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La présente invention est relative à un dispositif permettant de ré- duire notablement la surface de terrain occupée par les garages parkings.et, sans entraîner des complications aussi coûteuses et délicates que dans les parkings automatiques du type américain, de les exploiter sans aucun personnel, si le con- trôle et la recette est assurée par un parcmètre semblable à celui décrit au bre- vet belge du même inventeur, déposé le 21/12/57., sous le n 445179-
Le dispositif, suivant l'invention, se compose essentiellement de deux transporteurs à rouleaux, disposés transversalement dans la voie de circulation des véhicules, à une distance telle que les roues avant du véhicule à garer repo- sent sur l'un et les roues arrières sur l'autre, lesdits transporteurs se prolon- geant,
dans les emplacements de parcage bordant, d'un ou des deux côtés, ladite voie de circulation, d'une longueur suffisante pour permettre le dégagement com- plet de ladite voie de circulation.
Dans certaine s formes de réalisation de l'invention, les rouleaux sont très près l'un de l'autre et supportent directement le véhicule; dans d'au- tres réalisations, les rouleaux sont espacés et supportent une bande transporteu- se qui supporte à son tour le véhicule.
Dans une forme de réalisation avantageuse de l'invention, le déplace- ment transversal du véhicule sur les rouleaux est assuré par des cadres roulant sur les longerons des transporteurs, ayant une longueur un peu supérieure à la largeur desdits transporteurs et suffisamment larges pour pouvoir encadrer avec aisance une roue du véhicule arrêté sur lesdits transporteurs;
lesdits cadres sont couplés deux à deux par un longeron longitudinal disposé du côté de l'emplacement de garage et sont-entraînés par un moteur, par l'intermédiaire d'une vis ou d'un câble sans fin, par exemple, dans un mouvement de translation parallèle aux trans- porteurs et d'une amplitude suffisante pour assurer le mouvement de garage trans- versal du véhicule entraîné par les longerons des cadres situés le plus près de l'axe longitudinal de la voie de circulation, lesdits longerons appuyant.contre la face interne des roues situées du côté de l'emplacement de garage et les obli- geant à suivre le mouvement ainsi que le véhicule lui-même.
Dans le cas où la voie de circulation est bordée des deux côtés par des emplacements de parcage, lesdits longerons peuvent, en position d'attente, s'effacer entre deux rouleaux grâce à une encoche ménagée dans les longerons des transporteurs à rouleaux et grâce à une articulation au longeron commun aux ca- dres avant et arrière; ceci permet aux roues du côté le plus éloigné de l'empla- cement de garage de se dégager aisément de leurs cadres, qui restent en place en attendant qu'une autre voiture vienne se présenter pour être garée à l'emplace- ment desservi par ces derniers cadres.
Dans une forme de réalisation préférée de l'invention, le mouvement de retour des cadres vers la voie de circulation, et donc la libération des véhi- cules, est rendu impossible aussi longtemps que le prix du parcage n'a pas été acquitté; ceci est réalisé d'une manière particulièrement aisée par le parcmêtre cité plus haut. Dans une autre forme de réalisation préférée de l'invention, le déplacement latéral est commandé par un bouton disposé à portée de main du conduc- teur du véhicule, sur un montant solidaire du cadre, ce qui permet le dégagement très rapide de la voie de circulation par le véhicule à garer.
Dans une forme de réalisation particulièrement avantageuse de l'inven- tion, le garage est constitué par un bâtiment à étages, chaque étage se composant d'un couloir de circulation bordé, d'un ou des deux côtés, par une série de loges de parcage identiques. Un ascenseur, situé dans l'axe des couloirs, à une extré-, mité de ceux-ci, élève les véhicules depuis le rez-de-dchaussée, et, de préférence, un autre ascenseur, à l'autre extrémité des couloirs, redescend les véhicules après parcage.
Un perfectionnement de cette dernière forme de réalisation de l'inven- tion consiste à prévoir également la sortie latérale des véhicules hors des asoen-
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seurs en munissant ces derniers de transporteurs à rouleaux semblables à ceux des couloirs ainsi que de portes latérales et en disposant, d'un ou de chaque côté des cages d'ascenseur, des loges de parcage semblables aux autres. Ainsi les em- placements perdus de chaque côté des cages d'ascenseur sont entièrement utilisés.
Dans cette réalisation, les cadres sont remplacés par des chariots très plats, roulant entre les transporteurs,pénétrant dans l'ascenseur, sous le véhicule à parquer et entre ses roues, munis de deux bras fixes du côté de la loge et de deux bras mobiles de l'autre côté, lesdits bras mobiles étant rentrés dans le chariot lorsque ce dernier vient s'engager sous le véhicule, mais sortant le long de la face interne des roues, lorsque les bras fixes viennent en contact avec la face externe des mêmes roues, ce contact ayant pour effet d'arrêter la translation du chariot, laquelle translation est reprise en sens inverse, lorsque les bras mobi- les sont arrêtés en fin de course, cette dernière translation s'arrêtant lorsque le véhicule est garé en fond de loge.
Dans une forme de réalisation particulière de l'invention, le nombre d'ascenseurs de descente, ou de montée et de descente, est doublé ou triplé pour pouvoir augmenter le nombre d'étages sans augmenter le temps d'attente de mise à disposition d'un ascenseur. Dans ce cas, la cage centrale d'ascenseur est flan- quée d'une ou de deux cages latérales. Chaque ascenseur ne dessert qu'un certain nombre d'étages; l'ascenseur central de servant, par exemple, les six premiers étages, celui de gauche montant d'une traite au septième étage et desservant du septième au douzième étage, enfin celui de droite montant d'une traite au trei- zième étage et desservant du treizième au dixhuitième étage., De même pour la des- cente.
Cette réalisation fait de nouveau appel, pour les ascenseurs latéraux, à la sortie latérale de l'ascenseur, les rouleaux correspondants étant cette fois automoteurs ou munis d'un tapis roulant ou encore mûs par le système de mise en rotation des rouleaux décrit.' plus loin.
Dans une autre forme de réalisation de l'invention, le ou les ascen- seurs desservant le garage sont commandés par le conducteur du véhicule transpor- té, au moyen d'un tableau de commande mis à sa portée sans qu'il doive pour cela sortir de son véhicule si celui-ci se trouve dans la position voulue dans la ca- bine.
Dans une forme de réalisation avantageuse de l'invention, une série de contacteurs spéciaux sont disposés dans les loges de parcage et leur circuit est rélié aux circuits de commande de l'ascenseur de telle sorte que, suite à l'actionnement du bouton "montée" par l'usager, l'ascenseur monte automatiquement et s'arrête au niveau où une loge est libre, auquel niveau, de préférence, la por- te de l'ascenseur s'ouvre automatiquement, porte latérale si une loge latérale est libre, porte vers le couloir si c'est une autre loge.
Dans une forme perfectionnée de la dernière réalisation, l'ouverture de la porte latérale met en mouvement le petit chariot qui vient automatiquement opérer le mouvement de parcage latéral de la voiture.
Dans une autre réalisation, entièrement automatique, la voiture, en sortant de l'ascenseur, passe sur un contact électrique qui referme la porte et renvoie l'ascenseur au rez-de-chaussée, lorsque la voiture a complètement dégagé l'ascenseur.
Dans une autre forme de réalisation de l'invention, les rouleaux sont mis en rotation par une courroie sans fin, placée en-dessous desdits rouleaux et serrée entre eux et des galets auxiliaires. Une courroie fait tourner les rouleaux du couloir, une autre ceux de la loge de gauche et une troisième ceux de la loge de droite. Un seul moteur fait mouvoir, dans le sens convenable, la courroie cen- trale et, en même temps, par un jeu d'embrayages, soit la courroie de gauche, soit la courroie de droite.
D'autres détails et particularités de l'invention ressortiront de la description donnée ci-après, à titre d'exemple non limitatif, de diverses formes
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de réalisation de l'objet de l'invention, en se référant aux dessins annexés, dans lesquels :
Les figures 1 et 2 sont des vues en élévation et en plan d'un garage à 7 niveaux avec ascenseur centrale suivant une forme de l'invention.
La figure 3 représente une coupeau droit d'un transporteur,à tra- vers un couloir du garage représenté aux figures 1 et 2 Les figures 4 et 5 re- présentent, respectivement en coupe et en plan, la partie principale du cadre et du transporteur suivant l'invention.
La figure 6 représente en plan la partie principale du plancher de l'ascenseur et de la loge latérale, ainsi que le chariot de déplacement transver- sal, du garage représenté aux figures 1 et 2
La figure 7 représente le schéma électrique du dispositif de montée automatique de l'ascenseur à l'étage où une loge est libre.
La figure 8 est une élévation schématique d'un garage à 18 niveaux, avec ascenseurs centraux et latéraux, suivant une autre forme de l'invention.
La figure 9 est une vue en coupe du dispositif de mise en rotation des rouleaux par courroie inférieure, suivant l'invention.
La figure 10 représente le schéma électrique dudit dispositif.
La figure 2, qui correspond à l'élévation représentée à la figure 1, représente schématiquement, en plan, tous les éléments d'un étage quelconque d'un garage suivant une première forme de l'invention.
Ce garage est symétrique par rapport au plan vertical passant par l'a-
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zie longitudinal du couloir de circulation ¯1 des véhicules, si tué'"a. chaque étage et à chaque extrémité duquel débouche un ascenseur 2; ledit couloir est bordé de chaque côté de loges de parcage 3 l'autre côté de chaque loge étant bordé par un couloir 4 de circulation des piétons, ledit couloir 4 étant dessservi par des as- censeurs 5 pour piétons (à noter que ces ascenseurs 2, au nombre de 4 sur la fi- gure, peuvent être réduits à 2, un par couloir).
Des transporteurs à rouleaux 6 coupent transversalement le couloir et les loges. Ils sont continus d'une loge à la loge opposée, sauf, évidemment, au droit des ascenseurs 20
Des cadres 7, réunis par un longeron; ¯8 et mûs transversalement par une vis sans fin ou un câble sans fin 9 sont posés sur les transporteurs, dans le couloir, prêts à entraîner un véhicule dans la loge qu'ils desservent.
Ces transporteurs et cadres sont représentés en détail aux figures 3 à 5
Les transporteurs se composent de rouleaux 10 disposés, par l'inter- médiaire de tourillons 11, entre des longerons cornières 12 dans lesquels tournent les tourillonso Le coté du cadre, venant s'appliquer contre la face interne des roues, est un fer rond 13 un peu plus. long que les rouleaux et recourbé à ses ex- trémités de manière à figurer une sorte.¯ .de U renversé, très long et à branches très courtes, chevauchant le transporteur.
Les branches de cet U sont recourbées à leur tour de sorte que leurs extrémités, parallèles aux rouleaux, reposent constamment sur les tranches des longerons 12 du transporteur. Lesdites tranches sont profilées en forme d'encoche à l'endroit voulu, de manière à ce que, au repos,- en position d'attente d'une voi- ture à garer, le fer 13 descende au niveau des rouleaux pour ne pas gêner le mou- vement de translation de la voiture entraînée par les cadres situés de l'autre
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côté de l'axe du couloir.En'popmidinoeleCtràva.prlcanre lorsqué.Rl ;
cadé,e7.éplace vers la loge qu'il dessert, les extrémités du fer 13 remontent le long de l'enco- che et relèvent suffisamment la partie active de ce fer 13 pour qu'elle s'appli- que contre la'face interne de la roue et entraîne celle-ci, ainsi que la voiture, dans le mouvement de parcage transversal.
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Ce fer 13 est fixé par ses extrémités à deux bielles 14 articulées au longeron 8 commun aux deux cadres et constitué, par exemple, d'un fer cornière.
Ce longeron 8 glisse également, par l'intermédiaire de roulettes, sur la tranche des longerons 12 et est entraînée suivant l'axe transversal de la loge, par un système à vis ou à câble sans fin, connu et non représenté.
Le mouvement de commande du déplacement des cadres s'opère au moyen d'un contacteur 15 disposé sur un montant 16 fixé au longeron 8 Des plaques de béton armé 17 (ou de tout autre matériau), reposant sur l'aile des longerons 12 et sur les maîtresses-poutres 18,ferment les vides entre les transporteurs.
Au droit des ascenseurs, les transporteurs sont évidemment en trois pièces et les cadres sont remplacés par des chariots plats 19 représentés à plus grande échelle à la figure 6. ' Ces chariots 19 se composent essentiellement d'une 'boite plate 20 se terminant par des bras fixes 21 du côté de la loge et contenant deux bras 22, mobiles, pouvant sortir de la boite de manière à venir en position symétrique de celle des bras fixes 21 de l'autre côté. Cette boite est guidée par un manche 23, suffisamment long pour que, lorsque la boite est en position ex- trême dans l'ascenseur, l'extrémité dudit manche 23 soit encore dans la loge, la- dite extrémité étant raccordée au système de translation à vis ou câble sans fin qui ne peut évidemment pas empièter sur la cage d'ascenseur.
Ladite boite est supportée par une série de roulettes, les unes, à la racine des bras fixes, rou- lent sur la tranche des longerons de transporteurs 12, tandis-que les autres, à l'extrémité du manche 23, roulent sur un rail de guidage fixé au plancher de la loge. Les bras extensibles 22 sont constitués d'un tube muni à son extrémité, côté boîte, d'un écrou intérieur dans lequel peut tourner une tige filetée 24 mise en rotation par un moteur électrique 25 situé dans la boîte.
Sur toute la longueur de la face, côté roue, des bras fixes 21 est fi- xé un contacteur 26 (simple câble contacteur par exemple) qui, lorsqu'il est ac- tionné par le contact avec la roue, arrête la translation du chariot et démarre le moteur 25. Ledit moteur 25 s'arrête et renverse le sens de ses connexions (pour être prêt à rentrer les bras lors du prochain démarrage), lorsque les bras 22 sont complètement sortis, ceci s'effectue aisément-par l'intermédiaire dun con tacteur de fin de course desdits bras 22. Cette fin de course des bras 22 redé- marre également, en sens inverse le mouvement de translation du chariot.
Ce der- nier mouvement de translation s'arrête lorsque la voiture arrive en'fond de loge et reste bloqué jusqu'à ce que la taxe de parcage, proportionnelle au temps de parcage si on emploie le parcmètre cité ci-dessus, ait été acquittée. La pres- sion, par l'usager qui vient reprendre sa voiture, du bouton "sortie" fait alors arriver l'ascenseur et démarrer dans le bon sens le chariot pour lui faire rame- ner la voiture dans l'ascenseur. La fin de ce mouvement met en route le moteur 25 qui rétracte les bras 22 dont la fin de course a pour effet de ramener le chariot dans la loge, fermer la porte de l'ascenseur et faire descendre ce dernier au rez-de-chaussée.
La figure 7 représente le schéma électrique qui traduit les circuits des organes qui ont pour but de permettre la montée automatique de l'ascenseur à l'étage où il y a au moins une loge libre, lorsque l'usager, après avoir arrêté sa voiture dans l'ascenseur, appuie sur le bouton "montée".
Des contacteurs 27 sont placés de telle sorte que lorsque la loge est occupée leurs contacts soient dans une certaine position et en position opposée lorsque la loge est vide. Ces contacteurs ont chacun deux contacts: les premiers, montés en série pour tous les contacteurs d'un même étage, sont fermés lorsque la loge est occupée, tandis-que les seconds, montés en parallèle pour tous les con tacteurs d'un même étage, sont fermés lorsque le box est libre. La chaîne des premiers alimente, à travers un contact d'auto-rupture, la bobine 28 d'un relais dont le contact principal commande le circuit de montée de l'ascenseur à l'étage considéré. La chaîne des seconds alimente, également à travers un contact d'auto- rupture, la bobine opposée 29 du même relais.
Le contact principal, et donc le cir-
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.'suit de montée, est ouvert lorsque la bobine 28 est alimentée, il est fermé lors- que la bobine 29 est alimentée. Ainsi, aussi longtemps qu'il reste une seule lo- ge libre à l'étage considéré, le contact principal et le circuit de montée res- tent fermés et lorsque l'usager appuie sur le bouton "montée" de l'ascenseur, ce dernier monte à l'étage en question.
Mais aussitôt que la dernière loge- est oc- cupée, le premier contact du contacteur 27 se ferme, ce qui alimente la bobine 28 qui, à son tour, ouvre le contact principal et donc le circuit de montée; en même temps, la bobine 28 ferme le contact d'auto-rupture alimentant la bobine 29 qui est, dés lors, prête à renverser la position des contacts du relais dés qu'une loge sera à nouveau libre, et alors seulement, grâce aux seconds contacts branchés en parallèle, des contacteurs 27
Lorsque le nombre d'étages augmente, le nombre d'usagers à desservir- par le même ascenseur augmente évidemment proportionnellement de sorte que, pour un certain nombre d'étages, on arrive à des temps d'attente prohibitifs.
Le dispositif, représenté en élévation schématique à la figure 8 obvie à cet inconvénient.
Profitant de l'idée de sortie latérale de l'ascenseur, on a disposé un ascenseur supplémentaire, à sortie latérale exclusivement, de part et d'autre de l'ascenseur central habituel. Chaque ascenseur ne dessert que le tiers des niveaux du garage de sorte qu'on peut tripler sans inconvénient le nombre de ces niveaux.
Dans le garage suivant la figure 8, l'ascenseur de gauche ne s'arrê- te pas du premier au septième niveau et dessert, latéralement exclusivement, les niveaux sept à douze. L'ascenseur central,à sortie exclusivement longitudinale, dessert les six premiers niveaux; l'ascenseur de droite, enfin, ne s'arrête pas du premier au troisième niveau et dessert, latéralement exclusivement, les ni- veaux treize à dix-huito
Dans certains cas on ne désire pas utiliser les cadres ou le chariot plat pour assurer le mouvement de parcage transversal. On utilise alors soit des bandes transporteuses, bien connues, soit le dispositif, plus efficient car ne faisant tourner qu'un rouleau à la fois, représenté à la figure 9 et dont le sché- ma électrique est représenté à la figure 10.
Ce dispositif se présente comme suit:
Une extrémité de l'axe des rouleaux 30 repose avec un léger jeu verti- cal dans son logement. De ce côté, le rouleau repose lui-même, par l'intermédiai- re d'une courroie sans fin 31, sur un galet 32; de cette manière, lorsque une roue repose sur le rouleau, la courroie est serrée entre le rouleau et le galet et, si la courroie est en mouvement, elle entraîne la rotation du rouleau, ce qui, de proche en proche, déplace latéralement la voiture. Un moteur 33 entraîne la courroie par l'intermédiaire d'une transmission 34 et d'une poulie 35
Un frein 36, commandé par un dispositif électrique 37 peut la blo- quer
Une deuxième transmission 38, entraînée par un embrayage 39 relié à
33 et commandé par un dispositif électrique 40, met de la même manière en mouve- ment la poulie 41la courroie 42,
qui peut être bloquée par un frein 43 commandé par un dispositif électrique 44 et enfin les rouleaux de la loge,de gaucheo
Du côté droite, où tout est symétrique au côté gauche et n'a donc plus été représenté, la courroie est tendue sur une poulie 45 dont l'axe est relié à un embrayage 46 commandé par un dispositif électrique 470 L'embrayage 46 entraî- ne, par l'intermédiaire d'une transmission, la poulie 48, la courroie 49 et les rouleaux du box de droite.
La courroie 49 peut être bloquée par un frein 50 commandé par un dis- positif électrique 51
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Les axes de 35 41 et 48, sont prolongés pour mettre le transporteur arrière en synchronisme avec le transporteur avant.
Le fonctionnement semi-automatique, assuré par les organes auxiliai- res décrits ci-dessous, est le suivant: Un contacteur 52 est fixé à un des deux montants encadrant la loge de gauche.
Lorsque l'usager a arrêté sa voiture en face de la loge, il va pousser sur le bou- ton du contacteur 52 et une impulsion de courant est envoyée dans les circuits suivants:
I) le circuit de la bobine 53 du relais de renversement de marche du moteur 33
2) le circuit de la bobine 54 d'un relais auxiliaire décrit plus loin,
3) le circuit de la bobine 55 du relais d'alimentation du moteur 33 et du dispositif 37 de déblocage du frein 36, enfin 4) le circuit de la bobine 56 d'alimentation du dispositif 44 de déblocage du frein 43 et de la commande 40 de l'embrayage 39
La voiture se met donc en mouvement de droite à gauche jusqu'à ce que ses roues de gauche viennent buter contre une traverse longitudinale 57 fixée, avec un léger jeu élastique, au fond de la loge.
Derrière cette traverse 57 est fixé un contacteur tripolaire 58 dont la tête de commande s'appuie contre 57 de sorte que lorsque les roues butent contre 57 une impulsion de courant est envoyée dans les circuits reliés à 58 Cette tête de commande actionne le contacteur par l'intermédiaire d'un échappement de sorte que seul son mouvement de droite à gauche actionne le contaoteur, son mouvement de gauche à droite, lors de la sor- tie de la voiture, ne pouvant donner lieu à aucune impulsion.
Donc, lorsque la voiture arrive en fond de loge, une impulsion de cou- rant est envoyée dans les circuits suivants: le circuit de la bobine 59 qui coupe l'alimentation de 33 et bloque 36; le circuit de la bobine 60 qui bloque 43 et débraie 39; enfin le circuit de la bobine 61 d'un relais auxiliaire qui empêche de débloquer 43 et d'embrayer 39 aussi longtemps qu'un courant de déblocage (éma- nant du paromètre après paiement si ce dernier est utilisé, ou d'une source quel- conque dans le cas opposé) n'a pas été envoyé dans l'autre bobine 62 de ce relais auxiliaire.
Pour sortir la voiture de la loge, après que, par suite du paiement au parcmètre, ou par un autre système, le courant de déblocage ait circulé dans la bobine 62 et ait donc fermé les contacts du relais auxiliaire 61 - 62 l'usager pousse sur le bouton d'un contacteur de sortie 63 et une impulsion de courant est envoyée dans les circuits suivants :
1) celui de la bobine 64 du rèlais auxiliaire dont l'autre bobine 54 a été citée ci-dessus,
2) celui de la bobine 65 de renversement de marche du moteur 33;
3) celui de la bobine 55 d'alimentation de 33 et de déblocage de 36 (ce circuit-ci n'est alimenté que si le relais auxiliaire le permet); enfin, le circuit de la bobine 56 de déblocage de 43 et d'embrayage de 39 (ce circuit-ci également n'est alimenté que si le relais auxiliaire est en bonne position).
La voiture se met donc en mouvement de gauche à droite jusqu'à ce que les contacteurs 66 et 67 branchés en série, aient envoyé une impulsion de courant
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dans 59 et 60 Ces contacteurs, contacts de repos et non de passagesont dispo- sés symétriquement par rapport à l'axe longitudinal du couloir, sous les rouleaux correspondants de manière à être actionnés par le poids de la roue sur le rou- leau.
Ainsi, à cause de la disposition symétrique, et du branchement en sé- rie ce n'est que lorsque la voiture sera dans l'axe que le mouvement s'arrêtera.
La voie c.à.d la distance entre les deux roues d'un même essieu, n'étant pas la même pour toutes les voitures, il y aura;-:plusieurs contacteurs 66 d'un côté de l'axe et plusieurs contacteurs 67 de l'autre côté, tous ces contacteurs étant branchés symétriquement en série parallèle Ils sont alimentés par le contact du relais auxiliaire dont la bobine 64, alimentée par les contacteurs 63,ou 68 au début du mouvement de sortie de la loge établit le contact ; etdont la bobine 54 alimentée par les contacteurs 52 ou 69 au début du mouvement d'entrée dans la loge, rompt le contact.
Les contacteurs 68 et 69 qui viennent d'être cités, sont les équiva- lents, pour la loge de droite, des contacteurs 52 et 63 de la loge de gauche. Les mouvements d'entrée et de sortie relatifs à cette loge, se passent exactement de la même manière que pour la loge de gauche et le texte explicatif ci-dessus peut être intégralement répété, à condition de remplacer droite par gauche et gauche par droite,52 par 69 63 par 68, 56 par 70, 44 par 5143 par 50 40 par 47, 39 par 46, 57 par 71 58 par 72, 60 par 73 61 par 74 et enfin, 62 par 75
Il doit être entendu que l'invention n'est nullement limitée aux formes de réalisation décrites ci-avant et que bien des modifications peuvent être appor- tées sans sortir du cadre du présent brevet.
REVENDICATIONS.
1. - Dispositif pour le parcage d'automobiles caractérisé en ce que la voie de circulation des automobiles est coupée par des couples de transporteurs à rouleaux dont le premier supporte les roues avant et le second les roues arriè- re du véhicule de manière à permettre le déplacement latéral dudit véhicule vers l'emplacement de parcage bordant latéralement ladite voie de circulation.
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The present invention relates to a device making it possible to significantly reduce the area of land occupied by parking garages and, without causing complications as costly and delicate as in automatic parking lots of the American type, to operate them without any personnel, if control and acceptance are ensured by a parking meter similar to that described in the Belgian patent of the same inventor, filed on 12/21/57., under number 445179-
The device according to the invention essentially consists of two roller conveyors, arranged transversely in the vehicle traffic lane, at a distance such that the front wheels of the vehicle to be parked rest on one and the rear wheels. on the other, said carriers extending,
in the parking spaces bordering, on one or both sides, said traffic lane, of sufficient length to allow complete clearance of said traffic lane.
In some embodiments of the invention, the rollers are very close to each other and directly support the vehicle; in other embodiments, the rollers are spaced apart and support a conveyor belt which in turn supports the vehicle.
In an advantageous embodiment of the invention, the transverse movement of the vehicle on the rollers is ensured by frames rolling on the side members of the carriers, having a length a little greater than the width of said carriers and sufficiently wide to be able to frame. with ease one wheel of the vehicle stopped on said carriers;
said frames are coupled in pairs by a longitudinal spar disposed on the side of the garage location and are driven by a motor, via a screw or an endless cable, for example, in a movement translation parallel to the transporters and of sufficient amplitude to ensure the transverse parking movement of the vehicle driven by the side members of the frames located closest to the longitudinal axis of the traffic lane, said side members pressing against. the internal face of the wheels located on the side of the garage space and obliging them to follow the movement as well as the vehicle itself.
In the case where the traffic lane is bordered on both sides by parking spaces, said side members can, in the standby position, disappear between two rollers thanks to a notch made in the side members of the roller conveyors and thanks to a joint to the spar common to the front and rear frames; this allows the wheels on the side furthest from the garage location to easily disengage from their frames, which remain in place until another car arrives to be parked at the location served by the garage. these latter frames.
In a preferred embodiment of the invention, the return movement of the frames to the traffic lane, and therefore the release of the vehicles, is made impossible as long as the parking fee has not been paid; this is achieved in a particularly easy way by the parking meter mentioned above. In another preferred embodiment of the invention, the lateral movement is controlled by a button placed within easy reach of the driver of the vehicle, on an upright integral with the frame, which allows very rapid release from the lane. circulation by the vehicle to be parked.
In a particularly advantageous embodiment of the invention, the garage is constituted by a multi-storey building, each storey consisting of a circulation corridor bordered, on one or both sides, by a series of lodges. identical yardage. An elevator, located in the axis of the corridors, at one end of these, lifts the vehicles from the ground floor, and, preferably, another elevator, at the other end of the corridors, lower the vehicles after parking.
An improvement of this last embodiment of the invention consists in also providing the lateral exit of the vehicles out of the asoen-
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seurs by providing the latter with roller conveyors similar to those in the corridors as well as side doors and by arranging, on one or each side of the elevator shafts, parking boxes similar to the others. The lost positions on either side of the elevator shafts are thus fully utilized.
In this embodiment, the frames are replaced by very flat trolleys, rolling between the carriers, entering the elevator, under the vehicle to be parked and between its wheels, provided with two fixed arms on the side of the lodge and two movable arms on the other side, said mobile arms being retracted into the carriage when the latter engages under the vehicle, but exiting along the internal face of the wheels, when the fixed arms come into contact with the external face of the same wheels , this contact having the effect of stopping the translation of the carriage, which translation is resumed in the opposite direction, when the movable arms are stopped at the end of their travel, this latter translation stopping when the vehicle is parked at the bottom of the compartment. .
In a particular embodiment of the invention, the number of descent, or ascent and descent elevators, is doubled or tripled in order to be able to increase the number of floors without increasing the waiting time for the provision of 'an elevator. In this case, the central elevator shaft is flanked by one or two side shafts. Each lift serves only a certain number of floors; the central elevator serving, for example, the first six floors, the one on the left rising straight up to the seventh floor and serving from the seventh to the twelfth floor, finally the one on the right rising straight up to the thirteenth floor and serving from the thirteenth to the eighteenth floor., Likewise for the descent.
This embodiment calls again, for the lateral elevators, at the lateral exit of the elevator, the corresponding rollers this time being self-propelled or provided with a conveyor belt or even driven by the system for setting the rollers in rotation described. further.
In another embodiment of the invention, the elevator (s) serving the garage are controlled by the driver of the vehicle being transported, by means of a control panel placed within his reach without his having to do so. get out of your vehicle if it is in the desired position in the cabin.
In an advantageous embodiment of the invention, a series of special contactors are arranged in the parking compartments and their circuit is linked to the elevator control circuits so that, following the actuation of the "up" button "by the user, the elevator rises automatically and stops at the level where a box is free, at which level, preferably, the door of the elevator opens automatically, side door if a side box is free , door to the hallway if it's another lodge.
In an improved form of the last embodiment, the opening of the side door sets in motion the small trolley which automatically operates the lateral parking movement of the car.
In another, fully automatic embodiment, the car, on exiting the elevator, switches to an electrical contact which closes the door and returns the elevator to the ground floor, when the car has completely cleared the elevator.
In another embodiment of the invention, the rollers are rotated by an endless belt, placed below said rollers and clamped between them and auxiliary rollers. A belt spins the rollers in the hallway, another those in the left lodge and a third those in the right lodge. A single motor moves, in the proper direction, the central belt and, at the same time, by a set of clutches, either the left belt or the right belt.
Other details and features of the invention will emerge from the description given below, by way of nonlimiting example, of various forms.
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embodiment of the object of the invention, with reference to the accompanying drawings, in which:
Figures 1 and 2 are elevation and plan views of a 7-storey garage with central elevator according to one form of the invention.
Figure 3 shows a straight section of a conveyor, through a corridor of the garage shown in Figures 1 and 2 Figures 4 and 5 show, respectively in section and in plan, the main part of the frame and the conveyor according to the invention.
Figure 6 shows in plan the main part of the floor of the elevator and of the side box, as well as the transverse trolley, of the garage shown in Figures 1 and 2
FIG. 7 represents the electrical diagram of the device for automatically raising the elevator to the floor where a lodge is free.
Figure 8 is a schematic elevation of an 18-storey garage, with central and side elevators, according to another form of the invention.
FIG. 9 is a view in section of the device for rotating the rollers by means of a lower belt, according to the invention.
FIG. 10 represents the electrical diagram of said device.
Figure 2, which corresponds to the elevation shown in Figure 1, shows schematically, in plan, all the elements of any floor of a garage according to a first form of the invention.
This garage is symmetrical with respect to the vertical plane passing through the a-
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longitudinal zie of the traffic lane ¯1 for vehicles, if killed '"a. each floor and at each end of which a lift 2 opens; said lane is bordered on each side by parking boxes 3, the other side of each box being bordered by a pedestrian circulation corridor 4, said corridor 4 being served by pedestrian lifts 5 (note that these lifts 2, 4 in number in the figure, can be reduced to 2, one per corridor) .
Roller conveyors 6 transversely cut the corridor and the boxes. They are continuous from one box to the opposite box, except, of course, to the right of the elevators 20
Frames 7, joined by a spar; ¯8 and moved transversely by a worm or an endless cable 9 are placed on the carriers, in the corridor, ready to drive a vehicle into the lodge they serve.
These carriers and frames are shown in detail in Figures 3 to 5
The conveyors consist of rollers 10 arranged, through the intermediary of journals 11, between angle spars 12 in which the journals rotate. The side of the frame, which comes to rest against the internal face of the wheels, is a round iron 13 a bit more. as long as the rollers and curved at its ends so as to form a sort of inverted U, very long and with very short branches, overlapping the conveyor.
The branches of this U are curved in turn so that their ends, parallel to the rollers, constantly rest on the edges of the side members 12 of the conveyor. Said edges are profiled in the form of a notch at the desired location, so that, at rest, - in the waiting position of a car to be parked, the iron 13 descends to the level of the rollers so as not to impede the translational movement of the car driven by the frames located on the other
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side of the corridor axis.En'popmidinoeleCtràva.prlcanre quandqué.Rl;
cadé, e7 moved towards the box which it serves, the ends of the iron 13 go up along the notch and raise the active part of this iron 13 sufficiently so that it is applied against the face. internal wheel and drives it and the car in the transverse parking movement.
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This iron 13 is fixed by its ends to two connecting rods 14 articulated to the spar 8 common to the two frames and consisting, for example, of an angle iron.
This spar 8 also slides, by means of rollers, on the edge of the spars 12 and is driven along the transverse axis of the compartment, by a screw or endless cable system, known and not shown.
The movement for controlling the movement of the frames is effected by means of a contactor 15 arranged on an upright 16 fixed to the spar 8 Reinforced concrete plates 17 (or any other material), resting on the wing of the spars 12 and on the main beams 18, close the voids between the carriers.
At the elevators, the carriers are obviously in three parts and the frames are replaced by flat carriages 19 shown on a larger scale in Figure 6. 'These carriages 19 consist essentially of a' flat box 20 ending in fixed arms 21 on the side of the box and containing two arms 22, movable, which can come out of the box so as to come into a position symmetrical to that of the fixed arms 21 on the other side. This box is guided by a handle 23, long enough so that, when the box is in the extreme position in the elevator, the end of said handle 23 is still in the compartment, said end being connected to the translation system. screw or endless cable which obviously cannot encroach on the elevator shaft.
Said box is supported by a series of rollers, some, at the root of the fixed arms, roll on the edge of the carrier beams 12, while the others, at the end of the handle 23, roll on a rail. guide fixed to the floor of the lodge. The extendable arms 22 consist of a tube provided at its end, on the box side, with an internal nut in which can turn a threaded rod 24 rotated by an electric motor 25 located in the box.
Over the entire length of the face, on the wheel side, of the fixed arms 21 is fixed a contactor 26 (single cable contactor for example) which, when actuated by contact with the wheel, stops the movement of the carriage. and starts the motor 25. Said motor 25 stops and reverses the direction of its connections (to be ready to retract the arms on the next start-up), when the arms 22 are completely out, this is done easily. intermediary of a limit switch of said arms 22. This limit switch of the arms 22 also restarts, in the reverse direction, the translational movement of the carriage.
This last translational movement stops when the car reaches the back of the lodge and remains blocked until the parking charge, proportional to the parking time if the parking meter mentioned above is used, has been paid. . Pressing the "exit" button by the user coming to pick up his car then causes the lift to arrive and start the trolley in the right direction to bring the car back into the lift. The end of this movement starts the motor 25 which retracts the arms 22 whose limit switch has the effect of bringing the carriage back into the lodge, closing the door of the elevator and lowering the latter to the ground floor. .
Figure 7 represents the electrical diagram which shows the circuits of the components which aim to allow the automatic rise of the elevator to the floor where there is at least one free box, when the user, after having stopped his car in the elevator, press the "up" button.
Contactors 27 are placed such that when the well is occupied their contacts are in a certain position and in the opposite position when the well is empty. These contactors each have two contacts: the first, connected in series for all the contactors on the same floor, are closed when the compartment is occupied, while the second, connected in parallel for all the contactors on the same floor , are closed when the box is free. The chain of the first feeds, through a self-breaking contact, the coil 28 of a relay, the main contact of which controls the circuit for raising the elevator to the floor in question. The chain of seconds feeds, also through a self-breaking contact, the opposite coil 29 of the same relay.
The main contact, and therefore the cir-
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As a result of rising, is open when the coil 28 is energized, it is closed when the coil 29 is energized. Thus, as long as there is only one free room on the floor in question, the main contact and the up circuit remain closed and when the user presses the "up" button of the elevator, this last goes up to the floor in question.
But as soon as the last slot is occupied, the first contact of contactor 27 closes, which powers coil 28 which, in turn, opens the main contact and therefore the rise circuit; at the same time, the coil 28 closes the self-breaking contact feeding the coil 29 which is, therefore, ready to reverse the position of the relay contacts as soon as a compartment is free again, and only then, thanks to the second contacts connected in parallel, contactors 27
When the number of floors increases, the number of users to be served by the same lift obviously increases proportionally so that, for a certain number of floors, one arrives at prohibitive waiting times.
The device, shown in schematic elevation in FIG. 8 obviates this drawback.
Taking advantage of the idea of a side lift exit, an additional lift, with side exit only, has been placed on either side of the usual central lift. Each elevator only serves one third of the garage levels so that the number of these levels can be tripled without inconvenience.
In the garage according to FIG. 8, the left elevator does not stop from the first to the seventh level and serves, laterally exclusively, levels seven to twelve. The central elevator, with an exclusively longitudinal exit, serves the first six levels; the elevator on the right, finally, does not stop from the first to the third level and serves, laterally exclusively, levels thirteen to eighteen.
In some cases it is not desired to use the frames or the flat cart to ensure the transverse parking movement. We then use either conveyor belts, well known, or the device, more efficient because only rotating one roller at a time, shown in Figure 9 and whose electrical diagram is shown in Figure 10.
This device is as follows:
One end of the axis of the rollers 30 rests with slight vertical play in its housing. On this side, the roller itself rests, by the intermediary of an endless belt 31, on a roller 32; in this way, when a wheel rests on the roller, the belt is clamped between the roller and the roller and, if the belt is in motion, it causes the roller to rotate, which gradually moves the car sideways . A motor 33 drives the belt via a transmission 34 and a pulley 35
A brake 36, controlled by an electric device 37 can block it.
A second transmission 38, driven by a clutch 39 connected to
33 and controlled by an electrical device 40, in the same way sets the pulley 41 in motion the belt 42,
which can be blocked by a brake 43 controlled by an electric device 44 and finally the rollers of the box, from the left.
On the right side, where everything is symmetrical to the left side and has therefore no longer been shown, the belt is stretched over a pulley 45 whose axis is connected to a clutch 46 controlled by an electric device 470 The clutch 46 drives ne, via a transmission, the pulley 48, the belt 49 and the rollers of the box on the right.
The belt 49 can be blocked by a brake 50 controlled by an electric device 51
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The axles, 41 and 48, are extended to bring the rear conveyor in synchronism with the front conveyor.
The semi-automatic operation, provided by the auxiliary components described below, is as follows: A contactor 52 is attached to one of the two uprights surrounding the left compartment.
When the user has stopped his car in front of the lodge, he will push the button of switch 52 and a current pulse is sent in the following circuits:
I) the coil 53 circuit of the motor reversal relay 33
2) the circuit of the coil 54 of an auxiliary relay described later,
3) the circuit of the coil 55 of the power supply relay of the motor 33 and of the device 37 for releasing the brake 36, finally 4) the circuit of the coil 56 for supplying the device 44 for releasing the brake 43 and the control Clutch 40 39
The car therefore starts to move from right to left until its left wheels come up against a longitudinal cross member 57 fixed, with a slight elastic play, at the bottom of the box.
Behind this cross member 57 is fixed a three-pole contactor 58 whose control head rests against 57 so that when the wheels abut against 57 a current pulse is sent in the circuits connected to 58 This control head actuates the contactor by the 'intermediary of an exhaust so that only its movement from right to left actuates the switch, its movement from left to right, when leaving the car, cannot give rise to any impulse.
Therefore, when the car arrives at the bottom of the cabin, a current pulse is sent in the following circuits: the circuit of the coil 59 which cuts the supply of 33 and blocks 36; the circuit of the coil 60 which blocks 43 and disengages 39; finally the circuit of the coil 61 of an auxiliary relay which prevents unblocking 43 and engaging 39 as long as an unblocking current (coming from the parometer after payment if the latter is used, or from any source whatever. - any in the opposite case) has not been sent to the other coil 62 of this auxiliary relay.
To remove the car from the lodge, after, following payment at the parking meter, or by another system, the unlocking current has circulated in coil 62 and therefore has closed the contacts of auxiliary relay 61 - 62 the user pushes on the button of an output contactor 63 and a current pulse is sent in the following circuits:
1) that of the coil 64 of the auxiliary reel, the other coil 54 of which has been mentioned above,
2) that of the motor reversal coil 65 of 33;
3) that of coil 55 for supplying 33 and unblocking 36 (this circuit is only supplied if the auxiliary relay allows it); finally, the circuit of the 43 release coil 56 and the 39 clutch release (this circuit too is powered only if the auxiliary relay is in the correct position).
The car therefore begins to move from left to right until contactors 66 and 67 connected in series have sent a current pulse.
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in 59 and 60 These contactors, rest contacts and not passageways are arranged symmetrically with respect to the longitudinal axis of the corridor, under the corresponding rollers so as to be actuated by the weight of the wheel on the roller.
Thus, because of the symmetrical arrangement, and of the serial connection, it is only when the car is in the axis that the movement will stop.
The track i.e. the distance between the two wheels of the same axle, not being the same for all the cars, there will be; -: several contactors 66 on one side of the axle and several contactors 67 on the other side, all these contactors being connected symmetrically in parallel series They are supplied by the contact of the auxiliary relay whose coil 64, supplied by the contactors 63, or 68 at the start of the output movement of the compartment establishes the contact ; andwhose coil 54 supplied by contactors 52 or 69 at the start of the entry movement into the chamber, breaks the contact.
The contactors 68 and 69 which have just been mentioned are the equivalents, for the right compartment, of the contactors 52 and 63 of the left compartment. The entry and exit movements relating to this lodge take place exactly the same way as for the left lodge and the explanatory text above can be fully repeated, provided that right is replaced by left and left by right, 52 by 69 63 by 68, 56 by 70, 44 by 5143 by 50 40 by 47, 39 by 46, 57 by 71 58 by 72, 60 by 73 61 by 74 and finally, 62 by 75
It should be understood that the invention is in no way limited to the embodiments described above and that many modifications can be made without departing from the scope of the present patent.
CLAIMS.
1. - Device for parking automobiles characterized in that the automobile traffic lane is cut by pairs of roller conveyors, the first of which supports the front wheels and the second the rear wheels of the vehicle so as to allow the lateral displacement of said vehicle towards the parking location laterally bordering said traffic lane.