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BARNES DRILL CO, résidant à ROCKFORD, Winnebago (E.U.A.).
MACHINE A RECTIFIER OU A REALESER.
Cette inverti.on concerne de façon générale les machines à rec- tifier ou à réaléser dans lesquelles Il'alésage d'une-.pièce est agrandi et terminé par un outil de rectification qui y exécute un mouvement alterna- tif, cet outil étant supporté par une des extrémités d'une broche rotati- ve et comportant une série de meulettes abrasives espacées angulairement et étudiées pour être sorties par un mouvement dexpansion ou, au contrai- res rentrées par un mouvement de rétraction sous l'action d'un organe mo- bile axialement à travers cette broche.
L'invention concerne plus parti- culièrement la façon de terminer le cycle de rectification ou de réalésage grâce à l'application nouvelle d'un organe calibreur pouvant venir en con- tact de palpation ou, au contraire,s'écarter du contact de palpation avec une extrémité de la paroi de l'alésage et apte à pénétrer celui-ci quand il a atteint un calibre prédéterminé.
Le but essentiel de l'invention est de permettre la réalisa- tion d'un dispositif de contrôle automatique du calibrage effectué comme il vient d'être indiqué et dont la précision de mesure du calibre de l'a- lésage ne subisse pas d'influence par suite d'une usure inégale des meulet- tes de rectification ou bien par un décentrage de la broche portant l'ou- til, voire par un montage irrégulier de la broche dans la machine.
Un autre but plus particulier de l'invention est de permettre de donner le calibre convenable à l'alésage de la pièce grâce à l'utilisa- tion d'un organe palpeur et calibreur entourant sans serrage la broche en vue de son engagement avec la partie terminale de la paroi de l'alésage en plusieurs points angulairement espacés sur elle et monté en vue de flot- ter librement dans le sens transversal afin d'être centré automatiquement par rapport à l'alésage de la pièce au cours de son contact de palpation initial avec la paroi de l'alésage.
L'invention réside également dans un nouveau mode de montage
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de l'organe palpeur,afin de réaliser le degré désiré de flottement laté- ral et de conserver sa position initialement centrée pendant la partie des mouvements de va-et-vient subséquents de l'outil de rectification quand cet organe palpeur n'est plus en contact avec la pièce.
L'invention est matérialisée dans une machine de rectification ou de réalésage comprenant un porte-pièce, une tête porte-outil pouvant aller et venir, une broche rotative portant un outil de rectification, un mécanisme pour faire avancer la tête porte-outil afin qu'elle engage ledit outil dans l'alésage de la pièce, puis fasse aller et venir cet outil dans cet alésage, un organe calibreur engageable contre une extrémité de la paroi de l'alésage au moins à trois endroits angulairement espacés sur le pourtour de la broche mais radialement écartés d'elle vers l'extérieur, cet organs calibreur comportant une surface de calibrage apte à venir porter contre l'extrémité de la paroi de l'alésage et à être bloquée par elle si cette paroi a un calibre insuffisant et à pénétrer dans l'alésage si ce dernier a été rectifié au calibre désiré,
un élément détectant l'entrée in- tégrale de l'organe calibreur dans ledit alésage, de façon à signaler le réalésage de celui-ci selon le calibre désiré, et une console de support reliée à la tête porte-outil pour participer à son mouvement dans une par- tie de l'étendue de son va-et-vient, cette machine étant caractérisée no- tamment en ce qu'un organe est prévu sur la console pour supporter l'or- gane calibreur en vue de lui permettre d'exécuter un libre mouvement flot- tant par rapport à cette console transversalement à la broche ainsi qu'un mouvement axial le long de la broche,ledit organe calibreur étant sollici- té axialement vers la paroi de l'alésage.
Dans les dessins schématiques annexés : -
Les figs* 1, 2 et 3 sont des vues en élévation de face frag- mentaire d'une machine de rectification ou de réalésage équipée d'un mé- canisme calibreur c'est-à-dire détecteur de calibre comportant les parti- cularités nouvelles qui font l'objet de l'invention.
La fig. 4 est une vue en coupe transversale fragmentaire dessinée à plus grande échelle, la coupe passant par un plan contenant l'axe de la pièce et les guides de l'organe palpeur.
La fig 5 est une vue en coupe fragmentaire dessinée à plus grande échelle et passant par la ligne 5-5 en fig. 4.
La fig. 6 est une vue en coupe fragmentaire passant par la ligne 6-6 en fig'. 4.
Les figs. 7 et 8 sont des vues agrandies montrant divers é- tats d'engagement entre l'organe palpeur ou détecteur de calibre et la paroi de l'alésage de la pièce.
La fig. 9 est une vue fragmentaire semblableà la fig. 4.
La fig. 10 est une vue schématique et un diagramme des con- nexions de cette machine de rectification ou de réalésage et de son méca- nisme de commande.
Les figs. 11 et 12 sont des vues fragmentaires semblables à la fig. 1 montrant des variantes du montage de l'organe palpeur.
Il doit être entendu que si l'invention est applicable à tous les types de machines pour rectifier ou réaléser, elle est représentée ici telle qu'elle est incorporée à ce qu'on appelle communément une nréa- léseuse verticale" dans laquelle la pièce 10 est convenablement serrée sur un support horizontal Il pour assurer à son alésage 12 la position de rec- tificaticn requise grâce à une succession de mouvements de va-et-vient de l'outil ou équipage de rectification 13. Ce dernier est porté par l'extré- mité inférieure dune brochatubulaire 14 qui fait saillie au-dessous d'une tête rigide 15 dans laquelle elle est tourillonnée.
Cette tête est guidée avec précision le long de tiges 16a espacées latéralement et montées de la manière usuelle sur une colonne 9 qui se dresse au-dessus du socle de
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la machine. Les parties de la broche 14 sont accouplées par deux joints
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universels creux 1 et l dont l'un est voisin et l'autre nettement espa- cé de l'outil 13 et placé au-dessus de lui.
La broche est entraînée par un moteur 19 (Fig. 10) par l'in- termédiaire d'un réducteur convenable comprenant un arbre cannelé 20.
Un entraîneur hydraullque 21 est prévu, le cas échéant pour faire pénétrer l'outil de rectification 13 dans la pièce et l'y faire aller et venir.
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Les meulettes 22 espacées angulairement autour du corps 23. de l'outil sont disposées entre les guides usuels 23a et sont écartées par expansion ou, au contraire, rentrées par rétraction du fait du déplacement axial, de
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cames montées sur l'extrémité inférieure d'une tige"2. qui passe axia- lement dans la broche 14. Cette tige peut être élevée et abaissée par un entr- 1-'il c -L -, .hydraulique 26.
Les machines à rectifier ou à réaléser de ce type fonction- nent selon un cycle qui comprend une avance de l'outil ou équipage de rectification à partir d'une position effacée (fig. l) à l'intérieur de l'alésage de la pièce, l'expansion des meulettes 22, puis le va-et-vient de l'outil sur toute la longueur de l'alésage jusqu'à obtention du calibre désiré, l'effacement des meulettes et finalement le dégagement de l'outil jusqu'à sa position de départ.
La présente invention prévoit l'application d'un organe pal-
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peur O monté, de préférence, pour entourer sans serrage la broche 14 et disposé de manière à pouvoir aller et venir avec la tête 15 et pour flotter librement dans le sens transaxial afin de se centrer d'elle-même avec pré- cision dans une extrémité de l'alésage 12 de la pièce pendant une partie de chaque mouvement de va-et-vient de l'outil, puis pour pénétrer dans l'a- lésage quand ce dernier a été agrandi jusqu'au calibre désiré, ce mouvement plus prononcé constituant un signal, autrement dit une indication que' la rectification ou le réalésage est terminé.
L'organe palpeur peut affecter diverses formes mais il est
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représenté ici comprenant un manchon cylindrique ,1 ayant un diamètre in- terne sensiblement supérieur à celui de la broche qui porte à son extré- mité inférieure un anneau trempé ou durci .J6. entourant le manchon et fixé sur lui. Cet anneau ,2 comporte une surface externe cylindrique 2a de diamètre prédéterminé permettant l'entrée de l'organe palpeur dans l'alé- sage de la pièce quand son-'diamètre a atteint le calibre final qu'il doit posséder. L'extrémité inférieure de l'anneau 32 est fuselée comme indiqué
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en l2.; sa paroi converge donc vers le bas pour atteindre un diamètre plus petit que l'alésage final de la pièce d'une quantité b légèrement supérieure au flottement latéral admissible du manchon 31.
Le flottement transaxial de l'organe ou tampon palpeur 30 peut être obtenu grâce à un montage pivotant du manchon. Mais cet organe palpeur est monté ici pour pouvoir se déplacer latéralement en bloc. A
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cet effet, le manchon il est logé dans l'orifice cylindrique central 24 d'une console 35 ajourée à ses extrémités opposées pour recevoir des tiges de guidage 16 montées sur le support 11 formant porte-pièce en face des tiges de guidage principales 16a et s'étendant parallèlement à elles.
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L'extrémité supérieure du manchon est plus petite (par exemple de 0,5 à omm75) qu'un anneau 6 fixé sur la console 120 Une bride externe plate 37 placée à un certain endroit du manchon et axialement espacée de l'anneau 36 est écartée de même de la paroi limitrophe de l'orifice central 34.
Un ressort 38 enroulé autour du manchon calibreur travaille
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à la compression entre l'anneau 36 et une rondelle 32. qui porte contre la bride IZ et pousse le manchon de haut en bas vers la position que montre la fig'. ,5 et qui est définie par une rondelle 40 et une collerette 41 rabattue vers l'intérieur qui est solidaire de la console 35 et qui sert d'appui à la bride du manchon. Ce dernier est ainsi supporté dans la console pour se prêter en exécutant un mouvement axal; il peut flotter latéralement en bloc d'une quantité ± (Fig. 5) normalement supérieure au
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défaut d'alignement permis entre l'alésage de la pièce et l'axe de la bro-
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che mais un pea plus petit que la largeur radiale b du biseau 33.
Ce flot- tement latéral est cependant contrecarré par le notable frottement résul- tant de l'engagement mutuel de la bride 37 et de la rondelle 22 sous l'ac- tion du ressort 8, Ainsi la position du manchon 31. après que ce dernier a été centré par rapport à l'alésage par suite de l'engagement de palpage initial du biseau 33 avec la paroi de l'alésage 12 de la pièce 10 est main- tenue par frottement dans cette positionprécise par rapport à la console 35 quand le manchon cesse par suite de son soulèvement d'être en contact avec la pièce.
On peut, à condition de calculer comme il faut la force du ressort 38 et de bien placer ses butées, régler la force de friction assurant le maintien suivant l'amplitude désirée pour conserver sa position au manchon calibreur quel que soit l'angle que fait la broche 14 de l'ou-
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til de modification z dans des machines différentes.
Le manchon calibreur peut être monté de diverses manières en vue de pouvoir se déplacer selon la relation requise au point de vue temps par rapport aux mouvements de la tête 15, afin d'être amené en prise avec l'extrémité de la paroi de l'alésage de la pièce au moment où l'outil se rapproche de l'extrémité opposée de l'alésage ou, au contraire, s'en éloigne.
Suivant le type de montage que montre la fig. 1, la console est reliée par une liaision dite "à mouvement perdu" avec la tête 15
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de la broche 1 A à va-et-vient qui est munie de tiges 42 se dressant au- dessus des extrémités opposées de la console à travers des orifices pra- tiqués dans des saillies l.,, de la tête 1. Des butées 44 réglables sé- lectivement le long des tiges 42 déterminent le point du mouvement ascen-
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dant de la tête où la console l2. est attaquée et où le manchon calibreur est par la-m4me écarté de son contact avec l'extrémité de l'alésage 1 de la pièce 10.
Quand le biseau 33.vient en contact avec l'extrémité de l'alésage 2 (voir la fig. 4) pendant la course descendante de la tête 15. l'anneau palpeur 32 demeure en contact avec la pièce, de sorte que la tè- te et l'outil de rectification 13 continuent leur descente jusqu'à la li- mite inférieure de la course de la tête. Celle-ci continue à avancer jus- qu'au delà des butées 44 comme le montre la fig. 3. Toutefois, si l'alé- sage de la pièce 10 a, par suite du phénomène de réalésage, atteint le calibre requis, l'anneau calibreur 32 continue son mouvement avec la tête 15 et pénètre plus profondément dans l'alésage de la pièce comme le montre la fig. 5.
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Ce mouvement supplémentaire de l'organe palpeur 30. dans la pièce 10 est utilisé pour signaler l'achèvement complet du réalésage suivant le calibre requis, et, de préférence, pour interrompre le cycle de recti- fication ou de réalésage soit immédiatement, soit au bout d'un court laps de temps prédéterminé, notamment en effaçant l'outil ou en le dégageant de l'alésage de la pièce 10 sans que la rectification continue. Le signal est mis ici en évidence par la fermeture d'un interrupteur 46 logé dans un coffret 47 (Fig. 5) monté à poste fixe à coté du manchon calibreur. Cet interrupteur 46 est normalement ouvert mais il se ferme et un autre inter-
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rupteur .8 associé à lui et normalement fermé est ouvert lorsqu'on appuie légèrement sur un bouton de commande 42, qui fait saillie vers le haut au- dessus du coffret 47.
Ce bouton est engagé et abaissé par un bras 51 soli- daire du manchon calibreur 31 quand l'alésage 12 de la pièce 10 est suf- fisamment grand pour permettre la pleine entrée de l'anneau 32 ainsi que
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le montre la fig. 5. Le bras 21 fait saillie sans y être enserré par une fente 50 de la console 35; il comprend ici une tête z et un étrésil- lon .il serrés l'un contre l'autre par une vis 54 implantée dans la bride 12 du manchon ru Un goujon transversal 2i est lui-même implanté dans l'extrémité externe de la tête 52 et peut être réglé verticalement pour attaquer le bouton 43. de l'interrupteur quand le manchon .21. occupe sa position verticale convenable.
Dans les machines à rectifier ou à réaléser du type sus-rap- pelé, l'équipement est étudié de telle sorte que l'outil vienne en prise
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quand il se trouve entièrement dégagé de l'alésage de la pièce et soit maintenu approximativement centré, afin d'assurer sa pénétration convenable dans l'alésage suivant à rectifier.
Ce résultat est atteint dans le pré- sent exemple à l'aide de deux surfaces de guidage axialement espacées 26 et 56a qui ont un diamètre un peu plus fort que celui de l'alésage terminé de la pièce et dont les positions sont étudiées pour leur permettre de re- cevoir et d'entourer les meulettes 22 ou bien les meulettes et les guides
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23 a au moment où l'outil est dégagé de l'alésage., La surface ±6 est ména- gée ici sur une plaque :
il fixée amoviblement par des vis 58 à une console percée dans son centre et pourvue à ses extrémités opposées de portées 60 qui coulissent le long des tiges de guidage 16. Des butées 61 solidai- res des tiges de guidage limitent le mouvement descendant de la console jusqu'à une position (voir la figo 4) dans laquelle l'anneau calibreur 32 est plante tout près de l'extrémité supérieure de l'alésage 12 de la pièce
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10o Etant donné que la surface de guidage est un peu plus grande que le diamètre définitif de l'alésage de la pièce quand le travail est terminé, il ne gêne en rien le flottement latéral du manchon de guidage et son centrage automatique dans ledit alésage.
Un dispositif est prévu pour utiliser le mouvement de montée
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de la tête de rectification 15 afin de soulever la plaque de guidage 21 d'une faible distance au-dessus de la pièce 10 lors du dégagement final
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de l'outil 13. Ce dispositif comprend une liaison dite "à mouvement perdu" avec la console 35 de support de l'organe calibreur, cette liaison
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étant assurée par des tiges 62 se dressant au-dessus de la console 51. et pouvant coulisser à travers la console 35o Des écrous 63 vissés sur les extrémités supérieures des tiges 62 déterminent l'endroit du mouvement ascendant de l'organe calibreur sous l'action de la tête 15. où la plaque de guidage annulaire sera soulevée à l'écart de la pièce.
La seconde surface de guidage 56a est façonnée sur une bride 64 rabattue intérieurement à l'extrémité inférieure du manchon calibreur31- Cette surface a des dimensions lui permettant de loger avec un jeu suffi- sant un moyeu 65 solidaire de la partie supérieure du corps 23 de l'outil
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21. Les deux parties sont guidées au cours de leur emboîtement (comme le montre la fig. 9) par des biseaux terminaux 66 et 67o Comme le flot- tement transaxial du manchon 31 est limité à une valeur ç, le manchon peut être utilisé avec avantage pour coopérer avec la plaque de guidage annu-
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laire 21 pour empêcher l'outil 13¯ de se déplacer latéralement dans une mesure appréciable quand il n'est pas en contact avec la paroi de l'alésa- ge 12 de la pièce 10.
Le moyeu Q2. pénètre dans la bride de guidage 6 pendant la partie supérieure de chaque course de rectification que fait la tête 15. mais grâce au jeu d (Figo 9) le moyeu ¯65. ne touche la surface .6a que quand, à la fin du travail de rectification, l'outil 13. est complè- tement dégagé de l'alésage 12. Ainsi le guidage du manchon ,,1 ne gêne pas son rôle d'organe palpeur et détecteur du calibre comme décrit précé-
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demment;, Dans certaines installations, le maintien de l'outil 13. selon la position désirée tandis qu'il est dégagé de la pièce 10 peut être assu- ré par l'action de l'une seulement des surfaces de guidage 56 ou 56a,, cet- te dernière ayant la longueur axiale convenable et étant correctement pla- cée axialement quand l'outil 13 occupe sa position dégagée.
L'action précise et singulière du mécanisme de calibrage sus- décrit pour palper, autrement dit ter l'alésage 12 de la pièce 10 à cha- que va-et-vient de l'outil et pour signaler l'agrandissement de l'alésage jusqu'au diamètre désiré sera mieux comprise si l'on suit ses mouvements pendant un cycle de rectification ou de réalésage qui peut être commandé par n'importe quel mécanisme bien connu dont une réalisation typique est représentée dans la fig 10 et est plus complètement décrite dans le brevet
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américain No 2o3Ôlo572 déposé le 15 Avril 1943 A la fin de chaque cycle opératoire, la tête 15 et l'outil
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13 viennent au repos dans la position dégagée (figo l)o Le manchon cali- breur Il et la plaque de guidage annulaire 21 sont soulevés, et l'outil 13.
se trouve à l'intérieur des surfaces de guidage 5¯6 et 56a et au-dessus
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de l'alésage de la pièce. Les divers relais sont alors privas de courant,
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l'interrupteur 46 est ouvert, et l'interrupteur est maintenu ouvert par suite de l'abaissement d'un galet 75 par une came 76 prévue sur un disque 77 qui pivote dans les deux sens grâce à une jonction flexible à
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deux voies z avec la tête 15.
Quand la pompe 81 fonctionne, le fluide sous pression qui est refoulé par elle revient par dérivation à la réserve de fluide en fran- ,
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chissant un tiroir à Quand l'interrupteur de mise en marche tel est fermé à la suite du serrage d'une nouvelle pièce 10 sur le support 11 le relais 70 reçoit le courant, ce qui fait tourner lemoteur 19 qui entraîne la
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broche là et établit un circuit en:
passant par un interrupteur 83. afin d'ex- citer un solénoïde z et de déplacer le tiroir 82 pour interrompre l'arri- vée dir= ¯ ¯ et dérivée du fluide sous pression au tiroir 85 pour pousser le piston de celui-ci vers la gaucheo Le fluide sous pression est dirigé
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de la sorte vers l'entraîneur 21. ce qui amorce le mouvement descendant de la tête 15,, du manchon calibreur 31 et de la plaque de guidage annu- laire 57. Le mouvement de cette dernière est interrompu au moment où elle s'approche de la pièce 10 à la suite de la pénétration de l'outil 13 dans l'alésage 12 comme le montre la fig. 2.
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Au moment où la tête 15¯ descend, le disque à came z7 tourne dans le sens horaire, ce qui permet à l'interrupteur 74 de se fermer et d'établir le circuit de retenue du relais 70.
Au moment où l'outil de
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rectification 13 arrive à l'extrémité inférieure de sa course, un tome 86 déplace un bras 87 et abaisse un galet 88, ce qui ferme un interrupteur 82.. Ceci établit un circuit à travers l'interrupteur z qui est fermé à ce moment là et envoie le courant dans le solénoïde 73. Ceci déplace
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une vanne 90Q ce qui fait arriver le fluide comprimé dans l'entraîneur 26 c'est-à-dire dilate l'outil 12. En même temps, le lobe 91 de la came qui est solidaire du bras 87 fait pivoter un levier 22 et par l'in- termédiaire d'une tige z et d'un bras 99 déplace une vanne 93. ce qui inverse le sens d'écoulement du fluide vers l'entraîneur gel et amorce ainsi la course ascendante de l'outil dilata.
Au moment où cet outil atteint la limite supérieure de sa course active dans laquelle sa partie supérieu-
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re se trouve-au-dessus de l'alésage 12 (comme le montre la fig. 2)o un toc 94 fait pivoter le bras 87 en sens inverse, ce qui permet à un ressort z de déplacer la vanne 22. et inverse l'écoulement du fluide vers l'entraî- neur 21 en amorçant ainsi la course descendante de l'outilo
Ainsi donc, pendant que les meulettes 22 sont poussées vers l'extérieur par l'entraîneur 26, l'outil 13 monte et descend alternative-
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ment dans l'alésage 12 de la pièce 10 et la plaque de guidage annulaire 21 mais sans venir en contact avec celle-ci. La console 3j) coulisse vers le haut et vers le bas sur les tiges de guidage 16 avec la tête à travers la partie supérieure de la portée de rectification ou de réalésage..
Mais près de l'extrémité inférieure de chaque course descendante, le bec biseau-
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té 33. du manchon calibreur 31 rencontre l'extrémité supérieure de la paroi de l'alésage 12 et y pénètre (Fig. /)o En raison des faibles différences d'emplacement de l'alésage dans différentes pièces à réaléser, il se peut
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que les axes de l'alésage et la surface calibreuse 33. ne soient pas rigou- reusement placés d'alignement et qu'ainsi le contact initial entre l'or- gane palpeur 31 et l'extrémité de la paroi de l'alésage 12 se trouve d'un coté seulement de cet organe 31 et près de l'extrémité inférieure du biseau
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comme représenté en traits pleins dans la fig. 7.
Sous l'action du ressort 38 et du fait qu'il est monté pour pouvoir flotter latéralement sans en- trave le manchon se déplace latéralement de l'amplitude qui peut être né- cessaire pour permettre au biseau 33 de se loger de lui-même complètement
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dans l'extrémité de la paroi de l'alésage 12 comme le montre la fig. 4 et comme cela est représenté à une échelle exagérée en pointillé dans la fig. 7. A ce cornent, le biseau Il vient en contact avec la paroi de l'a- lésage 12 en plusieurs points angulairement espacés et sur toute l'étendue de son pourtour aux endroits où la paroi est continue, ce qui assure par là même son centrage rigoureux par rapport à l'alésage de la pièce 10.
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Par suite de ce phénomène de centrage, le manchon 31 vient occuper sa position de repos, si l'alésage 12 a un calibre insuffisant,
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c'est-à-dire une position dans laquelle l"interrupteur 46 est fermé. Il reste cependant ouvert et l'outil de rectification 13 va et vient dans l'a- lésageo
Après que le manchon 31 a reposé dans l'alésage 12 au cours
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de la dernière partie de chaque course descendante de l'outil 13. les sail- lies 42. solidaires de la tête 12 s'écartent des butées 44 comme le montre la figo 3.
Sous son propre poids, la console 3JÏ peut s'abaisser d'une faible distance après que l'organe palpeur 31. s'est immobilisé dans l'alé- sage, ce mouvement étant limité par l'engagement de la console avec les portées 60 et leurs butées 61 et étant rendu possible grâce à la compres-
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sion du -,-, ,,rt 38 par suite de la séparation de la collerette et de la bride 37. du manchon comme le montre la figo 4o Cette relation des or- ganes subsiste pendant le reste de chaque course descendante de la tête et la partie initiale de la course ascendante suivante, après quoi la tê-
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te 1, vient en contact avec les butées 44 et entraîne avec elle la console Il ce qui soulève celle-ci à l'écart de la pièce 10.
Pendant la partie initiale de ce mouvement, les parties 2 et 31 de la console s'élèvent et la collerette et la rondelle viennent graduellement porter contre la bride âl du manchon l, Celui-ci est ensuite soulevé avec la console et cesse d'être en contact avec la paroi de l'alésage 12. Mais malgré son aptitude à flotter librement dans le sens latéral, le manchon reste exactement dans la position centrée qui est déterminée par son appui pré- cédent dans l'extrémité de l'alésage. Ceci est dû à la friction engendrée
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par la force du ressort entre la bride J1 du manchon 3 et les rondelles 12 et qui épousent les orifices 3 de la console.
Ainsi donc, après que la position centrée du manchon a été déterminée une fois, le plus souvent au cours de son contact avec la piè- ce lors de la première course descendante du cycle opératoire, cette po- sition du manchon par rapport à la console de support demeure fixe et il est inutile que le manchon revienne dans l'alignement de l'alésage pendant les courses descendantes subséquentes de la tête au cours desquelles les
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diamètres de plus en plus grands du biseau 33. viennent en contact de pal- pation avec la paroi de l'alésage 12. au fur et à mesure que celui-ci est agrandi par l'opération de rectification.
Etant donné que,quand le man- chon est en contact de palpation avec la pièce 10, il se trouve toujours rigoureusement dans l'alignement axial de l'alésage 12,il y pénètre comme il le faut dès que la quantité convenable de matière indiquée en a dans la figo 8 a été enlevée par meulage et que l'alésage a été agrandi jusqu'au
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diamètre requis par la surface calibreuse ,2ao Pendant la course descen- dante suivante de la tête quand le calibre en question a été atteint, l'anneau 32 et le manchon il se meuvent vers le bas avec la tête 15 et parcourent une distance suffisante (comme le montre la fig. 5) pour amener la vis 5 contre le bouton à2 de commande de l'interrupteur.
L'ouverture résultante de l'interrupteur 8 prive de courant le solénoide 73. et permet à la vanne 2Q d'inverser l'écoulement du liquide vers 1'* entraîneur 26 ce qui provoque l'effacement de l'outil 13. La fer- meture simultanée de l'interrupteur 6 établit un circuit par l'interrup- teur 103 qui est alors fermé, ce qui excite un relais 2 qui ferme des in- terrupteurs 101 et 100 et établit ainsi le circuit de maintien du relais indépendamment de l'interrupteur 48.
La course ascendante suivante de la tête 15 est amorcée de la manière usuelle quand le toc 86 déplace le bras de came 87 pour faire pi-
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voter le levier 22 et inverser la position de la vanne 91. Ceci a égale- ment pour effet de fermer un interrupteur 102, ce qui établit un circuit passant par les interrupteurs 101 et 103 alors fermés et excite le solé- noide 71 par lequel la position de la vanne 93 est maintenue après que le toc 94 a déplacé le bras de came 82 . Ainsi donc la course ascendante de la tête 15 se poursuit après l'ouverture de l'interrupteur de palpation
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463 ce qui provoque l'effacement de la tête jusqu'à la position représen-
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tée en fig. 1.
A ce moment, la came 76 abaisse le galet 22* ce qui ou- vre l'interrupteur 74 et prive de courant le relais 70 et par conséquent
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le relais 72 et les solénoïdes 71 et H4 Le cycle opératoire est ainsi interrompu avec les organes en position de départ.
Au lieu de prévoir une liaison à mouvement perdu, comme
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décrit ci-avant, entre la console 3¯2 et la tête 12 on peut prévoir entre elles une liaison rigide, de façon que le manchon calibreur se meuve avec la tête pendant la majeure partie du mouvement de celle-ci. Mais cette
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liaison peut (comme le montre la fi-. 11) être assurée en engageant les tiges z2 directement dans des parties en saillie 43 de la tête. Si cette disposition est adoptée, le manchon calibreur demeure appuyé sur la col- leretts : e la console à peu près pendant toute la course descendante de la tête jusqu'à ce que, près de l'extrémité de cette course, l'anneau
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palpeur 2, rencontre l'alésage de la pièce ainsi que le montre la fig. 11.
Le manchon se trouve ainsi bloqué par la paroi de l'alésage à calibre in-
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suffisant et reste en position centrée fixe tandis que la tête 15¯ achève sa course descendante pendant laquelle la collerette 41 de la console se déplace à l'écart de la bride :il du manchon comme ceci est permis par suite
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de la compression du ressort par l'anneau 36.
Suivant une autre variante possible, la tête lui et la conso- le 35 peuvent être réunies par une liaison à mouvement perdu limité soumise à la charge d'un ressort dans la direction correspondant à l'expansion.
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Comme le montre la fige 12, les tiges 2 portant les butées 44 peuvent coulisser dans les saillies 41 de la tête 1 et sont sollicitées vers le bas par des ressorts 105 qui exercent une compression entre lesdites sail- lies et des collets 106 fixés aux tiges au-dessous de ces saillies. La
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force combinée des ressorts 105 et du poids de la console 12 est nettement inférieure à la force du ressort 38, de sorte que la liaison demeure l'état d'expansion (comme le montre la figo 12) le manchon 3i s'appuyant sur la collerette 41 jusqu'à ce qu'il rencontre la pièce 10.
Au cours de la suite du mouvement de descente, les ressorts 105 sont comprimés jusqu'à ce que les saillies 43 rencontrent des étrésillons 107. après quoi c'est au tour du ressort 38 d'être comprimé, comme il a été décrit ci-avant pendant la partie finale de la course descendante.
On voit par ce qui précède que si l'organe palpeur et calibreur 31 est monté comme décrit ci-avant, l'entrée du manchon calibreur dans la pièce pour fermer l'interrupteur 46 est réglée dans le temps pour corres- pondre exactement avec l'agrandissement de l'alésage de la pièce jusqu'au diamètre désiré. C'est la raison pour laquelle'le manchon calibreur est amené en contact de palpation avec la paroi de l'alésage 12 pendant chaque
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course descendante et est placé dang" 1' alignement de l'alésage avec une précision telle qu'il y pénètre immédiatement quand le diamètre convenable est atteint.
Cette mise en place du manchon se produit pendantlapremière ou au moins pendant l'une des premières courses descendantes du cycle opé- ratoire et est maintenue rigoureusement au cours des courses ultérieures même si l'organe palpeur s'est effacé et a cessé d'être en contact avec la pièce pendant la dernière partie de chaque course ascendante. Ceci
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est dû à la friction qui pèse continuellement contre la bride 37. du man- chon 31 dans chaque position à laquelle il est amené par flottement laté- ral pour s'adapter de lui-même initialement à un alésage donné. Cette force résistante bien que de nature flexible a cependant une intensité suffisante pour maintenir en position l'organe palpeur quand celui-ci n'est plus soumis à l'influence de la paroi de l'alésage de la pièce.
Le phénomène de détection du calibre qui est exposé dans ce qui précède se produit par engagement direct de l'organe calibreur avec la paroi de l'alésage 12 de la pièce 10. Il en résulte que la précision de la mesure n'est aucunement affectée par une usure irrégulière des meulettes de rectification 22. par un branchement ou un flottement laté- ral de la broche d'entraînement ou par d'autres petits défauts de précision
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au point de vue du montage de la tête 15 ou de la console supportant l'or- gane calibreur.
Les détails de réalisation peuvent être modifiés, sans s'écar- ter de l'invention dans le domaine des équivalences mécaniques.
REVENDICATIONS.
1. Machine à rectifier ou à réaléser comprenant un porte-piè- ce, une tête porte-outil pouvant aller et venir, une broche rotative por- tant un outil de rectification, un mécanisme pour faire avancer la tête porte-outil afin qui elle engage ledit outil dans l'alésage de la pièce, puis fasse aller et venir cet outil dans cet alésage, un organe calibreur engageah contre une extrémité de la paroi de l'alésage au moins à trois endroits angulairement espacés sur le pourtour de la broche mais radiale- ment écartés d'elle vers l'extérieur, cet organe calibreur comportant une surface de calibrage apte à venir porter contre l'extrémité de la paroi de l'alésage et à être bloquée par elle si cette paroi a un calibre insuf- fisant et à pénétrer dans l'alésage si ce dernier a été rectifié au cali- bre désiré,
un élément détectant l'entrée intégrale de l'organe calibreur dans ledit alésage, de façon à signaler le réalésage de celui-ci selon le calibre désiré, et une console de support reliée à la tête porte-outil pour participer à son mouvement dans une partie de l'étendue de son va-et- vient et caractérisée en ce qu'un organe est prévu sur la console pour sup- porter l'organe calibreur en vue de lui permettre d'exécuter un libre mou- vement flottant par rapport à cette console transversalement à la broche ainsi qu'un mouvement axial le long de la broche, ledit organe calibreur étant sollicité axialement vers'la paroi de l'alésage.