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L'invention serapporte à un procédé pour la préparation d'un produit analogue au pain, à base de céréales.
Selon l'invention l'on commence par faire gonfler des céréales concassées avec de l'eau à 100 0 en remuant la masse tout en y mélangeant de l'air, en y supprimant toutes bactéries étrangères et en l'irradiant de lumière à ondes courtes. Comme seconde opération, de la farine, préalablement aspergée d'eau bouillante et irradiée de rayons ultra-violets, y est travaillée pour former une pâte que l'on soumet comme troisième opération à un procédé de fermentation tout en y ajoutant des phosphates.
Après terminaison de cette réaction,comme.,quatrième et cinquième opérations, l'on mélange cette pâte préliminaire à de la farine traitée comme à la seconde opéra- tion en y ajoutant encore des phosphates, on laisse fermenter à nouveau pour travailler ensuite la masse en pâte définitive que l'on soumet à la cuisson.
La fermentation se fait de préférence par l'adjonction de produits à l'acide lactique tels que le lait battu, le sucre de lait ou le petit-lait, mélangés de bactéries d'acide lactique. Après cette fermentation à l'acide lactique, on peut encore mélanger à la pâte une culture de collibacilles et c'est seulement après la désagrégation des céréales qui s'ensuit, que l'on peut procéder à la cuisson. Comme développement du système l'on peut pré- voir l'irradiation par de la lumière tant à ondes courtes qu'à ondes longues, c'est-à-dire une irradiation allant de l'infra-rouge à l'ultra-viotet.
Finalement, lorsque la fermentation se fait en présence de lumière à ondes longues, on peut procéder en ajoutant la culture d'acide lactique aux céréa- les concassées, irradiées et gonflées dans l'eau.
L'invention concerne donc un nouveau genre de pain, qui, par son mode particulier de fabrication, contient un pourcentage élevé d'hydrates de carbone décomposés.
Selon l'invention il devient possible, par un procédé de préparation et de décomposition scindé en plusieurs opérations, de produire à partir de graines de céréales entières broyées, un pain plus facilement et mieux assimilable par le système digestif humain. Par ce procédé de traitement et de décomposition l'on obtient une hydrolyse fort complète des éléments contenus dans les graines, tels que la cellulose, l'amidon et la protéine. La contenance en vitamines est très efficacement conservée et le produit fini en contient plus que du pain normal. Il est en outre fait usage de réactions bactérielles, "enzymatiques" et hydrolisantes par vapeur d'eau et élévation de la température. La cellulose et l'amidon sont décomposés en produits solubles dans des proportions totalement inconnues dans le pain ordinaire.
La forte proportion d'hydrates de carbone décomposés est un fait confirmé et pourrait fort bien entre autres être responsable du déséquilibre microbien (Disbakterie) dans le gros intestin, Pour éviter la détérioration trop forte du gluten, le nouveau procédé ne prévoit le traitement préalable de la totalité de l'albumine que pour autant qu'elle garde ses propriétés montantes en vue d'obtenir par après du pain d'un volume convenable. Ceci s'ob- tient comme suit : par exemple qu'on met à digérer pendant 10 heures dans un mélangeur de grande capacité, 200 kg de graines complètes concassées se composant de 80 kg de seigle, 70 kg d'avoine, 25 kg de froment et 25 kg d'orge, mélangés de 50 1 d'eau à 100 . Simultanément ce mélange se trouve aéré a l'aide d'air stérilisé et irradie par des rayons ultra-violets.
Pour le maintien de la température, il sera fait usage de mélangeurs à double paroi, c'est-à-dire équipé d'un dispositif de chauffage. Le fait que les produits se trouvent constamment remués pendant l'irradiation, compensera la faible pénétration inhérente aux rayons à ondes courtes. Dans l'exemple choisi, la transformation se complète par l'adjonction de 400 g d'une décoction qui se compose de décoctions de racines telles que carottes et panais, épinards (qui contiennent de l'acide tannique).; ainsi que de compositions de marjolaine, de baies de sureau, de menthe et d'autres épices du même genre.
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Pendant le repos qui suit cette opération et jusqu'à la fabrication de la pâte, toute fermentation étrangère doit être soigneusement évitée, car elle pourrait créer une flore de bactéries néfastes. Suite à cette première opération se fait la mouture des brisures dans les conditions mentionnées et l'adjonction de farine dans les proportions nécessaires à l'obtention d'une pâte, ladite farine ayant été préalablement aspergée d'eau bouillante et irradiée.de rayons ultra-violets. La préparation de la pâte se fait pratiquement à l'ébullition; la température pendant cette'opération ainsi que pendant celle qui précède et celle qui suit, ne peut descendre en dessous de
80 C.
Il est aussi particulièrement important de veiller à ce que cette mou- ture ne subisse pas d'infection; dans ce-but, il est préférable de travailler en vases clos ou ouverts.
L'opération suivante consiste en un procédé de fermentation avec adjonction progressive de la quantité requise de phosphates. Pour éviter la formation de ferments indésirables, il y a lieu de partager la masse de pâte en petites quantités. De cette manière, la fermentation sera interrompue dès qu'elle aura atteint le degré voulu. En moyenne le processus de fermen- tation dure environ trois heures.
Par suite, la pâte obtenue par les trois opérations précédentes est soumise à une quatrième opération. A cet effet, si les quantités fraction- naires de la pâte sont'de 1 kg, l'on y ajoutera 5 kg de farine irradiée'à la lumière à ondes courtes et'5 kg d'eau, puis l'on soumettra à nouveau le tout à une fermentation de quelque 4 heures. Au coursd'une cinquième opération, l'on répète l'opération mais avec de la farine préparée d'avance selon le pro- cédé de la deuxième opération. La manière de procéder et les quantités sont les mêmes que décrites ci-devant. Pendant cette dernière opération l'on peut derechef ajouter des phosphates.
Ce qui importe dans ce procédé, comme le montre l'exemple, est la digestion de brisures, l'élimination de toutes bactéries étrangères et la fer- mentation progressive en présence de phosphates ou d'extraits végétaux. La quantité d'eau ajoutée se règle d'après la consistance requise de la pâte.
Entre la quatrième et cinquième opération il faut permettre à la masse de se refroidir jusqu'à 40 C. En dehors de 1-'irradiation indispensable, aux rayons ultra-violets, de la farine à ajouter, on peut encore faire gonfler celle-ci pendant au moins 20 minutes à la vapeur d'eau, à une température de 150 C.
Lorsque le mélange de tous les produits est terminé, la pâte est mise dans des formes et cuite pendant 24 ou 30 heures, selon la nature des céréales, à une température de 160 C dans des fours à vapeur d'eau.
Le procédé décrit permet également de travailler sans sel, sans pour cela que le pain ne perde de sa consistance, et ce malgré le fait bien connu que le sel fixe les albumines et que le pain ordinaire sans sel s'effrite et a un goût fade.
Le pain peut être coupé ,en tranches, emballé de manière stérile et livré pour la consommation immédiate. La pâte, cependant, peut également servir à la fabrication d'autres produits d'alimentation, tels que pâtes alimentaires, soupes, condiments, confitures, bonbons ou biscuits contre la maladie des chiens.
Il s'avère que cet aliment peut servir de remède à certaines maladies, surtout dans les cas d'eczémas chroniques tels que la psoriasis, pour des maladies allergiques, ainsi que pour la Disbakterie et le diabète , C'est surtout dans ce dernier cas que ce nouveau genre de pain, vu sa contenance accrue de produits de transformation de collibacilles, parvient à augmenter la tolérance aux hydrates de carbone et à réduire la quantité d'insuline, dans certains cas même jusqu'à l'absence total de cette substance.
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Il s'ensuit, que e genre de pain présente des caractéristiques thérapeutiques inconnues à ce jour dans la pharmacie.
Cet effet thérapeutique est obtenu par le fait que lors du traitement de la pâte, après y avoir ajouté une culture d'acide lactique, on la mélange à une culture de collibacilles et que la cuisson n'est entamée que lorsque cette culture a grandement prédigéré les céréales, ce qui en pratique dure 24 heures.
Le fait d'ajouter des collibacilles à la pâte donne lieu, par la réaction des produits de transformation des collibacilles, à la formation biologique de vitamines K et d'acide lactique.
Le développement poursuivi de procédé a démontré que l'irradiation à l'aide de rayons infra-rouges est également très efficace. L'on procède dans ce cas à peu près comme suit : 200 kg de.graines complètes concassées, se composant de 80 kg de seigle, 70 kg d'avoine, 25 kg de froment et 25 kg d'orge sont mis à digérer pendant 10 heures avec 50 litres d'eau à 100 C dans un mélangeur de grande capacité. Simultanément ce mélange se trouve aéré au moyen d'air stérilisé et irradié de rayons infra-rouges et ultra-violets.
Dans l'exemple choisi, la digestion se fait par l'adjonction de 400 g d'une décoction se composant d'une décoction de racines telles que carottes et panais, d'acide tannique des épinards et d'une infusion de marjolaine, de baies de sureau et de menthe.
Après l'aération et le mélange intime avec ladite décoction la préparation doit être broyée, puis aspergée d'une quantité supplémentaire de 30 litres d'eau bouillant à 100 degrés,
Un malaxage constant dans le tambour accompagne toutes ces opérations, jusqu'à obtention, par forte évaporation, d'une pâte de consistance moyenne. Ce résultat est obtenu après environ trois heures à la température réduite à 40 C.
Ensuite, la masse doit être, de préférence au moyen d'un système automatique d'expulsion, comprimée et pesée. (La massa ne peut nullement reposer, mais doit immédiatement être pressée dans des formes). Les formes, de section rectangulaire, contiennent chacune 4 kg. Chacune d'elles est alors placée dans une caissette d'acier qui contient 250 ce d'eau. Ces caissettes sont munies de broches mince qui permettent une régularisation de la vapeur d'eau que produit la cuisson, assurant ainsi une hydrolyse plus complète des blocs de pâte qui s'en trouvent troués. Les caissettes d'acier sont ensuite fermées hermétiquement, puis chauffées pendant quatre heures à
160 .
La nression est alors relâchée pour permettre un traitement à l'étouf- fé qui durera de 24 à 30 heures selon la nature des céréales employées.
Après ces opérations de pression et de cuisson, les formes sont vidées et les pains mis encore à évaporer pendant 4 heures. Ces pains sont ensuite soumis à une réfrigération profonde pendant 12 heures, suite à quoi ils sont découpés et emballés dans un papier double (à la cire et en feuille d'aluminium cachetée), puis posés sur des platines et stérilisés pendant une heure.
Un autre développement de ce procédé consiste à ajouter, rendant le traitement de la pâte, de l'acide lactique, de préférence sous forme de lait battu, de sucre de lait ou de petit-lait, en présence éventuellement également de jus végétaux tels que d'oignons et d'ail. Dans ce cas il faut cependant cesser les irradiations immédiatement après avoir ajouté les jus végétaux à la pâte. Un exemple d'exécution qui sajoute à l'exemple d'exécution selon le brevet de base, peut très bien éclaircir le nouveau procédé.
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200 kg de graines complètes concassées, se composant de 80 kg de seigle, 70 kg d'avoine, 25 kg de froment et 25 kg d'orge sont mis à digérer pendant 10 heures avec 50 litres d'eau à 100 dans un mélangeur de grande capacité, Simultanément, ce mélange se trouve aéré au moyen d'air stérilisé et irradié de rayons infra-rouges et ultra-violets.
Dans l'exemple choisi, la digestion se fait avec adjonction d'une décoction qui se compose d'une décoction de racines telles que carottes et panais, d'épinards et d'une infusion de marjolaine, de baies de sureau, de menthe et d'autres épices.
Après l'aération et le mélange intime avec ladite décoction, la préparation doit être broyée, puis aspergée d'une quantité supplémentaire de 30 litres d'eau bouillante à 100 .
Ensuite l'on ajoute le lait battu, le sucre de lait ou le petit- lait dans des proportions telles, que le poids anhydre de ces substances com- porte 4% de la quantité totale de farine.
Un malaxage constant dans le tambour accompagne toutes ces opéra- tions, jusqu'à obtention, par forte évaporation, d'une pâte de consistance moyenne. Ce résultat est obtenu après environ trois heures à la température réduite de 40 C.
Ensuite,, à cette température de 40 C, on ajoute de la culture d'acide lactique. Pour les masses en question il en faut 17 kg, contenant 50 cc de jus d'oignons et d'ail. Il faut maintenant immédiatement cesser les irradiations. Un malaxage intense pendant encore 30 minutes donnera au pain la consistance désirée.
Ensuite la masse doit être, ]le préférence au moyen d'un système automatique d'expulsion, comprimée et pesée. (La masse ne peut nullement reposer, mais doit immédiatement être pressée dans des formes). Les formes, de section rectangulaire, contiennent chacune 4 kg. Chacune d'elles est alors placée dans une caissette d'acier qui contient 250 ce d'eau. Ces caissettes spat munies de broches minces qui permettent une régularisation de la vapeur d'eau que produit la cuisson, assurant ainsi une hydrolyse plus complète des blocs de pâte qui s'en trouvent troués. Les caissettes d'acier sont ensuite fermées hermétiquement, puis chauffées pendant quatre heures à 160 . La suite du procédé est comme décrit précédemment.
REVENDICATIONS.
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The invention relates to a process for the preparation of a product similar to bread, based on cereals.
According to the invention, one starts by swelling crushed cereals with water at 100 0, stirring the mass while mixing air therein, removing all foreign bacteria and irradiating it with wave light short. As a second operation, flour, previously sprayed with boiling water and irradiated with ultraviolet rays, is worked there to form a dough which is subjected as a third operation to a fermentation process while adding phosphates.
After completion of this reaction, as., Fourth and fifth operations, this preliminary dough is mixed with flour treated as in the second operation by adding more phosphates to it, it is left to ferment again to then work the mass. as a final paste which is subjected to cooking.
The fermentation is preferably carried out by adding lactic acid products such as beaten milk, milk sugar or whey, mixed with lactic acid bacteria. After this lactic acid fermentation, a culture of collibacilli can still be mixed with the dough and it is only after the ensuing disintegration of the cereals that the cooking can be carried out. As a development of the system one can foresee irradiation with both shortwave and longwave light, that is to say irradiation ranging from infra-red to ultra-viotet. .
Finally, when the fermentation takes place in the presence of long-wave light, one can proceed by adding the lactic acid culture to the cereals crushed, irradiated and swollen in water.
The invention therefore relates to a new type of bread which, by its particular method of manufacture, contains a high percentage of broken down carbohydrates.
According to the invention it becomes possible, by a preparation and decomposition process split into several operations, to produce from crushed whole grain seeds, a bread more easily and better assimilated by the human digestive system. By this process of treatment and decomposition one obtains a very complete hydrolysis of the elements contained in the seeds, such as cellulose, starch and protein. The vitamin content is very efficiently preserved and the finished product contains more than normal bread. Use is also made of bacterial, "enzymatic" and hydrolizing reactions by water vapor and raising the temperature. Cellulose and starch are broken down into soluble products in proportions completely unknown in ordinary bread.
The high proportion of broken down carbohydrates is a confirmed fact and could very well, among other things, be responsible for the microbial imbalance (Disbakterie) in the large intestine, To avoid the excessive deterioration of gluten, the new process does not provide for the prior treatment of all of the albumin as long as it retains its rising properties with a view to subsequently obtaining bread of a suitable volume. This is obtained as follows: for example, when digesting for 10 hours in a large capacity mixer, 200 kg of whole crushed seeds consisting of 80 kg of rye, 70 kg of oats, 25 kg of wheat and 25 kg of barley, mixed from 50 1 of water to 100. Simultaneously this mixture is aerated with the aid of sterilized air and irradiated with ultraviolet rays.
To maintain the temperature, use will be made of double-walled mixers, that is to say equipped with a heating device. The fact that the products are constantly stirred during irradiation will compensate for the low penetration inherent in shortwave rays. In the example chosen, the transformation is completed by adding 400 g of a decoction which consists of decoctions of roots such as carrots and parsnips, spinach (which contain tannic acid) .; as well as compositions of marjoram, elderberries, mint and other similar spices.
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During the rest which follows this operation and until the making of the dough, any foreign fermentation must be carefully avoided, as it could create a flora of harmful bacteria. Following this first operation is done the grinding of the chips under the conditions mentioned and the addition of flour in the proportions necessary to obtain a dough, said flour having been sprayed beforehand with boiling water and irradiated. -violets. The dough is prepared almost at the boil; the temperature during this operation as well as during the preceding and following one, cannot drop below
80 C.
It is also particularly important to ensure that this bite does not become infected; for this purpose, it is preferable to work in closed or open vessels.
The next step is a fermentation process with the gradual addition of the required amount of phosphates. To avoid the formation of undesirable ferments, the dough mass should be divided in small quantities. In this way, the fermentation will be interrupted as soon as it has reached the desired degree. On average, the fermentation process lasts about three hours.
As a result, the paste obtained by the previous three operations is subjected to a fourth operation. To this end, if the fractional quantities of the dough are '1 kg, 5 kg of flour irradiated' with short-wave light and 5 kg of water will be added thereto, then subjected to again the whole to a fermentation of about 4 hours. During a fifth operation, the operation is repeated but with flour prepared in advance according to the process of the second operation. The procedure and the quantities are the same as described above. During this last operation, phosphates can be added again.
What is important in this process, as the example shows, is the digestion of breakage, the elimination of any foreign bacteria and the gradual fermentation in the presence of phosphates or plant extracts. The amount of water added is adjusted according to the required consistency of the dough.
Between the fourth and fifth operation it is necessary to allow the mass to cool down to 40 C. Apart from the essential 1-irradiation, with ultraviolet rays, of the flour to be added, it can still be made to swell it. for at least 20 minutes in steam, at a temperature of 150 C.
When the mixing of all the products is complete, the dough is put into shapes and baked for 24 or 30 hours, depending on the nature of the cereals, at a temperature of 160 C in steam ovens.
The process described also makes it possible to work without salt, without the bread losing its consistency, despite the well-known fact that salt fixes albumins and that ordinary bread without salt crumbles and has a bland taste. .
Bread can be cut, sliced, sterile wrapped and delivered for immediate consumption. The dough, however, can also be used in the manufacture of other food products, such as pasta, soups, condiments, jams, candies or cookies against dog disease.
It turns out that this food can serve as a remedy for certain diseases, especially in cases of chronic eczemas such as psoriasis, for allergic diseases, as well as for Disbakterie and diabetes, It is especially in the latter case that this new kind of bread, given its increased content of collibacillus transformation products, manages to increase tolerance to carbohydrates and reduce the amount of insulin, in some cases even until the total absence of this substance .
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It follows, that this kind of bread has therapeutic characteristics hitherto unknown in the pharmacy.
This therapeutic effect is obtained by the fact that during the treatment of the dough, after adding a culture of lactic acid, it is mixed with a culture of collibacilli and that the cooking is only started when this culture has greatly predigested. cereals, which in practice lasts 24 hours.
The fact of adding collibacilli to the dough gives rise, by the reaction of the transformation products of collibacilli, to the biological formation of vitamins K and lactic acid.
The continued development of the process has shown that irradiation using infrared rays is also very effective. In this case the procedure is roughly as follows: 200 kg of whole crushed seeds, consisting of 80 kg of rye, 70 kg of oats, 25 kg of wheat and 25 kg of barley are digested for 10 hours with 50 liters of water at 100 C in a large capacity mixer. Simultaneously this mixture is aerated by means of sterilized air and irradiated with infra-red and ultra-violet rays.
In the example chosen, digestion is carried out by adding 400 g of a decoction consisting of a decoction of roots such as carrots and parsnips, tannic acid from spinach and an infusion of marjoram, elderberries and mint.
After aeration and intimate mixing with said decoction, the preparation must be crushed, then sprinkled with an additional 30 liters of water boiling at 100 degrees,
Constant mixing in the drum accompanies all these operations, until a paste of medium consistency is obtained by strong evaporation. This result is obtained after about three hours at the temperature reduced to 40 C.
Then the mass should be, preferably by means of an automatic expulsion system, compressed and weighed. (The massa can not rest at all, but must immediately be pressed into shapes). The shapes, of rectangular section, each contain 4 kg. Each of them is then placed in a steel box which contains 250 cc of water. These boxes are fitted with thin pins which allow a regulation of the water vapor produced by the cooking, thus ensuring a more complete hydrolysis of the blocks of dough which are left with holes. The steel boxes are then hermetically sealed and then heated for four hours at
160.
The pressure is then released to allow a stifling treatment which will last from 24 to 30 hours depending on the nature of the cereals used.
After these pressing and baking operations, the forms are emptied and the breads are still allowed to evaporate for 4 hours. These breads are then subjected to deep refrigeration for 12 hours, after which they are cut and wrapped in double paper (with wax and sealed aluminum foil), then placed on platens and sterilized for one hour.
Another development of this process consists in adding, making the treatment of the dough, lactic acid, preferably in the form of beaten milk, milk sugar or whey, optionally also in the presence of vegetable juices such as of onions and garlic. In this case, however, the irradiations must be stopped immediately after adding the vegetable juices to the dough. An example of execution which adds to the example of execution according to the basic patent, may very well clarify the new process.
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200 kg of whole crushed seeds, consisting of 80 kg of rye, 70 kg of oats, 25 kg of wheat and 25 kg of barley are digested for 10 hours with 50 liters of water at 100 in a blender. large capacity, Simultaneously, this mixture is aerated by means of sterilized air and irradiated with infra-red and ultra-violet rays.
In the example chosen, digestion is carried out with the addition of a decoction which consists of a decoction of roots such as carrots and parsnips, spinach and an infusion of marjoram, elderberries, mint and other spices.
After aeration and intimate mixing with said decoction, the preparation should be crushed, then sprinkled with an additional 30 liters of boiling water at 100.
Then the beaten milk, the milk sugar or the whey are added in such proportions that the anhydrous weight of these substances comprises 4% of the total amount of flour.
Constant mixing in the drum accompanies all these operations, until a paste of medium consistency is obtained by strong evaporation. This result is obtained after about three hours at the reduced temperature of 40 C.
Then, at this temperature of 40 ° C., lactic acid culture is added. For the masses in question it takes 17 kg, containing 50 cc of onion and garlic juice. The irradiation must now be stopped immediately. Intense kneading for another 30 minutes will give the bread the desired consistency.
Then the mass must be, preferably by means of an automatic expulsion system, compressed and weighed. (The mass can in no way rest, but must immediately be pressed into shapes). The shapes, of rectangular section, each contain 4 kg. Each of them is then placed in a steel box which contains 250 cc of water. These spatter boxes fitted with thin pins which allow a regulation of the water vapor produced by the cooking, thus ensuring a more complete hydrolysis of the blocks of dough which are left with holes. The steel boxes are then sealed and then heated for four hours at 160. The remainder of the process is as described above.
CLAIMS.
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