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PERFECTIONNEMENTS APPORTES'AUX SONNERIES DE CARILLON ET ANALOGUES.
La présente invention concerne des perfectionnements apportés aux sonneries dites "carillons et jeux musicaux" età leurs applications.
L'on sait que les mécanismes divers de sonnerie et spécialement ceux utilisés en horlogerie doivent satisfaire aux exigences de certaines règles, assez difficiles à observer, principalement dans la construction en série. C'est ainsi, notamment, que la forme, la matière et la surface de frappe des marteaux jouent un rôle prépondérant, que la fonction connue de "contre-marteau" est assez délicate à réaliser lorsque l'encombrement doit être réduit au minimum, et que l'entraînement des mécanismes de carillons ou appareils similaires par un moteur électrique exige l'intermé- diaire d'un relais électrique.
Dans le but de remédier à tous les inconvénients inhérents à ces diverses exigences bien connues de l'homme de l'art, et de'chercher à simplifier les divers rouages pour en permettre la fabrication en série et par suite en diminuer le prix de revient, l'invention propose non seulement des perfectionnements au mode d'exécution de nombreuses pièces, mais encore de nouvelles applications de ces pièces.
Elle a, en effet, pour objet : a) - l'utilisation des matières plastiques pour la confection des marteaux pour sonneries, et plus.spécialement celles dites de carillons
La substitution de matières plastiques au cuir garnissant les' marteaux, et utilisé pour obtenir des sonneries harmonieuses, a l'avantage en dehors de la difficulté d'approvisionnement en cuirs d'une souplesse relativement constante, d'éviter la mis.e au point indispensable par des spécialistes, du fait de l'instabilité hygrométrique du cuir.
b) - un système de frappe' sur organe sonore, dans lequel un ressort unique travaillant à la traction effectue la triple fonction d'arrêt,
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de verge, et de contre-marteau les deux points d'attache du ressort et l'axe de rotation du ou des marteaux étant, en position de repos, sur une ligne théorique droite, et le point d'attache extérieur du ressort étant déplacé dans les deux sens concentriquement à l'axe des marteaux par tout moyen approprié de commande, pour le réglage de l'intensité de la frappe.
Cet agencement présente le grand avantage de réduire l'encombrement en évitant la nécessité de longues tiges de marteau pour former ressort et de butée élastique; il permet, en outre, l'adaptation d'un moyen très simple pour la variation de l'intensité de frappe. c) - la combinaison du moyen d'entraînement direct par mcteur électrique d'un mécanisme de sonnerie avec deux contacts électriques de commande assurant l'un le déclenchement de la sonnerie et l'autre sa durée, en tant 'que relais., un mobile faisant fonction de roue "de compte" commandant l'interrupteur dudit relais -,
Ce dispositif supprime le mécanisme d'horlogerie ou relais actuellement nécessaire dans la commande directe par moteur électrique.
d) - un mécanisme de sonnerie, de carillon ou de boîte à musi- que, actionné par un ressort ou un poids moteur remonté par un électro-aimant ou moteur électrique mis en marche à distance par mise sous tension par un contact électrique, un bouton de minuterie par exemple, dans lequel la cour- se de déroulement du ressort ou du poids est limitée pour correspondre à la durée de la sonnerie ou de l'air du carillon à la vitesse réglée par un vo- lant à résistance d'air ou autre moyen connu.
Le dispositif permet de limiter le fonctionnement du moteur électrique, par exemple, ou électro-aimant à la simple fonction consistant à armer le moyen mécanique d) - un mécanisme de sonnerie, de carillon ou de boite à musi- que, selon les caractéristiques précédentes, dans lequel un rouleau ou tambour denté constitué par un arbre à came remplagable qui commande le soulè- .vement des marteaux est déplaçable latéralement d'un ou plusieurs "crans" correspondant chacun à un air déterminé
Cet agencement présente l'avantage de'l'adaptation possible des cames pour le jeu de deux ou plusieurs airs de carillons, et, grâcd à l'amovibilité de l'arbre à came, de l'échange facile avec un autre arbre pour une ou plusieurs autres mélodies.
f) - la production des airs ou mélodies est obtenue, dans les mécanismes de sonnerie, de carillon ou de boites à musique, selon l'invention, à l'aide de soufflets actionnant des sifflets ou autres organes vibratoires, dans le genre de ceux utilisés dans les orgues, accordéons ou harmonicas, ou tous autres moyens acoustiques.
Ceci présente l'avantage de permettre l'obtention de tous airs agréables à l'oreille et de remplacer les sons musicaux obtenus dans le carillon sur cloches, timbres, tringles ou barrettes sonores, par les sons obtenus par des sifflets ou lames vibrantes, des harmonicas par exemple, complétant ainsi la gamme classique de ces instruments par une série de notes constituant une mélodie gaie et agréable. g) - l'utilisation des mécanismes ainsi perfectionnés pour l'application particulière de sonneries ou carillons de porte ou autres avertisseurs .
Cette utilisation de carillons pour remplacer les sonnettes de porte d'entrée, de téléphone ou autre avertisseur, de façon musicale et agréable présente, outre l'avantage des remplacements de bruits désagréables et souvent irritants, et créant des parasites, par un choix varié d'airs pouvant aller "in crescendo", celui de la possibilité-de fonctionnement directement sous la tension de distribution, .sans passer par un transformateur
Ces diverses caractéristiques et d'autres particularités de 1' invention seront mises en évidence au cours de la description qui va suivre
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des perfectionnements apportés aux sonneries dites "carillons et jeux musicaux" et à leurs applications, en regard du dessin annexé, dans lequel : la fig. 1 est une vue schématique en élévation de face d'un dispositif de sonnerie;
la fig.2 est une vue schématique du dispositif de la fig, l en élévation de profil; la fig. 3 sont des vues de détail de divers organes des fig.
1 et 2; la fig. 4 est une vue schématique en élévation d'une variante d'exécution du dispositif des fig. 1 et 2; la fig, 5 est une vue schématique de l'ensemble des organes d' un mécanisme de sonnerie commandé par,un moteur électrique; la fig. 6 est une vue schématique d'une variante de la comman- de du mécanisme de sonnerie par électro-aimant; et, la fige 7 est une vue schématique d'adaptation d'un soufflet au mécanisme de sonnerie, pour remplacer la sonnerie dite de carillon par organe sonore.
Un organe essentiel de tout dispositif de sonnerie, le marteau 1 est prévu en matière synthétique moulée, de préférence en une matière dérivée des superpolyamides et notamment en une matière connue sous le nom de "NYLON", dont la masse est rendue plus importante par l'insertion d'une pièce métallique 2. Il est, en effet, particulièrement intéressant, au point de vue économique, de substituer cette matière synthétique au cuir, dont sont généralement revêtus les marteaux utilisés actuellement pour obtenir une sonnerie harmonieuse, par suite de la difficulté d'approvisionnement en cuir d'une souplesse relativement constante et surtout de leur mise au point onéreuse par des spécialistes à cause de l'instabilité hygrométrique de cette matière. La matière synthétique proposée supprime, en effet, ces inconvénients.
D'ailleurs, il reste possible et avantageux de remplacer le cuir par de simples pastilles en matière plastique. C'est ainsi qu'une ajoute 3 en ladite matière plastique (fig. 3), en forme d'une plaquette légèrement conique, est insérée dans une fente 4 pratiquée dans la masse Il métallique du marteau 1, et maintenue dans cette fente par le simple pinçage des extrémités. On obtient ainsi la réunion des deux éléments d'une façon économique et durable.
En vue de remplacer la longue tige de marteau prévue ordinairement en vue de former ressort et la butée élastique, dans le but de constituer le système de freinage devant immobiliser le marteau aussitôt après la frappe et réaliser ainsi la fonction de "contre-marteau", ce qui nécessite un encombrement souvent gênant, parfois incompatible avec les dimensions à donner au dispositif de sonnerie, un ressort à boudin ± est prévu, dont une extrémité, constituant le point d'attache 7, est accrochée à un levier 8, monté à oscillation sur un axe fixe 9, sur lequel oscille également le marteau 1. L'autre extrémité du ressort , constituant le poit d'attache 11, est accrochée à l'extrémité de la partie inférieure 12 du marteau 1.
En position de repos, le point d'attache 11 est sur la ligne droite reliant le point d'attache 7 au centre 9' de l'axe de rotation 9.
Le ressort ± travaille à la traction et, pour assurer une apériodicité totale du dispositif, ce ressort peut être doublé d'un autre ressort de fréquence très différente.
Le levier est poussé en permanence, par l'intermédiaire d'un ressort de rappel ± accroché à un point fixe 14, contre unè butée 15 en forme ,de colimaçon. En faisant varier la position du'colimaçon 15, on obtient une variation de la position du marteau 1 par rapport à l'organe sonore et, par conséquent, une variation de l'intensité de frappe. Pour cela, il suffit de varier le point d'attache 1. dans le sens x ou dans le sens,±.
Il est avantageux de prévoir une série de facettes sur le co-
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limagon 15,qui donnent un nombre correspondait de positions différentes au levier .Il; mais, il est également possible d'obtenir un résultat analogue en prévoyant une vis de réglage pour agir directement sur le levier .
Le ressort à boudin il permet par son agencement particulier d'attaches d'assurer la triple fonction de la verge, du contre-marteau et de la butée d'arrêt.
Le marteau 1 est entraîné par la came usuelle 16 et une oreil-
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le 12 de la tige 1Q..
Dans le cas où l'encombrement doit être encore réduit, une autre combinaison, telle que représentée schématiquement sur la fig. 4, prévoit de monter le marteau 1 non plus en bout d'une tige oscillante, mais en bout d'une tige la se déplagant en ligne droite suivant son axe, guidée par
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les paliers 1. et 12!... Le marteau 1 est fixé sur la tige 18 par soudage, rivetag: ou vissage ; il pett également faire corps avec ladite tige, Au repos, la position du marteau 1 est déterminée par les ressorts à boudin
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,Q et 2,1 non tendus. Le ressort 2Q fait la fonction de la verge et le ressort 21 celle de contre-marteau. La came usuelle 22 de soulèvement des marteaux agit sur la rondelle d'entraînement 23, vissée, soudée ou rivée sur la tige 18 ou faisant corps avec elle.
Dans la rotation de la came 22 suivant la flèche fl, autour
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de l'axe 2. ses dents agissent sur le plateau 23 et déplacentl-lensemble selon la flèche , ce qui provoque l'armement du ressort z. Le plateau 23 échappant de la dent de la came 22, le marteau 1 est projeté contre l'organe sonore en armant légèrement le ressort ± qui ramène le tout à l'équilibre.
L'entraînement des mécanismes de carillons ou appareils similaires est généralement effectué par un moteur à ressort ou à poids remonté soit à la main, soit électriquement. Dans ce cas, la commande de moteur électrique se fait par l'intermédiaire d'un relais électrique et le temps de fonctionnement est déterminé soit à la main, soit par un mécanisme d'horlogerie ou un relais. En vue de supprimer ce mécanisme ou ce relais, l'invention réalise le déclenchement à distance de l'air du carillon par un contact électrique, tel par exemple qu'un bouton de minuterie, L'air une fois déclenché s'arrête automatiquement dès que la mélodie est jouée. Pour ce faire, le moteur électrique est combiné avec un mobile d'entraînement, dénom-
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mé roue de compte" et avec un contact électrique.
Ainsi que représenté schématiquement figure 5, le ou les marteaux 1 sont soulevés par le ou les cames 25. tournant autour de l'axe .26 Sur ce dernier est montée fixe également la roue il entraînée par le pignon 28 du moteur électrique 29. Le rotor # du moteur 29 porte une goupille 31 butant contre le bras 32 du levier ce sous l'action du ressort , lors- que le moteur n'est pas sous tension. Par contre, lorsque le moteur 22 est sous tension, le flux magnétique du stator exerce une attirance plus forte
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que le ressort .3 sur le bras .l5. du levier 11 pivotant en 16.. Par cette attraction le bras 32 sort de la trajectoire de la goupille jil et le moteur tourne librement.
Sur la route dite "de compte" 27 se trouve également une goupille 37 agissant sur le levier 38 d'un interrupteur 39. A l'arrêt cet inter- rupteur 39 ainsi qu'un interrupteur 40 sont ouverts. Une pression dans le sens de la flèche f3 sur l'interrupteur 40, exercée.soit à la main, soit mécaniquement met le moteur électrique sous tension.
A cet instant, le bras 35 du levier d'arrêt est attiré contre le stator et le bras 32 libère la goupille 31, de sorte que le rotor 30 peut tourner librement. La roue de compte 22 est alors entraînée dans le sens f@ et la goupille 37, qui avait' coupé le passage du courant en appuyant contre le bras 38 de l'interrupteur 39, laisse échapper, après quelques fractions de secondes ce bras 38 en permettant ainsi le libre passage du courant. Dès ce moment, l'interrupteur 40 peut être coupé et la roue 27 continue à tourner jusqu'au moment où la goupille 37, en butant à nouveau contre le levier 38 coupe le courant en 39.
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Pendant cette révolution de la roue 22., le ou les cames tracées conve- nablement assurent la sonnerie de l'air de carillon choisi. Aussitôt le courant coupé, le levier 33, sous 1?attraction du ressort 34, prend sa position d'arrêt pour empêcher le rotor du moteur de continuer à tourner pendant un temps plus ou moins longsous l'action de la vitesse acquise.
.Cette combinaison d'un certain nombre de moyens connus per- met d'obtenir un certain nombre d'avantages industriels, mais l'on peut modifier la forme des mécanismes, et cest ainsi que.la roue de compte
27 peut être entraînée par un nombre indéterminé de mobiles intermédiaires depuis le moteur.
L'agencement décrit permet une simplification de l'ensemble de la commande du carillon, et par.suite une réduction sensible du prix de revient, d'autant qu'il permet la fabrication en série. Aussi de tels ca- rillons peuvent remplacer utilement.les sonnettes électriques dans leurs applications extrêmement variées, et ainsi supprimer leurs si nombreux in- convénients, tels que bruit désagréable et souvent nuisible pour les nerfs parasites radiophoniques, ou autres. ;Le choix d'un air de carillon allant "in crescendo" peut être particulièrement utile dans ce domaine.
Ces carillons, pouvant donc remplacer toutes les sonnettes des portes, des appels téléphoniques ou autres avertisseurs, peuvent d'ailleurs fonctionner directement sur la tension de distribution sans passer par un transformateur,ce qui procure une économie supplémentaire.
Enfin, il reste entendu que, dans le cas de circuits comportant un transformateur, celui-ci peut rester en place, le moteur étant prévu avec une bobine basse tension, par suite de la facilité de démontage des bobines du moteur, leur échange permet pratiquement le fonctionnement sur une gamme de voltages très étendue de 3 à 380 volts.
Dans le cas où le courant est du type continu, ou s'il est nécessaire de supprimer l'interrupteur relais, le dispositif précédemment décrit peut être modifié comme suit '(fige 6) .
Le moteur électrique ne sert qu'à armer un moteur mécanique; ressort ou poids entraînant à son tour le mécanisme de sonnerie dont la vitesse de déroulement est réglée par un régulateur approprié, tel par exemple qu'un volant à résistance d'air.
Un électro-aimant à succion constitué par le noyau 41 et la bobine 42 est commandé par un interrupteur 43 placé à distance. Le noyau 41 est prolongé par une crémaillère 44 engrenant avec un pignon ±µ tournant fou sur l'axe du mobile 46 mais solidaire d'une roue à rochet 47. La roue à rochet 47 entraîne par le cliquet la roue 46 dans le sens de la flèche f5. Le train d'engrenages 49, 50 se termine par un volant à résistance d'air 50 régulateur de vitesse. Les cames des marteaux peuvent être montées sur l'un des mobiles du train 46 ou 49 par exemple. En appuyant un court instant sur l'interrupteur 43 la bobine 42 est mise sous tension et aspire le noyau 41 jusqu'à une butée.
Le courait coupé, le noyau 41 est attiré en sens contraire par la pesanteur ou par un ressort de rappel faisant fonction de ressort moteur dans le sens z. Dans cette course, il entraîne par la crémaillère 44 et le pignon 1..5.. le train d'engrenages à la vitesse permise par le volant 51 et par conséquent le mécanisme de soulèvement ou de commande des marteaux du carillon.
Sur tous les systèmes de carillon, qui viennent d'être décrits, il est loisible et possible d'adapter des tambours, ou cames, prévus pour le jeu de deux ou plusieurs airs de carillons. Dans ce cas, on utilise la disposition bien connue d'un arbre à cames se déplaçant à volonté d'un ou plusieurs crans dans le sens axial, chaque cran correspondant à un jeu de cames en prise avec les marteaux.
Il est également possible de rendre cet arbre à came facilement amovible pour un échange aisé avec un arbre prévu pour une ou plusieurs autres mélodies. Cet échange permet ainsi le changement des airs à volonté.
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Enfin, dans le cas où l'on préfère au carillon sur cloches, timbres, tringles ou barrettes sonores, les sons musicaux prodùits'par des soufflets ou lames vibrantes, les combinaisons décrites ci-dessus prévoient également l'utilisation de ces moyens musicaux.
C'est ainsi que des soufflets sont actionnés par le mécanisme de carillon comme dans les pendules du type "coucou" bien connu.
Cette utilisation d'instruments à vents peut être étendue aux lames vibrantes des harmonicas. A cet effet (fig. 7), la ou les tiges de marteaux 53 oscillant en @ soulèvent le ou les soufflets 55 par une tige 56, à laquel-' le est accrochée une tige 57 entraînant l'harmonica 58 en un mouvement de va-et-vient devant l'embouchure 59 du soufflet 55. L'harmonica comporte alors, au lieu de la gamme classique3 une série de notes dont la suite con- stitue une mélodie gaie et agréable.
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IMPROVEMENTS TO CHIME AND SIMILAR RINGS.
The present invention relates to improvements to ring tones known as "chimes and musical games" and to their applications.
It is known that the various striking mechanisms, and especially those used in watchmaking, must meet the requirements of certain rules which are quite difficult to observe, mainly in series construction. It is thus, in particular, that the shape, the material and the striking surface of the hammers play a preponderant role, that the known function of "counter-hammer" is quite difficult to achieve when the size must be reduced to a minimum, and that the driving of chime mechanisms or similar apparatus by an electric motor requires the intermediary of an electric relay.
With the aim of remedying all the drawbacks inherent in these various requirements, well known to those skilled in the art, and de'chercher to simplify the various cogs to allow mass production and consequently to reduce the cost price. , the invention proposes not only improvements to the embodiment of numerous parts, but also new applications of these parts.
It has, in fact, for object: a) - the use of plastic materials for the manufacture of hammers for bells, and more especially those called chimes
The substitution of plastics for the leather garnishing the 'hammers, and used to obtain harmonious ringing tones, has the advantage, apart from the difficulty of supplying leathers of relatively constant flexibility, of avoiding the development. essential by specialists, due to the hygrometric instability of leather.
b) - a striking system 'on sound organ, in which a single spring working in traction performs the triple stop function,
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rod, and counter-hammer, the two attachment points of the spring and the axis of rotation of the hammer (s) being, in rest position, on a straight theoretical line, and the external attachment point of the spring being moved in both directions concentrically to the axis of the hammers by any suitable control means, for adjusting the intensity of the strike.
This arrangement has the great advantage of reducing the bulk by avoiding the need for long hammer shanks to form a spring and an elastic stop; it allows, moreover, the adaptation of a very simple means for the variation of the striking intensity. c) - the combination of the means of direct drive by electric motor of a bell mechanism with two electrical control contacts ensuring one the triggering of the bell and the other its duration, as a relay. mobile acting as a "counting" wheel controlling the switch of said relay -,
This device eliminates the clockwork mechanism or relay currently required in direct control by electric motor.
d) - a bell, chime or music box mechanism, actuated by a spring or a motor weight wound up by an electromagnet or electric motor set in motion remotely by energizing by an electric contact, a timer button for example, in which the unwinding stroke of the spring or weight is limited to match the duration of the chime or air chime at the speed set by an air resistance handwheel or other known means.
The device makes it possible to limit the operation of the electric motor, for example, or electromagnet to the simple function of arming the mechanical means d) - a bell, chime or music box mechanism, according to the preceding characteristics , in which a toothed roller or drum consisting of a replaceable camshaft which controls the lifting of the hammers is laterally movable by one or more "notches" each corresponding to a determined air.
This arrangement has the advantage of 'possible adaptation of the cams for the play of two or more chimes tunes, and, thanks to the removability of the camshaft, of the easy exchange with another shaft for a or several other melodies.
f) - the production of tunes or melodies is obtained, in the bell, chime or music box mechanisms, according to the invention, using bellows actuating whistles or other vibratory organs, such as those used in organs, accordions or harmonicas, or any other acoustic means.
This has the advantage of making it possible to obtain all tunes pleasing to the ear and of replacing the musical sounds obtained in the chime on bells, stamps, rods or sound bars, by the sounds obtained by whistles or vibrating blades, harmonicas for example, thus completing the classical range of these instruments with a series of notes constituting a cheerful and pleasant melody. g) - the use of the mechanisms thus perfected for the particular application of door bells or chimes or other alarms.
This use of chimes to replace door bells, telephone or other alarm, in a musical and pleasant way has, in addition to the advantage of replacing unpleasant and often irritating noises, and creating parasites, by a varied choice of tunes which can go "in crescendo", that of the possibility of operation directly under the distribution voltage, without going through a transformer
These various characteristics and other features of the invention will be demonstrated during the description which follows.
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improvements to the so-called "chimes and musical games" ring tones and their applications, with reference to the appended drawing, in which: FIG. 1 is a schematic front elevational view of a ringing device;
FIG. 2 is a schematic view of the device of FIG. 1 in side elevation; fig. 3 are detail views of various members of FIGS.
1 and 2; fig. 4 is a schematic elevational view of an alternative embodiment of the device of FIGS. 1 and 2; FIG, 5 is a schematic view of all the members of a striking mechanism controlled by an electric motor; fig. 6 is a schematic view of a variant of the control of the striking mechanism by electromagnet; and, the pin 7 is a schematic view of adaptation of a bellows to the striking mechanism, to replace the so-called chime ringing by sound organ.
An essential component of any striking device, the hammer 1 is provided in molded synthetic material, preferably in a material derived from superpolyamides and in particular in a material known under the name of "NYLON", the mass of which is made greater by the insertion of a metal part 2. It is, in fact, particularly advantageous, from an economic point of view, to substitute this synthetic material for the leather, with which the hammers currently used to obtain a harmonious ringing are generally coated, as a result of the difficulty of supplying leather of relatively constant flexibility and especially of their expensive development by specialists because of the hygrometric instability of this material. The synthetic material proposed eliminates, in fact, these drawbacks.
Moreover, it remains possible and advantageous to replace leather with simple plastic pellets. Thus an add 3 of said plastic material (fig. 3), in the form of a slightly conical plate, is inserted into a slot 4 made in the metal mass II of the hammer 1, and held in this slot by the simple pinching of the ends. The two elements are thus obtained in an economical and sustainable manner.
In order to replace the long hammer rod ordinarily provided with a view to forming a spring and the elastic stopper, in order to constitute the braking system which must immobilize the hammer immediately after the strike and thus perform the function of "counter-hammer", which requires an often annoying size, sometimes incompatible with the dimensions to be given to the striking device, a coil spring ± is provided, one end of which, constituting the attachment point 7, is hooked to a lever 8, mounted to oscillate on a fixed axis 9, on which the hammer 1 also oscillates. The other end of the spring, constituting the attachment point 11, is hooked to the end of the lower part 12 of the hammer 1.
In the rest position, the attachment point 11 is on the straight line connecting the attachment point 7 to the center 9 'of the axis of rotation 9.
The spring ± works in traction and, to ensure total aperiodicity of the device, this spring can be doubled with another spring of very different frequency.
The lever is pushed continuously, by means of a return spring ± hooked to a fixed point 14, against a stop 15 in the form of a spiral staircase. By varying the position of the spiral staircase 15, one obtains a variation of the position of the hammer 1 with respect to the sound organ and, consequently, a variation of the striking intensity. To do this, it suffices to vary the attachment point 1. in the x direction or in the ± direction.
It is advantageous to provide a series of facets on the co-
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limagon 15, which give a corresponding number of different positions to the lever .Il; however, it is also possible to obtain a similar result by providing an adjusting screw to act directly on the lever.
The coil spring it allows by its particular arrangement of fasteners to ensure the triple function of the rod, the counter hammer and the stopper.
The hammer 1 is driven by the usual cam 16 and an eye
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the 12 of rod 1Q ..
In the case where the bulk must be further reduced, another combination, as shown schematically in FIG. 4, provides for mounting the hammer 1 no longer at the end of an oscillating rod, but at the end of a rod moving in a straight line along its axis, guided by
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the bearings 1. and 12! ... The hammer 1 is fixed on the rod 18 by welding, riveting: or screwing; it can also be integral with said rod, At rest, the position of hammer 1 is determined by the coil springs
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, Q and 2.1 unstretched. The spring 2Q performs the function of the rod and the spring 21 that of counter-hammer. The usual hammer lifting cam 22 acts on the drive washer 23, screwed, welded or riveted to the rod 18 or integral with it.
In the rotation of the cam 22 following the arrow fl, around
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of the axis 2. its teeth act on the plate 23 and move the assembly according to the arrow, which causes the arming of the spring z. The plate 23 escaping from the tooth of the cam 22, the hammer 1 is thrown against the sound organ by slightly charging the spring ± which brings everything back to balance.
The driving of chimes mechanisms or similar devices is generally carried out by a spring or weight motor wound either by hand or electrically. In this case, the electric motor is controlled by means of an electric relay and the operating time is determined either by hand or by a clockwork mechanism or a relay. With a view to eliminating this mechanism or this relay, the invention performs the remote triggering of the air of the chime by an electrical contact, such as for example a timer button, The air once triggered stops automatically as soon as as the melody is played. To do this, the electric motor is combined with a drive mobile, called
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me counting wheel "and with an electrical contact.
As shown schematically in FIG. 5, the hammer or hammers 1 are lifted by the cam or cams 25. rotating around the axis .26 On the latter is also mounted fixed the wheel it driven by the pinion 28 of the electric motor 29. The rotor # of the motor 29 carries a pin 31 abutting against the arm 32 of the lever this under the action of the spring, when the motor is not under tension. On the other hand, when the motor 22 is under tension, the magnetic flux of the stator exerts a stronger attraction.
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than the spring .3 on the arm .l5. lever 11 pivoting at 16 .. By this attraction the arm 32 leaves the path of the pin jil and the motor rotates freely.
On the so-called "count" route 27 there is also a pin 37 acting on the lever 38 of a switch 39. When stopped, this switch 39 and a switch 40 are open. Pressure in the direction of arrow f3 on the switch 40, exerted either by hand or mechanically puts the electric motor under tension.
At this time, the arm 35 of the stop lever is drawn against the stator and the arm 32 releases the pin 31, so that the rotor 30 can rotate freely. The counting wheel 22 is then driven in the direction f @ and the pin 37, which had cut off the passage of the current by pressing against the arm 38 of the switch 39, lets this arm 38 escape after a few fractions of a second. thus allowing the free passage of the current. From this moment, the switch 40 can be turned off and the wheel 27 continues to rotate until the moment when the pin 37, again butting against the lever 38 cuts the current at 39.
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During this revolution of the wheel 22., the cam or cams suitably traced ensure the ringing of the selected chime air. As soon as the current is cut off, the lever 33, under the attraction of the spring 34, takes its stop position to prevent the rotor of the motor from continuing to rotate for a longer or shorter time under the action of the acquired speed.
This combination of a number of known means achieves a number of industrial advantages, but the shape of the mechanisms can be changed, and this is how the counting wheel
27 can be driven by an indeterminate number of intermediate mobiles from the motor.
The arrangement described allows a simplification of the entire control of the chime, and par.suite a significant reduction in the cost price, especially as it allows mass production. Also, such trunks can usefully replace electric bells in their extremely varied applications, and thus eliminate their many drawbacks, such as unpleasant noise and often harmful to radio interference nerves, or the like. The choice of a chime tune going "in crescendo" can be particularly useful in this area.
These chimes, which can therefore replace all doorbells, telephone calls or other alarms, can also operate directly on the distribution voltage without going through a transformer, which provides additional savings.
Finally, it remains understood that, in the case of circuits comprising a transformer, the latter can remain in place, the motor being provided with a low voltage coil, due to the ease of dismantling the coils from the motor, their exchange allows practically operation over a very wide range of voltages from 3 to 380 volts.
In the case where the current is of the continuous type, or if it is necessary to eliminate the relay switch, the device described above can be modified as follows' (fig 6).
The electric motor is only used to arm a mechanical motor; spring or weight in turn driving the striking mechanism, the unwinding speed of which is regulated by an appropriate regulator, such as for example an air resistance flywheel.
A suction electromagnet formed by the core 41 and the coil 42 is controlled by a switch 43 placed at a distance. The core 41 is extended by a rack 44 meshing with a pinion ± μ rotating idly on the axis of the mobile 46 but secured to a ratchet wheel 47. The ratchet wheel 47 drives the wheel 46 through the pawl in the direction of the arrow f5. The gear train 49, 50 ends in an air resistance flywheel 50 speed regulator. The cams of the hammers can be mounted on one of the moving parts of the train 46 or 49 for example. By briefly pressing the switch 43, the coil 42 is energized and sucks the core 41 up to a stop.
The current cut, the core 41 is attracted in the opposite direction by gravity or by a return spring acting as a mainspring in the z direction. In this stroke, it drives through rack 44 and pinion 1..5 .. the gear train at the speed permitted by flywheel 51 and therefore the mechanism for lifting or controlling the chime hammers.
On all the chime systems, which have just been described, it is possible and possible to adapt drums, or cams, provided for the play of two or more chime tunes. In this case, the well-known arrangement of a camshaft moving at will by one or more notches in the axial direction is used, each notch corresponding to a set of cams in engagement with the hammers.
It is also possible to make this camshaft easily removable for easy exchange with a shaft provided for one or more other melodies. This exchange thus allows the change of tunes at will.
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Finally, in the case where musical sounds produced by bellows or vibrating blades are preferred to chimes on bells, bells, rods or bars, the combinations described above also provide for the use of these musical means.
Thus bellows are actuated by the chime mechanism as in the well-known "cuckoo" type pendulums.
This use of wind instruments can be extended to the vibrating blades of harmonicas. To this end (Fig. 7), the hammer rod (s) 53 oscillating in @ lift the bellows (s) 55 by a rod 56, to which is attached a rod 57 driving the harmonica 58 in a backward movement. -and-comes in front of the mouth 59 of bellows 55. The harmonica then comprises, instead of the classical scale3, a series of notes, the continuation of which constitutes a cheerful and pleasant melody.