<Desc/Clms Page number 1>
ETANCON DE MINE ETABLI EN DEUX PARTIES.
La présente invention est relative à un étangon de mine établi en deux parties, dans lequel l'élément d'étançon intérieur est coincé, dans la serrure, contre l'élément d'étangon extérieur par 1-linter- médiaire de plusieurs pièces de coincement, grâce à la mise sous tension d'un dispositif de serrage; elle a pour but d'établir un étançon de mine de ce type, dans lequel l'effort de frappe déployé lors de l'enfoncement du dispositif de serrage ou de mise sous tension est utilisé pour assurer le coincement de l'élément d'étançon intérieur, c'est-à-dire, est transmis à ce dernier, cela avec le minimum de perte.
L'invention part de la constatation que dans les étangons de mine de ce genre, connus à ce jour, la disposition des organes de coincement et leur conformation entraînaient le désavantage qu'une grande partie de l'effort de frappe déployé se perdait sous la forme d'un frottement en raison du grand nombre de surfaces de friction, sans avoir servi au coincement de l'élément d'étangon intérieur.
Ces désavantages se présentaient en particulier là où, par exemple, les organes de coincement étaient enfoncés, sous la forme de coins, entre deux surfaces de contact ou portées en coin, qui absorbaient une partie essentielle de la force de frappe en raison des pertes par frottement croissantes avec le serrage. Par conséquent, et vu les valeurs de frottement qui se manifestent dans la pratique de l'établissement des soutènements de mines par étangons, il a été tout-à-fait impossible, dans les systèmes à clavettes de cette espèce, de réaliser une multiplication quelconque de l'effort susceptible d'être utilisée pour la pose de l'étançon, c'est-à- dire pour engendrer l'effort de coincement.
Grâce à la solution proposée par la présente invention, ces inconvénients peuvent être évités en substance par le fait que les organes ou pièces de coincement, qui sont soumis à l'action du dispositif de serra-
<Desc/Clms Page number 2>
ge, s'appuient par un coté, soit, par leur face postérieure, contre la serrure de l'étançon ou tout autre point d'appui. L'étançon de mine selon l'invention est avantageusement établi de telle façon que les organes de coincement prennent appui, par leurs surfaces en bout, sur le dispositif de serrage, d'une part, et sur l'élément d'étançon intérieur, ou une pièce intercalaire, interposée entre ce'lui-ci et lesdites pièces de coincement, . d'autre part.
Par exemple, les pièces de coincement peuvent être adjointes par paires à un dispositif de serrage établi sous la forme d'une clavette transversale, par exemple; cependant, on peut également concevoir des modes d'exécution de l'invention dans lesquels une des pièces de coincement est établie de façon à agir simultanément comme dispositif de serrage, c'est-à-dire comme clavette transversale. D'une manière générale, il est recommandé d'établir l'étangon selon l'invention de telle manière que la force de frappe ou de coincement se répartisse sur deux zones et soit transmise à l'élément d'étançon intérieur, de façon à réaliser une multiplication dans un rapport de 1 à 2 de la force de frappe développée lors de la mise sous tension du dispositif de serrage.
De préférence, les surfaces en bout tournées vers l'élément d'étançon intérieur, des pièces de coincement, sont, selon l'invention, situées dans un plan sensiblement parallèle à l'axe de cet élément d'étangon et, toujours dans le cadre de l'invention, il est recommandé d'une manière générale d'adapter les pièces de coincement de telle manière que l'arc-boute:ment de celles-ci tant contre l'étançon intérieur que contre le dispositif de serrage ,. résulte de la direction dans laquelle elles se déplacent, en particulier lors du serrage du dispositif de serrage.
Par exemple, les pièces de coincement peuvent être établies sous la forme d'éléments arqués dont les surfaces de contact ou portées curvilignes, constituées par leurs faces postérieures, c'est-à-dire, extérieures, s'appliquent contre des surfaces, de forme identique ou semblable, de la serrure de l'étancon, L'axe de courbure des faces convexesdes pièces arquées sera situé de préférence à l'intérieur de la serrure, mais très avantageusement dans le plan contenant les faces en bout, tournées vers l'élément d'étançon intérieur, des pièces arquées.
D'autre part, la courbure des pièces arquées peut s'écarter notablement de celle de leurs surfaces complémentaires, en présentant de préférence un rayon de courbure plus petit,ceci afin de donner naissance à une action de genouillère, par exemple lors du serrage du dispositif de mise sous tension.
En appliquant une telle action de genouillère, on peut réaliser une multiplication efficace de la force de frappe agissant sur le dispositif de mise sous tension, sans atteindre ni dépasser la limite de l'auto-blocage. Lorsque les pièces de coincement établies ou agissant à la manière de genouillères, s'appuient par leurs surfaces postérieures, contre des surfaces concaves de la serrure de l'étançon, on peut établir lescourbures des surfaces de contact de telle manière que, lors de la mise sous tension du dispositif de serrage, le rapport de multiplication entre les leviers de la genouillère, demeure constant ou ne subisse que des variations minimes, sans jamais atteindre la limite de l'auto-blocage.
Par conséquent, lorsque les pièces formant les leviers de la genouillère offrent de telles surfaces de contact et de guidage courbes, on a la possibilité d'absorber des jeux importants, c'est-à-dire adapter la serrure à des éléments d'étançon intérieurs de diverses épaisseurs, cela sans atteindre la limite de l'auto-blocage, laquelle ne doit jamais être atteinte ni dépassée, étant donné la nécessité du dégagement des organes de coincement lors de l'enlèvement de l'étangon. Dans tous les cas, il sera avantageux que les pièces arquées soient guidées à la manière de coussinets sur la clavette transversale et sur la pièce intercalaire interposée entre ces pièces et l'élément d'étangon intérieur.
D'autres détails avantageux de la présente invention ressortiront des dessins annexés, qui représentent l'invention à titre d'exemple:
Dans ces dessins :
<Desc/Clms Page number 3>
la Fig. l est un exemple d'exécution de l'invention en coupe longitudinale; la Fig. 2 est une variante de l'exemple d'exécution selon la Fig. 1; la Fig. 3 est une autre forme d'exécution de l'invention;. la Fig. 4 est une vue en coupe suivant la ligne IV-IV de la
Fig 3, en regardant depuis la gauche; la Fig. 5 est une forme de réalisation particulière d'une serrure d'étançon; les Figs, 6 et 7 représentent d'autres exemples d'exécution de l'invention, respectivement en coupe longitudinale et en coupe transver- sale selon la ligne VII-VII de la Fig. 6.
Dans tous les exemples d'exécution de l'invention, 1 désigne l'élément d'étançon intérieur à section rectangulaire ou triangulaire; 2 - l'élément d'étançon extérieur et 3 - la serrure de 1-'étançon.
Dans l'exemple d'exécution de la Fig. 1, on prévoit dans la serrure 3 de l'étançon des pièces de coincement arquées 4 et 5 qui sont pressées contre l'élément d'étançon intérieur 1 sous l'action du dispositif de mise sous tension 6, constitue par exemple sous la forme d'une clavette transversale à blocage automatique et agissant sur l'élément d'étangon intérieur par l'entremise de la pièce intercalaire 7. Les surfaces courbes, qui représentent les cotes postérieurs des pièces arquées 4 et 5 s'appliquent contre la serrure 3, tandis que les faces en bout 8 et 9 de ces pièces prennent appui sur la clavette transversale 6 et que leurs faces en bout la et il viennent s'arc bouter contre la pièce intercalaire 7.
De préférence, les faces en bout 10 et 11 sont situées dans un plan parallèle à l'axe de l'élément d'étançon intérieur et peuvent tre guidées dans la pièce intercalaire 7 à la manière de coussinets, comme montré dans le dessin. Les pièces arquées peuvent être guidées de la morne manière au contact de la clavette transversale 8.
Dans ce cas, les centres de gravité des surfaces en bout 10 et 11, c'est-à-dire les centres des courbes qui délimitent le contour bombé de ces surfaces, se situent dans un plan sensiblement parallèle à l'élément d'étançon intérieur 1, et indiqué par les traits mixtes 12.
la centre ou l'axe géométrique 13 de la courbure que présente la surface par laquelle les pièces arquées 4 et 5 s'appuient contre la serrure 3 se situe également dans le plan 12, la disposition étant, dans son ensemble, telle que les efforts exercés par la clavette transversale 6 lors de la mise en place de l'étançon, sont transmis à la pièce intercalaire 7, autant que possible sans inversion de mouvement ou de direction et avec des pertes par frottement réduites au minimum, ce qui a pour effet de coincer l'élément d'étangon intérieur 1 dans la serrure 3, c'est-à-dire contre l'élément d'étançon extérieur 2, avec la plus grande efficacité possible.
La pièce intercalaire 7, les pièces arquées 4 et 5 et la clavette transversale 6 forment ensemble, dans la serrure 3, un système de bascule qui trouve automatiquement son état d'équilibre et qui assure un contact parfait de toute la face de la pièce intercalaire 7 contre la face correspondante de l'élément d'étançon intérieur 1, ce système pouvant ainsi s'adapter à l'inclinaison éventuelle de cet élément et/ou à des irrégularités quelconques provenant de l'exécution. A cette fin, on prévoit un jeu entre la pièce intercalaire 7 et la serrure 3, comme représenté dans le dessin.
Dans l'exemple d'exécution selon la Fig. 2, la pièce arquée supérieure 4 est elle-même établie de façon à constituer une clavette transversale qui produit un blocage automatique suivant son sens axial, de sorte que la clavette transversale 6 de la Fig. 1 est combinée, dans l'exemple de réalisation de la Fig. 2, avec la pièce arquée 4, de façon à ne former qu'un tout avec celle-ci.
D'ailleurs, les organes de la Fig. 2 qui correspondent à ceux de la Fig. 1 sont désignés par les marnes chiffresde réfé-
<Desc/Clms Page number 4>
rence que ceux-ci et l'étangon selon la variante agit en principe de la méme façon que celui faisant l'objet de l'exemple de réalisation de cette dernière figure, sauf que le s surfaces en bout 8 et 9 des pièces arquées 4 et 5 sont en contact direct l'une avec l'autre et que la surface de contact de la pièce arquée 4 qui se situe dans un plan perpendiculaire à celui du dessin,
est constituée de façon à former une clavette transversale à autoblocage
La Fig. 3 représente un exemple d'exécution de l'invention dans lequel les pièces arquées 4 et 5 présentent un rayon de courbure plus petit que les surfaces de contact de la serrure 3 qui leur correspondent, c'est-à-dire que, leurs surfaces complémentaires faisant partie de la serrure sont entièrement ou approximativement planes, en d'autres termes, ces dernières surfaces sont tracées avec un rayon de courbure infini. Grâce à cette disposition, on peut exercer, lors du serrage de la clavette transversale 6, un certain effet de genouillère sur les pièces arquées 4 et 5, effet qui peut encore accroître l'effort de coincement exercé par ces pièces sur la pièce intercalaire 7, c'est-à-dire sur l'élément d'étançon intérieur 1.
En particulier, les pièces arquées 4 et 5 pivotent autour des centres des courbures des surfaces en bout 1o et 11 lors de l'enfoncement de la clavette transversale 6, tandis que la face extérieure arquée de ces pièces n'est que partiellement en contact avec la serrure, la disposition étant telle que les surfaces de contact entre les pièces arquées et la serrure se déplacent respectivement vers le haut et vers le bas lors du serrage de la clavette transversale 6, c'est-à-dire au cours du mouvement de bascule desdites pièces arquées. Le rapport de transmission est déterminé dans ce cas, par les distances qui séparent les points de contact entre les pièces de coincement 4 et 5 et la serrure d'avec les surfaces en bout 10 et 11, d'une part, et d'avec les surfaces en bout 8 et 9, d'autre part.
Ce rapport peut étre choisi relativement élevé, sans que l'on risque de voir les pièces de coincement 4 et 5 se bloquer automatiquement, après avoir atteint la limite d'auto-blocage. Ceci constitue un des avantages essentiels de l'invention par rapport aux systèmes à coins connus, dans lesquels il a été impossible d'atteindre un rapport de transmission favorable, vu la nécessité de tenir compte de la limite d'auto-blocage.
Il s'ensuit qu'ici, comme dans tous les autres exemples d'exécution de l'invention, les pièces de coincement 4 et 5 se dégagent lorsqu'on chasse la clavette transversale 6, de sorte que cette opération a pour effet d'annuler l'action de coincement s'exergant sur l'élément d'étançon intérieur 1, lequel peut désormais descendre librement.
La disposition représentée dans la Fig. 4 indique la position et la conformation de la clavette transversale 6 dans ses rapports avec les pièces de coincement 4 et 5 dans l'exemple d'exécution de la Fig.3, cette conformation étant d'ailleurs la même dans tous les autres modes de réalisation de l'invention.
L'exemple d'exécution selon la Fig. 5 correspond essentiellement au mode de réalisation selon la Fig. 1. Toutefois, ici, la serrure 3 de l'étançon est constituée par une bande d'acier plate courbée en cintre et dans laquelle on a pratiqué des ouvertures pour le passage de l'élément d'étançon intérieur. Ainsi, les surfaces de contact courbes ou planes pour les pièces arquées 4 et 5 sont établies lors du cintrage de la bande d'acier.
Il est indiqué dans ce cas d'entretoiser les branches par une plaque dorsale 14, d'une part, et, de plus, par des barreaux transversaux 15 qui se situent de part et d'autre de l'élément d'étançon intérieur. Dans l'exemple d'exécution représenté, la serrure 3 est établie de telle façon qu'elle présente à la face postérieure des pièces de coincement 4 et 5, une surface de contact de forme cintrée.
Par conséquent, lors de l'enfoncement de la clavette transversale 6, les surfaces de contact des pièces de coincement 4 et 5 se déplacent suivant un guidage curviligne, lequel peut être généralement établi de telle façon que l'angle formé par les lignes joignant les surfaces de contact au centre de courbure, des surfaces en bout 10 et 11,
<Desc/Clms Page number 5>
ne se modifie que légèrement ou point du tout lors du déplacement de ces surfaces de contact sur les guidages curvilignes solidaires de la serrure, de sorte que les pièces de coincement 4 et 5 ne peuvent en aucun cas at- teindre un angle correspondant à l'auto-blocage.
Les Figs. 6 et 7 représentent un exemple d'exécution de l'in- vention dans lequel la clavette transversale 6 présente aux surfaces en bout
8 et 9, desfaces obliques non seulement dans la coupe longitudinale de cette clavette, comme c'est le cas dans la Fig. 4, mais aussi dans la coupe transversale, comme il ressort clairement de la Fig. 6. De plus, on peut adjoindre à la clavette transversale 6 une deuxième clavette transversale
15 dont une surface en coin vient s'appliquer contre la serrure de l'étan- con.
L'enfoncement de la clavette transversale 15 permet d'abord de réali- ser un ajustement grossier de la clavette transversale dans le sens transversal, après quoi cette dernière clavette est enfoncée de la manière habituelle suivant le sens de sa longueur. On réalise ainsi l'avantage essentiel qui consiste en ce que la clavette transversale 6 ne doit pas présenter une longueur excessive et peut avoir des dimensions relativement réduites, môme lorsqu'il s'agit d'absorber, lors de l'enfoncement de cette clavette, un jeu important entre la serrure 3 et l'élément d'étançon intérieur 1.
Toutefois, l'ajustement grossier de la clavette transversale 6 peut aussi être réalisé de toute autre manière voulue, par exemple soit à l'aide d'une butée pouvant étre déplacée transversalement, aux lieu et place de la clavette transversale 6, au moyen d'une vis ou d'un organe de calage analogue, soit par le fait que la clavette transversale 6 présente, dans le plan de la clavette transversale 15, une autre surface oblique, laquelle correspond à la surface oblique de la clavette transversale 15 et vient s'appliquer contre la serrure 3. Dans ce cas, la clavette transversale 6 se déplace lors de son enfoncement, tant par ses surfaces obliques orientées longitudinalement, que par ses surfaces obliques à direction transversale, par rapport aux surfaces en bout 8 et 9.
D'une manière générale, il est recommandé, dans tous les modes d'exécution de l'invention, de conformer les pièces arquées de telle façon que la nature de leur contact avec la serrure se situe en-deçà de la limite d'auto-blocage.
D'ailleurs, les exemples d'exécution représentés et décrits ici n'épuisent pas toutes les possibilités de l'invention, celles-ci étant valables pour toutes les constructions dans lesquelles ses caractéristiques peuvent étre appliquées avantageusement, Indépendamment du fait, à savoir, si le serrage est produit dans un système à effet bilatéral, par des surfaces courbes ou rectilignes, ou dans une construction dans laquel- le un seul organe de coincement auxiliaire exécute un mouvement curviligne, ou s'il est fait usage de deux clavettes arquées dont une est établie de façon à agir comme clavette horizontale. La mise sous tension peut également être réalisée à l'aide d'excentriques, de vis, ou analogues.
Il est en outre avantageux que la clavette de serrage exerce une poussée uniquement suivant le sens du mouvement des "pièces arquée s" . Toutes les surfaces qui sont en contact entre elles lors du serrage doivent étre établies en un métal, l'acier par exemple, d'une résistance mécanique élevée, afin d'éviter, grâce à leur dureté, un frottement générateur d'usure, d'une part, et d'assurer, toujours grâce à leur dureté, et tout en présentant des surfaces aussi lisses que possible, un serrage plus efficace, d'autre part.
Une telle application du "dur sur dur" pour toutes les surfaces qui se trouvent en contact direct avec la clavette de serrage entre également dans le cadre de l'invention.
REVENDICATIONS.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
<Desc / Clms Page number 1>
MINE SEAL ESTABLISHED IN TWO PARTS.
The present invention relates to a mine pond established in two parts, in which the inner prop element is wedged, in the lock, against the outer pond element by 1-through several wedging pieces. , by energizing a clamping device; its purpose is to establish a mine prop of this type, in which the striking force deployed when driving in the clamping or tensioning device is used to ensure the wedging of the prop element interior, that is to say, is transmitted to the latter, with the minimum of loss.
The invention starts from the observation that in mine ponds of this type, known to date, the arrangement of the wedging members and their conformation resulted in the disadvantage that a large part of the striking force deployed was lost under the pressure. form of friction due to the large number of friction surfaces, without having served to jam the inner pond element.
These disadvantages arose in particular where, for example, the wedges were driven, in the form of wedges, between two contact surfaces or carried into a wedge, which absorbed an essential part of the striking force due to losses by. friction increasing with tightening. Consequently, and in view of the friction values which are manifested in the practice of establishing mine supports by ponds, it has been quite impossible, in key systems of this kind, to achieve any multiplication. the force likely to be used for fitting the prop, that is to say to generate the wedging force.
Thanks to the solution proposed by the present invention, these drawbacks can be avoided in substance by the fact that the wedging members or parts, which are subjected to the action of the clamping device
<Desc / Clms Page number 2>
ge, are supported by one side or by their rear face, against the lock of the prop or any other point of support. The mine prop according to the invention is advantageously established in such a way that the wedging members bear, by their end surfaces, on the clamping device, on the one hand, and on the internal prop element, or an intermediate piece, interposed between ce'lui-latter and said wedging pieces ,. on the other hand.
For example, the wedging pieces can be added in pairs to a clamping device established in the form of a transverse key, for example; however, it is also possible to conceive of embodiments of the invention in which one of the clamping pieces is established so as to act simultaneously as a clamping device, that is to say as a transverse key. In general, it is recommended to establish the pond according to the invention in such a way that the striking or wedging force is distributed over two zones and is transmitted to the inner prop element, so as to achieve a multiplication in a ratio of 1 to 2 of the striking force developed when the clamping device is energized.
Preferably, the end surfaces facing towards the inner prop element, of the wedging pieces, are, according to the invention, located in a plane substantially parallel to the axis of this pond element and, always in the framework of the invention, it is generally recommended to adapt the wedging pieces so that the arch: ment thereof both against the internal prop and against the clamping device ,. results from the direction in which they move, especially when tightening the clamping device.
For example, the wedging pieces can be established in the form of arcuate elements whose contact surfaces or curvilinear bearing, constituted by their posterior faces, that is to say, external, apply against surfaces, of identical or similar shape of the lock of the stanchion, The axis of curvature of the convex faces of the arched parts will preferably be located inside the lock, but very advantageously in the plane containing the end faces, facing the interior prop, arched pieces.
On the other hand, the curvature of the arcuate pieces can deviate significantly from that of their complementary surfaces, preferably having a smaller radius of curvature, in order to give rise to a toggle action, for example when tightening the power-up device.
By applying such a toggle action, efficient multiplication of the striking force acting on the tensioning device can be achieved without reaching or exceeding the limit of self-locking. When the wedging pieces established or acting in the manner of knee pads, rest by their posterior surfaces against concave surfaces of the lock of the prop, the curvatures of the contact surfaces can be established in such a way that, when When the clamping device is under tension, the multiplication ratio between the toggle levers remains constant or undergoes only minimal variations, without ever reaching the limit of self-locking.
Consequently, when the parts forming the levers of the toggle provide such curved contact and guide surfaces, it is possible to absorb large clearances, that is to say to adapt the lock to prop elements. interiors of various thicknesses, without reaching the limit of self-locking, which must never be reached or exceeded, given the need to release the jamming members when removing the pond. In all cases, it will be advantageous for the arcuate pieces to be guided in the manner of bearings on the transverse key and on the intermediate piece interposed between these pieces and the inner pond element.
Other advantageous details of the present invention will emerge from the accompanying drawings, which show the invention by way of example:
In these drawings:
<Desc / Clms Page number 3>
Fig. 1 is an exemplary embodiment of the invention in longitudinal section; Fig. 2 is a variant of the exemplary embodiment according to FIG. 1; Fig. 3 is another embodiment of the invention ;. Fig. 4 is a sectional view along the line IV-IV of the
Fig 3, looking from the left; Fig. 5 is a particular embodiment of a prop lock; FIGS, 6 and 7 represent other exemplary embodiments of the invention, respectively in longitudinal section and in transverse section along the line VII-VII of FIG. 6.
In all the exemplary embodiments of the invention, 1 designates the internal prop element with a rectangular or triangular section; 2 - the external prop element and 3 - the 1-prop lock.
In the example of execution of FIG. 1, arched wedging pieces 4 and 5 are provided in the lock 3 of the prop, which are pressed against the internal prop element 1 under the action of the tensioning device 6, for example in the form a transverse key with automatic locking and acting on the inner pond element through the intermediate piece 7. The curved surfaces, which represent the posterior dimensions of the arched pieces 4 and 5 are applied against the lock 3 , while the end faces 8 and 9 of these parts bear on the transverse key 6 and their end faces 1a and they come to butt against the spacer 7.
Preferably, the end faces 10 and 11 are situated in a plane parallel to the axis of the internal prop element and can be guided in the intermediate piece 7 in the manner of bearings, as shown in the drawing. The arched parts can be guided in the bleak way in contact with the transverse key 8.
In this case, the centers of gravity of the end surfaces 10 and 11, that is to say the centers of the curves which delimit the curved contour of these surfaces, lie in a plane substantially parallel to the prop element. interior 1, and indicated by dashed lines 12.
the center or geometric axis 13 of the curvature presented by the surface by which the arcuate pieces 4 and 5 bear against the lock 3 is also located in the plane 12, the arrangement being, as a whole, such that the forces exerted by the transverse key 6 during the positioning of the prop, are transmitted to the spacer 7, as far as possible without reversal of movement or direction and with friction losses reduced to a minimum, which has the effect to wedge the inner pond element 1 in the lock 3, that is to say against the outer strut element 2, with the greatest possible efficiency.
The intermediate piece 7, the arcuate pieces 4 and 5 and the transverse key 6 together form, in the lock 3, a toggle system which automatically finds its state of equilibrium and which ensures perfect contact of the entire face of the intermediate piece 7 against the corresponding face of the inner prop element 1, this system thus being able to adapt to the possible inclination of this element and / or to any irregularities arising from the execution. To this end, a clearance is provided between the intermediate piece 7 and the lock 3, as shown in the drawing.
In the example of execution according to FIG. 2, the upper arched part 4 is itself established so as to constitute a transverse key which produces an automatic locking in its axial direction, so that the transverse key 6 of FIG. 1 is combined, in the embodiment of FIG. 2, with the arched part 4, so as to form a whole with it.
Moreover, the organs of FIG. 2 which correspond to those of FIG. 1 are designated by the reference numbers
<Desc / Clms Page number 4>
rence that these and the pond according to the variant acts in principle in the same way as that forming the subject of the example of embodiment of the latter figure, except that the end surfaces 8 and 9 of the arcuate parts 4 and 5 are in direct contact with each other and that the contact surface of the arcuate piece 4 which lies in a plane perpendicular to that of the drawing,
is constructed to form a self-locking transverse key
Fig. 3 shows an exemplary embodiment of the invention in which the arcuate parts 4 and 5 have a radius of curvature smaller than the contact surfaces of the lock 3 which correspond to them, that is to say that their surfaces Complements forming part of the lock are completely or approximately plane, in other words, these latter surfaces are drawn with an infinite radius of curvature. Thanks to this arrangement, one can exert, during the tightening of the transverse key 6, a certain toggle effect on the arcuate parts 4 and 5, an effect which can further increase the wedging force exerted by these parts on the intermediate part 7. , i.e. on the inner prop element 1.
In particular, the arcuate parts 4 and 5 pivot about the centers of the curvatures of the end surfaces 1o and 11 during the depression of the transverse key 6, while the arcuate outer face of these parts is only partially in contact with the lock, the arrangement being such that the contact surfaces between the arcuate parts and the lock move upwards and downwards respectively during the tightening of the transverse key 6, that is to say during the movement of tilting of said arched parts. The transmission ratio is determined in this case by the distances which separate the points of contact between the wedging parts 4 and 5 and the lock with the end surfaces 10 and 11, on the one hand, and with the end surfaces 8 and 9, on the other hand.
This ratio can be chosen relatively high, without the risk of seeing the wedging parts 4 and 5 automatically blocking, after having reached the self-blocking limit. This constitutes one of the essential advantages of the invention over known wedge systems, in which it has been impossible to achieve a favorable transmission ratio, given the need to take account of the self-locking limit.
It follows that here, as in all the other exemplary embodiments of the invention, the wedging pieces 4 and 5 are released when the transverse key 6 is driven out, so that this operation has the effect of cancel the wedging action exerted on the inner prop member 1, which can now descend freely.
The arrangement shown in FIG. 4 indicates the position and the conformation of the transverse key 6 in its relation to the wedging pieces 4 and 5 in the exemplary embodiment of Fig. 3, this conformation being moreover the same in all the other modes of realization of the invention.
The example of execution according to FIG. 5 essentially corresponds to the embodiment according to FIG. 1. However, here, the lock 3 of the prop is formed by a flat steel strip curved into an arch and in which openings have been made for the passage of the internal prop element. Thus, the curved or planar contact surfaces for the arcuate parts 4 and 5 are established when bending the steel strip.
It is indicated in this case to brace the branches by a back plate 14, on the one hand, and, moreover, by transverse bars 15 which are located on either side of the inner prop element. In the exemplary embodiment shown, the lock 3 is established in such a way that it has, on the rear face of the wedging pieces 4 and 5, a contact surface of curved shape.
Consequently, when driving in the transverse key 6, the contact surfaces of the wedging pieces 4 and 5 move in a curvilinear guide, which can be generally established in such a way that the angle formed by the lines joining the contact surfaces at the center of curvature, of the end surfaces 10 and 11,
<Desc / Clms Page number 5>
changes only slightly or not at all during the movement of these contact surfaces on the curvilinear guides integral with the lock, so that the wedging pieces 4 and 5 can in no case reach an angle corresponding to the self-locking.
Figs. 6 and 7 show an exemplary embodiment of the invention in which the transverse key 6 presents at the end surfaces
8 and 9, oblique faces not only in the longitudinal section of this key, as is the case in FIG. 4, but also in the cross section, as can be seen clearly from FIG. 6. In addition, it is possible to add to the transverse key 6 a second transverse key
15 of which a wedge surface comes to rest against the lock of the seal.
The depression of the transverse key 15 first allows a coarse adjustment of the transverse key in the transverse direction to be made, after which the latter key is driven in in the usual manner along its length direction. The essential advantage is thus achieved, which consists in that the transverse key 6 must not have an excessive length and may have relatively small dimensions, even when it comes to absorbing, when this key is pushed in. , a large clearance between the lock 3 and the inner prop element 1.
However, the coarse adjustment of the transverse key 6 can also be achieved in any other desired way, for example either by means of a stop which can be moved transversely, instead of the transverse key 6, by means of 'a screw or a similar setting member, either by the fact that the transverse key 6 has, in the plane of the transverse key 15, another oblique surface, which corresponds to the oblique surface of the transverse key 15 and comes apply against the lock 3. In this case, the transverse key 6 moves during its depression, both by its oblique surfaces oriented longitudinally, and by its oblique surfaces in transverse direction, with respect to the end surfaces 8 and 9.
In general, it is recommended, in all embodiments of the invention, to shape the arched parts in such a way that the nature of their contact with the lock is below the auto limit. -blocking.
Moreover, the embodiments shown and described here do not exhaust all the possibilities of the invention, these being valid for all constructions in which its characteristics can be applied advantageously, independently of the fact, namely, whether the clamping is produced in a bilateral acting system, by curved or rectilinear surfaces, or in a construction in which a single auxiliary clamping member performs a curvilinear movement, or if use is made of two arched keys of which one is set to act as a horizontal key. The tensioning can also be carried out using eccentrics, screws, or the like.
It is also advantageous that the clamping key exerts a thrust only in the direction of movement of the "arcuate parts". All the surfaces which are in contact with each other during tightening must be made of a metal, for example steel, of high mechanical resistance, in order to avoid, thanks to their hardness, a friction generating wear, d 'on the one hand, and to ensure, again thanks to their hardness, and while presenting surfaces as smooth as possible, a more efficient clamping, on the other hand.
Such an application of "hard on hard" for all surfaces which are in direct contact with the clamping key is also within the scope of the invention.
CLAIMS.
** ATTENTION ** end of DESC field can contain start of CLMS **.