BE524214A - - Google Patents

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BE524214A
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    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F16ENGINEERING ELEMENTS AND UNITS; GENERAL MEASURES FOR PRODUCING AND MAINTAINING EFFECTIVE FUNCTIONING OF MACHINES OR INSTALLATIONS; THERMAL INSULATION IN GENERAL
    • F16HGEARING
    • F16H29/00Gearings for conveying rotary motion with intermittently-driving members, e.g. with freewheel action

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • General Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Transmission Devices (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  F. M.M.B. SALOMON, résidant à P A R I S . 



   MODE DE TRANSMISSION DE L'ENERGIE MECANIQUE. 



   La présente invention concerne un mode de transmission de l'é- nergie mécanique particulièrement utilisable comme convertisseur de couple continu, et cela pour les applications les plus variées (notamment, véhicu- les terrestres ou aériens, machines fixes de toutes sortes, commandes diver- ses, par exemple, commande de cannes, de gouvernails, de tourelles, etc... etc,..). 



   Ce mode de transmission est surtout remarquable par les carac- tères suivants, ensemble ou séparément, qui ne sont en rien limitatif s. 



   Un arbre primaire de vitesse angulaire u entraîne dans sa ro- tation un système S - par exemple, constitué par des joints articulés reliés entre eux - et ce système est tel qu'à l'extrémité opposée à l'arbre primai- re, la vitesse angulaire u se trouve altérée et oscille périodiquement entre une valeur maxima M supérieure à u et une valeur minima m inférieure à w. 



   La vitesse maxima M est ainsi atteinte un certain nombre de fois par tour de l'arbre primaire. 



   A chacun des instants où cette vitesse maxima M est atteinte, elle est transmise par au moins un "sélecteur" ou "redresseur" (roue-libre ou encliquetage, par exemple) à un arbre récepteur qui est ainsi entraîné, à ces instants, à cette vitesse angulaire maxima M, 
On obtient ainsi un convertisseur de couple (on dit aussi : "changement de vitesse") dans le rapport de vitesses m/u (avec rapport des couples récepteur et moteur m/M. 



   Il s'agit d'obtenir, pour le rapport m/w, une   valeur   progres- 

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 sivement variable. Ce résultat est obtenu grâce à l'organisation du systè- me S. 



   Dans ce but, on peut modifier graduellement la configuration de ce système S de manière que l'altération de vitesse angulaire qu'il   provoque   soit plus ou moins grande; on obtient ainsi des maxima M et des minima m plus ou moins accusés par rapport à la vitesse angulaire u de l'arbre pri- maire. 



   Par suite, le rapport des vitesses M/u varie graduellement. 



   A titre d'exemple, le système S peut être un système articulé, et, notamment, un système comprenant un, deux ou plusieurs joints de Cardan. 



   Comme il est bien connu, ce joint comporte essentiellement un croisillon rectangulaire pour deux axes rectangulaires et permet de transmet- tre le mouvement circulaire d'un arbre primaire à un arbre secondaire, dont l'axe fait avec l'axe de l'arbre primaireun angle 1. 



   Dans ces conditions, on sait que, si u est la vitesse angulaire (supposée constante) de l'arbre primaire, la vitesse de l'arbre secondaire est ondulée   (c'est-à-dire   qu'elle est la somme d'une vitesse de signe cons- tant et d'une vitesse alternative).elle atteint un maximum u/cos i et passe   cos 1    par un minimum qui est u cos i. 



   Dans ces conditions, la vitesse maxima u est transmise par un sélecteur (ou redresseur) (roue libre ou encliquetage, par exemple) à un arbre récepteur qui tourne donc (et d'un mouvement sensiblement uniforme, s'il comporte une inertie polaire suffisante) à la vitesse angulaire cons- 
 EMI2.1 
 tant6 ctl ' 
Le rapport des vitesses de l'arbre récepteur et de l'arbre moteur est ainsi : 
 EMI2.2 
 
On obtient donc une multiplication de vitesses dans le rapport 1/cosi et il suffit donc de faire varier graduellement l'angle i pour faire varier graduellement le rapport des vitesses. 



   On peut, on l'a dit, utiliser, non pas un joint, mais deux ou plusieurs joints; - par exemple,disposés en série 
Comme il est bien connu, en calant convenablement les joints les uns par rapport aux autres et pour des angles convenables, on peut ob- tenir une transmission "homocinétique", c'est-à-dire une transmission dans laquelle l'arbre secondaire tourne à une vitesse angulaire égale à celle de l'arbre primaire à tout instant, 
Hais c'est un résultat tout différent que l'on recherche   ici :   en général, dans la présente invention, au contraire, on cale les joints successifs, les uns par rapport aux autres, de façon à obtenir une altéra- tion voulue de la vitesse angulaire à la sortie de la chaîne de joints. 



   Par exemple, on peut, avec deux joints successifs, avec des ca- lages convenables, obtenir pour l'arbre secondaire, un maximum de vitesse 
 EMI2.3 
 cos il cos i 2 si l'on communiaue - ce maximum de vitesse cos il cas i- à un arbre récepteur par l'intermédiaire d'un sélecteur (roue-libre ou en- cliquetage, par exemple), cet arbre récepteur prendra sensiblement cette 
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 vitesse #######:#. vitesse cos 11 u cos '2 vitesse cos il cos 2 

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   En modifiant graduellement les inclinaisons il et i2 on peut ainsi obtenir un convertisseur de couple continu.   



   D'une manière plus générale, le nombre de joints mis en série, avec des calages convenables les uns par rapport aux autres et des inclinai- sons il, i2, i3 .... etc. des axes des arbres successifs les uns par rapport aux autres, peut être quelconque. 



   Ces inclinaisons (ou certaines d'entre elles) peuvent être va- riées, soit sous la volonté de l'homme chargé de conduire la machine (con- ducteur d'un véhicule, par exemple), soit sous la dépendance d'un   mécanis-   me automatique, soit à la fois, sous la dépendance d'un homme et sous la dépendance d'un mécanisme automatique et aussi éventuellement sous l'action d'une serve-commande, 
Les joints du type à articulation ou de tous autres types, pou- vant éventuellement comporter des matières souples, ne sont qu'un des moyens de réaliser le système S, et l'on ne vient d'en parler qu'à titre d'exemple. 



   Diverses particularités de l'invention apparaîtront à la lecture de la description. 



   Les figures ci-annexées ont surtout pour but de bien faire com- prendre l'invention et n'ont absolument rien de limitatif. 



   La fige 1 est une coupe longitudinale d'un mode de réalisation   de-l'invention,   plus particulièrement mais non exclusivement applicable aux véhicules. 



   La fig, 2 montre, en coupe transversale, une des parties de ce mode de réalisation. 



   Les figs. 3 et   4   concernent un mode de réalisation dans lequel on utilise deux systèmes jumelés agissant avec des décalages convenables dans le temps,de façon à améliorer la régularité des couples. 



   Les figs. 5, 6 et 7 concernent des modes de réalisation où le système S est constitué par deux joints de Cardan. 



   La. fig. 8 montre une forme de réalisation connue de sélecteur, utilisable,   parmi   d'autres, dans le cas de la présente invention. 



   Les figs. 9 et 10 sont des schémas relatifs aux figs. 1 et 3. 



   En fig. 1, l'arbre primaire 1, arbre de sortie d'un embrayage ou coupleur 2 de type quelconque, passe dans des paliers 3 portés par le carter 5, 
Sur l'arbre 1 est claveté un pignon 4, qui engrène avec une roue dentée 6 clavetée sur ub arbre 7 porté par des paliers 8. 



   L'arbre 7 entraîne dans sa rotation un joint de Cardan 9, d'axes 10 et 11 formant croisillon. 



   Sur l'axe 11 pivote une chape 12 qui termine un arbre 13 solidai- re en rotation d'une chape 14 mais pouvant coulisser par rapport   à   elle. 



   Dans cette chape peut tourillonner l'axe 16 d'un croisillon d'axes rectangulaires 15 et 16. 



   Sur l'axe 15 s'articule une chape 17 solidaire d'un arbre 18, centré dans deux paliers 19 portés dans un boîtier 20. La chape 14 est dé- calée de par rapport à la chape   11,   de façon à obtenir une altération maxima de la vitesse. (Dans une transmission homocinétique, on les aurait, au contraire, faites parallèles). 



   Ce boîtier 20 est - comme on le verra plus loin - maintenu de façon que l'axe géométrique de l'arbre 18 reste parallèle à l'axe géométri- que de l'arbre 7. 

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   Des joints 21 et 22 identiques (ou analogues) aux joints 9 et 14,   communiquent   la rotation de l'arbre   18   à l'arbre 23 (en prolongement de l'arbre   7),   porté par les paliers   24.   



   Les joints de Cardan formant chaîne, entre l'arbre 7 et l'arbre 23, sont, de proche en proche, décalés les uns par rapport aux autres, de façon à augmenter, de proche en   proche)'   l'altération de-la vitesse angulaire. 



   L'arbre 18 porte les épaulements butées 25 et 26. 



   L'arbre 23 porte l'épaulement butée 27. 



   L'arbre 23, qui, est un arbre intermédiaire, est solidaire de la partie intérieure 28 d'un sélecteur, (ou roue-libre) dont la partie ex- térieure 29 est portée par une toile 30 solidaire de l'arbre intermédiaire 31 porté par les paliers 32. 



   L'arbre 31, grâce à un accouplement 33,- de préférence élasti- que ou semi-élastique -entraîne un arbre 34 porté par les paliers 35 de la boîte de vitesses auxiliaire 36. 



   L'utilisation de cette boîte auxiliaire n'est pas forcément in- dispensable. Elle est un cas d'espèce. Elle sera avantageuse dans diverses applications, - par exemple, dans le cas de certains   véhicules - .     On   la dé- crira plus loin, 
En ce qui concerne le "sélecteur" attaqué par l'arbre 23, la Fige 8 en montre, à titre d'exemple, une forme - d'ailleurs bien connue - mais on peut en utiliser d'autres formes. 



   Le dispositif de la fig.8 montre, entre la partie intérieure 28 et la partie extérieure 29 du sélecteur, des rouleaux 37 qui, lorsque la vitesse de la partie interne 28 tend à dépasser celle de la partie externe 29, dans le sens de   la flèche   F, se coincent entre la jante 29 et les rampes   40,   à la manière bien connue. 



   (Des ressorts 38, logés dans des cavités 39, agissent sur des poussoirs 41 et, grâce à eux, assurent le contact entre rouleuax et rampes, quand les rouleaux sont décoincés). 



   Le fonctionnement de sélecteurs de ce type est bien connu - et il n'y a pas lieu de   l'exposer - .   On peut utiliser d'autres sélecteurs. 



   Le   f onctionnement   du dispositif de la fig. 1 est dès lors, le suivant : 
L'arbre 1, grâce au pignon 4 et à la roue 6, entraîne l'arbre 7, et, par son intermédiaire et l'intermédiaire des joints de Cardan qui le re- lient à l'arbre 23 entraîne cet arbre 23. 



   Or, on l'a vu, les croisillons de ces joints sont décalés les uns par rapport aux autres de telle façon que la transmission ne soit pas homo- cinétique -contrairement à ce qu'on cherche d'ordinaire - mais, au contrai- re, qu'elle transmette une vitesse ondulée, l'ondulation augmentant d'un jcint au suivant. 



   Pour un décalage de Ò/s d'un joint au suivant, si les angles d'inclinaison des arbres successifsintermédiaires sont il, i2' i3' i4' (voir le schéma de la   fig.   9) la vitesse angulaire V de l'arbre 23 passe par le   MAXIMUAM u , si u est la vitesse (supposée uniforma cos i cos i2 cos i cos i uniforme de l' ar re 7.)2 4   
Cette vitesse maxima est communiquée par le sélecteur - déjà décrit - à l'arbre 31 et à l'arbre 34. 



    Dans le cas de la fig. 1, on a : u1= i2 = i3 = i4' en valeur absolue, mais ce n'est pas indispensable.   

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   Pour faire varier graduellement le rapport v/u, il suffit de    faire varier les inclinaisons il, i2' i3' i4' (ou seulement certaines d'entreelles).   



     On   va indiquer un moyen de le faire. 



   Le boîtier 20 porte, on l'a vu, les roulements 19 dans lesquels passe l'arbre intermédiaire 18. 



   Le boîtier 20 (fig. 2) est porté par un maneton 43 d'axe   42,   perpendiculaire au plan de la fig. 2, mais parallèle à l'axe de l'arbre 18 de la fig. 1 ( et aussi parallèle à l'axe de l'arbre 7 de la fig. 1). 



   D'autre part, le maneton 43 est solidaire d'un maneton 44 sur lequel s'articule en 45 une biellette 46. Cette biellette est à l'extrémi- té d'une tringlerie qui peut être commandée par le conducteur du véhicule, ou par un dispositif de serve-commande ou par un dispositif automatique. 



   L'axe géométrique de l'axe mécanique 42 (fig. 2) est placé de telle sorte que, si l'on fait tourner d'un certain angle le maneton 43 au- tour de l'axe   42,   l'axe géométrique de l'arbre 18 coïncide avec l'axe géo- métrique de l'arbre 7. 



   Dans ce cas, les arbres des joints successifs sont en prolonge- ment les uns des autres entre l'arbre 7 et l'arbre 23. 



   Alors, le mouvement transmis au sélecteur n'est pas ondulé, mais uniforme : si u est la vitesse angulaire constante de l'arbre 7, c'est aus- si, à tout instant, la vitesse angulaire à laquelle l'arbre 31 est   entra!-   né par le sélecteur. 



   Au contraire, en faisant tourner le maneton   43   autour de l'axe 42, on écarte progressivement l'arbre 18 de cette position pour lui donner progressivement une position telle que celle qui est représentée en Fig. 1, dans laquelle l'arbre 18 est encore parallèle à l'arbre   7,   mais est écarté plus ou moins du prolongement de cet arbre. 



   En faisant tourner le maneton   43,   on a augmenté progressivement les inclinaisons   il,   i2' i3' i4' des arbres à Cardan successifs, les uns par rapport aux autres, et par conséquent, on a augmenté progressivement le 
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 facteur cos il cos izlcos i3 cos 3 qui était égal à pour i., 1 = io 2 = cos x cos 4 cos 3 cos 4 i3 = i4 = 0 (position dans laquelle les arbres sont tous en prolongement) et qui est supérieur à 1 quand cette condition n'est pas satisfaite. 



   Comme on l'a vu ci-dessus,grâce au sélecteur, l'arbre 31 est entraîné à la vitesse : 
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 qui a donc bien varié progressivement. 



   On va maintenant montrer le rôle de la botte de vitesses conte- nue dans le carter 36 (fig. 1). 



   Cette botte de vitesses est ici d'un type classique. (On pour- rait, bien entendu, utiliser un autre type de botte classique ou encore une botte de vitesses de type nouveau). 



     L'arbre   34 entraîne en rotation les baladeurs 49 et 50 manoeu- vrables grâce aux fourchettes 51 et 52. 



   Au contraire, les pignons 53 et 54 sont fous sur l'arbre 34. et, respectivement, toujours en prise avec les pignons 55 et 56, qui, eux, sont solidaires,de l'arbre récepteur   57.   

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   Cet arbre 57 est aussi solidaire du pignon 58, servant à la mar- che arrière, comme on le verra plus loin, en conjugaison avec le pignon in- termédiaire 59. 



   Dans ces conditions, pour la position représentée du baladeur 50, l'arbre 34 entraîne l'arbre 57, par l'intermédiaire des pignons 54 et 56, 
Ce qui donne un certain rapport de démultiplication IL entre les arbres 34 et 57., l'arbre 57 tournant plus vite que l'arbre 34. 



   Au contraire,si le baladeur 50 entraînait le pignon 53, l'arbre 34 entraînerait l'arbre 57 par l'intermédiaire des pignons 53 et 55, avec rapport de démultiplication K2. Alors, l'arbre 57 tournerait moins vite que l'arbre   34.   



   Pour chacun de ces rapports   K,   et K2' on obtient une gamme de vitesses en nombre infini grâce au convertisseur continu, contenu dans le carter 5 et qui a été décrit ci-dessus. 



   La marche arrière s'obtient, selon un procédé bien connu, le baladeur 49 met le pignon 48 (solidaire en rotation de l'arbre 34) en prise avec le pignon inverseur 59 toujours en prise avec le pignon 58. Pour cette combinaison on obtient, évidemment, une gamme de rapports de vitesses en nombre infini,   grce   au convertisseur continu décrit ci-dessus. 



   On va maintenant décrire un dispositif accessoire de la fig. 1 - qui peut être omis en divers cas, mais peut avoir un intérêt particulier dans d'autres, notamment pour les véhicules, et qui assure ce qu'on appelle souvent : "le freinage par le moteur". 



   L'arbre 1,porté par les paliers 3, est solidaire de la partie extérieure 60 d'une roue-libre dont la partie intérieure 61 est solidaire d'un arbre auxiliaire 62, porté par des paliers 63, dont l'axe est en pro- longement de celui de l'arbre 1. 



   La roue- libre dont on vient de parler peut être du type quelcon- que, et, notamment, du type à rouleaux de   coincement,   et la fig. 1 montre des rouleaux   64.   



   Elle est construite de telle manière que l'arbre 62 ne peut pas tourner plus vite que l'arbre 1 dans le sens de la rotation normale de cet arbre. 



   Enfin, l'arbre 62 est solidaire d'un pignon 65, toujours en pri- se avec le pignon 66, solidaire de l'arbre 31. 



   Dans ces conditions, le fonctionnement en "freinage par le moteur" a lieu comme suit : on suppose que l'arbre 23 tourne moins vite que l'arbre 31 (dans le sens normal de rotation ), alors, le sélecteur monté entre les arbres 23 et 31 fonctionne "en roue-libre",et le véhicule marche sur son er- re. Mais alors l'arbre 62 tend à tourner plus vite que l'arbre 1, mais la roue-libre 60-61 empêche l'arbre 62 de tourner plus vite que l'arbre 1. 



   La vitesse de l'arbre 31 est donc limitée par la vitesse de l'ar- bre 1.   D'où   freinage par le moteur. 



   Le dispositif des fig. 3 et 4 ne diffère pas essentiellement de celui des fig. 1 et 2. 



   Il présente toutefois des particularités qui vont maintenant être décrites. 



   La fig. 3 montre, en vue transversale, des organes décrits pré- cédemment. 



   En particulier, le système S est ici constitué par les mêmes joints de Cardan qu'en Fig. 1, mais avec la différence suivante : le système 

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 de joints de la fig, 1 figure (schématiquement) un trapèze (voir fige 9), car l'axe de l'arbre 18 est, par construction du système, maintenu parallè- le à l'axe des arbres coaxiaux 7 et 23. (Pour faire vairer la déformation de la vitesse de l'arbre 23 et, par suite, le rapport des vitesses des ar- bres moteur et récepteur, on fait varier la distance des bases de ce trapè- ze, ce qui modifie les angles il, i2' i3' i4). 



   Au contraire, les joints de Cardan de la fig. 3, au lieu de des- siner (schématiquement ) un trapèze, dessinent une sorte de "Z" dont la bar- re médiane est d'inclinaison variable (schéma de la fig,   10).   



   Dans ce cas, pour faire varier la déformation de la vitesse de l'arbre 23,on fait varier l'inclinaison de la barre médiane du   "Z".   



   Dans le cas particulier où le   "Z"   est complètement aplati et ré- duit à une ligne droite, l'altération de vitesse   angulaire   est nulle :l'ar- bre 23 tourne alors à une vitesse angulaire uniforme égale à la vitesse de l'arbre 7 
Plus la déformation de barre médiane du Z augmente, plus les in- clinaisons 1 i1' i2' i3' i4' des angles d'inclinaison des joints de Cardan successifs augmente, et, par suite, plus diminue le facteur cos il cos i2 cos i3 cos i4 intervenant dans la vitesse maxima de l'arbre 23. 



   Plus augmente, par conséquent le facteur : 
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 donc plus augmente la vitesse maxima de l'arbre 23. 



   Plus augmente donc la vitesse de l'arbre 31, qui, grâce au sé- lecteur interposé, est entraîne à cette vitesse maxima. 



   La variation d'inclinaison de la barre médiane du   "Z"   étant gra- duelle, on obtient donc une vitesse graduellement variable pour l'arbre 31. 



   La fig. 4 montre, que, dans le dispositif des Fig, 3 et 4, l'ar- bre 1 attaque, par son pignon 4, non plus une seule roue dentée 6, mais deux roues dentées   6,  disposées symétriquement, de façon à entraîner deux arbres jumaaux parallèles. 



   Ces deux arbres, par l'intermédiaire de deux "sélecteurs" iden- tiques, entraînent deux arbres 31 parallèles (Fig. 3 et 4) au lieu d'un, et ces arbres attaquent à leur tour, symétriquement, l'arbre 62, qui est ici l'arbre récepteur, (et qui porte, comme en fig. 1, un dispositif de roue- libre 60-61 pour le "freinage par le   moteur"),   avec rouleaux de coincement 64. 



   Il y a toutefois ici une particularité : les joints de Cardan de l'arbre jumeau de la fig. 4 (au bas de cette figure) sont respectivement décalés de Ó/2 par rapport aux joints de l'arbre jumeau du haut de la même figure. 



   Il en résulte que les maxima de vitesse de l'arbre 23 du haut et de l'arbre 23 du bas sont décalés de   T   
2 
Par tour d'un des arbres 23, il y a deux maxima de   vitesse.     On   obtient donc ainsi quatre maxima dans la durée d'un tour d'un arbre 23. Ce qui améliore la régularité, 
On pourrait, au lieu d'utiliser deux arbres 23, en utiliser trois ou un plus grand nombre, de préférence également répartis autour de l'arbre 1. 

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   La fig, 4 montre, de plus comment peut varier l'inclinaison de la barre médiane du "Z" dessine schématiquement   (Fig.10)   par les joints de Cardan successifs. 



   Sur les boîtiers 20 des arbres médians   18,   (ceux qui constituent la barre médiane du "Z") est monté un arbre 71 qui repose, par tourillons 72 dans des paliers   73   portés par le carter 5. 



   L'axe géométrique de l'arbre 71 est perpendiculaire aux axes des arbres 7 et concourant avec eux. 



   L'arbre 62 passe à travers l'arbre 71, grâce à l'ouverture 74. 



  Cette ouverture est suffisante, car la variation d'inclinaison de l'arbre   71   est assez limitée. 



   Cette variation d'inclinaison s'obtient en agissant sur une trin- glerie qui n'a pas été représentée. 



   On a cependant représenté (en fig. 3) l'extrémité de cette trin- glerie, le maneton 75 portant une articulation 76. 



   Les fig. 5, 6, 7 concernent un mode de réalisation de l'inven - tion dans lequel une chaîne de joints de Cardan constituait le système S ne comprend que deux joints. 



   La   fige 5   est une vue en élévation, la fige 7 une coupe du dis- positif qu'on suppose être regardé par dessus. 



   Comme précédemment, l'arbre 1 entraîne, par pignon   4,   le pignon 6 d'axe 7 porté par paliers 8; mais ici, ces paliers 8 ne sont pas fixes par rapport au carter   5.   



   Pour un régime de transmission donné, leur position par rapport a ce carter ne varie pas; mais, d'un régime à l'autre, leur position, comme on va le voir, peut varier graduellement par rapport à ce carter. 



   En effet, (Fig. 6) les paliers 8 sont portés par un levier 77 centré sur les portées lisses 78 coaxiales à l'arbre 1 (fig. 5). 



   Le levier 77 peut ainsi tourner graduellement autour de l'axe géométrique de l'arbre 1 sous l'action de la tige 79 articulée en   80 :  cette tige peut être commandée par le conducteur de la machine (notamment du véhi-   cule   dans le cas d'un véhicule) ou par tout dispositif   automatique   ou de serve-commande. 



   D'autre part, l'arbre 7 est relié par les joints de Cardan   81   et 82 (eux-mêmes reliés par l'arbre coulissant 83) à un arbre 84 (Fig. 5 et 7) passant dans les paliers fixes 85   (Fig.     7)   portés par le carter 86 (Fig. 5 et 7). L'arbre 84 est parallèle à l'arbre 7. Les joints de Cardan   81   et 82 sont décalés l'un par rapport à l'autre de Ò de façon que l'altération de vitesse angulaire maxima, de l'arbre 84 par rapport à l'arbre 7 soit 1/co2i si i est l'angle de l'arbre intermédiaire 83 par rapport cos i à l'arbre d'entrée 7 et à l'arbre de sortie 84 (Fig. 7). 



   Si l'on change la position de   l'arbre   7, en agissant sur la ti- monerie de commande pour faire tourner le levier 77, on modifie graduelle- ment cet angle   i.   



   On obtient donc ainsi un   converti s-seur   de couple continu, car, sur l'arbre de sortie 84, se place, comme dans les dispositifs décrits ci- dessus, un "sélecteur" (non représenté en fig. 5,   6, 7)   qui agit comme dans les cas des figures précédentes. 



   L'arc de cercle (C) (Fig. 6) décrit par l'axe géométrique de l'arbre 7 passe par le point P (Fig. 6) projection de l'axe géométrique de l'arbre 84 (Fig, 6), 

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Donc l'arbre 7 peut être mis en prolongement de l'arbre   84.   



   Lorsque les arbres 7   et 84   sont en prolongement, l'angle i est nul et il n'y a donc plus alors d'altération de la vitesse angulaire. Par   suite,.   l'arbre   84   tourne à chaque instante à la même vitesse que l'arbre 7. u étant la vitesse constante de l'arbre 7, la vitesse maxima de l'arbre   84   peut donc varier graduellement depuis la valeur u, jusqu'à la valeur :    cos2/u s,imax étant la plus grande valeur que puisse prendre cos   max l'angle i, 
L'invention est susceptible des variantes les,plus étendues. 



   En particulier, dans les modes de réalisation décrits ci-des- sus, la vitesse de l'arbre moteur est d'abord, réduite par engrenages, (pignon 4 et roue dentée 6). 



   Une telle disposition peut présenter l'avantage de réduire la fréquence des ondulations produites par le système altérateur de vitesses S. 



  Mais cette disposition n'est pas toujours nécessaire, c'est un cas d'espèce 
En ce qui concerne le système altérateur de vitesse S, il peut prendre les formes les plus variées sans sortir du cadre de l'invention. 



   On peut utiliser, notamment, les formes les plus variées de joints à articulations ou constitués de matière souple. 



   Parmi les joints on utilisera spécialement les diverses varié- tés de joints de Cardan ou de joints analogues, disposés en série ou en pa- rallèle ou, à la fois, en série et en' parallèle. 



   Le schéma équivalent aux joints en question peut être "en tra- pèze" ou en   "Z",   comme on en a vu ci-dessus des exemples, ou encore avoir la forme d'une ligne brisée quelconque, plane ou gauche, 
La variation de la configuration du système altérateur S peut - on l'a vu - être faite, soit sous l'action du conducteur de la machine (par exemple, du véhicule) soit sous l'action d'un dispositif de serve-commande. 



   On peut utiliser aussi des combinaisons de ces variantes. 



   La   servo-commande   peut utiliser un servo-moteur (électrique ou non) ou comporter l'action de fluides, (commandes hydrauliques, par exemple, des types les plus variés). 



   Comme on l'a vu ci-dessus, à la transmission faisant l'objet de l'invention peut être ajoutée une boîte de vitesses. Cette botte peut être de type quelconque (épicycloïdal ou non, électro-magnétique ou mécanique, u- tilisant les solides ou les fluides, etc....) 
Cette botte de vitesses peut donner un certain nombre de rapports fixes (pour marcher dans un sens ou dans l'autre) et, dans ces conditions, la transmission fournit entre ces rapports fixes, des gammes continues de vitesses. 



   Comme on l'a vu ci-dessus également, le nombre de sélecteurs utilisé peut être supérieur à l'unité. On peut donc, notamment, "polyphaser" l'attaque de l'arbre secondaire par l'utilisation d'un nombre quelconque de "sélecteurs" dont les actions sont décalées dans le temps. 



   Les joints ne sont qu'un des moyens de réaliser le système S, comme on l'a déjà indiqué. On peut utiliser des systèmes articulés, de for- mes très variées déterminant une altération de la vitesse angulaire introdui- te à l'entrée du système S. 



   Des accouplements élastiques peuvent être utilisés, souvent avec avantage, en divers points de la transmission. 



   De même, des supports élastiques en divers points des supports. 

 <Desc/Clms Page number 10> 

 



   En particulier, on peut disposer les supports de telle manière que le ou les couples de réactions soient communiqués au dispositif avec é- lasticité. 



   Dans le cas où intervient une commande automatique, elle peut, notamment, être fonction à la fois des vitesses et des couples, et notamment du couple de réaction. Dans ce dernier cas,on peut obtenir une mesure du ou des couples de réaction par interposition de substances élastiques (res- sorts, par exemple). 



   REVENDICATIONS. 



   1. Dispositif pour la transmission de l'énergie mécanique, plus spécialement utilisé comme convertisseur de couple, comprenant au moins un système cinématique de transformation entraîné en rotation par un arbre mo- teur, caractérisé par le fait que le système cinématique de transformation comprend au moins un joint de transmission qui déforme les vitesses de rota- tion, ledit système cinématique de transformation transformant ainsi le mou- vement de l'arbre moteur en mouvement périodique ondulés d'au moins un arbre auxiliaire, les amplitudes maxima de vitesse de cet arbre auxiliaire étant transmises à un arbre récepteur par l'intermédiaire de sélesteurs d'impul- sions mécaniques,

   la variation continue du rapport des vitesses des arbres moteur et récepteur étant obtenue en faisant varier d'une façon continue la valeur des amplitudes maxima de vitesses de l'arbre auxiliaire.

Claims (1)

  1. 2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que le joint de transmission déformant les vitesses est un joint articulé.
    3. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que le joint de transmission déformant les vitesses est un joint de Cardan, 4. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que le joint de transmission déformant les vitesses est un joint mécanique sensiblement équivalent à un joint de Cardan.
    5. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que les arbres intermédiaires entre chaque joint ont une incli- naison variable, en vue de faire varier les amplitudes maxima de vitesses de l'arbre auxiliaire.
    6. Dispositif selon l'une des revendications 3 et 4, caractéri- sé par le fait que quatre joints, substantiellement équivalents à des joints de Cardan sont utilisés, et que les centres de ces joints forment une figure analogue à un "trapèze".
    7. Dispositif selon l'une des revendications 3 et 4, caractéri- sé par le fait que quatre joints, substantiellement équivalents à des joints de Cardan sont utilisés, et que les centres de ces joints forment une ligne EMI10.1 analogue à un 7" , 8. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que plusieurs arbres auxiliaires sont régulièrement disposés autour de l'ar- bre moteur, chacun d'eux entraînant un arbre récepteur par le moyen d'un sé- lecteur d'impulsions mécaniques.
    9. Dispositif selon la revendication 8. caractérisé par le fait que tous les arbres récepteurs sont connectés à un seul arbre récepteur fi- nal.
    10. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que plusieurs systèmes de transformation sont utilisés et que les impulsions produites sont régulièrement espacées dans le temps en vue de régulariser le couple agissant sur l'arbre récepteur final.
    11. Dispositif selon les revendications 1 et 6, caractérisé par le fait que la variation du rapport des vitesses des arbres moteur et récep- teur est réalisée par la variation de la distance des bases du "trapèze". <Desc/Clms Page number 11>
    12. Dispositif selon les revendications 1 et 7,caractérisé par le fait que la variation du rapport des vitesses des arbres moteur et récep- teur est réalisée par la variation de l'inclinaison de la barre médiane du "Z".
    13. Dispositif selon les revendications 1, 6 et 11, caractérisé par le fait que le rapport des vitesses des arbres moteur et récepteur égal à l'unité est réalisé en annulant la distance des bases du "trapèze".
    14. Dispositif selon les revendications 1, 7 et 12, caractérisé par le fait que le rapport des vitesses des arbres moteur et récepteur egal à l'unité est réalisé par l'aplatissement du "Z".
    15. Dispositif selon l'une des revendications précédentes, ca- ractérisé par le fait qu'une roue-libre agissant dans le sens convenable est utilisée pour obtenir le freinage par le moteur, 16. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait qu'une première roue est entraînée en rotation par l'arbre moteur, une deuxiè- me roue est entraînée par la première, l'axe de l'arbre de cette seconde roue pouvant avoir un mouvement de rotation autour de l'axe de l'arbre mo- teur , un système cinématique de transformation est entraîné par l'arbre de la seconde roue, la rotation de l'axe de l'arbre de la seconde roue produi- sant une déformation continue du système cinématique de transformation en vue de modifier d'une façon continue le rapport des vitesses de rotation des arbres moteur et récepteur.
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Cited By (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE1145455B (de) * 1958-02-06 1963-03-14 Paul Schatz Auf dem Prinzip der umstuelpbaren Kette beruhende Vorrichtung zur Erzeugung einer taumelnden und rotierenden Koerperbewegung
DE1258673B (de) * 1965-09-11 1968-01-11 Bbc Brown Boveri & Cie Kardangelenkkupplung

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DE1145455B (de) * 1958-02-06 1963-03-14 Paul Schatz Auf dem Prinzip der umstuelpbaren Kette beruhende Vorrichtung zur Erzeugung einer taumelnden und rotierenden Koerperbewegung
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