-dire la solution diluée du concentré, est envoyée à un point de fourniture final tel qu'une lance de pulvérisation qui comprend de préférence un dispositif provoquant la formation de mousse par exemple tel que décrit ci-avant. Le dispositif doseur 7 est également de préférence réalisé comme décrit dans le présent brevet.
A partir de la conduite d'alimentation 10, une dérivation 15 est amenée à la moitié inférieure du récipient 1, dans lequel les deux liquides sont séparés par la membrane flexible 16. Ainsi, lorsque le fluide B s'écoule dans la conduite 10, la partie infé- rieure du récipient 6 commencera à se remplir avec le liquide B
<Desc/Clms Page number 18>
et communiquera au concentré A sa pression, de telle sorte que le concentré A et le liquide B dans la conduite 10 seront fournie à la même pression & la chambra 10 et depuis cette dernière, par l'intermédiaire de la liaison 12, au point de fourniture.
Le tuyau 10 est muni d'un drain commandé par une soupape 17. d' isolement de telle sorte que quand une soupape/17a est fermée, la conduite 10 peut être vidée ou la pression dans celle-ci y être fortement réduite, éventuellement jusqu'à la pression atmosphérique, afin que le récipient 1 puisse être rempli de concentré A.
Lors de l'utilisation, le liquide B est appliqué sous pres- sion a une face du diaphragme 16 qui transmet cette même pression au liquide A contenu de l'autre côté du diaphragme et le principe utilisé peut tout aussi bien être appliqué à n'importe quelle autre forme de récipient muni d'un diaphragme ayant une configura- tion appropriée et fait d'une matière convenable. L'en se rendra compte qu'à la différence du dispositif de dosage des figues 1 à 4-, le présent dispositif de dosage fonctionne de façon à fournir le liquide en provenant dans la conduite 12 sous pression.
Lorsque le liquide A dans le récipient est épuisé et que cette partie du récipient doit être replie, les soupapes 17 et 17a sont actionnées de façon à permettre au liquide B de s'écouler à l'égoût ou d'être renvoyé à un réservoir d'emmagasinage par un agencement extérieur approprié, de pompage ou d'alimentation par effet de pesanteur.
Il convient de mentionner que les soupapes individuelles 9 du dispositif de dosage peuvent être omises, si on le désire, et les extrémités des tuyaux 8 peuvent être prévues avec des ouvertures de dimensions prédéterminées pour procurer un mélange homogène et fluide, avec une proportion volumétrique correspondant, aux proportions des ouvertures.
La figure 2A représente deux compartiments à fluide, par exemple pour les concentrés différents A et C.dans le réservoir ou récipient 1. Les compartiments se présentent sous la forme
<Desc/Clms Page number 19>
de couches situées l'une au-dessus de l'autre, les compartiments contigus étant séparés par des membranes 18, 19 analogues à la
Membrane 16 de la figure 1A. Etant donné que le compartiment central est destiné au fluide B, ce compartiment central comporte des séparateurs espacés 20 qui maintiennent les membranes. 18, 19 espacées, lorsque le contenu en liquide A et/ou C du récipient est important. L'admission 22 pour le fluide B pénètre dans le récipient entre les séparateurs.
Les séparateurs 20 sont réalisée de telle sorte, par exemple au moyen de perforations, que le fluide B puisse circuler librement à travers eux. Le fluide dans le compartiment central peut être un gaz floua pression, par exemple de l'air, et dans ce cas la soupape 11 pourrait tire maintenue fermée de telle sorte que le gas dans le compar- timent sentrai *et% sainteu à un*. pressien sanstante. Le foulée B peut toutefois être un liquide qui s'écoule avec A et B dans la chambre 6.
Dans cette forme de construction, le compartiment central du récipient constitue un élargissement de la conduite d'alimen- tation 10 ou il peut s'agir d'une dérivation de la conduite 10 de la figure 1A et à la figure 1A la dérivation 15 peut se trou- ver dans la conduite 10 comme dans le cas de la figure 2A.
Apartir de la chambre de dosage 6, les liquides dosés ou mélangés s'écoulent jusqu'à un point de fourniture tel que la lance de pulvérisation décrite à propos des figures 1 à 4.
Le récipient de la figure 1A et celui de la figure 2A ou plusieurs récipients de chaque genre peuvent disposés en série ou en parallèle de telle sorte que les fluides sous pression dans l'un quelconque des récipients mis en oeuvre puissent être utilisés pour actionner d'autres récipients dans le système.
Ainsi, plusieurs fluides peuvent être distribués sous l'action d'un seul fluide communiquant la pression, par exemple un gaz comprimé tel que de l'air, sous une pression convenable.
<Desc/Clms Page number 20>
A titre de variante du dispositif de dosage décrit, et dis- positif peut être actionné à distance par rapport au récipient ou récipients 1, de telle sorte que l'opérateur puisse commander les divers liquides transmis sous l'action de ladite pression.
L'avantage de cet agencement à distance est que cette commande permet une modification immédiate de tout rapport désiré des fluides sans qu'il soit nécessaire de vider les tuyaux d'alimen- tation de la dilution utilisée avant cette modification. Les soupapes de commande 9 du dispositif de dosage et la chambre 6 peuvent être utilisées sur une lance ou un pistolet de pulvéri- sation. Pour faciliter les manipulations, les soupapes indivi- duelles 9 peuvent être remplacées par un agencement grâce auquel elles sont commandées de façon multiple au moyen d'un organe
EMI20.1
¯t.c'1.a'mlnt unique.
L....u,-,.. 11 et 16 doupape Il 9* la figure 2A permettent â l'opérateur d'arrêter chacun des fluides ou l'un quelconque d'entre eux à volonté, tout en continuant à utiliser les autres.
Il doit être entendu que le tuyau 5 pour le liquide C peut tire connecté à la chambre 6 par l'intermédiaire de plusieurs soupapes, comme il est prévu pour le liquide A.
La lance à laquelle les fluides dosés peuvent être envoyés à partir du dispositif de dosage par la pression existant dans la chambre 6 peut être construite comme celle représentée aux figures 1 à 4. Le procédé et l'appareil suivant l'invention peuvent toutefois trouver d'autres utilisations, par exemple pour fournir un mélange de combustible liquide et d'air à un
EMI20.2
brûleur.
Les figures 5 et 6 représentent un dispositif pour le dosage des fluides qui est conçu de façon à être actionné par l'opérateur de la lance de pulvérisation et qui peut être incorporé dans cet- te lance, mais qui peut être utilisé pour remplacer le système de robinet multiple de la chambre de dosage dans les constructions
<Desc/Clms Page number 21>
décrites précédemment, Ce dispositif est essentiellement un orge,* ne de soupape en deux parties, dans lequel une partie est mobile pour commander l'écoulement grâce à des combinaisons réglables d'un certain nombres de troua dans l'autre partie, de telle aorte que les proportions des deux fluides s'écoulant soue la commando de la soupape ont des valeurs prédéterminées différentes.
La !Soupape comprend un corps de soupape creux 50 divisé en deux cavités semi-annulaires 51, 52, dans lesquelles s'écoulent les fluides A et B, respectivement. La paroi circulaire interne forme, sur sa face interne 53, un palier pour une carotte rota- tive 54 qui sera décrite ci-après et qui comporte un certain nombre de trous 55 pour les cavités 51, 52 de la cavité de carotte.
Pour un dosage par accroissements égaux, les trous 55 ont tous la même dimension. La carotte peut être conique ou se présenter sous la forme d'un cylindre 3 et sa cavité est façonnée en consé- quence, de telle sorte que la carotte y trouve un ajustage glissant rotatif. La carotte comporte une partie massive 56 et une rainure 57 communiquant avec un passage de sortie central
58, par l'intermédiaire d'un conduit 59.
Le corps 50 comporte un orifice de sortie communiquant avec le passage 58 et les orifices d'entrée 61,62 pour les fluides A et B, respectivement. La carotte est maintenue en place par ,un capuchon de corps 63 et est amende à tourner par un bouton 64. ou un élément analogue, des joints étanches au fluide approprier 4 tant prévus entre les pièces mutuellement mobile* Un dispositif de verrouillage, tel qu'une bille rappelée par ressort sur une partie de la soupape et s'engageant dans des cavités pratiquées dans l'autre partie de la soupape est de préférence prévu pour Maintenir la carotte telle que réglée par le bouton 64, afin de de maintenir l'écoulement/liquide déterminé par le déplacement de cette carotte.
Ainsi, en plaçant la carotte comme représenté à la figure 5, seul le fluide B s'écoule, et si elle est placée
<Desc/Clms Page number 22>
comme représente à la figure 6, les proportions des fluides vont 3A/7B. Si B est le liquide moussable et A le diluant, l'on fournit alors dans le cas de la figure 5 du liquida B pur ou à 100 % vers la pulvérisateur et à la figure 6 une solution à 70 % du liquide B est fournità ce pulvérisateur.
Aux figures 7, 8 et 10, la carotte 54 est fixée au ecrpe de soupape 50 et un tore 65 présentant les troua 55 y tourne par exemple en faisant tourner la bouton 64. La carotte comporta deux conduite 59, un pour chaque passage d'admission 66, 67 pour les fluides A et B, respectivement et le corps de soupape 50 comporte un seul orifice de sortie de mélange 68 menant au pulvzrisateur à partir d'une seule cavité annulaire 69. A part cela, la construction et le fonctionnement de cette soupape sont identiques à ceux décrits en se référant aux figures 5, 6 et 9.
Une soupape du genre représenté aux figures 7 et 8 pourrait être modifiée de façon à doser trois liquides ou plus, cas dans lequel la partie centrale 54 serait divisée par trois pales 54a ou plus et comportant un ou plusieurs tores rotatifs 65. La sou- pape à carotte des figures 5 à 8 peut être réalisée en tant que deux corps en forme de disque, dont l'un constitue le corps et l'autre la partie rotative, les passages des cavités dans ceux-ci 'tant façonnées d'une façon analogue & celle décrite en se réfé- rant aux figures 5 et 6 ou aux figures 7 et 8.
La figure 11 représente un réservoir de compression d'air 70 qui, étant d'abord vide (après avoir été drainé par un robinet 71), est connecté par un tuyau à air 72 à un réservoir de conce- tré chimique 73 qui, après remplissage au point 74 et obturé par un capuchon 75 étanche à la pression. Du diluant est admit dans le réservoir 70 par l'intermédiaire d'une pompe 76 ou sous une pression d'eau de conduite de distribution, lorsque celle-ci
<Desc/Clms Page number 23>
est un diluant approprié, en comprimant l'ait situé au-dessus, jusqu'à une pression identique.
Cette pression est transmise, par l'intermédiaire d'un tuyau 72, au concentra 8 et le diluant et le concentra ont tous deux exactement la même pression. Des tuyaux d'alimentation 76, 77 alimentent le dispositif de dosage déjà décrit. L'avantage de cette construction est qu'elle élimine la nécessité d'un diaphragme et par conséquent la possibilité résultante d'un défaut lorsque des produits chimiques sont utili- ses. La seule partie mobile est le flotteur sphérique classique 78 actionnant la soupape 79 lorsque le réservoir de compression est complètement rempli.
Ceci n'arrivera jamais si les deux en- ceintes ontdes dimensions choisies de façon convenable par rap- port aux pressions de distribution utilisées et si le capuchon 73 est convenablement obturé.
Le réservoir 73 paut être disposé à l'intérieur du réservoir 70, cas dans lequel un orifice est prévu dans le réservoir 73 au-dessus du niveau de liquide commun, afin d'amener du fluide à s'écouler de 70 en 73 pour faciliter l'égalisation des niveaux de pression dans les deux réservoirs.
L'on se rendra compte que lorsque l'on fait appel 1 des pressions d'air de distribution relativement élevées, la dimension du réservoir A par rapport au réservoir B doit être relativement grande, étant donn4 que P1 V1 = P2 V2 (sous une température constance). La dimension du réservoir A peut être réduite en le mettant préalablement sous pression avec de l'air à une pression inférieure à celle de l'alimentation en diluant et en permettant à l'alimentation en diluant de surmonter cette pression jusqu'à la pression de fonctionnement requise.
Comme représenté à la figure 4, la chambre de moussage 45 est un récipient tubulaire allongé fermé, par exemple de six pieds de long et ayant, par exemple, un passage interne d'un pouce qui est pratiquement rempli de spirales de fil ayant par
<Desc/Clms Page number 24>
exemple des spires d'un diamètre d'un huitième à un quart de pouces avec six spires par pouce et un fil d'un diamètre d'un trente-deuxième de pouce, un nombre quelconque de ces spirales pouvant être.utilisa et disposa en parallèle longitudinalement par rapport à la chambre, avec des spires N'engageant mutuelle- ment, de façon à remplir pratiquement la chambre en laissant de nombreux fins passages entre les spires sous de nombreux angles différents par rapport à l'axe longitudinal de la chambre.
Ainsi, la matière devant être transformée en mousse et le gaz sont envoyer dans la chambre sous une vitesse et une pression telles qu'ils de sont amenés à changer de vitesse acquise continuellement &/courts intervalles de temps et de distance sur toute la longueur de la chambre en errant ainsi une mousse stable qui restera dans l'état de mousse pendant plusieurs minutes ou au moins suffisamment longtemps pour rester en tant que mousse jusqu'à ce qu'elle soit enlevée par lavage des surfaces sur lesquelles elle a été appli- quée.
L'on se rendra compte qu'avec les moyens suivant l'invention, l'appareil prévu est portatif et indépendant de la lance et la ou les conduites d'alimentation peuvent tire disposées largement 'car- tées de l'article par exemple d'un avion qui est nettoyé. La ma- tière moussante a l'avantage de réduire la vitesse d'évaporation.
Le liquide mis en mousse adhère à. la surface ayant subi la pulvé- risation et y reste pendant un temps suffisant pour lui permettre de remplir son but. Ensuite, en utilisant toujours la même lance, le liquide mis en mousse et tous les produits résultant de son action peuvent Atre rincés avec de l'eau puis séchés avec de l'air comprimé qui peut être chauffé sans difficulté.
Les caractéristiques d'un liquide mis en mousse sont telles que sa tendance à l'écoulement est réduite, la période de son contact avec la surface est augmentée et les effets ae vaporisation dus à la température sont réduits à un minimum et par conséquent l'on obtient une économie considérable en liquide de traitement
<Desc/Clms Page number 25>
utilisé.
L'on se rendra également compte qu'en maintenant les valeur des hauteurs manométrique du liquide moussable et de* diluante égales, le mélange du liquide est facilita une aide supplézon- titre étant apportée par le fait qu'il y a une application égale de faible pression à chacune des conduites à liquide dans la chambre 6.
L'ensemble de l'appareil est de préférence actionna par un système moteur autonome, par exemple un moteur à essence ou un moteur électrique entraînant les pompes et le compresseur à air, Avec la soupape des figures 5 à 10, le dispositif de dosage peut être situé au voisinage immédiat de la lance ou être incor- poré à celle-ci et ainsi l'opérateur peut régler la concentration de mousse à volonté, peut la modifier pour s'adapter au travail effectué et ne doit pas porter un appareillage complexe. La com,- mande de l'alimentation brute des liquides peut se trouver en un point central éloigné de la lance et a une construction simple et un poids réduit.
De plus, plusieurs lances peuvent être action- nées indépendamment, toutes ces lances étant alimentées à partir d'un appareillage d'alimentation général, comma indiqué à titre d'exemples aux dessins annexés.
REVENDICATIONS.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
<Desc / Clms Page number 1>
EMI1.1
J'Pert.ct1onD.menta relating to the spraying of liquids. "
The present invention relates to improvements in the dosage of fluids and in the dosage of fluids used for the application of liquids, as well as in apparatus for the dosage and application of liquids on surfaces, so as to make them adhere to these surfaces. In particular, the invention relates to the treatment of surfaces, such as the exterior or interior of airplanes, published service vehicles and the like, or of fixed installations, such as tanks or
<Desc / Clms Page number 2>
buildings, using chemical solutions.
These are applied to surfaces by sponging or spraying for example, and after the chemical has done its work, it is washed *. wiped or sprayed. This method results in wasted liquid, as much of the chemical solution flows along the surface and is thus lost. In hot climates, the solution can evaporate quickly, making the desired operation even more difficult.
Known methods of supplying or dispensing mixtures of metered fluids for the above purposes include the use of individual pumps each supplying gas or liquid * under pressure to an orifice or similar metering device. Dosing accuracy is affected by independent variations. - performance factors of individual pumps, variations resulting from mechanical or other faults. Another method is to use metering rolls which have essentially intermittent operation and, if a constant pressure reservoir is interposed in the case of mixed liquids to remedy this defect, the proportions supplied cannot be. changed instantly.
Another method is to use air or other compressed gas applied to the surfaces of liquids contained in separate open-top compartments of a pressure vessel or in separate, but interconnected, pressure vessels as such. so that an equal air pressure is established above each fluid. This method of obtaining pressure equalization through the use of a fluid is limited to the use of one or more gases as pressurized fluids.
In the aforementioned known methods, the metering devices have a dimension which requires that they be placed in certain cases at a location remote from the point of supply of the measured fluids, such that an operator being at the point
<Desc / Clms Page number 3>
supply may not be able to control or change the dosage, which is advantageous for example when the dosed fluids (at least one of which is a liquid) have to be sprayed by means of a lance at the point of supply .
An example of the use of fluid metering is in the treatment of surfaces, such as the exterior or interior of airplanes, utility vehicles or the like, with chemical solutions, for example those. which are applied to surfaces to clean them, remove paint, remove oxide films or tarnishes, or to shine or chemically modify the surface, the surfaces then being washed to remove chemical solutions from these
EMI3.1
surfaces.
In a process of this kind, had a tMiteteent de wu.fa .... '.4, U ...,. "IUt, 1 ..... aft .. al irln '# terl * e.n iftm.' a7.?a/Gl. 'l'.oddiWift' le.-1 a lIQu8sable liquid is contacted with a boiling-causing material, in order to foam the liquid and the foaming liquid is sprayed or projected onto the surface and therefore adheres thereto until the chemical has fulfilled its desired effect on the surface.
The main object of the present invention is to provide, by means of simple, light and inexpensive equipment, a material in the form of foam under all conditions of the ambient atmosphere and in a rapid and economical manner. .
In accordance with the present invention, a method of delivering a mixture of fluids in a predetermined volumetric ratio to a pressurized supply point comprises supplying a fluid, referred to as the pressure imparting fluid, under pressure at a dosing point, to supply each of the fluids remaining at the metering point by means of a device influenced by the fluid communicating the pressure so as to impart to them a determined pressure, to mix the fluids under the same pressure
<Desc / Clms Page number 4>
at the point of dosing and. supplied! * the fluid mixture at the point of supply.
In a preferred method, the pressure imparting fluid is supplied under a predetermined pressure at the metering point and each of the remaining fluids is supplied from a closed container rather than another container in which it is stored. pressure contact with the pressure communicating fluid causing the fluid (s) remaining to be supplied to the metering point at the same pressure as the pressure communicating fluid /
In another preferred method, the pressure imparting fluid is a liquid supplied through a conduit formed to the metering device,
from a vessel preferably having a constant barometric height and each of the remaining fluids is a liquid supplied from a fluid tight vessel to a hollow float floating on the pressure imparting liquid in said vessel, such aorta that the level of liquid in the float and in said container is in a same horizontal plane and each of said remaining liquids is supplied from the float to the metering device, all liquids thus being supplied from the same manometric head of liquid and under the same pressure.
In a third method, all fluids are liquids and each of the remaining liquids is supplied to the metering point from a fluid-tight container in the pressure-communicating liquid supply circuit, the latter being separate. of each of the liquids remaining by a flexible membrane impermeable to said liquids, such aorta that all liquids are maintained at the pressure of the liquid communicating the pressure.
In another aspect, the invention comprises the above method used for applying a foam material to a surface, which method includes separately passing a foamable liquid and a pressure imparting liquid in the form of a foam. a diluent for the foamable liquid to a device
<Desc / Clms Page number 5>
metering device, to pass the foamable liquid and the diluent in a predetermined proportion or under a predetermined pressure from the metering device to the point of supply in the form of a chamber supplied with gas, for example air, and containing a material causing the you're wise,
and applying the mixture as a foam from the chamber through a spray device on the surface.
The apparatus for carrying out this method comprises a device for supplying the fluid communicating the pressure under pressure to a metering point, a fluid-tight container for each of the remaining fluids, said container comprising an outlet opening leading said metering device, a hollow body through which flows the fluid communicating the pressure and in pressure contact with each of the fluids remaining in its own container, to impart to each of said fluids in its container a pressure intended causing said fluid to be supplied to said Metering Device under the same pressure as the pressure imparting fluid.
The gas, such as compressed air, for example at 30 pounds per square inch, is supplied to the chamber so as to cooperate with the foaming material to form a foam to be sprayed. introduced into the chamber by any suitable means, for example pressure us using a pump or by a venturi action.
The spray foam will adhere to the surface due to the presence of the bubbles which reduce the effect of the surface to weight ratio on the foam end material and thus reduce the specific weight of the material and increase the frictional effect of the foam. air.
The foamable liquid may consist of a detergent, a wetting agent for the detergent and a foaming agent. The soft liquid sand and a diluent therefor may be supplied * separately to a mixing chamber which may be under a
<Desc / Clms Page number 6>
reduced pressure and the mixture of foamable liquid and diluent: 'n' or the foamable liquid alone and no diluent is used. are forced under pressure to a foaming chamber containing the material causing foaming.
The material causing the foaming is preferably constituted by a spiral or a number of spirals, for example metallic fila, a network, a mesh, a mass of fiber. open, of gas or cellular material with fine passa: 98 to liquid passing through them.
A preferred method of supplying the two fluids in a predetermined volumetric ratio to the point of supply, i.e. the spray nozzle, is to supply a fluid referred to as the pressure imparting fluid, under pressure at the point of supply. supply, to supply the other fluid to the point of supply from a pressure-tight container in the supply circuit of said pressure-communicating fluid, the two fluids being separated in the container by a flexible waterproof membrane to said fluids, such that the two fluids are held at the pressure of the fluid imparting the pressure.
At the point of supply the fluids can be supplied separately to a metering device which can, if desired be used to mix the separated fluids at a determined volumetric ratio and from this device the fluids are sent to a point of supply. final supply, which can be for example a spray lance. Alternatively, the separated fluids can be discharged / individually in the predetermined ratio.
Preferably, in addition to the pressure communicating fluid, two fluids are contained separately in the container and the pressure communicating fluid supply circuit includes the container or reservoir and all fluids in the container are kept separate by flexible membranes. impermeable to fluids coming into contact with them, so that all
<Desc / Clms Page number 7>
the fluids are maintained at the pressure of the fluid communicating the pressure.
The fluid (s) supplied from the container or reservoir to the point of supply, eg, a metering device, may be liquids and the pressure imparting fluid may draw a liquid, eg, water from the delivery point. an urban distribution network. The pressure can be communicated by fluids constituted by a gas. When at least one of the fluids has a liquid to be sprayed from a nozzle or spray lance, the spraying is preferably carried out directly or in the immediate vicinity of the point of delivery or the spray lance. dosing device when one is used.
Examples of foamy liquids intended for use in cleaning painted surfaces, removing existing paint films or making metallic surfaces shiny are as follows:
1) Solutions of alkaline detergents such as alkali metal silicates and phosphates with added wetting agent, for example long chain alkyl sulfonates or substituted quaternary amines with or without addition of foaming agent
2) A solution of phosphoric acid, nonionic wetting agents, thickening agents such as cellulose ethers with or without the addition of foaming agents
3) Chlorinated hydrocarbons, thickeners such as nonionic surfactants based on methyl cellulose with or without the addition of foaming agents.
An apparatus for carrying out the application of the foam to the surface comprises a container or reservoir for a foamable liquid, an outlet of the container leading to a foaming chamber and having a pump or other means for applying pressure to expel said liquid
<Desc / Clms Page number 8>
to the foaming chamber, an agent causing the formation of foam in the foaming chamber through which the liquid is expelled, in order to cause the foaming of this liquid. and a spray device connectable to the eye.
foamer and whereby the liquid is softened * * and supplied from the foaming chamber and applied to a surface which can be covered with the liquid foam,
A second container for a diluent of the cleaning material may be provided and arranged so as to supply its contents to a sealed mixing chamber to which the soft liquid liquid and the diluent are supplied from said containers the mixing chamber comprising. an exit port leading to the foaming chamber, through which the diluent and cleaning material can be supplied to our pressure.
The sealed mixing chamber may have a number of inlet ports for entering the mdussa liquid. ble and diluent and controls for controlling flow through some or all of the inlet ports to alter the concentration of the diluted foamable liquid. These inlet orifices may be in the form of nozzles of mutually calibrated dimensions, so that the operation of two or more control members which may be in the form of simple valves, allows the flow of the gas. foamable liquid and diluent in a predetermined and precise proportion.
The diluent container preferably comprises a reservoir with means for maintaining the level of diluent therein substantially constant and an outlet leading to the mixing chamber, and the container for the foamable liquid comprises a sealed reservoir having an outlet. outlet orifice opening into a hollow float at a fixed height in relation to
<Desc / Clms Page number 9>
to this, the float floating on the diluent in the container
EMI9.1
The diluent is in communication with the atmosphere, the float having an outlet port leading to the mixing chamber.
The spray device can receive foamed liquid through a pipe connected to a valve
EMI9.2
multiple or group of valves connected in turn to the soft sand liquid supply, & a supply of compressed air, the valve (s) being operable so as to allow the supply at will to the spray die- posittf of foamed liquid, aerated rinse water * rinse water or air.
The foaming chamber and the spray device are either constructed as a single unit or are arranged in series at a location remote from the supply of foamable liquid, air and water.
Another preferred apparatus comprises a point of supply, a supply line through which a
EMI9.3
first fluid, i.e. the pressure communicating fluid, is supplied under pressure at the point of supply, a sealed container for the other fluid, a bypass of the supply line for the first fluid leading to said container, a mem-
EMI9.4
flexible band impermeable to said fluid in the container and separating the two fluids in the latter, so
EMI9.5
that both fluids are supplied at the point of supply to the first ...
EMI9.6
sion of said first fluid, At the point of supply, both nui-.
These can be fed to a metering device and then through a gifted fluid supply line to a final turning point, such as a spray lance.
When three fluids, one being the communicating fluid
EMI9.7
pressure, for example water from the distribution network, are used, the container has three compartments separated by flexible membranes impermeable to fluids.
<Desc / Clms Page number 10>
contact with them, two of said compartments being sealed and containing fluids to be metered and being connected by supply lines to the point of supply, for example a metering device, the other fluid being the fluid communicating the pressure which is supplied by a supply line to the point of supply and a bypass leads from the fluid supply line communicating pressure to the third compartment in the container.
The pressure imparting fluid may be replaced by air pressure, as needed, in cases where a simple dosage of the two fluids is required rather than a dilution of either with, for example, the water. This could be added advantageously,
Likewise, the pressure imparting agent (liquid or air) may be used only as a means of transmitting power and should not be used as a diluent or to introduce air or gas into the medium. mixing, unless expressly desired.
A drainage orifice may be provided in the pressure-communicating fluid supply line, this orifice being controlled by the valves so that said supply line can be drained or the pressure can be reduced therein to. to allow the filling of the sealed container or the sealed compartments thereof with one or more fluids before dosing or another supply operation.
When three compartments are used in the container, there are arranged a layered formation and the so-called pressure communicating fluid branch is preferably connected to the central compartment, the latter containing spaced separators through which the pressure communicating fluid can circulate. .
1st freely and which keeps the membranes out of contact with each other when the fluid content of the central compartment
<Desc / Clms Page number 11>
* and weak. Other details and features of the invention will emerge from the description below, given by way of non-limiting example and with reference to the appended drawings, in which:
Figure 1 is a schematic sectional view of an apparatus for delivering foamable liquid and diluent.
Fig. 2 is a cross-sectional view of the apparatus, showing not only the construction of Fig * 1, but also a mixing chamber and a supply pump.
FIG. 3 is a diagram of the supply lines of a spray apparatus.
Figure 4 is a schematic of a spray lance.
FIG. 1A is a schematic representation of an apparatus for the supply of two fluid µ mixtures under a constant brick volume ratio.
Figure 2A is a view similar to Figure 11, but showing an apparatus for supplying a mixture of three fluids at a constant volumetric ratio.
Figure 5 is a cross-sectional view of a metering device.
Figure 6 is a sectional view similar to. FIG. 5, showing the device in a Different operating position.
Figures 7 and 8 are views similar to Figures 5 and 6, but showing another form of the metering device.
Figures 9 and 10 are cross-sectional views taken along lines IX-IX and X-X of Figures 5 and 7, respectively.
Figure 11 is a schematic cross-sectional view of another form of the metering device:
In the drawings, the same references designate identical or similar parts.
. According to Figures 1 to 4, a concentrate of liquid chemi-
<Desc / Clms Page number 12>
that foamable is introduced into a container or reservoir 1 which is then sealed against any ingress of air by a cap 2 and which comprises an outlet orifice 3 in the form of a flexible connection, for example a pipe 5, leading to a mixing chamber 6.
A diluent is contained in a reservoir 7 to which the diluent flows through a pipe 8 from a supply source, the pipe 8 opening into a ball valve 9 whereby the diluent in the reservoir 7 is. maintained
10 at a substantially constant level, the open end / of the pipe 3 is attached to a float 4, so that the foamable liquid will close its lower end in the float 4 with the level of the liquid in the float lying substantially in the plane of the surface of the diluent in the tank 7, an air volume 11 is provided in the float to keep it floating and the compartment 12 of the float, which contains the liquid,
is put into communication with the atmosphere by a connection 13, so that when the foamable liquid flows in the pipe 5, air will rise in the form of bubbles in the pipe 3, allowing an additional quantity of liquid foamable liquid to flow into pipe 3 to fill the float with foamable liquid.
The construction of the float can be changed, for example the air volume could be provided in the form of pockets in or around the float and the connection between the pipe 3 and the float could be vertical, so that the level of foamable liquid in compartment 12 could be changed at will, although it is preferably in the same plane as the level of diluent in reservoir 7.
As can be understood from Figure 2, a pipe 15 from the tank 7 leads at 14 to the sealed mixing chamber 6 which is under reduced pressure at a point above the level.
<Desc / Clms Page number 13>
diluent in the reservoir 7, so that gravity facilitates the supply of the diluent into the chamber 6 but the reduced pressure therein created by a suction exerted by a pump 22 sucks the diluent and the foaming liquid into the chamber which can therefore be level with the
4 tank 7 or above it.
The pipe 5 is divided into a number of pipes, four of these, 16, 17, 18 and 19 being shown, which also open into the chamber 6 flush with the opening 14 of the pipe 15. If desired. The diluent supply can be designed so that instead of having a supply through a single pipe 14, it is supplied through a series of pipes each having or being shaped into an orifice of suitable proportions, however, the valve 20 may be adjusted to adjust the dilution of the concentrated soft liquid liquid in a predetermined manner.
This tap 20 can be designed and operated to provide a predetermined concentration, as an alternative to nozzle-controlled dosing. The taps are generally placed in the "open" or $$ closed $$ position, that is to say fully open or closed, the dosage being effected through the orifices selected by the manipulation of the taps. Although the openings for pipes 15-19 in the. chambers 6 are located above the level of the diluent in the tank 7, they could be at the level of the latter or even below it, but in the latter case there would be siphoning of liquids, which would not is usually not necessary.
From the mixing chamber 6 starts a supply pipe 21 which connects a pump 22 to the mixture supply pipe 23, so that the pump generates a reduced pressure in the chamber 6, consequently withdrawing the two liquidate. their respective tanks 7 and floats 4. Nozzles
<Desc / Clms Page number 14>
or ports of pipes 15-19 in chamber 6 are proportioned to provide the desired ratio of concentrate and diluent.
Either a single nozzle or a range of diluent nozzles can be introduced to provide a wider range or narrower ratio of the mixture. The proportion between said orifices also makes it possible to accept any difference in viscosity which may exist between the foamable liquid and the diluent.
From Figure 3, it will be appreciated that the pipe 23 passes through the pump 22 from a metering block (not shown) and from the pump 22 through a control valve 24 at a point. general supply generally designated as 25. From the valve 24., a mixture supply line 26 goes to the lance or other spray device (Figure 4), through a control valve 27 for the diluted foamable liquid in dose, the valve 27 being arranged in the conduit 26 so as to be easily accessible for driving the lance.
Also at the point of supply is an air line 28 leading from a source of compressed air such as a compressor 29, through a control valve 30, to a line 31 which ends. connects to the line 26 in the vicinity of the lance, a control valve for the operator being provided for the line 31, at 32, in the vicinity of the valve 27.
At station 25 there is also a water supply line 33 which may include a pump 34 and which leads via a control valve 35 to line 31.
It will thus be appreciated that the operator of the lance can, by manipulation of the valves 27 and 32, adjust the supply of foamable liquid and air to the lance to form a foam spray, as described. below. When spraying is complete, the operator closes valve 27 and valve 30, while simultaneously opening valve 35, in such a way.
<Desc / Clms Page number 15>
The spray lance is then used to spray a rinsing liquid onto the surface covered with musse which has been previously sprayed by the lance.
By suitable adjustment of the valves 27, 32, 35 and 30, the operator can supply either liquid in the form of foam, or liquid which is not in the form of foam, or alternatively air or gas. water separately or a mixture of air and water, so that with a single supply pipe 36 the lance is supplied with suitable materials or mixtures of materials, as selected by the operator.
The concentrated foamable liquid is preferably supplied mixed with the diluent, but the valve 37 may be provided in a pipe 15 such that undiluted soft sand liquid is supplied to the lance.
Fig. 4 shows a spray lance consisting of twin spray nozzles 40 supplied by pipes 41, 42. The pipe 41 is connected by a two-way valve 43 to the valve 27 and by this to the pipe 26. The pipe 42 is attached to the outlet end of a chamber 45, which is fed from the pipe 31 through the valve 32. A bypass 47 leads from the valve 47 to the pipe 31.
Chamber 45 contains a foaming material 46 which may be any material with fine passages causing the foamable liquid and air to integrate to form a more stable and homogeneous foam than is possible. by a simple mixture of air and chemicals in the absence of such a device. Such material causing foaming may be a spiral or a series of spirals, a material in the form of a gas; a network, mesh, mass of entangled fibers, or cellular material.
The three-way valve can allow the operator to pass the foamable liquid
<Desc / Clms Page number 16>
directly to the upper nozzle 40 or to the inti nozzle. laughing through room 45.
With all combinations of valves, etc. used to allow variations in the application technique, (i.e. foam, spray, wash or aerated water), the foaming material is always used for foaming.
EMI16.1
The foamable liquid can be a liquid which cleans the surface, will remove paint, remove oxide films or tarnishes, cause the surface to shine or cause chemical modification of the surface. When a wetting agent is used, this by itself may act as a foaming agent and some materials have the property of forming
EMI16.2
aouesee stable lor'AU'tl1t. are M41 * ncdet to 1, .i, both addition of specific foaming agents,
Figure 1A shows a container 1 consisting of two shallow dome-shaped halves joined by a liquid-tight seal 1a in which is attached a flexible membrane made of a material which is inert and impermeable to fluids coming into contact with it. .
The membrane 16 has an area greater than the cross-sectional area of the container at joint 1a, so that if the container is emptied the membrane will flex and even, if desired, will come to rest against one. of the boundary walls of the container. The membrane thus divides the container into two compartments intended to contain
Separately from fluids A and B and an important characteristic is of this diaphragm (that it is large enough to be able to move freely between the two liquids and, forming an artificial barrier, waterproof and practically without friction between the fluids,
it ensures that uniform pressure exists in the two fluids contained in the container. The container has been shown in the form of two domes but, however, the
<Desc / Clms Page number 17>
principle used can just as easily be applied to any form of enclosure as long as a diaphragm of suitable configuration and material; be used.
In FIG. 1A, the fluid A is a concentrate of a liquid chemical material which can be a foamable chemical product and, when the product has been various in the container, the latter is then closed by a cap 2. This container comprises an outlet 3 on the side of the diaphragm 16 away from the liquid B and which leads to a pipe 5 from which the liquid A is sent to a supply point shown in the form of a mixing chamber 6 of a metering device 7 of the type described above. The pipe 5 is divided into several pipes 8 each controlled by a valve 9, leading to the chamber 6, such aorta that by acting on one or more of the valves 9,
the desired proportion of concentrate si will flow into chamber 6. The second fluid B is the pressure communicating fluid, that is to say water from the distribution pipes or a liquid from a tank under pressure or a pump, which must be mixed with the concentrate A and which is sent through a pipe 10 to the chamber 6, via a control valve 11.
An outlet 12, which can be controlled by a valve, (not shown) is provided in chamber 6 and through it the dosed and mixed liquids A and B, i.e. the dilute solution of the liquid. concentrate, is sent to a final point of supply such as a spray lance which preferably comprises a device causing the formation of foam, for example as described above. The metering device 7 is also preferably produced as described in the present patent.
From the supply line 10, a bypass 15 is brought to the lower half of the container 1, in which the two liquids are separated by the flexible membrane 16. Thus, when the fluid B flows in the line 10, the lower part of container 6 will start to fill with liquid B
<Desc / Clms Page number 18>
and will communicate to concentrate A its pressure, so that concentrate A and liquid B in line 10 will be supplied at the same pressure & chamber 10 and from the latter, through link 12, to the point of supply.
The pipe 10 is provided with a drain controlled by an isolation valve 17. so that when a valve / 17a is closed, the pipe 10 can be emptied or the pressure therein can be greatly reduced, possibly to the extent of. 'at atmospheric pressure, so that the container 1 can be filled with concentrate A.
In use, the liquid B is applied under pressure to one side of the diaphragm 16 which transmits this same pressure to the liquid A contained on the other side of the diaphragm and the principle used can equally well be applied to n ' any other form of container provided with a diaphragm having a suitable configuration and made of a suitable material. It will be appreciated that, unlike the metering device of Figs 1 to 4-, the present metering device operates to supply the liquid coming from the line 12 under pressure.
When the liquid A in the container is exhausted and this part of the container has to be folded up, the valves 17 and 17a are actuated so as to allow the liquid B to flow to the sewer or to be returned to a reservoir d. storage by a suitable external arrangement, pumping or supply by gravity.
It should be mentioned that the individual valves 9 of the metering device can be omitted, if desired, and the ends of the pipes 8 can be provided with openings of predetermined dimensions to provide a homogeneous and fluid mixture, with a corresponding volumetric proportion. , to the proportions of the openings.
FIG. 2A shows two fluid compartments, for example for the different concentrates A and C. in the reservoir or container 1. The compartments are in the form
<Desc / Clms Page number 19>
layers located one above the other, the contiguous compartments being separated by membranes 18, 19 similar to the
Membrane 16 of Figure 1A. Since the central compartment is for fluid B, this central compartment has spaced dividers 20 which hold the membranes. 18, 19 spaced, when the content of liquid A and / or C of the container is important. The inlet 22 for the fluid B enters the container between the separators.
The separators 20 are made in such a way, for example by means of perforations, that the fluid B can flow freely through them. The fluid in the central compartment can be a blurred gas under pressure, for example air, and in this case the valve 11 could pull held closed so that the gas in the compartment will smell * and% sainteu at a * . pressien sans aunt. Stride B can however be a liquid which flows with A and B in chamber 6.
In this form of construction, the central compartment of the container constitutes an extension of the supply line 10 or it may be a bypass of the line 10 of Figure 1A and in Figure 1A the bypass 15 may be in line 10 as in the case of FIG. 2A.
From the metering chamber 6, the metered or mixed liquids flow to a point of delivery such as the spray lance described in connection with Figures 1 to 4.
The container of Figure 1A and that of Figure 2A or several containers of each kind may be arranged in series or in parallel so that the fluids under pressure in any of the containers used can be used to actuate other vessels in the system.
Thus, several fluids can be distributed under the action of a single fluid communicating the pressure, for example a compressed gas such as air, under a suitable pressure.
<Desc / Clms Page number 20>
As a variant of the dosing device described, and the device can be operated remotely with respect to the receptacle or receptacles 1, so that the operator can control the various liquids transmitted under the action of said pressure.
The advantage of this remote arrangement is that this control allows immediate modification of any desired ratio of fluids without the need to empty the supply lines of the dilution used prior to this modification. The metering device control valves 9 and chamber 6 can be used on a spray lance or spray gun. To facilitate handling, the individual valves 9 can be replaced by an arrangement whereby they are multiple controlled by means of a device.
EMI20.1
Unique ¯t.c'1.a'mlnt.
L .... u, -, .. 11 and 16 of valve II 9 * Figure 2A allow the operator to shut off any or any of the fluids at will, while continuing to use the fluids. other.
It should be understood that the pipe 5 for the liquid C can draw connected to the chamber 6 through several valves, as is provided for the liquid A.
The lance to which the metered fluids can be sent from the metering device by the pressure existing in the chamber 6 can be constructed like that shown in Figures 1 to 4. The method and apparatus according to the invention may however find d '' other uses, for example to provide a mixture of liquid fuel and air to a
EMI20.2
burner.
Figures 5 and 6 show a device for dosing fluids which is designed to be actuated by the operator of the spray lance and which can be incorporated into this lance, but which can be used to replace the system. multiple tap of the dosing chamber in buildings
<Desc / Clms Page number 21>
described above, This device is essentially a barley, * ne of two-part valve, in which one part is movable to control the flow thanks to adjustable combinations of a certain number of holes in the other part, such aorta that the proportions of the two fluids flowing through the commando of the valve have different predetermined values.
The valve comprises a hollow valve body 50 divided into two semi-annular cavities 51, 52, through which the fluids A and B, respectively, flow. The internal circular wall forms, on its internal face 53, a bearing for a rotating core 54 which will be described below and which has a certain number of holes 55 for the cavities 51, 52 of the core cavity.
For an equal increment dosage, the holes 55 are all the same size. The core can be conical or in the form of a cylinder 3 and its cavity is shaped accordingly, so that the core finds therein a rotary sliding fit. The core comprises a solid part 56 and a groove 57 communicating with a central outlet passage
58, via a conduit 59.
Body 50 has an outlet port communicating with passage 58 and inlet ports 61, 62 for fluids A and B, respectively. The sprue is held in place by, a body cap 63 and is fine to turn by a knob 64. or the like, appropriate fluid-tight joints 4 provided between the mutually movable parts * A locking device, such as A ball spring-loaded to one part of the valve and engaging recesses in the other part of the valve is preferably provided to hold the sprue as set by knob 64, in order to maintain the core. flow / liquid determined by the displacement of this core.
Thus, by placing the core as shown in Figure 5, only the fluid B flows, and if it is placed
<Desc / Clms Page number 22>
as shown in figure 6, the proportions of the fluids are 3A / 7B. If B is the foamable liquid and A the diluent, then in the case of figure 5 pure or 100% liquida B is supplied to the sprayer and in figure 6 a 70% solution of liquid B is supplied to this sprayer.
In Figures 7, 8 and 10, the core 54 is fixed to the valve screed 50 and a torus 65 having the holes 55 rotates there for example by turning the knob 64. The core comprised two pipes 59, one for each passage of inlet 66, 67 for fluids A and B, respectively, and the valve body 50 has a single mixture outlet 68 leading to the sprayer from a single annular cavity 69. Apart from this, the construction and operation of this valve are identical to those described with reference to Figures 5, 6 and 9.
A valve of the kind shown in Figures 7 and 8 could be modified to dose three or more liquids, in which case the central portion 54 would be divided by three or more blades 54a and having one or more rotating toroids 65. The valve carrot of Figures 5 to 8 can be made as two disc-shaped bodies, one of which constitutes the body and the other the rotating part, the passages of the cavities therein both shaped in a manner. analogous to that described with reference to Figures 5 and 6 or to Figures 7 and 8.
Fig. 11 shows an air compression tank 70 which, being first empty (after being drained by a tap 71), is connected by an air pipe 72 to a chemical design tank 73 which, afterwards. filling at point 74 and sealed by a pressure-tight cap 75. Diluent is admitted into the reservoir 70 by means of a pump 76 or under a water pressure from the distribution line, when the latter
<Desc / Clms Page number 23>
is a suitable diluent, compressing the above-mentioned air to the same pressure.
This pressure is transmitted, through a pipe 72, to the concentrate 8 and the diluent and the concentrate both have exactly the same pressure. Feed pipes 76, 77 feed the metering device already described. The advantage of this construction is that it eliminates the need for a diaphragm and therefore the resulting possibility of failure when chemicals are used. The only movable part is the conventional spherical float 78 actuating the valve 79 when the compression tank is completely filled.
This will never happen if the two enclosures are suitably chosen in relation to the dispensing pressures used and if the cap 73 is properly sealed.
The reservoir 73 can be disposed inside the reservoir 70, in which case an orifice is provided in the reservoir 73 above the common liquid level, in order to cause fluid to flow from 70 to 73 to facilitate equalization of the pressure levels in the two reservoirs.
It will be appreciated that when relatively high distribution air pressures are used 1, the dimension of tank A with respect to tank B must be relatively large, given that P1 V1 = P2 V2 (under a temperature constancy). The size of the reservoir A can be reduced by pre-pressuring it with air at a pressure lower than that of the diluent supply and allowing the diluent supply to overcome this pressure to the pressure of required operation.
As shown in Figure 4, the foaming chamber 45 is an elongated, closed tubular container, for example six feet in length and having, for example, a one inch internal passage which is substantially filled with spirals of wire having for example.
<Desc / Clms Page number 24>
example of one-eighth to one-quarter inch diameter turns with six turns per inch and thirty-second of an inch diameter wire, any number of such spirals can be used and arranged in longitudinally parallel to the chamber, with mutually engaging turns so as to substantially fill the chamber leaving many fine passages between the turns at many different angles to the longitudinal axis of the chamber.
Thus, the material to be foamed and the gas are sent into the chamber at such a speed and pressure that they are caused to change continuously acquired speed & / short intervals of time and distance over the entire length of the chamber. the chamber thereby wandering a stable foam which will remain in the foam state for several minutes or at least long enough to remain as a foam until it is washed away from the surfaces to which it has been applied. quée.
It will be appreciated that with the means according to the invention, the apparatus provided is portable and independent of the lance and the supply line (s) can draw widely carded articles from the article, for example. 'an airplane that is cleaned. The foaming material has the advantage of reducing the rate of evaporation.
The foamed liquid adheres to. the surface which has been sprayed and remains there for a sufficient time to enable it to fulfill its purpose. Then, always using the same lance, the foamed liquid and all the products resulting from its action can be rinsed with water and then dried with compressed air which can be heated without difficulty.
The characteristics of a foamed liquid are such that its flow tendency is reduced, the period of its contact with the surface is increased, and the vaporization effects due to temperature are reduced to a minimum and therefore the temperature. a considerable saving in treatment liquid is obtained
<Desc / Clms Page number 25>
used.
It will also be appreciated that by keeping the values of the manometric heights of the foamable liquid and of the diluent equal, the mixing of the liquid is facilitated further assistance being provided by the fact that there is an equal application of low pressure at each of the liquid lines in chamber 6.
The entire apparatus is preferably operated by an autonomous motor system, for example a gasoline engine or an electric motor driving the pumps and the air compressor. With the valve of Figures 5 to 10, the metering device can be located in the immediate vicinity of the lance or be incorporated therein and thus the operator can adjust the foam concentration at will, can modify it to adapt to the work performed and does not have to wear complex equipment. The control of the raw liquid supply can be at a central point remote from the lance and has a simple construction and low weight.
In addition, several lances can be operated independently, all of these lances being supplied from a general supply apparatus, as indicated by way of example in the accompanying drawings.
CLAIMS.
** ATTENTION ** end of DESC field can contain start of CLMS **.