BE492652A - - Google Patents

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BE492652A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B01PHYSICAL OR CHEMICAL PROCESSES OR APPARATUS IN GENERAL
    • B01FMIXING, e.g. DISSOLVING, EMULSIFYING OR DISPERSING
    • B01F21/00Dissolving
    • B01F21/20Dissolving using flow mixing
    • B01F21/22Dissolving using flow mixing using additional holders in conduits, containers or pools for keeping the solid material in place, e.g. supports or receptacles
    • B01F21/221Dissolving using flow mixing using additional holders in conduits, containers or pools for keeping the solid material in place, e.g. supports or receptacles comprising constructions for blocking or redispersing undissolved solids

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  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Chemical Kinetics & Catalysis (AREA)
  • Physical Or Chemical Processes And Apparatus (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  " Procédé et appareil .pour produire et   maintenir   une solution sursaturée d'une substance solide dans un solvant fluide. " 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 
La présente invention est relative à un procédé pour produire une solution sursaturée, possédant un certain   degré   de   saturation,     d'une     substance solide   dans un solvant fluide, ce degré de saturation étant réglable dans certaines   limites.   



   L'invention   esbencore   relative à un procédé pour   maintenir ,   de manière 'continue, le degré de saturation voulu,, lorsque la substance précitée quitte la solution par cristallisation ou réaction chimique . 



   Enfin,   l'invention   est également relative à un appareil pour la mise en oeuvre du procédé spécifié   ci-.   dessus. 



   Le procédé suivant l'invention est basé principale- ment sur le fait que, lorsque le poids spécifique de la substance à l'état pur est supérieur au poids spécifi- que du solvant, une augmentation de la   concentration   de la solution provoque une augmentation du poids spéci- fique de celle-ci. Un autre facteur, sur lequel est basé le procédé suivant l'invention, réside dans le fait que le poids spécifique de la solution   diminue,     parce   que le volume de celle-ci   augmente,     lorsque   croît sa tempéra- ture,Enfin, le procédé suivant   l'invention,   est encore basé sur le fait que la solubilité de la substance solide précitée croît avec la température . 



   Pour mieux comprendre le procédé suivant l'inven- tion, on en décrira ci-après un mode d'exécution, en faisant usage d'une solution d'un sel dans l'eau, pour la producti.on de gros cristaux séparés,' utilisables   comme   cristaux piézoélectriques ou dans le domaine de   l'optique .   

 <Desc/Clms Page number 3> 

 



   Des cristaux de ce type sont obtenus à l'aide d'une solution sursaturée de la substance solide préci- téem des cristaux   d'ensemencement     innerves   dans cette solution   subissant   une   croissance,     par     cristallisation   de la substance en question. 



   Le procédé suivant l'invention apparaîtra au cours de la   description   d'un appareil, représenté, en coupe transversale, à la figure I. 



   Le dispositif consiste en un récipient 1, dans le-   quel     est ménagé     un   ense ible de   canaux     verticaux.   Le réci- pient 1 est rempli du solvant fluide men tionné ci-dessus. 



   Le récipient 1 comprend une partie principale A, dans laquelle peut s'effectuer le procédé envisagé,   con-   sistant, par exemple, en une cristallisation . La partie A du récipient 1 sera appelée ci-après la   chanbre   de cristallisation . Limitée, d'une part, par le fond et par trois des parois latérales du récipient 1, la cham- bre de cristallisation A est, d'autre part, limitée d'un côté par une cloison verticale 2, disposée de façon qu'un passage soit ménagé entre le bord inférieur de cette cloison 2 et le fond du récipient 1. La cloison 2 se termine, à son extrémité supérieure, à un niveau quelque peu inférieur au bord supérieur du récipient,de façon qu'un passage soit également ménagé entre le bord supérieur de la dite cloison 2 et la surface du fluide. 



   Parallèlement à la cloison 2 s'étend une plaque 3, dispo- sée à l'intérieur de la chambre de cristallisation, à une certaine distance du passage mentionné en dernier lieu, de manière à former un court canal vertical 3, qui débouche vers le bas dans la chambre de cristallisation et vers lehaut dans le passage ménagé au-dessus de la cloison 2. Dans ce canal B est placé un dispositif de chauffage 4. 



    @   

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Entre la cloison 2 et la paroi latérale de gauche (lorsqu'on considère la figure 1)du récipient 1 est montée une paroi 5, qui s'infléchit à sa partie supé- rieure vers la paroi latérale   du     récipient     et est re-   liée à   celle-ci ,   de   manière à     former  une cavité f. A sa partie   supérieure   et à sa partie inférieure, cette cavité présente des ouvertures, par lesquelles un fluide de refroidissement est amené à circuler de 
H l'entrée G à la sortie/de ladite cavité , en passant dans la cavité F.

   Les cloisons 2 et 5 forment un canal vertical D, qui est en communication, à sa partie inférieure, avec la chambre de cristallisation, A, et   s'élargit.,   à sa partie supéreure, de manière à   former   une chambre C, qui sera appelée ci-après la chambre de dissolution. Cette chambre de dissolution C est reliée, par le canal B, à la chambre de cristalli- sation A. Comme on le voit, un système ou cycle fermé est ainsi obtenu . 



   La partie inférieure d'un réceptacle E, qui est perforé depuis son fond jusqu'à la surface du fluide, est inergéedans la chambre de dissolution C, de façon qu'un coté du réceptacle repose contre le bord supé- rieur de la cloison 2. Ainsi, le fluide est obligé de passer à travers la partie inférieure du   réceptacle   E, lorsqu'il se dirige du canal   B   vers le canal D, en passant par la chambre de dissolution C. Dans le réceptacle E, on place la substance solide, dont le liquide doit être sursaturé . 



   Dans la chambre de dissolution C,   immédiatement   sous le réceptacle E, se trouve un dispositif thermo- sensible 6 (thermomètre à contact) , grâce auquel l'action du dispositif de chauffage 4 peut être réglée. 

 <Desc/Clms Page number 5> 

 



   Le récipient de cristallisation 1 est supposé rempli,   jusqu'à   un niveau approprie, d'une solution   sensiblement     saturée   de la   substance   susdite. 



   Dans la chambre de cristallisation A règne une température TO. Dans le canal B, la solution est chauf- fée, par le dispositif de chauffage 4, jusqu'à une température T1. de telle sorte que la solution circule vers le haut et vient en contact avec la substance solide se trouvant dans la partie du réceptacle E immergée dans la chambre C. 



   Comme la solution n'est pas saturée, une certaine quantité de sel s'y dissout. Cette dissolution nécessite de la chaleur, en sorte que la solution se refroidit, en passant dans le réceptacle E, et que la température diminue jusqu'à une valeur T2, La solution quittant la chambre C est approximativement saturée et se trouve à la température T2. 



   Comme la solution est à présent plus concentrée et par conséquent plus dense que dans le canal B , elle descend dans le canal D, en étant progressivement re- froidie , par l'eau de   refroidissement   circulant dans la cavité F, jusqu'à   la   température TO,   c'est-à-dire   que   finalement   la solution   acquiert   la même température que dans le récipient de cristallisation. La solution s'est sursaturée en substance solide en subissant une chute de température T2- TO et retourne, dans cet état à la chambre de cristallisation A, où elle s'étale sui- vant une couche horizontale, sous la solution non saturée . 



   La circulation se poursuit,- toutefois, de la ma- nière indiquée ci-dessus et un courant continu de solu- tion sursaturée entre dans le récipient de   cristallisa-   tion . Celui-ci se remplit de plus en plus de solution 

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 sursaturée et la surface de séparation entre la solution sursaturée et la   solution   non   saturée   s'élève   lentement   vers le haut. 



   Finalement, la solution sursaturée atteint le ni- veau, auquel elle   commence   à   être     amenée     dans   le canal 3. Comme cette solution est encore sensiblement saturée, après avoir été chauffée jusqu'à la température T. dans le canal B, elle pénètre dans le réceptacle E, où il ne s'y dissout qu'une faible quantité de nouveau sel, en sorte que la chute de   température   de la solution pendant son passage dans le réceptacle E contenant le sel est ou la substance solide dissoute/sans importance , la tem- pérature T2 régnant dans la chambre C tendant à augmen- ter .

   Le dispositif thermosensible 6 se   trouvant   dans la chambre C réduit, dès lors, l'effet du dispositif de chauffage 4, la température T1   diminuant   et l'équilibre s'établissant lorsque   T-.   =T1 La circula- tion s'arrête alors et la quantité de chaleur développée   ae   doit plus être que celle nécessaire pour maintenir la température constante . 



   Le degré de saturation est proportionnel à la   diffé-     rence   de température, qui est   nain tenue     entre   la   chambre   de dissolution et la   chambre   de   cristallisation ,   et peut être réglé, par exemple, en ajustant le disposi- tif   thermosensible à   diverses valeurs de T2, lorsque TO est maintenue   constante .   



   Lorsque la substance est amenée à précipiter dans la chambre de cristallisation, par   exemple   par immer- sion dans celle-ci de cristaux   d'ensemencement,   la concen- tration en sel de la solution diminue, pendant que la cristallisation   s'opère .  La solution moins dense ainsi obtenue s'élève alors jusqu'à la surface du fluide dans le récipient de cristallisation, pénètre dans le canal 

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 B et est chauffée   jusqu'à   la température T1 Comme cette solution est à présent non saturée et qu'il s'y dissoutdu sel,

   une chute de température se produit et le dispositif   thermosensible   augmente l'alimentation en chaleur La circulation   s'amorce et   continue alors aussi longtemps qu'une solution non saturée est obte- nue après la chauffage dans le canal 3. Si de plus grandes quantités de sel   précipitent,   la différence entre T1 et T2 augmente et,   cornue   T2 est maintenue constante, T1 augmente aussi . Ceci donne lieu à une vi- TESSE   accrue   de   dissolu-':.ion.   Comme on le voit, le dispositif permet de maintenir la vitesse de dissolu- tion aussi élevée que la vitesse de cristallisation, en   sorte     que   le   degré   de saturation est   maintenu   cons- tant. 



   Dans l'appareil décrit à la Figure II qui consti- tue une variante de celui représenté à la figure I, un prolongement de la partie inférieure de la cloison 2 est courbé vers le haut et peut   atteindre   un niveau situé à courte distance de la surface du fluide. 



  En prolongeant la plaque 3 vers le bas, de la manière représentée à la figure II, on voit que le canal B s'étend d'abord vers le bas depuis le passage vers la chambre de cristallisation , en suivant une direction perpendiculaire au fond du récipient 1 (B , figure II),      pour s'étendre ensuite vers la   haut.,   la   long   de la cloi- son 2, jusqu'à   la chambre   de dissolution (Bb, figure II). 



  Dans la partie Bb du canal B, où la solution circule vers le haut, elle est chauffée progressivement par la solution venant nE'¯ la   chambre     de   dissolution et passant par le canal D, en sorte que la solution circulant dans ce dernier canal est refroidie .Ainsi, le moment agissant contre le sens de circulation sera partielle- ment   compensé,   ce moment étant dû au fait que la solu- 

 <Desc/Clms Page number 8> 

 tion circulant dans le canal D est plus chaude que celle circulant dans la chambre de cristallisation . 



  Même de très faibles différences de concentrations suffisent donc pour maintenir la   circulation*     Calait   s'est   avère   de grande   importance   pour la croissance des cristaux à l'aide de substances difficilement solubles. 



   En raison de l'échange thermique obtenu entre les canaux B et D, la nécessité d'un refroidissement spécia-   lement   conçu est réduite* Cet échange thermique peut, toutefois, être également utilisé pour acquérir d'au- tres avantages. Ceci apparaît dans l'appareil de la figure   III,   où le canal D a été modifié de façon à s'étendre d'abord vers le bas (Da) à partir de la cham- bre de dissolution E, pour remonter ensuite (Db) revenir   et/finalement   vers le bas (D ) , le long de la cloison du canal Bb .Un dispositif de chauffage est installé dans la partie de canal Db Cette partie de canal Db est la plus chaude du système .

   Comme la solution a déjà passé par le réceptacle contenant le sel à y dissoudre, la température peut être maintenue suffi-   samment   élevée pour que la solution soit assez peu saturée, de telle sorte que des grains éventuels de sel, venant du réceptacle contenant ce sel, seront complètement dissous   et qu'une   solution homogène sera obtenue .

   De plus, il peut être fourni à la solution, dans le canal Bb, une quantité de chaleur   suffi-     sante     pour     compenser   la   quantité   de   chaleur     nécessaire   à la dissolution, en sorte qu'aucun dispositif de chauffage ne doit   être     olacé   dans le canal Bb, Dans le dispositif de la figure III, la circulation est assez   rapide .    

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   La figure IV représente un appareil pour faire croître des cristaux sur une grande échelle La cham- bre de dissolution se trouve, dans ce cas, dans un récipient spécial et est en communication avec plu- sieurs récipients de cristallisation A. En raison du fait que le canal D, est limité par la paroi exté- rieure du récipient de dissolution, le dispositif de chauffage 4 peut être exécuté sous forme d'une   résis-   tance électrique, enroulée autour du récipient de dissolution et calorifugéej vers l'extérieur par un   revêtement   7 de nature appropriée . 



   Le procédé décrit ci-dessus peut être utilisé à d'autres fins que celle décrite ci-dessus (croissance de cristaux) et la présente invention concerne ce procédé ,   indépendamment   des   applications   de ce   procé-   dé et des appareils pour sa mise en oeuvre,   conformé-   ment aux   revendications   suivantes. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS 1. Procédé pour produireet maintenir une solu- tion sursaturée d'une substance solide dans un solvant fluide .(par exemple, un sel dans de l'eau), lors- que la substance dissoute quitte la solution par cris- tallisation ou réaction chimique, dans lequel procédé de la substance fraîche est amenée, de manière conti- nue, par dissolution dans une partie du système, dont la température est maintenue supérieure à celle des parties restantes du système, caractérisé en ce que le chauffage de la solution et l'alimentation en substance solide se fond dans la couche supérieure de surface de la phase liquide, à l'endroit où la solution est la moins dense,
    c'est-à-dire la moins concentrée, la partie la moins concentrée de la solution venant en contact, aprèschauffage, avec la substance dont la so- <Desc/Clms Page number 10> lution doit être sursaturée, ce qui aène la dissolu- tion de cette substance, après quoi la solution plus concentrée et, par conséquent, plus dense, parce qu'elle s'en enrichi , en substance, se dirige, tout en. étant refroidie, vers des parties 'le niveau m'oins élevé du système fluide , en sorte qu'une nouvelle fraction de la solution non saturée quitte la superficielle, solution non saturée quitte couche superficielle,
    le processus de dissolution se poursuivant ainsi aussi longtemps qu'une partie quelconque du fluide est non saturée à la température la plus élevée de ce fluide.
    2. Appareil pour exécuter le procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce qu'on a prévu dans le récipient de cristallisation ou dans le récipient de réaction, un canal essentiellement vertical et ouvert à ses parties supérieure et inférieure,ce canal présen- tant, de préférence, une section transversale plus éle- vée à sa partie supérieure qu'à sa partie inférieure, un réceptacle à substance solide perforé à sa partie inférieure et ouvert à sa partie supérieure étant prévu dans la partie supérieure du récipient de cristallisa- tion , le canal susdit, dénommé ci-aprés le canal prin- cipal présentant, à sa partie supérieure, un passage latéral ( ou canal latéral)
    @ vers la phase liquide , ce passage étant prévu dans la paroi supé- rieure de la phase liquide et près de la surface du liquide .
    2. Appareil suivant l'une ou l'autre des revendi- cations 1 et 2, caractérisé en ce que le passade laté- ral affecte la forme d'un canal, qui s'étend d'abord vers le bas et ensuite vera le haut, pour déboucher au voisinage de la surface supérieure de la phase liquide.
    4. Appareil suivant l'une ou l'autre des revendica- tions 1 à 3, caractérisé en ce qu'un dispositif de chauffa <Desc/Clms Page number 11> ge est disposé à l'extérieur de la partie supé- rieure du canal principal et, de préférence, à l'inté- rieur du canal ou passage latéral , sous son orifice de communication avec le canal principal ou dans la partie du canal ou passage latéral, qui s'élève vers l'orifice latéral du canal principal.
    5. Procédé et appareil suivant l'une ou l'autre des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que le canal latéral suit le canal principal vers le bas et possède une paroi en commun avec celui-ci, cette paroi allant de l'orifice latéral jusqu'à l'endroit où le canal latéral s'incurve vers le haut, en sorte qu'un échange thermique, suivant le principe du con- tre-courant, s'établit entre la solution chaude , circulant vers le bas dans le canal principal à partir du réceptacle à substance solide, et la sol ution circulant vers le haut dans le canal 'auxiliaire ,de la surface du fluide vers l'orifice latéral, de telle sorte que la solution mentionnée en prenier lieu est refroidie progressivement ,
    tandis que celle mentionnée en dernier lieu est. chauffée progressivement.
    6. Procédé et appareil suivant l'une ou l'autre des revendications 1 à 5, caractérisés en ce que le canal principal venant du réceptacle à substance solide s'étend d'abord vers le bas et s'incurve ensui- te vers le haut, jusqu'à rencontrer le canal latéral au voisinage de son orifice vers le réceptacle à subs- tance solide , ledit canal principal s'étendant ensui- te le longpu canal latéral, dans sa partie descendant du réceptacle à substance solide,
    en sorte que le canal principal et le canal latéral possèdent une paroi commune jusqu' à l'endroit où le canal latéral s'incurve vers le haut, un dispositif de chauffage <Desc/Clms Page number 12> étant, en outre, prévu dans la partie ascendante du canal principal, en sorte que la solution qui a passé par le réceptacle à substance solide circule d'abord vers le bas puis s'élève, en étant chauffée, et finale- ment circule à nouveau vers le bas, en étant refroi- die, la solution circulant dans le canal latéral étant ainsi chauffée, tandis qu'elle s'élève vers le récep- tacle à substance solide.
    7. Dispositif suivant l'une ou l'autre des reven- dications 4 à 7, caractérisé en ce qu'un dispositif thermosensible est disposé dans la partie supérieure du canal principal, ce dispositif thermosensible réglant, par l'intermédiaire d'un relais, la production de chaleur dans le dispositif de chauffage mentionné ci-dessus.
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