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FOOD MACHINERY AND CHEMICAL CORPORATION, résidant à SAN JOSE, Californie (EoU.Ao) MACHINES POUR EMPILER DES BOITES, DES CASIERS, etc.
La présente invention se rapporte à des machines pour empiler des boites, des casiers,etc.
Elle a notamment pour buts de procurer : - une machine à empiler de construction simple et de fonctionne- ment rapide et sûr: - une machine à empiler du type précité pouvant former une pile de hauteur déterminée d'avance : - une machine à empiler du type précité effectuant automatique- ment toutes les opérations d'empilage nécessaires; - une machine à empiler du type précité pouvant être facilement réglée pour manipuler des boîtes et des casiers de différentes hauteurs; - une machine à empiler des 'bottes pouvant former des piles comportant un nombre de boites déterminé d'avance et pouvant être facile- ment réglée pour manipuler des bottes de hauteurs différentes :
- une machine à empiler des boites du type précité, qui aligne les bottes empilées avec une précision suffisante dans le sens vertical- pour qu'on puisse l'utiliser pour empiler des boites ouvertes, par exemple des casiersà lait,des casiers à bière, etc.; - un système hydraulique pouvant élever ou abaisser rapidement une table faisant partie de la machine à empiler les bottes.
Ces buts et d'autres ressortiront de la description qui suit, faite avec référence aux dessins annexés, dans lesquels :
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Fig. 1 est une vue en élévation de côté d'une machine à empi- ler des bottes suivant l'invention.
Fig. 2 est une vue en élévation prise par l'arrière de la machi- ne de la fig. 1.
Fig. 3 est une vue en plan de la même machine.
Fig. 3a est une vue en perspective d'un des éléments de la fig.
3.
Fig. 4 est une vue en coupe verticale partielle de la moitié supérieure de la machine à empiler les boites prise suivant la ligne 4-5 de la fig. 3 et dans le sens des flèches accompagnant cette ligne.
Fig. 5 est une vue en coupe verticale partielle de la moitié in- férieure de la machine à empiler les boites prise par la ligne 4-5 de la fig. 3 et dans la direction des flèches accompagnant cette ligne.
Fig. 6 est une vue en coupe verticale à plus grande échelle de l'extrémité supérieure de la machine à empiler les bottes prise suivant la ligne 6-6 de la fig. 4 et dans la direction des flèches accompagnant cette ligne.
Fig. 7, comme la fig. 6, est une coupe verticale à plus grande échelle de l'extrémité supérieure de la machine à empiler les bottes prise suivant la ligne 7-7 de la fig. 4 et dans la direction des flèches accom- pagnant cette ligne.
Fig. 8 est une coupe horizontale partielle à plus grande échel- le prise suivant la ligne 8-8 de la fig. 4.
Fig. 9 est une coupe verticale partielle de la partie inférieure du côté gauche de la machine vue par l'extrémité de sortie de la pile.
Fig. 10 est une vue partielle en perspective à plus grande échel- le illustrant une partie du mécanisme représenté sur la fig. 9.
Fig. 11 est une vue en élévation prise de l'arrière analogue à la fig. 2 et montrant à plus grande échelle une partie du mécanisme illus- tré sur la fig. 2.
Fig. 12 est une vue en coupe verticale partielle à plus grande échelle de la partie inférieure de la machine à empiler les bottes prise suivant la ligne 12-12 de la fig. 2 et dans la direction des flèches ac- compagnant cette ligne.
Fig. 13 est une vue partielle en perspective du train moteur et du système hydraulique faisant partie de la machine représentée sur la fige 1.
Fig. 14 est un schéma des circuits électriques, hydrauliques et pneumatiques de la machine.
Sur la fig. 1, la machine à empiler représentée comprend une rampe d'alimentation en boites 15, un élévateur 16 et un transporteur de sortie 17. L'élévateur 16 comprend deux bâtis latéraux 2la et 21b ayant la forme de deux montants profilés écartés transversalement, qui s'élèvent à partir d'une plaque de base 23 placée dans une cavité 24 du sol 25 de l'atelier où la machine à empiler est érigée (fig. 2).
Un cylindre hy- draulique 26 monté de façon convenable par son extrémité supérieure sur la plaque de base 23 pénètre dans un puits tubulaire 27 ménagé au centre de la cavité entre les bâtis latéraux 21a et 21b (fig. 5)' Le piston 28 du cylindre hydraulique 26 porte à son extrémité supérieure une table 29 ayant la forme d'une plaque horizontale 30 dont la largeur est inférieure à celle des boites ou des casiers que la machine doit manipuler.
Un plateau peu profond 31 boulonné sur cette plaque contient un tampon 32 en matière élas- tique, en caoutchouc par exemple (fig. 4). Les bâtis latéraux 21a et 21b
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peuvent être reliés au côté alimentation de la machine par une série d'en- tretoises transversales 33 écartées dans le sens vertical et boulonnées sur les brides antérieures repliées vers l'intérieur 34a et 34b des bâtis latéraux, afin de rendre l'ensemble plus robuste (fig. 2).
A un niveau légèrement supérieur à la table hydraulique 29 dans sa position la plus haute, les bâtis latéraux 21a et 21b supportent une trappe 35 recevant successivement les boites ou casiers à empiler venant de la rampe d'alimentation 15. Sur les figs. 4 et 6, cette trappe 35 est formée de deux portes symétriquement disposées 36a et 36b, comprenant des barres horizontales 37a et 37b respectivement, qui s'étendent dans le sens longitudinal de la machine, mais sont verticalement dégagées des bords la- téraux de la plaque 30 de la table. Chacune de ces barres est fermement attachée aux extrémités inférieures d'une paire de bras 38a, 39à et 38b, 39b, respectivement, solidement fixés à une paire d'arbres longitudinaux 40a et 40b.
Du côté d'entrée de la machine, les arbres 40a et 40b sont sup- portés avec capacité de rotation de toute façon appropriée par l'entretoise transversale supérieure 33 des bâtis latéraux 2la et 21b (fig. 7) et leurs extrémités opposées sont reçues avec capacité de rotation dans une plaque de support 41 reliant les bâtis latéraux du côté sortie de la machine au- dessus du niveau de la table hydraulique dans sa position supérieure,et qui est boulonnée sur les brides postérieures 41a et 41b des bâtis laté- raux, comme on peut le voir clairement sur les figs. 2 et 6.
Pivotant sur les barres 37a et 37b par leurs faces dirigées vers l'intérieur, des rangées de rouleaux coniques 42a et 42b, respectivement, s'étendent avec leurs pointes voisines des bords latéraux de la table hydraulique 29 dans sa position la plus haute, mais verticalement dégagés de cette table.
Pendant le fonctionnement de la machine à empiler, les boites ou casiers à empiler sont successivement amenés par un transporteur ap- proprié, par exemple un transporteur par gravité 50 représenté sur la fig.
4, sur la rampe d'alimentation 15 qui le fait passer à intervalles appro- priés sur la trappe 35. La rampe d'alimentation 15 peut être formée d'une paire de profilés disposés horizontalement et écartés transversalement 51a et 51b qui reposent sur la seconde entretoise 33 et sont boulonnés sur cette entre toise et portent un premier rouleau 52 qui peut être animé d'un mouvement de rotation continu dans le sens opposé à celui des aiguilles d' une montre, une série de trois rouleaux libres 53, 54 et 55 montés à rota- tion et pouvant avoir un diamètre inférieur à celui du rouleau 52, et une courroie transporteuse sans fin 56 dont le brin supérieur s'étend du der- nier rouleau libre 55 jusqu'à un point très voisin des rouleaux coniques 42a et 42b de la trappe 35 et au même niveau que ceux-ci.
La courroie transporteuse sans fin 56 passe autour d'un premier rouleau libre 57 sup- porté à rotation à l'intérieur des profilés 51a et 51b et un second rouleau d'entraînement 58 calé sur un arbre transversal 59 supporté à rotation dans les profilés 51a et 51b. De part et d'autre, la rampe d'alimentation 15 est flanquée de rails de guidage horizontaux 60a et 60b qui peuvent être supportés de manière convenable par les bâtis latéraux 21a et 21b de la machine et s'étendre au travers de l'élévateur 16 jusqu'à un point très voisin de la plaque de support 41 du côté sortie de la machine.
Pendant le fonctionnement de la machine, la courroie sans fin 56 est entraînée dans une direction opposée à celle des aiguilles d'une montre sur la fig. 4 pour faire avancer des boites venant du transporteur par gra- vité 50 et passant sur les rouleaux 52 à 55, puis sur les rouleaux coniques 42a et 42b de la trappe 35. Dans ce but une extrémité de l'arbre moteur 59 traverse le bâti latéral 21a et porte à son extrémité dépassante une roue dentée 61 (fig. 1). Un moteur électrique 62 supporté par les bâtis latéraux 21a et 21b en dessous de la rampe 15 transmet son mouvement de rotation par une courroie d'entraînement 63 par l'intermédiaire d'un bloc réducteur de vitesse 64 (fig. 13) et d'un embrayage électrique 65 muni d'un mécanisme de freinage automatique 66 à un arbre entraîné 67.
Cet arbre entraîné traver- se le bâti latéral 21a de la machine (fig. 1) et porte à son extrémité dé-
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passante une roue dentée 68 reliée par une chaîne 69 à la roue dentée 61 de l'extrémité dépassante de l'arbre 59 entraînant la courroie transporteuse.
Pour amortir le cloc des boites ou casiers remplis venant de la rampe 15 sur la trappe 35, contre la plaque transversale 41, des tampons de caoutchouc appropriés 70a et 70b peuvent être montés sur la surface inté- rieure de cette plaque comme le montre la fig. 6. En outre, un dispositif peut être prévu pour empêcher qu'une botte ou un casier amené sur la trap- pe et contre les tampons de caoutchouc, rebondisse sur la rampe. Dans ce but,des butoirs 75a et 75b dirigés vers l'avant s'étendent élastiquement à un niveau inférieur aux rails de guidage 60a et 60b sur le trajet des boites se déplaçant sur la rampe, leurs têtes 76a et 76b approximativement situées au-dessus des premiers rouleaux coniques 42a et 42b des portes 36a et 36b de la trappe.
Gomme on peut le voir spécialement .sur les figs. 3, 3a 4 et 7, ces têtes de butoirs peuvent être formées par des blocs 77 dont les faces dirigées vers l'avant sontcreusées de rainures verticales 78 à l'intérieur desquelles pivotent autour d'axes horizontaux des rouleaux 79 dépassant légèrement des faces avant de ces blocs. Ces blocs sont montés sur'les extrémités antérieures des barres 80a et 80b, solidaires de manches 81a et 81b. Ces manchons tournent sur des pivots verticaux 82a et 82b rigi- dement supportés par les brides antérieures 34a et 34b des bâtis latéraux 21a et 21b respectivement, près des rails de guidage 60a et 60b, mais à 1' extérieur de ces derniers (figs. 3 et 7).
Des bras 83a et 83b dirigés vers l'extérieur sont fixés sur les barres des butoirs 80a et 80b par des points intermédiaires entre leurs extrémités, et des dispositifsà ressort 84a et 84b tendus entre les extrémités de ces bras en des points appropriés 85a et 85b des bâtis latéraux 21a et 21b respectivement, tendent à pousser les barres des butoirs vers l'intérieur de la rampe d'alimentation pour leur faire prendre des positions déterminées par l'engagement de ces bras avec des consoles d'arrêt 86a et 86b fixées sur les bâtis latéraux 21a et 21b.
Dans cette position, les barres des butoirs saillent vers l'avant sur le trajet des boites déterminé par les rails de guidage 60à-et 60b, et les têtes des butoirs se trouvent au-dessus du premier jeu de rouleaux coni- que.s 42a et 42b de la porte de la trappe, comme mentionné plus haut.
Chaque fois qu'une botte glisse le long de la rampe 15 et sur la trappe 35, les bu- toirs 75a et 75b cèdent vers l'extérieur de façon à laisser passer la boite, mais une fois la botte passée, reviennent sous l'effet de leurs ressorts 84a et 84b et reprennent leur position initiale dirigée vers l'intérieur, comme sur la fig. 3 dans laquelle ils bloquent positivement, par engagement de leurs bras 83a et 83b avec les consoles d'arrêt 86a et 86b respective- ment, tout mouvement de retour de la botte de la trappe 35 vers la rampe d' alimentation 15. Ainsi, une boite amenée sur la trappe 35 reste dans la po- sition voulue verticalement au-dessus de la table hydraulique 29.
Un dispositif est prévu suivant l'invention pour ouvrir la trappe 35 dès que la botte a été convenablement placée sur cette dernière, de façon à faire tomber cette boite sur la table hydraulique qui se trouve en dessous Dans ce but, les arbres rotatifs 40a et 40b supportant les barres 37a et 37b qui portent les rouleaux de la trappe traversent la plaque 41 du coté sortie des bâtis latéraux, et des bras 87a et 87b sont solidement montés sur les extrémités de ces arbres dépassant vers l'intérieur, les bras 87a et 87b s'étendant l'un vers l'autre (fig. 2) et étant reliés par des biellettes 88a et 88b à un point de pivotement commun 89 sur la tige de piston 90, disposée verticalement, d'un cylindre pneumatique 91 monté en position verticale sur la surface extérieure de la plaque 41.
Des conduits d'arrivée d'air 92 et 93 sont disposés pour alimenter en air comprimé provenant d'une source ap- propriée non représentée, l'extrémité supérieure ou inférieure de ce cylin- dre, suivant la position d'une soupape pneumatique de commande 94 (fig. 14) Normalement, la soupape 94 commandant le passage de l'air fait passer de l'air comprimé par la conduite d'air 93 dans l'extrémité inférieure du cy- lindre 91, tout en reliant le conduit 92 à l'extrémité supérieure du cylin- dre et à l'atmosphère extérieure. Cet arrangement fait sortir la tige de
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piston 90 et maintient les portes 36a et 36b de la trappe dans la position horizontale représentée sur la fig. 6, position dans laquelle la trappe peut supporter une boite.
Cependant, lorsqu'une boite arrive sur la trappe et frappe contre le tampon de caoutchouc 70a et 70b de la plaque 41, elle abais- se une paire de bras 95a et 95b montés sur un arbre horizontal commun 96 sup- porté à rotation par les brides postérieures 41a et 41b des bâtis latéraux 21a et 21b respectivement. L'arbre 96 passe à travers le bâti latéral droit
21a et porte à son extrémité saillante extérieure une barre de commande 97 (fig. 1). Par contact de ces bras 95a et 95b avec une boîte amenée sur la trappe, la barre 97 tourne en sens inverse des aiguilles d'une montre, sur la fig. 1, contre l'action d'un ressort de rappel 98 et entre en contact avec le bras 99 d'un contact 328 (fig. 14) placé dans une boite de contact 100 boulonnée sur la surface extérieure du bâti latéral 21a.
Dans des conditions appropriées, c'est-à-dire avec la table hydraulique au niveau voulu, la fer- meture du contact 328 excite un solénolde 327 qui place la soupape 94 com- mandant le passage d'air dans une position faisant passer l'air comprimé par le conduit 92 jusqu'à l'extrémité supérieure du cylindre pneumatique 91 et reliant son extrémité inférieure à l'atmosphère extérieure. En conséquence, la tige de piston 90 du cylindre pneumatique s'abaisse, ce qui fait basculer latéralement les portes 36a et 36b de la trappe 35 et dépose la 'boite sur la table hydraulique se trouvant en dessous de la trappe ou sur une boite antérieurement déposée sur cette table.
Au moment où les portes de la trappe 35 s'ouvrent, une barre 105 montée sur l'arbre 40a de la porte 36a (fig. 7) entre en contact avec le bras 106 d'un autre contact 332 placé dans une botte de contact appropriée 107 boulonnée sur la bride 34a du bâti latéral 21a de la machine. Dans des conditions appropriées décrites plus loin avec plus de détails, la fermeture du contact 332 abaisse la table hydraulique d'une distance approximativement égale à la hauteur de la boite que la machine manipule à ce moment.
Pour ébiter que la table 29 vacille pendant son mouvement de des- cente à l'état chargé, des dispositifs de guidage appropriés peuvent être prévus pour entrer en contact avec la table du côté alimentation. Sur les figs. 2, 6 et 8, deux montants de guidage verticaux 111a et 111b sont suppor- tés de manière appropriée par des entretoises 33a reliant les bâtis laté- raux 21a et 21b du côté d'entrée de la machine. Ces montants de guidage s'étendent de haut en bas depuis un point légèrement plus bas que la trappe jusque dans la cavité 24 du sol 25. Les angles antérieurs de ces montants de guidage sont réunis chacun par des paires de rouleaux 111a, 114a et 112b 114b respectivement montés dans des blocs 115a, 115b de façon à pouvoir tour- ner autour d'axes horizontaux verticalement par rapport l'un à l'autre.
Chacun des blocs 115a, 115b est boulonné sur un support 116a, 116b, respec- tivement, boulonné à son tour sur une plaque 117 placée verticalement. Cette plaque 117 est fixée sur une paroi centrale 118 d'un gousset 119 en forme de capuchon fixé à la face inférieure de la plaque 30 de la table, par le côté d'alimentation et les bords latéraux. Afin d'offrir un support latéral aux boites se trouvant sur la table hydraulique 29 à mesure que cette table s'abaisse, des roulettes 120 peuvent être montées à pivot sur les bâtis la- téraux 21a, 21b à différents niveaux de la machine, comme on peut le voir sur la fig. 2. En outre, des paires de rouleaux de guidage 121, 122 peuvent être montés à rotation respectivement sur la plaque 41 et sur une plaque de montage verticale 123, montée sur l'entretoise supérieure 33a.
Botte après boite, celles-ci passent sur la trappe 35 et sont déposées de cette trappe sur la table hydraulique qui se trouve en dessous ou sur la boite ou les bottes antérieurement déposées sur cette table, et à mesure que la table s'abaisse à l'arrivée de chaque nouvelle botte, il se forme sur la table une pile de boites verticalement superposées;lorsqu'une pile complète de boites s'est formée sur la table, la table descend au ni- veau du sol de l'atelier afin de décharger la pile complète tandis que la trappe est bloquée en position fermée pour empêcher les boites qui continuent à arriver de tomber sur la pile descendante.
Lorsque la table arrive au ni-
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veau du sol, elle dépose la pile complète sur le transporteur de sortie 17 précité, qui passe à travers l'élévateur au niveau du sol de l'atelier et se déplace-dans une direction déterminée à partir du côté d'alimentation au côté de sortie de la machine. Comme on le voit le mieux sur les figs. 1 et 2, ce transporteur de sortie peut être formé d'une paire de chaînes parallè- les 125a, 125b qui se déplacent dans des profilés en forme de U 126a, 126b respectivement et s'étendent dans l'espace défini par les bâtis latéraux 21a,21b de part et d'autre du piston hydraulique 28, suffisamment écartées pour que la table hydraulique relativement étroite 29 puisse passer entre- elles.
Ainsi, lorsque la table hydraulique s'abaisse en dessous du niveau de ces chaînes transporteuses, les parties du fond de la boite inférieure qui dépassent de la table viennent reposer sur ces chaînes qui entraînent la pile toute entière hors de la machine par son côté sortie ouvert.
Suivant la hauteur des boites à empiler et également suivant le nombre de boites que doit comprendre une pile, la pile complète à former a une hauteur totale différente et par conséquent la trappe 35 de la machine doit être bloquée et la descente de la table hydraulique jusqu'à son niveau de sortie de la pile doit être amorcée à différents niveaux verticaux de l'élévateur. Suivant l'invention, un mécanisme 130 commandant des contacts peut être réglé pour amorcer les opérations de sortie de la pile à des ni- veaux différents déterminés d'avance, correspondantaux différentes hauteurs totales des piles provenant du nombre différent de boites d'une pile et/ou des hauteurs.individuelles différentes des bottes à empiler.
Sur les- figures 2 et 9, le mécanisme réglable commandant des contacts comprend suivant, l'invention une tige de commande verticale 131 de section transversale hexagonale par exemple, dont la position peut être mo- difiée par rotation et dans le sens vertical dans certaines limites montée sur la moitié inférieure du bâti latéral 21a de la machine. Dans ce but, l'extrémité inférieure de la tige de commande 131 est munie d'une bride cir- culaire 132 qui repose sur la face latérale aplatie 133 d'un rouleau hori- zontal 134, et forme un tenon 135 qui dépasse vers le bas à partir de cette bride,peut tourner dans une ouverture appropriée s'étendant diamétralement à travers le rouleau 134 et dépasse de l'autre côté du rouleau.
A ses deux extrémités, le -rouleau 134 peut tourner dans deux bras 137a, 137b montés sur un arbre horizontal 138 qui s'étend parallèlement à la surface intérieu- re du bâti latéral 21a, et au voisinage de cette surface. L'arbre 138 tour- ne dans deux blocs-paliers 141a, 141b fixés de manière appropriée sur ce bâti latéral,et une de ses extrémités dépasse du bloc-palier correspondant 141a et porte un bras 143. Un ressort 144 tendu entre l'extrémité libre de ce bras 143 et un point 145 du bâti latéral'21a au-dessus de l'arbre 138 sollicite l'arbre vers une position extrême dans le sens des aiguilles d'une montre (voir (fig.
10), déterminée par-l'engagement d'une oreille d'arrêt 146, montée, sur l'arbre 138 en un point intermédiaire entre les bras 137a et 137b, avec la surface intérieure du bâti latéral 21a. Dans cette posi- tion extrême, les bras 137a, 137b prennent une position sensiblement hori- zontale comme on peut le voir sur la Fig. 10 et peuvent s'abaisser à partir de cette position dès qu'une pression dirigée vers le bas est appliquée à la tige de commande 131 contre l'action du ressort 144. A son extrémité supérieure, la tige de commande 131 forme un autre tenon 147 qui glisse dans un alésage pratiqué dans un autre rouleau horizontal 149 et -dépasse vers le haut cet alésage (Fig. 9) ce dernier tournant dans les extrémités de deux bras 150a, 150b.
Ces bras 150a, 150b sont à leur tour montés sur un ar- bre horizontal 151 pouvant tourner dans des blocs-paliers 152a, 152b boulon- nés sur le bâti latéral 21a de la machine. L'extrémité saillante supérieu- re du tenon 147 est bloquée par des écrous 153 afin d'éviter que la tige de commande 131 puisse sortir du rouleau 149.
La tige de commande 131 porte à différents niveaux verticaux et en différents points angulaires de son plan de rotation six organes de came 155, 156, 157, 158, 159 et 160 ayant plus ou moins la forme de patins de
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traineaux dirigés vers le haut. Chacun de ces patins comporte un chemin
161 s'étendant radialement,dont l'extrémité intérieure forme un collier
162 qui s'engage-et est monté de façon réglable- sur la tige de commande à un niveau déterminé au moyen d'une vis de calage 163.
A son extrémité extérieure, chacun des chemins dirigés radialement des organes de came s'incurve vers le bas pour former un chemin vertical 164 et tous les che- mins à l'exception de celui de l'organe de came inférieur portent à leur surface intérieure un autre collier 165 qui s'engage- et peut être fixé de manière réglable- sur la tige de commande 131 par des vis de calage 166.
L'agencement décrit est de préférence disposé de façon qu'à leurs extrémi- tés inférieures tous les chemins verticaux des organes de came compris dans le mécanisme de commande se terminent à un niveau commun dans le sens ver- tical de la machine.
Les chemins radiaux des organes de came 155 à 160 ont une lon- gueur égale et cette longueur est choisie pour qu'un organe de came quel- conque qui dépasse la tige de commande 131 en direction transversale de la machine soit en saillie sur le trajet de l'extrémité correspondante de la boîte inférieure sur la table hydraulique, mais reste en dehors de la plaque 30 de la table proprement dite. En faisant tourner la tige centra- le 131, l'un ou l'autre des six organes de came 155 à 160 peut être placé sélectivement sur le trajet de la pile de boites descendante suivant la hau- teur totale de la pile à assembler dans une opération déterminée.
Suivant l'invention, des dispositifs sont prévus pour maintenir de façon certaine le mécanisme 130 dans la position choisie pendant l'o- pération d'empilage des boites. Sur la Fig. 10 la bride annulaire 132 au bas de la tige 131 est munie de six ouvertures 167 séparées angulairement par des distances égales et chaque paire d'ouvertures 167 diamétralement opposées peut être engagée par deux boutons 168a, 168b saillant vers le haut de la face latérale aplatie 133 du rouleau 134. Lorsque deux ouvertu- res opposées 167 de la bride 132 sont engagées par ces boutons, la tige de commande 131 est bloquée contre tout déplacement angulaire.
Pour main- tenir de façon certaine les boutons 168a et 168b en engagement avec les ouvertures 167, un ressort 169 enroulé autour de l'extrémité supérieure de la tige de commande 131 entre le collier 162 de l'organe de came le plus élevé 155 et un disque 170 en contact libre avec le tenon supérieur 147 de cette tige et placé en dessous du rouleau supérieur 149 pousse la tige 131 vers le bas et de cette manière maintient la bride 132 en contact élastique avec les boutons 168a et 168b. Si on désire modifier le réglage de ce mécanisme, l'opérateur saisit simplement la tige de commande hexago- nale 131 à un endroit approprié, par exemple dans la partie comprise entre les colliers 162 des deux organes' plus élevés 155 et 156 et la soulève contre l'action du ressort 169 jusqu'à ce que la bride 132 soit dégagée des boutons 168a et 168b.
Ensuite, il fait tourner la tige 131 jusqu'à ce que l'organe de came qu'il a choisi passe transversalement sur le chemin de la pile à former et les ouvertures correspondantes 167 de la bride 132 se replacent sur les boutons 168a, l68b, sous l'action du ressort 169 et le poids du mécanisme lui-même.
Lorsque la botte la plus basse placée sur la table descendante 29 bute contre le chemin radial de l'organe de came choisi pour faire sail- lie dans le chemin de la pile descendante, elle abaisse cet organe de came et par conséquent la tige de came 131 sur-laquelle il est fixé, contre 1' action du ressort de rappel 144. Ceci abaisse les bras 150a et 150b à l' extrémité supérieure de la tige de commande et fait tourner leur arbre 151 dans le sens des aiguilles d'une montre sur les figures 2 et 11.
L'extré- mité de cet arbre s'étendant vers l'arrière passe à travers la bride anté- rieure 41a du bâti latéral 21a et porte une barre 172 dirigée vers le bas, maintenue de façon élastique dans une position inopérante par un ressort 173 tendu entre un point intermédiaire 174 de la barre et un point 175 situé sur la bride antérieure 41a du bâti latéral 21a près du niveau du sol.
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Gette-barre 172 se compose d'une partie supérieure 172a légèrement inclinée et d'une partie inférieure verticale 172b, et par rotation de l'arbre 151 dans le sens des'aiguilles d'une montre, la partie supérieure 172a de cette barre vient buter contre le bras 176 d'un contact 342 (Fig. 14) placé dans une boite de contact 177 boulonnée sur la surface extérieure du bâti laté- ral 21a. La fermeture du contact 342 fait que la table hydraulique continue son mouvement vers le bas au delà d'une distance égale à la hauteur d'une seule bottecomme on l'expliquera avec plus de détails plus loin.
Comme la table hydraulique continue son mouvement de descente par l'intermédiaire de ce contact, la pile de bottes placée sur cette table enfonce davantage le mécanisme 130 commandant un contact ce qui fait tourner l'arbre 151 plus loin dans le sens des aiguilles d'une montre. Ce mouvement de rotation amène un arc de came 173 fixé à l'extrémité inférieure de la partie verticale 172b de la barre 172 contre le bras 179 d'un autre contact 346 placé dans une boite à contact 180 boulonnée sur la surface extérieure du bâti latéral 21a. L'intervention de ce contact 346 maintient la soupape pneumatique de commande 94 dans une position pour laquelle le cylindre pneu- matique 91 tient fermées les portes de la trappe 35, même si une nouvelle botte s'y place et fait fonctionner les bras 95a et 95b du contact 328 com- mandant les portes.
Comme la table hydraulique et toute la pile de boites continuent à s'abaisser, les bras 150a et 150b qui soutiennent l'extrémité supérieure de la tige de commande 131 et les bras 137a et 137b qui supportent son ex- trémité inférieure tournent tous dans le sens des aiguilles d'une montre sur les Figs. 2 et 9. En conséquence, la tige de commande 131 et l'organe de came engagé cèdent en s'écartant latéralement de la pile de boites et permettent à cette pile de continuer à descendre sans obstacle. Le chemin vertical de l'organe de came engagé reste cependant en contact avec le côté adjacent de la pile de boites descendante et en conséquence les bras 176, 179 des contacts 342, 346 respectivement, restent en position de fermeture jusqu'à ce que la pile de boites soit enlevée par l'arrière de l'élévateur de la machine.
Finalement, la table descendante 29 s'abaisse-en dessous du ni- veau des chaînes transporteuses de sortie et dépose la pile de boites sur ces chaînes, et comme pendant le fonctionnement de la machine décrite ces chaînes se déplacent continuellement en s'éloignant de l'élévateur, les chaînes entraînent la pile de boîtes à l'écart de la table hydraulique. A ce moment, le mécanisme 130 commandant les contacts peut reprendre sa posi- tion normale sous l'effet des ressorts de rappel 144, 173 et les contacts 342, 346 peuvent reprendre leur position normale.
Lorsque la table hydraulique descend en dessous du niveau du transporteur de sortie, une plaque de came en forme d'arc 181 boulonnée sur la plaque 117 précitée en dessous du bord d'alimentation de la table hydraulique (Fig. 4 et 12) entre en contact avec un bras 182 monté de façon fixe sur un arbre transversal 183 supporté et pouvant tourner dans les bâ- tis latéraux de la machine, près de leur extrémité inférieure, et qui por- te à une de ses extrémités dépassant à l'extérieur une barre 184 (Fig. l) sollicitée élastiquement en sens inverse des aiguilles d'une montre par un dispositif à ressort approprié 185. Lorsque la table abaisse le bras 182 dans son mouvement de descente, la barre 184 abaisse le bras 186 d'un contact 350 normalement fermé logé dans une boîte 187 boulonnée sur la sur- face extérieure du bâti latéral 21a.
La fermeture de ce contact 350 pré- pare la table à reprendre sa position supérieure d'une façon décrite plus loin avec plus de détails. Un dispositif est cependant prévu pour empêcher la remontée de la table tant que la pile de boîtes déposée sur les chaînes n'a pas été complètement enlevée de la table hydraulique. Dans ce but, une paire de barres élastiques 190a, 190b (Fig. 12) s'étend dans le sens de la longueur des chaînes transporteuses près de leurs cotés extérieurs.
Du coté alimentation de l'élévateur hydraulique, ces barres sont boulon-
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nées sur la plus basse des entretoises 33a déjà mentionnées, qui s'étend à un niveau inférieur à celui des chaînes transporteuses. A partir de cette cornière transversale, les barres élastiques 190a, 190b s'élèvent progressivement pour atteindre un niveau légèrement supérieur à celui des chaînes transporteuses, leurs extrémités libres se plaçant'sous le bord de sortie de la table hydraulique dans le sens de la longueur de la ma- chine.
Les extrémités libres des barres 190a et 190b se placent au-des- sus de rouleaux 192a, 192b pivotant sur les parties supérieures dirigées vers l'intérieur, 193a, 193b de bras angulaires 194a, 194b dont les par- ties inférieures 195a, 195b, disposées verticalement, sont fixées sur un arbre transversal 196. Cet arbre tourne dans des blocs-paliers 197a, 197b boulonnés sur les brides de sortie 41a, 41b des bâtis latéraux 21a et 21b à un niveau inférieur à celui des chaînes transporteuses (Fig. 2). Une barre 198 (Fig. 1) est montée de façon fixe sur une extrémité de l'arbre 196, sollicitée élastiquement en sens-inverse des aiguilles d'une montre par un dispositif à ressort approprié 199.
Dans cette position, les bras angulaires 194a, 194b maintiennent élastiquement les rouleaux 192a, 192b contre les extrémités des barres à ressort 190a, 190b. Le mouvement de la barre 193 en sens inverse de celui des aiguilles d'une montre, contre l'effet des ressorts 197 et dû à l'abaissement effectué par les barres élastiques 190a, 190b sous l'effet du poids d'une pile de boites reposant sur celles-ci, fait fonctionner le bras 200 d'un contact 317 logé dans une boite 201 boulonnée sur la surface extérieure du bâti latéral 21a près de son extrémité inférieure.
Ce contact 317 empêche la remontée de la ta- ble hydraulique d'une fagon qui sera décrite plus loin avec plus de détails En conséquence, la table hydraulique ne peut commencer son trajet de re- tour pour reprendre sa position supérieure même si l'arc de came 181 a fermé le contact 350 précité dans la boite 187, tant que le transporteur 17 n'a pas entièrement enlevé la pile des barres élastiques 190a, 190b lorsque ces barres reviennent à leur position normale au-dessus du niveau des chaînes transporteuses, la barre 198 s'écarte du bras 200 du contact 317 sous l'effet du ressort 199. Ce n'est qu'alors que la table hydrauli- que peut commencer à reprendre sa position supérieure.
Les circuits électriques hydrauliques et pneumatiques de la machine de l'invention sont représentés sur le Fig. 14 où les chiffres 301, 302 désignent les conducteurs principaux du circuit électrique sur lesquels sont montés les circuits individuels de commande. En pratique, l'opérateur met en marche le transporteur de sortie 17 qui peut être un groupe entièrement distinct de la machine. En même temps, il ferme le contact principal 303 du circuit électrique pour exciter le relais de commande 304 du moteur électrique 62 et, en conséquence, le moteur commen- ce à tourner. La fermeture du contact principal 303 alimente également un redresseur 306 par un transformateur approprié 305. Le solénoïde 307 de l'embrayage du moteur 65 décfit plus haut est monté entre les bornes de ce redresseur.
En série avec le solénoïde 307 de commande de l'embrayage est monté un contact 308 normalement ouvert et par conséquent l'embrayage 65 du moteur reste dégagé jusqu'à ce que le contact 308 soit fermé. 'Le solénoïde de commande 309 du mécanisme de freinage 66, décrit plus haut, de la transmission du moteur 62 à la courroie d'alimentation 56 est éga- lement monté entre les bornes de sortie du redresseur 306. Un contact de commande normalement fermé 310 est monté en série avec le solénoïde 309 de commande du frein. Par conséquent, dès que le contact principal 303 est fermé, le solénoïde de commande 309 du mécanisme de freinage peut être excité et maintient la courroie d'alimentation immobile.
Mais un relais de commande 312 est monté de la même manière entre les fils conducteurs principaux 301 et 302, en série avec un contact 314 normalement fermé.
Ce contact 314 est logé dans la même boite 100 et soumis au même mécanis- me de commande que le.contact 328 décrit plus haut déterminant l'ouverture de la trappe, mais alors que le contact 328 est fermé par l'arrivée d'une boite sur la trappe 35, le contact 314 est ouvert par la pression d'une
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botte sur la trappe 35 contre les bras 95a, 95b. Par conséquent, lors- qu'aucune botte ne se trouve sur la trappe, le relais de commande 312 est excité dès que le contact principal 303 est fermé. Ce relais de com- mande 312 est agencé pour ouvrir, lorsqu'il est excité, le contact 310 normalement fermé monté en série avec le solénoïde 309 commandant le frein et pour fermer le contact 303 normalement ouvert, monté en série avec le solénoïde 307 commandant l'embrayage.
En conséquence, le mécanisme de freinage 66 est dégagé et l'embrayage 65 est mis en prise. De là sorte, tant que le relais 312 reste excité, le moteur 62 entraîne la courroie d' alimentation 56 de la rampe d'alimentation 15 par la transmission décrite plus haut, de façon que cette courroie puisse amener les boites provenant du transporteur par gravité sur la trappe 35.
La fermeture du contact principal 303 fait également passer du courant par un circuit 315 formé par un solénoïde 316 et deux contacts 317 et 318 normalement fermés, montés en série. Lorsque le solénoïde 316 est en circuit, il règle le système de commande hydraulique de la table 29 dans une position pour laquelle un liquide est chassé dans le cylindre hy- drailique 26, élevant la table 29.
Le système hydraulique comprend une pompe 210 reliée par une cour- roie d'entraînement appropriée 211 au moteur précité 62 (Fig. 13). Cette pompe aspire du liquide hydraulique d'un réservoir 212 par un filtre 214 et une soupape normalement ouverte 215 et le fait passer par un conduit appro- prié 216 muni d'une soupape 217 dans un réservoir fermé 218 contenant un coussin 219 de fluide gazeux, par exemple d'air, au-dessus du liquide qui s'y accumule.
La pompe continue à alimenter le réservoir 218 en liquide de la façon décrite jusqu'à ce que la pression engendrée dans le réservoir par compression du coussin d'air qu'il contient au-dessus du liquidas qui s'élève, dépasse la pression de réglage d'une soupape de décompression 220 montée dans un embranchement 221 du conduit 216, cet embranchement 221 rame- nant alors le liquide venu de la pompe dans le réservoir 212. Un conduit 222 mène d'un point du conduit 216 en aval de la soupape 217 en passant par une soupape de commande hydraulique normalement fermée 223 jusqu'à l'extré- mité supérieure du cylindre hydraulique 26.
Lorsque le solénoïde 316 du cir- cuit 315 est excité par fermeture du contact principal 303,ce solénoïde 316 met la soupape 223 dans une position correspondant à l'ouverture du cir- cuit 222. En conséquence, du liquide hydraulique est chassé, par la pres- sion engendrée dans le réservoir, à l'intérieur du cylindre et élève rapi- dement son piston 28 du niveau qu'il occupe à ce moment jusqu'à ce que la plaque de came en forme d'arc 181 décrite plus haut, supportée par la ta- ble hydraulique 29, entre en contact avec un bras 225 fixé sur un arbre transversal 226 supporté et tournant dans les bâtis latéraux 21a, 21b de la machine à un niveau légèrement inférieur à la rampe d'alimentation 15 et voisin de cette dernière(Fig. 4).
Une extrémité de cet arbre 226 dé- passe du bâti latéral 21a et porte, calée sur son extrémité saillante une barre 227 (Fig. 1) normalement sollicitée dans le sens des aiguilles d'une montre sur la Fig. 1 par un dispositif à ressort approprié 228. Cependant cette barre tourne en sens inverse des aiguilles d'une montre lorsque l'or- gane de came en forme d'arc 181 entre en contact avec le bras 225 et s' appuie sur le bras de commande 229 d'un contact 320 logé dans une botte 230 boulonnée sur la surface extérieure du bâti latéral 21a. Ce contact 320 est normalement ouvert et monté dans le circuit moteur 321 (Fig. 14) d' un relais multiple 322.
Ce relais 322 est excité lorsque la table déplace le bras 225 en s'élevant. Excité, le relais 322 ouvre le contact 318 norma- lement fermé monté dans le circuit 315 du solénoïde 316 commandant le mou- vement d'alimentation de la table de façon à mettre ce solénoïde hors cir- cuit. Le solénoïde 316 devenu passif, la soupape de commande hydraulique 223 reprend sa position normale et empêche tout nouvel écoulement de li- quide vers le cylindre hydraulique 26.
Par conséquent, la table s'arrête immédiatement en dessous des portes de la trappe 35 comme on peut le voir sur la fig. 4 et est maintenue de façon certaine dans cette position par
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une soupape appropriée 231 montée dans le conduit 222 en un point intermé- diaire entre la soupape 223 élevant la table hydraulique et le cylindre
26, tandis que la pompe fonctionnant sans arrêt commence a introduire de nouvelles quantités de liquide dans le réservoir 218 pour remplacer le liquide fourni au cylindre hydraulique et rétablir dans ce réservoir la pression déterminée par la soupape de décompression 220..
Revenant au circuit électrique, on notera que l'excitation du relais multiple 322 par fermeture du contact 320 à l'extrémité supérieure de l'élévateur hydraulique ferme également un contact 323 normalement ou- vert,monté en série avec le relais 322 et en parallèle avec le contact
320. Ce contact 323 aussitôt fermé complète un circuit de retenue 324 pour le relais 322 entre les conduits 301 et 302, de sorte que ce relais 322 reste excité même après que la table hydraulique s'est abaissée, sa pla- que de came 181 en forme d'arc dégagée de l'arbre de commande 225 du con- tact 320, et permet à ce contact de revenir à sa position ouverte norma- le.
En plus, l'excitation du relais multiple 322 ferme un contact 325 nor- malement ouvert intercalé dans le circuit moteur 326 du solénoïde 327 qui fait fonctionner la soupape pneumatique 94 précitée qui règle l'arrivée d'air dans le cylindre à air 91 commandant la trappe et qui est normalement réglée pour maintenir la trappe fermée comme expliqué plus haut. Cepen- dant, malgré la fermeture du contact 325, le solénoïde 327 reste provi- soirement inactif à cause de la présence d'un contact 328 normalement ouvert dans le circuit 326.
L'excitation du relais 322 ferme en outre un contact 329 normalement ouvert dans le circuit moteur 330 d'un solé- noide 331, lequel une fois excité, déplace la soupape hydraulique 215 précitée d'une façon qui va être décrite avec plus de détails, pour lui faire prendre une position pour laquelle le côté d'admission de la pompe 210 fonctionnant sans arrêt est relié par un conduit 222' et une partie du conduit 222 au cylindre hydraulique 26 au lieu du réservoir 212, pour aspirer le liquide de ce cylindre et abaisser la table 29. Malgré la fer- meture du contact 329, ce solénoïde 331 abaissant la table reste inactif à cause du montage du contact normalement ouvert 328 dans une dérivation commune des circuits 330 et 326 et également à cause de la présence dans le circuit 330 d'un contact supplémentaire 332 normalement ouvert.
Supposons à présent qu'une boite passe du transporteur par gra- vité 50 sur la rampe d'alimentation 15 d'où la courroie 56 avançant con- tinuellement, le fait passer au delà des butoirs 75a, 75b puis sur la trappe 35 et contre les bras 95a, 95b du contact 314, de façon à ouvrir ce dernier. Cette opération interromprait normalement le circuit moteur du relais de commande 312 et mettrait ce relais hors circuit pour dégager l'embrayage 65 et arrêter immédiatement la courroie 56 par le mécanisme de freinage 66.
Cependant, pour que la trappe reçoive rapidement une autre boite dès qu'elle a déposé une boîte sur la table hydraulique qui se trouve en dessous d'elle, le contact de commande 314 est shunté par un autre contact 340 normalement fermé, servant à maintenir le mouvement de la courroie d'alimentation même si une boite a été amenée sur la trappe, maintenant le contact 314 ouvert.
Ce contact 340 normalement fermé peut être logé dans une boite 235 montée sur le rail de guidage 60a de la rampe d'alimentation (figs. 1 et 4) et comprend un bras 236 qui s'étend élasti- quement sur le trajet des boites passant le long de la rampe en un point situé devant le butoir 75a. Chaque fois qu'une boite passe sur la rampe alors que la trappe 35 est inoccupée et que le contact 314 est donc en po- sition fermée, cette boite ouvre le contact 340 pendant un court moment, ce qui reste sans effet parce qu'au moment où le contact 340 est ouvert, le contact 314 ferme encore le circuit moteur passant par le relais 312, et le contact 340 se sera refermé derrière la boite avant que celle-ci atteigne la trappe et appuie contre les bras 95a, 95b pour ouvrir le contact 314. Cependant,
si une boite pénètre dans la rampe et glisse sur la courroie mobile 56 pendant que la trappe 35 est occupée par une boite précédente qui maintient le contact 314 ouvert, le déplacement du bras 236
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ouvre le contact 340 et les deux trajets d'excitation du.' relais de commande 312 ainsi interrompus, la courroie d'alimentation 56 s'arrête immédiatement et empêche la seconde boîte d'encombrer la trappe déjà occupée et de buter sur la boite qui s'y trouve.
Revenant à présent à la botte qui se trouve sur la trappe 35, les bras 95a, 95b qui sont déplacés par la boite lorsqu'elle entre-en contact avec les tampons de caoutchouc 70a et 70b sur la plaque 41, servent non seulement à ouvrir le contact 314 mais aussi à fermer le contact normale- ment ouvert 328 précité (fig. 14) , placé dans le même coffret 100 que le contact 314 (fig. 1). Gomme on l'a décrit plus haut, ce contact 328 nor- malement ouvert est monté dans le circuit moteur 326 du solénoïde 327 et ce circuit contient en outre un contact 325 normalement ouvert, fermé à l'in- tervention du relais multiple 322 comme expliqué plus haut.
Ainsi donc, lorsque le contact 328 est fermé, le solénolde 327 commandant la trappe est excité et fait prendre à la soupape pneumatique 94 une position dans laquel- le elle applique de l'air comprimé à l'extrémité supérieure du cylindre pneumatique 91, mettant en même temps l'extrémité inférieure du cylindre en communication avec l'atmosphère extérieure. Par conséquent, la tige de pis- ton 90 de ce cylindre est retirée, ce qui fait basculer vers le bas les portes 36a, 36b de la trappe. La boite se dégage alors des rouleaux coni- ques 42a, 42b et tombe sur la table hydraulique 29 qui occupe sa position la plus haute.
Toutefois, le contact 328 normalement ouvert est non seulement monté dans le circuit moteur 326 du solénoïde 327 ouvrant la trappe comme mentionné plus hautmais également dans le circuit moteur 330 du solénoïde 331. Ce circuit 330 contient en outre deux contacts 332 et 329 normalement ouverts. Le contact 329 a été fermé par l'excitation du relais de commande 322 comme expliqué plus haut et lorsque les portes de la trappe ont pris leur position complètement ouverte, le contact 332 est fermé par engagement du bras 105 antérieurement décrit, monté sur l'arbre 40a de la porte 36a avec le bras de commande 106 de ce contact 332 logé dans une boite 107 com- me mentionné plus haut (fig. 7).
Par conséquent, lorsque les portes de la trappe se sont complètement ouvertes et que la boite est placée sur la table hydraulique, le solénoïde 331 est excité. L'excitation de ce solénol- de fait prendre à une autre soupape pneumatique 238 (fig. 14) une position dans laquelle elle fait passer de l'air comprimé dans l'extrémité inférieu- re d'un autre cylindre pneumatique 239 tout en reliant son extrémité supé- rieure à l'atmosphère. Le mouvement du piston 240 qui en résulte fait prendre à la soupape 215 déjà mentionnée, une position dans laquelle elle relie le cylindre hydraulique 26 à l'extrémité d'entrée de la pompe 210 fonctionnant de manière continue.
Le liquide est donc rapidement aspiré du cylindre hydraulique 26, la table 29 commence à s'abaisser et continue à s'abaisser, même si sa plaque de came 181 en forme d'arc dégage le bras 225 et ouvre le contact 320, parce que le relais multiple 322 continue à être alimenté par le circuit de retenue 324.
Toutefois, dès que la table hydraulique a atteint un niveau où la boite qu'elle porte dégage les bras 95a et 95b montés sur l'arbre 96, le contact 328 reprend sa position ouverte. Ceci a le double effet de (l) mettre hors circuit le solénoïde 331 abaissant la table et d'arrêter par conséquent la table hydraulique 29 et (2) mettre hors circuit le solénoï- de 327 ouvrant la trappe, permettant ainsi à la soupape de commande pneu- matique 94 de reprendre sa première position dans laquelle elle alimente en air comprimé l'extrémité inférieure du cylindre pneumatique 91 tout en re- liant son extrémité supérieure à l'atmosphère extérieure.
En conséquence, la tige de piston 90 du cylindre hydraulique 91 remonte et ferme les portes de la trappe au-dessus de la boite se trouvant sur la table hydraulique abaissée, tandis que le bras 105 sur l'arbre 40a de la porte 36a dégage le bras 106 du contact 332, permettant à ce contact de reprendre sa position normale ouverte.
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Le dégagement des bras 95a et 95b par la boite descendante a en outre pour effet de permettre la fermeture du contact 314 monté dans le circuit moteur du relais de commande 312. En conséquence, le relais 312 est remis en circuit même si .la botte suivante maintient le contact 340 ouvert et la courroie d'alimentation 56 recommence à se déplacer et fait passer rapidement sur la trappe la botte qu'elle porte éventuellement, tandis que le contact de shunt 340 du circuit moteur du relais 312 comman- dant la courroie peut se fermer.
L'arrivée de la boite sur la trappe dé- termine alors les mêmes opérations d'ouverture de la trappe et d'abaisse- ment de la table qu'on a décrites plus haut, de sorte que la'deuxième bot- te tombe sur la première déjà déposée sur la table hydraulique.
Pour amortir le choc de la table hydraulique qui descend, et qui peut être chargée de lourdes boîtes remplies de produits,au moment où elle s'arrête tout à coup lorsque la mise hors circuit du solénolde 331, agissant sur la soupape hydraulique 215,bloque le passage 222' entre le cylindre hydraulique 26 et l'extrémité d'entrée de la pompe 210, le con- duit par lequel le liquide hydraulique peut s'écouler dans le cylindre hy- draulique et hors de ce cylindre peut comprendre un embranchement 241 (fig. 14) aboutissant à l'extrémité inférieure 242 d'un dash-pot 243 com- portant un piston 244 se déplaçant contre un coussin d'air enfermé à l'ex- trémité opposée 245 du dash-pot.
Par conséquent, lorsque le passage du fluide hydraulique du cylindre 26 à la pompe 210 est soudainement inter- rompu, une partie du liquide chassé du cylindre sous la pression de la table descendante peut s'échapper par l'embranchement 241 en direction du dash-pot 243 parce que le piston 244 cède élastiquement, le coussin d'air à son extrémité supérieure étant compressible.
Dans la forme d' exécution préférée de l'Invention, illustrée dans les dessins annexés, 1' ensemble est agencé de façon que le retour de la soupape de commande pneu- matique 238 à sa position initiale, déterminé par la mise hors circuit du solénoïde 331 abaissant la table, relie la chambre à air 245 du dash- pot par un conduit de sortie étroit 246 à l'atmosphère de façon à laisser échapper une partie du coussin d'air contenu dans la partie supérieure du dash-pot.
Pour rétablir l'efficacité de ce dernier, en vue de la phase suivante du fonctionnement de la table hydraulique, la soupape de commande pneumatique 238 peut servir, après excitation du solénoïde 331 abaissant la table, à faire entrer de l'air comprimé non seulement dans l'extrémité inférieure du piston pneumatique 239 déterminant la position de la soupape hydraulique 215 abaissant la table, mais également par le conduit étroit 246 dans la chambre à air 245 du dash-pot 243 pour enfoncer le piston et faire sortir une partie du liquide hydraulique qui se trouve de l'autre côté.
Pour augmenter l'efficacité de cet agencement, une soupape de com- mande 248 à sens unique peut être intercalée dans le conduit étroit 246 pour réduire la sortie d'air du dash-pot vers l'atmosphère, tout en per- mettant le libre passage de l'air dans le conduit en sens inverse, c'est- à-dire vers le dash-pot.
L'une après l'autre, les bottes s'empilent sur la table hydrauli- que et celle-ci descend à l'arrivée de chaque nouvelle botte, de la façon déjà décrite. Finalement, lorsque la table reçoit la dernière boite qui doit faire partie d'une pile déterminée et commence à descendre à nouveau, elle atteint et passe plus bas que le niveau du chemin radial 161 de l'or- gane de came 155, 156, 157, 158, 159 ou 160 du mécanisme de came 130 qu'on a choisi pour faire saillie sur le trajet des bottes descendantes afin de limiter la hauteur des piles de bottes à former sur la table.
Ensuite, comme l'extrémité voisine, latéralement en saillie, de la boite inférieure sur la table 29 appuie sur le chemin radial de cet organe de came parti- culier et abaisse l'ensemble du mécanisme 130, la partie supérieure 172a de la barre 172 (figs. 9 et 11) déplace le bras de contact 176 comme décrit plus haut, ce qui ferme le contact normalement ouvert 342 shuntant les con- tacts 332, 328 précités du circuit moteur 330 du solénoïde abaissant la ta-
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ble 331. Ces contacts 332, 328 sont normalement ouverts comme expliqué plus haut, mais ont été fermés pendant les phases précédentes du fonction- nement de la machine par excitation du relais principal 322 et par la pres- sion d'une botte contre les bras 95a et 95b à l'extrémité supérieure de l'élévateur hydraulique.
Le contact shunt 342 étant fermé, le solénoïde 331 abaissant la table reste en circuit et la table hydraulique continue à s'abaisser même si le contact 328 s'ouvre lorsque la dernière botte de la pile passe en dessous du niveau des bras 95a et 95b. L'ouverture de ce contact 328 interrompt cependant le circuit moteur 326 du solénoïde 327 commandant la trappe et par conséquent, les portes de la trappe se ferment dès que la dernière boite de la pile tombe en dessous du niveau des bras 95a et 95b.
Outre qu'il ferme le contact shunt 432 du circuit moteur 330 du solénoïde 331 abaissant la table, le déplacement du bras 176 dû à l'abaissement du mécanisme de commande 130 par la pile de bottes descendante,ouvre un contact 343 normalement fermé placé entre le point de jonction 344 du contact shunt 342 et du circuit 330 et le point de jonction 345 des circuits 330, 326. L'ouverture de ce contact 343 sert à empêcher une excitation accidentelle du solénoïde 327 commandant la trap- pe par un trajet shunt qui pourrait sans cela se former par les contacts fermés 342 et 332. La trappe ne peut donc s'ouvrir accidentellement lors- que la fermeture du contact shunt 342 maintient sous tension le solénoïde 331 abaissant la table.
Comme la table hydraulique continue à descendre et que le méca- nisme de commande 130 s'abaisse davantage, l'arc de came 178 à l'extrémité inférieure 172b de la barre 172 entre en contact avec le bras de commande 179 d'un contact 346 comme décrit plus haut (fig. 11). Ce contact 346 est normalement fermé et est monté dans le circuit 326 en série avec le solé- noide 327 commandant la trappe. Le déplacement du bras de contact 179 ouvre le contact 346, ce qui garantit que le solénoïde 327 ne peut être excité et que la trappe reste par conséquent fermée pendant que la table hydrauli- que abaisse la pile entière sur le transporteur de sortie C, qu'une nouvel- le boite soit amenée sur la trappe ou non.
Lorsque la table descendante est près d'atteindre le niveau des chaînes 125a et 125b du transporteur de sortie, les extrémités en saillie latérale de la boite inférieure sur la table 29 entrent en contact avec les barres 190a, 190b et les abaissent (fig. 12). Gomme on l'a décrit plus haut, ce mouvement déplace le bras de contact 200 d'un contact 317 monté dans la boite 201. Ce contact 317 normalement fermé est monté dans le circuit moteur 315 du solénoïde 316 élevant la table et lorsque les barres 190a et 190b sont abaissées, le contact 317 s'ouvre et garantit que le solénoïde 316 élevant la table ne peut être mis en circuit et par conséquent que la table ne peut s'élever tant que les chatnes 125a et 125b du transporteur n'ont pas retiré la pile entière de la table.
Ce n'est qu'alors que les bras élastiques 190a et 190b peuvent remonter et que la barre de commande 198 peut dégager le bras 200, permettant au contact 317 de se fermer.
Lorsque la pile de bottes a été déposée sur les chaînes du trans- porteur, la table hydraulique continue à descendre jusqu'à ce que l'arbre de came 181 monté sur la table abaisse le bras 182 (fig. 12). de l'arbre transversal 183. De cette manière, le bras 186 d'un contact 350 normale- ment fermé monté dans la botte 187 se déplace. Le contact normalement fermé 350 se trouve dans le circuit de retenue du relais multiple 322 (fig.
14),et, lorsqu'il s'ouvre, met ce relais hors circuit. En conséquence, le contact de retenue 323 du relais 322 reprend sa position ouverte de sorte que le relais 322 ne peut être à nouveau excité tant que la table n'a pas repris sa position la plus élevée en fermant le contact 320 normalement ouvert,de la façon décrite plus haut. Le relais multiple 322 étant hors circuit, le contact 329 du circuit moteur 330 du solénoïde 331 abaissant la table s'ouvre et par conséquent le mouvement de descente de la table hydrau- lique s'arrête.
En même temps, le contact 318 du circuit moteur 315 du so- lénoïde 316 élevant la table peut reprendre sa position normalement fermée
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ce qui élève la table dès que le transporteur a fait sortir la pile de son trajet vertical et que le contact 318 du circuit moteur du solénoïde 316 élevant la table a pu reprendre sa position normalement fermée. La mi'se en circuit du relais multiple 322 permet également au contact 325 du circuit moteur 326 du solénoïde 327 ouvrant la trappe de prendre sa po- sition normale ouverte, de sorte que ce solénoïde reste hors circuit de fagon certaine et que la trappe ne peut s'ouvrir même si une nouvelle bot- te fait fonctionner le contact 328 tant que la table n'a pas atteint son point le plus haut directement en dessous de la trappe.
Au moment où les chaînes 125a et 125b du transporteur font sortir la pile du coté ouvert de l'élévateur hydraulique, la pile libère l'organe de came antérieurement engagé du mécanisme de commande du contact 130.
Ceci a pour résultat que les divers contacts qui étaient maintenus en po- sition d'excitation par ce mécanisme peuvent reprendre leur position nor- male et conditionner la machine pour le cycle d'opérations suivant. Ainsi* le contact shunt 342 du circuit moteur 330 du solénoïde 331 abaissant la table peut reprendre sa position ouverte normale. D'autre part, le contact 343 empêchant le passage en shunt dans le circuit 330 peut reprendre sa po- sition normale fermée et le contact 346 du circuit moteur 326 du solénoïde 325 ouvrant la trappe peut se fermer.
Les deux contacts 317 et 318 du cir- cuit moteur du solénoïde 316 élevant la table ayant repris leur position normalement fermée, la table hydraulique 29 continue à s'élever de la façon décrite précédemment jusqu'à ce qu'elle atteigne sa position la plus haute, moment où l'arc de came 181 referme le contact normalement ouvert 320 du circuit moteur du relais multiple 322 déterminant l'excitation de ce relais, ce qui préparela machine à une autre opération d'empilage de bottes de la façon décrite.
La description ci-dessus s'applique à une forme particulière de l'invention,et celle-ci n'est pas limitée aux détails représentés et dé- crits qu'on peut modifier sans sortir du cadre de l'invention.
REVENDICATIONS.
1.- Machine à empiler des boites, caractérisée en ce qu'elle comprend un dispositif pour supporter une boite, pouvant laisser tomber la boite qu'il supporte, une table pouvant se déplacer entre une position supérieure immédiatement en dessous du dispositif de support et une posi- tion inférieure à une distance déterminée d'avance en dessous du dispositif de support, et un dispositif pouvant, quand il y a une boite sur le dispo- sitif de support, faire tomber la botte sur la table et abaisser la table.
2.- Machine à empiler des boites, caractérisée en ce qu'elle comprend un dispositif pour supporter une boite, pouvant laisser tomber la boite qu'il supporte, une table pouvant se déplacer entre une position su- périeure directement en dessous du dispositif de support et une position in- férieure à une distance déterminée d'avance en dessous du dispositif de support, et un dispositif pouvant, quand il y a une boite sur le dispositif de support, faire tomber la boite sur la table et abaisser la table jusqu'à ce que la boite qui s'y trouve soit en dessous du niveau du dispositif. de support.
3. - Machine à empiler des bottes caractérsée en ce qu'elle com- prend des portes normalement fermées pouvant supporter une botte lorsqu' elles sont fermées, une table normalement stationnaire pouvant se déplacer entre une position supérieure directement en dessous des portes et une po- sition inférieure à une distance déterminée d'avance en dessous des portes, et un dispositif pouvant, quand il y a une boite sur les portes, ouvrir les portes de façon à faire tomber la boite sur la table et abaisser la table jusqu'à ce que la botte qui s'y trouve soit en dessous du niveau des portes.
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EMI1.1
FOOD MACHINERY AND CHEMICAL CORPORATION, residing in SAN JOSE, Calif. (EoU.Ao) MACHINES FOR STACKING BOXES, LOCKERS, etc.
The present invention relates to machines for stacking boxes, crates, etc.
Its aims in particular are to provide: - a stacking machine of simple construction and quick and safe operation: - a stacking machine of the aforementioned type capable of forming a stack of predetermined height: - a stacking machine the aforementioned type automatically performing all the necessary stacking operations; - a stacking machine of the aforementioned type which can be easily adjusted to handle boxes and crates of different heights; - a machine for stacking bales which can form stacks comprising a number of boxes determined in advance and which can be easily adjusted to handle bales of different heights:
- a box stacking machine of the aforementioned type, which aligns the stacked bundles with sufficient precision in the vertical direction - so that it can be used to stack open boxes, for example milk racks, beer racks, etc .; - a hydraulic system capable of quickly raising or lowering a table forming part of the machine for stacking the boots.
These and other objects will become apparent from the following description, made with reference to the accompanying drawings, in which:
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Fig. 1 is a side elevational view of a boot stacking machine according to the invention.
Fig. 2 is an elevational view taken from the rear of the machine of FIG. 1.
Fig. 3 is a plan view of the same machine.
Fig. 3a is a perspective view of one of the elements of FIG.
3.
Fig. 4 is a partial vertical sectional view of the upper half of the box stacking machine taken along line 4-5 of FIG. 3 and in the direction of the arrows accompanying this line.
Fig. 5 is a partial vertical sectional view of the lower half of the box stacking machine taken along line 4-5 of FIG. 3 and in the direction of the arrows accompanying that line.
Fig. 6 is an enlarged vertical sectional view of the upper end of the boot stacking machine taken along line 6-6 of FIG. 4 and in the direction of the arrows accompanying that line.
Fig. 7, as in fig. 6, is a vertical section on a larger scale of the upper end of the bundle stacking machine taken along line 7-7 of FIG. 4 and in the direction of the arrows accompanying that line.
Fig. 8 is a partial horizontal section on a larger scale taken along line 8-8 of FIG. 4.
Fig. 9 is a partial vertical section of the lower part of the left side of the machine seen through the exit end of the stack.
Fig. 10 is a partial perspective view on a larger scale illustrating part of the mechanism shown in FIG. 9.
Fig. 11 is an elevational view taken from the rear similar to FIG. 2 and showing on a larger scale part of the mechanism illustrated in FIG. 2.
Fig. 12 is a partial vertical sectional view on a larger scale of the lower part of the boot stacking machine taken along line 12-12 of FIG. 2 and in the direction of the arrows accompanying that line.
Fig. 13 is a partial perspective view of the drive train and of the hydraulic system forming part of the machine shown in fig 1.
Fig. 14 is a diagram of the electrical, hydraulic and pneumatic circuits of the machine.
In fig. 1, the stacking machine shown comprises a box feed ramp 15, an elevator 16 and an output conveyor 17. The elevator 16 comprises two side frames 2a and 21b in the form of two profile uprights spaced transversely, which s 'rise from a base plate 23 placed in a cavity 24 in the floor 25 of the workshop where the stacking machine is erected (Fig. 2).
A hydraulic cylinder 26 suitably mounted at its upper end on the base plate 23 enters a tube well 27 formed in the center of the cavity between the side frames 21a and 21b (Fig. 5). The piston 28 of the cylinder Hydraulic 26 carries at its upper end a table 29 in the form of a horizontal plate 30 whose width is less than that of the boxes or racks that the machine must handle.
A shallow plate 31 bolted to this plate contains a buffer 32 of elastic material, for example rubber (Fig. 4). The side frames 21a and 21b
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can be connected to the feed side of the machine by a series of transverse struts 33 spaced vertically and bolted to the front flanges bent inwards 34a and 34b of the side frames, in order to make the whole more robust (fig. 2).
At a level slightly above the hydraulic table 29 in its highest position, the side frames 21a and 21b support a hatch 35 successively receiving the boxes or crates to be stacked coming from the supply ramp 15. In FIGS. 4 and 6, this hatch 35 is formed of two symmetrically arranged doors 36a and 36b, comprising horizontal bars 37a and 37b respectively, which extend in the longitudinal direction of the machine, but are vertically clear of the lateral edges of the plate 30 from the table. Each of these bars is firmly attached to the lower ends of a pair of arms 38a, 39a and 38b, 39b, respectively, securely attached to a pair of longitudinal shafts 40a and 40b.
On the input side of the machine, the shafts 40a and 40b are supported with any suitable rotation capacity by the upper transverse strut 33 of the side frames 2a and 21b (fig. 7) and their opposite ends are received. with capacity for rotation in a support plate 41 connecting the side frames on the output side of the machine above the level of the hydraulic table in its upper position, and which is bolted to the rear flanges 41a and 41b of the side frames , as can be seen clearly in figs. 2 and 6.
Pivoting on the bars 37a and 37b by their inwardly directed faces, rows of tapered rollers 42a and 42b, respectively, extend with their tips adjacent to the side edges of the hydraulic table 29 in its highest position, but vertically clear of this table.
During operation of the stacking machine, the boxes or crates to be stacked are successively fed by a suitable conveyor, for example a gravity conveyor 50 shown in FIG.
4, on the supply ramp 15 which passes it at suitable intervals over the hatch 35. The supply ramp 15 may be formed of a pair of sections arranged horizontally and spaced transversely 51a and 51b which rest on the second spacer 33 and are bolted on this between measuring rod and carry a first roller 52 which can be driven by a continuous rotational movement in the direction opposite to that of clockwise, a series of three free rollers 53, 54 and 55 rotatably mounted and possibly having a diameter smaller than that of the roller 52, and an endless conveyor belt 56, the upper strand of which extends from the last free roller 55 to a point very close to the tapered rollers 42a and 42b of the hatch 35 and at the same level as these.
The endless conveyor belt 56 passes around a first free roller 57 rotatably supported inside the profiles 51a and 51b and a second drive roller 58 wedged on a transverse shaft 59 rotatably supported in the profiles 51a and 51b. On either side, the feed ramp 15 is flanked by horizontal guide rails 60a and 60b which can be suitably supported by the side frames 21a and 21b of the machine and extend through the elevator. 16 to a point very close to the support plate 41 on the output side of the machine.
During operation of the machine, the endless belt 56 is driven in a direction opposite to that of the clockwise in FIG. 4 to advance boxes coming from the conveyor by gravity 50 and passing over the rollers 52 to 55, then over the tapered rollers 42a and 42b of the hatch 35. For this purpose one end of the motor shaft 59 passes through the frame side 21a and carries at its projecting end a toothed wheel 61 (Fig. 1). An electric motor 62 supported by the side frames 21a and 21b below the ramp 15 transmits its rotational movement through a drive belt 63 via a speed reduction unit 64 (Fig. 13) and an electric clutch 65 provided with an automatic braking mechanism 66 with a driven shaft 67.
This driven shaft passes through the side frame 21a of the machine (fig. 1) and carries at its end
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passing a toothed wheel 68 connected by a chain 69 to the toothed wheel 61 of the projecting end of the shaft 59 driving the conveyor belt.
To cushion the cloc of the filled boxes or crates coming from the ramp 15 on the hatch 35, against the transverse plate 41, suitable rubber buffers 70a and 70b can be mounted on the inner surface of this plate as shown in fig. . 6. In addition, a device may be provided to prevent a boot or bin brought over the trap and against the rubber buffers from rebounding on the ramp. For this purpose, forward facing stoppers 75a and 75b resiliently extend at a level lower than the guide rails 60a and 60b on the path of the boxes moving on the ramp, their heads 76a and 76b located approximately above. of the first conical rollers 42a and 42b of the doors 36a and 36b of the hatch.
As one can see it especially .on figs. 3, 3a 4 and 7, these stopper heads can be formed by blocks 77 whose faces directed towards the front are hollowed out with vertical grooves 78 inside which pivot around horizontal axes of the rollers 79 slightly projecting from the front faces of these blocks. These blocks are mounted on the front ends of the bars 80a and 80b, integral with sleeves 81a and 81b. These sleeves rotate on vertical pivots 82a and 82b rigidly supported by the front flanges 34a and 34b of the side frames 21a and 21b respectively, near the guide rails 60a and 60b, but outside them (figs. 3). and 7).
Outwardly directed arms 83a and 83b are fixed to the bars of the stops 80a and 80b by intermediate points between their ends, and spring devices 84a and 84b stretched between the ends of these arms at appropriate points 85a and 85b of the ends. side frames 21a and 21b respectively, tend to push the stopper bars towards the inside of the supply ramp to make them take positions determined by the engagement of these arms with stop consoles 86a and 86b fixed on the side frames 21a and 21b.
In this position, the stopper bars project forward on the path of the boxes determined by the guide rails 60a-and 60b, and the heads of the stops are above the first set of taper rollers 42a. and 42b from the hatch door, as mentioned above.
Each time a boot slides down the ramp 15 and over the hatch 35, the stops 75a and 75b give way to the outside so as to let the box pass, but once the boot is passed, they return under the effect of their springs 84a and 84b and return to their initial position directed inwards, as in FIG. 3 in which they positively block, by engagement of their arms 83a and 83b with the stop consoles 86a and 86b respectively, any return movement of the boot from the hatch 35 towards the supply ramp 15. Thus, a The box brought onto the hatch 35 remains in the desired position vertically above the hydraulic table 29.
A device is provided according to the invention to open the hatch 35 as soon as the boot has been properly placed on the latter, so as to drop this box on the hydraulic table which is located below.For this purpose, the rotating shafts 40a and 40b supporting the bars 37a and 37b which carry the rollers of the hatch pass through the plate 41 on the output side of the side frames, and arms 87a and 87b are firmly mounted on the ends of these shafts protruding inwards, the arms 87a and 87b extending towards each other (fig. 2) and being connected by links 88a and 88b to a common pivot point 89 on the piston rod 90, disposed vertically, of a pneumatic cylinder 91 mounted in vertical position on the outer surface of the plate 41.
Air inlet ducts 92 and 93 are arranged to supply compressed air from a suitable source not shown, the upper or lower end of this cylinder, depending on the position of a pneumatic valve. control 94 (fig. 14) Normally, the valve 94 controlling the passage of the air passes compressed air through the air line 93 into the lower end of the cylinder 91, while connecting the line 92 to the upper end of the cylinder and to the outside atmosphere. This arrangement brings out the stem of
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piston 90 and maintains the doors 36a and 36b of the hatch in the horizontal position shown in FIG. 6, position in which the hatch can support a box.
However, when a box arrives on the hatch and strikes against the rubber pad 70a and 70b of the plate 41, it lowers a pair of arms 95a and 95b mounted on a common horizontal shaft 96 rotatably supported by the plates. rear flanges 41a and 41b of the side frames 21a and 21b respectively. Shaft 96 passes through the right side frame
21a and carries at its outer projecting end a control bar 97 (FIG. 1). By contact of these arms 95a and 95b with a box brought onto the flap, the bar 97 rotates counterclockwise, in FIG. 1, against the action of a return spring 98 and comes into contact with the arm 99 of a contact 328 (Fig. 14) placed in a contact box 100 bolted to the outer surface of the side frame 21a.
Under proper conditions, that is, with the hydraulic table at the desired level, closing contact 328 energizes solenoid 327 which places valve 94 controlling the air passage in a position passing the air through. 'air compressed through line 92 to the upper end of pneumatic cylinder 91 and connecting its lower end to the external atmosphere. As a result, the piston rod 90 of the pneumatic cylinder is lowered which causes the doors 36a and 36b of the hatch 35 to swing sideways and deposits the box on the hydraulic table below the hatch or on a box previously. deposited on this table.
As the doors of the hatch 35 open, a bar 105 mounted on the shaft 40a of the door 36a (Fig. 7) comes into contact with the arm 106 of another contact 332 placed in a contact boot. suitable 107 bolted to the flange 34a of the side frame 21a of the machine. Under suitable conditions described later in more detail, closing contact 332 lowers the hydraulic table by a distance approximately equal to the height of the box the machine is handling at this time.
To cause the table 29 to wobble during its downward movement in the loaded state, suitable guiding devices can be provided to contact the table on the feed side. In figs. 2, 6 and 8, two vertical guide posts 111a and 111b are suitably supported by struts 33a connecting the side frames 21a and 21b on the input side of the machine. These guide posts extend from top to bottom from a point slightly lower than the hatch into the cavity 24 in the floor 25. The front angles of these guide posts are each joined by pairs of rollers 111a, 114a and 112b. 114b respectively mounted in blocks 115a, 115b so as to be able to rotate around horizontal axes vertically with respect to one another.
Each of the blocks 115a, 115b is bolted to a support 116a, 116b, respectively, bolted in turn to a plate 117 placed vertically. This plate 117 is fixed to a central wall 118 of a cap-shaped gusset 119 fixed to the underside of the plate 30 of the table, by the feed side and the side edges. In order to provide lateral support for the boxes on the hydraulic table 29 as this table lowers, casters 120 can be pivotally mounted on the side frames 21a, 21b at various levels of the machine, such as it can be seen in fig. 2. Further, pairs of guide rollers 121, 122 may be rotatably mounted on the plate 41 and on a vertical mounting plate 123, respectively, mounted on the upper spacer 33a.
Boot after box, these pass over trap 35 and are deposited from this trap onto the hydraulic table which is located below or on the box or boots previously placed on this table, and as the table is lowered to the arrival of each new boot, a stack of boxes vertically superimposed on the table forms; when a complete stack of boxes has formed on the table, the table descends to the level of the workshop floor in order to to discharge the full stack while the hatch is locked in the closed position to prevent boxes which continue to arrive from falling on the descending stack.
When the table reaches the level
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calf off the ground, it lays the complete stack on the aforementioned output conveyor 17, which passes through the elevator at shop floor level and moves in a determined direction from the feed side to the side of out of the machine. As best seen in figs. 1 and 2, this output conveyor may be formed of a pair of parallel chains 125a, 125b which move in U-shaped profiles 126a, 126b respectively and extend into the space defined by the side frames. 21a, 21b on either side of the hydraulic piston 28, sufficiently apart so that the relatively narrow hydraulic table 29 can pass between them.
Thus, when the hydraulic table is lowered below the level of these conveyor chains, the parts of the bottom of the lower box which protrude from the table come to rest on these chains which drive the entire stack out of the machine by its output side. open.
Depending on the height of the boxes to be stacked and also according to the number of boxes that a stack must include, the complete stack to be formed has a different total height and therefore the hatch 35 of the machine must be blocked and the descent of the hydraulic table to 'at its output level of the stack must be initiated at different vertical levels of the elevator. According to the invention, a mechanism 130 controlling contacts can be set to initiate the stack output operations at different levels determined in advance, corresponding to different total heights of the stacks coming from the different number of boxes in a stack. and / or different individual heights of the stacking boots.
In FIGS. 2 and 9, the adjustable mechanism controlling the contacts comprises according to the invention a vertical control rod 131 of hexagonal cross section for example, the position of which can be modified by rotation and in the vertical direction in certain cases. limits mounted on the lower half of the side frame 21a of the machine. For this purpose, the lower end of the control rod 131 is provided with a circular flange 132 which rests on the flattened side face 133 of a horizontal roller 134, and forms a tenon 135 which protrudes towards the bottom. down from this flange, can rotate into a suitable opening extending diametrically through roll 134 and protruding from the other side of the roll.
At its two ends, the roll 134 can rotate in two arms 137a, 137b mounted on a horizontal shaft 138 which extends parallel to the interior surface of the side frame 21a, and in the vicinity of this surface. The shaft 138 rotates in two bearing blocks 141a, 141b suitably attached to this side frame, and one of its ends projects from the corresponding bearing block 141a and carries an arm 143. A spring 144 tensioned between the end free of this arm 143 and a point 145 of the side frame 21a above the shaft 138 urges the shaft to an extreme position in the direction of clockwise (see (fig.
10), determined by the engagement of a stop lug 146, mounted, on the shaft 138 at an intermediate point between the arms 137a and 137b, with the inner surface of the side frame 21a. In this extreme position, the arms 137a, 137b assume a substantially horizontal position as can be seen in FIG. 10 and can be lowered from this position as soon as downward pressure is applied to the control rod 131 against the action of the spring 144. At its upper end, the control rod 131 forms another tenon. 147 which slides into a bore made in another horizontal roller 149 and upwardly exceeds this bore (Fig. 9) the latter rotating in the ends of two arms 150a, 150b.
These arms 150a, 150b are in turn mounted on a horizontal shaft 151 rotatable in bearing blocks 152a, 152b bolted to the side frame 21a of the machine. The upper protruding end of the tenon 147 is blocked by nuts 153 to prevent the control rod 131 from coming out of the roller 149.
The control rod 131 carries at different vertical levels and at different angular points of its plane of rotation six cam members 155, 156, 157, 158, 159 and 160 having more or less the form of brake pads.
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sledges directed upwards. Each of these skates has a path
161 radially extending, the inner end of which forms a collar
162 which engages - and is adjustably mounted - on the control rod at a level determined by means of a set screw 163.
At its outer end, each of the radially directed paths of the cam members curves downward to form a vertical path 164 and all the paths except that of the lower cam member bear on their inner surface. another collar 165 which engages - and can be adjustably attached - to the control rod 131 by set screws 166.
The arrangement described is preferably arranged so that at their lower ends all vertical paths of the cam members included in the operating mechanism terminate at a common level in the vertical direction of the machine.
The radial paths of the cam members 155 to 160 are of equal length and this length is chosen so that any cam member which protrudes from the control rod 131 in the transverse direction of the machine will project in the path. of the corresponding end of the lower box on the hydraulic table, but remains outside the plate 30 of the table itself. By rotating the central rod 131, either of the six cam members 155-160 can be selectively placed in the path of the descending stack of boxes depending on the total height of the stack to be assembled in. a specific transaction.
According to the invention, devices are provided for securely holding the mechanism 130 in the selected position during the stacking operation of the boxes. In Fig. The annular flange 132 at the bottom of the rod 131 is provided with six openings 167 angularly separated by equal distances and each pair of diametrically opposed openings 167 can be engaged by two buttons 168a, 168b protruding upwards from the flattened side face 133 of roller 134. When two opposed openings 167 of flange 132 are engaged by these buttons, control rod 131 is blocked against any angular displacement.
To securely hold buttons 168a and 168b in engagement with openings 167, a spring 169 wound around the upper end of control rod 131 between collar 162 of uppermost cam member 155 and a disc 170 in free contact with the upper tenon 147 of this rod and placed below the upper roller 149 pushes the rod 131 downwards and in this way maintains the flange 132 in elastic contact with the buttons 168a and 168b. If it is desired to change the setting of this mechanism, the operator simply grasps the hexagonal control rod 131 at a suitable place, for example in the part between the collars 162 of the two higher members 155 and 156 and raises it. against the action of the spring 169 until the flange 132 is released from the buttons 168a and 168b.
Then he turns the rod 131 until the cam member he has chosen passes transversely on the path of the stack to be formed and the corresponding openings 167 of the flange 132 are replaced on the buttons 168a, 168b. , under the action of the spring 169 and the weight of the mechanism itself.
When the lowest boot placed on the descending table 29 abuts against the radial path of the cam member chosen to protrude in the path of the descending stack, it lowers this cam member and therefore the cam rod 131 on which it is attached, against the action of the return spring 144. This lowers the arms 150a and 150b at the upper end of the control rod and rotates their shaft 151 clockwise. in Figures 2 and 11.
The end of this rearwardly extending shaft passes through the front flange 41a of the side frame 21a and carries a downwardly directed bar 172 resiliently held in an inoperative position by a spring 173. stretched between an intermediate point 174 of the bar and a point 175 located on the front flange 41a of the side frame 21a near ground level.
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Gette-barre 172 consists of a slightly inclined upper part 172a and of a vertical lower part 172b, and by rotating the shaft 151 in the direction of the needles of a watch, the upper part 172a of this bar comes abut against the arm 176 of a contact 342 (Fig. 14) placed in a contact box 177 bolted to the outer surface of the side frame 21a. Closure of contact 342 causes the hydraulic table to continue its downward movement beyond a distance equal to the height of a single boot as will be explained in more detail below.
As the hydraulic table continues its downward movement through this contact, the stack of boots placed on this table further pushes the mechanism 130 controlling a contact which causes the shaft 151 to rotate further clockwise. a watch. This rotational movement causes a cam arc 173 attached to the lower end of the vertical portion 172b of the bar 172 against the arm 179 of another contact 346 placed in a contact box 180 bolted to the outer surface of the side frame. 21a. The intervention of this contact 346 maintains the pneumatic control valve 94 in a position for which the pneumatic cylinder 91 keeps the doors of the hatch 35 closed, even if a new boot is placed there and operates the arms 95a and 95b of contact 328 controlling the doors.
As the hydraulic table and the entire stack of boxes continue to lower, the arms 150a and 150b which support the upper end of the control rod 131 and the arms 137a and 137b which support its lower end all rotate in the clockwise in Figs. 2 and 9. Consequently, the control rod 131 and the engaged cam member give way by moving away laterally from the stack of boxes and allow this stack to continue to descend without obstacle. The vertical path of the engaged cam member, however, remains in contact with the adjacent side of the descending stack of boxes and consequently the arms 176, 179 of the contacts 342, 346 respectively, remain in the closed position until the stack of boxes is removed from the rear of the machine elevator.
Finally, the descending table 29 lowers below the level of the output conveyor chains and places the stack of boxes on these chains, and as during the operation of the machine described these chains move continuously away from them. elevator, chains drive the stack of boxes away from the hydraulic table. At this time, the mechanism 130 controlling the contacts can return to its normal position under the effect of the return springs 144, 173 and the contacts 342, 346 can return to their normal position.
When the hydraulic table descends below the level of the output conveyor, an arc-shaped cam plate 181 bolted to the aforementioned plate 117 below the feed edge of the hydraulic table (Fig. 4 and 12) comes in. contact with an arm 182 fixedly mounted on a transverse shaft 183 supported and rotatable in the side frames of the machine, near their lower end, and which carries at one of its ends projecting outside a bar 184 (Fig. l) resiliently biased counterclockwise by a suitable spring device 185. As the table lowers arm 182 in its downward motion, bar 184 lowers arm 186 with contact. 350 normally closed housed in a box 187 bolted to the outer surface of the side frame 21a.
The closing of this contact 350 prepares the table to return to its upper position in a manner described below in more detail. A device is however provided to prevent the raising of the table as long as the stack of boxes deposited on the chains has not been completely removed from the hydraulic table. For this purpose, a pair of elastic bars 190a, 190b (Fig. 12) extend lengthwise of the conveyor chains near their outer sides.
On the supply side of the hydraulic lift, these bars are bolted
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born on the lowest of the spacers 33a already mentioned, which extends to a level lower than that of the conveyor chains. From this transverse angle, the elastic bars 190a, 190b gradually rise to reach a level slightly higher than that of the conveyor chains, their free ends being placed under the output edge of the hydraulic table lengthwise. of the machine.
The free ends of bars 190a and 190b are placed above rollers 192a, 192b pivoting on the upper parts directed inwards, 193a, 193b of angular arms 194a, 194b including the lower parts 195a, 195b, arranged vertically, are fixed on a transverse shaft 196. This shaft rotates in bearing blocks 197a, 197b bolted on the output flanges 41a, 41b of the side frames 21a and 21b at a level lower than that of the conveyor chains (Fig. 2. ). A bar 198 (Fig. 1) is fixedly mounted on one end of the shaft 196, resiliently biased counterclockwise by a suitable spring device 199.
In this position, the angular arms 194a, 194b resiliently hold the rollers 192a, 192b against the ends of the spring bars 190a, 190b. The movement of the bar 193 counterclockwise, against the effect of the springs 197 and due to the lowering effected by the elastic bars 190a, 190b under the effect of the weight of a stack of boxes resting thereon, operates the arm 200 of a contact 317 housed in a box 201 bolted to the outer surface of the side frame 21a near its lower end.
This contact 317 prevents the lifting of the hydraulic table in a way which will be described in greater detail later. Consequently, the hydraulic table cannot begin its return path to resume its upper position even if the arc cam 181 has closed the aforementioned contact 350 in box 187, as long as the conveyor 17 has not completely removed the stack of elastic bars 190a, 190b when these bars return to their normal position above the level of the conveyor chains, the bar 198 moves away from the arm 200 of the contact 317 under the effect of the spring 199. It is only then that the hydraulic table can begin to resume its upper position.
The hydraulic and pneumatic electrical circuits of the machine of the invention are shown in FIG. 14 where the digits 301, 302 denote the main conductors of the electrical circuit on which the individual control circuits are mounted. In practice, the operator starts the output conveyor 17 which can be an entirely separate group from the machine. At the same time, it closes the main contact 303 of the electric circuit to energize the control relay 304 of the electric motor 62 and, consequently, the motor begins to run. The closing of the main contact 303 also supplies a rectifier 306 by an appropriate transformer 305. The solenoid 307 of the clutch of the motor 65 decfit above is mounted between the terminals of this rectifier.
In series with the clutch control solenoid 307 is mounted a normally open contact 308 and therefore the engine clutch 65 remains disengaged until the contact 308 is closed. The control solenoid 309 of the braking mechanism 66, described above, of the transmission of the motor 62 to the feed belt 56 is also mounted between the output terminals of the rectifier 306. A normally closed control contact 310 is mounted in series with the brake control solenoid 309. Therefore, as soon as the main contact 303 is closed, the control solenoid 309 of the brake mechanism can be energized and keep the feed belt stationary.
But a control relay 312 is mounted in the same way between the main conductors 301 and 302, in series with a contact 314 normally closed.
This contact 314 is housed in the same box 100 and subjected to the same control mechanism as the contact 328 described above determining the opening of the hatch, but while the contact 328 is closed by the arrival of a box on the hatch 35, the contact 314 is opened by the pressure of a
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boot on the hatch 35 against the arms 95a, 95b. Therefore, when no boot is on the hatch, the control relay 312 is energized as soon as the main contact 303 is closed. This control relay 312 is arranged to open, when it is energized, the normally closed contact 310 mounted in series with the solenoid 309 controlling the brake and to close the normally open contact 303, mounted in series with the solenoid 307 controlling the brake. the clutch.
As a result, the brake mechanism 66 is disengaged and the clutch 65 is engaged. In this way, as long as the relay 312 remains energized, the motor 62 drives the feed belt 56 of the feed rail 15 by the transmission described above, so that this belt can bring the boxes coming from the conveyor by gravity. on the hatch 35.
The closing of the main contact 303 also causes current to flow through a circuit 315 formed by a solenoid 316 and two normally closed contacts 317 and 318, connected in series. When solenoid 316 is on, it sets the table hydraulic control system 29 to a position in which liquid is forced into the hydraulic cylinder 26, raising the table 29.
The hydraulic system comprises a pump 210 connected by a suitable drive belt 211 to the aforementioned motor 62 (Fig. 13). This pump draws hydraulic fluid from reservoir 212 through filter 214 and normally open valve 215 and passes it through a suitable conduit 216 with valve 217 into closed reservoir 218 containing a cushion 219 of gaseous fluid. , for example air, above the liquid that accumulates there.
The pump continues to supply the reservoir 218 with liquid in the manner described until the pressure generated in the reservoir by compressing the air cushion it contains above the rising liquid exceeds the pressure of adjustment of a decompression valve 220 mounted in a branch 221 of the pipe 216, this branch 221 then returning the liquid from the pump into the reservoir 212. A pipe 222 leads from a point of the pipe 216 downstream of the valve 217 through a normally closed hydraulic control valve 223 to the upper end of hydraulic cylinder 26.
When the solenoid 316 of the circuit 315 is energized by closing the main contact 303, this solenoid 316 places the valve 223 in a position corresponding to the opening of the circuit 222. As a result, hydraulic fluid is expelled by the valve. pressure generated in the reservoir, inside the cylinder and rapidly raises its piston 28 from the level it currently occupies until the arcuate cam plate 181 described above, supported by the hydraulic table 29, comes into contact with an arm 225 fixed on a transverse shaft 226 supported and rotating in the side frames 21a, 21b of the machine at a level slightly below the feed ramp 15 and close to the latter (Fig. 4).
One end of this shaft 226 protrudes from the side frame 21a and carries, wedged on its projecting end, a bar 227 (FIG. 1) normally biased in the direction of clockwise in FIG. 1 by a suitable spring device 228. However, this bar rotates counterclockwise when the arcuate cam member 181 contacts the arm 225 and rests on the arm. control 229 of a contact 320 housed in a boot 230 bolted to the outer surface of the side frame 21a. This contact 320 is normally open and mounted in the motor circuit 321 (Fig. 14) of a multiple relay 322.
This relay 322 is energized when the table moves the arm 225 while rising. When energized, the relay 322 opens the normally closed contact 318 mounted in the circuit 315 of the solenoid 316 controlling the feed movement of the table so as to put this solenoid out of the circuit. When the solenoid 316 becomes passive, the hydraulic control valve 223 returns to its normal position and prevents any further flow of fluid to the hydraulic cylinder 26.
Therefore, the table stops immediately below the doors of the hatch 35 as can be seen in FIG. 4 and is safely held in this position by
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a suitable valve 231 mounted in the conduit 222 at an intermediate point between the valve 223 raising the hydraulic table and the cylinder
26, while the pump running continuously begins to introduce new quantities of liquid into the reservoir 218 to replace the fluid supplied to the hydraulic cylinder and restore in this reservoir the pressure determined by the decompression valve 220 ..
Returning to the electrical circuit, it will be noted that the excitation of multiple relay 322 by closing contact 320 at the upper end of the hydraulic lift also closes a normally open contact 323, mounted in series with relay 322 and in parallel. with contact
320. This immediately closed contact 323 completes a retaining circuit 324 for the relay 322 between the conduits 301 and 302, so that this relay 322 remains energized even after the hydraulic table has lowered, its cam plate 181 in the form of an arc disengaged from the control shaft 225 of the contact 320, and allows this contact to return to its normal open position.
In addition, the energization of the multiple relay 322 closes a normally open contact 325 interposed in the motor circuit 326 of the solenoid 327 which operates the aforementioned pneumatic valve 94 which regulates the supply of air to the air cylinder 91 controlling. the hatch and which is normally adjusted to keep the hatch closed as explained above. However, despite the closing of contact 325, solenoid 327 provisionally remains inactive due to the presence of a normally open contact 328 in circuit 326.
The energization of the relay 322 further closes a normally open contact 329 in the motor circuit 330 of a solenoid 331, which when energized, moves the aforementioned hydraulic valve 215 in a manner which will be described in more detail. , to make it take a position for which the intake side of the pump 210 running continuously is connected by a duct 222 'and a part of the duct 222 to the hydraulic cylinder 26 instead of the reservoir 212, to suck the liquid from this cylinder and lower the table 29. Despite the closing of the contact 329, this solenoid 331 lowering the table remains inactive because of the mounting of the normally open contact 328 in a common bypass of the circuits 330 and 326 and also because of the presence in the circuit 330 of an additional contact 332 normally open.
Suppose now that a box passes from the gravity conveyor 50 onto the feed ramp 15 from where the belt 56 advancing continuously, passes it past the stops 75a, 75b then over the hatch 35 and against the arms 95a, 95b of the contact 314, so as to open the latter. This operation would normally interrupt the motor circuit of the control relay 312 and put this relay off to disengage the clutch 65 and immediately stop the belt 56 by the braking mechanism 66.
However, so that the trap door quickly receives another box as soon as it has placed a box on the hydraulic table which is located below it, the control contact 314 is bypassed by another normally closed contact 340, used to maintain the movement of the feed belt even if a box has been brought over the hatch, keeping contact 314 open.
This normally closed contact 340 can be housed in a box 235 mounted on the guide rail 60a of the supply rail (figs. 1 and 4) and comprises an arm 236 which extends elastically on the path of the passing boxes. along the ramp at a point in front of stop 75a. Each time a box passes on the ramp while the hatch 35 is unoccupied and that the contact 314 is therefore in the closed position, this box opens the contact 340 for a short time, which has no effect because when the contact 340 is open, the contact 314 still closes the motor circuit passing through the relay 312, and the contact 340 will be closed behind the box before it reaches the hatch and presses against the arms 95a, 95b to open contact 314. However,
if a box enters the ramp and slides on the moving belt 56 while the trap door 35 is occupied by a preceding box which keeps the contact 314 open, the displacement of the arm 236
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opens contact 340 and the two excitation paths of. ' control relay 312 thus interrupted, the supply belt 56 stops immediately and prevents the second box from encumbering the door already occupied and from coming up against the box which is there.
Returning now to the boot which is on the hatch 35, the arms 95a, 95b which are moved by the box when it comes into contact with the rubber pads 70a and 70b on the plate 41, serve not only to open. contact 314 but also to close the above-mentioned normally open contact 328 (fig. 14), placed in the same box 100 as contact 314 (fig. 1). As described above, this normally open contact 328 is mounted in the motor circuit 326 of the solenoid 327 and this circuit further contains a normally open contact 325, closed on the intervention of the multiple relay 322 as explained above.
Thus, when the contact 328 is closed, the solenoid 327 controlling the hatch is energized and causes the pneumatic valve 94 to assume a position in which it applies compressed air to the upper end of the pneumatic cylinder 91, putting at the same time the lower end of the cylinder in communication with the external atmosphere. As a result, the piston rod 90 of this cylinder is withdrawn, causing the doors 36a, 36b of the hatch to swing down. The box then disengages from the conical rollers 42a, 42b and falls on the hydraulic table 29 which occupies its highest position.
However, the normally open contact 328 is not only mounted in the motor circuit 326 of the solenoid 327 opening the hatch as mentioned above, but also in the motor circuit 330 of the solenoid 331. This circuit 330 also contains two contacts 332 and 329 normally open. Contact 329 has been closed by energizing control relay 322 as explained above and when the hatch doors have taken their fully open position, contact 332 is closed by engagement of the previously described arm 105, mounted on the shaft 40a of the door 36a with the control arm 106 of this contact 332 housed in a box 107 as mentioned above (fig. 7).
Therefore, when the hatch doors have fully opened and the box is placed on the hydraulic table, solenoid 331 is energized. The energization of this solenol causes another pneumatic valve 238 (Fig. 14) to assume a position in which it passes compressed air through the lower end of another pneumatic cylinder 239 while connecting its upper end to the atmosphere. The resulting movement of piston 240 causes the already mentioned valve 215 to assume a position in which it connects hydraulic cylinder 26 to the inlet end of continuously operating pump 210.
The liquid is therefore quickly sucked from the hydraulic cylinder 26, the table 29 begins to lower and continues to lower, even if its arc-shaped cam plate 181 releases the arm 225 and opens the contact 320, because multiple relay 322 continues to be powered by restraint circuit 324.
However, as soon as the hydraulic table has reached a level where the box it carries releases the arms 95a and 95b mounted on the shaft 96, the contact 328 returns to its open position. This has the double effect of (l) switching off solenoid 331 lowering the table and consequently stopping hydraulic table 29 and (2) switching off solenoid 327 opening the hatch, thus allowing the valve to be released. pneumatic control 94 to resume its first position in which it supplies compressed air to the lower end of pneumatic cylinder 91 while connecting its upper end to the external atmosphere.
As a result, the piston rod 90 of the hydraulic cylinder 91 goes up and closes the doors of the hatch above the box on the lowered hydraulic table, while the arm 105 on the shaft 40a of the door 36a releases the door. arm 106 of contact 332, allowing this contact to return to its normal open position.
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The release of the arms 95a and 95b by the descending box also has the effect of allowing the closing of the contact 314 mounted in the motor circuit of the control relay 312. Consequently, the relay 312 is switched on even if the next boot. keeps the contact 340 open and the feed belt 56 begins to move again and quickly passes over the hatch the boot which it may be wearing, while the shunt contact 340 of the motor circuit of the relay 312 controlling the belt can close.
The arrival of the box on the hatch then determines the same operations of opening the hatch and lowering the table as described above, so that the second boot falls on the first already placed on the hydraulic table.
To absorb the shock of the hydraulic table which descends, and which can be loaded with heavy boxes filled with products, when it suddenly stops when the switching off of the solenoid 331, acting on the hydraulic valve 215, blocks the passage 222 'between the hydraulic cylinder 26 and the inlet end of the pump 210, the conduit through which the hydraulic fluid can flow into the hydraulic cylinder and out of this cylinder may comprise a branch 241 (Fig. 14) terminating at the lower end 242 of a dash-pot 243 having a piston 244 moving against a cushion of air enclosed at the opposite end 245 of the dash-pot.
Therefore, when the passage of hydraulic fluid from cylinder 26 to pump 210 is suddenly interrupted, part of the liquid forced out of the cylinder under the pressure of the descending table may escape through branch 241 towards the dash. pot 243 because the piston 244 yields elastically, the air cushion at its upper end being compressible.
In the preferred embodiment of the invention, illustrated in the accompanying drawings, the assembly is arranged so that the return of the pneumatic control valve 238 to its initial position, determined by switching off the solenoid. 331 lowering the table, connects the air chamber 245 of the dash-pot by a narrow outlet duct 246 to the atmosphere so as to let escape a part of the air cushion contained in the upper part of the dash-pot.
To restore the efficiency of the latter, with a view to the next phase of the operation of the hydraulic table, the pneumatic control valve 238 can be used, after energizing the solenoid 331 lowering the table, to introduce compressed air not only in the lower end of the pneumatic piston 239 determining the position of the hydraulic valve 215 lowering the table, but also through the narrow duct 246 in the air chamber 245 of the dash-pot 243 to depress the piston and release part of the liquid hydraulic which is on the other side.
To increase the efficiency of this arrangement, a one-way control valve 248 may be interposed in the narrow duct 246 to reduce the exit of air from the dash-pot to the atmosphere, while allowing free air flow. air passage through the duct in the opposite direction, that is to say towards the dash-pot.
One after the other, the boots are stacked on the hydraulic table and the latter descends as each new boot arrives, in the manner already described. Finally, when the table receives the last box which must be part of a determined stack and begins to descend again, it reaches and passes lower than the level of the radial path 161 of the cam member 155, 156, 157, 158, 159 or 160 of the cam mechanism 130 which has been chosen to protrude on the path of the descending boots in order to limit the height of the piles of boots to be formed on the table.
Then, as the neighboring, laterally projecting end of the lower box on the table 29 presses on the radial path of this particular cam member and lowers the assembly of the mechanism 130, the upper part 172a of the bar 172 (figs. 9 and 11) moves the contact arm 176 as described above, which closes the normally open contact 342 bypassing the aforementioned contacts 332, 328 of the motor circuit 330 of the solenoid lowering the gear.
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ble 331. These contacts 332, 328 are normally open as explained above, but were closed during the previous phases of the machine's operation by energizing the main relay 322 and by the pressure of a boot against the arms. 95a and 95b at the upper end of the hydraulic lift.
The shunt contact 342 being closed, the solenoid 331 lowering the table remains on and the hydraulic table continues to lower even if the contact 328 opens when the last bundle of the stack passes below the level of the arms 95a and 95b . The opening of this contact 328, however, interrupts the motor circuit 326 of the solenoid 327 controlling the hatch and consequently, the doors of the hatch close as soon as the last box of the battery falls below the level of the arms 95a and 95b.
Besides closing the shunt contact 432 of the motor circuit 330 of the solenoid 331 lowering the table, the displacement of the arm 176 due to the lowering of the control mechanism 130 by the downward stack of boots, opens a contact 343 normally closed placed between the junction point 344 of the shunt contact 342 and the circuit 330 and the junction point 345 of the circuits 330, 326. The opening of this contact 343 serves to prevent accidental energization of the solenoid 327 controlling the trap by a shunt path which could otherwise be formed by the closed contacts 342 and 332. The hatch cannot therefore accidentally open when the closing of the shunt contact 342 maintains the solenoid 331 lowering the table under voltage.
As the hydraulic table continues to descend and the control mechanism 130 lowers further, the cam arch 178 at the lower end 172b of the bar 172 contacts the control arm 179 with a contact. 346 as described above (fig. 11). This contact 346 is normally closed and is mounted in circuit 326 in series with solenoid 327 controlling the trap door. Movement of contact arm 179 opens contact 346, which ensures that solenoid 327 cannot be energized and therefore the hatch remains closed while the hydraulic table lowers the entire stack onto the output conveyor C, which 'a new box may or may not be brought over the hatch.
When the descending table is close to reaching the level of the chains 125a and 125b of the output conveyor, the side projecting ends of the lower box on the table 29 contact the bars 190a, 190b and lower them (Fig. 12). ). As described above, this movement moves the contact arm 200 of a contact 317 mounted in the box 201. This normally closed contact 317 is mounted in the motor circuit 315 of the solenoid 316 raising the table and when the bars 190a and 190b are lowered, the contact 317 opens and ensures that the solenoid 316 raising the table cannot be switched on and therefore the table cannot be raised until the chains 125a and 125b of the conveyor have not removed the entire stack from the table.
Only then can the resilient arms 190a and 190b go up and the control bar 198 can disengage the arm 200, allowing the contact 317 to close.
When the stack of boots has been placed on the conveyor chains, the hydraulic table continues to descend until the camshaft 181 mounted on the table lowers the arm 182 (fig. 12). of cross shaft 183. In this manner, the arm 186 of a normally closed contact 350 mounted in the boot 187 moves. Normally closed contact 350 is in the hold circuit of multiple relay 322 (fig.
14), and when it opens, switches this relay off. As a result, the retain contact 323 of the relay 322 returns to its open position so that the relay 322 cannot be energized again until the table has returned to its highest position by closing the normally open contact 320, thus the way described above. The multiple relay 322 being switched off, the contact 329 of the motor circuit 330 of the table lowering solenoid 331 opens and consequently the lowering movement of the hydraulic table stops.
At the same time, the contact 318 of the motor circuit 315 of the solenoid 316 raising the table can resume its normally closed position.
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which raises the table as soon as the conveyor has taken the stack out of its vertical path and the contact 318 of the motor circuit of the solenoid 316 raising the table has been able to resume its normally closed position. Switching on multiple relay 322 also allows contact 325 of motor circuit 326 of solenoid 327 opening the hatch to assume its normal open position, so that this solenoid remains off in a certain way and the hatch does not. can open even if a new boot operates contact 328 as long as the table has not reached its highest point directly below the hatch.
As the conveyor chains 125a and 125b push the stack out of the open side of the hydraulic elevator, the stack releases the previously engaged cam member from the contact control mechanism 130.
As a result, the various contacts which were held in energized position by this mechanism can return to their normal position and condition the machine for the next cycle of operations. Thus * the shunt contact 342 of the motor circuit 330 of the solenoid 331 lowering the table can resume its normal open position. On the other hand, the contact 343 preventing the passage in shunt in the circuit 330 can resume its normal closed position and the contact 346 of the motor circuit 326 of the solenoid 325 opening the hatch can close.
The two contacts 317 and 318 of the motor circuit of the solenoid 316 raising the table having returned to their normally closed position, the hydraulic table 29 continues to rise in the manner previously described until it reaches its most extreme position. high, when the cam arc 181 closes the normally open contact 320 of the motor circuit of the multiple relay 322 determining the energization of this relay, which prepares the machine for another stacking operation in the manner described.
The above description applies to a particular form of the invention, and the latter is not limited to the details shown and described which can be modified without departing from the scope of the invention.
CLAIMS.
1.- Box stacking machine, characterized in that it comprises a device for supporting a box, which can drop the box it supports, a table which can move between an upper position immediately below the support device and a position less than a predetermined distance below the support device, and a device capable, when there is a box on the support device, to drop the boot onto the table and lower the table.
2.- Box stacking machine, characterized in that it comprises a device for supporting a box, which can drop the box which it supports, a table which can move between an upper position directly below the device. support and a position less than a predetermined distance below the support device, and a device capable, when there is a box on the support device, to drop the box on the table and lower the table to 'so that the box in it is below the level of the device. support.
3. - Bale stacking machine characterized in that it comprises normally closed doors capable of supporting a boot when closed, a normally stationary table capable of moving between an upper position directly below the doors and a po - position less than a predetermined distance below the doors, and a device which can, when there is a box on the doors, open the doors so as to drop the box on the table and lower the table to that the boot therein is below the level of the doors.
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