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DISPOSITIF POUR LE SOUDAGE DE MAILLONS DE CHAINE PAR RESISTANCE ELECTRIQUE ET PAR RAPPROCHEMENT A L'AIDE DE PLUS DE QUATRE ELECTRODES.
Parmi les soudeuses électriques pour chaînes connues, les types anciens fonctionnent exclusivement avec deux électrodes destinées à appor- ter le courant de soudure au maillon. Ici, le réchauffage du maillon com- primé, jusqu'à la chaleur de soudure, s'effectue très lentement, vu que les surfaces d'application des électrodes sur'les branches du maillon sont réduites et qu'elles sont en outre incertaines et indéterminables en raison de la forme imprécise du maillon préalablement cintré, ainsi que par suite de la détérioration des surfaces des électrodes en raison des températures élevées. Afin d'abréger le temps de réchauffage et d'augmenter ainsi le rendement des machines, on a été conduit à répartir l'amenée du courant de soudure sur plusieurs points du maillon.
Ceci a abouti à la construction de machines à quatre électrodes, dans lesquelles deux électrodes viennent s'appliquer latéralement en tenaille, depuis chaque côté, contre les bran- ches à souder du maillon. Toutefois, ici également on éprouve encore tou- jours des difficultés dans l'amenée du courant de soudure, notamment lors du soudage de grosses chaînes., souvent établies en ronds de laminage.
On a déjà prévu également remploi de six électrodes -- par exem- ple d'après le brevet français 871.806 - et l'on espérait pouvoir travail- ler aussi avec huit électrodes selon la même méthode. Cependant, on a con- staté que ceci n'était pas le cas, vu que dans l'agencement des organes de la machine proposée pour l'exécution d'un tel procédé, il n'était pas tenu compte suffisamment des considérations qui interviennent dans le soudage à résistance par rapprochement de maillons de chaînes.
La présente invention vise à établir une nouvelle soudeuse per- mettant d'appliquer sur les extrémités des maillons à souder u nombre d'électrodes supérieur à 4 tout en assurant le 'contact, et donc l'amenée de courant, d'une manière sûre, parfaite, sur une grande surface et aussi près que possible des extrémités du maillon, de telle sorte que l'on obtient
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une réduction notable du temps de travail comparativement aux soudeuses à chaînes connues.
Dans une soudeuse pour chaînes- selon l'invention, le mouve- ment des électrodes est effectué, comme il est connu en soi, par un paral- lélogramme de leviers prévu au châssis de la machine et dont les leviers montés en des points fixes sont orientés à peu près horizontalement. Se- lon l'invention, la fonction principale du levier supérieur consiste à transmettre, à l'aide d'une tringle par exemple, le mouvement du paral- lélogramme, lequel peut être dérivé d'un arbre de commande, aux autres organes en mouvement.
Le levier de liaison entre les deux leviers hori- zontaux articulés en des points fixes sert de son côté à supporter les électrodes latérales et comporte en outre un nouveau guidage à coulisse pour l'électrode supérieure qui, comme on le conçoit aisément, doit être guidée vem-tizalement. La connexion entre ce levier de liaison et le le- vier supérieur et assurée, selon l'invention, par un montage à fente, et de façon telle que le boulon ou pivot d'articulation du levier supérieur est monté à coulissement dans une fente prévue à l'extrémité supérieure du le- vier de liaison.
Les deux organes viennent occuper, sous l'effet de leur poids propre qui, selon l'invention, peut être atténué par -Lui moyen élas- tique ou analogue quelconque, une position telle que les leviers supé- rieur et inférieur cherchent à s'écarter l'un de l'autre, de sorte que le levier de liaison tend à intervenir avec sa longueur maximum. Le disposi- ' tif selon l'invention comporte encore en outre deux leviers en tenaille (dont le nombre peut être supérieur à deux selon l'invention) connus en soi, orientés parallèlement au levier de liaison et montésà oscillation à l'extrémité inférieure de celui-ci.
Ces leviers en tenaille peuvent être réunis directement au levier supérieur, comme il est connu en soi, par exemple à l'aide de jumelles d'écartement et d'une barre d'écartement, ou d'organes analogues, et peuvent porter les électrodes latérales à leurs extrémités inférieures libres. On obtient donc ainsi que, lorsque le le- vier inférieur rencontre une butée (qui sera décrite plus loin), sa cour- se et celle du levier de liaison est arrêtée, tandis que le levier supé- rieur continue à se déplacer dans la fente du levier de liaison sous 1'ac- tion d'un ressort de telle façon qu'il se rapproche du levier inférieur.
Lors de ce mouvement,les électrodes latérales se rapprochent également l'une de l'autre par un mouvement en tenaille. Finalement, et comme dé- jà mentionné, une électrode supérieure est montée à coulissement longi- tudinal dans le levier de liaison et est sollicitée vers le bas avec ap- plication'd'une pression. Il importe peu pour l'objet de l'invention qu'il s'agisse ci d'une tension élastique ou que l'application de l'électrode supérieure soit assurée par gravité ou analogue.
Concernant les autres caractéristiques de l'invention, il est recommandé de limiter, à l'aide de butées réglables, les déplacements des différents leviers réunis entre eux et d'adapter le réglage de ces butées aux distensions des chaînes dans chaque cas particulier. Il!-est avant tout indiqué d'employer des butées réglables servant au soulèvement du levier de liaison, tout en empêchant un écartement trop prononcé des deux leviers horizontaux, et donc celui des électrodes. En outre, on utilisera une butée pour limiter le déplacement du levier inférieur, lequel déplacement n'est pas régi desmodriomiqueemtn par celui du levier supérieur, vu la fen- te lontidunale prévue dans le levier de liaison.
Cette dernière butée est destinée à assurer un retour correct à la position de travail de tous les organes mobiles. Finalement, il est encore recommandable de prévoir une butée interposée entre le levier de liaison et la glissière, pour limiter le déplacement des électrodes supérieures.
La disposition ci-dessus résulte des considérations suivantes : lors de la descente du levier de liaison, l'électrode supérieure vient s'appuyer sur la branche du maillon, cependant que le levier à coulisse 30 se soulève de- dessus de la vis de butée, afin que la tension réglable du ressort prévu à l'autre extrémité du levier à coulisse puisse servir entiè- rement à détermier la pression de l'électrode contre la branche du mail- lon.. Par contre, il est nécessaire que la course de l'électrode soit li-
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mitée lors du soulèvement de celle-ci.
Il est vrai que, comme déjà indiqué, Inapplication de cette élec- -brode supérieure peut être réalisée de plusieurs manières différentes.
Cependant, il est recommandé de prévoir un levier à coulisse horizontal, soumis à la tension d'un ressort et qui sollicite la coulisse, et donc l'électrode supérieure, vers le bas. Ce levier peut présenter la forme d'un levier à un bras articulé au bâti de la machine et être mu vers le bas à l'aide d'un ressort de traction, également solidaire de ce bâti.
Il est cependant, préférable d'articuler le levier à coulisse au levier inférieur, tout en lui donnant la forme d'un levier à un bras, et de le munir d'un ressort de traction aboutissant d'autre part au dit levier inférieure il peut cependant aussi présenter la forme d'un levier à deux bras et être muni d'un ressort de pression. Or, lorsque le levier à cou- lisse est articulé au levier inférieur, ces deux leviers présentent forcé- ment des longueurs inégales.
Par conséquent, la liaison entre le levier à coulisse et la coulisse proprement dite doit dans ce cas être réalisée en faisant usage d'une fente longitudinale prévue dans le levier à cou- lisse. D'autre part, le ressort à pression agissant sur le levier à cou- lisse à deux bras peut être remplacé par un ressort de traction aboutis- sant au bâti de la machine. Une disposition particulièrement favorable consiste à articuler le levier à coulisse, établi comme levier à deux bras, approximativement en son milieu au levier inférieur, et à réunir son extrémité libre tournée vers le châssis au levier supérieur à l'aide d'un ressort de traction. Ce dernier peut être réglable.
L'avantage de la construction décrite ci-dessus réside dans le fait que la machine comporte un nombre d'organes particulièrement ré- duit, ces organes étant chacun de construction simple et légère, de sor- te que les mouvements s'opèrent d'une manière sûre et avec précision.
Cette machine offre ainsi une sécurité de fonctionnement particulièrement élevée, de sorte qu'elle peut fonctionner à grande vitesse.
Le guidage parallèle connu à ce jour présentait le désavantage de ne comporter qu'une courte pièce en forme de coeur et qui était consti- tuée principalement par le dispositif en tenaille, pièce à laquelle les électrodes supérieures étaient, il est vrai, montées d'une manière réglable et élastique, sans cependant pouvoir être déplacées d'une manière complè- tement indépendante des électrodes latérales.
Les dessins annexés représentent un exemple de réalisation du dispositif selon l'invention, à savoir :
Fig. 1 est une vue latérale de la machine; Fig. 2 est une vue antérieure de cette machine.
Sur l'arbre de commande 5 est montée une came 6 qui actionne un levier oscillant 8 par l'intermédiaire d'un galet 7. il ce levier est ar- ticulée une tringle 9 qui commande un levier supérieur 10 d'un parallélo- gramme déformable. Un levier de liaison sensiblement vertical 11 est arti- culé à chacun de ces leviers, le levier 10 étant muni d'un pivot ou boulon 12 monté à coulissement longitudinal dans la fente longitudinale 13 du le- vier de liaison 11.
Un ressort de traction réglable 14 interposé entre le levier supérieur 10 et le levier de liaison 11 agit de façon que, une fois que le levier 16 repose sur sa vis' de butée 17, également réglable, les deux électrodes latérales 15 viennent s'appliquer avec une tension suffi- saute contre les branches du maillon en raison de l'abaissement du levier 10, et donc de la barre d'écartement 18 réunie à celui-ci, et qui commande les jumelles d'écartement 19 servant à écarter les extrémités 20 des le- viers en enaille L'extrémité inférieure du levier de liaison 11 est réunie au levier inférieur horizontal 16 articulé en 21 au bâti de la ma chine, tout comble le levier supérieur 10 est articulé en 22.
L'articula- tion 23 entre le levier de liaison Il et le levier inférieur 16 constitue un poinc fixe. Le levier de liaison 11 est cependant muni en cet endroit d'une barre transversale 24 dont les deux extrémités sont munies d'articu- lations 25.
Celles-ci servent au montage de deux leviers en tenaille 26,
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à deux bras, aux extrémités inférieures libres desquelles sont fixées d'une manière réglable les électrodes latérales 15, lesquelles peuvent être dé- placées longitudinalement dans les supports 27. Les extrémités libres su- périeures 20 des leviers en tenaille 26 sont réunies aux jumelles 19, arti- culées elles-mêmes à la barre d'écartement 18 Le point d'articulation supérieur 28 de la barre d'écartement se trouve sur le pivot 12 du levier supérieur 10, pivot auquel est en outre fixé le ressort 14 Un levier à coulisse 30, à deux bras, es réuni au levier inférieur 16 par une articu- lation 29 faisant saillie vers le haut à partir de ce dernier vers son mi- -lieu,
le levier 30 étant parallèle au levier 16, un des bras du levier 30 étant réuni au levier supérieur 10 à l'aide d'un ressort 31 et d'une vis réglable 32, tandis que l'autre bras du levier 30, tourné vers le levier de liaison 11 présente une fente longitudinale 33 contenant le support pour la glissière 34. Cette glissière se déplace dans des fentes appropriées 35 et 36 du levier de liaison et porte l'électrode supérieure 37 laquelle est montée à déplacement de la même manière que les deux électrodes laté- rales. La course de la glissière 34 par rapport au levier de liaison 11 est limitée par une butée 38 tandis qu'une autre butée 17 également réglable et rendue élastique par le ressort 39, limite la descente du levier infé- rieur 16, et donc celle du levier de liaison 11 réunie à ce levier.
Les vis de butée 40 prévues dans les leviers en tenaille 26 servent à limiter le pivotement des électrodes latérales, ainsi qu'à sou- lever le levier de liaison 11.
Le déplacement des électrodes s'opère comme suit : Dans la po- sition présentée, les électrodes reposent sur le maillon. Par suite de la rotation ultérieure de la came 6 dans le sens de la flèche.-la tringle 9 remonte, en soulevant le levier supérieur 10. Sous l'effet du ressort 31 le levier à coulisse 30 et l'électrode supérieure 37 sont d'abord maintenus dans leur ancienne position, cela jusqu'à ce que les électrodes latérales 15 auront pivoté d'une quantité telle que les vis de butée 40 viennent s'appliquer contre le levier de liaison 11 entraînant ainsi ce dernier lors du soulèvement ultérieur du levier 10.
Par suite de la remontée du levier de liaison 11, la vis de butée 38 vient s'appliquer 'contre le levier à cou- lisse 30 et soulève celui-ci ensemble avec la glissière 34 montée dans ce levier, de même que l'électrode supérieure 37 réunie à cette glissière, de façon a détacher cette électrode du maillon, de sorte que ce dernier est li- béré et peut être avancé afin de laisser la place au maillon suivant, REVENDICATIONS.
1 - Dispositif pour le soudage de maillons de chaîne par résis- tance électrique et par rapprochement, à l'aide de plus de quatre élec- trodes,caractérisé par un parallélogramme de leviers (10, 11, 16) articu- lé au bâti de la machine, et dont le levier supérieur (10) orienté horizon- talement, relié à un point fixe, et appelé à être abaissé par l'action d'un arbre de commande (5) est réuni au levier de liaison vertical (11) de telle façon que, lorsque le levier horizontal inférieur (16), articulé en un point fixe, rencontre une butée, le levier supérieur (10) peut continuer sa descente, par exemple dans une fente longitudinale (13) du levier de liaison (11), cette descente prolongée servant à déplacer deux ou plusieurs dispo- sitifs connus (19, 20, 26), destinés à mouvoir en tenaille les électrodes latérales 15)
et prévus sur le levier de liaison (11), tandis qu'une ou plusieurs électrodes supérieures (37), à mouvement exclusivement vertical, sont montées élastiquement dans des guidages à coulissement (35,36) d'un levier de liaison'(il).
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DEVICE FOR WELDING CHAIN LINKS BY ELECTRICAL RESISTANCE AND BY APPROXIMATION USING MORE THAN FOUR ELECTRODES.
Among the known electric chain welders, the older types operate exclusively with two electrodes intended to supply the welding current to the link. Here, the heating of the compressed link, up to the heat of welding, takes place very slowly, since the contact surfaces of the electrodes on the branches of the link are small and are moreover uncertain and indeterminable due to the imprecise shape of the previously bent link, as well as due to the deterioration of the electrode surfaces due to high temperatures. In order to shorten the reheating time and thus increase the efficiency of the machines, it has been necessary to distribute the supply of the welding current over several points of the link.
This has resulted in the construction of machines with four electrodes, in which two electrodes are applied laterally in pincers, from each side, against the weld branches of the link. However, here too difficulties are still encountered in supplying the welding current, in particular when welding large chains, often set up as rolling rings.
Provision has already been made for the re-use of six electrodes - for example according to French patent 871,806 - and it was hoped to be able to work also with eight electrodes according to the same method. However, it was found that this was not the case, since in the arrangement of the parts of the machine proposed for the execution of such a process, sufficient account was not taken of the considerations involved. in resistance welding by approximation of chain links.
The present invention aims to establish a new welder making it possible to apply to the ends of the links to be welded a number of electrodes greater than 4 while ensuring the contact, and therefore the supply of current, in a safe manner. , perfect, over a large area and as close as possible to the ends of the link, so that one obtains
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a notable reduction in working time compared to known chain welders.
In a welder for chains according to the invention, the movement of the electrodes is effected, as is known per se, by a parallelogram of levers provided on the frame of the machine and of which the levers mounted at fixed points are oriented approximately horizontally. According to the invention, the main function of the upper lever consists in transmitting, using a rod for example, the movement of the parallelogram, which can be derived from a control shaft, to the other components in movement.
The link lever between the two horizontal levers articulated at fixed points serves for its part to support the side electrodes and furthermore comprises a new sliding guide for the upper electrode which, as can easily be seen, must be guided. vem-tizally. The connection between this link lever and the upper lever is ensured, according to the invention, by a slot mounting, and in such a way that the bolt or articulation pivot of the upper lever is slidably mounted in a slot provided. at the upper end of the link lever.
The two members come to occupy, under the effect of their own weight which, according to the invention, can be attenuated by elastic means or the like, a position such that the upper and lower levers seek to s' move away from one another, so that the link lever tends to intervene with its maximum length. The device according to the invention also further comprises two pincer levers (the number of which may be greater than two according to the invention) known per se, oriented parallel to the link lever and mounted in oscillation at the lower end of the device. this one.
These pincer levers can be joined directly to the upper lever, as is known per se, for example using spacer binoculars and a spacer bar, or the like, and can carry the electrodes. lateral to their free lower ends. We thus obtain that, when the lower lever meets a stop (which will be described later), its course and that of the link lever is stopped, while the upper lever continues to move in the slot. of the link lever under the action of a spring so that it approaches the lower lever.
During this movement, the side electrodes also approach each other by a pincer movement. Finally, and as already mentioned, an upper electrode is slidably mounted longitudinally in the link lever and is biased downward with the application of pressure. It does not matter for the object of the invention whether it is an elastic tension or whether the application of the upper electrode is ensured by gravity or the like.
With regard to the other characteristics of the invention, it is recommended to limit, using adjustable stops, the movements of the various levers joined together and to adapt the setting of these stops to the distensions of the chains in each particular case. It! -Is above all advisable to use adjustable stops for lifting the link lever, while preventing too pronounced separation of the two horizontal levers, and therefore that of the electrodes. In addition, a stop will be used to limit the movement of the lower lever, which movement is not governed desmodriomically by that of the upper lever, given the longitudinal slot provided in the link lever.
This last stop is intended to ensure a correct return to the working position of all the moving parts. Finally, it is also advisable to provide a stop interposed between the link lever and the slide, to limit the movement of the upper electrodes.
The above arrangement results from the following considerations: when the link lever is lowered, the upper electrode rests on the branch of the link, while the sliding lever 30 rises above the stop screw , so that the adjustable tension of the spring provided at the other end of the slide lever can be used entirely to determine the pressure of the electrode against the branch of the link. On the other hand, it is necessary that the stroke of the electrode is li-
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mitée during the uprising of this one.
It is true that, as already indicated, the application of this upper electrode can be achieved in several different ways.
However, it is recommended to provide a horizontal slide lever, subjected to the tension of a spring and which urges the slide, and therefore the upper electrode, downwards. This lever may have the form of a lever with an arm articulated to the frame of the machine and be moved downwards by means of a tension spring, also integral with this frame.
However, it is preferable to articulate the sliding lever to the lower lever, while giving it the form of a one-arm lever, and to provide it with a tension spring ending on the other hand at said lower lever. may however also have the form of a lever with two arms and be provided with a pressure spring. However, when the slide lever is articulated to the lower lever, these two levers necessarily have unequal lengths.
Consequently, the connection between the slide lever and the slide itself must in this case be made by making use of a longitudinal slot provided in the slide lever. On the other hand, the pressure spring acting on the slide lever with two arms can be replaced by a tension spring terminating in the frame of the machine. A particularly favorable arrangement consists in articulating the sliding lever, established as a lever with two arms, approximately in its middle to the lower lever, and in joining its free end facing the frame to the upper lever by means of a tension spring. . The latter can be adjustable.
The advantage of the construction described above resides in the fact that the machine has a particularly small number of members, these members each being of simple and light construction, so that the movements are carried out smoothly. safely and accurately.
This machine thus offers particularly high operational safety, so that it can operate at high speed.
The parallel guiding known to date had the disadvantage of comprising only a short heart-shaped part and which was constituted mainly by the pincer device, part to which the upper electrodes were, it is true, mounted in an adjustable and elastic manner, without however being able to be moved in a manner completely independent of the side electrodes.
The appended drawings represent an embodiment of the device according to the invention, namely:
Fig. 1 is a side view of the machine; Fig. 2 is a front view of this machine.
On the control shaft 5 is mounted a cam 6 which actuates an oscillating lever 8 by means of a roller 7. There is articulated this lever a rod 9 which controls an upper lever 10 of a parallelogram. deformable. A substantially vertical link lever 11 is articulated to each of these levers, the lever 10 being provided with a pivot or bolt 12 mounted to slide longitudinally in the longitudinal slot 13 of the link lever 11.
An adjustable tension spring 14 interposed between the upper lever 10 and the link lever 11 acts so that, once the lever 16 rests on its stop screw 17, also adjustable, the two side electrodes 15 come into contact. with sufficient tension against the branches of the link due to the lowering of the lever 10, and therefore of the spacer bar 18 joined to it, and which controls the spacer binoculars 19 serving to spread the ends 20 of the mesh levers The lower end of the link lever 11 is joined to the horizontal lower lever 16 articulated at 21 to the frame of the machine, while the upper lever 10 is articulated at 22.
The articulation 23 between the link lever II and the lower lever 16 constitutes a fixed point. The link lever 11 is however provided at this point with a transverse bar 24, the two ends of which are provided with articulations 25.
These are used for mounting two pincer levers 26,
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with two arms, to the free lower ends of which are fixed in an adjustable manner the side electrodes 15, which can be moved longitudinally in the supports 27. The upper free ends 20 of the pincer levers 26 are joined to the binoculars 19 , themselves articulated to the spreader bar 18 The upper articulation point 28 of the spreader bar is located on the pivot 12 of the upper lever 10, to which the spring 14 is further attached. slide 30, with two arms, are joined to the lower lever 16 by an articulation 29 projecting upwards from the latter towards its middle,
the lever 30 being parallel to the lever 16, one of the arms of the lever 30 being joined to the upper lever 10 by means of a spring 31 and an adjustable screw 32, while the other arm of the lever 30, turned towards the link lever 11 has a longitudinal slot 33 containing the support for the slide 34. This slide moves in appropriate slots 35 and 36 of the link lever and carries the upper electrode 37 which is mounted to move in the same way as the two side electrodes. The travel of the slide 34 relative to the link lever 11 is limited by a stop 38 while another stop 17, also adjustable and made elastic by the spring 39, limits the descent of the lower lever 16, and therefore that of the lower lever 16. link lever 11 joined to this lever.
The stop screws 40 provided in the pincer levers 26 serve to limit the pivoting of the side electrodes, as well as to lift the link lever 11.
The displacement of the electrodes takes place as follows: In the position shown, the electrodes rest on the link. As a result of the subsequent rotation of the cam 6 in the direction of the arrow.-the rod 9 goes up, lifting the upper lever 10. Under the effect of the spring 31, the sliding lever 30 and the upper electrode 37 are d. 'initially maintained in their old position, until the side electrodes 15 have pivoted by such an amount that the stop screws 40 come to rest against the link lever 11 thus driving the latter during the subsequent lifting of the lever 10.
As a result of the raising of the link lever 11, the stop screw 38 comes to rest against the slide lever 30 and lifts the latter together with the slide 34 mounted in this lever, as does the electrode. upper 37 joined to this slide, so as to detach this electrode from the link, so that the latter is released and can be advanced in order to make room for the next link.
1 - Device for welding chain links by electrical resistance and by approximation, using more than four electrodes, characterized by a parallelogram of levers (10, 11, 16) articulated to the frame of the machine, and of which the upper lever (10) oriented horizontally, connected to a fixed point, and called to be lowered by the action of a control shaft (5) is joined to the vertical link lever (11) in such a way that, when the lower horizontal lever (16), articulated at a fixed point, meets a stop, the upper lever (10) can continue its descent, for example in a longitudinal slot (13) of the link lever (11) ), this prolonged descent serving to move two or more known devices (19, 20, 26), intended to move the side electrodes 15 in pincers)
and provided on the link lever (11), while one or more upper electrodes (37), with exclusively vertical movement, are resiliently mounted in sliding guides (35,36) of a link lever '(it ).