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Ori connaît des lampes de poche dans le bottier desquels sont prévus à la fois un accumulateur servant à l'alimentation de la source lumineu-
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se et un dispositif chargeur à redresseur, la lampe#cpoche étant équipée de contacts à fiche pour raoordement à une prise de courant sur secteur. Dans une forme de réalisation,levmontage du redresseur est prévu de telle façon que. pour l'abaissement de la tension du réseau à la tension nécesaire pour la charge, e on emploie des éléments qui provoquent un dégagement de chaleur correspondant. Cette production de chaleur est tellement grande que l'emploi de boîtiers en matière artificielle , tels qu'ils sont prévus aujourd'hui pour de telles lampes, ne peut être envisagé.
Suivant l'invention,on emploie un montage de redresseur d'un type tel que, pour l'abaissement de la' tension du réseau à la tension nécessaire pour la,
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charge,il est prévu. June--capaoité "ma.ntée en série aveo une r,6sistancedtcu à la rêsementionnée, il est possible de tirer une;tension alternative active, qui est redressée par le rédresseur principal,un-redresseux additionnel en dérivation se trouvant avantageusement en série avec la résistance et ayant uniquement pour rôle de protéger le redresseur principal de toute surtension
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nuisible lors de 3a .mise en circuit de la lampe.
Pour permettre une charge au réseau de bord d'un véhicule à moteur ou analogue, il est prévu, suivant un développement de l'idée inventive, de
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pouvoir munir la résistance d'amortissement d'une prise cte- nise en circuit pour la charge à partir du réseau de bord en question.
Po,ur éviter aux personnes sensibles le gênant phénomène dû au fait que, lors du contact des fiches de réseau, immédiatement après retrait de la prise de courant de charge, une décharge du condensateur peut être sentie pari,le corps, il peut encore être prévu, suivant l'invention, d'intercaler une résistance de décharge entre-'les deux pôles du réseau
Partant du fait connu que les récents redresseurs au sélénium ont des courants de blocage extrémement faibles, le montage peut encore, sui- vant l'invention, être modifié de telle façon que 1 'accumulateur soit connec- té de façon permanente au dispositif chargeur.
Ceci signifie que la lampe pourra par exemple éclairer même pendant la charge et que le commutateur sen-
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si'ble aux perturbations est évité.
Les contacts à fichée peuvent avantageusement dépasser du boîtier et, pour les couvrir, il est prévu un chapeau#Jprotection se raccordant sans transition au boîtier, les contacts à fiche étant prévus à l'extrémité du bottier à contours paraboliques et le chapeau formant le sommet des para- boles qui complète ledit boîtier.
Les dessins ci-annexés illustrent un exemple d'application de@l' invention.
La figure 1 est un schénadu montage ;
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la figure 2 représente la courbe d>allure sinusoïdale de la ten- sion et du courant déphasé en avant ; la figure 3 représente une coupe longitudinale suivant l'un des plans de symétrie de la lampe, le chapeau de fermeture étant dessiné en perspective , et -
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la fjglre 4 représente une coupe longitudinale -il anglè droit par rapport à la précédente:
Dans une forme de réalisation pratique de la lampe représentée aux figures 3 et 4, le boîtier a des contours approximativement paraboliques tant dans la vue de la figure 3 que dans celle de la figure 4.Dans sa par-
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tie principale, il est, comme on peut le voir à la figure 3y divisé en des-
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moitiés 61 et 62, qui sont maintenues assemblées au moyen de vis 67.
Dans une moyenne chambre sont prévus l'un à côté de l'autre une condensateur 43 et un accumulateur régénérable de faible puissance 11. Les deux redresseurs 23 et 52 dessinés dans le schéma (figure 1),sont prévus, dans la réalisation pra- tique, sous la forme d'un redreseur double 64. Dans l'exemple de réalisation représenté à la figure 4, on peut voir, dans la zone des extrémités, dépas- sant du 'bottier, des fiches 18b et 18c, une résistance de décharge 50 et une résistance 51.
Un interrupteur 57 est prévu à l'un des côtés du bottier et présente un bouton poussoir 571, l'interrupteur 57 étant connecté à un réflec- teur 66, qui est introduit dans les deux moitiés 61 et 62 du bottier, comme fermeture du côté de la lampe.La source de lumière, sous la forme de la lampe à incandescence 12, se trouve à l'extrémité antérieure du bottier, dans une monture appropriée 661 du réflecteur 66, qui est pourvu ,comme d'habitude, d'une lentille de recouvrement 65.
112 désigne le pôle positif de l'accumulateur 11, contre lequel s'applique une lame 230 du redresseur principal 23, dont l'extrémité exter- ne forme le contact inférieur pour la lampe à incandescence 12. Du redres- seur principal 23 part une connexion à la résistance 51, la connexion se poursuivant, de cette résistance, par l'intermédiaire du condensateur 43 à la fiche 18b. La déviation de l'interrupteur 57, quand le bouton poussoir 571 est actionné, entre en contact avec l'enveloppe de l'accumulateur, qui représente le pôle négatif 111 et est relié par un conducteur convenable à la fiche 18c, des raccordements allant du conducteur à la résistance de dé- charge 50 et au redresseur en dérivation 52.
Les fiches 18b et 18c dépassant d'une face frontale plane du bottier 61, 62 sont, comme on peut le voir aux figures 3 et 4, couvertes par un chapeau 68, fait en la même matière que le boîtier et complétant celui- ci de telle sorte qu'il comprenne le sommet des paraboles de contour.
A l'aide du schéma de la figure 1 et des courbes tension-courant de la figure 2, on comprendra le mode de fonctionnement de la lampe de poche décrite, avec dispositif de charge.
Par l'intermédiaire des fiches 18b et 18c,une tension alternati- ve monophasée se trouve à partie réseau du redresseur principal 23, qui est formé par le condensateur 43 et la résistance ohmique 51 et se trouve en série avec les fiches.
De la résistance 51, un courant correspondant va, en passant par le point 53, au redresseur principal 23 et, de celui-ci, au pôle posi- tif 112 de l'accumulateur 11, puisque l'interrupteur 57 est ouvert et que le circuit de la lampe, par la lampe 12, est ainsi interrompu. Du pôle négatif 111 de l'accumulateur 11, le retour se fait par les points 56 et 54 à la fiche 18c. Il se produit une petite dérivation vers la résistance 50, puisque celle-ci a une forte valeur ohmique.
Cette opération de redressement par le redresseur principal 23 se fait quand la demi-onde positive d'unepériode de la tension alternative s'applique comme valeur temporaire à la partie réseau et, par suite, à la résistance active 51 ,aucun courant ne pouvant passer du'point 53 en direc- tion du redresseur en dérivation 52, puisqu'il se trouve dans le sens de blocage. Si la demi-onde négative d'une période de la tension alternative se trouve à la.partie réseau et, par suite, à la résistance active 51, aucun courant ne peut passer du point 53 par le redresseur principal 23; il y a à celui-ci une tension de blocage, qui, dans le cas le plus déravorable, peut être de 310 V.
Cette pointe de tension est abaissée, d'une part, par la résistance 51 et, d'autre part, par le redresseur en dérivation 52,qui, dans ce cas, agit comme une soupape puisqu'au même moment s'y applique la
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demi-onde positive de la période de la tension alternative, qui empêche une surchage du redresseur principal 23. De cette manière, le redresseur en dé- rivation 52 protège le redresseur principal 23 de la surtension. La résistan- ce 51 empêche l'apparition de pointes de tension élevées aux redresseurs 23 et 52 et a additionnellement un effet amortisseur sur le courant au moment de la connexion.
Par le pointillé, on a indiqué un branchement sur la résistance
51, une partie de la résistance 51 et le condensateur 43 étant dans ce cas shuntés par des moyens de connexion non représentés, pour permettre le raccordement du dispositif au réseau de bord d'un véhicule à moteur ou ana- logue, au moyen de la fiche 18a comme pôle positif et de la fiche 18c comme pôle négatif.,
La résistance de décharge à grande valeur ohmique déjà mention- née, 50, connectée en parallèle aux fiches 18b et 18c, doit, lors du re- traitedes fiches du réseau, empêcher toute décharge éventuelle du condensa- teur parle corps.
Lors de l'emploi des récents redresseurs au sélénium, qui ont des courants de blocage relativement petits, l'accumulateur peut être raccordé de façon permanente au dispositif chargeur et la lampe peut éclairer de façon permanente également.
Pendant le fonctionnement, il ne se produit aux redresseurs 23 et 52 nue des tensions d'environ 2V. dans la direction @@ passage et de blo- cage. Les conditions sont toutefois autres lors de la connexion, eu égard au moment de celle-ci, comme on 'peut le voir, à la figure 2, par les moments de connexion tl, t2 et t3. Si la connexion se fait au moment t1, le courant saute immédiatement à la valeur de sommet I et c'est immédiatement l'état stationnaire, sans qu'une surchage ne se produise.
Lors de la connexion au moment t2 ,par contre, le courant est nul puisqu'à ce moment du fonctionnement, du/dt = 0 et Umax = 310 V. L'élé- vation de la tension se fait si rapidement sue le condensateur 43 représen- te pratiquement la valeur de résistance zéro.La résistance en série 51 re- çoit alors la pleine tension du réseau, tandis qu'à l'un des redresseurs 23 et 52 ne se produit que la chute de tension en direction du passage, qui représente en même temps, pour les autres redresseurs, la tension de blo- cage. Une surtension nuisible ne peut pas se produire aux deux redresseurs parce qu'à chaque moment de connexion, l'une des deux branches de redres- seurs est rencontrée dans le sens du passage.
Les mêmes)rapport s'avèrent si les moments de connexion.sont déplacés d'une demi-période ou de ses multiples. Si, pour la connexion on prend un moment se situant entre tl et t2, il apparaît une sollicitation accrue, qui devient d'autant plus grande que l'on se rapproche davantage du moment de connexion t2.
Si la branche du redresseur en dérivation 52 était remplacée par une résistance, cette résistance coopérerait avec la résistance en série comme réducteur de tension et, lors de la connexion au point t3. il se pro- duirait aux points 53 et 54 une tension élevée, dépassant 100 V., qui at- teindrait le redresseur 23 dansée sens du blocage. Mais ceci- est empêché efficacement par le redreseur en dérivation 52 remplaçant la résistance, qui fait dévier la surtension au moyen de sa résistance de passage. Seul @@ redresseur principal 23 agit comme redresseur de charge proprement dit, tandis que le redresseur en dérivation 52 a uniquement pour but de préserver le redresseur 23 des surtensions nuisibles lors de la rencontre défavora- ble d'un maximum de tension de réseau avec le sens de tension correspondart.
Comme redresseurs, on peut tout aussi bien employer les redres-
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seurs au sélénium connus que des diodes au germanium et, au lieu du redres- seur en dérivation 52, qui préserve le redressur principal 23 des surten- sions, on peut employer des varistors
L'emploi du condensateur 43 dans la partie réseau de l'agencement de redresseur s'accompagne encore d'un avantage en ce sens que l'effet de décalage de phase détermine une amélioration du cos.#.
L'invention s'applique non seulement aux lampes de poche mais aus- si à d'autres appareils consommateurs de courant de faible puissance avec batterie incorporée, tels que les appareils photographiques au magnésium, rasoirs et appareils du même genre=
REVENDICATIONS
1.Appareil consommateur de courant électrique de faible puissan- ce, en particulier lampe de poche, dans le 'bottier duquel sont prévus à la fois un accumulateur servant à l'alimentation de la source lumineuse et un disposi tif chargeur à redresseur, l'appareil étant pourvu de fiches pour son 'branchement dans uns prise de courant de réseau et étant caractérisé par un montage de redresseur d'un type tel que, pour la diminution de la tension du réseau à la tension nécessaire pour la charge, il est prévu une capacité (43) montée,
en série avec une résistance (51), d'où, à la résistance mention- née, il peut être pris une tension alternative active, qui est redressée par le redresseur (23).