BE487387A - - Google Patents

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BE487387A
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    • HELECTRICITY
    • H03ELECTRONIC CIRCUITRY
    • H03JTUNING RESONANT CIRCUITS; SELECTING RESONANT CIRCUITS
    • H03J5/00Discontinuous tuning; Selecting predetermined frequencies; Selecting frequency bands with or without continuous tuning in one or more of the bands, e.g. push-button tuning, turret tuner
    • H03J5/02Discontinuous tuning; Selecting predetermined frequencies; Selecting frequency bands with or without continuous tuning in one or more of the bands, e.g. push-button tuning, turret tuner with variable tuning element having a number of predetermined settings and adjustable to a desired one of these settings
    • H03J5/14Discontinuous tuning; Selecting predetermined frequencies; Selecting frequency bands with or without continuous tuning in one or more of the bands, e.g. push-button tuning, turret tuner with variable tuning element having a number of predetermined settings and adjustable to a desired one of these settings operated by auxiliary power
    • H03J5/16Settings determined by a number of separate positioning means actuated by hand
    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F16ENGINEERING ELEMENTS AND UNITS; GENERAL MEASURES FOR PRODUCING AND MAINTAINING EFFECTIVE FUNCTIONING OF MACHINES OR INSTALLATIONS; THERMAL INSULATION IN GENERAL
    • F16DCOUPLINGS FOR TRANSMITTING ROTATION; CLUTCHES; BRAKES
    • F16D71/00Mechanisms for bringing members to rest in a predetermined position
    • F16D71/04Mechanisms for bringing members to rest in a predetermined position providing for selection between a plurality of positions
    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F16ENGINEERING ELEMENTS AND UNITS; GENERAL MEASURES FOR PRODUCING AND MAINTAINING EFFECTIVE FUNCTIONING OF MACHINES OR INSTALLATIONS; THERMAL INSULATION IN GENERAL
    • F16HGEARING
    • F16H37/00Combinations of mechanical gearings, not provided for in groups F16H1/00 - F16H35/00
    • GPHYSICS
    • G05CONTROLLING; REGULATING
    • G05DSYSTEMS FOR CONTROLLING OR REGULATING NON-ELECTRIC VARIABLES
    • G05D3/00Control of position or direction
    • G05D3/12Control of position or direction using feedback
    • G05D3/121Control of position or direction using feedback using synchromachines (selsyns)
    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F16ENGINEERING ELEMENTS AND UNITS; GENERAL MEASURES FOR PRODUCING AND MAINTAINING EFFECTIVE FUNCTIONING OF MACHINES OR INSTALLATIONS; THERMAL INSULATION IN GENERAL
    • F16HGEARING
    • F16H2700/00Transmission housings and mounting of transmission components therein; Cooling; Lubrication; Flexible suspensions, e.g. floating frames
    • F16H2700/02Transmissions, specially for working vehicles

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  • Adjustable Resistors (AREA)

Description


  Elément constitué par un bouton à cliquet et un accouplement à

  
maximum, et mécanisme composé d'éléments de ce genre.

  
Par bouton à cliquet, on entend un système de disques d'arrêt et de cliquets conjugués. Ce système s'utilise dans les appareils comportant un ou plusieurs organes de réglage qui doivent être amenés, de temps à autre, dans certaines positions prédéterminées.

  
A titre d'exemple d'un appareil pour lequel ces boutons

  
à cliquet sont particulièrement intéressants, on peut mentionner

  
un émetteur ou un récepteur de communication par T.S.F. dans lequel on change régulièrement de longueur d'onde. Dans ces appareils chaque accord sur une autre longueur d'onde nécessite le déplacement d'un certain nombre d'organes de réglage, par exemple des condensateurs, des résistances et des self-inductions. Les boutons

  
à cliquet permettent d'amener très rapidement et très facilement les organes de réglage d'une position dans l'autre.

  
Chaque arbre, qui entraîne un ou plusieurs organes de ré-glage, doit comporter un bouton à cliquet. Pour chacune des positions sélectées d'un tel arbre le bouton à cliquet comporte un disque d'arrêt et un cliquet. Un sélecteur de cliquets permet de conjuguer chaque cliquet avec le disque d'arrêt correspondant. Dans certains cas, il est désirable de disposer de la possibilité de modifier la position déterminée par le disque d'arrêt. Aussi les disques sont-ils réglables individuellement. Lorsque, pour tous les boutons à cliquet de l'appareil, on a soulevé, à l'aide du sélecteur de cliquets, le cliquet en fonctionnement, et que l'on en a choisi un autre, on tourne tous les arbres jusqu'au moment où ils sont bloqués par le cliquet choisi.

   A ce moment la nouvelle combinaison de positions des organes de réglage est obtenue c'est-à-dire que, dans le cas d'un appareil de T.S.F., on a accordé sur une nouvelle longueur d'onde.

  
Il n'est pas nécessaire de déplacer les arbres l'un après l'autre, leur rotation peut être simultanée. A cet effet, on peut utiliser un moteur commun. Un tel dispositif est décrit, par exemple, dans le brevet français No.881.525.

  
En général, tous les arbres n'atteindront pas simultanément leur nouvelle position. Aussi, dans le cas d'emploi d'un dispositif d'entraînement commun, faut-il prévoir entre l'arbre moteur et l'arbre du bouton à cliquet un accouplement qui permet à l'arbre moteur de poursuivre sa rotation bien que l'arbre du bouton à cliquet soit bloqué. A cet effet, on peut utiliser un accouplement à friction ou mieux encore, un accouplement qui débraye les deux arbres dès que le couple moteur dépasse une valeur déterminée. Un accouplement à maximum particulièrement approprié à cette application est décrit dans le brevet français No.903.072.

  
L'invention fournit un assemblage pratique en un élément de construction de l'accouplement à maximum et du bouton à cliquet ainsi que d'autres organes.

  
Suivant l'invention, l'accouplement à maximum et le bou-ton à cliquet sont disposés l'un à côté de l'autre d'une manière telle que leurs axés soient parallèles et la partie entraînée de l'accouplement à maximum comporte une roue dentée. Cette roue dentée qui sera appelée "roue entrainée" pour la distinguer d'autres roues dentées dont il sera question par la suite, engrène avec une roue dentée fixée sur l'arbre du bouton à cliquet. Dans la suite du mémoire, ce dernier engrenage .sera appelé roue du bouton. En ou tre l'arbre moteur de l'accouplement à maximum porte un engrenage qui sera appelé dans la suite du mémoire "roue motrice" et qui engrène avec un engrenage qui tourne fou sur l'arbre du bouton à cliquet. Dans la suite du mémoire, ce dernier engrenage sera appelé "roue de transmission".

  
Cet assemblage assure un emploi avantageux de l'espace disponible qui, dans certains cas (par exemple les appareils de T.S.F. utilisés à bord des avions) est très restreint. Lorsqu'on place l'accouplement à maximum dans le prolongement de l'arbre du bouton à cliquet on allonge l'appareil. En général, on dispose dans le voisinage de l'arbre du bouton à cliquet, de l'espace nécessaire pour loger l'accouplement à maximum sans augmenter les dimensions de l'appareil. Cet agencement réduit les dimensions de l'ensemble et présente encore un autre avantage: un nombre quelconque d'éléments constitués par un bouton à cliquet et un accouplement à maximum peuvent être groupés d'une manière telle qu'il suffit d'entraîner un seul de ces éléments pour provoquer le mouvement de l'ensemble.

  
On peut assembler au moins deux éléments conformes à l'invention de manière à en constituer un seul mécanisme. Les boutons à cliquet de ce mécanisme peuvent alors être commandés par

  
un moteur commun sans qu'il soit nécessaire d'utiliser un arbre pour chaque élément. En effet, lorsqu'on fait voisiner deux de ces éléments d'une manière telle que leurs axes soient parallèles et que la roue de transmission de l'un des éléments engrène avec la roue motrice de l'autre, il suffit de déplacer l'une des roues mo-trices pour que la roue de transmission entraîne l'autre dans le même sens. A côté du second élément, on peut en monter de la même manière un troisième. Le mouvement est alors transmis à la roue motricé de ce dernier par une roue de transmission. On supprime

  
 <EMI ID=1.1> 

  
du brevet français No.881.525.

  
Il va de soi que dans le cas de deux éléments directement accouplés, l'un des systèmes d'engrenages, constitué par une roue entraînée et par une roue de bouton doit être décalé par rapport à l'autre d'une manière telle que chaque roue de bouton n'engrène qu'avec la roue entraînée de l'élément correspondant. Pour le troisième élément, ce système d'engrenages peut se trouver à la même hauteur que celui du premier, de sorte qu'il suffit de deux sortes d'éléments pour constituer un mécanisme à cliquets comportant un nombre quelconque de boutons à cliquet.

  
Dans le cas d'un mécanisme constitué par des éléments conformes à l'invention, le réglage des sélecteurs de cliquets peut aussi s'effectuer à l'aide d'engrenages. A cet effet, l'un des arbres de l'accouplement à maximum comporte un engrenage tournant fou qui sera appelée par la suite "roue intermédiaire"; cette roue dentée engrène avec un engrenage qui tourne fou sur l'arbre du bouton à cliquet. Dans la suite du mémoire, ce dernier engrenage sera appelé "engrenage sélecteur".

  
Lorsque toutes les roues intermédiaires et tous les engrenages sélecteurs se trouvent à la même distance des roues motrices, et des roues de transmission, lors de l'assemblage d'au moins deux éléments en un seul mécanisme, un engrenage sélecteur engrènera non seulement avec la roue intermédiaire de l'élément auquel il appartient, mais aussi avec celle de l'élément voisin. Donc, dans un tel mécanisme, la rotation d'une roue intermédiaire ou d'un engrenage sélecteur entraîne une rotation de même sens de tous les engrenages sélecteurs. Comme le changement de position nécessite toujours des déplacements égaux de tous les sélecteurs de cliquets, tous les engrenages sélecteurs peuvent faire partie du mê-

  
 <EMI ID=2.1> 

  
le même plan.

  
En général, il ne sera pas possible de disposer tous les arbres des éléments dans le même plan. Dans le mécanisme conforme à l'invention, cette disposition est d'ailleurs inutile, car

  
le point d'engrènement des engrenages peut être arbitraire, du moins sur une grande partie du cercle primitif. Les plans des arbres de deux éléments voisins peuvent donc former entre eux un certain angle. L'engrenage du même élément conjugué avec une roue dentée provoque, il est vrai, un angle mort dans lequel ne peut pénétrer une seconde roue dentée, mais la partie subsistante est suffisamment grande pour permettre de placer l'un à côté de l'autre deux éléments oubien sous un angle de 90[deg.] entre les plans des arbres.

  
En pratique, il pourra encore se présenter une limitation gênante pour le placement de l'élément à accoupler. Pour éviter la déformation des arbres, il est désirable qu'ils soient supportés en des points disposés de part et d'autre du bouton à cliquet. Lorsqu'on satisfait à cette condition, le châssis servant à supporter les arbres comporte nécessairement des parties dépassant les engrenages.

  
Même si les deux paniers d'un arbre d'un sélecteur de cliquets se trouvent entre la roue de transmission et l'engrenage sélecteur, il faut réaliser une liaison avec un socle qui porte l'ensemble du mécanisme et cette liaison ne saurait évidemment traverser un engrenage. Ces parties en saillie du châssis peuvent entraver l'accouplement sous des angles déterminés. Il faudrait donc réaliser le châssis des divers éléments au moyen d'organes dont

  
la forme varie avec la direction dans laquelle on désire accoupler les éléments voisins. 

  
L'invention réduit notablement le nombre de variétés nécessaires. Les arbres reposent dans deux plaques parallèles de forme spéciale. Ces plaques comportent des points d'appui, dépassant les engrenages, qui permettent de les fixer entre elles et éventuellement à un socle commun à l'aide de traverses. Ces points d'appui dépassent le plan commun des arbres d'un montant tel qu' ils ne gênent pas l'accouplement en un point de ce plan. Les plaques sont construites de manière qu'elles constituent l'image l'une de l'autre; elles peuvent donc être interchangées. Si l'on interchange les plaques, les points d'appui en saillie des plaques se trouvent du côté du plan commun des axes opposé, à celui où ils se trouvaient avant.

   De préférence, ces points d'appui se trouvent, de part et d'autre de l'espace limité par les deux plans perpendiculaires au plan commun des arbres passant par l'un des axes, en dehors de cet espace. Si, l'une des plaques se trouvant en haut, une partie des engrenages est libérée, qui permet l'accouplement en un point à droite du plan commun des axes, le placement vers le haut de l'autre plaque (inversée) permet l'accouplement à gauche de ce plan.

  
L'interchangeabilité est cependant aussi désirée entre

  
la droite et la gauche pour l'accouplement à un seul des engrenages du système. De ce fait, l'emploi des plaques précitées nécessiterait encore quatre types. Cependant, si l'on construit les plaques d'une manière telle qu'on puisse les inverser sans les interchanger, on diminue de moitié le nombre total de types néces-  saires. Ceci impose cependant à la forme des paliers des conditions auxquelles il ne sera pas toujours possible de satisfaire. En outre, le rapport du nombre de plaques nécessaires de chaque type dépend encore du rapport du nombre d'éléments à accoupler du même côté sur les deux-axes et du nombre d'éléments à accoupler de

  
côtés différents du.plan commun des axes.

A 

  
On peut encore, conformément à l'invention, améliorer le tout en réalisant chaque plaque en deux pièces dont chacune constitue l'image de la pièce en regard de l'autre plaque et peut donc être interchangée avec cette dernière. A cet effet, les deux pièces de chaque plaque sont assemblées en des points symétriques par rapport au plan commun des axes.

  
La description du dessin annexé, donné à titre d'exemple non limitatif, fera bien comprendre comment l'invention peut être réalisée, les particularités qui ressortent tant du texte que du dessin faisant, bien entendu, partie de l'invention.

  
La Fig. 1 représente une forme d'exécution d'un élément conforme à l'invention, dans sa forme la plus simple projetée dans une direction perpendiculaire au plan commun des arbres.

  
La Fig. 2 est un exemple d'un élément conforme à l'invention approprié à l'assemblage à un second élément pour constituer un mécanisme conforme à l'invention. La projection est faite dans la même direction que sur la Fig. 1.

  
La Fig. 3 représente un mécanisme conforme à l'invention, constitué par deux éléments. Cette figure montre aussi certains détails d'un accouplement à maximum particulièrement approprié à l'utilisation dans un mécanisme à cliquet.

  
 <EMI ID=3.1> 

  
représentées d'une manière schématique.

  
 <EMI ID=4.1> 

  
ques dé montage interchangeables assure la possibilité d'accouplement dans diverses directions.

  
La Fig. 8 montre en perspective le mode d'assemblage des deux parties de ces plaques.

  
La Fig. 9 montre un mécanisme conforme à l'invention constitué par cinq éléments.

  
Sur les Figs. 1, 2 et 3, les arbres sont représentés par un trait. Si l'arbre peut tourner dans un organe, le trait traverse cet organe. Si l'organe est calé sur un arbre, le trait est interrompu.

  
Sur la Fig. 1, l'arbre du bouton à cliquet est indiqué

  
 <EMI ID=5.1> 

  
maximum, indiqué par 2, ne se trouve pas dans le prolongement de l'arbre 1, mais parallèlement à ce dernier. Les deux arbres sont supportés dans les plaques 3 et 4 d'un châssis. Ces plaques sont maintenues en place par des traverses 5 et 6 qui peuvent aussi servir à fixer l'élément sur un socle.

  
L'arbre 2 est entraîné par une vis sans fin 7 qui est conjuguée avec un engrenage hélicoïdal 8 monté sur l'arbre 2. L'arbre de la vis sans fin peut être entraîné par un moteur, non représenté sur le dessin. L'arbre 2 constitue l'arbre moteur de l'élément. Son mouvement est transmis, par l'intermédiaire d'un accouplement à maximum 9, à un arbre 10 qui se trouve dans le prolongement de l'arbre 2. Sur l'arbre 10 est fixé un engrenage 11, appelé "roue menée" parce qu'il fait partie de la partie entraînée

  
de l'accouplement à maximum.

  
Sur l'arbre 1 est aussi calé un engrenage 12, appelé "roue du bouton" parce qu'il fait partie du bouton à cliquet. L'engrenage 12 engrène avec l'engrenage 11.

  
L'un des disques de blocage du bouton à cliquet, calé sur l'arbre 1, est indiqué par 13. L'arbre 1 porte en outre le sélecteur de cliquets 14 qui peut tourner sur cet arbre. Des cliquets
15 disposés autour du groupe de disques 13, le dessin ne montre que celui qui est conjugué avec le disque représenté.

  
L'élément fonctionne de la manière suivante. Il suffit de tourner le sélecteur de cliquets 14 autour de l'arbre 1 jusqu'à ce qu'il occupe la position désirée pour provoquer le fonctionnement d'un cliquet déterminé 15. A cet effet, on tourne l'arbre portant la vis sans fin 7, ce qui entraîne le déplacement de la roue héli-coldale 8 et donc de l'arbre 2. L'accouplement 9 transmet le mouvement à l'arbre 10, de sorte que la roue menée 11 tourne et provoque à son tour, le mouvement de la roue de bouton 12. Il en résulte que l'arbre 1, portant les disques de blocage 13, tourne luiaussi.

  
Le sélecteur de cliquets soumet le cliquet choisi 15 à une poussée dirigée radialement vers l'intérieur, mais reste au repos. Il glisse sur le bord du disque rotatif 13 qui comporte une échancrure. Lorsque cette échancrure parvient au droit du cliquet
15, l'extrémité libre du cliquet y pénètre et bute contre la paroi. Le cliquet empêche la rotation du disque 13. De ce fait, l'arbre 1 ainsi que les engrenages 12 et 11 s'arrêtent aussi.

  
L'arbre 2 reste cependant soumis au couple moteur. Si l'arbre de la vis sans fin 7 commande encore d'autres boutons à cliquet, ce couple doit agir jusqu'au moment où le dernier bouton à cliquet est bloqué. Pour que l'arbre moteur 2 puisse pour-

  
 <EMI ID=6.1> 

  
prévu, entre ces arbres, l'accouplement à maximum 9.

  
On peut se représenter ce dernier comme un accouplement

  
à friction qui permet de transmettre le couple nécessaire à la rotation de l'arbre du bouton à rochet, mais qui patine dès que le couple résistant dépasse une valeur déterminée.

  
Tous les boutons à cliquet étant ainsi bloqués l'un après l'autre, on peut arrêter l'arbre de la roue hélicoïdale 7. Dans

  
le cas d'une commande par moteur électrique, on peut donc couper le courant de ce moteur.

  
En disposant, conformément à l'invention, l'accouplement

  
à friction à côté du bouton à cliquet, on raccourcit l'élément. Cependant on ne tire tout le parti possible de l'invention qu'en ajoutant un engrenage à l'élément.

  
Les arbres des divers boutons à cliquet appartenant au même appareil ne se trouveront pas toujours dans le même plan. Il faut donc accoupler le moteur, ou la manivelle servant à la rotation à chacun des boutons à cliquet à l'aide d'un système de transmission complexe tel qu'il en est représenté un, par exemple, sur la Fig. 1 du brevet français No. 881.525.

  
Si l'entraînement du bouton à cliquet s'effectue à l'aide d'un engrenage .normal et non de la roue hélicoïdale 8, on

  
peut utiliser cet engrenage pour entraîner un second élément muni d'une roue dentée identique. A cet effet, on fait en sorte que

  
ces roues dentées engrènent. Cependant, dans ce cas, les arbres des deux éléments tournent en sens inverse, de sorte qu'en général, ces deux éléments ne pourront se composer des mêmes organes

  
et en tout cas, leur assemblage doit être différent. En outre, les organes de réglage de l'appareil auxquels sont reliés les boutons

  
à cliquet doivent être établis en tenant compte de cette différence de sens de rotation. Aussi utilisera-t-on de préférence un engrenage intermédiaire entre les arbres des boutons à cliquet; tous les boutons à cliquet tournent alors dans le même sens.

  
Cet engrenage additionnel présente encore un autre avantage: pour une distance d'axe en axe donnée des boutons à cliquet, le diamètre des engrenages peut être plus petit.

  
Suivant l'invention, cette roue intermédiaire est portée par l'arbre du bouton à cliquet lui-même. Pour différentier cet engrenage d'un engrenage fou dont il sera question par la suite,

  
et qui remplit une autre fonction, celui-ci sera désigné dans la suite du mémoire par "roue de transmission".

  
La Fig. 2 montre schématiquement un élément muni d'une telle roue de transmission. Sur les Figs. 1 et 2, des parties correspondantes portent les mêmes chiffres de référence. Dans l'élément représenté sur la Fig. 2, la roue hélicoïdale 8 de la Fig. 1, est remplacée par un engrenage 16 qui sera appelé "roue motrice". Celle-ci engrène avec la roue de transmission 17 qui tourne folle sur l'arbre 1 du bouton à cliquet. Avec cette dernière roue dentée--peut engrener la roue motrice d'un second élément. Le mécanisme étant mis en marche, cette roue tourne dans le même sens que la roue motrice du premier élément. La distance d'axe en axe de deux boutons à cliquet voisins est au maximum égale à deux fois celle  des arbres 1 et 2.

   On économise beaucoup de temps lorsque le dé-placement des sélecteurs vers une nouvelle position s'effectue simultanément pour tous les éléments du mécanisme; de plus, si les sélecteurs sont commandés par le moteur, il est préférable qu'ils soient commandés simultanément par le même moteur. Dans un mécanisme constitué par des éléments accouplés conformément à l'invention ce résultat peut s'obtenir d'une manière très simple. A cet effet, on munit les arbres de l'élément d'un jeu supplémentaire d' engrenages conjugués dont l'un tourne fou sur l'un des arbres de l'accouplement à maximum, et l'autre fou sur l'arbre du bouton à cliquet, ces engrenages étant disposés de manière que lors de la mise en service d'un second élément ils engrènent avec le jeu correspondant d'engrenages fous de cet élément.

   La Fig. 3 représente schématiquement un exemple d'un mécanisme ainsi réalisé. Ce mécanisme comporte deux éléments A et B mais peut en comporter un plus grand nombre. Comme l'agencement des éléments représentés sur la Fig. 3 diffère quelque peu de celui des éléments représentés sur les Figs. 1 et 2, on a utilisé, pour la Fig. 3, d'autres chiffres de référence.

  
Dans l'élément A, l'arbre moteur de l'accouplement à maximum est indiqué par 19. L'arbre correspondant de l'élément B est indiqué par 20. Sur l'arbre 19 est calé la roue motrice 21 et sur l'arbre 20, la roue motrice 22. Ces engrenages moteurs sont accouplés par la roue de transmission 23 qui est folle sur l'arbre du bouton à cliquet 24. L'élément B comporte aussi une roue de transmission 25 qui est folle sur l'arbre du bouton à cliquet 26 de cet élément et qui sert d'accouplement d'un élément suivant.

  
Les arbres sont supportés dans des plaques 27 et 28, res-pectivement 29 et 30 d'un châssis. Pour des raisons qui seront expliquées par la suite, ces plaques sont en deux pièces. Elles sont assemblées par des traverses dont deux, 31 et 32, sont montréesur le dessin. Les arbres moteurs 19 et 20 sont accouplés par l'intermédiaire d'un accouplement à maximum aux roues menées 33 et 34. L'accouplement à maximum est ici un dispositif dans lequel le couple moteur est transmis par un organe auxiliaire relié, par des ressorts, à l'arbre mené et, par une roue à rochet, à l'arbre mo-

  
 <EMI ID=7.1> 

  
te de la rotation relative de l'organe auxiliaire et de l'arbre entraînée l'accouplement entre l'arbre moteur et l'organe auxiliaire est débrayé. En même temps, pendant cette rotation, les ressorts qui relient l'organe auxiliaire à l'arbre mené, se tendent. Après le débrayage des arbres, l'organe auxiliaire est conjugué avec un dispositif d'arrêt de sorte que les ressorts restent tendus. Ceux-ci continuent donc à exercer un couple sur l'arbre arrêté.

  
De ce fait, dès que le blocage cesse, cet arbre se déplace et tourne par rapport à l'organe auxiliaire encore fixe. Par suite de cette rotation, l'accouplement entre l'arbre motèur et l'organe auxiliaire embraye. Un tel dispositif est décrit dans le brevet français No. 903.072.

  
Sur la Fig. 3, les roues à cliquet de l'accouplement à maximum, roues qui sont calées sur les arbres moteurs, sont indiquées par 35 et 36 et les cliquets que comportent les organes auxiliaires 37 et 38 sont indiqués par 39 et 40. Les ressorts qui relient l'organe auxiliaire à la roue menée, sont indiqués par 41

  
et 42. Bien que ces ressorts soient dessinés sous forme de ressorts hélicoïdaux dont l'axe est parallèle à l'arbre 19, ils relient en réalité des points dont la droite de liaison croise à angle droit l'arbre 19.

  
La roue menée 33 engrène avec la roue de bouton 43 de

  
 <EMI ID=8.1>  

  
lément B. Comme la roue menée 33 ne peut entraîner que l'arbre

  
du bouton à cliquet auquel il appartient et non celui d'un élément voisin, le jeu d'engrenages 33 et 43 est légèrement décalé par rapport au jeu d'engrenage 34 et 44. La roue menée et la roue de bouton d'un élément accouplé à l'élément B, peuvent de nouveau se trouver dans le même plan que les engrenages 33 et 43.

  
Sur l'arbre du bouton à cliquet 24 se trouve un groupe

  
de disques d'arrêt dont chacun est calé, dans une position prédéterminée, et dont un seul, 45, est montré sur le dessin. Le dessin montre aussi le cliquet 46 conjugué avec le disque d'arrêt 45. Le dessin montre en outre un seul disque de blocage 47-calé sur l'arbre 26 ainsi que le cliquet 48 conjugué avec ce disque de l'élément B. L'arbre du bouton à cliquet 24 porte le sélecteur de cliquets 49, l'arbre du bouton à cliquet 26, le sélecteur 50. Chacun de ces sélecteurs est fixé à un engrenage 51, 52 appelé "engrenage sélecteur". Les engrenages 51 et 52 forment avec les engrenages
(intermédiaires) 53, qui tournent fou sur l'arbre 19, et 54, qui tourne fou sur l'arbre 20, un système d'engrenages conjugués.

  
Le mécanisme fonctionne de la manière suivante. Pour amener les boutons à cliquet de la position dans laquelle ils se trouvent, dans une autre, on déplace à l'aide du pignon 55 que porte un arbre de réglage 56, la roue intermédiaire 53. De ce fait, l'engrenage sélecteur 51, l'engrenage intermédiaire 54 et l'engrenage sélecteur 52 bougent simultanément, tandis que tous les arbres des éléments restent au repos. On poursuit le déplacement de l'arbre de réglage 56 jusqu'au moment où les sélecteurs atteignent la nouvelle position choisie.

  
Il faut ensuite amener les arbres des boutons à cliquet dans la position correspondant à la position choisie des sélecteurs

  
 <EMI ID=9.1> 

  
gnon 57 qui est fixé sur un arbre 58 et qui engrène avec l'engrenage moteur 21 de l'élément A. Cette rotation provoque le déplacement des engrenages moteurs 21 et 22 ainsi que des engrenages de transmission 23 et 25. De ce fait, les arbres 19 et 20 tournent, tout comme les arbres moteurs des autres éléments, qui peuvent être accouplés, éventuellement par l'intermédiaire de l'engrenage de transmission 25, au système mobile constitué par le pignon 57 et les engrenages 21, 23 et 22.

  
Le mouvement de l'arbre 19 est transmis par la roue à rochet 35 et le cliquet 39, à l'organe auxiliaire 37 et de là, par l'intermédiaire des ressorts 41, à la roue menée 33. De la même manière, le mouvement de l'arbre 20 est transmis, par l'in-

  
 <EMI ID=10.1> 

  
 <EMI ID=11.1> 

  
disques d'arrêt 45 et 47. Admettons que dans l'élément A le cliquet choisi 46 atteigne le premier l'échancrure ménagée dans le bord du disque d'arrêt 45 et que l'arbre du bouton à cliquet 24 soit bloqué. Tandis que les roues motrices et les roues de transmission poursuivent leur rotation les engrenages 43 et 33 s'arrêtent. L'organe auxiliaire 37 poursuit cependant sa rotation, ce qui provoque une plus forte tension des ressorts 41. Par suite de la rotation de l'organe auxiliaire 37 par rapport à l'engrenage arrêté 33, le cliquet 39 de la roue à rochet 35 se soulève. Le dispositif qui assure ce soulèvement n'est pas représenté sur le. dessin. Sous l'influence de la tension des ressorts 41, l'organe auxiliaire 37 libéré de l'arbre moteur 19, tend à tourner en sens inverse.

   Cette rotation est empêchée par un accouplement entre cet organe auxiliaire et un dispositif d'arrêt immobile. Cet accouplement qui n'est pas représenté sur le dessin, peut être un simple accouplement à roue libre, c'est-à-dire un,dispositif qui ne permet la rotation que dans un seul sens. Les ressorts 41 restent donc tendus et l'organe auxiliaire 37 reste libéré de la roue à rochet
35 qui poursuit sa rotation. 

  
Le bouton à cliquet de l'élément A occupe maintenant la position choisie et conserve rigoureusement cette position par

  
le fait que les ressorts tendus 41 poussent, par l'intermédiaire de la roue menée 33 et de la roue de bouton 43, la paroi de l'échancrure du disque d'arrêt 45 contre le cliquet 46 qui ne peut reculer et qui détermine rigoureusement la position de l'arbre 24.

  
Entretemps, les engrenages 21, 23 et 22 poursuivent leur rotation et le disque d'arrêt 47 glisse sous le cliquet choisi

  
48. Ce glissement se poursuit jusqu'au moment où l'échancrure ménagée dans le bord du disque d'arrêt 47 atteint le cliquet 48 et que ce cliquet empêche tout mouvement ultérieur du disque 47 et donc aussi de l'arbre 27 et des engrenages 44 et 34. L'accouplement à maximum de l'élément B entre alors en fonctionnement et rompt

  
la liaison entre la roue à rochet 36 et l'organe auxiliaire 38. Les engrenages 21 etc. peuvent donc poursuivre leur rotation, ce qui peut être nécessaire pour la commande d'un élément suivant.

  
Si la position d'arrêt s'obtenait plus rapidement dans l'élément B que dans l'élément A, l'ordre d'arrêt serait inversé, mais le fonctionnement resterait inchangé.

  
En disposant les arbres l'un à côté de l'autre et en utilisant ces arbres pour le montage de roues de transmission et de roues intermédiaires, on obtient un ensemble particulièrement compact, qui permet d'économiser beaucoup de place et qui, par suite de la possibilité de développer le mécanisme d'une manière particulièrement simple, offre un sérieux attrait. Les Figs. 4, 5, 6 et 7 montrent nettement un perfectionnement pratique qui augmente le choix de l'emplacement des éléments à accoupler. Ces figures représentent un certain nombre d'éléments conformes à l'invention vus dans la direction des arbres. Les engrenages de transmission y sont indiqués par 59 et les engrenages moteurs par 60.

   Il sont en grande partie disposés derrière les plaques de montage qui supportent les arbres, de sorte que l'on ne voit qu'une partie de la cou-ronne dentée dont le cercle primitif est tracé en traits mixtes. Les plaques de montage comportent, hors des engrenages, des points d'appui 61 et 62, en lesquels elles sont assemblées par des traverses (indiquées par 31 et 32 sur la Fig. 3). Ces points d'appui et ces traverses peuvent entraver l'accouplement d'un élément suivant. C'est ainsi que, pour l'élément représenté sur la Fig. 4, il n'est pas possible de faire engrener la roue motrice d'un autre élément en un point de l'engrenage 59, situé à gauche du plan

  
 <EMI ID=12.1> 

  
60 ne saurait engrener avec un engrenage de transmission d'un au-

  
 <EMI ID=13.1> 

  
 <EMI ID=14.1> 

  
point d'appui 61 qui s'y oppose et dans le second cas, le point d'appui 62.

  
C'est intentionnellement que les points d'appui ne.:.sont pas disposés dans le plan 63 bien que, pour augmenter la stabilité, on les ait choisis hors de l'espace limité par les plans passant par les axes et perpendiculaires au plan 63. De ce fait, on peut accoupler des deux côtés un élément suivant en un point du plan 63 et on peut éventuellement faire en sorte que le plan commun des arbres de cet élément suivant coïncide avec le plan 63.

  
L'accouplement peut aussi s'effectuer en des points situés dans l'angle formé entre les flèches 66 et 67 et celui formé entre les flèches 68 et 69.

  
Les plaques sont construites de manière que la.plaque supérieure, c'est-à-dire celle qui, sur le dessin, est tournée vers l'observateur, et qui recouvre les engrenages 59 et 60, constitue l'image de la plaque inférieure de sorte que ces plaques sont interchangeables. Si l'on échange les deux plaques, l'élément se présente de la manière montrée sur la Fig. 5. Les points d'appui
61 et 62 qui, sur la Fig. 4, étaient dirigés vers la gauche, sont maintenant dirigés vers la droite, de sorte que l'élément montré sur la Fig. 5, permet l'accouplement d'un autre élément du côté gauche. Pour l'accouplement dans la direction du plan 63, il est indifférent que les plaques occupent la position représentée sur la Fig. 4 ou celle représentée sur la Fig. 5.

  
Comme il se peut que l'on désire accoupler à la roue de transmission un autre élément à droite, et à la roue motrice à gauche, ou inversement, il est nécessaire de disposer aussi de plaques telles que représentés sur la Fig. 6. Dans ces plaques, les points d'appui 61 et 62 se trouvent de part et d'autre du plan

  
63, et si l'on interchange ces plaques, on obtient le montage représenté sur la Fig. 7. Il s'est cependant avéré possible de se contenter de deux sortes de plaques et d'en utiliser le même nombre des deux types il suffit de réaliser les plaques en deux pièces 70 et 71 dont chacune peut être échangée séparément avec la pièce correspondante de la contre-plaque. Elles sont assemblées

  
à l'aide des languettes de fixation 72 et 73. L'épaisseur de ces languettes est égale à la moitié de celle de la plaque et de plus, l'une des languettes se trouve du côté supérieur et l'autre du côté inférieur de la plaque. Les deux parties 70 et 71 se trouvent donc dans le même plan. Cette construction permet de réaliser les quatre combinaisons montrées sur les Figs. 4, 5 et 6. Si la construction des paliers permet l'inversion des pièces, on

  
peut même obtenir toutes les combinaisons à l'aide d'un seul type de plaques. Il est vrai que l'on pourrait aussi obtenir des plaques rigoureusement identiques en prévoyant les languettes d'appui 61 et 62 dans la ligne d'intersection avec le plan 63 aux

  
deux extrémités des arbres, mais dans ce cas, l'accouplement dans la direction des flèches 66 et 69 serait :impossible.

  
La Fig. 8 montre en perspective l'une des plaques ainsi qu'une partie des arbres. La figure, dans laquelle une partie de la plaque est coupée, montre l'assemblage des diverses parties de la plaque. On voit comment la partie supérieure 70 pénètre, avec une languette 74 sous une languette 75 de la partie 71, et comment ces languettes sont assemblées par un tirant et un écrou 76. La partie 71 comporte une languette d'appui 62 qui est fixée à l'aide d'un écrou 77 à une tige creuse 78 (traverse). Cette tige est traversée par une vis 79 munie d'une tête 80 et qui peut se visser dans un socle situé de l'autre côté pour y fixer l'élément, A l'autre extrémité, la tige 18 est fixée à une languette correspondante de l'autre plaque.

  
La Fig. 8 montre en outre l'extrémité de l'arbre du bouton à cliquet 81, extrémité qui repose dans une douille 82 qu'une bride fixe à la plaque par des rivets 83. La plaque qui se trouve de l'autre côté du bouton à cliquet comporte une douille identique, mais celle-ci dépasse vers l'autre côté, donc vers la gauche.

  
On voit en outre l'extrémité de l'arbre moteur 84 qui tourne dans une douille 85 que des rivets 86 fixent à la plaque. La plaque située à l'autre extrémité comporte aussi une telle douil le, mais la bride de la douille se trouve du côté opposé.

  
La Fig. 9 montre enfin, à titre d'exemple, un accouplement de cinq éléments conformes à l'invention, dans lequel les arbres des boutons à cliquet 87 se trouvent à des distances différentes et dans lesquels, les plans des arbres se trouvent tantôt dans le prolongement l'un de l'autre, tantôt sous un certain angle ou bien parallèle l'un à l'autre.

Claims (1)

  1. RESUME <EMI ID=15.1>
    ment à maximum, caractérisé en ce que ces parties sont disposées l'une à côté de l'autre, les arbres parallèles l'un à l'autre, la partie entraînée de l'accouplement, à maximum comportant un engrenage (roue menée) qui engrène avec un engrenage (roue de bouton) monté sur l'arbre du bouton à cliquet, et en ce que l'arbre moteur de l'accouplement à maximum comporte un engrenage (roue motrice) qui engrène avec un engrenage (roue de transmission) qui peut tour-ner sur l'arbre du bouton à cliquet, cet élément pouvant présenter en outre les particularités suivantes, prises séparément ou
    en combinaison:
    a) l'un des arbres de l'accouplement à maximum porte un engrenage rotatif sur cet arbre (roue intermédiaire) qui engrène avec un engrenage (engrenage sélecteur) tournant fou sur l'arbre du bouton à cliquet et auquel est fixé le sélecteur de cliquets; b) les arbres sont supportés dans deux plaques parallèles dissymétriques par rapport au plan commun des arbres d'un châssis dont chacune comporte les points d'appui qui sont situés hors des engrenages et qui se trouvent hors du plan mentionné et que les deux plaques constituent l'image l'une de l'autre de manière que si l'on échange les plaques, les points d'appui se disposent de l'autre côté du plan commun des arbres;
    c) chaque plaque est constituée par deux pièces assemblées en des points placés symétriquement par rapport au plan commun des arbres et chaque partie de l'une des plaques constitue l'image de la partie correspondante de l'autre plaque.
    2.- Mécanisme à cliquet, caractérisé en ce que la roue
    de transmission d'un élément engrène non seulement avec la roue motrice de cet élément, mais aussi la roue motrice d'un second élément dont les arbres sont parallèles à ceux du premier élément et qui, dans le cas d'éléments tels que spécifiés sous la, engrène non seulement avec la roue intermédiaire de cet élément, mais aussi avec la roue intermédiaire d'un second élément, et en ce que dans le cas d'un nombre d'éléments supérieur à 2, la roue de transmission du second élément engrène avec la roue motrice d'un troisième élément etc.
    et éventuellement l'engrenage sélecteur avec la roue intermédiaire du troisième élément etc., le tout cependant de manière que le jeu d'engrenage constitué par la roue menée et la roue du bouton de l'un des éléments soit décalé par rapport à celui de l'é-lément suivant de manière que chaque roue de bouton n'engrène qu'avec la roue menée de l'élément auquel elle appartient ellememe.
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