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FAUTEUIL DEMONTABLE ET ASSEMBLAGE RIGIDE CONVENANT POUR LE MONTAGE DE CE
FAUTEUIL.
La présente invention est relative à un fauteuil démontable à dos fixe comprenant des accotoirs dont les manchettes sont fixées de ma- nière démontable au dos et dont les consoles avant sont solidaires des pieds avant et sont fixées rigidement mais de manière démontable au cadre du fond.
Un fauteuil de ce genre a été proposé dans le brevet belge 472.492 de la demanderesse ainsi- que dans la demande de brevet de perfec- tionnement à ce brevet 472. 492 déposée le 29 mars 1950, sous le n 385.538.
Le dos ne s'y étend que jusqu'au niveau du fond.
Avec ce fauteuil connu, le garnissage ne peut pas être com- plètement terminé avant l'assemblage de tous les éléments du fauteuil.
La présente invention a comme objet un fauteuil dont tous les éléments peuvent être complètement garnis avant leur assemblage et dont l'assemblage peut être effectué par une personne n'ayant absolument aucune compétence en matière de montage et de garnissage d'un fauteuil.
Dans le fauteuil suivant l'invention, le dos fait corps avec lespieds arrière et est fixé rigidement et de manière démontable au cadre du fond par'une traverse maintenue appliquée contre la traverse arrière de ce cadre.
Il suffit donc de pouvoir serrer quelques boulons ou'tire- fonds pour que le fauteuil transporté en éléments sensiblement plans et, par conséquent, d'encombrement relativement faible, prenne l'aspect d'un fauteuil complètement terminé par un spécialiste.
Le démontage dans des conditions tout aussi simples facili- te grandement la question d'un déménagement.
Il est connu de constituer les pieds arrière et les montants
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du dos en une seule pièce mais dans ce cas, ces montants et pieds arrière sont en outre solidaires du cadre du fond et forment avec ce cadre et les accotoirs une carcasse rigide qui est garnie par le fabricant et qui ne peut subir aucun démontage.
Suivant une forme d'exécution particulière, les accotoirs sont fixés au dos par l'engagement de la tête d'un bouton solidaire d'un de ces éléments, dans une glissière solidaire de l'autre élément et présen- tant une partie élargie pour l'introduction de la tête du bouton, à l'inté- rieur de la glissière.
De préférence, les deux traverses susdites sont appliquées l'une contre l'autre par des boulons ou des tirefonds serrés contre les extrémités de buselures métalliques prenant appui l'une contre l'autre et montées dans les traverses de façon à être ancrées axialement dans celles-ci.
Dans une autre forme d'exécution avantageuse, les buselures métalliques susdites sont fendues sur toute leur longueur et présentent vers l'extérieur des aspérités enfoncées dans les traverses par élargisse- ment de ces buselures après que celles-ci ont été introduites dans des trous des traverses à l'état suffisamment enroulé pour que leur diamètre compté à partir des extrémités des aspérités soit au maximum égal au diamètre in- térieur des trous susdits.
De préférence, les aspérités susdites sont formées par des bavures provenant de poinçonnage vers l'extérieur de trous ménagés dans la buselure.
L'invention a également comme objet, d'une façon général-, l'assemblage rigide de deux pièces en bois par l'intermédiaire de buselures métalliques ancrées axialement dans ces pièces et servant d'appui à des bou- lons, à des tirefonds ou à des vis comme cela résultera de la description des dessins annexés au présent mémoire qui représentent schématiquement, et à titre d'exemple seulement, l'ossature d'un fauteuil suivant l'invention ainsi que différentes formes d'exécution d'un assemblage rigide convenant particulièrement pour le montage de ce fauteuil.
La figure 1 est une vue en perspective du fauteuil suivant l'invention.
La figure 2 représente, en perspective, un moyen d'assem- blage d'un accotoir du fauteuil suivant la figure 1.
La figure 3 représente, à plus grande échelle, une coupe axiale dans une première forme d'exécution d'un dispositif d'assemblage rigide de deux traverses d'un fauteuil suivant la figure 1.
La figure 4 est une vue en perspective représentant un sta- de intermédiaire d'une buselure faisant partie d'une deuxième forme d'exé- cution du dispositif d'assemblage rigide suivant l'invention de deux piè- ces de bois.
La figure 5 est une coupe axiale dans une pièce en bois au cours de l'enfoncement dans cette pièce de la buselure représentée à la figure 4.
Les figures 6 et 7 représentent chacune, en coupe axiale, deux autres formes d'exécution de l'assemblage rigide suivant l'invention.
Dans ces différentes figures, les mêmes notations de réfé- rence désignent.des éléments identiques.
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L'ossature du fauteuil démontable représentée à la figure 1 comprend un dos fixe constitué essentiellement de deux montants 2, d'une tra- verse supérieure 3 et d'une traverse inférieure 4. Afin de-faciliter le garnissage, le dos comprend en outre deux montants auxiliaires 2' solidai- res des montants 2, ces montants auxiliaires étant réunis eux-mêmes par une' traverse auxiliaire 4' à un niveau un peu au-dessus de la traverse 4.
Les montants 2 font corps avec les pieds arrière 5. Ils sont pourvus, comme représenté à la figure 2, d'une plaquette 6 dans laquelle est ménagée une glissière 7. Celle-ci présente une partie élargie 8 dans la- quelle on peut introduire la tête 9 d'un bouton 10 porté par une plaquette 11 solidaire d'un. accotoir 12. Lorsque la tête 9 du bouton 10 a été amenée à l'extrémité de la glissière 7 opposée à celle où se trouve la partie élargie 8, l'accotoir ne peut plus être éloigné du montant correspondant 2, à condition d'être fixé rigidement par rapport au cadre 13, du fond, lui- même fixé rigidement par rapport au dos.
La fixation de chaque accotoir au cadre du fond 13 est réa- lisée, par exempté., par l'intermédiaire de tirefonds 14 engagés à partir de l'intérieur du cadre 13.
Pour rendre le cadre 13 solidaire du dos du fauteuil, on applique l'une contre l'autre la traverse 4 de ce dos et la traverse ar- rière 15 du cadre 13, par des boulons 16 (figures 1 et 3). Ces boulons sont,engagés dans des buselures métalliques 17 et,18 ancrées axialement, respectivement dans les traverses 15 et 4. Ces buselures présentent exté- rieurement un filet à bois 19 grâce auquel elles sont vissées dans les tra- verses susdites. Ce filet s'étend sur une partie seulement de la longueur de la buselure. L'autre partie de celle-ci présente un diamètre extérieur égal au diamètre au fond du filet. Les deux buselures sont vissées dans les traverses 15 et 4 jusqu'à ce qu'elles prennent appui l'une contre l'au- tre.
La partie non filetée des buselures 17 et 18 sert de guide à ces bu- selures lorsque ces dernières sont vissées dans des trous 20 et 21 ménagés respectivement dans les traverses 15 et 4.
Le diamètre intérieur des buselures enfoncées dans les tra- verses est un peu supérieur au diamètre extérieur des boulons d'assemblage 16. Il en résulte que si les trous 20 et 21 ne sont pas exactement dans le prolongement l'un de l'autre, par exemple, 'comme représenté dans la partie de droite de la figure 3, l'assemblage peut encore se faire facilement.
Au lieu de buselures fermées présentant extérieurement un filet à bois sur au moins une partie de leur longueur, on peut évidemment utiliser d'autres buselures métalliques pouvant être ancrées axialement dans les traverses 15 et 4. On peut, par exemple, réaliser économiquement des buselures qui conviennent, pour la réalisation de l'invention, en découpant dans une tôle d'environ 1 millimètre d'épaisseur des bandes ayant comme largeur un peu moins de la circonférence qui limite la section transversale des trous 20 et 21 et comme hauteur une longueur un peu. 'supérieure à la lon- gueur de ces trous .
Pour créer des aspérités capables d'ancrer axialement chaque buselure dans la traverse correspondante, on peut avantageusement refouler d'un même côté de la bande,du métal de celle-ci et cela, de préférence, jus- qu'à perçage des tôles. Les bords des trous ainsi formés se présentent sous la forme de bavures pointues.
Si on enroule la bande poinçonnée de cette façon de manière que les bavures soient à l'extérieur, on peut obtenir une buselure telle que celle représentée à la figure 4. Cette buselure présente des trous 22 dont les bords déchiquetés 23 constituent des aspérités pouvant être enfoncées
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dans le bois des traverses.
La figure 4 montre également que l'enroulement de la tôle poinçonnée a été effectué de manière que les lèvres se recouvrent partiel- lement. Ce recouvrement est suffisant pour que le diamètre de la buselure, compté à partir des aspérités 23, soit au maximum égal au diamètre intérieur des trous ménagés dans les traverses en bois.
Après avoir enroulé de cette façon, une tôle poinçonnée, on peut introduire celle-ci dans lestrous d'une traverse. On peut ensuite amorcer le rabattement des extrémités de la buselure qui dépassent la tra- verse au moyen de pièces telles que celles désignées par 24 à la figure 5.
Puis on peut introduire dans la buselure un mandrin à extrémité conique dont le diamètre de la partie cylindrique est égal au diamètre du trou foré dans le bois moins deux fois l'épaisseur de la tôle employée pour consti- tuer la buselure.
En forçant le mandrin à pénétrer dans celle-ci, on ouvre cette dernière et on enfonce les aspérités 23 dans le bois de la traverse.
Enfin, on achève le rabattement de là collerette à chaque extrémité de la buselure. Pour faciliter ce rabattement, on a ménagé aux extrémités de la buselure, des découpures telles que 25 (figure 4) laissant subsister entre elles différents pans 26 destinés à former la collerette.
Lorsque le boulon ne peut être employé et qu'il faut lui substituer un tirefond, comme c'est le cas dans l'assemblage 14 où la face extérieure de l'accotoir doit être vierge de tout écrou ou tête de boulon, on peut utiliser des tirefonds dont la tête prend appui contre une buselure métallique ancrée dans une des traverses tandis que la pointe est vissée dans le bois de l'autre traverse.
On peut aussi maintenir les deux traverses dans une posi- tion invariable en engageant une vis à métaux 27 dans un écrou 28 noyé dans une des traverses. Cet écrou présente extérieurement une forme cir- culaire et est pourvu d'un filet à bois 29. La tête de la vis 27 prend appui contre une buselure ancrée axialement dans l'autre traverse, cette busélure présentant, par exemple, des aspérités 23 (figure 6) ou un filet à bois 19 (figure 7).
Le dispositif d'assemblage des deux traverses 4 et 15 est évidemment applicable dans tous les cas où on veut maintenir les deux piè- ces en bois à distance constante l'une de l'autre.
Les diminutions de volume du bois provenant des variations de température et du degré hygrométrique se répercutent de part et d'autre des moyens d'ancrage des buselures dans ces pièces, mais d'une quantité tellement faible que l'ancrage subsiste et que les pièces de bois restent solidaires des buselures. il s'ensuit que le serrage métal contre métal de ces buselures maintient une liaison permanente entre ces pièces en bois.
Il est évident que l'invention n'est pas exclusivement li- mitée aux formes d'exécution représentées et que bien des modifications peuvent être apportées dans la forme, la disposition et la constitution de certains des éléments intervenant dans sa réalisation, à condition que ces modifications ne soient pas en contradiction avec l'objet de chacune des revendications suivantes.
REVENDICATIONS.
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REMOVABLE ARMCHAIR AND RIGID ASSEMBLY SUITABLE FOR THE MOUNTING OF THIS
ARMCHAIR.
The present invention relates to a removable chair with a fixed back comprising armrests the cuffs of which are detachably attached to the back and the front consoles of which are integral with the front legs and are rigidly but removably attached to the back frame.
An armchair of this type has been proposed in the Belgian patent 472,492 of the applicant as well as in the patent application for further development of this patent 472,492 filed March 29, 1950, under number 385,538.
The back extends only to the level of the bottom.
With this known chair, the upholstery cannot be completely finished before the assembly of all the elements of the chair.
The object of the present invention is an armchair, all of the elements of which can be completely furnished before their assembly and whose assembly can be carried out by a person having absolutely no competence in the matter of assembling and upholstering an armchair.
In the chair according to the invention, the back is integral with the rear legs and is fixed rigidly and in a removable manner to the bottom frame by a cross member maintained applied against the rear cross member of this frame.
It is therefore sufficient to be able to tighten a few bolts ou'tire- funds so that the chair transported in substantially flat elements and, consequently, of relatively small size, takes on the appearance of a chair completely finished by a specialist.
Disassembly under equally simple conditions greatly facilitates the question of a move.
It is known to form the rear legs and the uprights
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of the back in one piece, but in this case, these uprights and rear legs are also integral with the back frame and together with this frame and the armrests form a rigid carcass which is fitted by the manufacturer and which cannot undergo any disassembly.
According to a particular embodiment, the armrests are fixed to the back by the engagement of the head of a button integral with one of these elements, in a slide integral with the other element and having a widened part for the introduction of the head of the button, inside the slide.
Preferably, the two aforesaid crossbars are applied against each other by bolts or lag screws tightened against the ends of metal nozzles bearing against one another and mounted in the crossbars so as to be anchored axially in these.
In another advantageous embodiment, the aforesaid metal nozzles are split over their entire length and present outwardly asperities driven into the crossbars by widening of these nozzles after they have been introduced into the holes of the crosspieces. sleepers in the sufficiently wound state so that their diameter, counted from the ends of the asperities, is at most equal to the internal diameter of the aforementioned holes.
Preferably, the aforementioned asperities are formed by burrs originating from punching outwardly of holes made in the nozzle.
The invention also has as an object, in a general way, the rigid assembly of two wooden parts by means of metal nozzles anchored axially in these parts and serving as support for bolts, lag screws. or to screws as will result from the description of the drawings appended hereto which schematically represent, and by way of example only, the framework of a chair according to the invention as well as various embodiments of an assembly rigid particularly suitable for mounting this chair.
Figure 1 is a perspective view of the chair according to the invention.
FIG. 2 represents, in perspective, a means of assembling an armrest of the chair according to FIG. 1.
FIG. 3 represents, on a larger scale, an axial section in a first embodiment of a device for rigid assembly of two cross members of a wheelchair according to FIG. 1.
FIG. 4 is a perspective view showing an intermediate stage of a nozzle forming part of a second embodiment of the rigid assembly device according to the invention of two pieces of wood.
FIG. 5 is an axial section through a piece of wood during the depression in this piece of the nozzle shown in FIG. 4.
Figures 6 and 7 each show, in axial section, two other embodiments of the rigid assembly according to the invention.
In these different figures, the same reference notations denote identical elements.
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The frame of the removable chair shown in FIG. 1 comprises a fixed back consisting essentially of two uprights 2, an upper cross member 3 and a lower cross member 4. In order to facilitate the filling, the back further comprises two auxiliary uprights 2 'integral with the uprights 2, these auxiliary uprights themselves being joined by an' auxiliary cross member 4 'at a level a little above the cross member 4.
The uprights 2 are integral with the rear legs 5. They are provided, as shown in FIG. 2, with a plate 6 in which is formed a slide 7. This has a widened part 8 in which can be inserted. the head 9 of a button 10 carried by a plate 11 integral with a. armrest 12. When the head 9 of the button 10 has been brought to the end of the slide 7 opposite to that where the widened part 8 is located, the armrest can no longer be moved away from the corresponding upright 2, provided it is fixed rigidly relative to the frame 13, the bottom, itself fixed rigidly relative to the back.
The fixing of each armrest to the frame of the back 13 is carried out, by exempt., By means of lag screws 14 engaged from the inside of the frame 13.
To make the frame 13 integral with the back of the chair, the cross member 4 of this back and the rear cross member 15 of the frame 13 are applied against each other by bolts 16 (FIGS. 1 and 3). These bolts are engaged in metal nozzles 17 and 18 anchored axially, respectively in the crossbars 15 and 4. These nozzles have a wood thread 19 on the outside by which they are screwed into the aforesaid crosspieces. This thread extends over only part of the length of the nozzle. The other part of it has an outside diameter equal to the diameter at the bottom of the thread. The two nozzles are screwed into the crosspieces 15 and 4 until they bear against each other.
The unthreaded part of the nozzles 17 and 18 serves as a guide for these nozzles when the latter are screwed into holes 20 and 21 made respectively in the crossbars 15 and 4.
The internal diameter of the nozzles driven into the sleepers is a little greater than the external diameter of the assembly bolts 16. As a result, if the holes 20 and 21 are not exactly in line with each other, for example, 'as shown in the right part of Figure 3, assembly can still be done easily.
Instead of closed nozzles having a wood thread on the outside over at least part of their length, it is obviously possible to use other metal nozzles which can be anchored axially in the crosspieces 15 and 4. It is, for example, economically possible to produce nozzles. which are suitable, for the realization of the invention, by cutting from a sheet of about 1 mm thick strips having as width a little less than the circumference which limits the cross section of the holes 20 and 21 and as height a length a little. greater than the length of these holes.
In order to create asperities capable of axially anchoring each nozzle in the corresponding cross member, it is advantageously possible to push back metal from the same side of the strip, and this, preferably, until the sheets have been pierced. The edges of the holes thus formed are in the form of sharp burrs.
If the punched strip is wound in this way so that the burrs are on the outside, a nozzle like that shown in Figure 4 can be obtained. This nozzle has holes 22, the jagged edges 23 of which constitute asperities which may be. sunken
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in the wood of the sleepers.
FIG. 4 also shows that the winding of the punched sheet has been carried out so that the lips partially overlap. This overlap is sufficient for the diameter of the nozzle, counted from the asperities 23, to be at most equal to the internal diameter of the holes made in the wooden sleepers.
After having wound up in this way, a punched sheet, one can introduce this one in the holes of a cross member. It is then possible to initiate the folding of the ends of the nozzle which protrude through the crosspiece by means of parts such as those designated by 24 in FIG. 5.
Then a mandrel with a conical end can be introduced into the nozzle, the diameter of the cylindrical part of which is equal to the diameter of the hole drilled in the wood minus twice the thickness of the sheet metal used to constitute the nozzle.
By forcing the mandrel to penetrate therein, the latter is opened and the asperities 23 are driven into the wood of the crosspiece.
Finally, the folding of the flange is completed at each end of the nozzle. To facilitate this folding, cutouts such as 25 (FIG. 4) have been made at the ends of the nozzle, leaving various panels 26 intended to form the collar between them.
When the bolt cannot be used and it is necessary to replace it with a lag screw, as is the case in assembly 14 where the outer face of the armrest must be free of any nut or bolt head, it is possible to use lag bolts, the head of which is supported against a metal nozzle anchored in one of the sleepers while the point is screwed into the wood of the other sleeper.
The two sleepers can also be kept in an invariable position by engaging a machine screw 27 in a nut 28 embedded in one of the sleepers. This nut has a circular shape on the outside and is provided with a wood thread 29. The head of the screw 27 bears against a nozzle anchored axially in the other cross member, this nozzle having, for example, asperities 23 ( figure 6) or a wood net 19 (figure 7).
The device for assembling the two crosspieces 4 and 15 is obviously applicable in all cases where it is desired to keep the two wooden pieces at a constant distance from one another.
The decreases in wood volume resulting from variations in temperature and humidity are reflected on both sides of the anchoring means of the nozzles in these parts, but in such a small amount that the anchoring remains and that the parts of wood remain attached to the nozzles. it follows that the metal-to-metal clamping of these nozzles maintains a permanent connection between these wooden parts.
It is obvious that the invention is not exclusively limited to the embodiments represented and that many modifications can be made in the form, the arrangement and the constitution of some of the elements involved in its realization, provided that these modifications are not inconsistent with the purpose of each of the following claims.
CLAIMS.
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